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L’ AC T UALI T E D E S CO N C E RTS E T DE L’ OPE R A Dossier © Bernard Martinez [ n° 281 février 2015 ] Requiem de Berlioz Patricia Petibon Soprano Fabien Gabel MicHaël Levinas sonates et partitas de bach Pianos droits Pianos à queue Pianos numériques Neuf – Occasion Une équipe de 10 techniciens à votre service Le prix de l’occasion avec la sécurité du neuf Le plus grand choix de pianos acoustiques & numériques : tous les modèles et les meilleures marques en exposition permanente Centre Chopin Paris 20e – Tél. +33 (1) 43 58 05 45 | Centre Chopin Boulogne – Tél. +33 (1) 46 10 44 77 Ouvert du mardi au samedi de 10 H à 19 H sans interruption www.centre-chopin.com L’ édito sommaire DE Ph ili ppe Mai Llard Les dossiers Berlioz, Requiem2 4 Portrait4 Patricia Petibon L’actualité des concerts6 © D.R. © D.R. à Paris CONTEMPORAIN8 Michaël Levinas Chef10 Fabien Gabel BAROQUE12 Bach, Sonates et Partitas 12 En île-de-France PONTOISE23 Piano Campus Versailles23 Boismortier, Don Quichotte Vitry-sur-Seine23 Rossini, L'Occasion fait le larron © D.R. Petit guide des bonnes manières à l’usage du public mélomane : Ne pas aller au concert en cas de bronchite : qu’y a-t-il de plus terrible qu’une quinte de toux, au milieu d’une nuance si ténue qu’elle exige le silence absolu ? Un chef baroque d’origine américaine a souvent fustigé les tousseurs de toutes sortes qui dérangent tout le monde. Ne pas emmener ses enfants de trois ans écouter un opéra baroque de trois heures : rien de pire qu’un père de famille en fond de salle avec, dans ses bras, un enfant qui gazouille, pas assez fort pour que le père sorte de la salle mais assez pour déranger tout le voisinage. Ne pas répondre à ses SMS pendant un concert car malgré toutes les précautions, la lumière bleutée d’un écran de portable se voit toujours. Ne pas chercher pendant dix minutes des bonbons au miel dans son sac, en provoquant un léger bruit tenace et régulier. Ne pas quitter la salle au milieu d’un bis, mais plutôt avant ou après. Ne pas chantonner en même temps que l’artiste lyrique, sous prétexte que l’on connaît l’air par cœur... Il y aurait encore beaucoup de règles de bonnes manières à énoncer pour que le concert devienne un moment privilégié de partage et de plaisir commun. Car, dans la concentration du concert, le plaisir naît quand aucune contrariété ne vient troubler la musique. Qu’on se le dise et bonne lecture ! 23 CD 26 Pratique 27 Mémo 28 février 2015 cadences 1 dossier Le génie de Berlioz pour la couleur orchestrale confère à son romantisme porté à des excès souvent frénétiques un éclat flamboyant. reconcilié s’empare du héros de Maturin dans une optique totalement fantastique. Ce baroque gothique marque aussi Pétrus Borel et Aloysius Bertrand et prolonge ses ramifications jusqu’aux Surréalistes par le truchement de Lautréamont. L’inclination aux excès de ce Romantisme frénétique le prédispose également au grandiose et au colossal. Le sentiment de la nature se plait alors à des catastrophes naturelles dont le théâtre est souvent un orient d’essence © Berlioz par Pierre Petit biblique. « Babylonien » ou « ninivite » : tel sont les vocables qui s’associent naturellement aux compositions de Delacroix, aux Orientales ou aux fresques que la Bible a inspirées au peintre anglais John Martin. Les pages les plus titaniques de Berlioz relèvent de cette esthétique. Dans Music Berlioz un requiem gothique and Painting, Lockspeiser développe un parallèle entre certaines œuvres du compositeur français (Requiem, Te deum, Symphonie funèbre et triomphale) et la peinture de John Martin, vouée aux cataclysmes bibliques : jugements derniers, jours de colère ou déluges… Ce qu’avait déjà remarqué Heine : « [Berlioz] fait surgir devant nous Babylone, les jardins suspendus, les Le 6 février – Philharmonie 1 Orchestre National du Capitole de Toulouse, Chœur Orfeón Donostiarra. Tugan Sokhiev (direction). merveilles de Ninive et l’orgueilleuse architecture de Mizraïm tels que nous les voyons dans les tableaux de John Martin. » Les frénétiques excès du Requiem invitent à une dantesque descente au royaume des morts. Cette partition grandiose et rutilante est l’équivalent sonore des fresques babyloniennes de John Martin. L Une création tumultueuse A ssurément, le Requiem est l’œuvre qui incarne le mieux ce style rutilant, bar- imiter notre art national à France un Romantisme frénétique dans certaines qualités hâtivement le sillage direct du Roman noir anglais surgences seront plus tard le Psaume XLVII qualifiées de « bien françaises » (Lewis, Ann Radcliffe, Walpole, Maturin) de Florent Schmitt, la Huitième de Mahler, (mesure, rationalité, sens de et du Romantisme allemand (Hoffmann, la Gothic Symphony de Havergal Brian et le la construction, clarté et limpidité de Jean-Paul, Tieck, Bonaventura). Certaines Belshazzar’s Feast de William Walton. Les la forme…) est réducteur et occulte une œuvres de Victor Hugo en relèvent direc- tumultueuses circonstances de sa création bonne partie de la production artistique tement (Han d’Islande, Bug-Jargal, Notre- sont à la mesure de ses excès sonores : en du xixe siècle. Dame de Paris). Balzac dans sa première mars 1837, le comte de Gasparin, ministre Le Romantisme a revêtu dans notre pays période créatrice se fera un adepte des de l’Intérieur, circonvenu par son fils, rela- une forme plus tempérée qu’en Angleterre frénésies les plus échevelées (Le Vicaire tion du compositeur, commande à Berlioz ou en terre germanique, mais il existe en des Ardennes), et sa nouvelle Melmoth un requiem à la mémoire du maréchal 2 cadences février 2015 bare et colossal, dont les plus lointaines ré- paris Le ténor américain Bryan Hymel sera le soliste du Requiem de Berlioz. Mortier, victime du sanglant attentat de Fieschi. Dès le mois de juillet, l’imagination enfiévrée du musicien a accouché d’une gigantesque partition. Dans l’intervalle, le directeur des Beaux Arts, acquis à Cherubini, a manifesté son intention de transférer la civilisation s’écrouler, des femmes esclaves commande à ce dernier si le cabinet MoléBerlioz fait jouer ses relations et a finalement gain de cause. M. de Gasparin appose en effet sa signature au bas de l’arrêté de commande quelques jours avant la chute du ministère. Les répétitions ont déjà commencé que la cérémonie est annulée pour des raisons politiques. Vaines fulminations de l’auteur. L’occasion de créer enfin « le plus grand ouvrage musical jamais écrit » s’offre cependant le 14 octobre avec la prise de Constantine. Le gouvernement décide de célébrer la victoire et de rendre hommage au général Damremont, tombé au combat. Ainsi, le 5 décembre, la chapelle des Invalides retentit des appels triomphants du Tuba mirum annonçant l’heure du Jugement dernier, devant la famille royale, le corps diplomatique, la Chambre des Pairs et la Chambre des députés. Ce concert dirigé par Habeneck a, au dire des témoins, un terrible effet sur l’auditoire : le curé des Invalides pleure plus d’un quart d’heure et, au moment du Jugement dernier, l’un des choristes est pris d’une crise de nerfs. R epères 11 décembre 1803 : naît à La Côte Saint-André (Isère) 1821 : arrivée à Paris pour faire des études de médecine 1826 : inscription au Conservatoire 1830 : Symphonie fantastique 1834 : Harold en Italie 1837 : Requiem 1846 : La Damnation de Faust 1864 : Les Troyens à Carthage 1867 : tournée triomphale en Russie mars 1868 : frappé de congestion cérébrale lors d’un séjour à Nice 8 mars 1869 : meurt à Paris lever leurs bras suppliants vers le tyran © D. R. Guizot est renversé. Feignant de s’effacer, jusqu’à ce que parût le sauveur de l’espèce humaine. », exacte contrepartie sonore à la Jour de colère fresque colossale de John Martin The Day of his Wrath. Mais ces tableaux babyloniens B erlioz n’avait pas en effet lésiné sur les font place ici et là à d’agrestes « scènes moyens : 450 exécutants, 5 orchestres aux champs », dont la touche légère sug- et des chœurs imposants… Le Requiem est gère à la fois la limpidité d’Ingres et la fer- une œuvre dramatique et descriptive plus veur pastorale de Millet. Ces oppositions que religieuse, une sorte d’amplification de de ton font penser aux grandes toiles de la descente aux enfers de la Fantastique. Delacroix, dont on a souvent rapproché Bien qu’il sacrifie ici et là au style a capella Berlioz. Fanfares éclatantes et chœurs dan- et au fugato, il s’écarte de la tradition litur- tesques contrastent avec les soupirs et les gique et suit un programme tout personnel. gémissements des âmes désincarnées. L’idée d’utiliser plusieurs orchestres simul- Beauté et génie du Christianisme tanément n’était pas nouvelle : Lesueur et Méhul l’avaient fait dans certaines œuvres destinées aux fêtes de la Révolution, et A Spontini dans certains de ses opéras, mais u terme de ce « voyage d’un second Vir- cette partition était motivée chez eux par gile au royaume des ombres », le Sanc- la volonté de bien délimiter des différents tus nous transporte aux cieux, dans la clar- sentiments à exprimer. Au contraire, Ber- té suave et translucide d’une fresque de Fra lioz n’a pas seulement visé un contraste Angelico. Et pour conclure, l’Agnus Dei et esthétique, il a surtout « voulu composer ses béatitudes éternelles : « le chœur sou- un tableau grandiose dont les motifs ont pire amen accompagné pianissimo par les une position déterminée dans l’espace, à 5 orchestres qui fondent leurs éclats en des une distance réelle les uns des autres. […] sonorités vaporeuses, à peine indiquées, et Il a surtout voulu produire des effets d’an- qui semblent se diluer dans l’espace comme goisse, d’effroi, d’épouvante même. Le Tuba la fumée d’un sacrifice spirituel. » (Pourta- mirum, où éclatent de divers côtés les fan- lès) Totalement agnostique, Berlioz a laissé fares annonciatrices du Jugement, accompa- avec cette œuvre inclassable, située à la gnées aux timbales par des grondements de croisée du théâtre, de la symphonie et de tonnerre prolongés, fait passer des frissons l’office religieux, l’un des requiem les plus sur l’auditeur. » (Combarieu) Dans ce Tuba impressionnants et les plus importants de mirum viennent ainsi s’adjoindre à un or- toute l’histoire de la musique. C’est l’épi- chestre principal déjà imposant (bois par sode mystique de sa vie, à la fois fortuit quatre, 12 cors, 8 bassons, etc.) 4 orchestres et intense, qui a donné à son imagination de cuivres placés chacun à l’un des 4 angles l’occasion de s’enflammer au contact de la du groupe central (trompettes, cornets à richesse liturgique et artistique de la tradi- pistons, trombones, ophicléides monstres tion catholique. À l’instar de Chateaubriand à pistons, timbales, grosses caisses, cym- dans le Génie du Christianisme, il a exprimé bales, tamtams…) Comme l’écrit excellem- autant les beautés de la religion chrétienne ment Guy de Pourtalès : « Requiem et Ky- auxquelles son tempérament d’artiste était rie, Dies irae et Tuba mirum sont des frises profondément réceptif, que l’angoisse uni- sculpturales, un jugement dernier orches- versellement ressentie devant le mystère tral et comme un rappel de ce « Dernier jour de la mort. du Monde » où la terre devait trembler, la • Michel Fleury février 2015 cadences 3 PORTRAIT de réduire l’être humain ! » Il est vrai que depuis ses débuts la chanteuse cultive un goût exigeant pour l’éclectisme, loin de ce formatage qu’elle exècre. Sa priorité est de « donner du sens » à sa démarche artistique : « Dans le cheminement de l’interprète, il y a des étapes où on élimine le superflu, le superficiel. On veut aller droit au but dans ce qu’on a à dire sur scène ». Clins d'œil à Frank Sinatra D ans Au Monde, l’opéra de Philippe Boesmans qu’elle a créé l’année dernière à Bruxelles et qu’elle reprend cette saison à l’Opéra Comique, Patricia Petibon joue une présentatrice de télévision, fille © Bernard Martinez d’une famille de puissants armateurs. Une œuvre forte qui a une résonnance particulière pour une femme qui dit avoir choisi le métier de chanteuse pour « être avec les autres » : « Ils sont en dehors de la réalité, aveuglés. Ce sont des gens qui vivent Patricia Petibon Liberté chérie peu ça notre monde actuel : on ne voit pas la souffrance de nos voisins ». Ce livret sombre que le dramaturge Joël Pommerat – qui assure également la mise en scène de la production – a écrit d’après sa pièce éponyme a séduit la chanteuse malgré sa noirceur : « C’est une esthétique de polar très précise, très froide, presque cinémato- Du 22 au 27 février – Opéra Comique Boesmans, Au Monde Philharmonique de Radio France, Patrick Davin (direction). Joël Pommerat (mise en scène). graphique et minimaliste en même temps. » Une finesse dans l’écriture qui trouve évidemment écho dans sa direction d’acteur : « Il y a du raffinement dans la manière dont il nous demande de nous mouvoir. Il revisite la Alors qu’elle s’apprête à reprendre à Paris « Au Monde » un opéra de Philippe Boesmans dont le livret signé Joël Pommerat traite des dérives de la société moderne, l’actualité rappelle à cette artiste C reclus, mais qui exploitent le monde. C’est un engagée la nécessité de « diffuser la beauté »… théâtralité à l’opéra et notre capacité à contenir l’émotion pour ne pas être dans la pantomime, ne pas retomber dans le xixe siècle ». Et de revisite il est également question lorsque la chanteuse décrit la musique com- ’est alors que l’attentat de Char- nement de l’être humain » : « Comment arrive posée par Philippe Boesmans : « L’émotion lie Hebdo vient de secouer le la barbarie ? D’où vient-elle ? On appartient à procurée par cette musique est indescrip- pays et tandis que deux prises une société assez sourde, égoïste... Une socié- tible. Tout ce que je peux vous dire, c’est que d’otages simultanées sont en train té ça s’entretient comme une maison ! Et ça c’est une émotion différente de ce que l’on de conclure l’affaire, qu’une Patricia Peti- passe par l’éducation. Les artistes ont pour peut ressentir à l’opéra habituellement. C’est bon forcément troublée nous reçoit, chez mission d’élever le plus grand nombre. L’ac- un langage musical très novateur, tout en elle. Difficile de ne pas évoquer l’actualité cessibilité à la connaissance et à la culture, faisant référence à des choses connues. La alors que les hélicoptères survolent l’ar- c’est une priorité. Il s’agit de survie grâce à référence absolue reste évidemment Debussy rondissement où vit la chanteuse pendant ce que l’humanité offre de plus beau. Or tout et son Pelléas et Mélisande – pour son côté l’entretien. En ce début d’année la soprano est formaté ! Quand on allume la télévision et tentaculaire et obscur – mais il y a des clins française est en colère contre « le condition- qu’on voit tous ces jeux idiots, c’est une façon d’œil à beaucoup de compositeurs, et même 4 cadences février 2015 des choses plus étonnantes, comme la chan- personnage et que ça pouvait m’apporter sur son My Way qui revient comme un leitmo- le plan de la théâtralité. » tiv. Il faut aussi dire que c’est une musique Une aventure musicale qui s’est avérée facile à écouter et une musique faite pour les fructueuse puisque l’opéra a connu un suc- chanteurs. Boesmans a vraiment le sens de cès auprès de la critique comme des spec- la voix ». tateurs : « Cette œuvre a eu un écho et c’est Une Lulu à la française L e compositeur et le metteur en scène/ librettiste se sont montrés très à l’écoute pendant les répétitions qui ont précédé la création à la Monnaie il y a un an : « C’est ça qui est intéressant dans le travail avec des artistes vivants. On fait un moule pour chacun, on avance et on adapte jusqu’au rassurant. Dans l’histoire de la musique on ne sait jamais si on sera compris ou pas. Surtout quand les compositeurs sont en avance sur leur temps ». Humilité et sincérité A près l'avoir longtemps cataloguée « loufoque » comme elle le concède elle-même, le public et les dernier moment. Vous savez, une œuvre programmateurs la voient désor- contemporaine met beaucoup de temps mais également comme une vraie à émerger. C’est une aventure ! » Et c’est tragédienne : « Mais je comprends d’ailleurs sans doute grâce à ce goût pour qu’on s’y perde. Je n’ai pas de réper- la recherche que lui a été proposé le rôle : toire fixe, je suis une sans papier ! C’est « Philippe Boesmans cherchait une sorte de mon destin toute ma vie ce sera comme ça. Je Lulu à la française. Avec une exigence vis- ne suis vraiment pas une chanteuse qui ren- à-vis du texte, mais aussi quelqu’un capable tabilise un rôle ! Mais c’est tant mieux car je d’inventivité dans la recherche vocale et n’aimerais pas ça. Toute ma vie, je reprends sonore. Ça m’a intéressée car je sentais que je ma pioche pour apprendre de nouvelles par- pouvais raconter quelque chose à travers ce titions et défricher de nouveaux répertoires. 3 © Bernard Martinez couverture Questions 1 Quel est votre compositeur préféré ? Impossible à dire… C’est un tout. J’écoute de tout… Allez, Mozart s’il faut vraiment choisir. Les colorature, l’acrobatie… ça ne m’intéresse pas. Le sens profond est ailleurs. À un certain âge, on n’a plus envie de prouver. On CD & DVD Rosso Venice Baroque Orchestra, Andreas Marcon (direction) 1 CD Deutsche Grammophon a juste envie de profiter d’être sur scène. J’ai 2Quelle est l'œuvre que vous auriez voulu créer ? Candide. Pour pouvoir rencontrer Bernstein. gagné ma liberté en suivant mon instinct de musicienne ». Un goût pour la liberté qu’elle a notamment développé en observant des chefs comme 3Quel est le compositeur dont vous estimez qu'il n'est pas reconnu à sa juste valeur ? Samuel Barber. Nikolaus Harnoncourt ou William Christie avec lesquels elle a beaucoup travaillé, et qui lui ont montré la voie par leur « cou- Berg, Lulu Orchestre du Liceu, Michael Boder (direction). Olivier Py (mise en scène) 1 DVD Deutsche Grammophon rage » : « J’ai relevé les manches, j’ai donné 4 Quel est votre plus grand vice ? La gourmandise. de ma personne. On ne peut pas m’accuser d’être une faussaire. Je pense que j’ai toujours 5 Dernier coup de cœur au cinéma ? Interstellar ! abordé l’art avec honnêteté. Tout est critiquable évidemment, mais je fais tout avec humilité et sincérité. » 6 Quel est votre plat préféré ? Pommes de terre/poulet. Je suis bretonne ! Et aujourd’hui la chanteuse l’affirme haut et fort, elle ne fait plus cas des critiques : « Ce Poulenc, Dialogues des Carmélites Philharmonia Orchestra, Jérémie Rhorer (direction). Olivier Py (mise en scène) 1 DVD Erato ne sont pas les critiques qui m’ont confortée. 7En quoi voudriez-vous vous réincarner ? En oiseau. C’est dans le travail que je trouve ma force et ma confiance. C’est dans ce que je vis intensément sur scène que je me rassure pour 8Qu'emportez-vous toujours en tournée ? La bague de mon arrière-grand-mère. avancer. » • Albina Belabiod février 2015 cadences 5 l’actualité des concerts Festival Présences du 6 au 21 février (Maison de Radio France) Les deux derniers festivals Présences avaient peiné à convaincre, faute © Arnaldo Colombaroli d'un fil conducteur assez fort. Rien de tout cela pour cette superbe affiche 2015, qui sous le titre « Les deux amériques » réunit tout ce que le continent américain produit de jeunes et excellents compositeurs. Au programme, relève états-unienne ainsi que la jeune garde de la création latinoaméricaine, parmi laquelle se détache la figure du franco-argentin Esteban Benzecry qui offre deux créations. Bénéficiant d'une politique tarifaire très douce, voici l'occasion idéale de prendre ses habitudes dans le nouvel auditorium de Radio France ! Elena Rozanova le 12 février (Salle Gaveau) Issue de la légendaire École russe de piano, Elena Rozanova s’est fait connaître en France en 1995 lors du © Vincent Desnoes Concours Long-Thibaud. Musicienne accomplie (elle a fondé le Rachmaninov Piano Trio), cette artiste aux talents multiples a décidé de franchir le Rubicon en octobre dernier en diri- geant du clavier l’Orchestre de Chambre de Novossibirsk. Elle renouvellera cette expérience Salle Gaveau dans Chopin (Concerto n° 1), Saint-Saëns (la valse caprice Wedding Cake) et Tchaïkovski (Souvenir de Florence dans la transcription pour formation de chambre). Un programme éclectique à l’image de cette brillante soliste capable de toutes les métamorphoses. Philippe Herreweghe le 12 février (Théâtre des Champs-Elysées) Non content de renouveler notre lecture de Bach et Monteverdi, le chef © Michiel Hendryckx belge bouleverse notre appréhension des ouvrages romantiques. Il en est ainsi allé des symphonies de Bruckner et Mahler, jusqu'à un sublime Requiem Allemand de Brahms, qui ont connu une véritable cure de jouvence sur instruments d'époque. Avec le Stabat Mater de Dvorák, Philippe Herreweghe s'affronte à un autre sommet de la musique sacrée du xixe siècle et nul doute qu'il saura, à l'aide d'une distribution vocale idéale et de son Collegium Vocale Gent, retrouver toute la saveur poignante de cette sublime œuvre de jeunesse, imprégnée de musique slave. 6 cadences février 2015 paris Hercule de Händel le 14 février (Théâtre des Champs-Elysées) Le Théâtre © Richard Haughton temple du des händellien Champs-Elysées, par excellence, offre l'un des fleurons tardifs du compositeur. Créé à Londres en 1745, Hercule compte deux immenses morceaux de bravoure : la scène de l'immolation héros et le sublime air Where shall I fly? où Déjanire sombre dans la folie et le désespoir. Mais l'ouvrage porte également une attention toute particulière aux chœurs, témoignant de son origine britannique. Les forces chorales et instrumentales du English Concert sont ainsi plus qu'appropriées, d'autant que leur chef Harry Bicket s'est toujours montré excellent dix-huitièmiste. London Symphony Orchestra le 22 février (Philharmonie 1) À l'heure où il s'apprête à laisser la main, allons écouter Valery Gergiev à © Evgeny Evtuhow la tête du London Symphony Orchestra dont il est directeur musical depuis 2007. Le public parisien a été assez chanceux pour l'apprécier plusieurs saisons consécutives en résidence à la Salle Pleyel. En guise de remercie- ments, le bouillant chef nous offre un programme russe entièrement consacré à la musique de son compatriote Rachmaninov dans son nouveau lieu de résidence philharmonique. Un bonheur n'arrivant jamais seul, c'est l'ogre du piano, Denis Matsuev, qui aura le redoutable honneur de déjouer les pièges du terrible Concerto n°2. Une soirée festive et spectaculaire. Jeanne d’Arc au bûcher les 4 & 5 mars (Philharmonie 1) Marion Cotillard dans Cadences ? N'allez pas croire que votre magazine privilégie le glamour et le strass d'Hollywood. La comédienne oscarisée © Mondino sera la récitante d'un des ouvrages les plus sérieux du répertoire français, succédant dans le rôle à des actrices comme Isabelle Huppert ou Marthe Keller. Pour ceux qui douteraient encore de ce choix, des extraits de sa prestation au Liceu de Barcelone sont disponibles sur Internet. Pas de doute, la môme Cotillard possède la flamme idoine pour dire le texte de Paul Claudel. Pour la musique, Honegger sera servi par l'excellence de l'Orchestre et du Chœur de l'Orchestre de Paris dirigé par Kazuki Yamada. février 2015 cadences 7 contemporain La metteur en scène Lilo Baur s'est inspiré des dessins originaux de SaintExupéry. La soprano Jeanne Crousaud est le Petit Prince. texte où il commente le mystère de la boîte dans laquelle est contenu le Mouton, qui nous dit que l'essentiel est invisible ». © Marc Vanappelghem, Opéra de Lausanne le message politique du Petit Prince P ublié en 1943 à New York en pleine guerre, Le Petit Prince est un cas unique dans l'histoire de la littérature : « Le Petit Prince offre un message extraordinaire à l'humanité toute entière. Il propose une critique de tous les totalitarismes. C'est la leçon essentielle du Petit Prince qui ne confond pas les débuts de la rose Michaël Levinas Le Petit Prince et du baobab alors que leurs herbes se ressemblent. Il en est une qu'il faut arracher tout de suite (le baobab), et l'autre qu'il faut laisser pousser. Saint-Exupéry offre aussi une leçon d'ordre économique, avec la scène du banquier qui compte les étoiles pour les mettre à la banque. Il existe enfin toute une réflexion sur la construction du lien avec l'autre. La scène de l'apprivoisement Du 9 au 12 février Théâtre du Châtelet Levinas, Le Petit Prince Orchestre de Picardie, Arie van Beek (direction). Lilo Baur (mise en scène). du renard interroge, par exemple, les fondements même de l'humain. Chaque jour, le Petit Prince s'approche à heures fixes du Renard comme un rite. Saint-Exupéry ne dit pas si ce lien est religieux ou non, mais il Pour la première fois, un compositeur contemporain met en musique l'univers féérique du conte de Saint-Exupéry. Unanimement acclamé « l'envisage comme la condition sine qua non du lien humain ». Un tel mythe n'est, bien sûr, pas allé sans à sa création à Lausanne, « Le Petit Prince » de Michaël Levinas poser problème pour le compositeur : nous arrive enfin au Théâtre du Châtelet. « C'est une expérience unique que d'écrire un opéra pour un compositeur, d'après un Le texte et les images du Petit Prince m'a révélé des dimensions propre- ouvrage que tout le monde connaît ! C'est Prince m'ont dicté un climat musi- ment bouleversantes. Je ne m'attendais un texte qui appartient à l'humanité en- cal magique ! » Michaël Levinas pas à y découvrir une telle richesse phi- tière et retrouver toute la poésie du livre est très enthousiaste du travail losophique, non pas que je prenne Saint- dans le temps de l'opéra n'a pas été une qu'il a effectué sur le conte de Saint-Exu- Exupéry pour un auteur mineur mais un mince affaire ». Concrètement, comment péry : « Je connaissais bien sûr le conte car compositeur du début du siècle ne se s'y prendre ? D'abord le passage indis- j'avais entendu le disque de Gérard Philipe dirige pas spontanément vers lui. Pour- pensable de l'imparfait au présent, afin dans mon enfance mais la rencontre pour tant, mon père, le philosophe Emmanuel de rompre avec une narration de type « il Le Petit Prince s'est véritablement faite Levinas, m'incitait à lire dans ma jeunesse était une fois », et retrouver la structure durant la composition de l'opéra. Le Petit Vol de Nuit et j'ai même découvert un interne du récit qui mélange l'émouvante 8 cadences février 2015 xxie paris © D.R. Le compositeur Michaël Levinas a étudié auprès d'Olivier Messiaen. tradition des contes pour enfants qui n'en sont pas tout à fait (Perrault, Andersen ainsi que Colette) et le surréalisme (Breton est une influence majeure de Saint-Exupéry). La première scène où le Petit Prince demande à l'aviateur de lui dessiner un mouton nécessita, par exemple, plusieurs semaines de travail au compositeur. Mais ensuite, comment traduire les vastes enjeux poétiques, narratifs et philosophiques d'une œuvre faussement simple ? « Il fallait que les scènes s'enchaînent comme on tourne les pages d'un livre d'or ou un grimoire magique. C'est ainsi que les voyages du Petit Prince sont évoqués avec des scènes très mobiles qui s'enchaînent rapidement les unes aux autres, un peu comme dans L'Enfant et les sortilèges de Ravel ». un opéra pour les petits et les grands Vocalement, quelle voix pour le Petit Prince ? Levinas replace l'enfant dans le strict contexte de son époque : « La langue de SaintExupéry est la langue parlée des années 30 et 40, avec la consonne qui explose, la désinence, et des intonations très précises. Le Petit Prince parle comme un enfant français de cette époque. Je me suis bien sûr inspiré de modèles musicaux français. J'ai pensé à Yniold de Pelléas mais aussi au Pie Jesu du Requiem de Fauré. L'enfant français dans la tradition musicale, c'est une voix qui ne vibre pas, ne ment pas et qui n'est jamais travesti ». Autre inspiration de la musique : les gracieux Singspiel de Mozart empreints de la mémoire des comptines et des rondes enfantines. Quant à la partie instrumentale, le compositeur avoue avoir retrouvé le chemin de Ravel : « L'orchestre du Petit Prince n'est pas un orchestre technologique, c'est même l'une des pièces les plus instrumentales. À titre de plaisanterie, on pourrait dire que j'instrumentalise la technologie musicale ! La texture interne de Ravel, je ne le nie pas, a été déterminante dans la manière de traiter l'orchestre. Ravel a une spécificité, qu'on ne trouve pas chez Debussy, notamment dans les glissements et les essouflements de timbres. Toute l'orchestration du Petit Prince se base sur deux claviers, qui accompagnent harmoniquement et portent les chanteurs. Messiaen m'est également apparu au cours de la composition, notamment la scène de L'Ange musicien de Saint François d'Assise. C'est étrange, je m'aperçois que Le Petit Prince m'a permis de retrouver, non seulement mon père, mais aussi celui qui fut mon professeur au Conservatoire ». Ou quand, en écrivant un opéra pour les enfants, Levinas a retrouvé le chemin de ses pères. Le tout donne un superbe opéra pour les petits et les grands. • Laurent Vilarem février 2015 cadences 9 chef Né en 1975, le chef Fabien Gabel est actuellement directeur musical de l'Orchestre Symphonique de Québec. fini par me dire que c’était maintenant ou jamais ! J’ai donc tenté ma chance à Aspen auprès de David Zinman, qui m’a initié à la direction, sur les recommandations de James Conlon. Puis les choses se sont enchaînées : j’ai obtenu un poste de chef assistant à l’Orchestre National de France (ONF), avant de remporter le Concours Donatella Flick à Londres en 2004. La rencontre avec mon agent a été décisive, de même que la confiance que m’ont accor© Gaëtan Bernard dée des personnes comme Didier de Cottignies, qui, lorsqu’il était à l’ONF, m’a donné mes premières chances. Je n’en étais pas moins tétanisé par le trac à l’idée de diriger l’un des orchestres avec lesquels Fabien Gabel Paris-Québec il m’arrivait de jouer. Mais les musiciens ont fait preuve d’un formidable élan de solidarité, et l’expérience m’a convaincu de continuer dans cette voie. Deux mois plus tard, j’ai repris la baguette pour remplacer Emmanuel Krivine. Après quoi il a fallu que je me mette vraiment à travailler ! » la passion de la musique française Le 14 février – Philharmonie 1 Orchestre de Paris. Antonio Meneses (violoncelle). Strauss, Debussy. S i Fabien Gabel a été profondément marqué par des géants tels que C'est l'un des chefs français qui montent : Fabien Gabel dirige l'Orchestre de Paris dans un superbe programme autour des amours que Riccardo Muti, Bernard Haitink, et plus récemment Thomas Hengelbrock, il a bénéficié trois années durant de interdites. A l'honneur, Tristan et Isolde mais aussi les célèbres l’expérience du vénérable Kurt Masur, héros amoureux de Debussy et Strauss. directeur musical alors encore vert de À l’ONF : « Découvrir les symphonies de l’heure des bébés chefs, ces quarante ans. L’ex-trompettiste est pour- Bruckner et de Chostakovitch avec lui a été enfants prodiges et autres tant tombé dans la musique quand il était un choc. Il était extrêmement rigoureux adolescents à peine pubères petit : un grand-père violoncelliste et un et exigeant. Dès que nous abordions le qui, à l’instar d’un Gustavo père trompettiste, tous deux à l’Opéra de répertoire germanique, nous l’interrogions, Dudamel ou d’un Lionel Bringuier deve- Paris, une mère harpiste, un frère vio- les nus grands à moins de trente ans, ma- loniste, une dynastie en somme : « Bien l’articulation, la sonorité, et, jamais avare nient la baguette avec maestria avant que j’aie toujours baigné dans le son de d’explications, il nous décrivait la façon de savoir tenir un crayon, la vocation de l’orchestre, je n’ai éprouvé le désir de diri- de jouer du Gewandhaus de Leipzig, dont Fabien Gabel pourrait sembler tardive – ger qu’autour de la vingtaine, mais sans il a essayé de transmettre la tradition aux quand bien même il n’aurait pas encore oser franchir le pas. à vingt-sept ans, j’ai musiciens de l’ONF. Une tradition non moins 10 cadences février 2015 autres assistants et moi, sur paris © D.R. Antonio Meneses sera le soliste du Don Quichotte de Strauss. fondatrice dans mon parcours est celle qu’incarne David Zinman, dans la mesure où il a tout reçu des mains de Pierre Monteux. C’est pourquoi je n’hésite pas à lui demander conseil dès que j’aborde une partition de Debussy ou Ravel » À l’étranger, le lointain successeur de Pierre Dervaux à la tête de l’Orchestre symphonique de Québec s’est ainsi fait l’ambassadeur du répertoire français : « Parce qu’il est en train de mourir. Qui s’intéresse à la musique d’Ernest Chausson, d’Albert Roussel – à part Stéphane Denève, qui se bat pour la diriger –, ou encore de Poulenc ? Je n’en suis que plus heureux de pouvoir faire la saison prochaine les Animaux modèles à plusieurs reprises en France et à l’étranger. Mais Debussy et Ravel ne sont pas bien mieux lotis : qui, aujourd’hui, joue Jeux, les Images, ou les Nocturnes, sans parler des petites pièces comme la Berceuse héroïque ou Une Barque sur l’océan, qui devraient s’imposer comme autant de merveilleux compléments de programme ? Il s’agit certes d’œuvres difficiles à interpréter, et qui mobilisent de grands effectifs pour des durées relativement brèves, mais, de même que pour la musique contemporaine, moins le public y est exposé, moins l’oreille a le temps de s’y accoutumer. » hymne à l'amour Ê tre invité par les différents orchestres parisiens – et il est l’un des rares, sinon le seul à avoir le privilège de lever sa baguette aussi bien sur les orchestres de Radio France que sur l’Orchestre de Paris et l’Orchestre national d’Île-de-France, qu’il retrouvera le Centre de musique les Pages debaroque Versailles & les Chantres Directeur musical Olivier Schneebeli 7 avril à la Philharmonie – à interpréter tant Strauss et Wagner que Borodine et Moussorgski est pour Fabien Gabel une belle RECRUTEMENT POUR LA RENTRÉE DE SEPTEMBRE 2015 marque de confiance. Concocté par Didier de Cottignies autour ADULTES, TOUTES TESSITURES, FRANÇAIS ET ÉTRANGERS, DE 18 À 30 ANS de son prochain concert avec l’Orchestre de Paris en est la meilleure preuve : « Moins wagnérienne, peut-être, que Rienzi, la Défense d’aimer n’en présente pas moins les prémices du génie du compositeur, avec une ouverture moins pompeuse que fraîche et brillante. Dans Don Quichotte de Strauss, j’aurai la chance inouïe de travailler pour la première fois avec Antonio Meneses, violoncelliste Formation professionnelle supérieure de chant baroque, de 2 à 3 ans en partenariat avec les Conservatoires de Versailles, de la Vallée de Chevreuse et le Pôle Supérieur d’Enseignement Artistique de Paris – Boulogne-Billancourt Cours théoriques et pratiques, mises en situation professionnelle Droits d’inscription : 270 € par an * statut étudiant 1er tour sélection sur dossier, à retourner complet avant le 31 mars 2015 2e tour audition devant le jury, le 2 mai 2015 à Versailles 3e tour admissions le 4 mai 2015 ENFANTS (EN MAJORITÉ DES GARÇONS) légendaire qui a enregistré l’œuvre avec Karajan, et dont j’espère Formation générale et musicale à partir du CE1 (possibilité d’intégration en cours de cursus) en classes à horaires aménagés de l’Éducation Nationale qu’il me transmettra ce qu’il a reçu de lui. Quant à la deuxième Droits d’inscription : 270 € par an * pré-sélection avec test préalable obligatoire à partir de janvier 2015 partie, il s’agira d’un véritable hymne à l’amour, avec d’abord la Suite de Pelléas et Mélisande assemblée par Erich Leinsdorf, que j’ai préférée à celle de Marius Constant, peut-être plus fidèle à la trame Polymago du thème de l’amour interdit, Saint-Valentin oblige, le programme RENSEIGNEMENTS, PRISES DE RENDEZ-VOUS ET DEMANDES DE DOSSIERS mail : mai-sec@cmbv.com site internet : www.cmbv.fr tél : 01 39 20 78 19 originale, mais moins digeste sans les voix, puis le Prélude et la mort d’Isolde, sans doute le chef-d’œuvre absolu de la musique. Je ne pouvais décidément pas rêver d’un plus beau programme ! » • Mehdi Mahdavi Centre de musique baroque de Versailles Hôtel des Menus-Plaisirs 22, avenue de Paris CS 70353 78035 Versailles cedex tél : 01 39 20 78 19 mail : mai-sec@cmbv.com site : www.cmbv.fr février 2015 cadences 11 Baroque Il est surprenant que Bach, virtuose du clavier unanimement célébré de son vivant, livre deux immenses monuments pour le violon et le violoncelle. titions composées antérieurement. En 1720, il était maître de chapelle du prince Leopold à Köthen depuis 1717, ayant auparavant occupé la double fonction de premier violon et organiste de la chapelle musicale du duc Guillaume à Weimar (1708-1717). Une tradition germanique I l est fort probable que dans cette ville, il se soit familiarisé avec la production du grand violoniste Johann Paul von Westhoff © D.R. (1656-1705) qui s'était installé à Weimar en 1699 et s'y était éteint quelques années avant l'arrivée de Bach. Dans la ville voisine Johann Sebastian Bach Sonates et Partitas pour violon Le 27 février – Fondation Louis Vuitton Tedi Papavrami (violon) de Dresde brillait Johann Jakob Walther (vers 1650-1717), lui aussi immense archet que Bach connaissait certainement, et qui avait également livré de fort belles pages pour le violon seul. Toujours à Dresde, Johann Georg Pisendel (1687-1755) menait une carrière éblouissante et Bach entretenait selon toute apparence des contacts étroits avec cet élève de Vivaldi au moins à partir des années 1710. Dans l'Autriche voisine, Heinrich Ignaz Franz Quelle mouche l’a donc piqué ? Telle est la question qui vient à l’esprit lorsqu'on considère les « Sonates et Partitas pour violon Biber (1644-1704) s'était assuré une célébrité incontestable. Bach s'inscrivait donc dans une tradition germanique solide conférant seul » de Bach. S'il n'est pas le premier à s'atteler à semblable tâche, à un instrument d'essence mélodique une Bach est certes le seul à atteindre une telle hauteur de vue. épaisseur polyphonique saisissante. Le fait S qu'il ait préféré le terme de partita à celle plus considérable de Bach au violon ou à de suite renvoie aussi directement à ses grands virtuoses du clavier du l'alto, mais elle semble loin d'avoir atteint prédécesseurs tels que Dietrich Buxtehude siècle, comme l'attestent le degré de maîtrise qu'il présentait (1637 ou 1639-1707), par exemple dans sa au musique pour clavecin. 'agissant xviii e de l'un des d'innombrables témoignages de clavier. L'environnement musical ce temps, on ne s'étonne nullement devant présidant à la naissance du recueil fournit On ignore si Bach connaissait dans le détail le cependant certaines explications. la musique de Biber, même si certains com- Sebastian Bach épuise les possibilités La source principale est le très beau manus- mentateurs soulignent les ressemblances musicales aussi bien de l'orgue que du crit autographe portant le titre de Sei Solo entre la Passacaille en sol mineur de l'Au- clavecin. En revanche, la prodigieuse per Violino senza Basso accompagnato. La trichien et la Ciaccona de la Partita n°2 de connaissance des techniques de jeu que date mentionnée sur sa couverture, 1720, Bach. En revanche, Bach avait certainement contiennent les Sonates et Partitas pour n'est pas en soi significative car il peut s'agir, connaissance des six Partitas pour violon violon seul peut surprendre : plusieurs simplement, de la date à laquelle Bach déci- seul que Johann Paul von Westhoff avait pu- textes da de rassembler en un seul recueil des par- bliées en 1696 et qui comportaient chacune systématisme avec mentionnent 12 cadences février 2015 lequel certes Johann l'habileté paris Tedi Papavrami évoque les Sonates et Partitas Tedi Papavrami a enregistré une intégrale faisant référence (æon). Quel serait l’intérêt de l’interprétation du cycle entier des 6 so© D.R. nates et partitas, en dehors du défi technique et musical ? À l’époque de leur composition, on n’a pas connaissance de l’exécution de l’une d’entre elles, encore moins du cycle complet. quatre danses dans leur ordre traditionnel (allemande, courante, La réponse s’érige lentement au fur et à mesure de l’écoute. sarabande et enfin gigue). On tient là sans doute la source d'inspi- Si la 1re sonate, construite sur le modèle des sonate da chiesa, ration principale de Bach. nous communique d’emblée un sentiment de mystère religieux Une marche vers la saturation sonore L empreint du charme rassurant d’une foi qu’on pourrait qualifier d’héritée, dans la 1re partita on bascule immédiatement dans un univers beaucoup plus instable. Beaucoup plus capricieuse, construite sur le modèle des suites françaises, il y est beaucoup e recueil de ce dernier s'articule en trois paires constituées plus question de plaisirs humains, de galanterie, d’intermit- d’une sonate et d’une partita lui faisant pendant. De tences, d’orgueil et d’élégance, de bravoure aussi, sans le socle manière très générale, on peut discerner une couleur plus ou rassurant que nous offrait la 1re sonate. moins italienne dans les sonates et des tendances plus ou moins À sa suite, la 2e sonate en la mineur, bien que construite sur le françaises dans les partitas. Les trois sonates sont des sonates même modèle que la 1re (alternance de 4 mouvements lent-ra- d’église répondant à la structurelle formelle élaborée par Corelli : pide), exprime un univers tout différent. Souvent haletante et quatre mouvements lent-vif-lent-vif évitant soigneusement toute tendue, elle est mue constamment par une énergie qui s’insurge référence à la danse. Si Bach ne déroge jamais à ce nombre de inlassablement, à l’exception du moment d’élévation et de recul mouvements dans les sonates, chaque partita est, par contraste, que constitue l’andante. La 2e partita qui lui succède semble une suite de danses élargie par rapport au modèle de Westhoff : empreinte quant à elle d’une gravité majestueuse que ne pos- huit danses pour la Partita n°1, cinq pour la Partita n°2 et sept sédait pas la 1re partita. Si les tristesses de cette dernière pou- pour la Partita n°3. vaient s’assimiler à celles de blessures narcissiques, c’est ici à Même si la complexité d'écriture de la Sonate n°3 est admirable, une douleur humaine bien plus vaste, ancrée dans le réel, face à il convient d'accorder une place particulière à la Partita n°2 par l’inéluctable, au deuil et à la perte que nous avons le sentiment la grâce de la Ciaccona. Significativement, cette partita adopte le d’avoir affaire. La célèbre chaconne qui la ponctue semble faire modèle de Westhoff mais Bach ajoute la Ciaccona, lui conférant revivre de mille manières un regret qui ressurgit sans cesse au ainsi les proportions les plus amples du recueil. L'impression gé- fil de ses variations. nérale qui s'en dégage est celle d'une marche progressive vers la C’est ici qu’à mon sens s’opère une rupture. Dès les premières saturation sonore : Allemanda liminaire suivie d'une Corrente es- notes de la 3e sonate, nous avons le sentiment d’être en présence sentiellement mélodiques, avec un usage mesuré des cordes mul- d’un univers inconnu. On pourrait d’abord presque le qualifier tiples ; Sarabanda marquant un premier épisode polyphonique de froid, minéral. L’air que nous y respirons n’est plus le même, très dense ; Giga de nouveau mélodique faisant office de respira- et c’est comme si nos poumons n’étaient pas faits pour cette at- tion ; enfin, la Ciaccona, immense, presque un quart d’heure de mosphère peut-être hostile, par-delà la douleur, la gaieté et les musique continue et d’une maquetterie admirable, dans laquelle sensations qui nous étaient jusqu’alors familières. Mais au lieu le violon semble se mesurer simultanément aux richesses de de suffoquer, nous sentons peu à peu que nos besoins ne sont l’orchestre comme à la solennité de l’orgue, en une succession de pas les mêmes sur cette planète nouvelle et que, pour être d’une soixante-quatre variations sur une thème d’une noblesse excep- essence différente, les éléments qui s’y meuvent avec une sorte tionnelle. d’indifférence ne sont pas sans une certaine ressemblance avec Le recueil atteint véritablement son sommet et le fait que cette ceux de notre monde sensible. Annoncée par le très terrien der- chaconne soit précisément placée en son centre en dit long sur nier mouvement allegro assai, la 3e partita, espiègle et enjouée, l’amour de Bach pour les symboles musicaux, mais aussi sur son nous apparaît enfin comme la fraîcheur et l’allégresse incar- instinct de grand ordonnateur des affects musicaux. Après la Ciac- nées, stade ultime du parcours après le passage nécessaire par cona, dans la dernière sonate et la dernière partita, l'écriture de la construction métaphysique de l’immense fugue en do majeur Bach se fait, dirons-nous, plus abstraite, comme si le compositeur de la 3e sonate. avait épuisé tout le lyrisme dont il était capable dans cette œuvre. On l’aura compris, je vois un sens dans le cheminement que Bach écrivait pour la seule gloire de Dieu et de la perfection musi- dessinent lentement les 6 sonates et partitas, par-delà celui, plus cale mais il devait tout de même avoir une claire conscience de classique et évident, qui s’érige au sein de chacune d’entre elles. l’impact produit sur un auditoire. C’est ce parcours qui justifie à mes yeux l’exécution de tout le • Yutha Tep cycle, si exigeant pour l’interprète et son public. février 2015 cadences 13 les concerts du mois [ février ] Mozart, Il Re Pastore Ensemble Matheus. Dir. : JeanChristophe Spinosi. Nicolas Buffe, Olivier Fredj, mise en scène. Avec Rainer Trost, Soraya Mafi, Raquel Camarinha, Marie-Sophie Pollak, Krystian Adam. 15h00. Théâtre du Châtelet. 20-91,5 €. Tél. : 01 40 28 28 40. Verdi, Requiem London Philharmonic Orchestra, Chœur Orfeón Pamplonés. Dir. : Vladimir Jurowski. Avec Maija Kovalevska, Ildiko Komlosi, Dmytro Popov, Vyacheslav Pochapsky. 20h00. Théâtre des Champs-Élysées. 5-95 €. Tél. : 01 49 52 50 50. Händel, Schmitt, Lys Orchestre de la Musique de l’air. Dir. : Claude Kesmaecker, Marc Lys. Michel Becquet, Fabrice Millischer, trombones ; Jean Daufresne, saxhorn. 20h00. Cathédrale St-Louis des Invalides. 9-15 €. Tél. : 01 44 42 32 72. Joseph Rassam, orgue Scheidemann, Schildt, Reincken, Bach. 12h30. Église Saint-Louis-en-l’Île. Entrée libre. Tél. : 01 40 20 09 32. Mathieu Salama, contre-ténor Ensemble Arpeggio. Ghislaine Gignoux, clavecin ; Bruno Angé, viole de gambe. Hommage aux castrats. 15h30. Église Saint-Ambroise (11e). 15 €. Tél. : 06 11 68 22 95. Mozart, L’enlèvement au sérail Orchestre & Chœur de l’Opéra. Dir. : Marius Stieghorst. Zabou Breitman, mise en scène. Avec Jürgen Maurer, Albina Shagimuratova, Sofia Fomina, Frédéric Antoun, Michael Laurenz, Maurizio Muraro. 14h30. Palais Garnier. 10-210 €. Tél. : 08 92 89 90 90. Mortari, Dubugnon, Schubert Pierre Hamel, violon ; Virginie Joseph, violon ; Mathieu Rolland, alto ; Marie-Claude Bantigny, violoncelle ; Mylène Sarazin, contrebasse ; Caroline Villiaumey, piano. 16h00. Salle Colonne. 20 €. Tél. : 01 42 33 72 89. Ensemble intercontemporain Orchestre du Conservatoire de Paris. Dir. : Matthias Pintscher. Marisol Montalvo, soprano. Boulez, Pli selon pli ; Varèse, Amériques. 20h30. Philharmonie 1. 10-20 €. Tél. : 01 44 84 44 84. Orchestre National de France Dir. : Jiri Belohlavek. Arabella Steinbacher, violon. Mozart, Symphonie n°39 ; Prokofiev, Concerto pour violon n°2 ; Janacek, Taras Bulba. 20h00. Maison de la Radio, Grand Auditorium. 25-60 €. Tél. : 01 56 40 15 16. Josquin Otal, piano Scriabine, Ligeti, Liszt. 13h00. Mairie du 9e. Entrée libre. Tél. : 01 40 20 09 32. Erik Berchot, piano Chopin, Impromptu n°3, Sonate n°2 Funèbre, Polonaise « Héroïque », Ballade n°4… 19h00. Musée Jacquemart-André. 45-80 €. Tél. : 01 43 71 60 71. Raura et ses vaisseaux de cristal Les vaisseaux de cristal, aussi appelés bols chantants, sont des instruments de musique aux effets relaxants. 18h30. Maison de la culture du Japon. 5 €. Tél. : 01 44 37 95 95. 1er dimanche Jean Rondeau, clavecin Ensemble baroque Nevermind. Bach. 11h00. Théâtre des Champs-Élysées. 15-30 €. Tél. : 01 49 52 50 50. Campra, Les fêtes vénitiennes Les Arts Florissants, Scapino Ballet Rotterdam. Dir. : William Christie. Robert Carsen, mise en scène. Ed Wubbe, chorégraphie. Avec Emmanuelle de Negri, Cyril Auvity, Reinoud van Mechelen, François Lis, Marc Mauillon. 15h00. Opéra Comique. 6-120 €. Tél. : 08 25 01 01 23. 2 lundi Mozart, Don Giovanni Orchestre & Chœur de l’Opéra. Dir. : Alain Altinoglu. Michael Haneke, mise en scène. Avec Erwin Schrott, Lian Li, Tatiana Lisnic, Stefan Pop, MarieAdeline Henry, Adrian Sâmpetrean… 19h30. Opéra Bastille. 5-195 €. Tél. : 08 92 89 90 90. Campra, Les fêtes vénitiennes Voir au 1er février. 20h00. Opéra Comique. Benjamin Grosvenor, piano Franck, Rameau, Bach/Busoni, Chopin, Granados. 20h30. Salle Gaveau. 22-55 €. Tél. : 01 48 24 16 97. Musique à compter Paul-Alexandre Dubois, mise en scène. Un cabinet de curiosités avec des œuvres de Machaut, Cardew, Johnson… 20h30. La Péniche Opéra. 15-20 €. Tél. : 01 53 35 07 77. Les pLus beaux opéras sur grand écran accueil champagne Salomé, de Richard Strauss 2011, Baden-Baden, avec Angela Denoke Mardi 3 février à 20h Andrea Chénier, de Giordano 2015, Covent Garden, avec Jonas Kaufmann Jeudi 12 février à 20h Wozzeck, d’Alban Berg 2010, Bolchoï, mise en scène Dimitri Tcherniakov Mardi 3 mars à 20h Cinéma Le Balzac, 1 rue Balzac, 75008 Paris www.cinemabalzac.com 14 cadences février 2015 3 mardi Ensemble Café Zimmermann Dir. : Céline Frisch & Pablo Valetti. Bach/Mozart, Mozart, Haydn. 12h30. Auditorium du Musée d’Orsay. 8-14 €. Tél. : 01 53 63 04 63. Stradella, Vanhal, Pepusch Harumi Kinoshita, orgue ; Sara Avent, violoncelle ; Rudolf Sulzenbacher, alto. 12h30. Église Saint-Roch. Entrée libre. Strauss, Salomé Filmé en 2011 à Baden-Baden. Nkolaus Lehnhoff. Avec Angela Denoke, Kim Begley, Doris Soffel… 20h00. Cinéma Le Balzac. 27 €. Tél. : 01 43 59 05 00. 4 mercredi Mozart, Janacek Orchestre National de France. Dir. : Jiri Belohlavek. 19h00. Maison de la Radio. 15 €. Tél. : 01 56 40 15 16. Mozart, L’enlèvement au sérail Voir au 1er février. 19h30. Palais Garnier. Giulano Carmignola, violon & direction Orchestre de chambre de Paris. Vivaldi, Concertos pour violon, cordes et basse continue. 20h00. Théâtre des Champs-Élysées. 5-55 €. Tél. : 01 49 52 50 50. Ravel, L’enfant et les sortilèges Orchestre de Paris, Chœur de l’Orchestre de Paris. Dir. : Esa-Pekka Salonen. Avec Omo Bello, Sabine Devieilhe, Julie Pasturaud, Elodie Méchain… Ravel, Ma mère l’Oye. 20h30. Philharmonie 1. 10-40 €. Tél. : 01 44 84 44 84. Musiques à la cour de Dresde Chœur de chambre Amadeus, Chœur de chambre de la Cité. Dir. : Laurent Zaïk. Aude Glatard, orgue. Bach, Hassler, Lotti, Praetorius, Schütz, Zelenka. 20h30. Cathédrale Arménienne (3e). 18-22 €. Tél. : 06 63 20 65 68. 5 jeudi Adam Walker, flûte James Baillieu, piano. Schubert, Bartók ; Messiaen, Poulenc. 12h30. Auditorium du Louvre. 7-14 €. Tél. : 01 40 20 55 00. Mozart, Don Giovanni Voir au 2 février. 19h30. Opéra Bastille. Prades aux Champs-Elysées Quatuor Talich. Nobuko Imai, alto ; Michel Lethiec, clarinette ; Jean-Philippe Collard, piano. Mozart, Dvorak, Brahms. 20h00. Théâtre des Champs-Élysées. 5-55 €. Tél. : 01 49 52 50 50. Ravel, L’enfant et les sortilèges Voir au 4 février. 20h30. Philharmonie 1. 6 vendredi Les Concerts de Midi Ensemble Stravaganza. Couperin, Jacquet de la Guerre. 12h15. Amphithéâtre Richelieu de la Sorbonne. 4-12 €. Tél. : 06 89 17 49 35. Maîtres et disciples Maîtres et disciples. Cycle Jenes Talents. En partenariat avec le Conservatoire national supérieur de Paris. 12h15. Grand Salon des Invalides. 5 €. Tél. : 01 44 42 32 72. Sur les chemins de Compostelle Ensemble Discantus. Dir. : Brigitte Lesne. 19h00. Musée de Cluny. 13-16 €. Tél. : 01 53 73 78 16. Dame Felicity Lott, soprano Jacqueline Bourges-Maunoury, piano ; Alain Carré, comédien. Un amour de Swann : Marcel Proust-Reynaldo Hahn. 19h00. Musée Jacquemart-André. 45-80 €. Tél. : 01 43 71 60 71. Strauss, Ariane à Naxos Orchestre de l’Opéra. Dir. : Michael Schonwandt. Laurent Pelly, mise en scène. Avec Franz Grundheber, Martin Gantner, Sophie Koch, Klaus Florian Vogt, Karita Mattila, Daniela Fally… 19h30. Opéra Bastille. 5-150 €. Tél. : 08 92 89 90 90. Muffat, Vivaldi, Händel Elèves du Conservatoire de Paris. Dir. : Fabio Bonizzoni. 20h00. Grand Salon des Invalides. 9-15 €. Tél. : 01 44 42 32 72. Nikolaï Lugansky, piano Franck, Schubert, Tchaïkovski. 20h00. Théâtre des Champs-Élysées. 5-65 €. Tél. : 01 49 52 50 50. paris Philharmonique de Radio France Dir. : Manuel Lopez-Gomez. Olivier Doise, hautbois ; Gautier Capuçon, violoncelle. Nancarrow, Pièce n°2 ; Dubugnon, Concerto Sacra pour hautbois ; Benzecry, Concerto pour violoncelle ; Aquino, Espacio Ritual ; Castellanos, Santa Cruz de Pacairigua. 20h00. Maison de la Radio, Grand Auditorium. Festival Présences. 15 €. Tél. : 01 56 40 15 16. Berlioz, Requiem Orchestre National du Capitole de Toulouse, Chœur Orfeón Donostiarra. Dir. : Tugan Sokhiev. Bryan Hymel, ténor. 20h30. Philharmonie 1. 10-70 €. Tél. : 01 44 84 44 84. Sonya Yoncheva, soprano Federico Brunello, piano. Mélodies et lieder. 20h30. Salle Gaveau. 22-70 €. Tél. : 01 48 24 16 97. Vecchi, L’amfiparnasso Le Concert des Planètes Consort. Ensemble Vocal Intermezzo. Dir. : Claire Marchand. Léna Ronde, mise en scène. 21h00. Auditorium Saint-Germain (6e). 20 €. Tél. : 06 88 85 78 62. 7 samedi Envolées légendaires Orchestre Pasdeloup. Dir. : Mykola Diadiura. Amel Brahim-Djelloul, soprano. Tchaïkovski, Mozart, Dupin, Dukas, Gounod, Stravinski. 16h00. Philharmonie 1. 10-40 €. Tél. : 01 44 84 44 84. Biber, Sonates du Rosaire Rachel Podger, violon baroque ; Marcin Swiatkiewicz, clavecin & orgue ; David Miller, luth & théorbe. 17h00. Théâtre des Abbesses. 14-19 €. Tél. : 01 42 74 22 77. Boismortier, Schubert, de Falla Rafael Angste, basson ; Pauline Haas, harpe. 18h00. Hôtel de Soubise. 7-12 €. Tél. : 01 40 20 09 32. Dvorák, Cl. Schumann, Saint-Saëns Geneviève Laureanceau, violon ; David Bismuth, piano. 19h00. Centre culturel tchèque. 6-10 €. Tél. : 01 53 73 00 22. Haydn, Les 7 dernières paroles du Christ Francis Perrin, comédien ; Isabelle Oehmichen, piano. 19h00. Musée Jacquemart-André. 45-80 €. Tél. : 01 43 71 60 71. Debussy, Pelléas et Mélisande Orchestre & Chœur de l’Opéra. Dir. : Philippe Jordan. Robert Wilson, mise en scène. Avec Stéphane Degout, Elena Tsallagova, Franz Josef Zelig/ Nicolas Cavallier, Doris Soffel… 19h30. Opéra Bastille. 5-150 €. Tél. : 08 92 89 90 90. Le tourbillon de la vie Soirée au profit de l’institut Gustave Roussy et en hommage aux 50 ans de carrière de Jeanine Roze. Avec Natalie Dessay, Anne-Sofie von Otter, Natalia Gutman, Truls Mork, Pierre-Laurent Aimard, Quatuor Ebène, Emmanuelle Haïm… De Bach à Barbara… 19h30. Théâtre des Champs-Élysées. 5-125 €. Tél. : 01 49 52 50 50. Mozart, L’enlèvement au sérail Voir au 1er février. 19h30. Palais Garnier. Philharmonique de Radio France Dir. : Joshua Dos Santos. Wilhem Latchoumia, piano. Piera Formanti, Willem Dafao, récitants. Gordon, Cold ; De la Fuente, création sur des textes de Martin Luther King ; Carter, What are years ; Rizo Salom, Fabulas sobre fabric de fabulas. 20h00. Maison de la Radio, Grand Auditorium. Festival Présences. 15 €. Tél. : 01 56 40 15 16. Rachmaninov, Tchaïkovski, Prokofiev Ensemble vocal Opus 21. Dir. : François Bataille. Trami Nguyen, piano. 20h30. Temple Saint-Marcel. 16-21 €. Rés. : opus21@laposte.net 8 dimanche Dupin, La première fois que je suis née Orchestre National d’Île-de-France. Dir. : Marc-Olivier Dupin. Donatienne Michel-Dansac, soprano. 11h00. Philharmonie 1. 8-10 €. Tél. : 01 44 84 44 84. Masterclasses publiques Classe d’excellence de violoncelle de Capuçon. 11h00. Fondation Louis Vuitton. Entrée libre. Tél. : 01 40 69 96 00. Till Fellner, piano Mozart, Schumann. 11h00. Théâtre des Champs-Élysées. 15-30 €. Tél. : 01 49 52 50 50. Musique pour tous Françoise Buffet-Arsenijevic, piano ; Christophe Giovninetti, violon ; Pierre Henri Xuereb, alto ; Diego Pessoa Cardo, Jean-Florent Gabriel, violoncelle. Françaix, Rosamond, Fauré. 11h00. Salle Cortot. 10-15 €. Tél. : 06 22 83 33 56. Mozart, Don Giovanni Voir au 2 février. 14h30. Opéra Bastille Camini.. sur le chemin du retour Brigitte Lesne, chant, harpe, percussions ; Michaël Grébil, luth, cistres, chant, percussions. 16h00. Musée de Cluny. 10-12 €. Tél. : 01 53 73 78 16. La flûte à chanter Orchestre de chambre de Paris. Dir. : Debora Waldman. Claire Servais, mise en espace. Adaptation de l’opéra de Mozart. 16h30. Philharmonie 1. 5-20 €. Tél. : 01 44 84 44 84. février 2015 cadences 15 les concerts du mois Concerts des Lauréats Voir au 8 février à 11h. 17h00. Fondation Louis Vuitton. Orchestre Lamoureux Dir. : Marco Parisotto. Isabelle Moretti, harpe. Roussel, Le Festin de l’Araignée ; Hersant, Le Tombeau de Virgile ; Franck Symphonie en ré. 17h00. Salle Gaveau. 8-40 €. Tél. : 01 49 53 05 07. Musiques à la cour de Dresde Voir au 4 février. 17h00. Cathédrale Arménienne. Classique à l'Etoile Emozione Piano duo. Chopin, Schubert, Rachmaninov, De Falla, Gavrilin. 17h00. Temple de l’Etoile (17e). 18-25 €. Tél. : 06 48 45 32 43. Rachmaninov, Tchaïkovski, Prokofiev Voir au 7 février. 17h30. Temple des Batignolles. Les Dimanches d’Offenbach Jean-Christophe Keck, présentation. Offenbach, Apothicaire et Perruquier. 18h00. La Péniche Opéra. 20-25 €. Tél. : 01 53 35 07 77. Dame Felicity Lott, soprano Voir au 6 février. 19h00. Musée Jacquemart-André. Krassimira Stoyanova, soprano Jendrik Springer, piano. Tchaïkovski, Rachmaninov. 20h00. Opéra Bastille, Amphithéâtre. 10-25 €. Tél. : 08 92 89 90 90. 9 lundi Camini.. sur le chemin du retour Voir au 8 février. 12h30. Musée de Cluny. Si Paris m’était conté Musiciens de l’Orchestre de Chambre de Paris. Cherubini, Rossini, Janequin, Wagner, Gershwin, Milhaud, Offenbach. 19h30. Théâtre 13. 12-16 €. Tél. : 0800 42 67 57. Strauss, Ariane à Naxos Voir au 6 février. 19h30. Opéra Bastille. 50 ans de Pro Musicis Orchestre des lauréats. Bach, Gluck, Schubert, Ravel, Satie, Brahms, Dutilleux, Fauré, Ridout, Saint-Saëns. 20h00. Collège des Bernardins. 25-30 €. Tél. : 01 53 10 74 44. Ensemble Accroche-Note Maldonado, Ibarra, Naon, Nillni, Matalon. 20h00. Maison de la Radio, Studio 105. Entrée libre. Tél. : 01 56 40 15 16. Levinas, Le Petit Prince Orchestre de Picardie. Dir. : Arie van Beek. Lilo Baur, mise en scène. Avec Jeanne Crousaud, Vincent LièvrePicard, Catherine Trottmann, Rodrigo Ferreira, Céline Soudain… 20h00. Théâtre du Châtelet. 9-51,5 €. Tél. : 01 40 28 28 40. 16 cadences février 2015 Mendelssohn, Ligeti, Sibelius Les Dissonances. Violon et Dir. : David Grimal. 20h30. Philharmonie 2. 18 €. Tél. : 01 44 84 44 84. Orchestre de l’Alliance Dir. : Pejman Memarzadeh. Beethoven, Concerto pour piano n°4 ; Mozart, Symphonie n°41. Concert au profit de La Chaîne de l’Espoir. 20h30. Salle Gaveau. Tél. : 01 49 53 05 07. Schönberg, Stravinski, Ravel, Vanessa Wagner, Marie Vermeulin, Cédric Tiberghien, Wilhem Latchoumia, pianos. Transcriptions des Gürrelieder, Sacre du printemps, La Valse et Amériques. 20h30. Théâtre des Bouffes du Nord. 12-25 €. Tél. : 01 46 07 34 50. 10 mardi Ensemble Café Zimmermann Céline Frisch, clavier ; Pablo Valetti, violon. Bach, Sonates pour clavier et violon BWV 1014, 1015 & 1016. 12h30. Auditorium du Musée d’Orsay. 8-14 €. Tél. : 01 53 63 04 63. Mathieu Salama, contre-ténor Ghislaine Gignoux, clavecin ; Bruno Angé, viole de gambe. Hommage aux castrats. 12h30. Église Saint-Roch. Entrée libre. Tél. : 06 11 68 22 95. Debussy, Pelléas et Mélisande Voir au 7 février. 19h30. Opéra Bastille. Mozart, L’enlèvement au sérail Voir au 1er février. 19h30. Palais Garnier. Festival de Jérusalem Elena Bashkirova, piano ; Pascal Moraguès, clarinette ; Michael Barenboïm, violon ; Stella Doufexis, soprano… Klein, Schumann, Schönberg, Ullmann. 20h30. Philharmonie 2. 18 €. Tél. : 01 44 84 44 84. Franck, Prokofiev, Fauré, Piazzolla Christie Julien, piano ; Dimitri Maslennikov, violoncelle. 20h30. Salle Gaveau. 15-48 €. Tél. : 01 49 53 05 07. Julia Migenes, soprano Bruno Fontaine, piano. Musique de Kurt Weill. 20h30. Théâtre du Châtelet. 20-85 €. Tél. : 01 40 28 28 40. 11 mercredi Le classique selon Zygel Jean-François Zygel joue avec Prokofiev. 12h30. Salle Gaveau. 12 €. Tél. : 01 49 53 05 07. Mozart, Don Giovanni Voir au 2 février. 19h30. Opéra Bastille. Derbez, Desenne, Pécou, Cage Ensemble Variances. Piano et Dir. : Thierry Pécou. Noa Frenkel, contralto. 20h00. Maison de la Radio, Studio 104. 5 €. Tél. : 01 56 40 15 16. Levinas, Le Petit Prince Voir au 9 février. 20h00. Théâtre du Châtelet. Festival de Jérusalem Elena Bashkirova, piano ; Pascal Moraguès, clarinette ; Michael Barenboïm, violon ; Stella Doufexis, soprano… Beethoven, Carter, Schubert, Reger. 20h30. Philharmonie 2, Amphithéâtre. 18 €. Tél. : 01 44 84 44 84. Giordano, Andrea Chénier Filmé en 2015 à Covent Garden. Dir. : Antonio Pappano. David McVicar, mise en scène. Avec Jonas Kaufmann, Eva-Maria Westbroek. 20h00. Cinéma Le Balzac. 27 €. Tél. : 01 43 59 05 00. Levinas, Le Petit Prince Voir au 9 février. 20h00. Théâtre du Châtelet. Orchestre National de France Dir. : James Gaffigan. Inon Barnatan, piano. Rouse, Prospero’s room ; Norman, Suspend pour piano ; Shepherd, Wanderlust ; Adams, Doctor Atomic Symphony. 20h00. Maison de la Radio, Grand Auditorium. Festival Présences. 15 €. Tél. : 01 56 40 15 16. Splendeur des cuivres Cuivres de l’Orchestre principal de l’Armée de Terre. Dir. : Jean-Michel Sorlin. Thierry Caens, trompette et direction ; André Cazalet, cor ; Michel Becquet, trombone et direction. Gabrieli, Frescobaldi, Poulenc, Händel, Colombier, Piazzolla… 20h00. Cathédrale St-Louis des Invalides. 9-15 €. Tél. : 01 44 42 32 72. Martinu, Magnard Élèves de l’Ecole normale Cortot. 20h00. Centre culturel tchèque. Entrée libre. Tél. : 01 53 73 00 22. Elena Rozanova, piano Orchestre de chambre de Novossibirsk. Saint-Saëns, Chopin. 20h30. Salle Gaveau. 15-48 €. Tél. : 01 49 53 05 07. 13 vendredi Les Concerts de Midi Cécile Kubik, violon ; Flore Merlin, piano. Farrenc, Schumann. 12h15. Amphithéâtre Richelieu de la Sorbonne. 4-12 €. Tél. : 06 89 17 49 35. 50 ans de Pro Musicis 10 lauréats Pro Musicis proposeront des œuvres de Bach, Chopin, Brahms, Poulenc, Hersant, Debussy. 20h00. Collège des Bernardins. 25-30 €. Tél. : 01 53 10 74 44. Rachmaninov, Tchaïkovski, Prokofiev Voir au 7 février. 20h30. Église Notre-Dame des Anges. Les Grands Concerts d’Assas Orchestre Symphonique de la Garde Républicaine. Dir. : François Boulanger. François René Duchâbme, Marc Laforet, pianos. Chopin, Mozart. 20h00. Grand Amphithéâtre, Université Paris II (6e). 30 €. Tél. : 01 47 55 45 20. Mohamed Hiber, violon Itamar Golan, piano. Dvorak, Brahms, Tanguy, Tchaïkovski. 12h30. Auditorium du Louvre. 7-14 €. Tél. : 01 40 20 55 00. David Lively, piano Scarlatti, Händel, JC Bach, JS Bach, Mozart. 19h00. Musée Jacquemart-André. 45-80 €. Tél. : 01 43 71 60 71. Mozart, L’enlèvement au sérail Voir au 1er février. 19h30. Palais Garnier. Debussy, Pelléas et Mélisande Voir au 7 février. 19h30. Opéra Bastille. Magali Léger, soprano Carte blanche à Magali Léger, avec l’Ensemble Contraste. 20h00. Cathédrale St-Louis des Invalides. 9-30 €. Tél. : 01 44 42 32 72. Strauss, Ariane à Naxos Voir au 6 février. 19h30. Opéra Bastille. Philharmonique de Radio France Dir. : Domingo Hindoyan. Paul Meyer, clarinette. Création d’un jeune compositeur vénézuélien ; Corigliano, Concerto pour clarinette ; Cheung, création pour orchestre ; Naon, Quebrada/Horizonte. 20h00. Maison de la Radio, Grand Auditorium. Festival Présences. 15 €. Tél. : 01 56 40 15 16. Mozart, Beethoven, Ibert, Veress Musiciens de l’Orchestre de Paris. 20h00. Musée Gustave Moreau. 15 €. Tél. : 01 48 74 38 50. 12 jeudi Dvorák, Stabat Mater Orchestre des Champs-Elysées, Collegium Vocale Gent. Dir. : Philippe Herreweghe. Avec Ilse Eerens, Renata Pokupic, Magnus Staveland, Florian Boesch. 20h00. Théâtre des Champs-Élysées. 5-85 €. Tél. : 01 49 52 50 50. Quatuor Hanson Schumann, Bartók. 12h15. Grand Salon des Invalides. 5 €. Tél. : 01 44 42 32 72. paris février 2015 cadences 17 les concerts du mois Rossini, L’Occasione fa il ladro Orchestre National d’Île-de-France. Dir. : Enrique Mazzola. Avec Roberto de Candia, Umberto Chiummo, Yijie Shi, Désirée Rancatore, Sophie Pondijiclis… 20h00. Théâtre des Champs-Élysées. 5-85 €. Tél. : 01 49 52 50 50. Yôko Nishi, koto Esprit d’un arbre. 20h00. Maison de la culture du Japon. 18-20 €. Tél. : 01 44 37 95 95. Delphine Galou, contralto Ottavio Dantone, orgue de tribune. Frescobaldi, Torelli, Pasquini, Stradella, Zipoli, Scarlatti, Marcello. 20h30. Église des Billettes. 22 €. Tél. : 01 48 24 16 97. Musique et géographie, l’Ailleurs de l’autre Dir. : Geoffroy Jourdain. Trois chanteuses partent à la découverte des chants étranges de Papouasie, Indonésie, Australie… 20h30. La Péniche Opéra. 15-20 €. Tél. : 01 53 35 07 77. Pintscher, Webern, Reimann, Ensemble intercontemporain. Dir. : Matthias Pintscher. Christine Schäfer, soprano. 20h30. Philharmonie 2. 18 €. Tél. : 01 44 84 44 84. Quatuor Goldmund Beethoven, Mendelssohn, Ravel. 20h30. Hôtel de Poulpry. Pro Quartet. 25 €. Tél. : 01 44 61 83 68. Terem Quartet, Echappée russe Arrangements pour balalaika, contrebasse et domras de Bach, Schubert, Rimski-Korsakov, Chédrine… 20h30. Salle Gaveau. 15-48 €. Tél. : 01 49 53 05 07. DVORAK, FUGA Giacomo Fuga, piano ; Sergio Lamberto, Elisabetta Fornaresio, violon ; Pierre Henri Xuereb, alto ; Hélène Dautry, violoncelle. 20h30. Salle Cortot. 20-10 €. Tél. : 06 08 47 50 53. 14 samedi Roméo et Juliette Les Siècles. Dir. : François-Xavier Roth. Pierre Charvet, présentation. Berlioz, Prokofiev, Tchaïkovski… 11h00. Philharmonie 1. 8-10 €. Tél. : 01 44 84 44 84. Orchestre Pasdeloup Dir. : Wolfgang Doerner. Emmanuelle Bertrand, violoncelle. Dvorák, Danses slaves, Concerto pour violoncelle, Symphonie n°8. 16h00. Théâtre du Châtelet. 10-45 €. Tél. : 01 40 28 28 40. Danses hongroises Chœur de l’Orchestre de Paris. Dir. : Lionel Sow. Romain Descharmes, Emmanuel Christien, piano. Brahms. 17h00. Philharmonie 1, Salle de répétition. 10-20 €. Tél. : 01 44 84 44 84. 18 cadences février 2015 La Cantate des Muses Ensemble Les Muses Galantes. Telemann ; Vivaldi ; Bach, Cantate « Mit Fried und Freud ich fahr dahin » BWV 125. 17h00. Église des Billettes. Libre participation. Tél. : 06 77 58 30 40. L’amour dans les opéras de Mozart Musiciens de l’Orchestre de Paris. Transcriptions pour octuor à vents de Mozart. 15h00. Philharmonie 1, Salle de répétition. 10-20 €. Tél. : 01 44 84 44 84. Zemlinsky, Beethoven, Manoury Florent Pujuila, clarinette ; Benoît Grenet, violoncelle ; Sanja Bizjak, piano. 17h00. Salle Cortot. 9-15 €. Tél. : 0800 42 67 57. La Cantate des Muses Ensemble Les Muses Galantes. Telemann ; Vivaldi ; Bach, Cantate « Mit Fried und Freud ich fahr dahin » BWV 125. 16h00. Église Saint-Ambroise. Libre participation. Tél. : 06 77 58 30 40. Duo Chilemme Gouin Bach, Ysaÿe, Schubert, Ravel. 18h00. Hôtel de Soubise. 7-12 €. Tél. : 01 40 20 09 32. Orchestre de Paris Dir. : Fabien Gabel. Antonio Meneses, violoncelle. Wagner, Prélude et Mort d’isolde ; Strauss, Don Quichotte ; Debussy, Suite de Pelléas et Mélisande. 19h00. Philharmonie 1. 10-40 €. Tél. : 01 44 84 44 84. Quatuor Tzigane Tarass Horiszny, violon ; Micha Makarenko, balalaika, guitare, chant ; Marian Courcel, bayan ; Philippe Garcia, balalaika, contrebasse. Musique tzigane, airs russes, hongrois, roumains, polonais… 19h00. Musée Jacquemart-André. 45-80 €. Tél. : 01 43 71 60 71. Händel, Hercule The English Concert. Dir. : Harry Bicket. Avec Matthew Rose, Lucy Crowe, Alice Coote, James Gilchrist. 19h30. Théâtre des Champs-Élysées. 5-85 €. Tél. : 01 49 52 50 50. Mozart, Don Giovanni Voir au 2 février. 19h30. Opéra Bastille. Cri selon cri Ensemble Variances. Piano et Dir. : Thierry Pécou. Stephan Grögler, mise en espace. Lisa Bielawa, voix. Bielawa, Pécou, Ortiz, Vivier. 20h00. Maison de la Radio, Studio 105. 5 €. Tél. : 01 56 40 15 16. Verdi, La Traviata Ensemble Paris Opéra. F. Conrad, Violeta, B. Robba, Alfredo ; J.J. David, Germont ; F. Alton, V. Chargy, R. Riva, danse. J. Russillo, chorégraphie. 20h30. Oratoire du Louvre. 20-30 €. Tél. : 06 50 41 10 83. 15 dimanche Fazil Say, piano Mozart, Sonates n°11, 16 & 17 11h00. Théâtre des Champs-Élysées. 15-30 €. Tél. : 01 49 52 50 50. Benjamin Alard, clavecin Bach. 12h30. Hôtel de Soubise. Entrée libre. Tél. : 01 40 20 09 32. Mozart, L’enlèvement au sérail Voir au 1er février. 14h30. Palais Garnier. Qui la dira… ? Ensemble vocal L’Échelle. Agricola, Isaac, Obrecht. 16h00. Musée de Cluny. 10-12 €. Tél. : 01 53 73 78 16. We love Broadway Orchestre de Paris. Dir. : Wayne Marshall. Indra Thomas, soprano. Bernstein, West Side Story (danses symphoniques) ; Gershwin, Girl Crazy, Un américain à Paris, Porgy and Bess (extraits). 16h30. Philharmonie 1. 10-40 €. Tél. : 01 44 84 44 84. Glass, La belle et la bête Philip Glass Ensemble. Dir. : Michael Riesman. Avec Hai-Ting Chinn, Marie Mascari, Gregory Purnhagen, Peter Stewart. 18h00. Philharmonie 2. 32-41 €. Tél. : 01 44 84 44 84. 16 lundi Qui la dira… ? Voir au 15 février. 12h30. Musée de Cluny. Alvarez, Muhly, Reich Percussions de l’Orchestre National de France. 20h00. Maison de la Radio, Studio 104. Festival Présences. 15 €. Tél. : 01 56 40 15 16. Debussy, Pelléas et Mélisande Voir au 7 février. 19h30. Opéra Bastille. Chamber Orchestra of Europe Dir. : Semyon Bychkov. Joshua Bell, violon. Glanert, Brahms, Schumann. 20h30. Philharmonie 1. 10-50 €. Tél. : 01 44 84 44 84. Glass, La belle et la bête Voir au 15 février. 20h30. Philharmonie 2. 17 mardi Strauss, Ariane à Naxos Voir au 6 février. 19h30. Opéra Bastille. Leif Ove Andsnes, piano et direction Mahler Chamber Orchestra. Beethoven, Concertos pour piano n°2, 3 & 4. 20h00. Théâtre des Champs-Élysées. 5-85 €. Tél. : 01 49 52 50 50. Ensemble Musicatreize Dir. : Roland Hayrabédian. Perreten, Carreno, Zinsstag. 20h00. Maison de la Radio, Auditorium. 10 €. Tél. : 01 56 40 15 16. Bach et le chant grégorien Maîtrise Notre-Dame de Paris. Dir. : Sylvain Dieudonné. Jean-Pierre Leguay, grand orgue. 20h30. Cathédrale Notre-Dame de Paris. Entrée libre. Tél. : 01 44 41 49 99. Glass, La belle et la bête Voir au 15 février. 20h30. Philharmonie 2. 18 mercredi Daniel Hope, violon Orchestre de chambre de Paris, Maîtrise de Paris. Dir. : Thomas Daussgard. Beethoven, Ouverture de Coriolan ; Bruch, Concerto pour violon ; Mendelssohn, Le Songe d’une nuit d’été. 20h00. Théâtre des Champs-Élysées. 5-55 €. Tél. : 01 49 52 50 50. Les Pianissimes Kris Bezuidenhout, pianoforte ; Quatuor Cambini. Mozart. 20h00. Couvent des Récollets. Tél. : 01 48 87 10 90. Ensembles TM+ et Tambuco Dir. : Laurent Cuniot. Markeas, Griffin, Tejera, Alvarez. 20h00. Maison de la Radio, Studio 104. 5 €. Tél. : 01 56 40 15 16. Massé, Galathée Amira Selim, soprano ; Emilien Marion, Safir Behloul, ténor ; l’Oiseleur, baryton ; Nicolas Chevereau, piano. 20h00. Temple du Luxembourg. Libre participation. Berliner Philharmoniker Chœur de la radio néerlandaise. Dir. : sir Simon Rattle. Kate Royal, soprano ; Magdalena Kozena, mezzo. Lachenmann, Tableau ; Mahler, Symphonie n°2 « Résurrection ». 20h30. Philharmonie 1. 10-160 €. Tél. : 01 44 84 44 84. Glass, La belle et la bête Voir au 15 février. 20h30. Philharmonie 2. Rosemary Standley, chant Bruno Helstroffer, guitare, théorbe ; Elisabeth Geiger, clavecin ; Martin Bauer, viole de gambe ; Michel Godard, bugle, serpent. Purcell, Lawes… 20h30. Philharmonie 2, Amphithéâtre. 25 €. Tél. : 01 44 84 44 84. 19 jeudi Richard O’Neill, alto Peter Asimov, piano. Schumann, Carter, Schubert. 12h30. Auditorium du Louvre. 7-14 €. Tél. : 01 40 20 55 00. Anne-Sophie Honoré, soprano Madoka Fukami, piano. Debussy, Duparc, Aboulker, Berlioz. 12h30. Petit Palais. Entrée libre. Tél. : 01 40 20 09 32. paris Debussy, Pelléas et Mélisande Voir au 7 février. 19h30. Opéra Bastille. Leif Ove Andsnes, piano et direction Mahler Chamber Orchestra. Beethoven, Concertos pour piano n°1 & 5. 20h00. Théâtre des Champs-Élysées. 5-85 €. Tél. : 01 49 52 50 50. Orchestre National de France Chœur & Maîtrise de Radio France. Dir. : Giancarlo Guerrero. Nathan Laube, orgue. Benzecry, Madre Tierra ; Paulus, Grand Concerto pour orgue ; Ives, The Unanswered Question ; Adams, On the transmigration of souls. 20h00. Maison de la Radio, Grand Auditorium. Festival Présences. 15 €. Tél. : 01 56 40 15 16. Sérénades, Barcarolles Romances, airs d’opéra. Tchaïkovski, Glinka, Cui, Kalinnikov, Arensky. Igor Dergaï, ténor ; Natalie Dergaï, piano. 20h00. Temple des Batignolles (17e). Libre participation. Rés. sur place le soir. Les Musiciens du Louvre Grenoble Dir. : Marc Minkowski. Julie Fuchs, soprano ; Marianne Crebassa, mezzo ; Stanislas de Barbeyrac, ténor ; Florian Sempey, baryton ; José van Dam, baryton-basse ; Nicolas Courjal, basse. Airs d’opéras français de Gluck, Meyerbeer, Verdi, Offenbach, Massenet… 20h30. Philharmonie 1. 10-70 €. Tél. : 01 44 84 44 84. Rosemary Standley, chant Voir au 18 février. 20h30. Philharmonie 2, Amphithéâtre. 20 vendredi Vazquez, Rizo Salom, Adams Ensemble Orchestral Contemporain. Dir. : Daniel Kawka. Christophe Desjardins, alto. 20h00. Maison de la Radio, Studio 104. 10 €. Tél. : 01 56 40 15 16. Branca, Symphonie n°16 « Orgasm » Dir. : Glenn Branca. Concert performance pour 100 guitares, basses et batterie. 20h30. Philharmonie 2. 18 €. Tél. : 01 44 84 44 84. Orchestre Royal du Concertgebouw Dir. : Mariss Jansons. Genia Kühmeier, soprano. Strauss, Le Bourgeois gentilhomme ; Mahler, Symphonie n°4. 20h30. Philharmonie 1. 10-90 €. Tél. : 01 44 84 44 84. Rosemary Standley, chant Voir au 18 février. 20h30. Philharmonie 2, Amphithéâtre. Paris Sinfonia Orchestra Asayo Otsuka, soprano ; Olga Gurkovska, alto. Pergolèse, Stabat Mater ; Vivaldi, Concert pour cordes "Alla Rustica", Concerto pour Flûte RV.108 ; Pachelbel, Canon ; Caccini, Schubert, Ave Maria. 20h30. Église Saint-Germain-des-Prés. 20-30 €. Tél. : 06 50 41 10 83. Verdi, La Traviata Voir au 14 février. 20h30. Oratoire du Louvre. 21 samedi Händel, Flavio Musique filmée. Christian Gagneron, mise en scène. Dir. : René Jacobs (1989). 14h00. Auditorium du Louvre. 4-12 €. Tél. : 01 40 20 55 00. Händel, Alexander’s Feast Musique filmée. Dir. : Nikolaus Harnoncourt. Avec Dorothea Roschmann, Michael Schade, Gerald Finley (2001). 18h00. Auditorium du Louvre. 4-12 €. Tél. : 01 40 20 55 00. Découvrez les stars de demain e chaque 3 lundi du mois avec Gaëlle Le Gallic Lundi 16 février 2015 à 19 h Ensemble InAlto Schelle, Bruckner, Schütz... Emission Génération jeunes interprètes Entrée libre Maison de la radio - Paris 16e Brahms, Sonates et Trio Bogdan Sydorenko, clarinette ; Dana De Vries, violoncelle ; Elizveta Frolova, piano. 18h00. Hôtel de Soubise. 4-13 €. Tél. : 01 40 20 09 32. Philharmonique de Radio France Dir. : Diego Matheuz. Katia et Marielle Labèque, pianos. Trapani, œuvre nouvelle ; Golijov, Nazareno pour deux pianos ; Benzecry, Rituales amerindios. 20h00. Maison de la Radio, Grand Auditorium. Festival Présences. 15 €. Tél. : 01 56 40 15 16. Händel, Music for the Royal Fireworks Le Concert Spirituel. Dir. : Hervé Niquet. Ludovic Lagarde, Sébastien Michaud, lumières. 20h30. Philharmonie 1. 10-50 €. Tél. : 01 44 84 44 84. 22 dimanche Debussy, Pelléas et Mélisande Voir au 7 février. 14h30. Opéra Bastille. Boesmans, Au monde Philharmonique de Radio France. Dir. : Patrick Davin. Joël Pommerat, mise en scène. Avec Frode Olsen, Werner van Mechelen, Patricia Petibon, Charlotte Hellekant, Yann Beuron… 15h00. Opéra Comique. 6-110 €. Tél. : 0825 01 01 23. Händel, Rinaldo Musique filmée. Louise Moaty, mise en scène. Dir. : Vaclav Luks (2010). 15h00. Auditorium du Louvre. 4-12 €. Tél. : 01 40 20 55 00. Orch. de chambre de Lausanne Maîtrise de Radio France. Dir. : Bertrand de Billy. Sarah Louvion, flûte ; Letizia Belmondo, harpe. Mozart, Concerto pour flûte et harpe ; Messiaen, Trois petites liturgies de la Présence divine. 20h00. Maison de la Radio, Grand Auditorium. 17-45 €. Tél. : 01 56 40 15 16. London Symphony Orchestra Dir. : Valery Gergiev. Denis Matsuev, piano. Rachmaninov, Concerto pour piano n°2, Symphonie n°1. 16h30. Philharmonie 1. 10-70 €. Tél. : 01 44 84 44 84. février 2015 cadences 19 les concerts du mois 23 lundi Orchestre National de France Dir. : Bernard Haitink. Patrick Messina, clarinette. Mozart, Concerto pour clarinette ; Bruckner, Symphonie n°9. 20h00. Maison de la Radio, Grand Auditorium. 35-85 €. Tél. : 01 56 40 15 16. 24 mardi Beethoven, Mahler, Brahms Philippe Jordan, piano ; Pierre Lenert, alto ; Eric Lacrouts, violon ; Cyrille Lacrouts, violoncelle. 20h00. Opéra Bastille, Amphithéâtre. 10-25 €. Tél. : 08 92 89 90 90. Boesmans, Au monde Voir au 22 février. 20h00. Opéra Comique. 25 mercredi Italianità Alice Lestang, soprano ; Eric Tinkerhess, violoncelle baroque ; Benoît Bératto, violone ; Takahisa Aida, clavecin. 12h30. Hôtel de Soubise. Entrée libre. Tél. : 01 40 20 09 32. Debussy, Pelléas et Mélisande Voir au 7 février. 19h30. Opéra Bastille. Jean-Marc Luisada, piano Schubert, Sonate D960. Projection du film Voyage à Tokyo d’Ozu. 20h00. Maison de la culture du Japon. 18-20 €. Tél. : 01 44 37 95 95. Prokofiev, Tchaïkovski Orchestre de Paris. Dir. : Yuri Temirkanov. Leonidas Kavakos, violon. 20h30. Philharmonie 1. 10-40 €. Tél. : 01 44 84 44 84. 26 jeudi Beatrice Rana, piano Bach, Ravel, Chopin, Antonioni. 12h30. Auditorium du Louvre. 7-14 €. Tél. : 01 40 20 55 00. Boesmans, Au monde Voir au 22 février. 20h00. Opéra Comique. Orchestre National de France Dir. : Juanjo Mena. Jean-Efflam Bavouzet, piano ; Vincent Warnier, orgue. Bizet, Carmen Suite n°1 ; Pierné, Concerto pour piano ; Saint-Saëns, Symphonie n°3 avec orgue. 20h00. Maison de la Radio, Grand Auditorium. 25-60 €. Tél. : 01 56 40 15 16. Jean-Marc Luisada, piano Haydn, Schumann. Projection du film Le visage d’un autre de Teshigahara. 20h00. Maison de la culture du Japon. 18-20 €. Tél. : 01 44 37 95 95. Prokofiev, Tchaïkovski Voir au 25 février. 20h30. Philharmonie 1. 20 cadences février 2015 27 vendredi Boesmans, Au monde Voir au 22 février. 20h00. Opéra Comique. Tedi Papavrami, violon Intégrale des sonates et partitas de Bach. 20h30. Fondation Louis Vuitton. 25 €. Tél. : 01 40 69 96 00. Jean-Marc Luisada, piano Debussy, Schumann. Projection du film La harpe de Birmanie de Ichikawa. 20h00. Maison de la culture du Japon. 18-20 €. Tél. : 01 44 37 95 95. 28 samedi Duo Kitharsis Duo de guitares. De Falla, Rameau, Bogdanovic, Giulani, Rodrigo, Piazzolla. 18h00. Hôtel de Soubise. 4-13 €. Tél. : 01 40 20 09 32. Debussy, Pelléas et Mélisande Voir au 7 février. 19h30. Opéra Bastille. Récital Eva Cendors Marika Lombardo, hautbois. Musique d’Eva Cendors. 20h00. Centre culturel tchèque. 10-15 €. Tél. : 01 53 73 00 22 . Verdi, La Traviata Voir au 14 février. 20h30. Oratoire du Louvre. [ mars ] 1er dimanche BULLES Valérie Aimard, mime. Un spectacle de mime loufoque, poétique et musical. 17h00. Théâtre de Nesle (6e). 10-15 €. Tél. : 01 46 34 61 04. Concert Enigma Imaginé par Jean-François Zygel. 20 000 lieues sous les mers : le programme ne sera pas dévoilé au public… 18h00. Théâtre du Châtelet. 11-32.5 €. Tél. : 01 40 28 28 40. 2 lundi Les Concerts de Midi Quatuor Voce. Mendelssohn, Janacek. 12h15. Amphithéâtre Richelieu de la Sorbonne. 4-12 €. Tél. : 06 89 17 49 35. Gounod, Faust Orchestre & Chœur de l’Opéra. Dir. : Michel Plasson. Jean-Louis Martinoty, mise en scène. Avec Piotr Beczala, Rémy Corazza, Ildar Abdrazakov, Jean-François Lapointe, Krassimira Stoyanova… 19h30. Opéra Bastille. 5-156 €. Tél. : 08 92 89 90 90. Schubert, Menotti, Gershwin Joutes instrumentales sur les cimes musicales. Dir. : Pascal Devoyon, DongSuk Kang. 20h00. Grand Salon des Invalides. 9-15 €. Tél. : 01 44 42 32 72. Jean-Bernard Pommier, piano Beethoven, Intégrale des Sonates pour piano. 20h30. Salle Gaveau. 22-55 €. Tél. : 01 49 53 05 07 . 3 mardi Schubert, Dohnanyi Maria Ciszewska, violon ; Claire Dumas, alto ; Marta Bannenberg, violoncelle. 12h30. Église Saint-Roch. Entrée libre. Berg, Wozzeck Filmé en 2010 au Théâtre du Bolchoi à Moscou. Dir. : Teodor Currentzis. Dmitri Tcherniakov, mise en scène. Avec Georg Nigl, Mardi Byers… 20h00. Cinéma Le Balzac. 27 €. Tél. : 01 43 59 05 00. Cyril Huvé, piano Scriabine, Chopin. Centenaire de la disparition de Scriabine. 20h30. Salle Gaveau. 15-35 €. Tél. : 01 49 53 05 07 . 4 mercredi Julie Alcaraz, piano Scarlatti, Chopin, Albeniz, Dutilleux 13h00. Mairie du 9e. Entrée libre. Tél. : 01 40 20 09 32. Luis Fernando Pérez, piano Soler, Granados, Albéniz, de Falla. 19h00. Maison de la Radio, Studio 104. 15 €. Tél. : 01 56 40 15 16. Haydn, Les 7 dernières paroles du Christ Orchestre de chambre de Paris. Dir. : Leonardo Garcia Alarcon. Julie Fuchs, soprano ; Anaïk Morel, mezzo ; Stanislas de Barbeyrac, ténor ; Konstantin Wolff, basse. Mendelssohn, Psaume 42. 20h00. Cathédrale Notre-Dame de Paris. 12-50 €. Tél. : 0800 42 67 57. Honegger, Jeanne d’Arc au bûcher Orchestre de Paris, Chœur de l’Orchestre de Paris. Dir. : Kazuki Yamada. Côme de Bellescize, mise en scène. Avec Marion Cotillard, Eric Génovèse, Christian Gonon, AnneCatherine Gillet… 20h30. Philharmonie 1. 10-110 €. Tél. : 01 44 84 44 84. Jean-Bernard Pommier, piano Voir au 2 mars. 20h30. Salle Gaveau. 5 jeudi Croque-Musique Musiciens de l’Orchestre Lamoureux. Glinka, Martinu (concert pausedéjeuner). 12h45. Mairie du 4e. 6 €. Tél. : 01 58 39 30 30. Fujikura, Solaris Ensemble intercontemporain. Dir. : Erik Nielsen. Saburo Teshigawara, mise en scène & chorégraphie. Ulf Langheinrich, conception images 3D. Avec Sarah Tynan, Leigh Melrose, Tom Randle… 19h30. Théâtre des Champs-Élysées. 5-110 €. Tél. : 01 49 52 50 50. Gounod, Faust Voir au 2 mars. 19h30. Opéra Bastille. Ensemble 2e2m Shigeko Hata, soprano ; Eva Reiter, viole de gambe. Gedizlioglu, Iannota, Filidei, Coll. 20h00. Auditorium du CRR. Entrée libre. Tél. : 01 47 06 17 76. Haydn, Les 7 dernières paroles du Christ Voir au 4 mars. 20h00. Cathédrale Notre-Dame de Paris. Orchestre National de France Dir. : Gianandrea Noseda. Olga Borodina, mezzo. Casella, Elegia eroica ; Moussorgski, Chants et danses de la mort ; Chostakovitch, Symphonie n°10. 20h00. Maison de la Radio, Grand Auditorium. 25-60 €. Tél. : 01 56 40 15 16. Mozart, Requiem, Sérénade n°6 Orchestre de l’Alliance, Chœur Vittoria d’Ile de France. Dir. : Pejman Memarzadeh. 20h30. Salle Gaveau. Tél. : 01 49 53 05 07 . Honegger, Jeanne d’Arc au bûcher Voir au 4 mars. 20h30. Philharmonie 1. Gillet, 100 Ensemble 2e2m. Dir. : Pierre Roullier. Mireille Larroche, mise en scène. Philippe Minyana, texte. Avec Edwige Bourdy, Christophe Crapez, PaulAlexandre Dubois, Eléonore Pancrazi. 21h30. Vingtième théâtre. 13-25 €. Tél. : 01 53 35 07 77. 6 vendredi Les Concerts de Midi Voir au 2 mars. 12h15. Amphithéâtre Richelieu de la Sorbonne. Mozart, Beethoven Ensemble Quartz ; Roberte Mamou, piano. 19h00. Musée Jacquemart-André. 45-80 €. Tél. : 01 43 71 60 71. Carte Blanche musique spectrale Philharmonique de Radio France. Dir. : Pierre-André Valade. PierreLaurent Aimard, piano. Murail, Le désenchantement du monde ; Dufourt, création. 20h00. Maison de la Radio, Grand Auditorium. 15 €. Tél. : 01 56 40 15 16. paris François Joubert-Caillet, basse de viole Andreas Linos, basse de viole ; Philippe Grisvard, clavecin. Marin Marais, La Rêveuse, Les Voix Humaines, Le labyrinthe, Badinage, Le Tourbillon… 20h30. Église des Billettes. 22 €. Tél. : 01 48 24 16 97. Gillet, 100 Voir au 5 mars. 21h30. Vingtième théâtre. 7 samedi Händel, Ariodante Musique filmée. Richard Jones, mise en scène. Dir. : Andrea Marcon (2014). Avec Patricia Petibon, Sonia Prina, Sarah Connoly… 14h00. Auditorium du Louvre. 4-12 €. Tél. : 01 40 20 55 00. Chopin, Beethoven, Bridge, Schubert, Brahms Haochen Zhang, piano ; Adrien La Marca, alto ; Marc Bouchkov, violon. 16h00. Théâtre de la Ville. 14-19 €. Tél. : 01 42 74 22 77. La Cantate des Muses Ensemble Les Muses Galantes. Graun ; Hasse ; Pisendel ; Bach, Cantate « Ich bin ein guter Hirt » BWV 85. 17h00. Église des Billettes. Libre participation. Tél. : 06 77 58 30 40. Händel, Orlando Musique filmée. Pierre Audi, mise en scène. Dir. : Rene Jacobs (2012). Avec Bejun Mehta, Sophie Karthäuser… 18h00. Auditorium du Louvre. 4-12 €. Tél. : 01 40 20 55 00. Passions slaves Carjez Gerretsen, clarinette ; Louise Salmona, violon ; Alexandre Collard, cor ; Natacha Colmez-Collard, violoncelle ; Guillaume Sigier, piano. Slavicky, Khatchaturian, Rachmaninov… 18h00. Hôtel de Soubise. 4-13 €. Tél. : 01 40 20 09 32. Philippe Entremont, piano Mozart, Sonate K331 ; Schubert, Sonate en si bémol majeur D960. 19h00. Musée Jacquemart-André. 45-80 €. Tél. : 01 43 71 60 71. Fujikura, Solaris Voir au 5 mars. 19h30. Théâtre des Champs-Élysées. Orchestre de la Cité internationale Dir. : Adrian McDonnell, Baptiste Allard. Hjördis Thébault, soprano. Mendelssohn, Les Hébrides, Ouverture ; Dumas, Ce que dit la Forêt (création mondiale) ; Beethoven, Symphonie n°5 en do mineur. 20h30. Théâtre de la Cité internationale. 11-22 €. Tél. : 01 43 13 50 50. Glass, Bowie Orchestre National d’Île-de-France. Dir. : Enrique Mazzola. Bertrand Belin, récitant. Louise Lecavalier, chorégraphie. Renaud Cojo, film. Cycle David Bowie. 21h00. Philharmonie 1. 20-35 €. Tél. : 01 44 84 44 84. Gillet, 100 Voir au 5 mars. 21h30. Vingtième théâtre. 8 dimanche Emmanuel Arakélian, orgue Buxtehude, Mozart, Händel, Bach. 12h30. Église Saint-Louis en l’Ile. Entrée libre. Tél. : 01 40 20 09 32. Mathieu Salama, contre-ténor Virginie Jungblut, piano. Hommage aux castrats. 15h00. Théâtre de l’Ile Saint-Louis. 15 €. Tél. : 06 11 68 22 95. Händel, Alcina Musique filmée. Pierre Audi, mise en scène. Dir. : Christophe Rousset (2015). Avec Sandrine Piau, Maité Beaumont… 15h00. Auditorium du Louvre. 4-12 €. Tél. : 01 40 20 55 00. La Cantate des Muses Ensemble Les Muses Galantes. Graun ; Hasse ; Pisendel ; Bach, Cantate « Ich bin ein guter Hirt » BWV 85. 16h00. Église Saint-Ambroise. Libre participation. Tél. : 06 77 58 30 40. BULLES Voir au 1er mars. 17h00. Théâtre de Nesle (6e). Classique à l'Étoile Emozione Piano duo. Dvorak, Brahms, Liszt, Moussorgski, Gavrilin. 17h00. Temple de l’Étoile (17e). 18-25 €. Tél. : 06 48 45 32 43. Gillet, 100 Voir au 5 mars. 17h30. Vingtième théâtre. Les Dimanches d’Offenbach Jean-Christophe Keck, présentation. Offenbach, Monsieur Chou Fleuri 18h00. La Péniche Opéra. 20-25 €. Tél. : 01 53 35 07 77. Glass, Bowie/Eno Orchestre National d’Île-de-France. Dir. : Enrique Mazzola. Bertrand Belin, récitant. 18h30. Philharmonie de Paris. 20-35 €. Tél. : 01 44 84 44 84. Philippe Entremont, piano Voir au 7 mars. 19h00. Musée Jacquemart-André. Suk, Mozart, Dvorák Musiciens de l’Orchestre de l’Opéra. 20h00. Palais Garnier. 10-25 €. Tél. : 08 92 89 90 90. 9 lundi Gounod, Faust Voir au 2 mars. 19h30. Opéra Bastille. février 2015 cadences 21 les concerts du mois Münchner Philharmoniker Dir. : Valery Gergiev. Sol Gabetta, violoncelle. Dvorak, Concerto pour violoncelle ; Beethoven, Symphonie n°3 « Eroica ». Hommage à Lorin Maazel. 20h30. Philharmonie 1. 10-75 €. Tél. : 01 44 84 44 84. 10 mardi Rameau, Couperin, Scarlatti Claire Pradel, clavecin. 12h30. Église Saint-Roch. Entrée libre. Les femmes compositrices Chœur de Radio France. Dir. : Howard Arman. Mendelssohn, Schumann, Bonis, Clarke, Boulanger. 20h00. Maison de la Radio, Studio 104. 15 €. Tél. : 01 56 40 15 16. Nemanja Radulovic, violon Carte blanche à Nemanja Radulovic, avec l’Ensemble Double Sens. 20h00. Cathédrale St-Louis des Invalides. 9-30 €. Tél. : 01 44 42 32 72. Anne Sophie Mutter, violon Orchestre Royal du Concertgebouw. Dir. : Andris Nelsons. Sibelius, Concerto pour violoncelle ; Chostakovitch, Symphonie n°10. 20h30. Philharmonie 1. 10-90 €. Tél. : 01 44 84 44 84. Orchestre Romantique Européen Dir. : Lionel Stoléru. François Beaulieu, récitant. Romain Hervé, piano. Véra Nikolova, mezzo ; Laurent Koehl, ténor. Le mythe de Hugo. Mendelssohn, Gounod, Bizet, Hahn, Saint-Saëns, Franck. 20h30. Salle Gaveau. 20-40 €. Tél. : 01 49 53 05 07. 11 mercredi Orchestre National de France Dir. : David Afkham. Beethoven, Ouverture de Coriolan ; Bartók, Concerto pour orchestre. 19h00. Maison de la Radio, Grand Auditorium. 15 €. Tél. : 01 56 40 15 16. Beethoven, Dvorak, Chostakovitch Plamena Mangova, piano ; Natalia Prischepenko, violon ; Sebastian Klinger, violoncelle. 20h00. Auditorium du Louvre. 16-32 €. Tél. : 01 40 20 55 00. Florian Puddu, piano Au cœur de l’Espagne : Scarlatti, Debussy, Ginastera, Albeniz. 20h00. Hôtel de Soubise. 4-13 €. Tél. : 01 40 20 09 32. Beethoven, Bruckner Orchestre de Paris. Dir. : Herbert Blomstedt. Isabelle Faust, violon ; JeanGuilhen Queyras, violoncelle ; Martin Helmchen, piano. 20h30. Philharmonie 1. 10-40 €. Tél. : 01 44 84 44 84. 22 cadences février 2015 David Lively, piano Quatuor Terpsycordes. Concertos de chambre romantiques: Alkan, Beethoven, Chopin. 20h30. Salle Gaveau. 22-55 €. Tél. : 01 48 24 16 97. 12 jeudi Kerson Leong, violon Wonny Song, piano. Brahms, Ravel, Good. 12h30. Auditorium du Louvre. 7-14 €. Tél. : 01 40 20 55 00. Gounod, Faust Voir au 2 mars. 19h30. Opéra Bastille. Freed, Singin’ in the Rain Orchestre de chambre de Paris. Robert Carsen, mise en scène. Gene Kelly, Stanley Donen, chorégraphie originale du film. 20h00. Théâtre du Châtelet. 20-101,5 €. Tél. : 01 40 28 28 40. Orchestre Colonne Dir. : Laurent Petitgirard. Marie-Ange Todorovich, mezzo. Petitgirard, Solitaire (création) ; Mahler, Rückert Lieder ; Mendelssohn, Symphonie n°3. 20h00. Salle Gaveau. 10-30 €. Tél. : 01 49 53 05 07. Orchestre National de France Dir. : David Afkham. Viktoria Mullova, violon. Beethoven, Ouverture de Coriolan ; Brahms, Concerto pour violon ; Bartók, Concerto pour orchestre. 20h00. Maison de la Radio, Grand Auditorium. 25-60 €. Tél. : 01 56 40 15 16. 13 vendredi Les Concerts de Midi Edoardo Torbianelli, pianoforte. Mozart, Boissier-Butini, Montgeroult, Beethoven. 12h15. Amphithéâtre Richelieu de la Sorbonne. 4-12 €. Tél. : 06 89 17 49 35. Schumann, Debussy, Finzi Trio Milhaud. 12h15. Grand Salon des Invalides. 5 €. Tél. : 01 44 42 32 72. Rossini, Le voyage à Reims Orchestre du Conservatoire de Paris. Dir. : Marco Guidarini. Emmanuelle Cordoliani, mise en scène. Chanteurs du Conservatoire de Paris. 19h30. Salle d’art lyrique, Conservatoire de Paris. 18 €. Tél. : 01 44 84 44 84. Freed, Singin’ in the Rain Voir au 12 mars. 20h00. Théâtre du Châtelet. Junko Okazaki, piano Ravel, Sonatine, Miroirs, Valses nobles et sentimentales, Gaspard de la nuit. 20h30. Salle Gaveau. 15-35 €. Tél. : 01 49 53 05 07 . Gillet, 100 Voir au 5 mars. 21h30. Vingtième théâtre. 14 samedi Freed, Singin’ in the Rain Voir au 12 mars. 15h00. Théâtre du Châtelet. Hubert, Carinola, Schafer, Stockhausen, Reich, Rossé Solistes de l’Ensemble intercontamporain. 15h00. Philharmonie 2, Amphithéâtre. 25 €. Tél. : 01 44 84 44 84. Rossini, Le voyage à Reims Jeux rythmiques, vocaux et instrumentaux pour découvrir l’opéra de Rossini. 14h00. Salle d’art lyrique, Conservatoire de Paris. 10-12 €. Tél. : 01 44 84 44 84. Reich, Music for 18 musicians Ensemble Links, Compagnie Mad. Sylvain Groud, chorégraphie. Avec 150 danseurs amateurs. 16h00. Philharmonie 2. 18 €. Tél. : 01 44 84 44 84. Alexis Knaus, contre-ténor Simon Waddell, théorbe. Dowland, Purcell, Robinson… 18h00. Hôtel de Soubise. 4-13 €. Tél. : 01 40 20 09 32. Freed, Singin’ in the Rain Voir au 12 mars. 20h00. Théâtre du Châtelet. Le sacre et ses révolutions Brussels Philharmonic. Dir. : Michel Tabachnik. Jean-Claude Gallotta, chorégraphie. Xenakis, Jonchaies ; Webern, Six pièces op.6 ; Stravinski, Le sacre du printemps. 20h30. Philharmonie 1. 10-40 €. Tél. : 01 44 84 44 84. Reich, Music for 18 musicians Voir au 14 mars à 16h. 20h30. Philharmonie 2. Gillet, 100 Voir au 5 mars. 21h30. Vingtième théâtre. 15 dimanche Quatuor Arod Beethoven, Ligeti, Schubert 20h30. Hôtel de Poulpry. 25 €. Tél. : 01 44 61 83 68. 1,2,3vLa Flûte/Mozart Damien Schoëvaërt, conception et marionnettes. Une version ludique et féérique de La Flûte enchantée de Mozart. 11h00. La Péniche Opéra. 10-20 €. Tél. : 01 53 35 07 77. Suites dansées Christophe Rousset, clavecin ; Alban Richard, danse. 20h30. Philharmonie 1, Salle de répétition. 18 €. Tél. : 01 44 84 44 84. Brahms, Berg, Schumann Michel Portal, clarinette ; Nicholas Angelich, piano. 11h00. Théâtre des Champs-Élysées. 15-30 €. Tél. : 01 49 52 50 50. Vents de folie Quintette Néodyme 11h00. Théâtre du Châtelet. 5-10 €. Tél. : 01 40 28 28 40. Transcriptions de Bach Ronan Kernoa, viole de gambe ; Benjamin Alard, clavecin. 12h30. Hôtel de Soubise. Entrée libre. Tél. : 01 40 20 09 32. Gounod, Faust Voir au 2 mars. 14h30. Opéra Bastille. Concours des Grands amateurs de piano Finale. 15h00. Grand Amphi d’Assas (6e). 25 €. Tél. : 01 47 55 45 20. Brahms, Xenakis, Tchaïkovski Musiciens de l’Orchestre Colonne. 16h00. Salle Colonne. 20 €. Tél. : 01 42 33 72 89. Cartes blanches aux jeunes solistes du Conservatoire de Paris Ces récitals permettent aux plus brillants musiciens de se produire dans des programmes originaux. 16h00. Philharmonie 2, Amphithéâtre. Entrée libre. Tél. : 01 44 84 44 84. Freed, Singin’ in the Rain Voir au 12 mars. 16h00. Théâtre du Châtelet. Mozart, Messe du Couronnement Orchestre de l’Académie de l’Ile SaintLouis, Ensemble vocal de Montigny les Cormeilles, Chœur Mosaique de Deuil la Barre, Chorale Ars Lyrica, Maîtrise du Conservatoire de Clamart. Dir. : Frédéric Loisel. 16h00. Église Saint-Louis en l’Ile. 16-25 €. Tél. : 01 44 62 00 55. Le sacre et ses révolutions Voir au 14 mars. 16h30. Philharmonie 1. Orchestre Lamoureux Dir. : Fayçal Karoui. Tedi Papavrami, violon. Dubugnon, Blitz pour orchestre et vidéo ; Sarasate, Carmen Fantaisie ; Ravel, Tzigane ; Poulenc, Sinfonietta. 17h00. Salle Gaveau. 8-40 €. Tél. : 01 49 53 05 07. BULLES Voir au 1er mars. 17h00. Théâtre de Nesle (6e). Gillet, 100 Voir au 5 mars. 17h30. Vingtième théâtre. Strauss, Ishii Waseda University Symphony Orchestra. Dir. : Kazufumi Yamashita. 20h00. Théâtre des Champs-Élysées. 5-45 €. Tél. : 01 49 52 50 50. Cartes blanches aux jeunes solistes du Conservatoire de Paris Voir au 15 mars à 16h. 20h30. Philharmonie 2, Amphithéâtre. île-de-france Pontoise Versailles 6-8 février (CRR et Théâtre des Louvrais) du 6 au 8 février (Opéra Royal) Piano Campus Don Quichotte de Boismortier Le lorrain Joseph Bodin de Boismortier (1689-1755) n'était pas à une bizarrerie près, mais loin de se cantonner à l'excentrique, sa musique révèle une © Eric Manas habileté et une imagination sans borne, de quoi susciter l'intérêt passionné d'Hervé Niquet, grand défricheur devant l'Eternel. Fait hautement symbolique, Don Quichotte chez la Duchesse de Boismortier fut la première œuvre interprétée par Le Concert Spirituel à sa création, il y a vingt-sept ans. Niquet et ses troupes retrouvent donc avec bonheur cette partition virevoltante. En 1743, à l'Académie Royale © D.R. de musique, l'ouvrage mêlait allègrement interventions musicales et passages parlés ; ces derniers étant perdus, les dialogues ont été En 2002, à l’initiative de Pascal Escande, directeur du Festival d’Auvers-sur-Oise, la ville de Pontoise a relevé un défi en créant le Concours Piano Campus qui accueille chaque année de jeunes pianistes de 16 à 25 ans préalablement sélectionnés par un comité artistique. Tous les candidats proviennent des plus grands Des pianistes de 16 à 25 ans issus des plus grands Conservatoires conservatoires et se sont déjà produits en concert et dans des compéti- savamment restitués par Corinne et Gilles Benizio (alias Shirley et Dino), qui signent au passage une mise en scène hilarante. Le trio vocal principal (le ténor François-Nicolas Geslot en Don Quichotte, la soprano Chantal Santon Jeffery en Altisidore et le baryton Marc Labonnette en Sancho Pança) s'avère aussi musicien que comédien. Apparition sur scène ébouriffante de Dino en Duc et de Shirley en... Mais ne dévoilons pas tout. tions internationales. L’organisation Vitry-sur-Seine de l’événement réclame une logique de fonctionnement rigoureuse afin L'Occasion fait le larron de Rossini d’éviter tout désagrément : sont pris totalement en charge voyage, repas le 6 février (Théâtre) et hébergement. Véritable tremplin, En attendant un vaste cycle consa- interprètes du nom de Fanny Azzuro, Hisako Kawamura, Jean- cré à la musique de... David Bowie, Frédéric Neuburger, François Dumont, Florian Noack… Cette an- l'Orchestre National d'Île-de-France née, les douze finalistes retenus se présenteront au Conservatoire montre plus que jamais sa polyva- Royaume-Uni, Taïwan, Tatarstan, Ukraine. Après les épreuves éli- © Martin Sigmund cette manifestation peut s’honorer d’avoir élu par le passé des minatoires le 6 février dans des œuvres pour piano seul d’époques francilien (Mennecy, Bonneuil-sur-Marne, Coignères et Gagny) différentes (avec en pièce obligée la Bagatelle n° 2 « Laulu » de avant de s'achever en apothéose au Théâtre des Champs-Elysées Sibelius à l’occasion des 150 ans de la naissance du compositeur), de Paris. Une occasion unique pour le public de profiter de ce seront retenus les trois finalistes qui concourront le 8 février au petit bijou de l'opéra bouffe qui voit le comte Alberto aux prises Théâtre des Louvrais de Pontoise en vue d’obtenir le Campus d’Or, avec une usurpation d'identité le jour même de son mariage... À d’Argent ou de Bronze, des Prix spéciaux (dont celui du Public) et Venise en 1812, la création de cette farce en un acte connut un des Mentions ; en tout, 30 000 € de Prix. L’Orchestre Symphonique immense succès, devenant même l'opéra le plus joué du vivant de Mélo’dix de l’Université Paris-Ouest formé de jeunes instrumen- Rossini. À la tête d'une distribution enthousiaste, le chef Enrique tistes et dirigé par Fabrice Parmentier les accompagnera dans le Mazzola dirige l'orchestre francilien, dans un répertoire qu'il a troisième mouvement du Concerto n° 4 de Beethoven ainsi que dirigé dans des salles aussi prestigieuses que celle du Festival de dans To Bill or not to Bill, création mondiale de Raymond Ales- Glyndebourne, le Deutsche Oper de Berlin ou la Scala de Milan. sandrini en hommage à Bill Evans. Un bain de jouvence et une Dans une mise en espace de Nicolas Briançon, ce sera, n'en dou- expérience excitante à vivre avec les candidats. tons pas, un régal ! de Cergy-Pontoise devant un jury au large spectre présidé par le pédagogue coréen Chong-Pil Lim. Ils viendront de Corée du Sud, des Etats-Unis, de Finlande, France, Géorgie, Japon, Roumanie, MLN lence et sa mobilité géographique puisque ce L'Occasione fa il Ladro de Rossini part, suite à sa première à Vitry-sur-Seine, dans un vaste périple janvier 2015 cadences 23 les concerts du mois [ Février ] 1er dimanche Natalie Dessay, soprano Laurent Naouri, baryton-basse. Fauré, Duparc, Poulenc, Delibes, Widor. 16h00. Opéra Royal, Versailles • 78. 55-195 €. Tél. : 01 30 83 78 89. Saint-Saëns, Fauré, Mozart Orchestre de Marly. Dir. : Roberto Gatto. 16h00. Centre Jean Vilar, Marly-le-Roi • 78. 12-21 €. Tél. : 01 39 58 74 87. Mozart, Grande messe en ut mineur Chœur & Orchestre du Concert de l’Hostel Dieu. Dir. : Franck-Emmanuel Comte. Avec Heather Newhouse, Ilektra Platiopoulou, Rémy Poulakis, Paul-Henry Vila. 17h00. Théâtre, Poissy • 78. 10-28 €. Tél. : 01 39 22 55 92. 3 mardi Verdi, Rigoletto Chœur & Orchestre Opéra Nomade. Dir. : Amaury du Closel. Pierre ThirionVallet, mise en scène. 20h00. Théâtre des Sablons, Neuilly • 92. 24-49 €. Tél. : 01 55 62 60 35. Dan Tepfer, piano Bach, Les Variations Goldberg. 20h30. Théâtre Jean Arp, Clamart • 92. 10,5-22 €. Tél. : 01 41 90 17 02. Paris Klezmer Band Musique tzigane. Serge Kaufmann, présentation. 20h30. Grande Scène, Le Chesnay • 78. 2-5 €. Tél. : 0892 68 36 22. Schubert, Voyage d’hiver Ensemble Musica Nigella. Dir. : Takénori Némoto. Yoshi Oïda, mise en scène. Elizabeth Calleo, soprano ; Samuel Hasselhorn, Didier Henry, barytons. 20h30. Espace Carné, St-Michel/Orge • 91. 14-17 €. Tél. : 01 69 04 98 33. Caillebotte, Dvorák Chœur régional Vittoria d’Île-deFrance. Dir. : Michel Piquemal. Mathias Lecomte, orgue. Izabella Wnorowska, soprano ; Boris Mychajliszyn, ténor ; Rudi Fernandez-Cardenas, baryton. 20h45. Chapelle des Arts, Versailles • 78. Tél. : 01 39 24 88 88. 5 jeudi Quatuor de saxophones Ellipsos Un concert flamboyant, audacieux et plein de générosité ! 12h30. Théâtre La Piscine, Antony • 92. 18 €. Tél. : 01 41 87 20 84. Hotteterre, Lully, Jacquet de la Guerre Les Pages & les Chantres. Dir. : Olivier Schneebeli. Etudiants du Conservatoire de Boulogne. Etudiant du CNSMDP, orgue. 17h30. Chapelle royale, Versailles • 78. Entrée libre. Tél. : 01 39 20 78 10. 24 cadences février 2015 D’Adamo, La Haine de la musique Ensemble TM+. Christian Gangneron, mise en scène. D’après un essai de Pascal Quignard. 20h30. Maison de la musique, Nanterre • 92. 5-23,5 €. Tél. : 39 92. Ensemble Orchestral des Hauts-de-Seine Dir. : Laurent Brack. Mozart, Concerto pour clarinette, Ode funèbre et Maçonnique, Requiem. 20h45. Espace Carpeaux, Courbevoie • 92. 16-21 €. Tél. : 01 47 68 51 50. 6 vendredi Piano Campus Concours international de piano. Eliminatoires. 9h30. CRR de Cergy-Pontoise • 95. Entrée libre. Tél. : 01 34 35 18 53. Piano Campus Concours international de piano. Eliminatoires. 15h00. CRR de Cergy-Pontoise • 95. Entrée libre. Tél. : 01 34 35 18 53. Boismortier, Don Quichotte chez la Duchesse Chœur & Orchestre Le Concert Spirituel. Dir. : Hervé Niquet. Shirley et Dino, mise en scène. Avec François Nicolas Geslot, Chantal Santon Jeffery, Marc Labonnette. 20h00. Opéra Royal, Versailles • 78. 35-140 €. Tél. : 01 30 83 78 89. Adrien Frasse-Sombet, violoncelle Katia Nemirovic, piano. Carte blanche aux nouveaux talents. 20h30. Salle Ravel, Levallois • 92. 10-15 €. Tél. : 01 47 15 76 76. Maudite soit la guerre Film d’Alfred Machin avec une musique d’Olga Neuwirth. Ensemble 2e2m. Dir. : Pierre Roullier. 20h30. Centre Messiaen, Champigny/Marne • 94. 4-14 €. Tél. : 01 47 06 17 76. 7 samedi Boismortier, Don Quichotte chez la Duchesse Voir au 6 février. 20h00. Opéra Royal, Versailles • 78. Dupin, La première où je suis née Orchestre National d’Île-de-France. Dir. : Marc-Olivier Dupin. Donatienne Michel-Dansac, soprano. 20h30. Ferme, Bailly-Romainvilliers • 77. 15-20 €. Tél. : 01 64 63 71 41. Le classique selon Zygel Jean-François Zygel & Bruno Fontaine improvisent au piano sur les grands classiques : Beethoven, Mozart, Bach, Chopin, Schubert… 20h30. CEC, Yerres • 91. 7-25 €. Tél. : 01 69 02 34 35. Rossini, L’Occasione fa il Ladro Voir au 6 février. 20h30. Espace Culturel Robert, Mennecy • 91. 8 dimanche Octuor de violoncelles O’Celli Bach, Strauss, Williams, Villa-Lobos. 10h30. Vieille église, Puteaux • 92. Entrée libre. Tél. : 01 46 92 94 77. Opéramania Orchestre, solistes & ballet de l’Opéra Ballet de Moscou. 15h00. Théâtre de Longjumeau • 91. 27-38 €. Tél. : 01 60 13 13 13. Verrières, Mimi Ensemble Court-Circuit. Dir. : Jean Deroyer. Guillaume Vincent, mise en scène. Avec Pauline Courtin, Judith Fa, Christophe Gay, Camelia Jordana… 15h00. Théâtre Luxembourg, Meaux • 77. 22-32,6 €. Tél. : 01 83 69 04 44. Boismortier, Don Quichotte chez la Duchesse Voir au 6 février. 16h00. Opéra Royal, Versailles • 78. Schubert, Octuor, Quintette La Truite Musiciens placés sous la direction d’Olivier Kaspar. 20h30. Théâtre, St-Maur-des-Fossés • 94. 4-17 €. Tél. : 01 48 89 99 10. Piano Campus Concours international de piano. Finale. 16h00. L’apostrophe, Pontoise • 95. 10-13 €. Tél. : 01 34 20 14 14. Vivaldi, Piazzolla, Les Saisons Dir. : Marianne Piketty. Cécile Jacquemont, mise en scène. Avec Irène Jacob, narration ; Marianne Piketty, violon ; Laurent Corvaisier, peinture. 20h45. Conservatoire, Puteaux • 92. 15-25 €. Tél. : 01 46 92 94 77. Ensemble Pégase Mozart, Beethoven, Schubert. 17h00. Église Saint-Germain, Orly • 94. Tél. : 01 48 52 40 85. Rossini, L’Occasione fa il Ladro Orchestre National d’Île-de-France. Dir. : Enrique Mazzola. Nicolas Briançon, mise en scène. Avec Anaïs Mahikian, Marie Cubaynes, Mark van Arsdale, Yuriy Tsiple, Dimitri Pkhaladze. 21h00. Théâtre Jean-Vilar, Vitry/Seine • 94. 15-23,5 €. Tél. : 01 55 53 10 60. Rossini, L’Occasione fa il Ladro Voir au 6 février. 17h00. Salle G. Philipe, Bonneuil/Marne • 94. Viva Espana Jeanne-Marie Savourat, flûte ; Florian Wallez, alto ; Jean-Louis Serre, baryton ; Claudio Chaiquin, piano… Ravel, Turina, Ibert. 18h00. Salle Ravel, Levallois • 92. 8-12 €. Tél. : 01 47 15 76 76. 10 mardi Gounod, Faust Ensemble Chorus 14, Ensemble orchestral OpEra 12, Dir. : Dominique Sourisse. Emilie Rault, mise en scène. 20h00. Théâtre des 2 Rives, Charenton • 94. 26-36 €. Rés. : Fnac, sur place le soir. Dvorák, Messe, Te Deum, Psaume 149 Chœur régional Vittoria d’Île-deFrance. Dir. : Michel Piquemal. Mathias Lecomte, orgue. Izabella Wnorowska, soprano ; Boris Mychajliszyn, ténor ; Rudi Fernandez-Cardenas, baryton. 20h30. Église St-Clodoald, Saint-Cloud • 92. Tél. : 01 46 02 74 44. Rossini, L’Occasione fa il Ladro Voir au 6 février. 20h45. Espace Daudet, Coignières • 78. Quatuor Les Dissonances Janacek, Quatuors n°1 & 2 ; Kodaly, Duo pour violon et violoncelle. 21h00. L’Onde, Vélizy-Villacoublay • 78. 21-29 €. Tél. : 01 78 74 38 60. 11 mercredi Schubert, Haydn, Beethoven Orchestre symphonique du Conservatoire de Saint-Maur. Dir. : Olivier Kaspar. Marc Geujon, trompette. 20h30. Théâtre, St-Maur-des-Fossés • 94. 4-15 €. Tél. : 01 48 89 99 10. Nemanja Radulovic, violon Les Trilles du diable. Laure FavreKahn, piano. Kreisler, Mozart, Paganini, Beriot, Franck. 20h45. Le Sel, Sèvres • 92. 18-33 €. Tél. : 01 41 14 32 34. 12 jeudi Boni, Bouzignac, Campra, Motets Les Pages & les Chantres. Dir. : Olivier Schneebeli. Maîtrise du Conservatoire de Toulouse. Etudiant du CNSMDP, orgue. 17h30. Chapelle royale, Versailles • 78. Entrée libre. Tél. : 01 39 20 78 10. Gounod, Faust Voir au 10 février. 20h00. Théâtre des 2 Rives, Charenton • 94. Astor Piazzolla/Tango Nuevo AlmaViva Ensemble. Sandra Rumolino, chant ; Monica Taragano, flûte ; Johanne Mathaly, violoncelle ; René Lagos Diaz, guitare ; Ezequiel Spucches, piano. 20h30. Scène Watteau, Nogent/Marne • 94. 9-20 €. Tél. : 01 48 72 94 94. Barber, Pärt, Mahler, Beethoven Orchestre de chambre Nouvelle Europe. Dir. : Nicolas Krauze. Avec le lauréat du concours Long-Thibaud 2014. 20h30. Théâtre des Sablons, Neuilly • 92. 8-16 €. Tél. : 01 55 62 60 35. Prima La Musica ! Anna Fedorova, piano. Brahms, Liszt, Chopin. 20h30. Auditorium, Vincennes • 94. 14-36 €. Tél. : 01 43 98 68 33. île-de-france Rossini, L’Occasione fa il Ladro Voir au 6 février. 20h30. Théâtre Malraux, Gagny • 93. Offenbach, La Grande-Duchesse Compagnie Les Brigands. Dir. : Christophe Grapperon. Philippe Béziat, mise en scène. 20h45. Théâtre du Vésinet • 78. 13-31 €. Tél. : 01 30 15 66 00. Quiz Musical petits champions Orchestre de chambre de Paris. Dir. : David Dewaste. Antoine Pecqueur, animation. Extraits de Stravinski, Tchaïkovski, Bizet, Rameau… 20h45. Conservatoire, Puteaux • 92. 10-12 €. Tél. : 01 46 92 94 77. 13 vendredi Donizetti, Don Pasquale Orchestre de l’Opéra de Massy, Chœur en Scène. Dir. : Dominique Rouits. Andrea Cigni, mise en scène. Avec Simone del Savio, Alex Martini, Serguei Romanovski, Anna Sohn… 20h00. Opéra, Massy • 91. 57-82 €. Tél. : 01 60 13 13 13. Maudite soit la guerre Voir au 6 février. 20h30. Conservatoire, Cergy-Pontoise • 95. Messiaen, Quatuor pour la fin du temps Dir. : Bernard Le Monnier. Textes de Cécile Sauvage, Bernard Grasset. 20h30. Ferme de Bel Ebat, Guyancourt • 78. 6-12 €. Tél. : 01 30 48 33 44 . 14 samedi Gounod, Faust Voir au 10 février. 16h00. Théâtre des 2 Rives, Charenton-LePont • 94. Schubert, Bruch, Fauré Marie-Emeline Charpentier, alto ; Delphine Latil, harpe. 16h00. Théâtre des Sablons, Neuilly • 92. 3-5 €. Tél. : 01 55 62 60 35. Thomas Leleu sextet Musiques françaises, sud-américaines, musiques de film. 20h30. Ferme des Arts, Vert-St-Denis • 77. 5-9 €. Tél. : 01 64 19 38 23. 15 dimanche Donizetti, Don Pasquale Voir au 13 février. 16h00. Opéra, Massy • 91. [ Mars ] 3 mardi Hildegarde Fesneau, violon Ravel, Schubert, Kaufmann, Brahms. Serge Kaufmann, présentation. 20h30. Grande Scène, Le Chesnay • 78. 2-5 €. Tél. : 08 92 68 36 22. 4 mercredi Schubert, Mozart Orchestre de chambre Nouvelle Europe. Dir. : Nicolas Krauze. Adrien Boisseau, alto ; Johannes Grosso, hautbois. 20h30. Théâtre des Sablons, Neuilly • 92. 8-16 €. Tél. : 01 55 62 60 35. 5 jeudi Charpentier, In obitum augustissimae, De profundis Les Pages & les Chantres. Dir. : Olivier Schneebeli. Etudiants au Conservatoire de la Vallée de Chevreuse. Etudiant du CNSMDP, orgue. 17h30. Chapelle royale, Versailles • 78. Entrée libre. Tél. : 01 39 20 78 10. 6 vendredi Emmanuel Pahud, flûte Kammerorchester Basel. Dir. : Giovanni Antonini. Cherubini, Devienne, Mozart, Gluck, Haydn. 20h00. Opéra Royal, Versailles • 78. 25-130 €. Tél. : 01 30 83 78 89. Gluck, Iphigénie en Tauride Le Jeune Chœur de Paris. Dir. : Geoffroy Jourdain. Jacques Osinski, mise en scène. Avec les Solistes de l’Atelier Lyrique de l’Opéra de Paris. 20h30. Théâtre, St-Quentin-en-Yvelines • 78. 21-28 €. Tél. : 01 30 96 99 00. Quatuor Béla Bartók, Beethoven, Dutilleux. 20h30. Scène Watteau, Nogent/Marne • 94. 9-20 €. Tél. : 01 48 72 94 94. 7 samedi Gluck, Iphigénie en Tauride Voir au 6 mars. 20h30. Théâtre, St-Quentin-en-Yvelines • 78. Tristan Pfaff, piano Orchestre de l’Opéra de Massy. Dir. : Constantin Rouits. Grieg, Concerto pour piano ; Tchaïkovski, Symphonie n°1 « Rêves d’hiver ». 16h00. Opéra, Massy • 91. 16-26,5 €. Tél. : 01 60 13 13 13. De Mozart à Kreisler Hildegarde Fesneau, violon ; Guillaume Vincent, piano. 17h00. Théâtre des Sablons, Neuilly • 92. 3-5 €. Tél. : 01 55 62 60 35. Tristan Pfaff, piano Voir au 8 mars à 16h. 19h00. Opéra, Massy • 91. 10 mardi Concert-Conférence Schubert/ Bethoven L’Octuor de France. Edmond Lemaître, conférencier. 19h00. Opéra de Massy • 91. Entrée libre. Tél. : 01 69 53 62 26. 12 jeudi Brahms, Clara & Robert Schumann France Devillers, violon ; Emmanuelle Locastro, violoncelle ; Dominique Ciot, piano. 12h30. Théâtre La Piscine, Antony • 92. 18 €. Tél. : 01 41 87 20 84. Collasse, Charpentier Les Pages & les Chantres. Dir. : Olivier Schneebeli. Etudiants au Conservatoire du viie arrondissement de Paris. Etudiant du CNSMDP, orgue. 17h30. Chapelle royale, Versailles • 78. Entrée libre. Tél. : 01 39 20 78 10. 13 vendredi Bizet, Carmen Voir au 12 mars. 20h00. Salle Ravel, Levallois • 92. Jean-Guilhen Queyras, violoncelle Bach, Kodaly. 20h30. Espace Vasarely, Antony • 92. 12-22 €. Tél. : 01 41 87 20 84. Kurtag, Bruch, Schumann Véronique Fèvre, clarinette ; Vinciane Béranger, alto ; Christine Fonlupt, piano. 20h30. Théâtre, St-Maur-des-Fossés • 94. 4-17 €. Tél. : 01 48 89 99 10. Voyage de l’écoute Ensemble TM+. Voyage à partir du romantisme musical. 20h30. Maison de la musique, Nanterre • 92. 5-23,5 €. Tél. : 39 92. Anastasya Terenkova, piano Scarlatti, Bach, Chopin, Liszt, Moussorgski. 20h45. Théâtre Dumas, St-Germain-en-Laye • 78. 12-25 €. Tél. : 01 30 87 07 07. 14 samedi Bach et l’Italie Ensemble Le Banquet céleste. Contreténor et Dir. : Damien Guillon. Camille Poul, soprano. Pergolesi, Vivaldi, Bach. 20h00. Opéra, Massy • 91. 16-26,5 €. Tél. : 01 60 13 13 13. Michaël Levinas, piano Debussy, Schumann, Beethoven. 20h30. Ecam, Le Kremlin-Bicêtre • 94. 9-20 €. Tél. : 01 49 60 69 42. Bizet, Carmen Jeune Orchestre Symphonique Maurice Ravel. Diane Clément, mise en scène. Dir. : Vincent Renaud. Jeunes solistes, Chœur d’Enfants d’Île-de-France. 20h00. Salle Ravel, Levallois • 92. 5 €. Tél. : 01 47 15 76 76. Nomos raconte Jean-Pierre Drouet, composition et orchestration. Abdul Alafrez, magie et conception. 20h30. Théâtre, Fontainebleau • 77. Tél. : 01 64 22 26 91. Rossini, Le Barbier de Séville Orchestre Bel’Arte. Dir. : Richard Boudarham. Bernard Jourdain, mise en scène. 20h30. Théâtre, Poissy • 78. 10-28 €. Tél. : 01 39 22 55 92. 8 dimanche Gluck, Iphigénie en Tauride Voir au 6 mars. 16h00. Théâtre, St-Quentin-en-Yvelines • 78. février 2015 cadences 25 disques Jean-Sébastien Bach (1685-1750) Imagine Jean Rondeau (clavecin) 1 CD Erato À seulement 22 ans, Jean Rondeau endosse la lourde responsabilité de remettre le clavecin à la mode. Dans la lignée d’un Scott Ross, le jeune homme à l’allure décalée est d’abord un musicien exigeant et bardé de prix. Au programme de ce premier disque consacré à Bach, des transcriptions de pièces pour flûte, luth ou violon et en pièce maîtresse le célèbre Concerto italien. Le choix des œuvres est efficace et la sensibilité de Rondeau fait mouche : le clavecin a un avenir radieux. AB Héroïques Airs d'opéra français de Rossini, Berlioz, Verdi, Gounod, Massenet... Bryan Hymel (ténor), Prague Philharmonia, Emmanuel Vuillaume (direction) 1 CD Warner L'américain Bryan Hymel s'est imposé comme la dernière sensation dans le cercle fort restreint des ténors héroïques. Héroïques, c'est justement le titre de son premier disque récital. Dans ce programme français, vocalement fort ambitieux (citons simplement Faust et Enée chez Berlioz), Hymel fait étalage de qualités fort estimables, en particulier une diction française digne d'éloge, une élégance superbe et une vaillance que n'entache pas un aigu parfois un brin fragile. On assistera avec intérêt au développement de ce chanteur. YT Ernest Chausson (1855-1899) La Chanson perpétuelle Lekeu, Fauré, wolf, Koechlin… Marie-Nicole Lemieux (contralto), Quatuor Psophos, Roger Vignoles (piano) 1 CD Naïve Autour de la Chanson perpétuelle, la contralto québécoise nous convie à un véritable tour d'Europe de la mélodie durant la dernière décennie du xixe siècle. Dignement entourée par « l'expert » Roger Vignoles et les jeunes étoiles du Quatuor Psophos, « la » Lemieux déploie tout ce qu'on admire en elle : moyens vocaux exceptionnels qui lui permettent mille couleurs, amour proverbial des mots et, en conséquence, art fulgurant de la miniature. Et, surtout, il y a cette générosité, cette intensité qui emportent (sa Chanson perpétuelle nous laisse la gorge nouée), avec un sens de la ligne qui jamais ne faiblit. 26 cadences février 2015 YT pratique Cadences Maurice Ravel (1875-1937) ISSN 1760 - 9364 - édité par les Concerts Parisiens SARL au capital de 10 000 euros Gaspard de la nuit, 3 Fragments de Daphnis et Chloé, Jeux d’Eau... Vincent Larderet (piano) 21, rue Bergère 75009 Paris Tél. 01 48 24 40 63 - Fax 01 48 24 16 29 1 CD ARS Ravel a su transposer au piano la ri- Siret 44156960500013 chesse d’expression et les irisations Directeur de la publication : Philippe Maillard • Publicité : Claire Vachon, tél. 01 48 24 40 63, cvachon@cadences.fr • Rédacteur en chef : Yutha Tep, ytep@cadences.fr • Chef de rubrique : Laurent Vilarem • Ont participé à ce numéro : Michel Fleury, Michel Le Naour, Mehdi Mahdavi, Albina Belabiod • Conception graphique : Fujiyama, tél. 01 42 01 00 73 • Diffusion : Sophie Borgès sborges@ cadences.fr • Impression : RPN. Livry-Gargan • Tirage : 50 000 exemplaires • Abonnement : 10 nos 40 € sonores de l’orchestre. La virtuosité ne suffit pas à faire prendre corps à ses sortilèges sonores, ils exigent une subtilité de timbres, un instinct raffiné et une intuition poétique qui ne sont pas donnés à tous. À ces qualités Vincent Larderet joint une sûreté, une force tranquille et une clarté qui permettent de savourer à loisir la richesse du détail, essentielle mais si souvent sacrifiée. Son approche olympienne possède le recul des vrais VOUS SOUHAITEZ ANNONCER UN CONCERT « grands », et le classe d’emblée parmi les meilleurs ravéliens des 40 dernières années. MF dans le calendrier de Cadences Francis Poulenc (1899-1963) 65 euros TTC Dialogues des carmélites Philharmonia Orchestra. Jérémie Rhorer (direction). Olivier Py (mise en scène). Avec Patricia Petibon, Sandrine Piau, Véronique Gens... Envoyez votre annonce de concert avec votre règlement libellé à l’ordre de Concerts Parisiens avant le 15 du mois précédent la parution à : CADENCES 21, rue Bergère - 75009 Paris 1 DVD Erato Cette captation télévisée est une authentique réussite. On oserait dire que la réalisation de François-René Martin sublime la mise Mélomanes, passionnés de musique classique, baroque et lyrique. Pour tout connaître de l’actualité des concerts à Paris et en Île-de-France autant d'épopées intérieures. Distribution vocale exceptionnelle, orchestre en apesanteur, ne cherchez plus : c'est la version définitive du chef-d'œuvre de Poulenc. LV L’ a c tuaL es ité D Alberto Ginastera (1916-1983) Œuvres de Ginastera, Fariñas, Urgell Reyes Gabriel Urgell Reyes (piano) conc eRts péRa e L’ o ] et D aVRiL 2014 n° 273 [ Dossier ras Les opé sini de Ros XX siècle e Gabriel Dupont Voix Kimy McL aren Piano Josephg Moo Abonnez-vous à Cadences © GABO-DG Rolando ón VillazTén or 1 CD Artalinna Loin des sentiers battus, le pianiste Weber Théâtre des Champs-Elysées, éclatent ici d'expressivité, comme Bon d’abonnement L’ A C tuAL 278Cadences .indd 1 ité D ES CoNC ERtS Et D E L’ o P [ N° 278 NoVEMB Dossier éRA RE 2014 voix Julie Fuchs Piano Marc-An Hamelin dré Contempor ain Peter Eötvös Chaque mois, le cale ndrier complet des Bartoli conc erts mezzo à Paris 22/10/14 18:37 Je m’abonne à Cadences (1 an-10 numéros) au prix de 40 € Gabriel Urgell Reyes (né en 1976 et Nom : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . originaire de La Havane) propose un prénom : .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . florilège de pages originales. Sa tech- Adresse : .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . nique foudroyante, sa sensibilité à fleur de peau et un sens inné de la couleur rendent de manière flamboyante le lyrisme, les feulements et les fracas syncopés de l’Argentin Alberto Ginastera (1916-1983) dont la Sonate n°1, les .................................................................................. .................................................................................. .................................................................................. trois Danzas argentinas et la Suite de danzas criollas répondent . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . à deux pièces contrastées du Cubain Carlos Fariñas (1934-2002). .................................................................................. Cerise sur le gâteau, le soliste place la nostalgie au cœur de l’une Tél. : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . de ses compositions présentée sur ce CD très réussi et aux fra- Courriel : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . grances envoûtantes. MLN ] Gershw in, An Americ in Paris an Cecilia © Decca-Uli en scène d'Olivier Py, tant les visages, lointains sur la scène du Ci-joint mon chèque de 40 € libellé à l’ordre de Concerts Parisiens - 21, rue Bergère - 75009 Paris février 2015 cadences 27 mémo preparez vos concerts Disques, livres, sites internet, émissions de radio, retransmissions visuelles… les pistes qui vous permettent de mieux comprendre les artistes et compositeurs que vous allez écouter au cours du mois de février. Patricia Petibon Le Petit Prince Fabien Gabel du 22 au 27 février du 9 au 12 février le 14 février Opéra Comique Lire La pièce de Joël Pommerat qui inspire l'opéra de Boesmans. 1 Livre Actes Sud-Papiers, 12 € Théâtre du Châtelet lire Le conte de Saint-Exupéry avec les dessins originaux de l'auteur. 1 livre Gallimard, 6,60 € Visiter Regarder La drolatique interprétation de Chochotte de Satie de Patricia Petibon accompagnée de son mentor Olivier Py. Sur le moteur de recherche, taper Chochotte + Petibon écouter Le précédent opéra de Philippe Boesmans, Yvonne, princesse de Bourgogne, d'après la pièce de Gombrowicz. 2 CD Cypres, à télécharger sur Qobuz, 9,99 € 28 cadences février 2015 Philharmonie éCOUTER Le reportage de Stéphane Grant sur la vie musicale à Québec. En podcast sur France Musique, Emission L'air des lieux éCOUTER Le Parc du Petit Prince en Alsace, un étonnant parc d'attractions entièrement consacré aux aventures du héros de Saint-Exupéry ! Situé à Ungersheim dans le BasRhin, tickets entre 16 et 22 € éCOUTER La rare suite Symphonique de Pelléas et Mélisande, par un Claudio Abbado en majesté. 1 CD Deutsche Grammophon à télécharger sur Qobuz, 12,99 € lire La Métamorphose de Kafka mise en musique par Levinas, le pendant (très noir) du Petit Prince. 1 CD Æon, 19 € Les vocalises de la passion, une brillante "psychanalyse" de l'opéra par Marie-France Castérède. 1 livre Armand Colin, 31 € à la Fnac .fr .. .. ... l‘actualité des concerts classiques et de l‘opéra ues q s i d des er n g a àg . ces a l p des rts e c n de co éduit if r à tar les articles du magazine le calendrier complet des concerts à Paris et en Île-de-France les conseils de la rédaction les anciens numéros www.cadences.fr février 2015 cadences 3