2003 - Côté Court

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2003 - Côté Court
sur France 2 ceux qui fa
s courts vous en parlent
histoires
courtes
les mardis soirs
france télévisions
7 ESPLANADE HENRI DE FRANCE
PARIS CEDEX 15
TEL. 01 56 22 50 61
c.taudiere@france 2 .fr
~
.. ~
...,.
Ou 28 mars au 6 avril 2003
Le Conseil &énéral de la Seine-Saint-Denis et la ville de Pantin présentent
CÔTÉ COURT en Seine-Saint-Denis
12e festival du film court
au Ciné 104, Pantin
et au~ cinémas :
Le Cin' Hoche. Br1p,11old
L'Écran, S4.lint-DclliS
l' Espace Paul Eluard,
St~ins
le Jacques Tati, Tren11l'oy pn t ranr~
le Magic Cinéma, flotligny
le Méliès, Mo'ltrP.II
le Théâtre du Garde-Chasse, l e' ltlas
le Trianon, Ronairwi11c 1 Noisy le Sec
Avec le soutien de la Direction régionale des affaires culturelles d'Île-de-France -Ministère de la culture
et de la communication, de la Région !te-de-France et du Centre National de ta Cinétnatoeraphie
Côté court : 104, avenue Jean lolive /93 500 Pantin 1 Métro : Église de Pantin
Tél. : +33 1 48 91 24 91 1 Fa~: +33 1 48 44 93 95
Site Internet: www.cotec ourt. org f e-mai 1: cote.court@wanadoo_tr
AStan Brakhat •
DEPUI S S A C RÉATION, IL Y A PLUS DE DIX ANS, è 1'1n1t1at1ve
ANNÉE
ENCORE,
LA
VILLE
DE
PANTIN
EST
du Conseil général de la Seine-sa·,nt-Denis, de la vil le de Pantin et dw Ciné 104. le festiVal
HEUREUSE D 'A C CUEILLIR AU
Côté court en Se1ne-Saint-Oenis s'est 1mposé comme un l 1cu incontournable de découverte
CÔTE COURT, QUI a su au f 1l des ans devemr un événement incontournable du
CINÉ 1 04 , LE
FESTIVAL
e1 de valorisation d u cinéma de court métrage.
paysage cinématograph ique départemental et national.
Il se smgulanse par une d~rectiO'l art1st1que ex1geante. dans le cadre de la compétit ion natio-
Loin des logiques stnctement économiques des produ1ts culturels qui n'ont pas l'humain
nale et des differentes sections qui le composent. Il rend hommage cette année au cinéma
pour objectif ni son développement personnel et son Indépendance ma1s visent à en fa ~re
mil 1tant. dont l'actualité est aujourd'hUI d'autant plus manifeste que les tensions soc1ales
un simple consommateur. ce fest1val est b1en d~ns l'espnt de l'exception culturel le frança1se
s'accentuent. Cet hommage a été conçu dans le cadre d'une collaboration étroite avec l a
a laquelle nous sommes très atlachés.
m·1ss1on de valonsation du patrimoine cinématographique en Seine-Sa1nt-Den1s créée par l e
Outre les f 1lms en compét1tion. 11nous propose cene année une rétrospective du cinema m1l 1tant.
Conseil général.
Bon festi val à toutes et à tous
Le fest1val Côté court est l'un des temps forts de la vie cmémalographique départementale,
rythmée par d'autres événements, • Théatnes au c1néma • et • Résonances • à Bob1gny, • Est ce
ains1 que les h01T1~.)1ivent? • à Saint-Dems. • Pour éve1l ler les regards • à AtJbervilliers, et
les •
Rencontrei\i~~~t6graphiques
de la Se1ne-Sa1nt·Den's • dans le ré>eau de cinémas
...
.
public' du départem~fl\ .
Je tiens à apporter~ I"*Jd1~ organJ:;.atnce de cette douzième edition du f!!'t1val tous mes
vœux de réuss1te
2
CETTE
Nathalie Berlu,
LE FESTIVAL COTÉ COURT EN SEINE-SAINT-DENIS A ACQUIS
CINÉMA DE
NOTORIÉTÉ ET RECONNAISSANCE AUPRÈS DES INCONDI -
DE
TIONNELS DU FILM COURT, en valonsant la d1vNsité des irnages. et en
PROPAGANDE, LE CINÉMA MILITANT OFFRE UN TÉMOI-
revelant les nouveaux tdlents. L'éclecttsme des modes d'ex~r•ss1on prbents dans la
GNAGE INDÉNIABLE SUR L' HISTOIRE DU XX• SIÈCLE, au
ce rcndeL-vOciS
travers de ses espoirs et désespoirs révolutionnaires, de ses idéologies et dissidences.
programmation, l'exigence. la qual1té ella richesse de la selection font de
un l 1eu pmilégié de découverte et de promotion du court mC\rage.
Le CNC encourage activement
ce secteur, véritable v1vier de la créatio"
LA
L'URGENCE
CLANDESTINITÉ,
ET DE LA PRÉCARITÉ VOIRE
CINÉMA
D'AGITATION
OU
DE
MaiS, est-11 un genre à part entière? A-t-il ses chefs-d'œuvre? Peut-il naïlre du désir d'un
tiflérn~to­
cméaste? Peut 11 dépasser ce pour quoi 11 a été pensé?
graphique. E.n tDncertation avec les professionnels, 11 a récemment réformé son système
Plurielle et pluridiscipi'maire, la danse contemporaine occupe une place un 1que dans le
de soutien à la prodLJCI1on et à la d1tfusion afin que les films courts rencontrent le plus
rnonde des arts du spectacle. Elle se noumt de tout (poésie, arts plast1ques. théâtre.
l~rge
public. Je me réjou s de constater le succès de rnanliestations telles que le fest1val
cit1éma. cirque ... ) et repousse un peu plus chaque JOur les lim1tes de ses champs d'expé
Côté court en Seine Sa'mt Den1s q,, v1ennent ams1 relayer eff1cacement l'act10r des
rimentation_ Elle entretient une r elation étroite et parfois orageuse mats plus souvent
pouvoirs publ1cs pour permettre une meilleure circLJia\1011 des œuvres.
té con de avec 1e théâtre
a Jacky
Le cinéma lui aussi repousse chaque jour un peu plus ses frontières, en témoignent le
Evrard, Délégué généra\ du Festi<al, Président de la Maison du film court. et à son équipe.
renouveau du cinéma d1t expérimental avec une nouvelle génération de cinéastes radicau~
Je tiens à renouveler mon sout1en. mes vœux de succès et mes remerciements
David Kessler,
et indépendants, et la persistance d'aînés tOUJOUrs plus 111transigeants malgré des difficultés
de production inchangées. Ce cinéma Inclassable prouve que le 7' art est loin d'avoir épuisé
ses potentialités créatives.
Arnold Pasquier et Thomas Draschan tracent chacun un sillon de cinéma très perso11nel,
où la démarche prime sur le résultat, ou la recherche est prépondérante et dont les films
se situent justement à la l1sière du c1néma. de la VIdéo et des arU plastiques.
Françoise Lebrun,
Jacky E"rard,
l-'rF~ rl~·~t~.
Ut:!~~t1i: t:r.ru:'f~ 1
3
TIRAGE- PROJECTION ...
Sommaire
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4
14
COMPET1T10N
VmRI-i:i nq films et sept p•ox d&ernés par t·o s jurys cl J,ldr 1(· ;Jubhr..
20
PANORAMA
~ n l'j .• ;::•r~
progrf!mn,es. Pt •.: .. gt 'ïlm"i. un ;, pe"ç"" :1e lrl prut.J ...~.:llPi
rAr.PntF': rh. court métrëlge
26
28
MANIFESTE: EXPÉRIMENTAL
r C'EST PAS MON "GENRE" !
FOCUS
Soll,cti.-.n
34
t='r(jncc
pr-
lntPrn~tionale
c•néma n ffe.·~nt
FILMER LA DANSE
r!.HI'it.' d P•{•t11"~ 1tj!l :
38
LA FOLLE NUIT DU COURT
Oc 1, ,
IJ .• ëtl•
dP.I ;mtrp a la ·pnccntre. r.u (JU:l~ de,.. partagé avec ~.-l :-:...nq.P t:•lé.
\C" bdÎ~t·r-;. ~~)$ ~ti!~C:. d iSputes. au Cnute Pt
44
a ~ sépa ra~IOI"".
ECRAN DES ENFANTS
M ... ~ !\ll1 1 m1~;,• rlr! l'cPuvm r:e G~,~g~~re Solo~e·~;tf
I'AI~i:ril~
47
•;.,
i. P.J\H' '\
LES UGRAINEURS
Des f'ili'J'S nHitr.m\~ ~r v• t.:CJIIl•::l'lt rl-;~;-o·int i ' fM il1ÎI\!ti'S
49
Militante 1engagement
UNE RETROSPECTIVE OU CINtMA MILITAHT EH FRANCE (1 9 13 1 20021
lmdQ:ts rc::;'eS.
1~
ÇIUS S:J ... le ..l
produi~P.:~
t!l d H... ëc'l N t
m;~rgf•
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"'Y"If'Uh'.
Dr.s r rT'IS a ~re}cPccuvrir dep....,s le r1P.hut tl .. 20' 'ii!l-ll' jll'\( )ll'it ;.J IIIf urcrhuî.
70
CONTACTS RtTROSPECTIVE
71
EXPOSITION DU COLLECTIF TENDANCE FLOUE
72
TABLES ROHDES
Oe4! _.!tes anti:.::J1::J• a L'" aiJx f utle~ n..\i'JI•t(•<:..
De '2ge bma:Jul! du
74
cmc~mrt
, .. 'ta,..l d
~011 ~e:r 01· nt-P !'l:ls•~o- •..-re~>
CONFRONTATION
Deux clnéa st,':loo; r. ur mëreo~"' t c:trts graptliqu(.!~ cl (Hl~ IJl~';l lqu<:'i
75
THOMAS DRASCHAN
79
ARNOLD PASQUIER
85
LECTURES DE SCtNARIOS
89
LA CRtATION SONORE ET LA MUSIQUE DE FILM
91
LE FILM ANNONCE
93
INDEX DES FILMS
9'
L'tQUIPE DU FESTIVAL
;J
1.1 ~ph~rP trlrnrr. ur..
L AUREATS 2002 , , de eauche.! dtnile. Darielle Tillon 1 Sarah Petit 1 Y3tem Gaudrssart 1 Estelle Larrivaz 1 Michel Klein 1 Valérie Mréjen
Sélection
Prix du public
Grand Prix Coté court
Prix de la presse
Mes insomnies de Valér
Je m'appelle de Stéph.lne UmJdJr<ln
e G<!u()r•:.arl
Jury professionnel
La Délaite du rouge -gorge de V~l<'ro<>
Mrejen
Prix spécial du JUry
Ala vitesse d'un cheval
au galop
de DMiellc Ttlon
Palmarès 2002
Mention du jury de la presse
L'Arpenteur c1 P. Sm<1h Pelrt et Mrchel
Klcm
Élisabeth Depardieu, :o,.,ed , ~nne.
rJirectrrc" "~·''IQ ..e rnmP.rgence
Romain Goupil , r r.alr>:;ter.r
Luc Moulle!, rcolr>~tcur
Sylvie Pras, r es ~O 'I>dl;l c ç,..ërrru
du Certre C.eorgt>s Pompidou
Emmanuel Schlumberge r, proOlH:te•H
Menti on du jury
Mes insomnies d~ V~h~r1e
G~: Jr.:~~:;dr l
Prix du G.N.C.R .
Angèle de Franço se ToJr'l1e·r
Prix d'interprétation féminine
Nathalie Boutefeu
H\~or·Hll c~ ..
Jurys 2002
n~ns
• Mes
de Vdlëm~ G,:IUd iSS<'! rt
Jury presse
Hugo Bélit, Brel
Valérie Cadet, le Murrrk
Coup de cœur SFX
La Petite Cérémonie dl: Beneclrc:tf!
Pagnol
Christophe Chauvi lie,
RqJ<!r•if~>
Jean-Sébastien Chauvin, Les
CJ.~rer>
r1uCmP.m..J
Prix d'interprétation masculine
Marc Voinchet, Fr;ln.cf! ,-u!tur~
Hovnatan Avédikian dars
• L ArpP.r ter.r • c1P. Sarah Petri el
Jury Prix Beaumarchais
M"'IP. KIP.in
Scénarios
Mention spéciale d'interprétation
Marine Mandrila d Célestin Sou brier
d a~;
• l a V~rrte • de
~énédrc lc
Béatrice De Mondenard, Synu;J>r>
Hélène Vayssières, l.• SeiJIIAtl<'
Prix Beaumarchais
Petite lumière c1P Alain G011r>
~ft·'l~t
Prix du meilleur scéna rio
Prix de la jeunesse
de l'atelier d'écriture
Notre père de: E>l<!lli! L;Jrriva?
Mention du jury jeune
6
Je m'appelle d( Skp'r•r•c
Elrr·~d!wr
La Goune
~"
Err11I1P.
r..yrm
UNE ENCYCLOPÉDIE
DU COURT MÉTRAGE FRANÇAIS
Parent pauvre des h1Sto1res offiCielles du c1néma, le court metrage n'en
EXTR AIT DU SOMMAI RE:
ex1ste pas mo1ns depu1s le dèbut du sep\lème art. Cette encyclopédie veut
contribuer a ri! parer une injust•r.e en meltlnt ~ JOUr un conbnent trop SOli-
AFCA, les Affaires publiques. Afnque
existe. Animation, Argos, Aubervilliers. Blue Jean. Bobines, Patrick Bokanowskt, Bonnes Causes. Walerian
vent oubl•e quand Id nt d'autres ouvrages de c1néma ressassent des sujets
Borowczyk, Pierre Braun berger, les Canuts, Censure, Film
déJa largement rebaltLIS. Porter ce regard sur ce monde parallèle. c'est
ouvrir 11ne brèche par laquelle s'engouffre un champ au~ richesses sousestimées. La palette de ce secteur es.t autrement plus vas.te et ~us ht.>re
que ce que pe11t proposer l'h1sto~re du long métrJge. Les. catégories les ~us
classiques [f1ction.
dOCIJmenta~re,
an1mationJ se révèle11t protéiformes. Se
50.
Alexandre Alexeieff, Al2er l a Bl anche, Guerre d'Algérie, l'Amour
à chute. Cmë-L1berté. C1néma pur. Cmémathèques,
Cinématon, Clip, Jean Cocteau, Ëm1le Cohl, Jacques Colombat, Cinéma colonial, Films de commande.
Commune, Du court au long, le Cyclope de la mer, Diffusion, Documentaire, Marguerite Duras, Serge
Elissa Ide, Emilie Müller, Enlr'acte, Essai, Ethnographie, Etna, Jean Eustache, Expérimental, Faux
Documentaire, Film d'Art. Peter Fol des. Georges franju, GREC, Jean-luc Godard, Gradiva, Graphyty. Jean
GrémHion, Paul Grimault, Groupe des Trente, Marcel Hanoun, Images f1xes, lskra, Jeux de plage, Jofroi ..
pencher sur le court mélrage. c·e:.t rappeler que le cinéma est irrigué de la
sève expérimentale. se nourrit des sciences
et de tous les arts. qu'1l peut
êtr~
essai.
poème. t1lm ethnographique. bande amaletn, porno p1rate présenté dans. les bordels.
faux documentaire, f11m de propagande.
cinéma engagê, films sur lartet hten d'autres ch<»es encore Ëclairer par ce bOI•s la
carrère de certa•ns
c.néa~tes
apporte, sv
leur c1néma. un autre poont de vue. néghgè de la plupart des monograph•es. Élire certa1n~ films courts redess1ne auss1 un autre territoire, au sein
duquel émergent des trésors oubhl!s, des hlms. ovn•. en un mot de véritables œuvre~ Insoupçonnées. Ou'e~t-ce qu'un court métrage ? On Yerra
qu'en tentant <le répon<lre Il cette quest•on Simple, 011 est amené <i
dar" de; contrées mal balisées,
cinéma, sur les Cinéma>.
~
~
fra~r
LES R ÉDA C T EU RS :
Raphaèl Bassan. M1rei1Je Beau!teu. Hugo Bélit, Jean-Pierre Bertin-Maghtt, Ntcole Brenez, Gisele Breteau-Skira.
ltmi/e Breton. Christophe Chauvil/e, Sylvie De/pech, Karim Ghiyali, Stéphane Kahn, Jacque; Kermabon.
luc Lilgier. Thierry Lefebvre, Mane-Claude Loiselle. Nathalte Mary. Rodolphe 0/cése. Tal1i[ui Perron. Mtchel
Roudevitc/1, Vmcent Vatrican, Valérie Vtgnaux. Luce V~o. Pascal V1menet, Arnauld V1sinet.
él<lrg1r notre champ de vision sur le
découvrir de$ be•IJfès inattendues, une
histoire [esthét•que. économ1que, JUfldJque ... l
QUI
autr~
partais précède l'histoi-
re officielle du cinéma et q"'· en tout cas, décourage très vite tuute ambi-
tion d'ex11aust1v1té. Une encyclopédie du court métrage français veut sur-
UNE ENC YCLOPÉDIE D U COURT MÉTR AGE FRANÇ AIS
Un ouvrage sous la dJrectior~ de Jacky Evrard et Jacques Kermabon
Coproduction : l"estiva/ Côré Court- Yel/ow Now/Côté cinétn<l
Nombreuses Illustrations noir & blanc et CO!Jieur. 450 pages- 16,5 x 24.5 cm
tout ouvrir les regards ou. pour reprendre la formule de Jean VJgo contri-
ISBN 2-87340-181-8
buer à • nous dP.ssiller les yeux •.
30 €- Parution mai 2003
7
8
Ouverture ...
J)) Pantin
CINÉ-TRACTS
LES HALLES
LA NAISSANCE
RÉALISATION COLLECTIVE
1968-70 1 BËTA SP 1 ARCHIVES N&B 1
MUET 1 2G' 1 ACCOMPAGNEMENT
MUSICAL D'ERIC STERENFELD
ANONYME
1908 1 35 MM 1 1,33 1 N&B 1 MUET 1 7
FRANÇOIS HU GO
Des images belles él €mouvames des
1932 1 35 MM 1 1.37 1 N&B 1 SONORE 1 2'
Tan/ô/ re.J.Ii5és par des amateurs. /i3i116t par
cit:s ,;.mru}e.'J 70
H<olles Balt,.rd a Parts. d€1wites ,Ju début
Vendredr 28 mars. 20h15
DE GLOUGLOU
Film d ·~U71tn"1tion publie~wire pour
les Vins N1çvlhs
c'es c1neastes cliev.ronnéès. ies cine tracts
fwenr longtemps (!11/lses pour J'agrt-prop
en ma1 68. Ils denoncent f:ln vmç ta soc: j'ete
GRIBOUILLE REDEVIENT
rk !.:rmsi'Jrllmation: les r:.rime:i des furr:c.'i
BOl REAU
de l'wJr~. le general C<) Gaulle. IDAS
~~ ClJitwe bollrgeoise.
... et clôture
PATHÉ
1912 1 35 MM 1 1.33 1 N&B 1 MUET 1 7'
FRAMMENTI ELETTRICI
N" 2
VIETNAM
YERVANT GIANIKIAN ET ANGELA RICCILUCCHI
ITALIE 1 2001 1 BETA SP 1 COUL i N&B 1 9
Cc~
fi/rn
"·'t çonstrutl apart1r de films
ama/cur.~a
tournes par un sold~1t frança1s
Un férnol;;;na}?e
NOUS TRAVERSONS
LA VIOLENCE DU MONDE
Studios Pat.he en 1912. avec l'un des i)/'"
Dimanche 6 avril. 14h45
fameuxac/e(JI'.> de leooque. Andre Dee<l.
Nous trdversons ~J v,•o!ence c1u monde"'
CliJi! rJ'atJord 1111 fivre di~ ~)hatugra{Jhlf~."i.
Le f1/m est tmc rderrurc de ces imap,es.
Cinémathèque française
4. rue ~e Longcl1anp
751 Hi
P~ns
(LE PONT N'EST PLUS LÀ)
re .. ot 53 65 74 74
TSAI MING-LIANG
fax : Dl 53
TAIWAN 1 FRANCE 1 2002 1 35 MM 1
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JJmvocafl:ur tliÛ ;; gratte frJ pclltcu!c c:ommc
d'autres watten/ res murs pour y fa 1sser
res traces de leurs obsessions et de leurs
4:~
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: IT1r'lrc:@he:rthovniP..tx.com
Wo~.w.mrl rctlc~r1~1 m .. ., .• ,r: .1x. CtlrT'
de la Marne. Une
P.f
se d1Ve1trr au
ls•us des collections de la
Cinémat~èque
française, les films de ce proa:ramme ont tous été
restaurt!.s par ses soins, retrouvant ainsi leur
beauté originelle et le chemin des écrans. Venus
de France ou d'ailleurs, tous ces films .sont autant
de raretês qui révèlent l'i m<~ginaire protéiforme du
cinéma de cette époque.
Au clëbul c111 J.·x· stëcie 1 les !JLNriers
vena1ent se rcposf. r
T'a1pet. S!Jiang
JEAN-PIERRE BOUYXOU
1969 1 16 MM 1 COUL 1 SONORE 1 21'
fantasmes
CONTACTS
t<
Dc·~w;nlliJ giJre c:entra!e de
sur fa vie clrJn:. les
COLLECTIF TENDANCE FLOUE
FRANCE 1 2002 1 BETA SP 1 N&B 1 6'
penddnl fa p,ucru~ c:oi,miafe du Vi(.'ffliJm.
THE SKYWALK IS GONE
))) Pantin
comiqu,~
GRAPHYTY
bord
r~!lt'"""'" e v!aente
a f'(!nivers c''A uguste Renoir. l" ft lm
fëmoig11e egalement de /ïmpor/iJriŒ
rlu théme cfe i'e<1u dans iê cmema frilnÇilis
traverser fa P,rancir~ avt~nu~ maigrè J 1ntense
circufaticrr. Un po!fc_·,,y lr~s tJ<rP.tç: P.t feur
riP.mande leur carre d
s'î.·x~cute.
identi/r~.
Ces tro~s films seront accompagnés
SI,<Jng-r.-t.yi
à l'accordéon par Marc Berthoumieux.
mais ia femrne œfJ.Jse. en
ar;,;;uanl oue r,J
passer~lle
Qu'e1/e av.Jit
1'tJabiturJe rf'lltiliser" dtsparu.
,~
TH E SKYWALK I S GONE
,rj.J
9
C 1NÉASTES A 1DES DEPUIS 1 993 J t) 1.4urent Athord J D1d1ef Bivel J Bruno BonUolaKis J Laurent Cantet J
Castella ) Yves Cau11111n J la1da Ghorab-Volta J Delphine Gleize J Philippe Ha rel J Joan-Baphste Huber J Thierry Jousse J lacq••• Maillot J
Masson ) Orso Miret J Ain ès Obad1a ) Françoi s Ozon J Philippe Ramos J Alain Raou st J AI•Jandra Rojo J Marie Vermillard ) Erick Zonca
Aides et prix
Le Conseil général de la Seine-Saint-Denis a soUleno depuis dix ans les cinéasles lauréats el mentionnés
pouvaient être soutenus financièrement pour un nouveau projet de réalisation de court métrage ou de
Il est cour ·espr; d"> li"ux llC> vilgilhond~g"
que 111! COr'ltfiiiSI"Ie•'! :'li IC ~Crrip~. 'IIIE S
rer.elte'l. n1·rê·re la n~œssité de ~rou 1er
rf:g1 :Ill~. pm If' IH"'' SOUt1e11
développement de long métrage. Cette procédure de soutien à la création cinématographique a été
quelque dl(1'r. . Il e>t nes P.t.x QU• ne v vc·1\
sin~=:ul1crs
remise en cause par la Préfecture de Seine-Saint-Denis au mois de décembre 2001, au motif que le
que 1fC:coutcs cl
Conseil2énéral n'était pas autorisé à attribuer des subventions à des sociétés privées de production
et ···u.,~"Mil1té fe nt bor' më~~rJ~r.. r:iJ l'nrl ,P
cinématographique. Le retard pris dans ce contexte pour l'attribution des subventions concernant les
s'arrête QJ.Vl instant pour 'l ' c.Jx
cinéastes lauréats et mentionnés des éditions 2000, 2001 et 2002 du festival Côté court sera régularisé
Ces ltet..< ont la dèiiCd!esse dt! ne.~~- voth
dans le cadre d'une convention cadre passée entre le Conseil aénéral et la Préfecture de Seine-SaintDenis. Cette convention n'est aujourd'hui toujours pas validée par les ser\lices de l'Etat. La comple~ité
de mise en œuvre de ce dispositif, redéfini par une circulaire élaborée par le Ministère de la Cullure
prcpusc dèroutc, :JI\.:.orc P.~ .•.
et le Centre national de la cinématographie en mai 2002 incite le Département à redéfinir prochainement
son mode d'intervention en laveur de la création cinématographique.
A • Bedu•.,Jrchais. • 0..1 nous !.UL!ernnç.
l
~... Seine-Saint-Denis
___ ....,
Département de la
cor..sE L Gt"''i:fl.t..
1
ck Vlbrllt lnns. O~J l'cwr.la~e
Emergence
LE Gr·:JUP€'~"1ent N~Hion~l rJe~ C 1C 1 1''"~ tJ c!
~eçlw1cl1e
:.:ir,C rliJ~
'€dère des S<~lles cars 10~1\~s le>
adeS f1lrn s_
c:Qr~L•tP.
il l'm1RJne ;1(1r
S~mdiJm:c
rt IJne
rë•Jexton cc ecfr-1c. en -r-uuvcm\!fll.
1 a ,f:,
·P.xpé·H~l"'ce
du
ln!l.ft!utr.:::k Robf.rt Hedtcrr.J ~t
pJnau'ée pJr GérarJ
r.:t rm\liJtt-!IJrS. ;] dMenc;P df'S
inlqx!llthmh. I;J
lnspin:~:
DeP"•ll•co~
,.,f J<J<:k
t r'l erge11ce est Jne a>soci~\iorHlmlt
le but ~si
~e
perr1ettre ii
~ept c:~' t1uit
jc•ur1cs
n~aliSi.l ,f!IJr~. fr,mçf'ùs et P.trrmgE!rs. d'érJrOLtver
r.e réglons d1rerent es. meMbres du
ku• proJet de ~""''.'"'lo ng "'"''"ge.
Emergence est ~w.anltoullJtl l ic14
forr.e r il re-;t~r...
eroupement ;,ttnbuera ùn prut,, Vl CV
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çlu>icur> 'IIMs<n r.ompelill,n. Ce(\J I Ilml~)
propos1t1ons. C'est aussi Jn ec de Pil>i!XJY.C
ldurcdH>l "''~(m•:l P"~'ent~(:;l ~a"' IP. r..>r.·•
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des tcchmci"n~ btnevo!P.s q .te des acteur<.>
ctaque annee une d•zaine de l ur·p,~
partenariat a.ec l'f\genc<: ~ J cu urt rndrd~C
t:è::lèi.Jrc:,. UU i n CUPliU':i.
mP.trrlgr.s. elu 1t> t1o1,raine de c:o~.t~b
Celte ~ ·Ill.~ 0'1 r.ans un réseau de salles
f dc.e
rndr.,~otc!..
ildherP.nt"" ".r GI\C~ !avor se la decouverte
FTer~enc.e O*te" '1Si un lteu c.JC
nous
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>or·wte> ttcur<.>ux dr.
p,J<;~t:H
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tout cel,~ et r1ous
p.1r1~ger
t1epu•s
q LielQues iH'"1éc~ nc1·c: ronv1<:fi:1n ;wF-r.
les respors~otes d ~l re>!IVJI Cô:c~
A.,.~oôfJtWP
10
GNCR
Association Beaumarchais
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L..t,tia
Aides
Le Conseil général de la Seine-Saint-Denis
dans le cadre de la compétition française du festival Côté court en Sei ne-Saint-Denis. Ces cinéastes
ChariO$
Reavrnarchats
murt.
1e JU'Y GNCR comp osé
d~ ~JJ:•c c x~lu1t•·•t>
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al'espri! de Ct>~IP<!!(HOIIrl<li(<!.
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tk IC::L.'lC~ a\J,eurs et. r:ror;tc-P ;]Ul< ~(:t"l~ rCP.S
tr~rt)mss1on
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J 1 IJis me Rallv. 75009 P,1ris
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N'\IVW. c!mergenc:e. tm. fr
Prix du jury de la presse
Dio~crn~ ~d r ur\ j ury de la pres~e.
daté par
ari'P
Cri:è COtllt!l600 € au réal•sJt eJr] et oar
LTC 11600 € de prest~t•ans l ~bor~t,, re).
PriX de la jeunesse
[~~rnP. Pil" un jurt c u m~é tJc ncu( jë.Jres
du cCpi.rlcmcfll ~~es de 16
Prix
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Grand
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Côté court
OP.çP.rrP. par un.<~') de pro'•"sionnel>. do·c
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Seme·S~
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13 000 € er• pell"ulcl cl TechnovislOn ( 1 600 €
en locatior• de materiel ~e tav•l'age carnera
3!:>mrr)
Den•s 11 bOO € au rP.a'·"'~"'•' l P.l nnti!
C<ninter ( 1 900 € r.n or.al•o-.. de ma tc·tc
ci'P.r.larr.>&E!}.
Prix du Groupement National des Cinémas
de Recherch e
Décerne par 'e GNC~ a <Hl
o.• nlu<iellls fJi!T'>
•
en comp<>tr:•on. C:P.{s} frlml~i laurl'>,1t(sJ
sera(nniJ :>r~scn'e[s) dan> le c.>drc du
Prix spécial du jury
Dêc:cmc p~r ur- llJry dE~ prolc~~~Œ H'I.!b. dutè
par la V r~ d• "antirl ( 1600 € au réal•sateurl
et P<l' LVT 1~ 600
€
~e presta\lan~ sous
t•lr~g<>l.
Dét.:~rr"lês pc.H
t..'lf ..ltY ck ~r:.Jfcs.s.lo:.mru~h .
Côté cct.rt (7 50 E chacun].
Prix du public
O~cn• c par un vntP. ~ .. puhtrc. dolo> ;:>or Côt~
cou•\
.. Une heure lout t.:OlJ'1>~ en
~Jr:cr•.r 2:
•vcc 1 ~gence du court r'1étr.lge
1.!\U !UBTII.I~G
Prix Emergence 1 Côté court
Ce nrix. :lPrrT'P.t nu laurêflt, A 'O('r.ac.,ton de
Prix d'interprétation féminine et masculine
doté~ par
d 1 s.pos.1~'1
11600 € au r~dlio;,11P.I,rt e~ '"" Crnrntr"
(1900 € e•llocull<lfl de rr dlc;·rr.l ,r.,c:l.mu~c].
~wn ~rnJet ~e
pre n iN long rrctrdY.C. d'ê'n:
CdrHJI<JJt f 'ld\"tc lo" d 'une OrOd•~ne
sc~'li un Emcr~t.t.:n.:c.
Prix du meilleur scénario
Oans le c.adre des leclurt'S dP ~r.•r~ nn\
Pilrr~ mi\e' par A~e .
B"almMrc~a • s
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Dnlt par 'A>soctiltiOII
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AOUI Y AHORA
l'AOIE U AU PIRATE
POUR SA 12• ÉDITION, LE FESTIVAL COTÉ COURT A SÉLECTIONNÉ 25 FILMS POUR LA COMPÉTITION
NATIONALE PARMI 350 FILMS VISIONNÉS. CETTE SÉLECTION EST LE FRUIT D 'UN LONG TRAVAIL
QUI NE VA PAS SANS HEURTS, NI TIRAILLEMENTS, CAR QUI D IT SÉLECTION DIT CHOIX.
N o u s attendons d'un film qu'il nous étonne et nous ravisse par des instants de pur cinéma
des chemins non balisés. La mise en scène par le travai l avec les acteurs, le choix des cadres,
où en totale indépendance et comme en apesanteur, qu'il nous suspende à ses lma&;es. Le film
la justesse des plans el des du rées r évèle plutôt
prend corps quand le cinéaste accepte d'être lui-même surpris par ce qui naît devant ses yeux.
cinéma, lieu du mystère et de l'expérience, révèle mieux que tout autre art la face cachée du
Au-delà des genres abordés, des sujets traités, les films de la sélection sont liés les uns aux
mon de et des êtres.
qu · e~plique
et suggère plutôt qu'expose. Le
autres par des relations subtiles dans leurs démarches cinématographiques respectives. Les
Cene sélection est comme chaque année accompagnée d'un panorama de 20 films. Ce panorama
cinéastes de ces films ont privilégié une écriture cinématographique singulière qui tend à
n'est en aucun cas constitué des •recalés• de la sélection mais vise plutôt à la compléter, à l'enrichir
s'affranchir du carcan du scénario, qui prend des risques avec le récit et nous entraîne sur
et à donner un reflet de ta production des films de l'année.
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JUAN PITTALUGA
2002 1 35 MM 1 1.85 1 COUL 1 9'
ANGELO CIANCI
2002 1 35 MM 1 1.8 5 1 COU L 1 37'
Réalisation, scénario : Jva•• f'ottaluga
Réalisation : Angelo C•:J••c cir. ArtMPOIJ.
m~r~
Lund• 31 mars
à L4h
a 20h15
Jeudl 3 avril à 18 h
121 rue rl'Ahouklf. 75002
Samed• 5 avril à 22h15
p.,,,,
e-r!IJ 1 : .u~n. po!fa .Jgo@hotrnall.corn
Production : L'~' F1tms du RJ!
3i.>. rue de Punlf"'"'· 7~ClOa f'JfiS
TP.I. : Cll ~6 59 93 61/ rax: 01 4/
~,gg
01
lmare : N1c.o a> Le GJI
Son : P<Jtrirk Genet. Charles
e-11~il
: kiHcprodur.t.ons@war,Jduu Ir
DEHORS
Montage : M•rine
H[liER CISTERNE
2002 1 35 MM 1 1. 65 1 COUL 1 28'
Interprétation : Jul1" GayP.t.
Réalisation, scénario : .!Jst•n Taurand
?4.
1~1hau!t de Mon :Jiombcrt
3, rL. e 1éon Dcl1·urr" r'" ' 750b f' ar•s
T1\l. : Ol 48 28 89 03
Tél.: 01 4:? 25 30 27'
BPnveni~!~
Filmoaraphie : Pre11ie• f1lrn
Réalisation, scénario : Hé oc• Ct>lern"
<:-r~;lll
229. ru e MarractP' . 15018 PJr ~
Tel : 01 42 26 41 .:1~
Production : Le G R.E.C
14. rue AlexJildrc P~rc.! • . 750:0 Paris
D;,ns LJrt salan. u" l mrnrne r.:1conte :
TP.. : 0 1 4·1 89 99 95 f [iJX : ()1 44 8'199 94
Son p,c~s lc ,1 lui n f.!t,JJ t-rJ pas pr"v" d;; ns
Image : P•erre Weité
le
Son : Florl!ol Ktn<:kenbring ,
Malh1cu
Oci~~IRr"'
Montage : Thoma> Marcn•nc
Interprétation :
M~l(uy.
Hugo. Go. y el
H éh~ ·
C sterne, M c~e Cubur1. Bem;mt.l" '·~ · ' "'·
Jr.an-M;,rie
S~mille.
_Llten M 1ruu
Filmorraphie : f'rernier l llrn
p.f so.-1 fi1s P1erre dans urw rrt,Jisorl t.'>oiee
rw n11lreu
d?.s
bolS.
Url jcur. urt
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;Jrri v(! el demandé qu 'on fe c,Jctw. i 'fy;f,,rrt.
s~ut. tloit prendre une d2cis ion. O..·hm~.
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mer.ent une
s.. femme qui dort !ldll~ f-r chaml:v~ a côw
se reverlle el vi~nr lui dir<: '':r: caucrtemar.
L'Jwrnmt! la r;.:ssure èt Id
r~cil
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r'" r~vc >QIJi im :te q,, ?
rrr.
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f' r1~il
bJ~ue.
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Montage : tl<rrbarJ 8dscou
' fax : Ul ·! 9 23 9-t 77
: ve nd~tl a'llr'l')tJl"otm()ll. (Qr'l
Image :
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Son : Lucien Bd bar
6, •uC DCSiliR'"" T~ll Pars
f él · 01 49 23 94
Sacrebleu Produdon•
lmar e : Frl! dc••r. ServP.
j usllnt~ urand @y• huo.f r
Production : Vende:ta f1IM>
Interprétation : Gerad•ne Pailh•:.. Enr. Savill,
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S1lhon
Filmographie : Mn' qlMf'P. M~ro1ére; vul""'"'
f JXj<I(CI
l. L"' V1e cx ,ùur:;
Son : Laurent Sclwartt
11998l. Le Ca:u· nd Ci m
Montage : Mc;rg•nne Sp.1CJ61ld
1!9991. Sens ~~S~J:. dt>ssous : la
Interprétation : J '''" lluçi'Js.
Man~ R•v•. Rcm1 Bresson
noire (t'OOI)
Dans r;r,
v!N,Jgt~ corse.
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Cesdr: uri
sor1 pelll garçon de c::nq '"" a/leim d 'une
dt:lolc:~r:t:nt.
Alwc•. A •otS q uè ses parenl!i
:.; pla;w r/ 1rmlriiine dans tme mar:>an
~1uee povr 1i!te. A dt:f,rur cff' pauvorr
se
i)çJflfY:
•ls font l'amour.
~e
t-~our MJntl, fJ vic. tourne autovr d~ L.rwrenl.
Filmographie : Frcn1cr f1lr~
r~nc:,:.ntrc
M1c/1el. ouvner awicule!. VIl <rvec sa femme
14
M1c ~aurt
DERRIÈRE LES VOLETS
JUSTINTAURIINO
2002 1 35 MM 1 1.85 1 COU L 1 25'
222. r ~r. elu fbg Sa'": !kro" 75010 Paris
Tet. 1 ~~~ : 01 4€: U f l:!7 74
Scénario ~ Stêp~1.u1r. Krl7tmr_,,,ar'
Co-production : K• re; f'rod uf.l1ons
45-~~. 'l.e de la Mar~ . 75020 P~ris
TL~ . : 0~ 58 ~3 ~~ 00 1 tax : 01 59 53 ~~li:>
malformation de na1ssann: lir~e nvrl.
r a uren! dec~e. Pourtant le lc:f"clemam.
f a r;renl esllou;ours wvant ..
L'ADIEU AU PIRATE
Pantin
SIMON LECLÈRE
2002 1 35 MM 1 1.66 1 N&B 1 25'
Lundi 31 mar>
a 22h15
Vendredi 4 avril
Réalisation, scénario : Sn'1Qn 1er.lere
a lSh
:o brs. 'l.e des ~n"' fl"t,;. 4~000 OriP."""
: ç, ·rn.,,
~-"r,~
Samedi 5 avr1l il 20h15
•~r.lcrt-:rë_.(~ltcm;Ro-procLt.:om
Production: A :tor E;:u PrudKI o·r
283. r JO de> Mur "1>.
4~000
Orléd"S
LA CHATTE ANDALOUSE
GERALD HU STACHE-MATHI EU
2002 1 35 MM 1 1.66 1 COUL 1 48'
BOUCHE À BOUCHE
AQUI Y AHORA
T~~ :ta x : 02 38 70 D9 38
Réalisation, scénario : G.,r,Jicl
ALEXANDRA LECLÈRE
2002 1 35 MM 1 1.85 1 COUL 1 7
fRANCISCO LOPEZ BALLO
email: in•.J:ija !e~"ego prod.('.O.,,
H lJ iftKtH~-MiJthic u
2002 1 35 MM 1 1.85 1 COUL 1 17'
Image : Mati' as Ho7pendow>ki
8
Son : Fr~ni'r\c D•\10. Fn<d<:rrc B " "
94:20 Fcntenay
Montage : Ctr~·llc ~~jo
e
Interprétation : Michael Hal oJ·rr. Sm1on
Production : DhMofTl'<JiiJ
Réalisation, scénario: J\le<an:lr~. lec:h~r~
Réalisation, scénario: F·ancism Lopez l>allc
llO.
•.:.lu
Rerces. t:.l)06 P;o·rs
Tél : 1! 1 4q ~ l hO 4~
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r Je cie
rna1,:
.=!IP.XlJ'1:1rrt·lr::~~!m'ft!wi)l~t1:1oo.fr
Co-production : Le; IJirn; Zcr'
33,
rtH~
93210 "" P/c;,ne Sd>nl Den•s
IPatl : r.:r·nt.:lrf@ ~s.tilrnsrP.n.r.ni"T"'
IC I 3
1.3.
·t.f. Yvf.'~\ Tc>~J\~tc.
m.: 01
~.:-n'i.1
:
750l:J P•.H~~
44 52 55 90! tax: Dl 44 52 56 91
lt:cJ@fr~~.fr
Image: Lac~renl DariiJ1d
Son : Nic.G 1 a~ P'I:''-'05t
Montage : !l'ath ride r:or.< •r
1nte rprétati on : Arc~X<-l r1dr:J V;~ rJCc•ttou\.
-1-:'ilt\rH: F::~Jbcrl
Filmographie : Prcrr·•cr Frlr•r
Lou1Se vie:1t rendre v;:;;,fe ;j Sd ~c~u; M~Hiinc:
QUI
na bite rc-~rJ;;.
LLD.
boul~va•d
Rocl1echouMt
75018 Paris
Production: 1a ~~l'li s
fc.fi! ;.; 1.'fJc' gmn(}C! tlfJI~V~~rt(~
Ma~n~1y
r.-'l'l(lll :
'.lcsafl,d?.:ft.:r·li'l.fr
SeYg,~.
~"un
dan~ l~me
(l'l'l'l)
25 an"i. !:O.st rJt.' mtour le. temps
week -end dans la petite v.Jie qui la
Il y retrouve Rrcllard. un amt
Image : J..rlicr Dudle>·le
Son~ Scbastie~ P1erre. ~rP.rJÇ:n("'jue Hcmm:h
liLJ granL1ir:
Montage : Sm'OI1.,3Çfl'-"~
1nte rprétation : JRroo mo Bor,:. Mu ·11c:a
JO ans. Rich'arct n:a/(nnaisrzwrté t,J vrlN:.
li r.·.-:·1 au;nurd'h11i crii(J/oye mwJicit.Jd/.
JMOS7. h~~P.~"lC:hJE~ Ht::~mit.:'''
mari<' cl ororc dün~ petite fille. Un tossé
Filmographie : U''" lror"'lpette podr H~mon
1200:1
Un homme E'SSiJiE! rie ri'lrouver son chemin
pour aff(.:r iJ MonlpdlitY. Sllr fa ''üllte.
'' rt:nu'ntre 1mr~ ft!ic qw iw fera retar::!er
sem parrours.
d·enf,~nce
'1'3
dt.:) Cdrnères
SOLJS
Bo.,s
: gahteo~noo~Jr
1.1-1~. r.IP. G;1~tcm L.;.lluJ::t•~.::.
Filmographie: la Mort
6. 'Le ~rancoeiJr. r~nu~ Pfm~
lél.: O: ~~41 21 lGi 'ilx: 015341 O?!lO
PruJll'tu•t,
-e. : Dl ~9 Il bi 60: ta x: Dl 4'1 11 6!J 4~
~
'~elu!.
b1~. ru~
qu'il n·a plus cro1se depu.s
s ·esr creusé entre eu.x. Malgré eux.
!}2210 S• •ri-C ~v~
Tél. : 01 41 12 20 ~ l ! ta x : 0~ 41 1~ 7() 4/
c-moil:
d~laram>ala@dharam>ala.tr
Image: Aurélieo Deva1rx
Son : Pierrf!- Anc1rf!. 'r':)(Jrl Du rna~
Montage : Fmnçor:, QJrque•c
Interprétation: Süp~lic Quinto11, Bra1ca Li.
Cedric Grnro 1, Clér11ence
Filmographie:
M~ssart
LTnre~istreur
(!()93;
PoJbelles i 19%). PP.". r1e v•r.he. !20CX1}
Swu• Arrf(éle eslwle jeunE rEiigteuse
rfj peme virlF."'l el un ans. Le man11 matin,
elle vend, sur la place du m2rche. le m1el
rms en oot par sa t-omrm mauté : [cs
1(
Petrtes Sœurs de 1<1 Courmrno' r!E(Jirl,.\. •.
r>ws. l'aorr·'s-midl. crJ .~r.·cr'CI; elle rejou1t
tf.'l/(.'lHIC
hmnmc dans un bungalow
rfu tJ&ra d•' rn er.. . cd' sœ,Jr 1\ngele
a etes pra tiQues pas lrès ::rllhcliq I!SS
.
15
)JI Pantin
SEULE MAMAN A LES
JULIA ET LES HOMMES
Samedi 29 mars tl L8h
YEUX BLEUS
Mardr L avril à 22h15
ERIC FORESTIER
2002 1 35 MM 1 1.85 1 COUL 1 29'
THIERRY JOUSSE
2003 1 3~ MM 1 1.85 1 COUL 1 32'
Vendredr 4
~vril
a 20h L5
Samed1 5 avril à 18h
Réalisation, scénario :
Réalisation : Erir. Forf!C\trer
2. place Ac.olph., Mox. 7500'l
P~r.s
1él. ' 01 49 95 97 17
Production : Le> Frlm>
Scénario: M2"d An·ehr·e
40. t~Je de Parad1s. 750!0 Pan~
Production : la F er1is
Tél.: lll 55 03%
&, rue F•iJrKoerJr. i~0;8 Paf1s
Td:Ol5341211G;fax:Ul
e mail : l.lc,,lgc@kll~S.fr
~3-110280
Image : P,ltricia Alarrd"io
Son : 1oie
Pornrniè~. N1c.:ula~ B~nNct
Interprétation :
V~lerie
Llréville,
D~nièl'~ Do ~JI21 . .IP.~n-IJt:~rn1er
Harbin.
Sébastien P<y•·•
Filmographie:
PETITE LUMIÈRE
ALAIN GOMIS
20G2 1 3~ MM 1 1.85 1 COUL 1 15·
L~gc !er·~re
!2001)
Ld au:re rie PiP.rre. (111 enfant de seot ans.
est de re/our r:hrY elle aprés w1e breve
Réalîsatîon :
A~a1n Go1"'1i~
LAURENT PERREAU
2002 1 3S MM 1 1.85 1 COUL 1 22'
Image : 0 v cr Ch;n~·lhon
Rêalîsatîon :
LtJ.Jrr.,..~ Pl':'rrP.~u
L:~urer1t
Production: Mrll<: d tmP. Pmd.Jcf o~s
Production : 4 A a
42. rlJP.
Tel.: Ul 47 70•14
7Qtf~':
0147 70-14 li
Image :
A1~pén~, Dt~vd ux
Son: Alroune Moow. Bnmc rlP.rla·d
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~~~ F.11.~owg
ril~rJr.P. Hrc;lJin
Tel. : Dl 53 36 n 88 r fax : lll 53 36 73 64
En ln~ r t.nf~ c:onvr-:r~atio:T .'-;LJr 1.:; seduction
e l"'lait: quc.J~r0.=.HllJrltm@yt)hOo.tr
et des mornents de sa vic~ intime. Jutta ta~e
Image : Pénélope Peu rrliJt
J t'amour et ases contrad1clmns.
Son : N co as W"clikow>ki
Montage : FatJrice RoL.aLJd
Montage: 'iat11al'e ll11bert, Frd'IC< Lilkilctle.
Interprétation: M ç~z Lescot. 1\le<ilndrü
ie méme prënom, les méme5 vêtements
1~ ~ron Ndr~ye ·Doss "· t,wd ML"'Y".
qur! ~a mère. n1.c11s c ·esr manifesrenlent
r.o,Jmt'lrJ Di(jrl.::JnkrJ.
Filmographie: O~"''~ ~-~~~" photogrzr-~e
une m.t!rt! fnmme. Pourquoi Pi?.rrt2 est.=!
Filmographie : Tout le< monde pee: se
!1~198}
re seul ,j s'cr1 n~nr!m
:ro~·~cr
1\n~t:JcL Ar:;~ttu~
DmnrP.. Sabine
H.J\.lGt~~ir
119981, Tü1Jrb1llons !19\l\J).
P,wl. 25 ans. est gr:Jrdien av zou du Jardin
des p,·ar:lt'S. Ji rm:·ne une v,e paJSible ''
D,af...ar. SenP.ga!. F;JtlmcJ e.st une pet.rte
."'i!lsiar de son amrr?tJI
lille de 8 a11s. fn OiJVrdnl el fermant
Ji a remarque Julu:: qui vil~nl
re rëtn;:eralcor.
!~fie
sc rJemcJnde
5; la IWT11t!re reste alium6·: lorsque la porte
se f12ferme.. . Llle derouvrr! que non ..
P~ulippl~ K;.Jkrtm~
Filmographie: Le 1u~r d" Nne 119991,
Noo1 cie cede : Sact1a 12001 l
Interprétation : A»y F•lll. Dio•ol Mbcng•••·
ILM. 200!)
Son : Ceci rie Delone
d11 Te•npl~. 7~0ll P<ris
la femme qui se presenl<' ; cil" pmtP
l'r\fr,Jnce
03 96 40
Interprétation : ./LJira faure.
l·'~ris
absence. Mais P1erre ne f(.'c:onmût pas
1':~1mr:te?
~6
Montage : Albar,e Pénararrda
48. rue de Paradrs. 75010
P.-mari : mlll~~tunP.@aol.çon·
:lü i f~x: 01
e-rJiall: tl@m;J(lr:inpr..l~krl.lr
Scénarîo :
P~r"
HdliJP
HISTOIRE NATURELLE
], rue Saint-Bertl"rd. 75011
Montage : Cynl l.r J!t- y
16
T~ierry JoLJ;,,c
15. BuJI"varc; ~P.Io Wlet!e. 75010 Fdf\S
Tel : 01 ~zoo s.1 os
(cHic:~lt:!.
le paresseux.
ffm;.~mer .:Jll
/no cfeows quc! IQdeSJOurs. Jlnrc a-r-f•fle
r~~mar~IIH~
Paul qw rt!cupè.re ses 'i.Jruwliw ~~
(1t~ d!~fi~m :Jprt~s
sor. d-::oart
7
.
n~tn
ii:··
--
LE VOEU
Pantin
D1manche 30 mars
~
Vendredi 4 avri l à 22h15
~
...:.
~
MAHER MMOUN
2002 1 35 MM 1 1,66 1 COUL 1 26'
a 14~
'i: •
Mard i 1 avril à 20h L~
Réalisation, scénario :Mdl c• K.lmoun
CARLA
B. avenue Lr.oru-Rclhn, 75012 PMIS
RIMA SAM MAN
2002 1 35 MM 1 1,66 1 COUL 1 28 '
Production : Magour c Productions
9. u e de
Chgna~court , /~l!l
f'•rJS
LA COUPURE
Tél., 01 53 ŒJ 93 10 i fax, 0: 4? 52 35 4fl
NATHAliE LOUBEYRE
e m.ait : m;;tgotJPr.eeil5>ynet.rr
3~
2002 1
MM 1 1,85 1 COUL 1 20'
Réalisation, scénario : Nalh~l'" Lcul:~eyre
:J8. r\lc
~e>
V1gnc•les. 75020 Par<s
7é. ·Dl •13 l:i 4(1 ~(i
e ma1l,
Production : Sr. n•a r>rucludJCm
:2-14 . ru(!
Son : Guilloumc VJie lx. LOIC Mor• oa~
JEAN-CLAUDE MOIREAU
2002 1 35 MM 1 1.66 1 COUL 1 22'30
Montage : Stépl1an1e 1\raud
Interprétation : KemP. Houhi7a ,
R~nh•ëlle
Ev1a.
Mo~ldrr·rcd
1\mi
Filmographie : Prem1cr f1l rn
ser-ia.prcd~wa11~ctoo .1r
Image: Joëll
~h•l
Son : JP.iln-M.me Bkmclr. . Nic:c "' NJcgdene
Montage : Nodule IJcrcJJCr
Réalisation, scénario:
r.lr. lP.s
Pr<xl u<:ll or\~
J~•n·Ciau 1e
:1<> l'Amour Fou
Production: Le> Production> ~o I'Arn"'" Fou
grand" surfdcc. Il eprouve SC'Crétemen/
Image : r'~"" Sto»tw.•
Filmographie : CrèP'le
tif:s sr~nti:nents pour la jeune vendeuse
Son : Frd 'Il'"'~
rie fa pl!armacoe du centre commercoal
Montage : Cam1lle Culle
à qui ri achete regullèrement
lnterpretatio~
Gu1llour1~
:
M~r e
Rous!>eau,
Cyr le 1houvenin
Filmographie : Prem1er hlm
Jea' C la~de Bonil•it
1/ cs/ incapable de l'aborder. .
(lflfl9l
C: r:>st 1l'liver. Une lemme seule prend
~5
00 21
OP.~euz~s
Con~<;. EI1~Jbctl•
Ma/gui c"~ nom !Jfl:us"' oppor/umtc...
Filmographie: M.A 1i!l87). Fr.,l<(rncnt•
: 01 43 45 15 25 1 fax : 01 43
<>·nail: ~"'"IT\~fl lins@onl r ne Ir
Image : Air La"'o~t
Son : N rcola ~ waschow,;ki
e ,.e". laelllla.p·nd~noc.,.tr
des medicaments pour 'iJ mère
~nès S~urd1l'or .
1n1pa ssP. MO\*~M! ~. 7~12 P~rj~
T~l .
Montage : !>nphiP.
1tal>ib (30 ans) v.t tou;ours che? ses ()aren!.; .
tl trav~,me iJV rayrm paissc)rrnr:rre r1'11rU:
fla<r'l'IOv Gra1J. Gt..• d\lme Junot.
Interprétation:
Mw<>•u
Production : Sés.-1me F1lm•
'2/,
24. •uc rJe Pe"tl11èvre. 75008 Pans
Tfi., Ul4:>l1 1 140::! ft~x ,(Jl45bl 14 0/
k"tn·Jd<.:~uc~ Rt.:lJS!.t~~LI,
93 ~00 fl.'unlrcuil
Të. : 01 48 70 02 02 1 Id~' 01 <R\10 07 20
e 'l'êll,
Image : Olwi"r Cll.mJ:>Orl
DaoLJîa Merrr~t". AmM Ben Ahrl~H~h,
nathall~.l~i;t>eyre(!'!·wm•<!doCl.fr
Réalisation, scénario : RiMa Samn•ar
cio Sés~n1e r,,,..,s
SIGNE D ' HIVER
Interprétation :
b~bdl" G~r•r~tl,
Rodolphe
CatrO\IX
et cremailllérf! 11 999)
Car/Q est une jcurm C/udiantc de 24 ans,
fuy;mM t'/ ,;olili!ire E.J/e est fan de Rcta
HiJyworth. i!ime parler dES cruussures
J talons. menage les hommes qu;md e lle
les qurtre el entret•ent une rei.Jtion singuliéie
et E!ll[lmatique aver ~" Vlll.,inc de pa11er.
en stop un jeune homme. Une retatu:;n
pdrticut,er~ s·rnstalle ...
Soma. c:aissi2re d<Jns une grande
surfacé. erre dans 1,1 7one ccmllrterc:'illl!
pendant ses deux
hn11rc~ clf~ !~OUJl4HC.
De superrnarr:Ms r:rl r:ai<!ICrrJ. de par•'lilfiS
en vo1es
ferrr~~:~. dé~ hrdr~llc.'~
tl ~wtoro~Jte en
lliitcls d'Jflaire.s, elle mamt1Rnf Je licrt. par
/elepnonR. i!Vl'<: ~on/ils . rentre d" rollége.
17
))) Pantin
LES CORPS SOLITAIRES
Lu ndr Jl mars à !Rh
PIERRE LACAN
2002 1 35 MM 1 1.85 1 CO UL 1 15'3()
Jeudr 3 avnl è 22h 15
Réalisation, scénario : PiP.r·e 1 ac•n
r.lo
~.·e1cl"
ToJch
20()2 1 3S MM 1 1.85 1 COUl 1 21'3()
fel.: 01 4S 11
..,,
AMAURY VOSliON
2002 1 35 MM 1 2,35 1 COU t 1 18'
Image :
ENSEMBLE X
A.ek~ ·• t,;cr o{;J•Jt,;,.,r
Son : Sébastien S•virrc. A:t:x" f>IJri'.
Flnr<:>nt 1avallée
OLIVIER SËROR
2002 1 35 MM 1 1.85 1 COU L 1 20'
Réalisation, scénario : Am• ury Voslrcr
Montage : llomir qce Pëtrot
Réalisation : Oirvier
Interprétation : V• ler e G<lbriel. Pte•te
1~1.:014::!14~965
Ld~arl. '"'" de F;;odor Atk'1oe
1 ;;;~, •ue de~ Ccuronn~s.
IP.I.. CJl 46 36 32 73
Co-production : Magr,!rc,lt r.orr·>
du F;.wtlodrg Po1S!J.0'1r è1e.
Filmographie : Cornbtf.n '"
m·~ in1es
( 1999:
Sommeil profond 120001
75009 Pdr >
Tél ; 01 53 J4 19 941 filX: 01 44 19 06 B6
UfiC jcmm' femme rêve cie trou~er enfm
e mait ; magn1••c:at fllrthttw(madoo.fr
son prifiC~ c:hiJrman/. Un sotr, pe/ls.Jili
Mar~ Hlrn~
fe rencontr~• en
22::1. "'" ~e Pan>. 93 100 M~nlrcuil
Tél.: 0~ 53 728400
J"o·r-Pao~l
Son : Shorly. Jul11:n Rrper!, f ~Il' L•lurent
Montage :
Jedn- ~u'
TluHnas
per.;onne d'11n jevne
homme. eUe vd finir la ouil t'Jvac ltn.
M,,is peM a petit. tous rJ'ctJx s<>nl gagr11!'
pt; r le H
Agns!111
~~
au.~,..,;
m~Jr a
dire"· et Je sir~mce s't'nst,JIIe
t.•ntre r~wrs corps. ..
~ie ror
Scénario : Oli"ier St.:h.:· tf:J:Jrr.:o;, unP. rtêP
1~010
Par.s
tma2e : Clvi>t(til11e Ar:""
Vt::rœlÔP,!. sw~se
Son : Emmil•H.P. Vtllard. Tl' oc•ry H.JVdr< f.
Hardm~•?.r
A t~XrH'iln~
Ahr~r:"'
Son : Je e·1 S1cort Bt1Htr1 Re•l,lnC
Montage :
Err--~a rHJe lle
Montage : S.:.raf1 Atlccr>ul1
Interprétation :
A~ ""'
. ~b:-.e
Sollrd tllno.
Filmoiraphie : 1e~ Asstè~:es i 19991
TR•.; 0 1 47 70 2:
t:-·na :
;)9 1 '·lX;
R.<,c:h~l.
Mrrtchc•v, Si!l>r ''" ZcrkotJI1P..
Sur ki place d 'un m;;rciJc victc. une femme
01 47 70 25 54
·• 1r.s@b.:l 1 tl1aLor~rod . rol'1
~3
r"x, Dl 40 IH 02 26
Les Eleclrcn> 1 orr.' f 1C)Cl<)l
15 ans, est amourettSc! rJ Hc~rvc!.
un (C:llrtr! !yc:c!P.rt . C est cf,Jr1S f'rSCJit'ei
rmrkJSSe les fr(Jits el légumes qw j<mr:11ent
de sor1 rrltrm.•ulil~ Qt,-rls se retrouvent.
'" ,·ot. (ltles met dans son cab.Js. On r:~t
lon di. jour rtu marcf1e. En apparence roui
Gab'i ell•,~rn~:r
s ·embrassen! el sr• r/l!çm;vrenr.
v.rJ bien dcHIS l;J vie tf :Anna ..
Montage ; fr.n•;o' OtJtquerë
f-Iente lui p ropose rA: lrJm! IJfiC fvgue
lma2e : r
P.TP
Stoeber
Son : Pit..!rrc: A·1rlre. 1rançoi~
Interprétation : 1"-dbdlo
Mt4~,y.
fO~lO
r.~tal~o.
de riviere td}·lliquc pCJur piqu<'·nique' Mçts
dé.s le dÉbu t quelque ch os" c/ocr'''· Pour
l ou. fe malarse 5<' lrans /CJrmc rforJC:cnnent
en cauchemèr.
Une 11<1it.
en Normandre ..
Bu
Lou el rnom.a s c/u:rdtt"lllm peltl coin
rk f"rre ...
l:JJ:IIc:.
Filmo2raphie : Sem !OJr 3 elle 119981.
... cl (.Ji v.1 1frMitage 120001
tremb/em~nl
Vve~
17. rue de r EciiiQIJI@r. t~; o Paris
Filmo&raphie : Ur lege• diffc·P.nl i1 99!!).
• ri y a tW un
ret.. F.lms. ::I1P.IT1" de P'a1e1tes
;!5. rue
Production : 8alth•1ar Prcdcr : cr >
C:hri•foilhl? Gauthier, Hélène Mrchcl
Je""' sars plus ... Qu'L'SI-ce qu<!je fi;!is iç• ? •
hur~@t~botJ!x. ~"r·•
Ms er
Filmo2raphie : 1tl l rorsiérne œil (200ll
18
Té' . . 01 40 18 72 00;
:
1-!aroilbé l'erro:ey
MasXJro. Ju!ten Bois,cllcr. Jullr. Fm,,,. "'·
Um~ iJPf!<mlion
c-r1~ 11
der Br.rg". StP.(l1ar e 5ok01t'1'ilo. C.wllk· J,Jf>;-
Ma•r. a Oi
Un p/1o/o;trapl1c. .
'ax: Cl 4.l 74 93
. a xrtpt.tw.:;nc.~doo.'r
lnlerprétation : N1r.:t Me u~~ ~~c. Cl~r"l?nt v~ 1
~ ' l""ud r. c.11~1an
Interprétation : Mar e t>aycn. Ora7to
Une journaliste . . Un petrrtre..
t:··n~l
h11'1s
Production : 'JI')IJ euc •ovisu~l
Image : rtru•llas
/~0/0 =-dr"IS
l~!ln
TP.I. : 01 4:l (,5 52 12'
:->0. pJssage a~ 1• B•J'mr. G•arno. /!:>011 Pdris
T~l . o: 49 79 ~5 50' 'ax : 01 ~n ?'1 4C. 10
3973
30, -...e des 3 C\urnc,, 75011 Pa·"
Réalisation, scénario : !\ ' De Ma ~'-'"
( d'~pr~s let r~t.ll4Vr. r. ne StSè"lre Tarnaro)
n . ru e (J (!é''IO Gêrarcl . 94300 Vli1Cel111eS
1[,
Co-production : T.Jb:>
Tel. i l<lx: 0 1 4R 7R 39 titi
e ,,~il : prcrrc!dca,@hntmarl.com
n:J
e <1o"tl : frr1<'rr'KIIJdrœ!lr.nl111e.l r
42, " -" <1<> lloc:hecllOuJrt 75009 Port>
TROUBLE
~IFI01C !tcl
SR. r.1e ne la Conventiu·1. 7!:>015 Prr s
f1lr1'~
Production : F•ei1C:h TOLlCI\ r
Image :
DE NOUVEAU LUNDI
ALIX DE MAISTRE
2002 1 35 MM 1 1.85 1 COUL 1 22'
Réalisation, scénario : rrdc;•rr.
Samedr 5 ovri l à 16h
~ 1 . ~t.r.
L ' ESCALIER
fREDERIC MERMOUD
1
"~~
.. . ._
.
'
/~
-
Pantin
0Jmanche 30 mar>
Mardr l" avril
a 22h15
a !Sh
Jeudr 3 avril il 20h15
A BRIGHT INTERVAL
Samedr 5 avril à l4h
EMILIE LAMOJNE
2002 1 35 MM 1 1.66 1 COUl 1 12·
Réalisation, scénario: fr1ille 1 Jrrorre.
UNE SAISON
PIERRE CRETON
2002 1 35 MM 1 1.66 1 COUL 1 18'
REYNALD BERTRAND
200Z 1 35 MM 1 1,37 1 COUL 1 8 30
Réalisation, image, son, montage :
Rf!yrmlc
a:.'c ..c
B~rtr~md
Tt:l : 02 35 28 83 65
Image : MMi" Pa tevn·
Tél. , Dl 45 85 29 41
Production : AliJr~lc ProdLrtlicns
Son :
Scénario : Axelle Ro pen
2 bis, ,,,e Dlii>Onl de l'[ure. 75020 Pars
Monta2e : Alb"nc ~" Pic"' X
Production: f!ena filrrs
Interprétation : Yaël Perln,~n. Myr1"N Tekaï"
?5. r\Je M1c.he! le Com~P.. 7C.003 P•ris
TÉ'
:UI43G74935
r.re~or.
Jean-Chn,toph€
Scénario : Mathil(le Declerco
Ed~uJrd
Production : Le l;ompte Go.Jttes
Filmographie : Le
Mixage : M~t!lll<>ll Co•r r•
Interprétation : Maric-A11nc Pdu y
lsabe•le Texec•J~
Filmographie : RequierTJ 11992), Un f1lr'1
de
propag<~rde
a11arcl,·,ste (19991, J,,,t (e
Une 1t~11nc lemme tN1
v,c,na [[ 993),
L'flss"1etti
rrort t:'ODJJ
Buw rie
J{)f(!S-111tdi cféiC. deux Jellrl(.'' (i/ii!S,
fo is alors qu'elles aiment le même
hGmme. Elles q uittenlla vi/le deseltèe
DO<Jr v ne balade e11 vo1/ure et s'arrêtent
rians 1m parc au bord rl'IJn etang.
Réalisation :
St~r.g~ Bo.~:,.m
54. "ven wc de
Cl•~i>y.
75013 P"r s
T<:l :Dl 42 74 31 00: '<x: Ol 42 74 41 00
"-·n" : ~dVIJ.II• ur·@~llc">.'r
!mage : Cél111e BoLon
Son: Laurent Gat,iot, Melr>sa
"e~1t 1 e~,
Montage :Cyril 1e.rt~y
Interprétation : Lo,JrF.nl L;lr.o~e. Gu•llil!Jrre
Verdier. St!rgc BuLur;, VI<.H.Jifl' r Lëon. Ax!.:llé
R~pert. P"!riti~
B""Y<.
Chi~!!
bdrJffo.
,, Aucune tentatwe de tJ/mer le Ira vat/ c/1eL
UlJre·Jt Talo•l,
Yves Ldo,,ard 11 'a abo~ti. J'essayaiS par
Filmographie: l'Amitrè {1 M, 1998)
ail/~1.)(5
d 'ëcrrre llfl scënar10, imaginant
une f,ctlotl
sociaux est su1vie par de:s journal1stes
Elle~ t~n
Godr"
"""'!"'·'·
flrr
un Cludiant malr.rJe.
deux milliaires pour le SJL!ver: ses /rëres.
q1 J{.' j€~
Ou encore: cornl!die mustcaie ' malade'-
c1dapfee â !a
'Jn(~ amie~.
s~toaftOl1
rac(.lnftJi~
ma
à
:
Catht~rim2
rr~ncuntrc
avec ll)i.
r·tmrcgislfais et Qt.ie
je ft.av.ai 'I.Jr.Ç i?nsuitt~ CQ(t'} me Url texte. "
fit le
R~pl1aëlle
n es! possible C 'es/ da riS re/te
ÇJi~JS
im{:Jos~it}/l!te
f(..YnO i,
p 2 L scrrJp~Jfè'LJX.
Pto•na~
M1clrel/e el Kim. se rencontrent pour la
(l999!. La Tournée 12002). La Vie après la
de lrens
rupturt.~
sus~wfat1 rns@hotmail.corn
pr~mière
on!Ctm reCtJI
pour 1 ,,~-e~i 1?001)
1 :
Filmographie : Premier 'llin
flm~
Interprétation : C•trl!:r 'lC Pern<!!, Yv<:s
~am br. e! M~"'~· /~010 Par~s
SERGE BOZON
2002 1 35 MM 1 1.66 1 COUl 1 59 '
e rn<1
Ldcm!~iflcr
c-rlHÎ~. IS(J~lr.Hr..~l11ou@w;Jnal1oo.fr
MODS
]2. die•r·m c'E!I~Iles. 761 Il Vilt!ctol sur Mc"
C·r")i:l-11: r•..!ynaldb~rlr<::~nd@\·.·Jr 1 ar..:oo.fr
?6. r.Je
75011 rans
Cre!cn
Montage: Prew
Cct~lpl!~-Gouth~~~
P~rroen!1er.
: emllldCJmoim~@t\utrn"ll.corr
Production : Suspina F .,.,
13. rue des !\mand•ers. 75020 Parr>
Tél.: 01 41973llll'a•: Ul 4548~3 33
Réalisation, scénario, son, image : Pre-re
FLOWERS FOR DIANA
146, over-.Je
!~-rriCJil
diSQli~
raye.
rei.~tt Qu i~
19
Pantin
Samed• ?9 mars à 14h
Lund• 31 mars à 16h
LUNE
HUBU?T GILLET
2002 1
3~
MM 1 1.85 1 COUL 1 23'
Réalisation : H whcrt G111cl
!6.
fliC Ga·ll"'~run.
Tél. 1 fax:
P.-'l'a
Dl~~
75018
P~m~
90 92 5 1
: hlJI>ertGJIIel@wanJd<"JO.fr
Scénario : Anna D• f'•lmil. Hune<t G•llel
Prod uction : BaPdo1co·1
18-20. rue Claude Till1er. 75012 Pa·"
Ti!•. : 01 I!J 67 82 26 i fax : Dl 43 67 82 28
e·mail .
ba ndonoon/~w;;l~doo.t r
Image : MP.h'Jw.l Aksin
Son : J~ri:me. G;Jr do~
Montage : A llf' C M"nig<~nd
Interprétation : Clarl!.se DJ'Iier. NJdkt
RJ•e~tir. MeiJnie 1 eray. Phili>lf)e A•l"\:,r u>~n •
Filmographie : Pren11~r '1lrr
lune. une petite Mie <1e six am•. ·~~.r wlmi~
j SJ m~re n.~turel/e el
placée ciJc..-
"'',e paysanne genéré'use et attentive:.
P,':1s fac1le de se la1sser am;Er tarsql)'t!
mJttqve 11<1 morce-c,~.J de- sa vte.
HAÏKU , ROSE VICTORIA
ARNAUO VIARD
2003 1 35 MM 1 1.85 1 COUL 1 15'
Réalisation, scénario : .4rnauct v ard
C!n LP.< 1001
n-~rr.h,..;
~.VtM<.I@II bcrlysur'.lr
APRÈS LE COMBAT
c-m;lll :
MARC PONETIE
2002 1 35 MM 1 1.85 1 COU t 1 16.
Production : Le; lOCH
Réalisation : M"'" P~n.,ll"
B. re~e dJ ConservJiwc. 701009 P•n>
e •..ail : a .viar~~ltbet1~s._,rUr
16, •ue
Hou;J~n .
n·• rc~c'
75018 PJri>
LA FEMME PAPILLON
N I V UE , NI CONNUE
VIRG INIE BOU RDIN
2002 1 35 MM 1 L.85 1 COUL 1 10'
DOROTHÉE SEBBAGH
2002 1 35 MM 1 2.85 1 COUL 1 24'
Réalisation, scénario : v,rgtnte Oou•d"
Réalisation, scénario :
Il !1.3, 'lie Gros Ge·ard, 59<100 1ille
Production :
Tél : 01 42 5-1 lB 08
Image :
P~<r.~l
Pouce\
P n1ail : n1arcc2507@holmail.corn
Son : J~rf>Me. AV"'"
e t•1ail : vi>Ourd ll1'i1!'T'dt;eos.r.om
Scénario: Mue Pone!te. Patnce .ui''
Montage : A· ar·r. Bo"ftl"'
Production: LP.s
Production : F1ril P.rrer;
Interprétation : Ptcrr<!
19. ;.vc-n.c Gahnell'~r. 'l:-1100 Mor!re J tl
TH : 0 :48 !>l 0299sfax: 014851 !':079
P.c~ssel,
e 1"1Ji1.
willlartl.~icot@f"l~·~·nc·,ta.:um
Image : N'Colas Gaurin
Son : .l••n-ltK
Montage :
A .:.:.e~a\.
Am·e
L<~
r e.or ~ a bou:he 11997)
Un lwmrru' n iJ.rriV(~ (M.r.. ij fair.! t(~ {Jt..•ui1
de sa Mie (ré••llc ou fantasmee). Il cm:
Pe~rt
Errm••nJ ell~ P~nca let
Interprétation : r"tnr.e. Jtliff. (iabri•IIE>
v,,len>i. [r,c L:lr•drctn. Rene
R~ml>l11:r.
G olC)'!) Cohen. Mi-7x flll! Leroux
L1ans fJaris J
ru~ o.n.~•,rtloo.
!~':f r~cllerct1e
.. de son pi3SS(~.
de s~s sen>Jtt0<1S. d'Ln stgnE ~e son
17, rue
59100 RuJ b41X
'ax : OJ 20 Il Il J:
Célt~e B~<On
M~>ome Gdv~udd n
: f ·nmJf'.te e Ga bel
sa,.rre . '-1•11c G -1' er•?., DJihril
K<:s!<:mur•~
Bcu~~
E.f1rn Pcr1 ~
Filmographie : Pre<•tier /11tn
avemr. ... de I~JHnème ...
L1r1 spect<lteur.
,n:o~fl'!J.JHlJ.l.JriJrud.::a•n
Interprétation : V•l•r P. llcniellt. Gtt• dJrre
~d uloiP<
Montage : Serge
hOlO l'a(tS
Image :
Montat~e
Image : Mari1ke Van Kel:s
Marionnettes : St.:.:vl'n De.:
~ IJIP.r,
I"E::h
email:
Son :
c-ma : smr@skyn~t be
Son : l'<rnau<l
1>!:
Sebbagh
ProdL.c1tOr1S
Té.: 01 47 70 21 99 f l•x: Ol 47 70 ?5 S4
<lu Nord
Tél. : 03 20 Il Il 30 r
Ztm:>ky
Filmographie:
49.
~ilms
Dorot~ëe
H~ltl1a1~r
QUJ est une nNJrionne:tc
Filmographie :
VJ\~. v1~c
l.ltSS~1t
120001
Li!lr., Û iil VP.IIIe de noël. Alice VG ie
oc.ms les f.r.Jrl(/\
rn~lgi'Stns.
Ave c ono.
Filmographie : Pr<>t,icr 1 'Il
J hl. npp~wdil tli?Vdnll~<> luws tl~ ;ti.JIJil!
d;: Id Ft:mmt: Pd{>JIIcm. un~ aulrr:
iJV& ~lègdnt:t, c.tvcc ft'1lent mëme. .
f:lobo est bcxCIJI. Ft ce so1r, ri est content.
'""rimm<:llc à Ill d<J.~I •l est .;,-nou~ux.
Surtout pas Pascal qui fr,JVdrllt:
Suus IJ lorce de ses ;1fJpiJuciissemenls. les
ii ra ~'écunté cu m~xJs•n cu eli<: v1cn1
ti!s qui le tiennenr j sa place de spectateur
~~ ~;~;tr S.clriS cornple~es.
If <l gagné SOn CUl n/lal.
S:~ulement è QUOI
r:lle se:t la victoire. ,,- 011 "" ~'''"' (IJ p,Jrldgt:r
avr:-c personn...:? Cor'!lli'lf-'fH:c alors oour
cJdenl t1insi libre. tl ,:ourt re;oindre
Uobc tm& ~nan ce jtJSqu ·a~ bo"t de
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fa ni.Jil ,Jfin de troover Q~lelqT.J 'LJrl d~teC qw
c:onavenr en la t1berant eusst de son des tm.
tl pourw "' ""'''r t:en =t être frer de lu/.
Pèr$0/itle ne pourrdil /,J scupçon'1er.
Femme P,>ç;illon dJn.s l'espolf de la
21
1'.
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......
t.v.#
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EN CHEMIN
Pantin
Samed• 29 mars
Mardt l' avr11
~
~
18h
LIGNE DE VIES
MIKHAÏl KOBAKHIDZE
SERGE AV~OIKIAN
2002 1 35 MM 1 1.37 1 N&B 1 13
2002 1 35 MM 1 1.66 1 COUL 1 12'
16h
Réalisation, scenario, montage :
lb, ..
Tél. , 01 4? :r;
'113 1 , savearkian~noos.tr
'.l~ 'I.P. 'v'l~~lay.
/5003
Pil rl~
RON OYEN S
2002 1 35 MM 1 1.66 1 N&B 1 4'
Ark~ i on
LE PAPILLON
ANTOINE ANTIN ET JENNY RAKOTOMA MONJY
Filmographie : Bnnrm1r Mo"' ' ~'JI !1990),
2002 1 35 MM 1
M"""" ac:wrntlllc 11992). Au rcvuu rn~d"'"' "
11996l. M'>rcurs-DJmes 11997)
Réalisation, scénario, animation :
Un Vle:l/l~,"'me r~con/e : j'a1tou;otH.~ porte
4 b s. "'" des Gab O"'IS.
de.~
/8;9o Crciss} sur Seine
k:\ g;mJr!r. On redoutait I.J nuit presque
1.66
F
T~
6. ·ue rlP. Soint Pdr.rs iJm,r_g 7500!! P•••>
1 COUL 1 3'30
Td. : 01 44 77 98 9 8 ' 'il X : C1 45 22 73 ~0
lma2:e : Ar-tui11t! Bnot, N it.:êlaj Sut.JK' I idh·~ll
Son : r rarçois Colin
Interprétation : Cyr Chevalier
Antci ne A'1ti r
Filmographie: .Je1mP. ilmnur (1%11.
lP. M;J~I:ge tl962 l. L• Noce 11964).
Lt: P;ri!p .11c ll965l. le> ML.' c cr•> 11969)
•~·ma11 : :Bn!lrlêlc:tlrtlrltlll.::,, m
Realisation, scénario : 'lon Oyeos
il
87. rue Jean Prerre Oimbaud. /50 Il Paris
avlant que le jour. On cform.Jit éveille
Jcr~y
pour ne pas rêver. Swtovt ne ~s rêver.
2 ~venue tJ J GéPêrJ Lt.-clcr<. .
possêrle per(:rJif cnrm lo liber!" '1111
Une nuit. :ls amenërent un novve<!v.
91700 Sdrnle Genevic'Ve ~;es Burs
!ai m,Jnqud•l j usque·lâ. Cc f1Jm est une
un homme barbu.
l él.: 01 69 51 01 95
f>.1rdbolc rntemporelle de fa destiflée
et de t;J sagesse twmame.
e-r·l~•l
P.-mï-lil : lemnout?;r.a,dmcul.ccm
Production : ll •h~ f ,.,
Montage : Jérôr'le verm to
Tél .: 0 1 43 36 86 26 ! r,,. : Dl 43 36 9 1
e rratl :
ronc1yt>ns~holm~ il con
Production : S~r.r;ohiP.u PrrA.urtton~
24.
rJC
de p.,nthièvrc. 75008 P~rl'
Tel : 01 42 <:5 30 271 l4 x: 01 53 75 25 91
: b:e <. SJcr~~hot'llail. r urn
Image : Cha11el Seg<."
Interprétation : d .(. P.
fl ur.h~ne.
Ut" homme qui rJ .verrlu tour re qu ·,i
Rakc;türMmOn/Y
t:-am~e
avec humour el poes1e.
44 . ru~ d u Fw ;) ,..,...oulm. 75005 Pw1~
1aure nt
Ler.e•er
Filmoa:raphie:
~-n·J
t
7~
b ~ ul •tt>@bi b"l "IIS.co·r·
Ambiance sonore : Pho11g Ho
T~i ~,- toi "~c reuse
11999;.
Lil Fl~rr..r·c 1200 1:. L'Ho·mttc l~rclic 12002)
22
Té.· 01 ·17 56 02 LO / la x: Ol ·17 .56 12 60
Animation : Alain Am1elet
lunette>, mérru! dU c:,unJJ ji.Jwû~ œus~i
F1lrr·~, Pr<~lt1:·1io11
9. rue GdS!Or f'Jy•r•. 92110 Clll·1·y
b o'~!
Montage : S•mo, Pracl111as
1 fax, 01 4:, n d ;,o
Co-product ion : ilili•ocdct
o: 42 77 20 56
l'· rl1~i l : il iiCqU II I ~:l>IV~IIdC OO. fr
Image : F•ed Tr
li~~-~
n-rl'tJI1 : ar-<e n'1J •on.~Cb\.\'artldroû.fr
Production : 1 ·~ Htms dP I'Arleq 11i1'
PAROLES, PAROLES
,.e d AsSd5, 75006 P<:'•S
i2, place o·A1vers 75009 Pans
e
T;;l, . 01 42 77 20 55! lux :
M1k~ •~
Kobakh•cl<e
Realisation, scénario : Se·f<C Avéd <ar•
Filmographie : Pren••er f1lm
Dr1n!-i le JfJf=Wl rncffrrvnl.
l1~
r.·omlJat
Un homm~. LJne. fen·me l es àflnees 20.
c1'une {(Ymnc nmlf pmfl.•g(.' l fa mdmcirc
lès JfllX r:Je seduct•on . Mais ia fTkl'cl;imœ ..
~,~son
f1ance. s.drnourai mort ii tJ guerre.
·-
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Panti n
YAM AM O T O SA N
D1manche 30 mars
a 1<!/1
DAVID FOU RIER
2003 1 35 MM 1 1,66 1 CDUL 1 13'
Jeudi 3 avrrl à 1611
Réalisation, scénario: Dav1C: Fmmcr
LE L AC ET L A RI V IÈRE
61 rue de Bal(nulct. 75020 P•ns
Té. · 0143 5616 27
SARAK PETIT
2002 1 35 MM 1 1.37 1 COU L 1 56'
Production : Coâ:e•• RoLJge Prod ~Jc tion
Réal isation, scenario : ~ara~ P~t't
1?. pl~ce r.·Arve~. h(l()<) Pans
Tr. . : 01 42 8 1 'l4
Réal isation, scénario :
·•e de PJraC:o~ . 750 :0 Pans
'1 es. , 01 56 03 96 30 ; t~~ , o 1 sr, o3 96 40
40,
, "'(. 1e @r·•aa~mpolska.tr
E Ctld Flll""l~
25. rue Mrr.hd .r. Cr.mte.
7500.~ p,,,~
Image :
c Demuni
J. rue lioLJdart . 75020
1~ ~1
Pan~
9\1 l~x. 01 4:i 159100
P-rra11 . pa..,.. sofrlm<#h~Prt)'~~ rl fr
lmaee : ra,ral l a,gnffotJI
Oronne. M~mel Sntvay. rv<a,ianne MP.rlo.
Montage : C•trr.r "'P. Kr•s«<1vsky
Interprétation : Thoma; Cer so o. LP.i Drnely,
Mona t1eftre. Je..1r .. PII.:'LI Borm~ trc . Frc.: t.h:m;
l'hll· ~pP.
Rehhot
Filmoifaphie : J'atkrd' Dclnld peL' pc1rdre
f!·mtlll : r:h4-Jtr~iHJ -r(')lJ~P.@rnos.fr
F A R W EST
ALEX VINCENT
2002 1 35 MM 1 1.66 1 COUL 1 16'
PASCAL
Image : P r.r·c Siucbcr
Réalisation, scénario : Pao.cal Al~x \forcer\
Son : Cédnc Dc!o~l e
t,·,.·e C at~ e·ire
MJille
Filmographie ; Des r·Mjor~:"':H~s d:Jrs I'P.!\~tl\.P
!19961. lclhpu11 1:9991. Suzukt San 120021
C•o Local f 1lfl1S
Co-production : 1ocal
4~.
rue des
~ ··m s
ürte~\1<. f~O?Cl l'~r
•
Toi ., ()14493 B 5fJifax: 014493 7033
e-marl : lor:alfllm~@'rccJr
An1iproo. 1. rue de Met.< 75010 Par s
Un Japonais v1srte l'Europe en voy<Jge
Tel. : 01 40
C/fli,mi;,! OuiJ/ir. fliJr 11: c:,. r S(Jr le bord
e <"l,fll , ant,oro-.1@wa nadoo.fr
rlc la mutr~, il r.w1~ ddfl.\ f,J r:nmp;;gnf!
Image : Sylv1a
françarse avdnt de trot~ ver rr!lug<: auiJr(,s
Son : Alexi' fam,,
d'une c<~mionneuse.
22 63 03 1 t,lx · 01 42 46 ;,3 B9
C~ lle
Montage : Mv1c Brctun
Interprétation : Juhcn Gauthrer.
G ill~s
12000)
Bn'Tlpart
Pa r"~s
Inter prétation : H11o Hur.l1iyarn a. Cat'1er.I1P.,
Ler.lnu
Interprétation: JJ~ ~·• "!émy. t'\gatoe
l;r~"el
750 L8
Production : Pa raiso pro d•ctro·•
Montage : 1\ncuck Z vy
1 Je~renl D~ $rnel
Darn rer·:'f~)t,t ,
l é'.' UJ 4/ :.>.l 06 Hl ll•x, 01 4? /.3 36 Hl
do P" r<J i~u produ<.:Licm
Son : Stèpl>•r·c Le""· Gl 1•ncm Lcp-•rc:e
david.lhiort@ ~cii"J s.lr
Son : rr r.r>e
N•:n•
43, rt1e
Montage :
l él.' 01 4.'1
Te .: 0142 74 3 1 OOtrox: 0142 74 4100
e rna il ,
NATHALIE OONNINI
2002 1 35 MM 1 1,66 1 COUL 1 24'
::lO
Co-production : le> flli'IS H•:• r
e-m~
LE CADE A U COMMUN
G la
~.
Tony Sourintone. Jean Hass.
Cl1loé Berth e·. Al eXIS M r. l-<•115
Filmographie : Nat:OOII90 1 199~).
Gl;we.
le; L'T1~P.s ti99/) . I'ArpenteLJri?OOll
aller élCheter un cttdetli.J po11r tevr (Jmu!
r-,~m .- tréhur.he 11998), -'" R~>rllt~ts
P1erre arrive pJr UflL., bei/~ lOUfnt!c ci!~
Ag11e,. flle''" "'"d'"11""""'" c1d<ts le
~"rVIf:r. ps_ychii!i;iq uc de l'hépi/ill où A{?nës
d. I>.JC :2001J
prmtemos rians un vill.;ge du viw wb/e
iJl~uJ cien
r:.,mr~w
{!est emlJ.31.JCilê par i~rrne
(!lJVner agnrole. Parfois. ils p.1ssent
IJ rwil r:rr.;enb'e. Mais. J
leJna. la
l'.~àtel.
hr~tte ;.umft1tenrre-
ri y a(Js.si,
F'1erre va atmer
tes deux. m,j··~ 'i't>drtJrcJ ~eo'.
V,J ierr~ et Cee<le
~éJOLJtrlC.
se relrmw~nl p r1 r1<
Les ifDIS ;;m1es p.Jssenr un
Fil mographie : A quatr~ ·r• n• (l9!'J4:
Lric doit passè!r ses llâcances en Beauce.
momerli avec e!ie et prerment le cnemr11
chez son gr,rnr;!-pere. Q(I ÏÎ n;:, ~5 re•·u
du reto ur. Ma1s la /O I!rnee n 'esr pas fi111e
depUIS fongremps. ( iJ CfJf!iJ/)i.'/Jfion
si1r-;nonn! diffu:i!P. d 'a ufan! p!w~
~ ~sf)pdltt mmNt~n;Jnf
q;u~
Enc
Ridw L'f r~ue sa~·
meilleurs arr•is K<Jku et M•koJ debarquent
sa11s criereJrc . .
23
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AU NOIR
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RO NAN LE PAG E
2002 1 35 MM 1 L. 66 1 COUl 1 25'
'
..... Y.-k-·· : • •
Réalisation, scénario: Ron•n 1P. f'age
4. •ue des Maronites. 75020 P;ms
PREMIER AOÛT
1el , 01 46 36 68 77
JOHA Nt+ BUCH HO lZ
2002 1 35 MM 1 1,S6 1 COUL 1 8'
Production : 1S Procl ucli<Jns
32 hotJIP.vmct Heaumarchais . 75011 PJr'
T"l : Dl 48 06 40; 1
t:-m<.~lt: jd'<J I Hl~·d~!:u}.fr·
Scénario:
e
11.a
Brul"lo
Kl1erro wbr
33. r ..ro St?phenson,
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'6 9? /3
Montage:
ll~nclré
t;;;ph~ël
["nma r "e 2ro>l'i
Hr\>a·d
SiJmu~ l
LE BOUT DES DOIGTS
NICOLAS BI RKENST OCK
2002 1 35 MM 1 1.85 1 COUL 1 21'
PP.rche. Clauçle Weyl
Filmographie ; P1erni<<r ftlrn
/~ll 1 i:l
Dimanche 30 mars. à 18h
ve,dredr 4 a<ril à 16h
: h pr t.it:@d utJ-m~l:met.fr
Interprétation :
Production : rlebul
01
Image : Gertrllde [loltllol
Son : Oltvier
Ja ~li.H11 i Bl~c~lt•o11 .
fflX:
....•
_Pa_n_li_
n _ _ __
-:l'
P~ris
Tél : 01 53 10 24 00 f
.......
!"'r.l
i-t .
73. rue Nn!re-llome des Champs,
75006
Réalisation : Johann BuchiJUit
llf§llll
Réalisation, scénario ; N r.nl.1s Hirkenslock
9~. ~venue Ch~rle;
Pari>
T"l : 0153 092109 rf,,. ,UJ53 09 2180
GwU,Jume. 20 ~in s. quitte P1H1S pour
M<.odé
e-roail : inlo@d"bu:.fr
de
G~ull., , ~)4160
Sairt
cffrH:IwY r!t?.~ tri-Jvaux chez s~'.l grand mère
Production : Btanca r ilins
Image ; Ol1vier
L~yro m1•~
[!le attend sa vr.'ww depuis longtemps.
32. nJ>: Delr7y <H6'l4
.,,c
V1e rnei~::oe r
Il s·y rend à contre-r:cr.•ur.
Tl:. : 01 41 83 74 74 r f;,x: 01 4H 40 73 83
Son ~ 11orr
Montage; Jan Hrabandl
Interprétation ; H•r.or. >ll1erraub .
Vidor
G~uU11cr
Image : Pascal
LintJcr~P.r
R~phaèl 1 el1rer
t:ollec ttaMHJr dt! rêve> 120011
Interprétation :
Vlflcent se rclrouv" seul wr la pl.;ge.
M~r .,
Son ; Ht.gt.e> Marte, Guillaw rne
Montage :
A Ja1d~ d e qu~ l~uCSJ:!iliJfJ(.'/!f;s,
Cedex
~-mdlt: l.,I<J rlt:<Jfl1 r·I~@~H)t•r•.tjl1 .1:om
Filmographie; Tc ou !20011. 1e
ll~ premier aod r, .:w bord de la d&~ress,on.
P~r tm
Gn ~ 7.lgl.e ~tu tsc 11. 0 ,, er
Ptccl1dCLyk. Véro r11qu" M;JngPont.
f rat1L~~­
"'scher. N•co "' Gr"~>el. l<urc•1t Blor.h
Marjorie Lhcmrne
Filmographie : Premier t11m
if retrouvera le sourtre.
Martul a éte c hoiM pw If
r~.•~:rtcr
une poés,e
à la fêle de fecale. Sort péri! (mmd fe.s
ci"oses ltès J
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LE VIGILE
LUC FlET
2002 1 35 MM 1 1.85 1 COUL 1 13'
FR~ DrRIC PELLE
2002 1 35 MM 1 1.66 1 N&B 1 14'
Réali sation, scénario : L•·C '•et
Réal isat ion, scénario : 1rè<Jenc Pelle
Scwli~L1el·cf
kl 'apres liOe
18. Il 1U'.J(, ~ Herl•n.
A, e n·.a:lre
r1 P St~pi1PI1 llixnrl
b, ·o.P. c;;,.,le f;;g1Jel 93500 P•nl n
f?.l. ; 00 4!) 30 77 00 85 1D '
Production : Boar co
fax: 00 49 j() 77 00 85 :1
32 ruo: Del•.:r. 93694 Poro:.11 ccc ex
Tél. : Dl 41 83 74 7·1 f la x: Dl 43 ·10 7J 8:1
c-1·.dil :
l uc: 1u~t@gt"'JC
Co-Production ,
l'rod~c. l
R ~d
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1 cc t 1,, . una
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Distribution
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LIJilcl rrodu;:•ff\'IS
20 pa~:xJI,(.' d'! ·~ B~·ll'c Gr~m·c.
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r-r1ail . r11'fliS1.:"n~h."'.1I'I"Oc1 ro.,..
Image :
W1l'•~'Tl
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Image : Olivier R<nor
CARINE TARDIEU
2002 1 35 MM 1 1.85 1 COUL 1 14'
Son : M.lrl0'1P. t.harn~•l. M•!t- ec ~""'" ''
Montage : R<:ynil1<1 Bc •~··· ·· c
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Monta~e : A· J Agnel lu
Production : Wody F1lr·1>
Interprétation: sabell<! S~n•pe•e.
~'·· Jv~n ut C .:. Jde VelletJ~oJX. 7~,o1 rJ
Pr~r1i~r
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l2000L
l " Cr.rt><·;, ~ 120011
A
CETTE
SANDRI NE TREINER ET FRANÇOI S CHAY[
2002 1 35 MM 1 1.66 1 COU L 1 26'
Réalisation, scénario : Sand r•ne TrP. 1er
et fr ,'''ÇO '
CIMy~ (~ "a prê>
une ·1o.tvelle.
C;:~hr.mh~ 1\rl'!~~,m'lnn ir".~ylor)
31. ru~ Oc.dry. 750 13
C· •IJd
P~ris
: ~J:ïtl •wc . ~· ew cr@n0€JS.lr
Production ; Le> 1oJn:. d "Octobre
41. nJP. H~nro M>rtln. 9:'100 t:olorrbes
lmaa:e : "h•1•pr"' G.JIIhP.1
Son : More ~ rogcl:i
Montage : 1\ntoine Laviullc De G"r ~ ~
Interprétation: Sy1v.e
Gr~ narrer
C: ot.dP .le,lr Pl1ilillpe. vox de VJrda
recl!erc.~E d'un emploo, Gcme7
DIJI:nvny et LP.sl1e f .
G •o.no~·g
Filmographie : La ChwnhrP. rte S•'11 o~
ll990), P·cmocr fdiiVICr (199:1. Olrrlilm:lu:
~ 1\ • 11991L L•• N"it ~~ cluwro 119941
lleccnstructing Woodt 12000)
Interprétation ; Noen· e De,elay. osabe
Ho·~r
Filmographie ,
accepte un boulot de vigiie.
Son : lvrJr' D1J1 1a:t. D1U l!r CJtlin
Uterc. o ,c:,er AI;.JiitJr . vr· >:
l.JJ r ~P! BateJ ~'
Lt.:c ..h.
Je~~ r·~r· çois Galbtt~
li IJ
1'1
e ,-a : wark)11m,ttnno<:-'r
Image :
1-Jremu~r ~mo~u. pn~mièrc nistoire de sexe,
J~,m-C ~uf.Jc
l'.
l ;.r : 0 1 441!l ?.<l39
e-rn.1•l : ::..Jrmc. :~ r~lcuftf•c~.:!) ..l' f.rr
l!o·o< ll ~~he 0!. r\athan Vaye
Interprétation: N t:uo~ Abrohom.
Réali sation, scénario : Catin• ra•c•e"
INCONN U
ADRESSE
cJr.
LES BAISERS DES AUTRES
Son : Cdrlu ...HJ~~. E1•11 ~li.HHIC~I C':JLC~
Filmographie :
"ilr~s
e mail· b ~nc.êfllrn~tlhot·T1 ..lil ::.01..,
Por~
réf. -o; ...a 01
nc.uv~l le
Hr;MtmP.
"1JZP'
1980. 1Jr1 f •t.mrror: ri iJg~> moir f!t
ens~~nb!e
Filmographie : l're-r· .,. 'olno
llfiP. JP.IJnl:
femme se retrouvcr1t pour f!.'Vt~ilr.J
fa corresponddnce q u 'ont
entre lem"~ le~;rs pères dans les arm~es
Ces/11>i:>toire a ·un e r,,,e oe 1!>ans qw
193?-1934. les deux nommes étalent
fro~vc;;t h~ vle Êcœ"'''"Jnte. fn pleme cnse
tm11s et "'ssoo es dans vne g~-=Jiene de
r;,,;,,!tJfP il New York. L'tm. J11emç~nd.
cf;xtc.'escenc.:e.
s,,,c;r,., !; 'tltl prend
a tovt le nondP :
m .. ~n
"-':if'1.'tl(:.
at.'(! r:o
sua au
r;f41, ot~:·t;rJU{Jl:.
:·r!i~; .u·~ !'1 u SC:!-. !HJ'rdcomcs.
tJ
~yc:. )c
n:wurm; vivr(! çr1 A::t:nwgm~'''l 1.9JJ7
sr.:t
cl !,r· ~Jis.~J !,~~dwrt! fkJr Îl' n;ui!'-trm.
L'.Julr...... ,,!if. ~r.std d.JX ftrJb-Un1s
25
MANIFESTE
Le 16 novembre 2002. au Cine 104 de Pantin. une trenta111e de structures CHoematographrques ont proposé un manrfeste
fo11dateur. suivi pa r de nombreux acteur< du cinema d'avant ~a rde . La voaueu r du manifeste réside dans les proposotoons
d'accompaanernellt institutronnelles et culturelles de lit ms appartenant a la fo is au patrimoine ci nematographique et à la
poo nte l a plus r adrcale de son expression actuelle .
Expérimental
? C'est pas mon« genre»
•
îf>
IN OROER N OT TO BE HERE
LE VIEUX PRINCIPE DE L'UNDERGROUND, MINER LE TERRAIN DE GALERIES SOUTERRAINES JUSQU'À CE QUE LE SOL AU-DESSUS DE NOUS S'ECROULE, NE PEUT PLUS AVOIR
COURS- NOUS SOMMES D'ORES ET DÉJÀ DÉCOUVERTS.
a
e•pcr n•1mta 1 une esthétique part<:ullère,
a des 1~1ages plus ét011 nantes ou bien mo1ns spect.Jcu
est d'aider la production cont1n uent a en n1écomailre 1'existence. Une ce rtl 1ne nxonnJ <>Sa nœ "si
laires. D"IJn txliJf ~ l';aJire de 1~ chaine, le cinema expériment~l. c'est une pratiQlJe el une èconom<:)_
nevitable, et
un er.gagerne·ll. D"PLJis b ~""'''" l'lf.O. ilutmJJ d'" mo~x'<rd\lves de d~Sirihution s'est 1t~velo~p~
~es
tol.t
u~
réseau de d1tluS10r1
altL~rnatillvcntablernenl all~rn;lil!
1) q1J1 r>l0111r"
t~s
l1lrll> princopiJI"''""''
nécessa~re.
Le v•eux principe de l'underground, rriner le terra1n de galeries souterra·r-
JUsqu'il ce que le so' au-dessus de nous
d'cm~s
d
d~:J;) dùcnuv~~rts. 'Vl;.~l~
pmJr
~·e<:roule,
ne peut plvs avoir cour.;
nous sommes
lm~vl!~i­
wle C\ nécessaire
plcir1 ;mou a~ 'and des caves. t'artots. ces d1ffuseL1r.> travaitle·1t ponctueloemenl avec des lreux pl.1s
sance ne doil pas $e •aire n'importe comment.
dans sa version complète au Ciné 104.
institues a ltx:c~s1an de programmations thématiques ou régulières· salles de conéf'la classees J\rt
[lie doit s·appuyer sur les structures exist;J ntes
Par ailleurs, le cahier de signatures sera à la disposition du public et des professionnels pendant
et respecter le wc JI\ de diffusion q\ll a été
la durée du festival.
et lssai. ·mJ~ccs, galePes [P.,tivals, etc. CP.' incdrslons ont depu•s lo~ftemps démontré que ce cmérT'a
,-·etait pa5 corldamm! ij rcst~:r él(!rpldli:rnent confdr~r,t.fJ
~u-dle ~Oil.
t.dl" rcr.unna1S-
Le présent texte est extrait du manifeste Expérimental ? c'est pas mon «genre•! qui sera disponible
tl;,r•'; des squats. des friches. des l1eux artistiques au!ogèrés. des salles de ci·lèma improvisées en
bâti. Ce reseau, elle ne doit pas i'lnstitution""1""" hrut;JI«fTit!rll, mais lui ~prx~rler son suul«rl en en respect~ nt l'ecologie. Le pire sera1t de f1ger
Dr' I<Jit. l'engoue1Tent récent pou• le c•nema ex;>énn,enta\ corre spond
a une prod~ction q1Ji ~ decu-
ple dw•s les arnees 1990 et Jne d•ffus10'1 qw a suiv1le rnouveP1ent. é.ar~<iSSO'll souda1r le public
concem<~-
vér~table recanna1ss~,ce
~xp~rimeni<J~
drms le p.atrirnoim~ et (~n 1:1~ ~;~!os, lrJ ~lrPp1t! ,.; gP.nrjflcrJtion" ressei'T"blerait
a une momit1ca1ion ~ cn~d1L Des lorsqu" •e cinema CX\>i:rimmtal ~t~l de 'on sr1E;nd1de ISolement,
institullcnnelle de ce C11én1a r'a eu l1eu
tl faut !Ji donner l'assise PDclf qu'il ne soit pas annexe par pou> lort que lui. PDIJr ljU.il PuiS$(' lair<'
Constarrr-n1:nt renvoyé~ des i1rts plas~lques .JLI cméma. du c:memù aux arts plastiques, c·es~ en
enterdre sa •oix, rwenter de nouvehes formes et de nouvelleo; •açon~ d'atleindre un p~bl1c cl ~uc
marge Que
rourt,1nt. aucune
le c•nêma
le~; cmchl'(,fe~
n·ont cessé de :;rod u1 re et de
5·orgclll i~w
en un rése"u iJ
'<, fo1s incroya-
llle-nent dyr1a·n1q,Jr. cii'H:ny~tJI~'"""'t lr;•gll<:. AiiiOWif~ ~~ o(J 1~ IX)Ir'tt< extre·ne de l'l••slrtutrr)'l q,JI
crmlr
bue~
r'l1ontre,
t.h~~
l1lrns 1:n prc:nr! ltJ t1~fE~ns!~. il
s~~ra1l Pdr~dox.ll q~w
lt!s n 'l1c 1r't~s donll<;
l;k'1~~
sa
po5 ton
c•itique plusse rester en prise avec le monde qu r entou re. Le temps n'esl pus au repl sur
soi et gageons qu'1l Si!Ura alor.; s'engage< dans un dialogue fructue~x avec les praloques audiovisuel
le' "PP<"U~s pll.s •éç~m-ne~t : v1dea de r.réa~1on . trers-seo:teu· aJO ovisJel. etc.
!
27
J)) Pantin
Samedi 29
mars à
20h15
C._.ARLEMAGNE 2; PILTZER
••.,J
.(-- SKELLAHELLAVISION
CHARLEMAGNE 2
PILTZER
PIP CHODOROY
FRANCE 1 2002 1 16 MM 1 COUl 1 22'
Contact: Collee!'! JeLJne Ci,-è,,a
F.-mrlil:
q("".f'lflmfltc">'\l~~mrH1on.f~
ECLATS D'ORPHÉE
PATRICK BOKANOWSKI
FRANCE 1 ?007 1 16 MM 1 COUL 1 5'
Interprétation : Fm1e Bposlac1. L.•••rr.nŒ
THE MAN WE WANT
TO HANG
KENNETH ANGER
USA 1 2002 1 IG MM
SKELLAHELLAVISION
MARTHA COlBURN
USA 1 2002 1 IG MM
COUL 1 12·
Contact: CdnyCF\ Cillm'"
[r,, Gerken. Muriellk ;;•y. Pie"e Martin
t·-n·ai1 · tilms@car~yrJnc~nerna.~ol"l
Karine Pterre
• Le Y decembre 1998. Gll.u1<.'rnaf.m'
m'a demandé de filmer son cancer t pr.arw
Contact : Cclle<llt .let.oe t;111ema
tJ l'occasion d'vn vernissage ;i ia gatene
1 t!m rea!fse d'apre.s ta f.llè-Ce,.., OtpfJéOtl "·
(it:ndant le concert c:CJrr~:soondent .:JUX
tnterprétee par (e héâtre liu r<JQèat:.
qw rmr d!' loiHnëcs.
rnanr~~ (.'/'! iJ(:Clllti5m~
liritJflrli<Jlle. Aleisfe: C:rmvii.'_Y
J travers {eS deSSifl:i.
Pfltzerj Pèrts. Les 69<15 notesJovees
G'i?3 imagf!s rte la pdli<:llie S11per R
Fvm:.'JNW 1 rfu
r
réalisEs par Wl
il Rl.'ï-1 ')47)
pemtLi(C:$ f:f c>h/(~J:;
ou StJr I~Ji. provenant cit!s
collect1011S î.1e Keith R1chnE'JtEt Jtrnmy
rage cf ()ncJo TfJOïpl! OrientiS lnternat on.-aJ
:
M.:!-"l'id
Cu ::.urr-
spiOers,llOvL'~hutn<Jil
..:uw
OEBORAH STRATMAN
USA 1 2002 1 BETA SP 1 COUL 1
1 33'
~&8
VtsJc;rr rle .:am:/1t'lf"O:Jt, :mP. iongoe;g
Interprétation : .loor,,in
qv.Jstm~sll f.'J11(/W'. ( c~,
Contact :
c:orp.'i d :=Jcfrin~.'i
de poma sont {Je1nts de .façon
~y~li'itlattq1.u.:
pour ressembler d de> sr:weletles
;JU cJ
de.5 corps e:1
décorT?pOSiflt~fl .
,.,.," :
0yth<.~gm;~:s
D~. ~P11~n\R
P·od.Jd QPs
<l"llJ@py\ll~;;urd>lllrr>.cu·r
Obsr:!rvar1on attentive du ;;ifence terrdld!1t
qu1 .rE:nJu~·re (es p,uko ,g~. !r!s tmuiiques
ïl les v ..m licue:i
rt~s·id(~nla:if:·~::;
rl'! mc ~or:•etë
1
1e titre i!Sf i me n]fc:rcnn.· i~
IJ.r. gr:.JS t'fr~
i·lfami!nf d!l Sunôi.W Excm.•.;s rJE.'no·1çant
Crawley ainst qu "utl reu de mo/:i ~! ,r
•e dm.1ble sers de,,. hanR ».
~t suspendre
28
Contact :
e mail
Cl db e. Jedn-Luu"; Cculloc'h. Kclil "l"i~.
COUL 1 8'
IN OROER NOT
TO BE HERE
ÇJt':mJ~ •.·
,·ses t~~Nea~IX)
di1tt~'l~aine de
varia sêcL'nt.:t.
plus en plus obnubilee
Pantin
...
__
GOLb
_·r: LE SILENCE EST EN MARCHE
ENLIGHTEN
LE SILENCE
ENLIGHTEN
BEACON
GOLD
EST EN MARCHE
CHRISTOPH Gl RAR DET
AllEMAGNE 1 7000 1 BETA SP 1 COUL 1
N&B 1 6.
MATTHIAS MÜLLER ET CHRISTOPH
GIRARDET
ALLEMAGNE. PORTUGAL 1 2002 1 BETA
SP 1 COUl 1 VO 1 15"
DOMINIQUE GONZALEZ-FOERSTER ET
ANGE LECCIA
FRANCE 1 200 l 1 35 MM 1 1,66 1
COUL 1 47 '
PIERRE-YVES CRUAUD
FRANCE 1 2001 1 BETA SP 1 COUl l
N&B 1 4·
Conta ct : Mcntevideo '
r ''e [lased
(1 rts
Contact: ··~t·: Con;,
L:-'nê ' : I&!"IICL\f't!@IIR~1tt::.mt'.ürj.!
r:-•nf! : tht>.J':'IIli:rnnntt1~ "'len.nl
Fnl1g htcn f!sl un •nonfdgt; d'imiJges
Des barriéres lumtt:rJ!
LE REGARD DE PIERRE
PIERRE-YVES CRUAUD
FRANCE 1 2002 1 BETA SP 1 N&B 1 7'
Contact : M~nt~vioéo i Ti me Baseël -~ 1s
e 1'.:111 : i'lcL.s:ftMontf!video. nt
. ~•
d'a;1~<:~nt1ons
f'esoac~
v1U f
p/os ou fn::l!rlS i1~unaines
ri ·!~dl1m:; i:f)J/r•dt~(~S ,j prJrlir r!e (ifms
exist~~nts.
Llles rfont
fJ.JS
c:te filmee~
Nc.,us sot-:<mes remo1ns do développement
• en reel'· ma .. s ont éte (Jbriqt~e~s
r!e fiJrme.!;' dP v1e au. sor~f de_rd presque
artifl~:~etiement pour
({:giN !C"It~:ej.
res r.·:ms.
Contact : Agcn:c d Il r.r. urt m~trage o ll
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:'!ortuga1
l! -·r·;J
e rnait:
agenca@C.:~IrlCJ:::mclra.r:c··b.pt
Bc~;Kor' c~sr
1m rNmttJge de f:Jms de
rt.~pt..~ra~·cs lOtlrr~!~fl
c!t:Jns cirx lif?.ux drfférents
d.Jns. ie monde. U.'IJf po1nl r:mnmun
est dè se trouver au L~ara tJc! ''' mer.
Ce film est ~-lit cl"ellQUêtes psychogcographiQU!.'.'-1 rr!(.'m:c.~
1 bbsen.tat10t1 CJes pt::: lits dtfli~1lS. C.:Or1 f~:se
cirms le suri-en /(.'SI
cles U.its-Unis. Les mmes abandonnees.
les paysa,(ies manlagnellx. les coyotes
~tfes
tr-a!llS rdppe.'/el11 J prenuere Vil~ les
fi!ms de western. ma:s ces stereotypes sont
t,..cJiN~s
t<
Pmch.Jc:~J:ms
: L:i.lr'!'ll.!rJ.Iut.:t:.IJ@w.;:~n.:ldOu.rr
par des effets soecri-Jux tmclitiunn~l.),
Cit1S rJh~ir..-H:Iion.'l d rJr;~ nppo~i/if){IS.
cr rncon.r:.(:iente. se den:nJte paraJ1t2/e.ment
Lo.~
iJ la pcrn:pl ion du tout. • Cette pw<JSe de
et de C:h os!Jkovilc/1.
teibrul.l' (}cftm' ma tr.:J;ectcnre arristtq ue .
par [)avis Shea et Sc~nner.
bo.mde. sor1.
n·tCiat;~·c.
de saris d1recrs
a t! te c om l)osee
29
Pantin
CER NI E RES V~ SITES
Mard1 1·· avr1l il 20h15
A VANT TR A V A UX
~ MYSTERIES
FOLIGRAPHIE N•1
DERNIÈRES VISITES
HYMEN
MYSTERIES
AVANT TRAVAUX
CAROLE ARCEGA
FRANCE 1 2002 1 16 MM 1 COUL 1
N&B 1 10'
JONAS MEKAS
MARLÈN E RABAUD
FRANCE 1 2002 1 16 MM 1 N&B 1 19'
BeP' Jllia
Interprétation ; 1ou" Heneit~au.
Contact: r.~rnle Arcega
Contact; Agence du t:uu rl rnélrJJ.;e
S1<ogfr1P.d Breger
Contact; Agence <lu wurt rr•elrJv,e
SYLVAINE RATHIER
FRAN CE 1 20Q2 1 16 MM 1 COUl 1 15'
Interprétation : Cathenne Le r n~. Ak1m
e rnail : acmfm@noos.tr
S!H J;J
rc>ult~
c:h<Ja!iqut! c1w rfè>ir. un c:ouple
se rejo~1e J lïntim san pdil therjfre
amowEt~X
et grotesque, en attendant
fa revo/1)/!on.
Luc
HosS<opi~d.
email: ac11fn@· ,uos.fr
Tmi' homme> partiJgent f,J
ils
Ala rechercl1e d tm cinema organiQ ue. un
rcJpport 1ntime se crée: celui t1ün corps qu1
meme r!th1que :
'~n~orH lf.'IHS praprc~."i bf.'.~ oin s
de. comportcrncn!
r.-rna 11 : c aml f:giJmln~@hotm tl ll.:-.mn
comrrH~ ~ 'if..;
(.•n rr){Jo·Jdc
()I;Jic.'nt !)(.'uh
dans un monde qui aurait pour unique
vocat!0/1 de les regarder passe~
se meu! et m ute dans la oeau du film .
USA 1 1966-2002 1 16 MM 1 COUl 1
43'
Contact: RE.VOIR
If !-~'h~il d'un~ pedorman.ce imp rov1see du
Liv1ng ThedftY ,;j Cassfs. Pour la prP.miP.re
part1e. c 'est une sene de rabfcaux
v1vant.~
sépares par du noir pendant leq ue/
les ade urs evoluent. Apres il y a une
~· tnle
d'actions •mprcwtsees; les acteurs
/rrJVC'r~t.•nt f;J sn~;np.
çh,;Jctm
,~
lev r tour.
en acJopWnt 111 W rft.'1 n;uch{: E:f 11ne ..Jtrit(Jc1e
parlicuJiêr2s. La musi,fue
dt~
Pfu'lip
GI~J.Ç.<>
e sr elfe aussi impro visee. fors d un concerrprOJeCtiOil J 1/lnt/Jo/agy f rlm An::hives
30
de ce .~1~me film
è /1
2001.
Pantin
DISPARAÏTRE
Mardi l'· avri l
a 22h15
HUGO BtUT
FRANCE 1 2003 1 35 MM 1 1.66 1
COUl 1 10'
Contact : ArlcJ"• In· crn~t o.,~
e nldll : tuilette grantl<'I'IO~ I@ortc~n.Jr
Pi1ris. l'r!lc!. Un(! tll\pdrition.
LETTRE
A
ROBERTO
FANES
PORTRAITS FILMÉS
(14 SOUVENIRS)
L'IDIOTE
DANS LA CHAMBRE
VAlÉRIE MREJE N
FRANCE 1 2002 1 BETA SP 1 COUl 1 14'
ALEJANDRA RDJO
FRANCE 1 2002 1 BETA SP 1 COU l 1 17
JE AN-ClAUDE ROUSSEAU
FRANCE 1 2002 1 BETA SP 1 COUl 1 13'
VAlERIE MRËJEN
FRANCE 1 2002 1 BETA SP 1 COUl 1 2'
Contact : Car•'rc' ~'lins
Interprétation : JocclyllC Ocr>vc•ct>i:rc.
e-Mdll : capncr.l@'ln0$.1r
Claude RJmbaut
lnterp~étation
Contact : Valér~e Mré,er
C. De Bo'll\. S. Kmnl,md . N. Mouh.,, S
De~
• Il est rappelé q11au jour du départ les
ciMrnbres doivent être l111ërees avant
e-m~ 1 1
Bouqud. C Cl<.terre1c.her. A CiuP.rlnt-
Contact : nocvnent;we sur Gr•no EcrJfl
e-m~11
micf1. Toul r<!larcf en/rainera la facturation
Déux Jeunes femmes com~rcnt leurs
Kourouklr.o, B.Mo:.,d. P. Prrnc'.c'lS, Q. Her·ern
d 'une nuit suppl,;men/ilire. •
recettes de soupe aux fanes ae rad.s
: v mre)en@wan~doo.fr
: F. Wild. ;:; Oœn. [ lbwensohn,
Contact : Galer,e centS
J
"
d es amiS
OU à deS COfll!iJSS~Jf)CC:~ fff:
raconter un souven.rr: rôccnl . antir:n.
m,>rquant ou anodm, te premier a surf(ir de
J
\,,.
la memoire ou un qw
creu~fJ r
fa tête.
:l éœssir~
de se
mais vr1 smJVenir qw att eu
1;r1 s~,.'ns
partk:ufier. Assis face a Ca camera.
ch~cun
fiJ.rr tc
rr~c:,r
r1f! sem
Interprétation : Alejandra Roto.
B4l~~a1a r
Pclhères. FlorJ v tai
:
d'ge~?.n
.r.nm
M1ch11!an Oeil. apres son kidnapoirrg.
e mait : cent8@rocs.l•
• Dans la st'ne POlirdits fllmés. j ;,, demandé
\
~
LA VIE APRÈS LA MORT
tu.>to,..-e
P.cr~t
à son fils r!.? huit ans. raut en s 'cntraimml;;
IJ surv1e et à 1.• guerre. elle lui parle d~ ses
r.nangements ohysiQlJes et mentaux. Son
fl'l.;, rr.ste seul a la "'"'son. commumque
ave<.' (t~:' iJn'miJl;x.
PIERRE CRETON
FRANCE 1 2002 1 35 MM 1 1.66 1
COU l 1 23'
Interprétation : Je•r l ambert. f'rerre
Creton. Marie Lepaller.. Arrane Doublet. V:>ix
de Mf'l~ Tdlbol
Contact : Ai!CflC<' du cour:
r•rc:tr•~c
e maol · ac-r.lm@noo'>.fr
fi
J';wdiS trtle.r,Jt<~mc!nt organisd ma
r!!ncon!rC
,']Vf~C .Jt~tH~ ( amht~rt. Of!~
f al COI1/1 U C:el
que.
homme, ic mc SUi!:! nl1S
aredovter sa mort
N ·avatl-il pas renté
de m'en prévenir : choisir un am:
~:ieux . ..
31
Pantin
FRAMMENTI ELETTRICI N' 3
Mercredi 2 avril à 20h15
COR Pl
YERVANT GIAfiiKIAN
ET ANGELA RICCI LUCCHI
ITALIE 1 2003 1 BETA SP 1 COUL 1 9'
Con,act :
FRAMMENTI ELETTRICI N• 1
ct
ROM {UOMINil
t·ndil :
YERVANT GIANIKIAN
ET ANGElA RI CC! LUCCHI
ITAliE 1 2002 1 BETA SP 1 COUl/ N&B 1 14.
Contact: Y-.:·v<Jttl
et
Argela
~~·~ci
u.~
LliCCt1i
dEJLJxit:~me f:(!erre
mondiate.
files tr,JJientde lïmmigratian el de 1~
tra11e.r.s
tm
Ef"',..l!{;tstremen~
rurwtc:ur Fm S11pt:r 8 d'une ft":rni!l~~ If€:
ba,'l•.·mit'HI.').
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VIETNAM
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ET ANGELA RICCI LUCCHI
ITAliE 1 2001 1 BETA SP 1 COUL 1 N&B 1 9
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ct An~"lil R1r.r. luc.r.hl
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tournes par 1m sofdat françdis
(J(ll!dr.mt {(J guerre cofontals du V1etn-am.
r.·n~tdfr~
Contact : Light ((>"le
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sep?.re ces images L1e ses fJ!ms de lamifie
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et tes <:"j :stockées po~J.r. f1n~1/ement
dont le Srd~ a ete po1tè a norre ~tter.tion
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Ce film est consrrwl J partif 1!e f,1m.>
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~~s~.aPn :1.;me
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Ll.!~ ~'tl ·:•4J :Jit:''~. li ~ r.1rrlt~t c~ ·1c;;. tc~...te l.- ,i~ r11h·r-l r.: l~. •. nP. r.·~•st C.lt~ tJL~
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rnn<NM1r.11t:. d'avant en aniP.rc. d ~vJnt e<1 avant. o arrière P.n arrO.:.'fc le Il<! -.seur a~ leur nP.xprr1'1c P<J>
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Cr\ gestes e\ CeiJX. a~.rt)lés r1e mil>'liH:S WOic'>que>. CabJret~e<. se.gnet.r. r.mJrt-
SJr1e. 1a mort F.SI ~m; r'~<.Jsquc cl c.:'c)t son n·..:-11hetJr. 1P vlsagP. ~
~llo>p·>Ofesce~ce.
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marque app.:1rail StJ r tJn tond
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1êle mmte mt-rl<:>•tr.; d'une ~ape ~cire . l.J n\\YI ç'.,;t la"'" ~111 ne PfCI·d pas Le dOl i
sest scu,dé f.m dP,Uk .la
~ràct~ prt~~q~lt:: !i.:)n~ corps. SJr~s épl('lerrre
P.t k=J
pré:~m:e ~-:·ctco;qu~
ondulf!r IP.s rues c~ le-,. laçaôes les personnag<c\ cxpK'SS•on-.istes, contP.n,JS
presque Iron r.hunelle. Artilud. BJrrault. Brook. DecrOIJX. Mey<>1i1old.
dans les étaux ne r.c~ L'Spa<:C. sont amputés. se r.nurhent ct ~Tient
Slil·trslaVSk•. Schlemmer. W.gman. Gral••m. R•·ner. Brecht HJ•kala. Kealon.
VJI~ Gert reprenrt la tP.-r;oon p;'lcrale etl• tension r1P rar..~Jr cxprc,;sron-
BL-ckcll ldissèren! oes lrêces P.<:r t... ~'/O.llJiJIII le fOUI d un ac!eur constrt..i!
rlr>!e. Avec elle, la le-ls•on c.hilnge de ndturc eloe :leviErt pla<;limw. elasliquc
mec'""
~u mande un ac!eu r r1P c.nuleurs. rte :.<lUffk.'S. de ligres gëo
tnétr"ltJI!S et n1~1 f.{:o~riétriquè'.i. Trrer w• rote J ch• que foiS de œ flr. rncr. un
f"''""
U! lm>IOrl. qu ava t ~)riS le r110ndP.. SP mlnliliUfl>c dJr<> LJne '""'""'" ên'U?. J)ilr
'"' fg''"'' de b rue du Berl•n de. a-.nees ?0. lxlnr~:>. prust1tuées, tem•"les
de m~n,1ge. Elle r.o"""""'"" p.Jr des irrmol>•t\é$ w..l~>nt<" ct lorn'C p."eSQlte
rOie et "'' çnrps.
L.t.~ rnette..Jrs er't sr:~,e r1P. n r· r.ma 1~1 dt:
le personnage né de la danse et du mime, s'il se loge dans une intrigue, des situations,
l~s
th~~trc
ne s'identifie pas totalem ent à elles. li ne s'épuise pas dans l'Intrigue, ilia traverse. li vit d'une
yet1x. UPe ~r~ s'ensommc•llc. u..e ~vtre s'éveille. tlle ~nnl((: IJ~n,; 1"
;.rorte•lt
rôle naissar>l. Elle preserve la dlffArPI'1<:e rlc "!llv;,~: de :e pe;sonn<Jge fuRillf-
mm~
111.:lvd p.Jrlc d~ lemfl') secret
POI.l' la
JlilS par 1Klontlf•:alion. Elle
!<>ne lE> lais<;,tnt pa'"" ~IJce. e'1 r>e le t•.a~t
.e tord.
s'et~re
et les COJfl' de sur id~ 41Jel e se
•<~ins.
'>OUVBn~ f~cçenl St lr
le
durée beaucoup plus large que celle de l'intrigue. Il tend à une vie quotidienne renouvelée
de ucpl•ceme·>ts cie> ac~eu~
n~n>o<
cl le rllrrH: CQn\empo
par la fiction, la théâtralisation, la dramatisation.
marchE'< e<' "''acte. Il fduf ater'-
CO'\nP. ~ elle·""'-"'•. '" br.r,quc<ic, >echangent tMTédliliP.nrml r.n plil>li<:tlè
th tl5 années avant r. «<:r.Drl'J~~ Ln
Pu>.t tldush se sitUe 1(1 Otll f>No tA..• d(:> c>pt.'CCS renco<1tre ..m~ tmfl'I'•SC. le>
~e sunule.
!.OIS se trOI..ent. les cc<ps se llé<;OIT1r>O>P.n1, cl<:> mecanismes devora<:. fP. ,.,.
~*""r 1@. fTlouvcmcnlsin·p!e non olu ~ SI>I•IP.<Mnl r1 3n> 1<> pnids. tl ar~ le-s mg<·
>en:. Curnrncnt v>1fier ce dé'.e-1 'l~e· Ollle5 f<>rc<,; '"''t separees.
"'\eS r11a~ ~m .m4.! l!l=;r·e L:OI''S~·~ute. LP.
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ra~· pan.
•rt r:hm:henl • sc rt:IOirllJrt: tlésespéré•"lenl dans Ir. rnr.IJrtrc ella dévO'J
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Il la ut du te1T1[1S
dépnuller a•l cr.Md nL" habrludc•.o mu~ re es e\ de
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cvéne1"1e·liS s,r"lrJies, rnusicJux tet myst~­
rr~<Jrd~e·.
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IP.M:>,. LI:> pcr!>Dnnages provel'a'lt de r.e temQ\ .•1nt rt',rr"' <lillurt
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Jn ·10mme assis. rr.:. ns posées su- ..rne
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<l<lublc les personr..:•ges ~ oil r1•n:-c. <lv rn~rnc SO!'I im'Tiédoa:emfn~ dnu\J~! . Il' SC>rrt à la luis J'act&.r et
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C:OI~rOOs,
L:cr!J~. ;d LlL".;. ;mg,l~..~ ~,,ys quL>S 1r1~. w1t de Pf!~l~e~ ~:ŒJrlx!:i. LC
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r;,,., ""'·la r~cr. el 'e p~r
co~p
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))) Pantin
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Mercredi 2 avnt. 16tl
~
ETERNAL CIRCLE
TANZERISCHE PANTOMINEN
H. SEGGELKE
1952 1 BETA SP 1 DOCU. N&B 1 12'
SUSE BYK
1925 1 BETA SP 1 OOCU. N&B 1 MUET 1 3·
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hJr7J!ère rovgrmy;'Jfl!e, apparaissent de~
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lx}/1/IE!S.
H~r.tlc
Mercred i 2 avnl. l8h
Musique : rlledricl' W1kk<m'
Interprétation : V•l.-•ka Ger:
Contact : C "ICmdt'l•~ .JP.
Chorê2raphie, interprétation :
))) Pantin
maquerelles.
pro,Muee5 pro venant du B"r/1.~ des annees
20. 1" réallte est ph:s vaste qu1: !e reve.
Contact : Cu"'~Ma\hèquc 1~r. I,J
Dt)nse
le rntme allemand HiJralcl Krt~uzber~. joue
i.mr~ mort Jg1te. noire et
le rOJe de la mor:.
phosphorescente. qwluc c!e.; persan.'l,~ges
rirJiwl~s.
Quel es/te potJO"Oi(, <illr:lle est ;,,
ftiSf(.'~~-,~ r;u1
humain<·.
sep"rent dans r esnc~':r~
i;J grlice el le Ct"G/esque 7
V.Jicsk.J Gf:rl est une des préscnœ; lus
p lus plasltqu.:s rie 1/Hs/air€ humaine. flle
rouma
av~'C
Pdb;l, Fel/mi. Sch/cmdort. En
elfe p.1sS€ remotio11 ri" l'espèce humaine
TOTENMAL
WOYZECK
ANONYME
JANOS KENOE
1998 1 BETA SP 1 DOCU. COUL 1 62"
DIE KLAGE DER KALSERIN
(LA PLAINTE
DE L'IMPÉRATRICE)
Chorégraphie, interprétation : .~:lse r N<tli
PINA BAUSH
1989 1 BETA SP 1 DOCU. COUL 1 104"
r.•rJ rfcve:-ur.
1929 1 BETA SP 1 OOCU. N&B 1 MUET
1 12 "
Chorégraphie, interprétation: Ma·y W1gman
Contact : C••1érnathtquc
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Mary Wtf?<Tl.:llllll,m:he. di!nSoi! au crulteu de>
morts de Id guerre rl" 14-18 Elle trace. en
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Contact: C•n ~r'idlhequ" rk '" 1J~11se
C.:aç;tJr,on r}l~ I;J r:horègrap/1ie. mise r:r•
scene d 'apres ia p1tn' • VlaJo7e.:k•.
t"œa.:vr~ de Georg BJt:l•fiPr.
dawé~
Choré~raphie : P•r• Raush
Interprétation : Pwa Fl"llsh. l~ Conp.l)(riiP
l'ma 8JJSI'o
Contact : C•nérnJthcquc
ne '" llJrse
r!'Juc.:ur, en del·é unC! ltgn•! entre tes
vi v;'' ifS et les morts
S: r~s é!~tt'i dr!'i nnos sont en marc.~tJrrx,
la terre. les 'm"iM(!S ;.•iJSSt. Un chenur
co,sMuê L1 esoui>~e.-... dt:J trernbfè!llents.
l:' oscJliiiti_ms passerrt e~~~~re ce.s fragn,et~ls
1.10 d!{'''· de natüre, de viN~!. cl mMg~s
.1'
HARALD KREUTZBERG OANS .. ETERNAL CiRCLE»
ll,p Ul
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n~Jn
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Pantin
-
Mercredi 2 avri l. 20h
JOSEF NADJ
JËRÔME CASSOU
Pantin
APPALACHtAN SPRING
STANCES 2
Mercredi 7 avril. ?;>h 15
PETER GlUS HAN OK
1958 1 BETA SP 1 DOCU. N&B 1 30'
JËRÔME CASSOU
Chorégraphie, interprétation :
M~rth,,
D1vcrrè~
Décors : l' "" .1 flollll,udu
Contact : Cuocmdthèaue de la Odnse
Contact : Jérôme Casscu
M,JrthiJ Grafiilm JOUe le roli! cl 1111 j"urw frll<'
N~~ J
animer~ fM t
C"'"'"
ft1 timit€
avei..: les d~":ln.sevr$ ~n rerJtJtilmn.
fxtt;;ûts
d~ ~ 1e
r!tJil~ 1(! ~ùu.: ~
1amour.
C;;;~taiiOll
du solo Stances 2 de
Catherine Diverro<s Un des plvs be,,ux
solo de la cl1orégraphe.
le corps devient un coeur qvi bol. qui.
~ans
ce.,se. s'ouvre el se replie sur soi.
r.·l ,..Lt.'S
Veii!~:;IN.,..,.
NIGHT JOURNEY
7 FEMMES SUR LES TERRES
DE WIM VANDEKEYBUS
MARIE-HËLÈNE REBOIS
2002 1 BETA SP 1 OOCU. COUl 1 52'
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1961 1 BETA SP 1 DOCU. N&B 1 29'
Choréeraphie : Martha Gr•~'"''
Interprétation : M<1rlhJ Grdtam cl Paul Taylor
Musique : W1lham Scllul"'lan
Contact : Corén-dthècue de a Danse
Choréeraphie :W., Varde<eyb$
Interpretes :
r~,JL...s.mc:c dt~
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Rencontre &.Nec ;e Cflcrêgrc'iJhEJ Jos~f f'htd.J.
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Contact : .le•ôrrP.
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Chorégraphie, interprétation : C.:ll'>e•ore
Grah;,m
2001 1 BHA SP 1 DOCU. COUL 1 26'
Chorégraphie : l'•Se'
2001 1 BElA SP 1 DOCU. COUl 1 13'
Ars Alvare1. 'Aar1e
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deux fois son s;;ersonnage au cosmos :
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La folle nuit du court
Le Couple dans tous ses états
De la QIJête de l'autre ala rencontre, du quotidien partiJé avec sa complitite, ses baisers, ses petites disputes.
ses tromperies à la lassitude, au dotrte et à la séparation, cene prouammatioo vous invite. le temps d'une nu il
à olmr'ler des histoires de COIIJlles auss1diverses et variées que troublantes et attachantes.
JI)
Pantin
Vend red 1 4 avri 1
De 22h15 à l'aube
-<:&UN JOUR
"\!u", 2~
avez
a·1s el vous êlcs célibataire. Ce nes! pas très grave. Vous vous rassurez en
VOJS disant qua f'ari"i une perso·lne sur trois est dans la rnême Situation que vous. Vous po.-tez
brd. V(HJ~i YiVf~/ ~n(lrl iiVE~C lhl(!lqu
Url. C~~St
le bontH~IJr ... Vous
poUV€7
snober fr.:ln-
chemert la Sa1111 Val~ntin el alt"mer sans fausse provocation ni hypoms1~ que œ~" llP"'''tion
·"'""'·"'" ... ~l" exhibent vos attentes. les plus douloureuses: trol'ver 1àme sœur, rencontrer le
ccmmerciale est un vrai scandale (rTJais vous n 01.rbl1ez 1amais d appder votre mère le jow de Id
p(ince r.hf.lrn,r.m1.
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des rnagazmes 'emin1ns. et
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déprm1e. VCliS décl111eLrnêrne 1•witJtion sous un prétexte 1ou1ours ur peu plus pall1étique <i vas
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f~Jit fr~::;sor1m~r. FI oui. 11 y él quelqu'un d'r.3ulrt~ dtms s.2l v~~. FI c:t-'!tl~ déçotl'lf~rte vous inflige non seule-
yeux. 'Jm.s critiquez votre meilleure copine Cllat·lotte depuis qu'elle ne passe plus se> soirees
rm!rllla dOtJil~IJr d'Mr{~ tmrn~)(i(~~} mt:Ji!-i i:H.J~~~ l'hurn-11 1
.-:t:icm cl1m ctHJP1(~ atlL~Itèfe qui canvole dar1s
des
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ilV"c V(>U~.
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c~s. t.m~plt::~
qLJi prH t':1illeurs !ion\ vcb
mc~11cur5 ~rnis.
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pendue au télèp~one, evoqJant tm.s ses rendez-vous m<1~qués. ses plans f01reux, et
vot•e dos. r inis les
bais~·s
langour.,ux. les te·1dres caresses. les coups d'œil campliCCOs. Plat.";, la
~uriCJJt rh: puis ~li elle r1e se déplace pltJ> '~n> wr jules quelle J rencontre ~LI manage dune
rancune. aux pet1tes aweurs .. Ses sales manie~ passees er revue LJne ~ une. Son pa~um.
cousine. le corn~k
e1·core présent SU' certarns de vos vêtements, q~• vous met les larmes aux yeux Le manque et
lj~.J r:dlc.:~J1e s~lon
vous. VlHJS
h,n;.,~cz le~~~
gcms qlli
m~ vou~ 1Mrl~~r1t qu<~
de
f~m
rno1t1e. Voc.s clamez haut cl lo~ que non, dècideiTJent. vou5 n êles pas lail(eJ po1Jr lo vic de cou[ile.
la colère. CoupiP- interna au cœur. meurtri. de IJ destruction d ' un couple. Vous vous separez.
que .a rout.ne. le train Irair. les habitudes, bien peu pour 'lous.
VoliS"""" ce l'"",;; pr1vilégoé qui vous 11~it ill ill.;rc. Lii viP. dP. çotJrle. son ~uotrdren. s~ routine,
llll IUIJr.
ç~
y est. LJ rerccntre a erf1n 11eJ. C e>t presQve le coup de foJdre. Vos regat·ds se sont
vcus manqucnl. Airoceme~111. Vou~ n'tlurii:L jamdis 1m:-Jgjr\é. Lf~ ft!mp~ pdS..<.tt~.
cre)!"~' illl ~IJp(~'MJrché de •otre quartier. •ous e~ avez fait tomber vos carottes râpées et vos
H1e•. vous n"éle5 pa; bien s,ir(e). nl.liS oui. ent1n. peut-être rtiJC .. h1e1, il se pourrait b'"" q,Jc
yaourts 'ldtur" btu I!X~ra llght
•ous ayez rencortré quelqu ur d ac.tre ..
ra~
ne ~x11t prtdis ... dans.l expectative. VO.JS gardez toujours IJ ltgne.
a1ors que ta"'lt d autre~;;; ~!~ s~~ra ~nt !~te ~ur I'J
VDLJ'S !) et l'altlre.
IO.ICh>ydc~J
~>ouftc! ~Xll~r
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qm1 ~~~r·:;{~r
püru~~r..lnt (~1
DP.Ja. vo.Js èchanger•ez hier· vol•c dWl1brc de bon r-E'
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~~~~J r rt'ilnq ut:
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~ù '1l w pi!JS g.anrJ. A
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39
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VOILA MON MARI
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afin qu'li cammand.te :sa dernit?re rnventton. Mats
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invite a î.1ejeuner l"lltl de ses vtei..',X:
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Qul.' ~l~ iJi1S~~!·f-lf sur rleux vi:,agc5 r u~fe avant un baiser? Lt juste a prEs
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Interprétation: Chr~>tl"l1 C'id•rrcni"PI. Benuît Mawmcl. S1mon Sport1r.h
Interprétation : François. Morel, K'ISlll' Scoll-H1or•iJS. Jcaruroc s~udiUrl
Interprétation: Moussy. S~rg~ Ger,~n~
Contact : Agence du court métrage
Contact: Agenc<O diJ r.ourt mélr•g•
C'est l'h1s/alfe de C!Qire. amie de.s Belles Lettres, tnchotillonklmaqwe à ses heures.
Un COtJple homose.xtle1 dans li.l vie de
C ést àUSSI 1histoire de f'ierr(!. m,m attentionne. Vaguement ObSeSSionnel.
If a une "envie" de caviar. Son amis "eftort~e de le Sdlisf,<Jirl~.
rr1iJIS ('inspec:fevr b/ên·ut,
Contact: Age·1ce du cuL!'l mèlr"~"
ro~1s ff~S
iO(JFS : nm
il·f~ux
est enceinte
Sebast1en passe son perm1s de conduire. Il realtse un
r}
déCOUVre Sa femme
c1lJ
cr~11eaLJ
brcJS d (J/1
sans faute
a~Jtre
homme
NADINE
SCÈNE DE LIT
UN JOUR
MARC SALMON
FRANCE 1 1994 1 16 MM 1 FICTION COUL 1 29'
FRANÇOIS OZON
FRANCE 1 1996 1 35 MM 1 1,66 1 FI CTION COUL 1 26'
MARIE PACCOU
FRANCE 1 1998 1 35 MM 1 1,66 1 ANIMATION N&B 1 4'30
Interprétation : Sal;>i11~ Bail. c.t~er '1e l:.rl1ardy, Jean LLIC Barras
Interprétation: Valérie Drugcel. rrançois DtldiV<!.
Conta ct : Agen<:e d Il r.m,rt metr@ge
Sanchez, rrançois Centy, f'a>r.•l Arbillot
Contact:
Contact: Agence d.J court '11P.tr@ge
Un iour. un homme est entre dM> mon ventre .. A.,ssi. ce lui un choc
Une fcmrrw d'un e trentame d'annP.es se rend a une
sair!~f~
org;Jmsëe
Varri1tian amourrwse autc.wr
par un club de rencontres dont elle est adherente
42
ù
NËNESS
d!.l ~ept
c.m,., J~ ry.
LIIC:I"
couples çms dans 11!1 moment d 'intinuté.
Voix :
C~ns!1ne
t:agneu<
Ag~nŒ
011 r.mJrt
métrog~
quand il partit.
ROUEN, 5 MINUTES D'ARRËT
TAXI DE NUIT
LE PETIT WEEK-END
INGRID GOGNY
FRANCE 1 1996 1 35 MM 1 1.37 1 FICTION COUL 1 15'
MARCO CASTILLA
FRANCE 1 1997 1 35 MM 1 1,66 1 ANIMATION COUL 1 10'
MICHEL BERTROU
FRANCE 1 1998 1 35 MM 1 1.65 1 FICTION COUL 1 20'
Interprétation : K~rlne VIM~. s~rgl Lnpe7
Contact: Agerce du COLr1 metrage
Interprétation : Ar•\c)lr'" Ct'"PP"Y M;~r lyn" :.nto
Contact: A~~nœ rloJ court m<;lr.Re
rarr:e qu il s'est aven/ure 1'" so1r dans la 42' w e ~~qu'il à rencontre 5/;Kks,
Contact: Agt!m.:~ du L..:ourl mè~r~gç
Un dimanc/1e. M arguerite, icunc rouennaise enceinte, r~r Ma no. un m"rin
espagnol en transit. font connaissance. le temps
d'atre~ndn~
un train.
IHI
C:JlçJUffeur de
~.,xi
va eire condamne ..
nlO it.
(D'apres Boris Vran).
JJcqu<2s el Irene debarq.,ent la nuit dans une p et1te stJfiOil ba/nea,re
<1e
ra côre normande.
Ifs entretiennent d epv;s peu une. r;a,son
\.
-Qt DES
~.LES
MORCEAUX DE MA FEMME
.(>
VOYEURS
~cr
LE BAISER
LA PART D'OMBRE
ANNE ET MANUEL
CAILLASSES (DAS RAD)
YVON MARCIANO
FRANCE 1 1999 1 35 MM 1 1.85 1 FICTION COUl 1 11'
VALËRIE MRËJEN
FRANCE 1 1998 1 BETA SP 1 FICTION COUL 1 2'30
CHRIS STENNER. ARVID UIBEL ET HEIDI WITTLINGER
FRANCE 1 2001 1 35 MM 1 1.66 1 ANIMATION COUL 1 8'
Interprétation ; Natalra Dontcheva, Ber'lard Verley. Perkin> Lyautey
Interprétation ; Anne Curr>igny. Marruc·l MaLdudrcr
Voix: M •c~ae Hahek
Contact: Agenc e. elu court métrage
Caniac! : Va ér•e Mre1en 1 E-r1ail : v.rnrejcn@wdnJ~uu.fr
Contact : Age~r.e r111 r.nurt 'T1Rlrege
Que/(.jw?s minufe.'i rléciswe5 dans la vte d'rme jeune femme
Un couple prend l'aperitif a(}tour d'un guendon
Plan tes sur une colline. Hew 1~! Kcw, deux brmshomme.1· cJe picrr~.
LA FÊTE DES MÈRES
HUGUETTE
CHRIS VANDER STAPPEN
BELGIQUE 1 1999 1 35 MM 1 1,85 1 FICTION COUL 1 16'
VALERIE MRËJEN
FRANCE 1 1999 1 BETA SP 1 FICTION COUL 1 3'30
Interprétation : M~ riP. flunel. Hélère Vincent
Interprétation : Daniel Kenrgsbe.rg
Contact ; Agc,nr.c du r.o u rt mP.tr•g~
Contact: Valerie Mréjeon mail, >.mreJen@wanadoo.tr
SachJ. une jeune femm~ de 32 ;JrJs. a enfirl decidé d~ rcv~lcr "Jn
Un
surplombent la vallee dont ils observent J'actiVite avec rn/erêt.
har7wsexual•té a sa
de la
mere.
homrn!~
Soudarn. l'homme apparait, etl histoire s'accélére ...
i.JsS'·" iJ,'jns 1m G·Hh·JtJé
phrlr~
rJ€!
~nn
iJmle Huguett(!.
Pour se jeter J leau. elle choisrtle week -end
r,;re des meœ.s et pour tvi faire avaler iJ pihi/e,
elle l'invite dans
un cen!rr. f!ï~ thrJiassotheraple.
CLAU DE LALLEMAND
FRANCE 1 2002 1 35 MM 1 2.35 1 FICTION COUL 1 17'30
Interprétation : Valérie K<lP'isky. Laurent Poitrena ux
Contact: Agence du court métrage
Anloirrc P./ F;mny sont rnarié> depuis plus•eurs années. Fanny trava1lle
DES MORCEAUX DE MA FEMME
FRÉDÉRIC PELLE
FRANCE 1 2000 1 35 MM 1 1,66 1 FICTION N&B 1 10·
LE SIÈGE
YVES-MARIE MAHË ET SËVERINE BELLINI
FRANCE 1 1999 1 BETA SP 1 EXPERIM ENTAL COUL 1 4'
FENÊTRE SUR COUPLE
dans la pub. E/11! gdgne bwn SiJ vi<.'. Antoine, lui. est m; chômage
J'ATTENDRAIS LE SUIVANT ...
Interprétation : Grltw.rto ArP.vP.~Q. ''kolas ~.hr~h~m. Marte 1a plume
Conta ct :
Ag.,,r.~
nu r.m .1
mi:tr~ge
Une h1sroire d amo1.Jr qui n'y ressemble pas toul (fe
S!JI!l~.
PHILIPPE ORREINDY
FRANCE 1 2002 1 35 MM 1 1.85 1 FICTION COUl 1
s·
Interprétation ; Yves Ma·re Mat1c ~• Sever ·re tlell•nr
Interprétation : SophiP. forte. 1~nma s G~udrn. Pasco• C:asanova
Contact: lrght Cane 1E-mail : lrghtcone@lrg'Jlcone org
Contact : AgP.nr.P. nu r.ot,rt
QuJnd Id guerre des sexes retoml la luttE des c.~oses.
Un
hamm~
qul'!tc l'amOIJt
mP.tr~gp.
ci~rl.'
le mNro.
43
,fJ
)J) Pantin
Samedt 29 mars a 1611'
·.r
Dimanche 30 mars
~
a 16h'
lundi 31 mars à 13h4!>
Mardi 1 • avril
a 13h4!>
•Projections suiv ies d'un goûter
n J À part ir de 2 ans
LOULOU ET AUTRES
LOUPS
FRANCE 1 2002 1 3~ MM 1 1.66 1
AN IMATION 1 CDUL 1 50 '
,
Ecran des enfants
Personn~ge,
r lé ~-'conte, e l<n tp est. dans
C:P. prngr~r1r1e, t :llJ rn~ Pr'l r1P. (~S,iO "'' et L1éc:liré
dilr'~ 1k~ •~'liVc~ r-:,.
cllff,·:mrlts r.t
•rw~~~~fs
lovfov et ~~vtres i:;wos est L1n pro}.!rc.HrHIIC
Pour la troisième année consécutive, et particulièrement
pour l'édition de ce festival 2003, nous avons désiré
un rapprochement encore plus fort avec le Festival de
Court Métrage pour Jeune Public de Stains (du 24 mars
au 4 avril 2003) qui, grâce à son originalité et à son
savoir-faire, en fait pour nous, un partenaire exceptionnel.
Nous avons donc travaillé ensemble et choisi de vous faire
découvrir 3 programmes communs à nos deux festivals.
r.l 'an~rnatton. destt~é
"'· trè> jeune pu~''c
Il P.St r:nm7l·~P. d 'lm r.ot.rt-rrP.fr:jgP,
~P.
27 mtr ulcs • clopl.;
~"
cell:hrP a lh.•m
d e GrcY,oir" Sulula·cfl pu bite ;, I'È.:ol"
Lies loi5irs, loutou. el de
'T'etra~:es realtsés
~udlre
cuurl>
par des a uteurs
graphtques ~e ;:r~n!l~ n·.gm~lllè. f'lliltnpe
Petti·Rnul<>t, Fracçots Chili"!. MMe
r~1illnu
1!1 R t:t 4·~ M\,; Guir..:.
A >d '•<.O't. cl1dCCJn de ces pelis 'tlr1;
L~ )!.p ore Lme vo·1
e oJ rt"tcu llèr~ oe l'arf trldltc,r,
(C ~éat,or e! ann11at tcn 11 n;ç~e mer! sur
crdt rah~IJr J ~~ i nvent~
.Jr P.
noU 'J P.l l~
Cf:
r?J:"'.(l"\t(~ · I' IJ II P r.f.~
plliS
V I~ 1 P.~ h ~stc!l r~S
elu
·p wtc: (~.
mar ère
Le:; L:Wq 1tlm 'i sc.ml C:;.:r ·.!. pc:H JC.i:l'' - L.tc:
Frt!f'lt.'tlla cl Grêg:.wc S.Jlot.;:lrc rç.
J)) Pantin
MARIE K ET LE LOUP
LOULOU
MARIE CAILLOU 1 7·
SERGE ELISSALDE 1 ?7'
Mercredi 2 avril à lllh'
Jeudi 3 avril à 13h45
ror.-morJo!l. JOli job. Ma1s p,are à 1;; concurrence
lemps d'ete au ;J.lys d~s lliJins. M,lls.
si ~ loup qw vous serf d'acces.-cire. à votre
tandiS qu e rom Se pre!aSS~ S&f l<l OliJ;JI'.
place ri!•e des ·asseolf.
!ln dr2me se ;aué' azt~:, le socis-txJEs.
J
1oulnu. !e Jf!lltl•! IO.Jf.. su rmm:J\If: ~r:IJI .:Ju
r "
mrmde Comnusll S.Jtv;'wc C,JLJJf1d on ne
sa;r ru cc qu'on esr ,--:j c.~ q.., f.m esr cens-é
MICRO LOUP
a 13h45
San1ed15 avrol à 14h"
LE MAQUIS
COURS BELSUNCE
"'PnJjections .suivies crun roûtet
ABDELAZIZ BEMMEHDJOUB
ALGERIE 1 1983 1 35 MM 1 1.3 7 1
FICTION 1 18 .
AUGUSTIN BURGER
FRANCE 1 1998 1 35 MM
FICTION 1 33'
Inter prétation : Zahr,, N·:,c:lwlcllr
Interprétation : M~ste'a 5t'r'. Axel Aidan.
J JJ À par tir de 8 ans
manger.' Adopt= pu.s repud'e par d~s
RICHARD MC GUIRE 1 6"
lipins. lovlaLI va
Monrre.r le plus petit ''''-'P dv monde
à New y~,k. rJ'm:a>rrl. Fm:ort! (brJI-il vr:illr~r
à Le que re p,ouh} rzr.· c:mqac JhJS
fd
Gm:;se
(~,.-e son aoprenVs.s.1g~
entr~
re ronfort l"1oumet ~o tertfP.t P.l 'E?5
p(:rt!."i
ri~!
!.V1t:'
b fod't.
A,J~rJet,;
rlt!S
rJiffr:rc.'Nc~:."'.
RrllrUk: .1t;stairL: fic: fr)fc~r,.~rlC'C
Ce programme i nvite le jeune
public à découvrir l'Algérie d'hi er.
1.111 acfv'escen: asp.re a rnontèr au maquis
1'bprè.s-midl. rJu bord de I,J mer, ri déctde
au moment de la guerre, du côté
qu f~
~::
rJ'amit1t:.
Pomme.
algér'1en comme du côté français.
Distribution : GébèkJ
4(, r,l P
r,1~1s .
l''-"" Sé1"l~r~.
(,\JOO/ 1 yr.r
T'ES OÙ MÈRE·GRAND ?
IRI.: 04 i2 Il f,/ ?1 f~x : l'l* ~~ /& t)~ 61
FRANÇOIS CHAlET 1 6'
c-rrtJ t :
r.·~-r l'heure du gcürer ~~ Mè~
a clJSf"""
Vendred1 4 avril
Crand
1 oup et Chaperon partent,; S<J
rcch~tr:.'Jc.
1
1foétgr:t:r.ki3f1lrr1·-.J:l>rn
l'Algérie en courts
S!~
c: ·~~sf
Il !
pu :scntc
tr~irlÇJis.
,1 Mar'SeJIIe. enez s"n O'":le
évoqué l'Algérie d'auJourd'hui.
LA BOiTE DANS LE DÉSERT
C'ÉTAIT PAS LA GUERRE
AlEXANDRINE BRISSON
FRANCE 1 2002 1 35 MM 1 1.85 1
FICTION 1 25·
Bo~r.~ llé. t'l.1n~
""" q,,e,,e. s.~ns oublier tes dents
s1irr:menr le VhJS •f""''portQnt.
BRAHIM TSAKI
ALGË.RIE 1 1980 1 35 MM 1 FICTION 1
20'
Interprétation : IP~ fm'~r~' dP. S (. Y~mwl
Les enfants !Je SICI• Yacoub. riim.Jssenl des
d~chers de ferraille pour confectronner cl~s
n1<:!chmes mmvscvles pour fO<Jer.
M,"'rte. 6 ilf1S. observe !es ev~nements
qu• oreceder•t i'incf<>pend:;mce de I A!geri;,,
:-w-J i t!-.
l'1 es pcits. t."!es yeux. at:?s f)Jfrcs. des ,,rci'1cs.
D1i!mel.
po.;" ra premiè•~ r,;;s
Dans le prolongement de cette
Histoire déchirante et brutale sera
H'!tlll"l. M-trtu~f!: Sr:hambèlC"her
1-iommëlge '~ Ji1CCJU(:,c., Prl~VC:fl . . If f,scJl
rn~re.
~m.r.'i le.·~
rl~ barqv:
Lt c'est fe drame ..
Interprétation : Jô,Q ues
PHiliPPE FETIT-ROULET 1 5'
ln voyé d'A ip,érte pi!t SJ
8 ans.
Ç.e Vii swinguer sur lcJ planere.
POUR FAIRE LE PORTRAIT
D ' UN LOUP
Nasstr1 Ki!d:1CI.Ir
morm:nl cu 1 jtJm~ns. 1·O<:r:o)sior'l
fmils rf1m ïUIIIItJm:
1,85 1
c11mpu:mJrŒ (es adultes sub1ssent
W YtOff.' r !Ctl s~m; fw rionm·r île r:f(!.
Le s ,·rcr~~c des t3d!Jfœs cs; une~
vio!cnc:r~
ae fJhJS POLJr :·enfa.··,l. Qll ·~ l[e etnporterJ
d,l1S sa v1e d'Jcrul/e.
45
J)) Pantin
Samedi 5 avril
a 16h
Projection su~vie d'un g.oUter
JJJ À partir de 6 ans
REPRISE DU PALMARÈS DU FESTIVAL DE STAINS
l:e programme pennettra aux enfants du Festival de Pantin de découvrir une sélection
de films en compétition primés par un jury d'enfants au Festival de Stains.
LE FESTIVAL DU COURT METRAGE POUR JEUNE PUBLIC NAÎT
EN 1988 AU MOMENT DE NOËL À STAINS, les progrJmrnc> courts ci\toy~nt IPS
l'dd ~1o11~1r.l~ f1lr"IS d~ fin r1
;1r11éf!:.
Qu(1tre éH1S plus- tard. beaur.:cl)p ::J'enthousfdSrl'!t:! cl de p(~rsf!vémnr:P
so~lt venus~ bout ct~ r(!~l~t.ances: 1~ ft~st1val prP.rd son envoL e'ltièrernent dé.d·é aux cuurls ml!lr~Rt~s.
Celte •na1i!estation unlqLJe e•1 ~Or\ ~cme -lil pro'l1o1 ~r des ŒIJ 'Ir?.> courte~ pour eotanls
c~tée
d'année t:r'l
diJ .•"Y
~~nnée
par le ICWH!
I.H.. llhr..: qUI i.:ür!':ilitliC
ur\ 1ury iJ par1
p·o!essiçnnel. JarTlais à ccurt d dées (furcélr,entl. le
r.ompétJtlon devient mternat10r1ale.
qu(; pQ..Jr
1~
pmrnoticm r1'1Jn
:::n suivant le
c::~ur1.
le:::.
œuvrar~t 1~nt
~mP.m.:t
~~~:.ltH'~ :.~
V<i
~rc"IC! IJ'l 'lOIJVel
poJr la decmJVerlt.'"" du
pdtrirnoim~
~st plébis-
son ::mx a cbté
P..,, en
1994, la
r.jnf!m,ltograpl1ique
d'auteur auorès elu Jel..ne publ1c.
·cn:Qnlrcql, sE-~ c:ong;gue-nt. DP.p ~1i~ trois ;ms Ci.:~té covl el S:ain:;
a1!1ent leur bo"lre hLJmeur et e.Jrs compétem.·c:.
thf!miJ~~'llJf!S
fc~l
ent1f!r~ tl~ril1.J~nt
rnédits at. jelme pJb c. Cette
r~lt:v~nl ~uu:. ~~~
a~wéc,
dd1:; po.Jr
pré:o.P.nt~r
encore, es t!nfanl':i. Ll!.! P·<.mtin
nnmf!s a Stains: de l'ar•ma1icr aux images. CJ rèel drôles
Dll
oar'o s gr~WC$
n<JI\;
des 3rogran"1,es
rh~r:rhJvr.rr,nt
:uL.,rw·s
les f1lrrs
r1'1JnP.
QUél1 1~c. Ces c:ourts aHrRnt un tour rrrnr 7nn de la création cont~mp(Jralne lc~Jrd d1lerrw1e.: pour
g'"?!r"'rlP.
rlc:par.a-
ger tuus ces rê:dll5a\l1Jr~ 11c talr.:n~ CI.Ji rmus erwnie,..~ de Ofl:tlts. tl ms rJu rnonde e·1tier Le cllou..:huu rh::
•.:Jo
prograT·natricc se:ra-l- 1 lt: rnf!rne QLJP. cr.:h~ r.~ ·1n~re jt'!une p..Jb r.: '! Reponse le s.?.·nedt 5 ~lvr.•. i3 CUle
coc 1 bien slir
46
RTT
DE L 'IMAGE DU QUARTIER
FAlZA GUtNE
2002 1 BETA SP 1 LI'
ENQUtTE MENEE PAR JULIEN SICARD.
MAlEK FOOILI, FAlZA GUÈNE, GUY
BÈNISTY ET JERÔME POLIDOR
2002 1 BETA SP 1 1l'
Interprétation ;
M~lek
K~ddra Gu~ni',
et llamza
~odolo,
Sonoa Chokh.
(hros•onhe Robct.
NJbil.l Re7kallah
De TFI
7rlhra. mer2 ce/i baliiire. part<Jge
diNrôlement son temps entre S<ln travdrl
el l'éducation de ses tro•s enf,mls.
ti f'occasron de .<iJ cm:rnii'"~ jO!Hnée
de RTT tellf: rlr'r:rmvre que son fils aine
,; M6, lnulc.s IL'S te/ès er1 parlaient:
l 'lN.Sit-CU.R/. Tf!. Et les couoables etJient
monlrés du doigt : les jeunes
et/es Cilës de banl•eue. Contre·enqui!le
sur
lill
S()Jel re,Jiise pa r Fr;mr:c 2
en fe vrier 2001.
D'ICI ET DE LA-BAS
SALE REPU T'
JULIEN SICARD
2002 1 BETA SP 1 14'
Les Engra•neurs est une asscdat•on ela bl•e à la Maison de Quartier des Cr>urtillert:s à P,mtin
dont l"objer;t•f est de faire
en développant
de~
eme.rg~r
rmc parole cl1ez les jeunes des
proJP-t<. aud<Clvisuels de
proximite~
qu~rti.,rs
dits sensibles.
pebte ou gram!<: portée.
Chaque prOJCI ne hlm issu d 'un trava il rndo~·•du el ou r.ollo:r:til en ateloer d'écnture e>t encadré
par un réalosateur adulte Les adhérents participent
folms : écroture. tournage et montage.
a toutes les étapes de fabrication d"~
Interprétation: I>Jbeo'e carré. Sooia Chikh,
M•l~k Fod tll,
Mourad llow•otJI!, Guy Bl!ni•ty.
Jcan·C~r·stophe
flollv.,l, D1aby :>ou cour~.
Bernard Rfçhard. Bons Scgu •o. ..
l / ne journaliste de /tilé est chargee
cïenquêter sur le phenomP.ne des rend~"
dt! ,e,mes
en ban!icue. GrJCt! ;} un lJ/111
MEMOIRE DU 17 OC TOBRE
1 961
el sa fille l11i mentent de;J<rts long/çmps.. .
Les Engraineurs
~:>
LARB! EL KOUH ET JULIEN SICARD
2001 1 BETA SP 1 13'
FAlZA GU~NE ET BERNARD RICHARD
AVEC LA PARTICI PATION DE JEAN · LUC
EINAUDI
2002 1 BETA SP 1 17'
Scénario et dialogues: L•r~i f.l KaJt·
Interprétation: At..doulaye N'Diaye. Félix
Benr!Cl. Mdrndduu Kend. Sad o Oour.oun;
Mo~madou.
J 1 ans. est renvoyé de cours
Convoqué (l<l' le orincipal. il apprend
q u'en Frilnœ. la paltlesse exige que
1or1 "·'Cilfde les adultes dans les yeux...
.<I
·~
A l'aris. /~ sorrd" J 7 c>ctobre 1.96!,
la police trre sw d es m,m;f,si,H>Is
P<'crfrques. Deux r:fYIIS morts selon
les org,,ni,;Jicurs deux selon 1<1 préfecture,
cfir~é" à l'é(lO(Jue par un certam Maurice
P<Jport. Rencontre avec quelques un.
de ceux qui.
maigri! l'Hr~taim rJI/rcicllc.
n 'ovblreronlJi!mais.
educateur, eiiP- riéndrc d.Jrts une c•!'ë.
ac.:ompagnee cJ'r,n c.3meraman et
d'vn prP.rteur cif~ son ..
DISTRIBUTION ltJ l es Engraineurs. Maison de Quartier des Courtillières, 93500 Pantin, tél: 01
49 15 37 00
47
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48
BREF
est publié par l'Agence du court métrage.
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l'ordre de l'Agence du court métrage 2 rue de Tocqueville 75017 Pari s. Tél 01 44 69 26 60.
a
la colêre ouvriêre, comme l'exploitation des travailleurs immigrés, ne fut longtemps abordée que par les
cinéastes militants. Il est vrai que la censure veillait. le cinéma militant savait la braver, osant la diffusion
et Je tournage clandestins.
Petites morts et Grands soirs du cinéma militant
L
es liens entre le cinéma militant et te film court sembiMt places. a pnon, sous te signe de
des ftgures communes. quasi •ontologiques• (et souvent tauto:ogiquesl de ce cinéma. Il y a du
monde
a l'écran, les images ayant pour ob;ectt de mettre en mOtNement. à leur tour, des spec-
l'évidence. Court par nécess·té (économique), le cinéma militant l'est parfo·s par souci d'efficacité (po1•tique) Cinéma de !"urgence el de la précar"lé, voire de la clandestinïé, le cinéma mil~
tateu~-<:amarades .
tant M également. dans la plupart des cas et pendant longtemps, un cinéma de la comf'lande.
stigmatiser l'adver.>aire et de tatre na"tre de no.svelles sol dartés. Un plan peut doonc ghsser d'un
Mais, parce que les mct.s militant et mtl.taire ont la même rac.ne, parce qu'il y eut au
film a un autre pa-ce que c'est devenu un symbole. ou disparaltre parce que la 1gne a changé.
cou~
du
XXe siècle tant d'espoirs polljjques déçus. souvent tragiquement. un VOile pudoque semble avoor
Les images de répress· on, les blessures et la IYlCrt permettent, elles, de m eux
Plane sur ces flms l'ombre des •grands anctens• (Etsemstein, Vertov, MedvedKine, Karmen,
qualifiée de cmn•tante•. Cause
Ivens ou Alvarez) dont tes constructions esthétiques sont devenues tout au long du xx• siècle des
annexe à cet effacement majeur , pendant loongtemps une part importante des histo'res du
mamères de penser et de représenter te pol•t1que. la geste révolutio11naire ou l'infall'e répression.
recouvert toute une producton cinématographique, fort
dtve~.
cinéma fut écrite par des auteurs goOtant fort peu !"histoire sociale, OIJVri~re ou pol1t1que.
Comme les images passent d'un film à un autre, certains de ces cinéastes traversent les fronM-
Il est néanmoins posstble de répondre, par étapes, à celte question crypto-bazinienne •Qu'est<e
res, vo'ent de pays en pays el, en fonct.on des réalités de la lutte, du romantisme révolutionnaire
Gue le cinéma militant ?•. Le cinéma mtl!tant serait en fait un genre cinématographique i n~me­
ou des impératifs stratégiques, les villes ouvrières et les terres étrangères se transforment tour à
ment lié au pol1l1que et à l'histoire. Un genre cinématographique avec ses codes, ses récurren-
tour en épicentres de la production m111tanre. de Besançon
ces, ses références et ses •périodes•. dont les points nodaux seraient, ce n'est pas un hasard,
Palestine en passant par le V1etnam.
a Saint-Nazaire, de l'Espagne à
la
ré~lisé
Cependant, comme genre esthét•que mais aussi comme moment politique, le cinéma militant
et dtstnbué collectivement. La mobilisat1on, tes gestes de solidarité, la prise de consc1ence sont
parait doublement morteL En France. te cinéma militant aurait une préhisroire : avant 1914,
1936 el 1968. Un genre au service d'un but, d'une cause; généralement pensé, produit,
quand une avant-garde libertaire et littéraire, un peu syndicale et pas mal franc-maçonne, enten-
esthétiques, poussa loin ses recherches formelles en accompagnant, par exem pie, les créations mili-
dait tirer l'ouvrier, la femme et leurs enta nts des •beuglants•, en produisant des reconstitutions
tantes de Godard, Marker ou Muel. La contribution etfective, démocratique, de certains ouvriers à des
historiques et des mélodrames populaires. Un âge classique : des années 1920 aux années
collectifs participa grandement à •l'extension du domaine du cinéma•. Le groupe Medvedkine reste
1960, alors que l'on privilégiait le montage et le commentaire, de stables et masculines figures
il ce titre l'exemple le plus célèbre et le plus fécond. Ainsi. après avoir largement participé au recul
ouvrières attachées à la CGT et majoritairement fidèles au Parti communiste (toutefois pointa1t
de la censure, ennchi considérablement le documentaire puis tout le cinéma, osé certa1nes au da~
déjà, parfois au sein même de ces réseaux, une certaine modernité militante et cinématographique). Et puis il y aurait un
~ge
baroque, les années 1970 (après 1968): le fourmillement de
plastiques,
après
engueulé par
fractio~s
s'être
copieusement
et films i nterpasés et
nouveaux collectifs, le développement de l'extrême gauche, l'apparition de nouveaux combats et
parfois lourdement fourvoyé, le cinéma militant
de nouvelles figures, plus diverses, plus féminines, moins ethnocentriques. Le cinéma militant
aurait remp/1 sa mission historique avant de
~me.
serait donc /1é à un temps de l'histoire où des groupes et des organisations politiques• y
disparartre corps et
croyaient• , c'est-à-dire qu'ils ou elles croyaient à la notion d'avant-garde, à la prise du pouvoir,
rien à dire, à montrer, m à dénoncer ?
de la parole el de l'image, à la nécessité d'alerter ou d'éveiller, de fasciner ou d'informer les •mas-
Certes, les groupes et organisations qui sou-
N'aura1t-11 donc plus
ses•. Un temps d'avant Et puis, à la fin, c'est-à-i:lire dans les années 80, avant même de rece-
tendaient le cinéma militant ont parfois
voir un bout du Mur sur la tête, le cméma militant serait mort, simplement mort, englouti par la
disparu ou alors, affaiblis, certains d'entre
désillusion, le renoncement, la commumcatton. Il n'y eut pas de tentative de bilan. Sans doute
eux se sont rangés derrière l'Idéologie de la
craignait-on, avec raison, de rencontrer à nouveau le sourire de Mao et, juste au-dessus, la mous-
commumcat1on et du consensus. Mais, tout
tache de Staline. Mais comme tous les tracts ne sont pas des pavés, tous les films militants ne
comme il y eut une très grande diversifica-
A l'heure où l'on (re)découvre qu'Hanna Arendt
tion du cinéma militant au cours des années
1nclua1t au sein du totalitarisme le colonialisme, l'on constate que le cinéma militant fut parmi les
1970, apparaissent ces derniers temps les
premiers, parfois le seul, à dénoncer les cnmes coloniaux. Rares et précieuses sont à ce titre les
premiers signes d'une résurrection et d'une
i mages de René Vautier ou de Yann Le Masson. La colère ouvrière, comme l'exploitation des tra·
lalcisation d'un •néo-crypta cinéma militant.
dressent pas forcément des bustes de bronze.
vailleurs immigrés, ne fut longtemps abordée que par les cinéastes militants. Il est vrai que la cen-
(parfois proche du documentaire). Comme
sure veillait. Le cinéma militant savait la braver, osant la diffusion et le tournage clandestms. Le
en novembre et décembre 1995, quand de
courage fut d'ailleurs souvent une vertu de ces Cinéastes, tel Roman Karmen tournant sous les
nombreux salariés ressenta·1ent la nécessité
born bes de Madrid ou René Va utier sur la barrière électrifiée de la •ligne Mo ri ce• séparant
de fil mer grèves et manifestations /il s'agis--
l'Algérie de la Tunisie.
S<Jit généralement là de documents ama-
Et l'on ne saurait résumer le cinéma militant à quelques bonnes intentions ou è de simples ades de
teurs), on rencontre aujourd'hui des Jeunes femmes et des jeunes hommes en colère, caméra à
bravoure ; souvent contraint par la censure et la chicheté de ses moyens, il sut parfois faire preuve
la ma in. TachoriS que les project1ons de leurs films ne soient pas clandestines. Pour la réflexion
d'audace et de créativité. Les plans d'Andœ Dumaltre sur la lutte des mineurs de 1948 restent gra-
et la connaissance, le plaisir aussi. il n'est peut-être pas inutile, de plus, de voir ou revoir certai~s
vés dans nos mémoires (même si le même opérateur filma par la suite des meetings è la glo1re de
Staline), tout comme tes images de Jean-P1erre Thorn (malgré les 1cOnes de Mao) consacrées aux
•classiques du Peuple• et de découvrir certains incunables.
jeunes métallos de Flins. Sacha Vierny ou Pierre Lhomme prêtèrent également leur talent à la réali-
-<:&:
VENT D'EST
Tanpi Perron, Chargé de miss/oll Patrimoine el cinéma en Seine·Saini-Denis
sation de films de lutte. L.:ingénieur du son An!oine Banfanti. présent sur tous les fronts palitiques et
51
DÉMOCRA~~~~~
C'EST D'ARRIVER À
CE QUI EST
CONNAISSEURS»
FAIRE DU «PETIT GERE CONNAISSEURS.
UN GR A ND CERCLE D
Bertolt Brechl ( S1Jr le réalisme)
•Dam; la fréquentaton du cinéma m111tant.
ce que nous avons appris c'est la morale.
C'est-a-<lire la façon dont le pouvoir que
FILMS LUMIÈRE
représente une caméra (sa capacité d'Interven r, de s'immiscer, d'extorquer, de provo-
1896 -1 903 1 BETA SP 1 DOCU. N&B 1
MUET 1 20'
quer - de n'od•f1er la situation sur laquelle
elle se greffe) est
ré~échie
ou non par ceux
Contact : Assoe<ahon frères lumières
qui font les films• ( .. )
• Je dira1 que l'mté<êt pour les f•lms mil•tants
est un ef'et de la cinéph'l e autant que du
Pour concrétiser son invention, louis Lumière taurne quel ques petits films, scènes de la vie
réelle, dant il donnera une première représentation publique le 29 décembre 1895, A partir
surmoi po' t'que. Dans la cinéphihe-Qihie/5
de 1896, il envaie des opérateurs dans le monde entier fil mer, vands el petits événements.
(celle cernée par Bazi11J, Il y a cette Idée du
riSQUe, d'Un certain cpriX• des Images.
Dans le cinéma militant, il y a cette idée du
risque. Non plus un risque métaphys'que,mais un risque physique
risque de
Baignade de nègres (] 896)
Plusieurs nêgres se jettent en meme temps al'eau, plongent, reviennent à la surface...
n'êlte pas tà au bon moment, risque de re
pas ma1\riser suffisamment la techniqùe,
Nè2res en corvée (1896)
risques judiciaires et même, riSQue que le
Des negres font le nettoyage et le lavage d'un plancher
film, une fois fait, montré aux gens qu'il
concerne (ceux qui luttent et qui M sont
pas des cinéphiles), ne leur pla·se pas, ne
Enfants annamiles ramassant des sapèques devant la Pagode des Dames (18 99)
Des enfants se précipitent pour ramasser les piécettes que leur lancent deux femmes.
les alde pas, ne SOit pas compris par eux. La
cinéph•l e, ce n'est pas se<.~lement un rap-
~s
mines de charbon de Hongay (1899)
port particulier au c1néma. c'est plutôt un
Des indigènes gravissent/a pente en poussant des chariots.
rapport au monde à travers le cinéma. Je
me souviens de ce que disaient des gens
Biskra : Enfants indigènes ramassant des pièces de monnaie (1 903)
comme Moulle! ou Godard dans les années
Un homme lance des pièces à des enfants qu1 se précipitent pour les ramasser.
cinquante : 1ls avaient appris la vie dans le
cinéma.•
Entretien avec Serge Da ney par 8111 Krohn
La Maison cinima et le monde (Tome 1.)
de Serge Daney
LE P. C.F. ET LA QUESTION PAYSANNE ~
LA COMMUNE
COLONIES DE VACANCES
L'IDËE
ARMAND GUERRA
1913 1 35 MM 1 1,33 1 DOCU. N&B 1
MUET 1 14'
ANONYME
1932-33 1 16 MM 1 DOCU. N&B
MUET 1 35'
BERTOLD BARTOSCH
1935 1 35 MM 1 1,37 1 ANIMf\TION
N&B 1 19'
Scénario : luden Oescaves
Contact : Ciné-Archives'
Produdion : Le Conéma du Peup!e
Contact : ClnéiTlathèque françaiSe•
PRIX ET PROFITS
~
Première et touchante tentative dans
l'histoire du etn!!ma, qui plus est par
une coopérative libertaire, de reconstituer
les débuts de la Commune de Paris.
Apparition, in fine, des derniers
communards.
La municipalité ouvriere et communiSte
de Bagnolet se bat contre l'héritage de
l'ancienne malfle (conquise en 1928)
et l'hostilité des services de la préfecture
pour envoyer ses enfants J la mer. Colonies
de vacances suit avec enthousiasme
le parcours des jeunes administrds
sur ITie d'Oléron, au centre de La Vignerie
inaugurée en 1932. Le film fut diffusé
par le Secovr.s Ouvrier International.
PRIX ET PROFITS
PRIX ET PROFITS
54
~
YVES ALLÉGRET
1931 1 35 MM 1 1,37 1 DOCU. N&B 1
MUET 1 20'
LA MARCHE DE LA FAIM
Contact : Archives frança'ses du filrr•
1935 1 16 MM 1 FICTION OOCUMENTrE
N&B 1 20'
L'itm~ralre de la pomme de terre, du
producteur (le paysan) au consommateur
(l'ouwierJ. Las, entre les dewc sévissent
les in/er~1aires et le pme dv féculent
est mvlt!plié par cinq. Une seule SD/ution :
/'umon des travatlleurs des villes el des
travailleurs des champs et la Révolution.
Prix et profits a été produit par la
Coopérative de l'[nseignement laie fondée
en 1927 par Célestin Freinet. Un film ou
l'on reconnal!. entre autres, Pierre et
Jacques Prévert.
1. M. DANIEL
Interprétation : Jean Lurçat
Musique : Joseph Kosma
Contact: Cinémathl!que Universitaire-
Paris Ill
Un chômeur, seul et père de deux enfants,
en plein désespoir, tente de se suicider.
ln extremis, il va rejoindre le c/lem111
de la lutte ... La marcne de la fa1m, film
•d'avant Je Front popvlafre. est fortement
marqué, esthétiquement et idéologiquement.
par ravant-garde allemande.
Scénario, réalisation et production :
Berto'd Bartosch
Musiqlœ : Arthur Honegger.
exécuté par les Ondes Musicales
Contact : Archives trança:ses du l'lm'
Base sur un livre du même titre par Frans
Masereel, L'Idée est un film d'animation
composé entièrement de woodculs (des
formes animées se déplacent sur trois
couches de feville de verre allumées par
en dessous ou de côté). Ce film, allégorie
tragiqve, symbolise la lutte de l'homme
pour l'rdéal à travers la figure d'une femme
nue représentant l'idée d'un artiste.
Rejetée par l'homme d'affaires elle
bureaucrate, elle est adoptée par un jeune
militant. fnsemble, ils jugent l'oppression
subie par les ouvriers et leur rébellion.
GRÈVES D'OCCUPAT ION
LA FËTE DE GARCHES
CŒUR D'ESPAGNE
ANONYME (COLLECTIF CGT)
1936 1 35 MM 1 1,37 1 ACTUALITËS
OUVRIËRES ti&B 1 12'
ANONYME
1936 1 35 MM 1 1,37 1 ACTUALITËS
OUVRifRES N&B 1 10'
GEZA KARPATHI, HERBERT KLEIN, PAUL
STRAND, LËO HURWITl ET ALEX NORTll
1937 1 35 MM 1 1,37 1 OOCU. N&B 1
VERSION DE 16'
Images : Jacques Lemare
Contact : Ciné-Archives•
Voi~ : Jean-Paul Dreyfus
La fête dv parti commvniste et de son
(Jean-Paul Le ChanOiS)
journal, l'Humanité, en banlteue parisienne,
Contact : Ciné-Archives•
ManifestatiOns et greves de juin 1936
dansleparcdeGarches, le30.roDt 1936.
Ce film montre d'abord l'afflux de la foule,
en région parisienne. Les occupations
un aperçu des stands s•tués au sein
d'usines sont présentées comme joyeuses
de la fête, des démonstrations sportives,
des extraits de spectacles...
et disciplmèes. Ce preetewc document
sur la culture et les d~filés OIJVriers signe
également une des toutes premieres
rencontres entre le monde ouvrier parisien
(les métallos en particulier) et une partie
du monde du cinéma (les travailleurs
du film et leur syndicat).
~
FILS DU PEUPLE
La /tll€fTe d'Espagne sws ses aspects civils
et militaires, nationaux et intemationaUIC.
Cœur d'Espagne montœ les con~uences
des bombardements, le r6le des paysans,
le courage des soldats Œpublicatils et des
Brigades intemationales et l'aide médicale
américaine... Réalisé par un collectif de
cinéastes de gauche américains. le film fut
dtStribœ en France par les réseaux
communiStes.
ANONYME
1937 1 35 MM 1 1,37 1 FILM
PUBLICITAIRE N&B 1 5'
VICTOIRE DE LA VIE
Contact : Ciné-Archives•
F1ls du Peuple a~ réal1sé pour assurer la
promotion de la biographie éponyme de
Maurice Thorez, écrite en 1937 et diffusée
à partir dv mois d'octobre de la méme
année. De la représentation du •bonheur
KENRI CARTIER-BRESSON EN
COLLABORATION AVEC HERBERT KlEIN
1937 1 35 MM 1 1,37 1 DOCU. N&B 1 49'
lma&e : Jacques Lenare et Herbert Klein
Voix : P1erre Unik
Contact : Ciné-Archives•
bourgeois• à !Incarnation avant-gard,sle
d'une mythologie prolétarienne. nationale
et populaire...
L'effort sanitaire et la mobilisatiOn de
l'Espagne républicaine. sur le front et à
l'arriere et la solic/ari~ médicale des pays
étrangers, coordonnée par la Centrale
Sanitaire lntematjona/e (CS/). VICtoire de la
Vie a été conçu pour soutenir l'Espagne
rêpubltcaine, présenter avec ~sion
l'œuvre de la CS/ et obtenir des dons
en argent pour celle-ci.
ANTOINE BONFANTI
c La premlt:rc bs qu 11 a apl)lls à tenir une perche,
à rrc.'tre U'l m·cro a la bo"ne p'ace, c'éta t en 1945
su: La Balle et 1.1 Béte de Jean Cocteau. Depws.
Antotne Bon'anlt n'a tarra s cessé dlrnagir.er le
son, daO a sa ll!Ct'erthe, le Nagra à l'épaule.
~6
comme run des pion~iers du son direct
en dl!cors rtaturels, 1 est auss• celui qui sUit la construction d'Wl ~fliVCls sonore, du tournage au
miX.lgc. La liste est 1mrnense et les noms des réalisateurs pre~t·g~ux. Sll'o'l pointe les films dont~ e
fa1t le roixase. enr~stlé 1.1 musique, au perChé les
dialogues et leS so"s seuls - sans oublier les courts
métrngcs ~on en compte au moins 430 ! Quelques
titres parmi les films qu1 compter1t particulièrement
pour tu1 : Murl~:/d'Aiain Res~ aiS (1962). Le Jali MJJ
et ~Jette de Chris M41ker (1962), Pien-ot Le Fou
de Jeao-Luc Godard U965l, Un Soir; Un Tram
d'André Delvaux {1967), Le Dernier Tango de
Bernardo Bertolucci 11973),
Bertlfl-~ruS<~fem
d'Amos G1t.lï (1988). •
A ce portrait d'Anbnc Bonfanti écrit Jl<lf' Claude
Baiblc. on pov•.a t riljOI<Ier que, Corse et communiste. né en 1923 à A;accio, Antoine Bont.!r.t fut
loJjours. des cœnbals de la Résistance aux crea,,o,s cmérra:ogtllphi(;ues et m.:,:antes, un lro~me
• engage •
ESSC!1t1c cment à partir des ar nées
1960, Antclne Bonfantl prêta éiiNi son talent au
meilleur du Cll'ér)a • pol !ICMl• ou • coote:;tataire •,
à des cinéilstes comme Sl des fSl'OUPe5 m lltants ,
Godard et Marker mais aussi William KJein, Guy
Debord, Alain Resnais, RenéVautier, Bruno Muel et
le groupe Medvekine...
55
LA MUTILATION
DE BARCELONE
BREIZ NEVEZ
ANONYME
1938 1 35 MM 1 1.37 1 DOCU. N&B 1 8'
ANONYME
1938 1 35 MM 1 1,37 1 ACTUALITÉS
OUVRitRES N&B 1 12'
Contact : Ciné-Archives•
Contact : Cmé-Archives•
Barcelone après
es terribles bombardements
Breiz Nevez illustre avec force les solides
du 18 mars l!BB. La Mub'abon de
implantations- trés /ocal~es- du parti
Barcelone, COOÇIJ pourdénoncer • l'œuvre
du fascisme intematiorlal•, montre l'ampleur
des dég,ats materiels, le COlJrage de ra
communiste en Bretagne, ainsi que sa
population et les pertes rée/tes et symboliques
nationale. Les plans sur la camionnette de
subies par la France. Il fut aussi réalisé
l'Humanité furent interdits par la censure.
po/1tique culturelle sous Je Front populaire,
politique syncrétique, /J la fois régiOnale et
clans le but de susciter l'aide active de
la population française.
LA RELÈVE
COLLECTIF CGT
1938 1 35 MM 1 1,37 1 DOCU. N&B 1 10'
Contact: Ctr\é-Arch;.,es•
AUBERVILLIERS
EUE LOTHAR
1946 1 35 MM 1 1,37 1 OOCU. N&B 1 25'
Réuni dans un modeste logis, un groupe
Texte : Jacques Prévert
de travailleurs du bJt,ment évoque
Contact: Ctné-Archives•
les luttes passées de la corporation,
ses conquêtes et ses attentes scus
un gouvernement de Front populaire.
Un jeune travailleur du Mt1ment. rentrant
tout juste d'Espagne, lance un appel
pour une véritable mobilisation en faveur
de l'Espagne républicaine.
Descriptions parfois caustiques
des conditions de travail et de logement
clans les usines et les docks de la zone
industlie/ie d'Aubervilliers où l'on découvre
la colère de Prévert...
L.A GRANDE LUTTE DES MINEURS
56
LA GRANDE LUTTE DES MINEURS
L'HOMME QUE NOUS
AIMONS LE PLUS
RENÉ VAUTIER
Nt ACAMARET 1 MER EN 1928
VICTORIA MERCANTO~
1949 1 35 MM 1 1,37 1 DOCU. N&B 1
20'
Texte et voix : Paul Eluard.
Contact : Ciné-Arcrives•
LA GRANDE LUTTE DES
MINEURS
COllECTif CGT
1948 1 3 5 MM 1 1,37 1 ACTUALITËS
OUVRIËRES N&B 1 12'
Image : André Oumaltre
Montage, son et commentaire : Paula
Neurtsse et Fab'enne Tzank
Contact : Cinè-Arch ves•
La grè'.Je des mineurs françdis d'octrlbre
et novembre 1948. Fortement marq~
par la guene froide, Je film fut conçu
pour susciter une solidarité actiVe
en faveur des mineurs en lutte. Il fut
interdll par la censure, suite à l'arrêté
du 6 décembre 1948 qui soumettait les
films non-commerciawr à une censure
préllable, ce qui permettait J'interdictron
de la plupart des films miltlênts alors
produits par le P.C.F. et/a CGT.
Pour le liY anniversaire du • généralissime
Staline •. après avoir parcouru la France.
des camionnettes et des camions, chargés
de présents, confluent vers Pans ou sont
exposés tous les cadeaux qui vont élre
envoyés à Moscou. L'homme que nous
aimons le plus est une plongée soignée
(el saisissante) dans l'organisation
par le PC.F. du culte Stalme durant
la guerre fro1de. Ce film, Interdit
par la censure, n'obtint pas de visa
commercial el non commercial.
a
EN AMÉRIQUE !
RAYMOND VOGEL
1950 1 35 MM 1 1,37 1 DOCU. N&B 1 12'
Image : Paul Carprta
Voix: Paul Frankeur
Contact: Ciné-Archives•
Mêlant des plans documentaires el des
images fic/ionnelles, ce court-métrage
militant dénonce avec virulence la
présence et l'influence américaine en
France ; des bases mitrtaiœs au cinéma,
en passant par le Coca-Cora elles journaux
pour enfants, symboles de • gangstérisme
et de racisme •.
René Va.ot er se situe !1 ravant scène de l'action
m'l tante Cinél'"latographique en France Résista'lt a
qu· rue ars. il ertre ~ rtDHEC en 19«6, lat ses sremères arTe:> sur le; wu•nages de films CO: e<:t fs,
puar. réaliSe & v.ngt ens so'l premier film, Afrique
50. COI'lSldérê CO<T'!'I'e le premier film ar>tiCOlonialiS!e frdnça•s (treize lnc~lpations et une condamnaloo a un an de P'ISOf'.l f tn 1956, il part en Algér'le
toumer dans les Aur~' Nementchas des images
rares de • maqv·s de l'Armée de LIOén~tiDf1
N~Mnale (M 1)8S9et'a vingt-cinq mois dans une prison fLN en TullJ5te). En 1962, il partiCipe, avec le
JeUne Al1med Rachedi, à la créabon du Centre
Aud10'11 JJCI d'A~er pour forrner des tlnCastcs et
diffuser des fJitPs ~ trdVl!r>; le pays. De rctQIJr en
franco en 1966, il crw I'Uru~ de PrOOuction
C•néma Bretagne puiS té31JSa re cêlèbre Awir Vins!
8/IS dans les Aurès (!972) dont le scénario s1nsl)lfe
de témoignages. d'appelés de la guelTe d'A!gé,.,e.
Dans les anr.ées 10, Va.ber tourne également de
nombreux flm:; en vidéo avec des o..v.' ers lnotlmment Quand tu dl$8!$ Va~.y e:'l 1975), sur les pr~>­
blèmes 1/è:us en Bre'.agre (Marée noire, colère
rouge en 1978), sur les CC~ditJQnS. de v·e d~ Immigrés en F'ranœ. ou e!l:ore sur la lori!;re en Algér1e
{A Propos de rau/Tc délai/, 1988). .1\tJIOI.lrd'hui, n
monte un film sur l'hilitO re. des irt1ilges censurées
en FraMee.
57
AFRIQUE 50
LE CHOIX LE PLUS SIMPLE
VIVENT LES DOCKERS
RENt VAUTIER
1950 1 16 MM 1 DOCU. N&B 1 17'
HENRI AISNER
1951 1 35 MM 1 1,37 1 DOCU. N&B 1 22'
ROBERT MËNËGDZ
1951 1 35 MM 1 1,37 1 ACTUALITËS
OUVRIËRES N&B 1 Il'
Réalisation, montaze, narratioo : René Valt.ier
Image : NICO!as Hayer, Jean lsnard
Contact : Ciné-Archives
Voix : Jean Grémillon
Premier film réaliSé par René Vautier
et prem1er film anticolonialiSte tranÇQis.
cet efficace pamphlet contre
le colonialisme en Afrrque noire valut
<l son auteur treize inculpations et une
condamnation J un an de prison en raison
d'un décret datant du 11 mars 1934 (signé
par l'ex-ministre des colonies P1erre Laval).
Contact : Ciné-Archives•
Tourné en quatre jours et vne nwt, monté
en trois semaines, le film se construit à
partir de • l'rmage paisible • des • simples
gens • de Saint-Ouen et les images
horribles de la guerre.
Contact : Ciné·ArchM!S•
Les luttes des dockers françaiS mobilisés
contre la politique améncaine et le plan
Marshall. le réarmement allemand
et la guerre d'Indochine durant /'hwer
et le début du prmtemps 1950. Le film
fut interdit par la censure. Grand prix
du documentaire au festival de KarlovyVary 1951.
TERRE TUNISIENNE
RAYMOND VOGEL ET JEAN-JACQUES
SIRKIS
1951 1 16 MM 1 REPORTAGE N&B 1 30'
Contact : Cmé-Arch VI!!.
;g
0
Réquisitoire contre le colonialisme français
en Tunisie. Terre tun·sienne dont le ton
virulent, parfois acerbe et caustique.
n'est pas sans rappeler celui d'Afr'que 50,
fut d'abord commandé par le Parti
commumste tums1en René Vautier. avant
que celui-ci ne soft ex.pulsé par les services
du protectorat.
a
58
CEUX DES CHAMPS
GHISlAIN CLOQUET
1952 1 35 MM 1 1,37 1 FICTION
DOCUMENTÉE N&B 1 20'
MANIFESTATION CONTRE
RIDGWAY
D'AUTRES
SONT SEULS AU MONDE
ANONYME
1952 1 16 MM 1 DOCU. N&B 1 MUET 1 3'
RËALISATION COLLECTIVE
1953 1 35 MM 1 1.37 1 DOCU. N&B 1
Contact : Cmé-Archives
Contact : Ciné-Arch ves
Filmé en terre llfT)()USine, un département
rural~ forte tradition communiste et
destiné au monde PiJysan, Ceux des
champs décrit l'action des paysans contre
la faiblesse des prix de ta Viande J la vente,
et témoigne de la capac1té du parti
communiste à s'adresser à d1vers secteurs
de la société franÇ<Jise ainsi que de son
implimlation dans certaines couches de la
petite paysannerie française. Ce film n~
jamais été montré depuis sa restouran·on.
Man~estation contre
Ridgway est un indice
de la violence des affrontements qui eurent
Heu entre les manifestants et la police lors
de la manifestation orifjjnisée par le P.C. F
contre la venue J Paris du Général
américain Ridgway.
OBSÈQUES DE HOCINE
BELAÏD
ANONYME
1952 1 35 MM 1 1,37 1 DOCU. N&B 1
MUET 1 2'
30'
YANN L.E MASSON
Nt ABREST EN 1930
Ar>eM!I' êlêiiC Cie l'ENCP IJUIS de l'IDHEC, VdrJl le
est penda;~t longremps r~;n des meolleurs
du cinélr1a <frect ~ opérateur sur
lJfle trentaine de loogs mélrages, ii réa'·se Pill'llltèl&meN~ films militants, dOnt le documen!;me J'ili
huit ans 11961) sur des enfants algériens réfugiés
en Tun SIE!. Il part au Japon au début des an rées 70
~
lma&e : Claude Martin, Paula Neunsse
Contact :Ciné-Archives"
~
Portrait hagiographique du jeune marin
Henri Martin, empflsonné pour son
oppos1tion à la guerre d'Indochine. Parfois
nommée •l'affaire Dreyfr.Js de la quatrième
Républrque •, l'affaire Henri Martin révèle
entre autres les capacités de. mobilisation
du PC.F. ainsi que son engagement contre
la guerre d'Indochine. Interdit par la
censure, le film fut saisi par le commissaire
de Melun lors d'une projection milrtante
à Kashrma Paradtse (1973-75). Plus qu'un documemaire sur la réiiOiution industrielle ~ponaose. ce
en mars 1953.
SOCJa'e ol co-réal se Le Poiss/Jn commande (1978.l
ct en ram~ne trente heures d'images quo aboutiront
folm POi oloque analyse avec une grande
méeantsmes
soc:~aux
r~gueur
les
et idéologiques de la Jttiété
japonaosc. A partir de 1976, le C1néaSte partiCij:lè.à
la r6alosahon conectove de films d'ontervention
avec René vaurer el Nicole Le Garrec, P<J.S plusleo.!rs films avec tes femmes du MotJVement pOUr ta
Contact: Ciné-Archives•
loberté de I'AYOrtcmcr.t et la Contraception (MLAC)
d'Aix-en-Provence dont Reg;Jrde, elle a les yeUK
grands ouveJt5 (1979-80).
Les obséqves. à Aubervilliers, le 13juin
1952, de Hocine BelaTd, ouvrier muniopal
mortellement blessé lors de la
manifestation contre la venue du Général
RKig.vay.
•Fi lms restaurés par le Service des An: hives
fra nçaise du film el du Dépol t!~al du Centre
National de la Cinématazraphie, dans le cadre
du plan de Sauvezarde des Films anciens
du Ministère de ta Culture.
59
SUCRE AMER (OU DES
CRÉOLES EN COLÈRE)
YANN LE MASSON
1963 1 16 MM 1 DOCU. COUL 1 26'
Contact: Les Films Grain de Sab'e
1
j
~
o..___~~--....E..~----1~.:.~.,;;
'<&
38 1 ANNIVERSAIRE DE LA
RÉVOLUTION D'OCTOBRE
ANONYME
1955 1 16 MM 1 DOCU. N&B 1 13'
lma&~ :
André Dumattre
Conlact : Ciné-Arch1ves
Le d1scours de Maurice Thorez (secrétaire
général du P. CF.) tors du 3& anniversaire
de la Révolu/Jan d'Octobre, le 8 novembre
1955 aPariS, au Vélodrome d'hrver.
Apres avoir été longuement applaudi
par une foule estimée a20 lXXJ personnes,
Thorez fait l'apologie de la révolution
soviétique. Le film montre la prégnance du
culte de ta personnalité de Maurice Thorez,
l'attachement du P. C.F. à Staline deux ans
aprés la mort de celui-ci. et la volonté pour
le Parti communiste de nouer désormais
des alliances avec le Parti socialiSte.
60
J'Al HUIT ANS
YANN LE MASSON ET OLGA POLIAKOFF
1961 1 16 MM 1 DOCU. COUL 1 8'
Production : Comité Maurice Aud•n
Contact: les Films Grain de Sable
J'ai huot ans. court-métrage toumé
clandestmement pendant la guerre
d'Algérie, est réal~ apartir de dessins
d'enfants algériens recueillis en 1961
dans un camp de réfugiés en Tunisie.
Par leurs dessms,les enfants expriment
toute l'horreur de cette guerre qui les
a obligés, eux et leur famille, à fuir leur
pays. Le film sera mterdit par la police
et saisi dix-sept fois. Le visa de censure
ne lui sera accordé qu'en 1974,
douze ans après la fm de la guerre
d'Algérie.
Documentaire tragiqÜe, le • bon Zoœil »
venu de France. éloquente image de foule
que l'on pousse comme un troupeau l'l!fS
la mairie de la grande ville... Documen/iJire
comique: comique, Michel Debré. lorsqu'tl
essaie de faire croire a tous ses auditeurs,
orig;nau<!S pour la plupart d'Afrique,
des Indes, de Madagascar ou de Ch1ne,
que leurs ancétres sont des Gaulois.
Documentaire irréfi.Jtable enfin, par tous
ces témoignages de créoles en colère
parce qu'ils n'ont pas reçu leur carte
d'électeur et qui citent/es nombreux cas
de morts qui ont r déposé • un bulletin
dans l'urne!
V ENDREDI SAINT
A POLYCARPA
LE GLAS
ANONYME
1966 1 35 MM 1 DOCU. N&B 1 6'
RENÉ VAUTlER
1964 1 BETA SP 1 FICTION
DOCUMENTÉE N&B 1 S'
Contact : Dovidis
Image : Ali Marcxk
Voix : Dj.b~l Diop Mambety
Occupation sauvage de terrains par des
sans logis, en majorité des paysans, portant
Musique : Black Panthers
leur maison précaire A dos d'homme,
filmée par des militants colombiens.
Contact : CinémathèQue de Bretagne
Film r~alisé avec le ZAPU (Zimbabwe
~ TROTSKY
Afn'can Party for Unity), sur trois
JACQUES KtBAD IAN
1967 1 16 MM 1 DOCU. N&"B 1 50'
révolutionnaires africains pendus
à Salisbury Le Glas fut interdit en France
lors de sa sort1e.
Contact : Jacques Kébad 1an
Portr.Jit de Trotsky réalisé A partir de scènes
reconstituées et d'images d'archives.
D'abord réalisé pour l'ORTF. ce film ne fut
RIO CHIQUITO
JEAN-PIERRE SERGENT
1965 1 35 MM 1 DOCU. N&B 1 20'
BRUNO MUEL
NÉ ASAINT-CLOUD ER 1935
8rUI'Io Muel est l'~ des rg;.~res de proue du
cméma cf l'lter\lentJon SOCiille. en France et a tw'I'C!!i le œoMe OpératclK ôM!C Jean-Pierre Selgetl:
et Marcellne lor!dan s.r Algérie année 0 (1962), 1
IOV''llll f!IISUI!c en COI<lmbll!l (Rio Chiquito et Cam1t10
TOfrcs, 1965} en République Centrafricaine
!sangha, 1967-68), en Jordanie et en ltak CLes
Pafaslimens, ~ KIJI'dtSIJn lfakien, 19691. au Pa}'S
Basque espagnol ( Borboka, 1972), au Cl'fu
(Septembre r;fi/lterr, 1973), en A~la {Angola,
fUetrC du peuple, 1975), et au Sahara Dttidental
(SaNra (J(x;lrJenttJI, 111d~pendilnce txJ gdi1ot;.it!e ?.
1975-76).. Sur le front l'tel<.agonal. 11 part1C<PC en
1967 a Larn diJ Vietnam (séqtlence restée irl6dtle
de Ruy Gerra), puis à Oser lutter. DSef ~lncre
(1~)
de Jean-Pierre Tl'om et à Mat 68 par lUI-
pas diffusé à la MléviSJon.
meMe (1978), Avec. le groupe t.'edvedkine. 11
LE PREMIER MAl 1 967 À
S AI NT-N A ZAIRE
I'T'arquan\s Classe de lulle U%81, Scx:hatJx. ll
jullll968 (19701. tes 'Crois ~rts de ta .;eu970),
sang des autres U9741, capt.va~t dœsier s~'!' la Y'lr
~à SOchaux et à
Image : Bruno Muel
CAMILLO TORRES
Contact : Dovid's
Document tourné en Co/om/);e,
BRUNO MUEL ET JEAN-PIERRE SERGENT
1965 1 35 MM 1 DOCU. N&B 1 10'
avec la guérilla des FA.R.C, dans
Contact : DO'IidiS
MARCEL TR1LLAT ET HUBERT KNAPP
1967 1 BETA SP 1 REPORTAGE N&B 1
25'
au moment de l'attaque de l'armée
Entretien en frança1s du prêtre colombien
Contact: Archives Départementales
gouvernementale.
Camillo Torrès qui a rejoint le maquis
de la Se. 1e-saint-Denis
la zone d'autodéfense de R1o ChiqUito
de I'E.L. N.
et fut tué quelques mois
après avoir accordé cette interview.
Bcsançor, ses ft:rrs.les plus
Week end ASoi;IJaw-U97ll pour i!Ooult a A\1'8C~
lence patronale aux usines
Pea..geot.
Le premier mai 1967 à Saint-Naza·re,
reportage sobre et émoi.Jvant, donne
la pi:irole aux ouvriers de la constructpn
navale aprés deux mois de grève.
Ce film fut interdit d'antenne par l'ORTF
qui l'avait pourlant commandité.
61
LA REPRIS E DU TRAVAIL A UX USINES WONDER
CE JOUR- LÀ
JACQUES KRIER, MARCEL TRILLAT ET
PAUl SE BAN
1967 1 16 MM 1 REPORTAGE N&B 1 30'
Scénario et réalisation : Jacques Krier
<&
A BIENT6T J'ESPÈRE
CHRIS MARKER ET MARIO MARRET
1967 1 16 MM 1 DOCU. N&B 1 43'
Son : Antoine Bonfanti
Contact : ISKRA
Besançon, mars 1967 Témoignages
de travailleurs usés et viet!fis précocement
par les •troiS-huit•. Des dizaines de
licenciements sont annoncés aux
éfabltssements Rhodiaceta; une grève,
incertaine. se déclenche. L'avanl-m<li,
entre la grisaille et la révolte quigronde.
LE FOND DE L'AIR EST
ROUGE
CHRIS MARKER
1967-77 1 BETA SP 1 DOCU. N&B 1
COUL 1 180'
Interviews et enquêtes : Marcel Trillat
Montage : Paul Seban, Srig:tte Dornes
Voix : Simone Srgnoret, JOtEe Semprun,
Contact : Ciné-Archives
Davos Hanich. sandra Scarnati, Franço;s
La mobilisatton et la manifestation des
Jeunesses communistes contre la euerre
du Vtet-Nam, le 26 novembre 1967.
Ce reportage suit principalement un
groupe de jeunes communistes partis
en bus de Lille jusqu'à son retour
dans la cité nordique, aprés avoir traversé
Saint Denis et manifesté à Paris. place
de 1.3 République.
POURQUOI LA GRÈVE?
PAUL SE BAN
1967 1 16 MM 1 REPORTAGE N&B 1 43'
Contact : Archives Départementales
Son : Chris Marker
Maspero. Laurence Cuvillier, Franço·s
Pérter el Yves Montand.
Production : ISKRA. INA, Dovtdts
Contact : ISKRA
• ... Au cours des dtx dernières annèes.
un certain nombre d'hommes et de forces
(quelquefois plus lnsttnctives qu'organisees)
ont tenté de jouer pour leur compte
-fut-ce en renversant les piêces. Tous
ont échoué sur les terrains qu'ils avaient
choisis. C'est quand mème leur passage
qui a le plus profondément transformé
les données politiQues de notre temps.
Ce film ne prétend qu~ mettre en évtdence
quelques étapes de cette transformatiOfl. •
Chlis-
de ra Seine-saint-Denis
Raisons des gréves et techniques
de moblt.5abon en France dans les
années 70. Film commandité par la CGT.
SANGHA
BRUNO MUEL
1968 1 16 MM 1 DOCU. COUL 1 20'
Contact : David is
Des chercheurs de diam<lnls en Afrique noire.
62
1
UN FILM
COMME LES AUTRES
JEAN-LUC GODARD
1968 1 16 MM 1 FICTION COU LI N&B
1 100'
LE CHEMINOT
FERNAND MOSZKOWICZ
1968 1 16 MM 1 OOCU. N&B 1 22'
Contact : Fernand f-loszkOWICZ
D ' UN BOUT À L'AUTRE
DE LA CHAiNE
GROUPE CINÙHIQUE
1968 1 BETA SP 1 DOCU. COUL 1 20'
Contact : Ci lémalhèque frança se
LE GROUPE «MEDVEDKINE,.
Le groope est ne en
déceMbre 1967 de la
prise de consoenc:e par des rru rtams ~
l:lesançon que le vértlable dnéma proléta.
r en ne peut ê:re I'ŒINnl que des prolétaires
do
eux-mêmeS.
Contact : Gaumont
En mai 1968, un cheminot parfois étonné,
toujours attentif, VISite la Sorbonne
A~ac Je pcAAOir de la té.t!, les masses sont
Auparavant. d'avr"l a décembre, Cll•IS Ma•ker
• Un film comme les autres se décompose
occupée. Il se mêle aux multiples
transformées en téléspectaleurs. Les
et Mario Marre! ava~ent réalsé un film sur la
mécaniquement en trois éléments: deux
images visuelles et une sonore. Les Images
groupes qui se font el se défont, écoute
et échange, témoigne de ses conditions
•CommémoratiOns• de 1968, dtx ans après,
visuelles étaient d'une part un groupe
de travail. On a libéré la parole.
représentations• enchainent ainsi les masses
Manifestation de solidarité, en juin 1968,
grève de l'us1ne Rhodraceta de Besançon À
blentDt, fesp&e
Le 27 avnl <JVait lieu a Besançon la première
du film devant les rnilrtarts de la Rhod aœta,
qu1 •en pensaient pkJ!Ot dtJ ben• matS le
trouYaienl un peu •trtste• et •romantique•.
Tri~te parce que, selon eux, ü manque de per.
spect1ves et romantique parce que s'il montre
des militants et des grèves. il escamote la prépa raton des grèves et la formation des militants, tout l'aspect le plus Important du
rn1libnUsme en us•ne. ChriS Marker et Mario
Manet avarent répondu que le film qui montrerait cet aspect ne pouvait etre ra·t que par
autour de la Maison de la radio investie
par la police.
les ouvriers evx-mêmes.
Le groupe s'est baptisé Medvedkrne, du no'11
en foumrssent un bel exemple. •Les
d'ouvriers de Flins ct d'étudiants de
•aux rapports d'exploitation el de
Vincennes discutant des événements
de mai-juin 1968, et, d'autre part, des
dénominatron•.
plans tournés par ces mêmes étudiants
et ouvriers pendant cette période. L'rmage
sonore était faite d'une multitude de teJdes
- •théoriques et pratiques• -produits par
les luttes révolutionnaires- nationales et
étran~res- de
178911 1968. •
Jean-Luc Godard
LA REPRISE DU TRAVAIL
AUX USINES WONDER
IDHEC
1968 1 16 MM 1 DOCU. N&B 1 9'
OPÉRATION JÉRICHO
ANONYME
1968 1 BETA SP 1 REPORTAGE N&B 1 3'
Contact : les Productions de ta Lanterne
Cnntact : Archives Départementales
Avant de devenir le prétexte et le but
de la Seine-Saint-Denis
du beau frlm d'Hervé Le Roux, Reprise,
une des images-symboles de 1968 hantait
d~ la
mémoJre de nombreux cinéphiles
et militants. Simple plan-séquence
d" çlnêaste SOViét que qur, dans les années
3(), M t tcrt.e de faire du cin~11a un moyen
d'une ic6ne en colère, d'un err. Une jeune
femme craque : elle ne veut plus •refoutre
les pieds dans cette taule dégueulasse•
Des hommes l'entourent, lui disent,
de manière contradrctoire, ce qu'il faut
faire, et reconstituent devant nous
le petit théâtre de 1968.
de formllltln dilns la l utte ~mique des
OSER LUTTER ,
OSER VAINCRE
JEAN-PIERRE THORN
1968 1 16 MM 1 OOCU. N&B 1 88'
populatrons Cdmpagnardes et animé un tra1n
de propagande ci~ro:Jt;ograph·que.
(CIN! MA 70, N° 151 , OËCEMBR EI
Contact : les Productions de la lanterne
A l'usine Renault de Flins, Ja base déborde
Je syndicat et occupe l'usine sans attendre
les mots d'ordre. Cela ne va pas sans mal...
63
CLASSE DE LUTTE
LES TROIS COUSINS
LA CARAVELLE
GROUPE MEDVEOKINE
1968-69 1 BETA SP 1 DOCU. N&B 1 37'
RENÉ VAUTJER
1969 1 BETA SP 1 FICTION COUL 1 10'
RENË VAUnER
1970 1 BETA SP 1 FICTION N&B 1 8'
Contact : ISKRA
Image : Bruno Mlle! et Robert
Besançar, après 1968. Les owriéres
et les otMiers, malgré les pressions etles
sanctions, relè.enlla téte. Suzanne, une
délégrk cc;r. belle comme une.Jean Sebetg
filmée par Gcdard, exp/que son combat
quolidien qui I'O!Me aux autres et au monde.
!o.
~
Léz~..>n
Interprétation : El,zabelh Wtener
Derdour, Hamid OJel ouli
Contact : Cinémathèque de Bretagne
Montage : Nedjma Scia·am, Eric Faucherrl.
<9 RHOOOA•o
lmag! : Bruno Muel
Interprétation : Mohar>ecl Z<net, Farouk
Anne Papillaut
Musique : MIChel Portal. Françoise
S!arckenberg
Production el diffusion : UPCB, Regane
Films. O.A.A.
A œuse du souvenir /JoumatiSélnt de la
guerre d'Algérie, une jeune inslrtutrice
française, qui enseigne en Tunisie, noue
des rapports diffiCiles avec un orphelin
a/gt:rien.
Contact : Cmémathèque de Bretagne
SOCHAUX, 11 JUIN 1968
Fiction tragique sur les conditions de vie
de trois cousins algériens~ la recherche
d'un tra~ail en France. Logés dans un
étroit réduit, le poêle à charbon proYOque
leur asphyxie.
COllECTIF DE CINËASTES
ET TRAVAILLEURS DE SOCHAUX
1968-70 1 BETA SP 1 DOCU. COUL
20'
FRÉDÉRIC VARIOT, MARCEL TRILLAT ET
L'ÉQUIPE DE SCOPCOlOR
1970 1 16 MM 1 DOCU. N&B 1 60'
Image : Bruno Muel
Contact : Archives Départementales de la
Conll!ct : ISKRA
SeitM:·Saini-Oenis
Sochaux le 11 juin 1968 : • l'ordre
et/a reprise •. Après vingt-deux jours
de grève, la police ne fait pas de détails,
deux morts, cent cinquante blessés.
Images et témoignages.
<)Î
MICKEY AU VIETNAM
ANONYME
1970 (DATE INCERTAINE) 1 16 MM 1
DESSIN ANIMt SATYRIQUE N&B 1 2'
Contact : ISKRA
RHODIA 4/8
GROUPE MEDVEDKINE DE BESANÇON
1969 1 BETA SP 1 DOCU. N&B 1 7'
Contact : ISKRA
64
ËTRANGESËTRANGERS
Colette Magny préte sa magnifique voix de
chanteuse de blues au combat syndical.
C'est la guerre américaine au Vtetnam.
Mickey s'engage.
En Seine-Saint-DeniS (Aubervilliers et
Sarnt-Denis), au début des années 1970,
bidonvilles, foyer.; insdlubres et caves
~accueillent • de nombreux travailleurs
qui participent tl/a prospérité de la
Fraflce. Dans une intervie.v mémorable,
Francis Bouygues, justrfie le tout avec un
certain talent (et beaucoup de cynisme).
Document unique sur les conditions de vie
et de logement des travailleurs immigrés,
Etranges Etrangers montre également des
solidarités syndicales se développer face
à ces situations lamentables.
WEEK-END À SOCHAUX
BRUNO MUEL, THÉO ROBICHET
ET ANNA RUIZ
1971 1 16 MM 1 FICTION DOCUMENTÉE
COUL 1 57'
Son : Antoine Bonfanti
Contact: ISKRA
NOUVELLE SOCIÉTÉ N-8
RÉALISATION COLLECTIVE
1970 1 16 MM 1 DOCU. N&B 1 12'
Un film écrit, joué et rêvé par le groupe
Medvedkine de Sochaux, composé de
jeunes ouvriers travaillant à la ch:1Tne chez
Peugeot et de techniciens du cinéma.
Contact: ISKRA
256
PRO.BI.È\111S Tii.ÉORIQUES
DU C!N&IA Mn.rrANT.
... ,.._p..ttp) · - · ·""
~!=-
Film réalisé par les ouvners de l'usine
Penarroya à Saint-Denis pendant l.l
première grande grève de travailleurs
immigrés. Images de la greve, des
cond1tior15 de vie et de travail des grévisles.
W.ti~Ma:~& ......
lE CINÉMA
m· LA PALESTINE.
~-",
, - - :SRECHr. -~
l ~·~-~~Jouroal .X ~n.il~
OJTIQUüS.
,._....
TECHNIQUEMENT
SI SIMPLE
RENt VAifTIER
1971 1 BHA SP 1 FICTION N&B 1 18'
...
_..~
~~:11&11~ . . . . . .
lOF.
Image : Bruno Muel
Production: U.P.C.B
Contact :
Cinémath~que
de Bretagne
Un technicien coo~rant se remdmore
son •travail technique• lorsque, durant
le conflit algénen, JI Installait des mines
qui tuent encore de nombreux civils.
Essai préalable au tournage d'Avo1r
vingt ans dans le> Aurès.
ALBERTINE, LE SOUVENIR
PARFUMÉ DE MARIE-ROSE
COLLECTIF EUGtNE VARLIN
l972 1 35 MM 1 1,37
FICTION COUL 1 25'
Contact : Jacques Kébad an
AVOIR VINGT ANS
DANS LES AURÈS
LES CINÉASTES
RÉVOLUTIONNAIRES
RENË VAUTIER
1972 1 35 MM 1 1,85 1 FICTION COUL
1 90'
PROLI~TARIENS
Son: Anto· ne B:lnfanti
Contacl : Cinéma P~bl1c Films
Huit cent heures de témorgnages
condensés dans une chron~que filmée
reflétant l'état d'esprit des jeunes du
contingent appelés ou rappelés en Algérie.
Le film est tourné en Tunisie, comme
un • documenta/ne recorl5titué • et retrace
la vie d'un commando de chasse dans
lesAurèsenavril1961. Une nuit, un des
soldats, Noé/, déserte avec un prisonnier
pour échapper à la corvée de bois.
réalité lor-
damclltlllc la plus ta!:~ à l'on:e ect..e; •
rUSJno ce MQUVemellt ~Ill ondlCe de ~:lon ne
senlé VOilé) te (lUI nciJS UTHt, la dênonciatJon
de la ré)XI!SSIOn etc·~ re=l!el. Quart â œ
qu nolli !1 ffé enc~e, c'est une Question de
po nt de YUc · rKJJS par+.OflS, noLS, de la révolte
des maSSICS Pour jlilrtir do li! révolte comme
I"Wthode d"ana1)1se et lie ccmprêMI!I'Sion du
monde,
on doit adopler d'aut~ méthodes de
lrava 1 , !alli Otre ''~ aux masses, aller aux
masses C'esl toute une conception du
monde. Nous <Jvcm~conr~anœ dans l'avenir, et
nous pensons que nos amis 'Cin~astes
errrprunteront la Même vo·e que not-s en l'enr'ch.ssanl de- Ioules leUIS expénences.
SEPTEMBRE CHILIEN
BRUNO MUEL
Un film qui met en scéne des JeUnes filles
etjeunes ga~ns de 14 à 18 ans qui
newendiquent leur droit à une sexualité
sans entraves et le droit à l'avortement
pour les mineures.
L., · m de Karm tz, Camarades, md que la préCCC\. pat'on d'un ~ ~' la
(CINtMA 70, N°15l, DËCEMBRU
1973 1 16 MM 1 OOCU. COUL 1 39'
Contact: ISKRA
C<Jmpte-rendu à chaud des journées
qui ont suwi le coup d'Etat du général
Pinochet. ASantiago, la peur se lit
sur les visages. Des milttants de l'Unité
Populaire osent cependant parler.
ébauchent des explrcations, font part
au monde de leur détermination.
Les obsèques de Pablo Neruda donnent
lieu à la première manifestation contre
le régime.
65
L'AUTRE FAÇON D'ÊTRE
UNE BANQUE
COLLECTIF CINÉ lUTTE
1974 1 BITA SP 1 OOCU. N&B 1 38'
Contact : Les Folms d'Ici
A partird'mterviews de grévistes
et d'images d'occupaDon!; et de
manifestations, ce film mili/Qnt retrace
le déroulement d'une grève au Crédtt
Lyonnais A Paris, au printemps 1974.
La plupart des scènes de manifesta/Jons
et de grèves sont filmées à l'intérieur et à
!'~rieur des sièges du Crédit Lyonnais.
JUSQU'AU BOUT
CHARLES BITSCH ET COlLECTIF CGT
1978 1 16 MM 1 REPORTAGE COUL 1 8'
Photo ' Marie Jésus Diaz
Son : Jean-Plerre Jacquet
Scénario : Jacques Dupont
Dessin : Michel Q<Jare:z
Personnalité : Georges Séguy
(déclarabon du 28 juin 1978).
Contact : Archives Départementales
de la Seine-Saint-Denis
La CGT et la politique, simplement
conçu - montage de témoignages off
et de photos - présentent la nécessité et
l'efficacité d'une propagande confèdél'ille
reposant sur des revendications concrètes.
CINr LUTTE
1975 1 BETA SP 1 DOCU. N&B 1 39'
#
66
LA CGT ET LA POLITIQUE
LE REMORDS
KASHIMA PARADISE
RENË VAUTIER ET NICOLE lE GARREC
1973 1 BETA SP 1 FICTION COUl 1 10'
YANN LE MASSON ET YANN OESWARTE
1974 1 16 MM 1 OOCU. N&B 1 110'
Contact : Cinémathèque de Brelagne
Contact : Les F11ms Grain de Sable
M1rolr de l'attitude de nombreux cirW<Jstes
français qut s'autocensurent d<Jns les
années 60et 70, l e Remords montre
comment un réaltsateur justifie le choix de
se taire sur les problèmes des immigrés
algériens.
Document;; ire tourné au Japon sur l'hiStoire
d 'un village bouleversé par f'édtfication
d'un complexe industnel géant. Ce film
dénonce les violents affrontements entre
les forces de l'ordre et les paysans qu1
refusent de vendre leurs terres au profit
de l'expansion économique du pays.
Contact : les Films d'Ici
En 1971, des travailleurs immigrés
entament une grève de la faim dans l'égliSe
de Ménilmontant pOUr protes lw contre la
circulaire Fontanet-Marr:e/lm qui restreint
l'obtention des cartes de séjours et des
cartes de travail. Exemple-type de cméma
militant dénonçant/a légrslation du travail
et les conditrons de recrutement des
OtJVriers ètnmgers, ce film tourné sur le vif
s'attache à décrire l'ambiance chaleureuse
de la grève et des manifesta/10/ls.
COCHON QUI S'EN DÉDIT
JEAN-LOUIS LE TACON
1980 1 VHS 1 OOCU. COUl 1 45'
Contact : les Fi'ms Grain de Sable
Un jeune agriculteur barbu, les pieds
dans le ltsier; le doigt dans l'engrenage
de l'endettement, crie sa colère, ses
fantasmes el ses phobies. Il est dans la
merde jusqu'au cou. Quand le meilleur du
cinéma militant de la fin des années 1970,
caustique et provocateur, aborde les rives
de la psychanalyse...
REGARDE , ELLE A LES
YEUX GRANDS OUVERTS
NOUS, SANS PAPIERS
DE FRANCE
YANN U MASSON ET LE MLAC
1982 1 16 MM 1 DOCU. COUL 1 100'
RÉALISATIONCOLLECTIVE
1997 1 35 MM 1 1,66 BANDE
ANNONCE COUL 1 3'
Contact : Le5 Films Gra'n de Sab'e
Ce film 13CCflre l'histoire d'un groupe
Conlact : ACID
LA DÉLÉGATION
LE GROUPE
CHRISTOPHE CORDIER
2000 1 BETA SP 1 OOCU. COUL 1 35'
•DZIGA VERTOV•
Contact : Ateliers Varan
Ils lavent les trt~ins, ils briquent les locos,
ils aspirent et ramassent. Les chefs, les
de femmes d'A/x-en-Provence et de leurs
Un visage de femme 001re (Madjtguéne
clans, les divisklns. Ils sont tous immigrés.
proches, maris, compagnons, enfants,
Cissé) sur fond noir, un simple plan-
Certains subissent. d'autres relèvent
de 1975 ~ 1982. Ces femmes découvrent
séquence, fixe, des paroles sobres
la tête. SUD Rail, nouveau syndicat créé
aYee le MLAC qu'elles peuvent ensemble
transformer el vivre autrement des
et précises. L'mjustice au grand jour.
~ la SNCF. tente d'aider et de développer
moments aussltmportants pour elles
que :avorter; accoucher, choisir de faire
ou non un enfant.
RENË VAUTIER ,
L'INDOMPTABLE
MICHEL BOYER
1995 1 BETA SP 1 DOCU. COUL 1 26'
Contact : René Vauber
LA LIBERTÉ SANS RIVAGE
SOPHIE LABONNE
1997 1 BETA SP 1 FICTION COUL 1 20'
Contact : Sophie Labenne
Mars 1997,1e Il ème arrondiSsement
de Paris, tout juste acqUJs aux socialiStes,
coml'Tiémore la Commune de Paris par
la mise b feu symbolique d'une gui/lolme.
la sect1on nettoyage. Une grève régionale
se pr~pare sur fond des 35 heures.
Arn'veront-ifs ensemble à lutter
et .!1 organiser la solidarité ?
•Ailrè5 Ma', j'.i rencontré un garçon, m ij(ant
des Jeunesses Commun:s!es
Manustes
1h1 Mtes )ell'l-P.em! Go•" : c'était la rencontte de deUil pef'30!1ntS. l'~me oter.ant dU
cmtfNI I'O!'Inill, ~ un m· ltllnt qw aVIlit
dlicld6 que talle do tifltma était rune de ses
tacheS I)Oimques • Il fola pour lhêotiser Me• d
rel)aliSer è Ill pallque ll!nd 111.1e moi te. wutais me 6er -' quelq.u un qu· ne w:Jla t pa:; du
dnêma. Bret, l'un dés rant faire du ciné~.
l'autre dês•ra~t le quitter, c'était essa-,er de
cons~ru~tc une nouvelle unité fatte de deux
cantra irL'S, selon le concept marxiste, et donc
essayer de constituer une nouvelle cellule QUi
ne fasse pas du cinéma polrtique mals qui
essaye de faire pol'trquement du oréma poUtiQue, cequ ét!ut assez différent de ce que lai·
sa~entles autres cinéastes milrtants.•
Jean-Lu c Godard
(CINtMA 70, N° 151, orcEMBRE)
Le film interroge le mythe communard,
tmission de Michel Boyer, produite par
en donnant la parole aux héritiers :
1œil du Cyclone et dtffusée svr Canal+
les mamfestants, et aux acteurs de
en 1996.
l'événement: des brt~illements de Jules
Vallès av lyrisme de Louise Michel.
Mt!lant fiction et documentatre, La Liberté
sans rivage revient sur les contradictions
d'une révolub'on brisée, et sur son humanité.
67
ROMAN KARMEN , UN
CINÉASTE AU SERVICE
DE LA RÉVOLUTION
PATRICK BARBtRIS ET DOMINIQUE
CHAPUIS
2001 1 BETA SP 1 DOCU. COUL 1 90'
Contact : Ku iv Prod~ct ons
SABRINA MALEK ET ARNAUD SOULIER
2001 1 BETA SP 1 DOCU. COUL 1 60'
Documentaire passionnant sur la guerre
d'Espagne, Roman Karmcn et les mises
en scenes de la révolution. Cinéaste et
combattant. cameraman d'un sang froid
particulier, contrebandier de l'image
ou metteur en scêne de génie, de la
constructton du socialisme en URSS au
début des années trente aux barrieëdes
de Tolède pendant le guerre d'Espagne,
des grottes du Yu Nan avec Mao Tsé
Toung ti la rédtlion de Von Paulus à
Stalmgrad, de l'ouverture des camps
ti la chute de Berlm, dei maquis
du V.retnam Minh avec Allende : Roman
Karmen a chevauch61e siêcle.
Contact : TS Productions
<f
{y
RENÉ VAUTIER, CINÉASTE
FRANC-TIREUR
Portrait du cinéaste mJ/1/ant. son parcours
et sa rénexion sur l'engagement, construit
ti partir de ses témotgnages et d'CA:traits
de ses films.
IMMONDIALISABLE
YOUSRY NASRALLAH
2001 1 BETA SP 1 DOCU. COUL 1 4'
Contact : les Films d'lcl
En association avec les Cahiers du cinéma
elles Films d'Ici, La Sodét.é des
Réaltsateurs de Films a proposé â des
cinéastes du monde entier de témoigner
des conséquences de la mondta/isation
dans leur pays à parttr de la question
suivante : • Que vous mspire l'idée selon
laquelle la mondialisation met en péri/la
pluralité de la création cinémalqfraphique ?•·
ON N'EST PAS DES
STEACKS HACHÉS
AliMA AROUALI ET ANNE GALLAND
2002 1 BHA SP 1 DOCU. COUL 1 54'
Contact : A 'rna Arouali et Anne Galland
Il était une fois, l'hiver 2001-2002
A Paris, au Mc Donald's du Faubourg
Saint-Denis... Pendant 115 jours.
les 40 employés du McDo vont tenir
téte àU géant de la restauration rapide,
jusqu'~ la victoire. Avec l'aide de nombreux
militants de leur comité de soutien,
ils découvrent le droit du travail ella lutte
syndicale.
EN PARLER OU PAS
LA POLITIQUE
MARION LARY
2002 1 BETA SP 1 FICTION COUL 1 30'
Contact:
V.LR. Productio:ts
Claire, 20 ans, est vendeuse J mi-temps
dans une croissanterie. Makomé, son
nouveau copain, a dtsparu. Il n'a pas de
papiers. Il est Zaïrois el peut étre expulsé
au momdre confr(jfe. Claire décide de
l'aider. Son parcours la conduit dans
dtvers l1eux associatifs qui lui permettent
d'interroger la réàlité de l'engagement
politique aujourd'hui.. .
DE LA DICTATURE
DU BIEN-ËTRE
STÉPHANE ELMADJIAN
200 2 1 BETA SP 1 DOCU. COUL 1 3'
Contact: l.ardux Fllms
68
"'
0
0
Des caisses de supermarché, un vigile,
un monde idyllique. ..
JENINE, UNE VILLE
SOUS SILENCE
ARLETTE GIRAROOT
2002 1 BETA SP 1 REPORTAGE COUl 1
20'
Contact : Arlet:e G1rardot
Dernier jour de COUliT'f!-feu (18 avril)
et premierjour d'ouverture de Jenine:
les habitants découvrent J'ampleur des
destructions. Le 2 ma1 2002, le secrétaire
e(méral des Nations Unies, Kofi Hannan,
faisant droit au chanlilge d'Ariel Sharon,
d1ssout formellement/a miss1on qui devait
faire la tumiére sur les événements du
camp.
MANIFESTE
HUGO VERLINDE ET H(LËNE DESCHAMPS
2002 1 16 MM 1 EXPtRIMENTAl COUL 1 12'
Contact : Collectif Jeune Cinéma
Parr::e qu'il est urgent de crier qu'il f<lut
enfin faire du cinéma de toul. Qu'il faut
enfin faire de tout du cinéma. Apropos
de tout, de tout ce qui fall notre vie, nos
espoirs, nos luttes, nos rêves. Parce qu'il
est nécessaire qu'existent enfin sur un
écran notre monde, notre réi3/llé, notre
vérité.
L A TÉLÉVISION
NOUS ENCULE
liONEl SOU KAZ
2002 1 VHS 1 EXP~RIMENTAL COUL 1 7'
Contact : Lionel Soukaz
•Je trouve des verres pornos de lanterne
magique qu'en rentrantJe mets devant ma
télé, etj'enregistre. Merr:i à Agathe Dreyfus. •
"""'~-
Contact : Ag•nce du court métrage
BOM B I RAQ 1
-#
Toulouse, 21 septembre 2001, 10h17,
t'usine AZF explose. Les dégJts son/
considérables. Le site a éM totalement
dévasté ainsi que les alentours. Plusieurs
milliers de personnes seront marquées
pour la vie. Mais la vic continue..•
En mal 68, certains d'entre oo.JS trava a.ert
au sein de la Commission de la D-ff~s· 0'1 des
tœts généraux du Cmérra · cette COMmiSSicll
OrgAJnisa'l et assurait notamment des projections de ~IIT'S pour les grév:stes t:ui occupe1cnt
ma·. de nombreux
leur:; en'repr ses. Après
Clnœstcs Cou g•o.Jpes de onéastesl 011! eu
pour bt.t ta réaliSIIboo ce films cUl:!; •mî !anis•
Par'ars. leur
acti~1té
avait d'ailleurs débuté
avant ma 68. Ces films étaient géfl(!ralement
l'express 0!'1 de différentes tendances de gauChe ou gaucMte . cette diversité ne d01t
pa~
1 LIVE IN A BUSH WORLD
MASSACRE POLITIQUE
À LA TRONÇONNEUSE
(TEX AS CHAIN POLITI CAL
MASSACRE)
l'appartenance soct~les de beaucoup de
Cinéastes. Parm· nous. œrt<um éta1ent com-
LIONEL SOUKAZ
2002 1 VHS 1 EXPËRIMENTAL COUL 1 6'
liONEl SOUKAZ
2002 1 VHS 1 EXPËRIMENTAL COUL 1 6'
l!lns e-~a tl"t COllaboré & des f 'ons comme A
Contact : Lio,el Soukaz
Contact : Lio~el Soukaz
•Les trois premières minutes que j'ai
filmées sur les ChampS [lysées, ilia
~ou
L'USINE S'ENGAGE
JACQUES MITSCH
2002 1 35 MM 1 1,66 1 OOCU. COUL 1 4'
LE GROUPE « DY NADI A »
demande de DereK Woo/fenden, sont
tirées de son film Playdead. Puis Bush
est arrivé il Paris et, comme tous ces
manifestants, j'ai rédg1. •
lJCne/ StNI<az
T8)(1Js encore, un massacre s'ensuit.
Massaçre politique et mondial. •
étonner, si l'on ne perd pas de vue l'ac'Sine et
munistes, d'autres riQn (OIJ pas enœ.a) • w-
liieniiX, j'espere oo L(ll(l du V'.etoom.
(CINOlA 70, N°151. DÉCEMBRE!
,..,.._
BOMB IRAQ!
LIONEL SOUKAZ
2003 1 VHS 1 EXPËRIMENTAL COUL 1 8'
Conta ct : Lionel Sou kaz
•Les Pom Pom Queers inlerviennent
librement sur le thème de Bush. Je les filme
devant la st?Jtue de la lilie!té J Paris. •
I.Jonel&lul<.ol
69
..
Ah ma Aroualo 1 Anne Galland
Association frères Lum1êre
Cinernathè'lue Umversitai re
,·.
Paris fff
Kui v Productions
Sophie labonne
Coffectof Jeune Crnema
'.,
Cio Arch oves Françaoses du Folm - CNC
~
.
Dovodis
Lardux Films
les Films d'fel
Fernand Moszkowicz
Ateliers Varan
Contacts
••
1 .
.
'
Les Productions de la lanterne
les Folms G1ain de Sallie
1'
~~
Ac id
',,
1
1
1
!
Conéma Pubhc Fofm
'• Il
Gaumont
'
Agence du court noetrage
.
Lionel Soul<az
Cinémathèque de Bretagne
•
...
t
Arlette Gorardot
Archives françaises du F1l m
..
TS Productions
. ,
1.·
ISKRA
V.L.R. Productions
Archives Departementales
de 11 Seine Sa1nt-Den1s
'
70
1 1
Cine-Archives
Cinematheque lranca1se
Jacques
~êbad 1 an
••
r •
EXPOSITION DU COLLECTIF TENDANCE FLOUE
tt t Pantin
Tendance Floue, né en 1991, est un collectif de onze photographes. Au fil des productions individuelles et collectives,
Tendance Floue se retrouve autour d'idées communes, de recherches techniques ou sémantiques. Il ne s'agit pas
Fr·,~,.
1 V'P
de donner à voir mais plutôt de faire ressentir. de rester proche des préoccupations de notre monde, de confronter,
d'associer les différents langages, et, dans un contexte journalistique, de laisser place au doute.
«Nous n'irons plus aux paradis»
CONTACT
Tendance Floue
1
LES PHOTOGRAPHES Ul Pascal Airnar
1 Caty l a ~ 1
1
Thi er ry Ar d o ~1 n
Ph4 1ppe Lop pa•e'l
1 De ~o s Boor&es 1 Gill es Coulon
1 Meyer 1 Patri Ck Tourneb oeuf
D'ivier Culm an n
1
Step han Zaubitz er
•
-
Mat la cob
71
)J) Pantin
Samedi 29 mars
Bibliothèque Elsa Triolet
Entrée libre
De 14h30 à 16h00
"DES LUTTES ANTICOLONIALES AUX LUTTES OUVRIÈRES•
De 16h30 à 18h30
" DE L'ÂGE BAROQUE DU CINÉMA MILITANT
À SON TRIOMPHE POSTHUME•
Invités 'Yann La Masson, Bruno Muel et René Vautier
Invités , Richard Copans, Hervé Le Roux, Jean-Henri Roger, Lionel Soukaz, Jean-Pierre
Yann' Le Masson (né à Brest en 1930), Bruno Muel (né en 1935 à Saint-Cloud), René Vautier
T~orn,
Marcel Trilla!...
(né en 1928 à Camaret 1 Mer), font figure aujourd'hui de • pionniers du ciném<l militant• dont
Tables rondes
ils ont arpenté le genre bien avant 1968.
t:étincelle
René Vautier, après une participation active aux combats de la Résistance, contribua comme
assistant-stagiaire à la réal,sation de La Grande lutte des mineurs (1948, réalisation collective),
tifs particulièrement divers deni certams, il est vrai, couvaient depuis quelques temps. le groupe
cinglant film militant qui se ~~ aussitôt interdlfe. Le cinéaste réalisa ensuite en Afrique noire,
Les l"'ilms du V;llage, le service cinéma du secteur propagande de la CGT Ces colleclifs ont fait
émerger des f1gures qui ne ta·sa·en! généralement juSque~à que de la f'guration : travailleurs
Afnque 50 11950) qui se vit également censuré et qui lui coûta, aussi, de nombreuses Inculpa-
72
(~
lskra. en Russel de 1968 a provoqué un feu
d'a~if,ce,
un jaillissement de collec-
Medvekine, Scopcolor, le groupe Dziga Vertov, Ciné--lutte. Cméthoque, Les F1lms Gra.in de Sable,
tions. Viendront également la • pérode a:gérenne • (du cOté des maquos pus du pouvo11 FLNJ
immigrés, OS, femmes en l utte, paysans, prisonniers, •minorités• sexue: es. régionales et po;i-
puis ta • ~iode brc:onne • (oj se mêierontluttessyndicales, fém'1isteS, régionalesetécotoeistesl.
1ques... À certaons tracts filmés relativement Indigestes répondaient des audaces cinématll!!ra-
Renê Vaut er rentre aujourd'hui d'lsraê- et de Palestine et envisage de se rendre en Irak ...
Partil:ipa'l! 3 nornbreux corrbat5 anticoloniaux et anti-impêrialistes. tournant en Tun·s:e et en
p'liq..:es ; ~ la talf.olc€;e propagandiSte, de beaux dévoi:ement5... Ces films se conntlattaient,
certa·ns ci'léastes se halssaient et pourtant. des Images et des f gures de sty'e gllssa'ent d'un film
A'gër·e du temps des gverres colon·a·es. réalisant avec Benie Deswarte le magnir!Que Kashima
à attre, et q<le:qLes cinéastes participaient mên'.e, altemativement oJ simultanérrent, à tel ou
Par.idise (1973) au Japo'l avant de filmer en France les luttes des temmes, Yann Le Masson a
'''"""''"'lmnjn< connu mais relativement simi'aire, rrême si, sur le plan politique, son atta.C.F. dura moins longtemps que celui de René Vaut er.
quant à lui, lit ses prem:ères armes de cinéaste en Algérie, en Colombie et en
pu·os tut l'un des piliers du groupe Medvekine, fnuctueux et célèbre collectif de
11'1 p·ouvrlers devenant à leur tour cinéastes, essaimant de Besançon à Sochaux.
des questions qui seront abordées lors de la table-ronde: engagements de mili~~"~•....,.4a,,m,,nt< de cinéastes, passage des luttes anticoloniales aux luttes ouvroères, Jnté-
te!
in~·...,,dli•*•I<Llon
Bruno Muel et René Vautier rendront également hommage~ Antoine Bonfanti,
qui ne pourra être présent à la table-ronde.
an or-ça la mort du cint!ma mtlltant et on constata une réelle absence de • transmisdu cinéma documentaire a pourtant pris ces nouvelles figures en héritage el
les;t(ir4llrav:hilk!es. Et émergent peut-être aujourd'hui les signes avant-coureurs d'une apparition
Retrouvez sur notre site Internet www. humanit e.fr les entretiens avec : Ken Loach - Bertrand Tavemier - Fabrice Lucch1ni- Henri Cueco -José Montalva -
73
Guy Bedos - Patrick Chamoiseau - Régine Chopinot - André Velter - Nathalie Baye - Jean-Michel Jarre- Jean-Pierre Le Pavee - John Irving - Robert Guéd1gu1an Charles Aznavour - Abbas Kiarostam1- Joe Cocker - Bruno Solo - Yvan Le Bolloc·h - Patrick Bruel - Rufus - Serguei Bodrov - Cedric Klapish - Nicolas Philibert Atom Egoyan - François Bon - Nadine Gordimer - Mohamed Rouabhia - Ari elle Dombasle - Olivier Assayas - Philippe Caubère - M ike Le1gh - Eric Pittard - Assef
Soltanzadeh - Alain Bashuno - Georqes Moustaki- Cheb Marni ....
DANS LE CINÉMA DE ORASCHAN, CHAQUE IMAGE EXPOSE L'ECART
ENTRE LA PERCEPTION VISUELLE D ' UN PHÉNOMÈNE NATUREL
ET CELLE RÉSULTANT DU DISPOSITIF CINÉMATOGRAPHIQ U E.
Thomas Draschan
/
,/
T .orras llraschan,
n~
en 1967 en
Autr~r.l c.
prat1que la fragm;;nMiun et l'échanhllnnnay,c
CH1è.natograpll QUP.S d~r" 1~ grande 1gnée <!P. Ken Ja~ob~ et PetP.r Ku bel ka 4ui lure~! ~ profc~­
$E:U1S.
0.1M
un curp:; ;, corps intenSP. ave<: !1011 rn•te,au. 1 !'\'!formule rdd!Calemert IFS <lt.rècs ct les
tempnralltc' pour fa 11e 1alo r des rl1sc.onhnuitës o·goaques. hypnotiques et v1bta\1IP';
Ala n.w, Ile Franziska ( 199/1. un plan Ile tro1s 'llln\115 fr~Rmcme en pte-sieurs mill e~> de morceaux.
Thcnl<)s Dlaschan réasSP.nble cn,\JIIe son rnalénau dor s l'urdre onrbal mA.s en ontrocluisanl des <liffèrcnces de focalosahon. Le dt'l:adrage de l'lrTiilge P'!rrT\CI l'apparl!lon <le-; l""furation~ de la l)elllculc
- ~ i'ld1cat1on> tec'llnique; " film satety" ou "kodaduome· en sont r.orl'rnc le retrair
,
Ot.
bien la
r~ oc:llf..::atlon <le.\ d ~rnc 11sKms du p~t()8r•mmc l•ldll'l les changements de rythme, ~· lurr•iè•c, Ge
v•tesse. c~tt<: JLJiupsie vise a prés~ rver les centres d 'e x p re.siOn~ ncrveu> de l ' 1 m~ge afin de réan•rner
un r. orp,; <liffércnt du premi~r. Le Slm~l~ défile,nent er,ge,<lm 1 ~11SIOrlS et concentral itll'l> orConnéP.S
aulmJr de IJ ligure de ~r.m.T,.~iJ. de sM oc c•.>l t~tion ~sa d1>par11ion lorsque s u rexpo~cc elle ~ ·e ft"r.e .
Ce rèenc•lllntement du me> wvc~1CI1! obé•t il "~~ <lnuhlc l"giQJe sensitlvn <le vitesse et d '1nter>S1 l~ .
<!ont ln Ne.,~elll991l n'Ir" une vers1011 plus 'lai.Jranstc T1101.,as l)rasr.hil'l pJrl d'Ln1e per1Drnar,cc
de .'art ste aut rich•~n Hcr·r.ann N•tsch a Nan es il laquel,e ol a parti<:1pC curn~re a>S1star! ~~ •cleu•.
75
A part•· c1P. fragn·ent:. :.or.lrP.S allt.s•ons arr•otJreuses et P.rot•t;cc' -. n·ér.h~lltil lon> lll\JS1C~.Jx, c'•nlagc~
poJrrait le ftmP. .. lil\Jf et Puil
q~•ut''~'"""'" proches du juurn~l f1l111é telll~(•l pu êlr~ pr~tique ilux ttat•-Unis par J<YlcJS Mekas. ,1
n·.me paup·1crc. Cc;tte
co1struit ur\ punie volontaircme., t
\ 'lC.(•mpl~l
P.1 sorore:.. à t>lJsiP.Io<S 1iveaux. les
t~·m~,,s,to5.
d1orrys•flQIJP.S. Pourtant.
c :,r.nnt1nu Qlli
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TOI..lf.)J r~ ~ur lo:~
ùc'» e<:'l;m~llons real <>o d"" r.cr!i
mfœs spat~~h:.~s. h,,m~1nes. se nsucll~s tJ P<lrtlr de la dis<.:c>t\tln.!lte en:eg~~trcc iWfOIJr d'ur nom:m~ prf!-
"'" act1nns e~t corn m"
ICJ rer:t"~rche intégrc..IC d'IJt"'jP. cont1r.uilé lJist:<mt,nue par de~ "decores ddns le mouvcmf!l'lt Q.JI r e tien•oy~ger.
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de 1ruis. st~q\JP.r
cdméra ellourllill'cll·
AUTOBIOGRAPHIE JJI
premier film : un documentaire sur l'escalade de l'Everest. J'ai eu très tôt l'envie de travailler dans
ce domaine, mais on me disait toujours que c'était très difficile, compliqué et hors de prix.
Finalement, vers 1988, je me suis procuré une caméra super B. Au même moment, j'ai commencé à
fréquenter quotidiennement le musée du cinéma australien. Après une participation à l'université
d'été de Sallbourg avec Peter Kubelka, j'y suis devenu un invité e~ plU$ tard, etudiant à l'École des
8eaux·Arts de Francfort. Depuis, j'utilise dans mes œiiVres le film, la photographie et les collages.
Mon travail a pris un tDurnant important avec la rencontre de Ulrich Wiesner qui m'a appris à travailler avec des images d'archives. Vu la quantité d'images qui sont passées entre nos mains, nous
avons acquis une grande expérience en montage.
pour nourrir ma pensée quelque peu éclectique - dans la littérature,
comme, par exemple, J.C. Huysmans qui m'a toujours inspiré, mais aussi de nombreux artistes du xiX'
,
r.t r1'1Jr,e suct.:t~s on frti. nétu~ue
ple•·>el'lCIIII•" virt·.Ji!lltés d '~ n <:11\èn1a du
CCSSf!
en evoMoor•. <1"1 doo-
sunil~udes
~
fo·rndlr.s
l/{1'-! œuvr'iJ 1 rent~ ~fl::i
U'i.lc:\t vltA~ t"'lmldine~
Surtout. r.etie mise en relr11ion d·l·
unP. rec~ nsio11 p rc,Q IJ~ P>hacslove des d>ffé•Pnts typ~> il'> ma&"'\ ~u
cartu~s. ~Ire~. ~ nimatiU'IS.
~cu
00\.umer>!.li'C>. p •Il<>. etc.
<X~
1•
perc~i>~Or\.
la o1'l 3r'lèrc lucl1q1,P. et rad ocole d'un
0::1uparr1va r1t. Ces
l'org• n<$0'Jon sensorielle Ile r.!>'<
le·. wupes sonl re1«!c>;, Rf.1nM v1tesse >elon
·'ndmrJ(')l ~~ d~
M~tmce
1'1natter:.on'"
Leona1rc: lnrsquï réal >~il
~grP.ne'"lt
Jn nombre rl 'p'J·~ges.
partielles P.t volot•l~~ dor·: le pr>nc: oe ~va il dCfil ete ~q1, ssé pa• Dr""han avP.C Alnka oonus ( 19B2i.
du nonce r.xtérlf'ur Comme to JJours cheL
Y<!s ? Ow >J"! (?007) est :.Ir .x:t.Jré ,;eloo te m~"'" wnr.ipe et provier11 ùu rnr.me r.orpus ~·~rctuvP.S.
nraschJr\
Il P.St égale~ltlll co-ré• >Sé <lvec Ul11<:h W1esrer q~1i ct1u1>il 1~ chansor de MICI1el Poln•reti La Puupi>R
m~1"~ de
le '1l1T Interroge re proceSS1.JS
Ill Mer ct
5<~"
r.co1po;Jnl;.. le> p~nto
gr,)mn"P.S , leurs enc·k3inemert; C'Orltinl!~ ou
lliSCOIItlnus. leur eSP<!CC Ile perr.eptoon. leur
:em~r•ltü.
Avec ce 111-n. il 'c rapproche du
(Hn Mgla1s).
·~~ ril~t>l e
én111e
~or~lc
dt, liln1. 1iGée de dc'par+. ll!gP.re.
IJJ/x'> (() royiimd
~ne
roumesols 11982)
(:ncore ::le la ~~m: M;J sorcière btc.:r: armP.P..
tlcwm'm~<>
oiJ
L'IJamp provençai
po.;rt1e dv l1ln .
t.;,
la prcr.,oèrP. et
trois•è<nc ,·•x1al -
se •utour c1tJre ''*- <le B;îiP. el r~v~le ""
enctlcJit,,!rnP.I"'t r.: hc1ral Llc.! st;perpositiurb
des
d'll lu>lrm tes mots :le
D<Jn> a;juCIIc '""
clni m.;lti<Jr1~ abstm ·~t"!:s.
lnL.Je\s - Ut:
~out "~'· d~ns
"nl~llr.~l""
>CliO de a teléVISiD'I
f1lm~ ~cienti11(juc::i; av~~<:
trava1l de Ros" LowMer et de f• "" t:omme Les
(19 19), En
èt~ t
1~
..:h.mç;nn pou' en l "'lrc r.xplo.<=,er la St'udun! par ~ccu'l''llldtion ct profu!i.ton. 1es rldlo(t!~ prov·lenner~
d~ ù1ffi:rPntP.s sources. des acte1.rs toua~l T~<7.Jn Il ex Adrkel. Bu~lcr Crdhhel. de scènes liré•s de
per~·l"-Q•> :iC)I't
des
de tl!rns iJr1w1al1ers alJSlrJIIcns ml
€n 7003. Tho·rw' Dril'CIIan réalise To thP. ll,JPpy r.,.,._ f1lrT1 c.;c lourd foota~e pJrtiLulèrP.menl mu"'·
c~l.
,,tnJr:turé 3utour de .•
ryt~rniQ.JR
les •treb
f1~ure
on)'StiG.JC !lu • mandata •. Ces
grapl11que cl plil>hqtJe
p>yr.~é\l~li((ucs .
~vec
ima~!S
lr.n<.tiCMellt
~~~ ~y-><:hr01·oe
une ~ha~ son de Bol ywood af<r de renforcer 1rcvuquement
D•ns le c11eo'la de
Dr,J;;r.~i\11.
c11aqve ionagc cxpc>SP. recart e1".'e I,J nP.r·
• rbrf~.
CP.PtiOf> v<Sucli<; d ·,,n phena<rcnl! M !IJro et cel e rr;>.Jtlanl rtlJ d1spos1\ol CIIIC•r~tograp h iQ ue . le pro-
P~"
n Jes. voit"""· r. P.l. nu ag~s.
l'•m•ge se •e1èle <lans une
.:P.!Iè d'éc'lJnti u nMge. al he a une rcr.'lPrc~e se~s•I M! du 'T1ont~ge el oe ses ll'ut:l:di.IP'i de liai"'""
VItre pao tra ..>p<m,'l<'.P et double ta mise en
c• dP doscontir.JIIc>. r.or'P.re à se:. /lmo, lil h rme d'un orgonism" v1vant dontrenscrnble. rtes relation>
v>Suele> :
lumières
~cP.ne dt.. c~dre ....,.J
p h.l<l~Jr. n~rrnet
sf!ri(l1isat on photogra
de co rr'T'IJter des
po·1 n\~ p r~­
•1kme~ ~
SHI'Jit~·•cc
•lors Que r.x:.t · 'li!tura•ste' ne
une
conlc~roorrl
cis Uc 1'1m~ge pour I l!~ orr'le~v.er d~ 'dçon
76
.,~l"e
r.onstitué ile. ;m:hves sars
J peL
cirq cc:1ls fil'11s. Me/rupolcr. rte.< leichlsin"> s'mJVrP. par ull voww.
mag~ ùclou'Tli!<>S s'cpère >clor•
11"'
~lruct ..,re IT'~U,én'dtiqL.e.
~n
f11rn lui mêl'le, ~.livi r1L dètOLH!lcrm~nt r1 P. 'tlrr.s porno. cfHnilges de cellulc::i , rlf! naLssancc.
~lJKidc
l11l.ant !lrdur,n~ nPJr u,e
D'aussi loin qu'il m'en souvienne, j'ai toujours eté fasciné par le cinéma, avant même d'avoir vu mon
et du début du u • siècle.
rJa r1~ f!
de
~·P.nv ron
filrrs s..ms qudht<;> se loge <l v
tl pcrœpl1f ~ui va heurter 1• vis>On nJtJrdli:.te
souv~llll'inspiration-
le1. l letons. c.!lttc•s. cl-.ss111s Jni1>Cs
f\u ,o,lra<rP.. dan~ 3 F'olm<" ( 1991). le> unag~s reprlldUIS<:I1! une fi'li<m rlu n1ouveme11L ~t:r1e. P.t scir
r.e s. Jn a•brc. 1m hnnHne et une VIJC ne
Je trouve
p ubl ~<:ilo> .
t1fs.
vt!l't Pires o:onst1tuL-cs:
1re. l1lrner.
~~tte"nents
l'espace ct lo JYnfondtLJI de d•;Jm[l
1\,sagc <Lm ~lal éroa~ pl~" t•l~lérogèr~ C01'>J<""' ~~ r. P.I1taires ~c sn<. r~es dillérentcs. f1lr" éd '1CJ·
BerrlJrd
poo<1t!> de I<.JNm c1 ur IT\ltL"•"U h<<''"''lCI te La
~P dép ac er.
ménJ>:.! n1<11JVP.mt:m1 cornn1c les
mode dL, juLr-
D ro >r:h~r.
'ilrl[lhng. T11o·rws Dra'('lan a peu
::is d ~CIIOI1S., LJoirc.
1l;Jn~. le
•oc~II S<.~I •<>ns.
d' llus or1~ tlu r<'e .
Sctl!e<•>cr. GP.Qrg WJS">Cr cl A 11~ Crum·ll~rl c·co.t enr.cre te mont<lF,e o'l' ~el et sonore qu1 IO.Jrnt tes
<r<~iqur. <1 ~'sooation
les
Mdmpole" dèS loi<:ltl>inn.< :?OOOJ. r~"""" avec Ulnch W1c"'"'· ali e les vertu~ dP. la ser'<lhte cl ~"
•ronlat:" rt&-.ontlnLJ af111 de ·•~liSer les f.JOlo••llal~i'ol conle1uc' rl~ns c~s l1ln1; pr&c<;d~11ts . S~-ortout.
~o.·t ~u1"nt rte te1"!S.ion~
voyilge er 1:"1"' e•1tre qwt·e coné.J>te' trhcnl<Js
~~.·~nt
rli i'\SI r;::onforllus
vc--s le
de ÙCP<Jrt snn! d•speoses ct d1:;trrht.P.s selc., un nrrlre
no1rs. '1Ui ertrecoutn:nt P. t1!rn
r.etle rr1.1j.)t1t.lrl LllJ c:orp& et de son tr,:1t·sme.
r'<JI. ltfJimn 11999) èvoqiJ<?
rtt> teux de
~tm1
s.>isi~ re~ <SIIItliJe
Hugo Bélit
n.
p::~rtcc s;gnlf·(Jint~ C e~tt: (c;r'T'~
eiit pariais
rrJëTt! 1(! ~~~rlngrap'l e ~c notr~?~:
.,...onde
Filmographie
BETT INA
1993 1 SUPER 8 1 COUL 1 MUET 1 3'
Contact : Ttwmas Drasrh~ n
J'at svt'vi 8 eittnil. e l 'urtcwt ses jJmbes.
lors d'une p romcfi,Jdc. La l urmère effleure
METR OPOL.EN D E S L EI C HTSIN N S
ses mollets. ~:Ife porte un pa niJion
QUI ne
ftJ
c:ou vre ~IJe jusqu~ (JX gP.ruwx.
Fin-Jfcmcn t. t:!te svce une g i;Jt. f!
EVA
FRANZISKA
NEAPLE (NITSCHl
1991 1 SUPER 8 1 COU L 1 MU ET 1 3'
199S 1 16 MM 1 COUL 1 MUET 1 S'
1997 1 16 MM 1 COUL 1 6'
ICH 1
Contact : Trurt'JS Drasc h~n
1993 1 SUPER 8 1 COUL 1 MUET 1 3'
U ne semaine dans"" ''11/Mt/C!menl
,j
Vevey. en Stll.''"· t!dm un m agnifique
:salement.
Contact : Thomas
Dra s r.~ a r
Contact : Thorn•> llrosr.han f
L1~hl
Core
• Fr<Jfl.tc~ ka es/ f'envoù/Jnl resu!MI
d'1m travail d'artisan p ervers :
Dm~ r:/ 1an
Contact : Thorn.Js n rasr.l'lan 1 log/11 Cone
• Au c entre de œ rnof'l/age extrémement
éla bore et rleiJtl/e, plein d e jev x cie mols cl
Auto cbservaHon. prinopalementd;;ms
" fragmente 1111 plan de trot., minutes
d 'rm,Jgt·~·.
ma ••ie de tau' lt!s tOurs
en 3 240 d étoJrls (. ) •. r homas Korschtl.
rr1-1i., plu/ot des fragmentç ri" /'cxpëriet)ce
11u ne se sit(!en/ nt lJ
vrlll~
ni l 'art.
ttualidrenne et e." m tim~ t<•mps très
GÜNTER
individ"elle. ( ...
1991 1 SUPER 8 1 COU L 1 MU ET 1 3'
ICH 11 -X
IN WIEN
1994 1 SUPER 8 1 COUL 1 MUET 1 2T
1996 1 16MM 1 N&B 1 MU ET 1 3·
Cuntact ' fhnm,,,
1P. c-iru:,Js/e Günler Zehetner (Jrt:rul une
r!ouche, tandts qu'une pcfitf! r:.:Jmera
Fncr~rc
Super-S . volette. o7lii0U f tle son corps
jr!fJrna/ bien narcisstque. mot en train
rrr?pteSSionnm tl, oh.~~rvant SQtl ancJt'Jmie.
dt' deper<r, de voyJii" '· ci 'al/er à d es rende?-
un peu d auto-obs.ervhlion 1
vous d e perd re rmm temps de mille
et une fcJç:on.,.
SCHWIMMEN
1992 1 SUPER 8 1 COUL 1 MUET 1 3'
N . Y. 1-4
1995 1 SUPER 8 1 COUL 1 MUET 1 !?'
La star dP. ;·, frlm est encore (me
p.,;r,,
c<Jmer,, Super !:J. We m ·., accompagné
4Uj)rt~'l
d'un tac.
0
lOI.,JjOI.Jf!) l t.'fi1JC ;}
""''"" t.~uand Je nage;"'·
la main.
Dra> <:''~ ''
~'renne
3-FILME
1998 1 16 MM 1 COU L 1 MUET 1 9'
Apri!s plusieurs annees pdSSéeS il
Fr,Jm:fort. je reviens J
!•. Tllamas Korschil.
peut cJ1~ux
s"malf)eS. Je porte tJn regard ~r!rllimer11~1
sur des choses el ri.:> P.vém~m•.•n/s
Contact :
Thorn~s
Filrn 1 : ;'lrhm.
bou;:~nt
Dra.ch<ln i Lighf ConP.
l rui~ IOLHS.
DP.s
fP.~Ji11m.
rf<Jr>:.lc /1lrn (PJr le f1l ml. Dt:s Hl la-
ord rnaires . m<mgcr d es wic nerscllnitzel
ges golcnf le t'louve ment p~oto~o:rd~l' q~e
avec m es vieux amts. dt>am b uler dJns
m on\ c f le reproduisP.nf d•ns le f1lm, en tant
mon ;m r:ic n appartement...
q ue f! C: IiO"'' Cie
'TIOU VCrri (! P:,
Film 2 : GP.<>rg. baoc:ur. tro1s ,ours
A gauc:hr., a" bord. se lient 'lUelqu'u" GJ' it
film 3 : pace cie Hale. ICl JrlnlJit. Uoe
Ouotrr. pc /Jli!s h istcNes en Sui)Cr 8.
urchestr•t,on complexr. de superpos1t1ons
~oumecs tors de mon sEJour û N~w Yori<.
c· T'ages el de lUM ières.
77
~
Filmographie
BETTINA
1993 1 SUPER 8 1 COUL 1 MUET 1 3'
J'at suivi Beitmil.
er ""'o"t ses jambes.
lors d'une prvrru:nadc. La l unl!ère effleure
METROPOL.EN DES LEICHTSINN S
ses mollets. ~:lie porte un pan/Jion
QUI ne{,) ~·ouvre ~/Je jusqu~tJX gP.naux
Firwlcmcnl. elle sLtce unP. gl&r:
EVA
FRANZISKA
NEAPLE (N ITSCHl
1991 1 SUPER 8 1 COU L 1 MU ET 1 3'
1995 1 16 MM 1 COUL 1 MUET 1 S'
1997 1 16 MM 1 COUL 1 6'
ICH 1
Contact : TburlldS Draschan
l.lr~c semaine d,Jns
,j Vevey. en
1993 1 SUPER 8 1 COUL 1 MUET 1 3'
un ''('lldtlemt:>nt
Stll.,sr•. d-Jns un magnifique
Contact:
Thom~~ Drasr.~ar
Auto ob~rvahon, prirlopalementd;ms
osolement.
ma
••ie de tau' lf!S murs
Contact : Thoma>
tlr•~r.han
i l<~hl Co~e
• FrdnrL~k,l cs/ l 'envoùt,mt resultat
d'un lrJvail d'artisan pervers:
Om~r:l<afl
Contact : Thom.Js nrasr.han 1 Lol(lll Cone
• Au centre cie œ moN;;ge extrêmement
éla bore et rMidll/è, plein de jeox cie mols cl
" fr.Jgmentt: om plan de lrc11.' minutes
d'rm,J[;t>~·.
en 3 240 d étiJ<ls. (. ) •. rhomas Korschl/.
mai., plutôt des fragmefll< rif: l'cxpëtier)ce
r1u ne sr? sitl,Jen/ mlJ VIII/! ni l'art.
tii.JOiidtenne
GÜNTER
1991 1 SUPER 8 1 COU L 1 MU ET 1 3'
ICH 11-X
IN WIEN
1994 1 SUPER 8 1 COUL 1 MUET 1 27'
1996 1 16MM 1 N&B 1 MUET 1 3·
Contact' lhnm•:•
/ "c·im:,Js/e Gùnter Zehe/ner rm:ml une
tlouche, /Jndts qu'une pct;/c r:.:Jmera
Fnmm un peu d auta-observi>l•onl
Super.S • volette • ,1/Jiour de son corps
jO<Jrnal bien tlarciss.qve.
1rnpresstonmm!.
ete" mém~ temps très
!•. Thomas Kor'Scl1il.
individ"elle. ( ...
olls.~rvant sat1
an,Jt'Jmle.
mQt om train
Ord !.<:'l~'l
Aprés plusieurs annees pJSSéeS a
Francfort. ie rèviens J
Vtenne pour cfl:u~
dL' deperlf, de voyJiil"'· cJ'alfer à des '~"dez·
~'1maines. Je porte tJn
vous de perdre rrmn temps de mllle
sur des •·hoses el d~::; Hvf5ru~rru!nls
et une faç:om.
regard ~r!rll1ment~r
3-FILME
1998 1 16 MM 1 COUl 1 MUET 1 9'
Contact :
Thom~•
Dra.ch<ln i Light l ;onP.
Film 1 : •rhlf:. (roi> IOLIIS. De>
re.. ill<!\
bougent <1ar·> le /1hn (par le film). D<:s lil la-
ordmaires .. . IT!imgcr des wienerschnitzel
ge> golcnt le t'louve onen! p'lotoKt<l~l' q._e
SCHWIMMEN
avec me; vi~:11x arn1s. d~Jmbuter clans
mont cl le reproduisP.nt
1992 1 SUPER 8 1 COUL 1 MUET 1 3'
mon EfiÔl:rl app.artemen.t...
que f•c:liO"' r.le rno.tvr.m c: P\,
N.Y. 1-4
1995 1 SUPER 8 1 COUL 1 MUET 1 12'
La ster dl! n: film est encore tme pi:lik
d~ns
Film 2 : Genrp, ba o:u<'. tro1s ,ours
A gaur:hr.. "" bord. se henl qur.lqu'u" <;JI it
ccJrrrer<J SLlper 8. E.fle m ·a .:Jcc:om(Jagrrè
Contact : 1 torro• Drdsctlan
,Ju;Jrt:'ç d'un tac.
O,;,;trr. fJC/t/cs h istcNes en Su(Xir Il.
u•chestr.;t,on complexr. de
~ournccs
c· T ages el de IUM ièJcs.
fOVjOUf!; !"t.'fiiJC ;}
mémc r.;uand te nage'"'·
1J main.
tors de mon SEJour ;i N_w York.
le l •lm, en lanf
Film 3 : pace cie Hale. IClJclnuit.
U~ e
superpos•t1on~
77
.zf/
METROPOLEN OES LEICHTSINNS
ITALIEN
YES? OUI? JA?
RENDEZ-VOUS lM WELTALL
1999 1 16 MM 1 COUl 1 3·
2002 1 16 MM 1 CO UL 1 4'
2003 1 16 MM 1 COUL 1 g·
Contact : T"oma>
Contact : 1homas Dras.c'la'•
Contact :
Utt JStront1ute t'tumcfonne son vai~seë)lJ
compagme de trois aotrP.o cineastes
Le matériau d" depart de ce l1lrr> c!.l
compose de ru.>hr?> rle f.'!ms educatifs
d~r1s
(Bernllard Schreü1er. Georg
d'Allemagne <1e l'Est. plr:in., ae pet1ts
experiences tout r.·n
grr~phiQ(Jes el
pl.'rsonnJiites.
Un Wm
s~r
Draschar~/
L1ght
Con~.
un voyage e11 Italie en
W,Jsne~ Afin~
Gwrm/IP.r) qui se presente s~rlr!IJ/ comme
rie rertond~m:e<.
r11om~s
D·a;chan
<Jillerritoirr; 1nco.onu t!l fait diftr;mnte s
~mpruntanr dwersr~.,
ta musique, chOISie aar UfriciJ W1esner.
de I.J c/Ja"'nn
un ioum,rl Mme : botre, filmer ...
est une rcpflse en anglais
de Mielle/ Polmreff. • La Poupee•.
METROPOLEN DES
LEICHTSINNS
(Les Métropoles de l'insouciance)
THOMAS DRASCHA I'I ET ULRICH WIESNER
2000 1 16 MM 1 COUL 1 12'
Contact : Th~mJ>
Dra,,r.h~ll!
Ugl1t Co11e
TO THE HAPPY FEW
2003 1 16 MM 1 COUL 1 4'
Contact : Tt•orn-1:;
ll rasch~n
l;J 'tructure du film rC(XJ.<oe sur l 'idee
11/tn dr. f01md foo/age qui traite d aspects
rlu Manda/,3. daf1s ce cas, rie< •mages
cr<~Ciaux dt: L1
(lausS..'\) du soleil. des gataxi,., cl dt!s
V>e. Le film commence wr
une sorre de voyage dans lê hlm lui-même.
p!anetes. Cr.s images sont synclmmisè!!S
mene au sexe cr J lu nar.ssance pour pos1~r
avec un chant rnclien de Bollywood (JO!lf
Id C/Uf!S/IOr1 de ce ~"r. l'lm f"'ul fatre ou non
accentuer tes el/Cl-' psevrlo-
av"c ''' v1e (p,1r exemple Sr.' S~Jic,der!.
IJ>Ychedf!liques.
AFRIKA BONUS
THOMAS DRASCHAN ET ULRICH WIESNER
1982-2003 1 16 MM 1 COUL 1 3'
Contact : -hno1a s Drascilan
Parodie de U11sere A/rik.,reise de
I'O~b<'lk,J.
il
;Ji!rtir rte stock shots d<~ puhl1cites sud·
alrit:dmes.
DEUTSCHLAND LACHT
THOMAS DRASCHAI'I ET ULRICH WIESNER
1982-2003 1 16 MM 1 COUl 1 3'
Contact : Thnmas Dra>cl1an
On retro~ve le thr~'"'' rie la chasse. mJis il
,,1 rci tJI•IIse ,·omrne mt't;Jphore de I.J qut'lc
rlcl.·•mour.
CONTACTS
Thomas Draschan
c·rn111l : U,omas@dr~sc: hdru:or1
Light cane
FRA N Z ISKA
~
e-rnJII : ilghlcone@hgl··tc<ol iC.org
SI ARNOLD PASQ U IER SEMBLE ÉBLOUI PAR CE POINT D ' ÉQ U ILIBR E
ENTRE L E CORPS ET SO N MILIEU, C ' EST BIEN PARCE QUE CETTE
QUEST ION SOUS-TEN D L ' ENSEMBLE DE SES FILMS.
AUR EVOIAETMERC I ..
Arnold Pasquier
D ""'
Vladr~m
le lrè<,
L'Amour de la forme de l'amour
be~u
lilm A/ç/;,J /rfi!cr.nrd! w-rédiiSê en 1996 P"' Amol<l r•.rsq J IC' cl
LP.O'l.IOUm •l<lc voyage en hde. 1~ c•mAr• s",Jitardc vokmlrers suri arabesque M'r,n bras.
1d grâc~ c111ne: 11P.I'T'Jar:.:hc. le c.JchC t.:'.Jr· ~ume. le
claQt.P.tnfo:"lf
c1u vero:.
~..s r
les ro!Jes ue
1eun~~
lerm·es face .i la mer. la srrte !le cl orë,:·•phie oa~urelle Ces '"frP.' ct clcs c'clflcn~ Pour Vl
t: nC4!i\C cpr~
de ::IJnse. Q.JI dlfr'P.
1~ mnn~h~
~r:cstc
d c
~ t1lm~r le (:UqJ~ l.!t:!i d~C")SeU'S.
est l'occas.io., c ·eme-rvelllflrlent.,
suutl.wl~
cette
LI.! Q~ste
r.ont nl llil~ r évCII~C
C'l\re
S~f"lble ~vn .. t~mr..-e ~on
s1te nat'JreJ. ~on heu d:C;..aP<ut.. ~serr"ent [.t, st A-rn1d f=,hq UI-!.!' :,ctrl Ulc éolou par r:e p.,int
d '~Q~
~"
bre
er;re le rorps Pl son m rlr cu. c·c;t
bien parce (!\Je
CP.It ~
r.,. r.,I IClrl "'us-tend ren sem ~l e
,,,, f1ln1s.
Un
p~!r:-.mHht.Y.C r~cune
tm CüL. o
d~ fo t J \1r~. 11P.c:lilr(~
sa 'lJrl'"ne à LH1 act·e. tente
tJr 1 mrœ~~1 bk
tr;,vr~ il :1li rl ~·I J II . Ma 1 ~ cl!l:c Liée a 1atiC~'I ac:I10p;,)P.. 1'~<1r~~,sc t:t tl :,:n... ~ . J c:uPhaence ne renccmtr'!
pas
d"éc~ o
: l'a.Jire se reflE<! • "uHrallde. e>quive la de'T'P.1Me
D~.: c..:tt~ -!~qLlive.
r:~rlVfllm: re
de r.ett~ c1 1 Hi r tJ1t{~
de:
rf~rnçrJr, ~·"lcil( ll"
p~ rlo;.~i,c n~it L.~"\e d ars~ . PIJIS:'1 \H':: 1a
OU S'JùSei1\P..
p1uulc èctJoue 2
(,'êtt.:ulc cs! rét ve. l e del. i rrpn~s hlr.1. t'c~: le gc~le qlli te11te rJe se ~utï~~t1tuN ii elle
79
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Ce qu·on ne S<JUrdlt d ire.
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P. ll~MP.r.
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Pa~u 1cr.
11 fdl..t le f•erlnr'ler. le c hJnter. mdis
des nodclc'S inmol!llc; 'C'J' IP.S P.11MES c·une plaœ s.c' er•·le
( Tn115 ont bestJin d·amour (Pa/crmol. 2002] nJ des fl'!..SOMa~;es erratiq ues dJr> un ,a•cl ~
tAnge!.~.
1996). cl1ac..,·1
l~vé. co~Hbc c·un co• tm
lour jj
~cur.
f1n1t par
~réfërc.
'sé.
rn~m ~r.
a 1. l'"" ne 1• parole. esq , •sser un ge>le iarJbcosq Jc rl 'lln h·•s
e•lrn L•e·r ~~~ d·,., t~r seJ en guise d'~ffrand co. D;;n;;
en
$l le,~c:e.
le:;
nK.Iuvcmert:~
AngP.I,•, r,haçc,,
rJc l'autre. Rsrp. ssar'lt ur
p~ls
cle (7eJx
.,-,,rt ouvre
un l~èJtre Pourq uoi ? P.t•cc GUC 1<> so'lt mP."I. tout ;; co ...p, >e
a 1nterpre:er au centrtt d'une ~ènc •uë·.a1 qt_r.
r9'
Il n·P.st quP r1'tJO::.erver
ccmm~nt !>C:>
1a compos \lOI' du C<Jd r ~ privil c;;" 1,, front~·
l1té
AUTOBIOGRAPHIE IJI
ma prem ière réponse pourrait-être :
.. Et, ma main
dans ta eueule !?! ». Si je me le redemande gentiment. je me répondrais peut-être : .. Pour être
Et si, c'était la réponse de Claude lelouch ? Alors, pour filmer mon fiancé ?
Comme Truffaut, quoi ! J'ouvre mon Jankélévitch de poche et, entre la rue du louvre et Pigalle, le
74 me roule une pensée merveilleuse : • Si l'homme vivait éternellement et s'il le savait, la nostalgie n'aurait pas ce goût d'amertume ; dans le nombre infini des expériences qu'un homme peut
faire au cours d'une vie immortelle, nous garderions toujours une chance de recommencer telle
ou telle expérience déjà faite. (... ] Or la vie est finie et par conséquent toute ré itération advient
comme une chance inouïe, et un hasard miratuleux "· Ah !
Faire des films pour redire ce sentiment de nuit qui s'allonge sur la baie, glisser sur le corps des
garçons et des fille s qui me touchent, mettre un disque.
Éterniser la m1nute bienheureuse en la fabriquant
renchantement de faire un li lm me dédommage des ciels intimes enfuis. Inventer quelque chose
pour combler la perte ! Le cinéma est un monde ou toutes sortes d'espérances et de facilités
à ma liberté.
lr.;,·d Uc
L~~~
(1998} ;
1~
ruloon 1k
:~hot<Jgraphies ~e
so·> rnstdllalion Nous
d•rs no-n~r<> <1<> ~~'"
n·~IIM.,
f!<l.\ mor.mr?
es trOi> ~IJ II~·Stl<Jil"nCPS r1e c·e$( rer que Je C/OrlrlC r.Jc; bi11SP.r.< 11993), lon,ant cne OOU·
cl~ >ccno?,r<Jprll~rJel\m velllrg •v~ ni.
m,Jrr1 1200l;·
il\.
plan lrxe,
lr•velllrl~ Jrrlerel: le~
SOf'l d'u"e C:h3r1SOr) QL.o ~.a~~C! ~ I'C!I"ld·mt. fUI S
photos au banc-t11re
a l'envers
pou· évut.;uc.!'
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l' ·u~tor re
l'arc:t1e rfiJn no,,t, la
~d:m~.
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f'M'COlJr'> le
ja•drn lou;.,,. q~oc o•i_gmel. Forme r.irt ulaire renlorcêe par 1" cdrdc ltrr. fam11ier :1~~ 11e11• et de~ per>Oilnily,c•,: les m~mP' comed ennes !Guilainc lom!c<. Do·•dta
o·u·so.... ) a po.!r~isseot de l 1hn c•1
f1lm, e ' •nlôme d Angel~ hante le; dlfft'rcntc-s l it:IIClM. lt~ lle. rée ~ ou inventée. se :Jcvirrc >ou:.
la .Jmière cree de ·elé. M"" CJ:dlcment P•" le
go:Jt ro•" lè ChUSO'\ de varrclc. :..cnlir·mntale et
tri>te. qui la1t o'l•~e de cl cc: amt1or (es frlrns d.A ·ro•d Pasqu1e· sont de> f1lm> cf•ffr.c:t, 11s
v1s~nt
le
pJll1étiqw<:l cl ,..,,,~!. pM le retour itérJt ' d~r retrain . d'olfru u ·tc boucle le-nrfll•• e.
décuup<! c!1JnP. fenétr~. •.Jt~nl r1e poins de
Mai>, iliJ·dP.I;i d<> 1• ;::l1a~son de variété ital1cm1c uu du t~r,~o ~rgent1n. sa~s doute est ce IJ 'orne
v.Je ~ ''' te~Mnf il sceno~rap hie• a c~lr '\<.!
de l'prëra qJi est vi>ee. t.·r "péra ''""""·t«. "'"'·"" " "· dll'1r.11e
d '·" tra rr1 de b.mlreue, ·ap1onb d'c .,<.!
bord. en chambre. au bord d 'tm" fdlaise.
~, '" bau~ v 1trcc
r,,,.,.
i.cr -~!i!iC lcJ verdure
cJ une
sw
a iltlelndre. avec
l e~ -ro yer· ~ d u
une o•ar.e de Palern·e. il ··"leri"ur ~·ur1c mulotte.
opéra qu1 lcr1tc 1• >ynthP."' ~" la r~tour~elle ~~ de la danse de la parole cl d ~ y,cstc. On r.cmprPnd
d un liJrd1n. ~ l r~nsformer le mori'1P P.t tr~J
mieux,.., r.oll•hnr• llon • vec le '11ettecr en scere Chn >llan
G~f1Rf1Crof1
autot.• r1e 1opéra baroque
Ire. A""" rl f>•<.qui<>r <~ffect1onne te e,-e·11
!L:4gnpprnP. ete H;endel ou Ananeun de ::hcrul>irll]. Rcu111r le rl r•m"
el le çh~nl. le corp$ P.t le
Œff@
~ntré~
latérale
que ;es génériq ~1cs \r,l·
versent l'écra 1 de droite
t·~a::uJ rd.
pas Lm
En
nu!n1 1~
r;,<1 rP.. ~P.s
a gJ~Jdic. c., o'P.Sl
rc.~5an l lr.~
gi~s;m t d t~t c:m~li~M~~.
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rf'.HS. en S\.1'
l rrJvP.rs~nt latér ~lc·
c.o·r~èd •e15
oêlirnkn\ une:
s:-.~11e oû s\~1'ront e "lt l'aveu tfcmu:ur
d N1
m3~de.
seml;le
~~e·11c >O~I·•rl
d 'Arll(o\d P."qiJIN.
Op~r~
1nhn1e et 1n1pud rque. par délaut. tel ccll.
Q.r'offre ce cu Jplc. '1ln•è "" cac~•!!• r1•ns 1• salle d·~ttente d'tm lunrcula~re. dont 011 ne vu 1 QIJP.
les gc~k~ {1hi
:;crnhra~~e nt.
SP.
c;~rrtmll es
épau1es.). l.a"''d s que des
~ou~-l 1tr!::.. rr.pq~
de I(J sc:è'"ll:!
dJ bak1:n E1 rms A f.l'i3C~ ,,, the St:n de Geor.ge S~cvcqs, nou~ t11sent · 'Ti pn~sih P. cnnversatcr'l
0'710Ur~,JSe (MOI1fès.Jrl10,
2002).
S. le c oèaste e~plorc ldnt de fo•mes. '''"' 'lll" a forn P.
e5~ au centre de ses l 1lms. l a l o•rl'c. c·~: ·.t­
à c ·~ l'OU' 1er le p..l''"'ge r1e '" d~ri,Jratlcn a la pasS•ùn. de la coni1Cicnce;, 1• chméw•phle, rle
d~~se.
0~ 1 c
pc JI l.lJÏ!tr<! !rapp<'. par la
de cc
~~~~tm.
c:oof1d~nr~s
circ,.l~"té
Dars (:'es1 merveilleux les
r.•s~ent
d 'lin ·rtcr UCIJ\r.l.'
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IJ rcncunt·e "" sm.ven~r. fr déth•~n~ journal de voya&c. ll~llrc f1lrnec. c;>rtes postal!"\, flin de
I:<Jn>P..
orër• hlmè. trctron. dllégo"e, ll.rr1old Pa>quivr i:l1!!rchP. a nécrire un amc>ur qui soit lUI·
même l' 'lve'ltio·l d'une fur mc
··a ... :re. :t1acv1 se conr1c ilL :r.rrn,r rw• se
cc1f•e
80
l1hns QJ rnstallation; :
f.'dne passion ;vnavelrS~ t:~ ur !,'c~l kn·.q~:e: IP.s troi s protatlOI1istes Lie Tou~ unllx.·som ri'mnrmr
asswc le l 1en entre la pamle
r.omP.c11ens entrer11 r:lar.s le crarnp. Pdr le; bord>. st.r le.s r.r.t~~. lorCi'.ant les taçades et le>"''"'""""·
magiques s'offrent
prcr"aÎCn: cnrfr1P.'lte Le mes>a&e t:in.:u1c de pr:K:he Pn
(PalerfTlOJ. c r('-.J\Jnt 'llllln dtJ il':t lt! ,.,;ain. c1P. place en pla<:e. pour rclruuvcr l'n frn
prêt à ,;vftru. Cd
avec les Autres "·
t" d~ chaine .<!.
qui r.::1ro uve en
r,lém~nt danse q ue s·épiOIC le m~ndc cfArnnlrt P•"wrer. l.a darlSè
doriPC ;; lire..
Si, je me demande .. Pourquoi filmez-vous ? • ,
~r
proc:hP. P.! semble •evenir à SOli expcdrtcur. Forme r.trr.ula1re que 1on retrouve
m<:erta·•n. il tâtons. c·est dJns celle kn>ior~. ""''" 1• dl!r.l•r•t1cn toujours irl~atisla1te d >On ,,,p.
q ui n~ \rocve pa; >e> rnols (Id ch• ~ •nr s upplée soc vent du d r310l(uc) c; le curp' iMm~hil<>. t~nc:u.
TOU S ON T BESOIN D'A MOUR
un c.:ol
~~un
bur iJ .w
~F.r'\. ~
Jlm
d~ssine
Érik Bu/lot
~ · i.l
•1•cr.
Filmographie
RÉALISATI O NS DE 1986 À 1995
Angela, Denis et moi 1 1986 1 VHS 1 30'
~ A T C H A [ D 'A C CORD]
ARNOLD PASQUI ER ET VLADIMIR LEON
1996 1 U-MATIC 1 52'
Angela-Arnold 1 1987 1 SUPER 8 1 8'
Samuel 1 1987 1 SUPER 8 1 10'
Histoire de ma mort 1 Last but not Least 1
l n/re Bombily cr Madr"~- Vi,,rlimir 1 eon
et Arnold i'asqtuer œcueillcnf, fJQim! Co'
commentent des ompressi<lns de
voyage:~.
Remember him whom passion's lover 1 1987 1 SUPER 8 1 9'
l'Adieu 1 1987 1 VHS 1 120' et 16'
Des endroits où ne poussent pas les arbres 1 1988 1 SUP ER 8 1 12'
Warmth and Dazzting (Chaleur et Éblouissement) 1 1988 1 VHS 1 80 '
Alphabet, 8 pochoirs à Londres 1 Arnold PasQuier el Stéphanie Latour
1 1988 1 U-MATIC 1 37'
Je m'appelle Nathalie 1 1988 1 U-MATIC 1 15'
D'autres disent .•• 1 1989 1 8MM 1 1'
Ils paraissaient indifférents à ces apparences de désordres
ANGELA
1996 1 BETA SP 1 3G'
Interprétation : 11. Bastide. 1\.
Ben~rd L-;ch•.
D. DUrs(). G. L.0<1~P.7. Il. r-,<e.rcy. J.
Rolle~.
l. YuUtll(.
Production :A. P•squocr. INA.
Dom mique ne pafV/ent pas a faire le deuil
<f'A11gcld. Il réunit rf.Jns son Jc1rdin quelques
Laisser derrière soi 1 Dtd Cathedral Town 1 1990 1 U-MATIC 1 20'
amis QUI propowot f}dr d"' r:transnns. par
D' une journée surchargée ... 1 1990 1 U-MATI C 1 2 X 6'
des danses. une reponse .1 I'Jim,,œ_
Instants d'Angers 1 1990 1 U-MATI C 1 17'
C'est une colline 1 1990 1 8 MM 1 3'
DÉSIRÉ
Viens 1 1992 1 U-MATIC 1 10'
Les Scènes de l'Europe 1 Arnold PasQuoer el Madelei ne Gonzale7
1998 1 INSTALLATION VIDEO
U-MATIC 1 2 X 33'
1 1994 1 BETA SP 1 52'
Production : .e r ·esrtoy
Beaucoup d' amour 1 199 4 1 U-MATIC 1 29'
F"dCl~ ,;j
On va faire les Indien s 1 1995 1 U- MATI C 1 18 '
de femnws qw f,x,:ro! '"' pmnf. hors
Je t'aime 1 199l 1 U-MATIC 1 25'
cham o. Le spcclàlt'>Jf .:;·1 irrv1/i; .•J PiJ~W'
enttf ces regards crUJSt~s.
Les Fruits tombant sans qu'on les cueille 1 1995 1 BETA SP 1 75·
f;,r:e. cJP.s ('J(1rlrc1its d 'hommes et
C'EST ICI QUE JE DONNE
C'EST MERVEILLEUX
C'EST MERVEILLEUX
DES BAISERS
1999 1 SPECTACLE DE THËÂTRE
ET DE DANSE 1 90'
2000 1 INSTAllATlON SONORE 1 33'
1998 1 16 MM 1 25'
Interprétation : N. De Bdrros. C.
D. Dï.lrso. G Londez. P.
A. et L.
LA JOY
1998 1 INSTAllATlON PHOTOGRAPHIQUE
1 30'
Production ; Le rreS'lOj
Po,~ui~r,
D·~z.
M~ngeot.
D. Mercy,
L. Trxrer.
un ~r;r/Jrl.
AnrW-Mdril~ G~ra! ~arlt~ cf~
l"rmage d ·un ciel de nuages.
MOURIR?
1998 1 INSTAllATION PHOTOGRAPHIQUE
1 19'
lor1d€7. M. Ri77i. f. lr.Jtfaut. C. Atabekian.
G.
C~oàfrf..
F.
Co5>lfl. V.
8nJgue~.
S.
I'H:·mn u~li<~ nn.m1o:.:ip~1c t.l"Hi;~lll;m.
Production : Le l'rc•snuy. Avec le suutrcl\
Production : Le l'rcsrru~.
M~rF.t,
i e film C'est merveilleux ~Jccompçlgne
ci'lme c:réatrcm
~on ou~ ilrffu~t~C!
!m huit pi:-o~~~~
sualra/isécs <1•.1r" ur. r:ydo viane r.:lfL·uiJife
<'>
""'
[MY MANl
du G.R.E.C.
C•nq femme.; architectes construisent
C'EST MERVEILLEUX
Trois sequences pour une danse de dewi.
u11 thé,ître provi.>wre.;; u bord rie la mer
2000 1 BETA NUM 1 34·
1111
combdt polit1q11P. .w,gulier et Il fie
pmrrtP.n<JciP. arnuumu~e sur une routf~
1le campagne.
iÎ Marsl.'il!c.
Interprétation : G. Lur·~oL. G. Cludlre.
M. Riai. D. D Urso. V. Drulo{uel. E. Truffaut.
Musique : R. Robb os, J. Garba•eK.
MERVEILLEUX
L'AGRIPPINE DE H.;:ENDEL,
Six f)t..?rsonn.Jgcs evoquent wl souvt?nir
AUREVOIRETMERCI
1999 1 BETA NUM 1 9'
MATÉRIAUX DE RÉPÉTITION
amoweux J un at~diteu~ qui <1evient le
2001 1 BETA SP 1 5'
2000 1 BETA NUM 1 53'
narrateur de la scene su1vante. de Roub.liX
aMarseille. • Cherch~r ce qw est perdu
Production : Le Fresnoy
Mise en scène : C. Gargnemn
Reperages, repelitwns, tourn,Jge~ j
Interprétation: S. Manr-Degor, .1. Cnrreas
Mar.se1/le el
a Rouba1x oour la prépara/ion
rlu spectacle C'est mervc·rlleux.
Se retrow.-~r cfev'"Jnt le pay~~ge. RevP.nir ,j
Sd
rltJC/11(.'. Ne ofus savoir le rcgl.!fdcr. Inventer
Musique : Georg "rrc~ridr HiiOIIdcl
une v1e avec lui. Entr'apt>rcevorr fe bonheur
Production : INA. ARCAL. Meao . TV 10
dans ses bras. L'appeler pour dire adieu •.
Dm:urrmrJ lain~ ~ur ta
sur un p<1t1ant met.>lltq(Je. et d'une bande
son,
mm posee de messages la1sses sur un
r'épondeur télephon,que par les personnes
pl1otograpl11ees aux côtes d'A mold Pasqwer.
Musique : Roux
Un~ dam;c r/~
spt~c:l('ldf!
Pini3 81W>d1. "xrruitP. du
• DanLon
1}.
ÇA, C'EST L'AMOUR
c~rérJtkF:
d Ü!l spectacle
2002 1 BETA SP 1 4'17
d'opera. des pre.mtéœs rep6Wirms
LA REDONNE
ata generale.
EVA TRUFFAUT
2001 1 DV 1 5'50
Musique: B.O.I' Le> GJrls, G. Cuk~r
Un VISage sur la mer. l!ne main s'approche
et fe caresse. La bande sorr et les sousMusique : [lruckr1er
trtres en
Un tournagf.' en Super 8 rMn:-o tc!'~ r:alanque.'-i
1 es Grrl'
rie Ma rscJ/Ie. Un groupe sa vance entre
ii
lc·s bosq uers , dans fe vent.
82
en volet sur une m(Jsique.
Production: A. Pa,~l.IW. INA.
EN REGARDANT C'EST
r,ngers. Le rresnoy.
lnstallilliarr photographiq""· compm;<!C
L"rtrc vidr!u. cnc/Jain<•rncnf rk
photographies de Franck Lambert montees
A. Scl1wart7. Mma
Production : Le F resnoy
ri 'ur• ru/)arl rt!clo ver~o de 42 p/Jotop,rap/ues
2001 1 BETA NUM 1 8'
Musique: Troublemakers
Cinq 1imlini~:rs lmvailli.'nl
à la cr&Jiion dUn jardin public sur
l'emplacement cl'llne triche industrielle
a Roubaix.
Musique: E. Tr~ffoJl, P. Léon
NOUS N'ALLONS PAS
Production: A. Pas~Jrer INA.
De paule, n. D'Urso. G
Musique : Ber.lhovcn
Une cfiapos1tive e., t projetee F.n plein air ~ur
L'Amour de Lorn. La m11Uombe. révélant
Interprétation: J.
franç~~~
d
·l.m{~
d1~ Georg~
sr:Cn'! dj.J film
CLJkor Invitent
1Jr1 ~OrlgC .arno~tretJX.
en
LE TRAIN BLEU
TWO MICHAEL SNOW
IL CIELO IN UNA STANZA
2002 1 BETA SP 1 2'36
2002 1 BETA SP 1 4·
2003 1 BETA SP 1 2'02
Le reflet du visage rf'tlll ie une l'lomme
Musique :
dans la v1tre d'trn tra1n.
L·arliste canadien Michael Snow se t1ent
Une photowap/Jie. une dldnson Gli5ser
devant un ecran de cmerna oLi est projete
Sllr son visage. retemr par fa caresse
À L'ENVERS
2002 1 BETA SP 1 1'03
Une poursuite ,j sl<.r.
As 'aporocher.
M1r.h~P.I Snow
Musique : Gino
un extrait de son film Two Lavoisier. who
d'11n rravellmg al! banc-litre ce souven ir
died
avec lui dans ma ch,Jmbre. le c1e/ dans
1n
the re1gn of terror. Un?oom avant
se rap(Jroch" de ""' vtsage. pui' l'tmag<:
cievif~nt floue. ju~qu ~3 (a pcrr~ ile {a forme.
le c.:orps
flou rlu skieun!P.vien/ net.
unf!c:hamlJrt~.
LA NOTTE
MONTESANTO
2002 1 BETA SP 1 2'42
Un 1eurlf~ L0!Jf)h2 c~t ;J.'i~is
P~ol1
rliJrl~
la
slr~ficm
TELEFONANDO
ÇA, C'EST L'AMOUR
2002 1 BETA SP 1 2'58
2002 1 PROG RADIOPHONIQUE 1 80'
Musique : M1•1a
Production :
Un v1sage emerge de l'obsctmle. 1/ appçr,Jil
At ~:nc~r
di.! cml.ltlc.m
2003 1 BETA SP 1 3'30
Musique : SiJ lv~tor<' Acla mo
Oans les lettres evidees des mots
ri..HJ1o:Jph0r1iquc. Fr<Jm:c Cullurl!
de li! chanson qur apl)ar.!issent à l'Image
du funiculaire de MoniL·sanlo. à NJp/es.
pws dispar,Jit, se compose et se decompose,
[ntrelacs de fl'c/lons. d'entretiens el de
re temps de leur duree chantee, des sexes
ch(1nsons : ie ç;rogramme se compose ii I.:J
cn
Ilia serre dans ses bras l'embrassé.
s é(ire monstrueusement, se reformP. pour
1 ~s sous-litres. extraits de la scéne du
~t~
IJalum du film Une place au soleil de
c:l'lanso" de Mina passee J /en vers
Georg~ St<~VC!IS
Les sous !tires de la chansc;n decrivent
l~rJiensitc
i!CÇOmpagnP.nt el revdenl
de''' relillton.
lrrJnsformcr ,:j nouve;;u.
JIJ gre rJ'um~
rnnnt(}rt~
f.;roctmn~.
rhm film riJ(Jioohoniq1H! llUi in vite
;j parh~r If ·ümO!H.
une séparation amooreu.se.
TOUS ONT BESOIN
D'AMOUR (PALERMO)
ENCHAÎNES
C'EST ÇA, L'AMOUR?
2002 1 Bm SP 1 25·
2002 1 BETA SP 1 l'59
20G2 1 BETA SP 1 2'03
Interprétation: J.
Ull homme lech~ une t,J/)/c pws "' bras
Musique : Eva TrLJtlaLJt
rl'un i!Utre hamme. Les sous-titres
dévdoppent le réc1t d'tine passio!l
amoureuse.
LE TRAIN BLEU
lJn Visage emergP. <i pem~! C1 1lH1P. tJIJP.(!
h!,mdu~. Unt! m;Jirl c~n!re cian~ lt.' c:hamp~
r:ar.,.>sc le v1sage. s'attarde sut IJ ioue.
S~lcmc.
M. Ferrdille, G
LJrtino. R. d. C c~le, M. Speciale
Musique: N. S1mone. J. S. Bacl1. M 'lil
Oeox femrnc.·s r.•l un homml! travY.·r~c.·nr
r!e.•i
p~~~ages
dL· Pafcrrru~ en se fi~nant par
CONTACTS
Arnold Pasquier
c-rr1o1l:
arrW/(.I.~as~ ~ c·~r1oos.tr
glisse sur les !evres. sort. Une vo1x
fa mcJitJ. Un rardm. LJne pface. une scëne
le Fresnay
chuchote une chanson d ·amour.
de 1/Jeatre .. Ils chantentie"rs destrs
(Studio National des Arts Contemporains)
2'l ie JCllr et fa n~/Jt où on les airnerii.
~ -"'•
: lefre,noy@le-fre, rny.tf'l.fr
83
r.~
84
• JE N ' Al JAMAIS VU UN COMÉDIEN NE PAS DIRE QUELQUE CHOSE D ' INTELLIGENT
OU D'INTËRESSANT SUR UN SCENARIO, sur son propre rôle ou même sur un autre rôle du film. C'est pourquoi j'essaie de
faire des lectures avec les comédiens bien avant le tournage, de manière à ce que l'on puisse quelqu efois modifier des scènes ou des morceaux
du scénario en fonction de ce qu'a dit le comédien. Ce n'est pas automatique, mais cela reste ouvert "
l ntretie/1 ~11et Alain Rtsnats.
C~meralstylo n'4
(septembre 1983)
.,. ..
..,
~
~
~
Lectures de scénarios
"
UJ Pantin
Samed 1 5 avrol
De 14h30 à 18h
Au hlllc• q ~:~ t re
é ~•t ors prèced~>l1tP.s,
1,,. lcct.ues de scénanos sont deve-
nu ~ u~ de~ rel1d87·V0"' lr r.onttliJ'n"~lc s du testiV•I CotE\ c:owl. ChJque
annee.
des
~ r.IP.IJ"
t<lls
q ue Anne Alvaro, Aurélien Rc:<:eHlJ<. Romane
Bol'>flr•ger ont h1en •roulu >c préler à
ric he en !!motions. plaisirs et
style. ,-..;
VOIX
bibloothéque El sa Tri olet
e ntrée libre
cet exerc1r.e pénllcu~ rnJis non moin'
d éco~. vertes C~•cun ~sa
rn.lnière. aver son
son esprit. a pris poss.,.,ion d'un 'olm omagm~"e et P.n rtevc -
" "· tOCJur le tr a1sorettre il nos n r~>ii!P.s r"'''"'· Assiste o à c es tettur• s. <:'c>l
retrou ver l'état a·eoi~nç~ oiJ l'o r~ ecoule des contes m ervP.1IIe1Jx. Tr~> •11\e ,
Parrainées par Arte
Avec le soutien de
l'association
Beaumarchais
des ir'lages et des so"' se
r.,.;.,,, d ~r1s •J tête et Vl f11m ~pp~ r~it. Ces lec-
tuoes sont tm rommcnl prov:lëJ;ié ou 'o·1 partico pe il OJnP. rr.rocor~tr" inli111e et
torte. r.P.•~ cfun .:Jt:\cur
J VL'C
un film à ta •re. enr.nr~ à l'êtal de rêve.
Claude Rambaut et J.cky evrard
/~,
.::;.._
.... . .
4
JEAN·LUC GODARD PAR JEAN·LUC GODARD
•."Jt:'l:"'; ; ... :··~~·-iî. ·_::~l' !1oiR-I :'bJll ...
t al r fr
po!,U
~ ..
.
~ tr t• l_Kln Q'l.l~
po\lt:
a t r f"" ..itiHI"•''" .
85
Synopsis est le magazine
de !•écriture audiovisuelle :
des mots aux images,
il vous montre comment naissent
les œuvres de fiction
sur le grand et le petit écran.
86
UJ MANUEL BLANC
JU JACKIE BERROYER
)JI JOCELYNE DESVERCHÈRE
CINË MA
CINÉMA
Les Bras m'en tombent, :.l.
Je t'aime, je t'adore, B. Bonlwlakis
P~rent
Je ne vois pas ce qu'on me trouve,
Rien ne va plus, C. Ct1abrol
C. V"'""' r.
Encore, P. Bon•t<er
L'Eau froide,
o. Assayas
Le Péril jeune , C.
CINÉMA
KI~P•>c.h
THÉÂTRE
S'agite et se pavane, R. Planet-or;
s.
Afleur
de peau, P. SJivaclori
))) ESTELLE LARRlVAZ
CINËMA
CINEMA
le Pacte du silence, G. Guit
Petites coupures, P. Bonitzer
Un homme, un vrai, A. et J.-M. LarriP.Il
Irène, Y Cal nerac
Beaumarchais, E. Mol ~arc
La Maîtresse en maillot de bain, L. 801Jki11tirH!
Irma Vep. O.
Des feux mal éleints, S. Moat1
De l'histoire ancienne, O. M1rc1
Chacun cherche son chat. C.
J'embrasse pas, A. Ter. hin~
Les Destinées sentimentales. O. Assayas
Beau fixe. C. Y1ncent
l'Homme que j'attends,
[llo11dy
Ladies night, J . P. Dra ve! el O. Mace
Conte d'au/amne,
Est-ce que tu m'aimes?, R
M1trov1st~
Dommage qu'elle soit une putain, .1. s~vMy
KIJ~isch
• Blonde
et brune • de Chrisijne Dory
JU CHRISTINE DORY
~Armée
des ombres, J.- P. Melv1llc
Le Grand Meaulnes, J.-G. Alb,cocco
THÉÂTRE
le Misanthrope, J. 1assalle
Ma rie-Ange. A. Dac! '"'
Hanse! et Gretel, P. Piana
Jules César, J.
l~osner
La Remise, A. Fran con
La Tête des autres, J.L. Tard•eL
Jackie Barroyer l•ra le scénario
t. Rohmer
Dut one, J. Rivette
A;say~s
THËÂTRE
THÉÂTRE
))) ALAIN LIBOLT
Ham/et, P. Chéreau
Manuel Blanc hra le scénario • Hymll!
Jocelyns Dssvenchêre lira le scénariO
à la R8zelle ~ de Ste p~anie Duvivier
M
JI) STEPHANIE DUVIVIER
Par amour" de Yvon Marciano
JJ) YVON MARCIANO
Estelle l.arrlvaz 111a le scénario
-Trois cllevaUll » de Isabelle CDI.ldrJer
))) ISABELLE COUDRIER
Alain Llbolt lira le scénano
« C61estB ~
de Valérie Gaud•ssart
))) VALÉRIE GAUDTSSART
SC ÉNAR I01 RËALISATION
SC ENAR 101 RÉAli SATION
SCË NARIO 1RËA LISATION
SC ÉNARIO 1REALI SATION
Bruno n'a pas d'argent IC.M. 19991
Mariage en papiers IC.'III . 20001
Le Beau sexe (L.M . 2001)
Pourvu qu'elle pleure /C.M. 1!)951
Mes insomnies /C.M. ?0011
Cendrillon 90 (C.M. 199ll
La Part d'ombre (C M. 1999!
Traversée du désir IC M. 19931
Apesanteurs /C.M. 1999)
La Chose publique. M. Ar·1alnc
Le Cri de la soie IL.M. 19961
Scénario : La Part animale. S.
La Grande vie. E. Sal1nger
tmilie Muller IC.M. 19931
Va et dis-le aux chiens IIJuréJI
La Lueur lw-•C:.OII>J;cur P. Dubo>c. Docu. !Sf.J6)
de l'ASSOCia lien Beaumarchais)
Eau-delà des flaques avec li. Colomb (co réJ -
Melmoth. Ë. Ba•b•er
Variété frança ise, F. V1deau
SCÉNARIO / REALISATION
JJ .Jd c~u
Des passerelles entre vous et moi (Docu. 1997:
hsJteur N. Roméro, IJocu. 1991)
87
88
)JJ
Pantin
Vendredi 4 avril
Rencontre présentée et animée
par Sonia Jossilo rt
En prtscr• cc du rcal~>dlcur Olivier Séror.
De 18h à 20h
du monleUI son H ette\s spëCIJU> sonores
bibliothèque Elsa Tnol et
Sébast1en No•rë. et du designer sonore,
franço"l>
CHARLOT P ATINE (THE RINKI
~ots1tein.
f n présenr.P. de
Ga~l M~ rte~ tl
M(lrtannr.. Lyon du
d(~
IJ
Mu~H,lUC
Centre~
OP. 1.1 SACEM.
de Dot:umcnWiioli
Cor-lt!mpOrJim.!.
Myr1~rn
MJrluu du Muv llll d"Ar·de, Centre artistique el
ClliiLJrel el de Morad Kertobi du Centre
La création sonore et la musique de film
Nal•onal de la [)néma\ographie
Tro~ souvent rgnor6cs. la crë~tior\ ~oru.m! ct Id
StMCJfl::.. lif.· fc;r(11 ;.~-~c:r!
œmpu~iliOrl
c~·:\ rc .:1 ~ "' l'
de mu,ique originale dar~s le
covrt métrage
~ont
j ,:;..:. •. l !'l..t.;;..
des èléme·,ts de toute
importmce dan> le processus de créat<Jn.
))) Pantin
Vend red 1 4 avril, 1 7h
Cette rencontre s'articulera autour d'une
projection de films suivie d'un débat,
CHARLOT PATINE
(THE RINKJ
ENSEMBLE X
CHARLI E CHAPLIN
FRANCE 1 2002 1 35 MM 1 1.85 1
FI CTI ON 1 COUL 1 20'
OLIVI ER SÉROR
USA 1 1916 1 EETA SP 1 FICTI ON 1
N&B 1 21'
Triolet.
M1s'~
f!n :;cm
rea!is~e
rf~~ l'c~xfrait
sous
de Charlot
patine~
ra direction de 1 rançcis
1-/otsztel!l. fredènc 1 rt~teau de Laclos.
Vincent rn/baud, et avec les jeunes
participants au projet 'Mus1-burlesque
?001".
Comment r.trr.lq.te
val11c avt=c 1(.!
ré41i5t~t\'!lJr pP.n~c
t:rèo:l~cur
leur de musoqlre ,
S(.morc ou le
?
d trrJ-
t:cmpo~r­
cene rencontre permcllr~
aussi de taire le point su• les d Iferentes a•des
qui existent po\Jr encourager la création sono
présenté et animé par Sonia Jossilort de la
Maison du Film Court, à la bibliothèque Elsa
CommP.nt s'in.té:grf. nt-elJes r1"l r1s le f1•m
MUSIQUE POUR UN
APPARTEMENT ET SIX
BATTEURS
OLA SIMONSSON
SUÈDE 1 2001 1 35 MM 1 1,85 1
FICTION 1 COU L 1 10'
re et
1'1JSI<:.11e
ctans le r.nurt 'Pétrage.
Ouverture au public
Du lun<.lr au mcrcrcd1. ue l2h
Jeud r, de l4h .l 20h
a !811
90
C ' EST LA LUTTE ...
2003 1 35 MM 1 1.66 1 COUlEUR 1 l'
Réalisation : Jar. ky Evr;Jrd •~1 T;m~:ui Perron
Montage : C;nollrlt! Dcloumdy
Prise de son : Lilurcnt Boudaud
Mi~age
ERCIDAN
: Claore-Anne l~rgeron
Kinéscopage : T11ieny Taoeb :;~s ostè de
Chrislopl•e
G~ yon
Direction de production :
St~ph•ruc
l:har:;>P.nloP.r
Le film annonce
Ce flfm a ete realrsé grjce ,w concou"· rJI·~,
Arc/Jives DépartPment,riP.; rie L1 ScineSamt-Denis . Cmémd P111J/rr Fr1ms.
Cinéslért;,, Err:kJ<Jn Films. trC. KodaA.
(,, Fc~mi>, Les
Pradu~lion s
de la Lanterne.
Ti~:hnovisian.
Un grand merci à
: Florc:m:c: Al11vr.n.
Cllfls/i,ll> Ar/!E!IIIino, Luc Belin. C:hmlopl•e
Cordier.
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92
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Index des films
7 femmes~"' les 1e•res de
W1m Vandàeybus,
p, 37
A bnght ir1terval. p. 19
1. p.15
Adreu at. prrate!
A~nr~tron.
p. 41
M•r~uel.
Ann<> cl
p. 43
CtHOrrlilbUr>l, p. 32
Far w~s~. p. 23
Lac c\ Id r vere (le). p. 23
Chrysdlrs. p. 33
Fer'1rne pap lon (lai, p. 21
Lenre
Play. p. 33
The"'"" wc Wclnl lu
Portrait> filf'léS. p. 31
t1ang . p. 28
Corps sohlô •es (les!. p. 1a
f~n~trP.
ligre de v1es. p. 22
Pour f~rre le !JOrtr@rt
~~e
Cou pl! re liai p. 17
F?.tP. nes O'lèros {lol. p. 43
l nu.m •. p. 45
ratenrnal. p. 36
Cours Hel,tmre. p. 45
Flclwe·> fur D1J lid, p.l9
Lime.. p. 20
!l'un loup, p. 45
Prerr~ier aajt p. 24
D'lc1 F.t 1le la·b"s. p. 47
Fotrgrapl11e n''l. p. 30
Maquis l'el. p. 45
sw mup!P.. p. 43
A~p~l•d• Jrl S~ri11g.
D.o 1'1mag" du qu•rlicr. p. 47
Frarnm~11l1
App~rtarrerto,
De r10uve"u lundr. p. 18
RCII'1. p. 32
p. 37
p. 32
Après le cam bat, p. 21
Après. p. 14
a Roberto. p. 31
[lettrici n L
skywatk is gone. p. 9
Tnl~t
n'P.st pa~
P."l
Pl>•r. p. 42
Trau\no. p. 18
Meilleure bobcrne (lal,
Q,"liJe vœux 1esl, p. 41
Regard de P1erre (lei. p. 29
Retwr llel. p. 40
p.40
HP.ver. p. 14
Ure l11storre d'eau, p. 40
Marie K et le loup, p. 45
TL..
s~rliprc.
p. 32
Un tour, p. 42
Dehors. p.14
framment1 Ete~m:i
VrP.tnam. p. 32
Aqur y ~hora, p. 15
vtS1tes.
avant travaux. p. JO
Au norr. p. 24
UP.rrif!rP. ''" vo ets, p. 14
Curpi, p. 32
M1t10 luup.
DP.s morcemJx
FreedLJb Il l. p. 33
Mods, p. 19
de rnd femme, p. 43
Gold, p. 29
Musique pour un ,;pparte
Die klage der ""tserir
Haïku. Ra>r. VJdull;,. p. 21
rnP.ot et 6 b~tteurs. p. 89
1l~
H~lles (ocsl
Mystc'lcs. p. 30
Scr.nr. de lrt. p. 42
Nadine. p. 42
Sl!IJ1C lik~!Nr'
War~rnp,.
Nr •ue. ni c011nue. p. 21
a le> yeux bleus, p. 16
WoyLetk, p. 36
N'igh\ jaL ·rey. p. 37
S1ege (lei, p. 43
Y.amamoto s,m, p. 23
Nous traverson;, la viole,
S1g"e d'hiver. p. 17
S11P.rc:P. F.~t <'!'1 mM\:he
F1tn·s RétrosoJectrvP., p. 53
(lel. p. 29
fil ms r1P. Arnolcl
Baiser !le!. p.
25
Ba~>ers des a Jt•es
(1€5).
p. 41
llattades, p. 41
Dernières
Pla ''"' de
FrarnrN~rtt1
l'u'1pératricel. p. 36
H•stuir~
Bnuc lie~ buudJc,
llirmnçl1~ sr,ir.
H ugueMe.
Buut des doigts
!Jrsp.ral~re.
Be~con.
p. 29
p. 15
(le) p. 24
Cddeau commvn (le). p. 23
p. 41
p. 31
c ·estt~
p. 9
p. 43
c1"" la r.h~mhre
!1'). p. 31
m~ :lClrHH! conlr~
I(Odlld.
Elr.!ltric·l n''3 :
Hyme11, p. 30
tel rote
Ca1llasses (Oas R~d: p. 43
Merrmre
naturelle p. 16
Ecf1ang€-~ra1:.a i.:h~mbrl!
Cana, p. 17
n'2 :
nu 17 octobre
1961. p.47
EciJls d o• p,ëe. p. 28
'1orc. p. 28
Pt~rQlc:.. p<.!ru1.:.!~.
h.r..:o·lr'J
PJitœr, p. 28
En cl1emin, p. 22
f. niJ[;ht~o. p. 29
fne•,..~le X, p. 18
Cl•arlol Pat111e p. 89
[''""'Je' 11'1. p. 18
p.43
Ch,;rl o~e
Elclil;,l :: · ~lt· . p. 36
.los~l
Fones. p. 31
.. ~rll~ r.t If'~' h;,r·n~~- p. 16
rènuhtrqu", p. 33
C'~larl n•s la l(.Jcr·e p. 45
Ch~Hh.•m;J~nc2 :
C~atte
et sor jt.leo. p. 40
anMalot. se !la). p. 15
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C()!tE' adresse.
p. 25
stJrv~nt
N"r1,. p. 37
p. 22
PMI d'u•Jibrc (Id), p. 43
P;, ulttte
J attenvrars le
e
Neness.
Ferson'na. p.
[Paris vu par... l. p. 41
v.e après 1" rnort !.ai. p. 31
VJ~ilc !Id. p. 25
Vœu !Ici. p. 17
Voilà mon rna r"~ !, p. 40
S~IP. r~put.
V~yeu rs (le~l.
Rue sa1nt Den1s.
c.e ou rron<1e. p. 9
p,,pJIInr (le). p. 22
J~
Une s~rsnn. p. 19
c "rrét p. 42
RTT. p. 47
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ln n•r1er nul lu be
1J
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RQtJr.". 5 r"''lniJh~~
p. 41
33
p. 47
a1
ra:;qu""· p.
Sumc fricnds. (Ap,lrt). p. 33
Filr•ls ~c H1ur11a>
Sl•lnce 2. p. 37
;)r">dran p. 77
I'P.s o(J MérP.·Granrl "· p. 45
1an1erisr.he Pa~tam ~er·.
Pe~1t e
p. 36
P?. s • n'offm. p. 42
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S~ell"hellavi;;JM. p. 28
Petit week end [1~1. p. 42
tur1iere, p. 16
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Ti.lX.f
lie:: rn.M. p. 42
93
6 CHAIN ES CINEMA, UN SEUL ABONNEMENT ! *
AU CŒUR DU CINEMA
LE CINEMA A VIVRE
LE CINEMA AU MAXIMUM
LE C' EMA EH UBERTE
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LE GRAND CINEMA
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•N~• J
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LI•U
PARTENAIRE OFFICIEL DU FESTIVAL COTE COURT
PANTIN 2003
94
SUR LE CABLE ET @·l~f.! ft'îimiiJ
Cl NECINEMA.FR
1
L'ÉQUIPE
Photographe
DU FESTIVAL
Je~n-M 1che1
DéléiUé général
Site internet
Jar.ky Evr•rd
rlor.ot;" Le Tioierry
SIC.OI
ASSOCIATION
Le Méliès
CÔTÉ COURT
Stc;:>t•Jn~
Stéphanie c,a,pe'1tle·
~rançoo"'
Equipe du Ciné 104
Du·r ·ut;ue B•x
ra bie" Cunillera
Nathaloe Bertu
N ICOlas t vrar~
Na<! " Dcrnrnuu
Sylvie Larmque
Vërr.;n1que Fourt
rhili p~e
Mercier
GrJ< ell• P1nault
Coordination Rétrospe clive
Agence du court métrage, K<lrorn Allag, Rémi Bo,r.ot, Stéphan"' Clnuet. Va~r· Gou;.nl. Philippe Germain.
Le Trianon
Seine-Saint-Denis, Françoise Burg. Pt ~ppe Malpertu. Chrost1~n Op~h!/ Archives françaises du Film,
frMP.nr. Hugo!. Emrndnucl JaiT'bu. Stépo1ane Kahn. F~t>ror.e MarQudl! Archives Départementales de ta
Lebrur>
Conseil d'Administration
Coordinalion
Mu·otrcuol
Présidente
d'Enncquin
Coordinatrice générale
REMERCIEMENTS
Goudet
rr~léric
Horgo,>
Patrir.e CM'~
Ga~ll"
Nathalie .lny?.ux
M 1 ~hcle
fl nmaor volc 1 Nu~>y· ~-sec
Rl•lhac/ Ass ociation Beaumarcllais, Paul Tab<:tl Association frères lumière, Nathallf! More'lil / Bibliothèque
Aubert.
Jea, Bapt•ste
GamP.rn.
(ne
l e Roy/ Arte,
H élène VayssoP.res,
M1chcl
Elsa Triolet, Od1le Belked<lar. M~r' c·P•c•rc Ocge•/Bref, Hugo Rél1t, ls•he.t" Bonne:. J"cques
rtcran
Ker mabon /Centre national de la danse, Gael R1as, M1chel S~l.•. M~roon Tochc/ Ciné-Archives, Johe
Amtdnd Badeyan
C,17P.ravc, J<>dlc M~lberg / cinecinema, Patrice Carrl>. P•t r~r.~a Gdr~d il. Al c,sJndta Zane / Cinémas 93,
Sa·1nt Oen1s
Fr ocl.,nr. Bor~oa. Ma1ie· P1erre Warrault/Cinémathèque de Bretallne, Cla t1de Ar~al. Gilhert Le
Tr• un/Cinémathéque de la Danse, Patnck Bar s~r1. Bcmd·~ Rémy/Cinémathèque française, Bcm"rd
0111
G, c~ G~rntcr
Le Festival de court métrage
Bénol ,el, [n'ille Caupy. C:la 1J~ 1ne K" ufrnJnrl. Ga~l l e V ,1a11e, H e rv~ P1r.ha-~/ Cinémathèque
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~mn,~nue:l r~p,llun
Tessarech/France 2, Ctoristophe T• tJdiérd GNCR, Karine P•evotea~. Fredénc Ynu/Galerie cen!B, raMy
Trernb'a y.cn-FrJ rH.:e
Gaudry/I!Humanité, .Jean-Fmma~ uel Ducuin. M•chel Guillou>. Patr~ck Staal /Institut CGT d'Histoire
OliVIer Rinu
Arb1b. El•>•bolh Depardieu/ Les Films d'Ici, C•!herme Roux/les Films Grain de Sable, .Jeen-Mich"l
S1b1'e Placca/FIP,
Florenc?.
B~h ~r.
Dominique Pensee /Forum
des
images,
Eli>c
Coordination Filmer la
Chef de cabine
Aleiandra Rotu
danse
P•trice Wcanal
Duminiquc Toula\
Projectionnistes
En assoclatoon
Pocrre
t:tcran des enfants
franr:tt Auh1n
avec
Responsable cinéma
Fémis, Ala1n Avclaue. carole Desbarat. ~a nny l.P.'age/Libération, Antoine de ll~er.quP.. Martine
ZohrJ r olle•
Ma•o.,·Chn,tiiiC w llo
du Conseilllénéral de la
Pe1gner 1Light Cane, Chri!,tophe BICher. Cla"e Gaussc/LTC, lou1s Ph1l,ppe Ktihne. Muncl Suder / lVT·
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le Cin'Hoche
Jean-P1erre Ma>et\1
BJ&M'et
(Compétition 1 Panorama)
Anne BerrOll
Jar.ky EvrJr~
St6pllanie
C~Mrpenf1er
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Traduction textes
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Boh1gny
Le Théâtre
du Garde-Chasse
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Thome/les Producti ons de fa Wnterne, Nin.l D 1ck~. CIJude Golao7P.au/Réi;ion lie-de-France, A/Jin 1:r.;i
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le Magic Cinéma
Nathalie Cokdlov,ky. Fatien ra..,rrollon. Gilles Poc1est~llaboratoires DAEMS, Jean P1erre KIP.in/ W
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Comités de sélection
Relation avec la presse
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/ Re : Voir, P1p Chodorov/Schenker, Marc Avdouard. Julie C•l.,e'~/Synop sis, laurent Delmas, Marie
S l' O~Id
M,wO!r, Sylv1c Vdlbn /Technicien du film, B«"tiSte 1evoor/Technovision, Erwan R.ov/Tendance Floue, Mdl
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la Ville de Pantin
Et ~ Marielle Barg11eno. M<lrianoe Bonir.PI. Xav1er Es..a'-' 1. Jacqtles Kébaoi an. Y""" Le MJ"o" .
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Librd1rie 1'/\t~l•er. Brun o M~e .
Merci
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VatJIIe.r. FcmJrld
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a tous les réalisateurs et producteurs qui onl présen té leur film ainsi qu'aux distributeurs, aux
intervenants et aux cinq lecteu rs de scénarios : Jackie Berroyer, Manuel Blanc, Jocelyne Desverc hère,
Estelle larrivaz et Alain Libolt./ Conception du catalogue: Ag~nr.e B(:llcviiiC! /Photographie couvertu re :
Photogramme~
Brigitte r ep~ge
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Le cahier Cinéma
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