εβδομαδα 13-19maiου τα μαθηματικα στον ελληνικο και ξενο τυπο

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εβδομαδα 13-19maiου τα μαθηματικα στον ελληνικο και ξενο τυπο
Βαρβάκειο Λύκειο
Κυριακή, 19 Μαΐου 2013
Λυγάτσικας Ζήνων ΠΕ03
DEA, PhD καθαρά Μαθηματικά
ΕΒΔΟΜΑΔΑ 13-19 MAIΟΥ
ΤΑ ΜΑΘΗΜΑΤΙΚΑ ΣΤΟΝ ΕΛΛΗΝΙΚΟ ΚΑΙ ΞΕΝΟ
ΤΥΠΟ
Καλό υλικό και αυτήν την εβδομάδα…..
1) H Le Monde είναι πάντα η πρώτη εφημερίδα στις μαθηματικές δημοσιεύσεις
παγκοσμίως. Σήμερα, θα πρότεινα την αλλαγή προσώπου στο defis mathematiques, το
2ο άρθρο σχετικά με τον προβληματισμό πάνω στο οικονομικό πρόβλημα, την
υποστήριξη των επιστημών του ανθρώπου από την κυβέρνηση στο Λύκειο. Ένα
ενδαφέρον άρθρο θα μπορούσε να χαρακτηρισθεί το La folie de l'art brut abonnés.
2) Liberation : Δεν είναι οι μαθητές που δεν υπολογίζουν αλλά τα μαθηματικά που δεν
κάνουν πλέον υπολογισμούς ….. πολύ ενδιαφέρουσα περίπτωση.
3) Από την Washington Post γράμμα στο Obama για την ποιότητα των δασκάλων. Τελικά
μένω με την εντύπωση ότι θα ζητήσουν από όλους πιστοιποιητικά ποιότητας έτσι ώστε
να ξεχάσουμε την μετριότητα αυτών που μας κυβερνούν. Αλλα, όπως αναρωτιόταν
κάποτε ο Clinton, πως μπορείς να κυβερνήσεις ανθρώπους εξυπνότερους από εσένα?
4) Η Frantfurter Allgemeine δίνει 25 ευρώ αν τις απαντήσουν ποιος διάσημος Γάλλος
μαθηματικός είπε ότι το πανεπιστήμιό του στα φοιτητικά του χρόνια του έιχε
ε[πιβάλλει αυστηρές ποινές επειδή δεν είχε καταλάβει το ταλέντο του. Παρουσιάζει δε
το Imaginary πολύ γνωστό σε εμάς.
1
Η Suddeutsche ξαναφέρει το ερώτημα, αν θα πρέπει να γυρίσουμε σε σχολεία αγοριών
– κοριτσιών. Είναι πολύ ενδιαφέρον και αν το διαβάσετε θα δείτε ότι τίποτα δεν είναι
προφανές.
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5)
Βαρβάκειο Λύκειο
Κυριακή, 19 Μαΐου 2013
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DEA, PhD καθαρά Μαθηματικά
Le Monde
1. Les défis mathématiques du Monde, épisode 8 : les
chapeaux
Le Monde.fr | 17 mai 2013
Cette semaine, Aurélien Alvarez, enseignant-chercheur
enmathématiques, vous propose un défi intitulé l'énigme des
chapeaux. Saurez-vous résoudre le défi de la semaine ?
Envoyez vos réponses à plusproduit@lemonde.fr . Chaque
semaine, un tirage au sort sera effectué parmi les bonnes...
2. Economistes en crise
LE MONDE CULTURE ET IDEES | 16 mai 2013 | Claire
Gatinois | 1262 mots
"La science adore se retrancher dans une tour d'ivoire faite
demathématiques, de latin ou de grec, d'histoire, d'axiomes ou
d'autres rituels sacrés, sanctuaires illégitimes où les savants
échappent à la critique des autres champs et du public", écrit
Tomas Sedlacek, ancien conseiller...\
3. Le gouvernement prépare un plan de
soutien pour les sciences
humaines abonnés
LE MONDE | 16 mai 2013 | Nathalie Brafman | 748 mots
En France, les sciences humaines et sociales (SHS) sont souvent
stigmatisées sur le plan de la recherche, par opposition aux
sciences dures (physique, mathématiques), mais aussi au prétexte qu'elles ne
produiraient que des chômeurs. « On ne s'est pas assez occupé des sciences humaines...
4. Universités : "les cours en anglais mènent à un
enseignement au rabais"
Le Monde.fr | 15 mai 2013 | 543 mots
Ou bien réduire le temps consacré à l'histoire, ou aux mathématiques et aux sciences
physiques (ce qui est déjà le cas au lycée). On a le choix, mais il faudra le payer
longtemps.. MANQUE D'ATTRACTIVITÉ DE NOTRE ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR.
Cependant, le ministre a raison de déplorer le...
Page
LE MONDE | 14 mai 2013 | Collectif | 630 mots
Début avril, le ministère de l'éducation nationale a annoncé la fin des internats
d'excellence au moment précis où était publiée une évaluation de l'internat de Sourdun
2
5. N'abandonnons pas trop vite les internats d'excellence !
Βαρβάκειο Λύκειο
Κυριακή, 19 Μαΐου 2013
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(Seine-et-Marne) qui démontre ses effets très positifs sur les
apprentissages en mathématiques et l'ambition scolaire..
6. La folie de l'art brut abonnés
LE MONDE ARGENT | 14 mai 2013 | Roxana Azimi | 545 mots
Le musée Hamburger Bahnhof, à Berlin, consacre actuellement un accrochage aux
déclinaisonsmathématiques de George Widener, tandis que la Hayward Gallery, à
Londres, ouvrira en juin une exposition sur ces mondes obsessionnels. Certaines
institutions comme la Halle Saint-Pierre, à Paris,...
7. L'énigme de Fermat
LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | 13 mai 2013 | 197 mots
C'est par ce titre en "une" du New York Times que fut célébré, en 1993, l'un des plus
retentissants exploits mathématiques : la résolution du dernier théorème de Fermat.
Pendant plus de trois siècles, les mathématiciens se sont cassé les dents sur cette énigme
d'apparence pourtant...
8. "La marge est trop petite" : une forfanterie féconde
LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | 13 mai 2013 |
Philippe Pajot | 768 mots
Une conjecture faisant un lien entre deux objets
des mathématiquesassez dissemblables a priori : les courbes
elliptiques d'une part, des courbes planes définies par une
équation polynomiale et sur lesquelles on peut déterminer
une loi d'addition entre points, et, d'autre part, les...
9. Denis Diderot, ami des sciences et de la liberté
Page
3
LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | 13 mai 2013 | Marco
Zito | 556 mots
Diderot se mêle donc avec une extrême curiosité
de mathématiques, des résultats récents de physique,
d'astronomie, d'électricité et de magnétisme. Dans De
l'interprétation de la nature, il livre un petit traité sur la
recherche scientifique. Il s'agit d'une critique de la pensée..
Βαρβάκειο Λύκειο
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LIBERATION
10.
Les formules mathémachistes
13 mai 2013 à 21:06 (Mis à jour: 15 mai 2013 à 11:37)
Par VÉRONIQUE SOULÉ
{Xy}. Ce ne sont pas les filles qui ne calculent pas les maths, mais les maths qui ne les
calculent pas. La preuve par les manuels scolaires.
Des élèves avant un examen de mathématique, le 2 mars 2012 à Londres.
- Photo Luke MacGregor / Reuters
Page
osent toujours moins que les garçons les filières
scientifiques. Des associations se battent pour
surmonter ces préjugés et permettre aux filles de faire un choix plus libre. Mais cela
ressemble à un puits sans fond. Les faits d’abord. A niveau égal en maths, 8 garçons
sur 10 choisissent la filière S au lycée, contre 6 filles sur 10. Alors qu’elles
représentent 45% des lauréats du bac S et qu’elles y sont bien plus nombreuses à
décrocher des mentions bien et très bien, la plupart ne poursuivent pas de formations
scientifiques, excepté médecine.
On retrouve moins de 30% de filles dans les prépas scientifiques, réputées très
concurrentielles, ce qui correspondrait davantage à un caractère viril… Elles ne sont
guère que 27% dans les formations d’ingénieurs - ouvrant à des métiers de garçons,
toujours dans l’imagerie populaire -, ou encore 28% en licence de maths. Dans le
supérieur, la proportion d’enseignantes-chercheuses et de maîtresses de conférences
ne cesse de décliner. «Le problème est que les lycéennes vont trop souvent vers des
filières bouchées alors qu’il y a beaucoup de demandes dans le secteur
scientifique,explique Véronique Slovacek-Chauveau, vice-présidente de l’association
Femmes et maths. Il ne s’agit pas de leur dire qu’elles doivent toutes se diriger vers
les sciences, mais de leur faire prendre conscience des stéréotypes qui conditionnent
leur choix sans qu’elles s’en rendent compte. Si les maths sont difficiles, elles le sont
autant pour les filles que pour les garçons.»
Le 25 avril, Femmes et maths, avec l’association Animath, a organisé une journée
«Filles et maths», la quatorzième depuis 2009. Cette fois, elle se déroulait à
l’université Paris-XIII Villetaneuse (Seine-Saint-Denis). Quelque 80 lycéennes étaient
invitées à rencontrer des femmes scientifiques et ingénieures pour parler de leur
métier, de leur façon de concilier vies privée et professionnelle, etc. Prof de maths en
lycée à Paris, Véronique Slovacek-Chauveau sait que la tâche est immense. Jusqu’à
peu, elle-même croyait enseigner de façon parfaitement neutre une matière abstraite,
à l’abri des clichés de genre. Lorsqu’elle a commencé à regarder de près les manuels,
elle est tombée de haut. Car le sexisme se niche partout… Après les livres d’histoire,
les féministes du centre Hubertine-Auclert, financé par la région Ile-de-France, sont
allées le débusquer dans ceux de maths qui ne font guère mieux. Dans les
29 ouvrages de terminale étudiés - 15 de la voie professionnelle et 14 de S -, ces
4
«Les filles, ça sait pas lire les cartes routières.
Alors, la géométrie dans l’espace…» Les clichés
ont la vie dure et celui sur les femmes«pas faites
pour les maths» continue de prospérer. Les filles
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Κυριακή, 19 Μαΐου 2013
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messieurs portent la culotte tandis que ces dames, en jupe, font tourner
la machine à laver. Retour sur cette étude de novembre 2012, en cinq points.
Une femme pour cinq hommes cités
Si la femme est l’avenir de l’homme, pour les auteurs des manuels il s’agit d’un futur
lointain. En attendant, elle est reléguée à la marge dans ces ouvrages parus
entre 2010 et 2012. Sur les 3 348 personnes citées au total - figures réelles ou
inventées pour les exercices -, on ne dénombre pas plus de 672 femmes. Pour les
deux chercheuses qui signent l’étude, les hommes doivent en grande partie cette
suprématie à l’usage abusif du masculin indéterminé, l’article «le» censé représenter
l’humanité entière, tous genres confondus - «le joueur», «le facteur», «le
professeur», etc. Or, rappellent les auteures, le français possède des règles de
féminisation - on peut dire une professeure, une femme professeure ou encore, pour
aller au plus simple, une enseignante. S’il existe bien une version féminine du terme,
l’emploi de l’article masculin n’est donc pas neutre.
3,2 % de femmes parmi les personnages célèbres
D’accord, Pythagore était un homme. Les femmes sont par ailleurs moins nombreuses
que les hommes à avoir marqué l’histoire des maths. Et pour cause : elles furent
longtemps cantonnées à la seule étude des humanités, après l’avoir été à la broderie.
Mais même celles qui ont fait avancer les sciences voient leur rôle minoré. Le cas le
plus fréquent : les femmes remarquables qui n’apparaissent jamais sans leur mari.
Marie Curie est systématiquement associée aux travaux de Pierre. Mais combien
d’élèves savent qu’en plus du prix Nobel de physique décroché par le couple, elle a
obtenu, seule, celui de chimie ? Il y a aussi celles que les auteures de l’étude
appellent «les femmes épithètes», accolées à une découverte sans jamais être
présentées. Ainsi, «les nombres de Sophie Germain». Dans un manuel de S, à la fin
d’un exercice, on demande bien «qui était Sophie Germain» sous la rubrique «pour
aller plus loin». Mais l’élève s’arrêtera là, car le manuel ne se donne pas la peine d’y
répondre.
Les femmes tombées dans les oubliettes de l’histoire
Connaissez-vous Augusta Ada King ? Non, et c’est bien normal. Elle n’est jamais
citée. Et pourtant cette mathématicienne est la première programmeuse de l’histoire,
ce qui n’est pas sans intérêt. Un manuel de terminale S a failli parler d’elle. Il ouvre
son chapitre sur les nombres premiers avec une photo de deux femmes branchant
des câbles dans une machine, en Pennsylvanie. Il s’agit de pionnières de la
programmation, mais la légende préfère citer les deux mathématiciens à l’origine de la
création des ordinateurs, sans aucune allusion à Augusta Ada King. Les femmes
célèbres dans d’autres domaines ne sont guère mieux loties. Un manuel de S
reproduit la photo d’un groupe de mathématiciens - dont Laurent Schwartz, Henri
Cartan, André Weil… Une femme s’est glissée parmi eux. La légende ne donne pas
son nom. Il s’agit de Simone Weil, sœur d’André, la grande philosophe qui méritait
mieux qu’un blanc.
Un gérant en général, une gérante de parfumerie
Les énoncés des exercices reproduisent allègrement les clichés sur les rôles et les
métiers «traditionnels» des femmes. Ainsi, les filles ne jouent jamais aux jeux vidéo.
Lorsqu’elles travaillent, elles deviennent standardistes, secrétaires, infirmières. Dans
les professions scientifiques, on les retrouve laborantines ou archéologues. En
terminale pro, un manuel a choisi le bleu et le visage d’un garçon pour la couverture
de la version destinée à la filière industrielle, et le visage d’une fille pour la filière
tertiaire. La palme revient à un ouvrage de S qui, dans un exercice, parle d’un
animateur au masculin jusqu’à ce que l’on tombe sur une animatrice de patchwork…
5
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Mais tout n’est pas si désespérant. On tirera un coup de chapeau au
manuel de S qui parle d’«hydrolicien(ne)» et de «biostatisticien(ne)».
L’homme est complexe, la femme est complexée
L’illustration ouvrant le chapitre consacré aux chiffres complexes, en S, résume des
décennies de machisme borné. Sur un dessin, un homme enlace une dame. «Qu’estce qu’un homme complexe dit à une femme réelle ?» demande la légende. Réponse
: «Voulez-vous danser ?» Sur un second dessin, une femme se contemple dans un
miroir grossissant : «Ils disent tous que je fais un complexe mais je le vois bien, j’ai
grossi.» Là encore, tout n’est pas perdu. Dans le chapitre sur les statistiques et les
probabilités, le plus ouvert sur les questions contemporaines, plusieurs manuels de
pro proposent des exercices appelant à réfléchir sur les inégalités. On y évoque les
salaires des femmes, moindres à qualification égale, l’écart qui s’est creusé, les
inégalités d’accès à l’emploi, etc. Le centre Hubertine-Auclert a renoncé à décerner un
prix d’excellence ou un bonnet d’âne à un ouvrage, car tous sont touchés à des
degrés divers. Si l’on veut que les jeunes générations échappent aux stéréotypes, il y
a urgence à les chasser des manuels.
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ΤheGuardian
11.
Matt Parker: 'I'm obsessed with spreadsheets at the
moment'
One maths boffin + one funny man = a stand-up comedian who jokes about
dominoes, algorithms and Rubik's Cubes
The Observer, Sunday 19 May 2013
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"I'm obsessed with spreadsheets at the
moment," says Matt Parker, a maths
fellow at Queen Mary, University of
London, who moonlights as a stand-up
comedian. "In my new show I'm going to
be showing my all-time favourite. It's
pretty spectacular. You may have your own favourite spreadsheet, I don't know."
I don't, as it happens, but Parker is finding there are many like-minded souls out there. He did
his first gig in early 2009 and quickly gained attention for a series of offbeat videos – how to
split a restaurant bill; an algorithm for whether to use a budget airline – that went modestly
viral on YouTube. He now does solo performances, including a spot at the Cheltenham science
festival next month, and is one-third of the Festival of the Spoken Nerd, which will perform its
Full Frontal Nerdity show at the Udderbelly in London this summer and in Edinburgh
throughout August.
Aged "two to the power of five" – or 32 – Parker, originally from Perth in Australia, is
developing an impressively eclectic CV. In November he helped organise the breaking of the
world record for mass Rubik's Cube solving. More than 2,000 people, mostly school children,
packed into the O2 Arena and 1,414 were successful. (Parker's personal best for the Rubik's
Cube is a minute: "not great in Rubik's Cube circles; if you're not down to 30 seconds it's a bit
embarrassing.")
He also recently bought 10,000 dominoes to create the world's largest computer that runs solely
on dominoes. By setting up two rows, he could input any two numbers – between zero and 15 –
and, depending on where they bump into each other, it would add them up. "It's a very, very
inefficient oversized integrated circuit," he explains. "It's basically what you get on a chip in a
computer."
This story will find its way into his comedy routine – "it's not funny yet but I'm working it up"
– and he plans to do a scaled-down experiment with 1,000 dominoes in his show. "But don't
promise that," he says. "Sprung stages aren't great, and if it's carpeted I'm in trouble because it's
hard to balance them."
Parker concedes that his material particularly appeals to lapsed maths nerds but he believes that
more of us have a dormant interest than you might think. "Why, when we're buying fuel, do
many of us round it up to a whole number of pounds or tens of pounds?" he asks. "It's because
we have a sense of 'Well, that looks nice.' A lot of people think they don't like maths but they
7
Go figure: Matt Parker, photographed at
Queen Mary, University of London by
Sophia Evans for the Observer
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DEA, PhD καθαρά Μαθηματικά
do like order and patterns and problem-solving and puzzles. It's a human thing
we all have, it's just some of us take it to a ridiculous nth degree and become mathematicians."
Tim Lewis
Matt Parker performs Stand-Up Maths 2013 at the Cheltenham science festival on 8 June
(standupmaths.com)
Daniel Dennett's seven tools for
thinking
12.
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1 USE YOUR MISTAKES
We have all heard the forlorn refrain: "Well, it seemed like a good idea at the time!" This
phrase has come to stand for the rueful reflection of an idiot, a sign of stupidity, but in fact we
should appreciate it as a pillar of wisdom. Any being, any agent, who can truly say: "Well, it
seemed like a good idea at the time!" is standing on the threshold of brilliance. We human
beings pride ourselves on our intelligence, and one of its hallmarks is that we can remember
our previous thinking and reflect on it – on how it seemed, on why it was tempting in the first
place and then about what went wrong.
:Rate the book
I know of no evidence to suggest that any other species on the planet can actually think this
thought. If they could, they would be almost as smart as we are. So when you make a mistake,
you should learn to take a deep breath, grit your teeth and then examine your own recollections
of the mistake as ruthlessly and as dispassionately as you can manage.
It's not easy. The natural human reaction to making a mistake is
embarrassment and anger (we are never angrier than when we are angry
at ourselves) and you have to work hard to overcome these emotional
reactions.
Try to acquire the weird practice of savouring your mistakes, delighting
in uncovering the strange quirks that led you astray. Then, once you have
sucked out all the goodness to be gained from having made them, you
can cheerfully set them behind you and go on to the next big
opportunity. But that is not enough: you should actively seek out opportunities just so you can
then recover from them.
In science, you make your mistakes in public. You show them off so that everybody can learn
from them. This way, you get the benefit of everybody else's experience, and not just your own
idiosyncratic path through the space of mistakes. (Physicist Wolfgang Pauli famously
expressed his contempt for the work of a colleague as "not even wrong". A clear falsehood
shared with critics is better than vague mush.)
This, by the way, is another reason why we humans are so much smarter than every other
species. It is not so much that our brains are bigger or more powerful, or even that we have the
knack of reflecting on our own past errors, but that we share the benefits our individual brains
have won by their individual histories of trial and error.
8
Cognitive scientist and philosopher Daniel Dennett is one of
America's foremost thinkers. In this extract from his new book, he
reveals some of the lessons life has taught him
Daniel Dennett
The Observer, Sunday 19 May 2013
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Βαρβάκειο Λύκειο
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I am amazed at how many really smart people don't understand that you can
make big mistakes in public and emerge none the worse for it. I know distinguished researchers
who will go to preposterous lengths to avoid having to acknowledge that they were wrong
about something. Actually, people love it when somebody admits to making a mistake. All
kinds of people love pointing out mistakes.
Generous-spirited people appreciate your giving them the opportunity to help, and
acknowledging it when they succeed in helping you; mean-spirited people enjoy showing you
up. Let them! Either way we all win.
2 RESPECT YOUR OPPONENT
Just how charitable are you supposed to be when criticising the views of an opponent? If there
are obvious contradictions in the opponent's case, then you should point them out, forcefully. If
there are somewhat hidden contradictions, you should carefully expose them to view – and then
dump on them. But the search for hidden contradictions often crosses the line into nitpicking,
sea-lawyering and outright parody. The thrill of the chase and the conviction that your
opponent has to be harbouring a confusion somewhere encourages uncharitable interpretation,
which gives you an easy target to attack.
But such easy targets are typically irrelevant to the real issues at stake and simply waste
everybody's time and patience, even if they give amusement to your supporters. The best
antidote I know for this tendency to caricature one's opponent is a list of rules promulgated
many years ago by social psychologist and game theorist Anatol Rapoport.
How to compose a successful critical commentary:
1. Attempt to re-express your target's position so clearly, vividly and fairly that your target
says: "Thanks, I wish I'd thought of putting it that way."
2. List any points of agreement (especially if they are not matters of general or widespread
agreement).
3. Mention anything you have learned from your target.
4. Only then are you permitted to say so much as a word of rebuttal or criticism.
One immediate effect of following these rules is that your targets will be a receptive audience
for your criticism: you have already shown that you understand their positions as well as they
do, and have demonstrated good judgment (you agree with them on some important matters
and have even been persuaded by something they said). Following Rapoport's rules is always,
for me, something of a struggle…
3 THE "SURELY" KLAXON
When you're reading or skimming argumentative essays, especially by philosophers, here is a
quick trick that may save you much time and effort, especially in this age of simple searching
by computer: look for "surely" in the document and check each occurrence. Not always, not
even most of the time, but often the word "surely" is as good as a blinking light locating a weak
point in the argument.
Why? Because it marks the very edge of what the author is actually sure about and hopes
readers will also be sure about. (If the author were really sure all the readers would agree, it
wouldn't be worth mentioning.) Being at the edge, the author has had to make a judgment call
about whether or not to attempt to demonstrate the point at issue, or provide evidence for it,
and – because life is short – has decided in favour of bald assertion, with the presumably wellgrounded anticipation of agreement. Just the sort of place to find an ill-examined "truism" that
isn't true!
4 ANSWER RHETORICAL QUESTIONS
Just as you should keep a sharp eye out for "surely", you should develop a sensitivity for
rhetorical questions in any argument or polemic. Why? Because, like the use of "surely", they
represent an author's eagerness to take a short cut. A rhetorical question has a question mark at
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the end, but it is not meant to be answered. That is, the author doesn't bother
waiting for you to answer since the answer is so obvious that you'd be embarrassed to say it!
Here is a good habit to develop: whenever you see a rhetorical question, try – silently, to
yourself – to give it an unobvious answer. If you find a good one, surprise your interlocutor by
answering the question. I remember a Peanuts cartoon from years ago that nicely illustrates the
tactic. Charlie Brown had just asked, rhetorically: "Who's to say what is right and wrong here?"
and Lucy responded, in the next panel: "I will."
5 EMPLOY OCCAM'S RAZOR
Attributed to William of Ockham (or Ooccam), a 14th-century English logician and
philosopher, this thinking tool is actually a much older rule of thumb. A Latin name for it is lex
parsimoniae, the law of parsimony. It is usually put into English as the maxim "Do not
multiply entities beyond necessity".
The idea is straightforward: don't concoct a complicated, extravagant theory if you've got a
simpler one (containing fewer ingredients, fewer entities) that handles the phenomenon just as
well. If exposure to extremely cold air can account for all the symptoms of frostbite, don't
postulate unobserved "snow germs" or "Arctic microbes". Kepler's laws explain the orbits of
the planets; we have no need to hypothesise pilots guiding the planets from control panels
hidden under the surface. This much is uncontroversial, but extensions of the principle have not
always met with agreement.
One of the least impressive attempts to apply Occam's razor to a gnarly problem is the claim
(and provoked counterclaims) that postulating a God as creator of the universe is simpler, more
parsimonious, than the alternatives. How could postulating something supernatural and
incomprehensible be parsimonious? It strikes me as the height of extravagance, but perhaps
there are clever ways of rebutting that suggestion.
I don't want to argue about it; Occam's razor is, after all, just a rule of thumb, a frequently
useful suggestion. The prospect of turning it into a metaphysical principle or fundamental
requirement of rationality that could bear the weight of proving or disproving the existence of
God in one fell swoop is simply ludicrous. It would be like trying to disprove a theorem of
quantum mechanics by showing that it contradicted the axiom "Don't put all your eggs in one
basket".
6 DON'T WASTE YOUR TIME ON RUBBISH
Sturgeon's law is usually expressed thus: 90% of everything is crap. So 90% of experiments in
molecular biology, 90% of poetry, 90% ofphilosophy books, 90% of peer-reviewed articles in
mathematics – and so forth – is crap. Is that true? Well, maybe it's an exaggeration, but let's
agree that there is a lot of mediocre work done in every field. (Some curmudgeons say it's more
like 99%, but let's not get into that game.)
A good moral to draw from this observation is that when you want to criticise a field, a genre, a
discipline, an art form …don't waste your time and ours hooting at the crap! Go after the good
stuff or leave it alone. This advice is often ignored by ideologues intent on destroying the
reputation of analytic philosophy, sociology, cultural anthropology, macroeconomics, plastic
surgery, improvisational theatre, television sitcoms, philosophical theology, massage therapy,
you name it.
Let's stipulate at the outset that there is a great deal of deplorable, second-rate stuff out there, of
all sorts. Now, in order not to waste your time and try our patience, make sure you concentrate
on the best stuff you can find, the flagship examples extolled by the leaders of the field, the
prize-winning entries, not the dregs. Notice that this is closely related to Rapoport's rules:
unless you are a comedian whose main purpose is to make people laugh at ludicrous
buffoonery, spare us the caricature.
7 BEWARE OF DEEPITIES
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A deepity (a term coined by the daughter of my late friend, computer scientist
Joseph Weizenbaum) is a proposition that seems both important and true – and profound – but
that achieves this effect by being ambiguous. On one reading, it is manifestly false, but it
would be earth-shaking if it were true; on the other reading, it is true but trivial. The unwary
listener picks up the glimmer of truth from the second reading, and the devastating importance
from the first reading, and thinks, Wow! That's a deepity.
Here is an example (better sit down: this is heavy stuff): Love is just a word.
Oh wow! Cosmic. Mind-blowing, right? Wrong. On one reading, it is manifestly false. I'm not
sure what love is – maybe an emotion or emotional attachment, maybe an interpersonal
relationship, maybe the highest state a human mind can achieve – but we all know it isn't a
word. You can't find love in the dictionary!
We can bring out the other reading by availing ourselves of a convention philosophers care
mightily about: when we talk about a word, we put it in quotation marks, thus: "love" is just a
word. "Cheeseburger" is just a word. "Word" is just a word. But this isn't fair, you say.
Whoever said that love is just a word meant something else, surely. No doubt, but they didn't
say it.
Not all deepities are quite so easily analysed. Richard Dawkins recently alerted me to a fine
deepity by Rowan Williams, the then archbishop of Canterbury, who described his faith as "a
silent waiting on the truth, pure sitting and breathing in the presence of the question mark".
I leave the analysis of this as an exercise for you.
This is an edited extract from Intuition Pumps and Other Tools for Thinking by Daniel
Dennett, published by Allen Lane (£20)
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Daniel Dennett: career in brief
Born in Boston in 1942, philosopher and cognitive scientist Daniel Dennett has dedicated his
academic life to the study of the philosophies of the mind, science and biology. He studied at
Harvard and Oxford and is currently a professor at Tufts University, Boston. An atheist and a
secularist, he is often bracketed as one of the "four horseman of atheism" alongside Richard
Dawkins, Sam Harris and the late Christopher Hitchens.
He has published extensively on subjects such as free will (Brainstorms, 1978), theory of the
mind (Consciousness Explained, 1991) and the role of adaptation in evolution (Darwin's
Dangerous Idea, 1995). His ideas have been criticised by the palaeontologist Stephen Jay
Gould and praised by the psychologist Steven Pinker.
In 2012, he was awarded the Erasmus prize, an European award for "a person who has made an
exceptional contribution to culture, society or social science"; he was praised for "his ability to
translate the cultural significance of science and technology to a broad audience".
Daniel Dennett is appearing at the Bristol Festival of Ideas on 28 May.
Βαρβάκειο Λύκειο
Κυριακή, 19 Μαΐου 2013
Λυγάτσικας Ζήνων ΠΕ03
DEA, PhD καθαρά Μαθηματικά
The Washington Post
13.
Letter to Obama: We need data on ‘highly
qualified’ teachers
By Valerie Strauss, Published: May 15, 2013 at 11:08 amE-mail the writer
Should students still learning how to be teachers be considered “highly qualified teachers“?
Should new college graduates with only five weeks of teacher training (that’s what Teach For
America gives its recruits before sending them into high-poverty schools) be considered highly
qualified? Well, Congress, which was lobbied by Teach For America and other organizations,
said “yes” a few years ago. Now a coalition of education organizations is writing to President
Obama and other administration officials about the issue. Here’s the text of the letter.
(Footnotes have been removed from the body of the letter and put at the end to make it easier to
read.)
President Barack Obama
The White House
1600 Pennsylvania Ave
Washington, DC 20500
Re: SECTION 145 OF THE SEPTEMBER 2012 CONTINUING RESOLUTION—Public Law
112-175
Dear President Obama:
Ensuring the educational success of all students requires the equitable distribution of wellprepared and effective teachers in all schools. Yet in too many states and districts across the
country, students with disabilities, English Learners, students of color, rural students and lowincome children are being taught by teachers with little or no training. Last year, Congress
included a provision in H.J. Res 117, which you signed into law, requiring the Secretary of
Education to submit a report to Congress by December 31, 2013.
Page
The Secretary’s report is required by law by a provision inserted in the December, 2010
Continuing Resolution (H.R. 3082) in Section 163 making it lawful for teachers who are still in
training to be labeled as “highly qualified” under the No Child Left Behind Act (NCLB). The
Secretary’s report is required by law by a provision inserted in the December 2010 Continuing
Resolution (H.R. 3082) in Section 163 making it lawful for teachers who are still in training to
be labeled as “highly qualified” under the No Child Left Behind Act (NCLB). This report is
12
Congress mandated this report to provide a state-by-state picture on the number of students in
certain subgroups being taught by teachers-in-training through alternative routes to
certification. These teachers-in-training are currently and we believe inappropriately identified
as “highly qualified teachers” under federal law and, with that label, permitted to be
concentrated in low-income, high-minority schools.
Βαρβάκειο Λύκειο
Κυριακή, 19 Μαΐου 2013
Λυγάτσικας Ζήνων ΠΕ03
DEA, PhD καθαρά Μαθηματικά
required to address a harmful provision, added in and extended through
appropriations rather than with thorough consideration in authorizing legislation, that allows
teachers who have not yet completed their training to be labeled “highly qualified teachers”
through June 30, 2014.
While data from some states, including California, indicate that high-need students are
disproportionately taught by alternative route teachers-in-training, data that illuminate these
problems are not typically reported at the state and federal levels. The Secretary’s report will
for the first time provide a national picture of teacher distribution disparities in terms of how
many teachers-in training who are called “highly qualified” are working with high need
students.
Though the deadline for the Department of Education to report this important data is the end of
2013, there is no indication that the Department has notified states of the Secretary’s report
data requirements. The Department has offered to collect a non-representative “sample” from
only a handful of states. This is unacceptable and contrary to what the law requires. The
statute’s clear direction to report “by state” requires that the data should be broken out by state
and aggregated to state-level totals. It does not authorize sampling a subset of states. The call
for data to be reported for “each [LEA]” only further confirms that data from each state must
be included in the Secretary’s report.
The data needed for this report is data that districts are already required to collect under Section
1111 (h)(6)(A) of the No Child Left Behind (NCLB) Act. Since 2002, schools and districts
have been required by NCLB to have this data available for any parents who request it.
Your Administration has not hesitated to collect other critical education data and to highlight
disparities in educational opportunity nationwide through, for example, the Civil Rights Data
Collection and the ARRA’s requirement that districts report on per pupil spending at each
school. With the report deadline of December 31, 2013 just months away, the Department’s
six-month delay in taking any concrete steps to report on disparities in access to fully trained
teachers is particularly troubling.
External reviews of the NCLB waiver proposals that the Department has approved for 34 states
indicate that little attention has been given to equitable access to fully prepared and effective
teachers1, despite assurances from the Department that it would continue to enforce the ESEA
requirement (ESEA section 1111(b)(8)(C)) that poor and minority students not be
disproportionately taught by unqualified, inexperienced or out-of-field teachers.
Page
Sincerely,
The Coalition for Teaching Quality (members listed on next page)
13
Data from the Secretary’s report will provide essential information to parents, educators and
policy makers so informed decisions can be made to strengthen education for our nation’s most
valuable asset, our children, by ensuring that every child is taught by a well-prepared and
effective teacher in every class, every year. We look forward to the Department fulfilling its
responsibilities as required by law by December 31, 2013. To that end, we respectfully request
an immediate update as to status and immediate steps to begin a full and timely implementation
with states and districts.
Βαρβάκειο Λύκειο
Κυριακή, 19 Μαΐου 2013
Λυγάτσικας Ζήνων ΠΕ03
DEA, PhD καθαρά Μαθηματικά
Page
14
Footnote:
1 See, e.g., Ayers, Jeremy and Isabel Owen. No Child Left Behind Waivers: Promising Ideas
from Second Round Applications. Washington: Center for American Progress, 2012, at 38
(“Few states outlined plans for ensuring students have access to effective teachers, though the
flexibility package requires them to uphold current law in this area. We are concerned that
states are not focusing their data systems to inform and monitor local education agency
distribution of educators in an equitable fashion or encouraging local education agencies to
take actions to remediate imbalances”). Hall, Daria. A Step Forward or a Step Back?: State
Accountability in the Waiver Era. Washington: Education Trust, 2013, at 6 (“Many other state
plans, though, are vague at best when it comes to ensuring there are effective teachers and
leaders in Priority schools. And no state has articulated a clear plan for addressing teacher
assignments within Focus schools to ensure students who need the most support are placed
with the strongest educators”).
Βαρβάκειο Λύκειο
Κυριακή, 19 Μαΐου 2013
Λυγάτσικας Ζήνων ΠΕ03
DEA, PhD καθαρά Μαθηματικά
Frankfurter Allgemeine Zeitung
14.
Mathematik für alle
19.05.2013 · Es gibt so gut wie nichts, was es nicht gibt im Netz der Netze: Geniales,
Interessantes, Nützliches und herrlich Überflüssiges. Diesmal: Ein trockenes Thema - schön
präsentiert.
Von JOCHEN REINECKE
www.imaginary.org
Am Schulfach Mathematik scheiden sich die Geister. Die meisten Menschen kommen
entweder sehr gut oder eben gar nicht mit diesem Fach zurecht. Andererseits: Wer sich an
seine eigene Schulzeit zurückerinnert, wird bestätigen können, dass Mathematik zu den
Disziplinen gehört, bei denen Wohl und Wehe unverhältnismäßig stark abhängig sind vom
unterrichtenden Lehrer. Die Präsentation macht‘s, so wie bei jeder abstrakten Thematik.
Page
15
Falls Sie selbst Kinder haben, die mit diesem Schulfach nichts anfangen können, dann lohnt es
sich, der Seite www.imaginary.org einen Besuch abzustatten - eine Empfehlung unserer
Leserin Silvia Kowalski aus Dortmund, die wir mit einem 25-Euro-Einkaufsgutschein
für ebook.de belohnen. Auf dieser Internetseite finden Sie unter dem programmatischen Titel
„open mathematics“ eine Art Online-Ausstellung von Bilder- und Videogalerien,
Bastelanleitungen und Software-Downloads, die alle im engeren oder weiteren Sinne zeigen,
welche kreativen Dinge mit mathematischen Formeln und Berechnungen möglich sind. Man
trifft auf bekannte Kunstformen wie die guten alten Apfelmännchen, aber auch auf viele sehr
interessante und gut gemachte Visualisierungen mathematischer Prozesse. Wenn Sie selbst
etwas beitragen möchten, können Sie sich auf imaginary.org registrieren. Hinter dem Projekt
steht das Mathematische Forschungsinstitut Oberwolfach unter der Leitung von Gerhard
Huisken.Nun zu unserem Rätsel: Welcher französische Mathematiker verließ als Student seine
Universität im Streit, weil man ihm aufgrund schlechter Leistungen strenge Bedingungen
auferlegt hatte? Im Alter von 51 Jahren bewies er, dass die Universität sein Talent wohl
unterschätzt hatte. Bitte senden Sie Ihren Lösungsvorschlag (Name des Mathematikers) per
Email an j.reinecke@faz.de. Unter allen korrekten Einsendungen verlosen wir einen 25-EuroEinkaufsgutschein für ebook.de. Hier gibt es nebst elektronischen Büchern auch weiterhin das
komplette Sortiment herkömmlicher Papierbücher. Einsendeschluss ist Mittwoch, der 22. Mai
2013 um 21 Uhr.
Βαρβάκειο Λύκειο
Κυριακή, 19 Μαΐου 2013
Λυγάτσικας Ζήνων ΠΕ03
DEA, PhD καθαρά Μαθηματικά
Sueddeutsche Zeitung
15.
Soll man Jungen und Mädchen getrennt
unterrichten?
Page
In der Debatte um geschlechtergetrennten Unterricht geht es um reale
Verbesserungen für die Kinder - aber auch um ideologische und politische
Anschauungen der Erwachsenen.
Von Petra Steinberger
Man kann sich ohne Jungs viel besser konzentrieren. (LoveI auf mädchen.de)
Schule ohne Jungs kann ich mir nicht vorstellen. Dann ist es zu ruhig und langweilig.
(xXNad auf mädchen.de)
Vor kurzem war mal wieder Girls' Day, der seit einigen Jahren Girls' und Boys' Day
heißt. An diesem Tag versucht man Mädchen sogenannte "männliche"
Ausbildungswege und Berufe näherzubringen: Mathematik, Chemie, Physik, und das
große, weite Feld der Ingenieurskünste - technische Berufe eben. Und bei Jungs soll
es andersherum funktionieren.
Entscheidung fürs Leben an einem Tag?
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Warum nimmt man sich nur so wenig Zeit, warum nicht Mädchen und Jungen gleich
ganz anders heranführen und dabei herausbekommen, ob sie sich tatsächlich von
Natur aus oder durch den Einfluss von Kultur und Gesellschaft immer noch recht
wenig für die jeweils "anders" besetzten Bereiche interessieren. Die Antwort ist doch
klar, heißt es, sieht man doch in der Schule, Mädchen beispielsweise schneiden in
technischen Fächern schlechter ab, Jungs in den "weichen" Fächern. Sie wollen
nicht, sie können nicht.
Aber liegt diese Entwicklung möglicherweise, sagen derzeit nicht wenige
Wissenschaftler, Lehrer, Eltern, an der Schule selbst, genauer gesagt an den
gemischten Klassen, an der sogenannten Koedukation? Denn diese funktioniere zu
sehr nach geschlechtsspezifischen Stereotypen und berücksichtige die
Besonderheiten, die Andersartigkeit kaum.
Vorteile vor allem für Mädchen
Verfechter dieser Position sind der Meinung, dass "single sex education", im
Deutschen etwas schwerfällig als Monoedukation bezeichnet, vor allem für Mädchen
Vorteile bringen kann. Diese reichten von besseren Examensergebnissen und
akademischen Leistungen über viel mehr Interesse an eben jenen "männlichen"
Fächern bis zu einer größerer Risikofreudigkeit und mehr Wettbewerbsbereitschaft
als sonst üblich. Und es gibt tatsächlich diverse Studien, die nachweisen, dass
Mädchen in Mathematik, Physik, aber auch im Sport besser abschneiden, wenn sie
getrennte Unterrichtsstunden, Mädchenklassen oder Mädchenschulen besuchen auch langfristig.
Merkwürdig: Wenn das tatsächlich so ist, dann stoßen wir auf einen Widerspruch.
Denn in den letzten Jahrzehnten ist die Zahl der Schulen, die nur ein Geschlecht
unterrichteten, stetig gesunken, selbst in Ländern, die immer schon eine starke
Tradition der single sex education hatten: in Englandbeispielsweise, in Australien
oder Hongkong. Aber es waren die Sechziger- und Siebzigerjahre, die die
Koedukation zu einem geradezu politischen Ziel machten. Denn es war der
Höhepunkt der Emanzipationsbewegung, sowohl der Frauen wie auch der
Minderheiten. Gleichheit, gleiches Wissen, gleiche Möglichkeiten, gleiche
Anerkennung, dachte man, könne man nur erreichen, wenn wirklich alle an einem
16
12. Mai 2013 14:55
Βαρβάκειο Λύκειο
Κυριακή, 19 Μαΐου 2013
Λυγάτσικας Ζήνων ΠΕ03
DEA, PhD καθαρά Μαθηματικά
gemeinsamen Unterricht teilnehmen würden. Und bis zu einem
gewissen Grad hat es dann ja auch funktioniert.
Aber heute, in Zeiten, in denen sich vor allem Mittelschichtseltern immer größere
Sorgen machen, ob ihre Kinder für den globalen Wettbewerb gut genug gerüstet sind,
ob sie mithalten können mit all den angeblichen akademischen Überfliegern aus
Asien
heute
wundert
es
nicht,
dass
das
Interesse
am
getrennten Schulunterrichtwieder zugenommen hat. Und spätestens seit der PisaStudie, in der Mädchen zwar etwas schlechter in Mathe, dafür aber fundamental
besser im Lesen abschnitten als Jungen, wird darüber nachgedacht, ob es nicht auf
für diese Vorteile brächte, wenn sie unter sich bleiben könnten.
Denn so wie Mädchen sich oft von Jungs (und den Attitüden mancher Lehrer)
untergebuttert fühlen, so stehen auch Buben, vor allem in der Pubertät, unter Druck,
Coolheit zu beweisen. Und die besteht oft darin, den Klassenclown zu spielen oder
Desinteresse zu demonstrieren. Denn "wie ein Mädchen" zu sein beim Lernen und
beim Erfolg - das ist nicht sehr angesehen.
Doch wie immer, wenn es um Erziehungstrends geht, beschuldigen sich
währenddessen Befürworter und Gegner der Monoedukation falscher Fakten,
unzureichender oder schlampiger Studien und zu wenig harter Nachweise. Und dabei
spielen nicht selten ideologische und glaubensanschauliche Motive eine Rolle. Wenn
etwa eine Studie des Teachers College der Columbia Universität nachweist, dass die
Interaktion von Jungen und Mädchen dazu führt, dass weniger Hausaufgaben
gemacht werden, die Schule weniger Spaß mache und zu schlechteren Ergebnissen
in Mathe und Lesen führe - dann können die Freunde des getrennten Unterrichts mit
den besseren akademischen Leistungen argumentieren, die durch eine Trennung
erzielt würden. Sie können darauf hinweisen, dass Jungs und Mädchen sowieso nicht
dauernd zusammenstecken sollten, denn man weiß ja . . .
Soziale Kompetenzen werden nicht eingeübt
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Kein Wunder eigentlich, dass beispielsweise in England und den USA konfessionelle
Privatschulen bei konservativen Muslimen für ihre Kinder sehr beliebt sind. Die
Gegner der Monoedukation verweisen nun genau darauf: dass da soziale
Kompetenzen nicht eingeübt, dafür sexuelle Stereotypen gefördert würden - weil man
sich gar nicht erst kennenlerne. Und das würden dann weitergetragen in eine Welt,
die eben nicht segregiert sei.
Page
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Nun ist es wohl so, dass Mädchen und Jungen unterschiedliche Ansprüche haben.
So meint etwa Pädagogikforscher Rainer Dollase von der Universität Bielefeld, dass
Jungen zum Frontalunterricht tendieren, unruhiger sind und schneller zur Sache
kommen. Mädchen mögen Gruppen- und Projektarbeit. Das gilt auch bei getrenntem
Unterricht. Man könnte nun, wenn man will, daraus ableiten, dass Jungen und
Mädchen tatsächlich verschieden sind - und man dieser Unterschiedlichkeit
pädagogisch entgegenkommen könnte. Ob in getrennten Schulen - oder auch nur in
manch getrennten Unterrichtsstunden.