Le Président de la République chaleureusement accueilli à F`Derick

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Le Président de la République chaleureusement accueilli à F`Derick
101
Numéro vert pour
signaler tout cas
suspect d’Ebola
HORIZONS
Propreté
est acte
de foi
QUOTIDIEN NATIONAL D’INFORMATIONS - ÉDITÉ PAR L’AGENCE MAURITANIENNE D’INFORMATION - N°6493 DU MERCEDI 15 AVRIL 2015 PRIX : 100 UM
Le Président de la République chaleureusement
accueilli à F’Derick et à Bir Moghrein
Inauguration du tronçon routier F'Derick-Touajil
Pose de la première pierre du projet extension et modernisation de la ville de Bir Moghrein
Visite de plusieurs structures sanitaires, scolaires et hydrauliques
L
es populations de F'derick et
de Bir Moghrein ont réservé
un accueil chaleureux au
Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz
qui effectue actuellement une visite
de prise de contact et d'information
au Tiris Zemmour.
Le Chef de l’Etat a coupé, hier
matin, le ruban symbolique inaugurant ainsi le début du fonctionnement du tronçon F'De- rick-Toua
gil de la route Zouerate –Atar.
Le Président de la République a,
par ailleurs, visité, dans l’aprèsmidi, l’école I , le dispensaire et la
station de dessalement des eaux de
Bir Moghrein.
Auparavant, dans la matinée, il a
visité le château d'eau qui alimente
la ville de F’Derick et le centre de
santé type B de la cité.
Il s’est rendu, également, hier
matin, à l'école fondamental
"Cheikh Elweli", à la maison des
jeunes, au marché municipal de
F’Derick et sur le site du projet des
mines de El Aouj.
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Le Chef de l’Etat préside une réunion des cadres de la SNIM
Le Président de la République, Son
Excellence Monsieur Mohamed
Ould Abdel Aziz, a présidé, lundi
soir à Zouerate, une réunion des cadres de la société nationale industrielle et minière (SNIM).
Dans son intervention, le Chef de
l'Etat a indiqué que l'objectif de cette
réunion est d'écouter les cadres de la
société l'informer sur la situation de
l'entreprise au moment où elle subit
les effets de la forte baisse des prix
du fer au niveau international ainsi
que sur les relations de son administration avec les employés.
Il a précisé qu'elle vise aussi à
connaitre toute la vérité et les points
de vue, de tous, sur la grève des travailleurs de la SNIM, ses causes, la
nature des revendications et la
conjoncture actuelle que traverse la
société. Mohamed Ould Abdel Aziz
a également souligné que les cadres
peuvent s'exprimer librement et sans
contrainte, avant d'ajouter que les interventions doivent être toutefois
responsables, précises et objectives.
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Le Président de la République adresse un message
de remerciement au Gardien des Lieux Saints
Le Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, a
adressé un message de remerciement au serviteur des Lieux Saints, Sa Majesté Selmane Ibn Abdel Aziz, Roi d'Arabie Saoudite:
Dans ce message, il lui exprime ses sincères remerciements et sa profonde
gratitude pour l'invitation qu’il lui a adressée pour visiter le Royaume d'Arabie Saoudite frère et pour l'accueil chaleureux et exceptionnel qui lui a été
réservé pendant son séjour en Arabie Saoudite.
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Adoption du rapport sur les industries
extractives pour l'année 2013
La commission nationale de transparence des industries extractives a
déclaré à l'unanimité, le 7 avril courant, l'adoption du rapport administratif indépendant de l'année 2013,
c'est ce qui ressort d'un communiqué
de la commission.
Le document, couvrant la période
comprise entre le 1er janvier et le 31
décembre 2013, précise qu'il est le
9e du genre depuis l'adhésion du
pays à l'initiative de transparence
des industries extractives et le 3e depuis la déclaration de la Mauritanie
Etat conforme.
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Pour se prémunir contre Ebola, éviter le contact avec
la personne atteinte et se laver régulièrement les mains au savon
HORIZONS N° 6493 DU MERCREDI 15 AVRIL 2015
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ANNONCES
Ministère de la Fonction Publique, du Travail et de la Modernisation de l’Administration
Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS)
Avis d'Appel d'Offres National
AAO N°01 /CNSS/CPMPSACC/15
Avis aux Employeurs
1. Dans le cadre de son plan d’actions, au titre de l'année 2015, la Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS) envisage acquérir, sur fonds propres, du matériel informatique en
lot unique.
2. La CNSS sollicite des offres sous pli fermé de la part de candidats éligibles et répondant aux qualifications requises pour la fourniture demandée conformément aux spécifications contenues dans le cahier des clauses techniques du présent marché .
3. La passation du présent Marché de fourniture sera conduite par Appel d'offres ouvert
tel que défini dans le Code mauritanien des Marchés publics.
4.Les candidats intéressés peuvent obtenir des informations auprès de la Caisse Nationale
de Sécurité Sociale (CNSS) Tèléphone : 45 251629/ 45 2516 80 et 45 2516 45.
5.Les candidats intéressés peuvent obtenir un dossier d’appel d’offres complet en formulant une demande écrite à l'adresse du Siège de la Commission de Passation des Marchés
Publics des Secteurs de l' Administration, de la Culture et de la Communication
(CPMPSACC) sise à l’Ilot C N° 335 Tevragh-Zeina, Nouakchott/Mauritanie BP: 5263
Tel: (222) 45 24 13 25. E-mail: cpm.acc@mauritanie.mr, contre un paiement non remboursable au Trésor Public, exclusivement, de trente mille Ouguiya (30 000 UM).
6.Les offres devront être soumises au plus tard le lundi 18 mai 2015 à 12H00 GMT à
l’adresse du siège de la CPMPSACC sise à l’Ilot C N° 335 Tevragh-Zeina NouakchottMauritanie où elles seront ouvertes au plus tard le lundi 18 mai 2015 à 12 h00 GMT en
présence des représentants des candidats qui le souhaitent.
7.Les offres remises en retard ne seront pas acceptées. Les offres doivent comprendre une
garantie de soumission d’un montant de Cinq cent mille Ouguiya (500 000 UM) valable
au moins 120 jours à compter de la date limite de dépôt.
8.Les offres devront demeurer valides pendant la durée de trente jours (30 jours) à compter de la date limite de dépôt.
Le Directeur Général de la CNSS informe l'ensemble des employeurs affiliés à la Sécurité Sociale qu'au terme de l'arrêté n° 561/MFPTMA du 7
avril 2015, les déclarations sont désormais trimestrielles et doivent être
déposées à la Caisse avec le règlement correspondant, dans les 15 premiers jours de chaque trimestre civil, pour les cotisations du trimestre
civil précédent.
Les employeurs occupant plus de 19 travailleurs ne sont plus tenus de
déposer des déclarations mensuelles,
Le Directeur Général
Mohamed Aly DEDEW
LE DIRECTEUR GENERAL
MOHAMED ALI OULD DEDEW
ADRESSES UTILES
Police Secours
Sapeurs Pompiers
Brigade Maritime
Brigade Mixte
SOMELEC (Dépannage)
SNDE
Météo
17
18
4525 39 90
4525 25 18
4525 23 08
4529 84 88
4525 11 71
HORIZONS
QUOTIDIEN NATIONAL D’INFORMATION
ÉDITÉ PAR L’AGENCE
MAURITANIENNE D’INFORMATION
COMMIssARIATs DE POLICE
Commissariat TZ - 1
Commissariat TZ - 2
Commissariat Ksar 1
Commissariat Ksar 2
Commissariat El Mina 1
Commissariat El Mina 2
Commissariat Sebkha 1
4525 23 10
4524 29 52
4525 21 66
4525 27 38
4525 12 97
4524 25 24
4525 38 21
AMI
FAX: 45 25 55 20
E-mail :
Chaabrim@gmail.com
amiakhbar@gmail.com
B P: 371/ 467
Direction des Ressources:
45 25 27 77
siège:45 25 29 70/45 25 29 40
DIRECTEUR DE PUBLICATION, DIRECTEUR GÉNÉRAL DE L’AGENCE
MAURITANIENNE D’INFORMATION: Yarba Ould Sghaïr
DIRECTEUR DE LA RÉDACTION :
Mohamed Saleh Ould Chighaly
RÉDACTEUR EN CHEF :
Diagana Babouna
SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DE LA RÉDACTION :
Baba Dianfa Traoré
RESPONSABLE DE LA MAQUETTE : Elhadrami Ould Ahmedou
TIRAGE :
IMPRIMERIE NATIONALE
HORIZONS N°6493 DU MERCREDI 15 AVRIL 2015
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ACTUALITE
Le Président de la République chaleureusement
accueilli à F’Derick et à Bir Moghrein
Inauguration du tronçon routier F'Derick-Touajil
Pose de la première pierre du projet extension et modernisation de la ville de Bir Moghrein
Visite de plusieurs structures sanitaires, scolaires et hydrauliques
Le Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz,
est arrivé, mardi après-midi, à Bir
Moghrein, troisième étape de la visite d'information et de prise de
contact qu'il effectue actuellement
dans le Tiris Zemmour.
Le Chef de l'Etat, accompagné du
wali du Tiris Zemmour, a été accueilli à l'aéroport par le hakem de
Bir Moghrein, colonel Neh Ould
Souvi, le maire de la commune,
M.Jid Ould Khadad Ould Abdel
Haye et le commandant de la compagnie N° 1, commandant Mohamed Mahmoud Ould Bneijara.
Etaient également présents à l'accueil du Président de la République,
le député, le sénateur, les élus locaux, les cadres et les notables de la
moughataa.
Les habitants de la moughataa ont
réservé au Président de la République un accueil chaleureux et
spontané. Ils se sont massés sur les
deux côtés de la route reliant le centre-ville à l'aéroport, brandissant des
portraits du Chef de l'Etat et scandant des slogans témoignant leur
soutien à sa politique et leurs remerciements pour les acquis accomplis
ces dernières années.
Le Président de la République s’est
rendu au dispensaire de Bir Moghrein pour constater l'état de son
fonctionnement et les conditions de
prise en charge des malades.
Au niveau de cette formation sanitaire, le Président de la République
a été édifié sur l'état des équipements et le rôle du dispensaire dans
la couverture sanitaire des habitants
de la mougha- taa.
Créé en 2014, grâce à un financement de la Fondation de Bienfaisance de la SNIM, le centre offre des
consultations sanitaires aux habitants de la moughataa. Il est équipé
d'un laboratoire d'examens, d'un service de maternité et d'une salle
d'hospitalisation de 7 lits. Son personnel est composé d'un médecinchef, de deux infirmiers d'Etat, d'une
sage-femme et de deux accoucheuses.
Il s’est rendu, ensuite, à l'école I de
Bir Moghrein. Au niveau cet établissement scolaire, le Président de
la République s'est rendu dans les
différentes salles de classe où il a été
édifié sur les conditions du déroulement des cours et les problèmes qui
entravent l'action éducative.
Sur place, le Chef de l'Etat a questionné les enseignants sur le niveau
des élèves et celui d’application des
programmes scolaires. L'Ecole (I) de
Bir Moghrein compte 315 élèves
dont 48% des filles, six salles de
classe et un staff enseignant de 9 ins-
tituteurs.
Dans l’après-midi, également, le
Président de la République a visité,
mardi après-midi, la station de dessalement d'eau dans la ville de Bir
Moghrein.
Le Président de la République s'est
enquis du déroulement des travaux
au niveau de la station avant d'écouter des explications techniques détaillées sur les procédures utilisées
dans le dessalement de l'eau.
La station se compose de deux unités de traitement de l'eau, d'une capacité, chacune, de 120 mètres cubes
par jour.
Cette station que supervise la SOMELEC procède au dessalement de
l'eau grâce à des générateurs fonctionnant à l'énergie solaire.
La station dispose d'un réservoir
d'eau d’une capacité de 60 mètres
cubes. L’eau traitée provient d'un
puits situé à quatre kilomètres de la
ville.
Hier, dans la soirée, le Président de
la République a procédé, à la pose de
la première pierre du projet d'extension et de modernisation de la ville
de Bir Moghrein, dont il a dévoilé la
plaque commémorative donnant
ainsi le coup d'envoi du projet. Il a
ensuite pris connaissance des données relatives au projet.
Le plan d'urbanisme du projet, qui a
déjà été conçu, couvre une superficie de 100 hectares et comporte
1500 parcelles de terrain à usage
d'habitation et de commerce, en plus
de 14 domaines fonciers.
Dans un mot prononcé pour la circonstance, le ministre de l'Habitat,
de l'Urbanisme et de l'Aménagement
et l'éradication du phénomène des
quartiers précaires (Gazra).
Le ministre a précisé que le projet
ouvrira aux populations de la ville
des perspectives prometteuses pour
le développement de l'espace urbain.
Pour sa part, le directeur général de
la société ISKAN, M. Mohamed
du Territoire a indiqué que le démarrage de ce projet s'inscrit dans le
cadre du programme de son département qui a connu, a-t-il dit, une forte
impulsion au cours du premier mandat du Président de la République,
Son Excellence Monsieur Mohamed
Ould Abdel Aziz. Cela s'est reflété,
a-t-il dit, à travers l'exécution d'un
programme pour l'extension et la
modernisation de 11 centres urbains
Mahmoud Ould Jafar, a indiqué que
le projet constitue une preuve éloquente de la volonté du Président de
la République de permettre à la ville
de retrouver son rôle central en tant
que centre pour le renforcement et la
diversification des échanges avec le
voisinage.
Il a ajouté que ce projet s'inscrit dans
le cadre de la politique suivie par
l'Etat au cours des dernières années
et visant à développer et à moderniser les villes de l'intérieur du pays.
Prenant la parole auparavant, le
maire de Bir Moghrein a souhaité au
Président de la République la bienvenue, au nom de la population de sa
Commune.
Il s'est, en outre, félicité des réalisations accomplies dans les domaines
de l'eau, de l'électricité et de la santé
au profit des habitants de la ville.
Auparavant, à F'derick, les populations ont réservé un accueil massif et
chaleureux au Président Mohamed
Ould Abdel Aziz, qui a été accueilli,
à l'entrée de la ville, par le hakem de
la moughataa, le maire de la comSuite en page 4
HORIZONS N°6493 DU MERCREDI 15 AVRIL 2015
ACTUALITE
Page 4
Le Président de la République chaleureusement
accueilli à F’Derick et à Bir Moghrein
Suite de la page 3
mune de F’Derick, les élus, les notables et un public nombreux.
Les habitants de F’Derick brandissaient des portraits géants du Président de la République et des
banderoles louant les réalisations accomplies dans le pays.
Au cours de cette visite, le Président
de la République a procédé, hier
matin, à la coupure du ruban symbolique du projet routier de la route
Zouerate –Atar, inaugurant ainsi le
début du fonctionnement du tronçon
F'Derick-Touajil.
Ce tronçon fait partie d'une route reliant F’Derick à Kseir Terchane,
d'un coût financier de 6 milliards
d'Ouguiyas entièrement supportés
par le budget de l'Etat, est long de 57
km.
Le Chef de l'Etat s'est aussi informé
sur l'état d'avancement des travaux
du tronçon 2 de la route Zouerate Atar, long de 50 km, et celui de
Touajil- Choum, à un stade avancé.
Le ministre de l'Équipement et des
Transports, M. Isselkou Ould
Ahmed Ould Izidbih, a indiqué que
plus de 1400 km de routes bitumées
ont été construites, tandis que plus
de 520 km ont été réhabilités, avant
d'ajouter que les travaux se poursuivent encore dans plusieurs autres
projets.
Le ministre a souligné que ces chiffres traduisent la politique d'équité
et de justice appliquée par l'Etat
dans la distribution des projets à
l'échelle nationale.
De son côté, le maire de la commune de F'Derick, M. Ikebrou Ould
Slama Ould Babah, a souhaité la
bienvenue au Président de la République, et a salué les réalisations accomplies dans le pays au cours des
dernières années.
Le Président de la République a, par
ailleurs, visité, hier matin, le château d'eau qui alimente la ville de
F’Derick et le centre de santé type B
de F’Derick. Il a également visité,
hier matin, l'école fondamentale
"Cheikh Elweli", la maison des
jeunes et le marché municipal de
F’Derick, le projet des mines El
Aouj.
Le Président de la République a visité, hier matin, le château d'eau qui
alimente la ville de F’Derick.
Sur les lieux, le Chef de l'Etat a
suivi, avec attention, des explications détaillées sur la capacité du
château d'eau et le rôle qu'il joue
dans l'approvisionnement des habitants de la ville en eau potable.
Le château d'eau, qui a une capacité
de 250 m3, alimente, en plus de
F’Derick, certains quartiers de la
ville de Zouerate.
De même, le Président de la République a visité, hier matin, l'école
fondamental "Cheikh Elweli" de
F’Derick. Il s'est rendu dans les différentes classes de l’école où il s'est
informé sur le niveau des élèves et
la contribution du personnel d'encadrement à la réalisation des objectifs
de 2015, année de l'enseignement.
L'école Cheikh Elweli comprend six
classes dans lesquelles huit enseignants dispensent des cours à 309
élèves dont 143 filles.
Dans la même journée, Monsieur
Mohamed Ould Abdel Aziz a visité,
hier matin, la maison des jeunes et
le marché municipal de F’Derick. Le
Chef de l'Etat a écouté des explications sur les capacités de ces deux
infrastructures construites par la
Fondation SNIM au profit des populations de la commune.
Le marché renferme 12 boutiques et
un hangar, tandis que la maison des
jeunes offre la possibilité aux jeunes
de la commune d'exercer les différentes activités sportives.
Toujours dans le cadre de sa visite
de prise de contact et d’information,
le Président de la République a effectué, hier matin, une visite au projet des mines El Aouj de la société
métallurgique El Aouj.
Ce projet est le fruit d'un partenariat
entre la Snim et la société australienne Sphère.
Le Chef de l'Etat s'est enquis des
données indicatives du projet et de
sa contribution à l'augmentation de
la production de la société, ainsi que
des opportunités d'emploi qu'il offre,
et qui auront des répercussions positives sur les populations locales.
Il est attendu que la capacité productive de ce projet dépasse les
30T/an.
La société métallurgique El Aouj
vise, à travers ce projet, la production de 7T/an de composantes réductrices et le développement du
divinateur de fer d'El Aouj, qui doivent en faire l'une des plus importantes sociétés minières en
Mauritanie.
Le projet El Aouj se propose d'extraire et de traiter le minerai de fer
projet sera exploité suivant les
normes internationales. Il veillera
notamment à la promotion de la
santé et de la sécurité au travail, au
traitement équitable des travailleurs,
à avoir un impact positif sur la com-
du gisement d'El Aouj, et de
construire les infrastructures et les
installations supports nécessaires
pour les opérations minières. La production sera de 11 millions tonnes
de concentré de minerai de fer par
an. Le concentré sera transporté via
une nouvelle bretelle reliant la mine
au chemin de fer de la Snim qui dessert le port de Nouadhibou, d'où il
sera exporté. Le projet sera alimenté
en eau saumâtre à partir de Touajil
et d'Aouchiche. Cette eau n'est pas
propre à la consommation humaine
sans un important traitement. Le
munauté locale et à éviter les impacts négatifs sur l'environnement.
Le Président de la République a,
aussi, visité, hier matin, le centre de
santé type B de F’Derick.
Le Chef de l'Etat s'est rendu dans les
différents services de l'établissement
pour s'informer sur les équipements
et les prestations qu'il offre aux visiteurs.
Un médecin généraliste, un infirmier
d'Etat et une accoucheuse travaillent
dans ce centre qui dispose d'une ambulance.
Le Président de la République adresse un message
de remerciement au Gardien des Lieux Saints
Le Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, a
adressé le message de remerciement
suivant au serviteur des lieux saints,
Sa Majesté Selmane Ibn Abdel Aziz,
roi d'Arabie Saoudite:
"Majesté et cher frère,
Il m'est agréable de vous exprimer,
en mon nom personnel et au nom du
peuple et du gouvernement mauritaniens, mes sincères remerciements et
ma profonde gratitude pour l'invitation que vous m'avez adressée pour
visiter le Royaume d'Arabie Saoudite frère, et pour l'accueil chaleu-
reux et exceptionnel que vous m'avez
réservé pendant mon séjour dans
votre pays.
Cette visite historique et l'atmosphère fraternelle et fervente qui l'a
marquée nous ont permis de constater la profondeur des relations fraternelles entre nos deux peuples
frères. Aussi, nous ne ménagerons
aucun effort pour développer et renforcer davantage ces relations vers
des perspectives qui ajoutent à leur
profondeur historique une dimension stratégique.
Nous apprécions hautement le rôle
primordial que vous assumez dans
la région et dans le monde et nous
vous exprimons notre souhait de
renforcer les relations de coopération dans tous les domaines entre
nos deux pays frères.
Qu'Allah guide nos pas vers le bien
être de nos Oummas arabe et islamique.
Veuillez agréer, Majesté et cher
frère, l'expression de ma très haute
considération.
Votre frère, Mohamed Ould
Abdel Aziz ".
HORIZONS N° 6493 DU MERCREDI 15 AVRIL 2015
Page 5
ACTUALITE
Le Président de la République préside
une réunion des cadres de la SNIM
Le président de l'Assemblée nationale
reçoit l'ambassadeur du Mali
Le président de l'Assemblée nationale, M. Mohamed Ou Boilil, a reçu
en audience, hier, à Nouakchott,
l'ambassadeur du Mali en Mauritanie.
L'entrevue a porté sur la coopération
entre les deux pays et sur les moyens
de la renforcer davantage dans tous
les domaines.
Vers l'application du code international de la
sécurité des navires et des ports maritimes
Le Président de la République,
Son Excellence Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, a présidé,
lundi soir à Zouerate, une réunion
des cadres de la Société Nationale
Industrielle et Minière (SNIM) au
cours d’un diner-débat.
Dans son intervention, le Chef de
l'Etat a indiqué que l'objectif de
cette réunion est d'écouter les cadres de la société à propos de la
situation de l'entreprise, au moment où elle subit les effets de la
forte baisse des prix du fer au niveau international ainsi que sur
les relations de son administration
avec les employés.
Il a ajouté qu'elle vise aussi à
connaitre toute la vérité et les
points de vue de tous sur la grève
des travailleurs de SNIM , ses
causes, la nature des revendications et la conjoncture actuelle
que traverse la société. Monsieur
Mohamed Ould Abdel Aziz a également souligné que les cadres
pouvaient s'exprimer librement et
sans contrainte, avant d'ajouter
que les interventions doivent être
toutefois responsables, précises et
objectives.
Le délégué des travailleurs a demandé, dans son intervention, une
solution aux problèmes de logement et de santé ainsi que le paiement de trois mois de salaire, de
primes d'incitation et à observer
l'équité entre les cadres et les autres travailleurs dans les avantages disponibles. Il a souligné
que la page de la grève est définitivement tournée et une nouvelle
page de production est ouverte. Il
a remercié tous ceux qui ont
contribué à trouver une solution à
la grève.
Certains des cadres ont, de leur
côté, abordé la politique d'austérité appliquée par la société pour
faire face aux répercussions de la
baisse des prix du fer sur le marché international.
Dans ses réponses, le Président de
la République a précisé que l'Etat
est déterminé à assurer la poursuite des activités de la SNIM et
la pérennité d'offres d'emploi à ses
travailleurs, avant de noter que la
baisse des prix du minerai de fer
au niveau international a des re-
tombées négatives sur la société
qui ne peut plus supporter des
augmentations de salaires des employés, au moment où plusieurs
pays ont fermé leurs usines de
production face aux pertes
qu'elles ont subi.
Le Chef de l'Etat a exhorté les travailleurs de la SNIM au sacrifice
pour l'intérêt de leur entreprise et
de la Mauritanie, avant d'assurer
qu'une augmentation de salaire
dans la présente situation a des répercussions négatives sur la
bonne réputation de la SNIM.
Il a indiqué que les investissements dont la ville de Zouerate a
bénéficié ces derniers temps traduisent le rôle important joué actuellement par la SNIM, et a
invité les participants à la réunion
à éviter d'impliquer la politique
dans leurs relations avec la société. Le Chef de l’Etat a, enfin,
invité les cadres à s'éloigner des
propagandes politiques calamiteuses, d'éviter les revendications
irraisonnables qui ont des répercussions négatives sur l'avenir de
l'entreprise.
Adoption du rapport sur les industries
extractives pour l'année 2013
La commission nationale de transparence des industries extractives a
déclaré à l'unanimité, le 7 avril courant, l'adoption du rapport administratif indépendant de l'année 2013,
c'est ce qui ressort d'un communiqué
de la commission.
Le document, couvrant la période
comprise entre le 1er janvier et le 31
décembre 2013, précise qu'il est le
9e du genre depuis l'adhésion du
pays à l'initiative de transparence
des industries extractives et le 3e depuis la déclaration de la Mauritanie
Etat conforme.
Il précise que la Mauritanie a respecté la date de publication du rap-
port et félicite les parties bénéficiaires du travail réalisé.
Le rapport a pour objectif, selon le
communiqué, d'aider le gouvernement mauritanien et les parties bénéficiaires à fixer la contribution du
secteur des industries extractives
dans le budget de l'Etat, le renforcement de la transparence et de la
bonne gouvernance dans cette filière.
Les recettes du secteur pétrolier et
minier pour 2013, à l'exception des
revenus du secteur des coquillages,
sont couvertes par le document. Il
ressort 99% des revenus miniers et
84% des revenus des hydrocarbures,
avec une couverture globale estimée
à 96% du total des revenus des industries extractives.
Le rapport 2014 devra être publié à
la fin de l'année en cours et adopté
au mois d'avril 2016.
L'initiative de transparence des industries extractives vise à consolider
la transparence et la bonne gouvernance des revenus publics des Etats
riches en ressources pétrolières, gazières et minières.
La Mauritanie a adhéré à cette initiative en septembre 2005 et a été
déclarée pays conforme depuis le 15
février 2012.
Les travaux d'un atelier d'application
des procédures du code international
de la sécurité des navires et des ports
maritimes, organisé par le ministère
des Pêches et de l'Economie maritime en collaboration avec l'Organisation Maritime Internationale
(OMI), ont débuté mardi à Nouakchott.
La rencontre vise à initier les participants sur la sécurité maritime, le
code l'organisant ainsi que la coopération internationale en matière de
prévention et de lutte contre les
risques sécuritaires croissants dans
le monde, tels que le terrorisme, la
piraterie et la criminalité transfrontalière.
Le ministre de l'Intérieur et de la Décentralisation, M. Mohamed Ould
Ahmed Salem Ould Ahmed Raré,
ministre des Pêches et de l'Economie maritime par intérim, a indiqué
à cette occasion, que l'insécurité maritime constitue aujourd'hui l'une des
plus importantes préoccupations sur
les plans sous- régional et international.
Il a souligné, également, qu'en raison de sa large vitrine maritime, la
Mauritanie fait de cette question une
priorité, conformément aux orientations du Président de la République
Monsieur Mohamed Ould Abdel
Aziz, qui a réalisé la sécurité nationale et immunisé le pays contre des
défis et des menaces.
Et d'ajouter que cet objectif constitue un axe principal des politiques
générales de l'Etat comme l'illustre
la nouvelle stratégie du secteur des
pêches et de l'économie maritime.
La conseillère du secrétaire général
de l'OMI, Mme Salma Hassam, a
mis en exergue l'importance de la
coopération institutionnelle et la nécessité d'élaborer des stratégies maritimes nationales garantissant les
plans d'urgence et le lancement d'un
réseau régional intégré dans le domaine des gardes-côtiers pour le développement durable du secteur de
navires et des infrastructures portuaires, le contrôle des frontières, le
renforcement de la sécurité maritime
et la protection du milieu marin.
Les participants à cet atelier, issus
d'institutions sécuritaires, militaires
et civiles établiront une évaluation
du plan national d'application des
procédures de sécurité des navires et
des infrastructures portuaires stipulées par le code maritime international et échangeront les expériences
dans ce domaine vital.
L'ouverture de l'atelier s'est déroulée
en présence du ministre de la Justice, M. Sidi Ould Zeine, et de la secrétaire générale du ministère des
Pêches et de l'Economie maritime,
Mme Khadijetou Mint Bouka.
La Mauritanie prend part aux réunions de
printemps de la Banque mondiale et du FMI
La Mauritanie participe aux réunions de printemps de la Banque
mondiale et du Fonds Monétaire international (FMI) qui se tiennent à
Washington, les 16 et 17 avril. Notre
pays est représenté à ces réunions
par MM. Moktar Ould Diay, ministre des Finances, et Aziz Ould Dahi,
gouverneur de la Banque Centrale
de Mauritanie, qui ont quitté Nouakchott, hier soir, pour se rendre aux
Etats Unis.
HORIZONS N° 6493 DU MERCREDI 15 AVRIL 2015
ACTUALITE
La Mauritanie participe à une journée
sur les richesses halieutiques
M. Nany Ould Chrougha, ministre
des Pêches et de l'Economie maritime présentera un exposé sur l'importance du secteur des pêches en
Afrique, notamment en ce qui
concerne le rôle de ce secteur dans
la lutte contre la pauvreté et dans la
sécurité alimentaire, au cours d'une
journée consacrée à la pêche maritime, en marge des réunions du printemps de la Banque mondiale, les 16
et 17 avril à Washington.
Le ministre, qui a quitté Nouakchott,
lundi soir à destination des Etats
Unis d'Amérique, présentera aussi
au cours de la journée la nouvelle
stratégie nationale de pêche adoptée
récemment par le gouvernement.
Il est à noter que la Banque Mondiale a financé pour la première fois
en Mauritanie, d'importants projets
de développement dans le domaine
des pêches dont notamment le pôle
de développement dans la zone
franche de Nouadhibou et le projet
d'appui aux infrastructures à Nouakchott.
Les financements en question qui
ont été décidés en mars dernier à
Washington, sous forme de don, ont
atteint près de 40 millions de dollars
américains.
Au cours de ce voyage, le ministre
est accompagné par une délégation
de son département.
Le ministre de l'Habitat pose la première
pierre d'une prison à Bir Moghrein
Le ministre de l'Habitat, de l'Urbanisme et de l'Aménagement du Territoire, M. Ismail Ould Sadegh a
supervisé, mardi, dans la moughataa
de Bir Moghrein, la cérémonie de
pose de la première pierre pour la
construction d'une nouvelle prison
dans la ville.
La nouvelle infrastructure pénitentiaire, qui a une capacité de 200
places sera édifiée sur une superficie
de 2400 m2 et a pour coût 388 millions d'ouguiyas prélevés sur le budget de l'Etat.
Les travaux, qui doivent prendre fin
dans 4 mois, sont exécutés par le
génie militaire.
La cérémonie de pose de la première
pierre s'est déroulée en présence du
wali du Tiris Zemmour, du hakem de
Bir Moghrein, du député et du sénateur de la moughataa.
but de les initier aux outils techniques métrologie.
" La météorologie légale constitue la
meilleure garantie de la sécurité des
transactions et des échanges commerciaux " a-t-elle dit, d'où la nécessite de se tenir à jour par rapport
aux évolutions qui peuvent affecter
ce domaine tant au niveau international que régional, a-t-elle ajouté.
Elle a mis, également, en exergue la
solide coopération unissant les Etats
du Maghreb Arabe dans le domaine
des instruments de normalisation depuis la création du réseau maghrébin
de météorologie.
Le directeur de la Normalisation et
de la Promotion de la Qualité au ministère du Commerce, également,
président du Comité maghrébin
d'Adaptation des Législations techniques des dispositifs de mesure au
niveau des pays maghrébins, M.
Mohamed Abdallahi Ould Ethmane,
a indiqué, dans son intervention, que
les experts maghrébins suivront au
cours de cette rencontre des exposés
sur le spécimen portugais de surveillance des dispositifs de normalisation comme modèle européen et
des dispositifs de pondération manuel ainsi que l'examen des modèles
approuvés.
La cérémonie d'ouverture s'est déroulée en présence des secrétaires
généraux du pétrole, de l'énergie et
des mines et de la santé.
Initiation des filles rurales aux Droits
de l'Homme et au développement à Néma
''Inculquer aux filles rurales du
Hodh Echarghi des connaissances
dans les domaines des droits de
l'homme et du développement
local'', tel est l'objectif d'un atelier,
organisé par la Commission nationale de la Culture, de l'Education et
de la Science en collaboration avec
l'UNESCO et le ministère des Affaires sociales, de l’Enfance et de la
Famille dont les travaux ont débuté
mardi à Néma.
Il profite à 40 filles issues des différentes communes du Hodh Echar-
La ministre déléguée
se rend à Alger
La ministre déléguée auprès de la
ministre des Affaires étrangères et
de la Coopération, chargée des Affaires magrébines, africaines et des
Mauritaniens de l'Etranger, Mme
Khadijetou M'Bareck Fall, a quitté
Nouakchott, mardi matin, pour
Alger.
Dans la capitale algérienne, la ministre participera aux réunions du
Groupe de médiation internationale
pour la Paix au Mali, qui débuteront
à partir du 15 avril.
Mme Khadijetou M'Bareck Fall est
accompagnée par SEM l'ambassadeur Mohamed Saleck Ould Ahmed
Banemou, directeur de la Communication et de la Documentation au
ministère des Affaires étrangères et
de la Coopération.
Le Groupe de Médiation présidé par
l'Algérie comprend les pays voisins
du Mali: Mauritanie, Niger, Burkina
Faso et Tchad, en plus de l'Union
Africaine, de la CEDEAO, de l'OCI,
de l'ONU/MINUSMA et de l'Union
Européenne.
La Mauritanie invitée aux festivités
commémorant Constantine capitale
de la culture arabe
Démarrage à Nouakchott d'un atelier
régional sur les instruments de métrologie
Les travaux d'un atelier régional sur
l'application des législatives européennes dans le domaine des instruments de métrologie, organisé par le
ministère du Commerce, ont débuté,
hier, à Nouakchott.
La secrétaire générale du ministère
du Commerce, de l'Industrie et du
Tourisme, Mme El Alia Mint Menkouss, a indiqué que la rencontre, de
trois jours, profite à des experts issus
des Etats du Maghreb Arabe dans le
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ghi.
Le directeur de cabinet du wali, M.
Mohamed Cheikh Macina, a mis en
exergue l'importance des sujets qui
seront débattus par les participantes
et qui s'articulent sur la vulgarisation
des droits de la femme en vue d'immuniser la société contre les risques
de discorde et promouvoir la cohésion sociale.
Pour sa part, le représentant de
l'UNESCO, M. Ahmed Jiddou Ould
Mohameden, a souligné que l'accent
sera mis sur la convention interna-
tionale d'élimination de toutes les
formes de la discrimination à l'encontre de la femme, celle de la lutte
contre la torture et les autres conventions ratifiées par la Mauritanie.
L'agenda de l'atelier prévoit des exposés les droits de la femme, son
éducation et son rôle dans l'enracinement de la démocratie et la culture
citoyenne, le montage des micros
projets et l'administration et la gestion des projets.
La Mauritanie participera aux festivités marquant la proclamation de la
ville de Constantine capitale de la
culture arabe pour l'année 2015.
Elle sera représentée à cette manifestation, qui débutera le 16 avril à
Alger par la ministre de la Culture et
de l'Artisanat, Mme Hindou Mint
Aînina, qui a quitté Nouakchott
mardi à destination d'Alger, en réponse à une invitation de la ministre
algérienne de la Culture.
La ministre est accompagnée par
son conseiller chargé de la communication et du directeur de la programmation et de la coopération.
Départ de la présidente
de la CUN pour la France
La présidente de la communauté urbaine de Nouakchott(CUN), M.
Maty Mint Hamady, a quitté Nouakchott, lundi soir, à destination de
Paris où elle effectuera du 14 au 19
avril 2015 une visite à l’invitation de
la commune de l'Ille de France.
Au cours de son séjour, la présidente
de la CUN établira un protocole
d'accord entre sa communauté et
l'Ile de France pour l'année 2015.
M. Maty Mint Hamady est accompagnée du directeur de l'observatoire
des œuvres de la CUN et son
conseiller technique.
Le wali de Nouakchott sud visite
des infrastructures sanitaires
M. Mrabbih Ould Bounenna Ould
Abidine, wali de Nouakchott sud a
visité un certain nombre d'infrastructures sanitaires de la wilaya.
Le wali s'est rendu, à cette occasion,
dans les bureaux de la direction régionale de la Santé ainsi que dans le
centre Ibn Sina qui se trouve dans la
moughataa d'Arafat où il s'est enquis
de la situation dans ces infrastructures sanitaires.
Le wali s'est réuni, par la suite, avec
le personnel de la direction régionale de la Santé. Il a écouté, à cette
occasion, des explications sur le rôle
joué par cette direction et les presta-
tions sanitaires et administratives
qui offrent ses services ainsi que sur
les problèmes qui se posent à la formation sanitaire.
Le wali s'est engagé à trouver les solutions appropriées à tous les problèmes posés, exhortant le personnel
à plus d'abnégation, d'assiduité et de
ferveur dans l'exécution des tâ ches
qui leur sont assignées.
Le wali était accompagné au cours
de cette visite par le wali mouçaid,
le hakem mouçaid de la moughataa
de Arafat et le directeur régional de
la Santé.
HORIZONS
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ENVIRONNEMENT
Déchets électroniques
Une source majeure de pollution planétaire (3)
U
ne étude du programme des Nations Unies pour
l’Environnement datant de 2005 estime qu’entre
20 et 50 millions de tonnes de déchets électroniques sont produits chaque année. Il est difficile d’obtenir des chiffres plus précis, ces objets ne faisant pas
l’objet d’une traçabilité, et ne font que peu souvent l’objet d’études statistiques.
si de nombreux pays (essentiellement occidentaux) ont
mis en route des filières de recyclage, il faut bien se rendre compte que ce n’est pas le cas partout.
Par ailleurs, même dans l’hypothèse d’un parfait recyclage, il demeure à l’issue du processus un certain nombre de déchets dits terminaux, généralement
extrêmement toxiques, qu’il n’est pas possible de réutiliser, et pour lesquels la seule issue est un stockage, pour
une durée infinie.
Selon les dernières projections
du cabinet Forrester, un milliard
d'ordinateurs personnels (PC) on
servi dans le monde depuis 2008
et plus de deux milliards d'ici à
2015. Mais que fait-on de ces
montagnes d'écrans, d'unîtes centrales, de claviers, d'imprimantes
et de périphériques en tout genre
lorsqu'ils sont obsolètes ou hors
d'usage?
Entre 20 a 50 millions de tonnes
de e-déchets s'amoncellent dans
le monde et ce volume croit de 3
a 5 % par an, d'après une étude
des Nations unies de 2005. La
France produit, à l'heure actuelle,
en moyenne 25 kg de DEEE (déchets d'équipements électriques
et électroniques) par an et par
personne. Et sur ces 25 kg, 8 % –
soit moins de 2 kg – passent dans
une filière de collecte puis éventuellement de recyclage pour un
quart d'entre eux.
En Europe, ce sont, selon un rapport de l'Union européenne, prés
de 36 tonnes de mercure et 16
tonnes de cadmium qui sont ainsi
rejetées chaque année dans l'atmosphère, essentiellement à
cause de l'incinération des
DEEE.
Il ne s'agit pourtant là que de la
partie visible de l'iceberg. L'augmentation du parc informatique
induit aussi un coût énergétique,
et donc environnemental, de plus
en plus élève. Quand le nombre
d'ordinateurs personnels croit, la
quantité d'électricité nécessaire
pour les alimenter augmente mécaniquement.
Mais outre ces appareils, l'infrastructure d'Internet elle-même
draine une grande quantité de
ressources énergétiques. Estimée
à 123 terawattheures en 2005, la
consommation électrique de l'ensemble des serveurs dans le
monde équivaut a la production
d'une quinzaine de centrales nucléaires.
Soutenu par des serveurs bon
marché, mais de basse qualité et
peu efficients, Internet contribue
a une facture énergétique de plus
de 5 milliards d'euros par an.
Entre 2000 et 2005, la consommation mondiale de ces serveurs
a plus que doublé..
Des pays poubelles des
e-déchets de l'Occident
Le recyclage des e-déchets est
complexe et nécessite la manipulation de composants nocifs pour
la santé et l'environnement. Il est
peu ou pas rentable et dangereux.
C'est donc "tout naturellement"
que les pays développés envoient
leurs déchets dans les pays émer-
taires, est entrée en vigueur en
1992. En matière de recyclage, la
réglementation est intervenue
plus tard. Une directive européenne dite DEEE (déchets
d'équipements électriques et
électroniques), votée en 2003, est
appliquée au niveau européen depuis août 2005. Dans le même
temps, une autre directive euro-
gents, en fermant les yeux sur les
méthodes employées localement.
Une pollution à grande échelle
liée à cette industrie touche l'Asie
et l'Afrique. Le Basel Action Network (BAN) recense les décharges, les filières et plus
généralement tous les abus en
matière de pollutions électriques
et électroniques. Selon lui, et à
titre d'exemple, plus de 500
conteneurs de matériel informatique d'occasion sont débarqués
chaque mois dans des pays africains pour être réparés et réutilisés. Mais prés des trois quarts de
chaque cargaison se révèlent inutilisables et sont détruits sans précautions ou, pire, abandonnés
dans de vastes décharges.
Les méthodes employées dans
les pays pauvres pour retraiter
ces déchets sont très rudimentaires et les répercussions sur la
santé des populations et l'environnement lourdes. L'eau est le
vecteur principal de ces pollutions. La prise de conscience des
Etats pollueurs, notamment, les
pays développés a été lente mais
un arsenal législatif a vu le jour:
la convention de Bale, qui interdit toute exportation de produits
dangereux entre les pays signa-
péenne dite RoHS (Restriction of
Hazardous Substances) visant à
contrôler l'utilisation de substances dangereuses dans les équipements
électriques
et
électroniques a été adoptée.
A l'heure actuelle, ce dispositif
législatif est opérationnel en Europe et la plupart des pays développés suivent le mouvement.
Les filières de récupération puis
de recyclage se mettent en place
et sont l'affaire de tous : constructeurs et distributeurs sont désormais tenus de les respecter. Mais
force est de constater qu'une majorité des Etats concernés continue d'envoyer leurs e-déchets
vers les pays émergents, parfois
sous forme de dons pour contourner la loi.
Des initiatives "vertes" disparates
Devenues soucieuses des questions ayant trait à l'environnement, ou de leur image, les
entreprises d'informatique s'investissent de plus en plus dans le
retraitement des matières dangereuses. Remis en cause par l'association Greenpeace, qui publie
régulièrement un Guide pour une
high-tech responsable, l’entre-
prise Apple s'est, par exemple,
engagé à devenir "plus vert", et a
montrer plus de transparence
dans ses procédures de recyclage.
Les grands groupes industriels
tentent également de promouvoir
des mesures de réduction de la
consommation d'énergie des ordinateurs. Réunis dans la Climate
Savers Computing Initiative, des
acteurs majeurs comme Microsoft, AMD, Lenovo et IBM, et
plus récemment Google et Intel,
travaillent en accord avec l'organisme de défense de l'environnement World Wildlife Fund
(WWF) et 25 autres associations.
Les fabricants d'ordinateurs et de
composants qui participent a
cette initiative se sont engagés à
élaborer des produits économes
en énergie qui remplissent les
exigences techniques de l'EPA,
l'Agence fédérale américaine de
l'environnement. Les autres entreprises qui adhérent à cette initiative
vont
s'équiper
d'ordinateurs plus économes.
Elles espèrent économiser 5,5
milliards de dollars de dépenses
énergétiques par an et réduire les
émissions de gaz à effet de serre
de 54 millions de tonnes annuelles.
L'infrastructure du réseau Internet, composée de dizaines de
millions de serveurs, tend également vers une baisse sensible de
sa consommation électrique. De
plus en plus de constructeurs proposent des serveurs virtuels, qui
remplacent peu à peu les rangées,
armoires et baies de serveurs très
gourmands en énergie. D'autres
entreprises essaient, quant à elles,
de démocratiser les serveurs dits
de "basse consommation".
Ces initiatives disparates suffiront-elles? La multiplication des
e-déchets et la pollution engendrée par les industries des nouvelles technologies imposent
-elles l'élaboration d'un "protocole de Kyoto" informatique?
(A sUIVRE)
Baba D. Traoré
cjpodzara@yahoo.fr
HORIZONS N° 6493 DU MERCREDI 15 AVRIL 2015
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MAGAZINE
Hygiène de vie
Les 6 pouvoirs guérissant de l’eau chaude
La valeur thérapeutique de
l’eau chaude n’est pas une découverte récente. Elle a été
utilisée par les chinois, les Indiens et plusieurs autres pays
de l’Asie du sud-est.
L’eau est l’élément le plus réceptif. Par conséquent, Elle
agit comme un grand récepteur d’énergie. Elle a aussi des
propriétés thermodynamiques
distinctives.
L’eau chaude stocke une
quantité énorme d’énergie calorique, qu’elle transfère au
corps. L’impact de l’eau sur le
corps est direct et puissant.
Pourquoi l’eau chaude est bénéfique
? L’eau chaude est stimulante. Elle
augmente légèrement la température
corporelle. Elle est relaxante pour les
muscles, les articulations, les vaisseaux sanguins.
L’eau chaude ouvre les pores et les
capillaires, favorise la transpiration
et peut pénétrer profondément dans
la peau et les muscles. L’eau chaude
aide à mûrir les abcès et les éruptions
cutanées et les faire sortir.
Toutefois, il est déconseillé de faire
une immersion prolongée dans de
l’eau extrêmement chaude.
Hydrothérapie à l’eau chaude
L’hydrothérapie avec de l’eau
chaude est bénéfique pour le corps.
Elle aide les vaisseaux sanguins à se
dilater et augmente ainsi le flux sanguin et le sang circule jusqu’aux extrémités. L’eau chaude ouvre les
pores, stimule les glandes de transpiration et relaxe les muscles.
Bain chaud
Lorsqu’on prend un bain chaud pendant une courte durée, les organes du
système endocrinien deviennent
moins actifs et particulièrement la
glande surrénale. Un bain chaud
baisse l’hypertension, détend, déstresse et calme le système nerveux.
Le bain chaud est souvent pris pour
stimuler le système immunitaire,
soulager les muscles, les articulations, les troubles des tissus conjonctifs et des blessures.
Prendre un bain chaud peut empêcher les maux de tête, améliore le
sommeil, et soulage du stress.
En augmentant le flux sanguin dans
le corps, un bain chaud aide la circulation des globules blancs. Ceci permet au système immunitaire de
fonctionner plus rapidement et plus
efficacement. Un bain chaud augmente la production des endorphines
dans le corps. Ces hormones -associées à l’euphorie et au bonheur- stimulent le système immunitaire,
réduisent la douleur et aident les tissus à guérir plus rapidement.
Prendre un bain juste avant d’aller au
lit permet d’avoir un sommeil profond et réparateur, selon la National
Sleep Foundation. La relaxation pendant l’immersion dans le bain favorise une somnolence reposante. Le
bain chaud augmente la température
Pourquoi les céréales sont-elles indispensables
à notre alimentation ?
Qu’ils soient consommés en farine,
en bouillie ou en grain, les produits
céréaliers présentent de nombreux
bienfaits pour notre organisme.
Avec un choix des plus variés : blé
dur, blé tendre, orge, riz, maïs, seigle, sarrasin, millet, quinoa, avoine,
il n’y a plus de raison de ne pas
consommer les 6 à 8 portions recommandées quotidiennement par
le guide alimentaire canadien. En
France, la recommandation est
d’une portion par repas et selon
l’appétit. Découvrez tous les bienfaits que les céréales peuvent vous
apporter...
Des fibres, encore et encore...
Les produits céréaliers sont très
riches en fibres, et notamment
l’avoine et l’orge. Ils contiennent
deux types de fibres: solubles et insolubles. Les fibres solubles ne sont
pas assimilées par le corps humain.
Elles contribuent toutefois à ralentir
la vitesse à laquelle le sucre est absorbé par le sang, un aspect bénéfique pour les personnes souffrant
de diabète. De plus, ces fibres procurent une sensation de satiété plus
durable, ce qui contribue au
contrôle de l’appétit et au maintien
d’un poids santé. C’est aux fibres
insolubles que nous attribuons les
mérites d’une meilleure santé intestinale. Elles aident à régulariser le
système digestif, ce qui peut contrer
certaines maladies comme la
constipation chronique et la diverticulite.
Elles permettent également de
mieux absorber l’eau dans le corps
pour ainsi conserver une bonne hydratation tout au long de la journée.
Il est recommandé de consommer
de 25 à 30 g de fibres par jour.
Des glucides pour un maximum
d’énergie !
Les céréales sont principalement
composées de glucides complexes,
aussi appelés sucres lents ou amidons. Contrairement aux glucides
simples tels que le sucre, les glucides complexes permettent de
conserver un bon niveau d’énergie
durant une plus longue période
puisqu’ils sont assimilés plus lentement par l’organisme. De nombreuses recherches ont prouvé
qu’une alimentation riche en glucides complexes réduirait les
risques de diabète et de maladies
cardiovasculaires. Ils permettent
également un meilleur contrôle du
poids, puisqu’ils procurent également une sensation de satiété à plus
long terme.
Faire le plein de vitamine B
Les produits céréaliers sont une
bonne source de vitamines de complexe du groupe B. Ce type de vitamine présente de nombreux
bienfaits. Plusieurs études ont démontré que les vitamines B6, B9 et
B12 permettent de réduire le taux
de cholestérol et diminuer les
risques de maladies cardiovasculaires. Certaines vitamines du complexe B contribueraient aussi à la
prévention de l’ostéoporose, une
maladie des os qui affecte généralement les personnes âgées de 65
ans et plus. De plus, les vitamines
B2, B6, B9 et B12 auraient des propriétés préventives quant à la dépression.
VITE LU - VITE sU
Aujourd’hui, on possède les
preuves scientifiques que le charbon actif absorbe tous les poisons
ainsi que les toxines bactériennes
dans l’intestin. Depuis 10 ans, plus
de 500 articles médicaux (uniquement en anglais !) ont offert plus de
10 000 références scientifiques sur
le sujet. Le charbon est probablement l’agent de décontamination le
plus simple, le plus valable et le
moins cher que nous connaissions.
Mais le public et les malades, et
même beaucoup de médecins, ne le
savent pas.
Comment le fabrique-t-on ?
Pour être au maximum de ses possibilités, le charbon activé est obtenu en deux étapes :
La carbonisation : On calcine du
bois en le chauffant à une température variant entre 600 et 900° en
l’absence d’air.
L’activation : Le bois est recalciné
aux mêmes températures, mais
cette fois, en présence de vapeur
d’eau, d’air ou de gaz oxydants.
Ceci permet le développement d’un
réseau de micropores qui seront de
véritables pièges à molécules indésirables. L’extrudation de la poussière de charbon développe une
surface de contact phénoménale : 1
cm3 de charbon pulvérisé présente
une surface totale de 1 km2 et 500
g de charbon contiennent 50 000
millions de pores.
Ceci explique ses performances : il
peut absorber 97 fois son volume
de gaz carbonique, 165 fois son volume d’anhydride sulfureux et 178
fois son volume d’ammoniac...
Le charbon activé est aussi efficace
pour le mercure, le plomb, les insecticides, les herbicides, les hormones et même certaines
substances radioactives. Depuis 15
ans, on utilise le charbon activé
pour désintoxiquer des analgésiques, des fébrifuges, des antidépresseurs
tricycliques,
des
glucosides cardiotoniques, des solvants organiques, de la plupart des
médicaments à effets iatrogènes et
des produits chimiques.
Comment utiliser le charbon activé
En cas d’intoxication sévère
La dose préconisée est de 50 g pour
un adulte, de 1g/kg pour un enfant.
Mélanger à de l’eau froide. Cela n’a
aucun goût. Répéter les prises de 20
à 50 g de charbon activé toutes les
4 à 6 heures pendant 1 ou 2 jours
selon la sévérité de l’intoxication.
La quantité théorique du charbon
activé doit être au minimum égale
à 8 fois le poids de toxique ingéré.
La marge de 10 fois est souhaitable.
Toutefois, dans les intoxications
suicidaires, et chez les sujets comateux, la quantité du toxique est impossible à connaître. On administre
alors entre 100 et 120 g de charbon
d’office.
À savoir qu’une cuillère à soupe
contient en moyenne 5 g de charbon.
du corps et par là même la circulation sanguine. En sortant du bain, la
température baisse lentement signalant au corps qu’il est temps de dormir.
Après un accident ou une opération
chirurgicale, il est conseillé de prendre des bains chauds. Ils améliorent
le temps de récupération. Des exercices pratiqués dans l’eau chaude aident la peau et les muscles à se
détendre et à guérir.
Selon Arthritis Foundation, des
séances régulières dans un jacuzzi
chaud reconstituent, préservent la
force et la flexibilité des articulations, et les protègent des nouveaux
dégâts.
La vapeur d’eau chaude
Les inhalations des vapeurs d’eau
chaude ont un effet positif sur la
santé des poumons. La vapeur aide à
nettoyer les voies respiratoires des
infections. L’air moite et chaud aide
à dilater les poumons et augmente
leur capacité à évacuer le mucus. En
général, l’inhalation de la vapeur
aide à respirer plus facilement.
Une source chaude
Des bains dans une source chaude
sont considérés comme une excellente thérapie à cause de tous leurs
bienfaits. Le contenu minéral spécifique de la source offre des avantages uniques, permettant de nettoyer
la peau et le corps en entier.
En fait, un bain dans une source nous
connecte avec les 5 éléments : la
terre, d’où sort l’eau de la source,
l’eau, les minéraux contenus dans la
source, le bois des arbres environnants et le feu par la chaleur de l’eau
et celle du soleil au-dessus.
Les sources chaudes équilibrent et
harmonisent notre corps et notre esprit tout à fait naturellement.
Les 6 vertus de l’eau chaude
1- L’eau chaude nettoie le tube digestif :
Un verre d’eau chaude pris le matin
aide à nettoyer le corps des toxines.
L’eau et les liquides décomposent la
nourriture dans l’estomac. L’eau
chaude décompose les aliments encore plus rapidement, les rendant
plus faciles à digérer.
Le fait de boire de l’eau froide durant
ou après les repas, peut durcir l’huile
contenue dans les aliments et créer
ainsi un dépôt de graisses dans l’intestin. Boire de l’eau chaude aide à
digérer surtout à la fin d’un repas.
En effet, lorsque l’eau chaude coule
dans le tube digestif, elle dissout les
impuretés pour mieux les éliminer.
Avec une meilleure assimilation, une
excellente élimination, et une bonne
prévention de la formation d’un
amas de toxines et déchets, La digestion se trouve améliorée.
2- L’eau chaude lutte contre la
constipation
Le manque d’eau est responsable de
douleurs et difficultés à la selle.
Boire un verre d’eau chaude à jeun
stimule les mouvements des intestins
et lutte contre la constipation en décomposant les produits alimentaires
ingérés. Avec ce simple geste, la
constipation ne sera qu’un lointain
souvenir.
3- L’eau chaude soulage la douleur
L’eau chaude est considérée comme
le remède le plus puissant pour soulager les douleurs des règles et les
maux de tête. La chaleur de l’eau a
un effet calmant et relaxant sur les
muscles des abdominaux. L’eau
chaude est efficace pour soulager
spasmes et crampes. L’effet de la
chaleur augmente le flux sanguin et
relâche les muscles tendus.
4- L’eau chaude aide à perdre du
poids
Si vous êtes au régime, boire un
verre d’eau chaude à jeun peut vous
aider à perdre du poids. L’eau chaude
augmente la température du corps ce
qui augmente le métabolisme. Ceci
permet au corps de brûler plus de calories et aux reins de fonctionner encore mieux.
Un verre d’eau chaude avec du citron
aide à décomposer le tissu adipeux et
la graisse de l’organisme.
5- L’eau chaude améliore la circulation sanguine
Quand vous buvez un verre d’eau
chaude, les dépôts de gras dans le
corps sont éliminés en même temps
que les dépôts dans le système nerveux. L’eau chaude élimine les
toxines qui circulent partout dans le
corps et améliore ensuite la circulation sanguine. Ceci en détendant les
muscles.
La chaleur et le liquide facilitent
l’ouverture de tous les canaux de circulation et la dissolution des impuretés accumulées.
6. L’eau chaude lutte contre le
vieillissement prématuré
La présence des toxines dans le corps
favorise le vieillissement prématuré.
Boire de l’eau chaude élimine ces
dernières et répare les cellules de la
peau en augmentant son élasticité.
sidi Moustapha Ould BELLALI
bellalisidi@yahoo.fr
HORIZONS N° 6493 DU MERCREDI 15 AVRIL 2015
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ECONOMIE
L’agriculture africaine :
Les voies de la modernisation
À force d’avoir été annoncée à
la croisée des chemins, l’agriculture africaine a fini par se
perdre, prise dans des vents
contraires. La nouvelle donne
initiée par l’irruption des
puissances émergentes est une
énième chance pour un continent qui pourrait s’offrir le
luxe d’être le grenier du
monde. À plusieurs conditions, dont la première est la
volonté politique. Aujourd’hui, l’agriculture emploie en Afrique 57 % de la
population, assure 17 % du
PIB et procure, bon an mal
an, 11 % des recettes d’exportation. Cela implique d’en
faire une priorité dans le processus de développement avec
la mise en place de politiques
publiques extrêmement volontaristes avec des budgets importants.
En clair, les exploitants et producteurs agricoles africains doivent
donc définitivement abandonner la
machette et la houe pour des tracteurs et des semeuses mécaniques.
Devant la déferlante asiatique et latino-américaine, quelles solutions
peut-on envisager pour établir un
nouveau socle d’exploitation et se
projeter dans un avenir plus positif
pour ce secteur ?
Entre autres éléments de modernisation, il faudrait prioritairement
compléter la réforme agraire sur le
continent. L’accès à la terre est l’une
des inégalités les plus flagrantes de
l’économie africaine et elle contribue également à un abandon compréhensible du métier d’agriculteur.
Le règlement de cet impair pourrait
à terme contribuer plus rapidement
à une professionnalisation du monde
agricole et à l’amélioration du sort
des sociétés rurales.
Même si le capital humain est très
important dans le développement
agricole, l’apport massif de capitaux
est essentiel à la viabilité de tous les
projets initiés. Ici, les analystes du
Centre technique de coopération
agricole et rurale (CTA), créé dans
le cadre de la Convention de Lomé
entre les États du groupe ACP
(Afrique, Caraïbes, Pacifique) et les
pays membres de l'Union européenne sont formels : « L’État ne
doit pas être le seul acteur de cette
transformation. Le secteur privé est
invité à prendre une part croissante
dans l’agriculture. En Afrique, cette
dernière reçoit aujourd’hui moins de
3 % des financements privés. Cependant, elle attire de plus en plus
les opérateurs économiques, voire
même de fonctionnaires, qui y
voient la possibilité d’investissements rentables. C’est pour inciter
les entreprises à bâtir des projets et
soutenir les coopératives agricoles et
petites entreprises dans leurs efforts
de modernisation qu’a été mis en
place le Fonds pour l’agriculture
africaine (FAA) ».
En complément à cette initiative,
nous rappellerons que des partisans
du Nouveau Partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD),
avaient de leur côté proposé en 2003
un Programme intégré pour le développement de l’agriculture en
Afrique (CAADP).
Pertinents, les objectifs, qui visaient
à atteindre des taux de croissance de
6 % par an dans les zones rurales
d’ici à 2015, comprenaient quatre
domaines prioritaires d’investissement :
accroître la superficie des terres
agricoles irriguées en Afrique et
améliorer la gestion des terres et les
techniques agricoles afin de préserver et d’améliorer la qualité des sols
; investir dans les infrastructures rurales, notamment des routes et chemins de fer, des sites de stockage et
de traitement, des marchés, des systèmes de communication et des réseaux d’approvisionnement fiables
pour les agriculteurs faire de la production alimentaire une priorité importante, pour combattre la faim et
développer les exportations, et améliorer les interventions d’urgence en
cas de catastrophe naturelle et de
conflit ; renforcer la recherche et le
développement dans le domaine
agricole en Afrique, notamment en
ce qui concerne les méthodes technologiques et agricoles de pointe et
faire bénéficier rapidement et véritablement les agriculteurs, fournisseurs et acheteurs des progrès
réalisés.
Le Rwanda a été le premier pays à
signer l'accord Compact PDDAA en
2007. Au mois d’août 2010, ils
étaient 22 à l’avoir intégré dans leur
programme agricole. Il s'agit du
Bénin, Burkina Faso, Burundi, CapVert, Côte d'Ivoire, Éthiopie, Gambie, Ghana, Guinée, Kenya, Libéria,
Malawi, Mali, Niger, Nigéria,
Rwanda, Sénégal, Sierra Leone,
Swaziland, Tanzanie, Togo et Ouganda. Près de dix ans plus tard, les
résultats sont encore moyens mais
donnent raison d’espérer, car une dizaine de pays ayant adhéré à cette
dynamique, affichent des taux de
croissance qui rejoignent les objectifs initiaux, soit entre 5 et 6% de
croissance agricole. C’est encore
peu. À part ces pistes de développement se rajoute la nécessité de monter des activités et des emplois non
agricoles autour de l’agriculture
pour les jeunes qui arrivent sur le
marché du travail. C’est ainsi que les
cycles industriels se nourrissent et
créent de l’activité localement.
Enfin, cette modernisation de l’agriculture africaine nécessite une révolution énergétique. Le continent ne
pourra certainement pas s’appuyer,
comme certains pays émergents
l’ont fait, sur les énergies fossiles
pour faire face aux immenses besoins énergétiques d’une agriculture
qui se modernise. D’autres formes
d’énergies alternatives et de fertilisation des sols, notamment, sont né-
cessaires.
L’agriculture africaine : la dépendance alimentaire
L’agriculture africaine encore très
fortement composée de petites exploitations artisanales, ne parvient
toujours pas à répondre aux demandes de sa population alors que
les trois quarts de la population africaine travaillent dans le secteur agricole qui fournit ainsi près de 60%
des emplois sur le continent. En
cause, une production qui n’a cessé
de baisser au cours de ces dernières
décennies pendant que la population
a continué à augmenter, et une dépendance à l’importation des produits agricoles de plus en plus
accrue qui a fait de l’Afrique le
continent le plus dépendant du
monde au niveau alimentaire.
Beaucoup de pays africains aujourd’hui sont contraints, pour satisfaire à la demande intérieure de plus
en plus forte, d’importer certains
produits, notamment les denrées alimentaires de bases telles que les céréales, la viande, le lait, les pommes
de terre et le sucre qui ne sont pas
entièrement couverts par la production nationale sujette à des aléas climatiques. En Tunisie par exemple,
les produits céréaliers représentent
40% des importations alimentaires
du pays. De même, l’Algérie avec
75% de ses besoins alimentaires assurés par les importations, est devenue le premier importateur africain
de denrées alimentaires, notamment
le lait dont il est le plus grand
consommateur dans le Maghreb
avec une consommation moyenne
estimée à 110 litres de lait par habitant et par an.
En Afrique subsaharienne, la facture
des importations de produits alimentaires se révèle être également très
élevée par rapport au PIB. Selon la
FAO (Organisation des Nations
Unies pour l’alimentation et l’agriculture), pendant les périodes de
hausse des prix des produits de base
de ces dernières années, ces pays
pouvaient dépenser en moyenne
jusqu’à 5 voire 6% de leur PIB pour
importer des denrées alimentaires.
Mais face à l’explosion au niveau
mondial des prix de certains produits
céréaliers comme le riz et le blé,
l’Afrique qui consacre déjà 33 milliards de dollars chaque année pour
l’importation des produits alimentaires, a du mal à suivre le rythme.
En effet, les États africains sont de
plus en plus incapables de peser sur
ces prix qui devenus comme ceux du
pétrole très sensibles aux spéculations dans certains grands pays producteurs, affectent les populations
les plus vulnérables.
Par ailleurs, les mauvaises récoltes
liées principalement à l’irrégularité
des saisons pluviales dont dépendent
les productions agricoles dans beaucoup de régions africaines, empêchent les agriculteurs africains de
répondre aux besoins des populations locales de plus en plus en demande. Pour l’Organisation des
Nations Unies, il ne fait donc aucun
doute que les deux éléments ainsi
cités, sont à l’origine de la famine et
de la malnutrition chronique (30%
de la population africaine sont victimes de la faim) dont souffre une
partie du continent. D’où l’importance d’une forte augmentation des
investissements dans l’agriculture
africaine pour l’aider à passer d’une
agriculture de substance à celle tournée vers un marché plus important.
L’agriculture en Afrique : une
production à relever
Comme dans plusieurs secteurs de
l’activité économique, l’agriculture
africaine est à la traîne. Ballotée
entre des plans de développement
inadaptés et les aléas climatiques, ce
secteur de production affiche des résultats en dents de scie. Si on y
ajoute les années de crise et les multiples plans de restructuration des
années 90, il ne faut point se surprendre que la disette sévisse de plus
en plus sur le continent.
Sur ses 30 415 873 km2 de superficie, l’Afrique n’utilise que 25% de
ses terres arables, essentiellement
par manque de moyens. Une analyse
un peu plus pointue d’organismes
internationaux comme l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO)
établit de manière claire les raisons
des obstacles à la croissance de la
production agricole africaine.
Au plan institutionnel, des politiques
gouvernementales défavorables à
l'agriculture ont fortement contribué
à la baisse de la productivité de ce
secteur sur le continent. Après la décolonisation, la majeure partie des
pays africains ont souffert d'un environnement politique erratique et instable. Les changements de
paradigmes politiques n'ont réussi ni
à surmonter les difficultés globales
du secteur, ni à mettre en place des
interventions adaptées.
Plusieurs décennies plus tard, des réformes ont été engagées dans le
cadre des programmes d'ajustement
structurel et de stabilisation macroéconomique pour effacer l'échec des
politiques antérieures. Les réformes
des marchés et le retrait de l'État des
activités commerciales ont ainsi eu
pour objectif d’encourager le déve-
loppement du secteur privé, mais
sans succès notable. On a par exemple observé que les agriculteurs de
subsistance, qui disposaient d'une
faible quantité d'excédents commercialisables, n'ont pas autant tiré profit des changements que les grands
exploitants agricoles.
Quant aux petits agriculteurs, le coût
extrêmement élevé des engrais et
des autres intrants agricoles, la faiblesse du pouvoir d'achat et la difficulté d’accès au crédit les ont
littéralement marginalisés. Ce qui
fait que d’autres catégories d’acteurs
très entreprenants comme les
femmes, qui jouent un rôle considérable dans l’agriculture en Afrique,
n'ont pu, de ce fait, adopter des technologies modernes et plus performantes et sont restées dans des
formes élémentaires d’exploitation
agricole.
La FAO rappelle d’autre part que
l'Afrique est la seule région du
monde en développement dont la
production alimentaire moyenne,
par habitant, a baissé au cours des 60
dernières années. « Des périodes de
sécheresse récurrentes et de plus en
plus fréquentes, suivies par de
longues alternances de sécheresses
et d'inondations, ont réduit l'optimisme et remis en cause l'espoir
d'accroître les rendements agricoles
de manière durable et de garantir la
régularité des approvisionnements
alimentaires (notamment en céréales) », rapportent les analystes de
l’organisme.
Le même rapport ajoute que la dégradation accélérée des eaux et des
sols est un autre problème majeur de
l'agriculture en Afrique. « En général, les terres agricoles sont rares et
leur qualité ne cesse régulièrement
de se dégrader. Cette situation s'explique en grande partie par les pressions démographiques et par une
utilisation non durable qui résulte de
la lenteur d'introduction de technologies plus performantes. Des systèmes autochtones et coutumiers
prédominent encore l'utilisation des
terres dans les pays au sud du Sahara. Ces systèmes sont en général
basés sur diverses formes de
contrôle collectif pour assurer une
gestion équilibrée de la propriété
communautaire; dans de nombreux
cas cependant, ils font obstacle à
l'adoption de techniques plus modernes qui requièrent des investissements à long terme ».
C’est donc ce tableau peu reluisant
que les responsables politiques et les
corps sociaux intermédiaires devront
essayer de modifier pour les prochaines décennies. S’arracher de
force aux archaïsmes et se projeter
résolument vers l’avenir parce que le
progrès ne doit pas être une posture,
mais plutôt action. Parce qu’il arrivera même qu’il n’y ait plus de ressources pour importer des aliments
afin de combler l’énorme différentiel puisque l’Afrique est aujourd’hui obligée d’importer pour
près de 35 milliards $US de produits
alimentaires.
Le chercheur sénégalais Pape Abdoulaye Seck, directeur général du
Centre du riz pour l’Afrique,
concluait à cet effet qu’une métamorphose positive de l’agriculture
africaine devra passer par une combinaison intelligente de quatre facteurs : technologies adaptées,
infrastructures de qualité, environnement institutionnel et économique
incitatif et préservation des ressources naturelles.
HORIZONS N° 6493 DU MERCREDI 15 AVRIL 2015
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ANNONCES
AVIS D’APPEL A CANDIDATURES
Le
Ministère du Pétrole de l’Energie et des Mines
Société Mauritanienne d’Electricité
SOMELEC
Avis d’Appel d’Offres International
DAOI No: 02/2015
1.Le Gouvernement de la République Islamique de Mauritanie finance sur le budget
2015 les travaux de montage du projet de
construction d’une ligne 33 kV Aéro-Souterraine, d’un réseau à fibre optique et d’un réseau d’Eclairage Public destinée à alimenter
le Nouvel Aéroport International de Nouakchott.
Tél: +222 36 30 68 92
E mail: bedy@somelec.mr
4.Le Dossier d'Appel d'Offres pourra être
acheté par les candidats sur demande écrite au
service mentionné ci-dessus et moyennant
paiement d'un montant non remboursable de
100 000 UM ou 300 euros ;
5.Le Dossier d’appel d’offres peut être
consulté gratuitement auprès de la cellule
2.La Société Mauritanienne d'Electricité (SO- chargée des marchés à l’adresse indiquée ci
MELEC) invite, par le présent Appel d'Offres, haut ;
les Entreprises intéressées à présenter leurs
offres sous pli fermé, pour les travaux indi- 6.Les offres doivent être déposées au plus tard
qués dans le ci haut et détaillés dans le DAO. le 13/04/2015 à 12 Heure TU à l’adresse suivante : Monsieur le Président de la commis3.Les candidats intéressés peuvent obtenir des sion des marchés d’Investissements de la
informations complémentaires auprès de la SOMELEC 47, Avenue de l'Indépendance,
Société Mauritanienne d’Electricité au siège Tevragh Zeina, BP 355, Nouakchott, Mauride la SOMELEC à l’adresse ci après:
tanie
Et porter la mention « Appel d’Offres Inter47, Avenue de l'Indépendance,
national pour la construction de la ligne aliTevragh Zeina, BP 355,
mentant le Nouvel Aéroport International de
Nouakchott, Mauritanie
Nouakchott – N.A.I.N
7. Les plis seront ouverts aussitôt à la même
adresse en présence des soumissionnaires ou
de leurs représentants qui souhaitent assister à
la séance d'ouverture ;
8. Les offres doivent obligatoirement être accompagnées d'une garantie de soumission
émise ou validée par une banque établie en
Mauritanie d’un montant compris entre 1 à
2% du prix de l’offre;
9.Pour être attributaire de ce marché, les soumissionnaires doivent satisfaire aux critères
suivants minima de qualification indiqués
dans le DAO suivants: Références techniques
et financières
10.La validité des offres doit être de 90 jours
à compter de la date d’ouverture des offres
Commission des Marchés
d’Investissements
Dr Ahmed salem EL ARBI
HORIZONS
N° 6493 DU MERCREDI 15 AVRIL 2015
- -
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ANNONCES
ORGANISATION POUR LA MISE EN VALEUR DU FLEUVE SENEGAL
SOCIETE DE GESTION DE L'ENERGIE DE MANANT ALI
AVIS DE SOLLICITATION DE MANIFESTATIONS D'INTERET
SELECTION DE DEUX (2) EXPERTS DE TRES HAUT NIVEAU
DANS LE CADRE D'UNE MISSION D'ASSISTANCE TECHNIQUE A LA SOGEM
1.La Direction Générale de la Société de Gestion
de l'Energie de Manantali (SOGEM), sise à Bamako/Mali a l'intention de procéder au choix de
deux (2) Consultants Individuels dans le cadre
d'une mission d'assistance technique. Il s'agit d'un
Conseiller Technique et d'un Conseiller Financier.
Les deux (2) Experts de très haut niveau doivent
justifier d'une très grande expérience dans le domaine de la gestion technique et financière des
centrales hydroélectrique et projets complexes similaires.
Les experts seront chargés d'assister la SOGEM
pour:
- la fourniture de tout avis utile pour la réussite du
processus de mise en place de la filiale notamment
pour les aspects techniques et financiers sachant
que nous disposons déjà d'une assistance juridique
avérée;
- l'élaboration et la négociation du contrat d'exploitation devant la lier à la filiale ad hoc afin qu'il
puisse inclure toutes les prestations à même de garantir la qualité de la maintenance, - la compétence
du personnel et la préparation de l'avenir (obligations relatives à la mise en place d'une comptabilité analytique, d'une gestion de maintenance
assistée par ordinateur) ;
- l'assistance dans le sui vi d'exécution du contrat
d'exploitation provisoire de la centrale de Félou;
- la définition du mode d'exploitation de Félou et
pour le recrutement rapide et la formation par Sinohydro du personnel local de la centrale;
-la programmation des Travaux nécessaires, autres que la réparation et la révision des cinq (5)
groupes de Manantali actuellement en cours ;
- l'appui à l'élaboration des TDR du contrat d'assistance entre la filiale et l'Opérateur qui l'assistera;
- à moyen terme, l'assistance dans le cadre de la
définition de stratégie en vue de faire face aux évolutions du marché de l'énergie dans la région et
pour la préparation de l'Appel d'offres en vue du
recrutement d'un nouvel Opérateur;
- la fourniture de tout avis relatif à ses projets de
développement;
- l'appui à la conduite de son étude organisationnelle dont le processus de recrutement du cabinet
est en cours.
2.Les services, sans être limitatifs, pour chacun des
experts consistent entre autres à la réalisation des
tâches suivantes:
• Pour le Conseiller Technique:
• Assistance permanente sur place à la SOGEM;
• Conseiller le Directeur Général de la SOGEM
sur toutes les questions techniques liées directement à la gestion des centrales hydroélectriques,
des projets;
•Elaboration de TDR ;
•Production de rapports périodiques.
Pour le Conseiller Financier
•Assistance permanente sur place à la SOGEM;
•Conseiller le Directeur Général de la SOGEM sur
toutes les questions liées directement à la gestion
des centrales hydroélectriques, des projets dans le
domaine de la gestion financière ;
•Evaluer la stratégie budgétaire et financière de la
SOGEM ;
•Conseiller et assister le Directeur Général dans la
recherche de financements;
•Production de rapports périodiques.
3. Qualifications et exigences pour chacun des experts:
Pour le Conseiller Technique
•diplôme universitaire d'ingénieur (Bac + 5 au
moins) en hydroélectrique, énergétique, électromécanique et tous domaines assimilés;
15 ans d'expérience au moins dont 10 ans dans le
domaine de la gestion des centrales hydroélectriques;
au moins une expérience précédente pertinente
(assistance technique à une structure de gestion de
centrales hydroélectriques ou une structure similaire) ;
• maîtrise de la langue française;
• travail en équipe dans un milieu multiculturel et
aptitude en communication;
• expérience en Afrique.
Pour le Conseiller Financier
•diplôme universitaire (Bac + 5 au moins) en Finance, Comptabilité, Ingénierie, Gestion de
Projets et domaines assimilés;
•10 ans d'expérience au moins dont 8 dans le domaine de la gestion financière de projets, sociétés
ou structures similaires;
•au moins une expérience précédente pertinente
(assistance technique à une structure de gestion de
centrales hydroélectriques ou une structure simi-
laire) ;
•maîtrise de la langue française ;
•travail en équipe dans un milieu multiculturel et
aptitude en communication;
•expérience en Afrique.
4.La Direction Générale de SOGEM vous invite à
fournir les CV détaillés et mis à jour des deux (2)
Experts hautement qualifiés et répondant aux exigences d'expérience et de qualifications ci- dessus.
5. La Sélection des Consultants se fera sur la base
de la Méthode «Sélection des Consultants Individuels» de la Banque Mondiale. Seules les expériences et les qualifications des consultants
individuels seront prises en compte dans la sélection. Les expériences et qualifications des bureaux
ne seront pas prises en compte dans la sélection.
Les critères de sélection, qui seront utilisés pour
chaque expert, sont: a) formation académique, b)
expérience professionnelle et expérience pertinente pour réaliser la mission, c) connaissances
des conditions locales (langue et connaissance de
l'espace OMVS). A l'issue de la procédure de sélection un contrat sera signé entre la SOGEM et le
Consultant qui servira de caution morale pour les
activités du Consultant Individuel.
Les deux (2) Experts auront l'obligation de résider
en permanence au siège de la SOGEM, c'est-àdire à Bamako/Mali. Le contrat sera d'une durée
initiale de un (01) an renouvelable.
6. Le C.V en Français, doit être communiqué à
l'adresse ci-après (seul lieu de dépôt au plus tard le
lundi 27 avril 2015 à 10 heures précises (heure de
Bamako) avec la mention «Sélection d'un expert
senior en sauvegarde environnementale et sociale». Les offres reçues seront ouvertes le même
jour à partir de 11 heures en présence des Consultants qui désirent assister à l'ouverture.
La transmission des manifestations d'intérêt par
voie électronique n'est pas admise.
Direction Générale de la Société de Gestion de
Manantali (SOGEM)
ACI 2000 Parcelle n° 2501-BP E 4015, Bamako,
République du MALI
Tél : + (223) 20 23 32 86/20 23 26 57
Fait à Bamako, le 9 avril 2015
Le Directeur Général de sOGEM
Cheikh Ould Abdellahi Ould BEDDA
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HORIZONS N° 6493 DU MERCEDI 15 AVRIL 2015
SP
RTS
Sidi - Brahim dit Dieng
CAF /Procédure contrôle antidopage
De la notification du
contrôle anti dopage
Athlétisme / Dopage
Deux agences suspendues
Comme ils peuvent consommer sous
leur propre responsabilité des boissons et des aliments amenés dans la
station des contrôles.
D. Le médecin de l'équipe doit remplir la déclaration des médicaments
pour chaque joueur à son arrivée
dans la station de contrôle.
A. A la fin du match, en sortant du
terrain, les joueurs sélectionnés seront notifiés qu'ils vont être contrôlés. Normalement le médecin de
l'équipe fait la notification, mais parfois l'ACD ou une escorte notifie les
joueurs. Ces derniers doivent signer
(le formulaire de la notification)
pour être sûr qu'ils ont été bien notifiés et savoir leurs droits et obligations pour se présenter au contrôle
antidopage.
B. Après la notification les joueurs
vont aller directement à la station de
contrôle. Ils sont seulement autorisés à donner des flashs interviews
dans le tunnel, mais ne peuvent pas
aller dans leur vestiaire. Si un joueur
a besoin de ses affaires personnelles
pour se changer, son médecin
d'équipe ou une autre personne de
son staff peut aller chercher ces affaires et les ramener à la station de
contrôle.
C. Une fois, le joueur dans la station
de contrôle, il ne peut plus la quitter
sans la permission évidente de
l'ACD. S'il a la permission de sortir,
le joueur doit être accompagné par
l'escorte ou un officiel de la CAF en
tout temps.
Dans tous les cas, le club et/ou l'association sont responsables d'ordonner aux joueurs d'aller directement
et sans délais dès la fin du match
pour le contrôle antidopage.
4. Production de l’échantillon
urinaire
A. Quand le joueur est prêt pour
donner l'échantillon urinaire, l'ACD
doit l'ordonner de se laver les mains
à l'eau avant.
B. Le joueur choisit alors un gobelet scellé et produit un échantillon
urinaire sous l'observation constante
de l'ACD ou son assistant. Tous les
ACD de la CAF sont des médecins.
C. Un volume minimum de 90 ml
est exigé. Si le joueur donne moins,
la procédure de l'échantillon partiel
est appliquée comme décrite (étape
9) qui suit.
Rosa & Associati, qui compte parmi
ses clients Rita Jeptoo, suspendue
deux ans, et Volare Sports ont été
suspendues six mois par la Fédération kenyane, dans le collimateur de
l'AMA en raisons de plusieurs affaire de dopage.La Fédération kenyane d'athlétisme a annoncé lundi
avoir suspendu deux agences étrangères qui géraient les intérêts de plusieurs athlètes Kenyans. «AK a
décidé de suspendre deux agents le
temps que les enquêtes soient menées et quand les résultats seront
connus, nous déciderons de leur réintégration», a déclaré le président,
Isaiah Kiplagat, lors d'une conférence de presse. «Nous avons désigné une équipe composée de
membres de l'AK, de l'agence kényane antidopage (ADAK) et de la
direction
des
affaires
criminelles(CID) afin d'enquêter sur
leurs rôles. S'ils sont reconnus coupables, ils seront licenciés», a ainsi
prévenu Kiplagat.L'une des deux
agences concernées est Rosa & As-
sociati, gérée par l'Italien Gabriele
Rosa, qui compte parmi ses clients
Rita Jeptoo, suspendue deux ans et
Asbel Kiprop, qui avait pris position
pour des mesures plus sévères. La
seconde est Volare Sports, dirigée
par le Néerlandais Gerard van de
Veen. Les deux entités ont été suspendues six mois.
La Fédération kenyane a fait l'objet,
ces derniers mois, de vives critiques
suite à plusieurs contrôles antidopage positifs, dont celui de Jeptoo,
triple vainqueur du marathon de
Boston. «Il y a eu beaucoup de rapports relatifs au dopage au Kenya et
beaucoup de doigts pointé sur des
personnes, agents, médecins et pharmaciens. Nous savons que c'est une
question complexe et cruciale et
nous voulons la régler», a ajouté Kiplagat. Asbel Kiprop, champion
olympique et double champion du
monde du 1500m managé par Rosa,
a regretté cette décision qui pourrait
ruiner sa saison et celle des autres
coureurs.
intégrée et participative
3. Dans la station de contrôle
A. Dans la station de contrôle,
l'ACD peut demander aux joueurs
de présenter leur passeport ou une
autre pièce d'identité avec photo.
B. L'ACD explique la procédure de
contrôle aux joueurs et si possible à
leur médecin d'équipe.
C. Les joueurs restent dans la salle
d'attente de la station jusqu'à ce
qu'ils soient prêts pour donner
l'échantillon. Eau et boisson non-alcoolisées sont à leur disposition.
5. sélection des bouteilles
A. Ayant produit un échantillon de
90 ml minimum, le joueur choisit un
kit de bouteilles scellé avec un code
individuel. L'enveloppe plastique du
kit doit être intacte, sinon il doit être
remplacé.
B. Le joueur enlève le scellage pour
sortir les 2 bouteilles "A" et "B".
C. Le joueur et l'ACD doivent les
deux vérifier que les bouteilles sont
intactes et dans de bonnes conditions
et que les nombres sur tous les éléments du kit sont identiques. ni
jusqu'à 2 ans de suspension.
Le Beach Soccer
Pour les non initiés
Africains d'Europe
Triplé pour Bolasie, trophée pour Aurier
Le Congolais Yannick Bolasie a inscrit un triplé historique avec Crystal
Palace, alors qu'en France, l'Ivoirien
Serge Aurier a remporté la Coupe de
la Ligue avec le Paris SG.
Allemagne
Muet depuis trois matches, Anthony
Ujah a retrouvé le chemin des filets
en inscrivant le 2e but de la victoire
de Cologne dimanche contre Hoffenheim (3-2). Servi à l'entrée de la
surface, l'avant-centre nigérian a fait
mouche d'une frappe tendue du droit
(53) pour sa 10e réalisation de la saison.L'Ivoirien Serey Dié a fait probablement sa passe la plus
importante depuis son arrivée à
Stuttgart après le triomphe à la
CAN. Le milieu défensif a mis sur
orbite Daniel Ginzeck pour le but de
la victoire sur le Werder Brême (3-2)
dans le temps additionnel (90+1),
permettant au club souabe d'abandonner lalanterne rouge.
Première passe décisive de la saison
également pour le Sénégalais Salif
Sané sur l'ouverture du score de Hanovre vendredi contre le Hertha Berlin (1-1). Le longiligne (1,96m)
défenseur central a marqué de la tête
sur corner.
Angleterre
Le Congolais Yannick Bolasie est
devenu à Sunderland (4-1) le premier joueur de l'histoire de Crystal
Palace à inscrire un triplé en Premier
League. Il n'a fallu pour cela que 11
minutes (51, 53, 62) et cinq tirs à
l'homme du match.
Le récupérateur de West Ham Chei-
khou Kouyate a lui aussi été nommé
homme du match contre Stoke, en
dépit du nul à domicile de son
équipe (1-1). Avec le Camerounais
Alex Song, le Sénégalais de 25 ans a
régné au milieu de terrain.
Mauvaise nouvelle en revanche pour
son compatriote Diafra Sakho qui
est sorti (59) après avoir été touché à
la cuisse. L'homme aux 12 buts
pourrait être indisponible jusqu'à la
fin de saison.
L'Ivoirien de Manchester City
Yaya Touré a excellemment commencé à Old Trafford contre United,
avant de couler (4-2), comme son
équipe.
Espagne
Manucho, attaquant angolais du
Rayo Vallecano, a inscrit de la tête
son quatrième but de la saison en
Liga, ouvrant le score sur la pelouse
du Celta Vigo. Mais les Galiciens
ont ensuite déroulé pour l'emporter
6-1 à domicile.
Le jeune milieu ghanéen Thomas
Partey (21 ans), prêté par l'Atletico
Madrid à Almeria, a marqué samedi
un doublé contre Grenade (3-0), soit
ses premiers buts en Liga.
Week-end mitigé pour Carlos Kameni: le gardien camerounais a
commis une grossière faute de main
sur une longue remise en touche de
l'Atletico samedi, permettant à Antoine Griezmann d'ouvrir le score.
Le portier de Malaga s'est néanmoins rattrapé en fin de match avec
plusieurs parades décisives, sauvegardant le point du nul (2-2).
Ikechukwu Uche a enfin marqué
après cinq matches de disette avec
Villarreal, mais le but sur penalty de
l'attaquant nigérian, son sixième en
Liga cette saison, n'a pas suffi au
"Sous-Marin jaune", freiné à Getafe
(1-1).
France
L'Ivoirien du Paris SG Serge Aurier
était titulaire lors de la finale de la
Coupe de la Ligue décrochée par le
club de la capitale face à Bastia (40). Sur son flanc droit, il a été solide
défensivement et a offert à Cavani le
but du 3-0 sur un centre parfait.
Avec Marseille, le Camerounais
Nicolas Nkoulou a fait son retour
après plus de trois mois d'absence. Il
est entré peu après la pause contre
Bordeaux, alors que le score était de
0-0. Et l'OM s'est finalement incliné
1-0.
Italie
Le président de la Sampdoria Gênes
Massimo Ferrero a qualifié Samuel
Eto'o de "martien" après le match
nul décroché sur la pelouse de l'AC
Milan (1-1). L'attaquant camerounais n'a pourtant pas marqué, mais il
a été à l'origine du but de son équipe
avec un petit pont sur Mexès avant
une passe décisive pour Soriano.
Remplaçant et entré en jeu à un
quart d'heure de la fin, l'Ivoirien de
la Roma Seydou Doumbia n'a pas pu
offrir la victoire à son équipe chez le
Torino (1-1). Mais il a tout de même
eu deux belles occasions de la tête.
Huit équipes, Sénégal, Côte d’Ivoire,
Egypte, Ghana, Madagascar, Maroc,
Nigeria et Seychelles (pays organisateur) s’apprêtent à disputer le 7e
Championnat d’Afrique de Beach
soccer. Différent du football à 11 et
du futsal, le football de plage est doté
de lois du jeu spécifiques à connaître
pour bien suivre la compétition. Cidessous quelques règles à connaître
pour mieux suivre la compétition.
Trois périodes de 12 minutes
Les matches de Beach soccer sont divisés en trois périodes de 12 minutes
de temps réel de jeu, séparées par
deux pauses de trois minutes. Le
chronomètre est arrêté quand il y a
but, faute, blessure, ou lorsque les arbitres estiment qu'une équipe tente de
gagner du temps. Si le ballon est en
jeu, la période se prolonge jusqu'à la
fin de l'action en cours.
Le match nul n'existe pas
Un match de Beach soccer ne
s'achève jamais sur un nul. En cas
d'égalité, le règlement prévoit une
prolongation de trois minutes. Si la
parité persiste, l'issue est déterminée
par une séance de tirs au but, qui présente, elle aussi, une particularité :
les gagnants empochent deux points
au lieu des trois attribués à une victoire obtenue dans le temps réglementaire. Les perdants ne marquent
rien.
Remplacements illimités
Chaque équipe entame le match avec
cinq titulaires - un gardien et quatre
joueurs de champ - et sept remplaçants. Elle dispose d'un nombre illimité de changements. Tous les
remplacements, y compris celui du
gardien, peuvent intervenir pendant
une action de jeu et s'effectuent dans
une zone délimitée. C'est un aspect
clé de la stratégie de jeu.
sanctions disciplinaires
Un joueur exclu sur double avertissement ou carton rouge n'est remplacé qu'au terme d'une période de
pénalité de deux minutes. Contrairement au futsal, le remplaçant peut entrer en jeu avant ces deux minutes si
son équipe encaisse un but en infériorité numérique. Il n'y aucune limite concernant le nombre de fautes
qu'un joueur peut faire.
spécificités du gardien
Le gardien évolue librement, ballon
en main, dans sa surface de réparation qui, à la différence des autres
disciplines du football, s'étend d'une
ligne de touche à l'autre. Comme tous
les joueurs, il dispose de cinq secondes pour remettre le ballon en jeu,
mais il ne peut le faire qu'avec les
mains. Il n'est cependant pas autorisé
à marquer un but de la main ou en
dégageant à la volée. Soulignons
qu'il lui est interdit de réceptionner
de la main une deuxième passe
consécutive d'un de ses coéquipiers
si un adversaire n'a pas touché le cuir
entre-temps. En cas d'infraction à
cette règle, un coup franc est accordé
à l'équipe adverse.
Coup franc - très - direct
Toutes les infractions sont sanctionnées par un coup franc direct sans
mur adverse. On ne fait pas plus direct... Le ballon est placé à l'endroit
où la faute a été commise, sauf s'il y
a penalty, tiré du point de penalty, retard à jouer le ballon, deuxième passe
au portier ou remise en jeu du pied
par le gardien, auxquels cas le coup
franc se frappe depuis la ligne médiane.

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