La reutrée Parlementaire n`est pas fléiiiiïent fixée

Transcription

Orcgaiie
Régiona 1
cle Redressement National, Je Défense Reli pieuse et Je Pi
>ociai
ABONNËMËN'iS
, 3 mois .i mois 1 an
France et Colonies 22 t. 43 t. 82 t.
Etranger ..
35 t. 70 f. 140f.
N° 12.623
ANNÉE
36 f
DIRECTION : 25, Rue Roquelaine, TOULOUSE -Téléphone : 2-1 2, Chèque Postal ; 4.936
Conseil des Ministres
Contribuables et le Parlemen
Les
Invention Anglaise
four
le
Jour
• MINOUS » DE POCKE
Depuis quelque temps, une active profonde est faite pour lancer le chat, compagnon d'allées et venues des jolies fera""s. Elles commencent à en promener
œmme elles' promenèrent des pékinois ou
des boules.
Nid doute que les chats se tiendront
« bien au théâtre comme en promenade,
kur s W.és . ils prendront sur l'épaule de
maîtresse
des poses harmonieuses.
r
^ Petite taille les fera admettre sans
dans les autobus et on trouvera,
îefren sûrs, pour les costumer, de pe«s paletots délicats.
vant la guerre, un Australien imagina
S nCUSemCnt
!»ur d
de lancer le kangourou
mes
vant
' ' e kangourou, réticule viaurail PR£IÉ SA
der leTaccessoire
P° CHE P° UR g ar se ta'i
s féminins, ainsi que cela
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Parm leS élégantes de
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les petites sarigues
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'emp^és. U fait trop
qu e d * "*ris. On ne pouvait acclimater
vrtuils , " gourcu s gros comme des cheraie n j. „„
. lcs poches ventrales auVir de cabas L cxc
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«s en tout
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^'«"et d*"'tcute
' minou vi vant, de toutes
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s nuances. On aura tou-
0Urce
* e| *«4»« et ce de !e faire leindic com 5ei'a une autre élégan**
u„
Henry de FORGE.
LA REPRISE
DES TRAVAUX PARLEMENTAIRES
CLAUDINES »
sse du Café de France, à
Sfe?iV.eu d un groupe Ûe conun orateur mousta
Î5K
î ,Uî lën* o 6 voix rocailleuse avec
ônitoû , oy appelait l'exacerbante
„>t M p , de son accent.
Le président du conseil s'est entretenu avec le président de la Chambre
sur l'état des travaux parlementaires.
M. F. Bouisson a informé M, Raymond Poincaré de son intention de
proposer à la conférence des présidents
Uard Barthe dé uié Ses
et à. la ratification de la . Chambre de
'.Ns ont a
? M. CïGOURDAH
consacrer
les iournées des mardis, jeu«« visages réjouis et des
V /eplètes r P
viticul- de l'Observatoire de^ Paris, qui vient dis et vendredis aux séances publinu »ement impression- d 'être nommé président de la Confé- ques, ainsi que la matinée du mer*LPiu' f«£
l quett '
C>e. '
e S. F. I. O. du parle- rence internationale des poids et me- credi, les lundis, samedis et l'aprèsmidi du mercredi élant réservés aux
r Ce (jç
r
sures qui se tient actuellement à Sè- travaux des commissions.
Le président du conseil s'est trouvé
vres.
wssible gageure d'avoir P aron plein accord avec M. ¥. Bouisson
sur cette méthode de travail. 11 lui a
indiqué son désir de convoquer le Parlement dès qu'un certain nombre de
e r
rapports, permettant de poursuivre la
eto\m à l'Heiix*© noi'aialo
discussion du budget, seront déposés
et distribués.
M F. Bouisson a eu, d'autre part,
une conversation avec M. Malvy sur
le même sujet.
Le président de la commission des
finances lui a fait part de sa ferme
'\
volonté de hâter les travaux de la commission.
EST-CE VRAI?
V^t>
•T.
RETARD==
COMMENT
ELLES FURENT DÉCOUVERTES
UNE TERRIBLE CASTASTROPHE
ÉVITÉE
Paris, 30 septembre.
Un,e grave découverte, snr laquelle
on à gardé jusqu'ici un silence absolu,
a été laite dimanche dernier dans une
ruelle déserte, située derrière le vieux
cimetière d-> Charonne. Trois cents cartouches de cheddite, dont chacune pouvait provoquer une terrible déflagration, ont été trouvées abandonnées,
sans aucun doute possible, par des
anarchistes qui redoutaient une perquisition
Voici comment cette trouvaille a été
faite dimanche :
Mme Joisot, concierge d'une fabrique
de couronnes mortuaires, dont une des
portes denne sur la rue du Chemin-duParc, s'en allait par cette issue au
marché de la rue des Pyrénées, Elle
remarquait au pied d'un tas de moellons, un paquet duquel dépassait une
mèche longue d'environ 30 centimètres
Sans attacher d'importance à cette
découverte. Mme Joisot passa son chemin.
•Ce n'est rmj quand elle revint, une
"eure et demie plus tard, qu'elle apprit
l'incident oui avait failli causer une
véritable catastrophe dan s le quartier
de Charonne
En effet quelques minu1e s après son
pas-sage deux gamins avaient traîné le
mystérieux paquet jusqu'à l'angle de
la nie Stendhai Un frroupe d'enfants
se joignit à eux et les imprudents commencèrent à jeuer avec les 'tubes 'trouvés dans le paquet. Il s n'eurent pas le
temps, heureusement, d'ouvrir un second paquet placé à côté du premier.
VJ3
mm
PENDULES
D'UNE HEURE.
Le journal « La Volonté » annonce
qu« M. Clemenceau aurait annoncé so,£Ï
intention de rentrer dans la vie poïftique en se présentant aux prochaines
élections législatives.
VIE
PARISIENNE
r un Tramway ae la Liane 5..
Quand h vous disais qu'il faudrait
fondci- le jou.nal de Paris ville de
province, do Paris considéré comme
l'une des grandes cités françaises,
— ayant son histoire, sa vie et ses
mœurs à soi, — et non i lus comme
la capitale unique, énorme, cosmopolite, ventriculaire, faite des ambitions démesurées d'une multitude
ambiguë et anonyme...
Un de nos confrères raconte qu'il
y a quelques jours, dans le tramway
Trocadéro-La Villeite...
Mais ici je l'arrête déjà. Nous n'avons pas — ou plutôt nous n'avons
plus — de tramway Trocadéro-La
Villette. La ligne 5 a lurté d une
section de la ligna 7, supprimée à la
naissance de la ligne 30. Pardon de
ce charabia. Je traduis : c'est maintenant de la place de la Nation que
part la ligne qui ahmitit — passés
l'Etoile, l'Arc-de-Triomphe, la Tombe du Soldat inconnu — à cette venteuse place du Trocadéro, que ferme
au sud un décor d'exposition universelle, tandis que la borde, à l'ouest,
le plus ravissant cimetière que je
connaisse, petit et champêtre, bien
que fortifié, illustré par la tombe de
Marie Bakirschef, cette jeune fille si
vingtième siècle dont toute l'erreur
fut de vivre et de mourir au dixneuvième.
Parcours considérable, que jalonnent des quartiers aussi ondoyants
et divers que l'animal de Montaigne ;
donnant à l'observateur le plus superficiel l'idée de l'extravagante et
continuelle diversité de Paris, où il
n'y a pas un quartier « riche » qui
n'ait sa verrue, pas un coin misérable où ne pousse quelque splendeur
imprévue...
Point de départ : la place de la
Nation,
limite Est du Paris de
M. Thiers, l'ancienne « barrière du
Trône », d'où Philippe-Auguste (dit
la chanson)...
d'hui : bolcheviste), le Grand £>oïr ;
et notre plaisir ne cessait d'être trouble par l'inquiétude d'avoir à rejoindre ensuite, de cette extrémité du
Paris connu, la gare Montparnasse
et le Gros-Caillou !...
Parenthèse su parenthèse. Sait-on
pourquoi tant de salies de spectacle,
relativement « auc'ennes », s'ouvrent
sur le trottoir nord de ces boulevards, tandis que les « boîtes » du.
trottoir sud datent de si peu de 'lustres ? C'est qu'il y a peu de tempa
encore, sous les premières années
du Second Empire, tant que les communes suburbaines encloses dans le
Paris-militaire ne furent pas réunies
au Paris-municipal, les impresarii
du ' ottoi" nOrci, ayant pignon sur
la « bani.euo », étaient r. peu près
maîtres de leur spectacle, tandis que
mille réserves, et privilège, empêtraient encore leurs collègues du
trottoir sud, c'est-à-dire parisien.
Ainsi, pour ne pas nuir
à telle
grande salle subventionnée ou dûment autorisée, les petits théâtres
parisiens n'avaient pas droit de mettre en scène à la fois plus de 3
(ou 4) personnages, ou plus de deux
acteurs de tel sexe ; ou bien encore
ne pouvaient jouter, « la comédie »
mais seulement « le vaudeville », à
charge par conséquent d'entremêler
de couplets leur texte parlé. Il faut
savoir ces petites choses pour comprendre telle pièce du temps, pour
avoir la clef de telle invraisemblance
scén que, etc.
TERRIBLE EXPLOSION
Soudain, un camion des étuves municipales, qui remontait la rue Stenjdibai, écrasa un de ces tubes. Une formidable explosion se fit entendre. Le
camion venait de, faire exploser une
cartouche de cheddite. Les enfants s'enfuirent, affolée, tandis que le conducteui du camion arrêtait son véhicule
et se pertaii, au secours d'un passant
renversé .pa.- 1" commotion.
De s agents prévenus arrivèrent en
hâte sur les lieux et inventorièrent le
mvstérieux paquet. Il contenait.310 cartouche* de cheddite, pesant ensemble
plus de 10 kilos. Les caltouches étaient
enveloppées, par paquets de dix, dans
de vieux, journaux italiens.
.... N'pnt. destin fatal
.Sur 1er ordres d-j M. Soullé, commis- j •Descendr." 4e. son T'isdestaî,.eaite d'arrondissement, la rue fut barCar il est en pierre, en pierre, en pierre
rée en attendant l'arrivée des employés
du laboratoire municipal qui vinrent alors que l'envie lui chantait d'aller
un peu plus tard enlever avec précau- faire un tour à la foire au pain
tion les redoutables explosifs.
Ajoutons qu'on a trouvé à proximité d'épi ce : pauvre prince !
du ia^ de moellons une carte postale
Pour lui c'est pas amusant
D'avoir épaté la terre
dont l'adresse avait été déchirée et
Et de se voir à présent
dont le texte contenait quelques mots
En pierre, en pierre, en pierre !
en italien de bous souhaits : elle paraissait avoir été égarée là très récemLa ligne emprunte les boulevards :
ment.
de Charonne, — au bord duquel on a
ANARCHISTES ITALIENS
cultivé la vigne — ; de MénilmonDans quelles conditions ces explo- tant, — avec la face Owest du Pèresifs ont-ils été abandonnés là et par Lachaise, cimetière sinistre que de
qui ?
L'hypothèse la plus plausible est la province on vient, visiter comme une
suivante •
curiosité, mais où n'ont jamais mis'
Dan s la nuit de samedi à dimanche, le pied des milliers de Parisiens — :
une ronde d'agents cycllste s passa rue
de Belleville, — par où passèrent les
du Chemin du Parc de Charonne.
Sans doute, les détenteurs des car- malheureux « otages » de 1871, pour
touches craignirent-ils que cette ronde gagner une rue Haxo, d'où ils ne refût le prélude d'une perquisition en
vinrent pas — ; de la Villette, —
règle.
Sachant que les étrangers suspects dont le nom seul vaut une pinte de
sont actuellement l'objet d'une surv-'il- bon sang frais — ; la place du Comlaûce spéciale, ils s'affolèrent, et se bat, — où nous avons dit que s'éleva
débarrassèrent en hâte de s explosifs.
Des opérations sont em cours oui naguère, pour le malheur de Semnermettent de faire espérer .qu'avant blançay, le gibet de Montfaucon —- ;
peu les détenteurs de ces redoutables et toute la suite de ces étonnants
engins seront retrouvés et arrêtés.
boulevards, autrefois « extérieurs »,
LES CARTOUCHES
d'où ia haute noce a chassé- le crime
M. Scltmitt, chef du service des tra- crapuleux, sans qu'on sache bien si
vaux analytiques du laboratoire mu- elle ne l'a pas fait regretter : boulenicipal, a examiné les cartouches de
vards de Rochechouart et de Clichy
43 grammes chacune
Ces cartouches contenaient un explo- surtout, pleins de « boîtes », de casif très puissant, fabriqué habituelle- barets soi-disant artistiques, de clarment à la dynamit.erie de Cugny, mais tés crues que viennent couper de siqu'on peut se procurer chez certains
entrepreneurs de travaux publics qui nistres coins d'oinbre et de louches
ténèbres. Voici, tranchant sur leur
l'emploient dans les carrières.
vice, l'honnête boulevard des Batignollcs que borde tout un versant de
population probe et laborieuse. Le
théâtre des Batignolles s'y dresse,
Les Grands Raids jadis bâti par le même architecte
que
l'Atelier de Montmartre
(ou,
DES DÉBRIS D'AVION DANS L'OCÉAN plus exactement, au . « bourg d'Orsel ») ; à cette petite scène s'intéressa
Buenos-Ayres, 30 septembre.
Des débris flottants d'aéroplane ont jadis M. Rouché, le même qui devait
été aperçus par le capitaine du vapeur présider plus tard aux destinées de
• Port-de-DunUerque », à environ 165 l'Opéra ;
c'est lui qui le baptisa
mille; au nord du port de Earranquilla,
« Théâtre des Arts » ; nous y sur" Colombie
On croit qu'il s'agit de 'débris de primes, voilà vingt-cinq ans, les dél'avion a Port-Brunsvvick », à bora du- buts de Mlle Véra Sergine d'ans une
quel l'aviateur Bedfern tenta, il y a
quelques semaines, le vol- sans escale pièce qu'on appelait alors tout simde Géorgie au Brésil, et disparut en plement nihiliste (on dirait aujourmer.
civile ai Mis
Londres, 20 septembre.
Le correspondant du « Times» a NewYork écrit que le gouvernement mexicain annonce que dans deux engagements qui ont eu Jieu entre les troupes fédérale^ et les catholiques, dans
l'Etat de Jalisco, 34'de ces derniers ont
été tués et un prêtre exécuté après un
jugement sommaire.
Ces derniers jours sont parvenues à
NOgaleê (Arizona) des nouvelles annonçant que des brigands avaient été
exécutés en masse dan s les Etats de
Nayarit et de Guadalajèra, à la suite
d'attaques do trains
Le boulevard des Batignoles, formant un pont tout neuf au-dessus de
l'ancien tunnel, nous fut une agréable transition. Voici la place Goubaux (où naît l'avenue de Villiers)
et d'où va partir le riche boulevard
de Courcelles ; ce seront ensuite les
Ternes, l'Etoile..
Mais n'allons pas plus outre. C'est
sur le boulevard de Courcelles que
se déroule la scène décrite par notre
confrère. Citons textuellement le confrère (Comœdia) :
i>ans le tramway i Trocadéro-La Tillette », qui longe le paie Monceau, une dame
un peu démodée et paraissant timide demande à une jeune îemiue qui lui tait vis-avis :
— Pourriez-vous me dire quel est ce beau
et grand jardin ?
— C'est le parc Monceau, repond la jeune
ferrrr.e, et elle ajoute en souriant : je vois
que c'est la première lois que vous venez a
Paris ï
— J'habite Paris depuis vingt-cinq ans,...
mais c'est la première fois que je passe les
ponts
N'est-ce pas, qu'elle est jolie, cette
histohe? et tellement plus ..vraisemblable qu'elle ne paraît? Le Parisien,
indigèm et autochtone, n'est pas toujours l'être effaré et trépidant qui
intrigue, en les scandalisant un peu
tout en leur faisant envie, les- bons
amis de nos provinces du Centre et
de l'OueL. : l'espèce calme, quiète et
incurieuse fleurit aussi sur notre
pavé. II n'y a pas longtemps qu'à
Nantes l'aristocratie, campée sur les
cours à l'est de l'Erdre, passe cette
minuscule rivière pour assister aux
obsèques ou au mariage de tel membre du haut commerce, logé place de
la Bourse ou cours Cambronne : je
sais des Parisiens qui sont Nantais
à cet égard. Combien ignorent notre
chère, studieuse et fine rive gauche !
Combien de nos hôtes surtout —
qu'ils viennent de nos provinces ou
d'au-delà des monts ou de l'Océan -confondent Paris avec Montmartre
et l'Odéon avec un personnage de
comédie dénué de toute vie authentique et naturelle 1
Ils n'on* pas tous l'aveu naïf et
joli de la vieille dame do Vaugirard
ou des Invalides contemplant nour
la première fois le Parc-Monceau...
George HAVARD de la MONTAGNE.
P.-S. — Dans notre dernière chronique,
parlant de l'Institution des Sourds-Muets do
Saint-Jean de la Ruelle (Loiret), nous avons
écrit : la maison mf me, et non' pas certes :
la inaifon morne. A ce détail près toutes
nos félicitations aux linotypistes de l'Erprej.s : ils ont l'art de déchiffrer les plus ln. .
dignes écritures....
MAITLAND ET HECENBERGER
DÉCORÉS
Washington, 30 septembre.
Le président Coolidge a décerné, hie
la croix d'aviation
aux
lieutenants I
Maitland et Hegenderger, en reconnaissance des services rendus par eux à la
ctiuse de l'aviation par leur raid sans
escale San-Francisco-Honoluïu.
Le Budget de 1928
La commission des finances sur le
rapport ue M. Vallière a adopté le
budget du ministère de l'Agriculture.
Parmi les modifications apportées fi
guro notamment, une augmentation de
4n millions ,pour l'électt if ication
des
campagnes.
Elle a également adopté sur le rapport de M. Jacquier, u>, budget du m'
nistère do la Justice et sur le rapport
do M. Bcdouce, lo budget des BeauxArts.
Là commission s'est ajournée à' mar
dl prochain.
M. CLEMENCEAU CANDIDAT
5 0lp
MlNu
La
LA
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àParïs 3lB eanauefies
eilie
la loi constitutionnelle permettait à la
Chambre de requérir la mise en liberté
des députés détenus pendant la ses
.
mi
sa clientèle électorae
le prolétaire j sion.
conscient et le gros- proprio organisé. I! j
Le gouvernement estimait qu'il n'était
est vrai que pas un conservateur n'appor- 1 pas en droit de mettre un détenu en
ferait à la défense de la viticulture, une liberté et qu'une commission ne pouvait lui demander ce que la Chambre
plus âpre ténacité.
seule pouvait décider.
Il estimait, d'autre part, conforméDonc, le citoyen Barthe pérore. 11 parle
de droits de circulation excessifs, de ta- ment à la loi constitutionnelle, que
rifs de transports de taxes iniques. Comme l'inviolabilité parlementaire commenun de ses auditeurs lui parle des béné- çait et cessait avec la session du Parlement
fices agricoles et des prétentions du fisc,
En ce qui concerne la démarche de
M. Jonnart, sénateur du Pas-de-Case voix s'enfle et il déclare avec force : M. Malvy, le gouvernement ne peut
« Jamais nous n'accepterons de passer donc que s'en tenir à la réponse qu'il lais, a succombé cet après-midi, à son
domicile, 1.09. boulvard Saint-Germain,
sous leurs fourches clauâinas. »
avait faite à M Margaine.
après quelques jours de maladie.
Né le 2? décembre 185T, a Etéchin
On applaudit et c'est à peine si, sur
LA RENTRÉE DES CHAMBRES
(Pas-de-Calais),
M.
Cnarle.s-Célestindeux ou trois lèvres, un sourire vite renLe gouvernement n'a pas fixé de date Auguste Jonnart fut chef de cabinet du
tré se dessine. Puis ayant ainsi parlé, M.
pour la rentrée des Chambres. Néan- gouverneur général de l'Algérie cle.
Edouard Barthe commanda une tournée
moins il est asse7 vraisemblable qu'en 18S1 à 1885 ; puis chef des services de
générale d'apéritifs bien tassés. — (De l'état des travaux de la commission des l'Algérie -au ministère de
l'intérieur
d'Artagnan).
finances la convocation du Parlement (1885 à 18S9') ; conseiller général du
pourra être fixée autour du 18 octobre. Pas-de-Calais, il fut élu député de ce
dciparteinj.nt en 18S9, puis sénateur en
LES DETTES RUSSES
1914.
Il était inscrit au groupe de l'Union
Le Conseil des ministres s'est occupé
républicaine.
aussi des négociations franco-soviétiM. Jonnart a occupé les hauts postes
ques au sujet des dettes russes
de la politique et de la diplomatie.
La question suivante a été posée à
Ministre pulsieurs fois, gouverneur
M. L Barthou par un journaliste :
de l'Algérie, haut commissaire des
— Les pourparlers se poursuivront-ils puissance^ protectrices de la Grèce en
par l'intermédiaire des ambassades ou
1917, ambassadeur de France, il fut en
entre les ministres des affaires étran- outre président du Conseil d'adminisgères? »
tration du Suez, membre de l'Académie,
M' L. Barthou a refusé de répondre française et.de l'Académie des scienà cette question.
ces morales et 'politiques.
M. Jonnart avait, épousé la fille aînée
LE PROCHAIN CONSEIL
de M. Edouard Aynard.
Le prochain Conseil des ministres se
tiendra le samedi 8 octobre, à l'Elysée,
sous la présidence do M. G. Doumergue.
Autour du Conseil
SAMEDI 1 er OCTOBRE 1927
centi
Les Attentats Anarchistes
La reutrée Parlementaire Une lance
n'est pas
iniierranéenne
fléiiiiïent fixée
la Fraie
ur les Syndicats de rapporter au Parlement, contre leHclesS
>û5 ^ htï nous valent une in- quel . . il faut précisément nous
g
int" buab M volumineuse corres- organiser pour nous défendre.
ui nous oblige a preciLa seule explication plausible
0 a
pond^îtion
à l'égard de ces d'une aberration si curieuse ou
si... intéressée, c'est que M. Billiet,
Si êts - „ n de nos lecteurs nous porté par ses Intérêts EconomiParis. 30 septembre.
r^r&WV
. . (( p on dez un
ques, a tâté naguère du Parlement
fe)
Le conseil des ministres s'esi, réuni
New-York. 30 septembre,
nous nous inscrivons aus- et qu'en ayant été exclu par de plus ce matin, à Rambouillet.
On mande de Londres, au Stw-lork
MM. Albert Sarraut.Queuille et L. Ma- Hen;: '., qae le bruit circule a, Londres
cat
lC
di \"l
s^?
Mais «mis
nous avons
avons de.,a cx- maquignons que lui, il reste dé rin n'assistaient pas au conseil.
qu'une alliam e méditerranéenne serait
C
0Commencée à 10 heures, la délibéra- sur le point de
rfonelure entre qua1fl ce n'est pas le ruie u voré depuis par le désir d'y renpM ue
de fonder des syndicats, trer. Que la caverne parlementaire tion s'est poursuivie jusqu'à midi 45.
tre Etats : la Grande Bretagne, l'Italie,
A
son
issue,
le
communiqué
suivant
et la Grèce.
ja P'esse nnoe l 'idée et soutient le retrouve prochainement cet hôte si a été lu à la presse par M. Louis Bar- l'Espagne
L'entrevue qui devait avoir lieu hier
l*P reSStnt en lui donnant la plus bien fait pour elle, ce n'est pas ce thou :
h Barcelone, entre Sir Austen Chamberlain et le général Primo de Rivera,
*° u,e ?!Ké
L'INTÉRIM DU MINISTÈRE
bliClte possible. Elle ne qui importe, mais bien que . les
et qui est remise a aujourd'hui, devrait
,ar ? e"P«
Mais il est vrai Syndicats de contribuables ne
DE L'INTÉRIEUR
servir à hâter les pourparlers en vue
faire
saurait
^'
En l'absence de M. Albert Sarraut, de bet accord.
pour cette soient pas stérilisés et torpillés par
c
ptons
Ce serait M. Mussolini qui, le preque n0
concours de tous nos ceux qui redoutent à bon droit leur M. Louis Barthou a été chargé d'assu- mier,
aurait lancé cette idée. Elle aurer
l'intérim
du
ministère
de
l'intécause sur
rait été accueillie avec bienveillance
ont fait écho à l'idée, action et qui tentent de prendre rieur,
confrères qul ma
par le général Prime de Rivera et Sir
province,
%Tcomme en province.
des assurances contre eux.
Cnamberlam Fn ce qui concerne TanLES FÊTES DU CENTENAIRE
à Pa ' continuerons dans
ger la Grande-Bretagne qui a un grand
' ns cette
Répétons
donc
ce
que
nous
avons
DE BSRTHELOT
intérêt au statut de cette ville en raiîîous est la bonne, pensonseu déjà l'occasion de dire : les SynLe Conseil a réglé la participation du son de sa position vis-à-vis dé Gibraljroie «F»
tar, serait désireuse do voir se terminer
gouvernement
aux
fêtes
du
centenaire
dicats de contribuables ont l'avancous repart- il nous faut mettre
de Berthélot et il a décidé d'attribuer les' difficultés qui existent enlre l'Estage de grouper les électeurs sui- à la Maison de la Chimie la partie qui pagne et la France en ce qui con, rde le public contre un xon- vant les exigences deUeurs intérêts serait nécessaire du terrain des phares cerne 1 administration de la zone internationale.
-#
&
4n moins bizarre, émanant d'un plutôt que d'après la fantaisie de et balises (Trocadéro).
Mais
\m<> conférence franco-espadU
iL --- par de nomgnole aura lien à Paris cet hiver. Les
personnage connu
H*.
LA SESSION DE LA S. D. N.
leurs opinions. Ils rompent ainsi,
conversations nui y seront tenues non
Lx avatars politiques.
très
heureusement,
les
cadres
des
M.
Briand
a
rendu
compte
des
traseulement décideront du statut de Tanireux
vaux de la dernière session de la cer. mais encore ne manqueront pas
M Ernest Billiet, le fameux ma- partis et écartent les politiciens. S. D. N.
d'exercer leur effet sur l'accord médiWr d'un Comité dit des « Inte- C'est, pourquoi si les politiciens les
terranéen en voie de formation.
na
LA MISSION DE M. STEEQ
Si la conférence échouait il est posEconomiques », sorte de So- combattent, les Syndicats de consible» n ue l'Esnagne ensago de nouvelEST RENOUVELÉE '
àêiè protectrice des politiciens, tribuables n'ont qu'à rendre la pales négociations nui gagneraient alors
Sur la proposition de M. A. Briand, l'Italie et 1 Angleterre
»ouée à l'élevage et à l'engrais des reille aux politiciens.
la missien de M. Steeg. résident géV, B. — Nous laitons au journal
Et sans douie M. Ernest Biliiei néral au Maroc, a été renouvelée pour nrnérieu'n
candidats de son choix (lesquels
la responsabilité de .ces informations
bailleurs, au point de vue des m- n'ose t-il pas, jusqu'ici, combattre une période de six mois.
jérèis des contribuables furent ouvertement les syndicats. Il les
LES NÉGOCIATION" DOUANIÈRES
rarement de ' bons candidats), a trouve seulement inutiles et inopFRANCG-AMÉRICAINES
émis l'idée singulière que les Syn- portuns, puisque le Parlement est
M. Bokanowski, ministre du comdicats de contribuables étaient inu- un peu là I
merce a mis le Conseil au courant de Irî 38 1. GIËis Jniirt
négociations douanières pourtiles, pour la raison — tenez-vous
Eh bien ! nous dirons à M. Bil- l'état des avec
le gouvernement des
bien! — qu'ils étaient déjà réali- liet une bonne chose. Son bizarre suivies
Etats Unis d'Amérique.
sés... au Parlement ! En consé- conseil nous. fournit l'occasion de
LES INCIDENTS DE TOULON
quence il conseille de ne pas cons- formuler noùs-même un vœu :
M.
G. Leygues a renseigné le Conseil
tituer de. syndicat
Nous conseillons donc formelle- sur les incidents de Toulon.
C'est tel quel ! et pour qu'on ment aux Comités d'initiative
Les mesures pour rétablir l'ordre ont
n'en doute point, voici ce que dit j d'écarter avec soin des syndicats été immédiatement prises.
Une enquête est ouverte.
M. Billiet : « On oublie qu'un or- tous les parlementaires, députés
zanisme existe pour cela (défendre ou sénateurs, et tous les candidats
LE CAS DE M. CACHIN
les contribuables) et depuis long- déclarés aux mandats législatifs,
M. Malvy a fait, au nom de la commission des finances, une démarche
temps fondé : le Parlement (sic !)
car.il faut tenir pour certain que auprès du garde des sceaux pour obdont la principale fonction est ou nous ne ferons pas marcher les ] tenir que M. Cachin. détenu à la pn
ÏWHStÇtté de voter le budget, et
ist/ii-do «ta- Sauté,- soit vois. e» : -U8e»é
politiciens si 'nous comm'ënr
j pour assister 'aux séances de la cém
par conséquent de légiférer sur
par nous laisser mener par eux. | mission des finances.
tout ce qui a trait à l'impôt. »'
On se rappelle qu'en juillet M. Bar-'
Le commencement de la délivrance
avait écrit à M. Margaine, présiVoilà certes une découverte que ce sera la juste crainte que nous thou
dent de la sous-commission chargée de
l'examen de la question des pétroles,
nous n 'aurions pas su faire ! On saurons inspirer à ces « élus ».
qui lui avait demandé l'a mise en linous donne le conseil de nous en
Auguste CAVALIER.
berté de M. Cachin, que l'article H de
a
a»
Bureaux de Publicité à PARIS, 13, Boulevard des Italiens
UN CADAVRE
AU LARGE DE TERRE-NEUVE
Selon un message de Harbour-Grâce
iTerrc-Neuve) aux journaux, deux hommes ont rendu compte qu'en traversant
ta baie de -la Conception en canot-automobile, ils ont aperçu un corps d'homme flottant entre deux eaux et portent
sur la tète ce qui semblait être un casque d'aviateur.
Ils essayèrent d'accrocher le cadavre
à l'aide d'une gaffe, pour le tirer à
bord, mais le mauvais temps les empêcha de réussir.
KŒNNECKE VICTIME D'UN ACCIDENT
Nous rappelons r nos Abonnés que
louie deman
de chari;;emen d'adresse
don eue accompa;.-,nee pour Stre salis
faits d une gomme dn . ;ranc en tim
>tr?8 poste et de la bande du journal.
I
Bagdad, 30 septembre.
L'avion piloté par l'aviateur Koénueeke a fait une chute au moment où
il s'apprêtait à quitter l'aérodrome.
L'appareil est endommagé; les aviatcurs sont indemnes.
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
3
LES INONDATIONS EN SUISSE
Voici des fermiers essayant de sauver deux bxufs emportée par les flot»
/
SAMEDI 1» OCTOBRE V3®
L'Amerioan
Conspirations Politiques
Légion
UN DÉJEUNER D'ADIEU
Parte, 30 septembre
Les - Amis de la France ., que préside M. Hejiry Sculié. ont offert un déjeuner d adieu à M. Staffort, le nou
veau commandeur de la Légion américaine
M. Staffort a prononcé un émouvant
discours
témoignant
sa
sympathie
pour l'a Fiance.
M. Henry Soutiê lui a annoncé que
le Comité venait de le nommer président d'honneur des Amis de la France.
Au dessert. M, H. Soulié a rappelé
crue le CcmttA de cette Société avait, la
veille, désigné M. Staffort comme préaident d'honneur à vie de l'Associa
Won.
M. Staffort a alors donné lecture
iôTuin émouvant message d'adieu.
les
fiiOQomisies
L'HYPOCRITE PROGRAMME
PRO- ALLEMAND
DU PARTI ALSACIEN-LORRAIN
•5/0
On complot royaliste n Grèce
Athènes, 30 septembre.
Les journaux rapportent qu'il a été
Strasbourg. 30 septembre.
procédé à l'arrestation de quatre offiLe nouveau parti autonomiste alsa- ciers supérieurs en retraite, dont un
cien lorrain publie le programme de général, do six officiers subalternes,
sa politique, arrêté dimanche dernier dont trois en activité, et du fils du
en assemblée.
général Pangalos, tous inculpés de
En voici, a titre documentaire, les conspiration pangaliste.
points essentiels :
On s'attend à d'autres arrestations,
notamment à celle de Mme Pangalos.
« Le Parti autonomiste se déclare
pour le fédéralisme, qui est pour
Des Comitadjis préparaient
l'union des peuples.
Il constate que les Alsaciens-Lorune série d'Attentats
rains constituent un peuple formé de
deux parties, deux races ayant le droit
.ondres, 30 septembre.
de disposer par modalités de leur exisLe Daily Teleoranh, à qui nous laistence politique.
sons la responsabilité de cette infor« Ce droit sera mieux garanti par mation, publie les détails suivants sur
M. STAFFORT A D0UAUM0NT
l'autonomie, consistant dans la créa- le complot comitadji :
tion de la représentation populaire alVerdun. 30 septembre.
Les dernières informations reçues de
Le nouveau commandeur national de sacienne-lorraine, avec pouvoirs légis- Salonique montrent que le complot
la Légion américaine, M. Staffort, a latif et exécutif
comitadji était plus diabolique et plus
« Le Parli s'élève contre le reproche vaste qu'on ne l'avait tout d'aboru
accompli aujourd'hui un pèlerinage a
Verdun II a été reçu avec sa suile par de séparatisme de l'Etat français, si ce pensé. Il s 'agissait de faire sauter à la
le gouverneur, le général Bordereau et dernier montre sa bonne volonté et sa dynamite le consulat serbe, les bâtiscience politique.
M. Scbleiter député-maire
ments de la zone libre et les autres
« Le but final du Parti autonomiste
Après un déjeuner rapide. H a visite
établissements serbes à Salonique.
Douaumont l'ossuaire de la Tranchée- est la création d'une Alsace-Lorraine
Les comitadjis étaient divisés en trois
faisant partie des Etats-Unis groupes et avaient combiné leurs plans
dies-Baïonnettes,
le cimelière améri- libre,
d'Europe et servant de médiatrice en- de manière que leurs machines infercain de Romagne-rious-Montfaucon.
Au retour à l'hôtel de ville, il a si- tre la France et l'Allemagne.
nales explosent une fois qu'ils auraient
« Les revendications du Parti sont le repassé la frontière en automobile.
gné le Livre d'or et visité la salle des
maintien du particularisme et de la
Décorations
Ils étaient venus de Grèce avec des
M Sehleiter a remis au comman- langue allemande Cette dernière doit passeports fournis par la commission
deur une médaille d'argent, hommage occuper la première place dans l'en- mixte gréco-bulgare pour l'échange des
de Verdun
aux
légionnaires améri- seignement ; le français doit être enpopulations et l'un d'eux, nommé Keseigné à l'école primaire comme lancains.
,
...
bakiff, est un neveu du président de la
M Staffort a remercié avec émotion, gue étrangère
commission bulgare à Salonique.
« Le pays doit être administré conaffirmant que Verdi. n était pour les léD'après le correspondant cle la Morïîionnaires une 1«rre sacrée, à laquelle formément à ses besoins matériels et
Us attachent d'impérissables souvenirs spirituels et à ses conceptions démo- ninn Pou a Athènes, le chef de bande
comitadji, Protgeroff, était venu incocratiques.
a Le Parti demande la réforme de la gnito a Salonique il y a quelques jours
jurisprudence, la révision des arrêts pour étudier la situation et organiser
la terreur
AU VATICAN
prononcés depuis l'armistice, des répaCes attentats étaient destinés fi provorations
morales et matérielles aux
quer
un conflit entre la Grèce' et la
L'ALLOCUTION DU PAPE
fonctionnaires révoqués, les chemins de
Yougoslavie.
fer
rendus
au
peuple
alsacien,
la
créaParis, 30 septembre.
tion d'une Banque d'Etat, l'institution
On lit dans le Malin :
d'une administration postale particuEn recevant avant-hier les légion- lière, les trésors du sol au peuple, qui
naires américains, le Par* a prononcé en dispose à son gré, le désarmement
un discours qui est vivement commen- général, l'institution de la troupe pour
FAITS DIVERS
jté dans la presse a" mande.
l'ordre intérieur (les jeunes Alsaciens
serviront, dans le pays, sous les ordres
Le lokai Anzeioer écrit •
ACCIDENT D'AVIATION
de chefs parlant l'allemand), la réfor« Le texte de l'allocution du Tape, me du régime fiscal, la protection de
Brème, 30 septembre.
s'il est authentique, signifierait qu il e la viticulture alsacienne contre la conAu cours d'un vol d'essai, hier aprèsrenoncé à sa neutralité au détriment currence française (le pays constituera midi, sur l'aérodrome de Brème, l'aviades puissances centrales. »
une zone douanière spéciale), le suf teur Wulf, pilote et constructeur d'un
frage électoral des femmes le main- appareil
nouveau, a fait une chute
Cette appréciation est publiée à la tien des dispositions scolaires jusqu'à
d'une hauteur de cent mètres.
suite d'un extrait de l'allocution ainsi l'établissement de l'autonomie. »
L'aviateur a été tué et l'appareil est
conçu :
détruit.
. Vous êtes venus de la grande Amérique pour nous rappeler d'importants
UNE CHASSE SENSATIONNELLE
événements
historiques,
la
gTande
Bombay, 30 septembre.
guerre et l'aide que la jeune Amérique
200 ouvriers de la Portland Cernent
a apporté
dans un moment
décisif
Company étaient en train de travailler
One
Mutinerie
à
Tou'on
pour le destin de l'Europe et de tout
dans dés carrières, près de Keymone,
le vieux monde. »
quand une panthère apparut.
Les homm.es aussitôt lui donnèrent
L'envoyé spécial du Ke.w-?ork HeraU.
la criasse et réussirent s la cerner.
crut a accompagné les légionnaires au
Toulon, 30 septembre.
Des joueurs de criquet unirent leurs
Vatican,
déclare que
le SouverainLe vice-amiral Thomine. préfet maPontife s'est exprimé
de la manière ritime, a fait adresser, hier soir, à la efforts à ceux des ouvriers.
Lorsnue
la panthère tenta rte s'enfuir
suivante :
presse le communiqué suivant :
du cercla menaçant dont les dimen« Deux choses reviennent à ma mé« Dans l'après-midi, quelques inci- sions di ml nu aient d'instant en instant,
moire : la plus grande guerre de l'his- dents se sont produits à la prison ma- elle fut frannée nar un loueur de critoire et l'intervention d'une grande et ritime U re présentent aucun carac- muet qui lui asséna un coup formidable
jeûna nation qui a aidé la vieille Eu- tère de gravité réelle ; ils se bornent de son battoir sur la tête.
La panthère f ut assommé© sur le
rope, au moment critique.
à des réclamations des détenus, ces
« Vous avez sauvé le peu que 1 on réclamations sent d'ailleurs actuelle- champ.
Quelques instants après une autre
pouvait encore sauver
de ce vieux men examinées par l'autorité supépanthère faisait son apparition.
continent. »
rieurs
Elle réussissait a. Meseer pra veinent
« A la sortie des ouvriers de l'arse- un de ses agresseurs, mais elle devait
Les journaux Italiens, de leur coté.
nal nu côté r¥o Castignau. un groupe ensuite exnier sa férocité en tombant
publient le texte suivant ;
s'est formé qui esi allé chanter P « in- sous le* coups redoublés des outils des
« Nous sommes contents, a-t-il dit, de ternationale » à la porte de la prison. ouvriers.
Ces manifestants ont été dispersés par
IÎTOUS voir ici et de vous saluer.
* Vous êtes arrivés d'Amérique pour la gendarmerie départementale. *
UN ANARCH'STE FAIT LA CRÈVE
eommémorer deux faite importants de
DE LA FAIM
l'histoire moderne : d'abord la grande
Amiens, 30 setpitteWi.btre.
ELLE EST MAÎTRISÉE
i guerre et, ensuite, la participation de
M.. Castron, rédacteur du lorrarW
'3a jeune République
transatlantique
Toulon, 30 septembre.
anarchiste « Germinal ». avait été conà une phase de l'histoire moderne, et
Les incidents
qui se sont produits damné a 1.000 francs d'amende, à la
décisive pour les destinées de la vieille
dans
la
journée
d'hier
dans
la
prison
recru Me de M. le curé de Marseiile-enEurope et du vieux monde.
« C'est avec ces sentiments que Nous de Toulon ont été maîtrisés rapide- Beauvaieis pour diffamation.
ment.
L'amende n'avant ras été nayôe. le
vous saluons et que Nous vous donLa cellule communiste de Touln ayam oniré de Marseille en-Reanvaisis'
connons de tout cœur notre bénédiction.
des détenus, 250 signa la somme nécessaire norrr l'ali« Qu'elle descende sur vous et tous appris cette révolte
communistes se rendirent sur la place mentation du condamné conformément
les vôtres, qu'elle descende sur votre
Saint-Roch, devant la prison et répon h la loi do 1S67 et requit l'incarcération.
pays comme gage de la bénédiction de
M. Castren a été arrêté et écroué è
Dieu, de cette bénédiction qui est don- dirent i ar des acclamations aux chants
née à ceux qui sont présents et à ceux des détenus qui ve naient de se révol la prison d'Amiens, où il fait la grève
ter et qui s© trouvaient dans la prison. de la faim.
qui sont restés chez eux, à tous ceux
La oplice
la gendarmerie durent
qui représentent la jeunesse valeureuLES INONDATIONS AU MEXIQUE
se et généreuse qui était partie pour charger pour dégager la place et des
Mexico. 30 septembre.
donner son sang
ei pour sauver, la arrestations furent opérées.
Des centres pétroliers de Panuco.
vieille Europe. »
dans l'Etat de Vera-Cruz. ont été inondés par la crue du fleuve Panuco et
NOUVELLES MANIFESTATIONS
Les paroles du Pane sont certainel'eemortaion du pétrole est paralysée.
ment appelées au plus grand îeientisQuelques
détenus
de
la
prison
mari
Les dégsts seraient énorme».
sement au moment ou a été soulevée
Les récoltes seraient
complètement
à nouveau en Allemagne une polémi- Urne ont tenté ce matin au réveil de
que sur les responsabilités de la guerre; renouveler leur protestation de la veille perdues et îa plupart du bétail noyé.
Ils ont. entonné l'internationale, mais
(c'est pourquoi nous avons tenu à pla
CAISSIER ATTACHÉ
icer sous les yeux de nos lecteurs tous leur manifestation fut de courte durée;
les
meneurs se trouvent d'ailleurs depuis
DANS SON BUREAU
ïes textes qui en ont été publiés et qui
hier soir internés à la batterie déclascondensent tous les points essentiels.
Paris. 30 septembre.
sée de Malbousquet, prison annexe de
Cet après-midi, le caissier de la maila maritime. Il n'y a eu aucun autre
son Desfontaines (appareils de chaufIncident.
Ce matin les prisonniers se sont ren- fage!, rue Vieille-du-Temple. a été
attaqué dans son bureau par deux indus, en groupes surveillés, à leur tra- dividus.
La Dette Freico-iieiie vail.
Après avoir opposé une courte résls
tance, le caissier, frappé de plusieurs
coups de marteau à la tête, s'est éva
noui.
UNE OPINION AUTORISEE
On ignore encore si les individus
New- York, 30 septembre.
ont ou dérober quelque chose dans le
: Parlant dans une conférence de la Les événements de Chine bureau.
situation financière des principales na
tions du monde, M. de Sanchez, de la
maison Morgan, a exprimé l'opinion
que la situation de la France s'est à tel
point améliorée qu'il n'existe aucune LA BATAILLE CONTINUE ACHARNÉE
Violent Ouragan
raison pour la faire figurer dans la
Londrs, 30 septembre.
liste des pays emprunteurs.
D'après
le
correspondant
de
la
«
ChiIl a loué M. Poincaré d'avoir poursuivi une politique financière qui a cago Tribune » à Pékin la bataille pour
Saint-Louis, 30 septembre.
la possession de Yunnan Fou. qui est
stabilisé le franc, amélioré la situation
Un curaga t s'est abattu, hier après
encore aux mains du Kuomintang. 8
industrielle de la France et réduit la
midi,
sur
la
ville
ropris avec plus d'énergie.
dette publique.
11 y a au moins sept tués et deux cents
Les assaillante s'élancent simultanéLa dette flottante a pu, d'autre part, ment sur les portes du Nord, de l'Est et blessés
être consolidée de façon à réduire no- de l'Ouest.
De nombreux immeubles dan s diver
tablement les charges d'intérêts.
Les Chinois les plus fortunés s'en ses partie^ de la ville ont été très en
Au sujet de la detts de guerre de la fuient dans la direction
du Tonkin, dommagés
France envers les Etats-Unis, M. de parce que la porte Sud est sous la proSanchez croit qu'on arrivera à un com- tection des Français, ainsi que le cheENCORE UNE AUTRE TORNADE
promis •
min de fer.
New-York, 30 septembre.
A part quelques Français il ne reste
La moitié du village de Rudy (Ar
« La situation financière intérieure
'de la France, a-t-il ajouté, ne serait pas plus que très peu d'étrangers dans la kansas) a été détruit par un ouragan
ville.
Il y a une dizaine de blessés.
affectée par le règlement des dettes. »
14
LE
GRAND
Feuilleton du lw octobre 1927
CATACLYSM
pat*
Henri
0KBMIBRB PARTIE
CHAPITRE VU
wnfMlENT ON ECRIT L'HISTOIRE
ALLORGE
l'Autriche.
Beaucoup de
bons esprits
croient que cet empire se trouvait plus à
l'Est, par delà les Alpes. Mais cela n'est
pas prouvé. Il ne reste rien, en tout cas,
de ces agglomérations.
— Et Lyon, demanda Sinusia, y arri— Il est certain, continua Spirol en preverons-nous bientôt 1
nant une pose avantageuse, que sur cer— Oui, certes. Voilà encore une question
tains points la discussion reste ouverte.
épineuse. Nou savons que les anciens se
Cela tient à la destruction de presque tous
nourrissaient, entr'autres aliments répules document authentiques relatifs à l'hisgnants, de u saucisson de Lyon ». On
toire et à la topographie de l'antiquité.
croit généralement qu il s'agissait du fauAin J, l'on n'a pu encore élucider la quesve ainsi nommé. Il devait donc être fort
tion de savoir si la ville de Vienne, sur
le Rhône, près de laquelle nous allons ! répandu dans la région, Il -st vrai qu'on
passer, était une bourgade sans impor- ! entretenait (et qu'on engraissait, sans doutance, ou la, capitale, d'un empire appelé | te) de nombreux lion-; dans "es parcs ap-
di^vfi??-^ % «r, vil!a
ussia. nelie vis.nl: /~ ^zia a3Si»
ioga «jsi.te uu viii a ,' ;,^, Nu>
PARO DES SPORTS DE BORDEAUX
lo da vedovu
Le Grand Prix de Bordeaux
PRIX LA JAVE
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de vitesse
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arpe), Pescia (GarComme nou c l'avons déjà annoncé,
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çia), Marcnetta-Ii
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wi Parc de Lescure pour sa réunion de lato cl,e tutu Jrn &*
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A MAISONS-LAFFITTE
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, ( Sem ât), Kirke (Semaan massacf ^ 1 Uei
çi'.ture.
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Grand
Prix
de
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blât), Ivresse (Vataid), Mitsou (BornaBordeaux d. vitesse.
Au poteau de départ, nous trouvons sona baiorm evid renient,. Hl^hut
un „
Lucien Michard, champion de France Pm te.nbui. Iv^^"™"*
el inn*...a
voite sposata
PRIX DU MANCANAREZ
et nu monde, gagnant du Grand Pm
PRIX JUMILHAC
ue la République, le n août dernier à suvi tremarmTaV Vnin,s
KlXi
7.500 lianes ; 900 mètrea
-'on e
i
Sac-à-Papier (Keogh), Trie-Trac (Sem- Lescure ; Avanti Martinetti, ex-chàm- do prcvveduu aill *s
t. Lady Clifden (EsHng) G 49 50 M »• blât)
Soun (Chancelier), Billvcock-ll pion du mond e (amateur) 1926 • il a de cadaveri. offe- macnf » Wdi*»
a
à M. E. Marchand P 26 50 U » (R. Brethes), Lanmlis (Hervé), 'Trie-la- nombreuses victoires à son actif entre délia yoform
ei
terzo si dec^furono avv e .
2. Madrina (Bouillon)
Ville (Luquet), Le-Tonkin (Woodland) autres sur Michard, Leene Faucheux
f
à M. E Vieil-Picard P 58 »• 24 50 Ccnducbe (Tournié), Carasucia (Va- Morskopps \V Spenser. etc...; Lucien gato pero ancV'in ?,ï e. ^n^ 1. ^
visu, che priait m 2,^0 Ca^ -ffo3. Minouche (Parmel)
Faucheux est trop connu dei? sportifs
tard), La-Membrolle-II (Garcia).
e buu aî 1 J
à M. G. Brosette .... P 262 »> 146 50
pour qu'on le présente Mario Berâ- qua lin felice era stït .
m 'K ^ 8<"
mini le valeureux italien • Alois De- narcr tico. Quando VuomS
PRIX VITUPERE
Non placés . Infernb (Vinkfield,, Rhédell acqua,
rinca,^,
al
greave.
champion
de
Belgique
teur (Martin),, Skylaft (Duforez), BerC0Se?
Sablcns (Ferré), Jardin-Clos (Hervé),
W
Ave., de tels as, il v aura foule di- buo a Sofia gi ; run nè n „
9 ,°
gues (Brunet), Liberality (Th. Moret). Casiel-Sardo
(Keogh),
Cri-de-Guerre manche
Pi di zappa nop-, !"\ fan,/ , k
à Lescure.
In Bonis (Lister), Sunrise Chancelier). (Garcia). Lescar (Semblât), zagazig
Sffia
Sofarin
incita
nftî«
Un match de motos entre Bussat et
Mabrouka (Garner), Loute (Guiho), La (Pans). Carquefou (Dofnaletche), Albevillaggio ad imitJria srV e<
fougne est inscrit au programme
Vive (Marsh), Tanaquil
(Diez), Ero ron (Luquet).
'or. volta i mûrit, Pé, Ppci
,
beauté (Daire), Bombance (Hervé), Cascope le nioglie a,!^ a «
ravane (Sauvai), Scarabée d'Or (Kréel;
PRIX TARGETTE
Jei è e ogni te signiflcav» 01
Hed Wood (Elsensohn;, Petit Poucet I)
ne di qualche manio l , n/.'în"
Reparsac (Her,'é), Burlingtonarc (Es(Gainer), Sybille (Vincent)
Doucette ling), Louton-Il (Baratelli), Franconi
nure cortc teste 0 r«af,i, " lss mif> L
(Paris), Mis Nell (Vatard), Mousquet II (M. Allemand) Sourcier (Vatard), Sla
w
gh nomini^ Sdan^W
(Goldin), Prince Barbare (Bretton). ve-Gtrl (Marsh), Nelumbo (Paris), Mannon appena ave va
' "brlï^
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Autobus ,'Sampson), Hvosotis (Frigoul- In-The-Moon (Diez), Maharanée (X.),
>" (-'"e£reW "fn V
Gaud (Garcia), Lamette II (Denton). Panthée (Gould) Neoderma (Palmer)
çanere pc: U " ;rabocche
trabo.
LE RALLYE-RADIO
' £,[V*£
ttr
Dona Marie (Lachau'l), Petheville (Bé- Benjamine (Rcchet), Benalcazar (Tourun a di caâ Solfarin
Le nombre des inscriptions au Ral
guiristain), Gualéguay (Lée).
nié), Portia-Il (Béguiristain) Mariaker lye-Rndio Automobile
a encore au"
(Brogl).
menté. 11 est â prévoir que piu« de
PRIX DE L'HUDSON.RIVER
Pronostics ;
quarante voitures participeront elfecti12.500 fr. ; distance, 1.400 m..
Paris-Sport
— Larme-de-Glace et vement à cette épreuve appelée au plus
1. Courageuse (Wink.) G 135 »» 56 50 Vert-Galant — Nélmnbo et Bouilla- grand succès et qui sera renouvelée
chaque année.
„ à M. L. Mantacheff. p 42 »> 18 50 baisse — Kirke
e
et
Louise-Maillv —
ntS
Par suite du changement d'heure qui vamente valer e i lor odïrliu ma
£. Bézet-Bé (Chancelier)
Trictrac et Sac-à-Papier — Castel-SarS ' nel frattempD haWtni*
le m«
à M. F. Charmillon P 36 50 20 » da et Sablons — Slave-Girl et Burling- s opère dans la nuit de samedi à di- c tare assoluta autSrUa a L6Si
r
manche, le rassemblement des concur- d'accerdo Po 'î , c„i"J;L "on
3. Le Canderquet (Vatard)
ton-Arcade.
fur "
rents est fixé à 12 h. 45 précises, sur
à M. E. Marchand
P 57 »» 29 50
aveva sulla eoscienza , m - ,
Jockey. — Vert-Galant et Larme-de- les allées Jean-Jaurès.
enii "a di
Non placés : La Cavale (Garner) AlU- Glace — Nélum.bo et Bouillabaisse —
Les véhicules devront être amené ; vite uman . ha dicinaràto ,i
simus (Semblât). Cornwall (Gardner). Louise-Mailly et Kirke — Trictrac et sur les allées Jean-Jaurès, à partir de ventera una nemica ué°n 1 * SSf, re ST.
Vent Debout (Martin). Saint-Louis (Fé- Sac-à-Papier — Keep-Quiet et Castel- 10 heures du matin, afin que le public «"gnito a maltraftamenti i^'nî in
irm .o marit oed ha ag^L^'WdS
rat). Vieux Refrain (Hervé), La Belotte Sarda — Slave-Girl et Roseloup.
puisse se rendre compte de l'ingéniosité sua cnera di pror,a <ra ^;7 m ^° ehe nepi(Brière), Ariette II (Bottequin), MosLa Veine — Old-Pin et Larme -de- de s amateurs qui ont installé leurs aptatD troppa f^tica ônv^?? **2
nes (Diez).
Glace — Nélumbo et Bouillabaisse — pareils die réception à bord des auto- donno ad imitarla
'^«re i e ^
Louise-Mailly et Marchetta II — Pescia mobiles et de l'intérêt nue nrésente ia
Se una donna dopo aveT
PRIX DE LA MEUSE
dat()
— Sac-à-Papier et La-Membrolle II — radiophonie pour tout touriste.
f pro.
La première émission sera effectuée
Keen Quiet et Lescar —
Burlington10.000 fr. : distance, 2.600 m.
0,mei«o
esttava
a
sepprimere
il
rn1irii?
par Radio- Toulouse, de 12 h. 5 à 13 h farin
Arcade
et
Slave-Girl.
)a
1. Pagode (Denton)
G 74 » 36
farm
Interveniva e nrrïv^!?'
Sa.
très précises.
à M. Yves Perdoux. P
37 »» 20 •»
Incomp &I^S *l
Le dernier message sera lancé par personalmente.
CISi cinquantetto
Cinniiantotf^ uomini"
"Uono ac.
cisi
2. Vallée Heureuse (Duforez)
A FEN0UILLET
Radio-Toulouse à 18 h. 15.
à M. O. Homberg.... P 29 50 12 50
Avant le départ, tous les concurrents
Propriété agricole di v <! Ma»„
3 Loriot V (Ferat)
comprenant flan.mo.
Dimanche 2 octobre, courses à Fe- recevront des imprimas
- Adria. _ i„!
,le, <*al!a
à M. Yves Perdoux
44 »» 26 »»
1
S
toutes instructions et des feuilles spénouiliet. Engagements
fermantaziona
' deî' fleno " a &
Non placés : Brutus (Clay), Clown
ciales numérotées
pour l'inscription nell
enuta i ama di propVlew^ a ''a'
des messages.
Prince (Ferré). Ibérie (Andrews), Mar
bile Ildebrando
nCk
PRIX DES AMATEURS
Pe^
bein
eo II (Hervé), Ribécourt (Perelli), Kei
Pendant toute la durée du Rallve, fle uppato ien l'altri uno spà'ves! è svi.
Colibri, à M. Saint-Agué ; Un-Truc, 12 h à 15 h., et de 17 h à 19 h- Radany (Chancelier), Oza (Garcia) Joker
Pntoso
in.
u
(Semblât). Le Lude
(Daire). Briarée à M Combes ; Kina-rilt, à M. Pillot ; dio-Toulouse donnera un concert. Il en cendio che In brève ha di«wi°0 !f
cent, quintali d, nenq e l 'imèl
(Woodland), Morning
Sun (Doumen), Faupette, à M. Daubian.
sera de même pour Radio-Agen, dont bncito, cagionandj- op dam
r
„ l° fa!>Irish Luck (Diez).
le concert se prolongere de 15 h. 15 ù ÔOOfNj lire. Anche a Cesenon °„d ' fir ^
PRIX DES LAGOMYS
16 h. 15.
accidentaie distrusse 350 quimàn ?'^°
CRITÉRIUM
DE
MAISONS-LÀFFITE
De nouvelle* maisons
ont adress' raggi
Petite-Comtesse, à M. Jacquemîn :
del valore di circa ]o» , di f0 "
Louisette à Mme Marg. Bruel ; Arlev des prix au Comité organisateur Cità dl Cert Um
50.000 francs, 1.300 mètres.
tons
notamment
le
journal
«
Ee
T^'é
LUIGL
°,
^rtoTaS 2
te, à M. Gibert : Fil-en-4, à M. Vignoux:
i. Mourad (VVinkfield) G 42 50 20 50 M'As-tu-Vu, à M. Baptiste ; Je-Veux, à gramme », la maison Pascal, costumier
à M. L. Mantacheff P 16 50
7 50 M. Marcel Guy.
du
Théâtre, la Casquette LUAP, les
>————
Hervé .Semblât)
établissements Pival,
là Maison
du
à Mme Ed. Blanc P 17 »»
8 50
Café. Raby-Voitures, etc.
PRIX
DU
CONSEIL
GENERAL
3. Roahouga (Lister)
IJB rallve se court sur um.e distance
Belle-.Tussy, à M. Benech ; Villageois, do 150 kilomètres par plusieurs routes
à M. Jean Couturié P 16 50
7 50
ffourolles Posiaes
à M. Barbot-Angla ; Uranus-II, à M.
Non placés : Taîlvent (Hervé), Ele- Lacoste ; Vulcain-IIT,
à M. Forest ;
veur (X), Coriandre (Bouillon), Broce
Arsy, à M. Durand ; Azur-V, à M, Géli:
liande (Sliarpe), Nanoucha (Torterolo). Althéo à M. Paulet ; César-V, à M.
POSTES ET TÉLÉGRAPHES
FaJguière ; Xama-Yes, à M. H. Noilhan:
(Caisse Nationale d 'Epargne)
PRIX DU RHIN
Univers, à M. H. Noilhan ; Avant-Toi.
(handicap) 30.000 fr., 2.200 mètres
Les comptes courants de la Caisr*
à M. Daubian ; Torpille, à M. Sourrou1. Hésione (Vatard)... G S4 50 '59»» bille ; Antigone-V, à M. Beauvois ; Van.
"^°" al * «'épargne concernant les de?
LA GRAND CORRIDA DE CALA
marquis de Llano P 85 50 14 50 ban, à M. Viriot ; Altesse-Royale, à M,
posants du département de Tamet-ua.
2. Le Morvan (Rabb))
de Taffin de Tilques.
DE DIMANCHE 2 OCTOBRE A BEZIERS ÏÏJT, ?neront A le ™s ^r la succu sa*
M. Max de Rivaud P 44 >• 14 »»
P
dU l
octob
*
«>
3.. Vivette (Denton)
Dimanche,
Béziers regorgera d'afl- 1927
PRIX DU BAC
M. Paul Pantall... P 101 »• 42 »»
cionados venus de tous les points de
En conséquence, les titulaires de H.
Quélus, à M. Martignole ; VillageoiS
3
ans le
Non placés : Etelfay (Kaiser),
Mar- se, à M. Barbot-Angla ; Uranus-Il, è France et principalement de la région ïnnt fïïi
î!
,
Tarn-etGaronne
shal-Frech (Sharpe), KHeir-Eddin
(R. M. Lacoste ; Raconteur, à M. Raoul méridionale. Aussi les compagnies de sont priés de transmettre aprè, le
chemin
de
fer
du
Midi
et
de
l'Hérault,
29
septembre
leurs
demandes
de rem.
Brethes), Ceinturion (Semblât), La Ca- Combes ; Ochette, à M. Ant. Durand :
ont établi des trains spéciaux, permet- boursement
non plus à Montauban
talane (Herbert), Forêt-Auvray (Daire), Quesnoy, à M. Dussouy ; Univers, à M
mais
à
Toulouse.
Calque (Vatard), Europa (M. Brethes), H. Noilhan ; Belfort-III, à M. Sourrou- tant à toute cette foule de rentrer après
cette corrida.
Les oiérations de versement et de re.
Kiki-IV (Béguiristain), Aigrefin (Tour- bille ; Alfort-IIl, à M. Dussouy.
De leur côté, les compagnies d'auto- irait de fonds continueront d'être ef.
nié) Kirganelle (Bazot), Altesse fDalbus feront chacune plusieurs départs rectuées dans les conditions actuelles,
lery), Frisco (Frigoul), Sifa (Vincent).
PRIX DES RAMIERS
Supplémentaires La Sévllla française aux guichets de tous les bureaux d»
poste.
PRIX DU TACE
Oueîus, à M. J. Martignole ; 2. Bra- connaîtra dimanche l'enthousiâsme de
(mixte)
. >
i conniers, à M. Bénech ; Villageoise, à ses plus grands jours de Tête et 11 fauAPPAREILS
PR0TEEw£U-3S
M. Barbot-Angla - Uranus-Il, à M. La- dra remonter bien loin, aux plus beaux
20.000 francs, 2.000 mètres
jours de 1922 et 1923 pour
retrouver
TÉLÉPHONIONS
coste
Sablonnièie,
à
M.
Martignole
;
;
1. Hernani-III (Esling), G 85 50 49 50
cette
Bébé-Rose-III, à M. Brouq ; Vulcain-Ill, l'engouement qui se manifeste
à M. Pierre Laine. P 18 » 10 50
L Administration ayant été saisie 8*
à M. Forest ; Althéo, a M. Faulet : semaine en faveur de cette magnifique
2. Charrua (Torterolo),
propositions émanant de divers consQuesnoy, à M. Dussouy; Qui-n'Homme, corrida.
à M. S.-J. Unzue. P 16 50
8 »
tructeurs
en vue de In pese. sur le»
Les clubs taurin do Béziers préparent
à M. Noilhan ; Avant-Toi, à M. Dau3. Cranach (Regoli),
cordons de postes d abonnés d'appaMan ; Torpille, à M. SourrouMlle ; An- également de belles réceptions aux maà M. F. Tesio..
P 12 »
7 » tigone-V, à M. Beauvois ; Vauban, à tadors qui arriveront tous les trois à reils destinés a éviter la torsion de ceé
cordons, a décidé que les dispositif»
Non placés r Duvet-II (Vatard), Kl- M. Viriot ; Altesse-Royale, à M, Talfin Béziers dans l'après-midi de samedi.
Le bureau de location ne désemplit en question pourraient être ttlérés aux
kaione 'Hervé), Black-Berry (Wolf), de Tilquie.
pas. c'est un succès sans précédent et conditions suivantes •
Meath (Maginot), Pomme-d'Apl (Mar1* Les appareils devront êtro constil'aficion française
marquera d'une tués par un fil de métal roulé en. BWtin), Pèira-Cava (R. Brethes), MercuSTEEPLE- CHASE MILITAIRE
pierre blanche la journée du 2 octobre. nie de ressort, et recouvert ou non
rey (Botequin), Valérie (Kaiser) Ba(3« série), pour sous-offioierg
thilde (Diez).
d une garniture isolante ou d un i*
Odette au maréchal dos logis CharPLAZA DE BORDEAUX
finit de couleur (vernis ou neinture);
PRIX
DU
CAN3O0U
(stecplc-chase. les, ete Innovatrice, à l'adjudant Labat,
2' L^s agrafes de fixation ne devront
Demain dimanche, plaza de Toros de
cross-country,
gentlemen
riders), du 23 d'artillerie ; Viola, au m, d. 1,
comporter aucune saillie susceptible a»
Bouscat-Bordeaux,
dernière
course
dite
de
Lacroix
;
Tambourin
au
m,
d.
L
8.000 francs, 4.000 mètres.
perforer le (ruina ?e du cordon-.
Lagardg : La-Marotte, au m. d. 1. Mé- espagnole sans picadores. Six torofi,
3' La mise tn place devra être elfe»
1. Urne (M. d'Ide ville), G 25 »
9 50 lix ; Cérianne, au m. d. 1. Dejoannis, dont on ne dit pas la provenance, mais
tuée
san ou'il soit nécessaire de déau Comte 7 de Vienne.
tous du 2» hussards ; Far-Niente, n que la direction fait annoncer mania- monter aucune partie du poste.
2. Sapeur (M. de Bellegarde), à M. P. l'adjudant-chef Four, et Touka. nu m bles, seront mis à mort par le s mata4' L Administration n'inierviendra ni
Landerlin.
d 1. joffres, du 10 dragons; Tu-es-Chic, dors des novillos : Ganario, El Tan- dans la pose, ni dans le reinplaoemeia
3. Peryenche-II (M. Verots), à M. de au m. d 1. Bru, du 23 e d'art'llerie ; que, Ceister.
de ces organes Au cas on il v aurait
Chatelparr.
Olga-II, au m. d. 1. Serra, et Pivoine,
Prix des places : Premières, 20 fr.: lieu de changer un cordon pourvu «
au m. d. 1. Dexac. du 10» dragons : deuxièmes, 15 fr. et 12 fr.- Préférences, co dispositif les agents des 'rj lal '*
Olga, au m. d. 1. Dupont, du 2* hus- 12 fr.; Troisièmes, 10 fr., 8 fr. et 7 fr. tions ne pourraient être tenus de reAU TREMBLAY
sards • Eddv, au m. d. 1. Bascou, et Les dames et les enfants bénéficieront, placer l'appareil dont il s'agit sur u
Courses
aujourd'hui au Tremblay. Sans-Peur, au m. d. 1. Perry, du 23" d'un rabais de 50 % à toutes les places, nouveau cordon:
Partants et montes probables ;
d'artillerie.
Roya
(Elsensohn)
(Grantham) ;
PRIX ALOES
Soyez Ferme (Coumenges) ; L'Armée
de Glace (Kreel) ; Old Pip (Boulenger);
Ambassadeur (Winklield) ; Basarabia
(Ferat) - Portugais (Féré) ; Saint-Valéry (Doumen) ; Valois (Hervé) ; Manor
(Chancelier) ; Gilgamès (Kaisen ; Kitombo (Rossio) ; Vert Galant (M. Allemand) ; Ploumanach (Tondu) ; La
Pastorale (Vossaert) ;
Dis moi oui
(Perraud) Galère (Sharpe) Belle Beauté
(Semblât) ; Lakno (Vatard) ; Pointe
Sèche (Duforez).
Haute-Vienne
LE RECORD LONDRES-PARIS
Le pilote français Delage a battu le
record du trajet Londre6 -Paris en effectuant le parcours en 1 h. 34 minutes.
LA COUPE URÊGUET
PRIX VERLION
Le Bourget, 30 septembre.
Salvius (Salgan) ; Monjik (Frigouli ;
L'adjudant Sahuc, concourant pour
Souverain II (Metens) ; Mingly (Bella
Coupe
Bréguet,
a terminé son troihouse) ; Nelumbo (Paris) r Trofarello
(Palmer) ; amin de Paris (Winfield) ; sième tour à 16 h. 56'44".
Caroube (Biaise) ; Serinette (Coumenges) ; Nissa III, (Vincent) Great Fleet
(Mills) ; La Diffa (Allen) ; Ketty Magnv (Teillet) ; Princess (Gould) -, La
Mouïse (Denton) ; Pimprenelle fDupuit) ; Bouillabaisse (Burette i : BenBRUNPER0Ù
jamine (Ferat) ; Wllhelmine (Duforez);
pelés Jardina des plantes, Jardins d'Acclimatation, ou Jardins Zoologiques. Ce qui
corrobore cette opinion, c'est qut plus au
nord, on trouve
une
rivière appelée
l'Yonne ou la Lyonne. On suppose que ces
barbares mangeaient du lion pour se donner une fonx terrible, et un courage farouche. D'ailleurs le plus célèbre de leurs
conquérants fut Napoléon, qu'on devrait
écrire Napo-Lion (comme jadis Richard
Cœur-de-Lion). D'autres érudits, .t la vérité, font dériver ce nom de .Jéapollon,
(c'est-à-dire : nouvel Apollon) et prétendent que Napoléon n'a jamais existé. Ce
ne serait qu' n mythe solaire, formé peu
à neu par l'imagination du peuple. Vous
vous souvenez qu'Apollon es* le dieu du
soleil, dieu tout puissant, à midi, qui finit
par succomber à la coalition des ténèbres.
Mais je préfère l'autre explication Enfin,
certains auteurs affirment que ] J saucisson
de Lyon était fait simp^: ent avec la
chair du porc, dont les Lyonnais savaient
aussi tisser ho soies ; mais "elle explication terre-à-terre ne peut être admise
Tous ces faits légendaires de l'histoire
ancienne s'éclairent considérablement à la
lumière du symbole.
— Cela
l bien intéressant, dit Aphélia,
mais je ne croyais pas que le paganisme
fût encore si vivant en France.
— Nous en avons des preuves innom-
brables. Ainsi, le culte de Mercure était
particulièrement en honneur. Le Puy-deDôme, non loin duquel nous passons, porte les ruines d'un temple de Mercure. On
avait donné son nom au vif-argent ou
hydrargyre, parce qu'on attribuai, à ce
dieu l'invention du thermomètre et du baromètre. On appelait mercuriales les tableaux officiels où étaient marqués les
cours des grains, des farines et autres
denrées commerciales. Un des premiers
journaux français fut intitulé
e Mercure
de France. Il n'est p"
jusqu'à l'un des
crus fameux de vins de Bourgogne qui ne
s'appelât Mercurey. Mais j'aurai encore
bien plus d'arguments à vous donner, au
sujet de la survivance
du
paganisme,
quand nous survolerons Paris
_ Je suis impatiente d'y arriver, déclara
Sinusia.
— Nous y serons dans quelques minutes.
Hélikos augmenta la vitesse de l'avion
et bientôt on approcha de la région parisienne
Le sol présentait déjà de nombreux affaissements, qui avaient fait autant de lacs, ou de marécages. Au milieu
£3 ces champs inondés et désolés, qui
produisaient seulement des roseaux, des
joncs et des nénuphars, on pouvait encore
distinguer, tant bien que mal, le cours du
fleuve qui avait été la Seine.
Un instant après, on aperçut la mer.
Elle commençait presque à Paris, et tout
le pays situé plus au nord, l'antique Normandie, était submergé sous les flots de
la, Manche.
le fameux
1
I E ' » ;H
voua apercevez et sur laquelle no
,
à ( jra
vons atterrir, est Montmartre, C e- . évj,
le mont de Mars, et ces ruine ^.^ pla*
s
demment celles d'un temple de Ma ^
.
ct&n
au sud, près de la Seine, ce grana
i
ggrvai
g'e s'appelait le Champ de Mars, n
aux exercices des armées et sa
^
Arrivé au-dessus des vestiges informes
de ce qui avait été la plus belle ville du
monde, le pilote diminua considérablement
la vitesse, et l'appareil se mit à décrire
*
êtan 11* ,
des spirales, pour permettre aux observade la guerre. Nous n'avons ' ^ ^.ne
se faisait encore au XX s ècle
teurs de contempler commodément toutes
]ofS .
flees hum lins mais nous sayom i
les ruines, entrecoupées de flaques d'eau.
ljnlite
que les généraux arrivaient a
Quadrilos, après avoir compulsé de nouda it
d'âge fixée par les lois, on ie" ^ Mars ,
veau ses notes, reprit, plus doctoralement
que jamais :
l'oreille, probablemen au cliarop , e ffroyaj
d
coutume sanguinaire, qni c" ,vr ,. cêS ép^
— Les récentes déductions de l'archéobles horizons sur la sauvagerie ^
logie ont permis de mettre en lumière
ques relativement modernes.
deux caractères essentiels de la civilisation parisienne (s'il est permis toutefois
— J'en frissonne, dit Sinus
.^^^
d'employer ce mot; barbarie serait plus
- Là bas faisant pendant *
deva ;t
juste). Tout d'abord, la survivance du pa, tre, s'élevait le Mont-Parnasse,
^ g*
ganisme, comme je le disais tau à l'heure;
j se trouver un temple d'Apoti _ ^ QTD OC
et puis
l'Influence
prédominante
des
ses. Lee uns le désignent $oW
^ £
sports, même dans la politique. Ces deux
Sorbonue, d'autre? Pappelien»
n , le»
caractères ont été formés apparemment
ci £
ne sais pourquoi. Pré, de là ^
[
par la même tradition ! celle de la Grèce
Thermes du musée de CH'ny.
Diun "
et de Rome Je procède par ordre.
la plus élégante se ren ^
t «
EI y*4*— il est vraiment très fort d ; t Aphélia
ce côté, s'étendaient les Cban F
Ellipfine à l'oreille de sa .œur.
— La topographie et l'hiotoire monumentale de Paris suffisent pour prouver
la première rie ces assertions. Suivez bien
la direction 'rue j'indique : la colline qu/
SAMEDI î* OCTOBRE 1927
Dernière
ifiiiratiflii
Ilial
"pisonde Retraite
la Société
6
jpionaiionneup
paris !«• octobre.
noumergue maugu
.nbre,
„i„ lad maison de
»^femf
; „eur.
l0
à i» la LeS inr!td 110auèn ce pro et
&m "% réalité. Il aura
18 £ encore ^fj
énér al Dubail,
Pê l'»6 1V1 de la Légion d'honlle
rfc
de- généreux donateurs
if ide deJ
vre a t été
ra
L*1 BieJ\- de resserrer les liens
K louci e;lxn,.,.fies
membres de la
"idarité « ,ie rassurer aussi a
eLU
Td'hoiW /ie vie nécessaire au
*l AW^rJve "iand ordre nattoinom dî "Société 'le la Légion
fit '^f °° raternelle tendue
èur ** a i, "ie avait courbés.
«x .f peut
donner l'amitié "
Peinent, moralement
ï 6 if voulait le donner,
,1-,» -sa maison,
S a Pleine fierté
a siens pussent se
vertus, les
r.entre eux. laquelle
are, rmetiaient
et
la
de
re-
se s proprepas encore
•énéreux
d'un înéeè.
e
irà ia"iui donnait voici
=
Laisos c'était au coeur de la
m°'ft -Germain,
r.ermain. le magnifique
"S!au du Val, que M un.
S cù
au grand siècle,
$ souvent se reposer endia5 '"r iflauc avait donné la
n
cénérosités permirent
Mi vie endormie entre
;rêes d'en faire un logis
"îdre des frondaisons de
| désormais vivront des
Kt là cù ils se retrouvé de la Légion d bonH leur sort • ce sera une
Me • mais tous le.s concours
fIe
- n rt lui
1 seront acquis. Et c'est
i e s octobre courant.
Doumérgue
« ce Amarrer l'œuvre enfin reali
'i^donnéî .me fête d'un rare
u dont le bénéfice permettra à
d'accueilHr. dans la maison
etnps attendue, les premiers
L'Amiral Vio'ette quitte
son commandement
LA CÉRÉMONIE D'ADIEU
Toulon, l« octobre.
Appelé au Conseil supérieur de la
n£ruîe, l'amiral Vioêtle, commandant
Z eaef de l'escadre de la Mediterrafe a quitta sor commandement hier.
tir. céremome a eu lieu à cette occasion à bord du Bretagne vaisseauI
Ad non, des .officiers, l'amiral
fer riSi* à l'amiral-Violette une belle
medailie à scu éflgie.
C'est l'amira] Docteur qui remplace
l'aiwil Violette à la tête de l'imporfeue formation ravale méditerra-
itttn le Un
Paris, 1er octobre.
Il ministre des affaires étrangères
sMrauque le programme des fêtes
N seront célébrées en Grèce a l'occaM du centenaire de la bataille de
tonrin, à Navarin même, en présence
fe membres du gouvernement grec,
la journée commencera par un « Te
iB > en l'église de Pylos, puis une
P de fête? ou cérémonies : parade
g* et militaire à laquelle des dé•MMatg ue marins français et anm prendront part discours et cousur le site du futur monument
• visue aux monuments français
de Sphacterie déjeuner a ia
r -wuité de Pylos, épreuves sporjâusquelies nos marins sont conftti 21
Visite des monuments
i*ene:
Samedi
à Athènes : Réception
fficieUe
délégations
. anglaise et
ara
de
totf^ , militaire et navale,
ration dune exposition du So .H™? et de la guerre de
aï 'ia„is et 'es. Français seront
•o «rangers officiellement Lnvi-
«««.iaîïiCfllitsicfi
• h W dualité Berlin, 1 er octobre,
Pfcifes ^n -de ministre pour les
^celuT. ri .c ipes
- le docteur Marx,
.^fritoir» !îlpiTe' se rendra dans
: >nt L " 10 au K ectobre.
2* a\-eÏÏ1 arac - ie 12 octobre a CoE!: ;les terri, !, 68""ni
"ifsaire d'Empire
' Maven e et ocspire
c«Pés. Il visitera
•' ïltiB
m
D
y
aint-Mathurln
Ma ,uwn viem
^l^s.
"
ia t«iutin'priiapilaine
Pih an conU1
15
'v e
août . 9
s'est produit:-,
, rrPar" ' a blui11
°rd.
<P , e. et ?
' '« matelot
l
*«e a-.fan "'ê^'an,
le cafe " et ra abattu.
fâ,»'iïlf d'v
du
BoiÏÏ? quatre m - , intervenir et
erre
Lesech e : Balli-
T 30
Offensive
Ls
GÉNÉRAL FENC
La Fièvre Jaune
dans
l'Ouest Africain
9lJ
a B
' C- ou
'' ''• a
Que ' , ie ' maréchal
ue commencer
L
cl
L »éuen ;?" lr « )'<* troupes
t
««nu
qui réussi.
Pénét rer sur le ter-
Dans une crise
Les Incidents
de !a Prison maritime
Paris, 1 er octobre.
NOU tf EL. INCIDENT
On sait que la fièvre Jaune sévit dans
Toulon, Ie ' octobre.
l'Ouest africain et que le médecin insHier matin d détenus sont allés repecteur général Lasnet est déjà paru
pour Dakar, en compagnie de M. Car- joindre à la batterie déclassée Malbousqu't ceux qui y avaient été conduits
de, gouverneur général de l'A. O. F.
Le 7 octobre s'embarquera à, Bor- avant-hier
Avant le quitter la prison, ils ont
deaux une mission médicale composée de M le professeur Petit, memDre pouosé de s cris divers, acclamé les
de l'Académie de médecine, du médecin noms de s principaux chefs communispiincipal François Sorel, qui s'est dé- tes et proféré ue s menaces contre les
êndJ-rmes Ceux-ci ont maintenu l 'orjà occupé de la lutte contre la fièvre
jaune à la Côte d'Ivoire, du médecin dre et ont conduit le s détenus dans îles
camions automobiles à Malbousquet.
principal Couvy, directeur de l'Ecole de
Le reste de l'effectif de s prisenniers
médecine de Dakar, et du médecin ma|p" Laigret, ' des troupes coloniales, qui n 'a pas manifesté.Toulon. i«r octobre.
a fait des travaux remarqués sur la
An. sujet des nouveaux incidents qui
fièvre ictéro-hémorragique en Afrique
viennent de se produire à la prison
équatoriale.
maritime, la Préfecture maritime nous
Cette mission a été constituée sur la
demande du gouverneur général et de adresse ce communiqué :
« Le s récents incidents de la prison
M. Lasnet par M. Boux, directeur de
maritime eut été soulevés par les détel'Institut Pasteur de Paris.
La mission emportera un vaccin pré- nus qui s'v trouvent actuellement en
paré, suivant la technique de Noguché. trop grand nombre.
« Uno décision de l'autorité de transdans les laboratoires de l'Institut Pasteur et dans les laboratoires Lipo-Vac- porter un certain nombre d'entre eux
au fort du Malbousquet pour déconges.
cins.
<
L'Institut Pasteur prépare aussi un tionner la prison provequa une effervescence, laquelle se traduisit par des
autre sérum contre cette maladie, e
fait parmi les blancs de grands ra- cri s séditieux qu'on entendit de l'extérieur
vages.
« Après s'être barricadés les détenus
démolirent les cloisons séparant les
chambres qu'ils occupaient.
i Le calme est rétabli san s qu'on ait
Apres le Conseil
eu aucun incident grave à regretter. »
LA CRAINTE DES MENEURS
Les membres du gouvernement ont
Toulon, 1 er octobre.
observé le plus grand mutisme sur les
Il y a maintenant 80 mutin s enferquestions qu'ils ont abordées. Quelques més à l'ancienne batterie de Malbousparoles évusives permettent seules d en- quet.
trevoir l'attitude du gouvernement.
Quelques détenus ont avoué que c'est
Lorsque cette attitude a été décidée par suite des menaces dont ils étaient
sur le cas Rakowsky, M. Barthou a dit l'objet de la part do meneurs qu'ils ont
que le cabinet était toujours pour le participé à la manifestation d'avantmaintien des relations diplomatiques, hier.
mais que la question Rakowski continuait a se poser.
Quant à M. Barthou lui-même, on dit,
Au Vatican
mais ce n'est pas lui qui le dit, qu'il
a reçu des reproches véhéments pour
UNE ENCYCLIQUE
sa réponse au discours de Tannenberg.
Ces reproches émanaient de M. Briand,
Rome. 1 er octobre.
ce qui n'a pas lieu de surprendre et
L'Agence Transalpine annonce que
aussi, paraît-il, de M. Poinearé, ce qui le pape publiera prochainement une
surprend davantage.
encyclique sur le nationalisme.
M. Barthou s'est pourtant défendu de ' Voici à ce sujet ce que l'on déclafaire de l'opposition. Il s'est déclaré re dans les milieux du Vatican autopartisan de la politique locarnienne, risés.
mais, a-t-il ajouté, dans le cadre des
Il y a déjà longtemps que le Sainttraités existants.
Siège avait décidé de publier une encyclique sur le nationalisme, mais on
avait cru opportun
d'attendre
dans
l'espoir que
la
situation religieuse
s'améliorerait surtout en France L'enMilitalr
cyclique confirmera la volonté du Pape
de persister dans son attitude de déParis. 30 septembre.
fense rigoureuse du dogme et de l'autoECOLE NAVALE
rité no l'Eglise.
Le document sera rendu public le
Sont nommés au grade d'aspirant de
mariiiej poui- prendre rang du 1er oc- jour de la fête du Christ-roi.
tobre I92i, les éleve s de l'Ecole Navale
Mgr MAGLIONE
dovr ie s noms suivent :
SERAIT NOMMÉ CARDINAL
MM. Laine, Traub Guérin, Gagne,
Sag.io, Bourgeois, Delort, Dartigues,
D'autre part on ajoute que Mgr MaCliappelet, Colas des Francs, savUi glione, nonce apostolique à Paris, sera
d 'Ortcod, Célerier, Cliavaue, Mordacq, nommé bientôt cardinal.
Cornuault Battestini, Lepeitier. Merveilleux, du Vignaux, Vincent, BraL1 DÉPART DE f.gr MAGLIONE
naud du Boucheron, Magin. d'Ouince,
Paris, i» octobre.
Richard,
Frossard,
ïerro.
Carsin,
Le départ de Mgr Maglione commenChampoiseau Le Mec, Moreau, Farret,
ce à être considéré au Quai d'Orsay
Auzanneau, Èynaud, pelletier, Hournon seulement comme possible, mais
din vevre, de Soras. Dalle, picheral,
comme probable. Sa nomination au
Vinel, Ta'ndonnet, Caminati, Sirach,
Sacré Collège ne permettrait pas à.
Echtnara Blanchard. Tellier, Peltier,
Mgr Maglione de rester à la nonciaRossignol, Gilbert. Beauchesne, Laboture, aucun nonce n'ayant jamais eu
ry Petit Lignac, Prache, Soule-z, Metle titre de cardinal.
/
tez. Labàrère. Gua, Hacard. Bardmet,
On apprend, d'autre part, que Mgr
Passtv Sigaud, Pcncelet, Bougaran, Maglione s'apprêterait à quitter Paris.
Rosat'té. Cevaor Beslu. Lcbeecat. Oheu,
Une réception qu'il comptait donner
Blan Yayer HÙet, Saikonot, Lanxade,
aurait été décommandée.
d'\dhegar. de Cransac, de Leusse, Mo
reau, Dancy, 'de KarClllac. Liabeuf, Le
Tho=>r, Fspouv, Cruchet, Odin. Grinda,
Ferran
Jouin
Lambert, Grincourt,
Dur-iiiri Gassolin, Roux, Delteil, HaMmi su retirerait
mon. Rivière. Colin, Estival, Pauzautt,
Lapiace de Forton,
Nous croyon s savoir que M. René
Besnard. ambassadeur de France à RoOFFICIERS DE MARINE
me, renencerait bientôt à ses fonctions
Sont nommés dans le corps des of- diplomatiques et ne demanderait pas
ficiers de marine, au grade d'enseigne le renouvellement de sa mission.
de- vaisseau de 2e classe, les élèves suiM. René Besnard. qui est. on le sait,
vants sortant de l'Ecole Polytechnique • sénateur d'Indre-et-Loire, désirerait se
MM. Ciquelin, Balastre, Lefèvre, Mes- consacrer exclusivement désormais à
sud, Couvinon, Prache.
son mandat.
Les aspirants de marine provenant de
l'Ecole navale :
,
aJM Fernan Dufay. Faudelet, DuLe Meurtre
tiaud,- Hennerlch, Dopenel, Cleanec.
Revol, de Forceville, Sounisseau, Coenin, Chalmin, Delaplace, Nine, Niede Miss Danyels
hard, Beghelli, Cabaner, Farois, Gmlmard, Gardair. Arnoulx, de Birey, CheLondres, 1er octobre.
vallier, Witnand, Delort, Millot, de ParOn se rappelle que, par lettre du il
seval, Mariaux, Namour, Jonglez, Gilly. août, le ministère français des affaires
Molenat, Le Gloinec. Wapin, Burcier. étrangères avait transmis au Foreign
Maiière, Dunoret, Molinâri, Guillemin. Office -une demande d'extradition conLavegne Gasser, Fosler, de La Loge. tre Miss Carthy accusée de complicité
d'4usson, Ropers, Stnic'ên, Fonderie*.
te meurtre sur la personne de sa comBretagne, Jufelin, Brottet, Poder, Ruot. pagne Miss Danyels.
de l 'Epine, Blaison, Fiot, Teissier, du
Le Ferëïgn Office ayant considéré
Crotz, Lostain, Lanay, Carnuchot. de que les charges apportées contre Miss
Buretel, de Chasseyruc, Débat de Gino- Mac Carthy étaient insuffisantes et a
don, Oeglo, de Bésses, Berthelot, Gal- pri'^ le gouvernement français d'apportier Bahzre, Dutheil, de La Rochère. ter des preuves nouvelles.
Bréard. Bedos.
Le dossier se trouve toujours entre
' L'élève officier de marine, aspirant les mains des autorités britanniques.
de marine Le Mellot.
Ces officiers seront . destinés,
le
1«." octobre, au croiseur-école d'application des enseignes de vaisseau de
2= classe.
ii es relations économiques
Les officiers provenant de l 'Ecole
polytechnique rallieront le croiseur
jranco-américaines
Jeanne-d'Arc. à Brest le I e'' octobre.
Les officiers provenant de l'Ecole
navale et de l'Ecole des élèves officiers
M. Bokanowski, ministre, du Comde marine rallieront le 5 octobre.
merce, a eu, hier après-midi un long
entretien avec M. Sliehlon Vv'hitehouse,
MINISTÈRE DE LA GUERRE
chargé d'affaires des Etats-Unis.
Nomination
La conversation a porté sur le point
A été nommé dans lé service de de vue des deux pays, en ce qui con
l'intendance militaire des troupes co- cerne les relations économiques.
lcniales, au grade d'oifleier d'adminis- ' Aucune communication cependant n'a
tration de 3e classe, Besse, sergent au été faite à la presse, à l'issue de cet
entretien,
83 e d'infanterie.
Dans l'intérêt même des négociations
a-t-on déclaré au ministère du Com
Désignations pour le Maroc
merce. toute communication qui pour. Sont mis à la disposition du général ra être rédisréo à l'avenir sera rédigée,
commandant supérieur des troupes du d'accord entre les deux parties.
Maroc et rejoindrent par Casablanca.
le s capitaines Mmchez, du il" d'infanterie • Gaston, du 9 e d'infanterie : Massai, du 80 d'infanterie ; Alct, du 15'
d'infanterie, et ie lieutenant Cuq, du
15e d'infanterie.
NOMINATIONS DANS L'ARTILLERIE
COLONIALE
Les élèves officiers qui ont s atirlait
aux examens de sortie des écoles désignées "ci-aprè;. sont nommés au grade
de sous-lieutenant, :
1° Ecole militaire d'artillerie de PoiJe. la,du Shan
tiers ; MM Gouttes, Morel, Morgat,
Besson,
Charpentier, Herland, Couty,
Sal10
!t^m^'Ch"nndlscs
!i!i
'' 00 tous E Renticci. Horst. Ménard, Le Quellcc,
„>e
Pour
"trans".
t i
«an,
P av'aava?4Ôn"? St '"'la Chine Tfnland.
-?V
2° Lcole Polytechnique : MM. Bujon,
nce%°"
de Kalgan. afinMordant.
s soldats
du gé- Lefe'wre. Bonefous, Loup, Loudénet,
3- Ecole spéciale militaire de Saint.
Cyr ; MM Hobineau, Pideil. .Thomas,
I -hennit te Jeanucau Lambert, d« villemejaue, Bcnnilay, de La Chapelle, Le
Touer
6 is KUM
4» Ecole nationale supérieure des
' °çca. ;si,
Mines : M. Monceau.
ur tr,„"
-n
'ù
'7;„ le ' ociobn
u
J
'1
dU
-* 0r " trenti.!ème anui- Au grade d'o.'ficier d'administration
ftsiS î oe| Sainte Thérèse de 3' classe :
c
Secti m comptables, Ecole mfïitaitv
«il le s Carm» ,ri R°. I"'0- d'artillerie r}'» Poitiers ; MM Renard
et. Durand
Section des conducteurs de travaux,
u« Sa i min "', ftn<*ment
Recîe militaire et d'application du Rentr èse, carmélite nie MM B0.2na.1ix, affecté à ta cheff "cio du génie do Toulon ; Yven. affecté a la chefferie du génie de Brest.
W^f. 1" octobre.
Heur®
de folie
mystique
unavocatvénézuëlien
étrangle son amie
paris, 1er octobre.
C'est encore un horrible crime de la
démence qu'ii faut enregistrer. Hier, à
18 h. 15, dans un hôtel, », rue Gay-Lussac, un riche Vénézuélien a tranché lu
gorge de sa jeune amie avec une laine de rasoir, puis, comme la malheureuse se débattait, il l'a 'étranglée.
Le 3 août dernier, descendait a l'hôtel
de
l'Univers, un originaire de
l'Amérique du Sud, M. Enricque Celis
Bricenfo, se disant avocat, né le 21
mars 1900 à Menda (Venezuela). Il loua
la chambre n° 18, au troisième étage.
Bricenio recevait de ses parents d'assez fortes mensualités et possédait en
outre un compte en banque. Dernièrement, il avait fait la connaissance
dans un dancing du quartier latin
d'une jeune femme, Marguerite Gallier,
i'J ans, originaire du Havre, sans profession, ayant demeuré' dernièrement à
Villeneuvé-le-Roi, d'où elle partit le 10
septembre.
La jeune femme, selon les dires de
Bricenio, demeurait en hôtel rue Monsieur-le-Prince. Elle venait fréquemment voir son ami. Jusqu'à ce jour
l'accord entre les deux amis était parfait et nulle discussion n'avait éclaté.
Cependant depuis quelque temps le caractère du Vénézuélien s'était complètement modifié et il donnait par instants des signes visibles de dérangement cérénral.
FACHEUX PRÉSAGE
Dana la matinée d'hier, Bricenio
mit le feu aux rideaux de sa chambre.
Le commencement d'incendie fut rapidement éteint par le personnel de
l'hôtel.
Bricenio, interrogé sur cet acte de
malveillance, répondit avec calme
— C'est Dieu qui m'a commandé de
faire cela !
A l s h. 15, Mlle Gallier vint, comme
à l'ordinaire chercher son ami pour
dîner. Elle s'assit dans un fauteuil près
de la fenêtre et une courte discussion
eut lieu entre les jeunes gens. Soudain
Bricenio bondi; sur sa compagne et
avec une lame de rasoir mécanique entailla profondément le cou de la malheureuse, du côté gauche, en dessous
du mastoïde
Affolée, la jeune femme, perdant s on
sang en abondance, tenta de s'enfuir en
poussant des appel s- désespérés. Mais
l'hcn-me la rejoignit sur le palier, la fit
rentrer dan, la chambre et une lutte
terrible s'engagea. I* misérable fit rouler sa victime à terre et l'étrangla.
Lorsque M. Augustin Pataud, directeur de l'hôtel, avec un de ses garçons,
monta, à la chambre de Bricenio, celuici tenait encore sa victime et lui serrait le cou
A grartd peine on parvint à s'emparer du meurtrier et à le remettre entre
les mains des gardiens de la paix qui
le conduisirent au commissariat du
Val-de-Grâce.
LA
LUTTE DESEPERÉE
CONTRE LA MORT
M. Morgan, commissaire de police,
prévenu, se rendit aussitôt
sur
les
lieux du drame avec un médecin. Malheureusement, tous les deux ne purent que constater le décès.
Le corps de Marguerite Gallier était
étendu en travers de la porte, tout le
haut du corp s dans la pièce les jambes en dehors. Les jupes et ie corsage
arrachés témoignaient que la malheureuse avait lutté énergiquement centre
son meurtrier. Dans la chambre, tout
ce qui so trouvait
sur la cheminée
avait été brisé au cours de la lutte. Sur
les murs, le lit et les meubles, le magistrat releva de nombreuses taches
de sang.
L'INTERROGATOIRE DU MEURTRIER
Interrogé par le magistrat sur les
mobiles de son meurtre, Bricenio répondit avec calme que son amie lui
avait reproché l'état d'esprit dans lequel il se trouvait.
— Crois-tu en Dieu ? lui ai-je dit.
— Non, me répondit-eïlile.
— Alors je l'ai tuée. J'ai d'abord
taillé la gorge ; puis, comme elle résistait, je l'ai étranglée.
Il né fut pas possible d'obtenir
d'autres déclarations Dans la soirée,
le meurtrier a été écroué au Dépôt,
d'où il sera sans nuldoute envoyé à
l'infirmerie spéciale.
Le corp s de la jeune femme a été
dans la soirée envoyé a l'institut médico-légal aux fins d'autopsie.
IB&iIietioi
financier
MARCHÉ DES CÉRÉALES
Blé. - Bas» de HqalUatloh, ISA ; disponible, ;4.55 ; octobre. 1&3.ÎS ; noviiK'lir-c-iléceintire ir>6 , \ (|t. novembre, 150,, _
Farino, — na.se de
'liquidation, -JKi ;
disponible 200 !«, : octobre. --MO vendeurs ;
novembre-décembre, 212 niminal , i de novembre '212 nominal.
\volnes noires. — Baso de liquidation,
101 ; disponible, 98 ; octobre, 100.75 ; novembre-dCcembre, 101 ; disponible Incoté ;
octobre 101 nominal . novembre-décembre
101 ; 4 de novembre 101.
Seig-.es. — Base de liquidation. 131 ; disponible, incoté ; octobre, 131 nominal ;
novembre-décembre 131 nominal ; 4 de novembre 131 nominal.
Toulouse. 30 septembre.
Bladette et blés fins supérieurs. 80 kilos,
12fi tr, ; bonne qualité, 80 kilos, 124 lr. ;
ordinaire, 122 fr. j moyenne, 124 francs.
Blé ordinaire : graineux, mous, ios a
115 fr. Orge. 6» kilos. 60 fr. Avolnei .100 kilos. 02 fr. à 98 fr. Haricots l'hectolitre,
115 à 125 fr. Fèves. C5 kilos, 75 à 78 fr.
Vesces noires. 80 kilos, lis à t20 fr.
Farines. 100 kilos. 217 fr 89. Repasse, 70 fr
Son, 60 fr. Trèfles, 100 kilos, 700 à 750 fr!
Luzerne. 100 kilos, 700 a. 750 1r.
Bordeaux, 30 septembre.
Blé, Beauce-Orléanais, 75 kilos disponible
151-148 ; Touraine, 76 kilos. 151-148 • Vienne
75-76 kilos, ISl-li!) ; neux-Sèvres 76 kilos,
disponible 15-3146 ; Charente et' CharenteInférieure. 76 kilos, disponible. 154-151 : Gers
(55-15S : Lot-et-Garonne. 77 kilos, disponible.
157-154 : Haute-Garonne, .76-77 kilos, 158-155 :
Tarn-et-Garonne. 15S-155 } Harcl-Winter n" 2
Pacifique, pas d'affaires.
Farines : 22S-220, disponible gare
Bor
deaux logé.
Sons gros, disponible, gare Bordeaux :
72-69 : départ .- 57-60 • ordinaires disponible:
r>-?-('3, Bordeaux ; départ : 54-55.
Repasse ordinaire : 76-77, disponible Bordeaux.
Maïs roux Plata disponible : 111-11<J ; prochain : 112 -, livrable : 113-114 sur 3 d'octobre ; cinquantlni Plta disponible : 115.
Avoines Poitou disponible gare Bordeaux :
114-116 ; départ disponible : 100-101.
Béziers, 30 septembre.
Farines de Marseille, qualité réglementaire. 938 : supérieure, 248 ; Toulouse 226,
le tout les 100 kilos, rendus gare Béziers.
MARCHE AUX FOURRAGES
Toulouse, 30 septembre.
Sainfoin ire qualité, 23 â 24 fr. ; 2" qualité. 20 'à 21 fr. Foin, 17 à 18 fr. Paille,
8 à 9 fr. Le tout les 50 kilos.
OLIETIH MERIDIONAL
lemiÉe Boires Mimai an ia natalité
LE BANQUET DU SOIR
Le soir, à 7 h. 30, un banquet bien
servi réunissait les
congressistes à
l'hôte! de Paris.
A la table d'honneur, on remarquait ;
M. Lefevre Bibon. Mme; Saint-Ray
mond et Rossignol,
MM. Couroulieu,
Hion, Feuga Duchein. Kampf. Donat,
Bonnerat.
Rieux. Haury, Diirrbach,
Mme Berat Berger,
MM. Watine,
Vieuille, Glorieux, Cauchoix, etc.
Au Champagne, M. Lefevre Bibon,
président de
l'Alliance Nationale, a
prononcé un toast qui fut un véritable
discours.
Il
a rappelé, notamment, l'action
énergique de M. Izaac, et l'activité de
l'Alliance Nationale et son rôle pour
le relèvement de la natalité.
M. Boverat prend ensuite la parole
pour faire un parallèle entre la situation de la famille autrefois et aujourd'hui. Peut-être a-t-il le tort de généraliser la peinture un peu sombre qu'il
fait de la situation misérable et méprisée des familles nombreuses de jaotos
et de paraître croire que l'abandon social
de
l'épargne individualiste au
19« siècle s'étend aussi aux époques
précédentes, dont il passe sous silence
les institutions sociales, si favorables
à la famille et à la profession.
O'toiqu'il en soit, il a raison de souligner le progrès de l'épargne actuelle
sur celle qu'il l'a immédiatement, précédé et son toast est fort applaudi.
Les congressistes se sont levés de
table à i0 h 30 du soir.
rapport, la section catholique a émis
le vœu que les cures <le campagne se
tiennent au courant de toutes les lois
sociales, notamment en ce qui concerne
la protection de l'enfant et de la famille et veille à ce que chez eux. toutes les familles sans exception, quelles
soient ou non pratiquantes au point Je
vue religieux, bénéficient de ces lois.,
M. DE BOYER-MONTÉCUT
M. de Boyer-Miontégut a déposé un
rapport, qui a été lu par M. l'abbé
Sorel. Ce rapport met en évidence
l'aide que ies Semaines rurales et les
Coui'3 agricoles par correspondance apportent è la cause de la natalité.
A la suite de ce rapport, la section:
catholique a émis le vœù demandant
que l' institution des Semaines agricoles, des Journées rurales et des Cours
agricoles par correspondance se généralise dans toute la France.
M. DUVAL-ARNOULD
M. Duval-Arnoult,- député de Paris, a
aussi pris la parole :
a U importe, a-t-il dit, que les maîtres
d-3 l'enseignement agricole qui se dévouent a l'instruction de la jeunesse
profitent d© ces occasions pour développer en elle le sentiment de la famille, des devoirs qu'elle impose, dans
l'intérêt de la conservation de la race;
telle est la conclusion qui
s'impose
dans un Congrès de la natalité. »
JOVBME DE VEiVDTIEDI
Sinnce du matin
Vendredi s'est poursuivi, à la Chambre de Commerce, le 9 e Congrès National de la Natalité.
La matinée a été occupée par i assemblée plénière de la section de législation et par les travaux de la commission catholique.
MARCHÉ DES SUCRES
Paris, 1er octobre.
Ouverture. — Courant. 215. 206, 208 et 209;
octobre. 197 a 193.50, 3 d'Octobre. 197 à 190 50 ;
3 de novembre, 193.50 à 198.
Clôture. — courant, 213, 212.50, 212 et 213;
A LA SECTION DE LÉGISLATION
prochain, 197 ; 3 d'octobre, 197 à 196.50; 3 de
novembre, 19.50. Tendance soutenue.
La réunion était présidée par M. RisCote officielle, 207 A. 217.
ler qui a d'abord souhaité la bienvenue
à M François Marsal, ancien président
MARCHÉ DU HAVRE
du conseil, puis a eu lieu la lecture
Le Havre, 30 septembre.
Cotons. — Tendance à peine soutenue ; d'un rapport de M. Lambert, députe du
ventes 2.900 balles. Septembre 712 ; octobre Rhône, sur la naturalisation des étran709 ; novembre 699 ; décembre 69S -. janvier gers.
M Lambert se félicite de l'accroisse697 ; février C98 . mrs, 699 ; avril, 699 ;
ment formidable des naturalisations
mai. 699 ; juin, 693 ; juillet, 698 ; août, 697.
Cafés. — Tendance soutenue ; ventes 1259 passées de quatre mille â cinquante
sacs ; septembre 481 ; octobre, 47S.25 ; no- mille par an. U espère arriver prochaivembre. 47S.25 ; décembre, 462 ; janvier, nement au nombre de cent mille et da456 ; février, 451.25 ; mars, 448 : avril, 445.25; vantage, pour le plus grand bien de
mai, 439.75 ; juin, 436 ; juillet, 432.50. Le « ce pays ».
M. Lambert dit '« c.e pays K en parreste ifîcoté.
Laines. — Tendances calme , septembre in- lant de la France, qu'il paraît éviter
le
plus possible de désigner par son
coté : octobre 1320 ; novembre, 17.80 : décembre 1770 ; janvier, 1750 ; février, 1750 ; nom.
Il veut aussi que les nouveaux namars, 1750, Le reste incoté,
turalisés aient les plus grandes facilités pour franciser leur nom, et cela
MARCHE DES METAUX
non certes pour permettre à certains
éléments
indésirables de s'introduire,
Antimoine. — Qualité spéciale -. 64 1 0/65. plus facilement chez nous, mais pour
Cuivre. — Comptant : 53 8/1 jj ; à trois conserver sa belle sonorité à une lanmois ; 53 15 17 ; Best selec. 59.10 à 60.15; gue qui nous est chère !
éleetr., et à 61.10.
Pour ce qui est des éléments tarés
Etain. — Comptant : 265 2/6 : à trois mois qui se sont introduits dans « ce pays ».
262 2/6.
Plomb anglais. — Comptant : 21 15 : Etger il paraît difficile au rapporteur de les
éliminer. Il demande seulement qu'une
comptant : 20 .2/6 ; etger livel : 20/5.
Zinc. — Comptant : 26 17/6 : livel : 36 meilleure politique d'immigration, en
empêche un nouvel afflux, tout en ap13/9.
pelant les éléments sains, en nombre
Argent. — Comptant : 25 n/16.
considérable, à l'intérieur de nos fron" Or — 84/11.
tières.
Mercure. — 21 1S/22.
Ce rapport provoque plusieurs interOr ûn .- 17 ; argent fin : 0.460
SO ; platine : 48
ventions. La plus importante est celle
MARCHÉ AUX COTONS
de M. Ambroise Rendu, doyen du conseil municipal de Paris.
New-Orléans, 30 septembre.
M. Rendu indique que dans le seul
Octobre. 2112 ; décembre,' 2127/30 ; mars,
département de la Seine, il y a déjà
2155/5 ; mai 2065/69.
700.000 étrangers. Un grand nombre de
New-Orléans, 30 septembre.
ceux-ci ont apporté avec eux des malaDisponible, 2.156 ; octobre, 2145 ; décem- dies que nous ne connaissions pas en
bre, 2163 à 2168 ; janvier,' 2168 à 2173 ; France ou dont nous étions débarrasmars, 2190 ; mai. 2196 ; juillet, 2185.
sés depuis des. siècles : la lèpre par
exemple.
MARCHE DES VINS
Nous dépensons 420 millions pour
Narbonne, 29 septembre.
Malgré une nombreuse affluence. le mar- l'assistance publique ; et encore que
soigner
les malades sans distinction de
ché a été calme. Les transactions sur vins
nouveaux sont peu nombreuses : les vins race soit pour nous un devoir de chavieux conservent leur prix de I80' à 200 fr. rité, nous devons reconnaître que les
étrangers sont, proportionnellement à
l'hecto nu, pris chez propriétaire.
La commission de constatation des cours, leur nombre, beaucoup plus nombreux
que les Français dans nos hôpitaux, et
cote :
; ,
Récolte 1927. de 8,5 à tr. 155 à 190 fr. que néanmoins les étrangers ne partil'hecto nu. pris chez récoltant, frais en sus. cipent pas aux dépenses en faveur de
l'assistance publique.
Alcools de vin, en disponible] 750 fr.
11 conclue, aux applaudissement dp
Alcools marc, sur octobre. 600 fr.
l'assistance, qu'un sévère contrôle doit,
Alcooi mare, disponible, 625 ti 650 fr.
être exercé à la frontière, tant au point,
Eau-de-vie marc, sur octobre, 600 fr.
Eau-de-vie marc, disponible, 625 à 6S0 fr. de vue sanitaire qu'au point de vue
les 100 degrés, par hecto nu, pris chez bouil- moral, car la France n'a besoin ni de
leur, trais en sus et par douze pipes mini- foyers de contagion ni de foyer d'émeute.
mum.
M. Lambert répemd en approuvant CP
Béziers, 30 septembre.
Cours moyens : vins, récolte 1927, 16 50 à qui vient d'être dit et présente un vœu
18 50 le de.îré ; rosés, 18 à 18 50 lé degré *; tendant à intensifier l'émigration et
bourrets, pic-pouls, pas d'affaires, selon cou- les naturalisations.
M. Risler clôt la discussion en disant
leur, orualité et conditions, l'hectolitre, nu,
fort sagement que l'émigration, même
pris chez le récoltant, tous frais en sus.
Alcools. — Pas de cote.
la meilleure, n'est qu'un moindre mal
et que le véritable bien est l'accroissement du nombre des berceaux.
- Après ce. rapport, la parole a été donnée à M. Baverat, qui a présenté un
rapport sur les primes à la natalité.
AUTOMOBILES D'OCCASION
Ces primes dont la généralisation est
une impérieuse nécessité, permettent à
la jeune mère de se soigner attentiveTorpédo 2 pl. PEUGEOT 4 C.V. 1924
4.8Û5 ment et de ne pas hâter ses relevailles.
Torpédo 2 pl. PEUGEOT t C.V. 1925
5.5O0
Torpédo 2 pl. MATH1S 5 C.V. 1924
5.000 Elles encouragent la maternité en la
Torpédo 2 pl. CiTROtN S C.V. 1924
7.500 rendant- moins dangereuse.
Torpédo 2 pl. ZEBRE 6 C.V. 1914
3.5.0
Torpédo 2 pl. TERROT 6 C.V. 1914
3 50C LE CONGRÈS MONDIAL
Torpédo 2 pl. AMILCAR 6 C.V. 1925
7.500
DE LA POPULATION
Torpédo 2 pl. SALMSON 6 C.V. 1925
7.500
Torpédo 3 pl. MATHIS 5 C.V. 4923
5 SOC
A ia même séance, M. Vieuille, memTorpédo 3 pl. PEUGEOT 5 C.V. 1926
10.500
Torpédo 3 pl. RENAULT 6 C.V. 1925
10.500 bre du Conseil supérieur de la nataliTorpédo 4 pl. PEUGEOT 5 C.V. 1926
10 80C té, a -t'ait une communication sur le
Il 50C Congres mondial de la population, du
Torpédo 4 pl. CHARRON 7 C.V. 1914
4 500 à l'initiative de certains groupes briTorpédo 4 pl. PEUGEOT 9 C.V. 1924
11 000
Torpé'o4 pl. ROLL.-PILAIN 10 C .V. 19J4. I2.00C tanniques et américains, qui s est tenu
Torpédo 4 pl. PEUGEOT 11 C.V. 1914
4 2CG a Genève, au commencement du mois.
Torp.do 7 pl. BUIRE 13 C.V. 1918
I0.50C U a fait connaître la constitution d'un
Torpédo 7 pl. RENAULT 10 C.V, 1922
8 50. Comité international : a Pour la vie et
2 80!
la Famille », qui s'est formé à Genève,
Tcrpéro7 ni, DELAUNAY 18,C.V. 1910.. 3,80( dans le but ue lutter dans le monde
Torpédo 5 pl. PANHARD-SP. 28 C.V. 1926 35.051,
Coud. int. 3 pl. PEUGEOT 5 C.V. 1927
15 000 entier contre les tendances néo-malthuCond. int. 4 pl. RKNAULT 6 CV. 1925
14 5T. siennes et ies .tentatives faites dans diCoud. im. 4 pl. PEUGEOT 7 C.V. neuve
2100'
vers
pays
pour le taire pénétrer
Cond, int. 4 pl. PEUGEOT 9 C.V. 1926
17 5 0 dans la législation.
Cond. int. 4 pl. CITROEN 9 C.V. 1926
15.500
Ce Comité, dont font partie des assoCond. int. 7 pl. ARIES 15 C.V. 1922
12 5 t
Jond. int. 7 pl. RFNAULT 17 C.V. 1914... 8 500 ciations natalistes et tamiliaies d'AnCond. int. 7 pl. BU1CK 17 C.V. 1916
4 000 gleterre, de Belgique, de Hollande, d'AlCamionnette 250 k. PEUGEOT 5 C.V n-uve 12 500 lemagne, de fiance et d'autres pays,
Camionnette 250 k. CITROEN 5 C.V. 1925 . 9 OfQ a élu pour président M. Auguste lsaac,
CamiAnnette 500k. CHENAR 1 7 C.V. 1914 4 50C président du Conseil
supérieur do la
Camionnette 400 k. CITROEN 8 C.V. 1921 . 8.50C natalité ; il a fixé provisoirement son
Camionnette 500 k. BRASIER 10 C.V. I9'4. 5 50C
siège
à
Paris,
et
a
décidé
de convoquer
Camionnette 50 k. GREGOIRE 10 C.V. 1914 5 50C
Camionnette l.2C0k. FIAT 14 C.V 19 '8
9 5CC au cours do l'hiver prochain à Paris
Camionnette 1.200 k. PANHARD 15 C.V. 1914 10.50C un Congrès international, en vue d'éCarrosseries Autobus, Camionnettes. Voi- tudier des problèmes d'encouragement
tures, etc. Moteurs, Châssis, Roues, etc. a la natalité et à l'aide de la famille.
AGENCE DES AUTOMOBILES PEUGEOT
M. L'ABBÉ SOREL
Remises sur voilures neuves diverses marques
Séance de l'après-midi
M. BONVOISIN
M. Bonvoisin, directeur du Comité
central des allocations familiales, a
présenté à la section économique l'or- U,
ganisation des caisses de compensation •
et sur leur action sociale.
Il indique d'abord le développement
atteint par cette institution dont le 1
bilan, depuis le dernier exercice, se -,
solde par un gain de 15 caisses 2 200 l
employeurs, 120.000 salariés et 30 mil- n
lions d'allocation.
Il entre dans des détails concernant
le barême de ces caisses, les services -;
d'hygiène maternelle et infantile, les "
allocations maladies et il conclue en
disant que les employeurs français continuent à se préoccuper, avec une acti- -,
vité chaque jour plus en éveil, de la../
protection - de la famille ouvrière et S
d'une manière plus générale de La '
garantie du travailleur contre les risques sociaux.
M, VIEUILLE
Après le rapport de M. Bonvoisin a'
eu lieu à la section économique, celui
de M. Vieuille sur- le mouvement démographique dans divers Etats d'Europe
Ce rapport, fort intéressant et dont les
constatations sont assez inquiétantes j
pour notre pays, fait sentir plus vivement la nécessité d'une politique de
natalité efficace.
LA
COMMISSION
PROTESTANTE
La commission protestante a entendu des rapports de M. le pasteur
Reyss sur l'association en vue de favoriser les -familles nombreuses des ministres du culte protestant ; de M. Le
Gouis sur la ligue contre l'immoralité
publique et l'abolition de la constitution réglementée ; de M. le professeur
Haury sur l'élément philosophique et
religieux dans le prôblètie de la natalité et de M. le pasteur Caldesaigues
sur le retour à l'Evangile du Christ
pour remédier à la crise de la natalité.
Ces deux derniers rapports concluant
à la nécessité de travailler dans un
esprit d'union patriotique, et de largeur
chrétienne avec toutes lés grandes forces morales et sociales du pays,' à'
l'amélioration du sort matériel de la
famille comme à l'éducation des volontés.
M.
Ambroise
.'
',
•
.-
RENDU
M; Ambroise Rendu, doyen du conseil municipal de Paris, prend la parole à la commission d'hygiène de
l'habitation.
Les mauvaises conditions du logement rural sont cause, pour une part, [
de l'abandon de s campagnes et die la
dénatalité.
Pour fixer le travailleur des champs,
il faut lui donner, non seulement le
gîte, mais le charme du chez soi ; le
taudis rural est dangereux parce qu'il
compromet la moralité, ren* l'hygiène
impossible et développe la tuberculose.
Cette nécessité sociale était comprise
dans l'ancienne France et le soin apporté à la résoudre était une cause du
rroîond attachement dès paysans d'autrefois à leur maison et à leur terre
Aujourd'hui, il faut usér de s facilités
accordées par la loi du 5 août 1920 en
faveur de la petite propriété -rurale,
étendre l'activité des sociétés de crédit immobilier, des caisses de crédit
agricole.
M. Rendu explique le fonctionnement de ces organismes, qui peuvent
beaucoup pour l'amélioration du logement et le maintien à la .terre.
La liquidation s'est fort bien passée
avec, comme il était prévu, un taux
d'argent pour les reports légèrement
tendu. 2 1/S % au parquet et 5 1/2 en
coulisse
Mgr CHAPTAL
En ce qui concerne la tenue générale
du marché, elle s'est montrée satisfaiA' 5 heures a lieu,, sous la présidence
sante maigre les déclarations de M.
de M François Marsal, la conférence
Poincarè qui, malheureusement, ne
de Mgr Chaptal, évoque auxifiair© de
laissent pas espérer une réduction proParts, sur i'itninigi-ation familiale en
chaine des impôts grevant les valeurs
France.,
immobilières.
M. François Marsal, en quelques
Nos rentes sont fermas, notamment
mots, présente l'orateur, d'ailleurs fort
ie 6 % 1927 à 100 10 et le 4 % 1918 à
62 10.
connu, et Mgr Chaptal prend la parole.
Bonne tenue des fonds Turcs . 4 %.
120* 5 % 95 50
Rappelant tout d'abord qu 6 les écoLe Suez s avance à 14.810 contre
nomiques sent faites pour l'homme et
U 650.
non pa s l'homme pour celles-ci il dit
Le RTOupo des Banques se présente
que l'on doit, tenir compte -surtout de
sans grand chantrenient. Le Foncier
la situation familiale des émigrants
d'Ecvpie cependant progresse à 4.630.
Lômigrant venu en Franoe avec les
et la Banque Ottomane à 1.635.
siens s'attache plus facilement à nôtre
Petite avance du Rio à 4.970. Par conpays et résiste mieux aux influencés
tre ia Tanganyika â 457 perd un peu
pernicieuses qui l'entourent
de sa bonne humeur précédente
L'ésnngrant isolé, au contrai-e est
La de Beers est hésitante à 1.7S9.
une praie facile pour les agents de déMines d'or bien orientées, sans variasordre et deviendra
un perturba te uir
tion de cours.
ou, s il résiste à l'entraînement aspiParmi les affaires de pétrole, la
rera à retourner près des siens.'
Boyal est ferm» à 36.150, ainsi que la
Au point de vue économique même
Malopolska à 719, et la Conc-ordia à 233,
1 émtgrant entouré de sa famille sera
Hausse dans l'ensemble des Caout
une cause d'enrichissement pour lo
ehoutiares; nouvelle avance des Ex
payg et dépensera en France l'urgent
ploitations Minières en Tunisie t L4ô;>,
LA COUPE MARCEL PORÉE
qu il y aura iragné. L'émigrant venu
de la Minière et Financière à 2.455: <!e
seul enverra ses gains à sa famille et
e
Paris, I ' octobre.
la
Tubize
à
907
I' rance " n -c cause d'apauHier après midi se sont continuées, à
vris6em'"n
S*eiiti l'Etude* tt fntûrmrattoni
la Croix-Càtelan, les matclies complant
Finanriiret.
Mgr Chaptal étudie ensuite comment
pour la Coupe Marcel Forée. Tous les
ces principes on t été reconnus et apVivienne Parit !2'l.
15. tt
iinatches ont été disputés. Voici les
pliqués par les sociétés et . par les
résultats ;
Etats.
Ctianges
Les
Simple messieurs.— Quarts de finaIl constate que la France n'a pns rte
le : Cochet bat Aslangui, G-0, 2-6, 6-4 :
La
Franc,
124
;
dollar,
lutter
sali
<ir»,rag-e
Londres. —
,86
commission catholique a égale. politique d'émigration familiale et in
tt. Boussus bat H. Gouttenoire, fi-l', 6-2
ment siégé vendredi matin,
1932.
3,
Grande
Hue
Saint-Michel.
TOULOUSE
sistc
sur la nécessité de regrouper les
P Landry bat Glasser. fi-3, G-3 ; A. Arotl
M l'abbé Sorel'. curé cle La GrâceLivre, 4,8656 ; franc,
New-York.
bat i'orralva G-3, 10-8.
Dieu, met en valeu:.- le parti que Ton lanulles divisées par l'émigration et
3,9250.
non
les
émigrations
Double messieurs. — Demi-linales •
peut urer oes lois sociales existantes, te favoriser,
(i individus, mais les émteatfons rte
Barre.let et Piel battent Gouttenoire frèun
PRODUITS HESINEUX
pour la plupart, sont dues à lini- familles, car celles-ci seulement sont
res, 7-5, 6-2 ; Kleinade et Buzelet batfictive
Tour du Pin.
les .cellules sociales capables de s'entent Joba et Guillemot, 7-5 6-2.
Ces Ici
Urgence de térébenthine* — Sans animasrrnettBQÎ de porter une raciner dans le pays
Bordes bat Mlle I. Gallày, 6-1, 6-4 ; tion. Disponible, 37 1/4 ; octobre-décembre.
aide
efficace
à
l'enfant et a la iumili
f\ quand notre rendez-vous ?
M. François Marsal résume avec
Simple dames — Demi-finales -.'Mme 38 ; Janvier-avril, 39 3/4.
nonibiMuse : mais il est à désirer qu»
Mme Mathieu bat Mlle Bourgeois 'i-fi
A vrai dire vous a 1 ez des mesures communales complètent beaucoup d'esprit la conférence M InRésine. -- Tendance calme. Américaine R,
téressante de Mgr Chaptal nuis la paG-3. G-0.
' '
nie voir partout, mais ces . lois.
3/4 ; F U II, 21 3/4 ; N, 23 ; W, 27.
rôle est donnée à M. Risler
Double dames. — Borni-finales : Mme
C'est ce qui .a ,è;é fait dans la comfrançaise, _ F (i, 20 3/4 ; W, 23 I.
mon irrand quartier géBordes et Mlle Bourgeois bntlent Mlle
néra! est chez TIlll-.BY. mune de La Grâce-Dieu, qui a doublé
Sporanza et Mlle Amaury, 6-3, 7-5 •
M. RISLER
New-York, 30 septembre,
avec qui je viens de si- le montant dos primes déi>ai'teiii«uiiaU's
Essence de térébenthine, 53 J. Tendance
M mes Mathieu et Vaussàrd battent
M. Risier envisage le problème du
gner un engagement de a. la natalité et oui. par tonte nue série
forme.
Mlles .1. et V. Gallay, 6-i, 64,
<i institutions mutualistes, a réussi à
iro's mon
Savannah, 30 septembre
Double mixtes. — Demi-linales •
conjurer la crise do dépeuplement et de
Essence de térébenthine, - 47 à 47 1/4
Mme Mathien et Aslangui battent
dénatalité;
•
Parlant de cette idée que le rhef de
çenta
pour
tin
galllon
de
3
kil.
500.
Tendance
Mme Vaussàrd et Gouttenoire, 3-G 7-r,
f.i- rapnoneur a fourni sur ces divers
G-3 ; Mlle Bourgeois et ''.' Boussus bat- tanile.
poinls les cliiflrcs les plus eoncliients. JUBHto a pins dïî rcspnns.bili 4
plus
que la Cêlibatnir* . |
Résine - Tm> F. 7 d. 65 ; W G 0 d 15 •
M. l'abbé Sorel u présenté aussi un Rislerd<se devoirs
tent Mlle Neufe.ld et Aeniau, G-2 6-2.
d.Vlarc ,„!,
'" 'W. 10 d. 50.
.
.
,
rapport sur l'action personnelle du nrè.
tre dans sa paroisse. A la suite de ce £UMH »U familial ; pourquoi le ' Ve ^
fdimllc, qui représente ses onfani' Ï
9
,
,
,
I
SAMEDI
vilement, ne les représenterait-il pas
aussi politiquement '/
L'orateur cherche un système qui satisferait à la fois les partisuis du vote
familial et ceux du vote du femmes :
H espère que l'on arrivera o ce sujet
à une solution équitable..
IJQ rapport de M. Uisler eet commenté par M. Français Marsal et M. DuvalArnoult. Après quoi la séance est levé*
Aujourd'hui : de il n. 30 à 10 h. 30.
réunion dans les sections pour IK réduction des vœux : de B h. 30 a 11 h..
conférence du bureau du Congrès et
dos bureaux ; de 11 h. à U h. 30, séance plénière pour l 'adoption des vœux
da Congrès ; à 12 h. 30, banquet
LA
JCVKNËh
A 3 heures se tiendra, dans )a giande salle de l'hôtel de la Chambre de
DU 1" OCTOBRE 1927
Commerce, la séance solennelle de
Saint du jour : Saint Rèmv.
clôture du Congrès, sous ln présence
ât M François Marsal. sénateur, anFête de demain SS Anges Gardiens.
cien président du Conseil. Après une
m-* Congrès de la Natalité.
allocution du président aura lieu la distribution des médailles de la Famille
m-* Congres (ici A. F. G. et des éva
française, puis la lecture des poèmes dès.
récompensé* au concours poétique de
langue française et de langue d'oc orNouvelles Religieuses
ganisé à l 'occasion du Congrès. — F. A.
EGLISE DU ROSAIRE. 3, rue Lspinasse. — Dimanche lote du Rosaire :
A 7 heures, messe de communion
La Température
avec chant et allocution a l'Evangile
a 10 heures, messe chantée, à l'évangile
OU 30 SEPTEMBRE
bénédiction et distribution des roses,
La dépression du Nord de l'Europe selon le rit dominicain ; à 4 h 30.
signalée hier est passée a l'Est ; une premier chapelet, vêpres solennelles,
autre suit aussi importante et la sermon par le T. R. P. Beauvais, prohausse barométrique
actuelle
sur la cession et 2 e chapelet, salut, troisième
France paraît être de courte durée. On chapelet.
a relevé 4 mm. de pluie a, Saint-Jean* EGLISE SAINT-EXUPERE, SAINT-MIde-Lux, 3 û Toulouse.
CHEL. — Fête patronale de Saint-ExuLa température donne 3 et 1R n. Bor- père .- le matin, à 9 h. 30 grand 'messe
deaux ; 4 et 17 à Arcachcn : 13 et 20 à pontificale (messe en musique de CéPerpignan, 11 et 21 à Nîmes.
sar-Franck) ; le soir, à 3 h vêpres
Le ciel reste nuageux avec tempéra- Cantate à Saint-Exupôre, (Paroles de
ture en baisse.
M. le chanoine Dupln. musique de M:
Touvielloi
;Panégyriqtie par M. l'abA Toulouse :
bé Castaing, aumônier, chevalier de la
Temps beau et frais.
Légion d'honneur : Q Salutaris (GuilPression barométrique à midi
15.
mant) ; Tu es sacerdos (Th. Dubois) •
Température minlma : 11.
Tantum
ergo,
(G. Fauré) ; Choral
Température muxiuia : 17.
Loué sois-tu (J. L. Bach).
Vent à midi : Nord-Ouest, faible.
Les offices seront présidés par sa
Soleil • Lever. 5 heures 50 : coucher,
Grandeur Mgr Le Rouzic, évêque titu1? h. 30 '
laire de Madame.
Lune - Premier quartier le 4.
Probabilités . Tamtps nuagieux, un
,pe.u frais ; vent nord-ouest.
1"
OCTOBRE 1927
TOULOUSE
BULLETIN AGRICOLE
DE LA TOUR EIFFEL
Du 1 er octobre
Sud-Ouest. —
Assez
beau temps,
brouillard le matin, pute ciel devenant
brumeux, nuageux avec éclaircies ;
vent s variables, 2 à 4 mètres ; baisse
de la température, minimum 9°.
PROBABILITE GENERALE
Vents de Nord-Ouest faibles ; temps
frais beau nuageux ; rosée ; minima,
5 à SDans les P.
7,
7,
M.
Soller, contrôleur à Bordeaux
bourse, passe contrôleur principal
à
Paris (XX«) ; MM- Desplats,
commis
principal à Toulouse, R. P., passe contrôleur à Orléans, R. P. ; Lalfargue,
commis principal à Auch. passe contrôleur à La Rochelle : Vuillauine, commis principal à Pont-â-Mousson, passe
contrôleur à Morteau ; Barrère, commis à Nogùent-le-Rotrou, passe commis
principal à Dax : Roger, surnuméraire
de cours de Toulouse, passe surnuméraire à Caen, R. P.; Delonca, commis
principal à Sancerre, passe
commis
principal à Béziers, central; Roux, commis principal à Marseille Saint-Charles, passe commis principal à Montpellier, R. P.: Lescournet, commis principal à Perpignan, - passe commis principal à Montpellier. R. P.; Lalanne-Latoeyrie, commis à Paris central, passe
commis à Bordeaux central ; Lazarti#ues, commis en disponibilité, passe
commis à Agen : Baurens,
commis
principal à Paris poste, passe commis
principal a, Dax.
Ecoles Vétérinaires
Voici la liste des élèves admis dans
nos Ecoles nationales vétérinaires :
La rentrée des classes
Les familles des quartiers du Busca
et de C-oix-Daurade sont informées
qu'en raison de l'inauguration des
nouveaux groupes scolaires, la rentrée des é'èves de ces écoles est reportée au lundi 3 octobre
Toutefois, ces derniers se rendront,
accompagnés de leurs parents, à la
cérémonie d'inauguration nui aura lieu
demain dimanche 2 octobre, à 10 heures, au Busca, et, à 16 heures, à CroixDaurade.
Congrès
DES ANCIENS PRISONNIERS
DE GUERRE ET ÉVADÉS
DU SUP-OUEST
C'est aujourd'hui samedi 1er octobre que s'ouvre le cinquième congrès
régional des A. P. G. et Evadés du
Sud-Ouest.
Nous rappelons que le dépôt de la
palme au Monument aux Morts aura
lieu à H h. 30. Rendez-vous à 1& porte
principale du cimetière Terre-Cabade.
A 15 h., séances plénières d'ouverture du congrès à l'ancienne Faculté
dos lettres. Dimanche, à 12 h. 30, banquet officiel (se faire inscrire au Secrétariat général, 17, rue de Rémusat).
A 16 h., meeting à l'ancienne Faculté
des lettres.
Sorée de gala aux théâtres des Variétés et des Nouveautés.
Tous les A. P. G. sont convoqués
pour ces diverses manifestations et les
anciens combattants sont invités aux
séances plénières et au meeting.
Concours National
cette date
Faits Divers
AU CINEMA
Une enquête e^t ouverte au 3" arrondissement pour vol d'une somme de
113 francs, commis dans ia nuit du 2*
au 2i) septembre, dans l'un des placards qui se trouve dans la salle de
spectacle du cinéma Olympia, rue
Saint Bernard. 13.
COMMENCEMENT D'INCENDIE
Vondrotli soir vers 6 heures et demie,
les pompiers de la caserne centrale
Itâient avisés téléphoniquernent qu'un
incendie venait de se déclarer place des
Pénitents-Blancs.
ABSENCE MISE A PROFIT
Dans la soirée de vendredi, entre
7 h. 'et 9 h. 15, pendant l'absence de
M. Pierre Marrast, âgé de 28 ans, employé des P. T. T., demeurant, 36, rue de
la Colonne, un inconnu s'est introduit
dans son appartement en fracturant la
porte d'entrée et a dérobé une somme
de 8C0 francs placés dans le tiroir d'une
table.
M. Sacaze, commissaire de service,
s'est aussitôt, transporté sur les lieux et
a constaté que pour pénétrer les malfaiteurs avaient forcé la serrure de la
porte.
Une enquête est ouverte.
RETOUR... AU LOGIS
Une vieille connaissance des juges,
François Sablé, âgé de 34 ans, sans
profession ni domicile fixe dont nous
avons relaté
hier l'arrestation a été
conduit vendredi au Parquet.
Après
interrogatoire
il a gagné la prison
Saint-Michel où il s'est aussitôt retrouvé chez lui.
Judiciair
Soirées de l'A.C. la Rose. - Cette
société a le plaisir d'annoncer à ses
membres et a ses amis qu'elle fera l'ouverture de ses bals avec jazz demain
dimanche 2 octobre, dans ln salle des
têtes du café Daraux, 29, rue de la Concorde. Bal surprise tous les dimanches.
Amicale Sportive de l'Espérance. —
lous les joueurs d'association sont convoques dimanche sur le terrain de l'Intime Sportive au Pont-de-l'Hers à 13
heures 30. A 14 heures, l'équipe A mataient en championnat contre l'équipe
Oc Noé. A 15 heures et demie l'équipe
B disputera une partie d'entraînement
con ]re une équipe de l'Intime Sportive
Athlétisme. — Dimanche à 9 heures, entraînement de l'équipe d'athléplacé tisme du parc Toulousain.
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de voix, à M. Géo Valdy le monotonp
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de son jeu et à M. Louis Blanche une
(sucre et huile ordinaire exceptés;
interprétation beaucoup trop chargép
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du rôle du Pirée.
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troupe composée de vedettes de choix.
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collets 92.
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lité, françaifc, langues vivantes) Tous TM> 1er Roi des (losse.t uer épisode). Amow
.es stenos-dactylos-comptables, sans ois- et Cratmraleur, comédie. Paihé nevue.
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I6I80 Section des Prévoyants de
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e; 28 mai.
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de la débauche. Michel v..., éujet espagnol
l 1 a entendu. de s tèmoin s au sujet de
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vagabondage
et mendicité :
Sur plainte de Mme Claire Bertucat,
Auguste Magnan. âgé. de 47 ans. in
fleuriste, face café Sion. une enquête
est ouverte au l» arrondissement pour culpé de vagabondage et mendicité :
Pierre Touzet, âgé de 41 ans, homme
vol d'un tricycle, commis au préjud'équipe, inculpé de coups et blessures
dice de la plaignante.
Sa victime sera examinée par M. le
professeu.; Sorel.
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Il a procédé a, l'interrogatoire du
M. Paul Proudhon, chauffeur, demeu- jeune Eugène D... âgé de 17 ans. inrant, 20, rue Bachelier, a porté plainte culpé de blessures par imprudence.
contre inconnu qui lui a dérobé, venCe même magistrat a lancé un man
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bicyclette d'une valeur de trente francs commis divers abus de confiance au
environ qu'il avait laissé sur sa ma- préjudice de maisons d'articles pour
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de la place du Capitole pendant qu'il fession qui a vidé 'e tirôir-ccisse d un
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ttarcl es 11 ?^ îles et lommérciani
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et ia Vinification en 1927
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t>rlx
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marché
vendrai;
ils
entl au
peuvent donner lieu a ae légères modi cet impùt spécial se superposera à la
«f 0mlémeI! ,nTla dernière eau- marché.
(Suite)
lierions suit uni les régions et les con patente.
Sans doute, un fléchissement s'est
dittont varlicullères aes marchés.
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bonnais, bourpuignons i :tras, de 600 à
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lement
l'attention
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LA
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Do
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correspondant
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ce
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qui
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rôle
WJS&
'
800 livres de viande, i 10 à 4 30 la livre
ils ociusiounent des dt penses im?
déterminant eux notre marché. Au- Principes essentiels de la Vinification ju
Paris, ^8 septembre.
P
*U VICNOBLE
nette; bons animaux, de 1.000 à 1.200 liportantes de manutention : lo foulage
A
Le
changement
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saison
n'a
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onnée8
par
«
««W
moulin reviennent à des prix très montré que l'alcool produit par la fer- les blancs et robés, le pressu'age. la girne otimaterirjua que nous subissons Normands extras, 4 V) à 4 30; bons aninS 0
maux. 3 95 ù 4 20; ordinaires», 3 70 à 4 fr.
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,nd icat, ° ._„;„ des vendanges
supérieurs aux prix ries indigènes, et uieniaiion
déniai"
Les monte-vendanges mécaniques, depuis le printemps : on a revu des Salera des Deu-;-Sèvres et Bouges dides germes aussi ellicace au moins
„„' revoyant ses v lg nes, l'importation est de ce fait extrême
de la pluie, avec linéiques ap vers extras, 3 V5 à 4 15; I ans animaux,
que l'acide sulfureux. Les germes de loulo pompe, relo uons, etc.. munis ou tempêtes,
paritions — trop rares — de soleil et
vo^ ole ' Kits intéressants. Des mi . t réduite.
moisissures, les levures sauvages er, non de fouiolr ou d'citrappoir ont très l'on a en ouire pas mal d'inondations 3 80 a i 05, ordinaires 3 65 à 3 90. Gris
jfS îïueiUies on titre des Que doivent faire les producteurs ? apiculées ete ne se développent plus chaînes à godets génératrices de casse dans diverses régions, de l'eau stagnan- de l'Ouest, vendéens parthenals, monceaux, anglaisés, inuraîchins, choletais,
dès que le milieu atteint environ 3 à lcn-ique. La plupart des grunds coua- -.it^ n - Z le3 {umures et les
Tout d'abord, ne pas se laisser im- 5 desrés d'alcool A partir de ce mo- truekiiirs en fabriquent qui ont d'ex- te dans dee près qui avaient des regains nantais extras, 3 30 à 4 15; bons aniV tionS d automne et d'hiver,
coupés
et
lo
tout
est
agrémenté
de
cellentes
quulités
:
choisir
de
préfépressionner par les évaluations offi- ment, ils tombent et les levures ellipmaux. 3 75 à 4 fr.; ordinaires, 3 60 à
i* en*
sont-elles d'un très
rence ceux qui ne! s engorgent pas et temps à autre par dt s geiées blanches.
80. Boeufs du Midi, 3 50 à 4 fr. Bœufs
cielles très optimistes parues sur les tiques, bien iiue beaucoup moins nom- qui
Les vendanges se pot. . suivent dans des grossiers de toutes races, 2 65 à 3 60
ne ha "tient pa3 les raisins.
V*
vigoureuses, aux sar- récoltes des Etats-Unis et du Cana oreuses, se développenet à leur aise.
I,a vinification en blanc ou en rosé conditions très variables quoique, ce- Génisses exras . charollaises, berrichonOn voit de suite l'importance de cette s'impose
' et forts ? c'est qu'elles da. Au Canada, les récoltes ne sont
pour ies vendanges soohts ou pendant pas trop mauvaises; on arra- nes, 4 10 à 4 35; normandes, 4 10 i 4 35.
hi vert
observation : L'acide
sulfureux n'a altérées (voir
tnts mS l-!n H sera utile cepen- pas encore complètement battues et qu'une
plus haut). L'égouitage che les pommes de terre tardives, avec Rouges, 3 80 h 4 20: grises, cr.oleiaises,
action éphémère parce que. dès est presque indispensable,
^portent b*»- " ^ à {ruit> de
en tous cas beaucoup de- déchet et d'autre part on mancelles, 3 fiâ à 4 25; génisses ordinaique .'a fermentation, commence, il n'y très avantageux avant la mise (les rai- s'engage
même
terminées.
Les
cours
montrès activement dans les gros re-, de toutes races, 3 65 a 4 10. Vactres j
a plus d'acide sulfureux libre qui agis- sins au prosjolr, Ou a tendance à sup- travaux saisonniers.
> P°f r bonne dose d'acide phos- diaux ne continueront pas à s'effbn
Les premiers se- encore ieunes. 3 80 à 4 10: ordinaires,
d
se c'est la principale raison pour la
nê
un
1,
primer les cii.unbreij d'égouttage où mis faits on assez bien levé, mais il 3 10 à 3,90; médiocres, 250 à 3 50. viande
rionne
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trop
de
s'en faut que l'on soit en avance sauf à saucisson, 1 60 à 2 fr. Taureaux brei^"* f montre-t-elle un feuillage jours possihle Des nouvelles moins >ante pour éliminer les levures aoicumain-d'œuvre. Depuis peu, les con> pour quelques exceptions où l'on a- pu' tons
3 70 à 4 10: jeunes d'tcnrie, 3 50
Vf
que 'la production aoptimistes de l'Argentine, assez mé- lées et sauvages. L'action de l'alcool, trusteurs
offrent
divers
systèmes
q
r? w
normalement. A ce point de a 3 85; médiocres, 2 85 à 3 55.
C
au contraire, demeure et va en s'accen- d'égouttolrs mécaniques. R iera très travailler
vue, les régions de petites propriétés
t runi f orfe p ar rapport à la puis- diocres de l'Australie, ont eu en ces tuant.
Veaux extras d£s meilleures proveintéressant de les comparer entre eux,
^ ^
couches, ou bien que le
Si donc la vendange lien foulée est car ils sont a, leur période de début St sont dans une bonne situation.
nances au détail c-t donnant de 130 à
soUC,..--„ « trouve dans jours derniers une influence passade?radiculaire
nce
se
170 livres de viande, 6 iO à 6 60 la livre
S*
gère Les prix actuels ne donnent au- jetée dam un moût en pleine forma- susceptibles de perfectionnements.
1
LES BLÉS ET F." rtINES
l'f^.mrni
tion, ayant atteint déjà 5 dêgrés d'alneite. Pai- bandes on cote : bons Gâti-<vi'>m Vtions défavorables..
pressoirs ont aussi fuit dos procune satisfaction aux producteurs cool,
tous
ces
mauvais
ferments
no
se
Les
offres
de
blés
&
faible
poidi
spênais, Brie, Beàuce, Euro de Dam ville
grès, notamment les presves hydraucont "remet tout en bon état.
^
américains qui sont très bien orga- développent pas du tout. Comme en liques et les presses continues. Ces der. clflque continuent d'alourdir le marché ou Nonaneourt, 0 60 à 6 10; ordinaires,
Le Vin
L» Périrons qui désireraient ap- nisés pour résister.
du
blé
dans
tout
le
Nord,
lé
Nord-Ouest,
travaillant
Us
décomposent
le
sucre
de
5
20 à 5 65. Tourangeaux de Richelieu,
nicres
seront
très
prisées
si
on
atténue
AUX ïïgl
cornquestion, et en
grand rayon parisien et una partie Sainte-Maure, Langeais, Vendôme, 5 50 â la Société des
Pour toutes ces raisons, l'Associa- raisin en fournissant moins d'alcool et ou supprime leur défaut fa donner le
•cfonrlir cetteer état, je signalerai le
quelque fois très peu leur élimination des vins bourbeux. Là aussi les cons- du Centre et de l'Ouest, toutes régions à 6 10; de Chinon, Loudun, Loches,
tion générale des Producteurs de lié donne des vins ayant environ un de- tructeurs ont der» perfectionnements à où les quantités présentées sont énor- 5 10 à 6 fr. Champenois de Romilly,
naître J nrésenté par M. le profes- estime que dans irn délai qu'il est grés d'alcool de plus. Comme ces mau- réaliser.
mes. La meunerie profite très large- Sézanne, Nogent-sur-Seine, Méry, 5 50
rappo^ . p;tut au Congrès des EnLes pays prohJbitionnistes prétieiEh
ment de cette situation d'autant plus à 6 10, champenois ordinaires, 4 80 à
vais germes donnent toujours des goûts
difficile
de
préciser,
une
reprise
des
J'ai
souvent
insisté,
sur
le
grand
trade terroir, leur séparation produit des vail onéreux et inutile auquel on se qu'il est avéré que les blés délavés et 5 75. Veaux à robe blanche, 4 80 à 5 70. daient, pour lutter contre l'alcoolisme.!
Eeur lab A7d» Svnthèse, à Mont- coure se produira.
convenablement Mancèaux d'Ecommoy, Mayet. Le Lude, livrer l'Europe entière à l'eau pure. Lafl
vins bien plus fruités beaucoup plus livre en multioliant les pressurées pour qui ont été séchés
grais A70 ' : in dernier. Cette comune farine normale. Il est Châtcau-du-Loir, 5 40 à u fr.; aiitres bons question a été portée par eux devant;
En conséquence, elle conseille aux fins.
obtenir quelques litres de plus de mau- fournissent
P^'iSi
avait
pour
titre
:
«
Sur
fort
possible
que
les
gros
achats qui Sartuois, 5 20 à 5 90; mancèaux comla Société des Nations
tication
Pratique de la Fermentation conti- vais vin. alors que les distilleries sont faits en ce moment à ia faveur de mun
n> umc ."\T chimique du mode d'ali- producteurs de restreindre les offres
Eu effet, une prcDOsltxon de la délégation
de Sarthe ou eu Baugeois, 4 90
coopératives permettent de ecueillir la baisse, pèseront un peu plus tard sur
nue.
—
La
mise
en
pratique
de
cette
à 5 70. Angevins, 4 80 à 5 60. Manche, finlandaise demandait que la S. D. N. s'oola vigne par les en- dans la mesure du possible. Il faut méthode est très simple s'il s'agit de sans Irais un profit intéressant du vin
le marché lorsque les moulins seront Gournay, 5 20 à 5 70. Bretons, 4 80 a cupat de combattre l'alcoolisme, par un»;
inentahon ne
prendre tous les moyens pour en- vin blanc ou rosé..
restant dans le marc pressé.
obligés d'écouler leurs stocks. Par con- 5 50. Deux Sèvres, 4 80 à 5 30. Morvan- entente mternationlo qui aurait réprimé lai
Le
moût
extrait
par
êgouttage
nu
rayer
une
baisse
normale
dont
le
caLa
clariflCKitlon
des
vins
bourbeux,
tre, dans le Sud-Est, l'Est Central, le
contrebande des alcools vers les pays quV
PfJniv de mai jusqu'au-delà de
pressurage,
convenablement
sulfité notamment de ceux preduits i:ar les Midi et une grande partie du Plateau diaux, 4 70 à 5 20. Veaux de service, en prohibent l'usage.
ractère
passager
ne
peut
faire
de
.Vise, vers le 15 de chaque
pour pouvoir le embourber 24 heures presses continues, est un problème Central tiennent très fermement les 4 50 à 5 10. Auvergnats, 2 90 à 3 70.
En soi, ia proposition de la Finlande, paySk
Petits veaux de tous rayons, 1 70 à 2 CO.
19
sur des rameaux doute.
après, est envoyé dans une cuve dite mal solutionné. Môme en repassant prix en raison de la qualité de leurs 30 livres de viande : Southdown, 7 70 proùibitionniste, était dlfflcUe à écarter. Et!
on prélève
r
«
cuve
à
fermentation
continue
»
ainsi
les
vins
de
presse
sur
la
vendange
L' Association supplie le ministre
blés et aussi parce que les offres sont à 8 25. Croisés, 7 60 à 8 20. Dishleys, elle avait l'agrément de la Pologne, entre!
jS »ères, ïa' première ou
deux
de l'agriculture d'accorder enfin aux nommée parce -qu'il y a toujours du fraîche, ce qui n'est pas toujours pos- très modérées. Il y a donc deux tendan- Mérinos, Beauce, Ile-de-France, 7 50 à autres, voire de la Belgique.
es feuilles de là- *>ase - 0
moût vierge nui y rentre et du vin sible on ne fait que reculer la diffi- ces très contradictoires qui peuvent in- 8 10. Chasmois, 7 70 à 8 20. Loiret, 7 60
Mais U apparut bien vite à la dêtégatloiïj
P.lc cette feuille, et pour chaque blés une protection suffisante et d'a- moitié fait qui en sort.
culté et on risque de ternir la qualité fluer l'une sur l'autre. Il est probable à 8 15. Bons agneaux : nivernais, bour- française que les auteurs étaient peu prêt*
e
dosé on a ainsi une succes- gir par tous les moyens dont il tcut |
Pour amorcer cete cuve, le mieux est des vins de goutte.
que la meunerie du Sud-Est ou de l'Est bonnais, berrichons des races locales et a distinguer alcools nocifs et vins français;!
d'y faire un pied de cuve avec du moût
teneurs pour cent de la ma disposer contre la spéculation.
Le filtrage au sac sur le pressoir Central, ne trouvant pas assez de blé non croisés, 7 40 à 8 fr. Champenois, alcoolisme et usaga correct de boissons
stérile et des levures choisies-, ou bien
Que la presse de Paris n'accuse d'y mélanger 30 à 35 % de vin vieux exige beaucoup de temps et de manu- sur place, aille chercher son grain dans bourguignons, 6 80 à 7 40. Maraichins alcoolisées.
,:i re sèche de la feuille choisie.
41. Loucheur, délègue pour les question*
tention. On propose maintenant des le grand âyon parisien, et qui contrij'indiquerai au moment voulu les pas les agriculteurs d'être les fac- bien sain avec 50 à 70 % de moût vier- centrifugeurs mécaniques. Us sont d'un buera, sinon à raffermir les prix, du bretons, 6 00 à 7 10. Gascons 5 60 à 6 fr. économiques, a mené une brillante otlen-i
6 30 à 6 80. Creuse, 7 à 7 50. Mouge, en y ajoutant toujours des levures prix trè-5 élevé pour une puissance de moins à les soutenir, c'est-à-dire à en- Métis,
sive,
toute parée d'humour, contre le dan*
résultats pratiques obtenus par cette teurs de la vie chère !
tons tondus: Dishlevs, Mérinos, Beauce,
travail très faible. Je coins que les rayer la faiblesse du marché.
Le ministre du travail vient de pu- sélectionnées
Ile-de-France, 7 à 740. Loiret, 7 à 7 60; ger qui menaçait nos vins Irançals.
méthode.
Quand la fermentation est bien parIl a dû faire remarquer, et non sara
émulsionnés d air ne soient décoËn marché libre on a fait les blés de charmois, 7 20 à 7 65. Nivernais, bourDans ma dernière chronique, j ai blier l'indice général des prix de tie, on y fait arriver par un robinet â vins
lorés ou cassés. On peut faire des 75 kg départ : Beauce, Blésois.Orléan- bonnais, 7 à 7 50. Berrichons, 5 90 à Insistance, que la répression de la contreIndiqué les conclusions de la thèse gros, indice ramené à la base 100 en flotteur 1s moût déhourbé bien aéré essais en petit.
nais, 143 à 144. Touraine, Anjou, 144 à 7 40. Champenois, bourguignons, 6 30 bande ne pourrait se restreindre à l'aloooL'
et on retire autant de vin moitié fait
ie M. Rives sur le déprérissement juillet 1914.
Soins des vins faits F.xamen clini- 145; Charente, Vendée, 145 à 147. Cher, à 6 80. Choletais, 5 60 à 5 90. Marai- «ne devrait-on pas l'élargir à la contrebande!
nar un robinet dont on rèsle le débit que,
— La premier soutirage, deux ou Indre, Nièvre, Allier, 147 à 149; Aube, chins, 5 75 à 6 25. Charentais, jpérigour- de l'argent t). Puis notre représentant s'esti
de la vigne Comment combatire le
L'indice général calculé sur 45 ar- nour que le liquide en fermentation
trois
semaines après la décuvaison. est Marne, 147 à 148; Côte-d'Or, Yonne, 148 dins, 5 25 à 5 80. Bizets, 5 80 à 6 20. livré à une apologie des vins de France,
champignon qui cause
l'appolexie. ticles indique une légère diminution dans la cuve demeure à 4 ou 5 degrés
à 150; Sarthe, Mayenne, 143 à 144. Breta- Limousins, 5 60 à 6 20. Auvergnats, voire du bon alcool.
une pratique qui doit se généraliser.
Oe ne fut pas uno mince victoire quai
d'alcool
Le remède classique, tout le monde de juin à août.
gne, 140 à 141; Oise, Somme, Aisne, 148 5 30 à 6 fr. Africains arrivants, 4 75 à
Il
est
essentiel
de
ne
pas
se
contenles « Nordiques » à reconnaître!
Le demi-vin sortant de la cuve finit
à 144; Nord, Pas-de-Calais, 143 à 145.
est d'accord sur ce point, c'est l'arEn juin, l'indice pour l'ensemble
5 fr.; de réserve, 4 75 à 5 75. Métis, d'amener
ter
d'une
dégustation
rapide
et
d'un
qu'il
y avait alcools et alcool, vins et vin<|
de fermenter dans un foudre ou une, examen superficiel du vin. C'est à
Farines de consommation en commer- 5 75 à 6 fr. Brebis tonduës : Dishleys,
senic Mais comment l'appliquer ? Le des matières industrielles était de cuve quelconque.
M.
Pams,
lui aussi fort en Verve, ajoutai
Mérinos, Beauce, Ile-de-France, 4 70 à
1 automne qu'on doit juger de ses qua- ce très faibles» 200 à 210 départ usine.
commerce offre des solutions toutes 669. Il était de 677 fin juillet et de
Sons en reprise : Gros, 63 à 65; ordi- 5 25. Loiret, 4 60 à 5 10. Poitou, 4 65 quelques mots a l'éloquente démonstration*:
Quand on veut faire du vin rouge, je lités et de ses facultés de conservation
Que nos viticulteurs se rassurent ; on a
préparées, qui donnent en général 682 fin août.
conseille, quand on le peut, de sépa- Pour cela l'examen clinique par une naires, 58 à 62.
à 5 20. Nivernaises, berrichonnes, 4 50 entendu
les délégués de pays fort divers aft
à 510. Bretonnes, 4 30 à 4 60. Mérinos, dire ennemis de la prohibition absolue st
, satisfaction. Le traitement doit néLes matières industrielles ont donc rer la fermentation de la macération. Station ou un Laboratoire œnologique
LES CÉRÉALES DIVERSES
bourguignonnes, 4 75 à 5 fr. Gasconnes, et le délégué du Canada déclara que son'
Le moût extrait le mieux possible est compétent est indispensable. On en recessairement se faire après la taille, augmenté.
traité en fermentation continue comme cueille l'indication précieuse des soins
Les avoines se tiennent à peu près. 4 60 à 4 90. Mères usées. 4 10 à 4 60. pays, après un essai d'eau pure, pendant!
mais de préférence quelques jours
Ii en est tout autrement des den- si l'on faisait du vin blanc ou du rosé préventifs à donner aux vins qui sont On cote les grises de printemps : Brie,
Porcs : au kilo vif : porcs maigres
ans, avait dû, par hygiène, revenir atti
Le vigneron Beauce, Eure ,96 à 97; grises d'hiver : d'environ 100 kilos extras, 8 40 à 8 60; cinq
«près. Il est prudent d'opérer dans rées alimentaires. Les prix pour l'en- et le vin presque achevé est envoyé menacés d'altération
bon vin, seul antidote des mauvais alcoolsJ
sur la vendange égouttée bien sulfitée : peut, en outra, savoir les vins qu'il Centre, Poitou, 98 à 100; noire3 : Centre bons maigres Ouest et Centre, 8 à 8 40.
le courant de l'hiver et avant que la semble diminuent constamment.
On reprendra l'affaire sous forme d'un»!
en deux jours au plus de macération, peut garder »n toute sécurité et ceux ou Poitou, 99 à 101. Est, Nord, Brie, 100 Cochons un peu épais Ouest et Centre,
proclamant la nocivité de cep-'
viras entre en végétation.
Pour les denrées alimentaires, l'in- il prend la couleur et les substances qu'il est préférable do vendue les pre- à 101; jaunes des cinq départements du 7 80 4 8 30. Gros gras, 7 60 à 8 fr. Miac, résolution
tains
alcools et la convenance de lutter,!
L'ébouillantage d'automne et mê- dicé d'ensemble était de 598 fin juin ; extractives caractéristiques
des vins miers.
Nord, 93 à 99; blanches Est, Nord, Brie, Aveyron, Corrèze 7 50 à 8 10. Fonds de lnternaUonalement, contre l'abus. M. l^yu-j
me d'hiver par journée chaude est il était de 585 fin juillet et de 573 fin rouges, autant et mieux que par le cuStation oenologique. 'APVel du con- 99 à 100. Ligowo : Est, Nord, Brie, 100 parquets, 7 50 à 7 80. Coches, 5 à 6 30. etieur et M. Pams levèrent la main aveej
vage
ordinaire
de
5
ou
6
jours,
durant
cours
des
vignerons.
—
U
m'est
touà 101.
Laitonnes, 6 40 à 7 10.
les Finlandais.
jon traitement efficace contre T«u- août.
Les seigles sont, assez résistants :
letpiel fermantation et macération s'o- jours agréable de rappeler l'utile colla
I démis.
La Société des Nations le proclamai
Les aliments végétaux ont baissé pèrent simultanément. On décuve en- boratioù que ie trouve chez les vigne- Bourbonnais, Berry, 126 à 127: Beauce,
LES VINS
donc elle-même, après la délégation!
rons qui veulent bien m'accorder leur Loiret, Sologne, Touraine, 125 à 126.
suite comme d'habitude.
très
fortement.
Ils
sont
passé
de
645
ENCRAIS A REPANDRE EN AUTOMNE
La situation demeure sans variation : canadienne, le vin est le remède à l'ai.;
Si on ne vewt pas séparer, les deux concours pour mes recherches èt pour Normandie, 124 à 126. Champagne, 123
POUR ÉVITER LA VERSE DES BLES fin juin à 611 fin août
les affaires sont toujours calmes et ies coolisme.
phénomènes de fermentaion et de ma- la mise au point des méthodes nou- à 125. Bretagne, 121 à 122.
Les aliments animaux sont passé® cération, on peut recueillir une bonne velles dont ils sont les premiers à proOrges de brasserie toujours faibles : prix plutôt soutenus dans le Midi. Les
J'ai posé au nom
de plusieurs
Cher, Allier, Gûtinais, 114 à 115; Beauce, vins vieux sont très fermement tenus et
part des avantages qu'assure la prati- fiter.
de 536 fin juin à 517 fin août.
agriculteurs de la région toulousaiJe fais de nouveau appel à eux. Que Touraine, Champagne, 112 à 113; Sar- en ce qui concerne les nouveaux, on
Si les prix de gros diminuent, ce que du nrinclpp fondamental, en n'enpaye bien volontiers les 7 et 8 degrés Spécialité de Semences!
ne, une question d'une importance sont ks agriculteurs qui en font les vovant la vendange foulée que dans un ceux qui désirent essayer la fermen- the, Mayenne, 111 à 112.
Orges de mouture très faibles, 98 à 20 francs le degré, mais le négoce se
capitale sur le rendement des blés. frais. Aucun doute ne peut subsister milieu tirant déjà 4 ou 5 degrés d'al- tation continue notamment, n'hésitent
refuse à donner 19 francs pour les vins
col.
pas à me demander conseil. Je me ren- 101 Centre.
Je vais donner le résumé de la ré- à cet égard.
Les escourgeons sont mieux deman- plus lourds. Néanmoins, la propriété
On dispose
pour
cela de .deux drai au besoin chez eux, comme dans
de Choix
ponse de M. Caries de Carbonnières.
les Caves Coopératives, confiant dans dés : Beauce, Touraine, 111 à 112; Saf- résiste en se basant sur le déficit réel
moyens :
Usine Electrique Moo.ie d'Epuration!
qui
existe
en
maintes
régions
Imporllte,
Mayenne,
109
à
110;
Champagne,
mères,
la
C
G.
V.
pour
m'aider
comme
par
le
1' Mélanger la vendange foulée par
et de Séitcti... Mécanique
UN LIVRE DÉFINITIF
109 à 110. Oise, Somme, Aisne, 108 à tantes du Languedoc. Le commerce, de
moitié environ avec du vin fait. Il faut passé à couvrir mes frais.
Des propriétaires de la région des
son côté ne montre aucun empresse109.
FERMES
modèles d'exploitation (me»
SUR L'ENSILAGE pour cela que le vin soit bien sain et
J'e3père et je souhaite cruo l'an pro«Miens vignobles, rive gauche de
Sarrasin calme ': Bretagne, 118 à 119. ment, attendant de voir la tournure dailla d'or en 1925). — Blés acclimaté»
ne contienne pas de ferments de tour- chain ouvra une ère nouvelle pour la Mais
très
calme
:
106
à
110
suivant
que
prennent
les
vendanges
dans
le
H
mamquait
un
traité
complet
et
et
adaptés,
triés,
calibrés et livrés avec,
na, car la chaleur de la fermentation Station œnologique rénovée et doués
* Garonne, terrains argilo-siliceux,
Centre. Il est possible que cette année les garanties du décret.
à jour de l'ensilage. Cette lacune en causerait , le développement brus- de 1 outillage et du personnel qu'elle ports.
"« constaté le fait suivant :
lès prix des vins blancs seront plus
Variétés pures spécialement recom«
devrait avoir. Des efforts sont faits
Les blés très beaux en herbe reo- vient d'être très heureusement com- que. Il faut, en outre, y ajouter un dans
LES PAILLES ET FOURRAGES
fermes dans le Midi.
mandées t Bon Fermier, Mcyencourt,
ce but. Tpus les vipnerons, par
pied
d".
cuve
de
levures
sélectionnés,
^ p 6l] à !a récolte _
blée. MM. Brétignère et Godfernaux car. comme je vous l'ai dit. la vendange toutes sortes d» moyens, peuvent aider
A Berry-Charenton, les affaires de inversable — Carlotta Strampeili —
Les pailles et les fourrages sont ferm Phénomène révèle un cer-publient à la librairie agricole de la contient très peu
de levures ellipti- a celte réalisation qui doit donner à mement tenus. On cote aux 100 kilos gros se traitent sur les bases suivantes, Adito — Bladetto de Besplaa — Riotl —
L ,.'
la viticulture méridionale l'établisse- pour balles pressées haute densité : vins rouges ordinaires : 9 degrés, 2ô0 Gentille Rosso — Japhet — Rouge
ûéséquilibre du soL Que faut-il Maison Rustique un ouvrage ayant ques.
ment scientifique qui lui ouvrira, de Pailles de blé, 14.30 à 15.20; d'avoine, à 255 fr. ; 10 degrés, 260 à 270 fr.; 11 de- Prolifique, etc., etc...
alr
Vous
voyez
que
la
découverte
de
e en ce moment pour le rétablir ? pour titre : L'Ensilage des Fourrages, l'action de l'alcool, comme agent de nouvelles voies vers le Proprès et la 12.30 à 13.70; d'orge, 12,30 à 12.70. Foin grés, 275 à 280 fr.; 13 degrés, 285 à 290 'r.
?50 francs les 100 kilos logés garé,
verts, méthodes anciennes, procédé* sélection des germes naturels de tou- prospérité.
ùte 06 doit
Limousin, 40.S0 à 41.20; lUzerne Midi, Vins blancs ordinaires : 9 degrés, ?50 à Caussade.
418
fair
rustique de diverses varié*
D„k!f ,
P
e défaut
47.80 à 48.20; trèfles en bottes du rayon 260 fr.; 10 degrés, 260 à 265 fr.; il de- tésMélange
tes sortes apportés par la vendange, a
Lucien SEMICHON,
risque la végétation est exubérante. nouveaux.
locales du passe-paftout. 230 francs,:
grés, 265 à 270 fr.; 12 degrés, 275 à mêmes
parisien, 42.80 à 43.20.
pour conséfjûenee de donner à l'emCe
Cet
ouvrage
est
un
manuel
comconditions.
Ingénieur
aqicnome
«raient, plutôt les éléments mi285 fr.
ploi des levures sélectionnées une baso
Avoines grisas d'hiver, avoin; noire»
Directeur de la Station Œnologique
plet de la conservation des fourra- solide et une sécurité que l'on n'avait
LES LÉGUMES SECS
qui manqueraient,
avoine blanche, etc., 130 trancs les|
de
l'Aude
ges.
«aie lesquels ?
pas jusqu'ici. Il est très difficile de vé7i kilos, logées mêmes conditions.
Les affaires sont nulles faute de venLes agriculteurs sauront ainsi rifier la bonne qualité des levures séExpéditions contre remboursement, i
deurs et les prix sont en forte hausse
ïtïZlïJ PTObaMe, vu la nature
lectionnées
vendues
par
le
commerce.
Adresser les commandes à la Maison
quelles sont les plantes à ensiler, Le mieux est de s'adresser a une maigueuse du sol) ^
^
devant
le
désastre
que
subit
la
récolte.
la
L. CALABERT, à Caussade (Tarn*
quelles sont les différentes méthodes son sérieuse présentant toutes les réOn cote aux 100 kilos : Lingots Vendée,
ai-Garonne), qui a commencé ses li-,
300 nominal. Moiettes Vendée, 200 en
la 113ï
d'ensilage, les différents silos dont férences et les garanties qu'on est en
vraisons depuis le 15 août, dans l'ordre!
ii^\!î '
^ à recommander pour
disponible, 196 eh livrable octobre ;
droit
d'exiger.
des commandes.
les types sont si nombreux et les diTransît m Bovlas Hollandais chevriers nouveaux, 400 nominal; plats
LE TRACTEUR
Me TT multi P les - Elle met obs- mensions si variées, les prix de reN.B. — Ne pas omettre le départe*!
2" Le second moyen, au cours des
du
Midi,
240
à
270:
cocos
des
Landes,
ro
ment.
«aicifto- P Pagation des plantes
vendanges, consiste à tirer d'une cuve
225
à
235.
Poids
ronds
:
Nord,
260
à
270.
vient
de
l'ensilage
et
les
avantages
D' 4„ c °ium e -la' ravenelle,
en pleine fermentation du vin moitié par le Port ds enraeaiix-Basseiis Algérie épuisée.
de cette conservation de réserve d'hi- fait titrant au moins 5 degrés d'alcool
certain
ferait ,
« maîtres, elle emet d'en remplir au tiers ou à moitié
ver pour le bétail.
Vôrse
f&grfïOlR NÀtlOKAlottOKLÛfiOUt u K&lgl
LES BESTIAUX
Mais i
la cuve que Ion emplit de vendange
» f Cv^
A_ Msiionffançaièefondée
V/V
R.
de
BOYER-MONTÊGUT.
16
est le moins cher |
C0lr)
M. le ministre ae l'Agriculture a autofoulée et sulfitée. Ce demi-vin apporte
êr inL^'
siste à emLe marché aux bestiaux de la Villette
risé,
par
décision
du
30
juillet
dernier,
le
tement
avec
lui
A
la
fols
l'alcool
qui
opère
IL MARCHE A L'HUILE LOURDE
se trouve profondément influencé par
1)611
des doses
",
l'élimination des mauvais germes et les' transit, par Bassens, du Bétail uollnfldals les variations des arrivages, d'autant
IL LABOURE
de Phosphates ou ™»
secrie*
de
A destination de l'Espagne. Le9 modal itCs plus que les besoins de la boucherie de
IL FAUCHS
levures elliptiques en pleine activité.
PENDULES ÂtftEVEÏLS'
IL MOISSONNE
Ac'ditô suffisante, sulfitarre rationnel, d'application rie cette décision viennent gros restent restreints 3t bien peu presgarantis* ^ M9 V l Jst' Ui,,'*:* *«p<'*icuMii|
1
0ssible
d'être réglées de ia îaçon suivante :
surveillance
de
la
température,
et
ferIL
HSMùBQUË
ET
ACTIONNE
s
COOPERATIVE
sants.
Les
bros
bovins
sont
très
nette
l*
SUT
?
répandre
Plt
LES BATTEURS LES PLUS
mentation continue ou tout au moins
Les demandes de transit peuvent être ment sur Je chemin de la baisse et il y
c6 muy
?r sptl *is au Printemps.
**jk$ if ^C*
dans un milieu titrant à l'origine 4 % formulées par les transitaires charges du a un peu d'indécision pour les porcs et
FORTS
j. ^*v>*Catalogue complet erstuïîetnenr
a,„„ , a , l'on évitera l'invasion
d'alcool, tels sont ]es éléments de la .groupement des animaux, et pour un nom- pour les moutons. Toutefois, les bons
IL EST TRÈS "MPLOVÉ POUR
0
i
MM
si
Oripie
taises herbes. "
amçiwin. rc.nugaisBtifiyi aewicwi
vinification des bons vins courants.
les TRAVAUX FORESTIERS
bre d'animaux applicable ù une période de moutons du Plateau Central, du SudOn obtient ainsi le maximum d'al- trois mois. Les Intéressés devront adresser Ouest et du Midi tendraient plutôt à se
Démonstrations
gratuites uour
U
«' LE MUTILÉ "
cool, des vins droits de goût, de bonne leurs demandes à M. le ministre de l'Agri- relever un peu.
tous travaux, sur demande adresBAISSE DES BLES
tenue tt de bonne conservation.
sée à
A propos dos cartes d'identité de la
culture, direction des services saniuilrea et
38, R. Pharaon et t, r. des Rôgans
nt
k niarchl °n ne fait qu'empirer sur
TOULOUSE
Matériel mécanique — De plus en scientifliiues et de la répression des frau- Villette. la délivrance vient d'en être
G.
L&CROSKer SPécfS
Fabrication d'appareils en tons genres
des, 4? bis, rue de Bourgogne. Ces demander suspendue. Il est question maintenant
6
plus,
la
cherté
de
la
main-d'œuvre
«We. El" des blés. La baisse per13, rue Conatnntine, TOULOUSE
contraint les vignerons à introduire devront mentionner le nombre exact des de les faire distribuer par la Sûreté
ORTHOPÉDIE GÉNÉRALE
Télépu. 25-47
U Prem • plusleur s causes,
plus de mécanique dans leurs caves. animaux, ainsi que le bureau de douane générale pour qu'elles servent' dans la
Prix
les
nlus
réduits
re
Même Maison à CASTELNAUDARV
J'en ai inukiué les dangers pour le vin d entrée en France. Les animaux voyage- France entière et aussi pour que l'on
''afflux aes
î ' et c>est l'essentielle,
Personnel Mutilé ou Amputé
ront en wagons plombés pendant toute la ait le prétexte de leur faire subir un
S, place de la Pépublique
et les moyens ds s'en Garantir
AGENT : M.
H
blés, surtout des blés
Qua'rc peints retiennent plus spécia- durée du parcours sur territoire français. impOt d'Etat d'environ 30 francs. Ce sera i
16, Rue Peyrns â Toulouse
agriculteurs !
Forés on
1
TRAVERS
$ * Co!
LES JOURNAUX
D'ABANDON
1
^Sy Af :
territoriaux et
par
des combinaisons
invoquaient déjà le
OU ingénieuses. Ils
de Mûnzie au réalisme et ia technique moderne des
grandes atfaires. Aujourd'hui, ils sont
prêts à prendre en mains l'aménagement de la patX) et comme idée directrice, ils comptent sur ce qu'on nomme
progrès de la conscience civique On
sait ce que parler veut dire : il s'agit
de trataiions aboutissant à la ruine du
Sleî feeUe. Et elle est mu traité de Versailles.
te
A cette néfaste entreprise, la France
£<CL«**»e ?ïi.» >" a toujours
M*Jt « l' Ws des marchands ne consentira jamais. Elle commence
à
s'apercevoir de ce qu une politique
nté Q atnrer
la
tktà t> ta san,1 fes
'
ÎTs aî °Wr rs
promesses, lis d'abandon et de défaillance a fait de
s T" ^
Nû ssir proclames seuls capa- la victoire. Elle n'a pas besoin des pro0 l
rt
décDU -phètes et des démagogues pour bavoir
ïecWus
^°m £„» urspour
mer
qu'il n'y a pas de formule pour demain.
H ai n»uies
cL veillcuses...
*P>in..tte ma) et
f eux <iui ont fuit Elle se conlent de savoir que la vérité
'
qui menacent de d'aujourd'hui et de toujours est de s'en
tenir aux traités et d'avoir la force de
les faire observer. Hors de cette règle
virile, il n'y a qu'illusion
0fes
Dr
sa
sionn€ls ûu saine et.
Ni 'îe L lsisseni toutes
,
' l0 occa compromission et décadence.
fe >r i^Poser
£
*
* ^ \pf r essourp! ur:4 offices et de QU'ONT GAGNÉ LU CATHOLIQUES ?
ï» C mf.Vy^ de leurs
fcto a er t 0 mn m ^? th °de est toujours
Ounnt,
gagne
(«s éat/iotiouei
l'Union Nationale ?
cult,
s
" «H de v»! i
' êc l'AiM J. Quiraud rèrtond ainsi (Croix
- ï.asjês remaniements dhiei. 30 septembre)
de lu
"evoie;P s, on invite les élec
a compter
sur ies
1
! e 1 U 'U yv »,/ ois ue P' us . on 'eur
r
JHes . êter , * des recettes n.agiq .es
E 5
teîLF'fhcultôs Uiplomati-
ces dernières années, on peut évaluer
a un milliard d avant-guei ie les capitaux nouveaux investis en 1926 par nos
compatriotes dans
des entreprises
françaises. Ce chiffre est mod€;,îe si
on le compare à celui de 1913 ; quatre
milliards; — mais si l'on tient
compte dos conditions dans lesquelles
nous nous trouvions l'année dernière,
de quelle vitalité ne témoignc-t-il pas ?
Laisser souiller le contribuable et ne
pas lui infliger de nouvelles charges
serait insu.'fiSant. Certaines retouches
s'imposent, car déjà quelques erreurs
apparaissent à l'usage. Il y a lieu de
revoir l'impôt sur les valeurs moblllè
res, sur les mutations d'immeubles et
de fonds de commerce, à titre onéreux,
les tarifs de transport des marchandises.
La sécurité monétaire n'est pas moins
Indispensable. L'Etat doit maintenir la
fixité de la monnaie. Dans ces derniers temps, il n'y a pas failli ; mais
l'heure est venue dp donner sa forme
légale à cotte stabilité de fait.
Comment envisager une grande pollttnue d'outillage et un essor nouveau
du notre industrie si demain le principal instrument de travi.il : ta monnaie,
POUR GAGNER LA VICTOIRE
reste rrappé d'un caractère da précat ONOMIQUE
rité ? Ne voyons-nou» pas, tous les
De M. de cnnppedeUtine, 'ravpotteur Jouis, lors de la mise en adjudication
de travaux publics, parfois l'abseni
général du budget dans le Matin ;
de soumissionnaires, enr les
Malgré les dures épreuves que le complète
ont! 'preneurs se dérobent
devant le
(portefeuilles français on. subies, dan • |inyst- re des lendemains l
En face de ces concessions énormes
qui ont été faites aux deux corps d'ornée du Cartel, qu'ont obtenu les cothermies auxquels on demande de rester fidèles à cette Un ion -là ? Rien 1 pas
même cette autorisation des Congrégotions missionnaires que les précédents
gouvernements acceptaient et dont
Maurice Barrés s'était fait, comme rapporteur de la commission de la Cham
de la trêve des partis l Pas même la
restitution par l'Etat des biens confisqués par la Séparation à l'Eglise et
que l'o continue à « liquider » au nom
le la trêve des partis 1 Pas m^mo la
lOtihsance paisible des presbytères,
ptt.tue, sur l'invitation des préfets,
les munie' pahiés en augmentent la loéallçf et l'ont expulser les curés par
1rs rgents de la force publique, comme
o*la s'est fait dans l'Isère, le département où un ministre d'Union nationale
.i.ciie ia sarabande anticléricale, avec
l'appui des communistes.
Voilà des faits. Aux catholiques de
lt« oici'.ter, s'ils ne veulent ,jas que
IBîa leur apporte une déception ph.f
terrible que celte de 1924.
Ce sont là des questions qui doivent
être résolues dans l'accord du gouvernement et des Chambres. Cette dernière
étape marquera l'achèvement de
la
victoire.
Déjà, avant co dernier stade et après
les angoisses et les ténèbres de ces
dernières années, nous voyons poindre l'aube qui éclaire les
sommets,
annonciatrice de jours meilleurs.
LE MIRAGE DâS COUPONS RUSSES
Les rrénncers français de la Ilussie
feront bien de mutiler ces tigttes ave
nous diCQuponi dans la Journée Indus-
trielle :
La propagande commun xta — celle
de M. Litvmof comme celle de MM
Marcel Cacbiu et Vaillant-couturier —
va maintenant répétant aux oreilles
des rentier» tt, russes : « Vous tourbe
riez vos coupons. . Moscou en reconnaît le principe et ne demande pas
mieux que de commencer les premiers
versements.
Malheureusement il y a
chez vous des KL
lui, car esprit de
parti ou par In
s'opposent
tout
uccord avec les
On devine le rotii nte. à la veilli:
des éleciilons, le >artl communion peut
tirer d'un tel
uniOjit, Il se pourrai'
que qur.ntlté de petits bourgeois soient
séduits par la perspe'Uve inespérée de
toucher enfin qoel iue choie $nr « l'emprunt russe » yui, peu ou prou, les a
ruines.
Favoriser une politique d extrême
gauche, c'est augmenter les chances
d'un versement, si modest-j qu'il l'Ut,
d'arréraues .îuasiment considérés comme perdus. Dans ces conditions, pourquoi no pas rejvindre le stras des forces
révolutionnaires 'f Pourquoi ne pas. en
votant pour les candidats socialistes ou
communistes, hâter 1 avènement d'une
politique destinée à procurer immédiatement ie règlement de quelques ooupons T Tel est le raisonnement (tue,
dans los préusions de la propagande
de Moscm. tiendrait la masse des petits bourgeois porteurs de titres russes.
Ceux-ci ne seront pas dupes. Le3
60 millions de francs or qu'on propose
de nous verser pendant soixante et ti'n
ans ne représi ntent mémo pas le versement en francs papier des 400 millions qui nous >ont dus. D'autre part,
on nous demande une ouvertuie de
crédit de ?0 millions de dollars par ;<n
oendànt six ans. c'est-à-dire de 000 mil
lions de francs or. Où passer n !. 'a différence ?
Et puis d o\i sorlirait-on les tOO millions de francs or en question ? Du
budget ? 'l ne faut pas y songer. La
confiante ne l'ora pas susciter en
Protide le continrent de nouveaux prfi
ours don: l'arcent serait destiné a
rernb - user les anciens. C'est humain '.
C'est ainsi i
Cornfneht ci ,irc par ailleurs que.
lorsque, tm Hout de six ans. Moscou
aura encaissé nos millions, il conti-
nuera à verser jusqu'au bout du dôla
prévu de soixante et une années ?
Aujourd'hui, à l'heure même où lest
négociations soi-disant décisives sonar,
engagées, nous voyons les organes of-'
flclele des Soviets affirmer à leurs militants de tous le pays qu'il ne s'agit
nullement d'une concession aux principe? capitalistes, mais dune manceuvrei
•destinée \ extirper de la bou'-geoisieil
occidentale los millions nécessaires à/
a propagande
Cette propagande poussée jusqu'à seal
fins doit aboutir à la ruine complète*
des Etats bourgeois à l'expiration dii
délai dp six ans.
Comment ces douces perspective»!
pourralent-elleF Impressionner, séduire
et fausser le bon sens du petit rentier,''
français T
INTERIM.
TOUS
LES LESTEIIS de
&\Bxpress
du
$Hdi
doivent dans leur lntèi„t, pour lenrii
besoins o.'i imprime!' divers : Tête»
de lettre». Factures, Mémos, Circulaires, Enveloppes on autres...
s'adresser au
HALL de p EXPRESS DU MIDI
SAMEDI
Chronique Vinicole usAuditions wîll Renseignements
Militaires
Jurançon, 27 septembre.
Pendant la dernière
quaizaine, le
temps a été plutôt favorable. Aussi la
maturation a -t-elie. fait de grands pro
greê, Maiticoreusemeni.
l'équinoxe u
été marqué par une violente bourrasque, qui a déterminé
une chute de
neige jusque sur la montagne moyen,
ne. La fonte sera rapide, mais il faut
craindre quelques nuits fraîches, ce qui
tretardera le développement du raisin
La vendange commencera plus tard
qu'à, l 'ordinaire et on ne pourra guère
l'entreprendre avant le 10 octobre.
Elle parait n P devoir pas être bien
Sbrillanto ni comme qualité, ni comme
quantité.
RADIO-PARIS (1.750 metrem
A 10 h. 30. — Dix minutes do musuiue.
A 12 h. 30. — Concert : La Fin d'un Hâve ,Gavotte tendre . Ballet Egyptien ; Chanson
des Vois, un Choume ; le Festin de l'Araltinte : Chant du Soir ; Suite d'orchestre :
Sanison et nallla.
A 20 h. 15. — Concert.
La qualité des vins de cette année
teeira très satisfaisante.
Narbenne. le 29 septembre.
Les vendanges sont à peu près partout terminées dans la région narbonnaisa ; toutefois elles se continuelle encore dans les hautes Corbières.
D'une manière générale, on se plaint
du rendement qui sera inférieur a 02
lui d'une annéemoyenne, mais, cependant, supérieur à 1926
En ce qui concerne la qualité des
vins de 1927. elle est peu réussie pour
îes premiers' vendangés lin août et debut de septembre. Mais, grâce au beau
temps que nous avons eu et qui a favorisé les vendantes, des vins ont beaucoup gagné tant en couleur qu'en titre
alcoolique.
Alès, le 29 septembre.
En fin de semaine les vendanges seront terminées- dans nos parages..
Le rendement eera
supérieur à la
moyenne, mais les vins obtenus manquent de' couleur et de degrés, comparativarnient à eaux de 1926.
A 1S il, 45. — Journal parlé.
A 20 h 15^ — L'Italienne d Alger, ouverture
stiitc galante ' • Le Étve du Prtsonnier
Wie Déception -. Impressions d'Italie ;
Le Soir ; Prière : Danses Alsacienne* : MoFuust sélection, Incitation
ment Musical
il la Valse.
T0UL0USE-PVR6N6ES
fTouteuse-P T T.>
50 11. 30. — La Revue de la Semaine, par
M„ Louis Lespine. nuWiclste.
21 heures. — Retransmission du nrojrramme de la Station Marseille P. T. T. ou de
Paris Ecole Supérieur des P. T. T.
STATION RADIOTf'.r PHONIQUE
OÊ MABSr • »_P P T. T
lonaueur d'onde
90.1 mitre».
INTERRUPTION
D'UN SERVICE POSTAL AÉRIEN
, L'exploitation de la ligne aérienne
!iParis-Bâle-Zui'ich devant être interrompu à partir d'aujourd'hui 1 er octobre (saison d'hiver), les correspondances à acheminer par cette voie ne sont
iplUs acceptées.
LE SERVICE AÉRIEN
PARIS-STRASBOURG-VARSOYIECQNSTANTINOPLE
L'horaire de la ligne postale aérienne paris-Strasbourg-Nuremberg-Pragueyarsovie-Constantinople
est
modifié
.comme suit :
Départ de l'aérodrome du Bourget à
(5 h. 45 (au lieu de 6 h.); de Strasbourg
Sa 10 h. 15 (au lieu de 10 h.).
17 Ii. 15. — Concert phono Amplion.
17 b; 30. — Nouvelles et informations, par
Willi.
20 h. 30. — Conférence t De limportance de
la Cuisine.
21 heures. — Concert.
BORDE AUX-LAPAVETTE
longueur d'onde t «73 mttrtt
13 h. 30. — Informations.
20 h. 89. — Informations.
21 heures. —- Retransmission de
Supérieure des P. T. T. a Paris.
Le condensateur
est merveilleux.
variable
l'Ecole
BRUN ET
j VOLS DE LIGNES TÉLÉPHONIQUES
A l'occasion de vols récents de fils iMiiiiiiiiiiiimiiiiiiimiiiimit:
He cuivre et câbles téléphoniques, l'administration des postes, télégraphes et
Costumier des Théâtres
ta
(téléphones signale qu'elle attribue une
[prime pouvant atteindre 1.000 francs à
Halioo fonûéo sa 1890 =
[toute personne qui aura découvert ou
îait découvrir les auteurs de vols de ™ Fournit les plus beaux costumes S
(matériel télégraphique ou téléphonique — d'artistes, de danseuses ou tra- ™
Iffils de cuivre, câbles, tuyaux de plomb, — vestis pour soirées.
letc.) ou d'actes de malveillance (cou- M
mm
pure de fils,
destruction des appuis,
ibris d'isolateurs, etc.). commis sur les = 9, rue Héliot :-: Toulouse =
lignes
aériennes et souterraines des
postes, télégraphes et téléphones.
"iiiciiiiiiiiiiiiiiiiiiniiiiniiHir:'
AL
BOURSE DE Pi
— 192b
550
— 1927
484
Panama (bons). . 141
Banquede Francel560O
— d'Algérie. .... 12600
— Nat. de Crédit 818
— de Paris
^095
Union Parisienne 1285
C'e Algérienne. . . 1874
Comptoir Nation 1351
Crédit Commerc. 1174
— Foncei
2662
— Lyonnas
2600
— Mobilier
585
Société Générale. 1149
Foncier Algérie.. 568
Rente Foncière.. 1005
Soc. Marseillrjse. 705
945
Est
321
— 3%
315
— 3 % nouvelle.,
303
— 2%%
1180
Lyon
303
— 3%
Méditer anée 5 % 460
307
— 3%
— 3% fusion.!" 29 i
— 3% nouvelles. 299
295
— 2%%
1035
Midi
297
— 3%
— 3% nouvelle.. 306
290
— 2 y. %
1960
Nord
— 3% 2° série... 329
— 3 % nouvelle.. 334
313
— 2 y. %
1020
Orléans
312
ï%
300
— 3 % nouvelle,.
298
— 2%%
595
Ouest
303
— 3%
— 3 % nouvelle.. 299
287
— 2 y2 %
134
Chemins Algérie.
Est Alcérien .... 46S
240
— 3%".
Ouest-Algérien . . 46S
247
— 3%
Sud-F anee
26*
, — 3 %
I Ch. er Provence. 342
233
1—3%
I Tunisiens
551
I — 3 % (B.-GueLï 240
Du 30 septembre.
Perpétuel
Amortissable 3 %
-—3%%
— 5%
— 1917 4%
' — 1918 4%
— 1920 5%
— 1920 6%.....
— 1925 4%
<— 19-27 6 %
B.Trésor6%1922.
— 1023
->- 1923 25
— 1924
— 1926
— 1927
Caisse autonome.
Crédit Nat. 1919.
— 1920
— 1921
— 1922 février).
— 1922 (juillet) .
— 1923 jjauvicr)
— 1923 «loin)...
— 1924 (ianvier)
Ouest-Etat 4%..
— 5% 1919
AIrique Occ. 3 %.
:Tonkin 2 >/.%...
Indochine 1909..
— 1913
Madf.cfascar 2 y2 .
— 3%
Ma--0- 1914
— 19Î8 ....
Tunis 1892
Algérie 3% 1902.
Tunis.3 %1902-O7
Vlùe Pa is 1865 .
— 1871
— quart». .....
— 1875
— 1876 .
— 1892 . . .
— ((uar*..
— 1894-96
5J
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25
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30
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10
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536
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..
..
M. B. T. — 1° A notre avis, l 'examen
terminant la préparation militaire supérieure ne doit pas nécessairement
coïncider avec l'obtention du diplôme
universitaire. Mais, pour être admis de
droit dans un peloton d'élèves officiers
de réserve, l 'élève d'une Faculté de
droit doit être en possession du grade
de licencié (Décret du 21 septembre
1923, tableau annexe n» 2); 2" Le candidat qui, au cours de la même année,
a obtenu le grade do licencié en droit
et le brevet de P. M. S. peut bénéficier
d'un sursis d'études, en vue du doctorat, et entrer ensuite dans un peloton
d'olôves officiers de réserve, à la condition que durant son sursis il aura
suivi
l'instruction
particulière
dite
• d'entretien ». (Art. 12 et 15 de l'instruction du 29 septembre 1925); 3° L'instruction militaire ne peut être suspendue temporairement et reprise plus tard
puisque l 'intéressé est assujetti à l 'instruction d'entretien sans discontinuité.
Gavcl) ; 5. Madrigal moderne (E. Marti) ; 6.
Martha, fantaisie (De Flotow) ; 7. Uabancra
'R. Laparra) ; s. Valse des Vatsers (L. Canne) ; 9. Enchantement (J. Massenet) : 10. Au
bois chantant (M. Pesse) ; 11. Marche des
bananes ;v. Scotto):
14 h. 15. — Retransmission de l'émission
Madern 1907. — 1» Un sous-officier
Etadlo-Agen.
d artllerie métropolitaine, libérable en
17 h. 30. — Bam-Bamij (ITanderson).
,
novembre
1927, a la faculté, aès à pré20 heures. — Paris (Borel-Clerc).
une demande
de
20 li. 45. — Concert de gala offert par la sent d'introduire
rengagement pour servir dans l'artilDépêche do Toulouse :
1. Le Vogage en Chine, oeverture (F. Bae- lerie coloniale, en adressant cette deain) : 9. ta Timbale d'ament, fantaisie (L. mande 'à son chef de corps actuel par
Vasseur) ; 3. ta Dame en décolleté, fantai- la voie hiérarchique;' 2° En vertu de ia
sie (M. Yvin) ; A. Ttève de valse, fantaisie loi du 16 juillet 1927, la totalité des em(.T. Szulc) ; 6. ta Petite Mariée, fantaisie plois do sous-officiers peut être résermilitaires de carrière. Par
'Ch. Lcrocq) : 7. Pour un seul mot d'amour vée aux
suite, des vacances
de sous-officiers
'D. Rnlli) ; R. Le Petit Frntst. fantaisie f.T.
Hervé) ; 9. tr x Saltimhannves. fantaisie nt,. rengagés existent actuellement dans
Garnie) ; 10. Sous le ciel, de Sortent e (E. Go- tous les corps de troupe, sauf au régiment des sapeurs-pompiers. (Notificanell a.
Concert vocal avec lo concours des artistes tion ministériel] e, « J. Off. » du 1er septembre 1927, page 9328.); 3° Les tarifs
des théâtres de la ville.
SAMFDI 1" OCTOBRE 1927
NOUVELLES POSTALES
fl est répondu sous cette rubrique à
'oute demande de renseignements ac
fjmpagnCe d'une somme de cinq trarict
aour couvrir le tournai, de ses trait-
r. t.., 2.650 mètres.
MIDI
RADIO-TOULOUSE
Longueur d'ona»
33) m. ta
Montpellier, 27 septembre.
La cueillette est à peu près terminée
'dans notre région, sauf peut-être dans
10 ih. 15. — Je suis menteuse (Lcnotr).
les Cornières ou les hauts plateaux du
12 fc. 30. — C'est la dernière java (Lenotr).
Minervis.
.
,
12 li. 43. — Concert par lo Radio-Club BlDaiu l 'ensemble, le s rendements at- gourdan, de Bagncres-de-Bigorre :
teignent à peine ceux
d'une année
1. Cliimères, valse (F. Popy) :
2. Chant
moyenne et pour beaucoup de proprié- d'amour ~L. Massollpi) : 3. lin Gondole IG.
taires ils sont intérieurs a ceux a- Mario) ; A. Le p'tit non'ltommc, îox-trott (E.
Parquet aomptan»
légion
eaux et È M-
BBARN
— quart
— 1898
V Pari; 1898 1/4
— 1899
— quart
— 1904
— cinquième..
— 1905
— quart
— 2 3/4% 1910 .
— demie
— 3% 1910,....
— quart.. ......
— 1912
— 1919
— cinquième.. • .
— 192
— cinquième.. ..
— 1922
— 1923
— 6 % 1924
— 6%% 1924...
— 7 % 1925....
Forfcièrss 1879..
— 1883
— 1885
— cinquième.. . .
— 1895
— 1903
— 1903
— 1913
— 4% 1913
— 1917
Bons 1887
— 1888
Communalesl879
— cinquième.. • •
— 1880
— 189ï
— 1892
— 1899 . .
— 1906
— 1912
— 1920
— 1921
— 1922
— 1923 non lib..
45
..
..
..
..
..
..
..
..
..
..
..
..
50
..
..
.
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..
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..
..
..
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..
..
..
..
50
.
..
..
..
..
..
..
•
de prime
de rengagement
dans les
troupes coloniales (et métropolitaines)
sont unifiés pour tous les grades et
pour tous les contrats de rengagement,
sur la base de 1.300 fr. par. aimée de
service au-delà de ia durée légale, dans
la limite de cinq ans (art. 3 de l'instruction du 30 juillet 1927); 4° La solde du
sergent, 1 er échelon (après la durée légale du service) est de 375 fr. par mois.
(Décret du 30 juillet 1927, solde des
troupes métropolitaines et coloniales).
5° Les règles d'avancement sont les
mêmes pour les troupes métropolitaines et les troupes coloniales. Pour les
rengagements, l'intéressé peut désigner
la colonie dans laquelle il désire être
envoyé. En matière de rengagement, si
le candidat est sous les drapeaux la
durée de son contrat peut être de six
mois, un an, dix-huit mois, deux, trois,
quatre ou cinq ans ; si le candidat est.
libéré, son rengagement dans les troupes coloniales doit être de trois ans au
moins. (Art. 67 dte la loi de recrutement).
S D. 1926, — 1» La solde journalière
d'un simple soldat, pendant la durée
de son service légal, est de 0 fr. 25. Le
prêt franc se compose de cette solde
journalière augmentée des indemnités
de vivres qui lui sont allouées dans les
circonstances où le soldat ne vit pas à
l'ordinaire dé son unité. Il n'y a pas de
taux fixe pour le prêt franc ; il varie
suivant les lieux et circonstances dans
lesquels il est accordé. 2° Le sergent,
et le caporal de l'armée active, pendant
la durée légale du service, reçoivent,
une solde journalière de 1 fr. 20 wer.
indemnité de vivres pour le sergent et.
de 0 fr. 45 pour le caporal qui vit à
l'ordinaire de sa compagnie.
Commandant i. 80UVILLE.
te Gérant i AMÊDSE BEESON.
Imprimerie Spéciale.
Suez
14825 ..
—5%
2500 . .
Métropolitain... 670 ..
— 3 y, %
341 . .
— 4%
336 ..
— 6%
489 50
Distribution.... 1650 ..
-334%
34/ ..
— 4%
435 ..
—5%
440 . .
Générale électric. 2330 ..
Thomson
592 ..
Eiect. Métalmrg. 2300 . .
Tréfiieries Havre 310 ..
Courrières
922 . .
Lens
513 ..
Boléo
153 ..
Penarroya
1160 ..
Pla ine
. 1230 ..
Financ. Péîroïes. 946 . .
Kuhlmann
909 ..
Gaisa
10g5 ..
— parts
1720
Prod. Chim. Alais 1820 . .
Chargeurs Réunis 1128
Messageries
238 . .
— priorité
242 ..
—3%%
820 . .
—5%
433 . .
Transatlantique. 1600 ..
— priorité
415 ..
— 3%
257 ..
— 4%
,03 50
Voitures
.049 ..
Air liquide
625 . .
Paths jouissance. 668 . .
— Japitai
702 ..
Say
1750 ..
B. Londres-Mes. 216 ..
Mexique..
075 ..
Ottomane
1643 . .
Foncier Egyptien 4625 . .
Nitra e Railwas.
755 . .
Congo Gds Lacs.
999 ..
Wagons-Lits ord- 1315 ..
Central Mining. . 2485 . .
Rio-Tinto
5005 ..
Azote
1600 ..
Lautaro........ 540 ..
Naphte. ........ 153. ••
Carpet
530 ..
Petroflna
1065 ..
Raffinei Egypte 1167 ..
— parts
,.. 1780 ..
Tabacs Ottomans 245 ..
Bûe Indochine. 5500 ..
Feuilleton du 1« octobre 1927
LA GARRIGUE HANTÉE
par
Jean
ae
j
— EK bfen! monsieur, dit le 'chef de la
letùreté, nous regrettons vivement de vous
avoir dérangé ainsi... Je vous fais mes
excuses, surtout pour le motif de cette
^convocation... Nous vous demandons de
vouloir bien nous tenir au courant de tout
ijincident nouveau qui se passerait dans
i.votre région, et de nous signaler sans retard toute apparition de ces prétendus
!orevenants...
- - C'est convenu, messieurs, répondit
Jacques. Nul plus que moi ne tient à tirer
î|au clair ces histoires louches. Je donnerais je ne sais quoi... toutes mes chasses
et mes promenades à cheval de dix ans!...
(pour que l'intrus qui se permet de s'introduire chez moi et d'y commettre des
actes tels que H subtilisation de papiers
dans votre portefeuille...
Jacques s'arrêta soudain.
BARASG
Une idée venait de jaillir dans son cerveau.
_Tout à l'heure, devant l'accusation brutale et quelque peu insolente dont il était
l'objet, il n'avait prêté attention qu'à l'indélicatesse que lui reprochait M. Collin,
d'avoir touché au portefeuille
enfermé
dans sa poche.
Maintenant, il se rappelait l'enlèvement
des semelles de papier découpé dont s'était
plaint l'expert.
— Mais, s'écria-t-il, j'y songe!... Si le
gredin vous a subtilisé ces traces relevées
sur ses pas, c'est que c'est lui, l'homme
du rocher !...
— Je n'en doute pas, dit M. Collin avec
conviction.
_ Mais, mille tonnerres! Comment savait-il que ces semelles étaient dans votre
portefeuille ?...
Le docteur et le chef do la sûreté firent
— Privée ç-umu.
237
C Lyon-Aiemand 831
Crédit Algérien. . 2350
Havraise Pénîns. 455
Nord-Sud
230
— 4% 1909
348
317
— 4% 1913
— 6%% 1924... 484
695
Omnibus
325
— 4%
464
Parisienne Ind...
Tr-am. Bo-doaux. 225
442
— Français
293
— 4%
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— Seine
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— Var
635
Doeks Marseille.
Magas. Généraux 219i)
Air Comprimé.. . 3780
CâblesTélégraph.
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Electric Paris... 2680
— 4%
357
Energie Méditer.'. "'^
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— 4%
312
— Sud-Ouest...
899
— Induscr
t? 2
Havraise Energie 90O
Téléphones
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Gaz de Paris.... 320
Firminy
28S
Aciéries France..
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Miîheville
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Parfs-Outreau. . .
Chant. Bretagne.
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— France
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— Loir
51b
J 00
Ac. No -ct-France
Chant. Gironde..
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50
— St-Nazaire...
^
Chât -Comment-y 2150
Constr. Locomot. 216
1 7Ç
Decauvilie
Dy:^-Bacalan ord
74 50
Fives-Lille
145»
Pontgibaud
1803
Alais
190
Forges Marine.. .
635
Jeumont
44o
— parts
1502
Méditerranée.... 440
Montataiie
433
Denain-Anzin ... 1610
Ariège. .........
260
Normandie
60.
l» OCTOBRE 1927
LISTE DES MOUVEMENTS ANNONCÉS
par les différents services réguliers
au départ de Bordeaux, à la date
du 30 septembre 1927.
a) Ligne postale à grande vitesse de
Bordeaux au Brésil et au Rio cle la
Platu. — Le paquebot de r;rand luxe
« Massilia » quittera BordeaUx-qual le
15 octobre, à 7 heures, pour Vigo, Lisbonne, Rio de Janeiro, Santos, Monte
video et Buenos-Ayres. (Passegers luxe,
1™. 2", 3° cl. sup. dortoirs. Marchandises.)
',
b) Ligne postale de Bordeaux au Sénégal, au Brésil et au Rio de la Plata.
— Le paquebot e Meduana » quittera
Bordeaux-quai le 7 octobre pour Bilbao, Vigo, Porto, Leixhês. Dakar, Pernambuco. Bahia, Rio de Janeiro, Santos, Montevideo et Buenos-Ayres (Pas
sagers 1", 2°, 3= cl. dortoirs' Marchan
dises.)
c) Ligne postale de Bordeaux à la
Côte occidentale d'Afrique et au Congo.
— Le paquebot « Amérique » quittera
Bordeaux-quai le 11 octobre à 11 b. 15
Pour Dakar. Conakrv et. l ; s ports de
la côte jusqu'à Borna et Matadi inclus
fPassatrers, p», z e , 3° cl. Entrepont, mar
chandises.)
d) Ligne postale de Bordeaux aux
Antilles, à la Côte Ferme et au canal
de Panama. — Le paquebot « Pellerinde-Latouche » quittero Borrlcaux-nuai le
13 octobre pour Pointe-à-Pitre, Fort-doFrance. Trinidad. La Gwira,. Puerto
Colombia et Crisfobal-Colon. (PassaEters 1«. 2°, 3 e cl. Entrepont marchandises.)
e) Ligne postale de Bordeaux au
Canada et aux Etats-Unis. _ TJ° naquebot « Roussillon » quittera Tîordeanxouaî le 6 octobre pour New-York, via
Vigo. (Passagers cabines, classe unique. Entrepont, marchandises.)
f) Ligne commerciale de Bordeaux à
l'Afrique occidentale. — Le vapeur de
charge « Amiral-Ganteaume » quittera
Bordeahx-qUai. le 13 octobre, pour
Dakar, Conakry, Tabou, Grand Bassam,
Accra, LOmo, Cotonou, Lagos. Douala.
(Marchandises.)
g) Ligne commerciale de Bordeaux à
l'Afrique occidentale. — Le vapeur de
charge « Adrar » ouittera Bordeauxquai le 19 octobre pour Ténériffe et les
norts de la côte jusqu'à Pointe-Noire
inclus. fPassajrers P™ cl. Marchandises.)
h) Ligne régulière de Bordeaux au
Maroc. — Par les paeuebots « Fpïti »,
le 5 octobre, à 22 h. 30; « Volubilis »,
le 12 Octobre, à 16 h. 30.
j) Ligne commerciale de Bordeaux à
l'Australie, via Suez. — Le pacruebot
mixte « Cëphée » quittera Bordeauxquai le 18 novembre pour Lisbonne,
Marseille, Port-Saïd. Suez, Aden Colombo, Fremantle, Adélaïde, Melbourne,
Sydney. (Passagers l re , 2 e . 3° cl. Mar
chandises.)
k) Ligne commerciale régulière de
Bordeaux aux Antilles françaises et à
la Guyane. — Le vapeur de charge
« Sèvre » quittera fiordeaux-auai le
5 octobre pour Fort-de-France, Poim Ïà-Pitre,
Saint-Laurent-du-Maroni
et
Cayenne. (Marchandises seulement.)
1) Ligne commerciale régulière de
Bordeaux à Tahiti et à la NouvelleCalédonie via Panama. — Le paouebot
mixte « Antinous » quittera Bordeauxquai lo 16 octobre pour Lisbonne. Marseille. Pointe-à-Pitre.
Fort-de-France,
Cristobal, Papeete, Suva.
Fort-Vila,
Nouméa. Passagers l re , 2 e 3 e cl. Entrepont, marchandises.)
m) Ligne régulière de Bordeaux à
1 Indochine. — Lo paquebot à turbines
« Cap St-Jacques » quittera Bordeauxquai le 15 octobre pour Marseille. PortSaïd, Colombo. S.ingapore.
Saigon,
Tourane. Hcïpîiong. Passagers classe
unique. Marchandises.)
n) Ligne postale régulière de Bordeaux à Haïti. — Le paquebot « Macoris » quittera Bordeaux-quai le 13 octobre pou" San 3uan de Puerto-Rico,
F'uerto-Plata,
Cap Haïtien,
Port-dePaix. Gonaïves, Port an-Prince.
Sanro
tiago de Cuba. (Passagers l , 2 e 3 e cl.
Entrepont:, marchandises.)
o) Ligne commerciale régulière de
Bordeaux à Cuba, au Mexique et à la
viitaux
1861
Montbard.
322
Creusot
1025
Senelle-Maubeage 1 jb5
Basse Loire
40 ,
Béthune
5645 ,
Boucn.-du- Rhône 701
Tonkin
12000
Commen.-Foureh. 1119
Aniche
1590
Bianzy
915
Carmaux
1419
Grand'Combe . . . 795
Minss Loire
531
Maries
645
Vicoigne
685
Aguilas
305
Algérie-Tunisie. . 5350
Assoc Minière..
385
Cuivre Pyrites.. .
392
Guergour
8000
KrivoiRog...... 205
Mokta cap. ..... 9250
Nickel
808
Ouenza
3670
Tekkah
2105
— parts
1155
Lille-Bonnières.. 620
Pétroles
^02
Dynamiteleentr.l 2650
Saint-Gocain... . 5015
Stéar. Fournier..
125
Usinss Rhône... 1038
Cusenier
2150
Sucreries Brésil.. 505
Cim. Indochine.. 1450
Paiiet-Chausson
1315
— parts
1500
Galer. Lafayette. 166
Nouvel!. Galeries 581
Pari=-Francs
1530
— série A
4 o/
Beige 3%i873'-0S
Brésil 4% 1889..
Agence Havas.. .
Bergougnan
Compteurs à gaz.
Gaumont
Auer
Peugeot
— parts. . ......
Angleterre 2H%
Argentin 1886...
— 1896
— 1D00
— 1907
— 1909
— ^911
Autricn.3 %!"' H
Suisse 3 y2 % 1910
1130
765
817
312
892
558
66£0
273
2550
410
1J4
2375
2405
396'
374
— 5% 1909
— 1902
— 1911
— 1913 réorg....
Egyote unifiée . .
— 3 %%
Espagne Ëxtér™.
He.-Ién. 4% 1887.
Italie 3 >/. %
Mexique 4%1901
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— 1996
— 190U
B. E3p. Rio-Piata
C le Italienne ....
Onen:
Franc. Rio-Plata
Danube Save obi.
Nord Espagne.. .
Nouvelle-Orléans. — Le vapeur d°
rg
hursrc « Gand . quittera Bordeaux-quàî
5
obre pour La Havane, Vera
Cruz. Tampico et la Nouvelle-Orléans
P) Li„ne commerciale régulière de
Bordeaux aux Antilles et à la Guyane
- Le vapeur de charge « Basse-Terre »
quntera Bordeaux-quai le 10 novembre
pour
Pointe-à-Pitre,
Fort de-France
Samt-Laurent-du-Maron; et Cavenne '
O) Liftne commerciale régulière de
Bordeaux au Nord Pacifique. -. Le vapeur de charge « Alaska. . quittera Bordeaux-quai le 17 octobre pour Cristobal. Los Angeles. Harbour San-Françisco. Portland. Seattle c-t Vancouver
(Marchandises seulement).
r) Lime commerciale régulière de
Bordeaux au Sud Pacifique. - Le raneur de charge » X . » quittera Bordeaux-quai le 22 octobre pour Fort-deFrance
Cristota]
Guvaauil.
Cnllao,
Arica, Iqnique. Antofact'.sta. Coqnimbo.
Val parai so, Talcahua no. (Marchandises seulement )
374
260
46
297
460
1140
427
541
383
1150
659
1240
425
374
390
1130
335
97
463
416
336
449
1915
125
125
180
57
11
11
20
12
9
9
8
19
11
11
154
557
519
516
117
418
120
95
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250
1754
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en même temps le même geste d'impuis- |
XI
sance à expliquer ce mystère.
— Et comment a-t-il pu entrer à Angli- j
Le lendemain de l'entrevue que nous
nés, et jusque dans votre chambre, sans J
venons de rapporter, le docteur Linavre,
être entendu par personne ?
se souvenant enfin de sa promesse à Mme
Une nouvelle mimique semblable à la de Ranclos, lui avait porté un cornet de
précédente répondit à la question de Jacfleurs d'hysope, soigneusement cueillies
ques d'Ombost.
par lui-même, au cours d'une de ses dernières promenades dans les bois.
U s'y mêlait seulement un peu d'ironie.
La jeune femme fut vivement touchée
— C'est à devenir fou !... reprit le jeune
de cette aimable attention.
homme. J'en arriverais à croire aux fan— J'ai horreur de toutes tisanes, dittômes qui passent à travers les murs!...
elle...
Jamais je n'en goûte aucune !...
Comme M. Linavre y croit lui-même... ou
dit y croire. Car, après tout, se moque-t-il [. Même le thé me paraît insipide... Mais en
yotse honneur, cher Monsieur, et pour
de nous quand il déclare possible ces in
terventions do l'au-delà ! Non ! 11 doit y vous remercier de vous être dérangé exavoir autour de nous un espionnage cons- près pour moi, en cueillant cotte plante
et en me l'apportant vous-même, je vouas
tant... Nos domestiques sont complices de
ce personnage... Ce sont eux qui l'intro- promets d'en boire une tasse...
_ Peut-être, répondit Linavre, pousseduisent dans la maison et qui jouent enrez-vous l'héroïsme jusqu'à en boire plusuite la comédie de l'étonnement et de la
sieurs... C'est un peu amer : mais c'est le
peur des Matagots!... Ça va finir! En les
meilleur des stimulants que je connaisse,
surveillant tous sérieusement, nous finirons bien par les pincer!... Et par eux, et sans aucun inconvénient...
— Vous me croyez malade!... Mais je
on aura la chef de cette énigme irritante...
— Je le souhaite, Monsieur, répondit le vous assure que je n'épronv. aucun madocteur Collin. Je vous jure que de mon laise... Je dors parfaitement.., Néanmoins,
c'est promis, ce soir r.ême je commencerai
côté je me fais un point d'honneur de ne
pas rester sur les mystifications de cet la méd'eation !....
Estimez- vous heureux ! Linavre ! s'éindividu... Quel qu'il soit on lui mettra
la main eu collet; et ce sera peut-être cria César de Ranclos... C'est un succès !...
Depuis que je connais ma femme, je crois
plus vite qu'il ne le suppose!...
bien qu'elle n'a pas avalé un cachet jii
Sur ces mots, au double sens desquels
une pilule !
Jacques ne fit pas attention, il quitta le
— Jo guis à mon tour profondément )
cabinet du chef de la eûrejté.
ENTR1 .E
MEILLEUR
LIBRE
A
Mexicain
— 3%
BANQUE
Comptant
Argentin 6%.. ..
513
35 7 . ,
425
310
114
, 281
Daiepr-^vienne . . 308
1340
Périgord
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Saui-du-Tarn . . . 938
125
592
3570 .. .
1460 . .
Ekaterinowska . . • . •
Liévin (30)
120fC
Astra R.omana . .
554
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Grosnyi priv. . . . 405
340
Mex. E-.gie prêt.
114
Omnium Pétroles 338
Royai Dutca
361 0
3645
552
13 25
Steaua Romana,
279
Victoria Pétroles 250
281
Kinta jouissance. 1300
4200
22 75
S300
— 1903
— R scision ....
Chargeurs Franc
Vieille-Montagne .2685
189
1320
Suberbie
51
2S-10
Pointe-à-Pitre.. . 5775
271
4160
3075
8,19
— cinquième. . . . 2305
— obligations. . . 250
Est Asiat Danois 7150
\\
DE
EXPOSITION PERMANENTE
ON DEMANDE des OUVRIÈRES, trav.
fac. chez' soiV'M. au cour'. Tfcr. Le Jouet
Bourré, Lorris (Loiret). Enveloppe timbrée p. réponse.
Nav. Ext.-Onent 17S5
Etabl. Leroy. . . - 16»
Tab. Port, parts- ?S75
EN
MARCHE
— 6% (bons) ...
Alsacienne
Bakou
Balia
Brakpan
Cambodge
Caou choucs ....
Chartered
Coiombia
Concordia
Crown-M nes. . . .
De Beer ">rdin.. .
— préférence. . .
Diétr.'ch
Eastern
East-Rand
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Franco-Polonaise
Fco Wvom. ord.
Geduid
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Hotchkiss
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Jage-sfontein . • .
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Lianosoff
Maiacca
— préférence.. . .
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Mexico
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North Caucasian.
Padan",
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248
629
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182
330
233
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1789
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228
325
033
565
331
252
190
1544
435
415
4S8
79
480
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719
257
118
111
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253
107
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50
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138.80
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Uruguay
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100 couronnes
105.—
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Du 30 septembre.
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Carmaux, action 156
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coupon 32 1
payés :
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592 ; F ronneiïes du Mkli ex. coôn^
50
Banque Courtois ex. coupon. J - „,
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Manuel (Etablissements) ex. coa^^
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200.
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BOURSE DE TOULOUSE
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Obligations. - L'Epargne (S ^'tU
ssillor.naii
400 ; Hytlro Electrique Rousstf™
3-20 ; Moulin du Kazaclc 4
63 50
132
43 50
touché alors, dit Linavre en riant, que
Madame veuille bien faire pour moi une
merveilleuse exception.
Ils étaient dans le petit salon du rezde-chaussée.
Les fenêtres ouvertes sur les jardins,
montraient dzz frondaisons splendides de
pourpre et d'or, dont les feuillages touffus
devaient caresser le mur môme du château.
— Est-ce beau! s'écria Octave en montrant ce coin du parc... L'automne !... C'est
la saison idéale!... Celle de toutes les maturités et de toutes les gloires de la nature!
Ce grand élan oratoire était accompagné
d'un regard expressif à Linavre.
— L'automne murmura celui-ci pensif,
en répondant à la demoiselle, c'est aussi
hélas! l'annonce de l'hiver prochain!...
— Sériez-vous mélancolique? protesta
l'ancien marchand de vins, en tapant vigoureusement sur l'épaule du savant.
Allons! Allons! Les feuilles tombent...
mais c'est pour repousser!... Et quant à
nous, l'hiver n'est pas fait pour nous effrayer, n'est-ce pas? C'est la saison de
l'Opéra, du Cinéma, des belles réunions
mondaines... Vene; à Paris, cet hiver, mon
cher, et vous m'en direz des nouvelles!...
Linavre hocha la tète.
— Vous êtes infiniment aimable...
— Ce serait vraiment gentil à vous, insista Octavie de Puy-Sommières:.. Et vous
devez tant vous ennuyer, l'hiver dans
votre tannière basque !...,
5 %•>
- Je vous ai déjà dit, chère MjJ^
selle, que je ne m'y ennuie J a ^:j
s.,
leur
n'y suis seul oue si je le désire,-. q . .
— Ah !... Oui.,. Vos esprits...
— Ils sont fidèles, eux!
. me rtu nî?<
Ceci dit d'un ton de profonde ai
Linavre vit avec une satisfacuo - ^..j..
que les yeux de la tendre Octavi
r
laient légèrement.
„^nnca P°°
Presaue à son oreille, elle prono .
US
lui seul :
.tait!.- T°
- Il n'y a pas qu'eux, P ? U ™L confies vivants ne mét'tent pas a
^ »
dus
no avec
aï
il'horrible créature 1
e
trompé jadis.
.
t pct in re^ *
Un serrement de main dand*»^*
cia Octavie de son affectueuse p ^ de rescia uc.uvic uc
tibme cie
et la fit remonter au septième
P
Mais la dernière phrase f ^pl^f*
rappelé à César de Kanclo, « ^0 nV
P
fa7tc par l'ordinal
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à une de ses expenen .es _sp
de
manifesta aussitôt son '^
'0 n^
rifier par lui -même si tout ce q qn
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tait à ce sujet avi .it que.i
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sérieux.
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_ Quand vous v°" ™,' nven u«; . de
Et ces dames seront les bi»
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_ Moi, je n- . récuse. réP
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Ranclos.; Je ne cro
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suivre là -dessus 1« P'« £ ét n «
se. oui interdisent de se u . ^ sUt ir f
tiques...
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La reutrée Parlementaire n`est pas fléiiiiïent fixée

Transcription

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