Mai 2012 - Ministère de l`Intérieur
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No 2012-05 10 octobre 2012 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR BULLETIN OFFICIEL Sommaire thématique Sommaire chronologique Direction de l’information légale et administrative 26, rue Desaix 75727 Paris Cedex 15 ISSN : 1282-7924 Edité par : La délégation à l’information et à la communication du ministère de l’intérieur Directeur de la publication : Monsieur Michel MOSIMANN, délégué à l’information et à la communication Application du titre Ier de la loi no 78-753 du 17 juillet 1978 relatif à la liberté d’accès aux documents administratifs NOTA Les annexes citées et non incluses dans le présent document peuvent être obtenues, sur simple demande, auprès des directions dont elles émanent. Il est important de donner les références précises (date et numéro de code). BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Sommaire thématique Pages Délégations de gestion Convention de délégation de gestion du 14 juin 2012 du directeur général de la sécurité civile et de la gestion des crises au directeur des systèmes d’information et de communication relative aux crédits, biens, achats et procédures de gestion dans le domaine informatique...13 Finances locales Concours financiers de l’État Circulaire du 2 mai 2012 relative au recensement des contraventions dressées en 2011 par les services de police en vue de la répartition du produit des amendes relatives à la circulation routière (exercice 2012)........................................................................................................ 17 Circulaire du 4 mai 2012 relative à la répartition de la dotation nationale de péréquation (DNP) pour l’année 2012.................................................................................................... 22 Circulaire du 4 mai 2012 relative au Fonds de solidarité des communes de la région d’Île-deFrance (FSRIF) au titre de 2012......................................................................................... 34 Financements des transferts de compétences Circulaire du 27 juin 2012 relative au concours particulier de la dotation générale de décentralisation (DGD) relatif à la compensation des accroissements de charges résultant de la souscription de contrats destinés à garantir les communes et leurs groupements contre les risques contentieux liés à la délivrance des autorisations d’utilisation du sol (ASPC). Exercice 2012......................................................................................................... 53 Fonction publique territoriale Circulaire du 25 mai 2012 relative aux participations des collectivités territoriales et de leurs établissements publics à la protection sociale complémentaire de leurs agents.................... 57 Immigration Décision no 2012-65 du 3 mai 2012 portant délégation de signature pour l’Office français de l’immigration et de l’intégration.......................................................................................... 78 Décision du 3 mai 2012 portant nomination à l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA)............................................................................................................. 79 Décision du 3 mai 2012 portant nomination à l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA)............................................................................................................. 80 Décision du 12 juin 2012 portant délégation de signature pour l’Office français de l’immigration et de l’intégration................................................................................................................. 81 Décision du 26 juin 2012 portant délégation de signature pour l’Office français de l’immigration et de l’intégration................................................................................................................. 82 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – THE – Page 3 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Pages Personnels d’État Arrêté du 30 décembre 2011 relatif au tableau d’avancement au grade de brigadier de police pour l’année 2012................................................................................................................ 84 Arrêté du 3 mai 2012 conférant un grade et un emploi d’officier commissionné servant au titre de l’article L. 4132-10 du code de la défense............................................................... 121 Arrêté du 14 mai 2012 portant dissolution de la brigade motorisée de Toul (Meurthe-etMoselle)............................................................................................................................... 122 Arrêté du 14 mai 2012 portant dissolution de la brigade motorisée de Louviers (Eure)......... 123 Arrêté du 15 mai 2012 portant dissolution de la brigade territoriale d’Évisa (Corse du Sud).124 Arrêté du 15 mai 2012 portant dissolution des détachements de gendarmerie des centres de rétention administrative du Mesnil-Amelot, de Saint-Jacques-de-la-Lande, de Metz, de Rivesaltes et de Geispolsheim.............................................................................................. 126 Arrêté du 15 mai 2012 portant modification des circonscriptions des brigades territoriales de Carcès et du Luc (Var)........................................................................................................ 127 Arrêté du 15 mai 2012 portant modification de la circonscription de la brigade territoriale de Colombey-les-Deux-Églises (Haute-Marne)................................................................... 129 Arrêté du 15 mai 2012 portant changement d’appellation et modification de la circonscription de la brigade territoriale de Terre-Natale (Haute-Marne)................................................... 131 Arrêté du 22 mai 2012 conférant un grade et un emploi d’officier commissionné servant au titre de l’article L. 4132-10 du code de la défense............................................................... 133 Arrêté du 25 mai 2012 portant modification de la circonscription de la brigade territoriale de Montier-en-Der (Haute-Marne)..................................................................................... 134 Arrêté du 29 mai 2012 portant modification des brigades territoriales de Laplume (Lot-etGaronne) et de Port-Sainte-Marie (Lot-et-Garonne)........................................................... 136 Arrêté du 30 mai 2012 conférant un grade et un emploi d'officier commissionné servant au titre de l'article L. 4132-10 du code de la défense................................................................ 138 Décision no 10752 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Franche-Comté............................................ 139 Décision no 24178 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est........................ 141 Décision no 31745 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Bretagne....................................................... 142 Décision no 36624 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur....................... 144 Décision no 36625 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud....................... 146 Décision no 37890 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des organismes centraux – branche « secrétariat »........................................ 147 Décision no 37898 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des organismes centraux – branche « formations extérieures »..................... 148 Décision no 37923 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général du commandement des forces aériennes de la gendarmerie nationale........... 149 Décision no 37933 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des organismes centraux – branche « technique »......................................... 150 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – THE – Page 4 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Pages Décision no 2009 du 3 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie maritime.................................................................................... 151 Décision no 3770 du 3 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général du commandement de la gendarmerie outre-mer – branche « personnel servant en ambassade »........................................................................................................................ 152 Décision no 3771 du 3 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général du commandement de la gendarmerie outre-mer – branche « personnel servant outre-mer, en assistance militaire technique et en prévôté »................................................ 153 Décision no 12851 du 3 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Basse-Normandie........................................ 155 Décision no 27591 du 3 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Midi-Pyrénées.............................................. 157 Décision no 15793 du 4 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Poitou-Charentes......................................... 159 Décision no 24809 du 4 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Lorraine....................................................... 161 Décision no 38143 du 4 mai 2012 portant attribution de l’échelon exceptionnel aux majors du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale............................ 163 Décision no 11263 du 7 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Haute-Normandie....................................... 164 Décision no 20604 du 7 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie du Centre.......................................................... 166 Décision no 22052 du 7 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon................................. 168 Décision no 43693 du 7 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Rhône-Alpes................................................ 170 Décision no 4563 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie de l’air........................................................................................ 173 Décision no 7040 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie des transports aériens................................................................ 174 Décision no 13528 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la garde républicaine – branche « infanterie ».......................................... 175 Décision no 13529 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la garde républicaine – branche « cavalerie »............................................ 176 Décision no 13530 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la garde républicaine – branche « orchestre-chœur de l’armée française »......... 177 Décision no 33474 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Ouest.................... 178 Décision no 39708 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général du commandement des écoles de la gendarmerie nationale.......................... 179 Décision no 44056 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest............ 180 Décision no 44092 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est................ 181 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – THE – Page 5 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Pages Décision no 7600 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Corse........................................................... 182 Décision no 11777 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie du Limousin..................................................... 183 Décision no 15576 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Picardie........................................................ 184 Décision no 22846 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie des Pays de la Loire.......................................... 186 Décision no 42386 du 10 mai 2012 portant attribution, en 2012, de la prime de résultats exceptionnels à titre exceptionnel........................................................................................ 188 Décision no 50302 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie d’Île-de-France................................................. 213 Décision no 50386 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris................ 215 Décision no 13041 du 11 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie d’Auvergne....................................................... 216 Décision no 9855 du 14 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie d’Alsace............................................................ 218 Décision no 23411 du 14 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Nord - Pas-de-Calais................................... 220 Décision no 23413 du 14 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord.................... 222 Décision no 45903 du 14 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie d’Aquitaine....................................................... 223 Décision no 16780 du 15 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Bourgogne................................................... 225 Décision no 16785 du 15 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Bourgogne................................................... 227 Décision no 45343 du 17 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « montagne »....................................................................................................... 229 Décision no 45427 du 17 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « systèmes d’information et de communication »................................................ 230 Décision no 46690 du 17 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « aéronautique – mécaniciens cellules et moteurs »............................................. 231 Décision no 46695 du 17 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « aéronautique – mécaniciens avionique »........................................................... 232 Décision no 46697 du 17 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « aéronautique – pilotes ».................................................................................... 233 Décision no 50270 du 30 mai 2012 portant nomination au grade d’aspirant........................... 234 Circulaire du 9 mai 2012 relative à la sécurisation du cycle de vie de la carte agent ministérielle......................................................................................................................... 235 Circulaire no 27798 du 21 mai 2012 relative à la préparation des tableaux d’avancement pour 2013 des sous-officiers de gendarmerie....................................................................... 261 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – THE – Page 6 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Pages Circulaire no 48000 du 24 mai 2012 relative à l’hébergement des volontaires dans les armées servant au sein de la gendarmerie nationale........................................................................ 268 Circulaire no 57974 du 19 juin 2012 relative à l’avancement des sous-officiers et militaires du rang de la réserve opérationnelle pour l’année 2012............................................................ 279 Instruction no 55000 du 8 juin 2012 relative à la formation des sous-officiers de gendarmerie servant au titre de la spécialité « systèmes d’information et de communication »............... 282 Polices administratives Arrêté du 6 juin 2012 portant agrément d’un organisme de formation au titre de l’article L. 3332‑1‑1 du code de la santé publique............................................................... 306 Arrêté du 7 juin 2012 portant agrément d’un organisme de formation au titre de l’article L. 3332‑1‑1 du code de la santé publique............................................................... 307 Arrêté du 7 juin 2012 portant agrément d’un organisme de formation au titre de l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique............................................................... 308 Arrêté du 22 juin 2012 portant agrément d’un organisme de formation au titre de l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique............................................................... 309 Arrêté du 22 juin 2012 portant agrément d’un organisme de formation au titre de l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique............................................................... 310 Arrêté du 26 juin 2012 portant agrément d’un type de véhicule blindé de transport de fonds prévu à l’article 4 du décret no 2000‑376 du 28 avril 2000 modifié relatif à la protection des transports de fonds.............................................................................................................. 311 Réglementation Arrêté du 30 mai 2012 portant indemnisation des rapporteurs à la commission consultative des jeux de cercles et de casinos.......................................................................................... 312 Circulaire du 3 mai 2012 relative au Fonds d’Aide pour le Relogement d’Urgence (FARU)....313 Circulaire du 4 mai 2012 relative aux statistiques de recherches dans l’intérêt des familles des personnes majeures. Résultats définitifs 2010 – Premiers résultats 2011.............................. 337 Circulaire du 11 mai 2012 relative à la transition administrative et comptable en cas de fusion d’EPCI ou de syndicats mixtes............................................................................................ 341 Circulaire du 22 mai 2012 relative à la mise en œuvre de l’attestation de dépôt sécurisée prévue à l’article 7 de l’arrêté ministériel du 12 janvier 2012 fixant les conditions de reconnaissance et d’échange des permis de conduire délivrés par les États n’appartenant ni à l’Union européenne ni à l’Espace économique européen............................................. 344 Sécurité civile Circulaire du 4 mai 2012 relative aux contributions des services départementaux d’incendie et de secours aux opérations de recherche et de sauvetage en mer...................................... 347 Sécurité et circulation routières Arrêté du 29 juin 2012 portant nomination au Conseil supérieur de l’éducation routière...... 373 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – THE – Page 7 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Sommaire chronologique Pages Arrêté du 30 décembre 2011 relatif au tableau d’avancement au grade de brigadier de police pour l’année 2012................................................................................................................ 84 Décision no 10752 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Franche-Comté............................................ 139 Décision no 24178 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est........................ 141 Décision no 31745 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Bretagne....................................................... 142 Décision no 36624 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur....................... 144 Décision no 36625 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud....................... 146 Décision no 37890 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des organismes centraux – branche « secrétariat »........................................ 147 Décision no 37898 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des organismes centraux – branche « formations extérieures »..................... 148 Décision no 37923 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général du commandement des forces aériennes de la gendarmerie nationale........... 149 Décision no 37933 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des organismes centraux – branche « technique »......................................... 150 Circulaire du 2 mai 2012 relative au recensement des contraventions dressées en 2011 par les services de police en vue de la répartition du produit des amendes relatives à la circulation routière (exercice 2012)........................................................................................................ 17 Arrêté du 3 mai 2012 conférant un grade et un emploi d’officier commissionné servant au titre de l’article L. 4132-10 du code de la défense............................................................... 121 Décision no 2012-65 du 3 mai 2012 portant délégation de signature pour l’Office français de l’immigration et de l’intégration.......................................................................................... 78 Décision no 2009 du 3 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie maritime.................................................................................... 151 Décision no 3770 du 3 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général du commandement de la gendarmerie outre-mer – branche « personnel servant en ambassade »........................................................................................................................ 152 Décision no 3771 du 3 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général du commandement de la gendarmerie outre-mer – branche « personnel servant outre-mer, en assistance militaire technique et en prévôté »................................................ 153 Décision no 12851 du 3 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Basse-Normandie........................................ 155 Décision no 27591 du 3 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Midi-Pyrénées.............................................. 157 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – CHR – Page 8 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Pages Décision du 3 mai 2012 portant nomination à l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA)............................................................................................................. 79 Décision du 3 mai 2012 portant nomination à l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA)............................................................................................................. 80 Circulaire du 3 mai 2012 relative au Fonds d’Aide pour le Relogement d’Urgence (FARU)....313 Décision no 15793 du 4 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Poitou-Charentes......................................... 159 Décision no 24809 du 4 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Lorraine....................................................... 161 Décision no 38143 du 4 mai 2012 portant attribution de l’échelon exceptionnel aux majors du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale............................ 163 Circulaire du 4 mai 2012 relative à la répartition de la dotation nationale de péréquation (DNP) pour l’année 2012.................................................................................................... 22 Circulaire du 4 mai 2012 relative au Fonds de solidarité des communes de la région d’Île-deFrance (FSRIF) au titre de 2012......................................................................................... 34 Circulaire du 4 mai 2012 relative aux statistiques de recherches dans l’intérêt des familles des personnes majeures. Résultats définitifs 2010 – Premiers résultats 2011.............................. 337 Circulaire du 4 mai 2012 relative aux contributions des services départementaux d’incendie et de secours aux opérations de recherche et de sauvetage en mer...................................... 347 Décision no 11263 du 7 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Haute-Normandie....................................... 164 Décision no 20604 du 7 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie du Centre.......................................................... 166 Décision no 22052 du 7 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon................................. 168 Décision no 43693 du 7 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Rhône-Alpes................................................ 170 Décision no 4563 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie de l’air........................................................................................ 173 Décision no 7040 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie des transports aériens................................................................ 174 Décision no 13528 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la garde républicaine – branche « infanterie ».......................................... 175 Décision no 13529 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la garde républicaine – branche « cavalerie »............................................ 176 Décision no 13530 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la garde républicaine – branche « orchestre-chœur de l’armée française »......... 177 Décision no 33474 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Ouest.................... 178 Décision no 39708 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général du commandement des écoles de la gendarmerie nationale.......................... 179 Décision no 44056 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest............ 180 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – CHR – Page 9 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Pages Décision no 44092 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est................ 181 Circulaire du 9 mai 2012 relative à la sécurisation du cycle de vie de la carte agent ministérielle......................................................................................................................... 235 Décision no 7600 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Corse........................................................... 182 Décision no 11777 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie du Limousin..................................................... 183 Décision no 15576 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Picardie........................................................ 184 Décision no 22846 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie des Pays de la Loire.......................................... 186 Décision no 42386 du 10 mai 2012 portant attribution, en 2012, de la prime de résultats exceptionnels à titre exceptionnel........................................................................................ 188 Décision no 50302 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie d’Île-de-France................................................. 213 Décision no 50386 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris................ 215 Décision no 13041 du 11 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie d’Auvergne....................................................... 216 Circulaire du 11 mai 2012 relative à la transition administrative et comptable en cas de fusion d’EPCI ou de syndicats mixtes............................................................................................ 341 Arrêté du 14 mai 2012 portant dissolution de la brigade motorisée de Toul (Meurthe-etMoselle)............................................................................................................................... 122 Arrêté du 14 mai 2012 portant dissolution de la brigade motorisée de Louviers (Eure)......... 123 Décision no 9855 du 14 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie d’Alsace............................................................ 218 Décision no 23411 du 14 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Nord - Pas-de-Calais................................... 220 Décision no 23413 du 14 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord.................... 222 Décision no 45903 du 14 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie d’Aquitaine....................................................... 223 Arrêté du 15 mai 2012 portant dissolution de la brigade territoriale d’Évisa (Corse du Sud).124 Arrêté du 15 mai 2012 portant dissolution des détachements de gendarmerie des centres de rétention administrative du Mesnil-Amelot, de Saint-Jacques-de-la-Lande, de Metz, de Rivesaltes et de Geispolsheim.............................................................................................. 126 Arrêté du 15 mai 2012 portant modification des circonscriptions des brigades territoriales de Carcès et du Luc (Var)........................................................................................................ 127 Arrêté du 15 mai 2012 portant modification de la circonscription de la brigade territoriale de Colombey-les-Deux-Églises (Haute-Marne)................................................................... 129 Arrêté du 15 mai 2012 portant changement d’appellation et modification de la circonscription de la brigade territoriale de Terre-Natale (Haute-Marne)................................................... 131 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – CHR – Page 10 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Pages Décision no 16780 du 15 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Bourgogne................................................... 225 Décision no 16785 du 15 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Bourgogne................................................... 227 Décision no 45343 du 17 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « montagne »....................................................................................................... 229 Décision no 45427 du 17 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « systèmes d’information et de communication »................................................ 230 Décision no 46690 du 17 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « aéronautique – mécaniciens cellules et moteurs »............................................. 231 Décision no 46695 du 17 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « aéronautique – mécaniciens avionique »........................................................... 232 Décision no 46697 du 17 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « aéronautique – pilotes ».................................................................................... 233 Circulaire no 27798 du 21 mai 2012 relative à la préparation des tableaux d’avancement pour 2013 des sous-officiers de gendarmerie....................................................................... 261 Arrêté du 22 mai 2012 conférant un grade et un emploi d’officier commissionné servant au titre de l’article L. 4132-10 du code de la défense............................................................... 133 Circulaire du 22 mai 2012 relative à la mise en œuvre de l’attestation de dépôt sécurisée prévue à l’article 7 de l’arrêté ministériel du 12 janvier 2012 fixant les conditions de reconnaissance et d’échange des permis de conduire délivrés par les États n’appartenant ni à l’Union européenne ni à l’Espace économique européen............................................. 344 Circulaire no 48000 du 24 mai 2012 relative à l’hébergement des volontaires dans les armées servant au sein de la gendarmerie nationale........................................................................ 268 Arrêté du 25 mai 2012 portant modification de la circonscription de la brigade territoriale de Montier-en-Der (Haute-Marne)..................................................................................... 134 Circulaire du 25 mai 2012 relative aux participations des collectivités territoriales et de leurs établissements publics à la protection sociale complémentaire de leurs agents.................... 57 Arrêté du 29 mai 2012 portant modification des brigades territoriales de Laplume (Lot-etGaronne) et de Port-Sainte-Marie (Lot-et-Garonne)........................................................... 136 Arrêté du 30 mai 2012 conférant un grade et un emploi d’officier commissionné servant au titre de l’article L. 4132-10 du code de la défense............................................................... 138 Arrêté du 30 mai 2012 portant indemnisation des rapporteurs à la commission consultative des jeux de cercles et de casinos.......................................................................................... 312 Décision no 50270 du 30 mai 2012 portant nomination au grade d’aspirant........................... 234 Arrêté du 6 juin 2012 portant agrément d’un organisme de formation au titre de l’article L. 3332‑1‑1 du code de la santé publique............................................................... 306 Arrêté du 7 juin 2012 portant agrément d’un organisme de formation au titre de l’article L. 3332‑1‑1 du code de la santé publique............................................................... 307 Arrêté du 7 juin 2012 portant agrément d’un organisme de formation au titre de l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique............................................................... 308 Instruction no 55000 du 8 juin 2012 relative à la formation des sous-officiers de gendarmerie servant au titre de la spécialité « systèmes d’information et de communication »............... 282 Décision du 12 juin 2012 portant délégation de signature pour l’Office français de l’immigration et de l’intégration................................................................................................................. 81 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – CHR – Page 11 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Pages Convention de délégation de gestion du 14 juin 2012 du directeur général de la sécurité civile et de la gestion des crises au directeur des systèmes d’information et de communication relative aux crédits, biens, achats et procédures de gestion dans le domaine informatique...13 Circulaire no 57974 du 19 juin 2012 relative à l’avancement des sous-officiers et militaires du rang de la réserve opérationnelle pour l’année 2012............................................................ 279 Arrêté du 22 juin 2012 portant agrément d’un organisme de formation au titre de l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique............................................................... 309 Arrêté du 22 juin 2012 portant agrément d’un organisme de formation au titre de l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique............................................................... 310 Arrêté du 26 juin 2012 portant agrément d’un type de véhicule blindé de transport de fonds prévu à l’article 4 du décret no 2000‑376 du 28 avril 2000 modifié relatif à la protection des transports de fonds.............................................................................................................. 311 Décision du 26 juin 2012 portant délégation de signature pour l’Office français de l’immigration et de l’intégration................................................................................................................. 82 Circulaire du 27 juin 2012 relative au concours particulier de la dotation générale de décentralisation (DGD) relatif à la compensation des accroissements de charges résultant de la souscription de contrats destinés à garantir les communes et leurs groupements contre les risques contentieux liés à la délivrance des autorisations d’utilisation du sol (ASPC). Exercice 2012......................................................................................................... 53 Arrêté du 29 juin 2012 portant nomination au Conseil supérieur de l’éducation routière...... 373 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – CHR – Page 12 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR _____ Convention de délégation de gestion du 14 juin 2012 du directeur général de la sécurité civile et de la gestion des crises au directeur des systèmes d’information et de communication relative aux crédits, biens, achats et procédures de gestion dans le domaine informatique NOR : INTE1227600X Vu la loi organique no 2001‑692 relative aux lois de finances (LOLF) du 1er août 2001, le décret no 2004‑1085 du 14 octobre 2004 relatif à la délégation de gestion dans les services de l’État et la circulaire du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie no CD-1166 relative à la mise en œuvre de la délégation de gestion du 27 mai 2005, Vu l’arrêté du 26 janvier 2004 fixant les attributions et portant organisation du secrétariat général et de la délégation aux affaires internationales et européennes, notamment l’article 4 ; Vu l’arrêté du 23 août 2011 portant organisation et attributions de la direction générale de la sécurité civile et de la gestion des crises ; Afin d’atteindre les objectifs fixés par le Parlement au programme 128 « coordination des moyens de secours » ; Afin de faciliter la gestion des crédits afférents aux dépenses informatiques de ce même programme ; Le directeur général de la sécurité civile et de la gestion de crises (DGSCGC) au ministère de l’intérieur, responsable du programme « coordination des moyens de secours », désigné sous le terme de « délégant », d’une part ; Et le directeur des systèmes d’information et de communication (DSIC) de ce même ministère désigné sous le terme de « délégataire », d’autre part, Conviennent : Article 1er Objet de la délégation et rôles des parties Conformément à l’article 4 du décret susvisé, le délégant confie au délégataire, en son nom et pour son compte, dans les conditions ci-après précisées et sous réserve des délégations de signature des agents concernés du service délégataire, la gestion des crédits – titres 3 et 5 –, des biens, des achats et des procédures des dépenses en matière de systèmes d’information et de communication (SIC) relevant de l’unité opérationnelle Chorus, UO 128 – COMS – CSIC. Le délégant fixe les orientations stratégiques et exprime les besoins opérationnels et les objectifs associés. Il confie la maîtrise d’œuvre des marchés SIC dont il est pouvoir adjudicateur au délégataire. Il décide des priorités et arbitrages de programmation en termes de gestion budgétaire et de calendrier. L’UO considérée comprend, conformément au tableau joint en annexe, les systèmes suivants : – le projet SAIP : conception, déploiement, maintenance et accessoires ; – la finalisation du programme ANTARES ; – la quote-part aux coûts de fonctionnement de l’INPT ; –le projet PORTAIL Synergie – ORSEC : maintenance évolutive, conception et développement sur demande particulière ; – le maintien en condition opérationnelle des réseaux locaux et des réseaux radio des services de la sécurité civile, – le suivi des équipements de câblages et radio. Le délégataire traduit, à l’issue d’un dialogue de gestion avec le délégant : les besoins opérationnels en termes techniques et financiers, réalise les opérations qui lui sont confiées, propose, si besoin est, des modifications, et rend compte au délégant de l’action menée. Article 2 Prestations confiées au délégataire S’agissant des projets SIC de la direction générale de la sécurité civile et de la gestion de crises, le délégataire est chargé : –de fournir les éléments financiers nécessaires à la DGSCGC, sur la base des besoins opérationnels exprimés par celle-ci, en vue de la préparation de la programmation des crédits d’investissement, d’équipement et de fonctionnement ; – de la gestion des crédits de l’unité opérationnelle concernée, c’est-à-dire de l’engagement comptable et juridique des crédits, de leur ordonnancement et liquidation, à l’exception des crédits mis à disposition des services déconcentrés qui continuent d’être délégués par la DGSCGC ; 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 13 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR – le délégataire assure via la plate-forme CHORUS AG et pour le compte du délégant les actes suivants : – le traitement de l’engagement juridique qui comporte sa saisie complète et sa validation dans l’outil CHORUS ; – l’envoi, sans délai, du bon de commande correspondant au fournisseur ; – la saisine lorsqu’il y a lieu, du contrôleur financier ; – la saisine et la validation des engagements de tiers ; – la certification du service fait dans CHORUS sur la base de la constatation du service fait transmise par le délégataire ; – le traitement des factures comprenant la saisie dans CHORUS de la demande de paiement et sa validation valant ordre à payer au comptable ; à ce titre, d’une part, il veille au strict respect des délais prévus par le décret 2008‑407 du 28 avril 2008, hors cas d’urgence ; d’autre part, il est chargé des relations avec le comptable ; – la réalisation en liaison avec les services du délégant, des travaux de fin de gestion ; – la mise en œuvre du contrôle interne comptable au niveau de sa structure ; – l’archivage des pièces qui lui incombe ; – de la maintenance et du développement des réseaux, des infrastructures et des applications ; – des achats et des acceptations des matériels dans le cadre des marchés conclus par le délégataire ; – de l’exécution des prestations afférentes aux marchés confiés par le délégant ; –et, sans préjudice des compétences des autres directions du ministère, de toutes les procédures légales, administratives et financières nécessaires à la mise en œuvre et au développement des programmes précités. Article 3 Obligations du délégataire Le délégataire réalise la délégation dans les conditions et les limites fixées par le présent document. Le délégataire rend compte des prestations confiées à l’article 2 de la présente convention : – par la communication, après le vote de la loi de finances initiale, dans le cadre de l’élaboration des documents prévisionnels de gestion (DPG), des éléments nécessaires à la ventilation des crédits ouverts en AE et en CP au sein du tableau de suivi des opérations des systèmes d’information et de communication ; – dans un état de la consommation des crédits (PEC de gestion assorti d’une liste récapitulative, par opération, des bons de commande et des marchés notifiés) ; – par la fourniture de tous les éléments techniques et financiers nécessaires à l’élaboration du PLF ; – le délégataire fournira des prévisions de consommation des crédits avec le meilleur degré de fiabilité possible ; – dans un rapport budgétaire annuel circonstancié remis au délégant le 31 janvier de l’année suivante (constitution du RAP) ; – ces différents documents seront fournis lors des réunions tenues : – en janvier lors de la programmation budgétaire initiale (PBI) ; – en juin lors du point de situation budgétaire (PSB) ; – en septembre lors de la programmation budgétaire rectifiée (PBR) ; – et à chaque fois que le délégant et ou le délégataire le demande ; – lors des revues clients ; –de l’établissement des données comptables nécessaires au délégant pour satisfaire aux obligations de la comptabilité générale de l’État, notamment pour ce qui concerne le rattachement des charges à l’exercice et la gestion des autres immobilisations corporelles et des stocks. Suite aux questions parlementaires transmises par le délégant au délégataire, ce dernier prépare les éléments de réponse qu’il envoie ensuite au délégant, dans les délais impartis ; à charge pour le délégant de les compléter par les éléments fonctionnels et de les transmettre. Article 4 Obligations du délégant Le délégant s’engage : – à fournir en temps utile tous les éléments d’information dont le délégataire a besoin pour l’exercice de sa mission (projet de PAP et expression des besoins, notamment) ; – à procéder aux dotations en AE et CP de l’UO dédiée au délégataire. Après signature du présent document, le délégant confirme à la direction de l’évaluation de la performance, et des affaires financières et immobilières (DEPAFI) du ministère de l’intérieur l’habilitation donnée pour intervenir sur les crédits de l’unité opérationnelle et en adresse en parallèle une copie au contrôleur budgétaire et comptable ministériel. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 14 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Article 5 Exécution financière de la délégation Pour 2012, conformément au descriptif de l’annexe jointe à la présente convention, l’UO 128- COMS – CSIC est dotée, après application de la réserve de précaution de 6 % : – de 23 554 447 € en AE ; – de 32 835 477 € en CP. Le tableau joint en annexe à la présente convention détaille l’emploi de ces crédits. Il convient de préciser que la répartition par titre est prévisionnelle et susceptible d’évoluer en cours d’exercice, en fonction de l’évolution des différents projets et des ressources effectivement mises à disposition du délégataire L’affectation de ces dotations devra être consacrée principalement à la réalisation des opérations prévues dans le PAP. Sur demande expresse du délégant, l’affectation peut être modifiée, notamment en cas de modification du calendrier prévisionnel d’exécution des projets. Ces crédits sont mis en place conformément aux prescriptions de la LOLF et aux impératifs de gestion de l’exercice en cause. Le délégataire exerce, dans cette limite et pour les seules lignes budgétaires ci-dessus précisées, la fonction d’ordonnateur des crédits. Il informe par écrit le délégant préalablement de tout mouvement de gestion de nature à remettre en cause la réalisation des objectifs impartis. Dans les autres cas, le délégataire est responsable de la gestion de ces crédits et informe le délégant de ces mouvements lors de nos rencontres programmées Les crédits (AE/CP) sont mis en place par le délégant auprès du délégataire, dans le respect des règles de la comptabilité publique, en fonction des besoins exprimés par le délégataire et des disponibilités budgétaires. Il convient de préciser que les mises à dispositions de crédits (AE/CP) sont opérées à titre régulier lors des 3 points budgétaires (PBI, PSB et PBR) et à titre ponctuel à la demande du délégataire, en cas de besoins. Dans ce dernier cas, en cas d’insuffisance des crédits, le délégataire informe le délégant sans délai. À défaut d’ajustement de la dotation, le délégataire suspend l’exécution de la délégation. Article 6 Modification du document Toute modification des conditions ou des modalités d’exécution du présent document, définie d’un commun accord entre les parties, fait l’objet d’un avenant, dont un exemplaire est transmis aux destinataires du présent document mentionnés à l’article 4 ainsi qu’au contrôleur budgétaire et comptable ministériel. Article 7 Durée, reconduction et résiliation du document Le présent document prend effet à la date du 1er janvier 2012. La durée est de un an. Le document peut prendre fin de manière anticipée sur l’initiative d’une des parties sous réserve d’une notification écrite de la décision de résiliation, de l’information du contrôleur budgétaire et comptable ministériel et de l’observation d’un préavis de trois mois. Le délégataire fournira en temps utile au délégant l’ensemble des documents contractuels, administratifs et comptables nécessaires à la reprise de la gestion par le délégant. Le délégant informe sans délai la DEPAFI, le contrôleur budgétaire et comptable ministériel des décisions de reconduction du présent document ainsi que de la date à laquelle celui-ci cesse de produire ses effets. La délégation, dont un exemplaire sera communiqué au comptable assignataire compétent, fera l’objet d’une publication au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Fait à Paris, le 14 juin 2012. Le délégant, Le directeur général de la sécurité civile et de la gestion des crises, Jean-Paul Kihl Le délégataire, Le directeur des systèmes d’information et de communication, Raymond Le Deun Copies (hors annexe) : – Contrôleur budgétaire ; – Comptable ministériel ; – Plate-forme AG. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 15 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE Plan d’emploi des crédits en AE et CP 2012 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 16 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ MINISTÈRE CHARGÉ DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES _____ Direction générale des collectivites locales _____ Sous-direction des finances locales et de l’action économique _____ Bureau des concours financiers de l’État _____ Circulaire du 2 mai 2012 relative au recensement des contraventions dressées en 2011 par les services de police en vue de la répartition du produit des amendes relatives à la circulation routière (exercice 2012) NOR : COTB1220957C Pièce jointe : annexe : calendrier de recensement et de répartition des données relatives aux amendes de police. Résumé : I. –Recensement des contraventions dressées par les différents services de police en 2011. II. –Recensement de la longueur de voirie départementale au 1er janvier 2012 pour les départements, les régions d’outre-mer et la collectivité territoriale de Corse. III. –La collecte des informations s’effectuera du 1er juin 2012 au 29 juin 2012 inclus sur Colbert Départemental. Le ministre auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration chargé des collectivités territoriales à Monsieur le préfet de police ; Mesdames et Messieurs les préfets de département (métropole et outre-mer) et Monsieur le préfet de la collectivité territoriale de Saint-Pierreet-Miquelon. En vertu des articles L. 2334‑24, L. 2334‑25, et R. 2334‑10 à R. 2334‑12 du code général des collectivités territoriales (CGCT), l’État rétrocède aux communes et aux groupements compétents le produit effectivement recouvré des amendes de police relatives à la circulation routière dressées sur leur territoire. La répartition est proportionnelle au nombre de contraventions dressées l’année précédente sur le territoire de chaque commune ou groupement. La présente circulaire a pour objet de préparer la répartition du produit des amendes de la circulation routière au titre de 2012. Il convient par conséquent de recenser le nombre de contraventions à la police de la circulation routière dressées par les différents services de police durant l’année 2011 pour la répartition du produit des amendes relatives à la circulation routière ainsi que la longueur de voirie départementale pour la répartition du produit des amendes de police relevées par les radars automatiques revenant aux départements. I. – MODALITÉS DE RÉPARTITION DU PRODUIT DES AMENDES DE POLICE 1. Les collectivités bénéficiaires du produit des amendes de police de la circulation routière Conformément aux dispositions de l’article R. 2334‑10 du CGCT, le produit des amendes de police de la circulation routière est partagé, en 2012, proportionnellement au nombre de contraventions dressées en 2011 sur le territoire des communes bénéficiaires suivantes : – les communes, les communautés urbaines et autres groupements comptant 10 000 habitants et plus auxquels les communes ont transféré la totalité de leurs compétences en matière de voies communales, de transports en commun et de parcs de stationnement ; – les communes et les groupements de communes de moins de 10 000 habitants exerçant la totalité des compétences précitées. La compétence en matière de voies communales est considérée comme étant totalement transférée au groupement lorsque celui-ci assure la compétence pour toute la voirie anciennement communale. La population prise en compte pour déterminer le seuil mentionné ci-dessus est celle définie à l’article L. 2334‑2 du code général des collectivités territoriales, soit la population utilisée pour la répartition de la dotation globale de fonctionnement (DGF). Il s’agit de la population totale majorée d’un habitant par résidence secondaire et d’un 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 17 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR habitant par place de caravane conventionnée au titre de l’aide forfaitaire à la gestion (deux habitants pour les communes éligibles en 2011 à la dotation de solidarité urbaine et de cohésion sociale ou à la fraction « bourg centre » de la dotation de solidarité rurale). Attention : La répartition 2012 du produit des amendes de police s’appuie donc sur la pop DGF au 1er janvier 2012 pour cibler les collectivités bénéficiaires et sur les amendes dressées en 2011 comme critère de répartition. Il convient également de noter que la répartition 2012 sera à nouveau versée en décalage d’un an, soit en 2013. 2. Versement de la dotation Les attributions revenant aux communes et groupements de communes ayant reçu la totalité des compétences précitées et comptant au moins 10 000 habitants leur sont versées directement. Les sommes correspondant aux communes et groupements de communes de moins de 10 000 habitants sont réparties par les conseils généraux. S’agissant de la région Île-de-France, les recettes sont partagées entre le syndicat des transports Île-de-France (50 %), la région d’Île-de-France (25 %) et les communes et groupements (25 %). Les dotations accordées sont obligatoirement destinées au financement des opérations d’amélioration des transports en commun et de la circulation routière énumérées à l’article R. 2334‑12 du code général des collectivités territoriales. II. – CONTENU ET DÉROULEMENT DES OPÉRATIONS DE RECENSEMENT À MENER 1. L’origine et la nature des contraventions à recenser Il vous appartient de recenser le nombre de contraventions à la police de la circulation routière dressées par les services de police municipale et nationale entre le 1er janvier et le 31 décembre 2011. Vous veillerez à ce titre à distinguer les amendes dressées par des policiers municipaux assermentés de celles établies par des agents de police nationale. Les contraventions établies par la police nationale englobent notamment celles émises par les services de la police aux frontières (PAF), des compagnies républicaines de sécurité (CRS) et de la SNCF. J’insiste sur le fait que les contraventions doivent être ventilées par commune ; elles ne doivent pas correspondre à la somme des amendes dressées par les services de police nationale au niveau des circonscriptions de police. Les amendes dressées par la gendarmerie nationale n’ont pas à être recensées par vos services. Ces données seront en effet directement communiquées aux miens par la direction générale de la gendarmerie nationale. De même, les contraventions dressées par procès-verbal électronique (PVé) ne doivent pas être intégrées au nombre d’amendes recensées. Les services de l’ANTAI (Agence nationale de traitement automatisé des infractions) en charge du déploiement du PVé dans plusieurs communes et services de police nous communiqueront directement les résultats obtenus en 2011. Par ailleurs, je vous indique que les amendes à dénombrer sont les amendes forfaitaires de catégorie 1 à 4. En revanche, les amendes relevées par les radars automatiques fixes sont exclues de cet exercice. Seules les amendes forfaitaires relevant de la circulation routière et du stationnement (stationnement gênant ou dangereux, défaut de paiement de tickets de stationnement, radars mobiles tels que jumelles ou Eurolaser...) sont à prendre en compte. 2. Longueur de voirie départementale Afin de pouvoir procéder à la répartition du produit des amendes relevées par les radars automatiques au profit des départements, il convient de recenser la longueur de voirie départementale au 1er janvier 2012 de l’ensemble des départements, des régions d’outre-mer et de la collectivité territoriale de Corse. Cette donnée fait partie des informations nécessaires à la répartition de la DGF 2013 dont le recensement fera l’objet d’une circulaire particulière en septembre prochain. Le nouveau département de Mayotte n’est pas concerné par ce recensement. En effet, les dispositions de l’article L. 2564‑61 du CGCT ne prévoient pas que les articles L. 2334‑24 et L. 2334‑25 du CGCT relatifs aux amendes de police s’appliquent aux communes de Mayotte. 3. Les modalités de remontée des informations recensées La remontée des informations à la direction générale des collectivités locales s’effectue grâce au serveur intranet Colbert Départemental, disponible à partir du 1er juin 2012. Les services chargés d’effectuer la saisie des données et ne disposant pas de cette application doivent se mettre en relation avec le ou les bureaux chargés des finances locales de la préfecture qui utilisent cet outil. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 18 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR À toutes fins utiles, je vous rappelle que le site http://doc-soutien.dsic.mi/. met à votre disposition tous les supports de formation relatifs à l’application Colbert Départemental (identifiant et mot de passe : colbert ; onglet « Application »). L’annexe jointe présente l’ensemble de la procédure à suivre. Doivent notamment être mentionnées : – le cumul des contraventions dressées dans chaque département par la police nationale d’une part, et la police municipale d’autre part, sur l’ensemble des communes et groupements de communes de moins de 10 000 habitants hors PVé ; – le nombre total de contraventions dressées par la police nationale d’une part, et la police municipale d’autre part, sur le territoire de chaque commune de plus de 10 000 habitants hors PVé ; – le nombre total de contraventions dressées par les services de police nationale d’une part et de police municipale d’autre part constatées sur le territoire des communautés urbaines et des groupements de plus de 10 000 habitants exerçant les compétences voies communales, transport en commun et parcs de stationnement, hors PVé. Vous veillerez à ne transmettre à mes services que les données relatives aux groupements exerçant effectivement ces trois compétences cumulées. Une copie des statuts des groupements nouvellement éligibles au bénéfice de cette dotation sera également transmise au bureau des concours financiers de l’État. Les groupements concernés sont ceux qui ont fait l’objet d’un transfert de compétences entre les deux exercices de recensement. Enfin, j’attire votre attention sur l’importance de la colonne « commentaires » qui apparaît dans les différents masques de saisie de Colbert Départemental. Cette colonne permet d’expliquer les écarts constatés entre le nombre d’amendes dressées en 2010 et en 2011. Les informations mentionnées permettront d’éclairer les contrôles de données opérés par mes services. Ils peuvent notamment porter sur les variations d’effectifs de police municipale. Attention : Pour le recensement des amendes de police municipale, je vous demande de transmettre une copie d’écran du logiciel qui gère ce type d’amendes (WINAF – LOGITUD ou tout autre document officiel) pour les écarts les plus significatifs (+/– 1 000 amendes et/ou +/– 25 % d’amendes recensées). Il vous est également possible d’envoyer à l’adresse suivante (sophie.marinne@interieur.gouv.fr) tout document explicatif sur les écarts constatés. Enfin, la validation finale de la saisie permettra à mes services de consulter les résultats obtenus et de débuter le contrôle des données dont l’attention portera particulièrement sur l’étude des écrans WINAF retraçant le nombre d’amendes PM. Pour les amendes PN, vous veillerez à ce que les variations constatées entre les deux recensements soient également justifiées. Le cas échéant, mes services contacteront la personne désignée par vos soins dès réception de la présente circulaire. Pour recenser la longueur de voirie départementale, l’écran de saisie sur Colbert Départemental comporte deux zones à remplir : la première concerne la longueur de voirie départementale située en zone de montagne et la seconde, la longueur de voirie départementale hors-montagne. Étant donné que ces données sont nécessaires à la répartition du produit des amendes de police relevées par les radars automatiques au profit des départements qui sera effectuée en octobre 2012, nous vous demandons de bien vouloir renseigner ces informations en premier lieu dès l’ouverture de la saisie des éléments nécessaires à la répartition de la DGF 2013 sur Colbert Départemental prévue en septembre 2012. En effet, mes services vous contacteront rapidement afin de vérifier les écarts constatés. Compte tenu des enjeux financiers en présence, vous voudrez bien prêter la plus grande attention à la fiabilité des données transmises ainsi qu’à la bonne coordination de nos services dans les opérations de contrôle de données. Je vous rappelle que l'ensemble des informations demandées devra être adressé directement à la direction générale des collectivités locales, sous-direction des finances locales et de l’action économique, bureau des concours financiers de l'État, 2, place des Saussaies, 75008 Paris. Je vous invite également à respecter le calendrier des opérations de recensement des données relatives aux amendes de police. Il est impératif de procéder à la saisie des informations demandées dans les délais impartis : la saisie sur Colbert Départemental débutera le 1er juin 2012 et se terminera le 29 juin 2012. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 19 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Toute difficulté dans l'application de cette circulaire devra être signalée : En ce qui concerne le recensement de la longueur de la voirie départementale : bureau des concours financiers de l'État, Alicia SAOUDI (alicia.saoudi@interieur.gouv.fr) ; tél. : 01 40 07 26 79 ; fax : 01 40 07 68 30. En ce qui concerne les aspects financiers et les modalités pratiques du recensement : bureau des concours financiers de l'État, Sophie MARINNE (sophie.marinne@interieur.gouv.fr) ; tél. : 01 49 27 35 52 ; fax : 01 40 07 68 30. Pour le ministre et par délégation : Le directeur général des collectivités locales, É. Jalon 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 20 Du 1 janvier 2011 au 31 décembre 2011 – Communes et groupements de plus de 10 000 habitants ayant les trois compétences obligatoires – Communes et groupements de moins de 10 000 habitants ayant les trois compétences obligatoires Longueur de voirie départementale Nombre d’amendes dressées par la police municipale et la police nationale hors procès-verbal électronique Radars automatiques Amendes forfaitaires er 1er janvier 2012 – Départements (sauf Mayotte) – Régions outre-mer – Collectivité territoriale de Corse DONNÉES recensées AMENDES de police DATE LIMITE de prise en charge Colbert Départemental Groupes de données : – AMDC pour les communes > 10 000 – AMDD pour les communes < 10 000 (une seule ligne à remplir : les données sont globalisées) – AMDG : pour les groupements détenant les 3 compétences obligatoires Colbert Départemental Groupe de données VOID MODALITÉS de recensement Groupe de données à renseigner relatives aux amendes de police Amendes de police municipale ou nationale : +/– 1 000 unités et/ou +/– 25 % Département : + ou – 10 % CONTRÔLE à effectuer par vos services Au fur et à mesure de la saisie Au fur et à mesure de la saisie en septembre 2012 Septembre 2012 (après ouverture de la saisie sur Colbert Départemental des données pour la DGF 2013) 29 juin 2012 CONTRÔLE effectué par la DGCL DATE LIMITE de retour des informations de recensement et de répartition des différentes données COLLECTIVITÉS concernées Calendrier ANNEXE 1 Février 2013 Octobre 2012 RÉPARTITION par le comité des finances locales BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 21 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION ––––– MINISTÈRE CHARGÉ ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ––––– Direction générale des collectivités locales ––––– Sous-direction des finances locales et de l’action économique ––––– Bureau des concours financiers de l’État ––––– Circulaire du 4 mai 2012 relative à la répartition de la dotation nationale de péréquation (DNP) pour l’année 2012 NOR : COTB1220933C Pièces jointes : 4 annexes. Le ministre auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, chargé des collectivités territoriales à Mesdames et Messieurs les préfets (métropole). La présente circulaire a pour objet de vous préciser les conditions d’éligibilité et les modalités de répartition de la dotation nationale de péréquation (DNP) pour 2012. Les fiches de notification vous sont adressées par l’intranet COLBERT-départemental. La DNP comprend deux parts : une part dite « principale », qui vise à corriger les insuffisances de potentiel financier, et une part dite « majoration », plus spécifiquement destinée à la réduction des écarts de potentiel fiscal calculé par seule référence aux nouveaux produits fiscaux se substituant à la taxe professionnelle. I. – DÉTERMINATION DE LA MASSE À RÉPARTIR Les crédits alloués à la DNP s’élèvent en 2012 à 764 059 406 € (contre 755 540 700 € en 2011). La somme effectivement mise en répartition entre les communes de métropole s’élève à 723 754 998 € (contre 715 856 193 € en 2011) après prélèvement de la quote-part réservée aux communes des départements et collectivités d’outre-mer. Cette masse à répartir en métropole se ventile de la manière suivante entre les deux parts de la DNP : – le montant de la part principale s’élève en 2012 à 562 528 881 € (contre 556 389 642 € en 2011) ; – celui de la majoration à 161 226 117 € (contre 159 466 552 € en 2011). II. – RÉPARTITION DE LA PART PRINCIPALE DE LA DNP A. – Les conditions d’éligibilité 1. Les conditions de droit commun Sont éligibles : – Les communes qui satisfont cumulativement aux deux conditions suivantes (code 1) : – avoir un potentiel financier par habitant supérieur de 5 % au plus à la moyenne du groupe démographique correspondant ; – avoir un effort fiscal supérieur à la moyenne du groupe démographique correspondant. – Les communes de plus de 10 000 habitants qui répondent également aux deux conditions suivantes (code 6) : – avoir un potentiel financier par habitant inférieur ou égal à 85 % du potentiel financier du groupe démographique correspondant ; – avoir un effort fiscal supérieur à 85 % de la moyenne du groupe démographique correspondant. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 22 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 2. Les conditions dérogatoires Sont également éligibles les communes répondant à l’une des conditions suivantes : –avoir un potentiel financier par habitant supérieur de 5 % au plus à la moyenne du groupe démographique correspondant et un taux de cotisation foncière des entreprises égal en 2011 au taux plafond à savoir 50,84 %. Ces communes bénéficient d’une attribution à taux plein (code 3) ; –avoir un potentiel financier par habitant supérieur au plus de 5 % à la moyenne du groupe démographique correspondant et un effort fiscal compris entre l’effort fiscal moyen des communes du même groupe démographique et 85 % de cet effort fiscal moyen. Ainsi, l’assouplissement des conditions de droit commun ne concerne que la condition liée à l’effort fiscal. La condition relative au potentiel financier reste impérative. Dans cette seconde hypothèse dérogatoire (code 2), les communes éligibles à titre dérogatoire perçoivent une attribution réduite de moitié. On notera au passage que, dans l’hypothèse où cet abattement induirait une diminution supérieure à 10 % du montant perçu en 2011 par les communes concernées, un total de 90 % du montant perçu en 2011 leur serait cependant garanti. B. – La répartition des ressources entre les strates Les ressources de la part principale de la DNP font l’objet d’une répartition entre, d’une part, les communes de 200 000 habitants et plus et, d’autre part, celles de moins de 200 000 habitants. C. – La répartition entre les communes 1. L’attribution d’une garantie d’inéligibilité (code 4) Elle est versée aux communes éligibles en 2011 qui ne remplissent plus les conditions d’éligibilité en 2012. Ces communes reçoivent, à titre de garantie pour 2012, une attribution égale à 90 % de leur part principale de 2011. 2. L’attribution des communes éligibles en 2012 Au regard de l’article L. 2334‑14-VII du CGCT, les communes qui ont un montant d’attribution ou de garantie inférieur ou égal à 300 €, ne perçoivent aucune attribution. • L'attribution des communes éligibles à la DNP selon les conditions de droit commun (codes 1 et 6) et la condition dérogatoire en cas de plafonnement de la CFE (code 3) : Part principale DNP = ( ) 1,05 × PFi – PFi × Pop × VP1 PFi Ou Part principale DNP = ( ) 1,05 × PFi – PFi × Pop × VP2 PFi Avec : PFi = Potentiel financier moyen par habitant du groupe démographique auquel appartient la commune ; PFi = Potentiel financier par habitant de la commune ; Pop = Population DGF 2012 de la commune ; VP1 = Valeur de point, soit 62,578115 € pour les communes de moins de 200 000 habitants ; VP2 = Valeur de point, soit 39,999147 € pour les communes de plus de 200 000 habitants. • L'attribution des communes éligibles à la DNP en 2012 en cas d’effort fiscal compris entre 85 % et 100 % de l’effort fiscal moyen des communes du même groupe démographique (code 2) Part principale DNP = ( ) 1,05 × PFi – PFi 1 × Pop × VP1 × 2 PFi 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 23 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Ou Part principale DNP = ( ) 1,05 × PFi – PFi 1 × Pop × VP2 × 2 PFi Avec : PFi = Potentiel financier moyen par habitant du groupe démographique auquel appartient la commune ; PFi = Potentiel financier par habitant de la commune ; Pop = Population DGF 2012 de la commune ; VP1 = Valeur de point, soit 62,578115 € pour les communes de moins de 200 000 habitants ; VP2 = Valeur de point, soit 39,999147 € pour les communes de plus de 200 000 habitants. À l’issue de ce calcul, les communes éligibles, dont l’attribution 2012 est inférieure de 10 % à celle de 2011, bénéficient d’une garantie égale à 90 % du montant perçu en 2011 au titre de la part principale. Cette garantie est prélevée sur la masse à répartir. De façon symétrique, les communes éligibles, dont l’attribution 2012 est supérieure de 20 % à celle de 2011, perçoivent une attribution égale à 120 % du montant perçu en 2011 au titre de la part principale. Le produit de ces écrêtements est réinjecté dans la masse à répartir 3. Aucun versement inférieur ou égal à 300 € Conformément au VII de l’article L. 2334‑14 du CGCT aucune attribution inférieure ou égale à 300 € n’est versée aux communes. III. – RÉPARTITION DE LA MAJORATION DE LA DNP À compter de 2012, le potentiel fiscal taxe professionnelle utilisé les années antérieures dans le calcul de la part majoration, du fait de la suppression de la taxe professionnelle, est remplacé par les produits post-TP qui comprennent les produits mentionnés au 2o de l’article L. 2334‑4 du CGCT, c’est-à-dire : le produit des bases de cotisation foncière des entreprises (CFE) et du taux moyen national d’imposition à cette taxe, les produits de cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE), les produits des impositions forfaitaires sur les entreprises de réseaux (IFER), les produits de la taxe sur les surfaces commerciales (TASCOM), et les produits de la taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties (TAFNB). A. – Les conditions d’éligibilité Sont éligibles à cette majoration les communes qui satisfont cumulativement aux trois conditions suivantes : – être éligibles à la part principale de la dotation nationale de péréquation (même si aucune attribution n’a été versée en raison d’un montant inférieur ou égal à 300 €) ; – compter moins de 200 000 habitants ; – avoir un potentiel fiscal relatif aux seuls produits post-TP par habitant inférieur de 15 % à la moyenne du groupe démographique auquel elles appartiennent. B. – La répartition de cette majoration entre les communes 1. L’attribution d’une garantie d’inéligibilité À compter de 2012, les mécanismes de garanties existant pour la part principale s’appliquent également à la part majoration. Ainsi, les communes éligibles en 2011 à la part majoration qui ne remplissent plus les conditions d’éligibilité en 2012, reçoivent, à titre de garantie pour 2012, une attribution égale à 90 % de leur part majoration de 2011. 2. L’attribution des communes éligibles en 2012 Le calcul de la dotation des communes éligibles s’effectue en appliquant la formule suivante : ( ) PFTP – PFTP Majoration DNP = × Pop × VP3 PFTP 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 24 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Avec : PFTP = Produits post-TP moyens par habitant du groupe démographique auquel appartient la commune ; PFTP = Produits post-TP par habitant de la commune ; Pop = Population DGF 2012 de la commune ; VP3 = Valeur de point, soit 7,777691 €. Comme pour la part principale, et ce conformément au VII de l’article L. 2334‑14 du CGCT aucune attribution de la part majoration inférieure ou égale à 300 € n’est versée. IV. – MODALITÉS DE NOTIFICATION ET DE VERSEMENT DES DOTATIONS Les montants de la DNP sont accessibles sur le site Internet de la DGCL. Toutefois, seule la notification par vos soins fait foi. A. – Les fiches de notification Vous trouverez les fiches de notification sur COLBERT-départemental pour les communes bénéficiaires, c’est-àdire éligibles à la DNP au titre des codes 1, 2, 3, 5, 6 et 7 (cf. annexe I), ou sortantes et bénéficiant de la garantie de sortie (code 4). B. – Les modalités de versement des attributions Vous notifierez, dès réception de la présente circulaire, les dotations aux communes pour l’établissement de leur budget. J’attire également votre attention sur les conséquences de la circulaire interministérielle du 21 novembre 2006 relative aux versements des dotations de l’État, qui prévoit que les collectivités doivent désormais être informées de la date à laquelle s’effectuera le versement de la dotation sur leur compte au Trésor public, dans la lettre leur notifiant leur attribution. La DNP est en effet concernée par les dispositions relatives aux dotations non mensualisées, pour lesquelles il vous appartient de fixer la date de versement, en accord avec les services du Trésor. C. – Les modalités de notification des attributions Vos arrêtés de versement viseront le compte, ouvert en 2012 dans les écritures du trésorier-payeur général, sous le no « 465 1200000 : Dotation globale de fonctionnement – dotation nationale de péréquation – répartition initiale de l’année. Année 2012 » ouvert dans les écritures du directeur départemental (ou régional) des finances publiques. En outre, afin de permettre aux DDFIP/DRFIP de distinguer les dotations relevant de l’interface Colbert/Chorus, vous veillerez à faire figurer sur vos arrêtés la mention « interfacé ». En outre, vos arrêtés de versement ou de reversement à l’occasion d’une rectification éventuelle viseront le compte unique no 465‑1200000 « Dotation globale de fonctionnement – Opérations de régularisation » en précisant le code CDR « COL 1001000P » que les rectifications portent sur les dotations allouées au titre de l’exercice 2012 ou des années antérieures. Toutes les opérations de régularisation y compris celles concernant des dotations relevant de l’interface au titre de 2012 ou d’années antérieures seront traitées hors interface. Afin de permettre aux DDFIP/ DRFIP de distinguer les opérations relevant de l’interface Colbert/Chorus, vous veillerez à faire figurer sur vos arrêtés la mention « non interfacé ». Je vous rappelle que pour permettre l’application des dispositions des articles R. 421‑5 du code de justice administrative, doivent être expressément mentionnés, lors de la notification de chaque dotation aux collectivités bénéficiaires, les voies et délais de recours contre une telle décision. Vous veillerez donc à l’indiquer dans la lettre circulaire par laquelle vous notifiez aux communes le montant de leurs attributions. Je vous invite, par ailleurs, afin de prévenir tout contentieux, à indiquer également que, durant le délai de recours contentieux, un recours gracieux peut être exercé auprès de vos services. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 25 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Ce recours gracieux interrompt le délai de recours contentieux, qui ne courra à nouveau qu’à compter de l’intervention de votre réponse. Je vous rappelle à cet égard, qu’en application de l’article R. 421‑2 du code précité « le silence gardé pendant plus de deux mois sur une réclamation par l’autorité compétente vaut décision de rejet ». Toute difficulté dans l’application de la présente circulaire devra être signalée à la direction générale des collectivités locales, sous-direction des finances locales et de l’action économique, bureau des concours financiers de l’État, M. Etienne Cailly, Tél. : 01 49 27 39 65, couriel : etienne.cailly@interieur.gouv.fr. Pour le ministre et par délégation : Le directeur des collectivités locales, Éric Jalon 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 26 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE 1 Fiche technique relative aux codes DNP Code 1 : Communes éligibles de plein droit. – elles sont éligibles selon les conditions de droit commun ; – elles bénéficient d’une attribution intégrale à 100 %. Code 2 : Effort fiscal assoupli. – elles ont un potentiel financier par habitant supérieur de 5 % au plus à la moyenne du groupe démographique correspondant ; – elles sont éligibles en raison de leur effort fiscal, compris entre 85 % et 100 % de l’effort fiscal de référence ; –elles bénéficient d’une attribution minorée, c’est-à-dire que l’attribution 2012 est réduite de moitié (tout en restant au moins égal à 90 % du montant 2011 pour la part principale). Code 3 : Communes possédant un taux de cotisation foncière des entreprises plafonné. – elles ont un potentiel financier par habitant supérieur de 5 % au plus à la moyenne du groupe démographique correspondant ; – elles sont éligibles en raison de leur taux de cotisation foncière des entreprises ; – elles bénéficient d’une attribution de droit commun. Code 4 : Communes non éligibles en 2012 et bénéficiant de la garantie d’inéligibilité. – il s’agit des communes qui, éligibles en 2011, ne le sont plus en 2012. Code 5 : Communes éligibles à la part principale en 2012 mais bénéficiant de la garantie d’attribution. –il s’agit de toutes les communes éligibles en 2012 (selon les conditions de droit commun ou les conditions dérogatoires) et dont la référence pour le calcul de leur part principale correspond à 90 % de leur part principale en 2011, ce seuil étant supérieur à ce qu’aurait été leur dotation en 2012. Code 6 : Communes de plus de 10 000 habitants éligibles selon les conditions de droit commun. – il s’agit des communes dont le potentiel financier par habitant est inférieur ou égal à 85 % de la moyenne de la strate et dont l’effort fiscal est supérieur à 85 % de la moyenne de leur strate ; – elles bénéficient d’une attribution à hauteur de 100 %. Code 7 : Communes éligibles à la part principale en 2011 et en 2012 dont l’attribution en 2012 est plafonnée à 120 % de l’attribution perçue en 2011. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 27 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE 2 Calcul du potentiel fiscal et financier 2012 La loi de finances pour 2010 prévoit dans son dispositif la suppression de la taxe professionnelle. Cette suppression n’est pas sans conséquences pour les dotations de l’État versées aux collectivités territoriales, dans la mesure où la taxe professionnelle était prise en compte dans le calcul du potentiel fiscal des collectivités afin de déterminer l’éligibilité à une dotation et le montant versé. La loi de finances pour 2012 intègre la suppression de la taxe professionnelle et son remplacement par un nouveau panier de ressources fiscales dans le calcul du potentiel financier des communes. Ainsi, pour 2012, les modalités de calcul des potentiels fiscal et financier sont sensiblement différentes de celles appliquées les années antérieures. Néanmoins, la logique du calcul des potentiels fiscal et financier reste la même, à savoir prendre en compte, pour une commune donnée, l’ensemble de la richesse perçue sur son territoire, en particulier celle tirée de son appartenance à un EPCI. Le nouvel article L. 2334‑4 du CGCT prévoit que le potentiel fiscal d’une commune est déterminé par application aux bases communales des quatre taxes directes locales du taux moyen national d’imposition de chacune de ces taxes. Pour la taxe foncière sur les propriétés bâties (TFB), la taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFNB), la taxe d’habitation (TH) et la cotisation foncière des entreprises (CFE), les bases retenues sont les bases brutes de la dernière année dont les résultats sont connus servant à l’assiette des impositions communales. Les taux moyens nationaux sont ceux constatés lors de la dernière année dont les résultats sont connus. Le potentiel fiscal est également majoré des produits de cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE), des impositions forfaitaires sur les entreprises de réseaux (IFER), de la taxe sur les surfaces commerciales (TASCOM), des produits de la taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties (TAFNB), des montants perçus au titre de la redevance des mines, des montants perçus des prélèvements communaux opérés sur les produits des jeux des casinos, des montants perçus au titre de la surtaxe eaux minérales, de la dotation de compensation de la réforme de la taxe professionnelle (DCRTP), du reversement dont bénéficie la commune au titre du Fonds national de garantie individuelle de ressources (FNGIR), ou du prélèvement subi par la commune au titre du même fonds. Dans le dernier cas, le montant vient minorer le potentiel fiscal de la commune. Il est également minoré ou majoré des transferts de taxe professionnelle, pris en application des dispositions de la loi no 80‑10 du janvier 1980, utilisés dans la répartition de 2011. Le périmètre intercommunal et le régime fiscal de l’EPCI pris en compte pour le calcul du potentiel fiscal sont ceux connus au 1er janvier 2011. Pour toutes les communes membres d’un EPCI à fiscalité propre, le potentiel fiscal est majoré de la dotation de compensation de réforme de la taxe professionnelle perçu par l’EPCI, du reversement dont bénéficie l’EPCI au titre du Fonds national de garantie individuelle de ressources ou du prélèvement subi par l’EPCI au titre du même fonds. Dans le dernier cas, le montant vient minorer le produit des compensations perçues par l’EPCI. La somme de ces montants est ventilée à la commune en fonction de la part de sa population DGF 2012 dans la population DGF 2012 de l’EPCI. Pour les communes membres d’un EPCI à fiscalité additionnelle, les produits perçus par le groupement ne sont pas ventilés. Les produits intercommunaux correspondent aux produits perçus par l’EPCI sur le territoire de la commune et sont directement imputés dans le potentiel fiscal de la commune. Pour les communes membres d’un groupement faisant application de l’article 1609 quinquies C du CGI, ce mode de calcul s’applique uniquement aux produits perçus par l’EPCI en dehors de la zone d’activité économique et/ou de la zone éolienne. Pour les communes appartenant à un groupement faisant application de l’article 1609 nonies C ou de l’article 1609 quinquies C du CGI, le potentiel fiscal est majoré de l’attribution de compensation perçue par la commune. Si cette attribution est négative, celle-ci vient alors minorer le potentiel fiscal de la commune. Pour ces mêmes communes, le potentiel fiscal est majoré des produits perçus par l’EPCI, ventilés en fonction de la part de sa population DGF 2012 dans la population DGF 2012 de l’EPCI. Pour les communes membres d’un groupement faisant application de l’article 1609 quinquies C du CGI, ces produits correspondent uniquement aux produits perçus par l’EPCI sur la zone d’activité économique et/ou la zone éolienne. Pour les communes appartenant à un groupement faisant application de l’article 1609 nonies C du CGI, ces produits comprennent, en plus des produits mentionnés aux troisième et quatrième paragraphes, les bases brutes de taxe d’habitation sur le territoire de l’EPCI valorisées du taux moyen national à la taxe d’habitation spécifique pour les EPCI à fiscalité professionnelle unique. Concernant la taxe d’habitation, les communes appartenant à un groupement faisant application de l’article 1609 nonies C du CGI se voient appliquer un taux moyen national spécifique afin de tenir compte de la redescente de la part départementale de taxe d’habitation à l’EPCI. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 28 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Le potentiel fiscal est majoré de la part de la dotation forfaitaire de la commune correspondant à la compensation prévue au I du D de l’article 44 de la loi de finances pour 1999 (no 98‑1266 du 30 décembre 1998). Le potentiel financier de la commune correspond à son potentiel fiscal majoré de la dotation forfaitaire (hors compensation « part salaires » et compensation des baisses de DCTP) perçue l’année précédente, et minoré des éventuels prélèvements fiscaux subis par la commune à la suite de la suppression des CCAS et de la perception par les communes/groupements de la TASCOM. 1. Calcul du potentiel fiscal et financier des communes Bases brutes d’imposition 2011 Taxe d’habitation Taux moyen national 2011 × 0,237619 ou 0,160539 (FPU) = (a) + Taxe foncière sur les propriétés bâties × 0,19887 = (b) + Taxe foncière sur les propriétés non bâties × 0,485089 = (c) + Cotisation foncière des entreprises (1) × 0,254204 = (d) + Montant de cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (e) + Montant des impositions forfaitaires sur les entreprises de réseaux (IFER) (f) + Montant de taxe sur les surfaces commerciales (TASCOM) (g) + Montant de Taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties (TAFNB) (h) + Montant de redevance des mines/prélèvements sur les jeux/surtaxe eaux minérales (i) + Transferts de TP 2009 loi de 1980 potentialisés (j) + Montant de dotation de compensation de réforme de la taxe professionnelle (DCRTP) (k) + Montant perçu ou prélevé au titre du FNGIR (l) +/- Montant de DCRTP + GIR du groupement ventilé (m) +/- Attribution de compensation (n) + Produits du groupement sur le territoire de la commune (FA ; FPZ) (o) + Produits du groupement ventilés (FPU ; FPZ) (p) + Part de la dotation forfaitaire correspondant à la compensation prévue au I du D de l’article 44 de la loi de finances pour 1999 (no 98-1266 du 30 décembre 1998) (q) = Potentiel fiscal = Total des lignes (a) + (b) + (c) + (d) + (e) + (f) + (g) + (h) + (i) +(j) + (k) + (l) + (m) + (n) + (o) + (p) + (q) (r) (1) Pour les communes membres d’un groupement à fiscalité professionnelle unique, ne pas prendre en compte le (d) qui est entièrement inclus dans les produits du groupement ventilés. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 29 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR + Dotation forfaitaire 2011 hors part représentant l’ancienne « part salaires » (s) - Prélèvements sur la fiscalité (t) = Potentiel financier = (r) + (s) – (t) (u) 2. Calcul du potentiel financier par habitant des communes Potentiel financier / Population DGF 2012 de la commune = Potentiel financier par habitant de la commune 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 30 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE 3 Calcul de l’effort fiscal L'effort fiscal d'une commune est égal au rapport entre le produit de la taxe d'habitation, des deux taxes foncières, de la taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties, de la taxe ou redevance pour l'enlèvement des ordures ménagères, et le potentiel fiscal correspondant à ces trois taxes majoré des produits de la taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties. Les produits de cotisation foncière sur les entreprises, de cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises, des impositions forfaitaires sur les entreprises de réseaux, de la taxe sur les surfaces commerciales, de la surtaxe eaux minérales, de la redevance des mines, de la taxe sur le produit des jeux, des attributions de compensation, ainsi que de la dotation de compensation de réforme de la taxe professionnelle et de la garantie individuelle de ressources, ne sont pas pris en compte dans l’effort fiscal. L'article L. 2334‑5 du code général des collectivités territoriales prévoit un mécanisme d'écrêtement du produit fiscal pris en compte pour le calcul de l'effort fiscal lorsque l'augmentation du taux moyen pondéré des trois taxes directes locales de la commune est supérieure à celle constatée pour les communes de même importance démographique. Le produit fiscal est alors calculé sur la base de cette augmentation moyenne. De manière symétrique est prévu un mécanisme destiné à ne pas pénaliser les communes qui baisseraient leur taux d'une année sur l'autre. Le taux pris en compte pour le calcul de la DGF est alors, non pas le dernier taux connu, mais celui de l'exercice précédent. Pour les communes membres d'un groupement de communes à fiscalité propre, l'effort fiscal est calculé en ajoutant au produit et au taux de chacune de leurs propres taxes communales ceux correspondant au groupement de communes. 1. Calcul de l'effort fiscal des communes Produit de la taxe d'habitation, de la taxe foncière sur les propriétés bâties, de la taxe foncière sur les propriétés non bâties, de la taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties de la taxe ou redevance pour l'enlèvement des ordures ménagères majoré du produit des exonérations. / Potentiel fiscal (trois taxes) et produits de la taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties = Effort fiscal de la commune 2. Modalités de l'écrêtement La loi a institué un mécanisme d'écrêtement du produit fiscal pris en compte pour le calcul de l'effort fiscal lorsque l'augmentation du taux moyen pondéré de la commune est supérieure à celle constatée pour les communes de même importance démographique. STRATE DÉMOGRAPHIQUE TAUX MOYEN PONDÉRÉ 2011 TAUX MOYEN PONDÉRÉ 2012 1 0 à 499 habitants 0,157806 0,209063 2 500 à 999 habitants 0,159303 0,208567 3 1 000 à 1 999 habitants 0,161455 0,211186 4 2 000 à 3 499 habitants 0,166985 0,216004 5 3 500 à 4 999 habitants 0,173149 0,223495 6 5 000 à 7 499 habitants 0,181854 0,230015 7 7 500 à 9 999 habitants 0,19014 0,239096 8 10 000 à 14 999 habitants 0,197564 0,246513 9 15 000 à 19 999 habitants 0,201316 0,246981 10 20 000 à 34 999 habitants 0,207138 0,252283 11 35 000 à 49 999 habitants 0,215827 0,26017 12 50 000 à 74 999 habitants 0,202987 0,2473 13 75 000 à 99 999 habitants 0,180101 0,219809 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 31 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR soit soit soit soit 14 100 000 à 199 999 habitants 0,228664 0,277928 15 200 000 habitants et plus 0,149012 0,177054 t1 le taux moyen pondéré de la commune en 2010 t2 le taux moyen pondéré de la commune en 2011 T1 le taux moyen pondéré de l'ensemble des communes de la strate en 2010 T2 le taux moyen pondéré de l'ensemble des communes de la strate en 2011 Si t2 – t1 est inférieur à T2 – T1, on conserve le produit fiscal de la commune Si t2 – t1 est supérieur à T2 – T1, le produit fiscal est écrêté dans les conditions suivantes : 1er cas Si t2 > t1, T2 – T1 > 0 et (t2 – t1) > (T2 – T1), le produit fiscal est écrêté dans les conditions suivantes : Base nette d’imposition à la taxe d’habitation de 2011 (a) + Base nette d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés bâties en 2011 (b) + Base nette d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés non bâties de 2011 (c) = Sous-total { (a) + (b) + (c) t1 + (T2 – T1) (d) } × = Produit fiscal écrêté 2e cas Si t2 > t1, t2 > T2 et T2 – T1 <0, le produit fiscal est écrêté dans les conditions suivantes : Base nette d’imposition à la taxe d’habitation de 2011 (a) + Base nette d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés bâties en 2011 (b) + Base nette d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés non bâties de 2011 (c) = Sous-total (a) + (b) + (c) × si t2 + T2 – T1 > T2 alors (d) × t2 + (T2 – T1) × si t2 + T2 – T1 < T2 alors (d) × T2× = } (d) (ou) = Produit fiscal écrêté Dans les deux cas, il convient d'ajouter au produit fiscal écrêté le produit de la taxe ou redevance pour l'enlèvement des ordures ménagères ainsi que le produit des exonérations permanentes et temporaires retenues par l'article L. 2334‑6 du code général des collectivités territoriales. L’effort fiscal de la commune a été recalculé avec le produit fiscal écrêté. 3. Diminution du taux moyen pondéré des trois taxes locales Pour les communes dont le taux pondéré des trois taxes directes locales est en 2011 inférieur à celui de 2010, c’est ce dernier taux qui a été pris en compte pour le calcul du produit fiscal. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 32 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE 4 Potentiels financiers, efforts fiscaux et DNP par strate 2012 Pour chaque strate démographique de communes, les valeurs moyennes de potentiel financier et d'effort fiscal retenues pour déterminer l'éligibilité des communes sont les suivantes : STRATE DÉMOGRAPHIQUE POTENTIEL financier moyen 2011 POTENTIEL financier moyen 2012 % VAR EFFORT fiscal moyen 2011 EFFORT fiscal moyen 2012 % VAR DNP 2011 DNP 2012 % VAR 1 0 à 499 habitants 546,150172 572,185191 4,77 % 0,989136 0,943736 -4,59 % 51 747 004 53 570 053 3,52 % 2 500 à 999 habitants 610,635768 644,898553 5,61 % 1,026151 0,961578 -6,29 % 69 600 720 70 817 906 1,75 % 3 1 000 à 1 999 habitants 670,71666 701,199909 4,54 % 1,063502 0,988213 -7,08 % 85 675 323 86 423 657 0,87 % 4 2 000 à 3 499 habitants 779,504071 800,258037 2,66 % 1,100803 1,02176 -7,18 % 79 593 857 77 656 813 -2,43 % 5 3 500 à 4 999 habitants 853,815195 890,817735 4,33 % 1,138934 1,058888 -7,03 % 45 676 666 46 942 071 2,77 % 6 5 000 à 7 499 habitants 948,316628 999,613498 5,41 % 1,175324 1,079315 -8,17 % 58 527 077 56 736 506 -3,06 % 7 7 500 à 9 999 habitants 997,614474 1054,173939 5,67 % 1,208629 1,110225 -8,14 % 37 545 398 39 571 386 5,40 % 8 10 000 à 14 999 habitants 980,10789 1077,458305 9,93 % 1,264322 1,152881 -8,81 % 42 432 363 42 797 659 0,86 % 9 15 000 à 19 999 habitants 1049,982187 1176,419687 12,04 % 1,269663 1,13566 -10,55 % 27 643 770 27 849 173 0,74 % 10 20 000 à 34 999 habitants 1038,130738 1170,65055 12,77 % 1,282425 1,144094 -10,79 % 54 758 321 56 625 494 3,41 % 11 35 000 à 49 999 habitants 1147,171049 1292,768039 12,69 % 1,317649 1,176502 -10,71 % 39 417 078 41 464 815 5,20 % 12 50 000 à 74 999 habitants 1127,895338 1241,945161 10,11 % 1,26166 1,126737 -10,69 % 36 101 662 35 823 631 -0,77 % 13 75 000 à 99 999 habitants 1247,981068 1423,374905 14,05 % 1,121679 1,010024 -9,95 % 20 208 584 20 174 675 -0,17 % 14 100 000 à 199 999 habitants 1118,735028 1224,675958 9,47 % 1,414598 1,263025 -10,71 % 25 869 508 26 151 549 1,09 % 15 200 000 habitants et plus 1387,462357 1561,921458 12,57 % 0,9459 0,810924 -14,27 % 41 058 925 41 149 610 0,22 % 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 33 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ MINISTÈRE CHARGÉ ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D _____ Direction générale des collectivités locales _____ Sous-direction des finances locales et de l’action économique _____ Bureau des concours financiers de l’État _____ Circulaire du 4 mai 2012 relative au Fonds de solidarité des communes de la région d’Île-de-France (FSRIF) au titre de 2012 NOR : COTB1220964C Pièces jointes : 6 annexes dont la liste des communes contributrices et celle des communes éligibles au FSRIF en 2012. Résumé : la présente circulaire a pour objet de vous présenter les modalités de financement, de répartition et de versement du FSRIF au titre de l’exercice 2012. Monsieur le ministre auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, chargé des collectivités territoriales, à Monsieur le préfet de la région Île-de-France, préfet de Paris ; Messieurs les préfets des départements de Seine-et-Marne, de l’Essonne, des Yvelines, des Hautsde-Seine, de la Seine-Saint-Denis, du Val-de-Marne et du Val-d’Oise. Le Fonds de solidarité des communes de la région Île de France (FSRIF) a été créé en 1991 pour contribuer à l’amélioration des conditions de vie dans les communes urbaines d’Île de France supportant des charges particulières au regard des besoins sociaux de leur population sans disposer de ressources fiscales suffisantes (art. L. 2531‑12 CGCT). Ce dispositif de péréquation horizontale spécifique à la région Île de France permet une redistribution des richesses entre les communes de la RIF. Jusqu’à la loi de finances 2012, le FSRIF était alimenté par deux prélèvements sur les ressources fiscales des communes et des EPCI : l’un en fonction de l’écart entre le potentiel financier par habitant de la commune et le potentiel financier moyen des communes de la région ; l’autre en fonction des bases totales d’imposition à la taxe professionnelle des communes et des EPCI à taxe professionnelle unique et à taxe professionnelle de zone. La loi de finances pour 2012 adapte le dispositif du FSRIF aux conséquences de la réforme de la fiscalité locale et supprime le deuxième prélèvement au fonds. De ce fait, les EPCI sont désormais exclus du fonds, d’autant qu’ils ont désormais vocation à participer au nouveau fonds de péréquation des recettes fiscales communales et intercommunales (FPIC). De plus, la loi fixe désormais un objectif annuel de ressources au fonds : pour 2012, 210 millions € ; pour 2013, 230 millions € ; pour 2014, 250 millions € ; et pour 2015, 270 millions €. Cet objectif permet de garantir la visibilité des ressources du fonds et témoigne de la volonté d’accroître la réduction des inégalités entre les communes franciliennes. I. – L’ALIMENTATION DU FSRIF A. – Les modalités de calcul du prélèvement initial prévu à l’article L. 2531‑13-I du code général des collectivités territoriales La loi de finances pour 2012 adapte le dispositif du FSRIF aux conséquences de la réforme de la fiscalité locale et supprime le deuxième prélèvement au fonds. Il ne reste qu’un seul prélèvement sur les ressources des communes de la région. Sont contributrices au fonds toutes les communes dont le potentiel financier par habitant est supérieur au potentiel financier moyen par habitant des communes de la région. Le prélèvement est calculé pour atteindre chaque année le montant fixé par la loi. Un système de plafonnements est mis en place afin d’assurer une certaine stabilité d’une année sur l’autre dans le montant des prélèvements des communes. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 34 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 1. La détermination des communes contributrices Sont contributrices au fonds toutes les communes dont le potentiel financier par habitant est supérieur au potentiel financier moyen par habitant des communes de la région : pfi ≥ PFi Avec : – pfi : potentiel financier par habitant de la commune en 2012 ; – PFi : potentiel financier moyen par habitant des communes RIF en 2012. En vertu de ces dispositions, 137 communes sont concernées par le prélèvement en 2012. 2. La détermination de la contribution des communes L’assiette du prélèvement L’assiette du prélèvement est constituée par le produit de l’écart relatif de son potentiel financier par habitant au potentiel financier moyen par habitant des communes de la région Île-de-France, élevé au carré, par la population DGF 2012 (1) de la commune. Cet écart est élevé au carré afin d’accentuer la progressivité des prélèvements. Le potentiel financier moyen par habitant de la région Île-de-France s’élève à 1477,66 € en 2012 contre 1333,77 € en 2011. Le montant du prélèvement La contribution pour le FSRIF est donc calculée selon la formule suivante : ( ) contribution brute = (pfi – PFI) ² * pop DGF 2012 * valeur de point PFI La valeur de point correspond au rapport entre la masse à prélever et la somme du nombre de points de chaque commune. Elle s’élève à 429,9181 en 2012 (2). Le nombre de points de chaque commune est défini en fonction de son écart relatif au carré et de sa population. 3. Les modalités de prélèvement de la contribution des communes En tant qu’ordonnateur des recettes du fonds, il appartient au préfet de la région d’Île-de-France de notifier le montant du prélèvement à chacune des communes contributrices et donc de prendre un arrêté en débit visant le compte no 4612000000 (programme 833) « Avances sur le montant des impositions revenant aux communes – année courante ». L’inscription du prélèvement effectué au titre du fonds de solidarité des communes de la région Île-de-France est à effectuer dans le budget des communes au compte suivant 739.114 « Fonds de solidarité Île-de-France », au chapitre 73 « Impôts et taxes ». Le prélèvement fait l’objet d’une retenue à la source sur les recettes fiscales de ces communes : il est imputé sur les attributions versées mensuellement aux communes contributrices en application de l’article L. 2332‑2 du code général des collectivités territoriales. 4. Les mécanismes de plafonnement et d’abattement applicables à cette contribution Le prélèvement ne peut excéder 10 % du montant des dépenses réelles de fonctionnement de la commune constaté dans le compte administratif afférent au pénultième exercice (2010 pour le FSRIF 2012). En 2012, 21 des 137 communes contributrices voient ainsi leur contribution plafonnée à hauteur de 10 % des dépenses réelles de fonctionnement afférentes à l’exercice 2010. De plus, le prélèvement ne peut excéder, en 2012, 120 % de la contribution de la commune au FSRIF en 2009. Si la contribution excède ce montant, alors celle-ci fait l’objet d’un écrêtement la ramenant à 120 % de sa contribution de 2009. En 2012, 34 des 137 communes contributrices sont concernées. Par ailleurs, les 69 communes nouvellement contributrices au fond en 2012 bénéficient d’un abattement de 50 % de leur contribution. Enfin, le mécanisme francilien est articulé avec le nouveau mécanisme de solidarité nationale (FPIC). D’une part, la somme des prélèvements FSRIF de l’année précédente et FPIC de l’année ne peut excéder 10 % des ressources (1) La population « DGF » correspond à la population légale identifié par l’INSEE majorée d’un habitant par résidence secondaire et d’un habitant par place de caravane située sur une aire d’accueil conventionnée. (2) Cette valeur ne peut être comparée à celle de 2011 suite à la réforme du fonds et à la suppression du deuxième prélèvement. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 35 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR fiscales (3). En 2012, 6 communes sont concernées par ce mécanisme. Il convient cependant de noter que ce mécanisme vient minorer la contribution des communes concernées au titre du FPIC et non celle au titre du FSRIF, afin de préserver l’alimentation du mécanisme de solidarité francilien. D’autre part, le prélèvement dû au titre du FPIC par une commune membre d’un EPCI qui serait par ailleurs contributrice l’année précédente au FSRIF est minoré du montant de la contribution au titre du FSRIF. Les sommes ainsi minorées sont acquittées par le groupement en lieu et place de ses communes. 56 communes sont concernées par ce mécanisme de minoration. Pour 55 d’entre elles, l’application de ce mécanisme conduit à une annulation de leur contribution et à un report total de cette contribution au niveau de l’EPCI. B. – Montant total du prélèvement et montant mis en répartition La contribution totale des communes au titre du prélèvement FSRIF s’élève en 2012 à 210 000 000 € auxquels il convient d’ajouter le solde de gestion des exercices antérieurs qui atteint 699 998 € à la fin 2011. Le montant total du Fonds de solidarité des communes de la région d’Île-de-France à répartir est donc de 210 699 998 € en 2012. II. – RÉPARTITION DU FSRIF A. – La détermination des communes éligibles Sont éligibles au reversement les communes de la région Île-de-France dont la population DGF au 1er janvier 2012 est supérieure à 5 000 habitants et dont la valeur de l’indice synthétique (IS) est supérieure à l’IS médian de l’ensemble des communes d’Île-de-France. La définition de l’indice synthétique s’appuie sur trois critères mis en œuvre sous forme de ratios pondérés : – le rapport entre le potentiel financier moyen par habitant régional et celui de la commune, pour 50 % de l’indice ; – le rapport entre la proportion de logements sociaux dans le total des logements de la commune et la proportion moyenne régionale, pour 25 % ; – le rapport entre le revenu moyen par habitant régional et le revenu par habitant de la commune, pour 25 %. Afin de concentrer le bénéfice des attributions au titre du fonds sur les communes les plus en difficulté, un coefficient multiplicateur (allant de 0,5 à 4) est appliqué à l’indice synthétique ainsi obtenu. B. – Le calcul de l’attribution 1. La masse à répartir entre les communes éligibles La masse à répartir entre les communes éligibles est égale au montant de la masse à répartir (soit 210 699 997,66 €), diminuée des montants prélevés d’une part au titre de la réserve prudentielle destinée à couvrir les éventuelles rectifications de cours d’exercice (699 997,66 €) et d’autre part au titre de la garantie de sortie des communes devenant inéligibles en 2012 et de la garantie de baisse limitée des communes éligibles en 2011 et en 2012 qui ne peuvent percevoir en 2012 une attribution inférieure à 75 % de celle perçue en 2011. 152 communes sont éligibles en 2012 (147 en 2011), dont 21 sont nouvellement éligibles. 2. Les conditions de répartition L’attribution des communes éligibles au fonds de solidarité est égale au produit de leur population DGF 2012 par la valeur de leur indice synthétique, de la valeur de point et du coefficient relatif au classement de la commune. Dotation = pop DGF × Indice × coefficient IS × VP 3. Les garanties Afin de garantir aux communes éligibles avant la réforme du FSRIF une attribution stable, deux mécanismes sont mis en place. Une commune qui était bénéficiaire du FSRIF en 2011 et le demeure en 2012 ne peut voir son attribution diminuer de plus de 25 %. Ce mécanisme concerne 35 communes en 2012. (3) Ce seuil est mesuré au niveau de l’ensemble intercommunal ou de la commune isolée mais ne s’applique pas individuellement aux communes membres d’un EPCI. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 36 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR La garantie de sortie en vigueur dans l’ancien système est maintenue : toute commune qui deviendrait inéligible en 2012 percevra 50 % de son attribution 2011. En 2012, 14 communes sont sortantes et se voient attribuer 50 % de la dotation de l’année précédente. C. – Le calcul du solde Contrairement au système antérieur (avant 2012), une commune peut être à la fois contributrice et bénéficiaire. À ce titre, 12 communes en 2012 sont à la fois contributrices et bénéficiaires. Le prélèvement ne peut toutefois être supérieur au reversement. Dans ce cas, le solde est nul. D. – Les modalités de notification et de versement Il appartient au préfet de la région d’Île-de-France de procéder à la répartition du FSRIF en prenant des arrêtés de versement visant le compte no 465‑1200000 (interfacé) « Fonds de solidarité des communes de la région Île-deFrance » ouvert en 2012 dans les écritures de la direction départementale des finances publiques. J’attire également votre attention sur les conséquences de la circulaire interministérielle du 21 novembre 2006 relative aux versements des dotations de l’État, qui prévoit que les collectivités doivent désormais être informées de la date à laquelle s’effectuera le versement de la dotation sur leur compte à la direction départementale des finances publiques, dans la lettre leur notifiant leur attribution. Le FSRIF est en effet concerné par les dispositions relatives aux dotations non mensualisées, pour lesquelles il vous appartient de fixer la date de versement, en accord avec les services de la DDFiP. Je vous signale, en outre, qu’en vertu des dispositions de l’article R. 421‑5 du code de la justice administrative, les voies et délais de recours doivent être expressément indiqués lors de la notification de chaque dotation aux collectivités bénéficiaires. Cette mention est donc inscrite sur chaque fiche individuelle de notification annexée à la présente circulaire. Je vous invite néanmoins, afin de prévenir tout contentieux, à indiquer à chaque collectivité bénéficiaire que, durant le délai de deux mois mentionné sur la fiche de notification, un recours gracieux peut être exercé auprès de vos services. Ce recours gracieux interrompt le délai du recours contentieux qui ne courra à nouveau qu’à compter de la réception de votre réponse. Je vous rappelle, à cet égard, qu’en application de l’article R. 421‑2 du code précité « le silence gardé pendant plus de deux mois sur une réclamation par l’autorité compétente vaut décision de rejet ». Toute difficulté dans l’application de la présente circulaire devra être signalée à : direction générale des collectivités locales, sous-direction des finances locales et de l’action économique, bureau des concours financiers de l’État, Mlle Caroline SAUVAGE (tél. : 01-49-27-34-92, caroline.sauvage@interieur.gouv.fr). Pour le ministre et par délégation : Le directeur général des collectivités locales, Éric Jalon 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 37 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE 1 Calcul du potentiel fiscal et du potentiel financier 2012 La loi de finances pour 2010 prévoit dans son dispositif la suppression de la taxe professionnelle. Cette suppression n’est pas sans conséquences pour les dotations de l’État versées aux collectivités territoriales, dans la mesure où la taxe professionnelle était prise en compte dans le calcul du potentiel fiscal des collectivités afin de déterminer l’éligibilité à une dotation et le montant versé. La loi de finances pour 2012 intègre la suppression de la taxe professionnelle et son remplacement par un nouveau panier de ressources fiscales dans le calcul du potentiel financier des communes. Ainsi, pour 2012, les modalités de calcul des potentiels fiscal et financier sont sensiblement différentes de celles appliquées les années antérieures. Néanmoins, la logique du calcul des potentiels fiscal et financier reste la même, à savoir prendre en compte, pour une commune donnée, l’ensemble de la richesse perçue sur son territoire, en particulier celle tirée de son appartenance à un EPCI. Le nouvel article L. 2334-4 du CGCT prévoit que le potentiel fiscal d’une commune est déterminé par application aux bases communales des quatre taxes directes locales du taux moyen national d’imposition de chacune de ces taxes. Pour la taxe foncière sur les propriétés bâties (TFB), la taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFNB), la taxe d’habitation (TH) et la cotisation foncière des entreprises (CFE), les bases retenues sont les bases brutes de la dernière année dont les résultats sont connus servant à l’assiette des impositions communales. Les taux moyens nationaux sont ceux constatés lors de la dernière année dont les résultats sont connus. Le potentiel fiscal est également majoré des produits de cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE), des impositions forfaitaires sur les entreprises de réseaux (IFER), de la taxe sur les surfaces commerciales (TASCOM), des produits de la taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties (TAFNB), des montants perçus au titre de la redevance des mines, des montants perçus des prélèvements communaux opérés sur les produits des jeux des casinos, des montants perçus au titre de la surtaxe eaux minérales, de la dotation de compensation de la réforme de la taxe professionnelle (DCRTP), du reversement dont bénéficie la commune au titre du Fonds national de garantie individuelle de ressources (FNGIR), ou du prélèvement subi par la commune au titre du même fonds. Dans le dernier cas, le montant vient minorer le potentiel fiscal de la commune. Il est également minoré ou majoré des transferts de taxe professionnelle, pris en application des dispositions de la loi no 80-10 du janvier 1980, utilisés dans la répartition de 2011. Le périmètre intercommunal et le régime fiscal de l’EPCI pris en compte pour le calcul du potentiel fiscal sont ceux connus au 1er janvier 2011. Pour toutes les communes membres d’un EPCI à fiscalité propre, le potentiel fiscal est majoré de la dotation de compensation de réforme de la taxe professionnelle perçu par l’EPCI, du reversement dont bénéficie l’EPCI au titre du Fonds national de garantie individuelle de ressources ou du prélèvement subi par l’EPCI au titre du même fonds. Dans le dernier cas, le montant vient minorer le produit des compensations perçues par l’EPCI. La somme de ces montants est ventilée à la commune en fonction de la part de sa population DGF 2012 dans la population DGF 2012 de l’EPCI. Pour les communes membres d’un EPCI à fiscalité additionnelle, les produits perçus par le groupement ne sont pas ventilés. Les produits intercommunaux correspondent aux produits perçus par l’EPCI sur le territoire de la commune et sont directement imputés dans le potentiel fiscal de la commune. Pour les communes membres d’un groupement faisant application de l’article 1609 quinquies C du CGI, ce mode de calcul s’applique uniquement aux produits perçus par l’EPCI en dehors de la zone d’activité économique et/ou de la zone éolienne. Pour les communes appartenant à un groupement faisant application de l’article 1609 nonies C ou de l’article 1609 quinquies C du CGI, le potentiel fiscal est majoré de l’attribution de compensation perçue par la commune. Si cette attribution est négative, celle-ci vient alors minorer le potentiel fiscal de la commune. Pour ces mêmes communes, le potentiel fiscal est majoré des produits perçus par l’EPCI, ventilés en fonction de la part de sa population DGF 2012 dans la population DGF 2012 de l’EPCI. Pour les communes membres d’un groupement faisant application de l’article 1609 quinquies C du CGI, ces produits correspondent uniquement aux produits perçus par l’EPCI sur la zone d’activité économique et/ou la zone éolienne. Pour les communes appartenant à un groupement faisant application de l’article 1609 nonies C du CGI, ces produits comprennent, en plus des produits mentionnés aux troisième et quatrième paragraphes, les bases brutes de taxe d’habitation sur le territoire de l’EPCI valorisées du taux moyen national à la taxe d’habitation spécifique pour les EPCI à fiscalité professionnelle unique. Concernant la taxe d’habitation, les communes appartenant à un groupement faisant application de l’article 1609 nonies C du CGI se voient appliquer un taux moyen national spécifique afin de tenir compte de la redescente de la part départementale de taxe d’habitation à l’EPCI. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 38 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Le potentiel fiscal est majoré de la part de la dotation forfaitaire de la commune correspondant à la compensation prévue au I du D de l’article 44 de la loi de finances pour 1999 (no 98-1266 du 30 décembre 1998). Le potentiel financier de la commune correspond à son potentiel fiscal majoré de la dotation forfaitaire (hors compensation « part salaires » et compensation des baisses de DCTP) perçue l’année précédente, et minoré des éventuels prélèvements fiscaux subis par la commune à la suite de la suppression des CCAS et de la perception par les communes/groupements de la TASCOM. 1 – Calcul du potentiel fiscal et financier des communes Bases brutes d’imposition 2011 Taxe d’habitation Taux moyen national 2011 × 0,237619 ou 0,160539 (FPU) = (a) + Taxe foncière sur les propriétés bâties × 0,19887 = (b) + Taxe foncière sur les propriétés non bâties × 0,485089 = (c) + Cotisation foncière des entreprises (1) × 0,254204 = (d) + Montant de cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (e) + Montant des impositions forfaitaires sur les entreprises de réseaux (IFER) (f) + Montant de taxe sur les surfaces commerciales (TASCOM) (g) + Montant de la taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties (TAFNB) (h) + Montant de redevance des mines/prélèvements sur les jeux/surtaxe eaux minérales (i) + Transferts de TP 2009 loi de 1980 potentialisés (j) + Montant de dotation de compensation de réforme de la taxe professionnelle (DCRTP) (k) + Montant perçu ou prélevé au titre du FNGIR (l) +/- Montant de DCRTP + GIR du groupement ventilé (m) +/- Attribution de compensation (n) + Produits du groupement sur le territoire de la commune (FA ; FPZ) (o) + Produits du groupement ventilés (FPU ; FPZ) (p) + Part de la dotation forfaitaire correspondant à la compensation prévue au I du D de l’article 44 de la loi de finances pour 1999 (no 98-1266 du 30 décembre 1998) (q) = Potentiel fiscal = Total des lignes (a) + (b) + (c) + (d) + (e) + (f) + (g) + (h) + (i) + (j) + (k) + (l) + (m) + (n) + (o) + (p) + (q) (r) (1) Pour les communes membres d’un groupement à fiscalité professionnelle unique, ne pas prendre en compte le (d) qui est entièrement inclus dans les produits du groupement ventilés. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 39 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR + Dotation forfaitaire 2011 hors part représentant l’ancienne « part salaires » (s) - Prélèvements sur la fiscalité (t) = Potentiel financier = (r) + (s) – (t) (u) 2 – Calcul du potentiel financier par habitant des communes Potentiel financier / Population DGF 2012 de la commune = Potentiel financier par habitant de la commune 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 40 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE 2 Calcul de l’effort fiscal L’effort fiscal d’une commune est égal au rapport entre le produit de la taxe d’habitation, des deux taxes foncières, de la taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties, de la taxe ou redevance pour l’enlèvement des ordures ménagères, et le potentiel fiscal correspondant à ces trois taxes majoré des produits de la taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties. Les produits de cotisation foncière sur les entreprises, de cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises, des impositions forfaitaires sur les entreprises de réseaux, de la taxe sur les surfaces commerciales, de la surtaxe eaux minérales, de la redevance des mines, de la taxe sur le produit des jeux, des attributions de compensation, ainsi que de la dotation de compensation de réforme de la taxe professionnelle et de la garantie individuelle de ressources, ne sont pas pris en compte dans l’effort fiscal. L’article L. 2334-5 du code général des collectivités territoriales prévoit un mécanisme d’écrêtement du produit fiscal pris en compte pour le calcul de l’effort fiscal lorsque l’augmentation du taux moyen pondéré des trois taxes directes locales de la commune est supérieure à celle constatée pour les communes de même importance démographique. Le produit fiscal est alors calculé sur la base de cette augmentation moyenne. De manière symétrique est prévu un mécanisme destiné à ne pas pénaliser les communes qui baisseraient leur taux d’une année sur l’autre. Le taux pris en compte pour le calcul de la DGF est alors, non pas le dernier taux connu, mais celui de l’exercice précédent. Pour les communes membres d’un groupement de communes à fiscalité propre, l’effort fiscal est calculé en ajoutant au produit et au taux de chacune de leurs propres taxes communales ceux correspondant au groupement de communes. 1 – Calcul de l’effort fiscal des communes Produit de la taxe d’habitation, de la taxe foncière sur les propriétés bâties, de la taxe foncière sur les propriétés non bâties, de la taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties de la taxe ou redevance pour l’enlèvement des ordures ménagères majoré du produit des exonérations. / Potentiel fiscal (trois taxes) et produits de la taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties = Effort fiscal de la commune 2 – Modalités de l’écrêtement La loi a institué un mécanisme d’écrêtement du produit fiscal pris en compte pour le calcul de l’effort fiscal lorsque l’augmentation du taux moyen pondéré de la commune est supérieure à celle constatée pour les communes de même importance démographique. STRATE DÉMOGRAPHIQUE TAUX MOYEN PONDÉRÉ 2011 TAUX MOYEN PONDÉRÉ 2012 1 0 à 499 habitants 0,157806 0,209063 2 500 à 999 habitants 0,159303 0,208567 3 1 000 à 1 999 habitants 0,161455 0,211186 4 2 000 à 3 499 habitants 0,166985 0,216004 5 3 500 à 4 999 habitants 0,173149 0,223495 6 5 000 à 7 499 habitants 0,181854 0,230015 7 7 500 à 9 999 habitants 0,19014 0,239096 8 10 000 à 14 999 habitants 0,197564 0,246513 9 15 000 à 19 999 habitants 0,201316 0,246981 10 20 000 à 34 999 habitants 0,207138 0,252283 11 35 000 à 49 999 habitants 0,215827 0,26017 12 50 000 à 74 999 habitants 0,202987 0,2473 13 75 000 à 99 999 habitants 0,180101 0,219809 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 41 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR TAUX MOYEN PONDÉRÉ 2011 TAUX MOYEN PONDÉRÉ 2012 14 STRATE DÉMOGRAPHIQUE 100 000 à 199 999 habitants 0,228664 0,277928 15 200 000 habitants et plus 0,149012 0,177054 soit t1 le taux moyen pondéré de la commune en 2010 ; soit t2 le taux moyen pondéré de la commune en 2011 ; soit T1 le taux moyen pondéré de l’ensemble des communes de la strate en 2010 ; soit T2 le taux moyen pondéré de l’ensemble des communes de la strate en 2011 ; Si t2 – t1 est inférieur à T2 – T1, on conserve le produit fiscal de la commune ; Si t2 – t1 est supérieur à T2 – T1, le produit fiscal est écrêté dans les conditions suivantes : 1er cas Si t2 > t1, T2 – T1 > 0 et (t2 – t1) > (T2 – T1), le produit fiscal est écrêté dans les conditions suivantes : Base nette d’imposition à la taxe d’habitation de 2011 (a) + Base nette d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés bâties en 2011 (b) + Base nette d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés non bâties de 2011 (c) = Sous-total (a) + (b) + (c) { t1 + (T2 – T1) (d) } × = Produit fiscal écrêté 2e cas Si t2 > t1, t2 > T2 et T2 – T1 <0, le produit fiscal est écrêté dans les conditions suivantes : Base nette d’imposition à la taxe d’habitation de 2011 (a) + Base nette d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés bâties en 2011 (b) + Base nette d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés non bâties de 2011 (c) = Sous-total (a) + (b) + (c) × si t2 + T2 – T1 > T2 alors (d) × t2 + (T2 – T1) × si t2 + T2 – T1 < T2 alors (d) × T2 × } (d) ou = = Produit fiscal écrêté Dans les deux cas, il convient d’ajouter au produit fiscal écrêté le produit de la taxe ou redevance pour l’enlèvement des ordures ménagères ainsi que le produit des exonérations permanentes et temporaires retenues par l’article L. 2334-6 du code général des collectivités territoriales. L’effort fiscal de la commune a été recalculé avec le produit fiscal écrêté. 3 – Diminution du taux moyen pondéré des trois taxes locales Pour les communes dont le taux pondéré des trois taxes directes locales est en 2011 inférieur à celui de 2010, c’est ce dernier taux qui a été pris en compte pour le calcul du produit fiscal. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 42 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE 3 Calcul des attributions du fonds de solidarité entre les communes de la région d’Île-de-France otentiel financier par habitant de l'ensemble des communes P de la région d'Ile-de-France (en €) 1 477,660 458 ÷ potentiel financier par habitant de la commune (en €) ÷ ................................. = sous-total ................................. × pondération dans l’indice × 0,50 = part, dans l’indice, du potentiel financier ............................ (a) Nombre de logements sociaux de la commune ................................. ÷ nombre de logements de la commune ÷ ................................. = part relative des logements sociaux de la commune ................................. ÷ part des logements sociaux dans les communes de plus de 5 000 habitants de la région d’Île-de-France ÷ 0,253 436 × pondération retenue pour les logements sociaux × 0,25 = part, dans l’indice, des logements sociaux ............................ (b) Revenu moyen par habitant constaté dans l'ensemble des communes de la région d’Île-de-France (en €) ÷ revenu moyen par habitant de la commune (en €) × pondération dans l’indice = part, dans l’indice, du revenu 16 706,170 67 ÷ ............................. × 0,25 ............................ (c) Valeur de l’indice I = (a) + (b) + (c) ............................ Les communes éligibles sont celles dont la valeur d’indice est supérieure ou égale à l'indice médian soit 1,198 836. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 43 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE 4 Liste des communes contributrices au FSRIF en 2012 Nouveau : à compter de 2012, une commune peut être à la fois bénéficiaire et contributrice au FSRIF. CODE INSEE NOM COMMUNE CONTRIBUTION FSRIF 2012 (EN EUROS) 75056 PARIS 121 174 618 77016 BAGNEAUX-SUR-LOING 54 319 77018 BAILLY-ROMAINVILLIERS 20 742 77111 CHESSY 327 632 77121 COLLEGIEN 8 379 77123 COMPANS 270 698 77129 COULOMBS-EN-VALOIS 4 495 77132 COUPVRAY 227 520 77146 CROISSY-BEAUBOURG 132 911 77181 FERRIERES 580 77196 FRESNES-SUR-MARNE 23 77204 GERMIGNY-SOUS-COULOMBS 509 77211 GRANDPUITS-BAILLY-CARROIS 76 636 77241 JUILLY 29 206 77268 MAGNY-LE-HONGRE 116 146 77282 MAUREGARD 45 601 77291 MESNIL-AMELOT 236 933 77294 MITRY-MORY 377 849 77305 MONTEREAU-FAULT-YONNE 30 402 77306 MONTEREAU-SUR-LE-JARD 42 886 77323 MOUSSY-LE-VIEUX 133 527 77332 NANTOUILLET 3 259 77349 OTHIS 162 107 77368 POIGNY 3 282 77369 POINCY 1 538 77392 ROUVRES 6 535 77448 SEPT-SORTS 13 979 77449 SERRIS 222 229 77482 VARENNES-SUR-SEINE 15 239 77518 VILLIERS-EN-BIERE 50 970 77525 VINANTES 2 636 78029 AUBERGENVILLE 100 870 78043 BAILLY 501 78117 BUC 651 934 78118 BUCHELAY 131 693 78133 CHAMBOURCY 76 121 78143 CHATEAUFORT 960 78164 CLAIREFONTAINE-EN-YVELINES 1 345 78168 COIGNIERES 833 288 78208 ELANCOURT 516 017 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 44 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR CODE INSEE NOM COMMUNE CONTRIBUTION FSRIF 2012 (EN EUROS) 78238 FLINS-SUR-SEINE 122 479 78291 GUERVILLE 34 488 78297 GUYANCOURT 1 345 196 78320 JEUFOSSE 478 78343 LOGES-EN-JOSAS 5 723 78350 LOUVECIENNES 66 935 78356 MAGNY-LES-HAMEAUX 230 809 78423 MONTIGNY-LE-BRETONNEUX 1 334 003 78466 ORGEVAL 8 197 78498 POISSY 396 757 78501 PORCHEVILLE 262 996 78524 ROCQUENCOURT 17 508 78558 SAINT-ILLIERS-LA-VILLE 411 78561 SAINT-LAMBERT 24 572 78615 THIVERVAL-GRIGNON 2 181 78620 TOUSSUS-LE-NOBLE 23 771 78621 TRAPPES 502 495 78640 VELIZY-VILLACOUBLAY 4 390 415 78644 VERRIERE 93 494 78650 VESINET 29 131 78683 VILLIERS-SAINT-FREDERIC 660 78688 VOISINS-LE-BRETONNEUX 262 391 91041 AVRAINVILLE 8 206 91064 BIEVRES 200 434 91136 CHAMPLAN 254 245 91161 CHILLY-MAZARIN 2 145 91174 CORBEIL-ESSONNES 431 856 91179 COUDRAY-MONTCEAUX 208 228 91340 LISSES 174 342 91377 MASSY 720 977 91432 MORANGIS 6 402 91435 MORSANG-SUR-SEINE 23 603 91458 NOZAY 34 303 91479 PARAY-VIEILLE-POSTE 708 572 91534 SACLAY 99 417 91538 SAINT-AUBIN 101 641 91560 SAINT-JEAN-DE-BEAUREGARD 185 91659 VILLABE 41 617 91661 VILLEBON-SUR-YVETTE 1 068 444 91666 VILLEJUST 170 863 91679 VILLIERS-LE-BACLE 65 91689 WISSOUS 515 315 91692 ULIS 30 338 92012 BOULOGNE-BILLANCOURT 8 821 908 92022 CHAVILLE 5 612 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 45 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR CODE INSEE NOM COMMUNE CONTRIBUTION FSRIF 2012 (EN EUROS) 92024 CLICHY 227 670 92026 COURBEVOIE 12 860 148 92035 GARENNE-COLOMBES 2 591 92036 GENNEVILLIERS 1 309 708 92040 ISSY-LES-MOULINEAUX 4 590 527 92044 LEVALLOIS-PERRET 6 456 113 92047 MARNES-LA-COQUETTE 51 765 92048 MEUDON 466 657 92050 NANTERRE 759 959 92051 NEUILLY-SUR-SEINE 4 596 052 92060 PLESSIS-ROBINSON 93 336 92062 PUTEAUX 12 237 137 92063 RUEIL-MALMAISON 2 820 135 92064 SAINT-CLOUD 658 479 92072 SÈVRES 105 204 92073 SURESNES 705 428 92075 VANVES 27 715 92076 VAUCRESSON 9 937 92077 VILLE-D’AVRAY 92 693 93005 AULNAY-SOUS-BOIS 73 345 93051 NOISY-LE-GRAND 14 729 93055 PANTIN 649 134 93066 SAINT-DENIS 15 825 93070 SAINT-OUEN 1 909 462 93073 TREMBLAY-EN-FRANCE 3 273 893 93074 VAUJOURS 172 568 94003 ARCUEIL 97 685 94011 BONNEUIL-SUR-MARNE 141 509 94015 BRY-SUR-MARNE 253 94018 CHARENTON-LE-PONT 125 593 94021 CHEVILLY-LARUE 422 033 94033 FONTENAY-SOUS-BOIS 1 798 94037 GENTILLY 7 867 94041 IVRY-SUR-SEINE 434 367 94054 ORLY 441 335 94065 RUNGIS 2 116 639 94081 VITRY-SUR-SEINE 1 561 95051 BEAUCHAMP 19 085 95088 BONNEUIL-EN-FRANCE 76 934 95154 CHENNEVIERES-LES-LOUVRES 16 704 95210 ENGHIEN-LES-BAINS 1 897 757 95212 EPIAIS-LES-LOUVRES 13 620 95271 GENICOURT 281 95371 MARLY-LA-VILLE 210 496 95492 PLESSIS-GASSOT 6 863 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 46 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR CODE INSEE NOM COMMUNE CONTRIBUTION FSRIF 2012 (EN EUROS) 95510 PUISEUX-PONTOISE 54 95527 ROISSY-EN-FRANCE 757 709 95580 SAINT-WITZ 93 593 95604 SURVILLIERS 4 164 95612 THILLAY 30 188 95633 VAUDHERLAND 7 758 95675 VILLERON 4 022 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 47 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE 5 Liste des communes bénéficiaires du FSRIF en 2012 Nouveau : à compter de 2012, une commune peut être à la fois bénéficiaire et contributrice au FSRIF. CODE INSEE NOM COMMUNE ATTRIBUTION FSRIF 2012 (EN EUROS) 77014 AVON 429 580 77079 CHAMPAGNE-SUR-SEINE 558 870 77083 CHAMPS-SUR-MARNE 814 463 77108 CHELLES 1 765 758 77131 COULOMMIERS 723 293 77152 DAMMARIE-LES-LYS 1 080 353 77153 DAMMARTIN-EN-GOELE 266 429 77171 ESBLY 411 496 77183 FERTE-SOUS-JOUARRE 687 014 77192 FONTENAY-TRESIGNY 113 744 77215 GRETZ-ARMAINVILLIERS 150 749 77249 LESIGNY 248 192 77258 LOGNES 521 381 77284 MEAUX 3 238 289 77285 MEE-SUR-SEINE 1 865 570 77288 MELUN 2 508 669 77296 MOISSY-CRAMAYEL 771 033 77305 MONTEREAU-FAULT-YONNE 825 084 77326 NANDY 290 166 77327 NANGIS 381 504 77330 NANTEUIL-LES-MEAUX 137 632 77333 NEMOURS 874 871 77337 NOISIEL 652 966 77350 OZOIR-LA-FERRIERE 650 480 77373 PONTAULT-COMBAULT 1 110 847 77379 PROVINS 853 592 77382 QUINCY-VOISINS 334 185 77390 ROISSY-EN-BRIE 1 207 438 77430 SAINT-PATHUS 446 826 77445 SAVIGNY-LE-TEMPLE 1 604 500 77458 SOUPPES-SUR-LOING 307 899 77464 THORIGNY-SUR-MARNE 214 188 77468 TORCY 798 016 77470 TOURNAN-EN-BRIE 107 084 77514 VILLEPARISIS 1 126 740 78005 ACHERES 1 190 190 78123 CARRIERES-SOUS-POISSY 416 111 78138 CHANTELOUP-LES-VIGNES 792 096 78335 LIMAY 458 826 78361 MANTES-LA-JOLIE 2 390 232 78362 MANTES-LA-VILLE 566 992 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 48 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR CODE INSEE NOM COMMUNE ATTRIBUTION FSRIF 2012 (EN EUROS) 78401 MEULAN-EN-YVELINES 402 419 78440 MUREAUX 1 823 898 78545 SAINT-CYR-L’ECOLE 780 102 78586 SARTROUVILLE 1 377 011 78621 TRAPPES 1 688 981 78642 VERNEUIL-SUR-SEINE 444 618 78643 VERNOUILLET 237 954 78644 VERRIERE 319 577 91027 ATHIS-MONS 1 189 815 91045 BALLANCOURT-SUR-ESSONNE 127 096 91105 BREUILLET 197 674 91114 BRUNOY 749 272 91182 COURCOURONNES 430 861 91200 DOURDAN 138 050 91201 DRAVEIL 1 319 385 91207 EGLY 227 079 91215 EPINAY-SOUS-SENART 1 131 505 91223 ETAMPES 779 906 91228 EVRY 1 938 023 91235 FLEURY-MEROGIS 1 010 290 91286 GRIGNY 2 307 712 91434 MORSANG-SUR-ORGE 644 237 91514 QUINCY-SOUS-SENART 100 660 91552 SAINT-GERMAIN-LES-ARPAJON 260 244 91570 SAINT-MICHEL-SUR-ORGE 961 146 91589 SAVIGNY-SUR-ORGE 958 632 91657 VIGNEUX-SUR-SEINE 2 239 807 91687 VIRY-CHATILLON 963 197 91692 ULIS 949 145 92007 BAGNEUX 2 705 951 92019 CHATENAY-MALABRY 1 379 007 92025 COLOMBES 2 252 017 92032 FONTENAY-AUX-ROSES 492 762 92036 GENNEVILLIERS 1 309 708 92046 MALAKOFF 1 007 397 92050 NANTERRE 759 959 92078 VILLENEUVE-LA-GARENNE 2 165 915 93001 AUBERVILLIERS 4 956 066 93005 AULNAY-SOUS-BOIS 1 977 353 93006 BAGNOLET 1 050 724 93007 BLANC-MESNIL 3 207 664 93008 BOBIGNY 3 773 779 93010 BONDY 4 782 921 93014 CLICHY-SOUS-BOIS 3 249 493 93027 COURNEUVE 2 856 846 93029 DRANCY 3 959 935 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 49 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR CODE INSEE NOM COMMUNE ATTRIBUTION FSRIF 2012 (EN EUROS) 93030 DUGNY 1 045 944 93031 EPINAY-SUR-SEINE 3 849 581 93032 GAGNY 2 010 541 93039 ÎLE-SAINT-DENIS 569 028 93046 LIVRY-GARGAN 1 046 028 93047 MONTFERMEIL 1 386 818 93048 MONTREUIL 3 129 230 93050 NEUILLY-SUR-MARNE 2 119 794 93053 NOISY-LE-SEC 2 884 057 93059 PIERREFITTE-SUR-SEINE 2 167 348 93061 PRE-SAINT-GERVAIS 1 424 722 93063 ROMAINVILLE 1 562 415 93066 SAINT-DENIS 5 840 047 93071 SEVRAN 4 413 609 93072 STAINS 3 288 307 93078 VILLEPINTE 1 201 053 93079 VILLETANEUSE 1 137 709 94001 ABLON-SUR-SEINE 108 633 94002 ALFORTVILLE 2 267 085 94004 BOISSY-SAINT-LEGER 720 662 94011 BONNEUIL-SUR-MARNE 1 038 773 94016 CACHAN 890 387 94017 CHAMPIGNY-SUR-MARNE 3 807 716 94022 CHOISY-LE-ROI 1 523 782 94028 CRETEIL 3 558 884 94037 GENTILLY 648 952 94043 KREMLIN-BICETRE 727 152 94044 LIMEIL-BREVANNES 645 934 94054 ORLY 877 301 94059 PLESSIS-TREVISE 495 624 94060 QUEUE-EN-BRIE 378 574 94074 VALENTON 969 742 94076 VILLEJUIF 1 890 465 94078 VILLENEUVE-SAINT-GEORGES 2 094 617 94079 VILLIERS-SUR-MARNE 972 351 94081 VITRY-SUR-SEINE 2 328 273 95018 ARGENTEUIL 3 754 671 95019 ARNOUVILLE 476 978 95039 AUVERS-SUR-OISE 109 703 95052 BEAUMONT-SUR-OISE 520 747 95060 BESSANCOURT 553 944 95063 BEZONS 1 102 396 95091 BOUFFEMONT 354 479 95127 CERGY 2 324 762 95197 DEUIL-LA-BARRE 721 032 95219 ERMONT 1 910 479 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 50 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR CODE INSEE NOM COMMUNE ATTRIBUTION FSRIF 2012 (EN EUROS) 95252 FRANCONVILLE 1 174 218 95268 GARGES-LES-GONESSE 4 124 531 95277 GONESSE 2 042 008 95280 GOUSSAINVILLE 2 001 369 95288 GROSLAY 143 135 95323 JOUY-LE-MOUTIER 524 058 95355 MAGNY-EN-VEXIN 253 154 95394 MERY-SUR-OISE 464 084 95424 MONTIGNY-LES-CORMEILLES 764 588 95427 MONTMAGNY 991 845 95487 PERSAN 777 040 95488 PIERRELAYE 193 285 95500 PONTOISE 1 008 728 95555 SAINT-GRATIEN 589 267 95572 SAINT-OUEN-L’AUMONE 377 631 95582 SANNOIS 990 526 95585 SARCELLES 6 322 782 95652 VIARMES 99 074 95680 VILLIERS-LE-BEL 3 053 634 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 51 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE 6 Liste des communes bénéficiant de la garantie de sortie en CODE INSEE NOM COMMUNE 2012 GARANTIE DE SORTIE 77122 COMBS-LA-VILLE 474 125 77251 LIEUSAINT 241 493 77479 VAIRES-SUR-MARNE 236 642 78674 VILLEPREUX 169 602 91174 CORBEIL-ESSONNES 836 601 91216 EPINAY-SUR-ORGE 191 137 91326 JUVISY-SUR-ORGE 294 279 91521 RIS-ORANGIS 548 140 91549 SAINTE-GENEVIEVE-DES-BOIS 519 849 93055 PANTIN 917 400 95203 EAUBONNE 422 306 95539 SAINT-BRICE-SOUS-FORÊT 305 018 95598 SOISY-SOUS-MONTMORENCY 320 988 95637 VAUREAL 297 993 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 52 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR _____ Direction générale des collectivités locales _____ Sous-direction des finances locales et de l’action économique _____ Bureau du financement des transferts de compétences _____ Circulaire du 27 juin 2012 relative au concours particulier de la dotation générale de décentralisation (DGD) relatif à la compensation des accroissements de charges résultant de la souscription de contrats destinés à garantir les communes et leurs groupements contre les risques contentieux liés à la délivrance des autorisations d’utilisation du sol (ASPC). Exercice 2012. NOR : INTB1227491C Références : Loi no 83‑8 du 7 janvier 1983, notamment ses articles 4 et 17 ; Loi no 2000‑1208 du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbains (SRU), notamment ses articles 4 et 6 (art. L. 123‑1 et suivants et L. 124‑1 et suivants du code de l’urbanisme) ; Loi Urbanisme et habitat no 2003‑590 du 2 juillet 2003, notamment ses articles 12 et 14 à 27, modifiant les articles L. 123‑1 et suivants du code de l’urbanisme ; Code de l’urbanisme, notamment ses articles L. 421‑1, L. 421 2 et L. 421‑2‑1 ; Code général des collectivités territoriales (CGCT), notamment ses articles L. 1614‑9, R. 1614‑52 à 57 ; Ma circulaire no 84‑233 du 22 août 1984. Résumé : La présente circulaire indique pour l’année 2012 : 1.le montant global de la compensation par l’État des accroissements de charges résultant de la souscription de contrats destinés à garantir les communes et leurs groupements contre les risques contentieux liés à la délivrance des autorisations d’utilisation du sol ; 2.les valeurs de point nationales 2012 et le mode de calcul permettant de déterminer la dotation revenant aux collectivités concernées. Elle demande aux préfets de faire connaître pour le 27 août, délai de rigueur, le montant des crédits à attribuer à leurs départements. Le ministre de l’intérieur à Mesdames et Messieurs les préfets des départements de métropole et d’outre-mer. 1. Rappel du cadre juridique de la compensation En application de la loi n 83‑8 du 7 janvier 1983 modifiée, le maire délivrait les permis de construire (et autres autorisations d’utilisation du sol) au nom de la commune dès que celle-ci disposait d’un POS (plan d’occupation des sols) devenu exécutoire depuis 6 mois (ancien art. L. 421‑2‑7 du code de l’urbanisme), sauf dans les hypothèses légalement définies dans lesquelles les permis de construire restaient délivrés au nom de l’État (par le maire ou par le préfet). La loi du 13 décembre 2000 citée en référence a par la suite modifié ce dispositif : –les POS ont été remplacés par les PLU (plans locaux d’urbanisme), et la carte communale, qui était appelée MARNU (modalités d’application du règlement national d’urbanisme), est devenue un véritable document d’urbanisme fournissant aux petites communes un document adapté ; – la compétence des communes en matière de délivrance des permis de construire est étendue aux communes dotées d’une carte communale lorsque le conseil municipal, dans sa délibération approuvant la carte communale, en a décidé ainsi (art. L. 421‑2‑1 du code de l’urbanisme) ; – la compétence des communes en matière de délivrance des permis de construire est effective dès que la délibération approuvant le PLU est devenue exécutoire ; o 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 53 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR –dans les communes non couvertes par un schéma de cohérence territoriale (SCOT) ou un schéma directeur, l’acte publié approuvant le PLU devient exécutoire un mois après sa transmission au préfet ou dès publication et transmission au préfet de la délibération approuvant les modifications qu’il a éventuellement demandées (art. L. 123‑12 du code de l’urbanisme). 1.2. Règles spécifiques aux cartes communales Pour les cartes communales, le transfert au maire de la responsabilité de délivrer les autorisations d’utilisation du sol est effectif lorsque sont remplies les trois conditions suivantes : – la délibération d’approbation du conseil municipal est devenue exécutoire ; – cette délibération a décidé expressément que les permis de construire seront délivrés par le maire au nom de la commune (art. L. 421‑2‑1 du code de l’urbanisme) ; – la carte a été approuvée par arrêté préfectoral. 1.3. Couverture du risque lié à la délivrance des autorisations d’utilisation du sol Le transfert de cette responsabilité entraînant un transfert des risques liés à son exercice, les communes, ainsi que leurs groupements dotés de la compétence en matière de PLU ou de carte communale (communautés urbaines, d’agglomération, de communes,...) reçoivent, conformément à l’article 17 de la loi du 7 janvier 1983, une compensation financière de la part de l’État, s’ils choisissent de s’assurer (contrat ou avenant à un contrat déjà existant) contre les risques contentieux liés à la délivrance des autorisations d’utilisation du sol. 2. Modalités de calcul des valeurs de point nationales 2012 La masse à répartir en 2012 pour le concours particulier cité en objet est de 5 352 017 € (crédits disponibles en 2012). Peuvent bénéficier de la compensation au titre de 2012, les communes disposant d’un POS, d’un PLU ou d’une carte communale dont l’approbation sera entrée en vigueur avant le 31 décembre 2012 (1) et qui auront souscrit le contrat d’assurance ou l’avenant précité avant cette date. Pour bénéficier de ce concours, il convient de produire un contrat d’assurance ou un avenant. Compte tenu du calendrier de gestion, il vous est demandé de ne retenir que les POS, les PLU ou les cartes communales approuvés au 30 juin 2012. Les droits acquis au cours du second semestre seront pris en compte dans le cadre de la gestion 2013. 2.1. Les valeurs de point nationales pour 2012 Les trois valeurs de point nationales applicables à chaque critère de répartition ont été déterminées à partir des données de population de la dotation globale de fonctionnement (DGF) pour 2011, des enquêtes relatives à l’état d’avancement des documents d’urbanisme effectuées auprès des directions départementales des territoires (DDT), et enfin, à partir de l’exploitation de données statistiques extraites de la base « SITADEL 2 » (Système d’information et de traitement automatisé des données relatives à la construction), gérée au sein des services centraux du ministère de l’égalité des territoires et du logement. Ces valeurs de point sont les suivantes : – population des communes ou des groupements de communes concernés : 0,025 € par habitant ; – nombre de permis de construire délivrés pendant les trois dernières années dans les communes ou les groupements concernés : 1,909 € par permis de construire ; – nombre de logements figurant sur les permis de construire délivrés pendant les trois dernières années dans les communes ou les groupements concernés : 1,543 € par logement. 2.2. Les données issues de l’application « SITADEL 2 » Les valeurs de point nationales ont été établies à partir des données suivantes remontées dans la base « SITADEL 2 » : –le nombre des permis de construire accordés, refusés ou annulés – tous susceptibles d’engendrer des contentieux – au cours des 3 dernières années (2009 à 2011) concernant aussi bien des logements ou annexes à l’habitation que des locaux à usage autre que d’habitation, qu’il y ait ou non création de surface de plancher ; Sont exclues les déclarations de travaux et autres autorisations d’utilisation du sol (installations et travaux divers, etc.). (1) Peuvent également bénéficier du concours les communes dont le PLU a été annulé et n’a pas encore été remplacé. Ces communes demeurent en effet compétentes puisque le transfert de compétence est définitif, conformément au a de l’article L. 422-1 du code de l’urbanisme. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 54 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR – le nombre de logements (« ordinaires » ou « en résidence ») correspondant à ces demandes de permis de construire, et retenus selon les mêmes modalités : logements dont la construction a été autorisée ou refusée, ou dont le permis de construire a été annulé, au cours des 3 dernières années (2009 à 2011). Les annexes à l’habitation sont écartées. Est retenue la date de la décision et non celle de sa prise en compte par « SITADEL 2 ». Pour les permis de construire annulés, la date retenue est celle de l’autorisation de construire et non celle de son annulation. Contrairement à l’application « SITADEL » utilisée jusqu’en 2009, l’application « SITADEL 2 » ne distingue plus les permis de construire délivrés au nom de la commune ou de l’établissement public de coopération intercommunal (EPCI) compétent des permis délivrés au nom de l’État, soit par le maire ou le président de l’EPCI, soit par le préfet. Or, jusqu’en 2010, seuls étaient pris en compte les permis de construire accordés ou refusés (ou annulés après accord) en leur nom par les communes ou les groupements de communes compétents en manière de délivrance des autorisations d’utilisation des sols. Ceux accordés, refusés ou annulés au nom de l’État étaient donc exclus. Désormais, depuis la gestion 2011, et pour lever les difficultés techniques rencontrées en 2010, tous les permis de construire délivrés sur la période 2009‑2011 sont pris en compte dans le calcul des valeurs de point et l’évaluation de l’enveloppe de crédits allouée à chaque collectivité éligible. 3. Modalités de calcul et de versement de la dotation aux collectivités concernées Les modalités de calcul et de versement de la dotation aux collectivités concernées sont identiques à celles de l’année 2011. Ainsi, tous les permis de construire et tous les logements afférents sont pris en compte et non uniquement ceux délivrés au nom de la commune ou de l’EPCI compétent (cf. supra). 3.1. Calcul de la dotation à verser aux bénéficiaires Le montant de la dotation à attribuer est obtenu en multipliant chaque valeur de point nationale par les données correspondant pour la collectivité bénéficiaire à chacun des trois critères suivants : population, nombre de permis de construire et nombre de logements, puis en additionnant ces trois résultats. Le cas échéant pour la première année le calcul sera opéré, pro rata temporis, à compter de la date du contrat d’assurance. Vous procéderez à ces calculs pour les communes ou groupements de communes qui sont compétents en matière de délivrance des permis de construire, c’est-à-dire pour celles et ceux qui sont dotés de PLU ou de POS, ainsi que pour les communes qui sont dotées de cartes communales lorsqu’elles en ont décidé ainsi. Seuls les communes ou groupements de communes ayant souscrit un contrat d’assurance en cours de validité sont éligibles au concours. Vous actualiserez les données relatives aux trois critères de répartition pour les communes et groupements de communes déjà bénéficiaires de la dotation en 2011 et réunirez les informations relatives à ces critères pour les communes nouvellement bénéficiaires de la dotation en 2012. Pour les communes nouvellement bénéficiaires de la dotation en 2011, dont le POS, PLU ou la carte communale n’est entrée en vigueur qu’après le 30 juin 2011, vous agrègerez à la dotation due au titre de 2012 les droits acquis au titre de 2011 calculés pro rata temporis à partir des valeurs de points de 2011. Les données statistiques extraites de « SITADEL 2 » relatives aux permis de construire et aux logements sont recensées par la direction générale de l’aménagement, du logement et de la nature (DGALN) du ministère de l’égalité des territoires et du logement et sont disponibles via l’intranet du ministère (http ://ads2007.projet.i2/donnees-ddt-r64. html), tout comme les données relatives à la population (population DGF 2011). Dans le cas où une commune ou un groupement de communes répondant aux critères d’éligibilité précités ne figurerait pas sur la liste disponible sur l’intranet, il conviendrait de le signaler dans les plus brefs délais à la DGALN afin qu’elle puisse actualiser les données statistiques disponibles sur l’intranet. 3.2. Demande de délégation des crédits à l’administration centrale Vous voudrez bien me faire connaître, avant la date limite du 27 août 2012, le montant total des crédits revenant aux communes et groupements de communes concernés du département, arrondi à l’euro entier supérieur, au titre de la compensation des charges découlant de la souscription des contrats d’assurance. Je souligne que votre demande globale de délégation sera considérée comme définitive. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 55 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Toute difficulté dans l’application des dispositions énoncées ci-dessus devra être signalée, par courrier, messagerie ou téléphone, à la direction générale des collectivités locales (sous-direction des finances locales et de l’action économique, bureau du financement des transferts de compétences, tél. : 01.40.07.23.74 ou amelie.letort@interieur. gouv.fr). Pour le ministre et par délégation : Le directeur général des collectivités locales, Éric JALON 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 56 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR _____ INISTÈRE DE LA RÉFORME DE L’ÉTAT, M DE LA DÉCENTRALISATION ET DE LA FONCTION PUBLIQUE _____ Direction générale des collectivités locales _____ Sous-direction des élus locaux et de la fonction publique territoriale _____ Bureau de l’emploi territorial et de la protection sociale (FP3) _____ Circulaire du 25 mai 2012 relative aux participations des collectivités territoriales et de leurs établissements publics à la protection sociale complémentaire de leurs agents NOR : RDFB1220789C Références : Décret no 2011‑1474 du 8 novembre 2011 ; Arrêtés du 8 novembre 2011 relatifs, respectivement, à la composition du dossier de demande d’habilitation ; aux majorations de cotisation ; à l’avis d’appel à la concurrence et aux critères de choix dans le cas d’une convention de participation. Résumé : la présente circulaire a pour objet de commenter les dispositions du décret du 8 novembre 2011 et de ses arrêtés d’application. Ces textes fixent les conditions dans lesquelles les collectivités territoriales et leurs établissements publics peuvent accorder des participations à leurs agents qui souscrivent à des contrats ou règlements de protection sociale complémentaire (santé, prévoyance). Le ministre de l’intérieur et la ministre de la réforme de l’État, de la décentralisation et de la fonction publique à Madame et Messieurs les préfets de région ; Mesdames et Messieurs les préfets des départements (métropole et DOM). Cette circulaire abroge et remplace la circulaire NOR INT/B/93/00063/C du 5 mars 1993 relative à la prise en charge, par les collectivités territoriales, d’une partie des cotisations versées par leurs employés aux mutuelles dont ils sont adhérents. Par ailleurs, dans la présente circulaire, l’expression « les collectivités » ou « les collectivités territoriales » s’entend des collectivités territoriales et de leurs établissements publics. Le décret no 2011‑1474 du 8 novembre 2011 a été publié, ainsi que ses quatre arrêtés d’application, au Journal officiel du 10 novembre 2011. Il fixe le cadre permettant aux collectivités de verser une participation à leurs agents (publics ou privés) qui souscrivent à des contrats ou règlements de protection sociale complémentaire (santé ou prévoyance). Il se situe dans le contexte suivant : À la suite de mesures demandées par la Commission européenne le 20 juillet 2005, les modes d’aide des employeurs publics à la protection sociale complémentaire de leurs agents (santé, prévoyance) ont été revus. Les aides doivent en effet satisfaire aux principes du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne (régime des aides d’État article 107, 2 a). Il doit s’agir d’aides à caractère social, accordées à titre individuel, sans considération tenant à l’origine des contrats. En outre, selon les principes de la jurisprudence communautaire, les contrats et règlements au titre desquels l’aide est versée doivent avoir fait l’objet d’une procédure transparente et non-discriminatoire. Une nouvelle base légale a été définie pour les trois fonctions publiques : la loi no 2007‑148 du 2 février 2007 a créé un article 22 bis dans la loi no 83‑634 portant droits et obligations des fonctionnaires. Ce texte permet aux personnes publiques de « contribuer au financement des garanties de protection sociale complémentaire auxquelles les agents qu’elles emploient souscrivent », à condition que leur participation soit « réservée aux contrats ou règlements garantissant la mise en œuvre d’une solidarité entre les bénéficiaires, actifs et retraités ». Des décrets en Conseil d’État – un par fonction publique – sont prévus par la loi. Ces textes donnent l’esprit du nouveau régime des participations des employeurs publics : elles doivent constituer une aide à caractère social, en particulier en étant réservées aux seuls contrats et règlements montrant une solidarité entre les bénéficiaires, actifs et retraités. Par ailleurs, ces aides sont des aides à la personne, et elles ne peuvent être attribuées qu’après une procédure de sélection transparente des contrats et règlements. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 57 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Cette base légale a été complétée, pour les collectivités territoriales, par les lois no 2009-372 du 3 août 2009 et n 2010‑1249 du 22 octobre 2010, qui ont défini les procédures de sélection pouvant être utilisées par les collectivités pour vérifier le caractère solidaire des contrats et règlements (convention de participation et labellisation), dans un nouvel article 88‑2 de la loi no 84‑53 du 26 janvier 1984. Les pouvoirs de l’Autorité de contrôle prudentiel ont été définis par cette même loi, dans un nouvel article L. 310‑12‑2 du code des assurances. Enfin, la loi no 2010‑751 du 5 juillet 2010 relative à la rénovation du dialogue social a introduit, dans l’article 33 de la loi du 26 janvier 1984 précitée, l’obligation de consulter les comités techniques sur les aides à la protection sociale complémentaire lorsque la collectivité ou l’établissement en a décidé l’attribution à ses agents. Le décret a été élaboré, ainsi que ses arrêtés d’application, après concertation et consultation des organismes habilités. Entrant dans le champ des projets d’aide d’État devant être notifiés à la Commission européenne, son projet a été notifié à celle-ci, qui a rendu une décision favorable le 23 février 2011. Le nouveau régime des participations se définit, dans ses principes, comme suit : Le dispositif est entièrement facultatif, pour les agents comme pour les collectivités. Les collectivités territoriales pourront accorder des aides aux agents qui auront souscrit à des contrats ou règlements répondant aux critères de solidarité du décret (titre IV). À cet effet, elles peuvent : – soit aider les agents qui auront souscrit un contrat ou adhéré à un règlement dont le caractère solidaire aura été préalablement vérifié au niveau national, dans le cadre d’une procédure spécifique dite de « labellisation », sous la responsabilité de prestataires habilités à cette fin par l’Autorité de contrôle prudentiel (ACP). Ces contrats et règlements « labellisés » seront répertoriés sur une liste publiée par le ministère chargé des collectivités territoriales ; – soit engager une procédure de mise en concurrence ad hoc, définie par le décret, pour sélectionner un contrat ou un règlement remplissant les conditions de solidarité du décret. La collectivité conclura avec l’opérateur choisi, au titre du contrat ou du règlement ainsi sélectionné, une « convention de participation ». Ce contrat ou ce règlement sera proposé à l’adhésion facultative des agents. Chaque adhésion fera l’objet d’une participation financière de la collectivité. L’article 25 de la loi no 84‑53 du 26 janvier 1984 permet aux centres de gestion de conclure, pour le compte des collectivités, des conventions de participation conformes à ce décret. Les collectivités devront choisir, pour la santé comme pour la prévoyance, entre l’une et l’autre de ces procédures. L’instauration des participations ne pourra se faire qu’à partir de la publication de la première liste des contrats et règlements labellisés soit le 31 août 2012. La participation est versée soit directement à l’agent (montant unitaire) soit via un organisme (mutuelle, institution de prévoyance ou entreprise d’assurance). Le présent décret ainsi que ses arrêtés d’application peuvent être consultés sur le site Légifrance (http://www. legifrance.gouv.fr). La présente circulaire a pour but d’expliciter ces dispositions. Elle expose : – les dispositions générales du dispositif (I) ; – les principes de solidarité à respecter par les contrats et règlements éligibles aux aides (II) ; – les modalités de sélection pouvant être utilisées pour vérifier ces principes de solidarité (III) ; – les règles de versement de la participation (IV) ; – les dispositions transitoires (V) ; – d’autres points apportant des précisions complémentaires (VI). o 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 58 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR PLAN DE LA CIRCULAIRE I. – DISPOSITIONS GÉNÉRALES Caractère facultatif du dispositif A. – Les personnels bénéficiaires du dispositif d’aide 1. Les agents 2. La question des retraités 3. Information générale sur ces dispositifs B. – Les contrats ou les règlements éligibles 1. C eux proposés par les organismes suivants : mutuelles, institutions de prévoyance, entreprises d’assurance 2. Ceux portant sur certains risques C. – Le rôle du comité technique dans la procédure II. – PRINCIPES DE SOLIDARITÉ APPLICABLES AUX GARANTIES COMPLÉMENTAIRES A. – Les principes communs B. – Les principes concernant les garanties du risque « santé » 1. Principes de solidarité intergénérationnelle et familiale 2. Garanties minimales en matière de santé C. – Les principes concernant les garanties du risque « prévoyance » 1. Complémentarité à la protection sociale de base 2. Garantie minimale sur l’incapacité de travail 3. Critères de solidarité spécifiques aux opérations collectives facultatives III. – MODALITÉS DE SÉLECTION DES GARANTIES POUVANT DONNER LIEU À PARTICIPATION A. – La procédure de « labellisation » 1. La procédure d’habilitation des prestataires chargés de la « labellisation » 2. La procédure de « labellisation » elle-même B. – La procédure de convention de participation 1. Le lancement de la procédure a) La convention de participation est un contrat spécifique, ce n’est pas un marché public b) Une convention peut être conclue pour un type de risque ou l’ensemble des risques c) Un seul opérateur peut être choisi d) La convention est conclue « au titre » du contrat ou du règlement choisi e) La convention fait l’objet d’une procédure transparente et non-discriminatoire destinée à vérifier le caractère solidaire du contrat ou du règlement 1re étape : La collectivité consulte le comité technique et délibère sur les éléments essentiels de la future convention e 2 étape : La collectivité publie l’appel à la concurrence 3e étape : La collectivité fournit aux candidats un document définissant les caractéristiques quantitatives et qualitatives de son personnel et des prestations à proposer e 4 étape : Les candidats remettent leur offre 5e étape : La collectivité examine les offres 6e étape : La collectivité consulte le comité technique et délibère sur le choix du contrat ou du règlement 7e étape : La collectivité signe la convention 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 59 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 2. L’exécution de la convention de participation a) Les tarifs b) Le contrôle de la collectivité et les moyens de mettre fin à la convention 3. La compétence des centres de gestion IV. – VERSEMENT DE LA PARTICIPATION 1. Nécessité d’une ou deux délibérations 2. Incidence du mode de sélection choisi 3. Montant de la participation 4. Mode de versement V. – DISPOSITIONS TRANSITOIRES (ARTICLE 32 : DÉLAIS DE MISE EN PLACE DE LA PROCÉDURE DE LABELLISATION ; ARTICLE 34 : DATE D’INSTAURATION DES PARTICIPATIONS) VI. – POINTS COMPLÉMENTAIRES 1. Droits et obligations des agents 2. COS et autres structures associatives 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 60 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR I. – DISPOSITIONS GÉNÉRALES Au préalable, il convient de souligner le caractère facultatif pour les agents de l’adhésion à une protection sociale complémentaire rappelé à l’article 3 du décret. Corrélativement, la participation des employeurs est facultative (cf. la loi no 83‑634 « droits et obligations des fonctionnaires », article 22 bis : « les personnes publiques... peuvent contribuer au financement des garanties de protection sociale complémentaire »). A. – Les personnels bénéficiaires du dispositif d’aide Les personnels pouvant bénéficier d’une participation sont les agents de la fonction publique territoriale, comme le précise l’article 1er du décret : « La participation des collectivités territoriales et de leurs établissements publics ... bénéficie aux fonctionnaires et agents de droit public et de droit privé ... ». 1. Les agents bénéficiaires sont les « fonctionnaires et agents de droit public et de droit privé » (article 1er), donc les fonctionnaires et les agents non titulaires, de droit public comme de droit privé. Les agents de la fonction publique territoriale des Offices publics de l’habitat (OPH) figurent parmi les bénéficiaires, les OPH étant des établissements publics locaux (article L. 421‑1 du code de la construction et de l’habitation). Les agents de droit privé des OPH, en revanche, ne relèvent pas du décret car ils sont régis par un accord collectif (décret no 2011‑636 du 8 juin 2011 relatif aux OPH, articles 30 et 59). En ce qui concerne les fonctionnaires détachés, la loi ne prévoit pas de règle spécifique en matière de protection sociale complémentaire. Ils sont en principe régis par les règles de leur fonction de détachement (article 64 de la loi no 84‑53 du 26 janvier 1984) ; un fonctionnaire détaché pourra bénéficier des aides de son employeur de détachement. S’agissant des agents mis à disposition, la convention (article 61 de la loi no 84‑53 du 26 janvier 1984 pour les fonctionnaires, articles 5211‑4‑1 et 5211‑4‑2 du code général des collectivités territoriales dans le cadre des mises à disposition intercommunales pour les fonctionnaires et les agents non titulaires) peut régler la question et il est conseillé qu’elle le fasse pour clarifier la situation des agents. À défaut, les agents étant dans une situation où le fonctionnaire demeure dans son cadre d’emplois ou corps d’origine (article 61 de la loi no 84‑53 du 26 janvier 1984), ils ont vocation à bénéficier des aides de leur collectivité d’origine. Il conviendra toutefois d’éviter les cumuls possibles d’aide à la protection sociale complémentaire entre la collectivité d’origine et celle d’accueil, et pour les agents qui seraient détachés dans la fonction publique de l’État, de veiller à la cohérence avec les décisions prises par les différents ministères en la matière. 2. La question des retraités : Conformément à l’article 22 bis de la loi no 83‑634 du 13 juillet 1983 « droits et obligations des fonctionnaires », seuls les actifs sont concernés par une participation, par opposition aux retraités. Dans son paragraphe I en effet, cet article dispose : « Les personnes publiques ... peuvent contribuer au financement des garanties de protection sociale complémentaire auxquelles les agents qu’elles emploient souscrivent ». Les retraités ne peuvent recevoir d’aide financière de leur ancienne collectivité employeur. Dans son paragraphe II, l’article 22 bis poursuit : « La participation des personnes publiques est réservée aux contrats ou aux règlements garantissant la mise en œuvre de dispositifs de solidarité entre les bénéficiaires, actifs et retraités ». Ainsi, les retraités bénéficient indirectement du dispositif compte tenu de la solidarité imposée, notamment envers les retraités, dans les contrats et règlements éligibles aux aides, ce qui concerne le risque « santé ». Ils ne sont en effet pas concernés par le risque prévoyance au titre du décret. Les retraités peuvent donc librement : – soit, s’ils sont déjà adhérents ou souscripteurs auprès d’un organisme, y rester sans aucune démarche particulière à effectuer ; si ce contrat ou règlement vient à être « labellisé », ils bénéficieront des conditions « solidaires » qui y figurent ; – soit adhérer à un contrat ou à un règlement « labellisé » – leur liste sera publiée sur le site internet du ministère chargé des collectivités territoriales le 31 août 2012 ; les retraités peuvent y adhérer directement en prenant contact avec la mutuelle, l’institution de prévoyance ou l’assurance porteuse du contrat ou du règlement. – soit adhérer à une « convention de participation » conclue par leur dernière collectivité employeur lorsqu’ils ont été admis à la retraite. En ce cas également, ils bénéficieront des conditions « solidaires » qui y figurent. Il leur appartient de se rapprocher de leur dernière collectivité employeur pour savoir si elle a conclu une convention de ce type. 3. Conformément à l’article 22 du décret, une information générale sur le dispositif est assurée par le ministère chargé des collectivités territoriales, disponible sur son site (http ://www.dgcl.interieur.gouv.fr/sections/les_collectivites_ te/fonction_publique_te/protection_sociale/complementaire/), et sera publiée par les caisses de retraite (CNRACL et IRCANTEC) « par tous moyens » – sur leur site internet et dans la revue destinée à leurs adhérents. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 61 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR B. – Les « contrats » ou les « règlements » éligibles 1. Ce sont, conformément à l’article 88‑2 de la loi no 84‑53 du 26 janvier 1984, ceux proposés par les organismes suivants : – les mutuelles ou unions relevant du livre II du code de la mutualité (y compris pour un risque porté par un autre organisme habilité conformément à l’article L. 116‑1 du code de la mutualité, ainsi que les mutuelles substituées, utilisant la possibilité prévue par l’article L. 211‑5 du code de la mutualité) ; – les institutions de prévoyance relevant du titre III du livre IX du code de la sécurité sociale ; – les entreprises d’assurance mentionnées à l’article L. 310‑2 du code des assurances. Ces « contrats » et « règlements » sont ceux définis aux codes des assurances, de la sécurité sociale et de la mutualité, à condition qu’ils soient à adhésion facultative des agents (cf. article 3 du décret – voir paragraphe III, B, 1, d). 2. Les contrats ou règlements éligibles sont ceux portant sur certains risques. L’article 2 fixe les types de risque ouvrant droit à la participation. Les collectivités peuvent apporter leur participation soit au titre du risque « santé », soit au titre du risque « prévoyance » – avec au minimum la garantie « incapacité », point qui sera examiné à propos des principes de solidarité à respecter-, soit au titre des deux risques. Ils doivent être complémentaires à la « protection sociale de base » déjà ouverte de façon obligatoire aux agents par les textes. On rappelle que celle-ci est constituée par le régime de sécurité sociale. Pour les agents publics, outre ce régime (régime spécial pour les fonctionnaires, issu du décret no 60‑58 du 11 janvier 1960 ; régime général pour les non-titulaires), la protection sociale de base est aussi constituée par les droits ouverts par leur statut. Les garanties offertes par la couverture complémentaire tiennent compte de ces spécificités : elles complètent, en matière d’incapacité, les droits au maintien du traitement en cas de maladie (article 57 de la loi no 84‑53 du 26 janvier 1984 pour les fonctionnaires, titre III du décret no 88‑145 du 15 février 1988 pour les agents non titulaires) ; en matière d’invalidité, les droits spécifiques des fonctionnaires à une retraite pour invalidité (décret no 2003‑1306 du 26 décembre 2003, titre V) ; en matière de décès, les droits spécifiques des fonctionnaires au capital-décès (décret no 60‑58 du 11 janvier 1960). Les collectivités peuvent accorder leur participation de façon différenciée selon ces risques. L’article 4, conformément à l’article 88‑2 de la loi du 26 janvier 1984, dispose : – que les collectivités peuvent accorder leur participation pour l’un ou l’autre des risques « santé » et « prévoyance » ou pour les deux, –qu’elles peuvent choisir une procédure de sélection des contrats et règlements (voir chapitre II du décret, commenté au III de la circulaire) différente par risque. Elles peuvent choisir la labellisation pour un risque et la convention de participation pour l’autre. En revanche, elles ne peuvent choisir qu’une procédure par risque (au titre du risque santé, par exemple, il n’est pas possible d’aider à la fois dans le cadre d’une convention de participation et dans le cadre de contrats et règlements labellisés – voir IV, 2 de la circulaire). Ce choix, effectué par délibération conformément au code général des collectivités territoriales (1), intervient après avis du comité technique. C. – Le rôle du comité technique dans la procédure L’article 33 de la loi n 84‑53 du 26 janvier 1984, modifié par la loi no 2010‑751 du 5 juillet 2010 relative au dialogue social, dispose que : « Les comités techniques sont également consultés sur les aides à la protection sociale complémentaire, lorsque la collectivité territoriale ou l’établissement public en a décidé l’attribution à ses agents ». Aussi le comité technique est consulté avant le choix de la procédure de sélection (article 4 du décret). En cas de convention de participation, il est consulté une deuxième fois, avant la délibération choisissant le contrat ou le règlement (article 18). Le dialogue social peut aussi porter sur les modalités de la participation (montant, modulation dans un but d’intérêt social...). L’information des représentants du personnel dans le cadre du dialogue social doit permettre la meilleure transparence sur les choix à opérer lors des différentes étapes du processus. o II. – PRINCIPES DE SOLIDARITÉ APPLICABLES AUX GARANTIES COMPLÉMENTAIRES Les aides des collectivités doivent satisfaire aux principes du traité sur le fonctionnement de l’union européenne fixant le régime des aides d’État (article 107, 2, a sur les aides à caractère social). (1) Pour la commune, article L. 2121-29 du CGCT ; pour le département, article L. 3211-1 ; pour la région, article L. 4221-1 et L. 4231-1, donnant compétence à l’assemblée délibérante pour régler les affaires de la collectivité (pour les départements et régions, dans les domaines de compétence que la loi leur attribue). 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 62 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR L’article 22 bis de la loi no 83‑634 du 13 juillet 1983, dans ce cadre, dispose que la participation est « réservée aux contrats ou règlements garantissant la mise en œuvre d’une solidarité entre les bénéficiaires, actifs et retraités ». La solidarité est définie par les principes imposés par le décret (titre IV), qui en distingue trois types : – la solidarité intergénérationnelle consiste en ce que les agents les plus jeunes cotisent en moyenne plus cher que le coût de leurs prestations annuelles, ce qui permet de diminuer en contrepartie les cotisations ou les primes acquittées par les agents les plus âgés. Ainsi, pour le risque « santé », le rapport entre la cotisation due par l’adhérent âgé de plus de trente ans qui acquittera la cotisation la plus élevée, et celui de moins de trente ans qui acquittera la cotisation la moins élevée ne peut être supérieur à 3 (hors coefficient de majoration). Ce critère est apprécié à charge de famille et catégorie statutaire identiques, compte non tenu des pénalisations tarifaires (article 28 [1o] du décret). Cette solidarité a pour conséquence que les retraités bénéficient de « transferts » de la part des actifs. Pour le risque « prévoyance » (article 31), la cotisation ou la prime devra être la même pour tous les agents affiliés, quel que soit leur âge. – en frais de santé, la solidarité familiale naît du fait que les tarifs des familles les plus nombreuses ne peuvent excéder ceux prévus pour les familles de trois enfants (article 29 du décret). – en prévoyance, en plus de la solidarité intergénérationnelle, les cotisations sont établies en fonction de la rémunération (article 31 du décret), ce qui induit une solidarité en fonction des revenus. Sur ces bases, le titre IV du décret du 8 novembre 2011 décline les principes de solidarité à respecter par les contrats et règlements éligibles aux aides. A. – Les principes communs concernant les modalités de présentation des garanties (chapitre 1er – article 27) Il fixe le mode d’expression des garanties (soit en référence aux tarifs servant de base au calcul des prestations de l’assurance maladie, soit en référence à la rémunération des agents, soit en valeur monétaire forfaitaire) et ouvre la possibilité pour les garanties de comporter un choix entre plusieurs options de couverture. Il reprend l’article 22 du décret no 2007‑1373 du 19 septembre 2007 relatif à la fonction publique de l’État. B. – Les principes à respecter par les garanties du risque (chapitre II – articles 28 et 29) « santé » Il s’agit des garanties « en matière de risques portant atteinte à l’intégrité physique de la personne ou liés à la maternité », titre du chapitre II. 1. Les principes de solidarité intergénérationnelle et familiale. – L’article 28 [1o] fixe un écart de cotisation maximum (1 à 3) entre la cotisation la moins chère (demandée aux agents plus jeunes) et la plus chère (demandée aux agents plus âgés, plus exposés aux risques), à charge de famille et catégorie statutaire identiques, et pour une option de garanties comparable. Ne sont pas concernés par le ratio de 1 à 3 les adhérents ou souscripteurs âgés de moins de 30 ans, ce qui permet aux opérateurs d’offrir des tarifs ou des garanties plus attractives pour ces populations, en vue de favoriser une adhésion au dispositif de ces agents dès leur entrée dans la fonction publique. Cette mesure, en attirant des agents jeunes, favorise une bonne mutualisation des risques avec les agents âgés, plus exposés à ceux-ci. – Il ne peut être prévu d’âge maximal d’adhésion (article 28 [2o]). Toutefois, des majorations de cotisation ou de prime sont demandées aux agents et retraités adhérant tardivement à un contrat ou règlement labellisé ou faisant l’objet d’une convention de participation, selon les modalités prévues par l’arrêté du 8 novembre 2011 sur les majorations de cotisation. Certains agents pourraient en effet ne pas adhérer à un contrat ou règlement « solidaire » tant que la cotisation ou la prime de celui-ci serait supérieure à celle de tout autre contrat ou règlement ne pratiquant pas de solidarité intergénérationnelle, pour n’adhérer qu’à un âge proche de la retraite. Ce comportement, s’il était appliqué par un grand nombre d’agents, conduirait à un vieillissement significatif du groupe des adhérents (ou souscripteurs) et aurait pour conséquence une augmentation importante du montant des cotisations ou des primes. Pour éviter ce risque, le décret prévoit des majorations de cotisation ou de prime à l’encontre des agents et retraités qui adhéreraient tardivement à un contrat ou à un règlement ayant fait l’objet d’une labellisation ou d’une convention de participation. Ce régime est prévu par l’article 28 [2o] du décret et l’arrêté du 8 novembre 2011 relatif aux majorations de cotisation. Ainsi, une majoration de cotisation (ou de prime), de 2 % pour toute année non cotisée postérieurement à l’âge de 30 ans à un contrat ou règlement « solidaire », est demandée par l’organisme dans les conditions prévues par ces textes. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 63 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Le décret laisse des délais aux agents et retraités ainsi qu’aux organismes pour entrer dans ce dispositif. La majoration n’est ainsi appliquée : pour les nouveaux agents, qu’à l’issue des deux premières années suivant leur entrée dans la fonction publique ; pour les agents en fonctions à la publication du décret et aux retraités, qu’à compter de la deuxième année suivant la publication de la liste des contrats et règlements labellisés (article 4 de l’arrêté). Par ailleurs, cette majoration n’est pas appliquée aux agents et retraités qui adhéraient déjà à un règlement ou à un contrat pour lequel un label est délivré dans le délai d’un an suivant la publication de la liste des contrats et règlements labellisés (article 33-II du décret). Les organismes qui obtiendraient le label dans le délai d’un an permettront ainsi aux bénéficiaires du contrat ou règlement concerné d’échapper aux majorations de cotisation. Enfin, si un contrat ou un règlement perd son label ou cesse de faire l’objet d’une convention de participation, les périodes écoulées postérieurement sont prises en compte comme durée de cotisation jusqu’au 1er jour du 2e mois suivant la perte du label (voir article 13) ou la fin de la convention de participation (voir article 21). L’arrêté du 8 novembre 2011 précise par ailleurs les modalités de production de justificatif d’adhésion ou de majoration de cotisation. – Les cotisations ou les primes ne peuvent être fixées en fonction de l’état de santé du souscripteur, aucune information médicale ne pouvant être recueillie à cette fin (article 28 [3o] du décret). – Les cotisations ou primes ne sont pas fixées en fonction de la nature de l’emploi du souscripteur (article 28‑3o du décret). – Les cotisations ou primes ne sont pas fixées en fonction du sexe du souscripteur (article 28‑3o du décret). – Les retraités bénéficient des mêmes garanties que les agents (article 28 [3o] du décret). – Les familles les plus nombreuses bénéficient d’une solidarité : les tarifs qui leur sont appliqués ne peuvent excéder ceux des familles comprenant trois enfants (article 28 [3o] du décret). 2. Le décret exige également certaines garanties minimales en matière de santé. a) Les contrats et règlements doivent respecter les critères du contrat « responsable » au sens du code de la sécurité sociale, c’est-à-dire : –conformément à l’article L. 322‑2, laisser à charge de l’assuré une participation forfaitaire fixée à 1 € par l’article R. 322‑9‑2 du même code pour les actes et consultations pris en charge par l’assurance maladie (à l’exclusion de ceux réalisés au cours d’une hospitalisation), les actes de biologie médicale et les franchises médicales laissées à la charge de l’assuré ; – conformément à l’article L. 871‑1, notamment : –ne pas rembourser totalement ou partiellement la majoration du ticket modérateur si l’assuré ne respecte pas le parcours de soins ou refuse de présenter son dossier médical personnel, ainsi que les dépassements d’honoraires des médecins spécialistes consultés en dehors du parcours de soins ; – prévoir des minima pour le remboursement des consultations du médecin traitant, des prescriptions de celui-ci, ainsi qu’au moins deux prestations de prévention. Ces minima de garanties sont détaillés à l’article R. 871‑2 du code de la sécurité sociale ; – prendre en charge, dans les conditions prévues à l’article R. 871‑1, l’intégralité des dépassements d’honoraires encadrés des médecins exerçant à titre libéral une spécialité chirurgicale, obstétricale ou d’anesthésieréanimation ayant opté pour l’option de coordination prévue par la convention nationale des médecins généralistes et spécialistes conclue le 26 juillet 2011 dans sa version résultant de l’arrêté du 21 mars 2012. b) Les contrats et règlements doivent assurer un montant minimum de remboursement ou d’indemnisation, celui prévu par l’arrêté du 19 décembre 2007 pris en application de l’article 23 du décret du 19 septembre 2007 précité, relatif aux agents de l’État. Cet arrêté édicte que le minimum des garanties proposées doit correspondre à ce qui est exigé par les contrats « responsables », décrits ci-dessus, avec une garantie supplémentaire visant à la prise en charge du ticket modérateur pour les actes et consultations effectués lors de l’hospitalisation. Ainsi, à l’occasion d’une hospitalisation dans un établissement de santé, les garanties comprennent au moins la prise en charge « de la participation des assurés ou de leurs ayants droit au sens du I de l’article L. 322‑2 du code de la sécurité sociale », c’est-à-dire le ticket modérateur à l’exception de la participation laissée à la charge de l’assuré par l’article R. 322‑8‑I du code de la sécurité sociale pour certains frais s’élevant à 18 € (cette dernière pouvant être prise en charge, sans que ce soit obligatoire). La durée de prise en charge est d’au moins 365 jours et son montant est limité aux frais exposés. C. – Les principes à respecter par les garanties du risque prévoyance (chapitre III – articles 30 et 31) Il s’agit des garanties incapacité, invalidité et décès, désignées sous la dénomination de risque « prévoyance » (cf. article 2, 2o du décret). 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 64 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Les retraités ne sont pas concernés par ces garanties ; les contrats et règlements doivent ainsi respecter la « solidarité entre bénéficiaires » actifs. 1. Conformément à l’article 2, les garanties proposées sont complémentaires à la « protection sociale de base des agents ». En effet, les agents publics disposent de garanties spécifiques en matière de prévoyance (cf. I, B, 2). Il conviendra de veiller à ce que les garanties proposées par les contrats et règlements ne fassent pas « doublon » avec les droits ouverts aux agents publics et prennent en compte ces spécificités du secteur public. 2. Pour être éligibles à la participation des collectivités, les contrats et règlements de prévoyance doivent comprendre au minimum la garantie « incapacité de travail » (article 30 du décret). Elle complète le demi-traitement que verse l’employeur en cas de maladie, en vertu de l’article 57 de la loi no 84‑53 du 26 janvier 1984 pour les fonctionnaires et du titre III du décret no 88‑145 du 15 février 1988 pour les agents non titulaires. Les contrats et règlements peuvent comprendre, en plus, des garanties supplémentaires. Pour les fonctionnaires, elles viennent en complément, en matière d’invalidité, de leurs droits spécifiques à une retraite pour invalidité (décret no 2003‑1306 du 26 décembre 2003, titre V) ; en matière de décès, de leurs droits spécifiques au capital-décès définis par le décret no 60‑58 du 11 janvier 1960. 3. En outre, les contrats et règlements faisant l’objet d’une convention de participation accompagnée d’une opération collective facultative, devront satisfaire à des critères de solidarité (article 31 du décret). Il s’agit d’une solidarité intergénérationnelle – absence d’âge maximal d’adhésion, de questionnaire médical – et en fonction de la rémunération (tarif au même taux pour les agents affiliés, exprimé en pourcentage de la rémunération), sous réserve toutefois que les agents adhèrent dans les 6 mois de leur embauche ou, pour les agents en place, de la prise d’effet du contrat ou du règlement. Passé ce délai, si l’adhésion est acceptée, elle pourra être subordonnée à une tarification différente fondée sur un questionnaire médical. Les agents en arrêt de travail peuvent adhérer au contrat ou au règlement dans les conditions prévues par celui-ci. Certains agents peuvent cependant être déjà couverts, à titre individuel, par des organismes exigeant que la résiliation de leur garantie, au titre d’une année, s’effectue à date fixe. Afin de ne pas pénaliser ces agents, il est souhaitable que la convention (dossier de mise en concurrence) prévoie de les prendre en compte, pourvu qu’ils demandent leur adhésion dans le délai de 6 mois, l’effet de celle-ci étant toutefois reporté à compter de l’expiration de leur précédente garantie. Cette convention offre les avantages suivants. En adhésion individuelle, les tarifs sont souvent fonction du « risque » représenté par l’agent, donc de son âge et de son état de santé : le tarif est alors d’autant plus élevé que l’agent est âgé et en moins bonne santé. Or, pour les conventions de participation, l’article 31 impose que, sous certaines conditions, les agents puissent adhérer sans condition d’âge ou d’état de santé et que le tarif soit le même pour tous. Ce système est avantageux pour les agents les plus âgés, les plus exposés aux risques. Il encourage également les plus jeunes à adhérer, favorisant ainsi une meilleure mutualisation des risques avec les personnes les plus âgées. Pour vérifier que les contrats et règlements satisfont aux principes de solidarité ainsi exposés, les collectivités peuvent soit engager une procédure de mise en concurrence « ad hoc », soit aider les agents qui auront adhéré à un contrat ou règlement « labellisé ». III. – MODALITÉS DE SÉLECTION DES GARANTIES POUVANT DONNER LIEU À PARTICIPATION Les collectivités peuvent apporter leur participation au titre des seuls contrats et règlements satisfaisant aux principes de solidarité du titre IV du décret. Deux procédures de sélection sont prévues pour vérifier ceux-ci par le titre II du décret, en lien avec les besoins des collectivités et au choix de celles-ci : la « labellisation » et la convention de participation. Elles reposent sur l’article 88‑2 de la loi no 84‑53 « sont éligibles à la participation des collectivités ... les contrats et règlements... remplissant la condition de solidarité prévue à l’article 22 bis de la loi du 13 juillet 1983, attestée par la délivrance d’un label... ou vérifiée dans le cadre de la procédure de mise en concurrence (convention de participation) » (1). Les modalités de ces deux procédures sont explicitées ci-après. (1) Le choix entre ces procédures a été ouvert pour que les collectivités puissent choisir celle adaptée à leur contexte local. La labellisation n’existe pas à l’Etat, elle a été créée pour la fonction publique territoriale qui comporte « un très grand nombre d’employeurs territoriaux » qui ont une « taille très hétérogène » afin que ceux-ci puissent également disposer « d’une procédure plus simple » (cf. travaux parlementaires-commission des lois du Sénat, 17 juin 2009) et pour permettre aux collectivités « de continuer à aider leurs agents lorsque ceux-ci se répartissent entre de nombreux organismes » (cf. décision de la Commission européenne du 23 février 2011). 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 65 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR A. – La procédure de « labellisation » (articles 5 à 14) Les collectivités peuvent aider au titre de contrats ou de règlements « labellisés ». 1. La procédure d’habilitation des prestataires chargés de la « labellisation » (articles 5 à 10). Les labels sont délivrés par des prestataires privés (« labellisateurs ») habilités par l’Autorité de contrôle prudentiel, selon une procédure décrite à la section 1 (articles 5 à 10). Les prestataires présentent leur demande à l’Autorité de contrôle prudentiel, sous forme d’un dossier dont la composition est prévue par l’arrêté du 8 novembre 2011 correspondant. Le modèle de dossier peut être retiré auprès de l’Autorité, sur son site internet dans la rubrique « Agréments et autorisations » (www.acp.banque-france.fr/acp/agrements-et-autorisations). Les dispositions de la loi no 2000‑321 du 12 avril 2000 relatives au régime des décisions prises par les autorités administratives (titre II, chapitre II) s’appliquent à cette procédure. Les prestataires sont habilités pour trois ans. À l’issue de trois ans, lorsque les « labellisateurs » demandent un renouvellement d’habilitation, ils remettent un rapport d’activité à l’Autorité de contrôle prudentiel. L’arrêté du 8 novembre 2011 précise le contenu de ce rapport, qui permet notamment à l’Autorité de contrôle prudentiel de vérifier : – que le prestataire a « labellisé » selon les principes de solidarité du décret (article 9) ; – qu’il a contrôlé le respect des règles comptables visées à l’article 24. Aussi comporte-il un bilan quantitatif et qualitatif de l’activité du prestataire en matière de labellisation, notamment : 1o Une note de présentation générale de son activité relative aux labels délivrés. Cette note indique le nombre de contrats ou règlements examinés et les décisions d’octroi et de refus ainsi que les motifs des refus ; 2o Une annexe comportant les notes techniques exposant, pour chacun des contrats et règlements qui lui ont été transmis pour délivrance du label, les analyses que le prestataire a réalisées au regard : a) d es conditions fixées par l’article 2 du décret (portant sur les risques minimums à garantir et la complémentarité des garanties à la protection sociale de base des agents) ; b) des principes de solidarité définis au titre IV de ce décret ; c) des règles relatives à la comptabilité mentionnées à l’article 24 de ce même décret ; 3o Les décisions d’octroi et de refus de label, les contrats et règlements concernés ainsi que les correspondances échangées. L’article L. 310‑12‑2 du code des assurances confère à l’Autorité de contrôle prudentiel les pouvoirs suivants : –Elle peut retirer l’habilitation « à la demande du prestataire ». En ce cas, le décret prévoit (article 10, dernier alinéa) que le silence gardé par l’Autorité de contrôle prudentiel à l’issue d’un délai de deux mois à compter de l’enregistrement de la demande vaut acceptation. –L’Autorité de contrôle prudentiel peut également retirer l’habilitation « lorsque les conditions mises à son octroi ne sont plus satisfaites ». –Lors de la demande de renouvellement de l’habilitation, l’Autorité de contrôle prudentiel « apprécie l’activité du prestataire au vu du rapport que lui remet celui-ci » et qui est cité plus haut. Elle peut « refuser le renouvellement en cas d’insuffisances constatées » dans l’activité de labellisation, donc si les décisions prises ne sont pas conformes aux principes de solidarité et aux règles comptables du décret. Dans ces deux derniers cas, le prestataire doit avoir été mis à même de présenter ses observations écrites et, le cas échéant, orales. Le prestataire qui sollicite son habilitation, son renouvellement ou le retrait de celle-ci est tenu de répondre à toute demande de renseignement ou de pièces de l’Autorité de contrôle prudentiel (article 10 du décret). Cette procédure étant du ressort de l’Autorité de contrôle prudentiel, c’est auprès de celle-ci que les prestataires pourront obtenir des éléments complémentaires. 2. La procédure de « labellisation » elle-même (articles 11 à 14). Les organismes intéressés transmettent leur contrat ou règlement pour labellisation à un prestataire habilité. Le prestataire délivre le label si le contrat (ou le règlement) est conforme : –aux principes de solidarité du titre IV du décret, –aux règles comptables de l’article 24 du décret (contrôle, lorsque la participation est versée à l’organisme, de la tenue par celui-ci d’une comptabilité permettant d’en retracer l’utilisation au bénéfice des agents et de la mention de la participation sur les appels de cotisation ou de prime). Le prestataire établit une note pour chacune des demandes, exposant les analyses réalisées et leurs conclusions (article 12). Ces notes seront à joindre en annexe au rapport d’activité du prestataire (article 9). 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 66 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Les décisions du prestataire, habilité par une autorité administrative pour exercer la tâche de labellisation, relèvent du chapitre II de la loi no 2000‑321 du 12 avril 2000 modifiée relative aux droits des citoyens dans leurs relations avec l’administration. Aussi, le prestataire doit accuser réception des demandes (article 19 de la loi), dans les formes prévues par le décret no 2001‑492 du 6 juin 2001, en précisant : 1o La date de réception de la demande et la date à laquelle, à défaut d’une décision expresse, celle-ci sera réputée rejetée ; 2o La désignation, l’adresse postale et, le cas échéant, électronique, ainsi que le numéro de téléphone du service chargé du dossier. L’accusé de réception indique que la demande est susceptible de donner lieu à une décision implicite de rejet. Il mentionne les délais et les voies de recours à l’encontre de la décision. Décisions favorables du prestataire Si le prestataire prend une décision accordant le label, il la notifie par lettre recommandée avec avis de réception à l’organisme (article 11 du décret). Simultanément, il la communique au ministère (même article 11), chargé d’établir la liste des contrats et règlements labellisés, à l’adresse suivante : Ministère de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration – Direction générale des collectivités locales – Sous-direction des élus locaux et de la fonction publique territoriale – Bureau P3 – place Beauvau, 75800 Paris. La liste des contrats et règlements labellisés sera accessible sur site internet du ministère chargé des collectivités territoriales (http://www.dgcl.interieur.gouv.fr/ sections/les_collectivites_te/fonction_publique_te/protection_sociale/complementaire/). Le contrat ou le règlement est labellisé pour une durée de trois ans (renouvelable – article 13). Décisions défavorables du prestataire Si le prestataire garde le silence pendant plus de deux mois après la demande de l’organisme, conformément à la loi no 2000‑321 du 12 avril 2000 relative aux droits des citoyens dans leurs relations avec l’administration (article 21) ce silence vaut décision implicite de rejet. Une telle décision implicite n’est pas motivée. En revanche, conformément à l’article 5 de la loi no 79‑587 du 11 juillet 1979, l’organisme peut demander, dans les délais du recours contentieux, les motifs de la décision et en vertu du même article, le prestataire répond dans le délai d’un mois. Si le prestataire prend une décision expresse de refus, il la notifie à l’organisme, en indiquant les délais et voies de recours (article 8 de la loi no 78‑753 du 17 juillet 1978). En vertu de l’article 13 du décret, les modifications intervenant au cours des 3 ans du label sont transmises au prestataire habilité qui vérifie que les conditions du label sont toujours satisfaites. Si elles ne le sont plus, le prestataire retire le label dans les conditions prévues par ce même article, et en informe immédiatement le ministre des collectivités territoriales à l’adresse mentionnée ci-dessus. L’article 13 édicte les conséquences du retrait ou du non-renouvellement du label par le prestataire. L’organisme doit en informer les agents dans un délai d’un mois à compter de la notification de la décision, en leur précisant les majorations de cotisation qui peuvent en résulter pour eux, définies à l’article 28. Ces majorations prennent effet, pour les agents, à compter du premier jour du 2e mois suivant la fin du label. B. – La procédure de « convention de participation » 1. Le lancement de la procédure La convention de participation a pour base législative l’article 88‑2, II de la loi no 84‑53 du 26 janvier 1984 : « Pour l’un ou l’autre ou pour l’ensemble des risques en matière de santé et prévoyance, les collectivités territoriales et leurs établissements publics ont la faculté de conclure avec un des organismes mentionnés au I, à l’issue d’une procédure de mise en concurrence transparente et non discriminatoire permettant de vérifier que la condition de solidarité prévue à l’article 22 bis de la loi no 83‑634 du 13 juillet 1983 précitée est satisfaite, une convention de participation au titre d’un contrat ou règlement à adhésion individuelle et facultative réservée à leurs agents. Dans ce cas, les collectivités et leurs établissements publics ne peuvent verser d’aide qu’au bénéfice des agents ayant adhéré à ce contrat ou règlement. Les retraités peuvent adhérer au contrat ou règlement faisant l’objet d’une convention de participation conclue par leur dernière collectivité ou établissement public d’emploi. » Ce texte, appliqué par le chapitre 2 du décret, définit les caractéristiques de la convention de participation : c’est une convention spécifique et non un marché public (a), qui peut être souscrite pour un type de risque ou l’ensemble de ceux-ci (b), un seul opérateur peut être choisi (c), la convention est conclue au titre du contrat ou du règlement choisi (d), elle fait l’objet d’une procédure transparente et non-discriminatoire destinée à vérifier la solidarité du contrat ou du règlement (e). 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 67 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR a) La convention de participation est un contrat spécifique, ce n’est pas un marché public. Les marchés publics, selon la définition du code des marchés (article 1er) reprenant un avis du Conseil d’État no 370169 du 18 mai 2004, sont des « contrats conclus à titre onéreux conclus entre les pouvoirs adjudicateurs et des opérateurs économiques... pour répondre à leurs besoins ». Un marché public est ainsi caractérisé lorsque la somme versée par le pouvoir adjudicateur a un lien direct avec les prestations effectuées (Conseil d’État, 29 novembre 2003, Communauté urbaine de Lyon no 241524). Or, les conventions de participation n’ont pas pour objet de satisfaire les besoins des employeurs publics. Elles ont pour but de sélectionner un seul contrat ou règlement de protection sociale ouvrant droit aux aides destinés aux agents, satisfaisant à la solidarité exigée par la loi (1). À cet effet, le décret crée une procédure spécifique (articles 15 à 19). Les sommes versées à l’organisme choisi ne sont pas une rémunération de celui-ci, il s’agit des aides de la collectivité à ses agents, que l’organisme leur répercute (2). Ces conventions ne constituent donc pas des marchés publics. Il convient de noter que le visa du code des marchés figurant au décret ne se rapporte pas aux conventions de participation mais à l’article 5‑4o du décret relatif aux prestataires chargés de labelliser (qui ne doivent pas avoir fait l’objet de l’une des interdictions de soumissionner prévues par le code des marchés). b) Une convention peut être conclue pour un type de risque ou l’ensemble des risques. Les collectivités peuvent choisir une procédure différente par type de risque comme précisé à propos de l’article 4 du décret (voir I, B). Si elles choisissent la convention de participation, l’article 88‑2‑II de la loi du 26 janvier 1984 dispose qu’elles peuvent le faire « pour l’un ou l’autre ou pour l’ensemble des risques en matière de santé et de prévoyance ». Une convention peut être conclue soit pour le risque santé, soit pour le risque prévoyance, soit pour les deux risques (par convention distincte pour chaque risque ou par convention portant sur l’ensemble des risques). c) Un seul opérateur peut être choisi au titre de chaque risque (un seul pour les deux risques pouvant l’être aussi, cf ci-dessus) : « les collectivités territoriales et leurs établissements publics ont la faculté de conclure avec un des organismes... » (article 88‑2 de la loi du 26 janvier 1984). Ce principe est rappelé à l’article 15 du décret. d) La convention est conclue « au titre » du contrat ou du règlement choisi. L’article 88‑2 dispose que les collectivités peuvent conclure « une convention de participation au titre d’un contrat ou règlement à adhésion individuelle et facultative réservée à leurs agents ». La procédure de convention de participation comprendra ainsi deux types de documents : – la convention elle-même ; – le contrat ou règlement au titre duquel elle est conclue ; La « convention de participation » elle-même est un document de subventionnement, destiné à régler les relations financière entre la collectivité et l’organisme et à s’assurer que celui-ci s’engage sur les conditions solidaires exigées par le décret. À ce titre la convention reprend, dans ses clauses, les obligations de l’organisme définies par le décret tant envers les adhérents (par exemple l’engagement à proposer pendant la durée de la convention l’ensemble des options prévues dans les garanties proposées (3), l’absence de fixation des cotisations ou primes en fonction d’un questionnaire médical (4)...) qu’envers la collectivité (par exemple la production d’un rapport à l’issue de 3 ans ainsi qu’au terme de la convention montrant comment a été mise en pratique l’offre d’assurer la solidarité entre les adhérents ainsi qu’une couverture effective des plus âgés et des plus exposés aux risques (5)). L’organisme contractant comme la collectivité s’engage sur l’ensemble des obligations définies par le décret pour la convention de participation, dans quelque chapitre du décret qu’elles figurent. La convention de participation est accompagnée du contrat ou du règlement « au titre » duquel elle est conclue (article 88‑2 de la loi du 26 janvier 1984). La convention de participation règle les relations spécifiques collectivité/organisme ; elle est accompagnée du contrat ou du règlement définissant les droits et obligations des agents assurés. (1) Article 22 bis de la loi no 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires. (2) Cf. article 24, alinéa 2, du décret du 8 novembre 2011 : la participation est versée aux agents ou à l’organisme et, dans ce dernier cas, celui-ci doit la répercuter intégralement aux agents en réduction de la cotisation ou de la prime. (3) Cf. article 17 du décret. (4) Articles 28 (2o) et 31 (2o) du décret. (5) Article 19 du décret. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 68 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Il s’agit de contrats ou règlements à adhésion individuelle des agents, conformément à l’article 88‑2 de la loi de 1984 : –Contrat (entreprises d’assurance, article L. 112‑2 du code des assurances ; institutions de prévoyance, article L. 932‑14 du code de la sécurité sociale) ou règlement (mutuelles : articles L. 114‑1 et L. 221‑2-II du code de la mutualité ; institutions de prévoyance : article L. 932‑14 du code de la sécurité sociale) auxquels les agents adhèrent directement. Celui-ci sera annexé à la convention. – Opération collective à adhésion facultative : l’employeur la souscrit et les agents y adhèrent s’ils le souhaitent (voir partie I, B, 1). En ce cas la collectivité, en même temps que la convention, souscrit auprès de l’organisme l’un des documents prévus par les textes pour ce type d’opération : – soit un bulletin d’adhésion au règlement de l’organisme, ouvert à l’adhésion facultative des agents (mutuelles, article L. 221‑2-III du code de la mutualité ; institutions de prévoyance, article L. 932‑14 du code de la sécurité sociale) ; –soit un contrat : contrat « de groupe » à adhésion facultative pour les agents (entreprises d’assurance, article L. 141‑1 du code des assurances ; contrat « collectif » à adhésion facultative pour les agents (mutuelles et institutions de prévoyance, voir articles L. 221‑2-III, code de la mutualité et L. 932‑14 du code de la sécurité sociale). Ces documents, qui accompagnent la convention de participation, sont ensuite proposés à l’adhésion facultative et individuelle des agents. e) La convention fait l’objet d’une procédure transparente et non discriminatoire destinée à vérifier le caractère solidaire du contrat ou du règlement. 1re étape : La collectivité consulte le comité technique et délibère sur les éléments essentiels de la future convention. Le comité technique est consulté, conformément à l’article 33 de la loi no 84‑53 du 26 janvier 1984 issu de la loi « dialogue social » no 2010‑751 du 5 juillet 2010, « sur les aides à la protection sociale complémentaire, lorsque la loi en a décidé l’attribution à ses agents ». La collectivité délibère sur les éléments essentiels de la convention (en pratique, le projet de convention et le dossier soumis à la mise en concurrence), conformément au code général des collectivités territoriales qui prévoit que l’assemblée délibérante règle les affaires de la collectivité, l’exécutif exécutant ses décisions (1). À cette occasion, la collectivité détermine le montant estimé ou la fourchette de participation qu’elle prévoit, comme mentionné dans le modèle d’avis de mise à la concurrence défini par arrêté du 8 novembre 2011, commenté ci-après. Cette délibération pourra, le cas échéant, intervenir en même temps que celle sur le choix de la procédure (labellisation ou convention de participation) après avis du comité technique, délibération prévue par l’article 4 du décret. 2e étape : La collectivité publie l’avis d’appel à la concurrence. L’avis d’appel à la concurrence est publié avec les précisions mentionnées à l’article 15 du décret : 1o Les modalités de présentation des offres de candidature, dont le délai de réception ne peut être inférieur à quarante-cinq jours à compter de la date de publication de l’avis d’appel à la concurrence ; 2o Les niveaux minimaux de capacité demandés aux candidats et les renseignements à fournir à cet effet ; 3o Les caractéristiques essentielles de la convention envisagée, notamment son objet, sa nature et les personnels intéressés ; 4o Les critères de choix de la collectivité territoriale ou de l’établissement public. Ces critères de choix marquent la spécificité de la convention de participation à sélectionner un contrat ou un règlement solidaire. Ils sont définis par l’article 18 du décret et un arrêté du 8 novembre (texte no 71 au JO du 10 novembre) fixe la liste des documents et justificatifs à demander aux candidats. Ils sont commentés ci-après, à propos des critères de choix de la collectivité. L’avis est publié dans une publication habilitée à recevoir les annonces légales et dans une publication spécialisée dans le secteur des assurances. Afin de déterminer les publications habilitées à recevoir les annonces légales, il convient de se reporter à la liste fixée chaque année par arrêté préfectoral dans le département où est institué le siège de l’employeur public (article 2 de la loi no 55‑4 du 4 janvier 1955). À cet effet, il convient de préciser que le Bulletin officiel d’annonces des marchés publics (BOAMP) est une publication habilitée à recevoir les annonces légales (CE, 19 novembre 2004, « commune d’Auxerre c/ société Saur France », req no 266975). S’agissant de la publicité effectuée (1) Pour le maire, articles L. 2121-29 et L. 2122-21 du CGCT ; pour le président du conseil général, articles L. 3211-1 et L. 3221-1, R. 3221-1 ; pour le président du conseil régional, articles L. 4221-1 et L. 4231-1. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 69 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR dans ce bulletin, un formulaire dédié est en cours d’élaboration. Dans l’attente, le formulaire relatif aux marchés de prestations de service peut être utilisé en indiquant qu’il s’agit d’une convention de participation au titre de la protection sociale complémentaire. Par ailleurs, au-delà d’un seuil fixé à 100 000 € de montant annuel de participation financière prévue par l’arrêté du 8 novembre 2011 relatif à l’avis d’appel à la concurrence, l’avis est également publié au Journal officiel de l’Union européenne selon un formulaire annexé à cet arrêté (les mentions figurant dans ce formulaire peuvent être reprises dans l’avis d’appel à la concurrence publié au niveau national). Dans ce cas, les avis destinés aux autres publications leur sont adressés après l’envoi de l’avis à l’office des publications officielles de l’union européenne. 3e étape : La collectivité fournit aux candidats un document définissant les caractéristiques quantitatives et qualitatives de son personnel et des prestations à proposer (article 16 du décret). S’agissant du risque « santé » qui concerne également les retraités, les caractéristiques de la population portent également sur ceux-ci. Les collectivités peuvent les obtenir auprès des caisses de retraite (CNRACL et IRCANTEC), habilitées à fournir aux collectivités des renseignements non nominatifs concernant le sexe, l’âge et le niveau moyen des pensions relatifs à la population retraitée. Elles passent à cet effet une convention avec les Caisses et remboursent celles-ci selon les modalités financières fixées par cette convention (article 16, alinéa 2 du décret). S’agissant du risque « prévoyance », les caractéristiques quantitatives et qualitatives de la population doivent intégrer un état déclaratif des risques à couvrir pour l’ensemble des agents, affiliés ou non à la CNRACL. Les articles L. 113‑8 et 9 du code des assurances sanctionnent l’omission ou la déclaration inexacte du risque. De façon comparable à ce qui a été préconisé pour la fonction publique de l’État, pourraient être présenté aux candidats : – S’agissant du risque incapacité : Pour les agents affiliés et non affiliés à la CNRACL sur les 3 derniers exercices, le nombre d’agents arrêtés et de jours indemnisés à plein et demi traitement pour chacun des congés de maladie (maladie ordinaire, longue maladie, longue durée, grave maladie) et en disponibilité d’office ; – S’agissant du risque invalidité, sur les 3 derniers exercices le nombre d’agents mis à la retraite pour invalidité par la CNRACL ou ayant obtenu une pension d’invalidité de la Sécurité sociale ; – S’agissant du risque décès, sur les 3 derniers exercices le nombre d’agents décédés ; – L’évolution des effectifs sur les 3 derniers exercices et la pyramide des âges. La collectivité veille à ce que chaque candidat reçoive un document identique afin que le principe d’égalité entre les candidats soit respecté. Elle peut leur transmettre un dossier de candidature. Les caractéristiques de la population et, le cas échéant, le dossier de candidature, doivent pouvoir être communiquées dès la publication de l’avis d’appel à la concurrence aux candidats qui en font la demande auprès du service compétent. La collectivité peut par ailleurs fixer une date limite de retrait des dossiers antérieure à la date limite de dépôt des offres. 4e étape : Les candidats remettent leur offre. L’offre est remise dans le délai fixé par la collectivité et qui ne pourra être inférieur à 45 jours (cf article 15, 1o du décret). Le contenu de cette offre est fixé par les articles 17 et 18 du décret. Elle comprend les éléments suivants : 1. « les conditions générales d’adhésion » (article 17, 1o) ; 2. « les prestations offertes » (article 17, 2o) ; 3. « pour chacune des options, le tarif proposé » (article 17, 3o), c’est-à-dire le contrat ou le règlement proposé aux agents (cf. point I.4, b). À cet égard, s’il s’agit d’un contrat collectif ou de groupe, il n’a pas besoin de faire l’objet d’une mise en concurrence distincte. Il forme un ensemble unique avec la convention de participation ; 4. « les limites, âge par âge, au-delà desquelles ce tarif ne peut évoluer » (article 17, 4o). Il s’agit d’éviter que des organismes présentent des tarifs très attractifs sur certaines tranches d’âge (exemple : les moins de 40 ans), aménant ceux-ci à se désaffilier d’organismes plus solidaires, lesquels conserveraient seulement les adhérents les plus âgés. Il en résulterait un écart tarifaire global entre opérateurs. Pour faire face à ce risque, les organismes fournissent, en plus de l’ensemble des tarifs correspondant à leur offre, les évolutions de tarif âge par âge envisagées sur les 6 ans de la convention ; 5. « Une précision du degré effectif de solidarité et de la maîtrise financière du dispositif envisagé » (article 17, 5o). Le contenu de ces documents est précisé dans un arrêté du 8 novembre relatif aux critères de choix de la collectivité : – La « précision du degré effectif de solidarité » Ce « degré » est à comprendre en fonction du critère de choix correspondant qui sera appliqué par la collectivité (cf. article 18, 2o) : « degré effectif de solidarité entre les adhérents ou souscripteurs, intergénérationnelle, en fonction de la rémunération et, pour le risque “santé”, familiale ». 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 70 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Les contrats et règlements éligibles aux aides respectent, au minimum, les principes de solidarité prévus au titre IV du décret (commentés dans la partie II de la présente circulaire). Sur ces bases minimales, ils présentent un degré de solidarité plus ou moins grand que la collectivité appréciera. En vue de permettre cette appréciation, les organismes candidats transmettent les prévisions des transferts de solidarité qu’ils mettront en œuvre, s’ils sont choisis. Plus les transferts seront élevés, plus la tarification sera « solidaire ». S’agissant des transferts en matière de solidarité intergénérationnelle et familiale, ces prévisions sont calculées conformément à l’arrêté du 8 novembre 2011 relatif aux critères de choix. S’agissant de la solidarité en fonction de la rémunération (obligatoire pour le risque « prévoyance » au cas où la convention est accompagnée d’une opération collective facultative (voir article 31, 1o du décret), il est préconisé d’en fixer les modalités d’appréciation dans le dossier de mise en concurrence. À titre d’exemple, elles peuvent porter, en s’inspirant des recommandations pour la fonction publique de l’État, sur le montant des transferts monétaires envisagés entre les adhérents à bas et à haut revenu. Les éléments justifiant de ce calcul doivent être joints. Les candidats fournissent également des éléments permettant à la collectivité de vérifier (article 18, 4o) « Les moyens destinés à assurer une couverture effective des plus âgés et des plus exposés aux risques ». Celle-ci peut être effectuée par la présentation, par les candidats, de leur stratégie de recrutement, assortie d’engagements tarifaires âge par âge. Aussi est-il recommandé de poser aux candidats des questions permettant de juger ces éléments, telles que : plan de communication envisagé vis-à-vis de ces populations spécifiques, contacts possibles pour les agents (téléphonique, rendez-vous personnalisé, internet), accessibilité à l’organisme (plages horaires, lieu)... – « La maîtrise financière du dispositif envisagé » Ce critère est destiné à vérifier la viabilité financière du contrat. Il est précisé dans l’arrêté relatif aux critères de choix du 8 novembre 2011. 6. Chaque candidat « s’engage également », en cas de sélection, à offrir à la population intéressée, pendant les 6 ans de la convention et selon les modalités prévues au présent décret, « l’ensemble des options prévues dans les garanties proposées » (article 17, dernier alinéa) ; 7. Des « garanties professionnelles, financières et prudentielles » (article 18, premier alinéa). 5e étape : La collectivité examine les offres (article 18 du décret). Son choix est préparé sur la base des critères suivants : 1. « Examen des garanties professionnelles, financières et prudentielles présentées par les candidats » (article 18, premier alinéa). Les candidats dont les justifications sont insuffisantes sont éliminés (cf. CE, ordonnance du 15 décembre 2006, « Sté Corsica Ferries », req. no 298618). La procédure prévue par le décret ne comporte pas deux étapes (examen des garanties financières, professionnelles et prudentielles des candidats puis présentation d’une offre par les candidats sélectionnés). L’examen des garanties professionnelles, prudentielles et financières constitue seulement un élément d’appréciation des dossiers présentés par les candidats. À titre d’illustration, tirés de jurisprudence portant sur d’autres types de contrat : Concernant l’examen des garanties financières, le chiffre d’affaires d’un organisme peut être pris en compte (cf. CE, 21 juin 2000, « Syndicat intercommunal de la Côte d’Amour et presqu’île guérandaise », req no 209319) ; il convient, toutefois, de veiller à ne pas porter atteinte à l’égalité entre les candidats (cf. CAA, Nantes, 22 décembre 1999, « District urbain de l’agglomération nantaise », req no 95NT00738 : en l’espèce, il était exigé des candidats un chiffre d’affaires cinq fois supérieur au montant du coût du projet). De même, le capital social, le minimum de fonds propres, la caution et autres garanties externes constituent autant d’éléments pouvant être examinés dans ce cadre (1). Les garanties professionnelles visent à attester des capacités techniques de l’organisme candidat. Les garanties prudentielles sont, par exemple, le ratio de marge de solvabilité ou le montant des fonds propres. Les offres de tous les candidats présentant des garanties financières, professionnelles et prudentielles suffisantes sont examinées par l’employeur (cf. CE, 30 juin 1999, « SMITOM », Centre ouest Seine et Marnais, req no 198147). 2. « Les principes de solidarité fixés au titre IV » (article 18, premier alinéa). Ces principes ont été commentés dans la partie II. Ils constituent la base minimum du choix des offres. (1) Groupe moniteur, DSP, décembre 2004, II, 210-2 sélection des candidats, examen des candidatures. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 71 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 3. Les critères de l’article 18 1o « Le rapport entre la qualité des garanties et le tarif proposé ». Si le coût des garanties proposées est un élément du choix, la complémentarité des garanties avec celle du statut de la fonction publique (pour les fonctionnaires et les agents non titulaires de droit public) et du régime de sécurité sociale sont à prendre en compte. La richesse des options pourrait également l’être. Les évolutions de tarif proposées par les organismes candidats sont également appréciées, car celui sélectionné s’engage sur ses propositions pour toute la durée de la convention (voir article 17 du décret). 2o « Le degré effectif de solidarité entre les adhérents ou les souscripteurs, intergénérationnelle, en fonction de la rémunération et, pour le risque “santé”, familiale ». Ce critère applique la condition de solidarité exigée par la loi du 13 juillet 1983 (article 22 bis) portant droits et obligations des fonctionnaires. Il a été analysé dans la partie relative à la 4e étape – les candidats remettent leur offre. 3o « La maîtrise financière du dispositif ». Ce critère a également été commenté dans la partie relative à la 4e étape. 4o « Les moyens destinés à assurer une couverture effective des plus âgés et des plus exposés aux risques ». Ce critère a été examiné avec celui relatif au degré effectif de solidarité, dans la partie relative à la 4e étape. La collectivité dispose d’une marge pour apprécier la pondération à affecter à ces différents critères, la pondération devant apparaître dans l’avis d’appel public à la concurrence. Ces pondérations, à titre d’exemple selon les recommandations effectuées pour la fonction publique d’État, pourraient être égales à : 30 % pour le rapport entre la qualité des garanties et le tarif proposé ; 40 % pour le degré effectif de solidarité entre les adhérents ou les souscripteurs ; 20 % pour la maîtrise financière du dispositif ; 10 % pour les moyens destinés à assurer une couverture effective des plus âgés et des plus exposés aux risques. 5. « Tout autre critère objectif respectant l’obligation de transparence et de non-discrimination, adapté à la couverture de la population intéressée » (article 18, 5o). Cette disposition permet aux collectivités de définir un critère supplémentaire pour qu’elles puissent s’adapter, le cas échéant, aux spécificités de leur personnel. Toutefois, si la collectivité souhaite ajouter des critères à la couverture spécifique de ses agents, ceux-ci doivent être justifiés afin d’éviter tout risque contentieux. 6e étape : La collectivité consulte le comité technique et délibère sur le choix du contrat ou du règlement. Le choix du contrat ou du règlement est effectué « par délibération, après avis du comité technique » (article 18, premier alinéa, du décret). L’article 18 du décret dispose que la collectivité « après examen des garanties professionnelles, financières et prudentielles présentées par les candidats, fonde son choix, par délibération, après avis du comité technique, sur les principes de solidarité fixés au titre IV et sur les critères suivants (1o rapport entre qualité des garanties et tarif proposé ; 2o degré effectif de solidarité entre les souscripteurs, intergénérationnelle, en fonction de la rémunération et, pour le risque santé, familiale ; 3o la maîtrise financière du dispositif ; les moyens destinés à assurer une couverture effective des plus âgés et des plus exposés aux risques ; 4o tout autre critère objectif... adapté à la couverture de la population intéressée ».) Le comité technique est consulté préalablement au choix du contrat ou du règlement qui est ensuite effectué par l’organe délibérant. Lors de cette consultation, une synthèse de l’examen des offres est présentée par l’autorité territoriale. 7e étape : La collectivité signe la convention (article 19 du décret). – La convention est accompagnée d’un document destiné à régler les droits et obligations des agents envers l’organisme (cf. II, B, 1, d). Ces documents sont régis par les dispositions correspondantes des codes de la mutualité, de la sécurité sociale ou des assurances ainsi que par la loi « Evin » no 89‑1009 du 31 décembre 1989 renforçant les garanties des personnes assurées contre certains risques. – La convention est conclue pour une durée de six ans. Elle peut être « prorogée pour des motifs d’intérêt général, pour une durée ne pouvant excéder un an ». – La collectivité ou l’établissement « informe ses agents de la signature de cette convention, des caractéristiques du contrat ou du règlement au titre duquel elle est conclue ainsi que des modalités d’adhésion à celui-ci. » Elle procède à cette information par tous moyens (internet, affichage sur les lieux de travail...). 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 72 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR – Concernant les retraités, ils sont informés et peuvent adhérer à la convention de participation conclue par leur dernier employeur selon les modalités rappelées en I, A, 3. – Dans un souci de sécurité juridique, la conclusion de la convention ainsi que les modalités de sa consultation sont également rendues publiques par voie de presse, afin que le recours éventuel des candidats évincés à l’encontre de cette convention soit enfermé dans un délai de deux mois à compter de la publication. En l’absence de publicité, ces derniers sont en effet recevables à demander au juge l’annulation de la convention sans délai (CE, 16 juillet 2007, « Société Tropic travaux signalisation », no 291545, publié au recueil Lebon). La collectivité pourrait combiner ces mesures de publicité avec une notification individuelle aux candidats non retenus. 2. L’exécution de la convention de participation a) Les tarifs L’organisme s’engage sur sa tarification pour la durée de la convention (article 17, 3o et 4o, du décret). Cependant des possibilités pour l’organisme de faire varier son tarif sont introduites, si le changement « revêt un caractère significatif », dans les cas définis à l’article 20 du décret Il s’agit : 1o de l’aggravation de la sinistralité (par exemple, une épidémie) ; 2o de la variation du nombre d’agents et de retraités adhérents ou souscripteurs, à la hausse comme à la baisse ; 3o des évolutions démographiques : par exemple, évolution des effectifs de la collectivité non conforme aux prévisions et conduisant à un vieillissement du groupe d’adhérents ou souscripteurs, ne permettant plus d’assurer les solidarités intergénérationnelles prévues ; 4o de la modification de la réglementation : par exemple, diminution des remboursements par la sécurité sociale, modification des couvertures statutaires, renforcement des exigences prudentielles demandées aux organismes assureurs. La convention de participation étant un contrat, la hausse de tarif ne peut intervenir sans l’accord de la collectivité. En conséquence, la convention précisera les conditions dans lesquelles ces demandes peuvent être introduites, notamment le délai dans lequel elles peuvent être présentées, ainsi que le délai de réponse de la collectivité. b) Le contrôle de la collectivité et les possibilités de mettre fin à la convention L’organisme produit à la collectivité, au terme d’une période de trois ans et au terme de la convention, un rapport retraçant les opérations réalisées au vu des critères des 2o et 4o de l’article 18 (c’est-à-dire : degré de solidarité entre les adhérents ou souscripteurs, intergénérationnelle, en fonction de la rémunération et, pour le risque santé, familiale ; moyens destinés à assurer une couverture effective des plus âgés et des plus exposés aux risques). Ces critères ont fait l’objet de documents fournis par l’organisme au moment de la mise en concurrence, selon le contenu défini par l’arrêté du 8 novembre 2011 relatif aux critères de choix ; les prévisions de transferts de solidarité dans les différents domaines ont été calculées pour 5 ans. Si ces critères n’ont pas été satisfaits – le rapport devant permettre à la collectivité de les contrôler compte tenu des prévisions annoncées – la collectivité peut résilier la convention. Si l’organisme ne respecte plus les dispositions du décret, la collectivité peut dénoncer la convention (article 21 du décret, qui en mentionne aussi la procédure). La collectivité recueille les observations écrites et, le cas échéant, orales de l’organisme, et lui indique qu’il peut se faire assister par un conseil ou représenter par un mandataire de son choix. De plus, la convention de participation étant un contrat administratif, la collectivité peut le résilier pour un motif d’intérêt général selon les principes définis pour ces contrats, ou pour faute, même dans le silence du contrat (sur ce dernier point, voir arrêt du Conseil d’État du 30 septembre 1983, « SARL Comexp », Rec. page 393), en dehors des cas prévus par les articles 19 et 21 du décret de 2011. La convention peut également prévoir d’autres sanctions, notamment pécuniaires, en cas de défaut ou de mauvaise exécution par l’organisme. Dans l’hypothèse d’une dénonciation comme d’un non-renouvellement, l’organisme, ou la collectivité – en cas d’opération collective facultative, voir paragraphe I, 3 – informe, dans le délai d’un mois à compter de la décision, les souscripteurs ou adhérents des conséquences qui peuvent en résulter pour eux en termes de majoration de cotisation (voir commentaire sur l’article 28 du décret en II, B, 1). 3. La compétence des centres de gestion La compétence des centres de gestion en matière de protection sociale complémentaire est fixée par l’article 25 de la loi no 84‑53 du 26 janvier 1984. Initialement ce texte, issu de la loi no 2007‑209 du 19 février 2007 relative à la fonction publique territoriale, donnait compétence aux centres de gestion pour conclure des « contrats-cadres » en 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 73 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR matière d’action sociale et de protection sociale complémentaire (1). Mais ce texte a été modifié par la loi no 2009‑972 du 3 août 2009 relative à la mobilité. En même temps qu’elle créait les conventions de participation pouvant être conclues par les collectivités (nouvel article 88‑2 de la loi du 26 janvier 1984), la loi a modifié l’article 25 de sorte que les centres de gestion ne puissent conclure que ces conventions de participation au titre de la protection sociale complémentaire. Ainsi, si les centres de gestion peuvent continuer à conclure des contrats-cadres pour l’action sociale, ce c’est plus le cas pour la protection sociale complémentaire. Aussi l’article 25 dispose à présent que les centres de gestion « peuvent souscrire, pour le compte des collectivités et établissements de leur ressort qui le demandent, des contrats-cadres permettant aux agents de bénéficier de prestations d’action sociale mutualisées (l’action sociale) et conclure avec un des organismes mentionnés au I de l’article 88‑2 une convention de participation dans les conditions prévues au II du même article (la protection sociale complémentaire). » Dans ce cadre le centre de gestion ne peut, sans avoir reçu mandat de collectivités, prendre l’initiative d’une mise en concurrence pour une convention de participation. Le centre de gestion suit la procédure de convention de participation établie pour les collectivités par l’article 88‑2 de la loi no 84‑53 du 26 janvier 1984 et le décret du 8 novembre 2011 (voir 2, e de la présente circulaire). Il lance la procédure de mise en concurrence. À ce stade, le montant de la participation ou de la fourchette de participation est indicatif ou estimatif (2). Avant la signature de la convention, chacune des collectivités délibère sur le montant définitif de la participation qu’elle accorde, qui figurera dans la convention signée. Celle-ci sera rendue publique par le centre de gestion (voir 2, e). Enfin, les collectivités et établissements publics peuvent adhérer à ces contrats par délibération, après signature d’une convention d’adhésion avec le centre de gestion de leur ressort. Dans le cas où des collectivités mandateraient ultérieurement le centre de gestion en vue de la conclusion d’une convention de participation, celui-ci pourra conclure d’autres conventions pour les collectivités concernées, selon la même procédure. Quant à la consultation des comités techniques, chaque collectivité concernée consulte son comité technique sur le choix de la procédure de sélection (labellisation ou convention de participation, voir article 4 du décret). Le comité technique compétent sur le projet de dossier de mise en concurrence et le choix du candidat est, en revanche, celui du centre de gestion, les collectivités ayant demandé à celui-ci de conclure la convention de participation pour leur compte (3). Dans un souci de qualité du dialogue social, il apparaît souhaitable que celui-ci soit organisé de telle sorte que les représentants du personnel des comités techniques des collectivités concernées soient informés des différentes étapes du processus. Les financements que les centres de gestion sont habilités à demander pour l’exercice de cette mission sont ceux fixés par l’article 22 de la loi no 84‑53 du 26 janvier 1984 pour leurs missions facultatives, qui ne prévoit que des financements auprès des collectivités et établissements. La loi ne prévoit pas de financements auprès d’opérateurs. IV. – VERSEMENT DE LA PARTICIPATION Celui-ci est régi par le chapitre III du décret. La participation constitue une « aide à la personne » comme le précise l’article 24, « sous forme d’un montant unitaire par agent, et vient en déduction de la cotisation ou de la prime due par l’agent. ». Elle est fixée par délibération. 1. Nécessité d’une ou de deux délibérations Dans le cas d’une convention de participation, deux délibérations sont nécessaires, comme indiqué dans la partie III, B, 1, e. Une première délibération approuvant le dossier à mettre à la mise en concurrence fixe le montant estimé ou la fourchette de participation prévue. Le montant définitif de la participation est fixé lors de la délibération finale choisissant l’organisme et habilitant l’autorité territoriale à signer la convention (article 18 du décret). Dans le cas d’une convention de participation conclue par le centre de gestion pour le compte de collectivités, des spécificités sont à prendre en compte (III, B, 3). 2. Incidence du mode de sélection choisi Lorsque la collectivité choisit, sur un risque (santé ou prévoyance), de verser sa participation dans le cadre d’une convention de participation, elle ne peut la verser qu’aux agents ayant adhéré au contrat ou au règlement correspondant (1) « Permettant aux agents de bénéficier de prestations d’action sociale mutualisées et de prestations dans les domaines de la santé et de la prévoyance ». (2) Voir arrêté du 8 novembre 2011 relatif à l’avis d’appel public à la concurrence. (3) Celle-ci englobant la mise en concurrence. Les travaux parlementaires montrent que la disposition visait à la « mutualisation de la mise en concurrence », qui devait être « source d’économies pour les collectivités concernées » (débats au Sénat, 20 décembre 2006, M. Jean Boyer). 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 74 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR et non à ceux adhérant à des contrats ou règlements labellisés. L’article 88‑2 de la loi du 26 janvier 1984 dispose en effet : « Dans ce cas, les collectivités et leurs établissements publics ne peuvent verser d’aide qu’au bénéfice des agents ayant adhéré à ce contrat ou règlement » Cette disposition a été prise pour que la convention de participation attire un minimum d’agents et soit donc viable. Lorsque la labellisation aura été choisie par la collectivité comme mode de sélection sur un risque, celle-ci devra verser la participation à tous les agents ayant souscrit un contrat ou adhéré à un règlement labellisé. L’article 88‑2 de la loi du 26 janvier 1984 rend en effet éligibles à la participation de la collectivité « les contrats et règlements en matière de santé ou de prévoyance remplissant la condition de solidarité prévue à l’article 22 bis de la loi no 83‑634 du 13 juillet 1983 précitée, attestée par la délivrance d’un label ». 3. Montant de la participation La législation ne fixe pas de montant minimum. Quant au montant maximum, c’est celui du « montant de la cotisation ou de la prime qui serait dû en l’absence d’aide » (article 25). La participation est versée sous forme d’un montant unitaire par agent et vient « en déduction de la cotisation ou de la prime due par l’agent » (article 24 du décret). Or cette cotisation ou prime due peut être modulée en fonction du nombre d’ayants droit si le contrat ou le règlement le prévoit. La participation de la collectivité peut donc être apportée à due concurrence. Cette modulation de la participation est également conforme à l’article 23 du décret, qui permet de moduler la participation en prenant en compte la situation familiale des agents. Le montant de la participation peut être modulé « dans un but d’intérêt social, en prenant en compte le revenu des agents et, le cas échéant, leur situation familiale » (article 23). Le « but d’intérêt social » consiste à favoriser les personnels aux revenus les moins élevés en prenant en compte, le cas échéant, la situation familiale, à l’instar de ce qui est prévu en matière d’action sociale par l’article 9 de la loi no 83‑634 du 13 juillet 1983. 4. Mode de versement La participation peut être versée directement aux agents (article 24). Elle peut également être versée via les organismes, qui doivent alors la répercuter intégralement en déduction de la cotisation ou de la prime due par les agents (article 24). Le décret comporte différentes dispositions pour s’assurer de cette répercussion : – Le montant de l’aide versée à l’organisme ne peut excéder le montant unitaire de l’aide multiplié par le nombre d’agents bénéficiaires, le versement étant effectué par la collectivité au vu de la liste de ses agents qui lui est communiquée par l’organisme au moins une fois par an (la collectivité définira avec l’organisme le rythme de fourniture de cette liste : annuel, semestriel, trimestriel...). C’est l’objet de l’article 25. – L’organisme « tient une comptabilité permettant de retracer l’utilisation des participations reçues dans le respect de l’article 1er » c’est-à-dire dans les conditions du décret, et en particulier de l’obligation de répercuter la participation par une réduction de la cotisation ou de la prime due par les agents définie à l’article 24. L’organisme doit également faire apparaître sur les appels de cotisation ou de prime le montant total ainsi que le montant de l’aide versée. Ces modalités sont vérifiées par les collectivités dans le cas d’une convention de participation et par les prestataires habilités dans le cas d’un contrat ou d’un règlement labellisé. V. – DISPOSITIONS TRANSITOIRES Le titre V organise les dispositions transitoires et finales du projet de décret. L’article 32 fixe des délais pour la mise en place de la procédure de labellisation. Le premier alinéa impose un cadre pour la publication de la première liste de prestataires habilités par l’Autorité de contrôle prudentiel (cinq mois maximum suivant la publication de l’arrêté portant composition du dossier de demande d’habilitation). L’arrêté portant composition du dossier d’habilitation du 8 novembre 2011 ayant été publié au Journal officiel du 10 novembre, la publication de la liste par l’Autorité de contrôle prudentiel, cinq mois plus tard, est intervenue le 10 avril 2012 (elle est consultable sur www.acp.banque-france.fr/acp/agrements-et-autorisations). Les organismes qui le souhaitent peuvent faire « labelliser » leurs contrats ou règlements auprès d’un prestataire de la liste. Conformément à l’article 11, les prestataires transmettront leurs décisions de label au ministère des collectivités territoriales, qui en publiera une première liste le 31 août 2012 (sur le site : http://www.dgcl.intérieur. gouv.fr/ sections/les_collectivites_te/fonction_publique_te/protection_sociale/complementaire/). Le second alinéa de l’article 32 dispose en effet que ces premières labellisations prendront effet à compter du dernier jour du quatrième mois suivant la date de publication de la première liste des prestataires, soit le 31 août 2012, et qu’à cette même date, le ministère chargé des collectivités territoriales publiera la première liste des contrats et règlements labellisés. Les premiers labels délivrés prendront effet à cette même date de publication. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 75 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR L’article 34 dispose que « les collectivités peuvent instaurer des participations sur la base du présent décret à compter de la publication de la première liste des contrats et règlements labellisés ». En effet la procédure de labellisation nécessite un temps d’installation (9 mois, cf. article 32). Le décret entre donc en vigueur de façon progressive de telle sorte que les deux procédures de sélection soient placées à égalité de choix des collectivités, les délibérations instaurant les participations étant différées, quelle que soit la procédure choisie, après l’installation de la procédure la plus longue (la labellisation). Ce temps peut être mis à profit pour la réflexion sur le choix des procédures dans le cadre du dialogue social. Les articles 32 et 34 s’articulent donc comme suit : – Depuis la publication du décret, les collectivités souhaitant instaurer des participations peuvent engager le dialogue social notamment par la consultation du comité technique (article 33 de la loi no 84‑53 du 26 janvier 1984), délibérer sur le choix de la procédure de sélection ainsi que, le cas échéant, sur le lancement de la convention de participation. – La procédure de labellisation est mise en place comme indiqué ci-dessus. –À compter du 31 août 2012, les collectivités pourront délibérer sur leur participation et, dans le cas des conventions de participation, autoriser corrélativement la signature de la convention comportant le montant de celle-ci. S’agissant des contrats que les collectivités territoriales auraient conclu pour la protection sociale complémentaire de leurs agents avant la publication du décret, il convient de noter que les aides antérieures au décret ont été considérées comme illégales par la Commission européenne. Il appartient aux collectivités territoriales qui auraient conclu de tels contrats de se mettre en conformité. À cet effet, les collectivités peuvent recourir aux possibilités de résiliation annuelle des contrats de protection sociale complémentaire, (au moins deux mois avant la date de leur échéance) ouvertes par les codes de la mutualité (article L. 221‑10), de la sécurité sociale (article L. 932‑21) et des assurances (article L. 113‑2). Elles en informent les agents en appelant leur attention sur les conséquences de cette résiliation, au titre du devoir d’information et de conseil (1). Ces modalités sont destinées à ce que les agents puissent souscrire à temps une autre couverture. Dans l’hypothèse où un dispositif d’aide conforme au décret du 8 novembre 2011 est envisagé par la collectivité, il y aurait tout lieu qu’elle en informe concomitamment les agents afin qu’ils puissent prendre leur décision dans un délai raisonnable. Enfin, si la collectivité choisit d’aider via une convention de participation, sans que cela constitue néanmoins une obligation, une continuité de couverture des risques entre l’ancienne et la nouvelle convention est de nature à faciliter la pleine adhésion des agents à cette nouvelle réglementation. L’article 35 prévoit un rapport interministériel d’évaluation des effets sociaux du dispositif, quatre ans après l’entrée en vigueur du décret. VI. – POINTS COMPLÉMENTAIRES 1. Droits et obligations des agents – Une information pourrait utilement être apportée par la collectivité à ses agents lors de l’instauration du nouveau dispositif d’aide. –Les agents sont régis par le contrat ou le règlement auquel ils auront adhéré et, selon les cas, par les dispositions correspondantes des codes de la mutualité (mutuelles), de la sécurité sociale (institutions de prévoyance) et des assurances (entreprises d’assurance). Ils sont également régis par la loi « Evin » no 89‑1009 du 31 décembre 1989 – hormis ses dispositions sur les opérations à adhésion obligatoire, celles visant les salariés couverts sur la base de dispositifs propres au droit privé, qui ne trouvent pas à s’appliquer dans la fonction publique territoriale. – Les agents ne pourront plus, dans le cas où le contrat ou le règlement cesse de faire l’objet d’un label ou d’une convention de participation, continuer à bénéficier de la participation de la collectivité. Il en est de même lorsqu’ils quittent la collectivité, et lorsqu’ils sont admis à la retraite. Cependant, s’ils adhèrent à un contrat ou à un règlement labellisé, ils pourront bénéficier d’une aide au titre de celui-ci dans toute collectivité aidant au titre de contrats et règlements labellisés ; si, dans leur nouvelle collectivité, c’est une convention de participation qui a été conclue, ils pourront bénéficier d’une participation en rejoignant celle-ci. –En ce qui concerne leur couverture, les agents continueront à être couverts par l’organisme : soit, s’ils sont dans un contrat ou règlement « labellisé », tant qu’ils y demeurent, soit, s’ils sont dans une opération collective facultative, tant qu’ils le souhaitent dans les conditions prévues par l’article 6 de la loi « Evin » no 89‑1009 du 31 décembre 1989. (1) Voir arrêt de la Cour de cassation, civile 2e, 10 juin 2004 no 02-10824. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 76 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Par ailleurs, s’ils avaient adhéré à une opération collective facultative, la résiliation et le non-renouvellement du contrat sont sans effet sur le versement des prestations, immédiates ou différées, acquises ou nées durant son exécution (article 7 de la même loi). 2. COS et autres structures associatives Certaines collectivités recourent à des comités des œuvres sociales (COS) ou à d’autres structures, qui concluent des conventions en matière de protection sociale complémentaire. La collectivité verse une participation au COS et laisse celui-ci gérer la convention. Cependant, la loi du 13 juillet 1983 « droits et obligations des fonctionnaires », article 22 bis, prévoit que les aides peuvent être versées par les personnes publiques mentionnées à son article 2, c’est-à-dire les administrations de l’État, des régions, des départements, des communes et de leurs établissements publics. Dans ce cadre, le décret relatif à la fonction publique de l’État – no 2007‑1373 du 19 septembre 2007 – habilite l’employeur public à conclure des conventions avec les organismes de protection sociale complémentaire et le décret relatif à la fonction publique territoriale – du 8 novembre 2011 – (articles 15 et suivants), les collectivités territoriales et leurs établissements publics. Il n’est donc pas prévu que les conventions puissent être conclues par des personnes autres que les employeurs publics eux-mêmes. C’est à l’employeur public, après consultation du comité technique, de prévoir sa politique de versement des aides en matière de protection sociale complémentaire. En outre les COS et autres associations loi de 1901 ne sont pas prévues, à l’article 88‑2 de la loi du 26 janvier 1984, comme pouvant percevoir la participation des collectivités, mais seulement les mutuelles, les entreprises d’assurance et les instituts de prévoyance. Par ailleurs, seuls les centres de gestion sont autorisés à conclure des conventions relatives à la protection sociale complémentaire pour le compte des collectivités (article 25 de la loi no 84‑53 du 26 janvier 1984). Enfin, les COS ou d’autres structures associatives ne peuvent prendre en charge les aides à la protection sociale complémentaire. De telles dépenses ne peuvent être assumées par l’intermédiaire d’une association, elles doivent être prises en charge directement par le budget de la collectivité, comme l’ont rappelé régulièrement la Cour des comptes ainsi que différentes chambres régionales des comptes. Il appartient aux collectivités qui auraient engagé de tels dispositifs de se mettre en conformité, dans les conditions rappelées au paragraphe V. * * * Telles sont les caractéristiques du nouveau dispositif concernant les aides à la protection sociale complémentaire. La protection sociale complémentaire des sapeurs-pompiers donnera lieu à l’établissement d’une circulaire spécifique. Je vous serais obligé de bien vouloir assurer la diffusion de la présente circulaire aux collectivités territoriales de votre département ainsi qu’à leurs établissements publics. Pour le ministre et par délégation : Le directeur des collectivités locales, Éric Jalon 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 77 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR OFII OFFICE FRANÇAIS DE L’IMMIGRATION ET DE L’INTÉGRATION ––––– Le préfet, directeur général ––––– Décision no 2012-65 du 3 mai 2012 portant délégation de signature pour l’Office français de l’immigration et de l’intégration NOR : IOCV1222965S Le directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration, Vu le code du travail et notamment ses articles L. 5222‑2, L. 5223‑1 à L. 5223‑6 et L. 8253‑1 et L. 8253‑6 ; Vu le décret no 2009‑331 du 25 mars 2009 substituant la dénomination « Office français de l’immigration et de l’intégration » à la dénomination « Agence nationale de l’accueil des étrangers et des migrations » ; Vu le décret du 4 septembre 2006 (JO du 5 septembre 2006) portant nomination du directeur général de l’Agence nationale de l’accueil des étrangers et des migrations ; Vu les décisions no 2010‑359 du 20 décembre 2010 et no 2011‑236 du 20 décembre 2011 relatives à l’organisation de l’Office français de l’immigration et de l’intégration ; Vu la décision no 2010‑286 du 1er septembre 2010 portant délégation de signature pour l’Office français de l’immigration et de l’intégration, Décide : Article 1er Délégation de signature est donnée à M. Christophe BACOUP, directeur des systèmes d’information, à l’effet de signer tous les actes, décisions et correspondances relevant du champ de compétence de la direction des systèmes d’information tel que défini à l’article 13 de la décision de structure de l’OFII no 2010‑359 susréférencée. Article 2 En cas d’absence ou d’empêchement de M. Christophe BACOUP, délégation de signature est donnée à M. JeanPierre GIGNOUX, adjoint au directeur des systèmes d’information, à l’effet de signer tous les actes, décisions et correspondances visés à l’article 1er de la présente décision. Article 3 La décision no 2010‑286 du 1er septembre 2010 est abrogée. Article 4 La présente décision prend effet à compter du 2 mai 2012. Article 5 Le directeur des systèmes d’information, le secrétaire général et l’agente comptable sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente décision. Fait le 3 mai 2012. Le directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration, Jean Godfroid 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 78 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR OFPRA OFFICE FRANÇAIS DE PROTECTION DES RÉFUGIÉS ET APATRIDES _____ Décision du 3 mai 2012 portant nomination à l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) NOR : INTV1225224S Le directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, Vu le code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, notamment le livre VII de ses parties législative et réglementaire ; Vu la loi no 84-16 du 11 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l’Etat ; Vu le décret no 93-34 du 11 janvier 1993 modifié portant statut particulier des corps de fonctionnaires de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides ; Vu le décret no 2002-682 du 29 avril 2002 modifié relatif aux conditions générales d’évaluation, de notation et d’avancement des fonctionnaires de l’État ; Vu le décret no 2006-1827 du 23 décembre 2006 modifié relatif aux règles du classement d’échelon consécutif à la nomination dans certains corps de catégorie A de la fonction publique de l’État ; Vu le décret no 2008-836 modifié du 22 août 2008 fixant l’échelonnement indiciaire des corps et des emplois communs aux administrations de l’État et de ses établissements publics ou afférent à plusieurs corps de fonctionnaires de l’État et de ses établissements publics ; Vu la décision du 15 décembre 2011 établissant la liste d’aptitude pour l’accès au grade d’officier de protection au titre de l’année 2012 parmi les fonctionnaires de catégorie B de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, Décide : Article 1er À compter du 1er janvier 2012, M. Julien LIMARE est nommé et titularisé en qualité d’officier de protection de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides et classé au 5e échelon de ce grade (indice brut 500) sans ancienneté conservée. Article 2 La dépense résultant du présent arrêté est imputable sur les crédits du chapitre 641 du budget de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides. Article 3 La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Fait le 3 mai 2012. Le directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, Jean-François Cordet Si vous estimez devoir contester cette décision, vous disposez d’un délai de deux mois à compter de la date de réception de la présente pour formuler un recours contentieux devant le tribunal administratif de Melun. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 79 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR OFPRA OFFICE FRANÇAIS DE PROTECTION DES RÉFUGIÉS ET APATRIDES _____ Décision du 3 mai 2012 portant nomination à l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) NOR : INTV1225244S Le directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, Vu le code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, notamment le livre VII de ses parties législative et réglementaire ; Vu la loi no 84-16 du 11 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l’État ; Vu le décret no 93-34 du 11 janvier 1993 modifié portant statut particulier des corps de fonctionnaires de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides ; Vu le décret no 2002-682 du 29 avril 2002 modifié relatif aux conditions générales d’évaluation, de notation et d’avancement des fonctionnaires de l’État ; Vu le décret no 2006-1827 du 23 décembre 2006 modifié relatif aux règles du classement d’échelon consécutif à la nomination dans certains corps de catégorie A de la fonction publique de l’État ; Vu le décret no 2008-836 modifié du 22 août 2008 fixant l’échelonnement indiciaire des corps et des emplois communs aux administrations de l’État et de ses établissements publics ou afférent à plusieurs corps de fonctionnaires de l’État et de ses établissements publics ; Vu la décision du 15 décembre 2011 établissant la liste d’aptitude pour l’accès au grade d’officier de protection au titre de l’année 2012 parmi les fonctionnaires de catégorie B de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, Décide : Article 1er À compter du 1er janvier 2012, Mme Kaysone CREMOUX est nommée et titularisée en qualité d’officier de protection de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides et classée au 6e échelon de ce grade (indice brut 542) avec 8 mois d’ancienneté conservée. Article 2 La dépense résultant du présent arrêté est imputable sur les crédits du chapitre 641 du budget de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides. Article 3 La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Fait le 3 mai 2012. Le directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, Jean-François Cordet Si vous estimez devoir contester cette décision, vous disposez d’un délai de deux mois à compter de la date de réception de la présente pour formuler un recours contentieux devant le tribunal administratif de Melun. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 80 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR _____ Décision du 12 juin 2012 portant délégation de signature pour l’Office français de l’immigration et de l’intégration NOR : INTV1228377S Le directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration, Vu le code du travail et notamment ses articles L. 5222-2, L. 5223-1 à L. 5223-6 et L. 8253-1 et L. 8253-6 ; Vu le décret 2009-331 du 25 mars 2009 substituant la dénomination « Office français de l’immigration et de l’intégration » à la dénomination « Agence nationale de l’accueil des étrangers et des migrations » ; Vu le décret du 4 septembre 2006 (JO du 5 septembre 2006) portant nomination du directeur général de l’Agence nationale de l’accueil des étrangers et des migrations ; Vu les décisions no 2010-359 du 20 décembre 2010 et no 2011-236 du 20 décembre 2011 relatives à l’organisation de l’Office français de l’immigration et de l’intégration, Décide : Article 1er Délégation de signature est donnée à M. Nicolas AFCHAIN, directeur territorial à Bordeaux, à l’effet de signer, dans le cadre des instructions qui lui sont données et dans la limite de ses attributions tous les actes, décisions et correspondances se rapportant : − aux missions dévolues à la direction à Bordeaux ; − à la gestion de la direction à Bordeaux, notamment à : − l’engagement, la liquidation et le mandatement de toutes les dépenses relevant de la direction à Bordeaux ; − le renouvellement des contrats des agents vacataires (personnels infirmiers et enquêteurs logement) ; − les contrats des personnels recrutés pour deux mois maximum dans le cadre des renforts estivaux. Article 2 En cas d’absence ou d’empêchement de M. Nicolas AFCHAIN, délégation de signature est donnée à Mme MarieHélène LE MELLIONNEC, adjointe, à l’effet de signer tous les actes, décisions et correspondances, mentionnés dans l’article 1er de la présente décision. Article 3 En cas d’absence ou d’empêchement de M. Nicolas AFCHAIN et de Mme Marie-Hélène LE MELLIONNEC, délégation de signature est donnée, dans le cadre de ses attributions, à Mme Estelle DIGONNET, à l’effet de signer tous les actes, décisions et correspondances relatifs à la procédure de regroupement familial et relevant de la direction à Bordeaux. Article 4 Délégation de signature est donnée, dans le cadre de ses attributions, à Mme Pierrette SAINT PE, assistante sociale à la délégation de l’OFII à Pau, à l’effet de signer, pour la direction de Bordeaux, tous les actes, décisions et correspondances relatifs à une demande d’aide au retour (dossier de demande, décision d’attribution des aides et bon de commande pour le vol), et ce, pour le département des Pyrénées Atlantiques. Article 5 Les décisions no 2010-320 du 27 octobre 2010 et no 2012-31 du 13 février 2012 sont abrogées. Article 6 Le directeur territorial à Bordeaux, le directeur de la synthèse budgétaire, du contrôle de gestion et de l’administration générale et l’agente comptable sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente décision. Fait le 12 juin 2012. J. Godfroid 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 81 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR _____ Décision du 26 juin 2012 portant délégation de signature pour l’Office français de l’immigration et de l’intégration NOR : INTV1228387S Le directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration, Vu le code du travail et notamment ses articles L. 5222-2, L. 5223-1 à L. 5223-6 et L. 8253-1 et L. 8253-6 ; Vu le décret 2009-331 du 25 mars 2009 substituant la dénomination « Office français de l’immigration et de l’intégration » à la dénomination « Agence nationale de l’accueil des étrangers et des migrations » ; Vu le décret du 4 septembre 2006 (JO du 5 septembre 2006) portant nomination du directeur général de l’Agence nationale de l’accueil des étrangers et des migrations ; Vu les décisions no 2010-359 du 20 décembre 2010 et no 2011-236 du 20 décembre 2011 relatives à l’organisation de l’Office français de l’immigration et de l’intégration, Décide : Article 1er Délégation de signature est donnée à M. Jean-Yves BOSSON, Directeur de la synthèse budgétaire, du contrôle de gestion et de l’administration générale, à l’effet de signer : – les engagements y compris les ordres de service relatifs aux marchés publics passés sur les crédits de fonctionnement et d’investissements et les mandatements des dépenses assignées payables sur la caisse de Mme l’agente comptable dans les limites des crédits ouverts au budget de l’Office français de l’immigration et de l’intégration ; – les titres de recettes émis à l’encontre des débiteurs de l’Office français de l’immigration et de l’intégration ; – les délégations de crédits portant avances aux régisseurs comptables des dépenses et toutes pièces de comptabilité ; – les ampliations et certifications de pièces ressortissant à la compétence du service de l’administration. Article 2 En cas d’empêchement ou d’absence de Jean-Yves BOSSON, délégation de signature est donnée, dans le cadre de leurs attributions respectives à : M. Abdellah BOUKELLAL, adjoint au directeur de la synthèse budgétaire, du contrôle de gestion et de l’administration générale, pour la section de la synthèse budgétaire, à l’effet de signer : – les engagements et les mandatements des dépenses assignées payables sur la caisse de Mme l’agente comptable dans les limites des crédits ouverts au budget de l’Office français de l’immigration et de l’intégration ; – les titres de recettes émis à l’encontre des débiteurs de l’Office français de l’immigration et de l’intégration ; – les délégations de crédits portant avances aux régisseurs comptables des dépenses et toutes pièces de comptabilité ; – les ampliations et certifications de pièces ressortissant à la compétence de la section de la synthèse budgétaire. Mme Michelle BODIN, adjointe au directeur la synthèse budgétaire, du contrôle de gestion et de l’administration générale, pour la section de la logistique, à l’effet de signer : – les ampliations et certifications de pièces ressortissant à la compétence de la section de la logistique ; – les engagements de dépenses relatifs : – aux abonnements aux différentes publications dont l’OFII est destinataire ; – aux achats de fournitures courantes et de petit matériel de fonctionnement (dans la limite de 380 €) ; – aux réparations courantes de fonctionnement (dans la limite de 2000 € par lettre d’engagement) ; – les documents relatifs aux opérations de réception des travaux réalisés dans le cadre de marché public ou sur mémoire. Mme Jacqueline MAESTRACCI, adjointe au directeur la synthèse budgétaire, du contrôle de gestion et de l’administration générale, pour la section des marchés publics, à l’effet de signer : – les ampliations et certifications de pièces ressortissant à la compétence de la section des marchés publics ; –les copies des pièces contractuelles des marchés publics en vue de leur notification aux titulaires et de leur transmission à l’agente comptable pour règlement des marchés ; – les copies des pièces annexes aux marchés publics, des contrats, des conventions ou des accords en vue de leur transmission à l’agence comptable. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 82 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Article 3 En cas d’empêchement ou d’absence de Mme Michelle BODIN, délégation de signature est donnée à M. Abdellah BOUKELLAL ou Mme Jacqueline MAESTRACCI, à l’effet de signer tous les actes, décisions et correspondances mentionnés à l’article 2 de la présente décision. Article 4 En cas d’empêchement ou d’absence de M. Abdellah BOUKELLAL, délégation de signature est donnée à Mmes Michelle BODIN ou Jacqueline MAESTRACCI, à l’effet de signer tous les actes, décisions et correspondances mentionnés à l’article 2 de la présente décision. Article 5 En cas d’empêchement ou d’absence de Mme Jacqueline MAESTRACCI, délégation de signature est donnée à Mme Michelle BODIN ou M. Abdellah BOUKELLAL, à l’effet de signer tous les actes, décisions et correspondances mentionnés à l’article 2 de la présente décision. Article 6 La décision n 2011-153 du 25 juillet 2011 est abrogée. o Article 7 La présente décision prend effet à compter du 1 juillet 2012. er Article 8 Le directeur de la synthèse budgétaire, du contrôle de gestion et de l’administration générale, le secrétaire général et l’agent comptable sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente décision qui sera publiée au Bulletin officiel. Fait le 26 juin 2012. J. Godfroid 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 83 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Direction générale de la police nationale _____ Direction des ressources et des compétences de la police nationale _____ Sous-direction de l’administration des ressources humaines _____ Bureau des gradés et gardiens de la paix _____ Arrêté du 30 décembre 2011 relatif au tableau d’avancement au grade de brigadier de police pour l’année 2012 NOR : IOCC1135110A Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, Vu la loi no 83‑634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires, ensemble, la loi no 84‑16 du 11 janvier 1984, modifiée, portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l’État et notamment les articles 56, 58 et 59 ; Vu la loi no 95‑73 du 21 janvier 1995 modifiée, d’orientation et de programmation relative à la sécurité ; Vu le décret no 82‑451 du 28 mai 1982, modifié, relatif aux commissions administratives paritaires ; Vu le décret no 95‑654 du 9 mai 1995 modifié fixant les dispositions communes applicables aux fonctionnaires actifs des services de la police nationale ; Vu le décret no 2004‑1439 du 23 décembre 2004 modifié portant statut particulier du corps d’encadrement et d’application de la police nationale ; Vu l’avis émis par la commission administrative paritaire nationale compétente à l’égard du corps d’encadrement et d’application de la police nationale en sa séance du 16 décembre 2011 ; Sur la proposition du préfet, directeur général de la police nationale, Arrête : Article 1er Le tableau d’avancement au grade de brigadier de police pour l’année 2012 est arrêté conformément à l’annexe ci-jointe. Article 2 Le préfet, directeur des ressources et des compétences de la police nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur et sur le site intranet de la direction des ressources et des compétences de la police nationale. Fait le 30 décembre 2011. Pour le ministre et par délégation : Le directeur de cabinet du directeur général de la police nationale, Thierry Matta La présente décision peut faire l’objet d’un recours administratif auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration ou d’un recours contentieux devant le tribunal administratif (art. R. 421‑1 et suivants du code de justice administrative), dans le délai de deux mois courant à compter de sa publication. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 84 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE Liste 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 DUBO LABRANA SPARMA LANCKBEEN FERRE FRANCOIS TARDIEU TRENTESAUX MERLET CHAUSSOY FOURCADE TARDY GUILPAIN BIECHELIN ESCLAPEZ MARQUES RIVET VALENTIN ROGRON GENTES FRASSO LUGAGNE CLAUDEL FRATTER LAURENT BRAJOU COUPEZ HOUCHARD GUILLON AVELLAN BOULINEAU GLINEUR VAILLANT GASSMANN QUEVA LABAT KONIECZNY SANZEY MANCA FABRE SIKORA RIVET VALANCON BARTOLI MERCADIER FOUILLET VILETTE MANON BENARD CALVEZ GAQUIERE PIERRE BOUR GUIBERT CLEMENT Patrick Marie Silvio Francis Patrick Daniel Régis Gilbert Alain Daniel Jacques Andre Michel Rene Jean Marc Jean-Pierre Andre Claude Alain Francois Philippe Daniel Francis Serge Ludovic Roger Michel Daniel Claude Marc Paul Bernard Claude Jeannot Lionel Christian Paul Alain Christian Brun Jean-Luc Guy Alain Marc Paul Jean-Marc Thierry Roland Jean-Max Luc Claude Dominique William Jean Thierry utile 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 SIDRO BLE BONNET SOULATGE DELAME BAROT DEFENTE BECUE FERNANDEZ FAHRLAENDER HOUSSIN DEFONTE JOZWIAK NETENS FAUCHIER LOUIS MARCADAL DELANNOY SAINT-GERARD RUCHAUD KOPP RUIZ UMOLA LEFRANC SAN-NICOLAS GARCES CLAUDE KIPKA ZARAGOZA BELIN LEGAY FERREIRA DA COSTA KOBRYN CENSE DECHANET TUR MADASCHI ROSIER SOREL VENTRE LIENARD SALVAT CERBERE LEGALL THIEBEAUX KEHRES BEAUMONT DEHLINGER FONTENEAU COMBAL BACQUET NOWAKOWSKI CIRILLO SUPPO LE CLOIREC Michel Alain Eric Jean Sylvain Eric Patrick Gerard Francis Jean-Marie Didier Gerard Dario Jacques Philippe Regis Christian Eddy Michel Yannick Constant Ange Marc Rene Florent Patrick Godefroy Bernard Maurice Alain Patrick Jacques Daniel Annick Jean-Francois Nicole Armand Yves Robert Patrick-Alain Herve Denis Thierry Jean-Luc Marcel René Christian Suzanne Guy Alain Christian Serge Georges Claude Herve 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 85 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 111 112 113 114 115 116 117 118 119 120 121 122 123 124 125 126 127 128 129 130 131 132 133 134 135 136 137 138 139 140 141 142 143 144 145 146 147 148 149 150 151 152 153 154 155 156 157 158 159 160 161 162 163 164 165 166 167 168 169 170 THIANT CROTTET DEZERE MONNIER ROUSSELLE SCHULZ LALLEMAND BRONNER PICOT LESAFFRE MONNIER LIS SEIGNEZ FAVAZZO CASCIO NAYEZ IBERT DUMOULIN BELAY HO YOUNG FOOK GALLOIS COTTE VIGOUREUX DELCOIGNE DOUHINE BERMOND RAMPANOU DECARPENTRY BARETTY DURAND MARIN WOJCIECHOWSKI PENIN STIEVENARD POURTIER BATAZZI DELASSUS ABEIJON BUJAN CHAZE AZOULAY BALISTE DUCLOVEL BAZZO DELBARRE BALLAY CANDELA ROBILLARD HUMBERT DUSSART THOMAHSOWSKI VANDENABEELE FRERE VARILLES VILLALBA SANCHEZ REUS TEBOUL SALAT HERBIN ANDRZEJEWSKI TRANCHANT Jean Claude Myriam Jacques Daniel Jean-Francois Christian Mireille Pascal Jacques Emile Alain Fernand Pascal Calogero Philippe Philippe Patrick Alain Josette Robert Norbert Michelle Sylvain Pascal Christian Michel Herve Andre Dominique Francis Bernard Philippe Jean Marc Martine Georges Freddy Marc Ralph Georges Georges Marie-Albert Pierrette Jean Marc Daniel Thierry Jean-Luc Gerard Yves Richard Gérald Bernard Christian Bruno Jean Luc Jean-Jacques Patrick Veronique Daniel Patrick Octavio 171 172 173 174 175 176 177 178 179 180 181 182 183 184 185 186 187 188 189 190 191 192 193 194 195 196 197 198 199 200 201 202 203 204 205 206 207 208 209 210 211 212 213 214 215 216 217 218 219 220 221 222 223 224 225 226 227 228 229 230 BAYLE LASKA RIPOLL BONNEFOND MUSSAULT SAADA LE TOULLEC BLUMENAU DARROMAN BURON LLOPIS SOUDY PLET CHABAUD LUCANI GABARDOS ZUBRIC POURCEL HERNANDEZ BRANCOURT SKOWRON PAUL PUAUX CALLU TOURNADE GUYON GAUDRY BALANGE GINGLINGER SADOC BOULET CHAMALBIDE JEGO RICHARD THERY DAHAN OBIN MEZOELA FEUDRE VAN LAETHEM DENIS SAIDI BUSSER MARIE LOUISE GIRARD SALVADORI LE HAN ALEXANDRE JAMMAUD MISS FOUBERT WALLOIS GREGOIRE CILIA ROUDAUT JOURDAN WIPPLIEZ MATRON AVERT BLANIC ROUFINO MOREL DEGARDIN Alain Philippe Eric Marie Philippe Philippe Sylviane Patrick Eric Stephane Pierre Christine Gil Patrice Denis Richard Guy Didier Sylvie Didier Jean Francois Rodolphe Florent Gontrand Olivier Christian Stephane Stephane Serge Francois Jean Daniel Paul Hervé Marie Patrick Denis Dominique Hamid Luc Bertin Jean Pierre Dominique Patricia Alain Francoise Jean Christian Didier Florent Jean Jacques Pierre-Yves Frederic Christophe Stephane Stephane Stephane Fabrice Stephane Philippe 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 86 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 231 232 233 234 235 236 237 238 239 240 241 242 243 244 245 246 247 248 249 250 251 252 253 254 255 256 257 258 259 260 261 262 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Frederic Fabrice Philippe Sébastien Anne Laure Michael Jean-Claude Nicolas Renald Laurent Marie Thibaud Magali Christelle 291 292 293 294 295 296 297 298 299 300 301 302 303 304 305 306 307 308 309 310 311 312 313 314 315 316 317 318 319 320 321 322 323 324 325 326 327 328 329 330 331 332 333 334 335 336 337 338 339 340 341 342 343 344 345 346 347 348 349 350 LIBRA LOISON TRAN THANH THIEN SID PENNEQUIN LAURANTIAUX MARGAILLAN GARNIEL WATEAU LAUVAU ABAZ MOULIN TEXIER HENRI CLEMENT CARTIER CONTOUR DALY CAUCHON WOZNY GRANGER GIOT BOUCHAOUI FAUQUET MORISSEAU AHAMAD LEROUX HUCTEAU SALLES ROUILLARD MORILLON TECHER GIL MAUCORPS BELMOKHTAR SADIKHOSSEN NICOLAS BERNARD ARAR MACAL RODRIGUES LYON DE FAUTEREAU-VASSEL CASANOVA SAVELLI JORON SERVA BAZAILLACQ ROUCAYROL BLANCHET LEBON TOULANGUI MAROILLEY LLINARES SEROUART DAMOUR SALAH BEN ALI MARANO ARNAULT EDOUARD HELLOUIN LION CHAMOT GALICHET ALVES DOS SANTOS COPY Christelle Marc Eddy Thierry Olivier Philippe Fanny Sylvia Virginie Patrick Arnaud Magali Amaury Jimmy Virginie Mathieu Nathalie Arnaud Christophe Valerie Amaria Nathalie Mylene Farid Melisa Stephane Gilles Vincent David Dominique Melissa Valerie Aicha Carolle Derar Frederick Sandra Delphine Jean Louis Thierry Pascal Germain Sophie Guillaume Celine Olivier Gervais Fanny Eric Michaela Sabrina Stephane Johan Valérie Nicolas Patrick Laurent Christian Vincent Stephane 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 87 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 351 352 353 354 355 356 357 358 359 360 361 362 363 364 365 366 367 368 369 370 371 372 373 374 375 376 377 378 379 380 381 382 383 384 385 386 387 388 389 390 391 392 393 394 395 396 397 398 399 400 401 402 403 404 405 406 407 408 409 410 ARMAND CLOUS MONTES CARDOSO LHUILLIER GUILLERM LUTEL REMY FERNANDEZ GOURINCHAS BLANC-MAPPAS CRAZE CALADOU DALMAS AMOROSO DELERIN GONZALVEZ SCHMIDT SKAF GERLOT BOUDRY CARON BOUCHE GIARMANA VENEZIA BOUTIN FOSSE ROCHE GHARBI SUROT THETIO ARAAR RIQUIER GERFANION MARTINOLLI DAVAUT DUFAUD GIUDICELLI LEBLEU LACOMBE REISS CLEMENT LOUBENS BRISEMEUR FALCON LAFORT VIDAL BENSEGHIR ZEKKARA RUFFIER COTINAUT THEULOT BAUDOUIN SAYAD CANONGE KAMINSKI FELTEN MEHOUACHI D’ARLHAC NESSAH POUX BONNET DUPUIS DUMAS CHAUMARD LANDRY TOALI AUDIARD DUFAYET BOUZELMAT Thierry Olivier Victor Nathalie Frederic Alexandre Antoine Stephanie Mathias Olivier Nicolas Loic Sophie Gregory Sophie Wilfried Fabien Christophe Emmanuel Christophe Arnaud Aurelie Sebastien Sophie Mohamed-Ali Richard Guillaume Abdel Francois Gilles Luc Jérôme Franck Alice Ulrich Alexandre Ludovic Annabelle Sabrina Magalie Nadege Carole Amel Emmanuel Audrey Julien Jamela Romaric Alexandra Tarek Christophe Zina Alain Frederic Eric Alexis Mickael Bruno Mohamed Claire Abdel 411 412 413 414 415 416 417 418 419 420 421 422 423 424 425 426 427 428 429 430 431 432 433 434 435 436 437 438 439 440 441 442 443 444 445 446 447 448 449 450 451 452 453 454 455 456 457 458 459 460 461 462 463 464 465 466 467 468 469 470 KOELLSCH DELTOMBE WALSH COUFRANC DEMOUGEOT HAJDARI POIDEVIN GERARD POISSENOT KOROBETSKI BONIN NAMPONT MALOU PERNOT GRELAIT LAGRECA GIVORD FARGEOT MEYER COURTECUISSE BEAUSOLEIL MARCHAND SMAILI SILMONT BOUREUX AZZOUZI GUILLERAULT JURQUET BELLI DUFLOS GOUMY POTIN BRUNAUD SEGUIN GRENIER LOUIS MICHALAK AGOSTINI DAOUT PINGUET BEKHTIAR DUCAS LOUSTAU DE BRYE KOUFI BOUTIGNON DESMAZIERES AMOUROUX BOUCHAGE PELAUDEIX VEZINE MONCE KORNALEWSKI FORIEL BENADDA DORE PERNA RENAUDOT GUERMOUD GASTALDI AROCA MEYER GRANCHI LESCOUET GAUTIER Marjorie Cedric Michael Anthony Mickael Sami Paolla Yann Elise Arnaud Erika Fanny Cindy Grégory Julien Kevin Julien Bénedicte Kristell Mehdi Romuald Frederique Khalid Aurélie Anne Ludivine Alexandre Laurent Flavien Arnaud Magali Gregory Francois Renaud Jean-Marc Julie Samira Mathieu Alexandre Berengere Farid Baptiste Cedric Priscillia Julien Angelique Romain Johan Herve Arnaud Anissa Stephane Lydie Alcime Sidi-Ahmed Philippe Georges Rodrigue Laurie Arnaud 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 88 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 471 472 473 474 475 476 477 478 479 480 481 482 483 484 485 486 487 488 489 490 491 492 493 494 495 496 497 498 499 500 501 502 503 504 505 506 507 508 509 510 511 512 513 514 515 516 517 518 519 520 521 522 523 524 525 526 527 528 529 530 BLACKOWSKI BOUTEILLE MENNELLA PRADET-FUERTES VANESSCHE ROBERT JANNEL BEY ESPASA NANDI MUSSARD DELAPLACE FABRE DENNI PALAZON VALETTE BEMATOL CLAISSE GOETZ SIMON GREGORI SARTORY DARROUZET MAGUET GELLIOT MARTINS SEZIA PISANI DUCHESNE GOUYON CALVETE BOUAMMACHE MOREAU GABELLE BODENS BAUDUIN DUPONT GACQUER THEBAULT RANNOU HERMO MACE BOURDON MERLEN OSMONT TOUQUET ROHART RAMEAUX PELLETIER MAGNIER BEZANNIER BILLARD LOPEZ GALBAS RUBIN VERBEECK GELLY BESNARD FONTAINE CHARDON MARTY REEB PAILLERET DAGES FAURE FERRANDI COLE GUERRY Jerome Laurène Mathieu Sebastien Claude Bruno Sophie Serge Laurence Olivier Frederic Fabrice Rafael Joel Patrick Laurent Emmanuel Sophie Yves Jean Marie Eric Stephanie Frederic Marc Jerome Olivier Julie Frederic Karine Vincent Philippe Yannick Isabelle Patrice Marina Emmanuel Sylvain Cathie Lydie Fabrice Fabrice Nicolas Cyrille Arnaud Fabien Fabrice Johann Rodrigue Romuald Caroline Nathalie Sandrine Franck Martial Gil Gilles Sebastien Jean Christophe Fabien Eric 531 532 533 534 535 536 537 538 539 540 541 542 543 544 545 546 547 548 549 550 551 552 553 554 555 556 557 558 559 560 561 562 563 564 565 566 567 568 569 570 571 572 573 574 575 576 577 578 579 580 581 582 583 584 585 586 587 588 589 590 PAUCHET INDIAAN GUITTARD ROUX MIFORT MURIN CLAUDEL HEMERY DENOUAL BRIRMI TRAVER COCHIN MORLOT RAYMONDE MORTEIRA CONTAMIN ILLA ORLANDI PERRAUD SCHWARTZ STURMA GOUT BAYLET SAUVE THIELLY BAYROU KACI DUWICQUET CAILA DELETAIN GENEVIEVE LAMA GOUME GARCIA APPOURCHAUX BOUZIN MERLETTE PONS DERRE MARTEL CHEUNG LIM YEM ZOPPI BRENEZ ACOSTA EL KHATTABI BARDET HAMELIN DUHAMEL HOARAU CHARNEAU BEAUDI STOINSKI SAVARY RUELLE DUCHESNAY LEVASSEUR WILCZEWSKI ANNICETTE ROULLET GUERRA SCHOEMAECKER ITALIQUE GOUZIEN BUSTOS GARGUILO Pascal Christiane Frederic Isabelle Eric Patrick David Fabienne Stephane Cyril Mathieu Philippe David Mario-Georges Jean Christophe Marie-Noelle Paolo Ellen Gregory Christophe Jerome Sebastien Eric Olivier Jean-Luc Martine Gregory Xavier Florence Karine Thierry Laurent Yannick Kine Emmanuelle Gerald Yohann Laurent Frederic Sebastien Laurent Jean Marc Nabil Sabine Yoann Jean Herve David Christian Mickael Michael Jean Eric Alexandre Daniele Xavier Bruno David Olivier Joel Gwenaelle Armelle 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 89 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 591 592 593 594 595 596 597 598 599 600 601 602 603 604 605 606 607 608 609 610 611 612 613 614 615 616 617 618 619 620 621 622 623 624 625 626 627 628 629 630 631 632 633 634 635 636 637 638 639 640 641 642 643 644 645 646 647 648 649 650 PRUM NAWROT MARCHAND VILAR TEBIB SARRAUTE PERTHUISON PAOLI TOURNEMINE RICHAUD CATEL PIERRE WACKERNIE HILLION FALVARD DELANNOY SINGER VANHAUWAERT SAVARY ALIZIER MARTEL VAN PARYS SAVES DABRAINVILLE MILLIERE DOHEN COURTIAL SERAPHIN HAMADACHE BAQUIE VIGNON RICHET COURIAS GUERANT LAUREOTE LAGRANDCOURT BERSEGEAY SOUBIELLE TROUDE BODINI CONTESSOTTO RIVIERE XOLIN MARCHAND GRACEFFA VALETTE BAILLES MAZAJCZYK COCOUAL DENIS REMY ROMANTINI EL MAROUDI BROCHIER MAURIZI PERRIER MORCHAIN SIMONOVIC BOUTAFA GIBRAT MABON VASCHALDE MAHDANI BERTRAND DACLINAT GILLOT Sebastien Nicolas Pierre Christian Rachid Boris Celine Frederic Francois Guillemette Stephanie Laurianne Vincent Caroline Olivier Stephane Jerome Cedric Cindy Severine Alan Jérôme Hortense Sélim Gérald Christophe Gerald Davy Karine Murielle David Jean Philippe Guillaume Jimmy David Jean Claude Julie Isabelle Frederic Stephane Nicolas Vincent Nicolas Serge Alain Sylvie Mohammed Stephane Angelique Laurent Christophe Igor Abdellah Olivier Carole Nicolas Nabil Jerome Rodrigue Mickael 651 652 653 654 655 656 657 658 659 660 661 662 663 664 665 666 667 668 669 670 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Frederic Eric Marguerite Laurent Wilfried Sandra Serge David Jean Paul Sebastien Eric Francesco Johnny Nadia Xavier Meriem Karine Jeremy Sebastien 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 90 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 711 712 713 714 715 716 717 718 719 720 721 722 723 724 725 726 727 728 729 730 731 732 733 734 735 736 737 738 739 740 741 742 743 744 745 746 747 748 749 750 751 752 753 754 755 756 757 758 759 760 761 762 763 764 765 766 767 768 769 770 OHAYON TROUDE GANGNEUX HADDOU BRUNEAU SOUC LEPLAY PALES BONZOM MALLEVAEY JOSNET PETITGAS CAVELIUS ROUVIERE HUND CRAY ALLEMAND SCHWARTZ ABBES TRAUCHESSEC CAMUS TREBAOL BAREK BARBIER HAUMONT BEN CHOAIB MONIO MURATET PARENT SOUFFLET GESLIN CHAMPESTING NOIRON COLLOBER AUROI CHAOUKI MATHIEU SORIVELLE LANDO BOUZAR VAUR BOUTON BAUDIER DEVAUD GANDERATZ DIERO PORTUT PAKA BOUTTIER LUSSON MARTINS CENCIARINI MICHEL-VILLAZ ALZUAGA ALGOET MOUTIER CHABERT RIMBAUD DI LEONARDO CHAMBELANT PAVILLA EYMARD BAUR CANCES MIQUEL David Jean Bernard Mickael Gaelle Romuald Aurelien Christophe Fabien Paul Isabelle Laurent Olivier Bastien Renaud Christel Laetitia Nicolas Fabien Julien Sandra Nicolas Corinne Soraya Aurelie Hasna Alexia Cyril Guillaume Gregory Vincent Joel Yvan Corinne David Said Philippe Geoffrey Jean Remi M’hamed Delphine Richard Maxence Cécilia Alexis Carole Peggy Stephanie Antonio Jean Guy Frederic Stephane Hugues Emilie Céline Sabrina Laurence Claudine Nadia Stephanie Katia 771 772 773 774 775 776 777 778 779 780 781 782 783 784 785 786 787 788 789 790 791 792 793 794 795 796 797 798 799 800 801 802 803 804 805 806 807 808 809 810 811 812 813 814 815 816 817 818 819 820 821 822 823 824 825 826 827 828 829 830 LAACHACHI YVORA HADJADJ WAGENHEIM SALRA DECOSSIN BENJDER FAY OTTAVIANI BOUDON MASO PIERLOT DA SILVA GOMES HELLEU DESPLATS SIMONE BLAISE NERON VATTIER MANENC MOSCATO LARDANS MANIQUANT DIEULAFAIT MORELLE FERRO HUMBERT CLEIN BOISSART GEORGE BORREGO KERLAU LEDUC SOUDANT DELEPLACE HASSDENTEUFEL GONTIER BLAISE FERRARI JARDON BERILLEY DOMENGER LINSART HOFFMANN PATOUX LABURTHE HAOUCHINE BRELLE MERIAU MONTENON HERFRAY MONNIER BLOUIN CAMPANA LAM-CHAN SAHKI AMIOUD VERMARE DUFOUR MATOUG CATINAUD RENAUX PLUMAIN Ramar Virginie Virginie Carole Vincent Najat Jonathan Alexandre Aurelie Eric Celine Marie France Adeline Marie-Sandrine Thierry Isabelle Mikael Virginie Elisabeth Jonathan Nicolas Florian Jérémie Vincent Marc Aurelien Stephanie Sebastien Guillaume Nicolas Florimond Stephane Mathieu Sebastien Thomas David Jean-Charles Marion Steve Karine Yohann Genevieve Nicolas Beatrice Marjorie Loic Guillaume Adrien Benjamin Arnaud Carole Elodie Eric Nasser Gislaine Denis Nadia Celine Noémie Patrice 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 91 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 831 832 833 834 835 836 837 838 839 840 841 842 843 844 845 846 847 848 849 850 851 852 853 854 855 856 857 858 859 860 861 862 863 864 865 866 867 868 869 870 871 872 873 874 875 876 877 878 879 880 881 882 883 884 885 886 887 888 889 890 TEGUI TONIAZZO SUZAN NIEPCERON GRACIA GELIS MARIE MAHE BENESCHI DUBOIS QUER THEBAULT PIQUET TRUCHON DUBAU RABY DUMALIN MANNEVY LEBRUN HENNEQUIN MARCHAND POULMANE LEUBA LUIGGI CROISAN BARRE FLURY ANFRYE CATALOGNE BREDEL PERCHET LEGER WARCHOL RIZZUTO FORZY SALMON AFONSO CAVALHEIRO HEMEZ BROUTAIN PHILIPS PETILLON LE JEANNIC LEBEAU DUSSARAT BLANCHIER DE BODMAN DUPARCQ BERESKI -LAURENT LALLEMAND MINGOT ERDOGAN MARTEL SOLER HANNAOUI TEKIN DOMBROSIO AMRI GUERIN STCHERBININE LE SOUDER LUDDECKE Samira Franck Johan Francois Guillaume Marie Francoise Stephanie Arnaud Fabien Angelique Sonia Mickael Pascal Gerald Benoit Christelle Arnaud Elodie Ruddy Elodie Bertrand Cecile Olivier Yann Gérald Sabrina Mathieu Christophe Angelique Auriane Geraldine Coralie Cyriel Quentin Valérie Rudy Frederic Grégory Maxime Aurelie Matthieu Eric Johanne Melanie Christophe Benoît Eric Philippe Olivier Ines Kevin Etienne Adil Asir Aurelie Fawzi Aline Aurelie Olivier Frederic 891 892 893 894 895 896 897 898 899 900 901 902 903 904 905 906 907 908 909 910 911 912 913 914 915 916 917 918 919 920 921 922 923 924 925 926 927 928 929 930 931 932 933 934 935 936 937 938 939 940 941 942 943 944 945 946 947 948 949 950 PELISSIER BERTRAND MICHEL BURET DELBECQ DECORRUEE TISON GOUGOUEFF DILLY ROSBIF HAND ZIANI VERON ARANJO TRANCHANT LABAT COLANGE VERNET BAILLEUL DELECOURT ESPINASSE DROUET GIBIERGE LESTOURNEAUD BALDACHINO GASTINE DRUENNES CHATELAIN THEBAUD CHERABA MARTIN TUR DUMERCY TONNAIRE BROSSEAU SANCHO CARREZ DESBORDES SCHEIDECKER SOTO MONTLOUIS-FELICITE BOUCHE GAILLARD AUPETIT BARRIER SALLEY SEPTIFORT MARION CHEVALLIER SEMAK JUNKE SAUNIER DE MARCO SKAWSKI TRIMOLET NEKER CARLUCCIO CHENIN FRATTINI DINI LE GALL DARDIER DE ALMEIDA LUCAS Lilian Sebastien Sandrine Francois-Xavier Michel Karine Stéphanie Jennifer Natacha Nicolas Celine Stephane Patrick Chloe Fabrice Emilie Julie Cathy Julie Severine Angelique Eva Pierre Vanessa Stephane Damien Nicolas Gaelle Akim Sandrine Gregory Jessica Sylvain Nicolas Sebastien Aline Jean-Philippe Nicolas Jean Christophe Gilles Deborah Delphine Florence Herve Marilyn Denis Philippe Didier Fabienne Bruno Frederic Frederic Igor Georges Sandra Frederic Abdellatif Catherine Carlos Sylvain 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 92 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 951 952 953 954 955 956 957 958 959 960 961 962 963 964 965 966 967 968 969 970 971 972 973 974 975 976 977 978 979 980 981 982 983 984 985 986 987 988 989 990 991 992 993 994 995 996 997 998 999 1000 1001 1002 1003 1004 1005 1006 1007 1008 1009 1010 LUCAS FOUGEREAU GERAUD HOUZEL MACALUSO PIRAS EWENDT WEISSE VANLAERES CHIMIER THOCKLER GEAY GEOFFROY BOVET LEROY MOLINO GUERVIN MAGNIER DUPUIS REBAUD DENAT DI STEFANO BROUSSART MALGAROLI ALLEGRINI CABROL CHARBIT DAMEZ ASTRUC DIRMAN FLAVIEN GRYGOWSKI CHATELAIN LEBLOND JUMELINE TERRACCIANO BENDJENNI SILVA BRANCO VINCENT DUFOUR LAGARRIGUE ROUSSEL MIQUEL BOUREAU POYAUX GUERARD TOURTOIS CHAMBON MARTY TERESZKIEWICZ BELET RIOT DIDDENS COMPAIN VALCKE TALLADA LEBLANC HONVAULT APRILE FARDEAU POINTDAVOINE DAIGNE PELEGRIN MALLET CAZIER SCOTTO D ABUSCO ROUSSEAU CHAUVEL SIFFERMANN Stephane Laurent Jean-Jacques Catherine Francine Brunhilde Olivier Yan Franck Cyril Stephane Stephanie Frederic Christelle Stephane David Sebastien Ludovic Julien Jerome Xavier Christelle Michele Laurent Francois Julien Veronique Natacha Laurence Fabien Christelle Frederic Nicolas Laurent Anne Christophe Carole David Yann Axel Pierre Tatiana Pierre Franck Cyrille Gregory Thomas Arnaud Cedric Delphine Yohan David Denis Sebastien Thierry Franck Virginie Gwenaelle Aurore Carine 1011 1012 1013 1014 1015 1016 1017 1018 1019 1020 1021 1022 1023 1024 1025 1026 1027 1028 1029 1030 1031 1032 1033 1034 1035 1036 1037 1038 1039 1040 1041 1042 1043 1044 1045 1046 1047 1048 1049 1050 1051 1052 1053 1054 1055 1056 1057 1058 1059 1060 1061 1062 1063 1064 1065 1066 1067 1068 1069 1070 PARIS COELHO SPONVILLE GOMES BELGACEM SPENLE TARABLA CYS VAMPOUILLE CREPIN QUEVILLY LECLERCQ VIGIER GAMBIN BLANDIN ESNAULT MENEYROL LE LAY HUG TANNEUX LUSSEAU CHIHI GOMEZ CAGNAC PAYET HAMMAR VACCANI HOREL BAZIN DELFRATE FERNANDES ECOFFARD SOUDRAIN BARREAU BEN YAKHLEF MENESTRET FAGNOU FORTUNA MENAGE SCAPPUCCINI ROUSSELLE LEULIER CHAGNON ANDLAUER CHELLE ALIX BRIAND CORMIER SACHY BENONY GARCIA QUETTIER LAURET SERRES KHAIRALLAH STEPHAN OBERTAN GONZALEZ DELBOS PERINEL DEMONTIERS LAGUERRE ZENNER HORVILLE FORT DE RENTY MAROUSE RENARD PENON Nicolas Frederic Olivier Georges Malik Patrick Marjorie Dany Arnaud Melanie Emmanuel Nathalie Cedric Astrid Elodie Eric Benedicte Laurent Basma Delphine Helene Linda Soizic Raphael Geoffrey David Caroline Karim Marc Kevin Lydia Maud Deborah Sandra Julien Michel Jean Christophe Romuald Julien Sylvain Mickael Guillaume Audrey Christelle Stanislas Charline Souad Jennifer Cedric Cyrile Benedicte Philippe Pauline Celine Xavier Sebastien Aurore Vincent Fabrice Elodie 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 93 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 1071 1072 1073 1074 1075 1076 1077 1078 1079 1080 1081 1082 1083 1084 1085 1086 1087 1088 1089 1090 1091 1092 1093 1094 1095 1096 1097 1098 1099 1100 1101 1102 1103 1104 1105 1106 1107 1108 1109 1110 1111 1112 1113 1114 1115 1116 1117 1118 1119 1120 1121 1122 1123 1124 1125 1126 1127 1128 1129 1130 PEVERELLY DUCROCQ CESAR GOURDON FOURDINIER LAMOUREUX LEDOUX POULLAIN BREAUX GLORIEUX GEORGES BOYER GUYOT CERNA PAPEGAEY-LAFFONT TOREL COLOCCI KRUMEICH VERNIER TOLLIO MERLO MEYER EKWAKWE PRISO MONERAT STASIAK CORNEVAUX PRIGENT DIOP VIVIEN GAUBERT SANSON GERTZ LE MOUEL WALLE VIGNAU COUVIDOUX DUJARDIN DOMBES PLATEAUX PILON AVOLEDO BAUDOIN QUERIN STACHERA VIDAL EXBRAYAT FYLEYSSANT DELAPORTE BOUTAMTAM VANSTRASEELLE LAFFONT PALOMO TODESCO MALEMBITS LUCAS MOREAUX LATHUILLIERE DONNIOU FEILLET FONTAINE CADILLAC MANGON MALBRANCHE MIGOUT Melanie Paule Guillaume Sebastien Guillaume Nicolas Sandra Michael Denis Marie-Antoine Jean-Philippe Jonathan Samuel Aude Richard Julien Géraldine Stéphane Florian Francois Christian Pascal Gregory Nicolas Yann Gora Emilie Damien Yvrick Jacques Olivier Heidie Christophe Antoine Laurence Lionel Anatole Alexandre Vincent Boris Steeve Jean-Philippe Christelle Paul Samuel Virginia Nahima Audrey Gaelle Pamela Severine Jerome Stephanie Loic Samuel Stephanie Pascal Gauthier Patrick Charline 1131 1132 1133 1134 1135 1136 1137 1138 1139 1140 1141 1142 1143 1144 1145 1146 1147 1148 1149 1150 1151 1152 1153 1154 1155 1156 1157 1158 1159 1160 1161 1162 1163 1164 1165 1166 1167 1168 1169 1170 1171 1172 1173 1174 1175 1176 1177 1178 1179 1180 1181 1182 1183 1184 1185 1186 1187 1188 1189 1190 KRYZEK BOYER MAIRE BELBACHIR FINANCE LARCHER GARIN MARTIN GROSSET ALBRECHT MAUDUIT LUCCIONI CHANUT LERAILLE CLEDA QUINTIN RIVET BAPPEL KIEFFER LE GOFF SAINT MACARY FOUCHAUX LE ROUZIC MOISAN GELE RABIET VAN AUTRYVE DETON CHAUVEL HELIAS SANSAT RIVIERE CHAZEIX PACE LELIEVRE CHALIGNE LAURENT GROENE VERDUN PETRELLI PENNACCHIO FRANCES EYNARD MARCUS PENARD BERQUIEZ ARANDA SAULNIER PELLENARD BERNA MURILLO POUTOU BATIQUE BARLUET CUCHE BOR JONCQUEL NIESCIUR BLONBOU BOFILL PILLON Benjamin Nicolas Loic Mounia Virginie Delphine David Frederique Alain Claude Paule Eric Michel Vincent Didier Stephane Laurent Christophe Yannick Franck Boris Yann Gauthier Olivier Valery Cedric Lionel Jean-Yves Dominique Stephanie Vincent Thierry Henri Frederic Nicolas Gaetan Guillaume Julien Laurent Benoit Jean-Luc Gregory Christophe Yannick Gilles Stéphane Nicolas Franck Jacques Cyril Cédric Ludovic Jerome Cyril Sebastien Olivier Kevin Williams Sebastien Rene 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 94 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 1191 1192 1193 1194 1195 1196 1197 1198 1199 1200 1201 1202 1203 1204 1205 1206 1207 1208 1209 1210 1211 1212 1213 1214 1215 1216 1217 1218 1219 1220 1221 1222 1223 1224 1225 1226 1227 1228 1229 1230 1231 1232 1233 1234 1235 1236 1237 1238 1239 1240 1241 1242 1243 1244 1245 1246 1247 1248 1249 1250 JOSEPH LEBAHY MESNIER EROSIE CLAUSTRES CHOUVET CHEMIN VIARDOT PENNUEN RIBES AUBRY VERNAC GUALANDI ALLEGRE BARTHELEMY BAVAY PELLICER SARRAQUIGNE POULAIN CAUET MOLMY OLEJNICZAK THON ROUILLON LEFEBVRE LESCANE FEUILLET LOSANGE VANMOERKERKE MUNCH COLACE THURLOY SIMEONI PONCET ARLABOSSE CLEMENTE VERRIER BEAUFORT CHETIF HERNANDEZ PITET WEYH VERCAEMPT MONNIOT BARAN TEILLAY MAHE NOLIBOIS KRZYSTOFIK VINCENTI BEAURIEUX CARBONELL MALVEZY CAUHET BOUTILLIER CORBE BOLLY MANZO GALIOTTO GUYOT GUILLEM Laurent Sebastien Marc Fabrice Christophe Christel Benoit Yoann Olivier Ludovic Yannick Patrick Emmanuel David Laurent Gregory Sebastien Grégory Boris Loic Anthony Mathieu Fabrice Sebastien Brice Michael Didier Loic Sebastien Pierre Laurent Jerome Jean Francois Florent Guillaume Emmanuel Franck Fabrice Sebastien Gael Julian Olivier Cyril Stephane Julien Sebastien Arnaud Dany Gilles Manuel Julien Thibaud Cedric Nicolas Sebastien Bruno Sebastien Regis Didier Frederic 1251 1252 1253 1254 1255 1256 1257 1258 1259 1260 1261 1262 1263 1264 1265 1266 1267 1268 1269 1270 1271 1272 1273 1274 1275 1276 1277 1278 1279 1280 1281 1282 1283 1284 1285 1286 1287 1288 1289 1290 1291 1292 1293 1294 1295 1296 1297 1298 1299 1300 1301 1302 1303 1304 1305 1306 1307 1308 1309 1310 BOUDJENAH MOLINS BEAUVIEUX LARROUY AMMARI HENRION BOMONT JEAN CLEMENT SAHRAOUI PHERON JOLIVEL LAMBERT RENDU CAVRERA MERLO NOYELLE KAMODA QUILLET TURC TECHER PRETEUR MARIN CHAPUIS GROLLET NASSIF CHAIBI LEMEITOUR BENEDETTI MACQUET GONZALEZ LEMOINE BILLON LARDET MENARD PENA ALVARO DANJOU SEGAFREDO LEFEBVRE BILTERYST HODY CASAS FAYET BARES LE BOULER GUILLOUX FAURE GERVAISE LAPIERE MORAIN MANFROI DUPUY BOISSIERE DABE DOMENEC LE SOMMER JAILLARD BOQUILLET MIECH Farid Frédéric Florian Frederic Karim Sebastien Cedric Rodolphe Franck Mohamed Bernard Yvan Anthony Boris Eric Alexandre José Fabien Emmanuel Olivier Ulrich Arnaud Laurent Gregory Xavier Jean-François Kamel Christian Frederic David Jerome Cyril Christophe Olivier Tanguy Lionel Francis Laurent Cyril Ludovic Jean-François Stephane Jérôme Laurent David Anthony Mickael Julien David Francois Nicolas Fabien Rudy Julien Jean-Francois Manuella Camille Christian Jean Patrick 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 95 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 1311 1312 1313 1314 1315 1316 1317 1318 1319 1320 1321 1322 1323 1324 1325 1326 1327 1328 1329 1330 1331 1332 1333 1334 1335 1336 1337 1338 1339 1340 1341 1342 1343 1344 1345 1346 1347 1348 1349 1350 1351 1352 1353 1354 1355 1356 1357 1358 1359 1360 1361 1362 1363 1364 1365 1366 1367 1368 1369 1370 SOLANO OHANNESSIAN DURY JORDANIDIS PIERRE KONOPACKI JURADO PRODHOMME GUINARD PUECH HERNANDEZ CARBONE PANDOR GUEGUEN ZADWORNY ZAMORA ALLART PLOQUIN SERRANO WATTRELOT RIUS BEC CARDON CASSARINO CABAL CAMPS LARROZE LAUGA SEGUIN FAURE BUSSI GRELLOIS BROUSTE COUDERT CAMINOTTO ESTEVAN BAGANZ LE DEUN SERVOLES CORSINI LE BRETON GABARD RAMADE DAMERON RODE CAUJOLLE BISSON PRADES HERSANT VIDAL LE GALL TANCHON MUSSI LANASPEZE RHYNE TETON FABBRO SEVRAIN VIEVILLE OTT BAUCHERON ANGLARET CESSE Daniel Richard Thierry Marc Michel Pascal Jean-Philippe Loïc Bernard Christophe Marcel Ghislaine Jean Claude Didier Beatrice Frederic Jean-Marc Patrick Freddy Pascal Florent Frederic Philippe Didier Philippe Pascal Michel David Christophe Philippe Jean-Pierre Jean-Paul Alain Fabien Isabelle Hervé Aldo Olivier Fabrice Philippe Vincent Gilles Philippe Benoit Remy Sebastien Gilles Christophe Yann Stéphane Cyril Lionel Jean Luc Lionel Stephane Jean Marc Pascal Bernard Jean-Christophe Jean-Michel 1371 1372 1373 1374 1375 1376 1377 1378 1379 1380 1381 1382 1383 1384 1385 1386 1387 1388 1389 1390 1391 1392 1393 1394 1395 1396 1397 1398 1399 1400 1401 1402 1403 1404 1405 1406 1407 1408 1409 1410 1411 1412 1413 1414 1415 1416 1417 1418 1419 1420 1421 1422 1423 1424 1425 1426 1427 1428 1429 1430 LECLERCQ NICOT WALLE LAUROUA GIL PERROCHON MICHAUD CHAMPION BOYER HONORE CHAUZET BERTOUT LEGRAND TRICOIT BLANPAIN CIPRIANO LE D’HERVE COYAC BENZI DELCROIX FLAMENT PIRON LEMAIRE LALLEMENT CHATAIGNE RIOU JUMAUCOURT GRUMIAUX MANTOVANI LEGELEUX BOUGUYON THIERRY CARTEAUX FERNANDEZ BORDERIE MABIRE WILLAIME FANISE SOBANSKA MASSE DUPINET TORRES VILAIN DEBLOCK COUSTET PEILLON PAVIN PICHIOTTINO NAUD GENEIX LIONNE BOURGOGNE BORKOWSKI SANCHEZ MILLO PERIGNON AUGUSTE HUBERT LEBEL CHRISTMANN Emmanuel Francis Pascal David Thierry Pascal Jean-Yves Alain Philippe Bruno Richard Rénald Christophe Laurent Gregory Stephane Thierry Philippe Jérôme Laurent Emmanuel Christophe David Laurent Franck Jerome Emmanuel Herve Bruno Alexis Eric Alexandre Paul Vincent Arnaud Viviane Vincent Jean-Michel Fabrice David Michel Stephane Sylvain Stephane Guy Henri Laurent Yann Davy Christophe Philippe Michel Frederic Christian Philippe Jean-Christophe Emmanuel Gregory Gregory Jean-François 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 96 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 1431 1432 1433 1434 1435 1436 1437 1438 1439 1440 1441 1442 1443 1444 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Richard Tony Eric Tony Carole Abdelkrim Jerome Gwenael Franck Stephane Rodolphe Cedrik Frederic Regis Frederic Michel Christian Nicolas Fabrice Sylvain Anthony Michael Xavier Eric Cedric 1491 1492 1493 1494 1495 1496 1497 1498 1499 1500 1501 1502 1503 1504 1505 1506 1507 1508 1509 1510 1511 1512 1513 1514 1515 1516 1517 1518 1519 1520 1521 1522 1523 1524 1525 1526 1527 1528 1529 1530 1531 1532 1533 1534 1535 1536 1537 1538 1539 1540 1541 1542 1543 1544 1545 1546 1547 1548 1549 1550 CHASTIN LECLERCQ GIRARDOT CHAMBELLAND NONIER DAUMONT PUMILIA JACOB MONTEILS LE BAYON VARLOT DUPORT MORETTI LE GORBELEC DESCAMPS DANNOOT DESCAMPS AMADEI LENGLART THOMAS TELLE NICOLAI PRADA RIGAUDIERE FILALI POLLION ANGELI DIAFAT PARSI LE MESTRE DUBUS CHARLIER LECA PRIGENT VATTIER POLAK TELLIER CADET-MORREELS PORTO DUFRENOY DUPREZ MACZKA MOTTAY AGAR PUJOS HONORE ROGES BEHAGUE BRIANT MAILLARD POLAK DHELIN VIEVILLE DEVAUX GOUET BRION KUNTZ LEPAGE VAVASSEUR NOGUES ANGER OLIGER SOUMAGNAC MAROT Michael Olivier Laurent Pascal Fabrice David Jean Francois Arnaud Muriel David Pascal Didier Stéphane Cyrille Joachim Deborah Stephane Frederic Erwan Alexandre Joël Adriano Antony Younes Hervé Philippe Walter Stephane Nathalie Pascal Marc Mickael Laurent Sebastien Arnaud Sebastien Stéphane Mylene Eric Raphael David Frederic Alex Bruno Sebastien Stephane Fabien François Samuel Jonathan Philippe Yannick Stephen Yannis Caroline Frederick Raphael Philippe Frédéric Philippe 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 97 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 1551 1552 1553 1554 1555 1556 1557 1558 1559 1560 1561 1562 1563 1564 1565 1566 1567 1568 1569 1570 1571 1572 1573 1574 1575 1576 1577 1578 1579 1580 1581 1582 1583 1584 1585 1586 1587 1588 1589 1590 1591 1592 1593 1594 1595 1596 1597 1598 1599 1600 1601 1602 1603 1604 1605 1606 1607 1608 1609 1610 ROBIN MOREL MOREY BERTILE LAPOMME FIRON ZUNQUIN TERRASSE HERNOT CARDI KOWALISZYN GANTOIS-FRANCOIS BERTHEZENE DUCARIN BOUCLON SANTONI HORMOS COLIN BLANCHET DEMIT ABBADIE GAURY MAILLE GUILLET HENNINGER SAUNIER BARBOTIN RABAIOLI ARDOUIN BEUSQUART CHATELARD BERDER DEPONT TRINDADE BROSSE BEGUE ABRY AGUILAR VANNESTE BRASME LEGENDRE LEFEUVRE BADIN CECCANTI BADOUARD MAIDONIS FERRIER FABRE FURET HAMON MENGELLE FIEVRE BEAL ALBERTIN SOLAN HEMMERTER ANSELME MILLET BERNARD DA CUNHA BUGNAZET GROSSO Raymond Emilie Yann Benjamin Anthony Gregory Abel Sebastien Robert Ivan Nathalie Damien Sylvain Thomas Franck Ludovic Franck Betty Sebastien Franck Patrick Gérald Franck Christophe Franck Philippe Tristan Laurent Patrice Mikael Mathieu Alexandra Laurent Benjamin Nicolas Laurent Laurent Jerome Jérôme Lionel Cyril Cyril Arnaud Christophe Laurent Guillaume Jérôme Steve Benoit Emmanuel Pierre Jean-Christophe David Yannick Ludovic Ulrich Jerome Antonio Stephane Frédéric 1611 1612 1613 1614 1615 1616 1617 1618 1619 1620 1621 1622 1623 1624 1625 1626 1627 1628 1629 1630 1631 1632 1633 1634 1635 1636 1637 1638 1639 1640 1641 1642 1643 1644 1645 1646 1647 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Frederic Ludovic Nicolas John Pascal Jerome Laurent Priscilla Veronique Anthony Stanislas Francois Claude Virginie Roger Sandrine 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 98 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 1671 1672 1673 1674 1675 1676 1677 1678 1679 1680 1681 1682 1683 1684 1685 1686 1687 1688 1689 1690 1691 1692 1693 1694 1695 1696 1697 1698 1699 1700 1701 1702 1703 1704 1705 1706 1707 1708 1709 1710 1711 1712 1713 1714 1715 1716 1717 1718 1719 1720 1721 1722 1723 1724 1725 1726 1727 1728 1729 1730 LAVERNY ESPOSITO CAMPANELLA LEFEBVRE ROGER GUYOT M BATI CASSES PRIETO DA SILVA GOMES LECOINTE FIGARO VANDEPITTERIE BOUSSION BERNARDINI ARNOULT MONTANIER ALZINGRE MARTINEZ VONET RAMOS SCHOTTE GILLANT BENOIT SIGNOUREL RUNAVOT SABATIER MUTOLO SAMAK GELIS CESARI COUREAU ELZBIECIAK MONNIER DELAFAITE DROGUET MASSA AUDU LESERT DEMONTAY BRESSON AHERFI MARTIN CHAUWIN DEBRIL DELANNOY BENARIOUA ASSELIN XENOPHANE ROMITO COURTIN PERRIER GROUT PENEL MARC SKOWRONEK DEPREZ GLORIANT CARRETTE MOYSAN MOLLE CHERY Daphne Sebastien Frederic Christophe Vincent Frederic Stephane Wilfried Olivier Pierre Alain Philippe Laurent Mathias Vincent Cyril Sebastien Sebastien Lionel David Jerome Johan Sebastien Rodolphe Erwan Celine Olivier Denis Stephane Yannick Odilon Alex Sebastien Eric Jérôme Laetitia Olivier Guy Bruno Xavier Anthony Jeremie Michael Benjamin Morad Boris Xavier Bruno Gregory Stephane Walter Stephane Emmanuel Yohan Cédric Patrice Yohan Bruno Alexandre Jean-Michel 1731 1732 1733 1734 1735 1736 1737 1738 1739 1740 1741 1742 1743 1744 1745 1746 1747 1748 1749 1750 1751 1752 1753 1754 1755 1756 1757 1758 1759 1760 1761 1762 1763 1764 1765 1766 1767 1768 1769 1770 1771 1772 1773 1774 1775 1776 1777 1778 1779 1780 1781 1782 1783 1784 1785 1786 1787 1788 1789 1790 GAILLARD BENAKCHA HOUE SONILIACQUE FONTAINE BIOUT AMMANN RUCART HEERNAERT GUINET LEROUX REBSTOCK FOURNI WILLAUME POUX MAES LEVEQUE FAUCOEUR PILLIER MEYER GARCIA HECQUET GARCIA TROLAIS TILLARD LEGENDRE QUILBAULT SENE LEFEBVRE NAYET DELHAY GIRODOLLE BADUEL PLAWNY DESIMEUR TORRES SOUTENARE BULCOURT LAVIGNE CAUSARD WALLET FERRASSE FREMAUX CASTREMAN LOUCHART IDER VAUTRAIN BACO SICARD DEPERCHIN ROSSETTI CANTAL MARIE REINE NOGUERA DI MARTINO MARCHAL LAUTRU CHEKROUNE COLLET DUMORTIER MEHEL HAMEL CAILLE Steeve Salima Pierre Julien Eric Rodolphe Gregory Sebastien Adeline Olivier Stephane Gregory Virginie Nicolas Laurent Nadege Stéphane Sebastien Lionel Sebastien Mathieu Sébastien Mathieu Delphine Stephane Jean-Philippe Arnaud David Christophe Eric Laurent Jerome Michael Hubert Sabrice Christophe Christophe Mickael Jonathan Eric Gregory Johann Stephanie Christophe David Yann Ludovic Christophe Sebastien Nathalie Stephane Damien Remi Mehdi Akim Julien Joel Emmanuel Mickael Nicolas 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 99 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 1791 1792 1793 1794 1795 1796 1797 1798 1799 1800 1801 1802 1803 1804 1805 1806 1807 1808 1809 1810 1811 1812 1813 1814 1815 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Jérémy Vincent Stephanie David Frederic Stephane Celine Rodolphe Eric Emmanuel Sebastien Cedric 1851 1852 1853 1854 1855 1856 1857 1858 1859 1860 1861 1862 1863 1864 1865 1866 1867 1868 1869 1870 1871 1872 1873 1874 1875 1876 1877 1878 1879 1880 1881 1882 1883 1884 1885 1886 1887 1888 1889 1890 1891 1892 1893 1894 1895 1896 1897 1898 1899 1900 1901 1902 1903 1904 1905 1906 1907 1908 1909 1910 ALTAVILLA LAMBERT FERET SOREL BAY FLACELIERE DELATTRE SERVIEN GIEZEK CORNELIE DOSSMANN HUE BARRAT OBRY MEYER VAN DENESTE ZADIGUE GOUGOUGNAN CARO EMERY MENARD VERMEULEN LEUTELLIER FONTAINE CARTIER ROMANO LABORDE HARAMBURU BERARD BUISSONNET AMIGO PIGNOL RATAJCZAK MIGNON CAVARLE RIUS CATANANTE MILANGE TEMMERMAN YANETTI POUPON CARLIGNY MONDET GARDE DAVAULT PINON LEBEHOT FATOU GUERIN MARULL SOULATGE MASSIE BOIX DUPIN MOURAIT BOUZAIRES PELLEGRY QUENEHEN STEMPFLE MEMERY LEONARD BENEDETTI COLIN DEMOL CALMEL ROUAULT SCHWARZ Eric Vincent Ingrid Mathieu Cyril Gerard Mickael Nicolas Marie Laure Julien Christophe Jean-Pierre Sebastien Steve Sebastien Mario Christophe Laurent Laurie Jean Paul Ludovic Jerome Maria-Angeles Céline Lionel Patrick Gabriel Dominique Alain Jean-Francois Michel Patrick Jean Jerome Alexandre Thierry Pierre Guy Jean Pierre Philippe Didier Pascal Thierry Sylvain Herve Francoise Patrick Pierre Christine Patrice Catherine Francis Francois Alain René Claude Christine Sabine Josiane Philippe 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 100 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 1911 1912 1913 1914 1915 1916 1917 1918 1919 1920 1921 1922 1923 1924 1925 1926 1927 1928 1929 1930 1931 1932 1933 1934 1935 1936 1937 1938 1939 1940 1941 1942 1943 1944 1945 1946 1947 1948 1949 1950 1951 1952 1953 1954 1955 1956 1957 1958 1959 1960 1961 1962 1963 1964 1965 1966 1967 1968 1969 1970 HENRI ALFONSI BESSOLES RENIA GIACOMELLI GARDILLOU GARCIA PESENTI DURUPT ASSET CLANET GAGLIOLO LENCLUD MIGNANO RAGAZZI MARTINACHE RIVET CAROL COMNOS CARRASCO MOURET SIMLER DANIEL LESEVRE FREYERMUTH CHRYSANTHOS DUPIRE PATAY JOUBERT PLAIRE TACCHINI DEYRES TALLET VITRY SPRIET DUFFAUD BACLET TISSERAND SANCHEZ DELABROYE GREGOIRE DALLET PETITGIRARD PIRON QUERRIOUX WERNETTE CARAMIAUX BEGU FAUQUEMBERGUE BOUISSIERE DUPRE BERTOLINI LEWY BONJOUR LE CAHAIN ZOBEL GEORGES DELVAL CABIOC’H SARDA DECOURCELLE RUDANT GUILLAUME Pascal Serge Franck Harry Guy Franck Beatrice Frederic Alain Jean-Luc Patrick Albert Thierry Christian Philippe Christian Jacques Ali Steeve Guy David Roland Olivier Laurent Frederic Athanase Mickael Laurent Lydia Michel Lionel Jean Luc Frederic Jean Jacques Pascal Thierry Eric Magali Christophe David Sylvie Benoit Pierre Lionel Stephane Tony Philippe Vincent Stephan Laurent Philippe Laurent-Pascal Eric Andre Jerome Valerie Olivier Laurent Dominique Philippe Florent 1971 1972 1973 1974 1975 1976 1977 1978 1979 1980 1981 1982 1983 1984 1985 1986 1987 1988 1989 1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 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Severine Martine Michael Jérôme David Nicolas Francesca Elisabeth Stephane Roxane Mickael 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 101 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 2031 2032 2033 2034 2035 2036 2037 2038 2039 2040 2041 2042 2043 2044 2045 2046 2047 2048 2049 2050 2051 2052 2053 2054 2055 2056 2057 2058 2059 2060 2061 2062 2063 2064 2065 2066 2067 2068 2069 2070 2071 2072 2073 2074 2075 2076 2077 2078 2079 2080 2081 2082 2083 2084 2085 2086 2087 2088 2089 2090 RIVIERE MARTINEZ LEFEVRE CARON VERON STRACCIALANO THUMERELLE HOCHET MAURICE MASSON ALOPH DANCOISNE GERINI BARRY RINGARD CHEUSEL GALBAS ZINS GERINI MUSSARD MARDIL PHILIPPE LE RAY PATE DIGOUDE DANET KOENIG RIZZO LAMOURET VAN WYNENDAELE REGARDIER DUFOUR DOLLIN DEJOUET COUTEUX FOUTREL OUDOT FELBER ANDRIEUX MAREY ROBERT JANNUER PAYAN CHARLES MOUTARLIER MAINGUY GARDEY IOLA RIEGIS POUPARD VINCENT WEBER STRIPPOLI DUMAS CHONG-PAN BRUCHMANN JACQUEMIN CISEY DUPRAT GRANGEARD AUBRY DOUCE BRIAUX RICHARD Alexia Nicolas Olivier Pierrick Anthony Cedric Nicolas Richard Michael Frederic Jerome Patrice Louis-Steve Sebastien Katia Johanna Frantz Alain Emmanuel Arnault Marjolaine Christophe Alban Bruno David Ludovic Hervé Emmanuel Fabrice Sylvain Jean Baptiste Jerome Valerie Manuel Frederic Frederic Johny Jean Luc Patrick Sebastien Olivier Reginald Delphine Christophe Caroline Cedric Dimitri Séverine Jean Philippe Michael Therese Christophe Emmanuel Mathieu Sebastien Sylvain Sebastien Sébastien Katya Erwan 2091 2092 2093 2094 2095 2096 2097 2098 2099 2100 2101 2102 2103 2104 2105 2106 2107 2108 2109 2110 2111 2112 2113 2114 2115 2116 2117 2118 2119 2120 2121 2122 2123 2124 2125 2126 2127 2128 2129 2130 2131 2132 2133 2134 2135 2136 2137 2138 2139 2140 2141 2142 2143 2144 2145 2146 2147 2148 2149 2150 RONSIN GERMAIN ROBINET DAVIN CATALDO KRUCHTEN BOCAGE PUEYO MEYER LELEUX GARCIA SENAC FACON FELDEN VERGNAUD RADJAH CHARLO PITOU VIMBOULY KRAWCZYK CHEVALIER WACHOWIAK PLACE HONTANS MARTINEZ NOGUES HARO DESFONTAINES HEITZ GABEL ETTER BOUCHER FORT RIGAUD MERCHER FONTAINE VANNESSCHE NOUAILLES MARTINO DECOCK FATRE DELPORTE BASTIEN DUPONT MOUNIER JUNQUET SOUSSI COMBES HUBBEL GOUACIDE DEGREMONT THESIER DURIF PETIOT GUERIN AVRILLON BOUCHET PARASKEVOPOULOS GARRIGOU BELGACEM PERDRIX MICHENEAU COLET CESAIRE-GEDEON DE GARIDEL TREFEIL BOYER CABON DUFOUR Fabrice Franck Sebastie Nicolas Sebastien Jean Philippe Cyril Fabrice Mario Jérôme Gery Michael Christophe Armelle Marie-Annick Philippe Aziz Sonia Florian Thierry Gyslain Jean Sebastien Bruno Anne Philippe Jean-Pierre Sebastien Liselotte Domitille Fabien Sebastien Valérie Jerome Cyril Laurent Gabriella Michael Christelle Guillaume Nicolas Julien Aziz Frederic Michelle Olivier Christophe Yannick Mickael Pierre Raphael Alexandre Sebastien Mourad Christophe Charles Kattia Eric Christophe Patrick Erwan Gaetan 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 102 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 2151 2152 2153 2154 2155 2156 2157 2158 2159 2160 2161 2162 2163 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Stephane Antony Mouguilane Chahid Jeremie Sebastien Gregory Cyril Kevin Olivier Dimitri Herve Stephanie Eric Aurelie Thomas Matthieu Stephanie Nicolas Stephane Rachid Dany 2211 2212 2213 2214 2215 2216 2217 2218 2219 2220 2221 2222 2223 2224 2225 2226 2227 2228 2229 2230 2231 2232 2233 2234 2235 2236 2237 2238 2239 2240 2241 2242 2243 2244 2245 2246 2247 2248 2249 2250 2251 2252 2253 2254 2255 2256 2257 2258 2259 2260 2261 2262 2263 2264 2265 2266 2267 2268 2269 2270 MONTUELLE BOURHOU AUBRY POYET-ROUGANNE LAMOUREUX FRANCOIS DUEZ ROULIN MARTIN CAMUS MALLAURAN DIEULLE BAEZA STOJCEVSKI DIDIER RICARD GOBEAUT MICHENET COPIN PICO LOMBART GERMANY DROGOZ THIANT BERNARD DE COURVILLE DELAIRE HOUCINE BALERIN DELESTRE VIGUIE BERQUEZ HOAREAU BAZIRE ROCHE BALLOUL GODARD BEAURAIN BERTOLOTTI MARTIN SAINT JACQUES ARMAND SAYER RABA MERCEREAU ALSTERS SPAMPINATO-BOUSSIOUX PAILLET MABRUT MAROTTA HOYAU DE FARIA BRIZ RAFFIN BOYER VERCOUTRE PEYROL THEVENET SARDIN CAGNAC FABRE GERARD LOLLI EL HAYYATE Sylvain Messaoud Yannick Thomas Christophe Sandra Alexandra Jeremy Jessica Boris Elina Jérémy Aleksandar Alexis Julie Fabien Sebastien Loic Virginie Sebastien Davy Nicolas Theo Jacques Anne Sophie Agnes Guilhem Stephanie Lionel Carl-Stephane David Mickael Sandrine Lynda Tony Cedric Pierre Sebastien Jimmy Thierry Barbara Emmanuel Cedric Olivier Damien Ludovic Cedric Michele Francois Christophe Cedric Sylvain Mickael Aude-Marie Gerald Patrick Nicolas David Franck Karima 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 103 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 2271 2272 2273 2274 2275 2276 2277 2278 2279 2280 2281 2282 2283 2284 2285 2286 2287 2288 2289 2290 2291 2292 2293 2294 2295 2296 2297 2298 2299 2300 2301 2302 2303 2304 2305 2306 2307 2308 2309 2310 2311 2312 2313 2314 2315 2316 2317 2318 2319 2320 2321 2322 2323 2324 2325 2326 2327 2328 2329 2330 BRUSSE DELIGNIERES FENICHE CHASTAGNIER CIANO VEJTZIK RAYNAUD BERTHIER FRANCOIS KAYGIN LAGASSE MORACCHINI WILLARD DELHOSTE MOUNIE DI PIETRANTONIO JACOULOT WIETECKA RICHARD MONTANARO CLOET ANTOINE SAUVAGE MOTTER GIRGIN CLEMENT PEREA NARANJO MONDEJAR GROSSON BAUSSENS KIRCH MOURNIAC MORIO BUTEAU BURON MADEBOS AGRICOLE JEAN BAPTISTE NICOLAS STUTZINGER ZUNINO ROSSET FOUILLEN MARTIN POURQUIES GIMENEZ MARECHAL DE BARROS FROMENT REALE SANS DUSCONI SALOMON HILAIRE FILLEZ PREVOST LAMM MILESI MELIANI CUCINIELLO DE BIASIO TAIEB RENASSIA PERRIN PILLOT Gwenael Sebastien Nadel Franck Olivier Benoit Celine Alexandra Sebastien Christelle Nicolas Frederic Laurent Gregory Stéphanie Pascal Gregory David Davy Louis Olivier Stephane Geoffrey Sylvain Kenan Nicolas Eladio Philippe Christian Jean-Luc Alfred Eric Marie Helene Thierry Gilles Yolette Patrick Eric Fabrice Isabelle Jean Yves Jean-Francois Christian Bruno Francis Patrick Olivier Christophe Thierry Maguy Laurent Gerald Claude Stephane Kemal Philippe Marcel Pierre-Jean Denis Lydie 2331 2332 2333 2334 2335 2336 2337 2338 2339 2340 2341 2342 2343 2344 2345 2346 2347 2348 2349 2350 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Olivier David Sebastien Mathias Olivier Stephane Ingrid Frederik Christele Philippe Philippe Olivier David Raymond Sandra Sadia Gilles Franck Farid Ousmane Celine Delphine Olivier Cynthia Sebastien Pascal Nathalie 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 104 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 2391 2392 2393 2394 2395 2396 2397 2398 2399 2400 2401 2402 2403 2404 2405 2406 2407 2408 2409 2410 2411 2412 2413 2414 2415 2416 2417 2418 2419 2420 2421 2422 2423 2424 2425 2426 2427 2428 2429 2430 2431 2432 2433 2434 2435 2436 2437 2438 2439 2440 2441 2442 2443 2444 2445 2446 2447 2448 2449 2450 PREVOT GROULT PERRUFFEL BILLET BRANSOLLE LATCHIMY VAGINAY DEIVASSAGAYAME PALADINI L’ YVONNET HIE RAGOUVA SALVY LATUILE CHAILLOU PAYET GIRARD PLUGNIK GEST LITVINENKO ROC LERICHE BARBE LEMATTRE COIQUE LARGILLET SIGOIRE ROSCHITZ JULIEN CHEMIN ESNAULT DOLOIR RICHARD DESFONTAINES RIGOT MAGLOIRE ATOUT FERNEZ BOURNIER SERAFIN BONVARLET CAFFIER DUPONT MARTIN D’ALMEIDA ZIEGLER GAUDIN GALLO RICHY DUMY ANDRE BANAIAS SELLIER HODIER SAINT PAUL HERRMANN JORET DUBET BORGES ARBINET DOUIS VALAT LAPLAGNE JOACHIM ANEZMI BROUXEL GORON Thamara Myriam Fabrice Julia Antoine Guy Noel Stephane Mickael Laurence Jean-Michel David Paul Michael Jérôme Yoni Eddie Ricardo John Jérôme Benoit Charles Henri Alexandre Romain Julien Nathalie Alexandre Vincent Gilles Frederic Laurent Alex Maurice Akle Jerome Mickael David David Yann Stephane Christophe Stéphanie Cedric Philippe Isabelle Dominique Gimi Sandrine Philippe Sebastien Nicolas Stephane David Cyril Erick Mathieu Magalie Fabrice M’Hamed Fabienne Olivier 2451 2452 2453 2454 2455 2456 2457 2458 2459 2460 2461 2462 2463 2464 2465 2466 2467 2468 2469 2470 2471 2472 2473 2474 2475 2476 2477 2478 2479 2480 2481 2482 2483 2484 2485 2486 2487 2488 2489 2490 2491 2492 2493 2494 2495 2496 2497 2498 2499 2500 2501 2502 2503 2504 2505 2506 2507 2508 2509 2510 AMADOU LERICHE RENAUDIE PATRAULT BOURDELAT TINEL VIGNOT DEMESSAZ BEYNEIX MONIEZ MERCIER HITIER BOUTRY BOGE REBOUH DAVID FABRE MOIA AMILY GERMANE VALLON TOUDERT WILLIAM DOBREMETZ ASSET BOCQUET CHEMOUL AINSEBA CARABEUF SGHAIRI STOUQUE LOPEZ HAUMONT EOUZAN BEL GALLEGO GROSS MERCHI VIDEAU POULAIN D ANDECY ELBENE BLOT CACAIS RUFFE BAUP URIMA SAOUDIN FONTAINE PAYAN KIRIE SAINT AIME ICEAGA OUERTANI RUCELLE LE MENE GALLIOT NAUDIN MENU REMBOTTE DUEZ STEBE ZIEMSKI Moussa Didier Jerome Katell Erwan Audrey Muriel Eddy Igor Thomas Laurent Frederic Vincent Fabrice Denis Arnaud Frederic Jean Philippe Johnny David Eric Jean Karl Nicolas Jimmy Ludovic Anthony Malik Frederic Mehdi Gregory Sandrine Nicolas Eric Alexandre Beatrice Herve Omar Gregory Marie Louis-Alexandre Christopher Pascal Yannick Virginie Eric Aymerick Natacha Christophe Franck Patricia Boutaina Samuel Arnaud Angelique Steve Guillaume David Eric Patrice 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 105 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 2511 2512 2513 2514 2515 2516 2517 2518 2519 2520 2521 2522 2523 2524 2525 2526 2527 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Sebastien Christelle Sandrine Nadege Olivier Dimitri Boris Karim Muriel Thomas Audrey Romuald Eddy Jean Marc Gilles Stephane Julien David Christophe Sylvia Eric Wilfrid Yohann 2571 2572 2573 2574 2575 2576 2577 2578 2579 2580 2581 2582 2583 2584 2585 2586 2587 2588 2589 2590 2591 2592 2593 2594 2595 2596 2597 2598 2599 2600 2601 2602 2603 2604 2605 2606 2607 2608 2609 2610 2611 2612 2613 2614 2615 2616 2617 2618 2619 2620 2621 2622 2623 2624 2625 2626 2627 2628 2629 2630 DUCOURET BARTHET MARICOT EL AMRANI RAYNAL NEMOUTHE FONTANEAU KILIAN TELEMAQUE ALVES ZOBEL BORRULL SALMI BELENUS SELPONI ZINAI CAZAL CORNUEL MORENO GALIBERT LLAMAZARES PAUPORTE DECAUDAIN CRISTOFINI DELELIS BOURDIM LAURENT JOHARANE PREZEAU PIERRON NGUYEN VAN SANG MORTEAU VANDENBROELE LEON LE CORRE ZIRCON ALVAREZ MOLINA BEAL DROY DOIT POIROT SEGUIN BOUWY BEAUFILS PRIBAT MUSSARD BOUHOUT QUELLEC BARREAU PIAULT DAMAY OCULI PECQUET MORMONT-MEDERIC GREGOIRE DUVEAU GHIGO LEBLANC DIBLING FAUTER BANELLE RAY Fabien Daniel Damien Fouad Cyril Gilles Vanessa Sebastien Armenio Astrid Farid Libert Pierre Ali David Philippe Guy Sebastien Deborah Julien Jeremy Katia Jeremy Samia Aurore Matthieu Franz Lionel Sylvie Fabrice Olivier Laurent Olivier Yann Alexandre Nicolas Sophie Julien Yann Sammy Christophe Dimitri Narayan Jerome Rachid Katy Christophe Jean-Francois Veronique Annabel Thierry Nicty David Laetitia Marie-Hélène Isabelle Fabien Viviane Karine Stephanie 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 106 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 2631 2632 2633 2634 2635 2636 2637 2638 2639 2640 2641 2642 2643 2644 2645 2646 2647 2648 2649 2650 2651 2652 2653 2654 2655 2656 2657 2658 2659 2660 2661 2662 2663 2664 2665 2666 2667 2668 2669 2670 2671 2672 2673 2674 2675 2676 2677 2678 2679 2680 2681 2682 2683 2684 2685 2686 2687 2688 2689 2690 SECHER PALUD FENOUIL ZORZI TIALA LECREUX LUZINSKI PEILLON RABIER SCOUARNEC OMEZ SAMBIN PEREZ MASSON POETTE GOMEZ MICHAUD SIROP LABONNE MARTINS MARI MENDIELA GEORGES SERETIS ROBILLART BENAHMED KHALED BOUHADIBA BERTRAND PROUTEAU POGGIO CREPU LOZACHMEUR CEZAR DEGRAEVE TROUILLET ABID LEBON RECART SERVA LEPONT EDON LECLERC FAVEREAU BOUCHAIT BACCHIALONI GRIMAUD FOURGEAUD VERDET ROUSSEAU LE GOFF TERRAL LOPEZ MARTY RENARD CHAUVIN CARRIER DARTHOIT MONTABORD LEYSSENNE BLEQUY DESUMEUR TIREL Virginie Yoann Magali Gilles Laurent Catherine Geoffrey Jerome Sebastien Cedric Nathalie Yannick Florent Bertrand Sebastien Melanie Nicolas Siegfried Cedric Stephane Teddy Franck Vincent Eve Anthony Fadila Nadjah Jamel Tristan Carine Stephane Ludovic Karine Didier Jeremy Aurelie Karim Olivier Patricia Romuald Isabelle Celine Vanessa Virginie Jerome Sabrina Stephanie Camille Erwan Maxime Laurent Christelle Remi Cedric Severine Lucie Stephane Arnauld Cedric Stephanie 2691 2692 2693 2694 2695 2696 2697 2698 2699 2700 2701 2702 2703 2704 2705 2706 2707 2708 2709 2710 2711 2712 2713 2714 2715 2716 2717 2718 2719 2720 2721 2722 2723 2724 2725 2726 2727 2728 2729 2730 2731 2732 2733 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Guillaume Alain Sourya Mohamed Karine Anthony Herve Emmanuel Laurent Sebastien Loic Gerald Stanislas 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 107 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 2751 2752 2753 2754 2755 2756 2757 2758 2759 2760 2761 2762 2763 2764 2765 2766 2767 2768 2769 2770 2771 2772 2773 2774 2775 2776 2777 2778 2779 2780 2781 2782 2783 2784 2785 2786 2787 2788 2789 2790 2791 2792 2793 2794 2795 2796 2797 2798 2799 2800 2801 2802 2803 2804 2805 2806 2807 2808 2809 2810 ABAUZIT GALY VACOSSIN CABANE BRANCHEREAU MAUHE COLLIN LECORRE DETEUF MICHEL KINTARD POTIER LEGROS LOITIERRE WILLERS VERDURE SERVILLE KHEMISSA HUSTACHE GRUNWEISER MORELLE NEDROMI CHAILLOU ROBERT SCHAMBER NOUVEL DE TAXIS DU POET GIRAUDET MACREZ SALLUSTRO LE GALLOUDEC ARNAUD LOPEZ CHEVAL VERON CLAIRON BERNARD LE COLLINET LECOLLINET CAUFOURIER NACHIN MICHELOZZI FLINGOU PATURAL JULIEN GALLAIS DUCHESNE BUSCAIL BARAST DURAND SAPIO AURANGE DRISSI MAGUET LEULIER GERVAIS GRONDIN LIMOUSIN BONNET BRUNET HANQUIER GUERRIN FLANDINET RATEL Jimmy Jerome Vincent Maud Anita Nicolas Karine Olivier Maxime Claire Philippe Yann Jean Jacques Anthony Sophie Severine Adlane Stephanie Agnes Nicolas Abderrezack Brice Celine Orlane Jérôme Florence Edwige Michael Caroline Delphine Aurelien Serge Christophe Delphine Fabien Sabrina Nina Sandrine Pierre Cedric Carl Fabrice Christelle Jennifer Sabrina Aymeric Sebastien Stephanie Nabil Johannes Arnaud Laurent Olivier Baptiste Christophe Nicolas Alexandre Stephane Stephane Veronique 2811 2812 2813 2814 2815 2816 2817 2818 2819 2820 2821 2822 2823 2824 2825 2826 2827 2828 2829 2830 2831 2832 2833 2834 2835 2836 2837 2838 2839 2840 2841 2842 2843 2844 2845 2846 2847 2848 2849 2850 2851 2852 2853 2854 2855 2856 2857 2858 2859 2860 2861 2862 2863 2864 2865 2866 2867 2868 2869 2870 LEROY SAVREUX BILARD SIBILLE RENE BERTRAND RIVIERE ROBIC ROUSSEL LE GALLOU DUBUISSON LYON MASSU NARDI GUINARD CORNEZ ERKOL TACIAK RYBIENIK MONTIGNY BARANGER SAPOR VERMEULEN SCOHIER FIEVET BREGANZE BRAUNSTEIN CHARRUAULT VULLIEZ GUELTON PADE BERTINCHAMPS POUJOL LE SERRE PIERROT RGUIBI DE ARAUJO ALIX HEZAZI DOS REIS OUDJAIL POPULO REBUS LEVEQUE KERYHUEL JOFFRE LECHALUPE BONNIN GROLLET BUOT ANDUZE DISSEZ BREL GUICHARD GERARD CEDELLE BAUVILLE JEANNE BARATIN BERTELOOT BOUGUET BOBER Severine Sebastien Solene Fabrice Cyrille Pierric Stephane Olivier Celine Francois Sebastien Melodie Fabrice Jeremy Stephane Julien Christine Julien Francois Fabrice Cindy Mathieu Cyril Gregory Raphael David Anthony Laetitia Karine Anthony Jean-Pierre Patricia Jose Ayoub Fernando Olivier Stephane Amilcar Mekki Rudy Fabrice Nicolas Yannick David Christophe Patrice Sandrine Fabrice Philippe Laurent Philippe Cyril Cedric Celine Francois Patrick Corinne Fabrice Olivier Patryck 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 108 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 2871 2872 2873 2874 2875 2876 2877 2878 2879 2880 2881 2882 2883 2884 2885 2886 2887 2888 2889 2890 2891 2892 2893 2894 2895 2896 2897 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Alexandra Sylvain Pétélo Fabrice Lidwine Didier Geraldine Maryse Aubert Stéphane Harold Julien Brice Audrey Stephane Kristell David 2931 2932 2933 2934 2935 2936 2937 2938 2939 2940 2941 2942 2943 2944 2945 2946 2947 2948 2949 2950 2951 2952 2953 2954 2955 2956 2957 2958 2959 2960 2961 2962 2963 2964 2965 2966 2967 2968 2969 2970 2971 2972 2973 2974 2975 2976 2977 2978 2979 2980 2981 2982 2983 2984 2985 2986 2987 2988 2989 2990 FAUTERRE VERNET HOUSSIN BUREAU GOMBAULT DE SOUSA DAGRON LAVERRE DELIVET MIDOZ VALLEE LOPES VEZIEN GERBAULT DILMI EGUIENTA CHAOU ALBAYRAK COTTENCEAU PAYET DOUCET MITRI RAGAUT-DOE LE GALL DECALION HASTEY GOURDIN CHANTOISEAU COUNADEN BENASSILA LAYNAUD WILCZYNSKI RAIMBAULT BALCON MARTIN SMAIL SCHUHMACHER FAVE CHEA GASPARIK DOS SANTOS CHOCIAN CARCY CADOREAU TARRAGO REDOLFI COCONNIER SADOK PECHON PILON MACIA GAMBIER PEDARROS ALAMELAMA PRUDENT PLANA VIROULET DESMARCHELIER TIJOU NIECHE HENRY BUSETTO HEUX Stephanie Anthony Aurelia Bruno Angelique Eric Sebastien Stéphane Alexis Frédéric Nicolas Thierry Angelique Thomas Saïd Ekrem Guillaume Erick Kevin Constantin Jérôme Yannick Boris Harold Quentin Julien Zahra Régis Sébastien Emilie Marie-Cecile Christian Karim Thomas Véronique Christian Emilie Eusebio Eric Eric Christophe Frederic Jean-Louis Virginie Reda Lars Vincent Sylvain Christophe Cindy Ghislain Yann Florent Jérôme Damien Alan Stephane Marie Agnes Laurent Manuel 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 109 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 2991 2992 2993 2994 2995 2996 2997 2998 2999 3000 3001 3002 3003 3004 3005 3006 3007 3008 3009 3010 3011 3012 3013 3014 3015 3016 3017 3018 3019 3020 3021 3022 3023 3024 3025 3026 3027 3028 3029 3030 3031 3032 3033 3034 3035 3036 3037 3038 3039 3040 3041 3042 3043 3044 3045 3046 3047 3048 3049 3050 VALOT SCHULZ BRICOUT LAURENT PINHEIRO DA SILVA MAHIEU NOIRMAIN SISTO CHAILLY SURELLE LAPIN METIVIER TOUCHARD DEBALLE MILLE GALLAND FIERS GONZALEZ PODEVIN ARREDE CATHENOZ ROMBAUX DEVOS VY PAIA BRETON BRIGTHON BEGUE RIVET BEURY COUTIER OUELHADJ HIRACHE MANSARD BERLE SCHOEN COLLIOT CAIANO KANIZSAY MONIER MOULIN FERMIGIER MARIE SAINTE AVRIAMA ELISABETH CHASSANGRE CLOUET LOUISON TORVAL GRY RAZANAMAHEFA GUICHARD ALICALAPA MARIE SCHWALLINGER BLANCHARD DUFAY FERNANDES CASES LAHAIE MARTIN ONESTO DUVAL PERDIGEON Marc Alexandre Emmanuel Romain Alexis Lidia Harold Vincent Therese Sabrina Jeremy Mario Sylvain David Benjamin Julie Charlene Thomas Guillaume Guillaume Alix Aurore Jessica Delphine Van Hai James Martine Betty Cyrille Cedric Audrey Ouassila Jean Daniel Pierre Christophe Cecile Sandrine Cecile Marina Christelle Jean Philippe Laurent Elvis Cyril Johann Marie-Esther Christelle Dina Virginie Olivier Carine Ophelie Romain Christelle Didacio Sophie Alexandre Sabrina Aurélie Stephanie Yohann 3051 3052 3053 3054 3055 3056 3057 3058 3059 3060 3061 3062 3063 3064 3065 3066 3067 3068 3069 3070 3071 3072 3073 3074 3075 3076 3077 3078 3079 3080 3081 3082 3083 3084 3085 3086 3087 3088 3089 3090 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Grégory Steven Candy Audrey Sébastien Celine Thomas Philippe Gregory Amandine Natacha Damien Florence 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 110 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 3111 3112 3113 3114 3115 3116 3117 3118 3119 3120 3121 3122 3123 3124 3125 3126 3127 3128 3129 3130 3131 3132 3133 3134 3135 3136 3137 3138 3139 3140 3141 3142 3143 3144 3145 3146 3147 3148 3149 3150 3151 3152 3153 3154 3155 3156 3157 3158 3159 3160 3161 3162 3163 3164 3165 3166 3167 3168 3169 3170 FRIDERICH ROSEAU VIOU USAI DOMINGUEZ FISTACHE TABEAU CHOULET VICOT PECHOUX JULIA STENNOU NICOLAI ANGOT LAUBY ALLAIN ATAOUMBE SUBRENAT MALAVAL LASSA ASSANI GOMES EHRLACHER LAVIER FRENOIS BATLLE PATUREL DUPERRIER PEROSINO FORT DESCHODT HOAREAU GARCIA CANOPE BOUTEVILLE AUPETIT SCHMIDT MALICET VINAL LABBACI PAGES DUPOUY LATHULIERE JANER LEFEBVRE RIVOAL PREVOTEAU MASSON FORCINAL OUAKI BRETEL DA COSTA TANGUY POUDROUX SANTERNE MONNIER YESSAAD CRETINOIR LE MOUILLOUR GIMENO ANEST PERINI DURIVAULT BERTRAS LALANNE Olivier Angele Laurent Fabrice Frédéric Franck Serge Sylvain Prisca Laetitia Frederic Nathalie Vanessa Sebastien Fabrice Thierry Cendrine Philippe Rakibou Antonio Stephane Frantz Jean Philippe Gregory Rudy Laurent Isabelle Franck Thierry Florian Yolaine Pascal Gregory Norman Gregory Sabrina Denise Rodric Denis Sylvie Steve Christelle Ludovic Philippe Stephane David Djamila Cedric Mathieu Jeremy David Franck Mourad Ricardo Tangi Nathaniel Bruno Florence Jerome Quitterie 3171 3172 3173 3174 3175 3176 3177 3178 3179 3180 3181 3182 3183 3184 3185 3186 3187 3188 3189 3190 3191 3192 3193 3194 3195 3196 3197 3198 3199 3200 3201 3202 3203 3204 3205 3206 3207 3208 3209 3210 3211 3212 3213 3214 3215 3216 3217 3218 3219 3220 3221 3222 3223 3224 3225 3226 3227 3228 3229 3230 INNAURATO PASCAL PAADOO MANSUY TOUSSAINT BOTTEMER MANNINO PINQUET FLORIAN CARDET MORIN GARE LEGER POUGET LEBON CHAMI GRAILLE MITH LAHNA DESMAISONS BRETTE DELORT-BESSE TAGLIASCO GAUDRY PETE MESSAOUDINE DENUIT BEN ABDALLAH DUPONT VERE MARIE CREBESSEGUES LEMARCHAND ROYER ROUBIN POUBLAN MELSE GARNIER CHALON FREAU MAILLOT SOFFIATI PEREZ ROMAGNY CUSSONNEAU LOTTE DENIS SAUTRON AJAPUHNYA BASSIN LAMBERT PIQOT LALLEMAND MARGUERITE ARNOULD RICHET ABDELDJEBBAR BERTRAND REMY LASSERRE LECHAT CONRARDY ALANOIX Luigi Laurent Marie-Edmee Gregory Vincent Veit Dalila Ingrid Sebastien Patrice Cildric Franck Alexandre Julien Dominique Karim Marine Dominique Amal Lauriane Isabelle Nicolas Yoann Cyril Amanda Franck Nessim Virginie Sylvain Celine Freddy Magdalena Christophe Renaud Bruno Franck Denis Anne Fabien Jessica Julien Joelle Anne Laure Jean-Pierre Nathalie Frédéric Kale Michelle Sabrina Aude Linda Guillaume Steve Farid Cedric Emmanuelle Fabien Benoit Beatrice Patrick 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 111 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 3231 3232 3233 3234 3235 3236 3237 3238 3239 3240 3241 3242 3243 3244 3245 3246 3247 3248 3249 3250 3251 3252 3253 3254 3255 3256 3257 3258 3259 3260 3261 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Julien Frederic Pierre Remy Jeremy Mickael Jean-Marie Gerald David Eddy Roland Yohann Elise Cyrille 3291 3292 3293 3294 3295 3296 3297 3298 3299 3300 3301 3302 3303 3304 3305 3306 3307 3308 3309 3310 3311 3312 3313 3314 3315 3316 3317 3318 3319 3320 3321 3322 3323 3324 3325 3326 3327 3328 3329 3330 3331 3332 3333 3334 3335 3336 3337 3338 3339 3340 3341 3342 3343 3344 3345 3346 3347 3348 3349 3350 DO PINHAL MAHE COLAS ENOKA MARCANDIER CHE ROZE HEYMANN TISSOT MARIE BOST PIETERS FLECHARD DELLIS COUTURIER CAMERLYNCK CARNICELLI ABADIE SERRE HEULLY SONATORE HARTMANN MELONI PAUTY CRETON DUSAUTOIR MESSIEN CARRARA MARANGES SLAMA JELIE CLAPE BRETAUDEAU DEMORY MARY RIQUIER GIRIER-DUFOURNIER FLORES LE SCAVINER JOURDE GHESTEM JUEST PALMA BETHE SAHLI MORAUX CHAMBON RITCHEN LEON MINUEL PREVOST SEKROUN LE PROVOT LLIBOUTRY PIAT AUVRAY DUBOIS CHARREAU DONASCIMENTO CARLADOUS BRAGA DO ESPIRITO SANTO ANTON Y TOVAR POILLOT Olivier Anthony Emilie Jean-Manuel Ludovic Laurent Alexandra Nathalie Anthony Vincent David Julien Vincent Angelique Damien Laurent Jerome Patrick Maryvonne Francois Virginie Regis Gerard Julien Gilles Alexandre Chrystel Samuel Lamry Aude Sandra Mickael Thomas Jean Didier Ludovic Didier Stephanie Valerie Olivier Thomas Christophe Tony Bruno Farouk Stephane Gwenael Richard Radwon Sophie Thierry Marc Benjamin Arnaud Nadege Solenn Tony Regis Jaime Aurore Mathieu 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 112 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 3351 3352 3353 3354 3355 3356 3357 3358 3359 3360 3361 3362 3363 3364 3365 3366 3367 3368 3369 3370 3371 3372 3373 3374 3375 3376 3377 3378 3379 3380 3381 3382 3383 3384 3385 3386 3387 3388 3389 3390 3391 3392 3393 3394 3395 3396 3397 3398 3399 3400 3401 3402 3403 3404 3405 3406 3407 3408 3409 3410 PAUCHET MARQUET PASQUIER HUYNH VOURDON DURIEUX-TROUILLETON RECHNER JANUEL BENYAHIA DEROSIAUX BOUCHARD CHOUCHANE SION LAVALETTE NATIVEL PICHON KALTENBACH MIROSLAW TAZDAIT VITRY RIVERE DE CARLES VALLOIS HUBERT MASSACRY MEKIBES GOURDAIS OLESZKO MANSARD CHAUCHOT RODRIGUES PONTOIS GAUDIN CAMPANA FERNANDES BOURDERY LEVEQUE ANDRE CELLIER BRUCHET HETROIT HAY TANDJAOUI POCHET DRINE TEKIN DUWIQUET DUBOIS PASCOA ROMANO RAMADI RUAHE POCTHIER NDOUMBE MARCHETTO NIVERS LEFEVRE PINOT STEFANCZYK DHEILLY CIRACIYAN PEREZ BAEYAERT PROUDHOM PASCAL Tony Ruddy Nicolas Kim-Anh Loic Emilie Cedric Cedric Boubakare Stephanie Eliane Sébastien Julien Alexandre Christophe Jessica Cedric Ramzi Jerome Florence Arnaud Laurent Mohamed Marianne Cyril Jerome Gael Jeremy Xavier Florian Laurent Micael Ulric Steve Cyril Philippe Christophe Antoine Peggy Mohamed Stephane Samira Emine Mathieu Pierre-Laurent Franck Raphael Erika Isabelle Ernest Sylvia Damien Sylvie Anne Emilie Stephane Jerome Julien Aurélie Frederick 3411 3412 3413 3414 3415 3416 3417 3418 3419 3420 3421 3422 3423 3424 3425 3426 3427 3428 3429 3430 3431 3432 3433 3434 3435 3436 3437 3438 3439 3440 3441 3442 3443 3444 3445 3446 3447 3448 3449 3450 3451 3452 3453 3454 3455 3456 3457 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Michel Jennyfer Marjory Rui-David Eric Ludovic Nicolas Frederic Aurelien 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 113 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 3471 3472 3473 3474 3475 3476 3477 3478 3479 3480 3481 3482 3483 3484 3485 3486 3487 3488 3489 3490 3491 3492 3493 3494 3495 3496 3497 3498 3499 3500 3501 3502 3503 3504 3505 3506 3507 3508 3509 3510 3511 3512 3513 3514 3515 3516 3517 3518 3519 3520 3521 3522 3523 3524 3525 3526 3527 3528 3529 3530 FILIN LAE PARIS ANDREO PAULY BANYULS MOREL GRONDIN GAY NARCISI CURTZ LEBON NARDI GLOAGUEN BIDOLIS BABIUCH GATTI DE MICHEL PALASZ GROSSOT DUWICQUET MICHEL MEGRET LUBOCH MASQUELIER DE CHAVIGNY DUCLOS LOYER GIBOT JAAI DURET SMAIL KLIN PASSOS DOIZY DODARD GARDIER FREULON COUVRAT LEGOFF MADRIAS ROUSSEAU NANTIER ODET GAY CHARRON SOUMIREU-LARTIGUE GEOFFROY GOURMELON ROVILLAIN DOUCHEZ VICENTE FAURE POIRIER SANTELLI VILLEFAYOT CHARPENTIER QUEIROZ ROCHAT NICAULT LAZIOU REBAGLIATI Philippe Guillaume Sebastien Jose Vivien Maxime Elodie Jean Florent Laurent Pasquale Emmanuel Laurent Ludovic Marie-Laure Virginie Tony Anthony David Sarah Pierre Olivier Sebastien Jimmy Slawomir Aurore Herve Carole Magali Malika Laetitia Cedric Wesley Frédéric Jimmy Nadege Virginie Christophe Eric Nicolas Pierre Caroline David Joanny Coraline Cyril Callixte Laurent Mickael Pascal Jerome Daniel Michel Frederic Jean Baptiste Veronique Dominique Victor Magalie Xavier Jean Philippe 3531 3532 3533 3534 3535 3536 3537 3538 3539 3540 3541 3542 3543 3544 3545 3546 3547 3548 3549 3550 3551 3552 3553 3554 3555 3556 3557 3558 3559 3560 3561 3562 3563 3564 3565 3566 3567 3568 3569 3570 3571 3572 3573 3574 3575 3576 3577 3578 3579 3580 3581 3582 3583 3584 3585 3586 3587 3588 3589 3590 AUGIER DE MOUSSAC LE NOAC H MANZELLA PASTOL LADAUGE DOS SANTOS HERBIN LACROIX MORE CONTE DIJOUX AUBERON LAINE MINCHELLA GILLAIN DUPONT THENARD BOULER DEMBELLE MARIE ROUX MARASLIOGLU FRANC CREVEUIL LETEMPLIER SAINT JEVIN PERROT CANNEVIERE LECOCQ LAVENDE LECOMPT BOUCHARD LEGILLON CLEMENTE LANTENOIS LEPRINCE GERMOND VANYPER LATT BLANCHOT BEIGNET ORTIZ OSMANI MARCHOIS GRIZELIN DESIREE BERNARD COM VENAISSIN JANNOT BELLEMARE SAIDI TOUJANI MAXANT ANGELIQUE PICART LANGUENOU PLEE BRUERE HEBBACHE BREDARIOL CARRICO PRINTEMPS RABERGEAU Camille Celine Vincent Lucien Carlos Amelie Isabelle Frederic Sabine Magali Nicolas Mathieu Sandrine Christian Nicolas Claudia Jonas Jimmy Aymeric Guillaume Hasan Alexandre Jerome Christophe Gilbert Sylvain Sylvie Mickael Nicolas Mickael Laurent Aurelie Nevia Yohann Vicky Pascal Angelique Marthe Philippe Bruno Ismain Lydie Joel Olivier Cedric Sophie Vincent Jerome Prisca Nadia Yannick Marie-Audray Sandra David Sebastien Nadir Alessandro Stéphanie Sebastien Katia 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 114 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 3591 3592 3593 3594 3595 3596 3597 3598 3599 3600 3601 3602 3603 3604 3605 3606 3607 3608 3609 3610 3611 3612 3613 3614 3615 3616 3617 3618 3619 3620 3621 3622 3623 3624 3625 3626 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Franck Stephane Emmanuel Herve Jean-Christophe Celine Michael Pierre David Lionel Jean Philippe Sebastien Baptiste Luis-Miguel Sebastien Julien Steve Frederic Mickael Guillaume 3651 3652 3653 3654 3655 3656 3657 3658 3659 3660 3661 3662 3663 3664 3665 3666 3667 3668 3669 3670 3671 3672 3673 3674 3675 3676 3677 3678 3679 3680 3681 3682 3683 3684 3685 3686 3687 3688 3689 3690 3691 3692 3693 3694 3695 3696 3697 3698 3699 3700 3701 3702 3703 3704 3705 3706 3707 3708 3709 3710 DIEUDE SANNA BAJOUE LETERME PINAUD LIMPALER LE GLEUT REMRAM GAUTHIER LABRO OURLIAC TESSEDRE SOLER PARAUD PHEULPIN GOURLAND CORNU CAPDEVIELLE DUCHESNE MAILLARD NAPIERALA COUPE SANEK PERON DUHEM MARIT VIOLA DOMPS DESQUIENS FONTAINE DELOR CHAPUIS FREY AIGLE WAGON-DEMADE RAVI BONHUIL CHANROUX DRABIK GAUTHIER BENNAMRI THIEMPONT STASSIN LASALLE BERTHELOT JAGNIAUX KEIGNAERT TARRIUS CHIARELLI KLENKLE AGULLO MILOT ROGRON LAMANDE MIOLARD LOMBART GHAMRI FRENEL MANSUY ABDOU BIALAS PISANO FORT Aurore Geraldine Remi Christophe Jerome Richard Rolande Nordine Stephane David Aude Sebastien Isabelle Cedric Cedric Arnaud Mickael Gregory Frederic Mickael Rudy Gregory Cathleen Thomas Christophe Renaud Sebastien Rodolphe Sandro Cedric Valerie Thierry Bertrand Sabine Jimmy Berangere Isabelle Xavier Majdouline Mickael Nicolas Melinda Christelle Sebastien Julien Céline Olivier Matthieu Laurence Johann Loic Elodie Stephanie Mohamed Alix Julien Fadhuli Florent Emmanuel Regis 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 115 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 3711 3712 3713 3714 3715 3716 3717 3718 3719 3720 3721 3722 3723 3724 3725 3726 3727 3728 3729 3730 3731 3732 3733 3734 3735 3736 3737 3738 3739 3740 3741 3742 3743 3744 3745 3746 3747 3748 3749 3750 3751 3752 3753 3754 3755 3756 3757 3758 3759 3760 3761 3762 3763 3764 3765 3766 3767 3768 3769 3770 VARLET POUVAIT FARGE DUVAL BELHACHE OLLITRAULT NEPOS LAMBERT RAMART LOURME PERREAUX FRECINAT FERT SMEULDERS NAGEL MAZOYER SAOLI GRIER BERTACHE BOULET ETIENNE SEVETIAN BOULARD FIORETTI SILVERA LAVRADOR GALY MAHE VALENS FUMERON DRAUSSIN LAMANT BOYER RODRIGUEZ CALLET PILOU ROCHAT BERTAUD SALI ATTOUMANI LEMIERE MICHEL LE BAIL ZIANE MITTELLETTE CROP BARBAUD BELGACEM JOVANOVIC BOURCIER TAOUSSART METERFI STANISZEWSKI BASILEVITCH BERNARD BEAUJOUR DEVINE BERTIN JABLONSKI BIBARD PIETRASZEWSKI DE OLIVEIRA JACQUOT Vincent Alexandre Frederic Jerome Sebastien Frederic Christian Sophie Christophe Stephane Ruddy Olivier Stephane Michel Loic Lionel Laurent Teddy Marina Aline Armide Fabien Marc Gilles Yannick Frederic Soizic Alexandre Sebastien Charles Laurent Jacques Aurélie Nicolas Gerald Emmanuel Jean- Christoph Bacar David Florian Pierre Abdel Kader Vincent Julie Francis Said Lela Sonia Hannafi Mehdi Julien Nicolas Bruno Remy Sylvain Christelle Julien Nicolas Christophe Olga Sebastien 3771 3772 3773 3774 3775 3776 3777 3778 3779 3780 3781 3782 3783 3784 3785 3786 3787 3788 3789 3790 3791 3792 3793 3794 3795 3796 3797 3798 3799 3800 3801 3802 3803 3804 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Frederic Fabrice Jean-Didier Jean Jerome Belkacem Alexandre Vincent Benoit Aurelie Hugues Daniel Mylene 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 116 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 3831 3832 3833 3834 3835 3836 3837 3838 3839 3840 3841 3842 3843 3844 3845 3846 3847 3848 3849 3850 3851 3852 3853 3854 3855 3856 3857 3858 3859 3860 3861 3862 3863 3864 3865 3866 3867 3868 3869 3870 3871 3872 3873 3874 3875 3876 3877 3878 3879 3880 3881 3882 3883 3884 3885 3886 3887 3888 3889 3890 DANJOU GATINEAU DUPUIS INK LINET BIAGIOLI AGESILAS COSSART GIMENEZ DARNAUD GRIMA FOUILLOUSE PELEGRY KAUF LE DOUCE GODET ALESI ROBLES JEANDIN WOLFF DEBELVALET BRETEAU BEURIOT GOTTARDI WALKOWIAK CANIAUX SADAILLAN SANCHEZ TIPALDI COUVELARD MONNEL BERT-LATRILLE BLOT AUBRY BACH COUBRONNE LE BLOIS LEBORGNE SUPPA ATHANAZE ELSEN LACAZE - LABARRERE MAILLY DROP ZAREMBA BOQUILLET KOSCIELNIAK LEDAN FELIX DELPLANQUE PIERRE LIARD LOMBARD PARDES BONNARDEL HUDE MOITIE CAZE BRACCINI ALLEMAND Christophe Lucie Christophe Jacky Erik Bruno Jean Luc Bruno Joseph Jean-Louis Robert Francis Christian Jean-Francois Didier Didier Marc Jean-Bernard Jean Alfred Jeannot Francis Charles Serge Jacques Daniel Jean-Luc Philippe Andre Michel Joel Claude Philippe Bruno Bernard Herve Philippe Daniel Vito Thierry Herve Jean-Luc Didier Denis Jacky Yves Sylvestre Didier Bernard Franck Bernard Didier Alain Jean-Pierre Patrick Didier Franck Bruno Jean Pierre Thierry 3891 3892 3893 3894 3895 3896 3897 3898 3899 3900 3901 3902 3903 3904 3905 3906 3907 3908 3909 3910 3911 3912 3913 3914 3915 3916 3917 3918 3919 3920 3921 3922 3923 3924 3925 3926 3927 3928 3929 3930 3931 3932 3933 3934 3935 3936 3937 3938 3939 3940 3941 3942 3943 3944 3945 3946 3947 3948 3949 3950 BAS ARFEUILLE FORTUNE FRETIER CHAUVEAU COGNET CALAS HYPOLITE QUENNESSON CAZENAVE PETIT PIEJOS MAHE MARC COUBARD CERUTTI JOURDAN COURMONT MERLE-BARRALIS HOUDE TOUCHARD BACHELET ROCHE DUBOURD GERBAUT MAVILLE SZYMCZAK DE BUTTAFOCO PLUTA ROTTIERS FEDY GRANADA PIZZALA GOUNET SWIETLICKI DUBUC ABADIE PINNETERRE MACENO DEMEY BACHELARD URTEBIZE ANDORNO FRADET REMOLA ANDREOLI-DUPRE PEREZ FETU KUNEJ-ESTAVIO CHALAGUIER BONDARENKO VANACKER RIONDET LOBJOIS MOUTON PIEDBOIS RYBARCZYK MERTZ GRAS PLOUVIN Didier Guy Thierry Eric Philippe Francois Eric Philippe Michel Francis Thierry Pascal Pierre Philippe Dominique Jean-Marie Jean-Paul Jean-Marc Martine Philippe Didier Christian Alain Thierry Dominique Guy Andre Jean Paul Patrick-Freddy Roger Eric Patrick Jean-Pierre Patrice Régis Laurent Pierre Jean Charles Jean Jacques Marc Daniel Marc Laurent Christophe Christian Georges Eric Fabrice Richard Magali Michel Christian Jean Michel Gilles Frederic Frédéric Joël Philippe Jean-Michel 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 117 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 3951 3952 3953 3954 3955 3956 3957 3958 3959 3960 3961 3962 3963 3964 3965 3966 3967 3968 3969 3970 3971 3972 3973 3974 3975 3976 3977 3978 3979 3980 3981 3982 3983 3984 3985 3986 3987 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Jerome Franck Sabine Pascal Laurent Pascal Fabien Laurent Pierre Eric Eric Michel Denis Carole Noel 4011 4012 4013 4014 4015 4016 4017 4018 4019 4020 4021 4022 4023 4024 4025 4026 4027 4028 4029 4030 4031 4032 4033 4034 4035 4036 4037 4038 4039 4040 4041 4042 4043 4044 4045 4046 4047 4048 4049 4050 4051 4052 4053 4054 4055 4056 4057 4058 4059 4060 4061 4062 4063 4064 4065 4066 4067 4068 4069 4070 BOTELLA MONIN MOREL BOUCHARD SCACCAGLIA DEREGNAUCOURT VUILLIET PERRIN BOINAIDI AMAR GOURDEL SANCHES FURTADO CATAN COUVIN LE PADELLEC DAVROUX JOUCHET PETIT PAUL KRAUSE BOUCLY JUPPIN MEYER FAIVRE ABDOU MAOULIDA LEBAS PASSOS SEYMOUR GOUEL LEMOINE PICHAVANT THIRION ORUZ MARMOL RAMACCIOTTI CAGLIERO MALAVAL GRENET PESTRE PLOTIN DEREGNAUCOURT SOULAIMANA RIMSKY BARUDONI VINCENT BRAZ MORET DEMARET BLANCHOT BERCOT MORJON COMPAIN BELLOU CERISIER DESPEE DE LA CROIX LLUHI FRANCOIS RICHARD ETIFIER TEUF LANGRENE MANNA COSTES PELTIER HAVEZ Christophe David Régis Sandrine Dolores Christine Laurence Mahamoudou Rachid Beatrice Saturnine Stephane Arnaud Alexandre Jean Louis Arnaud Marie Noelle Yann Cyril Ahamadi Nawir Edine Sophie Etienne Fabrice Marc Anne Francoise Isabelle Sebastien Laurent Patrick Stephane Thierry Nathalie Eric Florence David Ahamadi Alain Gregoire Bruno Valerie Philippe Helene Stephanie Arnaud Dominique Laurent Stephan Stephane Cedric Veronique Jerome Renaud Gregory David Nicolas Barbara Rudy Lionel Frederique Bruno 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 118 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 4071 4072 4073 4074 4075 4076 4077 4078 4079 4080 4081 4082 4083 4084 4085 4086 4087 4088 4089 4090 4091 4092 4093 4094 4095 4096 4097 4098 4099 4100 4101 4102 4103 4104 4105 4106 4107 4108 4109 4110 4111 4112 4113 4114 4115 4116 4117 4118 4119 4120 4121 4122 4123 4124 4125 4126 4127 4128 4129 4130 CONTI LUGAN VERGNAUD BOURLET FIEVET GOMES CHERITAT AMESTOY PINEAU ESCAICH PADER VAN TWENBEKE BONNEFOY SONRIER PAINNOT GOUBELLE CUVILLIER DESNOYER HOURDEAUX THIVART GODART HAY LEROY MERIDA JEAN DIT DENIAUD BURGHGRAEVE LIMOSIN HOUEIX JOLIVET OZANON LEPAN JABES MOULIE LAVAL HUARD GRATTE DUCROT BERGET BELONDRADE ETIENNE PIOTROWSKI PETIT DESLOUS DIAS LAPOUS MORENO MATENCE LOBODA LE ROY FAVREAU PONTI DESFARGES MOUTON DAGUERRE RYCKEWAERT BOUANANI AUZIAS MIGNOT CASSOU QUERE LAGALICE CATHERINE BOUTIGNY JESBAC Gilbert Cynthia Frederic Annie Joel Jacques Jacques Francis Denis Michel Francoise Daniel Philippe Jean Pascal Didier Didier Jean Noel Raynald Francois Patrick Théodule Bertrand Dominique Eric Christiane Pierre Eric Guy J.Pierre Patrick Yvon Laurence Jean Marc Frederique Michel Thierry Philippe Isabelle Philippe Fernand Eric Joseph Valerie Alain Pierre Jacques Patricia Christophe Philippe Nathalie Frederic Laurent Christophe Gilles Ronan Frank Sandrine Philippe Yves 4131 4132 4133 4134 4135 4136 4137 4138 4139 4140 4141 4142 4143 4144 4145 4146 4147 4148 4149 4150 4151 4152 4153 4154 4155 4156 4157 4158 4159 4160 4161 4162 4163 4164 4165 4166 4167 4168 4169 4170 4171 4172 4173 4174 4175 4176 4177 4178 4179 4180 4181 4182 4183 4184 4185 4186 4187 4188 4189 4190 LE GUILLOU BRABANT VEJUX ROIRANT CLARES ESCOUBES PETERS MARIETTE PREVOST BECHIEAU BRASSEAU LUNEAU BOUTANTIN SERAUD BOYER BLONDEL COUVILLERS GIOVANNINI BUFOLO DRIGNY ABILY GIBARU FABRY BOTTIER HEARD SOTOS PERNOLLET LIBESSART MARCO LOZANO HUE VALLIEN EUTROPE MIRAM MARTHE ROSE BARA CUERVO COUEDON CHERFAOUI BEZIES MITRENKO MARGUEREZ BRAUD FARRANT GAUTHIER BARBE GARNIER TREMEL LE PENDU SANS BOCAGE BOUDADA BENAMARA BELLONGA MARTIN VIGNY PUCHEU MATHIEU SOVRAN TOULGOAT PEREIRA PINOT BORIE DIAZ BAKOWSKI PANTO CESAIRE EOUKICH VIEVILLE QUARGNUL Benedicte Stephane Stephane Arnaud Martine Loic Thierry Olivier Christelle Benoit Cécile Jacky Lorie Franck Eric Loic Muriel Florent Jérôme Serge Damien Laurent Jesus Patrice Francois Marie-Laure Philippe Stéphanie Frederic Fabien Hamed Jean Pascal Miguel Fabien Laurent Patricia Laurent David Valerie Vincent Stephane Herve Dalila Pascal Stephane Sylvain Pierre Cyril Arnaud Jean Marc Carlos Ronald Frederic Tony Christophe Cedric Jean Yves Alexandre Francky Virginie 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 119 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 4191 4192 4193 4194 4195 4196 4197 4198 4199 4200 4201 4202 4203 4204 4205 4206 4207 AGUER GARCIA PEZZOLI VIEIRA STELMACH QUERE ESTEVAN MAYEUR SANCHEZ THIERY BOUDIER RIBEIRO GILBERT GUTTIN RADIVOJEVIC HERES NOWICKI Benoit Richard Baptiste Guillaume Christophe Mickael Sebastien Eric Juan Carlos Julien Emmanuelle Joao Luis Nicolas Stephane Stevan Christophe Vincent 4208 4209 4210 4211 4212 4213 4214 4215 CHEDALEUX RHIN IMMERY ABDOUL GOUMILLOU JEANNE FRICOT DI CAMILLO Liste 4216 4217 4218 4219 4220 4221 4222 Xavier Nicolas Stephane Sithanon Paul Eric Francois Joseph complémentaire SAINTOT CHERON FRANCOIS-SAINT-CYR TILLARD AUGUSTO AUBRY BOURGUIGNON MOLINIER KASZUBA Lydie Guylaine Marie Isabelle Rudy Yann Bruno Jerome 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 120 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Direction générale de la gendarmerie nationale _____ Direction des personnels militaires de la gendarmerie nationale _____ Sous-direction de la gestion du personnel _____ Bureau du personnel officier _____ Arrêté du 3 mai 2012 conférant un grade et un emploi d’officier commissionné servant au titre de l’article L. 4132-10 du code de la défense NOR : IOCJ1222564A Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, Vu le code de la défense, notamment son article L. 4132‑10 ; Vu le décret no 2008‑959 du 12 septembre 2008 modifié relatif aux officiers commissionnés ; Vu l’arrêté du 21 janvier 2011 fixant la liste des emplois d’officiers et de sous-officiers commissionnés recrutés au titre de l’article L. 4132‑10 du code de la défense au sein de la gendarmerie nationale, Arrête : Article 1er Mme Sophie Lafaye épouse Parquet est recrutée au grade de lieutenant (1er échelon) en qualité d’officière commissionnée servant au titre de l’article L. 4132‑10 du code de la défense pour occuper un poste de conseillère à l’emploi au sein du centre d’orientation et de reconversion de la région de gendarmerie de Rhône-Alpes – zone de défense et de sécurité Sud-Est, pour une durée de trois ans, à compter du 1er juin 2012. Article 2 L’intéressée est rattachée au corps des officiers du corps technique et administratif de la gendarmerie nationale. Article 3 Le directeur général de la gendarmerie nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Pour le ministre et par délégation : Le général de corps d’armée, directeur des personnels militaires de la gendarmerie nationale, Joël Delpont 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 121 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Arrêté du 14 mai 2012 portant dissolution de la brigade motorisée de Toul (Meurthe-et-Moselle) NOR : IOCJ1222793A Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, Vu le code de la défense ; Vu le code de procédure pénale, notamment ses articles 15 et R. 15‑22 à R. 15‑26 ; Vu le code de la sécurité intérieure, notamment son article L. 421‑2, Arrête : Article 1er La brigade motorisée de Toul est dissoute à compter du 1er juillet 2012. Article 2 Le directeur général de la gendarmerie nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Fait le 14 mai 2012. Pour le ministre et par délégation : Le général de corps d’armée, major général de la gendarmerie nationale, R. Lizurey 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 122 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Arrêté du 14 mai 2012 portant dissolution de la brigade motorisée de Louviers (Eure) NOR : IOCJ1222800A Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, Vu le code de la défense ; Vu le code de procédure pénale, notamment ses articles 15 et R. 15‑22 à R. 15‑26 ; Vu le code de la sécurité intérieure, notamment son article L. 421‑2, Arrête : Article 1er La brigade motorisée de Louviers est dissoute à compter du 1er juillet 2012. Article 2 Le directeur général de la gendarmerie nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Fait le 14 mai 2012. Pour le ministre et par délégation : Le général de corps d’armée, major général de la gendarmerie nationale, R. Lizurey 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 123 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Arrêté du 15 mai 2012 portant dissolution de la brigade territoriale d’Évisa (Corse du Sud) NOR : IOCJ1220882A Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, Vu le code de la défense – partie réglementaire, III ; Vu le code de procédure pénale, notamment ses articles 15 et R. 15‑22 à R. 15‑26 ; Vu la loi no 2009‑971 du 3 août 2009 relative à la gendarmerie nationale ; Vu le décret no 2005‑850 du 27 juillet 2005 relatif aux délégations de signature des membres du Gouvernement, Arrête : Article 1er La brigade territoriale d’Évisa (Corse du Sud) est dissoute à compter du 1er juillet 2012. Corrélativement, les circonscriptions des brigades territoriales de Piana et de Vico (Corse du Sud) sont modifiées, dans les conditions précisées en annexe. Article 2 Les gradés et gendarmes des brigades territoriales de Piana et de Vico (Corse du Sud) exercent les attributions attachées à leur qualité d’officier ou d’agent de police judiciaire dans les conditions fixées aux articles R. 13 à R. 15‑2, R. 15‑24 1o du code de procédure pénale. Article 3 Le directeur général de la gendarmerie nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Fait le 15 mai 2012. Pour le ministre et par délégation : Le général de corps d’armée, major général de la gendarmerie nationale, R. Lizurey 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 124 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE BRIGADES TERRITORIALES CIRCONSCRIPTIONS ACTUELLES CIRCONSCRIPTIONS NOUVELLES Évisa Cristinacce Évisa Marignana Ota (dissolution) Piana Osani Partinello Piana Serriera Osani Ota Partinello Piana Serriera Vico Arbori Balogna Guagno Letia Murzo Orto Poggiolo Renno Soccia Vico Arbori Balogna Cristinacce Évisa Guagno Letia Marignana Murzo Orto Poggiolo Reno Soccia Vico 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 125 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Arrêté du 15 mai 2012 portant dissolution des détachements de gendarmerie des centres de rétention administrative du Mesnil-Amelot, de Saint-Jacques-de-la-Lande, de Metz, de Rivesaltes et de Geispolsheim NOR : IOCJ1221651A Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, Vu le code de la défense – partie réglementaire, III ; Vu la loi no 2009‑971 du 3 août 2009 relative à la gendarmerie nationale ; Vu le décret no 2005‑850 du 27 juillet 2005 relatif aux délégations de signature des membres du Gouvernement, Arrête : Article 1er Les détachements de gendarmerie des centres de rétention administrative du Mesnil-Amelot (Seine-et-Marne), de Saint-Jacques-de-la-Lande (Ille-et-Vilaine), de Metz (Moselle), de Rivesaltes (Pyrénées-Orientales) et de Geispolsheim (Bas-Rhin) sont dissous à compter du 1er juillet 2012. Article 2 Le directeur général de la gendarmerie nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Fait le 15 mai 2012. Pour le ministre et par délégation : Le général de corps d’armée, major général de la gendarmerie nationale, R. Lizurey 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 126 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Arrêté du 15 mai 2012 portant modification des circonscriptions des brigades territoriales de Carcès et du Luc (Var) NOR : IOCJ1221839A Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, Vu le code de la défense – partie réglementaire, III ; Vu le code de procédure pénale, notamment ses articles 15 et R. 15-22 à R. 15-26 ; Vu la loi no 2009-971 du 3 août 2009 relative à la gendarmerie nationale ; Vu le décret no 2005-850 du 27 juillet 2005 relatif aux délégations de signature des membres du Gouvernement, Arrête : Article 1er Les circonscriptions des brigades territoriales de Carcès et du Luc (Var) sont modifiées à compter du 1er août 2012, dans les conditions précisées en annexe. Article 2 L’officier, les gradés et gendarmes des brigades territoriales de Carcès et du Luc (Var) exercent les attributions attachées à leur qualité d’officier ou d’agent de police judiciaire dans les conditions fixées aux articles R. 13 à R. 15-2, R. 15-24 1o du code de procédure pénale. Article 3 Le directeur général de la gendarmerie nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Fait le 15 mai 2012. Pour le ministre et par délégation : Le général de corps d’armée, major général de la gendarmerie nationale, R. Lizurey 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 127 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE BRIGADES TERRITORIALES CIRCONSCRIPTION ACTUELLE CIRCONSCRIPTION NOUVELLE Carcès Cabasse Carcès Correns Cotignac Entrecasteaux Montfort-sur-Argens Saint-Antonin-du-Var Carcès Correns Cotignac Entrecasteaux Montfort-sur-Argens Saint-Antonin-du-Var Le Luc Le Cannet-des-Maures Le Luc Les Mayons Le Cannet-des-Maures Le Luc Les Mayons Cabasse 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 128 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Arrêté du 15 mai 2012 portant modification de la circonscription de la brigade territoriale de Colombey-les-Deux-Églises (Haute-Marne) NOR : IOCJ1221988A Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, Vu le code de la défense – partie réglementaire, III ; Vu le code de procédure pénale, notamment ses articles 15 et R. 15‑22 à R. 15‑26 ; Vu la loi no 2009‑971 du 3 août 2009 relative à la gendarmerie nationale ; Vu le décret no 2005‑850 du 27 juillet 2005 relatif aux délégations de signature des membres du Gouvernement, Arrête : Article 1er La circonscription de la brigade territoriale de Colombey-les-Deux-Églises est modifiée à compter du 1er juillet 2012 dans les conditions précisées en annexe. Article 2 Les gradés et gendarmes de la brigade territoriale de Colombey-les-Deux-Églises exercent les attributions attachées à leur qualité d’officier ou d’agent de police judiciaire dans les conditions fixées aux articles R. 13 à R. 15‑2 et R. 15‑24 1o du code de procédure pénale. Article 3 Le directeur général de la gendarmerie nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Fait le 15 mai 2012. Pour le ministre et par délégation : Le général de corps d’armée, major général de la gendarmerie nationale, R. Lizurey 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 129 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE BRIGADE TERRITORIALE Colombey-les-deux-Églises CIRCONSCRIPTION ACTUELLE Autreville-sur-la-Renne Blaisy Colombey-les-Deux-Églises Curmont Daillancourt Gillancourt Guindrecourt-sur-Blaise Juzennecourt Lachapelle-en-Blaisy Lamothe-en-Blaisy Maranville Meures Montheries Rennepont Rizaucourt-Buchey Sexfontaines Vaudrémont CIRCONSCRIPTION NOUVELLE Autreville-sur-la-Renne Blaisy Colombey-les-Deux-Églises Curmont Daillancourt Gillancourt Guindrecourt-sur-Blaise Juzennecourt Lachapelle-en-Blaisy Lamothe-en-Blaisy Lavilleneuve-au-Roi Maranville Meures Montheries Rennepont Rizaucourt-Buchey Sexfontaines Vaudrémont 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 130 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Arrêté du 15 mai 2012 portant changement d’appellation et modification de la circonscription de la brigade territoriale de Terre-Natale (Haute-Marne) NOR : IOCJ1222160A Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, Vu le code de la défense – partie réglementaire, III ; Vu le code de procédure pénale, notamment ses articles 15 et R. 15-22 à R. 15-26 ; Vu la loi no 2009-971 du 3 août 2009 relative à la gendarmerie nationale ; Vu le décret no 2005-850 du 27 juillet 2005 relatif aux délégations de signature des membres du Gouvernement, Arrête : Article 1er La brigade territoriale de Terre-Natale prend l’appellation de brigade territoriale de Varennes-sur-Amance à compter du 1er juillet 2012. Article 2 La circonscription de la brigade territoriale de Varennes-sur-Amance est modifiée dans les conditions précisées en annexe. Article 3 Les gradés et gendarmes de la brigade territoriale de Varennes-sur-Amance exercent les attributions attachées à leur qualité d’officier ou d’agent de police judiciaire dans les conditions fixées aux articles R. 13 à R. 15-2 et R. 15-24 1° du code de procédure pénale. Article 4 Le directeur général de la gendarmerie nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Fait le 15 mai 2012. Pour le ministre et par délégation : Le général de corps d’armée, major général de la gendarmerie nationale, R. Lizurey 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 131 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE BRIGADE TERRITORIALE CIRCONSCRIPTION ACTUELLE CIRCONSCRIPTION NOUVELLE Terre-Natale Anrosey Arbigny-sous-Varennes Bize Celles-en-Bassigny Champigny-sous-Varennes Coiffy-le-Bas Haute-Amance Laneuvelle Lavernoy Maizières-sur-Amance Marcilly-en-Bassigny Plesnoy Rançonnières Terre-Natale Vicq (Ancienne appellation) Varennes-sur-Amance (Nouvelle appellation) Anrosey Arbigny-sous-Varennes Bize Celles-en-Bassigny Champigny-sous-Varennes Chézeaux Coiffy-le-Bas Haute-Amance Laneuvelle Lavernoy Maizières-sur-Amance Marcilly-en-Bassigny Plesnoy Rançonnières Varennes-sur-Amance Vicq 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 132 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR _____ Direction générale de la gendarmerie nationale _____ Direction des personnels militaires de la gendarmerie nationale _____ Sous-direction de la gestion du personnel _____ Bureau du personnel officier _____ Arrêté du 22 mai 2012 conférant un grade et un emploi d’officier commissionné servant au titre de l’article L. 4132-10 du code de la défense NOR : INTJ1223138A Le ministre de l’intérieur, Vu le code de la défense, notamment son article L. 4132-10 ; Vu le décret no 2008-959 du 12 septembre 2008 modifié relatif aux officiers commissionnés ; Vu l’arrêté du 21 janvier 2011 fixant la liste des emplois d’officiers et de sous-officiers commissionnés recrutés au titre de l’article L. 4132-10 du code de la défense au sein de la gendarmerie nationale, Arrête : Article 1er Monsieur Silvio Morandi est recruté au grade de capitaine (troisième échelon) en qualité d’officier commissionné servant au titre de l’article L. 4132-10 du code de la défense pour occuper un emploi d’expert dans les technologies de middlewares et de services orientés architecture au service de traitement de l’information gendarmerie du centre technique de la gendarmerie nationale, pour une durée de trois ans, à compter du 1er juillet 2012. Article 2 L’intéressé est rattaché au corps des officiers de la gendarmerie nationale. Article 3 Le directeur général de la gendarmerie nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Pour le ministre et par délégation : Le général de corps d’armée, directeur des personnels militaires de la gendarmerie nationale, Joël Delpont 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 133 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR _____ Arrêté du 25 mai 2012 portant modification de la circonscription de la brigade territoriale de Montier-en-Der (Haute-Marne) NOR : INTJ1223271A Le ministre de l’intérieur, Vu le code de la défense ; Vu le code de la sécurité intérieure, notamment son article L. 421‑2 ; Vu le code de procédure pénale, notamment ses articles 15 et R. 15‑22 à R. 15‑26, Arrête : Article 1er La circonscription de la brigade territoriale de Montier-en-Der est modifiée à compter du 1er juillet 2012 dans les conditions précisées en annexe. Article 2 Les gradés et gendarmes de la brigade territoriale de Montier-en-Der exercent les attributions attachées à leur qualité d’officier ou d’agent de police judiciaire dans les conditions fixées aux articles R. 13 à R. 15‑2 et R. 15‑24 1o du code de procédure pénale. Article 3 Le directeur général de la gendarmerie nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Fait le 25 mai 2012. Pour le ministre et par délégation : Le général de corps d’armée, major général de la gendarmerie nationale, R. Lizurey 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 134 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE BRIGADE TERRITORIALE Montier-en-Der CIRCONSCRIPTION ACTUELLE CIRCONSCRIPTION NOUVELLE Ceffonds Ceffonds Droyes Droyes Frampas Frampas Longeville-sur-la-Laines Laneuville-à-Rémy Louze Longeville-sur-la-Laines Montier-en-Der Louze Planrupt Montier-en-Der Puellemontier Planrupt Robert-Magny-Laneuville-à-Rémy Puellemontier Sommevoire Robert-Magny Thilleux Sommevoire Thilleux 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 135 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR _____ Arrêté du 29 mai 2012 portant modification des brigades territoriales de Laplume (Lot-et-Garonne) et de Port-Sainte-Marie (Lot-et-Garonne) NOR : INTJ1223070A Le ministre de l’intérieur, Vu le code de la défense ; Vu le code de la sécurité intérieure, notamment son article L. 421‑2 ; Vu le code de procédure pénale, notamment ses articles 15 et R. 15‑22 à R. 15‑26, Arrête : Article 1er Les circonscriptions des brigades territoriales de Laplume et de Port-Sainte-Marie (Lot-et-Garonne) sont modifiées à compter du 1er août 2012 dans les conditions précisées en annexe. Article 2 Les gradés et gendarmes des brigades territoriales de Laplume et de Port-Sainte-Marie (Lot-et-Garonne) exercent les attributions attachées à leur qualité d’officier ou d’agent de police judiciaire dans les conditions fixées aux articles R. 13 à R. 15‑2, R. 15‑24 1o du code de procédure pénale. Article 3 Le directeur général de la gendarmerie nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Fait le 29 mai 2012. Pour le ministre et par délégation : Le général de corps d’armée, major général de la gendarmerie nationale, R. Lizurey 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 136 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE BRIGADES TERRITORIALES Laplume Port-Sainte-Marie CIRCONSCRIPTION ACTUELLE CIRCONSCRIPTION NOUVELLE Aubiac Brax Estillac Laplume Marmont-Pachas Moirax Roquefort Sainte-Colombe-en-Bruilhois Aubiac Brax Estillac Laplume Marmont-Pachas Moirax Roquefort Sainte-Colombe-en-Bruilhois Sérignac-sur-Garonne Bazens Clermont-Dessous Frégimont Port-Sainte-Marie Saint-Laurent Sérignac-sur-Garonne Bazens Clermont-Dessous Frégimont Port-Sainte-Marie Saint-Laurent 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 137 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR _____ Direction générale de la gendarmerie nationale _____ Direction des personnels militaires de la gendarmerie nationale _____ Sous-direction de la gestion du personnel _____ Bureau du personnel officier _____ Arrêté du 30 mai 2012 conférant un grade et un emploi d'officier commissionné servant au titre de l'article L. 4132-10 du code de la défense NOR : INTJ1223410A Le ministre de l'intérieur, Vu le code de la défense, notamment son article L. 4132-10 ; Vu le décret n° 2008-959 du 12 septembre 2008 modifié relatif aux officiers commissionnés ; Vu l'arrêté du 21 janvier 2011 fixant la liste des emplois d'officiers et de sous-officiers commissionnés recrutés au titre de l'article L. 4132-10 du code de la défense au sein de la gendarmerie nationale, Arrête : Article 1er Madame Céline Dravet épouse Bachelet est recrutée au grade de lieutenant (1er échelon) en qualité d'officière commissionnée servant au titre de l'article L. 4132-10 du code de la défense pour occuper un emploi de psychologue clinicien, conseiller technique régional auprès du commandant de la région de gendarmerie de Bourgogne, pour une durée de trois ans, à compter du 1er septembre 2012. Article 2 L'intéressée est rattachée au corps des officiers du corps technique et administratif de la gendarmerie nationale. Article 3 Le directeur général de la gendarmerie nationale est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au Bulletin officiel du ministère de l'intérieur. Pour le ministre et par délégation : Le général de corps d’armée, directeur des personnels militaires de la gendarmerie nationale, Joël Delpont 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 138 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Franche-Comté _____ Décision no 10752 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Franche-Comté NOR : IOCJ1204725S Le commandant de la région de gendarmerie de Franche-Comté, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 32435 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128663S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 : Behra, Thierry Nigend : 113 487 Numéro de livret de solde : 5 191 550 Poinsel, Éric Nigend : 106 664 Numéro de livret de solde : 5 147 552 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Silvent, Pierre Nigend : 124 527 Numéro de livret de solde : 5 244 189 Lamboley, Jean-Louis Nigend : 124 880 Numéro de livret de solde : 5 270 849 Sarras, Benoît Nigend : 152 513 Numéro de livret de solde : 8 010 383 Glaudel, Thierry Nigend : 152 458 Numéro de livret de solde : 8 010 539 Guillaume, James Nigend : 145 195 Numéro de livret de solde : 8 003 934 Menoud, Daniel Nigend : 117 128 Numéro de livret de solde : 5 229 004 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Leuillier, Céline Nigend : 165 287 Numéro de livret de solde : 8 024 967 Veuve, Jean-Jacques Nigend : 188 057 Numéro de livret de solde : 8 038 473 Bordy, Christelle Nigend : 189 012 Numéro de livret de solde : 8 045 314 Leuenberger, Olivier Nigend : 167 979 Numéro de livret de solde : 8 024 155 Pirat, Christophe Nigend : 156 099 Numéro de livret de solde : 8 013 373 Lebard, Patricia Nigend : 195 559 Numéro de livret de solde : 8 048 034 Oudin, Jean-Christophe Nigend : 129 151 Numéro de livret de solde : 5 281 369 Brévière, Richard Nigend : 168 160 Numéro de livret de solde : 8 023 813 Corneille, Olivier Nigend : 163 136 Numéro de livret de solde : 8 019 926 Vaubourg, Stéphane Nigend : 139 404 Numéro de livret de solde : 5 264 396 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 139 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Verdeil, Alexandre Nigend : 240 081 Numéro de livret de solde : 8 087 701 Gottvalles, Patrice Nigend : 195 700 Numéro de livret de solde : 8 048 214 Grognu, Sébastien Nigend : 204 869 Numéro de livret de solde : 8 058 751 Fait le 2 mai 2012. Le colonel, commandant la région de gendarmerie de Franche-Comté, Jacques Vire 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 140 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Lorraine et gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est _____ Décision no 24178 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est NOR : IOCJ1204720S Le commandant de la région de gendarmerie de Lorraine et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 71906 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128659S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 : Frère, Laurent Nigend : 132 284 Numéro de livret de solde : 5 295 043 Daloz, Guy Nigend : 132 816 Numéro de livret de solde : 5 294 725 Pernot, Jean-Pierre Nigend : 103 230 Numéro de livret de solde : 5 173 188 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Mangin, Pascal Nigend : 126 429 Numéro de livret de solde : 5 279 790 Gingembre, Pascal Nigend : 70 251 Numéro de livret de solde : 5 283 149 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Chacornac, Nicolas Nigend : 203 818 Numéro de livret de solde : 8 054 735 Moyemont, David Nigend : 168 464 Numéro de livret de solde : 8 024 279 Darnaud, Sébastien Nigend : 194 379 Numéro de livret de solde : 8 047 822 Corberand, Jean-Marc Nigend : 168 167 Numéro de livret de solde : 8 023 717 Article 4 Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : De Checchi, Baptiste Nigend : 205 876 Numéro de livret de solde : 8 058 588 Fait le 2 mai 2012. Le général de corps d’armée, commandant la région de gendarmerie de Lorraine et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est, Gérard Deanaz 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 141 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Bretagne et gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Ouest _____ Décision no 31745 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Bretagne NOR : IOCJ1204705S Le commandant de la région de gendarmerie de Bretagne et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Ouest, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 81823 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128641S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 : Saulais, Hervé Nigend : 143 267 Numéro de livret de solde : 8 002 648 Jégou, Serge Nigend : 127 610 Numéro de livret de solde : 5 281 159 Danet, Gilles Nigend : 115 772 Numéro de livret de solde : 5 219 423 Crézé, Jean-Luc Nigend : 135 961 Numéro de livret de solde : 5 311 788 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Leroy, Sébastien Nigend : 146 128 Numéro de livret de solde : 8 004 619 Bonnin, Yannick Nigend : 142 279 Numéro de livret de solde : 5 272 413 Adam, François Nigend : 70 676 Numéro de livret de solde : 5 282 800 Gillard, Rodolphe Nigend : 145 669 Numéro de livret de solde : 8 004 023 Steunou, Ronan Nigend : 152 634 Numéro de livret de solde : 8 010 489 Kerneves, Gilles Nigend : 119 008 Numéro de livret de solde : 5 220 953 Blanch, Pascal Nigend : 155 648 Numéro de livret de solde : 8 013 412 Guegano, Christophe Nigend : 144 828 Numéro de livret de solde : 8 003 141 Hanecart, Frédéric Nigend : 159 797 Numéro de livret de solde : 8 016 951 Romestant, Philippe Nigend : 135 482 Numéro de livret de solde : 5 311 567 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Voranger, Laurent Nigend : 163 085 Numéro de livret de solde : 8 019 897 Sanchez, Jean-François Nigend : 164 997 Numéro de livret de solde : 8 021 593 Lorant, Sylvain Nigend : 191 209 Numéro de livret de solde : 8 039 955 Jorelle, Mathieu Nigend : 177 656 Numéro de livret de solde : 8 032 550 Talleu, Martial Nigend : 163 375 Numéro de livret de solde : 8 020 189 Placeau, Pascal Nigend : 151 010 Numéro de livret de solde : 8 009 277 De Kerpezdron, Erwan Nigend : 162 893 Numéro de livret de solde : 8 019 726 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 142 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Hunaut, Pierrick Morin, Nicolas Tréfel, Bruno Le Bère, Olivier Nigend : 193 528 Nigend : 188 223 Nigend : 180 471 Nigend : 172 449 Numéro Numéro Numéro Numéro de de de de livret livret livret livret de de de de solde : 8 047 480 solde : 6 544 803 solde : 8 037 848 solde : 8 027 165 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Bouvier, Sabrina Nigend : 236 631 Numéro de livret de solde : 8 086 764 Jeannes, Cindy Nigend : 228 330 Numéro de livret de solde : 8 058 489 Etesse, Guillaume Nigend : 190 390 Numéro de livret de solde : 8 039 545 Wanherdrick, Erwan Nigend : 231 253 Numéro de livret de solde : 8 085 299 Bernard, Aurélie Nigend : 234 737 Numéro de livret de solde : 8 086 566 Fait le 2 mai 2012. Le général de division, commandant la région de gendarmerie de Bretagne et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Ouest, Alain Giorgis 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 143 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur et gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud _____ Décision no 36624 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur NOR : IOCJ1204714S Le commandant de la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 110052 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128653S) ; Vu la décision no 22638 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128657S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 : Wetta, Mike Paris, Vincent Raffaelli, Alain Trambaud, Éric Pietri, Pierre Coste, Hervé Nigend : 121 987 Nigend : 129 255 Nigend : 114 142 Nigend : 110 403 Nigend : 128 681 Nigend : 149 637 Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro de de de de de de livret livret livret livret livret livret de de de de de de solde : 5 242 995 solde : 5 282 971 solde : 5 191 784 solde : 5 150 317 solde : 5 283 552 solde : 8 007 521 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Orlhac, Laurent Fauveau, Michael Bages, Christophe Bergier, Stéphane Poujols, Bernard Paris, Éric Vanhaesebroucke, Stéphane Roupie, Fabrice Podair, Pascal Soriano, Frédéric Carteron, Christophe Feur, Yves Gaudet, Pascal Nigend : 162 950 Nigend : 152 455 Nigend : 134 745 Nigend : 157 839 Nigend : 105 848 Nigend : 138 169 Nigend : 147 908 Nigend : 152 510 Nigend : 131 950 Nigend : 158 236 Nigend : 148 436 Nigend : 132 134 Nigend : 110 489 Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro de de de de de de de de de de de de de livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret de de de de de de de de de de de de de solde : 8 019 774 solde : 8 010 538 solde : 5 312 203 solde : 8 015 604 solde : 5 171 875 solde : 5 251 308 solde : 8 005 997 solde : 8 010 381 solde : 5 294 476 solde : 8 015 591 solde : 8 006 813 solde : 5 295 427 solde : 5 175 427 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 144 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Charlet, Nicolas Hugou, Christophe Marmeys, Richard Pawlik, Rodolphe Furby, Bruno Nidecker, Jennyfer Beaurain, Fabrice Georges, Emmanuel Rahal, Patrick Fornelli-Dellaca, Éric Guwy, Arnaud Berthier, Laetitia Monneray, Yves Brun, Alexandre Nigend : 183 163 Nigend : 145 557 Nigend : 181 888 Nigend : 209 207 Nigend : 152 837 Nigend : 182 371 Nigend : 197 097 Nigend : 163 023 Nigend : 172 621 Nigend : 145 662 Nigend : 162 633 Nigend : 178 072 Nigend : 152 248 Nigend : 210 530 Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro de de de de de de de de de de de de de de livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret de de de de de de de de de de de de de de solde : 8 033 824 solde : 8 004 835 solde : 8 041 539 solde : 8 062 914 solde : 8 010 741 solde : 8 041 750 solde : 8 048 476 solde : 8 019 244 solde : 8 031 127 solde : 8 004 116 solde : 8 019 539 solde : 8 029 210 solde : 8 010 275 solde : 8 063 090 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Puthier, Éric Mouillard, Fabrice Gillardin, Simon Meissonnier, Stéphane Dieulesaint, Stéphane Hauton, Éric Wirowsky, Jean-François Nigend : 238 454 Nigend : 199 485 Nigend : 204 002 Nigend : 166 037 Nigend : 208 153 Nigend : 239 767 Nigend : 164 658 Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro de de de de de de de livret livret livret livret livret livret livret de de de de de de de solde : 8 087 125 solde : 8 047 093 solde : 8 059 872 solde : 8 022 473 solde : 8 062 610 solde : 8 087 740 solde : 8 021 394 Fait le 2 mai 2012. Le général de corps d’armée, commandant la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud, Marc Mondoulet 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 145 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur et gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud _____ Décision no 36625 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud NOR : IOCJ1204715S Le commandant de la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 110023 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128654S), Décide : Article 1er L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juin 2012 : Fonson, Tristan Nigend : 116 506 Numéro de livret de solde : 5 219 558 Article 2 L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Rocher, Serge Nigend : 140 035 Numéro de livret de solde : 5 305 080 Article 3 Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Auger, Philippe Nigend : 149 123 Numéro de livret de solde : 8 006 703 Article 4 Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Ordono, Laurent Nigend : 210 483 Numéro de livret de solde : 8 063 131 Fait le 2 mai 2012. Le général de corps d’armée, commandant la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud, Marc Mondoulet 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 146 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Direction générale de la gendarmerie nationale _____ Décision no 37890 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des organismes centraux – branche « secrétariat » NOR : IOCJ1204734S Le sous-directeur de la gestion du personnel, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2005‑850 du 27 juillet 2005 relatif aux délégations de signature des membres du Gouvernement ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu la décision no 119096 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128672S), Décide : Article 1er L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juin 2012 : Venuti, Willie Nigend : 106 343 Numéro de livret de solde : 5 147 599 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Grollet, Patricia Nigend : 154 662 Numéro de livret de solde : 8 012 266 Vautier, Pascal Nigend : 123 224 Numéro de livret de solde : 5 270 182 Article 3 Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Vrhovac, Branko Nigend : 184 648 Numéro de livret de solde : 8 034 298 Article 4 Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Eugène, Nicolas Nigend : 172 573 Numéro de livret de solde : 8 033 376 Fait le 2 mai 2012. Le général, sous-directeur de la gestion du personnel, Thibault Morterol 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 147 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Direction générale de la gendarmerie nationale _____ Décision no 37898 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des organismes centraux – branche « formations extérieures » NOR : IOCJ1204735S Le sous-directeur de la gestion du personnel, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2005-850 du 27 juillet 2005 relatif aux délégations de signature des membres du gouvernement ; Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu la décision no 119097 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128673S), Décide : Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Girard, Franck Nigend : 169 162 Numéro de livret de solde : 8 024 833 Fait le 2 mai 2012. Le général, sous-directeur de la gestion du personnel, Thibault Morterol 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 148 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Commandement des forces aériennes de la gendarmerie nationale _____ Décision no 37923 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général du commandement des forces aériennes de la gendarmerie nationale NOR : IOCJ1221254S Le sous-directeur de la gestion du personnel, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2005-850 du 27 juillet 2005 relatif aux délégations de signature des membres du gouvernement ; Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 septembre 2011 (NOR : IOCJ1109309A) portant dissolution du groupement central des formations aériennes de la gendarmerie de Vélizy-Villacoublay (Yvelines) et création du commandement des forces aériennes de la gendarmerie nationale de Vélizy-Villacoublay (Yvelines) ; Vu la décision no 11715 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128667S), Décide : L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Loiron, Stéphane Nigend : 162 401 Numéro de livret de solde : 8 019 365 Fait le 2 mai 2012. Le général, sous-directeur de la gestion du personnel, Thibault Morterol 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 149 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Direction générale de la gendarmerie nationale _____ Décision no 37933 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des organismes centraux – branche « technique » NOR : IOCJ1204736S Le sous-directeur de la gestion du personnel, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2005‑850 du 27 juillet 2005 relatif aux délégations de signature des membres du Gouvernement ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu la décision no 120541 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128674S) ; Vu la décision no 180677 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128625S), Décide : Article 1er L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juin 2012 : Martinez, Fabienne Nigend : 144 978 Numéro de livret de solde : 8 002 077 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Belmas, Vincent Nigend : 115 874 Numéro de livret de solde : 5 191 118 Manizan, Albert Nigend : 135 598 Numéro de livret de solde : 5 195 237 Delage, Éric Nigend : 140 837 Numéro de livret de solde : 8 001 023 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Honvault, Sandy Nigend : 204 457 Numéro de livret de solde : 8 055 284 Calvayrac, Guillaume Nigend : 209 430 Numéro de livret de solde : 8 050 979 Angibaud, Vanessa Nigend : 180 636 Numéro de livret de solde : 8 029 803 Briffa, Christophe Nigend : 187 208 Numéro de livret de solde : 8 038 313 Grosset, Yves Nigend : 184 560 Numéro de livret de solde : 8 054 934 Article 4 Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Escrich, Jérôme Nigend : 191 130 Numéro de livret de solde : 8 039 828 Fait le 2 mai 2012. Le général, sous-directeur de la gestion du personnel, Thibault Morterol 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 150 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Gendarmerie maritime _____ Décision no 2009 du 3 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie maritime NOR : IOCJ1204737S Le commandant de la gendarmerie maritime, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 4666 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128676S), Décide : Article 1er L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Colin, Bruno Nigend : 137 417 Numéro de livret de solde : 5 324 521 Article 2 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Vischi, Christian Nigend : 146 308 Numéro de livret de solde : 8 004 598 Demangel, Stéphane Nigend : 152 956 Numéro de livret de solde : 8 092 827 Houel, Arnaud Nigend 153 703 Numéro de livret de solde : 8 011 644 Article 3 Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Lacombe, Arnaud Nigend : 167 856 Numéro de livret de solde : 8 023 649 Fait le 3 mai 2012. Le colonel, commandant la gendarmerie maritime, Georges Strub 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 151 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Commandement de la gendarmerie outre-mer _____ Décision no 3770 du 3 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général du commandement de la gendarmerie outre-mer – branche « personnel servant en ambassade » NOR : IOCJ1204731S Le commandant de la gendarmerie outre-mer, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 11714 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128668S), Décide : Article 1er Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Chanaz, Denis Nigend : 109 423 Numéro de livret de solde : 5 174 321 Article 2 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Trochu, Gaël Nigend : 162 135 Numéro de livret de solde : 8 019 098 Boisnay, Jean-Michel Nigend : 162 332 Numéro de livret de solde : 5 287 494 Fait le 3 mai 2012. Le général de corps d’armée, commandant la gendarmerie outre-mer, S. Caillet 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 152 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Commandement de la gendarmerie outre-mer _____ Décision no 3771 du 3 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général du commandement de la gendarmerie outre-mer – branche « personnel servant outre-mer, en assistance militaire technique et en prévôté » NOR : IOCJ1204730S Le commandant de la gendarmerie outre-mer, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu l’arrêté du 30 septembre 2011 portant dissolution du groupement central des formations aériennes de la gendarmerie de Vélizy-Villacoublay (Yvelines) et création du commandement des forces aériennes de la gendarmerie nationale de Vélizy-Villacoublay (NOR : IOCJ1109309A) ; Vu la décision no 11715 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128667S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 : Makil, Frédéric Nigend : 121 716 Numéro de livret de solde : 5 244 558 Letertre, Christophe Nigend : 129 724 Numéro de livret de solde : 5 283 059 Roch, Francis Nigend : 129 751 Numéro de livret de solde : 5 282 984 Brillouet, Stéphane Nigend : 152 045 Numéro de livret de solde : 8 010 107 Gourguechon, Laurent Nigend : 137 720 Numéro de livret de solde : 5 281 758 Barrois, Patrick Nigend : 125 674 Numéro de livret de solde : 5 269 802 Payen, Bernard Nigend : 131 293 Numéro de livret de solde : 5 202 573 Juncker, Bruno Nigend : 125 730 Numéro de livret de solde : 5 279 846 Paris, Michel Nigend : 70 378 Numéro de livret de solde : 5 293 670 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Thomas, James Nigend : 155 634 Numéro de livret de solde : 8 013 094 Canitrot, Philippe Nigend : 142 027 Numéro de livret de solde : 5 272 309 Doyen, Franck Nigend : 133 865 Numéro de livret de solde : 5 294 825 Fischer, Michel Nigend : 107 984 Numéro de livret de solde : 5 157 652 Lesaicherre, Yves Nigend : 148 490 Numéro de livret de solde : 8 006 261 Ferrara, Fabrice Nigend : 142 558 Numéro de livret de solde : 5 272 359 Barberis, Thierry Nigend : 147 418 Numéro de livret de solde : 5 252 254 Tiger, Jean-Philippe Nigend : 153 629 Numéro de livret de solde : 8 011 195 Moreau, Tristan Nigend : 150 906 Numéro de livret de solde : 8 009 068 Runner, François-Xavier Nigend : 149 466 Numéro de livret de solde : 8 007 185 Fraisse, Sébastien Nigend : 156 442 Numéro de livret de solde : 8 013 821 Le Gouallec, Yves Nigend : 138 265 Numéro de livret de solde : 5 322 356 Sergent, Michael Nigend : 145 730 Numéro de livret de solde : 8 004 089 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 153 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Buelens, André Dos Santos, Antonio Nigend : 110 311 Nigend : 150 867 Numéro de livret de solde : 5 150 245 Numéro de livret de solde : 8 009 031 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Roche, Sébastien Nigend : 192 933 Numéro de livret de solde : 8 047 301 Daye-Vigouroux, Fabien Nigend : 192 946 Numéro de livret de solde : 8 047 253 Begin, Loïc Nigend : 199 881 Numéro de livret de solde : 8 048 697 Sussest, Rémy Nigend : 170 832 Numéro de livret de solde : 8 026 494 Deroy, Thierry Nigend : 153 943 Numéro de livret de solde : 8 011 733 Brand, Christophe Nigend : 170 313 Numéro de livret de solde : 8 025 716 Carlier, Jérôme Nigend : 173 919 Numéro de livret de solde : 8 027 711 Bodo, Olivier Nigend : 157 112 Numéro de livret de solde : 8 014 611 Coudrin, Jérome Nigend : 181 098 Numéro de livret de solde : 8 030 031 Bigonet, Sylvain Nigend : 145 635 Numéro de livret de solde : 8 004 102 Petit, Jean-Christophe Nigend : 155 113 Numéro de livret de solde : 8 012 475 Guilhot, Luc Nigend : 155 299 Numéro de livret de solde : 8 012 840 Rohan, Yann Nigend : 153 026 Numéro de livret de solde : 8 010 888 Marquer, Arnaud Nigend : 169 051 Numéro de livret de solde : 8 024 762 Guise, Fabrice Nigend : 169 172 Numéro de livret de solde : 8 024 843 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Abdou Soilihi, Soulaïmana Nigend : 199 039 Numéro de livret de solde : 8 049 904 Jullia, Fabien Nigend : 234 643 Numéro de livret de solde : 8 086 667 Fait le 3 mai 2012. Le général de corps d’armée, commandant la gendarmerie outre-mer, Serge Caillet 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 154 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Basse-Normandie _____ Décision no 12851 du 3 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Basse-Normandie NOR : IOCJ1204708S Le commandant de la région de gendarmerie de Basse-Normandie, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 36096 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128645S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 : Ozouf, Jacques Nigend : 117 692 Numéro de livret de solde : 5 241 864 Victor, Thierry Nigend : 119 052 Numéro de livret de solde : 5 220 898 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Laine, Dominique Nigend : 137 738 Numéro de livret de solde : 5 281 768 Storti, Philippe Nigend : 119 377 Numéro de livret de solde : 5 241 794 Blanchemain, Franck Nigend : 144 120 Numéro de livret de solde : 8 003 011 Morel, Jean Nigend : 140 256 Numéro de livret de solde : 5 296 243 Geslin, Cyrille Nigend : 168 303 Numéro de livret de solde : 8 024 042 Pringault, Michel Nigend : 122 556 Numéro de livret de solde : 5 270 065 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Bonnet, Frédéric Nigend : 164 587 Numéro de livret de solde : 8 021 309 Lebey, Steve Nigend : 216 533 Numéro de livret de solde : 8 064 386 Danne, Christophe Nigend : 161 110 Numéro de livret de solde : 8 018 226 Paul, Stéphane Nigend : 146 690 Numéro de livret de solde : 8 005 177 Etienne, Loïc Nigend : 196 324 Numéro de livret de solde : 8 048 302 Enot, Jacques Nigend : 197 180 Numéro de livret de solde : 8 048 400 Housseau, Ingrid Nigend : 175 628 Numéro de livret de solde : 8 028 555 Belveyre, Samuel Nigend : 163 115 Numéro de livret de solde : 8 019 906 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 155 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Pellet, Stéphanie Nigend : 233 121 Numéro de livret de solde : 8 086 113 Eveille, Valérie Nigend : 193 906 Numéro de livret de solde : 8 047 641 Zimmermann, Yannick Nigend : 177 487 Numéro de livret de solde : 8 035 686 Fait le 3 mai 2012. Le colonel, commandant la région de gendarmerie de Basse-Normandie, Gilles Dautois 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 156 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Midi-Pyrénées _____ Décision no 27591 du 3 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Midi-Pyrénées NOR : IOCJ1204702S Le commandant de la région de gendarmerie de Midi-Pyrénées, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 81390 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128637S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 : Barthas, Alain Nigend : 132 355 Numéro de livret de solde : 5 295 508 Mas, Jean-Michel Nigend : 125 422 Numéro de livret de solde : 5 270 625 Cesaro, Carole Nigend : 154 640 Numéro de livret de solde : 8 012 415 Bella, Joseph Nigend : 123 936 Numéro de livret de solde : 5 244 044 Lenfant, Frédéric Nigend : 154 763 Numéro de livret de solde : 8 012 350 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : André, Michèle Nigend : 159 442 Numéro de livret de solde : 8 016 704 Fromy, Dominique Nigend : 153 693 Numéro de livret de solde : 8 011 634 Sicot, Philippe Nigend : 132 339 Numéro de livret de solde : 5 294 996 Villemur, Richard Nigend : 160 844 Numéro de livret de solde : 8 017 797 Series, Jean-Marc Nigend : 112 931 Numéro de livret de solde : 5 174 984 Bruyère, Olivier Nigend : 139 712 Numéro de livret de solde : 5 324 620 Scotto Di Carlo, Marie-Paule Nigend : 159 534 Numéro de livret de solde : 8 016 780 Castelanelli, Christophe Nigend : 159 765 Numéro de livret de solde : 8 016 920 Pochon, Arnaud Nigend : 164 772 Numéro de livret de solde : 8 021 283 Montagnon, Pascal Nigend : 135 176 Numéro de livret de solde : 5 312 170 Gervais, Michel Nigend : 122 946 Numéro de livret de solde : 5 241 629 Fillol, Jean-Louis Nigend : 143 336 Numéro de livret de solde : 5 254 835 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Prono, Stéphane Nigend : 166 677 Numéro de livret de solde : 8 022 777 Demaison, Jean-Michel Nigend : 145 300 Numéro de livret de solde : 8 003 956 Boinot, Christophe Nigend : 165 810 Numéro de livret de solde : 8 022 308 Laborie, Franck Nigend : 220 221 Numéro de livret de solde : 6 029 955 Durand, Romain Nigend : 190 305 Numéro de livret de solde : 8 039 237 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 157 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Leroux, Louis Bineau, Lionel Pavan, Laurent Véga, Stéphane Perrette, Christophe Rolland, Matthieu Forté, Jean-Georges Vaucheret, Sébastien Letellier, Arnaud Nigend : 180 053 Nigend : 132 522 Nigend : 152 371 Nigend : 167 714 Nigend : 171 339 Nigend : 174 732 Nigend : 165 671 Nigend : 203 270 Nigend : 166 029 Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro de de de de de de de de de livret livret livret livret livret livret livret livret livret de de de de de de de de de solde : 8 029 752 solde : 5 294 608 solde : 8 010 164 solde : 8 023 597 solde : 8 026 872 solde : 8 028 181 solde : 8 022 229 solde : 8 054 973 solde : 8 022 465 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Schaff, Michaël Nigend : 203 719 Numéro de livret de solde : 8 055 046 Claudé, Stéphanie Nigend : 210 591 Numéro de livret de solde : 8 065 737 Bourrillon, Benoit Nigend : 224 211 Numéro de livret de solde : 8 083 915 Roos, Maxence Nigend : 218 282 Numéro de livret de solde : 8 071 258 Fait le 3 mai 2012. Le général, commandant la région de gendarmerie de Midi-Pyrénées, Laurent Tavel 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 158 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Poitou-Charentes _____ Décision no 15793 du 4 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Poitou-Charentes NOR : IOCJ1204703S Le commandant de la région de gendarmerie de Poitou-Charentes, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 66 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128638S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 : Delamare, Alain Nigend : 110 327 Numéro de livret de solde : 5 150 257 Gouleau, Christophe Nigend : 125 404 Numéro de livret de solde : 5 270 817 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Octeau, Guy Nigend : 108 322 Numéro de livret de solde : 5 162 668 Bonnin, Jean-Louis Nigend : 147 430 Numéro de livret de solde : 8 004 231 Charles, Éric Nigend : 147 698 Numéro de livret de solde : 8 008 529 Jouanneau, Yves Nigend : 143 212 Numéro de livret de solde : 8 002 646 Moreau, Jean-Noël Nigend : 155 476 Numéro de livret de solde : 8 013 160 Beaufils, Patrice Nigend : 132 900 Numéro de livret de solde : 5 295 704 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Vergne, Patrick Nigend : 107 479 Numéro de livret de solde : 5 156 686 Pineau, Joël Nigend : 135 716 Numéro de livret de solde : 5 323 987 Merle, Freddy Nigend : 181 423 Numéro de livret de solde : 8 030 166 Fauvernier, Nicolas Nigend : 196 045 Numéro de livret de solde : 8 056 416 Larrazet, Alain Nigend : 139 860 Numéro de livret de solde : 5 272 245 Hoff, Denis Nigend : 134 503 Numéro de livret de solde : 5 310 944 Garry, Jérôme Nigend : 164 613 Numéro de livret de solde : 8 021 339 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Kruppa, Frédéric Nigend : 163 331 Numéro de livret de solde : 8 020 149 Cabrera, Éric Nigend : 166 942 Numéro de livret de solde : 8 023 013 Fait le 4 mai 2012. Le général, commandant la région de gendarmerie de Poitou-Charentes, Philippe Le Mouël 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 159 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Destinataires Direction générale de la gendarmerie nationale. Direction des personnels militaires de la gendarmerie nationale, à ISSY-LES-MOULINEAUX. Commandant du groupement de gendarmerie départementale : – de la Charente à ANGOULÊME ; – de la Charente-Maritime à LA ROCHELLE ; – de la Vienne à POITIERS ; – des Deux-Sèvres à NIORT. Chef du centre administratif et financier zonal à BORDEAUX. Commandant de la section des recherches à POITIERS. Directeur du bureau du service national à POITIERS. Sous-directeur des pensions à LA ROCHELLE. Diffusion intérieure Section commandement – Cabinet. État-major ressources humaines. État-major organisation-emploi. État-major soutien finances. Antenne médicale. Contrôle de gestion. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 160 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Lorraine et gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est _____ Décision no 24809 du 4 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Lorraine NOR : IOCJ1204718S Le commandant de la région de gendarmerie de Lorraine et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 72211 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128658S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 : Blaise, Hugues Nigend : 133 708 Numéro de livret de solde : 5 294 310 Simonet, Éric Nigend : 134 440 Numéro de livret de solde : 5 311 383 Flausse, Dominique Nigend : 138 791 Numéro de livret de solde : 5 325 234 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Fremiot, Stéphane Nigend : 69 903 Numéro de livret de solde Sviontek, Christophe Nigend : 165 622 Numéro de livret de solde Morisot, Gérald Nigend : 119 023 Numéro de livret de solde Muller, Jean-Marc Nigend : 161 535 Numéro de livret de solde Hert, Denis Nigend : 123 411 Numéro de livret de solde : 5 : 5 : 5 : 8 : 5 271 188 220 018 244 228 185 873 568 934 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Mareschal, Lydie Nigend : 210 515 Numéro de livret de solde : 8 063 Loubette, Bertrand Nigend : 166 177 Numéro de livret de solde : 8 022 Valeur, Olivier Nigend : 172 098 Numéro de livret de solde : 8 027 Marsac, Harold Nigend : 200 947 Numéro de livret de solde : 8 057 Francois, Christophe Nigend : 203 295 Numéro de livret de solde : 6 565 Poinot, Boris Nigend : 193 174 Numéro de livret de solde : 8 049 126 655 388 147 926 467 Article 3 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Lupo, Sébastien Nigend : 187 763 Numéro de livret de solde : 8 043 238 Lemarquis, Sylvain Nigend : 195 130 Numéro de livret de solde : 8 049 664 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 161 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Schallhammer, Katia Buisson, Rodolphe Nigend : 205 291 Nigend : 210 265 Numéro de livret de solde : 8 055 240 Numéro de livret de solde : 8 065 554 Fait le 4 mai 2012. Le général de corps d’armée, commandant la région de gendarmerie de Lorraine et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est, Gérard Deanaz 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 162 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Direction générale de la gendarmerie nationale _____ Direction des personnels militaires de la gendarmerie nationale _____ Sous-direction de la gestion du personnel _____ Bureau du personnel sous-officier du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale _____ Décision no 38143 du 4 mai 2012 portant attribution de l’échelon exceptionnel aux majors du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale NOR : IOCJ1222156S Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008-953 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers et officiers mariniers de carrière des armées et du soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale ; Vu l’arrêté du 4 août 2010 modifié, fixant pour la gendarmerie nationale la composition et l’organisation de la commission prévue à l’article L. 4136-3 du code de la défense ; Vu la circulaire no 124187 du 15 décembre 2011 relative à l’attribution de l’échelon exceptionnel aux majors du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale au titre de l’année 2012 ; Vu les propositions formulées par la commission chargée d’examiner l’attribution de l’échelon exceptionnel aux majors du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale en date du 15 mars 2012, Décide : L’échelon exceptionnel est attribué aux majors du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale dont le nom figure ci-après, à compter du 1er mai 2012. Aka, Didier Nigend : 192 725 Numéro de livret de solde : 5 152 088 Barnet, Marie-Claude Nigend : 112 684 Numéro de livret de solde : 5 157 064 Borget, Martine Nigend : 112 569 Numéro de livret de solde : 5 156 739 Dominiak, Monique Nigend : 166 089 Numéro de livret de solde : 5 093 593 Guéguen, Bernard Nigend : 186 583 Numéro de livret de solde : 5 216 005 Hutter, Noëlle Nigend : 112 712 Numéro de livret de solde : 5 157 216 Lavauzelle, Laurence Nigend : 112 657 Numéro de livret de solde : 5 157 049 Periz, Martine Nigend : 112 537 Numéro de livret de solde : 5 156 762 Triphose, Thierry Nigend : 193 527 Numéro de livret de solde : 5 128 242 Vimeux, Christine Nigend : 112 482 Numéro de livret de solde : 5 156 768 Fait le 4 mai 2012. Pour le ministre et par délégation : Le colonel, adjoint au sous-directeur de la gestion du personnel, Olivier Courtet 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 163 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Haute-Normandie _____ Décision no 11263 du 7 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Haute-Normandie NOR : IOCJ1204707S Le commandant de la région de gendarmerie de Haute-Normandie, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 34011 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128644S), Décide : Article 1er L’ adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juin 2012 : Philippe, Olivier Nigend : 134 843 Numéro de livret de solde : 5 311 079 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Candellier, Christian Nigend : 117 511 Numéro de livret de solde : 5 220 628 Grimonprez, Sylvain Nigend : 183 305 Numéro de livret de solde : 8 033 945 Cabot, Alain Nigend : 137 819 Numéro de livret de solde : 5 323 314 Renouard, Damien Nigend : 161 545 Numéro de livret de solde : 8 018 576 Depoortere, Didier Nigend : 108 404 Numéro de livret de solde : 5 150 992 Gervais, Fabrice Nigend : 142 913 Numéro de livret de solde : 8 002 142 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Roussel, Thomas Nigend : 208 586 Numéro de livret de solde : 8 062 708 Pawlik, Marc Nigend : 117 326 Numéro de livret de solde : 5 219 184 Filliette, Tony Nigend : 197 407 Numéro de livret de solde : 8 048 832 Mettetal, Cyril Nigend : 168 222 Numéro de livret de solde : 8 023 861 Hamel, Valéry Nigend : 156 056 Numéro de livret de solde : 8 013 647 Marais, Sébastien Nigend : 201 322 Numéro de livret de solde : 8 057 012 Leroy, Sandra Nigend : 199 919 Numéro de livret de solde : 8 048 752 Cordier, Kévin Nigend : 187 348 Numéro de livret de solde : 8 043 245 Duponchel, Olivier Nigend : 172 420 Numéro de livret de solde : 8 027 136 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 164 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Breban, Olivier Nigend : 207 194 Numéro de livret de solde : 8 061 378 Maloubier, Alain Nigend : 218 073 Numéro de livret de solde : 8 071 046 Colinet, Benoît Nigend : 211 645 Numéro de livret de solde : 8 063 315 Fait le 7 mai 2012. Le colonel, commandant la région de gendarmerie de Haute-Normandie, Denys Morée 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 165 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie du Centre _____ Décision no 20604 du 7 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie du Centre NOR : IOCJ1204710S Le commandant de la région de gendarmerie du Centre, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 62307 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128647S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 : L’Hostis, Stéphane Nigend : 147 742 Numéro de livret de solde Bafoil, Karine Nigend : 159 914 Numéro de livret de solde Giron, Christophe Nigend : 142 172 Numéro de livret de solde Goaziou, Yannick Nigend : 114 231 Numéro de livret de solde : 8 : 8 : 8 : 5 008 017 001 218 549 005 647 368 : 8 : 8 : 8 : 5 : 8 : 6 : 8 019 023 019 174 007 009 014 164 539 756 923 803 218 446 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Le Rouzic, Mickaël Nigend : 162 239 Numéro de livret de solde Jobin, Cédric Nigend : 167 654 Numéro de livret de solde Larchevêque, Laurent Nigend : 162 931 Numéro de livret de solde Cazy, Marc-Henri Nigend : 112 866 Numéro de livret de solde Augras, Sonia Nigend : 149 853 Numéro de livret de solde Lescure, Fabrice Nigend : 154 303 Numéro de livret de solde Gheysen, Gilles Nigend : 157 161 Numéro de livret de solde Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012: Ligonto, Sébastien Nigend : 180 605 Numéro de livret de solde : 8 029 864 David, Sébastien Nigend : 200 080 Numéro de livret de solde : 8 043 896 De Oliveira, Virginie Nigend : 173 051 Numéro de livret de solde : 8 027 528 Floquet, Sandrine Nigend : 209 422 Numéro de livret de solde : 8 050 986 Marteau, Thierry Nigend : 166 664 Numéro de livret de solde : 8 022 764 Perreau, Xavier Nigend : 180 250 Numéro de livret de solde : 8 037 822 Galland, Grégory Nigend : 220 747 Numéro de livret de solde : 8 083 545 Chatelin, David Nigend : 183 965 Numéro de livret de solde : 8 036 952 Dupoyet, Lionnel Nigend : 147 823 Numéro de livret de solde : 8 064 062 Monsu, Stéphane Nigend : 168 109 Numéro de livret de solde : 8 023 964 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 166 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Soulé, Benjamin Nigend : 199 359 Numéro de livret de solde : 8 046 743 Grelet, Julien Nigend : 213 888 Numéro de livret de solde : 8 068 210 Druy, Julien Nigend : 231 199 Numéro de livret de solde : 8 085 254 Pouget, Yann Nigend : 182 672 Numéro de livret de solde : 8 036 499 Mazure, Sophie Nigend : 202 728 Numéro de livret de solde : 8 058 138 Fait le 7 mai 2012. Le général, commandant la région de gendarmerie du Centre, Simon-Pierre Baradel 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 167 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon _____ Décision n° 22052 du 7 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon NOR : IOCJ1204716S Le commandant de la région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 58411 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128655S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 : Quintin, Patrick Nigend : 115 303 Numéro de livret de solde Karotsch, Vincent Nigend : 150 890 Numéro de livret de solde Sperandio, Pascal Nigend : 70 629 Numéro de livret de solde D’Helie de Saint André, Jean-Louis Nigend : 129 186 Numéro de livret de solde Chêne, Jean-Philippe Nigend : 133 312 Numéro de livret de solde : : : : : 5 190 076 8 009 053 5 283 990 5 283 663 5 295 929 : : : : : : : : : : 5 283 239 5 175 725 8 004 181 5 295 874 5 295 409 5 294 246 8 025 478 5 305 005 8 020 145 8 010 110 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Gal, Didier Nigend : 131 033 Numéro de livret Fauré, Lionel Nigend : 111 205 Numéro de livret Rousseau, Cyrille Nigend : 145 858 Numéro de livret Roselli, Mauro Nigend : 133 391 Numéro de livret Bégarie, Daniel Nigend : 133 288 Numéro de livret Galbourdin, Laurent Nigend : 133 752 Numéro de livret Revel, Fabrice Nigend : 170 003 Numéro de livret Belda, Frédéric Nigend : 139 932 Numéro de livret Haro, Gaëtan Nigend : 163 327 Numéro de livret Cayrol, Stéphane Nigend : 152 051 Numéro de livret de de de de de de de de de de solde solde solde solde solde solde solde solde solde solde Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont Berron, Pascal Nigend : Vidal, Jean-Philippe Nigend : Fournier, Sébastien Nigend : Larghi, Frédéric Nigend : Cibba, Christophe Nigend : Ruzafa, Frédéric Nigend : Moulin, Frédéric Nigend : promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : 154 252 Numéro de livret de solde : 8 012 104 165 008 Numéro de livret de solde : 8 021 698 177 894 Numéro de livret de solde : 8 029 342 190 847 Numéro de livret de solde : 5 287 037 159 371 Numéro de livret de solde : 8 016 619 168 010 Numéro de livret de solde : 8 024 182 168 351 Numéro de livret de solde : 8 024 071 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 168 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Jaumard, Stéphane Astruc, Jean-François Belarde, Jérôme Bordes, Jean-Christophe Triolet, Jean-Marc Roques, Anne Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend : : : : : : 165 227 192 090 211 424 174 000 158 466 232 288 Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro de de de de de de livret livret livret livret livret livret de de de de de de solde solde solde solde solde solde : : : : : : 8 021 845 8 040 001 8 063 387 8 027 810 8 015 696 8 085 496 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Munier, Yvan Nigend : 156 240 Numéro de livret de solde : Talamoni, Alexandra Nigend : 233 294 Numéro de livret de solde : Bouillot, Sylvain Nigend : 217 550 Numéro de livret de solde : Lorguilloux, Laurent Nigend : 239 867 Numéro de livret de solde : Bournel, Pierre Nigend : 214 324 Numéro de livret de solde : 8 013 775 8 086 058 8 064 538 8 087 444 8 064 044 Article 4 Fait le 7 mai 2012. Le colonel, commandant la région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon, Marc Lévêque 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 169 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Rhône-Alpes et gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est _____ Décision no 43693 du 7 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Rhône-Alpes NOR : IOCJ1204711S Le commandant de la région de gendarmerie de Rhône-Alpes et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 130714 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128649S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 : Piard, Éric Planchon, Philippe Recorbet, Fabrice Lohse, Hervé Millet, Jacques Berger, Frédéric Brisbart, Patrice Asencio, Gilles Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend : : : : : : : : 120 116 155 138 115 136 153 132 863 421 624 569 031 724 188 352 Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro de de de de de de de de livret livret livret livret livret livret livret livret de de de de de de de de solde solde solde solde solde solde solde solde : : : : : : : : 5 5 8 5 5 5 8 5 221 219 012 324 218 324 011 295 161 071 987 969 558 311 020 505 : : : : : : : : : : : : : : 8 038 809 5 296 044 8 001 165 8 005 791 8 028 721 5 295 524 8 003 401 8 002 098 8 009 301 5 175 412 5 323 595 5 293 712 8 017 626 5 295 268 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Bourbon, Cyril Dumarski, Hervé Malkiewiez, Yves Rossi, Stéphane Chambosse, David Callewaert, Gérard Begey, Jean-Michel Turquat, André Acosta-Hurtado, Marc Boulet, Christian Theodore, Noël Beuret, Véronique Dalzon, Denis Matéo, Didier Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend : : : : : : : : : : : : : : 188 139 141 147 176 132 144 142 151 109 141 70 160 133 856 747 143 773 347 371 782 982 220 747 436 541 624 231 Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro de de de de de de de de de de de de de de livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret de de de de de de de de de de de de de de solde solde solde solde solde solde solde solde solde solde solde solde solde solde 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 170 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Voillot, Stéphane Tassa, Thierry Poutrieux, Sylvie Baj, Gilles Nigend Nigend Nigend Nigend : : : : 158 126 132 134 733 003 070 746 Numéro Numéro Numéro Numéro de de de de livret livret livret livret de de de de solde solde solde solde : : : : 8 5 5 5 016 243 294 312 196 392 079 204 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Poncie, Laurent Ristorcelli, Sylvain Ferraris, Fabien Cambres, Sébastien Meda, Carine Charpateau, Olivier Corberand, Benjamin Liégeois-Sarre, Olivier Tour, Matthieu Zaepffel, Olivier Brumbt, Pierre Morel, Matthieu Gosset, Sébastien Vonarb, Philippe Griere, Xavier Chapuis, Roland Seris, Vincent Kerskens, Grégory Ratel, Patricia Pons, René Philibert, Xavier Mazier, Jérôme Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : 165 187 185 174 226 165 229 167 183 207 189 230 170 219 201 143 146 168 178 186 142 210 604 740 910 771 195 649 087 666 472 020 582 595 102 057 936 834 422 201 150 781 613 444 Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de solde solde solde solde solde solde solde solde solde solde solde solde solde solde solde solde solde solde solde solde solde solde : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 5 8 022 044 037 032 084 022 084 023 034 062 042 085 025 065 044 001 004 023 029 038 272 063 185 776 346 156 450 217 801 550 090 378 484 077 041 079 152 824 779 841 280 260 482 059 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Villain, Michel Gasiglia, Laurie Sanchez, Michel Rapebach, Arnaud Fontaine, Sophie Picazo Nuñez, Vincent Dupuy, Étienne Krawczyk, Romuald Lotsch, Stéphane Goux, Nicolas Machat, David Laporte, Franck Marty, Georges Ortolani, Marino Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend Nigend : : : : : : : : : : : : : : 219 223 205 239 234 240 165 161 153 168 171 177 179 188 226 768 587 306 683 066 665 977 592 309 078 056 716 931 Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro de de de de de de de de de de de de de de livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret de de de de de de de de de de de de de de solde solde solde solde solde solde solde solde solde solde solde solde solde solde : : : : : : : : : : : : : : 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 071 073 059 087 086 087 022 018 011 024 026 032 035 035 833 674 734 271 520 622 225 051 160 047 653 556 527 779 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 171 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Glatard, Corinne Da Cruz, Rudy Fait le 7 mai 2012. Nigend : 218 597 Nigend : 233 457 Numéro de livret de solde : 8 071 353 Numéro de livret de solde : 8 086 155 Le général de division, commandant la région de gendarmerie de Rhône-Alpes et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est, Jean-Patrick Ridao 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 172 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Gendarmerie de l’air _____ Décision no 4563 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie de l’air NOR : IOCJ1204738S Le commandant de la gendarmerie de l’air, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 12606 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128678S), Décide : Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Le Moal, Sonia Nigend : 179 053 Numéro de livret de solde : 8 036 145 Bouyer, Muriel Nigend : 156 873 Numéro de livret de solde : 8 014 725 Fait le 9 mai 2012. Le colonel, commandant la gendarmerie de l’air, Guy Cazenave-Lacroutz 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 173 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Gendarmerie des transports aériens _____ Décision no 7040 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie des transports aériens NOR : IOCJ1204733S Le commandant de la gendarmerie des transports aériens, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 18111 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128671S), Décide : Article 1er L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juin 2012 : Gibrat, Jean-christophe Nigend : 125 095 Numéro de livret de solde : 5 279 640 Article 2 L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Masset, Christian Nigend : 128 527 Numéro de livret de solde : 5 283 469 Article 3 Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Rulliere, Fabrice Nigend : 142 962 Numéro de livret de solde : 8 002 190 Article 4 Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Jégo, Christophe Nigend : 158 836 Numéro de livret de solde : 8 015 957 Fait le 9 mai 2012. Le général, commandant la gendarmerie des transports aériens, Damien Striebig 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 174 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Garde républicaine _____ Décision no 13528 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la garde républicaine – branche « infanterie » NOR : IOCJ1204697S Le commandant de la garde républicaine, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 180684 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128629S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 : Longatelli, Pierre Nigend : 104 445 Numéro de livret de solde : 5 126 961 Nespoulous, Jean-Claude Nigend : 127 965 Numéro de livret de solde : 5 281 058 Borteele, Stéphane Nigend : 132 247 Numéro de livret de solde : 5 295 107 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Rizat, Jean-Jacques Nigend : 117 222 Numéro de livret de solde : 5 220 007 Carré, Denis Nigend : 142 412 Numéro de livret de solde : 8 001 709 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Roy, Alexis Nigend : 169 082 Numéro de livret de solde : 8 024 791 Loiseau, Wilfried Nigend : 190 478 Numéro de livret de solde : 8 039 354 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Martin, Nicolas Nigend : 207 839 Numéro de livret de solde : 8 062 316 Boudes, Patrice Nigend : 225 225 Numéro de livret de solde : 8 083 976 Fait le 9 mai 2012. Le général de division, commandant la garde républicaine, Philippe Schneider 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 175 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Garde républicaine _____ Décision no 13529 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la garde républicaine – branche « cavalerie » NOR : IOCJ1204698S Le commandant de la garde républicaine, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 180685 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128633S), Décide : Article 1er L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Binet, Philippe Nigend : 116 877 Numéro de livret de solde : 5 218 203 Article 2 Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Aubineau, Hervé Nigend : 160 029 Numéro de livret de solde : 8 017 104 Article 3 Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Huntziger, Hervé Nigend : 210 297 Numéro de livret de solde : 8 065 498 Fait le 9 mai 2012. Le général de division, commandant la garde républicaine, Philippe Schneider 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 176 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Garde républicaine _____ Décision no 13530 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la garde républicaine – branche « orchestre-chœur de l’armée française » NOR : IOCJ1204699S Le commandant de la garde républicaine, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 180687 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128631S), Décide : Article 1er Le choriste de 2e classe dont le nom suit est promu au grade de choriste de 1re classe le 1er juin 2012 : Patrouilleau, Dominique Nigend : 162 484 Numéro de livret de solde : 8 021 175 Article 2 Le choriste de 3 classe dont le nom suit est promu au grade de choriste de 2e classe le 1er juin 2012 : Crevoisier, Pierre Nigend : 171 529 Numéro de livret de solde : 8 026 292 e Fait le 9 mai 2012. Le général de division, commandant la garde républicaine, Philippe Schneider 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 177 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Bretagne et gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Ouest _____ Décision no 33474 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Ouest NOR : IOCJ1204706S Le commandant de la région de gendarmerie de Bretagne et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Ouest, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 81822 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128643S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 : Fassot, Lionel Nigend : 128 037 Numéro de livret de solde : 5 281 234 Bardoux, Michel Nigend : 124 546 Numéro de livret de solde : 5 244 212 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Besnehard, Flavien Nigend : 158 620 Numéro de livret de solde : 8 016 105 Maudet, Cyrille Nigend : 165 097 Numéro de livret de solde : 8 021 675 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Gousse, Antoine Nigend : 166 980 Numéro de livret de solde : 8 023 047 Tamizier, Sébastien Nigend : 190 476 Numéro de livret de solde : 8 038 597 Cliquennois, Guillaume Nigend : 190 798 Numéro de livret de solde : 8 043 660 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Petresco, Michaël Nigend : 230 602 Numéro de livret de solde : 8 085 085 Martin, Vincent Nigend : 231 967 Numéro de livret de solde : 8 085 757 Fait le 9 mai 2012. Le général de division, commandant la région de gendarmerie de Bretagne et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Ouest, Alain Giorgis 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 178 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Commandement des écoles de la gendarmerie nationale _____ Décision no 39708 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général du commandement des écoles de la gendarmerie nationale NOR : IOCJ1204732S Le commandant des écoles de la gendarmerie nationale, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 108858 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128669S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 : Edouard, Jean-Christophe Nigend : 136 638 Numéro de livret de solde : 5 322 945 Rozada, Jean Nigend : 128 698 Numéro de livret de solde : 5 283 567 Henray, Gilles Nigend : 133 876 Numéro de livret de solde : 5 294 836 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Andichou, Luc Nigend : 151 321 Numéro de livret de solde : 8 009 401 Milla, Ghislain Nigend : 153 597 Numéro de livret de solde : 8 011 165 Charles, Yann Nigend : 149 021 Numéro de livret de solde : 8 006 916 Sertier, Daniel Nigend : 111 528 Numéro de livret de solde : 5 150 498 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Belmas, Christophe Nigend : 162 986 Numéro de livret de solde : 8 019 808 Goret, Etienne Nigend : 181 264 Numéro de livret de solde : 8 030 230 Benoist, Olivier Nigend : 168 991 Numéro de livret de solde : 8 024 705 Fazzino, Fabrice Nigend : 185 981 Numéro de livret de solde : 8 034 630 Article 4 Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Talassi, Aline Nigend : 195 102 Numéro de livret de solde : 8 047 802 Fait le 9 mai 2012. Le général de corps d’armée, commandant les écoles de la gendarmerie nationale, Christophe Métais 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 179 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie d’Aquitaine et gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest _____ Décision no 44056 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest NOR : IOCJ1204701S Le commandant de la région de gendarmerie d’Aquitaine et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 134080 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128636S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 : Lopez, Marc Nigend : 126 056 Numéro de livret de solde : 5 280 455 Jouanin, Marc Nigend : 128 649 Numéro de livret de solde : 5 283 626 Article 2 L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Ithurry, Jean-Christophe Nigend : 159 165 Numéro de livret de solde : 8 015 925 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Michelet, Jean-François Nigend : 137 355 Numéro de livret de solde : 5 324 765 Juris, Olivier Nigend : 164 308 Numéro de livret de solde : 8 021 055 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Castelain, Jérôme Nigend : 234 742 Numéro de livret de solde : 8 086 569 Careil, Kevin Nigend : 219 731 Numéro de livret de solde : 8 072 415 Fait le 9 mai 2012. Le général de division, commandant la région de gendarmerie d’Aquitaine et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest, BrunooCarmichael 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 180 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Rhône-Alpes et gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est _____ Décision no 44092 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est NOR : IOCJ1204712S Le commandant de la région de gendarmerie de Rhône-Alpes et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2011‑1990 du 28 décembre 2011 modifiant le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 130717 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128650S), Décide : Article 1er L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juin 2012 : Faure, Gilles Nigend : 127 725 Numéro de livret de solde : 5 279 118 Article 2 L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Abadie, Hervé Nigend : 131 734 Numéro de livret de solde : 5 282 201 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Counioux, Bruno Nigend : 131 545 Numéro de livret de solde : 5 271 447 Breitenstein, Alain Nigend : 120 793 Numéro de livret de solde : 5 221 207 Article 4 Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Manzoni, Christophe Nigend : 193 377 Numéro de livret de solde : 8 049 359 Fait le 9 mai 2012. Le général de division, commandant la région de gendarmerie de Rhône-Alpes et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est, Jean-Patrick Ridao 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 181 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Corse _____ Décision no 7600 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Corse NOR : IOCJ1204717S Le commandant de la région de gendarmerie de Corse, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 22638 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128657S), Décide : Article 1er Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Valnet, Cyril Nigend : 167 592 Numéro de livret de solde : 8 023 397 Yannic, Ivan Nigend : 143 678 Numéro de livret de solde : 8 002 794 Hamard, Stéphane Nigend : 138 434 Numéro de livret de solde : 5 324 849 Article 2 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Pianet, Mathieu Nigend : 180 958 Numéro de livret de solde : 8 030 902 Bouchy, Lionel Nigend : 191 112 Numéro de livret de solde : 8 039 805 Colbert, Ludovic Nigend : 172 406 Numéro de livret de solde : 8 027 123 Roussarie, Olivier Nigend : 162 575 Numéro de livret de solde : 8 019 481 Angeard, Franck Nigend : 154 627 Numéro de livret de solde : 8 012 402 Article 3 Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Antiome, Fernand Nigend : 156 682 Numéro de livret de solde : 8 014 203 Fait le 10 mai 2012. Le colonel, commandant par suppléance la région de gendarmerie de Corse, Stephan Thevenet 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 182 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie du Limousin _____ Décision no 11777 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie du Limousin NOR : IOCJ1204704S Le commandant de la région de gendarmerie du Limousin, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 34820 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128639S), Décide : Article 1er L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juin 2012 : Zabaleta, Bruno Nigend : 69 985 Numéro de livret de solde : 5 282 098 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Denis, Pascal Nigend : 148 174 Numéro de livret de solde : 8 006 015 Dorlet, Jean-Philippe Nigend : 146 349 Numéro de livret de solde : 8 005 037 Defossez, Denis Nigend : 136 868 Numéro de livret de solde : 5 294 625 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Lachérade, Jean-François Nigend : 162 229 Numéro de livret de solde : 8 019 158 Bonnefont, Stéphane Nigend : 173 915 Numéro de livret de solde : 8 027 706 Wallet, Michaël Nigend : 169 094 Numéro de livret de solde : 8 024 799 Colléoni, Olivier Nigend : 163 493 Numéro de livret de solde : 8 020 216 Florenty, Jean-Luc Nigend : 129 008 Numéro de livret de solde : 5 283 653 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Papin, Teddy Nigend : 191 690 Numéro de livret de solde : 8 051 948 Laurent, Mickaël Nigend : 176 804 Numéro de livret de solde : 8 033 701 Fait le 10 mai 2012. Le colonel, commandant la région de gendarmerie du Limousin, Michel Labbé 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 183 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Picardie _____ Décision no 15576 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Picardie NOR : IOCJ1204729S Le commandant de la région de gendarmerie de Picardie, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 41190 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128666S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 : Bee, Pierre Nigend : 145 025 Numéro de livret de solde : 8 003 103 Pronier, Pascal Nigend : 109 714 Numéro de livret de solde : 5 150 085 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Pons, Thomas Nigend : 178 773 Numéro de livret de solde : 8 029 469 Gromadzinski, Christophe Nigend : 155 178 Numéro de livret de solde : 8 012 937 Thierry, Jean-Philippe Nigend : 165 738 Numéro de livret de solde : 8 022 294 Tanguy, Hans Nigend : 177 592 Numéro de livret de solde : 8 029 189 Luguenot, Joël Nigend : 153 474 Numéro de livret de solde : 8 011 471 Poret, Sébastien Nigend : 164 774 Numéro de livret de solde : 8 021 285 Couteaux, Stéphane Nigend : 153 064 Numéro de livret de solde : 8 010 924 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Hugot, Sandrine Nigend : 142 832 Numéro de livret de solde : 8 007 848 Erskelboudt, Sébastien Nigend : 175 461 Numéro de livret de solde : 8 028 436 Blangeois, Mickaël Nigend : 181 089 Numéro de livret de solde : 8 030 019 Racine, Jean Nigend : 198 268 Numéro de livret de solde : 8 055 433 Bienaimé, Raphael Nigend : 178 930 Numéro de livret de solde : 8 032 679 Vauvray, Cyril Nigend : 200 668 Numéro de livret de solde : 8 046 756 Ollivier, Sébastien Nigend : 184 696 Numéro de livret de solde : 8 034 269 Lavigne, Rénald Nigend : 157 432 Numéro de livret de solde : 8 014 355 Morellec, Romuald Nigend : 193 798 Numéro de livret de solde : 8 047 700 Suiveng, Jean-Charles Nigend : 190 867 Numéro de livret de solde : 8 039 796 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 184 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Wattez, Lionel Nigend : 195 798 Numéro de livret de solde : 8 047 979 Tourillon, Emmanuel Nigend : 173 231 Numéro de livret de solde : 8 030 719 Charon, Damien Nigend : 223 744 Numéro de livret de solde : 8 073 653 Dhaussy, Arnaud Nigend : 180 486 Numéro de livret de solde : 8 005 699 Grégoire, Thierry Nigend : 177 142 Numéro de livret de solde : 8 033 355 Fait le 10 mai 2012. Le général, commandant la région de gendarmerie de Picardie, Marc Betton 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 185 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie des Pays de la Loire _____ Décision no 22846 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie des Pays de la Loire NOR : IOCJ1204709S Le commandant de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 77964 du 16 décembre 2011 (NOR : IOCJ1133949S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 : Mieuzet, Charles Nigend : 116 542 Numéro de livret de solde : 5 219 596 Gelin, Pascal Nigend : 122 762 Numéro de livret de solde : 5 243 948 Le Tertre, Stéphane Nigend : 138 150 Numéro de livret de solde : 5 281 937 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Castanet, Fabrice Nigend : 133 856 Numéro de livret de solde : 5 294 619 Geffard, Pascal Nigend : 139 492 Numéro de livret de solde : 5 323 622 Censier, Damien Nigend : 158 264 Numéro de livret de solde : 8 015 713 Joly, Éric Nigend : 123 514 Numéro de livret de solde : 5 244 828 Aguillon, Christophe Nigend : 136 715 Numéro de livret de solde : 5 324 301 Morault, Jean-Marie Nigend : 153 726 Numéro de livret de solde : 8 011 666 Mille, Richard Nigend : 166 363 Numéro de livret de solde : 8 022 564 Cupial, Didier Nigend : 162 511 Numéro de livret de solde : 8 019 225 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Feidt, François-Xavier Nigend : 168 073 Numéro de livret de solde : 8 023 939 Fost, Cyrille Nigend : 169 674 Numéro de livret de solde : 8 025 222 Guyet, Vincent Nigend : 195 484 Numéro de livret de solde : 8 048 025 Pipelier, Bertrand Nigend : 188 040 Numéro de livret de solde : 8 038 562 Thibaudeau, David Nigend : 157 790 Numéro de livret de solde : 8 014 988 Gicquel, Anthony Nigend : 171 055 Numéro de livret de solde : 8 026 636 Gandin, Didier Nigend : 163 982 Numéro de livret de solde : 8 020 540 Dirring, Christelle Nigend : 190 263 Numéro de livret de solde : 8 039 327 Teyssier, François Nigend : 132 466 Numéro de livret de solde : 5 295 490 Chénier, Laurent Nigend : 190 441 Numéro de livret de solde : 8 039 222 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 186 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Briatte, Christophe Nigend : 165 023 Numéro de livret de solde : 8 021 709 Glos, Aurélie Nigend : 208 695 Numéro de livret de solde : 8 062 683 Thenard, Yann Nigend : 215 284 Numéro de livret de solde : 8 068 862 Coulibaly, Mam-Sarra Nigend : 237 746 Numéro de livret de solde : 6 634 421 Debavelaere, Thierry Nigend : 159 776 Numéro de livret de solde : 8 016 931 Abdelouahed, Guillaume Nigend : 196 973 Numéro de livret de solde : 8 048 468 Fait le 10 mai 2012. Le colonel, commandant la région de gendarmerie des Pays de la Loire, F. Alegre de La Soujeole 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 187 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Direction générale de la gendarmerie nationale _____ Décision no 42386 du 10 mai 2012 portant attribution, en 2012, de la prime de résultats exceptionnels à titre exceptionnel NOR : INTJ1223468S Le directeur général de la gendarmerie nationale, Vu le code de la défense ; Vu la loi no 2002‑1094 du 29 août 2002 d’orientation et de programmation pour la sécurité intérieure ; Vu le décret no 2004‑1073 du 11 octobre 2004 portant création d’une prime de résultats exceptionnels dans la gendarmerie nationale ; Vu l’arrêté du 11 octobre 2004 portant application du décret no 2004‑1073 du 11 octobre 2004 portant création d’une prime de résultats exceptionnels dans la gendarmerie nationale, Décide : Article 1er Les personnels de la gendarmerie en activité de service dont la liste est jointe en annexe percevront, à titre exceptionnel, au titre de l’année 2011 une prime de résultats exceptionnels d’un montant de 500,00 € (cinq cents euros). Article 2 La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Fait le 10 mai 2012. Le général d’armée, directeur général de la gendarmerie nationale, Jacques Mignaux 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 188 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE Liste des militaires bénéficiant d’une prime de résultats exceptionnels à titre exceptionnel d’un montant de Abeillon, Henri Acker, Adrien Adeux, Ludovic Adorno, Vincent Agresti, Blaise Aguera, Thierry Aguirre, Pascal Ait-Ameur, Ait-Ali Ajnaou, Abdelhakim Alcaraz, Richard Alessandri, Christian Alexandre, Claude Ali, Baptiste Alia, Ahmed Aliaga, Philippe Allard, Émilie Alsac, Fanny Amardeil, Frédéric Amato, David Amet, Olivier Ammour, Kamel André, Sébastien Andries, Jonathan Angelaud, Jean-Luc Anglade, Pierre Anteblian, Pierre Antoniutti, Éric Armengaud, Rémi Assou, Philippe-Alexandre Astori, Alexandre Aubertin, Loïc Auffret, Yann Auge, David Auger, Sébastien Aurat, Baptiste Avelange, Éric Aye, Fabienne Aymonnier, Julien Babin, Grégory Bach, Frédéric Baggio, Henri Baïer, Éric Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : 500,00 110293 178061 196285 196199 162275 106346 117630 131335 300451 189305 124640 248240 214792 207062 110801 232828 211066 190489 193163 195048 164809 205199 310081 131207 206004 147131 143130 238582 308826 202170 183183 189986 168816 200954 223481 122810 156852 240108 220779 171142 185025 126128 euros pour l’année 2011 Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : 5150300 8029200 8052818 8052936 6541041 5160582 5241800 5283401 8100503 8039001 5269604 8088994 8069050 8055287 5150502 8079434 8063901 8038900 8047174 8047752 8021402 8061512 8107053 5294001 8059215 5246537 8002493 8087028 6625574 8054426 8033803 8044356 8024601 8050121 8073443 5244002 8014703 8094245 8072956 8026706 8034301 5243667 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 189 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Bailleul, Charles Bailly, Beryl Ballari, Michel Banon, Victor Bans, Jacques Baradon, Bertrand Barberis, Thierry Barbieri, Alain Barbot, Nolwenn Barbotin, Sébastien Bardy, Pierre-Yves Baret, Jérôme Barou, Régis Barrattier, Alain Barré, Hervé Barret, Alain Barriere, Maxime Bartassot, Thierry Bastard, Jean-Yves Baudoux, Frédéric Baudry, Frédéric Bayle, Bruno Beaudoux, Lydie Behaz, Ali Belin, Maxime Bellemin-Laponnaz, Yannick Bemer, Sandrine Bénard, Stéphane Benatier, Cyril Benazzedine, Mohamed Benoit, Cyril Berger, Roland Bergère, Cyril Berkani, Pascal Bernard, Vincent Bernier, Jean-Christophe Bernot, Erwan Berthaire, David Berthomé-Laurent, Sébastien Bertoncini, Jean-Philippe Bertrand, Didier Bertrand, Michel Besse, Laurent Bey, Patrick Biasi, Grégory Biau, Stéphane Bidard, Romain Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : 247482 172234 117353 240112 124346 180201 147418 129781 239873 181086 214949 214173 123171 226157 148550 118506 232016 128381 100023 143815 244262 153043 207081 183558 324862 186636 138332 206239 175366 145277 201808 103328 193259 145756 311122 240118 239094 148425 176967 176529 151445 127672 225719 120917 203354 171023 233239 Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : 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Bogner, Philippe Bohard, Gérard Boilly, Frédéric Boinet, Franck Boistard, Julien Bonjean, Olivier Bonmarchand, Stéphane Bonnery, David Bonnet, François Bonnet, Rudy Bontemps, Stéphane Bonvalot, Frederic Bordage, Guillaume Bordenave, Laurent Bory, Sébastien Bosco, Alexis Bouche, Robert Boucherie, Alain Boudaille, Vincent Bouden, Frédéric Bouhier, Clément Boulanger, Stéphan Bourasseau, Denis Bourdais, Jean-Louis Bourgerie, Thomas Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : 236058 224209 127134 151608 140508 114960 229206 173547 167208 233240 150822 247595 238191 172119 168154 69733 220162 215878 156989 246383 128752 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Bouriot, Laurent Bourson, Richard Bousalah, Sonia Boutier, Benoît Boutin, Francois-Xavier Bouvard, Yves Bovet, Muriel Boyé, Thierry Braconnier, Jean-Charles Braquehais, Yann Brard, Emmanuel Bras, Stéphane Brassart, Steeve Breart De Boisanger, Antoine Brejot, Muriel Bremond, Vanessa Bressant, Jean-Philippe Breteau, Philippe Breton, Jean-Luc Breuillé, Pierre Brice, Francis Bridoux, Xavier Brieux, Cédric Briffoteaux, Alexis Brion, Jacques Briqué, Geoffroy Brisset, Martial Bronnec, Yves Bronsin, Sébastien Broquere-Lartigue, Gérald Brougiere, Morgan Brouillon, Laurent Bruguière, Nicolas Brun, Alexandre Brunet, Thierry Brunswick, Alexandra Bruzeau, Thomas Buhot, Gaétan Busi, Pierre-Yves Butel, Hervé Butez, Sébastien Buttarazzi, Éric Cabrera, Gilles Cabrolier, Patrice Caby, Jean-Pierre Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : 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Patrice Cazzadori, Patrice Ceccaldi, Christophe Celle, Olivier Cenedese, Marc Cent, Nicolas Chabaud, Stéphane Chacon, Laurent Chalm, Julien Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : 199260 124139 127690 205384 225827 206168 186508 209430 124356 158790 241067 124050 161100 147556 227022 151747 70698 146871 164689 194055 231013 100869 186795 151617 159017 109176 240577 160617 210526 234742 156030 152171 97490 197175 234201 112169 149990 135100 191563 124756 152172 157121 138774 201940 155788 170248 233686 Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde 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Jean-Pierre Cherault, Jean-Luc Chevalier, Gérard Chevreau, Didier Chiheb, Sammy Chipon, Thiéry Choulot, Michel Chrétien, David Christin, Laurent Chudy, Christophe Ciabrini, Michel Cisowski, Alain Clain, Norbert Clarisse, Franck Claude, Rachel Claudel, Laurent Claudon, Francis Clayeux, Christopher Clech, Jérome Clement, Éric Clement, Franck Cluzeau-Chesnoy, Julien Coat, Ronan Cocault, Vincent Cœllo, Christian Coll Ramis, Michel Collenne, Jérôme Collin, Stéphane Collomb, Philippe Colmagro, Ghislain Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : 144391 196775 111071 195219 117512 176093 202690 137416 153769 240651 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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Colombani, Jacques Colombet, Karim Combes, Bernard Common, Hélène Condomines, Nathan Conort, Christian Conte, Jean-Michel Cordier, Sébastien Corouge, Vincent Corsetti, Luigi Coste, Didier Costeux, Maxime Cosyns, Christine Cottez, Adrien Couderc, Christian Coueslan, René Coulon, Alain Courbette, Sylvain Courivaud, Francis Courteille, Éric Cousin, Jonathan Cousin, Sylvain Cousseau, Christophe Coutant, Aurélien Couturier, René Couvez, Bruno Craman, Patrice Crespel, Jacques Cristiano, Jean-Yves Crunchant, Fabrice Curien, Philip Curnillon, Éric Cwiek, Pascal Da Fonseca, Jacques Daguet, Olivier Dailloux, Florent Dalla-Muta, Yannick Dalmasso, Christopher Damoiseau, Éric Danet, Vincent Dang, Tri Danieau, Alexandre Dantzer, Jean-Marc Dasilva, Olivier Dasquié, Philippe Daum, Laurent David, Fabrice Nigend : 110708 Nigend : 166321 Nigend : 128988 Nigend : 232253 Nigend : 320528 Nigend : 106379 Nigend : 159277 Nigend : 199913 Nigend : 198412 Nigend : 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5219658 8076185 5314257 8099341 5189626 8050918 5102233 8085727 8027222 5279412 8081143 5262941 8003629 8084756 5173421 5287756 5242225 8003221 8004317 5294938 8088009 8047346 5175523 8021649 5147612 8086995 8036571 8094807 8007716 6549685 8090252 8089425 5242816 8038820 5218833 8019825 5221117 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 195 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR David, Francois-Xavier Nigend : David, Sébastien Nigend : De Crevoisier Gouy Nigend : De Bellocq Feuquieres, Dominique De Decker, Johan Nigend : De L’Estang Du Rusquec, Nigend : Vincent De Oliveira, Armando Nigend : De Serres De Mesples, Benjamin Nigend : Debard, Loïc Nigend : Deblanc, Benoit Nigend : Debout, Dominique Nigend : Debril, Mélanie Nigend : Debruyne, Pierre Nigend : Decorte, Olivier Nigend : Decovemacker, Laurent Nigend : Dehay, Michael Nigend : Dehornoy, Fabrice Nigend : Dehove, Florian Nigend : Delamarre, Vincent Nigend : Delanoy, Denis Nigend : Delaunois, Ludovic Nigend : Delcambre, Jérôme Nigend : Delort, Jean-Louis Nigend : Demain, Jean-Marie Nigend : Demaison, Gilles Nigend : Demange, Jean-Philippe Nigend : Demangel, Mathieu Nigend : Demaria, Frédéric Nigend : Demerval, Sébastien Nigend : Demezon, Grégoire Nigend : Denamur, Mélanie Nigend : Denis, Olivier Nigend : Denis, Philippe Nigend : Denis, Xavier Nigend : Depauw, François Nigend : Deregnaucourt, Ludovic Nigend : Derez, Thierry Nigend : Descarpentries, Henri Nigend : Desenclos, Benjamin Nigend : Despret, Charles-Édouard Nigend : Deurveilher, Elvis Nigend : Deveaux, Benoit Nigend : Dewilde, Guillaume Nigend : Dezeure, Thierry Nigend : Dhersin, Dimitri Nigend : Di Meo, Michael Nigend : 230491 161955 114766 Numéro de livret de solde : 8085116 Numéro de livret de solde : 8018926 Numéro de livret de solde : 5191923 150520 249462 Numéro de livret de solde : 8008322 Numéro de livret de solde : 6625602 122043 303161 196168 217348 158023 233190 235723 163630 160527 143321 145956 247405 176246 145959 163141 177188 69759 240585 154272 205157 305215 122412 213816 223941 247406 235111 105905 139022 151468 170752 152667 134650 306345 241464 215664 248256 174211 205966 207476 162287 Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de solde : solde : solde : solde : solde : 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Dufeil, Vincent Duffour, Pascal Duhalde, Jérémie Duhamel, Henri Duhayon, David Duhoux, Vincent Dulong De Rosnay, Henri Dupas, Pierrick Duport, Eddy Dupré, Didier Duquenoy, Alain Durand, Alain Durand, Gil Durand, Guillaume Durand, Julien Durand, Pierre Duros, Mathieu Dusserre, Nicolas Dutto, Lionel Duwez, Philippe Dvorsak, Gilles Dziedzic, Frédéric Eisenbarth, Yvain Eléouet, Roland Émile-Zola-Place, Guillaume Engoué, Florent Erceau, Jean-Michel Ertzbischoff, Sébastien Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : 135670 249204 215004 115239 240680 217352 215806 217831 216712 148070 170689 185240 335971 161266 237911 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L’INTÉRIEUR Escalier, Thierry Escande, Frédéric Escot, Vanessa Escouflaire, François Espinal, Éric Etavard, Kévin Eternot, Pascal Etienne, Jean-Pierre Evenat, Jacques Evrard, Jean-Marie Fabry, Hervé Fantin, Benoit Fargere, Nicolas Faure, Antoine Favier, Jean-Michel Fayzi, Khalid Felez, Gilles Félix, Julien Féré, Ludovic Ferran, Jean-Claude Ferreira, Fabrice Fillon, Christian Fin, Philippe Fiore, Jean-Marc Flamand, Denis Flaux, Thierry Fleury, Antoine Folgoas, Philippe Fontaine, Éric Formell, Francis Foucart, Dominique Fourcadet, Pierre Fourcroy, Jean-François Fradin, Richard Fremaux, Éric Frily, Fabian Froment, Pascal Fromentin, Cédric Frycz, Frédéric Fuchs, Fabien Fugier, Jean-François Gable, Dominique Gaboriau, Pierre-Luc Gadiolet, François Gagliardi, Sylvain Gagnaire, Didier Galek, Cédric Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : 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de de de de de de de livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : 5150433 8087941 8036377 8028437 6553576 8110295 8018330 5270540 5218359 8025538 5210194 8090055 8084765 8039131 5243701 8089208 5305140 8056970 8020734 8019337 8002131 8015500 8020378 5305246 8007242 8087002 8064065 5311599 5311936 6009003 5147949 5157030 8032812 8004017 5323049 8070796 5311673 8060360 8010242 8084324 5132970 5088967 5280031 8110301 8000833 8012541 8089649 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 198 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Gallardo, Benoît Gallego, Cédric Gallo, Sylvain Gamblin, Jacques Ganiou, Jean-Paul Garcia, Marjorie Garel, Marius Garguilo, Gilles Garibotti, Jean Garrigues, Laurent Gasnier, Christophe Gastaud, Michaël Gautier, Gérard Gautier, Patrick Gauvin, Pierre Gazeaux, Julien Gelis, Olivier Genevès, Arthur Gentili, Jérôme Gentilucci, Michel Geoffrin, Patrick Georg, Marcel Gerome, Yann Gessant, Hervé Giacobi, Gérald Giboreau, Géraldine Gibot, Franck Gilibert, Christophe Giorgi, Pascal Girardet, Christian Gitlaw, Yann Godard, Christian Gœpfert, Laurent Golenia, Romain Gomez, Aurélia Gonzalez, Michel Gosselin, Éric Goubert, Yannick Goumard, Pascal Gousson, Fabrice Granier, Johan Gransard, Nathanaël Gras, Adrien Gravier, Cyrille Gregoire, Pierre Grellaud, Jean-Philippe Grollet, Patricia Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : 175028 173933 234062 92701 157727 319020 203906 88901 193603 165557 165059 320859 97856 142564 184432 320860 176371 317294 178734 143343 105562 104915 169288 161610 190547 307742 185962 310363 127733 116257 248191 203694 167959 233347 206757 107408 303520 122170 154383 188086 195576 242579 185317 154057 163323 241172 154662 Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : 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Halabura, Frédéric Halm, Jean-Philippe Halopeau, Fabrice Hamba, Jean-Philippe Hamy, Mario Hannoy, Fabrice Hardouin, James Harle, Sylvain Hattab, Karim Haziza, Véronique Hebert, Jérôme Hebrard, Jacques Hebras, Vincent Henrio, Hervé Hernandez Sanchez, Rodrigue Hersent, Fabrice Hervé, Jean-Pierre Hervillard, Olivier Heuline, Laurent Hillion, Laurent Hily, Stéphane Hisler, Benjamin Ho Yu Hin, Sébastien Houel, Jean-Luc Houot, Pascal Houssaye, Christian Hubart, Franck Hubaud, Frédéric Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : 189764 144418 121698 158413 150884 187938 240789 131038 162221 156323 186490 165443 223965 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MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Hubert, Quentin Huchot, Myriam Hulmel, Laurent Hurault, David Hurtault, Pascal Hussenot, Patrick Imouche, Jérôme Iopeti, Sébastien Isambourg, Hervé Istria, Tristan Ithurry, Jean-Christophe Jacquemard, Renaud Jacques, Patrick Jacquet, Olivier Jacquot, Pierre Jakubowski, Christophe Jambou, Philippe Jaouen, Wilfried Jaries, Didier Jarrassier, Jean-Philippe Jaume, Sébastien Jbouha, Isam Jean, Pascal Jeandel, Sébastien Joannier, Alexandre Joly, Sylvain Josse, Grégory Jouanolle, Didier Jouniaux, Laurent Jouy, Nicolas Juin, Géraldine Jullien, Ludovic Julsonnet, Marc Kaczor, Patrice Kafanke, Alexandra Kapp, Sandrine Kaufmann, Laurent Keck, Gilles Kerautret, Julien Kerbiquet, Arnaud Kermarec, Raymond Konieczny, Hervé Kopacz, Thierry Kormann, Rémi Kosniewski, Nicolas Koutchouk, Abdelhamid Krantz, Jean-Claude Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : 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de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : 8088024 5323861 5269773 8048635 5278455 5150445 8077222 8028249 5294758 6644345 8015925 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Jérôme Le Crouhennec, Philippe Le Dréau, Christophe Le Faou, Thierry Le Faucheur, Johann Le Gall, François-René Le Gentil, Laurent Le Gleuher, Sylvère Le Guillou, Nicolas Le Hen, Thierry Le Houerou, Eric Le Lay, Éric Le Manchec, Jacques Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : 156604 140984 173941 110994 157428 303382 110423 151097 187155 169692 95007 112327 240109 135995 160781 168452 195750 215519 159498 240043 84642 143891 167335 306983 215921 150483 303096 208844 164536 238772 114803 145687 194297 227245 213834 111846 197275 140723 158200 190941 164796 208817 182549 139867 109568 128207 139621 Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : 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Lefauconnier, Philippe Legrand, Christophe Legrand, Éric Legroux, Germain Lejault, Philippe Leleu, Gilles Leloup, Olivier Lemarquis, Damien Lemay, Lionel Lercier, Virginie Lesle, Frédéric Leneutre, Bruno Leprovost, Christopher Leroux, Antoine Lesne, Bernard Lestrade, Vincent Levoyer, Thierry Liétard, Jean-François Lionnet, Maud Litaize, Fabrice Locatelli, Emmanuel Loir, Ludovic Loirat, Sylvie Loison, Christophe Lopez, Fernando Lorinquer, Thierry Lorre, Joël Lostetter, Éric Louchouarn, Erwan Louvet, Bruno Lozac’H, Michel Luboinski, Lionel Lugnot, Anne-sophie Lumineau, François Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : 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5126484 8107265 8111033 8006152 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 203 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Lupfer, Fabien Lutton, Dominique Luzi, Patrick Macaigne, Julien Maccio, Éric Macé, Bruno Macioszek, Joël Mademann, Cédric Mahérault, Justine Maheut, Damien Mahoudeaux, Alain Maïbeche, Chérif Maintenay, Bruno Maisonneuve, Xavier Majet, Damien Malard, Jean-Luc Malesys, Sébastien Maloubier, Alain Malric, Thierry Manceau, Julien Mangin-Mange, Anthony Manier, Pascal Maniez, Pascal Manin, Frédéric Marc, Frédéric Marchais, Julian Marestin, Philippe Marette, Christian Mariaud, Denis Marie, Olivier Mariette, Stéphane Marin, Xavier Marmeys, Richard Marque Sans, Thierry Marsail, Mathieu Martin, Jennifer Martin, Pascal Martin, Xavier Martinez, Gilles Martot, Virginie Marty, Eddie Marzi, Jean-Paul Mas, Pascal Masbou, Lionel Massa, Alexandre Massiot, Hervé Matrat, Anthony Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend 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Monguillon, Dominique Montardy, Romuald Montay, Patrick Monteil, Jean-Louis Monteleone, Mickael Montier, Éric Morales, Nicolas Morch, Michaël Moreau, Bertrand Moreau, Pierre Moreaux, Bruno Morel, Matthieu Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : 118171 168344 110882 154239 105188 301199 234589 204085 164791 159987 217670 187453 239137 208662 252201 305032 223323 144980 241137 307462 193536 133235 212529 139029 166782 124299 99718 212679 227448 225640 119770 168225 248490 231974 154240 170860 128819 110524 154601 246084 154877 303155 175588 149199 145233 147755 230595 Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde 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Neyer, Xavier Nicolas, Alain Nicole, Lionel Nicolle, Thomas Niderleidner, Florian Nizan, Pascal Noailles, Ivan Normand, François Nunes, Frédéric Odiot, Christophe Olivier, Thierry Olivo, Bruno Ollivier, Romain Ooghe, Fabien Orset, Christophe Ortega, Dimitri Oswald, Renaud Ousset, Michaël Pacaud, Philippe Pagé, Laurent Paglia, Gilles Pagnoux, Patrick Palmeri, Vincent Panisset, Nicolas Pannier, Gaël Paradis, Gilles Pardo, Dominique Paris, Jean-Marc Parrain, Laurent Pasquereau, Christophe Passelande, Alain Passier, Emilie Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : 134694 212239 235170 109112 120005 209520 234609 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2012/5 – Page 206 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Pattyn, Nicolas Pauchet, Julien Paulinski, Laurent Paulus, Hervé Pauty, Louis Pavlovic, Sasa Pawlik, Rodolphe Payrar, Marc Pédron, Christian Pele, Christophe Pelletier, Éric Pelletier-Caton, François Pelouze, Joël Pepin, Yoann Perdriel, Marc Perdu, Franck Perrin, Jérôme Perrin, Laurent Perrin, Yannick Perruche, Christophe Peset, Patrick Pestel, Bernard Pété, Rémi Petillot, André Petit, Sébastien Petit-Pierre, Yann Petresco, Michaël Petry, Hervé Pezza, Olivier Picard, Éloïse Pichard, Jérôme Pichon, Jean-Luc Picot, Emilie Picq, Lilian Pidoux, Alain Pierre, Laurent Pilard, Philippe Piljean, Ludovic Piton, François-Xavier Pizzi, Christophe Place, Alain Plat, Jean-Michel Plesel, Bruno Plisson, Anthony Pohu, Ludovic Poirier, Gwenaëlle Poirier-Coutansais, Bruno Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : 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Constant Reffo, Olivier Reijasse, Sébastien Reiland, Jean-Philippe Renard, Mickaël Renault, Alain Rességuier, Éric Rey, Alfredo Reynaert, Jean-Louis Richard, Fabien Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : 178149 178373 100483 138585 142615 229334 173347 311261 168001 240034 164644 169218 301481 40605 245741 139032 123181 156503 168794 245522 176047 151698 176179 138856 120502 150681 173350 129264 107783 314461 210924 195378 182362 140027 135364 190217 147640 134433 70082 149457 133251 198579 127645 135071 148396 99734 159087 Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : 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Rolland, Yves-Marie Ronecker, Sophie Ropital, Rudy Rosa, Pierre-Antoine Rosello, Sébastien Rosier, Melody Rosoli, Christophe Rossier, Laurent Rotat, Philippe Rouet, Christophe Rougegré, Sébastien Rousseau, François Rousseau, Hugues Royo, Christophe Ruffo, Emmanuel Saint Leger, Antoine Saint-Cyr, Cédric Salard, Laurent Salata, David Sallé, Camille Salvador, Benjamin Samson, Jean-Michel Samson, Nancy Sanner, Dominique Sannier, Michel Sarfati, Benoît Sarraille, Jean-Philippe Sautereau, Michel Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : 233520 138677 232399 148129 95679 131847 171635 184571 162680 225564 164349 146168 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DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Sauvage, Jean-Baptiste Schlaflang, Thierry Schmitt, Pierre Schwartz, David Scotte, Thomas Sebah, Philippe Séghir, Kévin Sergent, Cédric Sergent, Jean-Yves Sergent, Michael Seys, Fabien Siguier, Jean-Christian Silvestre, Christophe Simon, Fabien Sirieix, Laurent Skoczylas, Frédéric Smitter, Alain Soffner, Franz Soirat, Gilles Sollier, Stéphane Sorin, Christophe Soton, Philippe Souchon, Frédéric Soulet, Jérôme Spalart, Pierre Spiegel, Georges Steinmetz, Philippe Stephan, Stéphane Stordair, Cédric Strzelczyk, Patrick Szarazi, Alexandre Taffin, Michel Tallet, Christian Tanjon, Christophe Tastard, Jean-Philippe Tauzin, Xavier Techer, Michael Terrier, François Thizy, Laurent Thomas, Elysé Thomas, Sébastien Thomine, Cyrille Thomy, Philippe Thuillier, Nicolas Tiboni, Nicolas Tillmann, Cédric Tinarelli, Thomas Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend 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de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : 8063221 5296183 8067723 8089119 8069799 5272552 8114765 8079742 8013187 8004089 5157017 5295885 8086348 8088284 8016479 5172876 5150311 8022794 8019886 6003186 5282996 5322290 8048069 8013292 5279691 8020090 8079106 8007689 8020588 5108283 8035701 8011788 9610488 8091705 8019392 8038496 8080241 5294892 8027384 8044258 6572860 8022492 6024933 5305097 8065697 8053397 8097037 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 210 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Tissier, Jean-Paul Tobelem, Matthieu Todisco, Florence Tolikoli, Xavier Tomczyk, Christophe Tosello, Valérie Totain, Pierre-Olivier Tottoli, Rémy Touchais, Frantz Tourat, Jean-Michel Touron, Patrick Touze, Pascal Traber, Daniel Tranchefort, Sébastien Treguier, Laure Treville, Jean Tripier, Denis Trives, Stéphane Trœsch, Guillaume Trouchaud, Pierrick Troussier, Romuald Tudela-Girau, Jérôme Tuppi, Julien Turpin, Dominique Vagnier, Rémi Valade, Bertrand Valette, Kevin Valynseele, Jean-François Van Blitz, Grégory Vanario, Wilfried Vandoit, Bruno Vaquette, William Varetz, Christophe Vary, Emmanuel Vasselon, Frédéric Vassenet, Jérôme Vasseur, Pascal Vennet, Serge Venturi, Bertrand Verdeil, Alexandre Vergine, Pierre Vernier, Philippe Viaud, Jérôme Vieille, Mickaël Vienne, Cédric Villaséque, Jérôme Villeron, Olivier Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : 104165 168372 208731 313858 139915 162265 239156 210412 157486 118831 147130 169594 132088 171484 306876 95204 123468 191120 198834 153391 124939 221044 238466 157488 154459 166845 301925 167280 231382 172099 153277 137254 141039 149351 160700 233299 125453 104980 323022 240081 147663 135922 186321 326714 316744 160393 173363 Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde 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Woillard, Thierry Wolski, Jean-Christophe Worthmann, Bruno Wuillaume, Julien Wujciak, Hervé Yœsle, Jean-Philippe Youm, Issa Yvrard, Yoann Zanieri, Alexandre Zerguine, Gaël Zymek, Christophe Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : Nigend : 157995 151977 151978 147411 87517 155137 159699 101140 164787 181708 216522 160703 232294 175328 209716 206353 120638 221420 121988 232177 133950 199650 244717 313380 90338 242515 169830 Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret livret de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : solde : 8018996 8009796 8009996 8005097 5105984 8012498 8016899 5111691 8021298 8036737 8064356 6013014 8085502 8033330 8062176 8060246 5242199 8083712 5242996 8085582 5294796 8047121 8097307 8109000 5101300 8095713 6013019 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 212 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ égion de gendarmerie d’Île-de-France R et gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris _____ Décision no 50302 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie d’Île-de-France NOR : IOCJ1204695S Le commandant de la région de gendarmerie d’Île-de-France et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 180677 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128625S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 : Hervé, Antoine Nigend : 158 937 Numéro de livret de solde : 8 016 243 Hornois, Robert Nigend : 134 903 Numéro de livret de solde : 5 312 036 Serot, Patrick Nigend : 144 220 Numéro de livret de solde : 8 002 992 Mattei, Jean-Christophe Nigend : 150 572 Numéro de livret de solde : 8 008 375 Boucher, Stéphane Nigend : 151 741 Numéro de livret de solde : 8 009 813 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Cuvelé, Cyril Nigend : 154 037 Numéro de livret de solde : 8 011 830 Batard, Emmanuel Nigend : 153 916 Numéro de livret de solde : 8 011 706 Baudin, Jean-Marc Nigend : 140 351 Numéro de livret de solde : 5 281 707 Brebion, Christophe Nigend : 149 751 Numéro de livret de solde : 8 007 420 Jalicot, Christophe Nigend : 165 226 Numéro de livret de solde : 8 021 844 Curtil, Céline Nigend : 158 536 Numéro de livret de solde : 8 015 917 Pouillade-Magique, Céline Nigend : 175 638 Numéro de livret de solde : 8 028 586 Rault, Sylvain Nigend : 186 122 Numéro de livret de solde : 8 038 174 Valcarce, Emmanuel Nigend : 168 023 Numéro de livret de solde : 8 024 195 Renart, Pierre Nigend : 117 177 Numéro de livret de solde : 5 220 003 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Cartabbi, Thierry Nigend : 174 198 Numéro de livret de solde : 8 027 912 Goussard, Jérôme Nigend : 197 242 Numéro de livret de solde : 8 048 410 Chantreuil, Mélanie Nigend : 201 296 Numéro de livret de solde : 8 057 212 Heno, Michael Nigend : 198 498 Numéro de livret de solde : 8 053 573 Couret, Philippe Nigend : 103 562 Numéro de livret de solde : 5 125 650 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 213 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Beausergent, Laurent Briard, Jérôme Delautel, Xavier Alexandre, Stéphane Michel, Joeffray Fronton, Pascal Dubois, Jessica Calmettes, Christophe Nigend : 167 500 Nigend : 166 939 Nigend : 185 228 Nigend : 161 450 Nigend : 211 395 Nigend : 173 432 Nigend : 203 616 Nigend : 195 645 Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro de de de de de de de de livret livret livret livret livret livret livret livret de de de de de de de de solde : 8 023 305 solde : 8 023 111 solde : 8 035 363 solde : 8 018 500 solde : 8 063 445 solde : 8 034 761 solde : 8 059 051 solde : 8 048 194 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Yagouni, Florence Nigend : 206 577 Numéro de livret de solde : 8 060 248 Chane-Koune, Audrey Nigend : 209 850 Numéro de livret de solde : 8 065 270 Martin, José Nigend : 169 983 Numéro de livret de solde : 8 025 458 Pochelu, Ramuntxo Nigend : 171 715 Numéro de livret de solde : 8 032 032 Vallienne, Pierre Nigend : 153 503 Numéro de livret de solde : 8 011 497 Dumont, Benjamin Nigend : 194 359 Numéro de livret de solde : 8 047 831 Verriere, Laurent Nigend : 172 101 Numéro de livret de solde : 8 027 391 Pilatre, Laurent Nigend : 172 206 Numéro de livret de solde : 8 027 281 Fait le 10 mai 2012. Le général de corps d’armée, commandant la région de gendarmerie d’Île-de-France et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris, Denis Favier 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 214 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie d’Île-de-France et gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris _____ Décision no 50386 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris NOR : IOCJ1204696S Le commandant de la région de gendarmerie d’Île-de-France et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 180680 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128628S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 : Lameth, René Nigend : 127 188 Numéro de livret de solde : 5 280 143 Guillemaud, Christophe Nigend : 143 203 Numéro de livret de solde : 8 002 572 Garcia, Philippe Nigend : 152 841 Numéro de livret de solde : 5 273 660 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Helvin, Christophe Nigend : 111 723 Numéro de livret de solde : 5 186 769 Danielczak, Alain Nigend : 113 958 Numéro de livret de solde : 5 191 629 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Guillemot De Liniers, Guillaume Nigend : 178 685 Numéro de livret de solde : 8 037 088 Cols Boada, Pierre Nigend : 190 587 Numéro de livret de solde : 8 038 928 Fabre, Éric Nigend : 184 705 Numéro de livret de solde : 8 034 229 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Loferne, Armel Nigend : 217 605 Numéro de livret de solde : 8 064 565 Lemesle, Frédéric Nigend : 193 998 Numéro de livret de solde : 8 053 908 Gil, Yohan Nigend : 234 686 Numéro de livret de solde : 8 086 522 Poiraudeau, Mathieu Nigend : 211 105 Numéro de livret de solde : 8 066 081 Fait le 10 mai 2012. Le général de corps d’armée, commandant la région de gendarmerie d’Île-de-France et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris, Denis Favier 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 215 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie d’Auvergne _____ Décision no 13041 du 11 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie d’Auvergne NOR : IOCJ1204713S Le commandant de la région de gendarmerie d’Auvergne, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 33489 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128652S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 : Diot, Stéphane Nigend : 136 871 Numéro de livret de solde : 5 322 727 Laborie, Joël Nigend : 113 103 Numéro de livret de solde : 5 189 345 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Blanc, David Nigend : 176 335 Numéro de livret de solde : 8 028 708 Heudron, Vincent Nigend : 168 316 Numéro de livret de solde : 8 023 752 Landais, Xavier Nigend : 168 452 Numéro de livret de solde : 8 024 266 Dias-Caetano, Thierry Nigend : 131 242 Numéro de livret de solde : 5 294 028 Eymere, Philippe Nigend : 134 249 Numéro de livret de solde : 5 310 768 Vaillant, Éric Nigend : 144 068 Numéro de livret de solde : 8 002 984 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Estoup, Patrice Nigend : 165 550 Numéro de livret de solde : 8 022 132 Gallego, Johann Nigend : 168 439 Numéro de livret de solde : 8 024 252 Porte, Virginie Nigend : 165 792 Numéro de livret de solde : 8 027 072 Gilles, Nicolas Nigend : 153 567 Numéro de livret de solde : 8 011 140 Noziere, Cécile Nigend : 193 898 Numéro de livret de solde : 8 047 681 Chaussenot, Dominique Nigend : 217 939 Numéro de livret de solde : 8 064 766 Brugoux, Patrick Nigend : 125 078 Numéro de livret de solde : 5 279 618 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 216 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Fayolle, Patrick Nigend : 208 794 Numéro de livret de solde : 8 062 407 Gardès, Lionel Nigend : 155 293 Numéro de livret de solde : 8 012 837 Cremont, Sébastien Nigend : 171 039 Numéro de livret de solde : 8 026 627 Fait le 11 mai 2012. Le colonel, commandant la région de gendarmerie d’Auvergne, Éric-Pierre Molowa 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 217 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie d’Alsace _____ Décision no 9855 du 14 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie d’Alsace NOR : IOCJ1204721S Le commandant de la région de gendarmerie d’Alsace, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 25661 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128660S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 : Tonietto, Jean-Luc Nigend : 123 918 Numéro de livret de solde : 5 243 637 Burger, Marc Nigend : 126 795 Numéro de livret de solde : 5 279 317 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Mazelin, Thierry Nigend : 143 511 Numéro de livret de solde : 5 272 532 Beck, Christophe Nigend : 148 423 Numéro de livret de solde : 8 006 804 Raymond, Pascal Nigend : 120 869 Numéro de livret de solde : 5 221 167 Isinger, Fabien Nigend : 139 605 Numéro de livret de solde : 8 000 233 Maestri, Gilles Nigend : 149 563 Numéro de livret de solde : 8 007 367 Lamare, Michel Nigend : 158 672 Numéro de livret de solde : 8 015 944 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Vogt, David Nigend : 193 662 Numéro de livret de solde : 8 047 608 Biache, Pascal Nigend : 158 518 Numéro de livret de solde : 8 015 809 Politano, Michel Nigend : 183 289 Numéro de livret de solde : 8 033 975 Siat, Frédéric Nigend : 188 071 Numéro de livret de solde : 8 038 466 Bajada, Grégory Nigend : 162 982 Numéro de livret de solde : 8 019 804 Lodwitz, Benoît Nigend : 138 155 Numéro de livret de solde : 5 281 942 Niderlender, Pascal Nigend : 170 379 Numéro de livret de solde : 8 025 769 Engelmann, François Nigend : 155 433 Numéro de livret de solde : 8 013 121 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 218 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Giorgetti, Chris Nigend : 232 245 Numéro de livret de solde : 8 085 459 Hauck, Jessica Nigend : 233 198 Numéro de livret de solde : 8 085 831 Thiry, Pierre-Alain Nigend : 183 697 Numéro de livret de solde : 8 030 936 Fait le 14 mai 2012. Le colonel, commandant la région de gendarmerie d’Alsace, Jean-Thierry Daumont 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 219 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Nord - Pas-de-Calais et gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord _____ Décision no 23411 du 14 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Nord - Pas-de-Calais NOR : IOCJ1204726S Le commandant de la région de gendarmerie de Nord - Pas-de-Calais et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 65387 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128664S), Décide : Article 1er L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juin 2012 : Gournay, Éric Nigend : 113 398 Numéro de livret de solde : 5 205 884 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Pouplard, Jérôme Nigend : 158 336 Numéro de livret de solde : 8 015 779 Bonnesoeur, Laurent Nigend : 153 924 Numéro de livret de solde : 8 011 714 Frappart, Laurent Nigend : 165 554 Numéro de livret de solde : 8 022 135 Gengembre, Christophe Nigend : 145 190 Numéro de livret de solde : 8 003 930 Bienaimé, Jean-Claude Nigend : 127 021 Numéro de livret de solde : 5 280 615 Fontaine, Christophe Nigend : 161 852 Numéro de livret de solde : 8 018 828 Copin, Philippe Nigend : 153 937 Numéro de livret de solde : 8 011 727 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Leonard, Thomas Nigend : 192 951 Numéro de livret de solde : 8 047 281 Grimonprez, Nicolas Nigend : 188 499 Numéro de livret de solde : 8 045 492 Routier, Maxence Nigend : 187 244 Numéro de livret de solde : 8 038 374 Nivelet, Nicolas Nigend : 190 807 Numéro de livret de solde : 8 043 656 Dufour, Thierry Nigend : 168 069 Numéro de livret de solde : 8 023 937 Matha, Alexandre Nigend : 188 610 Numéro de livret de solde : 8 038 759 Santy, Grégory Nigend : 138 977 Numéro de livret de solde : 5 323 391 Joachim, Yannick Nigend : 161 134 Numéro de livret de solde : 8 018 248 Boucard, Sylvie Nigend : 135 203 Numéro de livret de solde : 5 312 227 Philippot, Benjamin Nigend : 188 724 Numéro de livret de solde : 8 038 769 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 220 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Caron, Maïté Nigend : 239 097 Numéro de livret de solde : 8 087 335 Rousseau, David Nigend : 238 575 Numéro de livret de solde : 8 087 023 Normand, Hélène Nigend : 237 780 Numéro de livret de solde : 8 086 970 Fait le 14 mai 2012. Le général de division, commandant la région de gendarmerie de Nord - Pas-de-Calais et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord, Patrick Lunet 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 221 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Nord - Pas-de-Calais et gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord _____ Décision no 23413 du 14 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord NOR : IOCJ1204728S Le commandant de la région de gendarmerie de Nord - Pas-de-Calais et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 65388 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128665S), Décide : Article 1er L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juin 2012 : Roger, Hervé Nigend : 138 595 Numéro de livret de solde : 5 324 888 Article 2 L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Le Malicot, Christian Nigend : 126 308 Numéro de livret de solde : 5 279 245 Article 3 Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Hugot, Lionel Nigend : 188 209 Numéro de livret de solde : 8 038 647 Article 4 Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Nempont, Nicolas Nigend : 225 000 Numéro de livret de solde : 8 084 084 Fait le 14 mai 2012. Le général de division, commandant la région de gendarmerie de Nord -Pas-de-Calais et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord, Patrick Lunet 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 222 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie d’Aquitaine et gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest _____ Décision no 45903 du 14 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie d’Aquitaine NOR : IOCJ1204700S Le commandant de la région de gendarmerie d’Aquitaine et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 139204 du 15 décembre 2011 (NOR : IOCJ1133948S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 : Reclus, Alain Nigend : 107 202 Numéro de livret de solde : 5 172 781 Salmon, Thierry Nigend : 117 709 Numéro de livret de solde : 5 241 877 Flament, Christian Nigend : 125 608 Numéro de livret de solde : 5 244 431 Curvalle, Thierry Nigend : 132 537 Numéro de livret de solde : 5 294 622 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Michelet, Sylvain Nigend : 137 992 Numéro de livret de solde : 5 322 169 Rousselle, Michel Nigend : 134 852 Numéro de livret de solde : 5 311 085 Morgnieux, Thierry Nigend : 152 124 Numéro de livret de solde : 8 010 072 Perromat, Serge Nigend : 108 389 Numéro de livret de solde : 5 173 933 Palacio, Patrick Nigend : 105 078 Numéro de livret de solde : 5 127 074 Lanoire, Dominique Nigend : 145 073 Numéro de livret de solde : 5 187 179 Walas, Pascal Nigend : 148 988 Numéro de livret de solde : 8 006 699 Truquez, Christophe Nigend : 165 130 Numéro de livret de solde : 8 021 690 Mercier, Laurent Nigend : 159 071 Numéro de livret de solde : 8 016 371 Raynal, Philippe Nigend : 148 768 Numéro de livret de solde : 8 006 575 Guipet, Daniel Nigend : 132 401 Numéro de livret de solde : 5 295 552 Grégoire, Stéphane Nigend : 149 167 Numéro de livret de solde : 8 006 736 Vigneron, Pascal Nigend : 122 806 Numéro de livret de solde : 5 243 899 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Batailley, Thierry Nigend : 151 732 Numéro de livret de solde : 8 009 803 Gravot, Samuel Nigend : 187 189 Numéro de livret de solde : 8 038 333 Descharmes, Angélique Nigend : 174 645 Numéro de livret de solde : 8 028 230 Riviere, Stéphane Nigend : 171 582 Numéro de livret de solde : 8 032 035 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 223 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Pasquet-Berdot, Clément Labory, Pascal Spatarakis, Thierry Maucoronel, Nicolas Maguis, Laurent Sauvage, Ludovic Boughir, Philippe Masbou, Sébastien Nigend : 213 530 Nigend : 117 296 Nigend : 101 480 Nigend : 174 152 Nigend : 131 051 Nigend : 174 589 Nigend : 193 064 Nigend : 217 476 Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro Numéro de de de de de de de de livret livret livret livret livret livret livret livret de de de de de de de de solde : 8 063 818 solde : 5 219 157 solde : 5 125 370 solde : 8 034 822 solde : 5 283 260 solde : 8 028 088 solde : 8 047 332 solde : 8 064 448 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Lespielle, Davy Nigend : 195 513 Numéro de livret de solde : 8 048 037 Petit, Manuel Nigend : 164 865 Numéro de livret de solde : 8 021 484 D’Andrade Da Silva, Nigend : 159 467 Numéro de livret de solde : 8 016 728 Manuel-Carlos Sabatey, Éric Nigend : 211 323 Numéro de livret de solde : 8 063 219 Fait le 14 mai 2012. Le général de division, commandant la région de gendarmerie d’Aquitaine et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest, Bruno Carmichael 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 224 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Bourgogne _____ Décision no 16780 du 15 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Bourgogne NOR : IOCJ1204724S Le commandant de la région de gendarmerie de Bourgogne, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 447/4 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128662S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 : Guillaumot, Thierry Nigend : 132 953 Numéro de livret de solde : 5 295 830 Gérard, Christophe Nigend : 155 294 Numéro de livret de solde : 8 012 738 Oreillard, Emmanuel Nigend : 149 573 Numéro de livret de solde : 8 007 372 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Jacquey, Gilles Nigend : 164 475 Numéro de livret de solde : Lagoutte, Pierre Nigend : 181 404 Numéro de livret de solde : Dardaine, Laurent Nigend : 161 837 Numéro de livret de solde : Henriot, Jean-Marie Nigend : 154 291 Numéro de livret de solde : Rodier, Christophe Nigend : 142 372 Numéro de livret de solde : Bertin, Philippe Nigend : 114 958 Numéro de livret de solde : Tourbier, David Nigend : 161 921 Numéro de livret de solde : De Lamper, Emmanuel Nigend : 155 273 Numéro de livret de solde : Barbosa Da Silva, Serge Nigend : 157 676 Numéro de livret de solde : Durcaze, Alain Nigend : 140 848 Numéro de livret de solde : Clement, Pascal Nigend : 123 721 Numéro de livret de solde : 8 020 948 8 030 147 8 018 815 8 012 140 5 281 984 5 218 505 8 018 892 8 012 728 8 015 105 8 001 029 5 270 040 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Michot, Geoffrey Nigend : 219 210 Numéro de livret de solde : 8 071 817 Chillon, Hervé Nigend : 175 274 Numéro de livret de solde : 8 033 422 Audeau, Stéphane Nigend : 200 841 Numéro de livret de solde : 8 044 057 Motteau, Rémy Nigend : 212 239 Numéro de livret de solde : 6 565 225 Pacaud, Delphine Nigend : 179 377 Numéro de livret de solde : 8 029 578 Boudias, Gilles Nigend : 175 869 Numéro de livret de solde : 8 033 624 Jarno, Olivier Nigend : 169 687 Numéro de livret de solde : 8 025 235 Bettle, Paul-Émile Nigend : 179 234 Numéro de livret de solde : 8 037 830 Platarets, Jonathan Nigend : 203 676 Numéro de livret de solde : 8 059 076 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 225 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Chanliau, Stéfan Faure, Olivier Nigend : 175 440 Nigend : 168 735 Numéro de livret de solde : 8 028 414 Numéro de livret de solde : 8 024 534 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Langilier, Katty Nigend : 194 211 Numéro de livret de solde : 8 053 840 Tourteau, Sylvain Nigend : 208 561 Numéro de livret de solde : 8 062 587 Héraud, Jean-Luc Nigend : 128 419 Numéro de livret de solde : 5 280 346 Fait le 15 mai 2012. Le colonel, commandant la région de gendarmerie de Bourgogne, Jean-Luc Favier 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 226 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Bourgogne _____ Décision no 16785 du 15 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Bourgogne NOR : IOCJ1223241S Le commandant de la région de gendarmerie de Bourgogne, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 447/4 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128662S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er mai 2012 : Portrat, Dominique Nigend : 146 283 Numéro de livret de solde : 8 004 575 Leuzy, Dominique Nigend : 140 435 Numéro de livret de solde : 5 281 749 Calandras, Thierry Nigend : 115 094 Numéro de livret de solde : 5 190 227 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2012 : Vanoost, Bruno Nigend : 153 753 Numéro de livret de solde : 8 011 692 Miché, Robert Nigend : 126 205 Numéro de livret de solde : 5 279 013 Menigoz, Alexandra Nigend : 151 182 Numéro de livret de solde : 8 014 476 Gabriot, Christophe Nigend : 158 039 Numéro de livret de solde : 8 015 243 Vincent, Jean-Yves Nigend : 156 672 Numéro de livret de solde : 8 014 195 Fernandes-Pedreiro, Christophe Nigend : 160 884 Numéro de livret de solde : 5 298 122 Constantin-David, Jean-Pierre Nigend : 108 367 Numéro de livret de solde : 5 150 984 Tondeur, François Nigend : 113 904 Numéro de livret de solde : 5 187 160 Payot, Sandrine Nigend : 138 726 Numéro de livret de solde : 5 324 677 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2012 : Rama, Philippe Nigend : 165 609 Numéro de livret de solde : 8 022 188 Fortrie, René Nigend : 116 797 Numéro de livret de solde : 5 218 146 Citerne, André Nigend : 176 349 Numéro de livret de solde : 8 028 723 Rozen, Sébastien Nigend : 168 246 Numéro de livret de solde : 8 023 886 Gouhier, Jérôme Nigend : 194 566 Numéro de livret de solde : 8 049 601 Ceneda, Sébastien Nigend : 207 039 Numéro de livret de solde : 8 062 314 Roche, Patrice Nigend : 188 278 Numéro de livret de solde : 8 038 686 Rinaldis, Frédéric Nigend : 165 260 Numéro de livret de solde : 8 021 880 Leborgne, Marc Nigend : 144 447 Numéro de livret de solde : 8 003 573 Roy, Bertrand Nigend : 180 870 Numéro de livret de solde : 8 033 564 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 227 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2012 : Leisen, Julien Nigend : 225 625 Numéro de livret de solde : 8 084 208 Perderiset, Julien Nigend : 220 258 Numéro de livret de solde : 8 083 414 Jossec, Julien Nigend : 233 307 Numéro de livret de solde : 8 085 896 Article 5 La présente décision annule la décision no 12395 du 6 avril 2012 (NOR : IOCJ1204653S). Fait le 15 mai 2012. Le colonel, commandant la région de gendarmerie de Bourgogne, Jean-Luc Favier 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 228 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Direction générale de la gendarmerie nationale _____ Décision no 45343 du 17 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « montagne » NOR : INTJ1223481S Le sous-directeur de la gestion du personnel, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 4 août 2010 modifié, relatif à la répartition des sous-officiers de gendarmerie par subdivision d’arme, par branche ou par spécialité et fixant les branches et spécialités au sein desquelles l’avancement intervient de façon distincte ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 118796 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1131576S), Décide : Article 1er L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juin 2012 : Le Nevé, Guy Nigend : 154 762 Numéro de livret de solde : 8 012 348 Article 2 L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juin 201 2 : Binet, Frédéric Nigend : 165 525 Numéro de livret de solde : 8 022 107 Article 3 Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Lopez, Maximo Nigend : 141 657 Numéro de livret de solde : 8 001 356 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Poirot, Christophe Nigend : 220 967 Numéro de livret de solde : 8 073 126 Romain, Gilles Nigend : 142 247 Numéro de livret de solde : 8 001 693 Fait le 17 mai 2012. Le général, sous-directeur de la gestion du personnel, Thibault Morterol 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 229 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Direction générale de la gendarmerie nationale _____ Décision no 45427 du 17 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « systèmes d’information et de communication » NOR : INTJ1223483S Le sous-directeur de la gestion du personnel, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 4 août 2010 modifié, relatif à la répartition des sous-officiers de gendarmerie par subdivision d’arme, par branche ou par spécialité et fixant les branches et spécialités au sein desquelles l’avancement intervient de façon distincte ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 118750 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1131572S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 : Mougin, André Nigend : 116 411 Numéro de livret de solde : 5 219 064 Prospero, Jean-Michel Nigend : 127 529 Numéro de livret de solde : 5 280 882 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Marie, Wilfried Nigend : 133 227 Numéro de livret de solde : 5 295 266 Gil, Carlos Nigend : 165 060 Numéro de livret de solde : 8 021 746 Archimbaud, Didier Nigend : 131 736 Numéro de livret de solde : 5 282 202 Macé, Jean-Michel Nigend : 149 066 Numéro de livret de solde : 8 006 947 Boillet, Pascal Nigend : 131 510 Numéro de livret de solde : 5 271 429 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Nolot, Jean-Baptiste Nigend : 181 674 Numéro de livret de solde : 8 033 541 Lecuyer, Michael Nigend : 181 368 Numéro de livret de solde : 8 030 153 Leroy, Sébastien Nigend : 174 556 Numéro de livret de solde : 8 028 158 Fayolle, Michel Nigend : 140 852 Numéro de livret de solde : 8 001 031 Article 4 Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Adrian, Olivier Nigend : 198 157 Numéro de livret de solde : 8 056 012 Fait le 17 mai 2012. Le général, sous-directeur de la gestion du personnel, Thibault Morterol 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 230 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Direction générale de la gendarmerie _____ Décision no 46690 du 17 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « aéronautique – mécaniciens cellules et moteurs » NOR : INTJ1223413S Le sous-directeur de la gestion du personnel, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 4 août 2010 modifié, relatif à la répartition des sous-officiers de gendarmerie par subdivision d’arme, par branche ou par spécialité et fixant les branches et spécialités au sein desquelles l’avancement intervient de façon distincte ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 118799 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1131578S), Décide : Article 1er L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Ganiou, Jean-Paul Nigend : 157 727 Numéro de livret de solde : 5 304 135 Article 2 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Houillons, Hervé Nigend : 232 254 Numéro de livret de solde : 6 574 332 Lambert, Gérald Nigend : 143 493 Numéro de livret de solde : 5 226 542 Article 3 Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Hamaide, Thibaut Nigend : 239 213 Numéro de livret de solde : 8 087 296 Fait le 17 mai 2012. Le général, sous-directeur de la gestion du personnel, Thibault Morterol 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 231 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Direction générale de la gendarmerie nationale _____ Décision no 46695 du 17 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « aéronautique – mécaniciens avionique » NOR : INTJ1223424S Le sous-directeur de la gestion du personnel, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 4 août 2010 modifié, relatif à la répartition des sous-officiers de gendarmerie par subdivision d’arme, par branche ou par spécialité et fixant les branches et spécialités au sein desquelles l’avancement intervient de façon distincte ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 118801 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1131580S), Décide : Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Vialle, Stéphane Nigend : 217 926 Numéro de livret de solde : 6 551 315 Fait le 17 mai 2012. Le général, sous-directeur de la gestion du personnel, Thibault Morterol 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 232 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Direction générale de la gendarmerie nationale _____ Décision no 46697 du 17 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « aéronautique – pilotes » NOR : INTJ1223358S Le sous-directeur de la gestion du personnel, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 4 août 2010 modifié, relatif à la répartition des sous-officiers de gendarmerie par subdivision d’arme, par branche ou par spécialité et fixant les branches et spécialités au sein desquelles l’avancement intervient de façon distincte ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 118797 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1131577S), Décide : Article 1er L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juin 2012 : Dubrulle, Jean-Hubert Nigend : 139 208 Numéro de livret de solde : 5 211 618 Article 2 L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 : Lamarre, Patrick Nigend : 174 694 Numéro de livret de solde : 5 263 548 Article 3 Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juin 2012 : Dubois, Régis Nigend : 303 691 Numéro de livret de solde : 6 574 126 Article 4 Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 : Bolle, Bertrand Nigend : 309 905 Numéro de livret de solde : 6 611 647 Fait le 17 mai 2012. Le général, sous-directeur de la gestion du personnel, Thibault MORTEROL 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 233 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR _____ Direction générale de la gendarmerie nationale _____ Décision no 50270 du 30 mai 2012 portant nomination au grade d’aspirant NOR : INTJ1224442S Le sous-directeur de la gestion du personnel, Vu le code de la défense, article L. 4131‑1 ; Vu le décret no 2008-948 du 12 septembre 2008 relatif au grade d’aspirant ; Vu le décret no 2008-955 du 12 septembre 2008 relatif aux volontariats militaires ; Vu l’arrêté du 28 novembre 2008 fixant pour les volontaires dans les armées les titres et diplômes universitaires exigés pour l’admission à l’un des cycles de formation conduisant à la nomination au grade d’aspirant, Décide : Les volontaires des armées servant au titre de la gendarmerie nationale du stage 05/12 dont le nom suit sont nommés au grade d’aspirant à compter du 1er juin 2012 : Alary, Jessica, Marie Nigend : 342623 Barbier, John, Marcel, André Nigend : 342652 Bourgeois, Loic Nigend : 342656 Bouvot, Xavier, Eugène Nigend : 342660 Brisseau, Adrien, Gilles, Louis, Bernard Nigend : 342733 Bruyas, Véronique, Florence Nigend : 342665 Claudepierre, Alexandra, Gertrude, Thérèse Nigend : 342671 Collin, Guillaume Nigend : 342674 Desprez, Aurélie, Virginie, Christine Nigend : 342676 Gioudes, Anne-Sophie, Véronique, Audrey Nigend : 342682 Grangié, Élodie Nigend : 342687 Groussin, Adrien, Pierre, Valdeck Nigend : 342686 Lacroix, Aurélien, Pierre, Maurice Nigend : 342689 Landmann, Thomas, Benoit Nigend : 342690 Lauret, Johan Nigend : 342779 Le Roux, Maëva, Élodie Nigend : 318323 Oury, Franck, Charles, Frédéric Nigend : 342708 Patruno, Lorenzo, Tiziano Nigend : 342709 Phocion, Marie, Laetitia Nigend : 342739 Plouhinec, Jessica Nigend : 342713 Quinsac, Jerome, Antoine, Henri, Pierre Nigend : 342717 Vidal, Émilie, Isabelle, Bernadette, Sylvette Nigend : 342725 Pour le ministre et par délégation : Le colonel, adjoint au sous-directeur de la gestion du personnel, Olivier Gourtet 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 234 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Secrétariat général haut fonctionnaire de défense _____ Service du fonctionnaire de défense _____ Circulaire du 9 mai 2012 relative à la sécurisation du cycle de vie de la carte agent ministérielle NOR : IOCK1207281C Pièces jointes : – Glossaire ; – Imprimé de création, suppression et modification d’autorités d’AEL et ADR ; – Liste des visuels de la carte agent ministérielle ; – Document de référence technique de la puce sans contact RFID ; – Modèle de procès-verbal de destruction ; – Modèles d’organigramme fonctionnel type ; – Schémas des changements de situation d’agent. Le préfet, secrétaire général, haut fonctionnaire de défense, aux destinataires in fine. Dans le cadre du développement de l’administration électronique, le ministère de l’intérieur a décidé de doter l’ensemble de ses agents, administratifs et policiers, d’une carte professionnelle sécurisée. Cette carte d’identité professionnelle aura aussi pour usage l’identification et l’authentification de l’agent pour les accès aux applications informatiques ainsi que de permettre le contrôle des accès aux bâtiments et sites. Elle permettra, à terme, de signer électroniquement un courrier et de chiffrer la transmission d’un message. Elle inclut des possibilités d’utilisation particulière, par exemple en matière de paiement dans un restaurant administratif. La gouvernance de ce dispositif nécessite une organisation et une gestion rigoureuses. L’objectif de cette circulaire est de vous préciser les conditions de mise en œuvre de cette gouvernance et les responsabilités qui en découlent tout au long du cycle de vie de la carte agent. Michel Bart Destinataires Monsieur le directeur de cabinet du ministre de l’intérieur, à l’attention de : Monsieur le chef du bureau du cabinet du ministre chargé de l’outre-mer ; Monsieur le chef du bureau des cabinets ; Monsieur le préfet, secrétaire général, haut fonctionnaire de défense, à l’attention de : Monsieur le directeur de la modernisation et de l’action territoriale ; Monsieur le directeur des ressources humaines ; Monsieur le directeur de l’évaluation, de la performance et des affaires financières et immobilières ; Monsieur le directeur des systèmes d’information et de communication ; Monsieur le délégué à l’information et la communication ; Monsieur le chef du service de l’inspection générale de l’administration ; Monsieur le directeur général de la police nationale ; Monsieur le secrétaire général à l’immigration et à l’intégration ; Monsieur le directeur général des collectivités locales ; Monsieur le directeur général de la sécurité civile et de la gestion des crises ; Monsieur le directeur des libertés publiques et des affaires juridiques ; Monsieur le préfet de police, préfet de la zone de défense de Paris ; Monsieur le délégué général à l’outre-mer ; Mesdames et messieurs les préfets de zone de défense (métropole et DOM) ; 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 235 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Mesdames et messieurs les préfets délégués pour la sécurité et la défense ; Mesdames et messieurs les préfets de région (métropole, et DOM) ; Mesdames et messieurs les préfets de département (métropole et DOM). Pour information Monsieur le directeur général de la gendarmerie nationale. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 236 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR SOMMAIRE I. – LA CARTE AGENT MINISTÉRIELLE A. – Une carte professionnelle multiservices B. – Une carte professionnelle sécurisée inscrite dans un corpus réglementaire et normalisé C. – Les caractéristiques techniques de la carte agent D. – Les certificats électroniques E. – Les usages liés à la carte agent ministérielle II. – LES MODALITÉS D’ATTRIBUTION DE LA CARTE AGENT MINISTÉRIELLE A. – Les catégories d’agents concernés B. – Les sources d’information, de la carte agent DIALOGUE -ARPEGE, à consulter pour l’attribution C. – Les cartes agent délivrées a) Les types de carte agent b) Les différents visuels attachés à la carte agent III. – LA GOUVERNANCE GÉNÉRALE DU DISPOSITIF CARTE AGENT MINISTÉRIELLE A. – L’administration générale du système à l’échelon national B. – Les entités fonctionnelles a) Les autorités d’enregistrement (AEL) b) Les autorités de délivrance (ADR) c) Les dispositions communes aux autorités d’enregistrement et de délivrance C. – L’organisation de la gouvernance pour a) Les entités administratives responsables b) L’organigramme fonctionnel c) Le règlement d’application de l’entité chaque entité administrative IV. – LES 6 ÉTAPES DU CYCLE DE VIE DE LA CARTE AGENT MINISTÉRIELLE A. – La commande de carte agent ministérielle B. – L’acheminement C. – La délivrance de la carte agent ministérielle D. – Les procédures de renouvellement E. – Le retrait F. – La de la carte agent ministérielle de la carte agent ministérielle perte ou le vol de la carte agent ministérielle V. – LA GESTION DES AUTORISATIONS LIÉE AUX MOUVEMENTS DES AGENTS A. – La mobilité interne à une direction ou service B. – La mobilité entre directions ou services de l’administration centrale C. – Les mobilités entre administration centrale et déconcentrée VI. – LA CHAÎNE DE SOUTIEN UTILISATEURS 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 237 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXES Annexe I . – Glossaire Annexe II . – Imprimé de création, suppression et modification d’autorités d’AEL et ADR Annexe III . – Liste des visuels de la carte agent ministérielle Annexe IV . –Document de référence technique de la puce sans contact RFID Annexe V . –Modèle de procès-verbal de destruction Annexe VI . –Modèle d’organigramme fonctionnel type en administration centrale Annexe VII . – Modèle d’organigramme fonctionnel type en administration territoriale Annexe VIII . – Modèle d’organigramme fonctionnel type en direction de police (DDSP) Annexe IX . – Schéma de changement de situation sans renouvellement de carte agent Annexe X . – Schéma de changement de situation avec renouvellement de carte agent Annexe XI . – Schéma de changement de situation avec retrait de la carte agent 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 238 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR I. – LA CARTE AGENT MINISTÉRIELLE A. – Une carte professionnelle multiservices À la fois carte professionnelle sécurisée, carte d’accès aux applications informatiques, carte d’accès aux bâtiments et aux sites et carte permettant la gestion de services rendus (restauration collective), la carte agent constitue un outil majeur de la sécurité des systèmes d’information. La carte agent ministérielle est conçue comme un instrument d’identification et d’authentification de l’agent. Les personnels de la gendarmerie nationale disposent, déjà, d’une carte professionnelle de même type, qui est totalement compatible et interopérable avec la carte agent ministérielle et les nouveaux systèmes d’information du ministère. B. – Une carte professionnelle sécurisée inscrite dans un corpus réglementaire et normalisé La carte agent ministérielle s’inscrit dans le contexte réglementaire du référentiel général de sécurité (RGS) dont les modalités sont fixées par le décret no 2010‑112 du 2 février 2010 pris pour l’application des articles 8, 10 et 12 de l’ordonnance no 2005‑1516 du 8 décembre 2005 relative aux échanges électroniques entre les usagers et les autorités administratives et entre les autorités administratives. Le référentiel général de sécurité (RGS) fixe les règles à respecter pour assurer la sécurité des informations échangées par voie électronique. Il fonde les contraintes attachées à la demande, à la délivrance et à l’usage de la carte agent ministérielle. C. – Les caractéristiques techniques de la carte agent Afin de réduire la contrefaçon, la carte agent est composée de plusieurs éléments résultant d’un processus complexe de fabrication : – Une puce à contact : assimilable à un coffre-fort contenant les certificats personnels d’authentification, de signature et de confidentialité. La lecture de la puce à contact de la carte agent ne peut s’opérer que par l’utilisation du lecteur « Xiring » validé par l’administration, à partir d’une station de travail. – Une puce sans contact : permettant la gestion des accès aux bâtiments et aux sites. – Une bande magnétique : permettant la gestion de services rendus (restauration collective...). – Des sécurités sur la valeur faciale : dispositions s’inscrivant dans la lutte contre la fraude documentaire. D. – Les certificats électroniques Les certificats électroniques contenus dans la carte agent sont des fichiers numériques permettant de valider le lien entre une signature électronique et son signataire. Les certificats électroniques permettent l’identification et l’authentification du porteur de la carte agent. Les certificats électroniques permettent d’instaurer la confiance dans les échanges électroniques, grâce à : – l’identification formelle d’un utilisateur (authentification) ; – l’assurance de l’identité de l’émetteur d’un message électronique (signature) ; – la protection de la confidentialité des informations échangées (chiffrement) ; –un renforcement de l’imputabilité des actions effectuées et l’accroissement de la traçabilité des accès aux applications les plus sensibles. E. – Les usages liés à la carte agent La carte agent peut être utilisée, dès à présent, pour contrôler les accès aux bâtiments ou aux sites équipés d’un système compatible. Elle est également destinée à permettre l’accès aux applications informatiques : – elle est déjà opérationnelle pour l’application du procès verbal électronique (PVe), de celle du plan de vidéoprotection de Paris (PVPP) et de l’application Chorus ; – à court terme de futures applications, en cours de développement, seront accessibles à partir de la carte agent : FAETON, AGDREF, AG1 bio ; – elle permettra également la signature électronique et le chiffrement de la transmission des données ; – son usage pourra être étendu à la gestion de services rendus, telle la restauration collective. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 239 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR II. – LES MODALITÉS D’ATTRIBUTION DE LA CARTE AGENT MINISTÉRIELLE L’attribution d’une carte agent ministérielle nécessite que la personne concernée soit identifiée comme disposant d’un statut ouvrant droit à sa délivrance. Il est impératif de vérifier que l’agent ou la personne identifiée peut bénéficier d’une carte agent, comme carte professionnelle pour les agents du ministère, comme carte d’identification et d’authentification pour les autres. Pour tous les agents, l’ensemble des informations indispensables à la vérification de leur statut en vue de la délivrance d’une carte agent, (état-civil, situation administrative ou statutaire, grade, affectation, statutaire, adresse du service), sont détenues dans un référentiel unique ministériel : le référentiel des identités et des organisations (RIO). Cette vérification incombe, sur instruction de sa hiérarchie, au responsable RH. A. – Les catégories d’agents concernés La carte agent ministérielle est attribuée à tout agent du ministère, ou personne collaborant aux missions du ministère, qui ont le statut requis pour cette délivrance : – Les agents appartenant au ministère ; – Les agents en mobilité au ministère ; – La carte agent pourra être délivrée à des personnes identifiées comme collaborateurs occasionnels ; – Les personnels attachés fonctionnellement au ministère (notamment les sapeurs-pompiers de la DGSCGC, de la BSPP, les marins-pompiers de Marseille). Pour cette catégorie, la carte agent leur sera attribuée chaque fois que l’autorité hiérarchique dont ils dépendent juge indispensable la délivrance d’une carte agent pour l’exercice de leurs missions ; – Tout agent n’appartenant pas à un corps géré par le ministère mais employé et rémunéré par le ministère de l’intérieur, qu’il appartienne à la fonction publique d’État, territoriale, hospitalière ou de la ville de Paris ; – Les personnels de la réserve civile de la DGPN (population non fonctionnaire de la police). B. – Les sources d’information à consulter, dialogue – arpège pour l’attribution de la carte agent ministérielle Le référentiel des identités et des organisations (RIO) : ce dernier est alimenté automatiquement par deux systèmes d’information : Dialogue et Arpège. En conséquence, les deux systèmes d’information Dialogue et Arpège doivent être impérativement actualisés en temps réel par les gestionnaires RH. Le RIO n’est pas un système d’information de ressources humaines : il n’est pas autorisé de créer un dossier dans le RIO pour pallier le retard d’un dossier Dialogue ou Arpège. Tout agent appartenant au ministère ou employé et rémunéré par le ministère de l’intérieur, qu’il appartienne à la fonction publique d’État, territoriale, hospitalière ou de la ville de Paris, doit faire l’objet d’un dossier dans un des deux systèmes d’information (Dialogue ou Arpège). C’est le bureau de gestion RH de l’agent qui crée de toute pièce le dossier d’un nouvel arrivant ou qui en prend la gestion dans l’hypothèse de l’arrivée d’un agent en mobilité, dans Dialogue ou Arpège. C. – Les cartes agent délivrées a) Les types de carte agent – La carte permanente destinée aux personnels œuvrant au sein du ministère pour une période supérieure à six mois, et disposant d’un statut leur ouvrant droit à cette délivrance. – La carte temporaire destinée : – Aux personnels travaillant au sein du ministère pour une courte durée. – Aux personnels du ministère ayant un besoin impératif de disposer d’une carte pour leur travail quotidien et ne disposant pas d’une carte permanente pour l’une des deux raisons suivantes : attente d’une carte permanente commandée ou carte invalidée. – Aux personnels permanents du ministère quittant le ministère dans un délai de six mois. Les certificats électroniques de la carte temporaire sont valables pour une durée de 3 mois et pourront être renouvelés autant de fois que nécessaire. Nota. – La carte temporaire ne peut pallier l’oubli par un agent de sa carte permanente à son domicile. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 240 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR b) Les différents visuels attachés à la carte agent Des dispositions ont trait aux règles concernant la personnalisation des cartes. Onze visuels différents ont été définis pour figurer sur la valeur faciale de la carte agent. A : police nationale : policier actif B : police nationale : adjoint de sécurité D : agent des administrations parisiennes : préfecture de police K : agent de surveillance de Paris : préfecture de police L’attribution de ces quatre visuels à la carte agent des personnels concernés est faite de manière automatique, en fonction des informations statutaires contenues dans le RIO et provenant pour la plupart des porteurs de Dialogue et d’Arpège. Pour les personnels techniques et scientifiques de la police, le choix du visuel B est fait manuellement par l’AEL. F : corps préfectoral I : hauts fonctionnaires Seule l’AEL du bureau de gestion du corps préfectoral et des administrateurs civils (DMAT) peut attribuer ces deux visuels. J : cabinet du ministre Attribution réservée aux seules AEL des bureaux des cabinets des ministres. G : inspection générale de l’administration Attribution réservée à la seule AEL de l’IGA. C : personnel administratif et technique E : personnel temporaire H : externe Ces trois derniers visuels sont attribués par les AEL de chaque entité administrative concernée. III. – LA GOUVERNANCE GÉNÉRALE DU DISPOSITIF CARTE AGENT MINISTÉRIELLE A. – L’administration générale du système à l’échelon national La sécurité globale du dispositif incombe au service du haut fonctionnaire de défense (SHFD). Conformément au référentiel général de sécurité (RGS), l’initialisation du système à l’échelon central nécessite la mise en place de « secrets » qui ont été confiés à des porteurs. Ces « secrets » constituent des éléments clés de la sécurité du dispositif. La section des réseaux sécurisés du SHFD assure la gestion nationale de ces « secrets ». Les agents à qui ont été confiés ces « secrets » doivent les conserver en lieu sûr dans une armoire forte et s’assurer régulièrement de leur présence. En cas de disparition, il y a lieu d’aviser sans délai le SHFD. Annuellement, une revue de la présence de ces « secrets » sera organisée par le SHFD. En cas de départ (mutation, retraite, départ du ministère, etc.), le porteur de « secret » (ou son responsable hiérarchique) doit aviser le SHFD au plus tôt, et le cas échéant, lui remettre ce « secret ». B. – Les entités fonctionnelles Il existe des entités fonctionnelles : – Autorité d’enregistrement nationale (AEN) et autorité d’enregistrement locale (AEL) ; – Autorité de délivrance nationale (ADN) et autorité de délivrance de rattachement (ADR). Sous l’appellation « autorité » d’enregistrement ou de délivrance on désigne une fonction. Les agents qui assurent cette fonction sont dénommés « opérateurs ». On emploie indifféremment la terminologie AEL ou opérateur, et la terminologie ADR ou opérateur. a) L’autorité d’enregistrement (AEL) L’autorité d’enregistrement (AE) procède à la commande de la carte agent. Il existe deux types d’AE : – l’autorité d’enregistrement nationale ayant un périmètre de responsabilité général sur tout le ministère ; – l’autorité d’enregistrement locale (AEL) ayant un périmètre de responsabilité limité à quelques services, qui a pour principale mission de commander les cartes des agents qui font partie de son périmètre de responsabilité. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 241 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR L’autorité d’enregistrement local (AEL) dispose d’un périmètre de responsabilité, une adresse mail en « nom-duservice-ael@interieur.gouv.fr » et procède à la commande des cartes. Pour exécuter ses commandes de cartes agent, l’opérateur d’autorité d’enregistrement local se repose sur : DIALOGUE : données d’organisation et données personnelles ; RIO : référentiel des identités et de l’organisation. Il doit en outre procéder à la vérification des points essentiels suivants : – Fiabilité des informations dans Dialogue : conformité des informations essentielles ; – État civil ; –Grade/corps ; – Affectation en service d’affectation administrative (SAA) ou service d’affectation opérationnelle (SAO) ; – Adresse des unités : livraison des cartes – courrier code ; – Adresse mail en « prénom.nom@interieur.gouv.fr » ; – Vérification dans le RIO : insertion de la photographie de l’agent. b) L’autorité de délivrance L’autorité de délivrance (AD) procède à la remise de la carte agent. Il existe deux types d’AD : – l’autorité de délivrance nationale ayant un périmètre de responsabilité général sur tout le ministère ; – l’autorité de délivrance de rattachement (ADR) ayant un périmètre de responsabilité limité à quelques services et qui a pour principale mission de délivrer les cartes aux agents qui sont dans son périmètre de responsabilité. L’autorité de délivrance de rattachement (ADR) dispose d’un périmètre de responsabilité défini, d’une adresse mail en « nom-du-service-adr@intérieur.gouv.fr », et procède à la délivrance des cartes agent. L’opérateur d’autorité de délivrance de rattachement (ADR) : – Réceptionne les colis de cartes ; – Réceptionne les cartes dans l’application CARTES ; – Initialise dans la puce à contact les certificats personnels de l’agent ; – Présente les certificats à l’agent ; – Imprime et signe le récépissé de délivrance ; – Fait saisir les questions/réponses secrètes par le porteur de la carte. c) Dispositions communes aux autorités d’enregistrement et de délivrance Les décisions de création, suppression et modification d’autorités (AEL ou ADR), ainsi que les décisions de désignation ou de cessation de fonction d’opérateur d’autorités seront portées sans délai à la connaissance des services du SHFD (voir imprimé joint en annexe). Il en est de même de leur périmètre de responsabilité. Ces informations sont transmises aux services du haut fonctionnaire de défense qui assurent sur les applications RIO et CARTES la gestion des autorités et des opérateurs. Cette information sera transmise dans un premier temps par mail (à l’adresse : deploiement-carte-agents@interieur. gouv.fr), confirmé par courrier en utilisant l’imprimé joint en annexe. Chaque autorité (AE/AD) disposera d’une adresse mail « correspondant carte agent ministérielle » (de type nom-du-service-ael/adr@interieur.gouv.fr) accessible à chaque opérateur RIO pour recevoir les messages émis automatiquement par l’application. La gestion nationale des autorités et des opérateurs est effectuée, par mesure de sécurité, par des personnels différents. Fin 2012, un outil informatique de gestion automatique des AEL, ADR et des opérateurs sera mis à la disposition des directions et services. Les AE et AD ne doivent pas, conformément aux annexes du référentiel général de sécurité approuvé par l’arrêté du Premier ministre du 6 mai 2010 (JO du 18 mai 2010), avoir de condamnation de justice en contradiction avec leurs attributions. Ces informations pourront être contrôlées par les services du haut fonctionnaire de défense ou des personnes dûment mandatées par le SHFD. Préalablement à l’exercice des fonctions d’AEL ou d’ADR, l’opérateur devra avoir reçu une formation organisée soit par la DRF Paris – Île de France ou le SERFOR pour la préfecture de police, la DRCPN pour la DGPN ou la SDRF pour tous les autres agents du ministère. Ce n’est qu’au terme de cette formation que le périmètre de chaque autorité sera arrêté et ouvert par le SHFD en conformité du périmètre défini par le service demandeur. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 242 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Même si une documentation est en ligne sur le portail carte agent, des sessions de formation devront obligatoirement être organisées et suivies afin de respecter les prescriptions du RGS. Il appartient à chaque entité administrative, nationale et locale, par la tenue et le suivi d’un tableau de bord, d’anticiper les départs des opérateurs afin d’organiser ces formations en lien avec la DSIC au niveau central. C. – L’organisation de la gouvernance pour chaque entité administrative La carte agent sera délivrée à tous les agents du ministère avant la fin de l’année 2013. Les personnes identifiées comme collaborateurs occasionnels pourront aussi en bénéficier dans les conditions rappelées ci-dessus. Toutes les entités administratives au sein du ministère sont impliquées dans le dispositif carte agent. a) Les entités administratives responsables Ces entités sont définies par les responsables des différentes grandes missions du ministère, administration centrale, administration territoriale, police nationale, sécurité civile et en fonction de leurs instructions. Est considérée comme périmètre d’autorité, soit pour la commande ou la délivrance de la carte agent ministérielle « une entité administrative homogène ». Par exemple, il peut s’agir d’une direction d’administration centrale, d’une préfecture, d’une sous-préfecture, d’une direction locale de police (DDSP, DDPAF), d’un SGAP, d’un service, de la préfecture de police, d’une agence du ministère, etc. Ces entités administratives responsables identifiées sont en charge de la gouvernance locale du dispositif de commande et délivrance de la carte agent et de la gestion de son cycle de vie. b) L’organigramme fonctionnel Il doit être impérativement élaboré, par chaque entité administrative, un organigramme fonctionnel détaillant la chaîne des procédures de délivrance, retrait et de gestion des cartes agent. Il identifiera nominativement les autorités qui seront en charge de la mise en œuvre du dispositif pour cette entité. L’implication de tout acteur au sein d’une chaîne organisationnelle au sein de l’entité administrative doit être construite dans le détail tenant compte des spécificités propres à chaque entité administrative et en respectant les lignes directrices fixées dans la présente circulaire. c) Le règlement d’application de l’entité Dans le règlement d’application pour l’entité, sera décrit le rôle des autorités responsables des diverses autorisations (commande, délivrance, accès aux applications et bâtiments, gestion du cycle de vie de la carte). Ces dispositions sont indispensables pour prévenir tout usage frauduleux de la carte agent susceptible d’entraîner des procédures disciplinaires, contentieuses ou, le cas échéant, pénales. Devront être également précisément identifiées les fonctions de chaque intervenant dans la chaîne organisationnelle définie et mise en place. d) Dispositions diverses Chaque entité administrative fixe le périmètre de responsabilité de son AEL et de son ADR. Au sein de chaque périmètre, des agents sont désignés comme opérateur soit pour l’autorité d’enregistrement locale, soit pour l’autorité de délivrance de rattachement. Un opérateur ne peut pas être opérateur de plusieurs autorités. Chaque entité administrative du ministère (hormis pour l’administration centrale) arrête le nombre d’AEL et d’ADR dont elle souhaite disposer. Le SSMI est ADR pour tous les sites franciliens de l’administration centrale. Il doit être désigné un nombre suffisant d’opérateurs pour assurer la continuité du service public et pallier les éventuelles absences. Les décisions de création, suppression et modification d’autorités (AEL ou ADR) ainsi que les décisions de désignation ou de cessation de fonction d’opérateur d’autorités seront portées sans délai à la connaissance des services du SHFD. Il en est de même de leur périmètre de responsabilité, cette information sera transmise dans un premier temps par mail (à l’adresse : deploiement-carte-agents@interieur.gouv.fr), confirmé par courrier en utilisant l’imprimé joint en annexe. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 243 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR IV. – LES 6 ÉTAPES DU CYCLE DE VIE DE LA CARTE AGENT MINISTÉRIELLE A. – La commande de carte agent ministérielle Pour tout personnel déjà affecté ou entrant dans le ministère, la commande sera réalisée par l’opérateur AEL de l’entité administrative, qui vérifiera au préalable les éléments du dossier de l’agent qui doit en bénéficier. L’opérateur AEL devra s’assurer de l’exactitude des données saisies dans Dialogue et présentes dans le RIO. Dans l’hypothèse d’informations erronées ou insuffisantes interdisant une commande de la carte, l’AEL devra saisir le gestionnaire RH de l’agent pour mise à jour de son dossier dans Dialogue. La mise à jour finale du RIO incombe à l’AEL. En aucun cas il ne pourra être créé ex-nihilo un dossier dans le RIO sans création du dossier Dialogue ou mise à jour des données, sauf des cas particuliers strictement limités, après autorisation de la hiérarchie. La mise à jour permanente et immédiate de Dialogue et d’Arpège conditionne la commande des cartes. Les gestionnaires RH ont cette responsabilité sous le contrôle de l’autorité autorisant les commandes de cartes. Une commande de carte ne doit pas intervenir s’il est connu que l’agent est en instance de mutation ou de départ du ministère. L’opérateur AEL doit vérifier ces hypothèses auprès du gestionnaire RH. Pour les agents disposant d’un dossier dans le RIO, quelques données peuvent être modifiées : il s’agit de la photo, de l’adresse de messagerie (au format « prenom.nom@interieur.gouv.fr » ou « prenom.nom@nomdudépartement. gouv.fr ») et l’affectation RIO. Pour les personnels présents temporairement au sein du ministère (prestataires extérieurs, vacataires), un opérateur AEL devra créer le dossier dans le RIO sur instruction de sa hiérarchie. Des informations essentielles sont à vérifier par l’AEL : – l’état civil de la personne : nom, prénoms, date de naissance qui doivent être conformes à l’état-civil, le système carte agent utilise le nom d’usage ; – le grade et l’adresse de messagerie électronique au format « prenom.nom@interieur.gouv.fr » ou « prenom.nom@ nomdudépartement.gouv.fr » ; si l’agent n’en possède pas, cette zone ne doit pas être renseignée ; –l’affectation : le système utilisé, le service d’affectation opérationnelle ; – l’adresse du service : elle est utilisée pour l’envoi à l’agent de la lettre contenant son code d’activation. B. – L’acheminement de la carte agent ministérielle Dès sa validation, la commande de carte est transmise à l’imprimerie nationale pour être fabriquée et éditée. L’envoi des fichiers de demandes est réalisé tous les lundis et jeudis avant 6 heures du matin. Une fois produites, les cartes sont envoyées au destinataire via l’autorité de délivrance de rattachement (ADR) à J + 4 jours, (J étant le jour de réception du fichier). Les cartes sont livrées aux ADR à J + 5 pour la métropole, à J + 6 pour la Corse et pour les DOM-COM de J + 8 à J + 12. Les opérateurs ADR ont connaissance par courriel envoyé automatiquement par l’application CARTES de l’expédition d’un colis de cartes à leur attention. Les opérateurs ADR doivent, aussitôt la réception du colis de cartes, vérifier la présence des cartes produites par l’Imprimerie nationale en pratiquant l’opération de « réception » dans l’application CARTES. Toute absence de réception du colis dans un délai de 3 jours après la date de réception du courriel doit être signalée à l’adresse deploiement-carte-agents@interieur.gouv.fr. Un courrier contenant le code d’activation de la carte est adressé, par courrier postal à l’agent, à l’adresse de son service d’affectation opérationnelle (SAO) à J + 6 jours. Le délai d’acheminement de ce courrier est de 4 à 8 jours, pour la métropole et l’outre-mer. À l’arrivée de ce courrier au sein du service, il ne doit pas être ouvert par une tierce personne, même par les secrétariats d’autorité. Il doit être remis au plus vite au destinataire et non à un opérateur ADR. En l’absence du destinataire, il est conservé dans un endroit sûr au sein de son service. Si une carte est livrée dans une unité où le porteur n’est plus présent, les mesures suivantes sont à appliquer : –l’agent a été muté dans une autre unité du ministère ou en dehors du ministère. Un message est envoyé à l’adresse deploiement-carte-agents@interieur.gouv.fr en précisant les noms, prénoms et numéro RIO de l’agent. En retour, il sera communiqué à l’ADR et à l’AEL les nouvelles coordonnées du porteur pour faire suivre la lettre contenant le code d’activation et les nouvelles coordonnées de l’ADR pour envoyer par pli recommandé la carte de l’agent ; – l’agent a quitté définitivement la fonction publique : la carte est retirée du service par l’ADR, puis détruite. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 244 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR C. – La délivrance de la carte agent ministérielle La délivrance de la carte est effectuée par l’ADR (SSMI pour les directions centrales situées en Île-de-France). Le titulaire lors de la délivrance de sa carte l’active en saisissant le code d’activation reçu par courrier personnel, puis il la protège en saisissant des codes PIN personnels (PIN global à 4 chiffres et PIN de signature à 6 chiffres). L’ADR teste aussitôt son bon fonctionnement en utilisant le logiciel dénommé « Middleware IAE ECC » explorateur de carte pour montrer au porteur les certificats insérés dans la puce. Le porteur doit impérativement in fine de la procédure de délivrance se connecter au portail agent pour saisir ses questions/réponses secrètes. Cette dernière opération est obligatoire, car dans l’hypothèse de 3 saisies erronées d’un code PIN, la carte est bloquée et en l’absence de questions/réponses secrètes, il est impossible de la débloquer. La carte est alors inutilisable définitivement et retirée du service. Le porteur et l’ADR signent à l’issue de cette procédure le récépissé de prise en compte et d’engagement de responsabilité. Un exemplaire est remis au porteur et un autre archivé dans son dossier personnel (transmis au service RH par l’ADR). Concernant la réserve civile de la DGPN (population non fonctionnaire de la police), la délivrance se fera également dans les mêmes conditions, dans les secrétariats généraux pour l’administration de la police SGAP. L’autorité de délivrance de rattachement (ADR) doit disposer d’une adresse mail en « nom-du-service-adr@ interieur.gouv.fr ». D. – Les procédures de renouvellement a) Renouvellement de la carte agent En principe, le remplacement de la carte intervient tous les 6 ans, il est initié par l’AEL, prévenu par l’application. Le renouvellement a lieu aussi en cas de changement : – de situation ou affectation qui nécessite une modification du visuel de la carte de l’agent ; – de l’état civil du porteur ; – du corps pour tous les agents ; – de grade pour l’ensemble des fonctionnaires. La première carte devra être restituée à l’ADR au moment de l’activation de la nouvelle carte. Elle sera détruite par celui-ci en présence du porteur, dans la mesure du possible, avec établissement d’un procès-verbal de destruction classé au dossier RH de l’intéressé (voir modèle de procès-verbal de destruction joint en annexe). Dans l’hypothèse du renouvellement à échéance des 6 ans, l’opérateur AEL sera avisé par l’application CARTES par la mention : état : carte à renouveler. Le renouvellement sera aussi effectué sur requête en cas de perte, vol, détérioration de la carte ou d’impossibilité de rechargement des certificats électroniques. Ces renouvellements permettent d’actualiser, le cas échéant, les données personnelles de l’agent, notamment la photographie. Dans l’hypothèse du renouvellement sur demande de l’agent par la voie hiérarchique (cas de perte, vol, détérioration ou impossibilité de recharger les certificats électroniques), en ce cas l’opérateur AEL devra s’assurer que tous les éléments du dossier du demandeur sont toujours valides. Il incombe à chaque entité administrative de définir les modalités des pièces à fournir en cas de perte ou de vol. b) Renouvellement des certificats électroniques Le renouvellement des certificats électroniques peut intervenir dans trois cas : – les certificats arrivent en fin de validité (les certificats ont une durée de validité de 3 ans) ; –mutation du porteur susceptible d’entraîner un changement de l’autorité de certification des certificats. Le ministère met en œuvre trois autorités de certification correspondant à 3 domaines : police nationale, administration centrale et administration territoriale. Une mutation d’un service inclus dans un domaine vers un service d’un autre domaine entraîne un renouvellement de certificat ; – changement d’adresse mail du porteur. L’opération est effectuée par l’AEL avisé par l’application CARTES (état : certificats à renouveler). Le porteur est avisé par courriel s’il dispose d’une adresse de messagerie en « prenom.nom@interieur.gouv.fr » ou « prenom.nom@nomdudepartement.gouv.fr » ou par l’opérateur AEL s’il n’en dispose pas. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 245 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Le porteur peut après cette action de l’AEL se connecter au portail agent (https://portail-agent-cartes.mi/) pour effectuer le renouvellement de ses certificats. Deux renouvellements successifs de certificats par le portail ne sont pas possibles. Après un renouvellement par le portail, le renouvellement suivant doit être effectué auprès d’une ADR. L’opération est également possible auprès d’une ADR. c) Dispositions diverses concernant les certificats électroniques Lorsque le bénéficiaire quitte temporairement son poste au sein du ministère (congé parental ou congé formation de longue durée), les codes et autorisations d’accès aux applications seront désactivés, par l’administrateur des applications, sans invalidation des certificats de la carte. S’agissant du congé maternité, congé de longue maladie et congé de longue durée, les agents conservent leur carte. Pour toute durée d’absence supérieure à 6 mois, l’autorité hiérarchique s’assurera de l’invalidation des certificats de la carte. Nota. – En attendant la mise en œuvre opérationnelle de l’invalidation des certificats, il y a lieu de procéder à la désactivation des autorisations d’accès aux applications. En cas de détachement ou de mise à disposition sortante, tous les agents conserveront leur carte dans la mesure où elle est une carte professionnelle sécurisée. Les codes et autorisations d’accès aux applications seront désactivés, sans invalidation des certificats de la carte, sur décision de l’autorité hiérarchique. E. – Le retrait de la carte agent ministérielle a) Retrait définitif de la carte agent La carte agent est retirée en cas de départ définitif de l’agent du ministère : démission, exclusion définitive, révocation, retraite, décès. Elle est également retirée en cas de suspension d’activité de l’agent. Propriété de l’État, elle doit être remise par le titulaire soit à l’autorité hiérarchique, soit à un opérateur AEL ou ADR avant le départ. Elle devra être immédiatement invalidée par l’ADR et sera détruite avec établissement d’un procès-verbal de destruction qui sera classé au dossier de l’intéressé. En cas de placement en disponibilité, tous les agents doivent rendre leur carte. Elle pourra être retirée par l’autorité hiérarchique en cas de sanction disciplinaire le justifiant. Elle sera immédiatement invalidée par l’ADR avant le départ de l’agent, puis remise soit à l’autorité hiérarchique, soit à son AEL ou ADR. b) Retrait temporaire de la carte agent La carte agent sera retirée le temps d’une exclusion temporaire prononcée à l’encontre de l’agent ou suite à une suspension de fonction. Dans le cas d’une exclusion temporaire, les codes et autorisations d’accès aux applications seront désactivés sans invalidation de la carte. Les réservistes non retraités de la police nationale doivent remettre leur carte à leur service d’emploi entre deux périodes d’emploi. Leurs codes et autorisations d’accès aux applications doivent être désactivés sans invalidation de la carte. Dans ces deux dernières situations, la carte sera insérée dans une enveloppe scellée, sur laquelle le porteur apposera sa signature de manière à garantir, lors de la récupération de la carte, que celle-ci n’a pas été manipulée à son insu. Les codes PIN (4 chiffres et 6 chiffres), qui protègent l’utilisation de la carte, sont personnels au bénéficiaire de la carte. Il ne peut pas être exigé du bénéficiaire de la carte que celui-ci dévoile ses codes PIN. F. – La perte ou le vol de la carte agent ministérielle Une carte perdue ou volée doit être signalée immédiatement à l’autorité hiérarchique, pour être invalidée dans les plus brefs délais : – en heures et jours ouvrés, le porteur de la carte agent s’adresse en priorité à un opérateur ADR qui informera aussitôt l’AEL et l’autorité hiérarchique. L’opération d’invalidation incombe à l’ADR ; –en heures et jours non ouvrés, le porteur de la carte agent appellera le centre de service national (CSN), au 0800 20 72 77 ou + 33 800 20 72 77 pour l’outre-mer ; – le porteur de la carte agent est identifié par le centre de service national (CSN) grâce à la réponse à une des questions secrètes du porteur que celui-ci a formulé lors de l’activation initiale de sa carte ; 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 246 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR – l’opérateur CSN saisit la réponse du porteur de la carte et la valide. La réponse est vérifiée. Si elle est correcte, l’invalidation est rendue possible. La carte est invalidée par l’opérateur du CSN. Un message confirmant cette invalidation est adressé au porteur, à son AEL et à son ADR ; – dans le cas d’une réponse incorrecte à la question posée, l’invalidation de la carte ne peut pas être opérée par le CSN, elle devra être invalidée par un ADR. Le traitement administratif de la perte ou du vol de la carte continue à suivre les dispositions actuellement en vigueur pour chaque catégorie d’agents. Il est en revanche rappelé qu’eu égard aux droits attachés à cette carte, toute perte ou vol doit immédiatement être déclaré, dès que l’agent en a connaissance, afin d’empêcher l’utilisation frauduleuse de la carte. Ce défaut de déclaration immédiate peut faire l’objet d’une sanction. L’autorité informée de la perte ou du vol de la carte doit aviser immédiatement, par tous moyens, le responsable de la gestion des accès informatiques et bâtimentaires, aux fins de neutralisation des codes et autorisations d’accès. V. – LA GESTION DES AUTORISATIONS LIÉE AUX MOUVEMENTS DES AGENTS Dans tous les cas de mouvements de personnels, les modifications dans Dialogue sont effectuées par le gestionnaire RH dans les meilleurs délais. Le chef de service ou le référent RH avisera immédiatement des modifications par message l’AEL qui contactera le gestionnaire des accès aux applications et le service responsable de la sécurité et des accès aux bâtiments (SSMI pour les sites franciliens de l’administration centrale). A. – La mobilité interne à une direction ou service En ce qui concerne un changement de poste consécutif à une mobilité interne au sein d’un même service d’affectation opérationnelle ou administrative, il n’y aura pas de modification des certificats électroniques par l’autorité de certification émettrice du certificat. La modification de l’affectation dans Dialogue sera effectuée par le gestionnaire RH. Le référent RH ou le chef de service informera dans les meilleurs délais les services gestionnaires des autorisations aux nouvelles applications ainsi que les services concernés par la sécurité des accès aux bâtiments. Il est précisé, en cas de modifications sur les autorisations d’accès aux applications que l’accès aux nouvelles applications ne peut être opéré que si les autorisations d’accès aux anciennes applications ont été fermées. Ces opérations se feront sans délai sous forme d’un message visé par l’autorité hiérarchique et selon un schéma organisationnel propre à chaque entité administrative. B. – La mobilité entre directions ou services de l’administration centrale En administration centrale, la modification de l’affectation de l’agent dans Dialogue par le gestionnaire RH sera effectuée dans les meilleurs délais. L’AEL d’origine sera informé par le référent RH de départ de la mobilité de l’agent. Le référent RH de départ ou le chef de service informera les services gestionnaires des autorisations d’accès aux applications et d’accès aux sites et bâtiments, de la mobilité de l’agent, en leur précisant les modifications éventuelles de celles-ci. Ces opérations s’effectueront conformément à la procédure du schéma organisationnel de l’entité administrative. Le service concerné (SSMI) par la sécurité des accès aux bâtiments et sites doit être informé de la mobilité de l’agent par le référent RH de départ, conformément à la procédure du schéma organisationnel de l’entité administrative. Le référent RH d’arrivée, à réception de l’arrêté d’affectation de l’agent par le gestionnaire RH, devra informer l’AEL d’arrivée ainsi que le chef de service. Il demandera, conformément aux instructions de la hiérarchie, aux services concernés l’ouverture des autorisations aux applications et au SSMI les droits d’accès aux bâtiments et sites. Ces démarches se feront par message selon des procédures et un schéma organisationnel propres à chaque entité administrative. Ces opérations se feront sans délai et après aval de la hiérarchie. Les référents RH devront être mobilisés pour mener celles-ci à bien. C. – Les mobilités entre administration centrale et déconcentrée En ce qui concerne le périmètre déconcentré, après modification de l’affectation dans Dialogue par le gestionnaire RH de l’administration centrale ou déconcentrée, le référent RH de départ avise l’AEL du départ de l’agent et veille à la fermeture des autorisations d’accès aux applications et aux accès des bâtiments. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 247 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Le référent RH d’arrivée informera par message l’AEL d’arrivée, ainsi que le chef de service d’affectation de l’agent. IL veillera, comme indiqué dans le paragraphe supra, à l’ouverture des autorisations d’accès aux nouvelles applications et aux bâtiments. Ces opérations devront être effectuées sans retard avec la mobilisation des référents RH. Ces démarches se feront par message selon les procédures du schéma organisationnel propres à chaque entité administrative. Lorsque la mobilité s’effectue hors du périmètre d’administration centrale vers un service déconcentré, l’agent conserve sa carte agent si son profil RH ne change pas. Il y a modification des certificats électroniques par l’autorité de certification compétente d’arrivée. Les modifications d’affectation sont faites dans Dialogue sans délai par le gestionnaire RH de départ. VI. – LA CHAÎNE DE SOUTIEN UTILISATEURS Tous les porteurs de carte agent ministérielle ayant accès à l’Intranet du ministère peuvent accéder au portail carte agent ministériel à l’adresse suivante : https://portail-agent-cartes.mi. Après s’être identifié et authentifié à l’aide de sa carte agent, le porteur peut : – gérer ses questions/réponses secrètes ; – charger ses certificats sans avoir à se rendre devant une ADR (cas du renouvellement suite à dépassement de validité d’un certificat sans changement des données personnelles) ; – débloquer le(s) code(s) PIN (global, signature) ; – changer un des codes PIN de sa carte. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 248 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE I Glossaire AEL : autorité d’enregistrement locale – personne responsable de la demande des cartes agent ministérielles pour toutes les personnes d’une structure. ADR : autorité de délivrance de rattachement – personne responsable de la délivrance des cartes agent ministérielles pour toutes les personnes d’un structure. Authentification : action qui consiste à vérifier l’identité d’une personne et autoriser l’accès de celle-ci à des ressources (systèmes, réseaux, applications). Arpège : système d’information source des ressources humaines de la préfecture de police. CARTES : logiciel « Centralisation pour l’Administration et la Remise des cartes Électroniques Sécurisées » permettant la commande et la remise des cartes agent ministérielles. Certificat électronique : le certificat électronique (aussi appelé certificat numérique) est un fichier numérique permettant de s’identifier, de chiffrer et de signer électroniquement des documents. Chiffrement : le chiffrement, aussi appelé cryptage, est le procédé grâce auquel on souhaite rendre la compréhension d’un document impossible à toute personne qui n’a pas la clé de déchiffrement Code PIN : il existe un code porteur global (code PIN global) et un code porteur de signature (code PIN de signature) dont la saisie peut être demandée pour l’accès aux applications. CSN : centre de service national de la DSIC. Dialogue : système d’information source des ressources humaines du ministère. Gestionnaire RH : personne habilitée à modifier les données administratives dans Dialogue et Arpège. Identification : action qui consiste à connaître l’identité d’une personne. Invalidation : action qui consiste à rendre inactif des fonctionnalités de la carte agent. Opérateurs AEL : opérateurs qui ont comme mission principale de commander les cartes pour les agents qui font partie de leur périmètre sous la responsabilité de l’AEL. Opérateurs ADR : opérateurs qui ont comme mission principale de délivrer les cartes pour les agents qui font partie de leur périmètre sous la responsabilité de l’ADR. Portail carte agent : portail intranet permettant aux agents d’accéder à un certain nombre d’informations relatives à la carte agent. Puce avec contact : la puce avec contact est une puce visible sur la carte qui contient les certificats d’authentification, de signature et de confidentialité du porteur. Puce sans contact (RFID) : la puce sans contact est non visible sur la carte, faisant partie intégrante de la carte. La radio-identification plus souvent désignée par le sigle RFID (Radio Frequency IDentification) est une méthode pour mémoriser et récupérer des données à distance. Ces puces électroniques sont constituées d’une antenne et d’un microprocesseur. On peut y stocker des d’informations, et contrairement aux cartes à puces avec contact, on peut lire ces informations et les mettre à jour sans insérer la puce dans un lecteur. PVe : Procès-verbal électronique. PVPP : Plan de vidéo protection de Paris. Questions/réponses secrètes : dispositif d’authentification secondaire d’un agent après un blocage du code PIN d’authentification. RIO : référentiel des identités et des organisations – base de données élaborée à partir d’éléments de ressources humaines recensant tous les agents du ministère de l’intérieur et leur numéro unique permettant, entre autres, la commande de carte. Référent RH : le référent RH est l’interlocuteur privilégié des directions de l’administration centrale ou des structures administratives (services territorialement compétents) avec les bureaux de gestion des personnels et les agents. Il exerce les missions suivantes : gestion administrative des agents affectés dans le service, notifications des divers actes de gestion, suivi des effectifs, position statutaire, primes, rémunérations, etc. Référentiel général de sécurité (RGS) : le référentiel général de sécurité définit un ensemble de règles de sécurité qui s’imposent aux autorités administratives dans la sécurisation de leurs systèmes d’information. Il propose des bonnes pratiques en matière de sécurité des systèmes d’information que les autorités administratives sont libres d’appliquer. Le RGS est élaboré conformément à l’article 9 de l’ordonnance no 2005‑1516 du 8 décembre 2005 relative aux 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 249 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR échanges électroniques entre les usagers et les autorités administratives ainsi qu’entre les autorités administratives. Il fixe les règles que doivent respecter les fonctions des systèmes d’information contribuant à la sécurité des informations échangées par voie électronique. Invalidation de certificat : action demandée par une autorité de certification ou une autorité administrative, par le porteur de certificat ou son autorité de sécurité et dont le résultat est la suppression de la caution de l’autorité de certification sur un certificat donné, avant la fin de sa période de validité. Cette action peut être la conséquence de différents types d’évènements tels que la compromission d’une clé, le changement d’informations contenues dans un certificat, etc. SHFD : service du haut fonctionnaire de défense. Signature électronique : il s’agit d’une combinaison chiffrée qui permet d’authentifier l’émetteur d’un message. D’un point de vue réglementaire, la signature électronique consiste en l’usage d’un procédé fiable d’identification garantissant son lien avec l’acte auquel elle s’attache. La fiabilité de ce procédé est présumée, jusqu’à preuve contraire, lorsque la signature électronique est créée, l’identité du signataire assurée et l’intégrité de l’acte garanti. SSMI : service de sécurité du ministère de l’intérieur qui est ADR pour les administrations centrales du ministère. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 250 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE II Création – Suppression – Modification d’autorités AEL et ADR « Carte agent ministérielle » Direction / Service (dénomination et adresse) : Date : ........................................................................ Document à envoyer par courriel (à l’adresse suivante : et à l’adresse du SHFD – place Beauvau) I. – AEL 1.1 – Création (1) NOM de l’autorité CODE DIALOGUE du service responsable de cette autorité CODE DIALOGUE des services devant être inclus dans le périmètre de l’autorité (1) DATE de création souhaitée ADRESSE MAIL DE L’AUTORITÉ Nom_du_service-ael@interieur.gouv.fr OBSERVATIONS 1.2. Suppression NOM de l’autorité CODE DIALOGUE du service responsable de cette autorité DATE de suppression souhaitée OBSERVATIONS 1.3. Modification (préciser dans le tableau ce qui doit être modifié) (2) NOM de l’autorité CODE DIALOGUE du service responsable de cette autorité CODE DIALOGUE des services devant être inclus dans le périmètre de l’autorité (2) DATE de modification souhaitée ADRESSE MAIL DE L’AUTORITÉ Nom_du_service-ael@interieur.gouv.fr OBSERVATIONS CODE DIALOGUE des services devant être inclus dans le périmètre de l’autorité (3) DATE de création souhaitée ADRESSE MAIL DE L’AUTORITÉ Nom_du_service-adr@interieur.gouv.fr OBSERVATIONS II. – ADR 2.1. Création (3) NOM de l’autorité CODE DIALOGUE du service responsable de cette autorité 2.2. Suppression (utilisation du même tableau que 2.1) (1) Si l’autorité couvre une entité complète, préciser laquelle, sans énumérer tous les services (exemples : préfecture XX, DDSPXX). (2) Si l’autorité couvre une entité complète, préciser laquelle, sans énumérer tous les services (exemples : préfecture XX, DDSPXX). (3) Si l’autorité couvre une entité complète, préciser laquelle, sans énumérer tous les services (exemples : préfecture XX, DDSPXX). 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 251 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE III Les visuels de la carte agent ministérielle A Policier actif ou réserviste B Personnels techniques et scientifiques de la police nationale/adjoints de sécurité C Personnels administratifs et techniques D Agent des administrations parisiennes (préfecture de police) ETemporaire F Corps préfectoral GIGA HExternes I Hauts fonctionnaires J Cabinet du ministre K Agent de surveillance de Paris (préfecture de police) 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 252 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE IV Les accès aux sites et bâtiments S’agissant de l’accès aux bâtiments, le document de référence technique de la puce sans contact (RFID) a été finalisé et validé le 31 janvier 2012. Il a été transmis sous le no 12‑02590-D du 17 février 2012. Ce document est disponible sur le site intranet du ministère de l’intérieur, rubrique carte agent, onglet SHFD. Il devra être annexé au cahier des clauses techniques particulières lors de toutes les démarches d’appels d’offres des travaux de sécurisation des bâtiments (document joint). Il sera fait référence à la circulaire NOR/INT/SG/HFDAIOCA 1208138 du 19 mars 2012 relative à la protection des préfectures, des sous-préfectures et de leurs personnels. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 253 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE V Procès-verbal de destruction « Carte agent ministérielle » – Direction/Service (dénomination et adresse) :Date : – NOM et prénom du demandeur :Signature : – NOM et prénom du titulaire : – Service d’affectation opérationnelle du titulaire : – Service d’affectation administrative du titulaire : ___________________________________________________________________________________________________ Type de carte (visuel) : Libellé : MOTIF DE LA DESTRUCTION : NUMÉRO DE LA CARTE (indiqué au verso) VISUEL NOM ET PRÉNOM DU TITULAIRE ______________________________ PARTIE RÉSERVÉE À LA DESTRUCTION ____________________________ Nom et prénom de l’opérateur Nom et prénom du vérificateur Signature Signature Destinataires : – SHFD (par courrier, adresse mail : deploiement-carte-agents@interieur.gouv.fr ; – Titulaire de la carte ; – Supérieur hiérarchique ; – Demandeur, opérateur, vérificateur ; – Copie dossier RH titulaire. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 254 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE VI Organigramme fonctionnel type en administration centrale Directeur Délégation possible Sous-directeur ou Chef de cabinet Bureau des ressources humaines BRH Référent RH AEL ADR SSMI Autorisations accès sites et bâtiments Chef de bureau ou de Service Autorisations d’accès aux applications 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 255 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE VII Organigramme fonctionnel type en administration territoriale Préfet Délégation possible Secrétaire général ou Directeur de cabinet Bureau des ressources humaines BRH Référent RH AEL ADR Responsable sécurité des accès aux bâtiments Chef de bureau ou Chef de Service Autorisations d’accès aux applications 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 256 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE VIII Organigramme fonctionnel type en direction départementale de la sécurité publique (DDSP) DDSP Délégation possible Chef d’Etat Major ou SGO ou Chef de circonscription Référent RH AEL ADR Service ou référent informatique RSSI Autorisations d’accès aux applications et aux sites et aux bâtiments 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 257 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE IX Modification de la situation de l’agent n’entraînant pas de changement de sa carte agent 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 258 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE X Modification de la situation de l’agent entraînant un changement de sa carte agent 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 259 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE XI Modification de la situation de l’agent entraînant un retrait de sa carte agent 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 260 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR _____ Direction générale de la gendarmerie nationale _____ Direction des personnels militaires de la gendarmerie nationale _____ ous-direction de la gestion du personnel S _____ Bureau du personnel sous-officier de gendarmerie et volontaire _____ Circulaire no 27798 du 21 mai 2012 relative à la préparation des tableaux d’avancement pour 2013 des sous-officiers de gendarmerie NOR : INTJ1223538C Références : Code de la défense (partie législative), notamment le livre Ier de la partie 4 ; Décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 (JO no 216 du 16 septembre 2008, texte 34) modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Arrêté du 30 décembre 2009 (JO no 303 du 31 décembre 2009, texte 123) relatif aux délégations de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière (en cours de refonte) ; Arrêté du 4 août 2010 (JO no 195 du 24 août 2010, texte 6) modifié, fixant pour la gendarmerie nationale la composition et l’organisation de la commission prévue à l’article L. 4136‑3 du code de la défense ; Arrêté du 17 novembre 2010 (JO no 271 du 23 novembre 2010, texte 3) fixant les titres professionnels et la qualification exigés pour la promotion des sous-officiers de gendarmerie aux grades de maréchal des logis-chef et d’adjudant-chef (en cours de refonte) ; Arrêté du 5 avril 2012 (JO no 105 du 4 mai 2012, texte 30) relatif à la répartition des sous-officiers de gendarmerie par subdivision d’arme, par branche ou par spécialité et fixant les branches et spécialités au sein desquelles l’avancement intervient de façon distincte ; Instruction no 33000 du 18 mai 2011 relative à l’avancement des sous-officiers de gendarmerie (en cours de refonte). Pièce(s) jointe(s) : deux annexes. L’instruction de référence fixe les dispositions relatives à l’avancement des sous-officiers de gendarmerie ainsi que celles inhérentes à la mise en place du tableau. Elle pose les principes généraux de l’avancement (conditions, mobilité, dialogue de gestion et mérite) puis son phasage (volontariat, préparation, arrêt et exploitation du tableau d’avancement). La présente circulaire apporte les directives complémentaires pour le tableau d’avancement (TA) 2013. 1. Calendrier des travaux 1.1. Ouverture du portail Agorh@ Les sous-officiers de gendarmerie volontaires à l’avancement renseignent le formulaire dédié via le portail Agorh@ à partir du 11 juin 2012. Cette déclaration de volontariat doit, en principe, intervenir après la prise en compte de la notation juridique (1) dans Agorh@. À ce titre, il est rappelé que lors de la saisie de la demande d’avancement, chaque volontaire doit veiller à cocher la case qui correspond à sa situation. Il est donc précisé que : – la case « voie classique » est exclusivement réservée aux gendarmes comptant au moins 4 ans d’ancienneté à ce grade et titulaires, au 1er janvier de l’année de promotion, d’un titre énuméré à l’arrêté du 17 novembre susvisé ainsi qu’aux gradés, à l’exception des maréchaux des logis-chefs promus au titre de la gestion de fin de carrière ; (1) Exprimer son volontariat alors que sa notation juridique ne figure pas dans la fiche individuelle de renseignement (FIR) engendre une procédure de « demande tardive », donc une nouvelle sélection dite « sélection des proposables ». C’est donc dans un souci d’efficacité qu’il est recommandé d’exprimer son volontariat après la prise en compte de la notation juridique dans Agorh@. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 261 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR – la case « voie professionnelle » (AVP) concerne uniquement les gendarmes réunissant les conditions du 2e alinéa du point 1.2. de l’instruction de référence ; – la case « gestion de fin de carrière » (GFC) concerne les maréchaux des logis-chef promus au titre de la GFC et les gendarmes volontaires pour un avancement à ce titre. Pour les personnels ne disposant pas de l’outil informatique Agorh@, le volontariat est exprimé sous format papier (cf. imprimé 651 0.019) puis adressé au gestionnaire pour traitement. 1.2. Sélection des proposables La sélection des proposables (1), hors simulation, est effectuée le 18 septembre 2012 pour les sous-officiers de gendarmerie (cadre général et spécialistes). Aussi, aucune déclaration de volontariat n’est saisie en base ce jour là, toutes les déclarations sont donc, en principe, saisies via le portail Agorh@ pour cette date. À partir du 19 septembre 2012, les saisies tardives sont traitées selon la procédure des « demandes tardives » (2). 1.3. États justificatifs 1.3.1. Cas général (concerne les sous-officiers de gendarmerie du cadre général) Les états justificatifs prévisionnels (annexe I) visant à déterminer le nombre d’inscriptions possible par grade pour 2013 sont transmis signés et datés, sous format PDF, via la messagerie organique (bpsogv.sdgp.dggn@ gendarmerie.intérieur.gouv.fr), avant le 7 septembre 2012. 1.3.2. Dispositions particulières pour les branches « personnel servant au sein des écoles de la gendarmerie nationale », « personnel servant outre-mer, en assistance technique, en prévôté » et « personnel servant en ambassade ». Pour ces trois branches, les états justificatifs prévisionnels sont accompagnés pour le 3 octobre 2012 : – d’un état numérique des gradés affectés dans la branche considérée en 2013 indiquant le nom, le grade et la formation administrative d’appartenance ; – d’un état des personnels relevés en 2013 précisant la subdivision d’arme, le nigend, le grade et le nom du militaire. 1.4. Volume des TA 2013 La procédure des postes réservés est finalisée au cours d’une séance de travail réunissant, semaine 42 (entre le 15 et le 19 octobre 2012), la direction générale de la gendarmerie nationale (DGGN), le commandement de la gendarmerie outre mer (CGOM) et le commandement des écoles de la gendarmerie nationale (CEGN). L’objectif de cette procédure est de déterminer tous les flux entrants en 2013 dans les branches de gestion des sous-officiers de gendarmerie du cadre général, du grade d’adjudant à major. Les volumes maximum des tableaux d’avancement par branche, par grade et par formation administrative seront diffusés le 26 octobre 2012 (note portant directives de gestion relatives à l’avancement 2013 des sous-officiers de gendarmerie du cadre général, sous timbre de la sous-direction de la gestion du personnel [SDGP]). Les promotions au grade de maréchal des logis-chef (MDC) au titre de la deuxième voie d’avancement (avancement voie professionnelle + GFC) font l’objet d’un contingentement statutaire représentant 20 % au maximum de l’ensemble des promotions de l’année à ce grade. Les promotions au grade d’adjudant GFC respecteront strictement les deux critères de gestion exposés au paragraphe 2 de la présente circulaire. Le parcours de carrière médian de la « voie professionnelle » est rappelé en annexe II. Le volume des promotions au grade de MDC, au titre de l’AVP, est déterminé par chaque formation administrative dans la limite du contingentement statutaire après déduction du volume GFC effectivement réalisé. 1.5. Réunion des commissions d’avancement Pour les sous-officiers de gendarmerie du cadre général, les commissions d’avancement se réunissent à compter du 29 octobre 2012. 1.6. Date d’arrêt des tableaux d’avancement Les tableaux d’avancement sont arrêtés le mardi 4 décembre 2012. (1) Cette opération vise à permettre aux notateurs d’accéder aux dossiers des militaires ayant exprimé leur volontariat à l’avancement. (2) Pour ce qui concerne les spécialistes, la DGGN/DPMGN/SDGP/BPSOGV/SSOGS (section SOG spécialistes) doit impérativement être informée de toute « demande tardive » établie par un SOG spécialiste. Elle seule est autorisée à supprimer et/ou modifier sur l’application Agorh@ les « demandes tardives » pour les personnels qui relèvent de son périmètre. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 262 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 1.7. Information des sous-officiers inscrits au tableau d’avancement Pour ce qui concerne la communication interne région et formation, toute latitude est laissée aux autorités délégataires des pouvoirs du ministre. La mise en ligne des tableaux d’avancement à l’échelon national de l’ensemble des formations est effectuée le 4 décembre 2012 à 14 heures sur le site https://www.gendcom.info. 1.8. Information de la direction générale de la gendarmerie nationale Les autorités habilitées à arrêter les tableaux d’avancement adressent impérativement pour le 4 décembre 2012, 9 heures, la décision portant inscription aux TA pour l’année 2013 (version PDF signée et OpenOffice), par messagerie interpersonnelle, au chef d’escadron Mortelec, Philippe, à l’adjudant-chef Robert, Bertrand et à Mme Denoyelle, Chantal. L’état justificatif définitif des inscriptions aux TA pour l’année 2013, daté et signé, est transmis sous format PDF, via la messagerie organique (bpsogv.sdgp.dggn@gendarmerie.intérieur.gouv.fr), sous référence du présent timbre, pour le 13 décembre 2012 (1). Enfin, pour l’insertion de la décision portant inscription au tableau d’avancement au Bulletin Officiel du Ministère de l’Intérieur (BOMI), un original signé (2) est également adressé à la DGGN/DPMGN/SDGP/BPSOGV/2SOGCG. 2. Avancement voie professionnelle et gestion de fin de carrière La gestion de fin de carrière s’insère dans un processus d’avancement « voie professionnelle » tardif. Les sous-officiers inscrits aux tableaux d’avancement en raison de la gestion de leur fin de carrière n’ayant pas vocation à occuper des responsabilités d’encadrement, ils sont maintenus sur des postes de gendarme. À ce titre, ils sont dispensés du module spécifique de formation destiné aux autres militaires inscrits au titre de la voie professionnelle. Au-delà du contingentement statutaire à 20 % de l’ensemble des promotions au titre de la « voie professionnelle », les gestionnaires déconcentrés veilleront à la nouvelle limite d’âge des militaires susceptibles d’être retenus en tenant compte des deux impératifs suivants : – l’inscription éventuelle des gendarmes au grade de maréchal des logis-chef au titre de la GFC fera l’objet d’une étude chronologique individuelle, tenant compte de leur date de naissance pour permettre d’accéder au grade d’adjudant dans les conditions décrites ci-dessous ; – à l’exception des militaires présentant des insuffisances dans la manière de servir, tous les maréchaux des logischefs doivent être promus au grade d’adjudant pour leur permettre de bénéficier d’au moins six mois d’ancienneté dans l’un des échelons de ce grade sans toutefois dépasser dix huit mois avant radiation des cadres par limite d’âge. 3. Situation des spécialistes (affaires immobilières – montagne – systèmes d’information et de communication) Le fusionnement est effectué dans les mêmes conditions que pour les sous-officiers de gendarmerie du cadre général (3) et les déclarations sont transmises à la section sous-officiers de gendarmerie spécialistes de la DGGN pour le 18 juillet 2012 accompagnées de la dernière notation. L’officier des systèmes d’information et de communication pourra utilement être associé au travail d’avancement des sous-officiers de cette spécialité en tant que conseiller technique du commandant de région. Les sous-officiers spécialistes mutés après le 30 juin 2012 restent fusionnés par la formation à laquelle ils appartenaient avant la mutation. Il appartient à la région de départ de transmettre à la région d’accueil le fusionnement du personnel. Les candidats à l’unité de valeur 6 (UV6) du diplôme technique des systèmes d’information et de communication (DTSIC) peuvent se déclarer volontaires à l’avancement au titre de l’année 2013, conformément au paragraphe 1.2 de l’instruction de référence. Afin de faciliter le traitement de leur dossier, il leur est toutefois conseillé d’attendre la codification de leur spécialité sur Agorh@ avant de valider leur déclaration de volontariat. (1) Les listes des personnels volontaires, le procès-verbal de la commission d’avancement et l’état de positionnement sont archivés à l’échelon local et ne sont transmis que sur demande particulière. (2) Le formalisme du modèle joint en annexe II. de l’instruction de dernière référence doit être scrupuleusement respecté. (3) Cf. point 2.2. de l’instruction de référence. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 263 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 4. Cas spécifique des spécialistes aéronautiques Comme prévu par les nouveaux textes, les TA 2013 des spécialités aéronautiques seront désormais établis par le commandement des forces aériennes de la gendarmerie nationale (CFAGN). Ils seront contrôlés et arrêtés par le directeur des personnels militaires de la gendarmerie nationale (DPMGN). 4.1. États justificatifs Les états justificatifs prévisionnels (annexe I) visant à déterminer le nombre d’inscriptions possibles par grade et par spécialité pour 2013 sont transmis signés et datés, sous format PDF via la messagerie organique (ssogs.bpsogv.sdgp. dggn@gendarmerie.intérieur.gouv.fr), avant le 7 septembre 2012. Les volumes maximum des tableaux d’avancement seront diffusés le 26 octobre 2012 (note portant directives de gestion relatives à l’avancement 2013 des sous-officiers de gendarmerie des spécialités aéronautiques, sous timbre de la SDGP). 4.2. Composition des commissions d’avancement Sont adressés sous référence du présent timbre pour le 13 septembre 2012 : –les noms, grades et fonctions, des membres titulaires et suppléants désignés par le commandant des forces aériennes de la gendarmerie nationale ; – la date des commissions d’avancement. 5. Rôle des notateurs Il appartient à chaque échelon de notation de : – vérifier la pertinence des volontariats exprimés au titre de la GFC au regard des conditions de gestion précisées au point 2 ci-dessus ; – fusionner et attribuer un numéro de préférence aux candidats proposés (P) et non proposés (NP) à l’aide d’une fraction dont le dénominateur correspond au nombre total des volontaires à l’échelon considéré (P + NP) au regard des dispositions énoncées au point 1.4 de l’instruction de référence ; – s’assurer que les candidats remplissent les conditions statutaires et appliquer le cas échéant les dispositions du point 2.2. de l’instruction de référence. Le rapatriement des données contenues dans Agorh@ n’exclut pas le contrôle. Aussi, le détail des notes des cinq dernières années tout comme le potentiel attribué sont scrupuleusement vérifiés par le notateur juridique. Conformément à l’article R. 4135‑5 du code la défense, il est rappelé que le militaire qui n’a pas accompli au moins 120 jours de présence effective en position d’activité durant la période de notation, n’est pas noté au titre de l’année considérée. Dans ce cas, sa dernière notation lui est conservée. Ces dispositions sont impérativement appliquées. Conformément au paragraphe 2.3 de l’instruction de référence, les déclarations de volontariat à l’avancement établies par les sous-officiers du cadre général, mutés hors branche, doivent comporter le fusionnement de la branche d’origine avant d’être transmises sans délai à la branche d’accueil. Après prise en compte du fusionnement établi par la branche perdant le personnel, la branche d’accueil rectifie en conséquence le fusionnement apposé sur la déclaration de volontariat. 6. Commissions d’avancement 6.1. Composition Les commissions d’avancement sont composées conformément à l’arrêté du 4 août 2010 modifié, susvisé. Pour les branches ci-dessous, sont adressés sous référence du présent timbre pour le 13 septembre 2012 : –branche « formations extérieures », dont la réunion est arrêtée au 13 novembre 2012 matin, les noms, grades et fonctions, des membres titulaires et suppléants désignés par le général d’armée, inspecteur général des armées – gendarmerie, par le général de corps d’armée, inspecteur général de la gendarmerie nationale, par le général, directeur adjoint opérations de la protection et de la sécurité de la défense et par le colonel, commandant la gendarmerie de la sécurité des armements nucléaires – branche « secrétariat », dont la réunion est arrêtée au 13 novembre 2012 après-midi, les noms, grades et fonctions, des membres titulaires et suppléants désignés par les autorités compétentes. Les commandants de la gendarmerie de l’air, de la gendarmerie maritime, de la gendarmerie des transports aériens, de la gendarmerie de l’armement, des formations composant la branche « technique », et le directeur de l’établissement central de l’administration et du soutien de la gendarmerie nationale, font connaître leurs besoins en membres titulaires ou suppléants ainsi que la date de la commission d’avancement pour le 13 septembre 2012, sous référence du présent timbre. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 264 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 6.2. Procès-verbal Les listes nominatives des volontaires, annexées au procès-verbal de la commission, sont établies par grade, sans omission, ni modification, conformément à l’annexe I de l’instruction de référence. Les volontaires sont classés dans l’ordre alphabétique du patronyme. Seuls les personnels proposés à l’inscription (PI) portent un numéro de préférence (numérateur sans dénominateur). Les autres personnels ne font pas l’objet d’un classement préférentiel. 7. Mobilité et dialogue de gestion Il est rappelé que les dispositions relatives à la mobilité et au dialogue de gestion dans le cadre de l’avancement de grade, précisées au point 1.3 de l’instruction de référence, sont à appliquer stricto sensu. 8. Cas particuliers 8.1. Sous-officiers en position de non-activité Les militaires placés en congé de longue durée pour maladie ou en congé de longue maladie conservent leur droit à l’avancement lorsque l’affection survient du fait ou à l’occasion de l’exercice des fonctions ou à la suite de l’une des causes exceptionnelles prévues à l’article L. 27 du code des pensions civiles et militaires de retraite. 8.2. Sous-officiers en position de détachement Un militaire inscrit au tableau d’avancement, détaché en application des articles L. 4139‑1, L. 4139‑2 ou L. 4139‑3 du code de la défense, ne peut être promu durant son détachement. Les promotions des militaires inscrits après lui continuent, conformément aux dispositions de l’article L. 4136‑3 du code de la défense. Le militaire détaché sera promu le premier jour du mois qui suit sa réintégration. Pour le ministre et par délégation : Le général de corps d’armée, directeur des personnels militaires de la gendarmerie nationale, Joël Delpont 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 265 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE I CONFIDENTIEL PERSONNEL SOUS-OFFICIERS. ATTACHE UNITÉ. Avancement des sous-officiers de gendarmerie Branche « » (a) N° __________________ ÉTAT JUSTIFICATIF DES INSCRIPTIONS AU TABLEAU D'AVANCEMENT POUR L'ANNÉE 2013. Majors. Adjts-chefs. Adjudants. Maréchaux des logis-chef. Voie GFC. Voie Voie GFC. classique. classique. professionnelle. 1. Effectif autorisé au 31.12.2012(b). (c) 2. Effectif réalisé au 31.12.2012 . (d) 3. Détachements gradés GM en GD . 4. Repyramidage 2013. 5. Balance (1 – 2 + 4) + (- ou + 3) (+ ou -). PERTES 2013. 6. Radiations certaines des cadres pour l’année du T.A(e). 7. Vacances répercussion promotions prévisionnelles(f). 8. Vacances répercussion réussite OGR (hors liste complémentaire). 9. Vacances probables(g). (h) 10. Prévisions d’affectation hors branche et CSA gradés . 11. TOTAL des pertes (5 + 6 + 7 + 8 + 9 + 10). GAINS 2013. (h) 12. Prévisions d’affectation hors branche et CSA gradés . 13. Postes réservés par la DGGN. 14. TOTAL des gains (12 + 13). 15. Possibilités d'inscriptions (5 + 11 – 14). VOLONTAIRES À L'AVANCEMENT. Majors. Adjts-chefs. Adjudants. Maréchaux des logis-chef. GFC. Voie Voie Voie GFC. classique. classique. professionnelle. 16. Nombre de volontaires remplissant la (les) condition(s) statutaire(s) (P - NP) pour « voie classique » et « voie professionnelle » et nombre de volontaires (P - NP) pour la voie « GFC ». 17. Nombre de volontaires remplissant les conditions de gestion pour la GFC(i). 18. Inscriptions réalisées au TA 2013. 19. Nombre de militaires remplissant la (les) condition(s) statutaires et non volontaires pour l'avancement, à la date d'arrêt du TA. Signature du Commandant de formation administrative (a) Préciser la branche ou la spécialité. (b) Cadre général : déduire les effectifs autorisés dans toutes les spécialités, les personnels affectés au sein de la direction de la protection et de la sécurité de la défense (DPSD) et les gestions de fin de carrière (GFC) pour le grade d'adjudant. (c) Cadre général : déduire les effectifs réalisés dans toutes les spécialités, les personnels affectés au sein de la DPSD et les GFC pour le grade d'adjudant. (d) Uniquement détachements prononcés. Perte pour la branche GM et gain pour la branche GD. Sur pièce jointe, fournir par grade, le nigend, le nom, prénom, l'affectation d'accueil et la date du mouvement (entrée, sortie) pour tous les détachés quelque soit l'année initiale de détachement. (e) Radiations des cadres par limite d'âge (LA) ou par anticipation (effective à l'établissement du présent état). Sur pièce jointe, fournir par grade, le nigend, le nom, le prénom et la date de radiation effective. (f) Répercussion des possibilités d'inscriptions au grade d'adjudants-chefs et d'adjudant. (g) Calculées sur la base statistique des vacances effectivement constatées sur les cinq dernières années (radiation des cadres, positions non-activité, décès ...). (h) Dont la réalisation relève des attributions des autorités déconcentrées. Aucun mouvement ne devra être pris en compte sans l'accord de principe écrit de la branche d'accueil. Sur pièce jointe, fournir par grade, le nigend, le nom, le prénom, l'affectation d'accueil et la date du mouvement. (i) Cf. point 2. de l'instruction de dernière référence. Sur pièce jointe, fournir par grade, le nigend, le nom, prénom, la date de radiation par limite d'âge. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 266 Âge. Gestion de fin de carrière. Voie Professionnelle. Encadrement Commandement. Mobilité fonctionnelle. MDC ADJ Encadrement. MDC Concours OGR (ADJ ITA à MAJ) ADC ADJ MDC MAJ ou OGR Commandement. ADJ ADC 25. 26. 27. 28. 29. 30. 31. 32. 33. 34. 35. 36. 37. 38. 39. 40. 41. 42. 43. 44. 45. 46. 47. 48. 49. 50. 51. 52. 53. 54. 55. 56. 57. 58. 59. Engagement / expériences / compétences Aptitude à exercer des responsabilités Concours EOGN SD OPJ/DA/DS Exécution. Parcours de carrière médian (plage de grade et âges moyens) ANNEXE II BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 267 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR _____ Direction générale de la gendarmerie nationale _____ Direction des soutiens et des finances _____ Sous-direction de l’immobilier et du logement _____ Bureau du budget et de la réglementation _____ Circulaire no 48000 du 24 mai 2012 relative à l’hébergement des volontaires dans les armées servant au sein de la gendarmerie nationale NOR : INTJ1225333C Références : Décret no 2008‑955 du 12 septembre 2008 (JO du 16 septembre 2008, texte no 37 ; signalé au BOC 42 : 2008 ; BOEM 106.2, 300.3, 311.1, 323.1, 331.2, 614.1, 621‑4, 651.5, 810.1, 810.2 – CLASS. : 91.03) ; Instruction no 201710/DEF/SGA/DFP/FM/1 du 4 novembre 2005 (BOC 2005, p. 8299 – CLASS. : 31.00) modifiée ; Circulaire no 21550/MA/GEND/A/I du 7 mai 1973 (CLASS. : 95.03) ; Correspondance de la direction de la législation fiscale du ministère de l’économie, des finances et de l’industrie du 29 juillet 2005 (ND). Pièce(s) jointe(s) : Deux annexes ; Correspondance de la direction de la législation fiscale du ministère de l’économie, des finances et de l’industrie du 30 mai 2000. Préambule La présente circulaire a pour objet de préciser les modalités d’hébergement des personnels ayant souscrit un contrat de volontariat dans la gendarmerie, en qualité de gendarme adjoint ou d’aspirant de gendarmerie issu du volontariat. Militaires non professionnels hébergés gratuitement en célibataire par l’État au titre de leur participation au service national en qualité de volontaires, ils ne sont pas réglementairement éligibles à une concession de logement. La gratuité d’occupation des locaux d’hébergement s’étend aux dépenses correspondant aux charges et consommations individuelles (eau, gaz, électricité, chauffage, entretien,...) qui incombent aux formations. Ils perçoivent en conséquence l’indemnité pour charges militaires au taux logé. À l’exception des indemnisations dues pour des détériorations résultant d’une faute personnelle détachable du service, aucune contribution ne peut être demandée aux volontaires. 1. Nature des locaux d’hébergement Les locaux d’hébergement, considérés comme des locaux de service, doivent, sauf cas exceptionnel, être situés à l’intérieur des casernes de gendarmerie domaniales ou locatives. Ils doivent répondre dans toute la mesure du possible au standard de confort suivant : chambre individuelle de 9 m2 au moins par militaire avec sanitaires et coin cuisine commun. Ces locaux peuvent prendre la forme soit d’un local d’hébergement spécifique, soit d’une chambre individuelle dans un logement déclassé en local de service. 1.1. Les locaux d’hébergement spécifiques Dans les constructions existantes, les locaux d’hébergement doivent permettre une individualisation des chambres. Lorsque ce n’est pas le cas, des travaux d’aménagement seront réalisés pour y parvenir. Les équipements sanitaires seront rénovés en cas de besoin. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 268 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Dans les constructions neuves ou lors des opérations de réhabilitation, l’hébergement sera réalisé, selon trois configurations : – soit par l’attribution d’une chambre dans un logement famille dit « réversible » (type 3, 4 ou 5), comprenant 2 WC indépendants. Une salle d’eau (une douche et un lavabo) est attachée à chaque chambre et uniquement accessible depuis celle-ci ; – soit par un module individuel d’une surface de 20 m², jusqu’à 3 unités. Le ou les modules sont construits de manière indépendante en juxtaposition des locaux de service. La salle d’eau avec WC intègre le principe de mise en place d’une machine à laver le linge ; – soit par un module de 19 m² au-delà de 3 unités. Dans ce cas, les modules sont intégrés à une entité immobilière indépendante comprenant des locaux communs (lingerie, local de convivialité et local cycles) construite en juxtaposition d’un bâtiment logements « familles ». 1.2. L’attribution d’une chambre individuelle dans un logement déclassé À défaut de locaux spécifiques, les logements situés en caserne dont le déclassement (1) en locaux de service a été autorisé par la direction générale de la gendarmerie nationale sont destinés à l’hébergement des gendarmes adjoints ou aspirants volontaires. En pareille hypothèse, chaque militaire hébergé dans le logement déclassé dispose d’une chambre individuelle. En outre, à l’exclusion de la partie commune constituée par les dégagements, le coin cuisine et les sanitaires, il ne peut être mis à la disposition des occupants une pièce supplémentaire autre que celle qui leur a été attribuée supra ; les pièces inoccupées sont considérées comme des locaux de service et peuvent être utilisées comme tels par le corps gestionnaire. L’attention est appelée sur la nécessité d’informer les services fiscaux compétents en temps utile afin de faire bénéficier ces locaux de l’exonération de la taxe d’habitation et de la taxe d’enlèvement des ordures ménagères. Lorsque les logements déclassés permettent l’hébergement d’au moins deux gendarmes adjoints ou aspirants volontaires, les seuls travaux d’aménagement, s’ils sont possibles, viseront à améliorer l’équipement de la salle de bain. Une cabine de douche comprenant un espace déshabillage pourra remplacer la baignoire et un deuxième lavabo pourra être installé si la surface de la pièce le permet. Les portes des chambres seront équipées d’une serrure à clef. Les chambres individuelles susceptibles d’être utilisées en local d’hébergement doivent, dans toute la mesure du possible, être équipées d’une ligne téléphonique privée (liaison internet), d’une prise télévision et d’un réseau de 6 prises de courant. En tout état de cause, une chambre individuelle ne peut pas être utilisée en local d’hébergement si elle ne comporte pas au minimum 3 prises de courant. La mixité dans les logements déclassés destinés à l’hébergement des volontaires n’est pas interdite. En cas de mixité, il conviendra néanmoins de veiller à ce que les chambres, salles de bains et sanitaires disposent chacun d’un système de verrouillage permettant de préserver l’intimité des militaires. Par ailleurs, au sein d’un même logement déclassé, l’hébergement de personnels militaires de statuts différents doit être évité dans toute la mesure du possible. 2. Matériels meublant les locaux d’hébergement Le lot de mobilier, de couchage et d’ameublement codifié 0219 00 au catalogue no 9605 MA/GEND/AF.3 T est reconduit pour les gendarmes adjoints et pour les aspirants de gendarmerie issus du volontariat. Sous réserve d’obtenir l’autorisation préalable du commandement, le militaire peut équiper le local attribué d’un mobilier personnel conforme aux normes de sécurité en vigueur, en lieu et place du lot ci-dessus désigné. En revanche, il n’appartient pas à l’État-gendarmerie de financer la mise en place de téléviseurs dans les locaux d’hébergement. Toutefois, il est précisé qu’une partie des crédits des actions communautaires et culturelles doit être utilisée, après avis des comités sociaux territorialement compétents, pour financer l’installation de tels matériels. 3. Attribution des hébergements et états des lieux L’attribution d’un local d’hébergement est prononcée par le commandant de région (ou autorité assimilée) sur la base d’une décision conforme au modèle figurant en annexe I. Celui-ci peut déléguer ce pouvoir aux commandants de groupement de gendarmerie départementale ou mobile qui lui sont subordonnés. Corrélativement, le gestionnaire procède à la mise à jour de la base GEAUDE 2 G AI. (1) Le déclassement des logements domaniaux ou non domaniaux est régi par la circulaire no 21550/MA/GEND/AI du 7 mai 1973 (CLASS. : 95.03). 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 269 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Lors de l’entrée dans les lieux et lors de la sortie, il est procédé contradictoirement à un état des lieux du local d’hébergement ainsi qu’à un inventaire des matériels mis à disposition. Ce document est signé par l’hébergé ainsi que par le commandant de caserne. Un modèle d’état des lieux figure en annexe II. 4. Conditions d’occupation des locaux d’hébergement S’agissant de locaux de service, les règles d’occupation sont définies par le commandement, notamment en ce qui concerne le droit de visite et l’accès aux chambres. Par ailleurs, l’attribution d’un local d’hébergement ne permet pas à l’occupant de prétendre à une quelconque jouissance privative des lieux. 4.1. Occupation en célibataire de la chambre individuelle attribuée Les volontaires sont hébergés en célibataire. Cette disposition ne saurait toutefois exclure ni un accueil momentané à l’occasion d’une visite, ni un accueil de courte durée soumis à une autorisation écrite du commandant de caserne (2). L’autorisation donnée par le commandement n’emporte pas droit à occuper un autre local d’hébergement. Dans cet esprit, il importe de veiller à la présence, ou le cas échéant d’assurer la pose, de dispositifs de fermeture aux portes des chambres individuelles des militaires hébergés ainsi qu’à celle de la salle d’eau. 4.2. Interdiction de détenir un animal domestique Par analogie avec les dispositions de la circulaire no 11000/DEF/GEND/Œ/EMP/SERV du 5 mai 1982, l’occupation d’un local d’hébergement, classé dans la catégorie locaux de service, ne permet pas aux militaires occupants de détenir, à titre privé, un animal domestique. 4.3. Modalités relatives au contrôle des locaux d’hébergement Le commandement (3) doit procéder régulièrement aux visites des locaux de service qui s’avèrent nécessaires dans les différents domaines relevant de sa responsabilité. Il lui appartient notamment de veiller à ce que les règles élémentaires d’hygiène et de sécurité soient respectées (usage des multi-prises, des installations sanitaires pour la vaisselle,...). à cet effet, le principe de revues de chambres, régulières et annoncées, doit être privilégié. Si, sur le fond, il n’y a pas lieu de distinguer les locaux d’hébergement des autres locaux de service, il importe cependant de conserver à l’esprit la destination des chambres individuelles et de préciser que de tels contrôles ne doivent pas, sauf en cas de nécessité avérée, nuire au repos ou à la tranquillité des occupants (4). Ils doivent être annoncés au moins vingt-quatre heures à l’avance en précisant l’objet et être réalisés en présence de l’occupant des lieux. Ce principe ne doit cependant pas être de nature à empêcher ou limiter l’action du commandement, notamment en cas d’urgence. à ce titre, le commandant de caserne doit disposer d’un double des clés dans les mêmes conditions que pour les logements concédés par nécessité absolue de service. 5. Utilisation de matériels personnels et responsabilité des occupants 5.1. L’utilisation d’appareils électriques personnels Les gendarmes adjoints et aspirants de gendarmerie issus du volontariat sont entretenus par l’État au moyen de prestations en deniers et en nature. À ce titre, l’État est tenu de pourvoir gratuitement à leur alimentation, à leur hébergement, au renouvellement et à l’entretien de leur paquetage, et de dispenser certaines prestations destinées à accroître leur bien-être. Il appartient en conséquence à la gendarmerie de mettre en place les matériels indispensables ainsi que, dans la mesure du possible, ceux qui peuvent procurer à ces personnels des possibilités de relations, de loisirs et de détente. (2) Par analogie avec les dispositions de l’annexe I à la circulaire no 11000/DEF/GEND/Œ/EMP/SERV du 5 mai 1982 (CLASS. : 31 42), dont le champ d’application se limite strictement à l’admission de personnes dans les logements concédés par nécessité absolue de service, le commandant de caserne, compétent pour délivrer cette autorisation d’accueil de courte durée, de l’ordre de quelques jours, devra être informé de l’identité de la personne accueillie. (3) Ce terme désigne aussi bien l’autorité de commandement territorial en charge de l’immobilier que l’autorité de commandement organique telle que la prévoit l’instruction no 30000/GEND/2SF/SDI du 23 octobre 2009 (CLASS. : 95 19). (4) Dans toute la mesure du possible, il conviendra d’éviter de procéder à ces contrôles au cours : – d’un repos consécutif à un service nocturne ; – d’un accueil momentané ou de courte durée autorisé par le commandement. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 270 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Cependant, si, pour des raisons diverses, il ne peut être apporté satisfaction à des besoins qui se révèlent manifestes, le commandement peut, si la configuration du réseau électrique le permet (réseau de prises, disjoncteur de protection...), autoriser l’installation et l’utilisation, dans les locaux réservés à l’hébergement, d’appareils électroménagers mais également de radios, téléviseurs, chaînes hi-fi, ordinateurs... 5.2. Les responsabilités 5.2.1 Responsabilité en cas de sinistre ayant pour origine l’utilisation d’appareils électriques personnels Si l’utilisation de ces appareils est autorisée par le commandement, les dommages qui pourraient en résulter engagent la responsabilité de l’État au même titre que si ces appareils avaient été fournis par l’administration. Dans ces conditions, il appartient au commandement d’en fixer les modalités d’emploi et de s’assurer de leur bon fonctionnement. à défaut, la responsabilité du commandement pourrait être recherchée sur la base d’une négligence. Seul le cas d’utilisation non autorisée pourrait éventuellement exonérer l’administration de cette responsabilité. 5.2.2. Responsabilité en cas de sinistre ayant une autre origine L’État-gendarmerie est par principe responsable des dommages subis par des tiers, par lui-même ou par ses agents dans les locaux de service ou du fait de ces locaux. Il lui appartient de prendre toutes les dispositions pour s’assurer du parfait état de ces locaux et du mobilier en place ainsi que de l’usage qui en est fait. Le volontaire est un agent de l’État et, en tant que tel, sa responsabilité pécuniaire ne peut être engagée dans l’utilisation d’un local de service qu’en cas de faute personnelle. Bien que les critères de la faute personnelle soient assez divers, constitue généralement une faute personnelle : – la faute qui révèle la recherche d’un intérêt personnel (usage du local d’hébergement en violation des conditions restrictives,...) ; – la faute qui révèle une intention malveillante ; – la faute lourde (négligence, imprudence ou maladresses inexcusables) ; – la faute qui constitue un délit pénal (incendie ou dégradations volontaires,...). Par ailleurs, en application de l’article L. 4123‑10 du code de la défense, l’État doit, dans la mesure où aucune faute personnelle détachable de l’exécution des fonctions n’a été commise, couvrir le militaire des condamnations civiles prononcées contre lui. 5.2.3. Intérêt de souscrire une assurance Il ne peut pas être imposé aux volontaires la souscription d’une assurance pour couvrir les dommages susceptibles d’être occasionnés dans les locaux d’hébergement. Il est néanmoins recommandé à ces personnels de contracter une assurance en responsabilité civile pour garantir les préjudices causés aux tiers mais aussi les dommages subis par leurs biens personnels en cas de sinistre dans le local d’hébergement. 6. Situation des militaires autorisés à se loger à l’extérieur Les gendarmes adjoints ou aspirants mariés, liés par un pacte civil de solidarité (PACS), concubins ou chargés de famille peuvent, sous réserve d’obtenir une autorisation préalable du commandant de région, se loger à l’extérieur d ans des conditions compatibles avec l’exécution du service. Il leur incombe dès lors de s’acquitter des dépenses de loyer et charges qui en résultent. Il n’incombe pas à l’État d’obligation particulière de transport du personnel pour les trajets travail-domicile qui restent financièrement à la charge des intéressés. Une telle autorisation ne dispense pas non plus le militaire concerné de son obligation d’occuper le local mis à sa disposition lorsqu’il appartient à la ressource employée. Les volontaires mariés, vivant en concubinage, liés par un PACS et autorisés à se loger à l’extérieur sont éligibles à l’indemnité pour charges militaires (ICM) au taux non logé et à un taux particulier de l’ICM dès lors qu’ils remplissent les conditions prévues par la réglementation en vigueur (5). Conformément aux dispositions de l’instruction no 21467/DEF/DAG/SDP/HAB du 2 juin 1997 (BOC, p. 2861), les gendarmes adjoints et aspirants, chargés de famille, pacsés depuis plus de trois ans ou chargés de famille peuvent prétendre à l’attribution d’un logement militaire familial sous réserve de satisfaire aux conditions fixées par cette instruction. (5) Conformément au paragraphe 1.2.3. de la circulaire no 7300/DEF/GND/LOG/ADM du 26 mars 1993 (CLASS. : 93.11). 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 271 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 7. Régime fiscal applicable aux locaux d’hébergement 7.1. La taxe d’habitation L’attribution d’un local d’hébergement n’emportant pas la disposition privative et personnelle d’un logement, les militaire hébergés en caserne sont exonérés de la taxe d’habitation. S’agissant des situations exceptionnelles dans lesquelles ces militaires seraient hébergés dans des logements pris à bail hors caserne ou des ensembles immobiliers locatifs, l’imposition est établie au nom de la gendarmerie nationale, en sa qualité de locataire, sans qu’aucune contribution ne puisse être réclamée à ce titre aux occupants des lieux. En conséquence, il appartient au corps gestionnaire de supporter le paiement de cette taxe sur son budget de fonctionnement. 7.2. La taxe d’enlèvement des ordures ménagères (TEOM) En aucun cas les militaires hébergés ne sont imposables à la TEOM. Lorsque la gendarmerie nationale doit s’acquitter de cette taxe (6), il appartient au corps gestionnaire de supporter le paiement de cette taxe sur son budget de fonctionnement, sans qu’aucune contribution ne puisse être réclamée à ce titre aux occupants les lieux. 7.3. La redevance d’enlèvement des ordures ménagères S’agissant de la redevance d’enlèvement des ordures ménagères prévue à l’article L. 2333‑76 du code général des collectivités territoriales, celle-ci n’a pas de caractère fiscal. En conséquence, la redevance, instaurée par la collectivité territoriale en lieu et place de la taxe, est due pour les locaux d’hébergement et, plus généralement, pour les locaux de service et techniques. Elle est mise à la charge du corps gestionnaire, sans qu’aucune contribution ne puisse être réclamée à ce titre aux occupants les lieux. 7.4. Conséquence liée au régime fiscal des locaux d’hébergement Le régime fiscal applicable aux locaux d’hébergement doit conduire les destinataires à faire réintégrer dans les casernes domaniales ou locatives les militaires actuellement hébergés dans des logements pris en location hors caserne par la gendarmerie nationale ou dans des ensembles immobiliers locatifs. 9. Dispositions transitoires La présente circulaire entre en vigueur à compter du 1er juillet 2012. Elle n’annule ni les décisions d’attribution de locaux d’hébergement, ni les états des lieux établis antérieurement. Pour le ministre et par délégation : Le général de corps d’armée, major général de la gendarmerie nationale, R. Lizurey (6) Les logements pris à bail hors caserne et les ensembles immobiliers loués par la gendarmerie nationale sont imposables à la TEOM au nom du propriétaire. Celui-ci a la possibilité de récupérer la TEOM auprès de la gendarmerie en sa qualité de locataire. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 272 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE I Région de gendarmerie de _____ N° Décision portant attribution à titre précaire et révocable d’un local d’hébergement à un militaire de la gendarmerie ne bénéficiant pas d’une concession de logement par nécessité absolue de service Le ministre de l’intérieur, Vu le code de la défense (notamment les articles L. 4125‑5, L. 4132‑5 et L. 4132‑11) ; Vu le décret no 2008‑955 du 12 septembre 2008 relatif au volontariat militaire ; Vu l’instruction provisoire no 24000/DEF/GEND/PM/LOG/ADM du 7 décembre 1998 (CLASS : 12.52) ; Vu la circulaire no 48000/GEND/DSF/SDIL/BBR du 24 mai 2012 relative à l’hébergement des volontaires dans les armées servant au sein de la gendarmerie nationale ; Vu l’ordre de mutation no ....... du ........ portant affectation à ...... à compter du ............ ; Attendu que selon la circulaire, les gendarmes adjoints (ou aspirant volontaires) sont des militaires non professionnels hébergés gratuitement en célibataire par l’État au titre de leur participation au service national en qualité de volontaires ; Attendu que cette gratuité ne saurait exclure une responsabilité de l’occupant en cas de dégradation imputable à son fait ; Attendu que le local d’hébergement doit être situé en caserne et peut consister soit en un local d’hébergement spécifique soit en une chambre individuelle dans un logement déclassé ; Attendu que ces locaux d’hébergement, dont l’occupation est toujours liée à l’exécution du service, excluent toute jouissance privative des lieux et ne permettent pas à leur attributaire d’héberger leur famille, des personnes de leurs relations ou de détenir des animaux ; Décide : Article 1er Un local spécifique d’hébergement (ou une pièce du local de service), UI no ........, en caserne, sis ...... est attribué à titre gratuit, précaire et révocable au gendarme adjoint (ou à l’aspirant) ....... à compter du .......... Article 2 Lors de l’entrée dans les lieux et lors de la sortie, il sera procédé contradictoirement à un état des lieux du local d’hébergement entre l’hébergé et le commandant de caserne. Article 3 L’occupant devra utiliser les lieux en « bon père de famille », respecter les prescriptions du règlement de caserne et les règles de vie en collectivité dans la gendarmerie. Son attention est attirée sur l’intérêt de disposer d’une assurance en responsabilité civile couvrant, non seulement les dommages qui pourraient lui être imputés au titre d’un sinistre dans son local d’hébergement, mais aussi les dommages subis par ses biens personnels ainsi que les dommages causés par lui-même à des tiers. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 273 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Article 4 L’occupant n’est pas autorisé à héberger des membres de sa famille ou des personnes de ses relations, sauf si une autorisation écrite a été donnée par le commandant de caserne pour une période de courte durée. Par ailleurs, il n’est pas autorisé à détenir un animal de compagnie, ou à procéder ou faire procéder à des installations particulières (1). Article 5 La présente décision peut faire l’objet d’un recours auprès de la commission instituée par les articles R. 4125‑1 et suivants du code de la défense dans un délai de deux mois à compter de sa date de notification. La saisine de la commission est un préalable obligatoire à l’exercice d’un recours contentieux devant la juridiction administrative compétente. Article 6 Cette décision sera notifiée à l’intéressé dans les conditions définies par la note-express no 40000/DEF/GEND/RH/ ETG du 17 août 2001 (CLASS : 31.23). Destinataires : Intéressé Centre expert des ressources humaines Commandant de caserne Diffusion intérieure : Section affaires immobilières (région) Bureau du personnel (région) Groupe soutien ressources humaines (groupement) (1) L’occupant des lieux a cependant la possibilité de souscrire, à titre personnel, un abonnement pour disposer d’une ligne téléphonique privée ou de l’accès à un réseau câblé. Cet abonnement est réalisé selon les prescriptions énoncées au III du chapitre II de l’instruction no 6900/DEF/ GEND/TI/2T/MF du 11 mars 1988 (CLASS. : 98.12). 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 274 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE II 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 275 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 276 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR C O R R E S P O N DA N C E MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L’INDUSTRIE _____ Direction générale des impôts _____ Direction de la législation fiscale _____ Sous-direction C – Bureau C 2 139, rue de Bercy 75572 PARIS CEDEX 12 Télédoc 571 N° DS/99029886i/CPF ___ Le directeur de la législation fiscale à Monsieur le directeur général de la Gendarmerie nationale, 35, rue St-Didier, 75775 PARIS Cedex 16 Objet : Situation au regard de la taxe d’habitation et de la taxe d’enlèvement des ordures ménagères des gendarmes adjoints. La direction de la législation fiscale a été saisie par plusieurs directions des services fiscaux de demandes d’exonérations d’impôts locaux émanant de groupements locaux de gendarmerie en faveur de logements occupés par des gendarmes adjoints. Les différentes informations fournies par vos services ainsi que les renseignements obtenus par les services fiscaux auprès desquelles des demandes ont été déposées, ont permis de dégager l’analyse suivante. 1. En ce qui concerne la taxe d’habitation Les conditions d’hébergement dans les casernes des gendarmes adjoints diffèrent notablement de celle des gendarmes titulaires bénéficiant d’un logement de fonction concédé par nécessité absolue de service. Contrairement à ces derniers, les gendarmes adjoints n’ont pas la disposition privative et personnelle d’un logement. Par conséquent, au regard des principes d’imposition à la taxe d’habitation, aucune imposition à cette taxe ne peut être établie à leur nom. 2. En ce qui concerne la taxe d’enlèvement des ordures ménagères Il convient de distinguer les casernes dont l’État est propriétaire et celles qui appartiennent aux collectivités locales qui les louent à la Gendarmerie Nationale. 2.1. Casernes dont l’État est propriétaire Lorsqu’elles sont propriétés de l’État, affectées à un service public et non productives de revenus, les casernes sont exonérées de taxe foncière sur les propriétés bâties en application de l’article 1382‑1o du code général des impôts et de taxe d’enlèvement des ordures ménagères. Toutefois, les gendarmes attributaires d’un logement de fonction sont imposés nominativement à la taxe, conformément à l’article 1523 du code général des impôts. Cela étant, cette disposition ne peut s’appliquer qu’à un logement pris dans son intégralité et non à une chambre au sein d’un tel logement. Par conséquent, les gendarmes adjoints qui ne disposent que d’une chambre dans un appartement ne sont pas imposables à la taxe d’enlèvement des ordures ménagères. 2.2. Casernes dont les collectivités locales sont propriétaires Lorsque les casernes sont prises à bail par la Gendarmerie Nationale auprès d’une collectivité locale moyennant versement d’un loyer, la taxe foncière est normalement due. En effet, dans cette situation, la collectivité locale propriétaire des locaux ne peut bénéficier de l’exonération visée à l’article 1382‑l° du code général des impôts, la condition d’absence de productivité de revenus n’étant pas remplie. Par conséquent, la taxe d’enlèvement des ordures ménagères est en principe également due. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 277 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Cela étant, l’article 1521‑II du code général des impôts prévoit que sont exonérés de la taxe d’enlèvement des ordures ménagères les locaux sans caractère industriel ou commercial loués par l’État et affectés à un service public. Les casernes de la Gendarmerie Nationale dont l’État n’est pas propriétaire peuvent bénéficier de cette exonération. Toutefois, les dispositions de l’article 1523 précité demeurent applicables aux gendarmes attributaires d’un logement de fonction. 3. En ce qui concerne la redevance d’enlèvement des ordures ménagères Celle‑ci relève de la compétence du ministère de l’intérieur, direction générale des collectivités locales, sous‑direction des compétences et institutions locales, bureau des services industriels et commerciaux, à qui une copie de l’argumentaire rédigé par vos services a été transmise. * * * Conformément au souhait de la gendarmerie nationale, il sera procédé à une harmonisation au plan national du traitement fiscal des logements situés dans les casernes et occupés par les gendarmes adjoints, sur la base des informations fournies par les groupements de gendarmerie concernés. Paris, le 30 mai 2000 Le directeur, Hervé Le Floc’h-Louboutin 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 278 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR _____ Direction générale de la gendarmerie nationale _____ irection des personnels militaires D de la gendarmerie nationale _____ Sous-direction de la gestion du personnel _____ Bureau du personnel de la réserve militaire _____ Circulaire no 57974 du 19 juin 2012 relative à l’avancement des sous-officiers et militaires du rang de la réserve opérationnelle pour l’année 2012 NOR : INTJ1230551C Références : Code de la défense, notamment ses articles L. 4143‑1, L. 4221‑3, R. 4221‑21et R. 4221‑22, R. 4221‑24 et R. 4221‑27 ; Décret no 2008‑961 du 12 septembre 2008 relatif aux militaires engagés ; Arrêté du 7 juin 2010 fixant pour la gendarmerie nationale les conditions à remplir pour être proposable au grade supérieur dans la réserve opérationnelle ; Arrêté du 7 juin 2010 relatif aux délégations de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière de gestion et d’administration des officiers, sous-officiers et militaires du rang de réserve de la gendarmerie nationale ; Arrêté du 4 août 2010 fixant pour la gendarmerie nationale la composition et l’organisation de la commission prévue à l’article L. 4136‑3 du Code de la Défense. La présente circulaire a pour objet de préciser les conditions d’exécution du travail d’avancement des militaires du rang, des sous-officiers rattachés au corps des sous-officiers de gendarmerie et des sous-officiers rattachés au corps des sous-officiers du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale appartenant à la réserve opérationnelle de 1er niveau. Elle fixe à cet effet les éléments techniques à prendre en considération. 1. Conditions générales Pour être proposables, les candidats doivent réunir les conditions suivantes : – être titulaires d’un ESR homologué et en cours de validité au 1er décembre 2012 ; – être volontaires à l’avancement ; – avoir été radiés des cadres de l’active au plus tard le 31 décembre 2011 et avoir effectué un minimum de 5 jours d’activité dans la réserve. 2. Prises en compte des demandes 2.1.Tout réserviste, qui remplit les conditions requises, est pris en compte pour l’avancement par sa région d’affectation au 1er janvier 2012. 2.2.Les réservistes proposables rattachés au corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie font l’objet d’un travail distinct. 2.3.Les réservistes proposables affectés en gendarmerie mobile font également l’objet d’un travail distinct réalisé au niveau de la région zonale de gendarmerie. 2.4.Les réservistes proposables affectés en gendarmerie de l’air, maritime, de l’armement, des transports aériens, au CGOM, dans les COMGEND, à l’ECASGN, à la garde républicaine et au GIGN sont pris en compte par leurs commandements respectifs. 3. Avancement des sous-officiers de réserve 3.1. Conditions d’ancienneté 3.1.1. Sous-officiers de gendarmerie Les conditions d’ancienneté minimum de grade sont arrêtées à l’échelon régional. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 279 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 3.1.2. Sous-officiers du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale Les conditions d’ancienneté minimum de grade exigées figurent sur le tableau ci-dessous : POUR LE GRADE DE GRADE ET ANCIENNETÉ MINIMUM DE GRADE EXIGÉS Major 4 ans et 4 mois minimum d’ancienneté de grade au 31/12/2012 Adjudant-chef 2 ans et 4 mois minimum d’ancienneté de grade au 31/12/2012 Adjudant 2 ans et 6 mois minimum d’ancienneté de grade au 31/12/2012 Maréchal des logis chef 4 ans et 2 mois minimum d’ancienneté de grade au 31/12/2012 Ces sous-officiers de réserve, à la différence de leurs homologues de l’active, ne sont pas distingués en gestion par le biais de leur spécialité (AGP, GLF, AEB...). Qu’il s’agisse des sous-officiers de réserve rattachés au corps des sous-officiers de gendarmerie ou au corps des sousofficiers du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale, les périodes d’interruption du contrat d’engagement ne sont pas prises en compte pour le calcul de l’ancienneté de grade du réserviste opérationnel. 3.2. Conditions particulières Qu’il s’agisse des sous-officiers de réserve rattachés au corps des sous-officiers de gendarmerie ou des sous-officiers de réserve rattachés au corps des sous-officiers du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie, il est tenu compte de la manière de servir, du nombre de jours d’activité, de l’expérience militaire déjà acquise, de l’aptitude au commandement et du potentiel du candidat. 4. Avancement des militaires du rang de réserve Les militaires du rang de réserve sont rattachés au corps des militaires engagés. Le décret 2008‑961 du 12 septembre 2008 relatif aux militaires engagés précise dans son article 15 les conditions d’avancement des militaires du rang : – pour le grade de brigadier, avoir obtenu une qualification et servi trois mois sous ESR ; – pour le grade de brigadier-chef, avoir servi au moins un mois sous ESR dans le grade de brigadier ; – pour le grade de gendarme, avoir obtenu une qualification et servi au moins six mois sous ESR dont au moins deux mois dans le grade de brigadier-chef. Les périodes d’interruption du contrat d’engagement ne sont pas prises en compte pour le calcul de l’ancienneté de grade du réserviste opérationnel. 4.1. Réservistes issus des PMIPDN (périodes militaires d’initiation ou de perfectionnement à la défense nationale) 4.1.1. Réservistes brevetés PMG (Préparation Militaire Gendarmerie) –la qualification requise pour pouvoir être promu jusqu’au grade de brigadier-chef est le diplôme d’aptitude réserve (DAR) ; – la qualification requise pour pouvoir être nommé au grade de gendarme est le diplôme d’agent de police judiciaire adjoint (APJA). 4.1.2. Réservistes brevetés PMSG (Préparation Militaire Supérieure Gendarmerie) Les réservistes brevetés PMSG ont la qualité d’APJA à la signature de leur contrat ESR, sous réserve qu’ils aient réussi, durant leur stage de formation, l’ensemble des unités de valeur APJA. 4.2. Réservistes, anciens gendarmes-adjoints volontaires 4.2.1. Anciens gendarmes adjoints volontaires-APJA Ces personnels, sous réserve qu’ils soient titulaires du diplôme de gendarme adjoint (DGA), peuvent accéder à l’avancement jusqu’au grade de gendarme de réserve. 4.2.2. Anciens gendarmes adjoints volontaires-emploi particulier 4.2.2.1. Réservistes employés dans des postes de soutien En l’absence de cursus de formation, il est tenu compte de leur manière de servir, de leur nombre de jours d’activité et de l’expérience militaire déjà acquise pour être proposé à l’avancement jusqu’au grade de maréchal des logis de réserve du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 280 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 4.2.2.2. Pour les réservistes qui ont demandé à être affectés en unités opérationnelles et qui satisfont aux dispositions générales relatives à l’aptitude médicale Ces personnels intègrent le cursus de formation du DAR et de l’APJA. Leur avancement est alors identique à celui évoqué au point 4.1. 4.3. Réservistes anciens gendarmes auxiliaires L’avancement de ces personnels est identique à celui évoqué au point 4.1. 4.4. Réservistes ayant intégré la réserve par voie de changement d’armée L’avancement de ces personnels, admis avec leur grade, est identique à celui évoqué au point 4.1. 5. Établissement du tableau d’avancement La commission d’avancement, qui comprend au moins deux officiers supérieurs, dont un officier (d’active ou de réserve) chargé de la réserve opérationnelle est présidée par le commandant de région (1). Après avis de cette commission, pour chaque corps, les tableaux d’avancement annuels sont arrêtés par le commandant de région (1). Les réservistes retenus sont inscrits au tableau d’avancement, par grade décroissant, dans l’ordre de leur ancienneté de grade telle que définie par les articles R. 4221‑24 et R. 4221‑27 du code de la défense. 6. Établissement des décisions de nomination ou de promotion Les décisions de nomination ou de promotion sont établies pour compter du 1er décembre 2012. Les réservistes doivent appartenir à la réserve opérationnelle et être sous contrat ESR à la date de leur promotion ou nomination. La DGGN/BPRM assure l’insertion au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur de la présente circulaire. Il en est de même des tableaux d’avancement et des décisions de promotion des sous-officiers de réserve. Aussi, des modèles de TA et de décisions seront fournis aux régions. L’ensemble des tableaux et des décisions arrêtées devront être transmis au BPRM au plus tard pour le 1er novembre 2012. Pour le ministre et par délégation : Le général de corps d’armée, directeur des personnels militaires de la gendarmerie nationale, Joël Delpont (1) Sauf mention particulière et chaque fois qu’ils sont employés dans la présente circulaire, les termes « commandant(s) de région » et « région(s) de gendarmerie » visent aussi respectivement le(s) commandant(s) et commandement(s) de la gendarmerie outre-mer, de la garde républicaine, du groupe d’intervention de la gendarmerie nationale, de la gendarmerie des transports aériens, de la gendarmerie de l’armement, de la gendarmerie maritime et de la gendarmerie de l’air et de l’établissement central de l’administration et de soutien de la gendarmerie nationale. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 281 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR _____ Direction générale de la gendarmerie nationale _____ Direction des personnels militaires de la gendarmerie nationale _____ Sous-direction des compétences _____ Bureau de la formation _____ Instruction no 55000 du 8 juin 2012 relative à la formation des sous-officiers de gendarmerie servant au titre de la spécialité « systèmes d’information et de communication » NOR : INTJ1224642J Références : Arrêté du 8 juin 2012 fixant les conditions de délivrance du diplôme technique des systèmes d’information et de communication ; Arrêté du 22 juillet 2011 fixant les conditions d’obtention du certificat de formation à l’encadrement opérationnel ; Arrêté du 30 mars 2012 fixant les conditions physiques et médicales d’aptitude exigées des personnels militaires de la gendarmerie nationale et des candidats à l’admission en gendarmerie ; Arrêté du 15 avril 2012 relatif à la répartition des sous-officiers de gendarmerie par subdivision d’arme, par branche ou par spécialité et fixant les branches et spécialités au sein desquelles l’avancement intervient de façon distincte ; Instruction no 1700/DEF/DCSSA/AST/AS du 28 janvier 2002 (BOC, p. 1319 ; BOEM 620‑4.1.2.2 – CLASS. : 92.05) modifiée ; Instruction no 90500/DEF/GEND/SF/TI/SC/2R du 1er juillet 2008 (n.i. BO – CLASS. : 63.06) ; Instruction no 139300/DEF/GEND/RH/SDC/FORM du 27 octobre 2008 (n.i. BO – CLASS. : 32.01) ; Instruction no 49000 du 28 juillet 2011 relative à la formation des gradés supérieurs de gendarmerie nationale à l’encadrement opérationnel et au commandement ; Circulaire no 18900/DEF/GEND/RH/RF/FORM du 1er juillet 2004 (BOC, p. 5707 ; BOEM 651.6.2) modifiée ; Circulaire no 29250/DEF/GEND/RH/RF/FORM du 14 octobre 2005 (BOC, p. 8485 ; BOEM 651.1) modifiée ; Circulaire no 15400/DEF/GEND/RH/RF/FORM du 1er février 2008 (n.i. BO – CLASS. : 32.01) ; Circulaire no 3615/GEND/DPMGN/SDGP/BPSOGV du 2 février 2010 (n.i. BO – CLASS. : 32.30). Pièces jointes : huit annexes. Texte abrogé : instruction no 46000/DEF/GEND/RH/RF/FORM du 12 février 2009 relative à la formation des sousofficiers de gendarmerie servant au titre de la spécialité « systèmes d’information et de communication » (SIC). (BOC no 14 du 6 mai 2009, texte 9 – CLASS. : 32.30) L’organisation du commandement territorial de la gendarmerie affirme le caractère opérationnel des systèmes d’information et de communication (SIC) de la gendarmerie. Dès lors, il apparaît nécessaire de disposer de personnels spécialistes capables d’intervenir tout au long des processus d’installation et du maintien en condition opérationnelle des matériels SIC et d’apporter en toutes circonstances l’expertise technique nécessaire. La formation dans le domaine des SIC est adaptée aux besoins de la gendarmerie et garantit l’homogénéité des connaissances des sous-officiers spécialistes. La présente instruction a pour objet de définir le cursus de formation et les modalités de sélection des sous-officiers de gendarmerie ayant choisi de servir au titre de la spécialité SIC. 1. Descriptif général de la formation Les sous-officiers de gendarmerie appelés à exercer des fonctions de spécialiste dans le domaine des SIC suivent une formation qui s’articule autour : –d’une formation initiale de sous-officier spécialiste sanctionnée par l’attribution du diplôme technique des systèmes d’information et de communication (DTSIC), permettant l’intégration au sein de la spécialité SIC ; – de modules de formation complémentaire garantissant le maintien à niveau des compétences ; 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 282 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR – d’une formation de gradé à l’encadrement opérationnel sanctionnée par l’attribution du certificat de formation à l’encadrement opérationnel (CeFEO) ; – d’une formation au commandement. 2. Diplôme technique des systèmes d’information et de communication (DTSIC) Conformément au référentiel d’activités et de compétences (RAC) défini en annexe I, la formation au DTSIC a pour objet d’apporter aux sous-officiers sélectionnés : – des compétences relatives à l’appui opérationnel des unités ; – une connaissance de la technologie et des principes de fonctionnement des matériels des systèmes d’information et de communication ; – une maîtrise des techniques d’installation, de maintien en condition et de gestion des réseaux ; – une compétence technique pour la mise en œuvre, l’exploitation et l’administration des systèmes informatiques, ainsi que la conception et le développement des applications propres à ces systèmes ; – une capacité à mener des études et expertises techniques ; – une faculté à dispenser la formation nécessaire aux utilisateurs des systèmes d’information et de communication. Le cursus de formation s’organise autour de deux voies distinctes : – la voie « examen/section SIC-organismes centraux » permettant une affectation en unité de terrain (bureau des systèmes d’information et de communication (BSIC) – section des systèmes d’information et de communication (SSIC) – poste « satellite » (1)) ou en organisme central ; – la voie « validation des acquis de l’expérience ». Ce cursus de formation est sanctionné par un diplôme unique. 2.1. DTSIC voie « examen/section SIC-organismes centraux » 2.1.1. Admission en formation 2.1.1.1. Conditions requises : – être – être – être – être – être – être volontaire ; sous-officier de gendarmerie ; titulaire du certificat d’aptitude technique ; du grade de gendarme ou maréchal des logis-chef non inscrit au tableau d’avancement ; âgé de moins de 42 ans à la date d’admission en formation ; médicalement apte à intégrer la spécialité SIC. Nota. – Les militaires en service outre-mer peuvent faire acte de candidature au DTSIC sous réserve que leur rapatriement intervienne normalement avant l’examen d’admission. 2.1.1.2. Établissement et transmission des dossiers Le sous-directeur des compétences de la DGGN (SDC/BFORM) établit annuellement un appel à volontaires au cours du dernier trimestre de l’année A–1 de la formation et précise la date limite de dépôt des dossiers de candidature des personnels intéressés. Ces dossiers de candidature, établis sur imprimé modèle 314/18, sont à adresser au BFORM et comprennent : – le formulaire de reconnaissance relatif à l’admission à l’une des formations spécialisées affecté du lien au service conformément aux dispositions définies dans l’instruction de septième référence ; – les avis hiérarchiques sur la candidature du militaire. Le sous-directeur des compétences (DGGN/SDC) arrête la liste des militaires autorisés à présenter les épreuves de sélection de l’année A. Nota. – Les candidats peuvent faire parvenir leur dossier à tout moment de l’année en tant que candidature spontanée. Les dossiers déposés dans ce cadre avant le 31 décembre de l’année A–1 de la formation seront pris en compte pour le test de sélection de l’année A. (1) Hors programme 152. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 283 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 2.1.1.3. Sélection des candidatures. L’examen de sélection organisé par le bureau du recrutement, des concours et des examens (BRCE) de la DGGN au cours du premier semestre de l’année d’entrée en formation comporte : – une épreuve de mathématiques (niveau classe de première de l’enseignement technologique) notée sur 20 ; – une épreuve d’électricité (niveau classe de première de l’enseignement technologique) notée sur 20 ; – des tests psychotechniques (raisonnement et aptitude aux métiers des SIC). Une note inférieure à 8 sur 20 à l’une des deux premières épreuves est éliminatoire. Le programme sur lequel porte les épreuves de sélection est précisé en annexe II. Une aide à la préparation des épreuves de mathématiques et d’électricité est accessible depuis le site intranet du centre national de formation aux systèmes d’information et de communication de la gendarmerie (CNFSICG). Nota – Cet examen peut être présenté trois fois. 2.1.1.4. Agrément des candidatures Une commission chargée du travail de sélection des candidats est mise en place. Elle comprend : – le conseiller technique de la spécialité SIC, ou son représentant, qui préside ; – le commandant du CNFSICG ou son représentant ; – un officier, occupant les fonctions de chef de bureau SIC d’une région, désigné annuellement par message de la DGGN/SDC. S’appuyant sur les résultats des examens de sélection, cette commission établit la liste des militaires pour lesquels l’admission au cycle de formation est proposée et la transmet à la sous-direction des compétences (DGGN/SDC). La sous-direction de la gestion des personnels (SDGP), en lien avec le service des technologies et des systèmes d’information de la sécurité intérieure STSI2, arrête annuellement le volume de candidats qu’il conviendrait de retenir pour suivre la formation. La SDC arrête et publie, avant le 15 juillet, la liste définitive des candidats retenus. Cette décision est notifiée, par les régions, dans les formes réglementaires, à l’ensemble des candidats admis ou non à suivre le cycle de formation. 2.1.1.5. Formalités avant l’admission en formation Une réunion d’information sur le cycle de formation du DTSIC et les modalités de réalisation de la période d’instruction personnelle en unité est organisée au profit des candidats retenus au CNFSICG à l’issue de la parution des résultats. Le militaire admis en formation doit présenter, le premier jour de son stage au CNFSICG, un certificat médicoadministratif en cours de validité, précisant notamment l’aptitude à la spécialité SIC. 2.1.2. Nature et organisation de la formation 2.1.2.1. Déroulement (cf. annexe III) Le cycle de formation est constitué d’un tronc commun et d’un module différencié en fonction de l’option choisie (BSIC – SSIC ou organismes centraux) et articulé en unités de valeur (UV) de la manière suivante : – une période d’instruction dispensée : –par un apprentissage individuel des notions fondamentales à caractère scientifique constituant la première partie du tronc commun (UV1) ; – par un stage d’instruction technique au CNFSICG comprenant la deuxième partie du tronc commun (UV2) et un module différencié (UV3 à 5) ; – une année de pratique opérationnelle en unité d’affectation (1), constituant une UV spécifique (UV6). 2.1.2.2. Programme de la formation La durée totale de la formation est de 2 ans. Le programme détaillé des matières enseignées ainsi que l’organisation de la scolarité, élaboré par le CNFSICG et validé par la DGGN/SDC en lien avec le conseiller technique de la spécialité SIC, figurent en annexe IV. (1) En bureau des systèmes d’information et de communication (BSIC), en section des systèmes d’information et de communication (SSIC) en organisme central : centre technique de la gendarmerie nationale (CTGN) ou service des technologies et des systèmes d’information de la sécurité 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 284 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 2.1.3. Périodes d’instruction 2.1.3.1. Instruction personnelle en unité Le début de la formation est consacré à l’acquisition des connaissances fondamentales dans les quatre domaines scientifiques (mathématiques, électricité, électronique analogique et électronique numérique) nécessaires au bon suivi de l’enseignement du DTSIC. Cet apprentissage repose sur un travail personnel, réalisé dans l’unité d’affectation, grâce notamment à la mise à disposition de contenus pédagogiques diffusés sous forme papier et de cours mis en ligne. Le suivi des matières enseignées est réalisé sous tutorat des référents matières du CNFSICG. Pendant la formation, les personnels font l’objet d’évaluations indicatives intermédiaires qui ne rentrent pas dans la notation globale du DTSIC. Elles permettent aux militaires d’évaluer l’assimilation des savoirs dispensés et la progression ainsi réalisée. Les modalités d’organisation de cette période d’instruction sont définies par des directives annuelles émises par le CNFSICG. 2.1.3.2. Stage d’instruction technique Les compétences acquises pendant la scolarité font l’objet d’un contrôle continu et de notes d’aptitude puis, en fin de formation au CNFSICG, d’un examen devant des sous-commissions. 2.1.3.3. Évaluations des connaissances acquises lors des UV 1 à 5 Un contrôle des connaissances sous forme de questions à choix multiples (QCM) est effectué par les stagiaires dès le commencement de la formation au CNFSICG afin de contrôler l’acquisition des connaissances dispensées lors de l’UV1. Le contrôle du niveau atteint par les stagiaires pendant la formation au CNFSICG est réalisé pendant les UV 2 à 5 par un contrôle continu sous formes de QCM, de contrôles écrits sur table et d’épreuves pratiques. Une moyenne inférieure à 8 sur 20 à l’ensemble des notes obtenues lors des UV 1 et 2 est éliminatoire (1). Toute moyenne obtenue à l’une des UV 3 à 5 inférieure à 6 sur 20 est éliminatoire (1). En cas d’obtention d’une note éliminatoire, le stagiaire est remis immédiatement à la disposition de son unité. Il perd alors le bénéfice de la réussite à l’examen de sélection défini au paragraphe 2.1.1.3. Le détail des évaluations des connaissances figure en annexe V. 2.1.3.4. Notes d’aptitude Lors de la période d’instruction technique, deux notes sur 20 sont attribuées par le commandant du CNFSICG. La première à l’issue du tronc commun est affectée d’un coefficient 5, la seconde à l’issue des modules différenciés est affectée d’un coefficient 10. Elles sanctionnent la progression, le savoir-être et la motivation du stagiaire. L’attribution d’une note inférieure à 10 sur 20 à l’une d’entre elles est éliminatoire (1). 2.1.3.5. Détermination de l’option des stagiaires À l’issue du tronc commun (UV1 et 2), les stagiaires choisissent, par ordre de mérite, l’option BSIC/SSIC ou l’option organismes centraux en fonction du classement réalisé sur la base de la moyenne générale obtenue sur les 2 premières UV et la note d’aptitude délivrée au tronc commun. Le nombre de places disponibles dans chaque option est arrêté chaque année par le bureau du personnel sousofficier de gendarmerie et volontaires (BPSOGV) de la DGGN en liaison avec le STSI2. 2.1.3.6. Examen de fin de formation au CNFSICG Les enseignements dispensés depuis le début du cursus de formation au DTSIC font l’objet d’un examen de fin de formation au CNFSICG devant un jury, composé de sous-commissions. Les modalités de composition du jury et de déroulement de l’examen sont définies en annexe VI. Toute note obtenue dans l’une des sous-commissions inférieure à 6 sur 20 est éliminatoire (1). (1) Cf. paragraphe 2.1.3.9. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 285 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 2.1.3.7. Sanction de la période d’instruction Les candidats ayant obtenu, à l’ensemble de la période d’instruction, une moyenne générale supérieure ou égale à 10 sur 20, et n’ayant pas obtenu de note éliminatoire, sont classés par ordre de mérite et font l’objet d’une décision du sous-directeur des compétences permettant l’admission à l’UV de pratique opérationnelle en unité d’affectation. Les stagiaires choisissent, dans l’ordre du classement établi par option différenciée, leur affectation au plan national, en fonction des places proposées par le gestionnaire national. S’agissant des militaires relevant du cadre général jusqu’à leur entrée en spécialité, les ordres de mutation des intéressés sont établis par les régions d’affectation dans les meilleurs délais. Les sous-officiers obtenant une moyenne inférieure à 10 sur 20 sont éliminés (1). 2.1.3.8. Report de formation Un stagiaire bénéficie d’un report de formation dans le cas d’une incapacité prolongée supérieure à 21 jours cumulés à suivre le contenu de l’instruction personnelle en unité, d’une part, ou de l’instruction technique, d’autre part, pour des motifs particuliers d’ordre médical ou d’engagement opérationnel empêchant le bon déroulement de la formation. Dans ce cas, il peut bénéficier d’une seule et unique admission en formation pour la session suivante en conservant le bénéfice de sa réussite à l’examen de sélection mais perd le bénéfice des UV déjà obtenues le cas échéant. 2.1.3.9. Radiation des périodes d’instruction En cas de résultats insuffisants (note éliminatoire) ou de motif disciplinaire en lien avec la formation, le stagiaire est exclu du stage sur décision du sous-directeur des compétences, sur proposition du commandant du CNFSICG. Il est alors remis immédiatement à la disposition de son unité. Dans ce cas, cette exclusion compte pour un échec à la formation. Si le stagiaire souhaite présenter à nouveau le DTSIC, il doit reprendre l’intégralité du cursus à partir des épreuves de sélection. 2.1.4. Pratique opérationnelle en unité d’affectation 2.1.4.1. Principes généraux À l’issue de leur période d’instruction, les stagiaires bénéficient d’une permission estivale (2) avant de débuter leur formation de pratique opérationnelle. Les militaires font l’objet d’une mutation dans l’intérêt du service à l’été dans l’unité SIC choisie à l’issue du stage d’instruction technique. Lorsque le militaire n’a pas pu être affecté au sein de son unité au plus tard à la date du 1er septembre, il commence son stage en tant que détaché dans l’unité SIC la plus proche de son affectation (BSIC, SSIC). Les dépenses sont imputées sous budget de fonctionnement des formations administratives de rattachement. Cependant, les militaires affectés au sein des organismes centraux doivent être impérativement mutés pour le 1er septembre, dernier délai. Pendant toute la durée de la pratique opérationnelle en unité, le militaire est employé en qualité de non breveté employé dans la spécialité (NBES). Il est placé en situation et est évalué par le commandement local sur ses capacités à mettre en application les différentes techniques et connaissances acquises au cours du stage d’instruction technique. 2.1.4.2. Sanction de l’UV de pratique opérationnelle. Les personnels affectés dans leur unité SIC font l’objet, à la fin de leur UV de pratique opérationnelle, d’une fiche d’observation finale en fonction de l’option suivie, dont le modèle figure en annexe VII et comportant une note chiffrée sur 20. Elle est remplie par le commandant d’unité des personnels suivant l’UV6 et transmise au CNFSICG. En cas de détachement d’un stagiaire dans l’attente de son affectation en unité SIC, le commandant de l’unité de détachement renseigne et fait suivre au commandant d’unité d’affectation, lorsque celle-ci est prononcée, une fiche d’observation initiale en fonction de l’option suivie, conformément au modèle défini dans l’annexe VII, sur les qualités démontrées par l’intéressé pendant son détachement. Cette fiche est prise en compte dans le cadre de l’établissement de la fiche d’observation finale et transmise au CNFSICG. (1) Cf. paragraphe 2.1.3.9. (2) Cf. circulaire no 49500/DEF/GEND/OE/SDSPSR/PA du 11 avril 2008. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 286 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR L’UV6 est attribuée par le jury (1) à l’issue de l’année de pratique opérationnelle aux militaires ayant obtenu une note supérieure ou égale à 10 sur 20. La réussite à l’UV6 emporte proposition d’attribution du diplôme par le jury à la DGGN/SDC. En cas de note comprise strictement entre 8 et 10 sur 20, le jury propose au BFORM d’accorder au stagiaire le bénéfice d’une nouvelle année d’application afin de lui permettre d’obtenir cette UV. Cette mesure ne peut s’entendre qu’une seule fois. En cas de note inférieure ou égale à 8 sur 20, le jury propose au BFORM de prendre une décision de non attribution du DTSIC. Le stagiaire perd alors le bénéfice de sa formation et fait l’objet d’une mutation hors spécialité SIC prononcée par le gestionnaire national. S’il souhaite présenter à nouveau le DTSIC, il doit reprendre l’intégralité du cursus à partir des épreuves de sélection. 2.1.4.3. Report de formation. Un stagiaire bénéficie d’un report de formation dans le cas d’une incapacité prolongée supérieure à 60 jours cumulés de l’intéressé à suivre l’UV de pratique opérationnelle en unité pour des motifs particuliers d’ordre médical ou d’engagement opérationnel. Dans ce cas, il peut bénéficier d’une seule et unique admission en formation pour la session suivante en conservant le bénéfice de sa réussite à la période d’instruction technique. 2.1.5. Attribution du DTSIC La DGGN/SDC établit les décisions collectives d’attribution du DTSIC (code savoir : 104 900) sur proposition du jury. Cette décision est insérée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. En référence à la décision d’attribution, le commandant de région ou autorité assimilée est chargé d’établir, de signer par ampliation, de remettre le diplôme papier au militaire concerné et de mettre à jour les FIR des personnels qualifiés au retour des formations. 2.2. DTSIC par validation des acquis de l’expérience (VAE) Le DTSIC est également accessible par la voie de la VAE aux militaires de la gendarmerie pouvant justifier de trois ans d’expérience de maintenance opérationnelle des systèmes d’information et de communication dans les six dernières années qui précèdent la demande de VAE. La procédure de cette validation et la composition du jury figurent dans la circulaire de neuvième référence. La DGGN/SDC établit les décisions collectives d’attribution du DTSIC (code savoir : 104 900) sur proposition du jury. Cette décision est insérée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. En référence à la décision d’attribution, le commandant de région ou autorité assimilée est chargé d’établir, de signer par ampliation, de remettre le diplôme papier au militaire concerné (cf. annexe VIII) et de mettre à jour les fiches individuelles de renseignement (FIR) des personnels qualifiés au retour des formations. 2.3. Dispositions administratives Les frais engendrés par l’examen d’admission au DTSIC voie « examen/section SIC-organismes centraux », le stage d’instruction technique au CNFSICG et les commission et jury d’examen sont imputés sur le BOP « CDGN » (DGGN). Les dispositions administratives et financières sont précisées par des directives annuelles. 3. Formations complémentaires sic inscrites au référentiel des actions de formations (RAF) 3.1. Objectifs Les modules de formation complémentaires permettent, d’une part, de compléter et d’uniformiser les compétences acquises par les spécialistes dans le cadre de la formation au DTSIC et, d’autre part, de maintenir à niveau les connaissances en fonction des évolutions techniques. 3.2. Modules Chaque module de formation fait l’objet d’une fiche synthétique (2), insérée dans un référentiel des actions de formation SIC consultable sur le site intranet gendarmerie du BFORM de la DGGN. (1) Cf. annexe VI. (2) Chaque fiche définit la finalité de la formation, les compétences, le lieu et la durée de la formation, les conditions requises, l’établissement des dossiers de candidature, le programe succint, l’évaluation et les références. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 287 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 3.3. Expression des besoins Les besoins en formation seront exprimés lors du dialogue de gestion annuel entre les régions de gendarmerie ou unités assimilées et le BFORM de la DGGN conformément aux dispositions de la circulaire no 15400/DEF/GEND/ RH/RF/FORM du 1er février 2008. À cet effet, avant d’exprimer leurs besoins, il est demandé aux bureaux recrutement formation reconversion réservistes (BRFRR), en liaison avec leur bureau des systèmes d’information et de communication, de déterminer : – l’effectif cible par compétence ; – le nombre de militaires détenant la compétence. La répartition des places dans les différentes sessions est inscrite au calendrier des actions de formation (CAF) consultable sur le site Intranet gendarmerie du BFORM de la DGGN. Chaque région ou unité assimilée assure la désignation ainsi que la mise en route des stagiaires et en informe au plus tôt le CNFSICG. Les modalités pratiques relatives à l’organisation des stages sont arrêtées par le commandement des écoles de la gendarmerie nationale. 3.4. Sanction de la formation Chacune des formations complémentaires est sanctionnée par un test d’évaluation permettant de valider ou non les connaissances acquises conformément aux objectifs du stage. L’attestation de stage est délivrée par le chef de centre uniquement si la moyenne obtenue par le stagiaire est supérieure ou égale à 10/20. 3.5. Dispositions administratives Les formations complémentaires sont imputées sur le BOP « CDGN » (DGGN). Les dispositions administratives et financières font l’objet de directives annuelles. 4. Formations des gradés de la spécialité SIC 4.1. Le stage national de formation à l’encadrement opérationnel (SNFEO). Les adjudants nouvellement promus et les maréchaux-des-logis chefs inscrits au tableau d’avancement, spécialistes dans le domaine des SIC, suivent la formation à l’encadrement opérationnel réalisée dans le cadre du SNFEO. Les modalités d’organisation du stage (déroulement, tests initiaux, programme, sanction de la formation, aptitude physique, dispositions administratives et financières...) sont fixées par l’instruction de huitième référence. 4.2. Le certificat de formation au commandement (CFC) Dans la continuité du SNFEO, cette formation s’adresse aux futurs chefs de service ou premier adjoint des sections des SIC afin de préparer ces gradés supérieurs à leur nouveau commandement. Les militaires concernés de la spécialité SIC sont rattachés au certificat de formation au commandement, option gendarmerie départementale, composé de trois modules : – un module « commandement » d’une durée d’une semaine au centre national de formation au commandement deRochefort ; – un module « préparation spécifique / systèmes d’information et de communication » d’une durée d’une semaine au CNFSICG ; – un module « appropriation territoriale » d’une semaine. Les modalités d’organisation du stage (déroulement, programme, sanction de la formation, aptitude physique, dispositions administratives et financières...) sont fixées par l’instruction de huitième référence. Pour le ministre et par délégation : Le général, sous-directeur des compétences, Philippe Mazy 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 288 1) Connaissances scientifiques Connaître et appliquer : – Les normes et les lois en électricité, en électronique numérique et en modulation analogique. – Les notions théoriques fondamentales en matière de composants électroniques (résistances, diodes, inductances, condensateurs, transistors...). – Le fonctionnement des circuits logiques et numériques. – Les principes de transport des informations en radioélectricité. – La structure fonctionnelle d’un ordinateur. 2) Méthodologie – technique d’installation et de dépannage – Mettre en œuvre les principes élémentaires pour installer une source d’énergie. – Connaître les fonctionnalités des différents types de réseau (Rubis, micro-ordinateur...), des différentes bases de données (Oracle...) et des différents systèmes d’exploitation utilisés en gendarmerie (Linux...). – Connaître les concepts d’internet et d’intranet. – Connaître l’architecture des systèmes d’information et de communication. – Appliquer une méthodologie de dépannage. – Appliquer les techniques de base des transmissions numériques dans les techniques de câblage et les réseaux locaux. – Concevoir, installer et mettre en œuvre tous types de réseaux existants au sein d’un groupement ou d’une région de gendarmerie. – Être en mesure de contrôler la performance des équipements. – Être en mesure d’effectuer des travaux d’installation des pylônes et aériens utilisés en gendarmerie. – Mettre en œuvre une application web. – Savoir installer les différentes applications opérationnelles et de gestion. – Savoir mettre en œuvre un poste de commandement opérationnel en cas d’événement calamiteux (catastrophe naturelle, terrorisme, affaire judiciaire ...). 3) Matériels des SIC – Connaître les moyens : filaires (téléphonie, messagerie interarmées ...) radioélectriques (PMR tactiques), informatiques (serveurs, réseaux ...), bureautiques (traitement de texte, tableur...), applications métier. 4) Écrits de service – Rédiger les écrits de service liés à l’installation et à la mise en œuvre des SIC. COMPÉTENCES ASSOCIÉES des activités et compétences d’un spécialiste sic Installer et mettre en œuvre les matériels et logiciels des systèmes et sous-systèmes d’information et de communication de la gendarmerie : – Installer, configurer et paramétrer les matériels et les systèmes d’exploitation composant les SIC de la gendarmerie. – Procéder aux réglages et aux vérifications des matériels pour permettre une exploitation optimale. – Procéder à des modifications techniques et dépanner le matériel. – Monter et entretenir les pylônes et antennes (aériens). ACTIVITÉS ET TÂCHES Référentiel ANNEXE I BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 289 1) Connaissances scientifiques – Avoir les connaissances scientifiques nécessaires en électricité, en électronique analogique et numérique. 2) Méthodologie – technique d’installation et de dépannage – Mettre en œuvre les principes élémentaires pour installer une source d’énergie. – Connaître les fonctionnalités des différents types de réseau (Rubis, micro-ordinateur...), des différentes bases de données (Oracle) et des différents systèmes d’exploitation utilisés en gendarmerie (Linux...). – Connaître les concepts d’internet et d’intranet. – Connaître l’architecture des systèmes d’information et de communication. – Appliquer une méthodologie d’installation et de dépannage. – Lire et comprendre un schéma électrique. – Mettre en œuvre les appareils de mesures et interpréter les résultats. – Établir un bilan de liaison radioélectrique. – Savoir rechercher un brouilleur. – Appliquer les procédures relatives aux travaux de maintenance des pylônes et aériens utilisés en gendarmerie. – Appliquer les procédures de maintenance d’un serveur d’un groupement de gendarmerie et d’un réseau (local, de base Rubis). – Administrer les différentes applications opérationnelles et de gestion. 3) Matériels des SIC – Connaître les possibilités et les conditions d’emploi des différents matériels 4) SSI – Connaître le cadre de cohérence technique en vigueur. – Connaître la structure et les attributions de la chaîne fonctionnelle de la sécurité des SIC. 5) Écrits de service – Rédiger les écrits de service liés à l’installation et à la mise en œuvre des SIC. – Rédiger un rapport d’anomalie. 6) Commandement – Appliquer les principes fondamentaux de pédagogie et de communication. – Connaître les règles de gestion et les positions administratives du matériel (classification, mouvements, contrôles). 1) Gestion globale de maintien en condition opérationnelle – Être sensibilisé à la gestion des matériels et logiciels des systèmes d’information et de communication. – Maîtriser les règles de maintenance des matériels opérationnels. – Savoir utiliser les documents de service garantissant la traçabilité d’un matériel ou d’un logiciel. – Appliquer la procédure de suivi et de positionnement d’un matériel ou d’un logiciel des SIC (atelier, réparation, usine, unité opérationnelle). – Appliquer les règles de maintenance des matériels et logiciels. – Mettre en œuvre les procédures administratives adaptées. 2) SSI – Connaître la structure et les attributions de la chaîne fonctionnelle de la sécurité des SIC. Assurer une traçabilité des matériels et logiciels des systèmes et sous-systèmes d’information et de communication de la gendarmerie : – Assurer le suivi des matériels SIC et des logiciels. – Provoquer l’élimination et le remplacement des matériels et logiciels. COMPÉTENCES ASSOCIÉES Administrer les systèmes et sous-systèmes d’information et de communication de la gendarmerie : – Assurer la maintenance technique des systèmes et le fonctionnement des matériels. – Renseigner un rapport d’anomalie chaque fois que cela s’avère nécessaire. – Sécuriser les matériels et les applications. – Former les utilisateurs à l’emploi des matériels et systèmes. ACTIVITÉS ET TÂCHES BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 290 1) Gestion globale de maintien en condition opérationnelle – Savoir mettre en application les règles de maintenance préventive et corrective. 2) SST – Appliquer les moyens de prévention afin d’éviter tout risque et tout incident de travail sur un mât vidéo, une toiture, un autoportant ou sur des matériels électriques. – Être en mesure de sensibiliser les personnels sur les risques en matière d’électricité et de travaux en hauteur. – Connaître les textes de référence et l’organisation de SST en gendarmerie. – Connaître la législation relative aux travaux en hauteur et aux travaux électriques. – Connaître les gestes élémentaires de premiers secours. 3) SSI –A ppliquer les moyens de prévention afin d’éviter tout risque de contamination d’un système informatique – Connaître et appliquer les procédures de gestion des matériels classifiés. 1) Méthodologie – technique d’installation et de dépannage – Être en mesure d’analyser une situation complexe dans le domaine des SIC. – Être en mesure de conduire une étude technique. – Savoir mener une expertise dans le domaine des SIC. – Être en mesure d’exploiter un dossier d’audit. 2) Matériels des SIC – Connaître les fonctionnalités du réseau RUBIS. – Maîtriser les connaissances techniques dans le domaine des SIC. – Mettre en application les techniques d’expression orale et de conduite de réunion. – Exposer une problématique. – Être en mesure de présenter, justifier et défendre un point de vue technique ou un objectif défini au préalable par le commandement. – Analyser le besoin du système d’information. – Développer une application informatique. – Recetter une application informatique. – Maintenir une application informatique. Mener des expertises techniques relatives aux SIC de la gendarmerie : – Analyser une situation complexe dans le domaine des télécommunications et de l’informatique de la gendarmerie. – Réaliser des études techniques. – Procéder à des expertises. – Exploiter un dossier technique d’audit. – Proposer des solutions fiables au commandement. Représenter le service au cours de réunions internes ou externes. – Participer à des réunions en tant que technicien supérieur des SIC. – Rendre compte au commandement. Être responsable de tout ou partie de l’analyse, de la conception, du développement ou de l’évolution de solutions informatiques. COMPÉTENCES ASSOCIÉES Veiller au respect des règles de sécurité relatives aux SIC : – Appliquer et faire appliquer les règles relatives aux matériels équipant les SIC (mât vidéo, toiture, autoportant). – Éviter tous risques de contamination d’un système informatique. – Sensibiliser les personnels sur les risques en matière d’électricité, de travaux en hauteur et de contamination informatique. – Gérer les matériels classifiés. ACTIVITÉS ET TÂCHES BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 291 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE II Test de sélection DTSIC Le test de sélection au DTSIC comprend une épreuve de mathématiques, une épreuve d’électricité et des tests psychotechniques. Les deux premières épreuves, notées chacune sur 20, se déroulent sur une durée totale de 1 heure et sont présentées sous forme de questions à choix multiples. Une note inférieure à 8 sur 20 à l’une de ces épreuves est éliminatoire. Les tests psychotechniques, d’une durée d’une demi-journée, ont pour objet d’évaluer les capacités d’observation, d’attention, d’organisation et de raisonnement du candidat ainsi que ses aptitudes numériques et verbales. Le programme de révision porte sur les domaines suivants : ÉPREUVE DE MATHÉMATIQUES I. – Rappel sur le calcul algébrique 11. Arithmétique 12. Calcul algébrique. Identités remarquables 13. Calcul numérique 14. Puissances 15. Racines 16. Equations 17. Systèmes d’équations II. – Notion de trigonométrie 21. Angles orientés de vecteurs 22. Radians arcs orientés 23. Trigonométrie dans le triangle rectangle 24. Fonctions de la tangente 25. Complexes : applications à la trigonométrie 26. Trigonométrie : formulaires III. – Etude de fonctions 31. Plan étude de fonctions 32. Continuité 33. Les limites 34. Ensemble de définitions ÉPREUVE D’ÉLECTRICITÉ I. – Le courant électrique 11. Généralités 12. Intensités 13. Sens du courant 14. Différence de potentiel 15. Mesures II. – Les résistances 21. Les résistances 22. Association de résistances III. – Les générateurs 31. Les générateurs 32. Les récepteurs 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 292 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 33. Association de générateurs 34. Loi de Kirchhoff IV. – Loi d’Ohm 41. Loi d’Ohm pour un circuit fermé 42. Loi d’Ohm généralisée ou loi de Pouillet V. – Théorème de Thévenin 51. Notions élémentaires sur les dipôles 52. Théorème de Thevenin VI. – Théorème de Norton 61. Les sources de courant 62. Théorème de Norton VII. – Les condensateurs 71. Généralités 72. Charge et décharge des condensateurs VIII. – Le courant alternatif 81. Les régimes sinusoïdaux 82. Loi d’Ohm en régime sinusoïdal 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 293 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE III Déroulement de la formation préparatoire au diplôme technique des systèmes d’information et de communication ANNÉE A – 1 DERNIER trimestre EN UNITÉ APPEL À VOLONTAIRES DTSIC ET DÉPÔT DE DOSSIERS DE CANDIDATURE février DGGN/BFORM Publication de la liste des candidats autorisés à effectuer les épreuves de sélection. mars DGGN/BRCE Test de sélection. avril DGGN/BFORM Publie la liste des sous-officiers admis en formation au CNFSICG. janvier mai Année A Réunion d’information sur l’instruction personnelle en unité. juin juillet août septembre octobre novembre Instruction personnelle en unité. Tronc commun : UV1. décembre janvier février mars avril CNFSICG mai Année A + 1 Tronc commun : UV2 (si échec, retour en unité). Module différencié : option BSIC/SSIC ou organismes centraux UV3 à UV5 (si échec, retour en unité). Jury d’examen (si échec, retour en unité). juin juillet août septembre octobre novembre décembre janvier février mars UV6 Pratique opérationnelle en unité d’affectation, en qualité de non breveté employé dans la spécialité (NBES). avril Année A + 2 mai juin Attribution du DTSIC En cas de non attribution de cette UV, possibilité d’accorder au militaire le bénéfice d’une nouvelle année d’application en qualité NBES afin de lui permettre d’obtenir cette UV, soit de prendre une décision de non attribution du DTSIC (si échec, mutation hors poste de la spécialité SIC). 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 294 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE IV Programme de la formation DTSIC voie « examen/section SIC-organismes centraux » Tronc commun : – UV 1 « Formation scientifique » : mathématiques, électricité, électronique analogique et numérique ; –UV 2 « Fondamentaux SIC » : présentation de la filière SIC, sécurité des systèmes d’information et de communication, hygiène et sécurité des conditions de travail dans les domaines de la santé et de la sécurité au travail, structure fonctionnelle de l’ordinateur, système d’exploitation « poste de travail Windows », système d’exploitation « Linux », Rubis niveau 1, présentation des concepts de téléphonie, prévention et secours civiques de niveau 1, habilitation aux travaux électriques. Modules différenciés : – Option BSIC/SSIC : – UV 3 « Emploi – Gestion » : règles d’exploitation et de procédure, gestion globale MCO, applications métier, la messagerie ISIS, architecture et dépannage logiciels ; –UV 4 « Technique d’atelier » : technologie, modulation analogique, énergie et terre, propagation lignes et antennes, mesures, MCO réseau radioélectrique, travaux en hauteur, étude et réglage des postes, montage pylône ; – UV 5 « Systèmes de communication » : PMR tactiques, rubis niveau 2, Rubis niveau 3, autocommutateurs petite capacité (6501), autocommutateurs grande capacité (6550), autres moyens filaires, plate-forme opérationnelle groupement (BDSP), réseaux informatiques, TDHF ; – Option organismes centraux : –UV 3 « Administration système d’exploitation » : Linux Debian, annuaire LDAP, SSO et Kerberos, administration système, systèmes d’exploitation serveur Windows 2003 ; – UV 4 « Architecture serveurs » : réseaux informatiques – théorie, réseaux informatiques – l’adressage IP, réseaux informatiques – les VLAN, réseaux informatiques – le routage, réseaux informatiques – l’analyse de la trame, virtualisation des serveurs – théorie, virtualisation des serveurs – pratique ; – UV 5 « Conception, programmation » : base de données, langages du web, algorithmique et PS – Web statique (HTML-CSS), algorithmique et PS – Web dynamique (projet), analyse et conception, la programmation objet, langages de programmation – Java. Pratique opérationnelle en unité d’affectation : UV 6 « Application en unité en qualité de non breveté employé dans la spécialité (NBES) » : elle permet une mise en pratique des enseignements reçus et l’acquisition d’un complément d’instruction. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 295 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Volumes horaires Module Commun Phase Matières Volume horaire UV1 Formation scientifique UV2 Fondamentaux SIC 194 Administration, sport, contrôle, examen, réserve, etc... 34 Divers 80 jours ouvrés (EAD) TOTAL 228 (Présentiel) Module Différencié – Option BSIC/SSIC Phase Matières Volume horaire UV3 SSIC : Emploi - Gestion 32 UV4 SSIC : Technique d'atelier 189 UV5 SSIC : Systèmes de communication 304 Administration, sport, contrôle, examen, réserve, etc... 121 Divers TOTAL 646 (Présentiel) Module Différencié – Option organismes centraux Phase Matières Volume horaire UV3 ORGA : Administration système d'exploitation 116 UV4 ORGA : Architecture serveurs 101 UV5 ORGA : Conception, programmation 313 Administration, sport, contrôle, examen, réserve, etc... 116 Divers TOTAL 646 (Présentiel) Volume horaire total (présentiel) Option BSIC/SSIC 874 Option organismes centraux 874 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 296 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE V Évaluation des connaissances acquises Tronc commun Matières UV1 Mathématiques Électricité Électronique analogique Électronique numérique Coefficients 2 2 2 2 Total coefficients Matières UV2 Contrôles Écrit /20 Écrit /20 Écrit /20 Écrit /20 Contrôles Présentation de la filière SIC 0 Néant Sécurité des systèmes d’information et de communication 2 Écrit /20 HSIE – Santé et sécurité au travail 2 Écrit /20 Structure fonctionnelle de l'ordinateur 2 Écrit /20 Système d'exploitation « Poste de travail Windows » 3 Écrit /20 Système d'exploitation « Linux » 3 Écrit /20 Rubis niveau 1 2 Écrit /20 Présentation des concepts de téléphonie 1 Écrit /20 Prévention et secours civiques de niveau 1 0 Néant Habilitation aux travaux électriques 2 Écrit /20 Note d'aptitude Volume horaire 194 17 5 Total coefficients 80 jours ouvrés 8 Coefficients Total coefficients Volume Décision du chef de centre 30 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 297 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Module différencié Option BSIC/SSIC Matières UV3 – Option SSIC Règles d'exploitation et de procédure Gestion globale MCO Applications métier La messagerie ISIS Architecture et dépannage logiciels (Thunderbird / Fire Fox / Open Office) 6B Coefficients 4 4 0 0 Contrôles Écrit /20 0 Néant Total coefficients Matières UV4 – Option SSIC 7B Coefficients 2 Contrôles Écrit /20 2 2 3 4 4 4 0 0 Écrit /20 Modulation analogique Énergie et terre Propagation lignes et antennes Mesures MCO réseau radioélectrique Travaux en hauteur Étude et réglage des postes Montage pylône Total coefficients 8B 32 Volume horaire Écrit /20 Écrit /20 Écrit /20 Écrit /20 Écrit /20 Néant Néant 189 21 10B Matières UV5 – Option SSIC PMR tactiques Rubis niveau 2 Rubis niveau 3 Autocommutateurs petite capacité (6501) Autocommutateurs grande capacité (6550) Autres moyens filaires Plateforme opérationnelle groupement (BDSP) Réseaux informatiques TDHF Écrit /20 Néant Néant 8 9B Technologie Volume horaire Coefficients 3 5 5 5 3 2 3 3 2 Total coefficients Contrôles Écrit /20 Volume horaire Écrit /20 Écrit /20 Écrit /20 Écrit /20 Écrit /20 Écrit /20 Écrit /20 Écrit /20 304 31 11B Note d'aptitude 10 Décision du chef de centre Sous commissions - Option SSIC Réglementation et gestion SIC Technique d'atelier Téléphonie PMR - Radioélectricité Architecture – Serveurs Coefficients 10 10 10 10 10 0B 1B 2B 3B 4B 5B 12B 13B 14B 15B Total coefficients du stage 150 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 298 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Option organisme centraux Matières UV3 – Option ORGA Linux DEBIAN Annuaire LDAP SSO et KERBEROS Administration système Systèmes d'exploitation serveur Windows 2003 Coefficients 4 4 4 4 2 Total coefficients Matières UV4 – Option ORGA Réseaux informatiques – Théorie Réseaux informatiques – L'adressage IP Réseaux informatiques – Les VLAN Réseaux informatiques – Le routage Réseaux informatiques – L'analyse de trame Virtualisation des serveurs – Théorie Virtualisation des serveurs – Pratique Volume horaire Écrit /20 Écrit /20 Écrit /20 Écrit /20 116 18 Coefficients 3 2 3 3 3 2 4 Total coefficients Matières UV5 – Option ORGA Bases de données Langages du web Algorithmique et PS – Web statique (HTML - CSS) Algorithmique et PS – Web dynamique (projet) Analyse et conception La programmation objet Langages de programmation – JAVA Contrôles Écrit /20 Contrôles Écrit /20 Volume horaire Écrit /20 Pratique /20 Pratique /20 Pratique /20 Écrit /20 Écrit /20 101 20 Coefficients 4 2 3 3 2 4 4 Total coefficients Contrôles Écrit /20 Volume horaire Écrit /20 Écrit /20 Pratique /20 Écrit /20 Écrit /20 Écrit /20 313 22 Note d'aptitude 10 Décision du chef de centre Sous commissions - Option ORGA Administration système d'exploitation Architecture serveurs Programmation Analyse et conception Architecture web Coefficients 10 10 10 10 10 Total coefficients du stage 150 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 299 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE VI Le jury d’examen Membres du jury Il se compose de membres internes et externes au CNFSICG. Membres internes : –le commandant du centre national de formation aux systèmes d’information et de communication de la gendarmerie (CNFSICG) de Rosny-sous-Bois, ou son représentant ; – l’officier chef du bureau formation du CNFSICG, ou son représentant ; – le directeur du stage DTSIC. Membres externes : – le conseiller technique de la spécialité SIC, ou son représentant ; Membres des sous-commissions : – officiers et sous-officiers composant les dix sous-commissions. La présidence et la vice-présidence du jury sont assurées par le conseiller technique et le commandant du CNFSICG ou leurs représentants selon leur grade et ancienneté. Organisation des sous-commissions La commission d’examen se décompose en 5 sous-commissions pour le module « BSIC-SSIC » et le module « organismes centraux ». Chaque sous-commission est composée de deux officiers ou sous-officiers servant dans la filière SIC. « BSIC-SSIC » : les sous-commissions portent sur les thèmes suivants : – sous-commission « réglementation – gestion SIC » : gestion globale MCO, sécurité systèmes d’information et de communication, HSIE – santé et sécurité au travail, règles d’exploitation et de procédure ; – sous-commission « technique d’atelier » : mesures, étude de couverture et recherche de brouilleur, énergie et terre, MCO des réseaux radioélectriques, technologie, modulation analogique, propagation lignes et antennes ; – sous-commission « téléphonie » : généralités et principes d’une communication, la connectique, les PABX, Saphir 3G, messagerie sécurisée ; – sous-commission « PMR – radioélectricité » : Rubis 1 – 2 – 3, PMR tactique – réseaux de circonstance, messagerie tactique, plate-forme opérationnelle groupement (BDSP) ; – sous-commission « architecture – serveurs » : les réseaux informatiques. « Organismes centraux » : les sous-commissions portent sur les thèmes suivants : –sous-commission « administration – système d’exploitation » : systèmes d’exploitation serveur (Linux Debian – LDAP – SSO – Kerberos, système d’exploitation serveurs 2003), administration système ; – sous-commission « architecture-serveur » : réseaux informatiques, virtualisation des serveurs ; –sous-commission « programmation » : bases de données, langages du web, algorithmique et programmation structurée ; –sous-commission « analyse et conception » : analyse et conception, la programmation objet, langages de programmation ; – sous-commission « architecture web » : programmation web, sécurité des systèmes d’information, santé et sécurité du travail. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 300 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE VII Fiche d’observation de pratique opérationnelle Option BSIC/SSIC – initiale (1) – finale (1) Identité du candidat NOM : Affectation / Lieu d'emploi : Note Prénom : Période probatoire (UV 6), du : au : EVALUATION DU SAVOIR-ETRE Faculté d'adaptation /1 Manière de servir /1 Confiance en soi /1 Esprit d'équipe /1 Qualité du travail fourni /1 Sens de l'organisation /1 total /6 Observations relatives à l'évaluation du savoir-être : (1) Rayez les mentions inutiles. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 301 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Option BSIC/SSIC (suite) Note EVALUATION DES SAVOIR-FAIRE Connaissance de la technologie, des principes de fonctionnement des matériels des systèmes d'information et de communication /3 Maîtrise des techniques d'installation, de maintien en condition opérationnelle des systèmes /3 Maîtrise des techniques de gestion des réseaux et applications /3 Capacité de mise en oeuvre, d'exploitation et d'administration des systèmes de circonstance /3 Dispenser la formation nécessaire aux utilisateurs des systèmes d'information et de communication /2 total /14 Observations relatives à l'évaluation des savoir-faire : EVALUATION DU SAVOIR-ETRE /6 EVALUATION DES SAVOIR-FAIRE / 14 NOTE FINALE / 20 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 302 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Fiche d’observation de pratique opérationnelle Option BSIC/SSIC – initiale (1) – finale (1) Identité du candidat NOM : Affectation / Lieu d'emploi : Note Prénom : Période probatoire (UV 6), du : au : EVALUATION DU SAVOIR-ETRE Faculté d'adaptation /1 Manière de servir /1 Confiance en soi /1 Esprit d'équipe /1 Qualité du travail fourni /1 Sens de l'organisation /1 total /6 Observations relatives à l'évaluation du savoir-être : (1) Rayez les mentions inutiles. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 303 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Option organismes centraux (suite) Note EVALUATION DES SAVOIR-FAIRE : Maintien à niveau des connaissances dans les domaines système, réseau et/ou langages informatiques /3 Aptitude à propager les savoirs acquis dans les domaines techniques au travers de fiches réflexes ou de documents de synthèse/formation /2 Utilisation des outils et des méthodes de conception, de développement ou de déploiement d'applications. Utilisation des outils de maintien en condition opérationnelle et de dépannage /3 Appropriation des techniques et méthodes spécifiques mises en oeuvre au sein des systèmes d'information et de communication des unités et/ou services de la sécurité intérieure /3 Respect des standards, des normes et directives techniques y compris celles liées à la sécurité des systèmes d'information /3 total /14 Observations relatives à l'évaluation des savoir-faire : EVALUATION DU SAVOIR-ETRE /6 EVALUATION DES SAVOIR-FAIRE / 14 NOTE FINALE / 20 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 304 Code savoir : 104900 Se voit attribuer le diplôme technique des systèmes d'information et de communication Le (grade, nom, prénom, NIGEND) Par (nature du texte de référence) à Le (autorité militaire) commandant (unité) A (lieu) Né le N° (timbre-date) DIPLÔME TECHNIQUE DES SYSTÈMES D'INFORMATION ET DE COMMUNICATION MODÈLE DE DIPLÔME ANNEXE VIII BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 305 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR _____ Arrêté du 6 juin 2012 portant agrément d’un organisme de formation au titre de l’article L. 3332‑1‑1 du code de la santé publique NOR : INTD1225170A Le ministre de l’intérieur, Vu le code de la santé publique, notamment les articles L. 3332‑1‑1 et R. 3332‑4 à R. 3332‑9 ; Vu l’arrêté du 22 juillet 2011 fixant le programme et l’organisation des formations requises pour l’obtention des attestations prévues à l’article R. 3332‑4‑1 du code de la santé publique ; Vu la demande en date du 6 janvier 2012 et le dossier complet présentés par l’organisme dénommé « FORMA COMM », sis 8, rue Pierre-Chausson à PARIS (75010), société à responsabilité limitée, Arrête : Article 1er L’organisme de formation dénommé « FORMA COMM », sis 8, rue Pierre-Chausson à PARIS (75010), est agréé pour une durée de cinq ans à l’effet de dispenser à l’attention des exploitants de débits de boissons ou d’établissements pourvus de la « petite licence restaurant » ou de la « licence restaurant », la formation prévue au premier alinéa de l’article L. 3332‑1‑1 du code de la santé publique. Article 2 Le présent arrêté sera notifié à l’organisme dénommé « FORMA COMM », sis 8, rue Pierre-Chausson à PARIS (75010), et sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Fait le 6 juin 2012. Pour le ministre et par délégation : Le chef du bureau des polices administratives, Philippe Leblanc 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 306 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR _____ Arrêté du 7 juin 2012 portant agrément d’un organisme de formation au titre de l’article L. 3332‑1‑1 du code de la santé publique NOR : INTD1225445A Le ministre de l’intérieur, Vu le code de la santé publique, notamment les articles L. 3332‑1‑1 et R. 3332‑4 à R. 3332‑9 ; Vu l’arrêté du 22 juillet 2011 fixant le programme et l’organisation des formations requises pour l’obtention des attestations prévues à l’article R. 3332‑4‑1 du code de la santé publique ; Vu la demande en date du 10 novembre 2011 et le dossier complet présentés par l’organisme dénommé « DUPUY CONSEIL » (formation professionnelle en techniques et technologies agro-alimentaires), sis 10, avenue de Madrid à CANNES (06400), profession libérale, Arrête : Article 1er L’organisme de formation dénommé « DUPUY CONSEIL » (formation professionnelle en techniques et technologies agro-alimentaires), sis 10, avenue de Madrid à CANNES (06400), est agréé pour une durée de cinq ans à l’effet de dispenser à l’attention des exploitants de débits de boissons ou d’établissements pourvus de la « petite licence restaurant » ou de la « licence restaurant », la formation prévue au premier alinéa de l’article L. 3332‑1‑1 du code de la santé publique. Article 2 Le présent arrêté sera notifié à l’organisme dénommé « DUPUY CONSEIL » (formation professionnelle en techniques et technologies agro-alimentaires), sis 10, avenue de Madrid à CANNES (06400), et sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Fait le 7 juin 2012. Pour le ministre et par délégation : Le chef du bureau des polices administratives, Philippe Leblanc 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 307 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ____ Arrêté du 7 juin 2012 portant agrément d’un organisme de formation au titre de l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique NOR : INTD1225474A Le ministre de l’intérieur, Vu le code de la santé publique, notamment les articles L. 3332-1-1 et R. 3332-4 à R. 3332-9 ; Vu l’arrêté du 22 juillet 2011 fixant le programme et l’organisation des formations requises pour l’obtention des attestations prévues à l’article R. 3332-4-1 du code de la santé publique ; Vu la demande en date du 16 février 2012 et le dossier complet présentés par l’organisme dénommé « I.U.T. de TOURS » (Institut universitaire de technologie de TOURS), sis 29, rue du Pont-Volant à TOURS (37082), Arrête : Article 1er L’organisme de formation dénommé « I.U.T. de TOURS » (Institut universitaire de technologie de TOURS), sis 29, rue du Pont-Volant à TOURS (37082), est agréé pour une durée de cinq ans à l’effet de dispenser à l’attention des exploitants de débits de boissons ou d’établissements pourvus de la « petite licence restaurant » ou de la « licence restaurant », la formation prévue au premier alinéa de l’article L.3332-1-1 du code de la santé publique ; à l’attention des débitants de boissons à emporter vendant des boissons alcoolisées entre 22 heures et 8 heures, la formation prévue au deuxième alinéa de l’article L.3332-1-1 du code de la santé publique. Article 2 Le présent arrêté sera notifié à l’organisme dénommé « I.U.T. de TOURS » (Institut universitaire de technologie de TOURS), sis 29, rue du Pont-Volant à TOURS (37082), et sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Fait le 7 juin 2012. Pour le ministre et par délégation : Le chef du bureau des polices administratives, Philippe Leblanc 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 308 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR _____ Arrêté du 22 juin 2012 portant agrément d’un organisme de formation au titre de l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique NOR : INTD1227018A Le ministre de l’intérieur, Vu le code de la santé publique, notamment les articles L. 3332-1-1 et R. 3332-4 à R. 3332-9 ; Vu l’arrêté du 22 juillet 2011 fixant le programme et l’organisation des formations requises pour l’obtention des attestations prévues à l’article R. 3332-4-1 du code de la santé publique ; Vu la demande en date du 12 juin 2012 et le dossier complet présentés par l’organisme dénommé « PROM’HÔTE », sis 22, rue d’Anjou à PARIS (75008), association régie par la loi du 1er juillet 1901, Arrête : Article 1er L’organisme de formation dénommé « PROM’HÔTE », sis 22, rue d’Anjou à PARIS (75008), est agréé pour une durée de cinq ans à l’effet de dispenser à l’attention des exploitants de débits de boissons ou d’établissements pourvus de la « petite licence restaurant » ou de la « licence restaurant », la formation prévue au premier alinéa de l’article L.3332-1-1 du code de la santé publique ; à l’attention des débitants de boissons à emporter vendant des boissons alcoolisées entre 22 heures et 8 heures, la formation prévue au deuxième alinéa de l’article L.3332-1-1 du code de la santé publique. Article 2 Le présent arrêté sera notifié à l’organisme dénommé « PROM’HÔTE », sis 22, rue d’Anjou à PARIS (75008), et sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Fait le 22 juin 2012. Pour le ministre et par délégation : Le chef du bureau des polices administratives, Philippe Leblanc 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 309 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR _____ Arrêté du 22 juin 2012 portant agrément d’un organisme de formation au titre de l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique NOR : INTD1227080A Le ministre de l’intérieur, Vu le code de la santé publique, notamment les articles L. 3332-1-1 et R. 3332-4 à R. 3332-9 ; Vu l’arrêté du 22 juillet 2011 fixant le programme et l’organisation des formations requises pour l’obtention des attestations prévues à l’article R. 3332-4-1 du code de la santé publique ; Vu la demande en date du 14 juin 2012 et le dossier complet présentés par l’organisme dénommé « FAGIHT FORMATION », sis 221, avenue de Lyon, B.P. 448, à CHAMBERY Cedex (73004), association régie par la loi du 1er juillet 1901, Arrête : Article 1er L’organisme de formation dénommé « FAGIHT FORMATION », sis 221, avenue de Lyon, B.P. 448, à CHAMBERY Cedex (73004), est agréé pour une durée de cinq ans à l’effet de dispenser à l’attention des exploitants de débits de boissons ou d’établissements pourvus de la « petite licence restaurant » ou de la « licence restaurant », la formation prévue au premier alinéa de l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique ; à l’attention des débitants de boissons à emporter vendant des boissons alcoolisées entre 22 heures et 8 heures, la formation prévue au deuxième alinéa de l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique. Article 2 Le présent arrêté sera notifié à l’organisme dénommé « FAGIHT FORMATION », sis 221, avenue de Lyon, B.P. 448, à CHAMBERY Cedex (73004), et sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Fait le 22 juin 2012. Pour le ministre et par délégation : Le chef du bureau des polices administratives, Philippe Leblanc 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 310 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR _____ Arrêté du 26 juin 2012 portant agrément d’un type de véhicule blindé de transport de fonds prévu à l’article 4 du décret no 2000‑376 du 28 avril 2000 modifié relatif à la protection des transports de fonds NOR : INTD1226905A Le ministre de l’intérieur, Vu le code de la sécurité intérieure ; Vu le décret no 2000‑376 du 28 avril 2000 modifié relatif à la protection des transports de fonds, notamment l’article 2 et le II de l’article 4 ; Vu l’arrêté du 28 avril 2000 fixant les normes minimales nécessaires à l’agrément prévu par l’article 4 du décret no 2000‑376 du 28 avril 2000 modifié relatif à la protection des transports de fonds ; Vu la demande de la société CENTIGON France S.A.S., R.C.S. Saint-Brieuc no 347 994 196, sise zone industrielle, rue d’Armor, 22400 LAMBALLE, en date du 14 février 2012 ; Vu la visite de réception réalisée par le secrétariat général pour l’administration de la police de la zone de défense et de sécurité Ouest en date du 20 mars 2012 ; Vu le procès-verbal no 1213 relatif aux essais de résistance balistique des matériaux blindés opaques (parois) et des matériaux blindés transparents (vitrage), réalisé le 5 juin 2001 par la direction des centres d’expertise et d’essais (établissement technique de Bourges) du ministère de la défense ; Vu l’avis favorable du secrétariat général pour l’administration de la police de Rennes en date du 15 juin 2012 ; Considérant que le véhicule réceptionné correspond aux caractéristiques requises de résistance balistique des matériaux blindés opaques (parois) et des matériaux blindés transparents (vitrage), Arrête : Article 1er Le type de véhicule de transport de fonds, tête de série, IVECO Daily, type 70J17BE3A, no de châssis ZCFC 70 C 0005 878073 est agréé. Article 2 Le présent arrêté entre en vigueur à compter de la date de sa notification à la société CENTIGON France S.A.S. Il sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Fait le 26 juin 2012. Pour le ministre et par délégation : Le directeur des libertés publiques et des affaires juridiques, Laurent Touvet 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 311 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR _____ Arrêté du 30 mai 2012 portant indemnisation des rapporteurs à la commission consultative des jeux de cercles et de casinos NOR : INTD1225360A Le président de la commission consultative des jeux de cercles et de casinos, Vu la loi no 2010‑476 du 12 mai 2010 modifiée relative à l’ouverture à la concurrence et à la régulation du secteur des jeux d’argent et de hasard en ligne ; Vu le décret no 2006‑672 du 8 juin 2006 modifié relatif à la création, à la composition et au fonctionnement de commissions administratives à caractère consultatif ; Vu le décret no 2011‑252 du 9 mars 2011 relatif au comité consultatif des jeux ; Vu l’arrêté du 8 décembre 2011 fixant le taux des indemnités pouvant être allouées aux rapporteurs apportant leur concours à la commission consultative des jeux de cercles et de casinos, Arrête : Article 1er Le nombre de vacations correspondant à la présentation de rapports d’instruction devant la commission des jeux de cercles et de casinos est fixé comme suit : NATURE DU DOSSIER RAPPORTÉ NOMBRE DE VACATION(S) PAR DOSSIER Extension de jeux ou augmentation du nombre de tables Extension de jeux et augmentation du nombre de tables et Expérimentation Renouvellement simple d’autorisation de jeux assorti ou non d’une extension de jeux ou d’une augmentation du nombre de tables pour les casinos Renouvellement d’autorisation de jeux pour les cercles 3 Renouvellement d’autorisation avec nouveau cahier des charges Ouverture d’un casino, d’un cercle, transfert ou sanction disciplinaire 5 Article 2 Le montant unitaire de chaque vacation s’élève à 8,20 € en application de l’article 1er de l’arrêté du 8 décembre 2011 fixant le taux des indemnités pouvant être allouées aux rapporteurs apportant leur concours à la commission consultative des jeux de cercles et de casinos. Fait le 30 mai 2012. Le président de la commission consultative des jeux de cercles et de casinos, Jean-Pierre Duport 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 312 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Direction générale des collectivités locales _____ Sous-direction des compétences et des institutions locales _____ Bureau de la domanialité, de l’urbanisme, de la voirie et de l’habitat _____ Circulaire du 3 mai 2012 relative au Fonds d’Aide pour le Relogement d’Urgence (FARU) NOR : IOCB1210239C Référence : article L. 2335‑15 du code général des collectivités territoriales. Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration à Messieurs les préfets de région et Mesdames et Messieurs les préfets de département. Le Fonds d’Aide pour le Relogement d’Urgence (FARU), initialement destiné à apporter un financement aux communes qui réalisent, soit le relogement de personnes occupant des locaux présentant un danger pour leur santé ou leur sécurité, soit les travaux interdisant l’accès à ces locaux dangereux, a fait l’objet de plusieurs modifications qui portent sur : – la prorogation à 2015 de l’échéance du fonds ; – l’élargissement des bénéficiaires des subventions aux établissements publics locaux et aux groupements d’intérêt public ; – une harmonisation des taux de subventionnement (75 % ou 100 %) ; – la déconcentration de la procédure d’instruction des demandes de subvention. La présente circulaire a pour objet de présenter ces modifications et d’actualiser les modalités d’instruction et d’attribution de subventions au titre du FARU. Les circulaires NOR : MCTB0600052C du 2 juin 2006 et NOR : INTB0700074C du 22 juin 2007 relatives aux modalités d’attribution du FARU sont abrogées. Le fonds d’aide pour le relogement d’urgence (FARU), prévu à l’article L. 2335‑15 du code général des collectivités territoriales (CGCT), constitue un véritable outil financier à l’attention des communes, des établissements publics locaux (EPL) et des groupements d’intérêt public (GIP) compétents afin de soutenir leurs actions dans le domaine de la lutte contre l’habitat indigne qui constitue une priorité gouvernementale, et de les aider à répondre à des situations d’extrême urgence comme en cas de catastrophes naturelles où la responsabilité des propriétaires n’est pas engagée. Il a été prorogé jusqu’en 2015 par l’article 56 de la loi no 2010‑1657 du 29 décembre 2010 de finances pour 2011. La présente circulaire a pour objet de rappeler les principes d’intervention de ce fonds (1) et les principales modifications qui y ont récemment apportées, notamment en termes d’instruction des demandes de subventionnement (2). 1. Principes d’intervention du FARU Le FARU est destiné à financer, d’une part, l’hébergement d’urgence ou le relogement temporaire, dans la limite de 6 mois, des personnes occupant des locaux présentant un danger pour leur santé ou leur sécurité, et, d’autre part, la réalisation de travaux interdisant l’accès à ces locaux (cf. annexe 1 sur les opérations éligibles au titre du FARU). Ce financement ne peut intervenir qu’à la suite d’une des mesures de police suivantes : – un arrêté de péril ordinaire ou imminent du maire pris en application des articles L. 511‑2 et L. 511‑3 du code de construction et de l’habitation (CCH) interdisant d’habiter les lieux ou ordonnant l’évacuation des occupants ; – un arrêté du maire prescrivant des travaux de sécurité dans un hôtel meublé assorti d’une interdiction d’habiter ou un arrêté ordonnant sa fermeture en application des articles L. 123‑3 et L. 123‑4 du CCH ; –un arrêté d’insalubrité du préfet pris en application des articles L. 1331‑22 à L. 1331‑30 du code de la santé publique (CSP) assorti d’une interdiction d’habiter dès lors que le maire a assuré le relogement des occupants sur le fondement de l’article L. 521‑3‑2 du CCH ; – un arrêté du maire pris sur le fondement des pouvoirs de police générale qu’il détient de l’article L. 2212‑2 du CGCT interdisant l’occupation des locaux dangereux (cas des catastrophes naturelles, incendies, squats devenus dangereux). 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 313 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 2. Modifications apportées au dispositif du FARU Ces modifications concernent les collectivités bénéficiaires, le taux des subventions susceptibles d’être accordées et l’instruction des demandes de subventionnement. En premier lieu, le dispositif d’aide financière, initialement destiné aux seules communes, est élargi aux établissements publics locaux (EPL) et aux groupements d’intérêt public (GIP) compétents qui assurent la prise en charge financière des opérations de relogement ou de travaux. Il s’agit principalement des centres communaux d’action sociale, des établissements publics de coopération intercommunale compétents en matière d’habitat, des offices publics de l’habitat, des GIP compétents dans ce domaine dont le SAMU social à Paris. En deuxième lieu, le taux des subventions susceptible d’être accordées, qui s’échelonnait auparavant de 50 à 100 % est désormais harmonisé avec un taux de 75 % pour l’ensemble des dépenses indemnisables. Un taux de prise en charge de 100 % s’applique toutefois pour les situations de péril ou de danger sans responsabilité du propriétaire, dans lesquelles le maire a mis en œuvre les pouvoirs de police générale définis à l’article L. 2212‑2 du CGCT (cf. annexe 2 sur l’assiette des dépenses éligibles au FARU et annexe 3 sur les taux de subvention). En troisième lieu, l’instruction des demandes de subvention, auparavant réalisée par les services d’administration centrale, est désormais déconcentrée conformément aux dispositions de L. 2335‑15 du CGCT. Afin de vous aider à accompagner les demandeurs de subvention au titre du FARU dans leurs démarches, vous trouverez en annexe 4 à 6 une liste des pièces justificatives que le demandeur doit vous faire parvenir ainsi que des modèles de fiches récapitulatives de demande de subvention. La bonne diffusion par vos soins de ces fiches permettra de favoriser la constitution d’un dossier complet mais aussi de faciliter le travail d’instruction de vos services. Sont également joints en annexe à la présente circulaire d’autres modèles de documents que vous serez amené à utiliser au cours des phases d’instruction et d’attribution des demandes de subvention au titre du FARU. Vous me rendrez compte, sous le timbre de la direction générale des collectivités locales (sous direction des compétences et des institutions locales – bureau de la domanialité, de l’urbanisme, de la voirie et de l’habitat) des difficultés que vous pourriez éventuellement rencontrer dans l’application du dispositif commenté par la présente circulaire. * * * Afin de mobiliser l’ensemble des acteurs concernés et de donner au FARU toute son efficacité, je vous demande d’assurer la meilleure information possible de ce dispositif auprès des élus locaux. Cette diffusion de l’information constitue en effet une condition indispensable pour que le fonds soit utilisé plus régulièrement et bénéficie de façon effective aux territoires les plus touchés par la problématique d’habitat dégradé. Pour le ministre et par délégation : Le directeur général des collectivités locales, Éric Jalon 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 314 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR LISTE DES ANNEXES 1.Les opérations éligibles à une subvention au titre du FARU. 2.Assiette des dépenses éligibles au FARU. 3.Taux de subvention pour les diverses opérations éligibles au FARU. 4.Liste des pièces justificatives à fournir par le demandeur d’une subvention au FARU. 5. Modèle de fiche récapitulative de demande de subvention au titre du FARU concernant une opération d’hébergement d’urgence ou de relogement temporaire. 6.Modèle de fiche récapitulative de demande de subvention au titre du FARU concernant une opération de travaux d’interdiction d’accès à des locaux dangereux. 7.Modèle d’attestation délivrée par une commune, un EPL ou un GIP pour une opération de relogement. 8.Modèle d’attestation délivrée par une commune, un EPL ou un GIP pour une opération de travaux d’interdiction d’accès à des locaux dangereux. 9.Instruction du dossier et modalités de versement des subventions au titre du FARU. 10.Modèle de fiche de synthèse à transmettre à la DGCL concernant une opération d’hébergement d’urgence ou de relogement temporaire. 11.Modèle de fiche de synthèse à transmettre à la DGCL concernant une opération de travaux interdisant l’accès à des locaux dangereux. 12.Modèle d’arrêté préfectoral portant attribution d’une subvention au titre du FARU à une commune. 13.Modèle d’arrêté préfectoral portant attribution d’une subvention au titre du FARU à un EPL. 14.Modèle d’arrêté préfectoral portant attribution d’une subvention au titre du FARU à un GIP. 15.Modalités de suivi, et le cas échéant, de remboursement de la subvention FARU. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 315 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE 1 Les opérations éligibles à une subvention au titre du FARU Deux catégories d’opérations réalisées par une commune, un EPL ou un GIP compétent peuvent être financées par ce fonds, d’une part, les opérations d’hébergement d’urgence ou de relogement temporaire pour une durée maximale de 6 mois (I), et d’autre part, les opérations de travaux interdisant l’accès à des locaux dangereux (II). I. – L’HÉBERGEMENT D’URGENCE OU LE RELOGEMENT TEMPORAIRE Lorsqu’il existe un danger pour la sécurité ou la santé des occupants d’un immeuble, l’autorité publique, le préfet ou le maire, est tenue de prescrire aux propriétaires les mesures appropriées pour y mettre fin, c’est à dire des travaux à réaliser dans un délai d’exécution précisé. Cette prescription peut être assortie d’une interdiction temporaire ou définitive d’habiter. Dans ce cas, il revient au propriétaire ou à l’exploitant, d’assurer le relogement des occupants conformément aux dispositions des articles L. 521‑1 et suivants du code de la construction et de l’habitation (CCH). Cependant, en cas de carence du propriétaire, le préfet ou le maire est tenu d’assurer l’hébergement ou le relogement des occupants, conformément aux dispositions de l’article L. 521‑3‑2 du CCH, aux frais du propriétaire ou de l’exploitant. Lorsque les locaux ne sont pas libérés du fait des occupants qui refusent toutes les offres de relogement qui leur sont faites, le propriétaire peut demander leur expulsion (1) auprès du juge judiciaire. L’article 62 de la loi no 91‑650 du 9 juillet 1991 indique que l’expulsion ne peut avoir lieu qu’à l’expiration d’un délai de deux mois qui suit le commandement de quitter les lieux, sauf si le juge en décide autrement. À l’issue de ce délai, lorsque l’huissier rencontre une résistance à mettre en œuvre l’expulsion, il peut requérir le concours de la force publique. Après cette réquisition, l’expulsion peut être effectuée à tout moment et même en période hivernale si les occupants sont entrés dans les lieux par voie de fait (squatters). Le refus préfectoral de concours de la force publique pour procéder à une expulsion ouvre droit à indemnisation pour le bailleur. La procédure d’hébergement d’urgence ou de relogement temporaire peut intervenir, d’une part, en cas d’atteinte à la sécurité publique (voir point 1), et d’autre part, en matière de lutte contre l’insalubrité (voir point 2). 1. L’atteinte à la sécurité publique Le manque d’entretien des immeubles peut engager la sécurité des personnes et des biens. La législation permet au maire d’intervenir, notamment, par deux types de procédures afin de prescrire aux propriétaires les mesures appropriées pour remédier aux situations dangereuses. Il s’agit de la procédure de péril (1.1) et du contrôle de la sécurité des hôtels meublés (1.2). 1.1. La procédure de péril (immeuble menaçant ruine) La procédure de péril est fondée sur la notion de sécurité publique et de danger encouru par les personnes, le public ou les occupants, compte tenu des défauts de solidité des éléments bâtis, y compris les éléments intérieurs aux bâtiments. Cependant, un immeuble menaçant ruine n’est pas nécessairement un immeuble d’habitation. Un immeuble d’habitation peut être insalubre et ne pas menacer ruine et réciproquement. Mais les deux désordres peuvent également se cumuler. Dans ce cas il peut être nécessaire de recourir à la procédure de péril et à celle de l’insalubrité. La police des immeubles menaçant ruine relève de la compétence du maire. Elle trouve son fondement dans l’article L. 2212‑2 du code général des collectivités territoriales relatif au pouvoir de police générale (1.1.1) et dans l’article L. 2213‑24 du même code afférent au pouvoir de police spéciale (1.1.2). (1) Il faut distinguer l’évacuation, dont l’objectif est la libération physique de locaux dangereux, opération de sécurité et d’urgence qui est indépendante des droits d’occupation des habitants et qui n’y met pas fin, de l’expulsion prononcée par le juge, qui statue sur le droit d’occupation des habitants et y met fin, le cas échéant. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 316 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 1.1.1. En matière de police générale D’une part, dès lors que la solidité des bâtiments est mise en cause par des évènements accidentels indépendants de toute responsabilité des propriétaires, le maire prend les mesures qui s’imposent afin de garantir la sécurité et la salubrité publiques. Ainsi, par exemple, à la suite de catastrophes naturelles ou d’incendies, il assure l’hébergement des habitants sinistrés. En matière de catastrophe naturelle, le FARU peut être mobilisé afin de prendre en charge financièrement les frais engagés par les communes, les EPL et les GIP compétents pour l’hébergement d’urgence ou le relogement temporaire des propriétaires occupants et des locataires. D’autre part, pour les squats devenus dangereux dans des immeubles très dégradés, souvent déjà sous arrêté de péril ou d’insalubrité, mais pour lesquels les travaux n’ont pu être exécutés, ou dont l’expulsion des occupants sans titre, ordonnée par le juge, n’a pu être mise en œuvre, le maire peut en ordonner l’évacuation. Cependant, comme pour toute évacuation, si les occupants n’obtempèrent pas, le maire doit demander au préfet le recours à la force publique. Dans ce cas, et pour des raisons de santé publique, le maire peut se trouver dans l’obligation de trouver un hébergement en urgence pour ces personnes. Dans ce cas, la subvention accordée au titre du FARU correspond à 100 % du coût du relogement pendant une durée maximale de 6 mois. En effet, dans ces cas, les dépenses engagées par la commune, l’EPL ou le GIP, ne peuvent pas être recouvrées sur des tiers. 1.1.2. En matière de police spéciale Dans le cadre de ce pouvoir de police spéciale du maire, on distingue deux cas, le péril ordinaire et le péril imminent. a) Le péril ordinaire La procédure de péril ordinaire est initiée par le maire. Il peut prescrire par arrêté toutes mesures tendant à la réparation ou à la démolition des murs, bâtiments ou édifices qui, eu égard à leur état, seraient de nature à compromettre la sécurité publique. Il incombe, dans ce cas, au propriétaire d’assurer le relogement des occupants dans les conditions prévues à l’article L. 521‑3‑1 du CCH. Toutefois, le maire est tenu de prendre, en cas de carence du propriétaire, les dispositions nécessaires pour héberger ou reloger les occupants de ces bâtiments. Dans ce cas, le propriétaire défaillant doit rembourser à la commune la somme correspondante aux frais occasionnés par le relogement. Elle est recouvrée comme en matière de contributions directes et le maire émet un titre exécutoire. Il pourra être attribué à la commune ou à l’EPL ou au GIP, si son dossier est retenu, une subvention correspondante à 75 % du coût pendant une durée maximale de 6 mois. Ce taux d’attribution se justifie par le fait que la créance doit être recouvrée par la commune sur les propriétaires défaillants. b) Le péril imminent En cas de péril imminent, le maire, après avertissement adressé au propriétaire, demande à la juridiction administrative compétente la nomination d’un expert qui, dans les vingt-quatre heures qui suivent sa nomination, examine les bâtiments, dresse constat de l’état des bâtiments mitoyens et propose des mesures de nature à mettre fin à l’imminence du péril s’il la constate. Si le rapport de l’expert conclut à l’existence d’un péril grave et imminent, le maire ordonne les mesures provisoires nécessaires pour garantir la sécurité, notamment, l’évacuation de l’immeuble. Dans le cas où ces mesures n’auraient pas été exécutées dans le délai imparti, le maire les fait exécuter d’office. En ce cas, le maire agit en lieu et place des propriétaires, pour leur compte et à leurs frais. Si les mesures ont à la fois conjuré l’imminence du danger et mis fin durablement au péril, le maire, sur le rapport d’un homme de l’art, prend acte de leur réalisation et de leur date d’achèvement. Si elles n’ont pas mis fin durablement au péril, le maire poursuit la procédure dans les conditions prévues à l’article L. 511‑2 du CCH et édicte un arrêté de péril ordinaire. Il pourra être attribué à la commune ou à l’EPL ou au GIP, si son dossier est retenu, une subvention correspondante à 75 % du coût pendant une durée maximale de 6 mois. Ce taux d’attribution se justifie par le fait que la créance doit être recouvrée par la commune sur les propriétaires défaillants. 1.2. Le contrôle de la sécurité des hôtels meublés Les hôtels meublés sont des établissements à usage d’hébergement. Ils sont soumis aux dispositions des établissements recevant du public. À ce titre, il relève de la compétence du maire d’en assurer le contrôle et la sécurité sur le fondement des articles L. 123‑1 à L. 123‑4 du CCH. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 317 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Le maire prescrit, par arrêté, après visite et avis de la commission de sécurité, l’exécution des mesures et travaux nécessaires pour faire cesser la situation d’insécurité. Il peut enfin, en cas d’inexécution des mesures par l’exploitant, y procéder d’office et aux frais de celui-ci (art L. 123‑3 du CCH). Il peut également prononcer une interdiction temporaire d’habiter ou d’utiliser les lieux. Dans la mesure où l’état des locaux impose une fermeture définitive, le maire y procède par arrêté. Dans tous ces cas, l’exploitant est tenu d’assurer l’hébergement temporaire ou le relogement définitif des occupants. En cas de carence de ce dernier, le maire doit prendre toutes les dispositions nécessaires pour héberger ou reloger les occupants. Les frais ainsi générés restent bien évidemment à la charge financière des exploitants (article L. 521‑1 du CCH). Par ailleurs, si l’état de l’hôtel meublé présente un très grave danger pour les occupants, le maire peut en ordonner l’évacuation. Dans ce cas, les dispositions afférentes au péril imminent en matière d’hébergement ou de relogement sont applicables. Le maire qui assure l’hébergement ou le relogement des occupants des hôtels meublés peut demander à bénéficier des subventions du FARU. Il pourra être attribué à la commune, si son dossier est retenu, une subvention correspondante à 75 % du coût pendant une durée maximale de 6 mois. L’EPL ou le GIP compétent qui assure l’hébergement ou le relogement des occupants des hôtels meublés peut également demander à bénéficier des subventions du FARU. Il pourra être attribué à ces structures, si leur dossier est retenu, une subvention correspondante à 75 % du coût pendant une durée maximale de 6 mois. 2. En matière de lutte contre l’insalubrité La lutte contre l’insalubrité a pour objet de protéger les habitants des risques d’atteinte à leur santé que l’état du logement leur fait courir, grâce à la réalisation de travaux ou, le cas échéant, à l’interdiction d’habiter, provisoire ou définitive. L’insalubrité peut être qualifiée de remédiable lorsque qu’il est demandé au propriétaire d’effectuer des travaux avec une éventuelle interdiction temporaire d’habiter. L’insalubrité est irrémédiable lorsqu’il n’existe aucun moyen technique pour y mettre fin ou lorsque les travaux seraient plus coûteux que la reconstruction du bâtiment. Dans ce cas, une interdiction définitive d’habiter est nécessairement prononcée. 2.1. La lutte contre l’habitat insalubre qui relève de la compétence du préfet... La lutte contre l’habitat insalubre est une compétence de l’État, prévue aux articles L. 1331‑22 à L. 1331‑30 du code de la santé publique. Elle est mise en œuvre par arrêté préfectoral déclarant l’insalubrité et prescrivant les mesures nécessaires à sa résorption. Ainsi, relève de la seule compétence du préfet l’obligation de prescrire les travaux à réaliser et, s’il y a lieu, de prononcer l’interdiction temporaire ou définitive d’habiter. Il incombe au propriétaire, d’assurer le relogement des occupants conformément aux dispositions de l’article L. 521‑3‑1 du CCH. Le préfet, en cas de carence du propriétaire en matière de relogement ou d’hébergement des occupants, prend les dispositions nécessaires pour les héberger ou les reloger. 2.2. ... peut être mise en œuvre par le maire Le maire peut, sur le fondement de l’article L. 521‑3‑2 du CCH, également intervenir au soutien du préfet en cas d’interdiction temporaire ou définitive d’habiter afin d’assurer l’hébergement ou le relogement temporaire des occupants dans les trois cas suivants : – si le maire est délégataire de tout ou partie des réservations de logements en application de l’article L. 441‑1 du code de la construction et de l’habitation ; –lorsque la commune initie des actions sur un immeuble déclaré insalubre situé dans le périmètre d’une opération programmée d’amélioration de l’habitat prévue par l’article L. 303‑1 du CCH ou dans une opération d’aménagement définie à l’article L. 300‑1 du code de l’urbanisme ; –dans le cas où une convention a été signée entre le maire et le préfet, prévoyant en application du V de l’article L. 521‑3‑2 du CCH, une répartition des obligations d’hébergement ou de relogement (cas, par exemple, de protocoles d’accord de lutte contre l’habitat indigne signés entre la commune et l’État). 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 318 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Il convient de rappeler que lorsque l’état des lieux a nécessité une interdiction temporaire d’habiter et que le préfet ou le maire s’est substitué au propriétaire défaillant en matière d’hébergement des occupants, ce dernier est tenu de rembourser les frais occasionnés. Ils sont ainsi recouvrés comme en matière de contributions directes et le préfet ou le maire émet un titre exécutoire. Lorsque les locaux ne sont pas libérés et si les occupants ont refusé toutes les offres de relogement tant du propriétaire que du préfet ou du maire, il convient de recourir à la procédure de l’expulsion telle que précédemment décrite. Si son dossier est retenu, il pourra être attribué à la commune, s’agissant d’une créance recouvrable sur les propriétaires, une subvention correspondante à 75 % du coût du relogement pendant une durée maximale de 6 mois. L’EPL ou le GIP compétent qui assure l’hébergement ou le relogement des occupants de locaux déclarés insalubres peut demander à bénéficier du FARU. Si son dossier est retenu, il pourra lui être attribué, s’agissant d’une créance recouvrable sur les propriétaires, une subvention correspondante à 75 % du coût du relogement pendant une durée maximale de 6 mois. II. – LES OPÉRATIONS DE TRAVAUX INTERDISANT L’ACCÈS À DES LOCAUX DANGEREUX Lorsqu’une commune assure l’exécution de travaux qui interdisent l’accès à des locaux frappés par un arrêté de péril et/ou d’insalubrité et limite ainsi le développement des squats, elle peut demander à bénéficier de subvention au titre du FARU. Si ces travaux d’interdiction d’accès sont réalisés par un EPL ou bien par un GIP compétent, ceux-ci peuvent demander à bénéficier de subvention au titre du FARU. Ces mesures portent notamment sur le murage des ouvertures, la mise en place de fermeture ou tout autre dispositif nécessaire à éviter toute occupation illicite des bâtiments. Pour chaque dossier retenu, il est accordé une subvention correspondante à 75 % du coût des travaux. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 319 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE 2 Assiette des dépenses éligibles au FARU La demande de subvention peut comporter des dépenses réellement acquittées ou des dépenses prévisionnelles. Dans ce dernier cas, il appartient à vos services de vérifier ex post auprès du demandeur la concordance entre la dépense prévisionnelle et le montant de la dépense réellement acquittée et de m’en tenir informé afin de procéder aux ajustements nécessaires. En matière d’hébergement d’urgence ou de relogement temporaire, le montant de la dépense pris en charge au titre du FARU est celui toutes taxes comprises pour une durée maximale de six mois. Il s’agit notamment des nuitées d’hôtels taxe de séjour incluse ou des loyers. En revanche, à titre d’exemple, ne sont pas pris en charge au titre du FARU : les frais de « bouche », les équipements nécessaires à l’aménagement d’un logement, les factures d’eau, de gaz, d’électricité et de téléphone, l’achat de mobilier, les frais d’huissier de justice, les frais d’expertise, les frais d’agence immobilière, les frais de garde meuble, les frais de déménagement ou les cautions. Concernant les travaux d’interdiction d’accès à des locaux présentant un danger pour la santé ou la sécurité de leur occupant, les dépenses prises en charge par le FARU sont celles toutes taxes comprises relatives notamment à des frais de murage des ouvertures, de la mise en place de fermeture ou tout autre dispositif nécessaire à éviter toute occupation illicite des bâtiments. Les travaux de remise en état d’un logement ne donc sont pas éligibles au titre du FARU. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 320 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE 3 Taux de subvention pour les diverses opérations éligibles au FARU Deux catégories d’opérations, dès lors qu’elles sont réalisées par une commune, un EPL ou un GIP compétent, peuvent être financées par ce fonds. Il s’agit, d’une part, des opérations d’hébergement d’urgence ou de relogement à titre temporaire d’une durée maximale de 6 mois, et d’autre part, des opérations de travaux interdisant l’accès à des locaux dangereux. Les taux de subvention au titre du FARU, définis dans le tableau ci-dessous, diffèrent selon la nature de l’opération et la procédure mise en œuvre (1). Toutefois, dans un souci de simplification, les taux de subventionnement ont été harmonisés. Désormais, l’ensemble des opérations seront donc subventionnées à un taux de 75 %, excepté les situations de péril sans responsabilité du propriétaire conformément à L. 2212‑2 du code général des collectivités territoriales (catastrophe naturelle, incendie, squats devenus dangereux) pour lesquelles le taux de prise en charge est de 100 %. OPÉRATIONS ÉLIGIBLES à des aides financières au titre du FARU TAUX de subvention au titre du FARU DURÉE MAXIMALE de prise en charge au titre du FARU Le péril sans responsabilité du propriétaire conformément à L. 2212‑2 du code général des collectivités territoriales (catastrophe naturelle, incendie, squats devenus dangereux) 100 % 6 mois Le péril ordinaire avec responsabilité du propriétaire défini à L. 511‑2 du code de la construction et de l’habitation 75 % 6 mois Le péril imminent défini à l’article L. 511‑3 du code de la construction et de l’habitation 75 % La sécurité des hôtels meublés définie aux articles L. 123‑3 et suivants du code de la construction et de l’habitation 75 % L’insalubrité définie aux articles L. 1331‑22 à L. 1331‑30 du code de la santé publique (CSP) 75 % PROCÉDURES mises en œuvre Hébergement d’urgence ou relogement temporaire Travaux d’interdiction d’accès à des locaux présentant un danger pour la santé ou la sécurité de leurs occupants 6 mois 6 mois 6 mois 75 % Un taux différent peut être appliqué par décision ministérielle au vu d’une proposition motivée de votre part. En revanche, la durée maximale de 6 mois, qui est fixée par la loi, ne peut faire l’objet de dérogation. (1) Annexe 1. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 321 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE 4 Liste des pièces justificatives à fournir par le demandeur d’une subvention au FARU Les dossiers transmis par les communes, les EPL et les GIP compétents demandeurs d’aide doivent obligatoirement comprendre les pièces suivantes : – une lettre de la commune, de l’EPL ou du GIP qui demande une subvention au titre du FARU et précise le montant de la subvention sollicitée toutes taxes comprises ; – un descriptif sommaire de l’opération (relogement, travaux) nécessitant le recours au FARU. Cet exposé précisera l’adresse, le nom du ou des propriétaires de l’immeuble concerné, ainsi que la chronologie et le support juridique de la procédure mise en œuvre (articles L. 2212‑2 du CGCT ou L. 511‑2 du CCH ou L. 511‑3 ou L. 123‑3 du CCH ou L. 1331‑22 à L. 1331‑30 du CSP). Selon les cas, il précisera les conditions de relogement (le lieu, le coût, la période de relogement, le nombre de personnes...) ou la nature des travaux d’interdiction d’accès à des locaux dangereux réalisés ou à effectuer. – la fiche récapitulative de demande de subvention au titre du FARU dûment complétée et signée (annexes 5 et 6) ; – l’arrêté d’évacuation déterminant la procédure mise en œuvre compte tenu de l’état de l’immeuble (pouvoir de police générale du maire, péril, insalubrité, sécurité d’hôtels meublés) ou en cas d’absence d’arrêté, une attestation (1) de l’autorité qui a assuré l’opération ; Le site Internet du Pôle national de lutte contre l’habitat indigne met à disposition des préfectures ainsi qu’à celle des communes, qu’il peut être utile de sensibiliser sur ce point des modèles d’arrêté de police consultables à l’adresse suivante www.habitatindigne.logement.gouv.fr – les justificatifs relatifs aux dépenses prévisionnelles ou réelles (bail, quittances de loyer, factures d’hôtel, factures ou devis pour la réalisation de travaux d’interdiction d’accès...) ; Les hébergements ou relogements temporaires effectués dans des structures gérées par des associations ou par des CCAS, bénéficiant de l’Allocation de logement temporaire (ALT) (2) ne peuvent pas bénéficier d’aides du FARU. Dans le cadre d’une catastrophe naturelle, le demandeur devra en outre fournir pour chaque sinistré relogé, ou à reloger, les pièces justificatives suivantes : – l’attestation d’assurance du sinistré relogé ; le FARU pourra éventuellement intervenir après une prise en charge par les assurances ou les mutuelles des frais de relogement des sinistrés ; – le cas échéant, l’attestation de l’allocation logement perçu par le sinistré dans son lieu de relogement. Dans ce cas particulier, les sommes allouées par la CAF au titre d’allocation logement devront en effet être déduites des sommes pouvant être allouées au titre du FARU. (1) Modèles en annexe 7 et 8. (2) Allocation de logement temporaire, financée par l’État et liquidée par les CAF. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 322 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE 5 Modèle de fiche récapitulative de demande de subvention au titre du FARU concernant une opération d’hébergement d’urgence ou de relogement temporaire DEMANDE DE SUBVENTION AU TITRE DU FONDS D’AIDE POUR LE RELOGEMENT D’URGENCE COMMUNE/EPL/GIP : INSTRUCTEUR DE LA DEMANDE : DÉCISION DU MAIRE OU DU PRÉFET JUSTIFIANT LE RELOGEMENT : Arrêté municipal ÉTAT CIVIL DU RELOGÉ Arrêté préfectoral Nom Attestation Prénom Date de Naissance Composition de la famille relogée ADRESSE DE L’IMMEUBLE ÉVACUÉ STATUT RELOGÉ DU Locataire Propriétaire Accédant à la propriété MODE DE RELOGEMENT Nuitée(s) d’hôtel Maison Appartement Autre ADRESSE DU RELOGEMENT 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 323 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR DESCRIPTIF DU RELOGEMENT PÉRIODE DE RELOGEMENT DURÉE DU RELOGEMENT DESCRIPTIF DES DÉPENSES DE RELOGEMENT DU DEMANDEUR POUR UNE DURÉE MAXIMALE DE 6 MOIS DE PRISE EN CHARGE PAR LE FARU À remplir en cas de catastrophe naturelle : PRISE EN CHARGE DES FRAIS DE RELOGEMENT PAR L’ASSURANCE OU LA MUTUELLE Oui Non Oui Non Si oui, indiquez le montant de l’indemnité perçu par le relogé : AIDE AU LOGEMENT Si oui, indiquez la nature de l’allocation perçue par le relogé : Si oui, indiquez le montant de l’allocation perçue par le relogé : PIÈCES JUSTIFICATIVES À FOURNIR La lettre de saisine de la commune, l’EPL ou le GIP Descriptif sommaire de l’opération Arrêté municipal Attestation Arrêté préfectoral Les justificatifs des dépenses En cas de catastrophe naturelle : Arrêté municipal d’évacuation ou attestation Attestation de l’assurance relative à l’indemnisation ou non des frais de relogement Attestation allocation logement Justificatifs des dépenses Montant TTC de la subvention sollicitée : La subvention accordée à déjà été engagée La subvention accordée constitue une dépense prévisionnelle Date, nom et signature du demandeur (commune, EPL ou GIP) : 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 324 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE 6 Modèle de fiche récapitulative de demande de subvention au titre du FARU concernant une opération de travaux d’interdiction d’accès à des locaux dangereux DEMANDE DE SUBVENTION AU TITRE DU FONDS D’AIDE POUR LE RELOGEMENT D’URGENCE COMMUNE/EPL/GIP : INSTRUCTEUR DE LA DEMANDE : DÉCISION DU MAIRE OU DU PRÉFET JUSTIFIANT LES TRAVAUX : Arrêté municipal Arrêté préfectoral Attestation ADRESSE DE L’IMMEUBLE ÉVACUÉ DESCRIPTIF ET MONTANT DES TRAVAUX PIÈCES JUSTIFICATIVES À FOURNIR La lettre de saisine de la commune, l’EPL ou le GIP Descriptif sommaire de l’opération Arrêté municipal Attestation Arrêté préfectoral Les justificatifs des dépenses Montant TTC de la subvention sollicitée : La subvention accordée à déjà été engagée La subvention accordée constitue une dépense prévisionnelle Date, nom et signature du demandeur (commune, EPL ou GIP) : 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 325 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE 7 Modèle d’attestation delivrée par une commmune, un EPL, un GIP pour une opération de relogement I. – MODÈLE D’ATTESTATION DÉLIVRÉE PAR UNE COMMUNE Je soussigné(e), Maire de X, certifie que l’immeuble sis ................................................................................., dont M. et Mme .............................................................................................................. étaient locataires/propriétaires, est interdit temporairement/définitivement à l’habitation à la suite de ............................................................................... De ce fait, M. et Mme ............................................................... ont été relogés/vont être relogés temporairement à compter du ............................ jusqu’au ............................ à l’adresse suivante ............................................................ ...................................................................... pour un montant de ................. € TTC pris en charge par la commune. La commune sollicite une subvention de ................. € TTC au titre du FARU pour la période du ............................. au ............................ II. – MODÈLE D’ATTESTATION DÉLIVRÉE PAR UN EPL Je soussigné(e), Président de l’EPL X, certifie que l’immeuble sis ..................................................................... ..........., dont M. et Mme .............................................................................................................. étaient locataires/ propriétaires, est interdit temporairement/définitivement à l’habitation à la suite de ................................................... ............................ De ce fait, M. et Mme ............................................................... ont été relogés/vont être relogés temporairement à compter du ............................ jusqu’au ............................ à l’adresse suivante ............................................................ ...................................................................... pour un montant de ................. € TTC pris en charge par la commune. L’EPL X sollicite une subvention de ................. € TTC au titre du FARU pour la période du ............................. au ............................ III. – MODÈLE D’ATTESTATION DÉLIVRÉE PAR UN GIP Je soussigné(e), Président du GIP X, certifie que l’immeuble sis ........................................................................ ........, dont M. et Mme .............................................................................................................. étaient locataires/ propriétaires, est interdit temporairement/définitivement à l’habitation à la suite de ................................................... ............................ De ce fait, M. et Mme ............................................................... ont été relogés/vont être relogés temporairement à compter du ............................ jusqu’au ............................ à l’adresse suivante ............................................................ ...................................................................... pour un montant de ................. € TTC pris en charge par la commune. Le GIP X sollicite une subvention de ................. € TTC au titre du FARU pour la période du ............................. au ............................ 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 326 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE 8 Modèle d’attestation delivrée par une commmune, un EPL, un GIP pour une opération de travaux d’interdiction d’accès à des locaux dangereux I. – MODÈLE D’ATTESTATION DÉLIVRÉE PAR UNE COMMUNE Je soussigné(e), Maire de X, certifie que l’immeuble sis .......................................................................................... est interdit temporairement/définitivement à l’habitation à la suite de .......................................................................... La commune a procédé/va procéder aux travaux d’interdiction d’accès à ces locaux dangereux le .............................. pour un montant de ................... € TTC pris en charge par la commune. La commune sollicite une subvention de ................... € TTC au titre du FARU pour les travaux précités. II. – MODÈLE D’ATTESTATION DÉLIVRÉE PAR UN EPL Je soussigné(e), Président de l’EPL X, certifie que l’immeuble sis ............................................................................ est interdit temporairement/définitivement à l’habitation à la suite de .......................................................................... L’EPL X a procédé/va procéder aux travaux d’interdiction d’accès à ces locaux dangereux le .............................. pour un montant de ................... € TTC pris en charge par la commune. L’EPL X sollicite une subvention de ................... € TTC au titre du FARU pour les travaux précités. III. – MODÈLE D’ATTESTATION DÉLIVRÉE PAR UN GIP Je soussigné(e), Maire de X, certifie que l’immeuble sis ........................................................................................ est interdit temporairement/définitivement à l’habitation à la suite de ......................................................................... Le GIP X a procédé/va procéder aux travaux d’interdiction d’accès à ces locaux dangereux le .............................. pour un montant de ................... € TTC pris en charge par la commune. Le GIP X sollicite une subvention de ................... € TTC au titre du FARU pour les travaux précités. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 327 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE 9 Instruction du dossier et modalités de versement des subventions au titre du FARU La synthèse du dossier : Au terme de l’instruction du dossier par les services de la préfecture, il revient à ceux-ci de réaliser une fiche de synthèse. Cette fiche, dont deux modèles sont joints en annexe 10 et 11, certifiée par les services de la préfecture, atteste que le dossier est complet et que les dépenses à prendre en charge sont éligibles. Elle récapitule l’objet de la demande de subvention (relogement ou travaux ; procédure mise en œuvre) ainsi que son contenu (liste des pièces constitutives du dossier transmis par le demandeur), et détaille le calcul de la subvention que les services de la préfecture proposent d’accorder au titre du FARU (1). Il est utile d’y indiquer le contexte local générateur de la demande de subvention ainsi que des éléments sur la situation des occupants concernés (par exemple : la demande de subvention s’inscrit-elle dans le cadre d’une action particulière menée par la commune, l’EPL ou le GIP en matière de logement telle qu’une opération programmée d’amélioration de l’habitat ou un programme d’intérêt général.) Le versement de la subvention : La synthèse devra être transmise au bureau de la domanialité, de l’urbanisme, de la voirie, et de l’habitat de la Direction générale des collectivités locales, compétent pour préparer l’arrêté d’attribution de la subvention. Sur la base de l’arrêté ministériel pris par la Direction générale des collectivités locales, il appartient au préfet de prendre un second arrêté (2) pour transmission au directeur départemental des finances publiques (DDFIP) et de faire procéder au versement des fonds auprès du bénéficiaire par le DDFIP au cours de l’année d’émission de l’arrêté ministériel portant attribution. La subvention sera directement versée aux communes par le DDFIP et sera imputée sur le compte de tiers no 465‑127 « fonds d’aide pour le relogement d’urgence » ouvert dans les écritures de l’État. L’inscription des aides accordées au titre de ce fonds dans le budget des bénéficiaires relevant de la nomenclature M14 (communes, CCAS, CIAS et EPCI notamment) sera différente selon la nature de l’opération financée. Ainsi, s’agissant des dépenses d’hébergement d’urgence ou de relogement temporaire, les aides seront enregistrées sur le compte 74718 « Participations État – Autres ». Concernant les travaux d’interdiction d’accès à des locaux dangereux, les aides reçues seront enregistrées sur des lignes budgétaires différentes selon que les travaux sont amortis ou non. Si les travaux sont amortis, l’aide sera versée sur le compte 1338 « Fonds affectés à l’équipement transférables – État et établissements nationaux », dans le cas inverse, l’aide sera versée sur le compte 1348 « Fonds affectés à l’équipement non transférables – État et établissements nationaux ». S’agissant des bénéficiaires relevant de la nomenclature M31 (OPH), le versement des aides FARU s’effectue, selon les cas, pour les dépenses en matière d’hébergement d’urgence ou de relogement temporaire au compte C/ 743 « Subventions d’exploitation » ou pour les travaux d’interdiction d’accès à des locaux au compte C/ 1311 « Subvention d’équipement – État ». Enfin, concernant les GIP qui relèvent de la nomenclature M9, le versement des aides FARU s’effectue sur le compte C/ 741 « Subventions d’exploitation – État » pour les dépenses en matière d’hébergement d’urgence ou de relogement temporaire. Pour les aides relatives à des opérations de travaux d’interdiction d’accès à des locaux dangereux, celles-ci sont inscrites au compte C/1311 « Subvention d’équipement – État » ou C/741 « Subventions d’exploitation – État » du GIP selon que les dépenses sont immobilisables ou non. (1) Dans un souci d’allègement des tâches administratives, il est pertinent de regrouper, pour chaque demandeur, les dossiers de subvention instruits par la préfecture afin que le total de la subvention à accorder au titre du FARU ne soit pas inférieur à 500 €. (2) Modèles en annexes 12, 13 et 14. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 328 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE 10 Un modèle de fiche de synthèse à transmettre à la DGCL concernant une opération d’hébergement d’urgence ou de relogement temporaire Demande de subvention au titre du FARU DOSSIER : nom de la commune, de l’EPL ou du GIP I. – PRÉSENTATION GÉNÉRALE DE LA DEMANDE DE SUBVENTION FARU La commune/EPL/GIP X a transmis, par lettre du ......................, un dossier de demande d’aide suite au relogement des occupants de l’immeuble/hôtel meublé sis .................................................................................................. dans le cadre d’un arrêté .......................... du .......................... en raison .......................... La commune/EPL/GIP X sollicite une subvention au titre du FARU pour un montant de .......................... € TTC. Immeuble situé : ......................................................................................................................................................... Identité du/des propriétaire(s) : .................................................................................................................................. Identité du/des locataire(s) relogés : ........................................................................................................................... II. – LES PIÈCES DU DOSSIER DE SUBVENTION TRANSMISES PAR LE DEMANDEUR (à conserver par la préfecture et à ne pas transmettre à la DGCL) – une lettre de la commune, de l’EPL ou du GIP X qui sollicite une subvention au titre du FARU du .................. – un descriptif sommaire de l’opération et des conditions de relogement ; – la fiche récapitulative de demande de subvention ; –l’arrêté (pouvoir de police générale du maire, péril, insalubrité, sécurité d’hôtels meublés) ou l’attestation communale du ............... ; – les justificatifs relatifs aux dépenses (bail, quittances de loyer, factures d’hôtel). En cas de catastrophe naturelle : – une attestation d’assurance ; – une attestation de la caisse d’allocation familiale. III. – LE CALCUL DE LA SUBVENTION À OCTROYER AU TITRE DU FARU Dans le cadre de la mise en œuvre des pouvoirs de police générale du maire : Les frais de relogement de .................................... pour la période du ....................... au ...................... s’élèvent à ...................... €. Ils sont pris en charge à 100 % car ils résultent d’une mise en œuvre du pouvoir de police générale du maire suite à un incendie/catastrophe naturelle/squats devenus dangereux. Dans le cadre d’une procédure de péril : Les frais de relogement de .................................... pour la période du ...................... au ...................... s’élèvent à ...................... €. Ils sont pris en charge à 75 % soit ...................... € car ils doivent faire l’objet d’une demande de remboursement auprès du propriétaire suite à l’arrêté de péril ordinaire/imminent qui lui a été notifié. Dans le cadre d’une procédure de contrôle de la sécurité des hôtels meublés : Les frais de relogement de .................................... pour la période du ...................... au ...................... s’élèvent à ...................... €. Ils sont pris en charge à 75 % soit ...................... € car ils doivent faire l’objet d’une demande de remboursement auprès du propriétaire/exploitant suite à l’arrêté portant sur la sécurité de l’hôtel meublé qui lui a été notifié. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 329 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR IV. – ÉLÉMENTS DE CONTEXTE LOCAL Exemple : cette opération de relogement a été menée dans le cadre d’une OPAH, d’un PIG, d’un protocole de lutte contre l’habitat indigne... V. – TABLEAU SYNTHÉTIQUE RELATIF AUX CONDITIONS ET AU COÛT DU RELOGEMENT IDENTITÉ des personnes relogées STATUT D’OCCUPATION (locataire, propriétaire) MODE DE RELOGEMENT (hôtel, appartement, mobile home) PÉRIODE de relogement DÉPENSES de relogement la commune Total de la subvention sollicitée par la commune/EPL/GIP X : Total de la subvention à accorder au titre du FARU : Je certifie que la présente demande de subvention est éligible au titre du FARU au regard des dispositions de l’article L. 2335‑15 du code général des collectivités territoriales et de la circulaire du ................................................ ....................................................................................................................................................................................... J’atteste que le présent dossier comporte, d’une part, les pièces justificatives requises, et d’autre part, des dépenses éligibles au titre de ce fonds. Au regard des éléments transmis, je vous propose donc qu’une subvention d’un montant de ............................ € soit octroyée au titre du FARU à la commune/EPL/GIP X pour avoir procédé à une/plusieurs opérations de relogement d’urgence. Le Préfet Signature 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 330 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE 11 Modèle de fiche de synthèse à transmettre à la DGCL concernant une opération de travaux d’interdiction d’accès à des locaux dangereux Demande de subvention au titre du FARU DOSSIER : nom de la commune, de l’EPL ou du GIP I. – PRÉSENTATION GÉNÉRALE DE LA DEMANDE DE SUBVENTION FARU La commune/EPL/GIP X a transmis, par lettre du ......................, un dossier de demande d’aide concernant une opération de travaux d’interdiction d’accès de l’immeuble/hôtel meublé sis ................................................................. ................................. dans le cadre d’un arrêté .......................... du .......................... La commune/EPL/GIP X sollicite une subvention au titre du FARU pour un montant de .......................... € TTC. Immeuble situé : ......................................................................................................................................................... Identité du/des propriétaire (s) : ................................................................................................................................. II. – LES PIÈCES DU DOSSIER DE SUBVENTION TRANSMISES PAR LE DEMANDEUR (à conserver par la préfecture et à ne pas transmettre à la DGCL) –une lettre de la commune, de l’EPL ou du GIP X qui sollicite une subvention au titre du FARU en date du ............... ; – un descriptif sommaire de l’opération ; – la fiche récapitulative de demande de subvention ; –l’arrêté (pouvoir de police générale du maire, péril, insalubrité, sécurité d’hôtels meublés) ou l’attestation communale en date du ............... ; – les justificatifs relatifs aux dépenses (factures ou devis pour la réalisation de travaux d’interdiction d’accès). III. – LE CALCUL DE LA SUBVENTION À OCTROYER AU TITRE DU FARU Le montant des travaux d’interdiction d’accès à des locaux présentant un danger s’élève à ............................... €. Ils sont pris en charge à 75 % car ils permettent d’interdire l’accès à ces locaux et d’empêcher d’éventuels squats. IV. – ÉLÉMENTS DE CONTEXTE LOCAL Exemple : cette opération de travaux a été menée dans le cadre d’une OPAH, d’un PIG, d’un protocole de lutte contre l’habitat indigne... V. – TABLEAU SYNTHÉTIQUE RELATIF AU COÛT ET À LA NATURE DES TRAVAUX D’INTERDICTION D’ACCÈS À DES LOCAUX DANGEREUX NATURE des travaux DÉPENSES de la commune Total de la subvention sollicitée par la commune/EPL/GIP X : Total de la subvention à accorder au titre du FARU : 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 331 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Je certifie que la présente demande de subvention est éligible au titre du FARU au regard des dispositions de l’article L. 2335‑15 du code général des collectivités territoriales et de la circulaire du ................................................ ....................................................................................................................................................................................... J’atteste que le présent dossier comporte, d’une part, les pièces justificatives requises, et d’autre part, des dépenses éligibles au titre de ce fonds. Au regard des éléments transmis, je vous propose donc qu’une subvention d’un montant de ............................ € soit octroyée au titre du FARU à la commune/EPL/GIP X pour avoir procédé à une/plusieurs opérations de travaux d’interdiction d’accès à des locaux dangereux. Le Préfet, Signature 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 332 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE 12 Modèle d’arrêté préfectoral portant attribution d’une subvention au titre du faru à une commune Arrêté préfectoral portant attribution d’une subvention au titre du fonds d’aide pour le relogement d’urgence à la commune de ................. Le Préfet de ..........................., Vu l’article 39 de la loi no 2005‑1719 du 30 décembre 2005 de finances pour 2006 relatif au fonds d’aide pour le relogement d’urgence (FARU) ; Vu l’article 56 de la loi no 2010‑1657 du 29 décembre 2010 de finances pour 2011 relatif au fonds d’aide pour le relogement d’urgence (FARU) ; Vu l’article L. 2335‑15 du code général des collectivités territoriales ; Vu la circulaire du .................... du Ministère de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration portant sur le fonds d’aide pour le relogement d’urgence ; Vu l’arrêté ministériel du .................... 2011 portant attribution d’une subvention au titre du fonds d’aide pour le relogement d’urgence à la commune de .................... ; Vu la demande de la commune de .................... du .................... d’une subvention au titre du fonds d’aide pour le relogement d’urgence ; Vu la synthèse du Préfet du .................... du ...................., Arrête : Article 1er Une subvention de .................... € est attribuée à la commune de .................... au titre du fonds d’aide pour le relogement d’urgence suite .................... Article 2 Le versement s’opérera par débit du compte « Fonds d’aide pour le relogement d’urgence – FARU » no 465127 ouvert dans les écritures de M. le Directeur départemental des finances publiques du .................... au cours de l’année d’émission de l’arrêté ministériel. Article 3 Le Préfet et le Directeur départemental des finances publiques du .................... sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté. A ...................., le 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 333 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE 13 Modèle d’arrêté prefectoral portant attribution d’une subvention au titre du FARU à un EPL Arrêté préfectoral portant attribution d’une subvention au titre du fonds d’aide pour le relogement d’urgence à L’EPL .................... Le Préfet de ...................., Vu l’article 39 de la loi no 2005‑1719 du 30 décembre 2005 de finances pour 2006 relatif au fonds d’aide pour le relogement d’urgence (FARU) ; Vu l’article 56 de la loi no 2010‑1657 du 29 décembre 2010 de finances pour 2011 relatif au fonds d’aide pour le relogement d’urgence (FARU) ; Vu l’article L. 2335‑15 du code général des collectivités territoriales ; Vu la circulaire du ................... du Ministère de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, portant sur le fonds d’aide pour le relogement d’urgence ; Vu l’arrêté ministériel du .................... 2011 portant attribution d’une subvention au titre du fonds d’aide pour le relogement d’urgence à l’EPL .................... ; Vu la demande de l’EPL de .................... du .................... d’une subvention au titre du fonds d’aide pour le relogement d’urgence ; Vu la synthèse du Préfet du .................... du .................... , Arrête : Article 1er Une subvention de .................... € est attribuée à l’EPL de .................... au titre du fonds d’aide pour le relogement d’urgence suite .................... sur l’imputation budgétaire .................... Article 2 Le versement s’opérera par débit du compte « Fonds d’aide pour le relogement d’urgence – FARU » no 465127 ouvert dans les écritures de M. le Directeur départemental des finances publiques du .................... au cours de l’année d’émission de l’arrêté ministériel. Article 3 Le Préfet et le Directeur départemental des finances publiques du .................... sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté. A...................., le 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 334 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE 14 Modèle d’arrêté préfectoral portant attribution d’une subvention au titre du FARU à un GIP Arrêté préfectoral portant attribution d’une subvention au titre du fonds d’aide pour le relogement d’urgence au GIP .................... Le Préfet de ...................., Vu l’article 39 de la loi no 2005‑1719 du 30 décembre 2005 de finances pour 2006 relatif au fonds d’aide pour le relogement d’urgence (FARU) ; Vu l’article 56 de la loi no 2010‑1657 du 29 décembre 2010 de finances pour 2011 relatif au fonds d’aide pour le relogement d’urgence (FARU) ; Vu l’article L. 2335‑15 du code général des collectivités territoriales ; Vu la circulaire du .................... du Ministère de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration portant sur le fonds d’aide pour le relogement d’urgence ; Vu l’arrêté ministériel du .................... 2011 portant attribution d’une subvention au titre du fonds d’aide pour le relogement d’urgence au GIP.................... ; Vu la demande du GIP de .................... du .................... d’une subvention au titre du fonds d’aide pour le relogement d’urgence ; Vu la synthèse du Préfet du .................... du .................... , Arrête : Article 1er Une subvention de .................... € est attribuée au GIP de .................... au titre du fonds d’aide pour le relogement d’urgence suite .................... sur l’imputation budgétaire .................... Article 2 Le versement s’opérera par débit du compte « Fonds d’aide pour le relogement d’urgence – FARU » no 465 127 ouvert dans les écritures de M. le Directeur départemental des finances publiques du .................... au cours de l’année d’émission de l’arrêté ministériel. Article 3 Le Préfet et le Directeur départemental des finances publiques du .................... sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté. A...................., le 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 335 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE 15 Modalités de suivi et, le cas échéant, de remboursement de la subvention FARU Les pièces constitutives de la demande de subvention devront être conservées par les services de la préfecture durant cinq ans. Lorsque le maire, l’établissement public ou le GIP ont du assurer l’hébergement ou le relogement temporaire des occupants d’un logement interdit à l’habitation ou évacué sur le fondement d’une mesure de police spéciale (police des immeubles menaçant ruine, de l’insécurité des hôtels ou de l’insalubrité) la créance est recouvrable par le maire sur les propriétaires défaillants (cf. annexe 1). Aussi, je vous invite à rappeler aux maires leur obligation légale de recouvrer les créances auprès des propriétaires ou exploitants défaillants lorsqu’ils se sont substitués d’office à eux pour réaliser les travaux ou assurer les hébergements et relogements. Si le bénéficiaire d’une aide au titre du FARU, a recouvré l’intégralité de sa créance auprès du propriétaire ou du gestionnaire, devra reverser la subvention qui lui a été allouée. En cas de remboursement partiel de ces dépenses par le propriétaire ou le gestionnaire, le bénéficiaire de la subvention FARU doit rembourser une partie de l’aide, à savoir le différentiel, dès lors qu’il est positif, entre le montant de la dépense engagée et le montant des crédits perçu au titre du remboursement des créances et la subvention perçue au titre du fonds d’aide au relogement d’urgence. Cette demande de remboursement n’est toutefois pas sollicitée auprès des communes, EPL compétents, GIP compétents qui seraient intervenus dans le cadre d’un projet de traitement d’ensemble de l’habitat dégradé. Au vu de ces éléments, il est recommandé de mettre en place des outils de suivi des opérations subventionnées par ce fonds. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 336 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES D ET DE L’IMMIGRATION _____ Circulaire du 4 mai 2012 relative aux statistiques de recherches dans l’intérêt des familles des personnes majeures. Résultats définitifs 2010 – Premiers résultats 2011 NOR : IOCD1208835C Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration à Mesdames et Messieurs les préfets (métropole et outre-mer) ; Monsieur le préfet de police et Mesdames et Messieurs les sous-préfets (en communication). J’ai le plaisir de vous adresser le rapport d’activité concernant les recherches dans l’intérêt des familles pour la période 2009‑2010. Il dresse la synthèse des résultats au niveau national pour l’ensemble des préfectures ainsi que pour le Bureau des questions pénales, soit un taux de 48 % de personnes retrouvées (résultats partiels) pour 4 373 demandes concernant l’année 2010. Afin d’établir le rapport d’activité pour l’année 2011, je vous prie de bien vouloir me retourner, avant le 1er juin 2012, les tableaux statistiques ci-joints complétés. Vous prendrez exclusivement en compte les demandes de recherches émanant des requérants domiciliés dans votre département, à l’exclusion de celles émanant des autres préfectures. Je vous remercie de bien vouloir me communiquer vos réponses à l’aide du tableur Excel ci-joint prévu à cet effet. Vous voudrez bien me faire parvenir vos résultats par voie électronique à l’adresse suivante : claire.dumas@interieur. gouv.fr. Pour le ministre et par délégation : Le directeur des libertés publiques et des affaires juridiques, Laurent Touvet 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 337 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR RAPPORT D’ACTIVITÉ DES ANNÉES 2009 ET 2010 DES SERVICES DE RECHERCHES DANS L’INTÉRÊT DES FAMILLES Ce rapport d’activité présente les résultats 2010 des recherches de personnes effectuées par le bureau des questions pénales et les préfectures. Les résultats prennent en compte les nouvelles demandes déposées en 2010 ainsi que le volume de demandes global concernant les années 2009 et 2010. En effet, la procédure administrative de recherches dans l’intérêt des familles donne lieu éventuellement à une inscription des personnes au fichier des personnes recherchées (FPR), dont la durée s’étend de l’année d’inscription à la fin de l’année suivante, déterminant ainsi le temps de recherche consacré par les services aux dossiers déposés une même année. 1. Évolution de la procédure : vers la primauté du principe de la liberté de circulation des individus L’origine de cette procédure administrative se trouve aux lendemains de la Première Guerre mondiale quand l’État a apporté son concours aux particuliers pour recomposer les familles dispersées par le conflit. Après la Seconde Guerre mondiale, l’État a confirmé cette aide par une circulaire du ministère de l’intérieur du 26 mai 1945. Puis, la nature des recherches n’a plus eu de lien avec les évènements évoqués et la question de la communication de l’adresse de la personne recherchée, si celle-ci n’y consentait pas, a été soulevée. Actuellement cette procédure est encadrée par la circulaire no 83‑52 du 21 février 1983 qui a pris en compte la diffusion nationale de la recherche avec l’inscription au fichier national des personnes recherchées (FPR). Elle vise à répondre à des demandes formulées par des personnes majeures qui recherchent un parent sur notre territoire. Elle repose désormais sur la liberté de circulation des personnes, le respect de la vie privée, et ne présente aucun caractère de contrainte ou d’obligation. Le droit à disparaître s’est ainsi imposé. Cas particuliers Sont exclus de la procédure administrative de recherches dans l’intérêt des familles : – les mineurs et les majeurs protégés ; –les personnes disparues dans des conditions inquiétantes dues aux circonstances, aux conditions d’âge ou de santé (article 26 de la loi no 95‑73 du 21 janvier 1995, et article 74‑1 du code de procédure pénale). 2. Traitement des demandes : une procédure uniforme Le traitement de la recherche est uniforme quelle que soit l’origine de la demande. Il consiste en : – une diffusion nationale avec l’inscription au fichier des personnes recherchées (FPR), après des recherches locales infructueuses ; –des formalités de recherches aux niveaux départemental et régional auprès de toutes les administrations, ou organismes privés, susceptibles de détenir des renseignements concernant l’adresse de la personne disparue. En cas de découverte, l’accord de la personne retrouvée est un préalable indispensable à la communication de son adresse. La validité des avis de recherche court de l’année d’inscription à la fin de l’année suivante. Un certificat de vaines recherches, sans valeur juridique, peut être délivré au requérant après six mois de recherches infructueuses et entraîne la cessation des recherches. 2.1. Demandes adressées au ministre Le ministère (DLPAJ – bureau des questions pénales) reçoit et traite les demandes en provenance de l’étranger par l’intermédiaire du ministère des affaires étrangères, via les représentations consulaires, ou par l’intermédiaire de la Croix Rouge. Sur l’ensemble des dossiers, on constate une grande disparité dans la provenance des demandes. En outre, l’origine géographique de ces dernières semble de moins en moins être déterminée par les conséquences de conflits ou de situations politiques précaires. Parmi les demandes de recherches transmises par le ministère des affaires étrangères, on constate une baisse continue des demandes en provenance d’Afrique du Nord et en particulier d’Algérie. Après des séparations de quarante ans, ou plus, beaucoup de personnes sont décédées, introuvables, ou ne souhaitent pas renouer de contacts. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 338 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 2.2. Mission d’orientation et de conseil Outre la mission principale de recherches de personnes sur le territoire français, la section de recherches du bureau des questions pénales est destinataire de courriers et appels téléphoniques émanant de particuliers, relatifs à la disparition de personnes, qui appellent un travail d’orientation et de conseil. Le service joue également un rôle de conseil auprès du service de recherches dans l’intérêt des familles de chaque préfecture et suit l’évolution des réglementations susceptibles d’avoir une incidence sur les règles de fonctionnement de la procédure, en particulier sur les conditions de recevabilité des demandes. 3. Résultats statistiques Globalement, le nombre de demandes de recherches dans l’intérêt des familles est en baisse constante et l’année 2010 confirme ce mouvement. Pour l’année 2010, l’ensemble des résultats est le suivant : 7 591 dossiers en stock (nouvelles demandes 2010 et demandes 2009) ; 4 373 nouvelles demandes déposées en 2010 ; 2 389 dossiers ont débouché sur la localisation des personnes ; 48 % des personnes retrouvées, soit 1 147 dossiers, ont consenti à communiquer leur adresse. Ainsi, alors que le bureau des questions pénales enregistrait 472 demandes en 2004, le nombre de dossiers passe à 148 en 2010, c’est-à-dire une baisse de 70 % en six ans. Les préfectures enregistraient 4 225 demandes de recherches en 2010, contre 8 039 en 2004, soit une baisse de 47 %. En outre, les trois quarts des recherches sont effectuées inutilement, soit parce que les recherches se sont révélées vaines, soit parce que les personnes retrouvées ont refusé que leur adresse soit communiquée. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 339 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR TABLEAUX STATISTIQUES DE RECHERCHES DANS L’INTÉRÊT DES FAMILLES ENSEMBLE DES PRÉFECTURES - STATISTIQUES 2011 (Exclure les poursuites de recherches présentées par d’autres préfectures) NOUVELLES DEMANDES 2011 Français Étrangers TOTAL TOTAL PERSONNES RECHERCHÉES (2010 + 2011)* Français Étrangers TOTAL TOTAL PERSONNES RETROUVÉES en 2011* Français Étrangers TOTAL TOTAL Nombre de personnes ayant consenti à communiquer leurs coordonnées * La procédure administrative de recherches dans l’intérêt des familles donne éventuellement lieu à une inscription au fichier des personnes recherchées (FPR), dont la durée s’étend de l’année d’inscription à la fin de l’année suivante, déterminant ainsi le temps de recherche consacré par les services aux dossiers déposés une même année. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 340 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Direction générale des collectivités locales _____ Sous-direction des compétences et des institutions locales _____ Sous-direction des finances locales et de l’action économique _____ Département des études et statistiques locales _____ MINISTÈRE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS ET DE LA RÉFORME DE L’ÉTAT _____ Direction générale des finances publiques _____ Service des collectivités locales _____ Circulaire du 11 mai 2012 relative à la transition administrative et comptable en cas de fusion d’EPCI ou de syndicats mixtes NOR : IOCB1223084C Références : circulaire NOR : IOCB1132783C du 12 janvier 2012 relative à la mise en œuvre des schémas départementaux de coopération intercommunale. Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration et la ministre du budget, des comptes publics et de la réforme de l’État à Mesdames et Messieurs les préfets et les directeurs des finances publiques de région et de département de métropole et d’outre-mer. Les ordonnateurs et les comptables publics seront sollicités à l’occasion de la mise en œuvre de la loi no 2010‑1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales (RCT) et notamment des schémas départementaux de coopération intercommunale. Les opérations de création, dissolution, fusion ou extension d’établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) exigeront notamment une attention particulière au regard des transferts de patrimoines. Les modalités exposées ci-dessous doivent permettre aux comptables d’assurer à grande échelle les opérations relatives à la fusion d’EPCI engagées dans les prochaines années dans le cadre de procédures simples et sécurisées au plan juridique. 1. Le rappel du cadre juridique de la fusion des EPCI L’article L. 5211‑41‑3 du code général des collectivités territoriales (CGCT), modifié par l’article 42 de la loi RCT, définit le droit commun des fusions d’EPCI dont au moins l’un d’entre eux est à fiscalité propre. La fusion d’EPCI entraîne la création d’une nouvelle personne morale de droit public et la disparition des EPCI d’origine. Ces opérations sont réalisées concomitamment. Par conséquent, il n’y a pas lieu de répartir l’actif et le passif des EPCI préalablement entre les communes membres des anciens EPCI, ni, pour les communes, de les mettre à disposition du nouvel EPCI. Malgré le changement de personne morale, la loi prévoit la continuité juridique des contrats, des biens et des services. De manière identique, la fusion des syndicats de communes et des syndicats mixtes, rendue possible par la loi RCT (1), entraîne la création d’une nouvelle personne morale de droit public et la disparition des EPCI d’origine. L’article L. 5211‑41‑3 du CGCT applicable aux EPCI à fiscalité propre et l’article L. 5212‑27 applicable aux syndicats précisent que l’établissement public issu de la fusion est substitué de plein droit, pour l’exercice de ses compétences, aux anciens EPCI à fiscalité propre ou syndicats. L’ensemble des biens, droits et obligations des EPCI à fiscalité propre ou des syndicats fusionnés est transféré à l’EPCI à fiscalité propre ou au syndicat issu de la fusion. Ces mêmes règles s’appliquent aux fusions résultant des dispositions temporaires fixées par les articles 60-III (EPCI dont l’un au moins est fiscalité propre) et 61-III (syndicats) de la loi de réforme des collectivités territoriales, lesquels renvoient aux dispositions précitées des articles L. 5211‑41‑3 et L. 5212‑27. (1) L’article L. 5212-27 du CGCT issu de l’article 46 de la loi RCT autorise les fusions entre tous types de syndicats. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 341 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 2. Les contraintes comptables de ces opérations de fusion En cas de fusion d’EPCI ou de syndicats, le comptable assignataire de chaque établissement public doit transférer l’ensemble de la comptabilité des EPCI ou syndicats d’origine vers l’EPCI ou le syndicat issu de la fusion. Ces opérations de transfert comptable peuvent s’avérer très lourdes pour, par exemple, des EPCI ou des syndicats très intégrés exerçant des compétences à caractère industriel et commercial comme la gestion de l’eau et de l’assainissement. Ceux-ci peuvent en effet être amenés à émettre un grand volume de factures au cours de l’année. Le système d’information de gestion budgétaire et comptable des comptables publics des organismes publics locaux (Hélios) est en mesure de gérer le transfert de volumes d’opérations importants mais seulement à compter de la date d’entrée en vigueur fixée par l’arrêté préfectoral prononçant la fusion. 3. Transition administrative et comptable en cas de fusion d’EPCI ou de syndicat mixte 3.1. Champ d’application Lors de la fusion d’EPCI ou de syndicats, il se peut que les opérations de transfert comptable s’avèrent impossibles à réaliser le jour de la date d’entrée en vigueur de l’arrêté préfectoral de fusion. C’est notamment le cas lorsque les opérations de recouvrement de recettes concernant des services publics industriels et commerciaux présentent un volume très important rendant complexe le transfert de ces créances à la date de la fusion. Le volume des créances à recouvrer est apprécié par les services des directeurs départementaux et régionaux des finances publiques. Conformément aux termes de la circulaire NOR : IOCB1132783C du 12 janvier 2012 relative à la méthodologie de mise en œuvre des schémas départementaux de coopération intercommunale, il est demandé aux préfets et aux directeurs départementaux et régionaux des finances publiques d’établir, le plus en amont possible de la date d’entrée en vigueur, un partenariat étroit entre leurs services respectifs dans le cadre de la préparation et de l’exécution des mesures de création, de fusion, de dissolution ou de modification d’EPCI ou de syndicats, en garantissant la continuité du service public. Les opérations susceptibles de faire l’objet du dispositif prévu par la présente circulaire doivent être identifiées de manière précise par les directeurs départementaux et régionaux des finances publiques et être portées à la connaissance des préfets le plus tôt possible. Toutefois, ce travail préparatoire peut ne pas être suffisant pour permettre la réalisation de toutes les opérations comptables le jour de l’entrée en vigueur de la fusion. Une période transitoire pour réaliser ces opérations devient alors nécessaire. 3.2. Principes régissant la transition administrative et comptable en cas de fusion d’EPCI ou de syndicats mixtes Dans la situation décrite en paragraphe 3.1, il convient de mettre en œuvre des modalités temporaires de transition administrative et comptable, justifiées par les nécessités pratiques, après la date d’entrée en vigueur de la fusion. Dans ce cas, l’arrêté préfectoral de fusion prévoira un délai pour procéder au transfert comptable, et disposera expressément que, pendant ce délai, des opérations peuvent continuer à être enregistrées par le ou les comptables concernés dans la comptabilité des anciens EPCI ou syndicats, étant précisé que l’ordonnateur désormais compétent est, en tout état de cause et dès l’entrée en vigueur de la fusion, celui du nouvel établissement public. Il convient également de rappeler à cet égard que jusqu’à l’adoption du budget, l’ordonnateur du nouvel EPCI ou du nouveau syndicat met en recouvrement les recettes et engage, liquide et mandate les dépenses selon les modalités fixées par l’article L. 1612‑1 du CGCT, en prenant pour référence la somme des montants inscrits aux derniers budgets des établissements publics fusionnés. À cette fin, l’ordonnateur de l’EPCI ou du syndicat fusionné est chargé d’établir un état consolidé des autorisations budgétaires ouvertes par les anciens EPCI ou syndicats fusionnés dans leurs budgets de l’exercice précédent afin de déterminer les montants dans la limite desquels il peut mandater les dépenses. Le comptable du nouvel EPCI ou du nouveau syndicat est en droit de payer les mandats de dépenses et recouvrer les titres de recettes émis dans ces conditions. Par ailleurs, l’organe délibérant du nouvel EPCI ou du nouveau syndicat est compétent pour voter les comptes administratifs des anciennes structures. Ainsi, dans le cadre d’une fusion, l’ensemble des comptes mouvementés dans les établissements publics fusionnés est consolidé dans la nouvelle entité sans retour préalable dans les communes membres. Les comptes de chacun des EPCI ou des syndicats fusionnés sont repris, compte par compte, par opération d’ordre non budgétaire sur les masses budgétaires. Les résultats consolidés des EPCI ou des syndicats fusionnés apparaîtront dans la colonne « Transfert ou intégration des résultats par opération d’ordre non budgétaire » de l’état II-2 du compte de gestion du nouvel établissement public. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 342 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR L’arrêté préfectoral doit décrire de la manière la plus précise possible les opérations rattachées à ce dispositif administratif et comptable transitoire. Il précisera notamment : –la nature des opérations qui peuvent être comptabilisées dans les comptes de l’ancien EPCI ou syndicat postérieurement à la date d’entrée en vigueur de l’arrêté de fusion ; – la durée pendant laquelle les opérations peuvent faire l’objet de ce dispositif dérogatoire, étant précisé que cette durée doit être la plus courte possible et se limiter à ce qui est strictement nécessaire à la transition. Elle sera déterminée après avis du comptable public concerné. Toute éventuelle difficulté d’application de la présente circulaire devra être signalée par les services préfectoraux au bureau CIL 2 de la DGCL et par les services locaux des finances publiques au bureau CL1A de la DGFIP. Pour la ministre du budget, des comptes publics et de la réforme de l’État et par délégation : Le directeur général des finances publiques, Philippe Parini Pour le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration et par délégation : Le directeur général des collectivités locales, Éric Jalon 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 343 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR _____ Délégation à la sécurité et à la circulation routières _____ Sous-direction de l’éducation routière _____ Bureau du permis de conduire _____ Direction de la modernisation et de l’action territoriale _____ Mission de prévention et de lutte contre la fraude documentaire _____ Circulaire du 22 mai 2012 relative à la mise en œuvre de l’attestation de dépôt sécurisée prévue à l’article 7 de l’arrêté ministériel du 12 janvier 2012 fixant les conditions de reconnaissance et d’échange des permis de conduire délivrés par les États n’appartenant ni à l’Union européenne ni à l’Espace économique européen NOR : INTA1224697C Pièce jointe : 1 annexe Le ministre de l’intérieur à Monsieur le préfet de police ; Mesdames et Messieurs les préfets des départements métropolitains et des départements et régions d’outre-mer ; Monsieur le préfet de Saint-Pierre-etMiquelon ; Monsieur le préfet de Guadeloupe, représentant de l’État dans les collectivités d’outre-mer de Saint-Martin et Saint-Barthélemy ; Monsieur le préfet, administrateur supérieur des îles Wallis et Futuna ; Monsieur le haut-commissaire de la République en Polynésie française et Monsieur le hautcommissaire de la République en Nouvelle-Calédonie. Les conditions de reconnaissance et d’échange des permis de conduire délivrés par les États non membres de l’Union européenne et de l’Espace économique européen, ont été fixées par un arrêté ministériel du 12 janvier 2012 publié au JORF le 20 du même mois. Son article 7 prévoit qu’en cas de doute sur l’authenticité du titre ou sur l’authenticité des droits à conduire, le préfet conserve le permis de conduire du demandeur et délivre en contrepartie une attestation de dépôt sécurisée. La présente circulaire porte instructions aux services déconcentrés sur les modalités de mise en place de cette attestation. Elle est d’application immédiate. L’attestation de dépôt sécurisée vise à informer les forces de l’ordre que son titulaire, ayant déposé son permis de conduire à la préfecture en vue de son échange, ne peut le leur présenter. Elle permet aux forces de l’ordre de contrôler que son titulaire respecte les conditions de conduite définies par les articles L. – 221‑2 et R. 221‑1 du code de la route. La remise de tout autre document que celui prévu par la présente instruction, et notamment l’attestation autorisant le titulaire du permis étranger à conduire prévue par l’article 11 de l’arrêté du 8 février 1999, aujourd’hui abrogé, doit cesser. L’attestation prendra la forme du modèle joint en annexe à la présente. Son support sera un papier filigrané comprenant un fond d’impression, numéroté. L’Imprimerie Nationale assurera la fabrication et la livraison par transporteur des imprimés auprès de chaque préfecture, en fonction des commandes que vous lui passerez. Leur coût sera imputé sur le budget de fonctionnement de chaque UO. Vous communiquerez en fin d’année 2012 le montant d’imprimés vierges commandés au cours de l’année, sous le timbre DMAT-Mission de prévention et de lutte contre la fraude documentaire, information nécessaire dans le cadre des discussions menées par l’administration centrale avec l’Imprimerie nationale. S’agissant d’un imprimé sécurisé vierge, une comptabilité matière devra donc être tenue par le régisseur de recette de la préfecture. L’attestation comporte un numéro d’inscription au SNPC et un numéro support de l’imprimé, figurant sur le document vierge, à enregistrer également dans SNPC. Pour permettre aux agents de personnaliser l’ADS avant de la remettre au demandeur, il convient de procéder de la manière suivante : – se connecter via Internet sur le site web de l’Imprimerie nationale, – renseigner les champs « ouverts » du masque au format A4, – enregistrer sur un poste local de préfecture (bouton « enregistrer sous »), – lancer l’impression du document sécurisé vierge sur l’imprimante locale de la préfecture (bouton « imprimer »). 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 344 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Un champ est prévu pour mentionner la suite à donner à l’attestation lorsqu’elle est restituée à la préfecture ou lorsque son titulaire déclare l’avoir perdue. Cette dernière information est sans incidence sur l’application SNPC, elle constitue une simple information pour vos services. En effet, il ne sera pas délivré de duplicata en cas de perte ou de vol d’une attestation en cours de validité. Seule une nouvelle attestation pourra être délivrée, à l’issue du délai d’expiration de 2 mois, pour le cas où les vérifications nécessaires ne seraient pas achevées. La photographie du demandeur sera couverte sur l’angle gauche du cachet sec de la préfecture récipiendaire du titre de conduite. L’attestation comporte une police monographique. Un cachet humide de la préfecture, apposé à côté de la signature de l’autorité de délivrance, clôt l’attestation. Votre attention est attirée, afin de vous permettre d’ajuster vos commandes d’attestations à l’Imprimerie Nationale, sur le fait que la mise en œuvre de la nouvelle application de délivrance des permis de conduire FAETON, devrait conduire à une modification de ce modèle à terme. Mais l’attestation de dépôt sécurisé ne sera pas intégrée dans la première version de l’application qui entrera en vigueur en janvier 2013. Un éventuel nouveau modèle ne concernera donc que les versions de FAETON postérieures au 19 janvier 2013. Pour le ministre et par délégation : Le secrétaire général, Le préfet, Michel Bart délégué interministériel à la sécurité routière, délégué à la sécurité et à la circulation routières, Jean Luc Nevache Copie : Cabinet (délégation aux affaires internationales et européennes) ; Secrétariat général (direction de la modernisation et de l’action territoriale) ; Direction générale de la police nationale (direction centrale de la police aux frontières) ; Direction générale de la gendarmerie nationale (direction des opérations et de l’emploi) ; Direction des libertés publiques et des affaires juridiques. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 345 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE I Modèle attestation de dépôt Numéro support : Préfecture de ________________ U ATTESTATION DE DEPOT DE PERMIS DE CONDUIRE U Article 7 de l'arrêté du 12 janvier 2012 fixant les conditions de reconnaissance et d'échange des permis de conduire délivrés par des Etats n'appartenant pas à l'Union européenne ni à l'Espace économique européen Nom : PHOTO Prénom : Né(e) le _____________________ à ______________ Demeurant : Titulaire du permis de conduire : • • • • n° _________________ délivré le par xxxxxxx catégorie(s) détenue(s) : La présente attestation est délivrée dans le cadre d'une demande d'échange du permis de conduire étranger contre un permis de conduire français. Elle constitue la preuve pour son détenteur qu’il a déposé son permis de conduire auprès de la préfecture de XXXXX en vue de son analyse ou son authentification. Sous réserve de leur vérification, il est titulaire des droits à conduire référencé ci-dessus. La présente attestation est valable jusqu’au ../../20..Elle doit être restituée à l’issue de la procédure d’échange. Il ne sera pas délivré de duplicata de ce document U Fait le xx xxx 20xx à Cachet de la préfecture En cas de prolongation du délai de décision : Attestation précédente restituée le ../../20.. ou Perte ou vol de l’attestation précédente déclaré le ../../20.. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 346 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE, DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT _____ Direction générale des infrastructures, des transports et de la mer _____ MINISTÈRE DE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Direction générale de la sécurité civile et de la gestion des crises _____ Circulaire du 4 mai 2012 relative aux contributions des services départementaux d’incendie et de secours aux opérations de recherche et de sauvetage en mer NOR : INTE1224209C Pièces jointes : 3 annexes. Résumé : La présente circulaire a pour objet : –d’introduire une procédure de coordination des opérations entre les centres régionaux opérationnels de surveillance et de sauvetage (CROSS) ou des centres équivalents outre-mer et les centres opérationnels départementaux d’incendie et de secours (CODIS) du littoral ; –de prescrire une convention-cadre type pour harmoniser et sécuriser juridiquement les contributions des services départementaux d’incendie et de secours (SDIS) du littoral aux opérations de recherche et de sauvetage en mer. Le ministre de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement et le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration aux destinataires in fine. 1. Exercice du pouvoir de police en mer Conformément à l’article L. 2212‑2 du code général des collectivités territoriales (CGCT), la police municipale a, entre autre, pour objet de pourvoir d’urgence à toutes mesures d’assistance et de secours. Cette police municipale s’exerce sur le rivage de la mer jusqu’à la limite des eaux (1) (article L. 2212‑3 du CGCT). Elle s’exerce également dans les ports à l’intérieur de leurs limites administratives et dans les estuaires en amont des limites transversales de la mer. En dehors de ces limites, le préfet maritime, représentant de l’État en mer, exerce le pouvoir de police générale. En cas d’événement majeur intéressant l’interface littorale, le préfet de la zone de défense et de sécurité, territorialement compétent, coordonne les actions à terre et s’assure de leur cohérence avec les actions maritimes. L’État coordonne la mise en œuvre opérationnelle de l’ensemble des moyens de secours pour la recherche et le sauvetage des personnes en détresse en mer (article L. 5261‑1 du code des transports). La responsabilité des opérations de recherche et de sauvetage des personnes en détresse en mer, dans les zones de responsabilité française, appartient au préfet maritime ou, outre-mer, au délégué du gouvernement pour l’action de l’État en mer, sur l’ensemble des eaux territoriales et des eaux intérieures ainsi que sur les eaux maritimes internationales dans les zones où la France a accepté des responsabilités de recherche et de sauvetage. Sous leur autorité, les CROSS, ou les centres équivalents outre-mer, sont en charge de la coordination du sauvetage. Sans préjudice de la police des baignades exercées par les maires, cette responsabilité d’organisation des secours en mer du préfet maritime s’exerce donc à partir de la limite des eaux mais exclut : – les estuaires, en amont de la limite transversale de la mer ; – les ports, à l’intérieur de leurs limites administratives. Toutefois, les préfets maritimes et les préfets de département peuvent fixer par arrêtés conjoints d’autres limites que celles mentionnées supra. Par ailleurs, le maire d’une commune du littoral exerce la police des baignades et des activités nautiques pratiquées à partir du rivage avec des engins de plage et des engins non immatriculés jusqu’à une limite fixée à 300 mètres à compter de la limite des eaux (article L. 2213‑23 du CGCT). Dans le cadre de cette police spéciale, il pourvoit d’urgence à toutes les mesures d’assistance et de secours. Lorsqu’il estime nécessaire l’intervention de moyens autres que les moyens propres de la commune et, le cas échéant, ceux mis à sa disposition (2), le maire doit en faire (1) Limite des eaux : ligne délimitant sur l’estran les terres immergées des terres émergées. C’est donc une limite fluctuante dans le temps sous l’effet de la marée. (2) Comme il l’est précisé au § 2 de cette circulaire, les SDIS n’ont aucune obligation pour réaliser les missions de secours exercées dans le cadre de la police spéciale des baignades. Toutefois, le SDIS peut exercer ces missions selon des modalités définies entre le CASDIS et les maires. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 347 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR immédiatement la demande au CROSS ou, outre-mer, au centre de coordination du sauvetage compétent qui prend en charge la coordination de l’ensemble des moyens affectés à l’opération. Le maire exerce cette responsabilité de manière permanente, y compris à l’extérieur des zones et des périodes de surveillance où il reste tenu d’exercer sa mission de sécurité. 2. Champ d’application Conformément aux dispositions législatives et règlementaires des articles L. 2213‑23, L. 14241, R. 1424‑1 et suivants du CGCT, les services d’incendie et de secours sont organisés au niveau départemental. Les SDIS sont placés pour emploi et agissent sous l’autorité du maire ou du préfet dans le cadre de leurs pouvoirs de police (article L. 1424‑3 et 4 du CGCT) pour l’accomplissement des missions de secours d’urgence aux personnes victimes d’accident, lesquels font partie de leurs compétences (article L. 1424‑2 du CGCT). Le SDIS est territorialement compétent jusqu’à la limite géographique à partir de laquelle s’exerce l’autorité du préfet maritime en matière de secours, soit : – jusqu’à la limite des eaux, – dans les ports à l’intérieur de leurs limites administratives, – dans les estuaires en amont des limites transversales de la mer. La participation aux opérations de recherche et de sauvetage en mer n’est pas une mission obligatoire des SDIS, au sens des articles L. 1424‑2 et L. 1424‑42 du code général des collectivités territoriales. L’exercice de cette mission par les SDIS est réalisé et décliné suivant les règlements opérationnels établis en application des SDACR . Les SDIS de certains départements littoraux contribuent, sur la base d’accords de partenariat passés avec les CROSS, voire en l’absence de tel partenariat, à la couverture des secours en mer et à la sécurisation des activités nautiques. Il ressort de l’examen des accords précités que les pratiques et les planifications de ces activités de secours en mer par les sapeurs pompiers restent hétérogènes dans les départements du littoral. La présente circulaire fixe un cadre unifié de coopération entre les CROSS et les SDIS définissant : – d’une part, les modalités de leur information mutuelle sur les alertes relatives aux personnes à secourir au sein de leurs zones de responsabilités respectives, – d’autre part, les modalités de la coopération des SDIS au secours en mer définies dans une convention cadre. Cette convention-cadre énumère de manière limitative les divers types d’intervention en mer auquel un SDIS, qui le souhaite, a la possibilité de contribuer au moyen de ses ressources opérationnelles propres. Ces contributions sont les suivantes : – en application de l’article 8 du décret 88‑531 du 2 mai 1988 portant organisation du secours de la recherche et du sauvetage des personnes en détresse en mer, la participation aux opérations de secours incombant à la direction opérationnelle du préfet maritime, dans la zone des 300 mètres ainsi qu’au-delà de cette zone, – la participation à l’armement des hélicoptères de la sécurité civile, – la participation aux équipes d’évaluation et d’intervention du préfet maritime, – la participation à l’évaluation des conditions d’accueil d’un navire admis dans un lieu de refuge. Cette convention-cadre est applicable à l’échelle d’un département côtier. Elle est établie, sur proposition du directeur départemental du SDIS et du directeur du CROSS, entre le président du conseil d’administration du SDIS et les autorités préfectorales maritime et terrestres responsables. 3. Compétences respectives des CROSS et des CODIS pour la coordination des opérations Les CROSS sont en charge de la coordination de l’ensemble des opérations de recherche et de sauvetage des personnes en détresse en mer quel que soit le rattachement organique des ressources opérationnelles employées. Si cette mission leur est dévolue, les SDIS sont en charge des missions de secours aux personnes dans les estuaires en amont de la limite transversale de la mer, les plans d’eaux intérieurs et les ports maritimes du département. Le CROSS et le SDIS procèdent conjointement à l’examen de la délimitation de leurs zones respectives de compétence en matière de coordination des opérations de secours fixées en application du décret 88‑531 susvisé. Les cas particuliers des étangs salés, des baies, des secteurs à fort courant et des larges zones intertidales doivent être abordés de façon pragmatique. Le cas échéant, ils proposent conjointement au préfet de département et au préfet maritime la prise d’arrêtés inter préfectoraux portant adaptation de leurs compétences géographiques respectives pour le secours aux personnes en fonction des spécificités géographiques et opérationnelles locales. Le préfet de zone de défense et de sécurité est tenu informé de ces arrêtés et s’assure de la cohérence des dispositions prises dans les différents départements du littoral de la zone. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 348 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 4. Coordination CROSS-CODIS La procédure de coordination, explicitée en annexe II, vise à introduire le dialogue opérationnel nécessaire entre CROSS et CODIS. Le principe de la coordination entre ses deux services repose sur : – un schéma commun de ré-acheminement sans délai des éléments d’une alerte ayant trait à leur champ d’action respectif ; – l’instauration d’une conférence à trois « CROSS – CODIS – Requérant/Témoin » permettant au centre devant assurer la coordination de l’opération de disposer sans délai des éléments de l’alerte et visant également à éviter qu’un même évènement ne débouche pas sur deux opérations distinctes ; –une information mutuelle en permanence et en temps réel de toute opération dans leur zone de compétence ou d’intervention respective, dès lors que celle-ci est susceptible de conduire l’autre centre opérationnel, selon les circonstances, soit à prendre la coordination d’ensemble de l’opération, soit à engager des moyens sous sa responsabilité opérationnelle. Cette procédure est applicable à l’ensemble des SDIS du littoral, quel que soit leur niveau d’implication respectif dans l’organisation des secours en mer. Cette procédure de coordination a vocation à être déclinée localement à travers des fiches communes de procédure et d’aide à la décision, applicables dans les CROSS et les CODIS, afin de promouvoir les échanges entre les services et la diffusion des bonnes pratiques, des visites croisées des installations et des centres opérationnels ainsi que des formations réciproques sont organisées au profit du personnel du CROSS et du SDIS. Par ailleurs, les préfets maritimes établiront avec les préfets de zone de défense et de sécurité de leur littoral des protocoles d’accords particuliers précisant : – les modalités de demande de concours du CROSS pour l’engagement en mer des moyens aériens de la sécurité civile ; – les dérogations éventuelles accordées aux SDIS pour l’engagement en mer, dans la limite de la zone de police des baignades, des moyens aériens, selon la configuration du littoral et/ou la typologie de l’intervention. 5. Formalisation des contributions du SDIS Le modèle de convention-cadre, proposé en annexe III, est issu des travaux d’un groupe de travail national relatif à la participation des services d’incendie et de secours aux opérations de recherche et de sauvetage en mer, au profit principalement des baigneurs et des personnes pratiquant des loisirs ou sports nautiques, sur la façade littorale du département. Cette démarche a reçu un avis favorable de la conférence nationale des services d’incendie et de secours (CNSIS) lors de sa réunion plénière du 30 juin 2010. La convention-cadre harmonise, à partir d’un référentiel juridique et opérationnel unique, les modalités de participation, aux différents types d’intervention en mer accomplies sous la direction des opérations de secours du préfet maritime et la coordination du CROSS, selon un schéma commun, harmonisé à l’échelon national. Elle prévoit également les contributions facultatives suivantes : – participation à l’armement des hélicoptères de la sécurité civile du littoral ; – renfort de la capacité opérationnelle des équipes d’évaluation et d’intervention désignées par le préfet maritime ; – préparation de l’accueil dans un port d’un navire en difficulté. La convention-cadre couvre également les exercices et entraînements des SDIS dans le cadre de la préparation opérationnelle à ces mêmes missions. La convention-cadre intéresse les SDIS du littoral et le bataillon de marins pompiers de Marseille (BMPM). Les prescriptions du modèle de convention-cadre respectent les contraintes et spécificités, d’une part de l’organisation des secours en mer et d’autre part, de l’organisation et du fonctionnement des SIS. L’approbation de cette convention n’a pas pour effet de créer une obligation d’engagement, par les collectivités territoriales signataires, d’un programme d’équipement spécifique visant à étendre la capacité d’intervention du SDIS dans le domaine maritime, ni de justifier un tel programme. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 349 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Le modèle de convention ne peut être amendé que pour tenir compte : –des spécificités d’organisation locales (délégation de signature, adaptations nécessaires pour les départements d’outre-mer, cas particulier du BMPM) ; – du niveau d’implication facultatif décidé par le SDIS ; – de la mise à jour du référentiel réglementaire. 6. Modalités d’instruction La participation aux opérations côtières reste sur la base exclusive du volontariat du SDIS. La mise en œuvre du cadre conventionnel proposé doit se faire, sur l’initiative des SDIS et des CROSS. L’objectif est une mise en application sur l’ensemble des façades maritimes dans un délai de 24 mois suivants la signature de la présente circulaire. Les SDIS du Finistère et de la Seine-Maritime établissent des conventions avec chacun des deux CROSS concernés. La convention-cadre a un caractère exhaustif et exclusif. Elle a pour effet d’autoriser l’engagement des SDIS signataires à intervenir uniquement dans les types d’interventions stipulés. En dehors de ce cadre conventionnel, les SDIS n’ont pas vocation à participer aux interventions autres que celles associées à la police des baignades. Les éventuels accords de partenariat existants entre un CROSS et un SDIS devront être dénoncés à l’entrée en vigueur de la convention-cadre départementale. À défaut de la mise en œuvre d’une convention-cadre dans un délai de 30 mois suivant la signature de la présente circulaire, les préfets de départements résilieront unilatéralement l’accord de partenariat CROSS-CODIS de leur département respectif précédemment passé. En application des articles L. 1424‑33 et R. 1424‑47 du CGCT, les préfets de département interdiront la planification et la préparation de toute activité opérationnelle maritime, non couverte par une convention départementale prise en application de la présente instruction, qui auraient pour objectif l’intervention dans la partie des estuaires située en aval de la limite transversale de la mer ainsi qu’à l’extérieur des plans d’eaux intérieurs et des ports maritimes du département. 7. Modalités d’instruction et mise en œuvre de la circulaire dans les départements et collectivités d’outre-mer Dans les départements d’outre-mer et les collectivités d’outre-mer où les missions de secours d’urgence prévues par l’article L. 1424‑2 et suivants du CGCT sont exercées par un SDIS au sens de l’article L. 1424‑1 du CGCT, l’ensemble des dispositions et modalités d’instruction prévues par la présente circulaire s’appliquent strictement. Les conventions et procédures adoptées sur son fondement sont cependant adaptées afin de tenir compte des particularités d’organisation des services déconcentrés de l’État, et notamment des autorités responsables de l’action en mer et de leurs services dans ces territoires. Dans les collectivités d’outre-mer où les missions de secours d’urgence prévues par l’article L. 1424‑2 et suivants du CGCT ne sont pas exercées par un SDIS au sens de l’article L. 1424‑1 du CGCT, les objectifs généraux fixés par la circulaire doivent être respectés. Si les services en charge des missions de lutte contre l’incendie et de secours dans ces collectivités souhaitent pouvoir participer aux opérations de secours en mer, les modalités d’information mutuelle et de coopération entre ces derniers et les services en charge de l’organisation et de la coordination des opérations de secours et de sauvetage en mer doivent faire l’objet de procédures, et éventuellement de conventions, établies entre les autorités et services compétents. Ces procédures et conventions s’inspirent librement des modèles annexés à la présente circulaire afin de prendre en compte les particularités d’organisation des services de l’État et des SIS dans ces territoires. 8. Mise en œuvre Les préfets maritimes, les délégués du gouvernement pour l’action de l’État en mer et les préfets de zone de défense et de sécurité organisent localement un suivi annuel des conventions-cadre afin d’évaluer leur mise en place et faire un retour d’expérience de leurs applications. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 350 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Le secrétaire général de la mer, le directeur générale de la sécurité civile et de la gestion des crises, le directeur général des infrastructures, des transports et de la mer seront : – destinataires des conventions-cadres départementales signées ainsi que de leurs éventuels amendements ultérieurs ; – tenus informés, chacun en ce qui les concerne, des toutes difficultés qui s’avèreraient en la matière. Après douze mois de mise en oeuvre, ils s’effectueront un bilan d’application de la présente circulaire. Pour le ministre de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement et par délégation : Le directeur général des infrastructures, des transports et de la mer, Daniel Bursaux Pour le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration et par délégation : Le préfet, directeur général de la sécurité civile et de la gestion des crises, Jean-Paul Kihl Destinataires : Messieurs les préfets maritimes (Manche – Mer du Nord, Atlantique, Méditerranée) ; Messieurs les délégués du gouvernement pour l’action de l’État en mer d’outre-mer ; Messieurs les préfets des zones de défense et de sécurité du littoral métropolitain, à l’attention de messieurs les préfets délégués pour la défense et la sécurité (zones Nord, Ouest, Sud-Ouest et Sud) ; Messieurs les hauts-fonctionaires des zones de défense et de sécurité d’outre-mer ; Messieurs les préfets des départements du littoral métropolitain et d’outre-mer, à l’attention de messieurs les directeurs des services d’incendie et de secours (SDIS et BMPM) ; Messieurs les directeurs interrégionaux de la mer (Manche Est – Mer du Nord, Nord Atlantique – Manche Ouest, Sud-Atlantique et Méditerranée), à l’attention de messieurs les directeurs des centres régionaux opérationnels de surveillance et de sauvetage (CROSS) ; Messieurs les directeurs de la mer des départements d’outre-mer, à l’attention de messieurs les directeurs des centres régionaux opérationnels de surveillance et de sauvetage (CROSS). Copies : Monsieur le Premier ministre, à l’attention de Monsieur le secrétaire général de la mer ; Monsieur le délégué général à l’outre-mer. ANNEXE I Principales références a) Convention internationale sur la recherche et le sauvetage maritimes, signée à Hambourg le 27 avril 1979 et publiée par le décret no 85‑580 du 5 juin 1985 ; b) Code général des collectivités territoriales (CGCT) ; c) Code de la défense ; d) Code des transports ; e) Code des ports maritimes ; f) Loi no 86‑2 du 3 janvier 1986 relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral ; g) Loi no 2004‑811 du 13 août 2004 de modernisation de la sécurité civile ; 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 351 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR h) Décret no 88‑531 du 2 mai 1988 portant organisation du secours, de la recherche et du sauvetage des personnes en détresse en mer ; i) Décret no 94‑491 du 16 juin 1994 relatif à la rémunération de certains services rendus par les navires des administrations civiles de l’État ; j) Décret no 2004‑112 du 6 février 2004 relatif à l’organisation de l’action de l’État en mer ; k) Décret no 2005‑1514 du 6 décembre 2005 relatif à l’organisation outre-mer de l’action de l’État en mer ; l) Décret no 2010‑1582 du 17 décembre 2010 relatif à l’organisation et aux missions des services de l’État dans les départements et les régions d’outre-mer, à Mayotte et à Saint-Pierre-et-Miquelon ; m) Décret no 2010‑224 du 4 mars 2010 relatif aux pouvoirs des préfets de zone de défense et de sécurité ; n) Décret no 2010‑225 du 4 mars 2010 portant modifications de certaines dispositions du code de la défense relatives aux préfets délégués pour la défense et la sécurité, aux états-majors interministériels de zone de défense et de sécurité, aux délégués et correspondants de zone de défense et de sécurité et à l’outre-mer ainsi que certaines dispositions relatives aux secrétariats généraux pour l’administration de la police et certaines dispositions du code de la santé publique ; o) Arrêté du 9 mars 1995 portant rémunération des services rendus par les navires des administrations civiles de l’État ; p) Instruction du 29 mai 1990 relative à l’organisation du secours, de la recherche et du sauvetage des personnes en détresse en mer ; q) Circulaire Premier ministre no 4 628/SG du 30 juillet 1998 relative à la coordination dans la zone côtière des moyens de sécurité, de recherche et de sauvetage des personnes en détresse en mer, relevant des préfets de zone de défense et des préfets maritimes en France métropolitaine ; r) Instruction du 29 juillet 2004 relative à l’accueil des navires en difficulté dans des lieux de refuge ; s) Instruction du 29 août 2011 relative à l’organisation de l’aide médicale en mer ; t) Lettre no 2202/SGMER du 24 novembre 2011 relative à la mise en œuvre de la fiche de secours en mer (FDSM). ANNEXE II Procédure opérationnelle de coordination entre CROSS et CODIS I. – PRINCIPES GÉNÉRAUX Les appels reçus concernant une intervention en mer font l’objet d’une procédure d’interconnexion téléphonique dite de « conférence à trois » permettant de relier simultanément, le CROSS, le CTA/ CODIS et le témoin/requérant. Elle constitue le principe général de la coordination entre le CROSS et le CODIS. Ses modalités doivent permettre de transférer sans délai les éléments de l’alerte au centre devant assurer la coordination de l’opération. En outre, le CROSS et le CODIS s’informent mutuellement en permanence et en temps réel de toute opération dans leur zone de compétence respective qui pourrait conduire l’autre partie à mettre en œuvre une opération de secours aux personnes dans son ressort. Ces principes généraux s’appliquent dans les différents cas de figure détaillés ci-après. II. – APPELS REÇUS AU CTA/CODIS CONCERNANT UNE INTERVENTION DE SECOURS EN MER 1. Procédure de conférence téléphonique Les appels reçus par le CTA/CODIS et qui nécessitent une intervention en mer en dehors du ressort du SDIS font l’objet d’une procédure de conférence téléphonique entre le requérant, le CODIS et le CROSS. L’interconnexion téléphonique donne lieu à la fourniture des éléments suivants : – l’identification et les coordonnées téléphoniques du requérant ; – sa localisation dans la mesure du possible ; – la nature de l’appel ; – les actions éventuellement entreprises de façon quasi concomitante à l’interconnexion téléphonique. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 352 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Si l’interconnexion n’a pu être réalisée avec le témoin ou le requérant, le CODIS retransmet au CROSS les informations précitées, en absence de conférence à 3. Sont définies dans la convention les éventuelles possibilités pour le SDIS d’engager une action concomitante à la conférence téléphonique, ayant pour objectif de répondre à une détresse vitale identifiée à l’appel ou à une situation d’urgence particulière. Le ou les moyens engagés par le CODIS doivent être adaptés à la nature de l’urgence et aux conditions connexes (délai de transit, météorologie, capacité nautique des moyens, qualifications de l’équipage...). Le CROSS, assurant la coordination de l’opération, confirme, infirme ou complète ces éventuelles actions prises par le CODIS. 2. Information/Communication Lorsque la mission est confiée au SDIS, le CODIS tient informé le CROSS des interventions réalisées par le SDIS dans le cadre de l’exercice de la « police des baignades ». Au besoin, le degré d’information du CROSS et ses modalités sont définies par l’intermédiaire de fiches communes. Ces fiches peuvent établir le principe d’une conférence téléphonique entre le témoin requérant, le CODIS et le CROSS, en particulier lorsque l’alerte se situe dans une zone où la baignade n’est pas surveillée. En cas d’inadaptation des moyens du SDIS, au regard des conditions d’environnement, des prévisions d’évolution de la situation ou de l’insuffisance des capacités opérationnelles mises à la disposition de la municipalité, le CODIS transmet au CROSS, sans délai, les éléments mentionnés au II-1. Le CROSS reprend alors la coordination des opérations de secours et assure la coordination opérationnelle de l’ensemble des moyens engagés à cet effet. 3. Compétences du CROSS Le CROSS détermine le type de moyen (nautique, aérien ou terrestre) à mettre en œuvre et en informe le CODIS. Sauf dispositions particulières locales explicites précisées dans le protocole d’accord particulier entre le préfet maritime et le préfet de zone de défense et de sécurité concernés, seul le CROSS est compétent pour l’engagement des moyens aériens de la sécurité civile en mer, y compris dans la zone de police des baignades. Conformément au paragraphe 3 de la présente circulaire, des dérogations pour l’engagement en mer des moyens aériens pourront être accordées aux SDIS, ces dérogations circonstancielles étant précisées par protocole d’accord particulier sus-mentionné. III. – CAS DES APPELS REÇUS AU CROSS CONCERNANT UNE INTERVENTION RELEVANT DU CODIS 1. Procédure de conférence téléphonique Les appels sont reçus au CROSS par moyen téléphonique (numéros d’appel direct) ou par des moyens spécialisés de radiocommunication maritime (radiotéléphonie, appel sélectif numérique ou télex). Les appels reçus au CROSS concernant une intervention relevant a priori de la zone de compétence ou d’intervention du SDIS font l’objet d’une procédure de conférence téléphonique entre le requérant, le CROSS et le CODIS. Le CROSS transmet l’ensemble des éléments dont il dispose au CODIS en lui précisant : – l’identification et les coordonnées téléphoniques du requérant ; – sa localisation dans la mesure du possible ; – la nature de l’appel ; – les actions entreprises. Si l’interconnexion n’a pu être réalisée avec le témoin ou le requérant, le CROSS retransmet au CODIS les informations précitées, en absence de conférence à 3. A contrario du II.1, les actions susmentionnées ne peuvent être prédéfinies dans la convention car le CROSS, qui ne possède pas de moyens en propre, peut, en application des conventions internationales, engager tout navire et aéronef se trouvant à proximité d’une situation d’urgence. 2. Information/Communication Le CODIS indique au CROSS les mesures dont il prend l’initiative et le tient régulièrement informé du résultat des actions entreprises. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 353 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR IV. – COMPTE RENDU D’INTERVENTION Le CROSS et le CODIS informent respectivement le préfet maritime et le COZ, de tout évènement porté mutuellement à leur connaissance et présentant un caractère sensible. Cette information est réalisée de manière précoce dès la réception d’éléments pertinents. Le CROSS adresse au CODIS et au COZ un compte rendu normalisé d’intervention (SITREP) lorsqu’un moyen du SDIS ou de la sécurité civile a été engagé. À l’issue d’une intervention en mer, le SDIS établit et adresse au CROSS une « fiche de secours en mer (FDSM) », conformément à l’instruction du secrétariat général de la mer. V. – RETOUR D’EXPÉRIENCE Dans le cadre d’une démarche de retour d’expérience et d’amélioration de la coordination des activités entre le CODIS et le CROSS, une fiche d’amélioration de la qualité est rédigée à l’occasion de tout constat de dysfonctionnement. Cette fiche est transmise, à la diligence du chef de centre, aux parties intéressées. La réponse à la fiche doit intervenir dans le mois suivant sa réception. Elle spécifie l’action d’amélioration mise en œuvre et le calendrier associé. ANNEXE III Convention-cadre type relative aux contributions des services départementaux d’incendie et de secours aux opérations de recherche, de secours et de sauvetage en mer La version numérique de la convention-cadre est disponible sur les sites ministériels du premier ministre (www. circulaires.gouv.fr), de la direction générale de la sécurité civile et de la gestion des crises (www.infosdis.fr) et de la direction des affaires maritimes (www.développement-durable.gouv.fr). Cette version numérique sera actualisée, le cas échéant, en fonction de l’évolution du référentiel réglementaire relatif au secours en mer. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 354 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR CONVENTION-CADRE RELATIVE AUX CONTRIBUTIONS DU SERVICE DÉPARTEMENTAL D’INCENDIE ET DE SECOURS DU XXXXXXXX (XX) AUX OPÉRATIONS DE RECHERCHE ET DE SAUVETAGE EN MER < LOGO > < LOGO > Service départemental d’incendie et de secours du xxxxx (xx) Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage XXXXXXXXX < LOGO > < LOGO > < LOGO > Préfecture du département du xxxxx (xx) Préfecture de la zone de défense et de sécurité XXXXXX Préfecture maritime de xxxxxxxxxx 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 355 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR DIFFUSION DU DOCUMENT Exemplaires originaux : – Préfet maritime de xx. – Préfet de la zone de défense et de sécurité du xx. – Préfet du département de xx. – Directeur du SDIS xx. – Directeur du CROSS xx. Copies : – Secrétaire général de la mer (organisme SECMAR). – MIOMCTI / Directeur général de la sécurité civile et de la gestion des crises. – MEDDTL / Directeur général des infrastructures, des transports et de la mer / Directeur des affaires maritimes. SUIVI DES ÉVOLUTIONS Date Objet Entrée en vigueur de la convention-cadre. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 356 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR SOMMAIRE 1.Cadre général 2.Intervention en mer 2.1. Réacheminement des alertes et information réciproque 2.2. Déclenchement des moyens 2.3. Déroulement de l’opération 2.4. Transmission en opération 2.5. Continuité terrestre de l’opération 2.6. Compte rendu d’intervention 2.7. Retour d’expérience 3.Contributions particulières 3.1. Armement des hélicoptères de la sécurité civile (OPTIONNEL) 3.2. Renfort de la capacité opérationnelle de l’EEI du préfet maritime (OPTIONNEL) 3.3. Préparation de l’accueil au port d’un navire ayant besoin d’assistance (OPTIONNEL) 4.Préparation 4.1. Disponibilités des équipements 4.2. Exercices et entraînements 4.3. Échanges informels CROSS-CODIS 5.Dispositions relatives au personnel 6.Dispositions relatives aux matériels 7.Dispositions financières 8.Assurances 9.Suivi de la convention-cadre 9.1.Correspondant 9.2.Évaluation 10. Évolution de la convention-cadre 10.1. Date d’entrée en vigueur et durée 10.2.Avenant 10.3. Règlements des litiges 10.4.Résiliation VISAS ANNEXE 1 : Liste des acronymes ANNEXE 2 : Circulaire du secrétariat général de la mer relative à la fiche de secours en mer ANNEXE 3 : Renfort de la capacité opérationnelle de l’EEI du préfet maritime (optionnelle) 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 357 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ENTRE : Monsieur Prénom NOM, préfet maritime de XXXXX, et désigné ci-après par « préfet maritime », ET Monsieur Prénom NOM, préfet de la zone de défense et de sécurité de XXXXX, préfet de la région XXXXX, préfet du département XXXXX, et désigné ci-après par « préfet de zone », ET Monsieur Prénom NOM, préfet du département de XXXXX (XX), et désigné ci-après « préfet de département », ET Monsieur Prénom NOM, président du conseil d’administration du service départemental d’incendie et de secours de XXXXX (XX), et désigné ci-après par les sigles « SDIS », ET Monsieur Prénom NOM, directeur interrégional de la mer XXXXXX, et désigné ci-après par le sigle « CROSS », désignés tous ensemble, sous le terme « parties » ou séparément sous le terme « partie ». VU Convention internationale sur la recherche et le sauvetage maritimes, signée à Hambourg le 27 avril 1979 et publiée par le décret no 85‑580 du 5 juin 1985 ; Code général des collectivités territoriales (CGCT) ; Code de la défense ; Codes des transports ; Code des ports maritimes ; Loi no 86‑2 du 3 janvier 1986 relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral ; Loi no 2004‑811 du 13 août 2004 de modernisation de la sécurité civile ; Décret no 88‑531 du 2 mai 1988 portant organisation du secours, de la recherche et du sauvetage des personnes en détresse en mer ; Décret no 94‑491 du 16 juin 1994 relatif à la rémunération de certains services rendus par les navires des administrations civiles de l’État ; Décret no 2004‑112 du 6 février 2004 relatif à l’organisation de l’action de l’État en mer ; Décret no 2005‑1514 du 6 décembre 2005 relatif à l’organisation outre-mer de l’action de l’État en mer ; Décret no 2010‑1582 du 17 décembre 2010 relatif à l’organisation et aux missions des services de l’État dans les départements et les régions d’outre-mer, à Mayotte et à Saint-Pierre-et-Miquelon ; Décret no 2010‑224 du 4 mars 2010 relatif aux pouvoirs des préfets de zone de défense et de sécurité ; Décret no 2010‑225 du 4 mars 2010 portant modifications de certaines dispositions du code de la défense relatives aux préfets délégués pour la défense et la sécurité, aux états-majors interministériels de zone de défense et de sécurité, aux délégués et correspondants de zone de défense et de sécurité et à l’outre-mer ainsi que certaines dispositions relatives aux secrétariats généraux pour l’administration de la police et certaines dispositions du code de la santé publique ; Arrêté du 9 mars 1995 portant rémunération des services rendus par les navires des administrations civiles de l’État ; Instruction interministérielle du 8 octobre 1987 relative aux conditions de prise en charge des frais occasionnés par les opérations d’aide médicale apportées aux malades ou blessés à bord des navires en mer ; 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 358 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Instruction du 29 mai 1990 relative à l’organisation du secours, de la recherche et du sauvetage des personnes en détresse en mer ; Instruction du 29 août 2011 relative à l’organisation de l’aide médicale en mer ; Circulaire du Premier ministre no 4.628/SG du 30 juillet 1998 relative à la coordination dans la zone côtière des moyens de sécurité, de recherche et de sauvetage des personnes en détresse en mer, relevant des préfets de zone de défense et des préfets maritimes en France métropolitaine ; Instruction du 29 juillet 2004 relative à l’accueil des navires en difficulté dans des lieux de refuge ; Lettre no 2202/SGMER du 24 novembre 2011 relative à la fiche de secours en mer (FDSM) (annexe 3) ; Circulaire interministérielle MIOMCTI/DGSCGC et MEEDTL/DGITM/DAM no NOR : INTE1224209C du 4 mai 2012 relatives aux contributions des services départementaux d’incendie et de secours aux opérations de recherche et de sauvetage en mer (texte support du présent modèle de convention-cadre). CONSIDÉRANT Les responsabilités du CROSS en matière de coordination des opérations de recherche et de sauvetage des personnes en détresse en mer, sous l’autorité du préfet maritime, directeur des opérations de secours en mer ; La zone de compétence du CROSS, s’étendant sur l’ensemble des eaux maritimes de la zone de responsabilité pour la recherche et le sauvetage en mer attribuée à la France, à partir de la limite des eaux à l’exception des eaux situées à l’intérieur des limites administratives des ports et dans les estuaires en amont de la limite transversale de la mer ; Les responsabilités et compétences du SDIS ainsi que leurs capacités opérationnelles pour couvrir les secours dans les estuaires en amont de la limite transversale de la mer, les plans d’eaux intérieurs et les ports maritimes du département, sous l’autorité du maire ou du préfet de département, directeur des opérations de secours ; L’exercice par les maires des communes du littoral du pouvoir de police des baignades et des activités nautiques pratiquées à partir du rivage avec des engins de plage et des engins non immatriculés jusqu’à une limite fixée à 300 mètres à compter de la limite des eaux (dénommée après par simplification « police des baignades ») [CGCT article L. 2213‑23] ; La participation des SDIS aux opérations de recherche et de sauvetage en mer au-delà de la bande des 300 m susmentionnée peut donner lieu à des opérations relevant des « secours d’urgence aux personnes victimes d’accidents, de sinistres ou de catastrophes ainsi que leur évacuation » [CGCT article L. 1424‑2]. Toutefois, de telles opérations s’avèrent exclues de leurs zones de compétence territoriale. En conséquence, elles ne peuvent être considérées comme une des missions obligatoires des SDIS au sens de l’article L. 1424‑2 du CGCT ; La possibilité pour le SDIS de conventionner avec des organismes tiers pour la réalisation de prestations ou interventions qui ne se rattachent pas directement à ses missions de service public définies à l’article L. 1424‑2 du CGCT ; SUR PROPOSITION – de monsieur Prénom NOM, directeur du service départemental d’incendie et de secours du XXXXX – de monsieur Prénom NOM, directeur du centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage XXXXX IL A ÉTÉ CONVENU CE QUI SUIT : 1. Cadre général La présente convention-cadre a pour objet de définir les modalités de participation, en tant que de besoin, de personnels et/ou de moyens opérationnels du SDIS dans le cadre : –des opérations de recherche et de sauvetage en mer, au profit principalement des baigneurs et des personnes pratiquant des loisirs ou sports nautiques, dans la façade littorale du département ; – de l’armement des hélicoptères de la sécurité civile du littoral (optionnel) ; –de renfort de la capacité opérationnelle de l’équipe d’évaluation et d’intervention (EEI) du préfet maritime (optionnel) ; – de la préparation de l’accueil au port d’un navire en difficulté (optionnel). La convention-cadre couvre également les exercices et entraînements des SDIS dans le cadre de la préparation opérationnelle à ces mêmes missions. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 359 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Est exclue du champ d’application de la présente convention-cadre la participation du SDIS : – à l’armement des postes de secours de plage municipaux par ses personnels ; – aux dispositifs préventifs de secours en mer à l’occasion de campagne de pêche ou de manifestation nautique. Pour les missions susmentionnées, cette exclusion ne dispense pas les SDIS de l’application des directives formulées dans la lettre no 2202/SGMER du 24 novembre 2011 relative à la fiche de secours en mer (FDSM). 2. Intervention en mer La procédure opérationnelle de coordination entre CROSS et CODIS pour la gestion des interventions en mer est présentée dans la circulaire NOR : INTE1224209C du 4 mai 2012. 2.1. Réacheminement des alertes et information réciproque La procédure de coordination vise à introduire le dialogue opérationnel nécessaire entre CROSS et CODIS. Le principe de la coordination entre le CROSS et le CODIS repose sur : – un schéma commun de réacheminement sans délai des éléments d’une alerte ayant trait à leur champ d’action respectif ; – l’instauration d’une conférence à trois « CROSS – CODIS – Requérant/Témoin » permettant au centre devant assurer la coordination de l’opération de disposer sans délai des éléments de l’alerte ; –une information mutuelle en permanence et en temps réel de toute opération dans leur zone de compétence ou d’intervention respective, dès lors que celle-ci est susceptible de conduire l’autre centre opérationnel, selon les circonstances, soit à prendre la coordination d’ensemble de l’opération, soit à engager des moyens sous sa responsabilité opérationnelle. Le CROSS et le CODIS informent respectivement le préfet maritime et le COZ, de tout évènement porté mutuellement à leur connaissance et présentant un caractère sensible. Cette information est réalisée de manière précoce dès la réception d’éléments pertinents. 2.2. Déclenchement des moyens En fonction de l’analyse de la situation en mer, le CROSS détermine le type de moyen à mettre en œuvre (nautiques, aériens ou terrestres) et en informe le CODIS. Il annule ou confirme les moyens éventuellement engagés à l’initiative du CODIS dans le cadre des actions entreprises de façon quasi concomitante à l’interconnexion téléphonique. Le CROSS attribue à la mission un numéro d’opération qu’il communique au CODIS. Le CROSS formule une demande de concours au CODIS au début de l’opération ou en cours d’opération si un renfort s’avère nécessaire. Le CODIS engage alors les moyens du SDIS selon leur disponibilité et informe le CROSS des délais de mise en œuvre et/ou d’arrivée sur zone. Lorsque les moyens demandés sont susceptibles d’amoindrir la couverture départementale des risques, le préfet de département (SDIS) en informe le préfet de zone (COZ). Sauf dispositions particulières explicitées dans des protocoles d’accords particuliers entre le préfet maritime et le préfet de zone de défense et de sécurité, seul le CROSS est compétent pour la mise en œuvre des moyens aériens de la sécurité civile dans la zone de compétence du préfet maritime et dans la zone de police des baignades. 2.3. Déroulement de l’opération Coordination des opérations : L’ensemble des moyens engagés par le CODIS est coordonné par le CROSS. Le chef de bord du moyen nautique du SDIS reste responsable de la sécurité de l’embarcation et du personnel à bord. Il reste juge de la possibilité de réaliser l’intervention. Il peut désengager ses moyens s’il juge que les conditions d’environnement et de navigabilité de son embarcation ne permettent pas de remplir en sécurité la mission confiée. Dans ce cas, le chef de bord informe immédiatement le CROSS, qui informera à son tour le CODIS. Lorsque le personnel du SDIS est projeté sur zone par un moyen extérieur au SDIS et désigné par le CROSS (hélicoptère de la sécurité civile, vedette d’une administration ou de la SNSM,...), il se place sous l’autorité du commandant de bord de l’aéronef ou du chef de bord du moyen. Ce dernier reste juge de la faisabilité de la mission et des modalités d’accomplissement de celle-ci. Le chef du détachement du SDIS reste quant à lui, seul habilité à juger de la sécurité des actions qui relèvent de son autorité. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 360 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Lors d’opération impliquant plusieurs moyens, le CROSS peut désigner un coordonnateur sur zone « on scene coordinator – OSC ». L’OSC : – devient l’interlocuteur unique du CROSS pour les moyens de sauvetage engagés sur zone et que le CROSS place sous sa coordination, – coordonne les manœuvres des intervenants, sur instruction du CROSS, – assure la remontée d’information vers le CROSS de l’ensemble des moyens engagés sur zone. Fin des opérations : À la clôture de la mission, le CROSS en informe le CODIS et donne alors liberté de manœuvre aux moyens engagés. Le CODIS reprend le contrôle opérationnel de ses moyens. 2.4. Transmission en opération Dès lors qu’un moyen nautique SDIS est susceptible d’intervenir dans une opération coordonnée par le CROSS, il doit être équipé d’une radio VHF marine. Le chef de bord du SDIS procède impérativement à une prise de contact radio avec le CROSS (VHF canal 16) avant l’appareillage. Il effectue un compte rendu systématique à chaque phase de son action par VHF (canal précisé par le CROSS) : –appareillage, – compte rendu d’ambiance à l’arrivée sur zone, – en cours d’intervention, selon une périodicité convenue entre le chef de bord et le CROSS ou pour toute difficulté particulière, – demande de renfort ou de moyens complémentaires, – bilan final en quittant la zone, – retour au mouillage ou à la base. Selon les circonstances et afin d’assurer la continuité des transmissions, le CODIS peut être amené à établir une liaison relais, via une VHF marine activée à partir d’un point haut sur le littoral, entre les moyens nautiques du SDIS sur zone et le CROSS (procédure « MODERATO »). En parallèle des comptes-rendus au CROSS, le chef de bord peut informer le CODIS du déroulement de l’intervention. Cette information ne peut en aucun cas donner lieu à l’envoi de moyens complémentaires à la seule initiative du CODIS. 2.5. Continuité terrestre de l’opération Afin d’assurer la prise en charge dans les meilleurs délais des victimes lors du débarquement à quai ou sur la zone de pose (DZ), le CROSS s’assure que le CODIS dispose des informations du lieu et de l’horaire prévisionnel d’arrivée du vecteur de transport des victimes. 2.6. Compte rendu d’intervention Selon le caractère de l’intervention, le CODIS assure l’information du préfet de département. Le CROSS adresse au CODIS et au COZ un compte rendu normalisé d’intervention (Situation Report – SITREP) lorsqu’un moyen du SDIS ou de la sécurité civile a été engagé. Si pour des raisons exceptionnelles (problème ponctuel de couverture radio par exemple) une intervention menée en mer par un SDIS n’est pas réalisée sous la coordination du CROSS, il appartient au SDIS de remplir une fiche de secours en mer (FDSM) et de la transmettre a posteriori au CROSS dans le mois qui suit. Si nécessaire, une fiche d’amélioration de la qualité, telle que définie au paragraphe suivant, est établie. La FDSM est saisie par le CROSS dans le logiciel dédié au suivi et à l’enregistrement statistique des opérations de secours en mer. Le modèle de FDSM est donné en annexe de la présente convention. 2.7. Retour d’expérience Dans le cadre d’une démarche de retour d’expérience et d’amélioration de la coordination des activités entre le CODIS et le CROSS, une fiche d’amélioration de la qualité est rédigée à l’occasion de tout constat de dysfonctionnement. Cette fiche est transmise, à la diligence du chef de centre, aux parties intéressées. La réponse à la fiche doit intervenir dans le mois suivant sa réception. Elle spécifie l’action d’amélioration mise en œuvre et le calendrier associé. Le CROSS fournira aux différentes parties impliquées le modèle de fiche en vigueur. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 361 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 3. Contributions particulières 3.1. Armement des hélicoptères de la sécurité civile (OPTIONNEL) La composition de l’équipage d’un hélicoptère de la sécurité civile inclut un pilote commandant de bord et un mécanicien opérateur de bord. L’équipe embarquée, qui s’ajoute à l’équipage, peut être composée de plongeurs, personnels médicaux ou autres spécialistes. La qualité des personnels composant l’équipe embarquée sera définie en fonction de la nature de la mission. Leur nombre ne devra en aucun cas excéder les limites fixées par le commandant de bord. Afin de rendre plus efficace l’organisation des secours par hélicoptère sur le littoral, le SDIS peut contribuer à l’armement journalier des d’hélicoptères de la sécurité civile avec ses personnels sauveteurs et ses équipes médicales. Les questions relatives aux effectifs, niveaux d’emploi et tours de garde sont réglées par convention particulière entre le préfet de zone, le préfet de département et le SDIS. Le préfet maritime et le CROSS sont informés de la mise en œuvre de ce dispositif de médicalisation ou de sauvetage ainsi que de l’indisponibilité opérationnelle (envoi sur des missions terrestres) et techniques (maintenance...) des hélicoptères de la sécurité civile. 3.2. Renfort de la capacité opérationnelle de l’EEI du préfet maritime (OPTIONNEL) Le préfet maritime désigne une « équipe d’évaluation et d’intervention » (EEI) projetable à bord d’un navire en difficulté en mer. Le rôle de l’EEI est de recueillir les informations nécessaires pour permettre au préfet maritime d’apporter au navire une solution adaptée à sa situation. Les effectifs et capacités des équipes sont modulables selon le type d’événement. Les modules « secours » sont assurés par les marins-pompiers de la base navale la plus proche. Le SDIS dispose d’un personnel spécialisé qui peut contribuer au renforcement de la capacité opérationnelle de l’EEI dans des domaines particuliers, dont notamment celui des risques technologiques. Sur demande du préfet maritime, le préfet de zone sollicite le SDIS pour qu’il engage les moyens préalablement identifiés en annexe de la présente convention et les conseillers techniques associés. La doctrine d’emploi de ces moyens peut faire l’objet d’un document connexe à la présente convention. Les conseillers techniques désignés par le SDIS sont placés sous l’autorité de l’officier désigné par le préfet maritime pour diriger l’EEI. 3.3. Préparation de l’accueil au port d’un navire ayant besoin d’assistance (OPTIONNEL) Un navire peut, sur décision du préfet maritime, être dérouté vers un port maritime pour être mis à l’abri, conformément à l’instruction du premier ministre relative à l’accueil des navires ayant besoin d’assistance. Cette procédure d’accueil fait l’objet d’une consultation des autorités terrestres par l’autorité maritime. Afin de recueillir toute information nécessaire à la réalisation de l’intervention en zone portuaire, le préfet de département peut solliciter l’envoi à bord du navire, en approche du port, d’experts techniques du SDIS. Dans ce cadre, il saisit le préfet maritime de la demande et en tient informé le préfet de zone. Le SDIS et le CROSS sont informés de la décision du préfet maritime. À bord du navire, les experts techniques du SDIS sont placés sous l’autorité du représentant du préfet maritime. Ils recueillent et transmettent au CODIS les données pertinentes pour la préparation de l’intervention à quai. Le CODIS retransmet au préfet de département ces informations qui sont également portées à la connaissance du CROSS. Une fois le navire accosté, le SDIS assure la conduite des secours, sous la direction opérationnelle du préfet de département. 4. Préparation 4.1. Disponibilités des équipements Chaque année ou à l’occasion de chaque modification, le SDIS informe le CROSS de ses moyens mobilisables, de leur implantation, de leurs capacités opérationnelles et techniques. Le SDIS informe le CROSS des périodes d’indisponibilité programmées pour entretien ou réparation de ses moyens. Sur demande, le CODIS informe le CROSS du niveau de disponibilité en temps réel de ses moyens. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 362 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 4.2. Exercices et entraînements Les exercices conjoints sont l’occasion d’échanges entre les différents moyens de sauvetage susceptibles d’être mobilisés par le CROSS et optimisent la compréhension générale de la coordination des opérations de recherche et de sauvetage en mer. Chaque année, la participation des moyens SDIS aux exercices ORSEC maritimes et/ou aux autres exercices maritimes organisés avec le CROSS sera recherchée. Le SDIS peut être amené à annuler un entraînement ou sa participation à un exercice conjoint notamment en fonction des conditions météorologiques, de l’état de la mer ou du volume d’activité de secours dans le département. Le CROSS est systématiquement tenu informé (localisation, début et fin) des exercices ou entraînements organisés à la mer pour l’entraînement propre des équipes du SDIS. 4.3. Échanges informels CROSS-CODIS Afin de promouvoir les échanges entre les services et la diffusion des bonnes pratiques, des visites croisées des installations et des centres opérationnels ainsi que des formations réciproques sont organisées au profit du personnel du CROSS et du SDIS. Ce programme d’échanges fait l’objet d’une planification annuelle entre le SDIS et le CROSS. 5. Dispositions relatives au personnel Le personnel du SDIS est qualifié et habilité par le SDIS selon les prescriptions des guides nationaux de référence élaborés par la direction générale de la sécurité civile et de la gestion des crises. Les chefs de bord du SDIS sont par ailleurs détenteurs des qualifications adaptées à la conduite de leurs embarcations et à leurs activités. 6. Dispositions relatives aux matériels Le schéma départemental d’analyse et de couverture des risques (SDACR) fait état des risques auxquels le SDIS doit faire face. Les objectifs de couverture de la frange littorale, déterminant la capacité opérationnelle à pouvoir apporter une réponse opérationnelle cohérente et adaptée en fonction des domaines d’intervention stipulés dans la présente convention, sont déterminés en concertation avec l’ensemble des acteurs du secours en mer. Le règlement opérationnel du SDIS fera référence à la présente convention-cadre pour ce qui relève de l’organisation et la participation du SDIS à la couverture des secours dans la bande littorale. Les moyens nautiques du SDIS et leurs équipements sont conformes à la réglementation applicable pour les activités de secours en mer. Chaque partie reste propriétaire des matériels et équipements acquis dans le cadre de la présente convention-cadre et mis à la disposition d’une autre partie dans le cadre de son exécution. 7. Dispositions financières Opérations n’ouvrant droit à aucun remboursement : Les opérations de secours à personnes n’ouvrent pas de droit à rémunération. Les frais engagés par le SDIS à l’occasion des opérations de recherche et de sauvetage en mer restent à sa charge. Opérations ouvrant droit à remboursement : En application de l’article L. 1424‑42 du CGCT, dans le cadre d’une convention, le conseil d’administration du SDIS fixe la nature des prestations d’assistance (remorquage, récupération de planche à voile,..) engagées à l’occasion d’opérations de secours à personne et leurs conditions de prise en charge financière. Le SDIS communique aux parties, à titre d’information, la grille tarifaire de ces prestations. La participation aux opérations d’assistance aux navires en danger de se perdre (incendie, voie d’eau,...) ouvre droit à rémunération, par le propriétaire du navire, si l’action a été efficace (principe: no cure, no pay). La rémunération est évaluée au prorata des actions engagées par les différents intervenants, de la valeur marchande du bien et de sa cargaison. Dans le cadre de la procédure de recouvrement, le SDIS adresse au préfet maritime le bilan des moyens et les justificatifs des frais engagés lors de l’opération. Actions de formation : Les frais engagés à l’occasion des exercices et des entraînements restent à la charge des parties. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 363 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 8. Assurances Chacune des parties reste responsable des dommages et préjudices de toutes natures causés par ses membres uniquement, et de quelque manière que ce soit, tant aux navires, aux matériels et aux installations, qu’à son personnel ou à des tiers, et trouvant, directement ou indirectement, en totalité ou en partie, leur origine dans l’exécution de la présente convention-cadre. Le SDIS souscrit et maintient en cours de validité les polices d’assurances qu’il juge appropriées afin de couvrir pour un montant suffisant, compte tenu des possibilités du marché de l’assurance, les risques et responsabilités lui incombant, tant en vertu du droit commun qu’en vertu de ses engagements résultant de l’exécution de la présente convention-cadre. 9. Suivi de la convention-cadre 9.1. Correspondant Chaque partie désigne et communique aux autres parties le nom et les coordonnées du correspondant chargé, au sein de son organisme, de la mise en œuvre et du suivi de la présente convention-cadre. 9.2. Évaluation L’ensemble des dispositions fait l’objet d’une évaluation régulière entre les parties à l’occasion de réunion annuelle. Lors de ces réunions sont évoqués l’activité opérationnelle, l’entraînement, le suivi des FAQ et toutes les difficultés rencontrées. Ces réunions font l’objet d’un relevé de décisions et le cas échéant d’un plan d’actions correctives, diffusés à l’ensemble des parties. 10. Évolution de la convention-cadre 10.1. Date d’entrée en vigueur et durée La présente convention-cadre entre en vigueur à la date de la dernière signature des parties. La présente convention est conclue pour une durée d’un an renouvelable par tacite reconduction, sans que sa durée totale ne puisse excéder cinq années consécutives. Les parties se réunissent six mois avant la fin du terme des 5 ans pour analyser les modalités de son éventuelle révision ou reconduction. 10.2. Avenant À l’initiative d’une des parties, il pourra être étudié toute proposition de modification de la présente conventioncadre. Les modifications devront être acceptées par l’autre partie et faire l’objet d’un avenant validé avant son entrée en vigueur. Les éléments modifiés de la présente convention-cadre ne peuvent conduire à remettre en cause les objectifs généraux définis. Les éventuels changements de coordonnées peuvent être mis à jour par simple courrier. Le SGMER et les directions ministérielles de tutelle sont tenus informés des modifications. 10.3. Règlements des litiges Les parties s’efforcent de résoudre à l’amiable les contestations qui peuvent surgir de l’interprétation ou de l’exécution des clauses de la présente convention-cadre. En cas de désaccord persistant, le litige est porté devant le tribunal administratif compétent. 10.4. Résiliation La résiliation de la présente convention-cadre peut être initiée par l’une ou l’autre des parties pour des motifs d’intérêt général ou pour un désaccord insurmontable. La résiliation ne peut être notifiée qu’en fin d’année calendaire, par lettre recommandée avec un préavis d’au moins trois mois. Le SGMER et les directions ministérielles de tutelle sont tenus informés de cette résiliation. 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 364 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR VISAS La présente convention cadre comporte 10 articles et 3 annexes. Fait en cinq exemplaires originaux. Le titre/grade, fonction Lieu et date : Le titre/grade, fonction Lieu et date : Prénom NOM Prénom NOM Le titre/grade, fonction Le titre/grade, fonction Lieu et date : Lieu et date : Prénom NOM Prénom NOM Le titre/grade, fonction Lieu et date : Prénom NOM 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 365 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE 1 LISTE DES ACRONYMES CGCT CMS CODIS COM COS COZ CROSS CTA DAM DGITM DIRM DOS DGSCGC EEI FAQ FDSM OSC SAR SDACR SDIS SGMER SITREP SNSM : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : Code général des collectivités territoriales Coordonnateur de mission de sauvetage du CROSS Centre opérationnel départemental d’incendie et de secours Centre des opérations maritimes de la préfecture maritime Commandant des opérations de secours Centre opérationnel de zone de préfecture de zone de défense et de sécurité Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage Centre de traitement des alertes du CODIS Directeur des affaires maritimes (MEDDTL/DGTIM) Direction générale des infrastructures, des transports et de la mer Direction interrégionale de la mer Directeur des opérations de secours Directeur général de la sécurité civile et de la gestion des crises (MIOMCTI) Équipe d’évaluation et d’intervention du préfet maritime Fiche d’amélioration de la qualité Fiche de secours en mer On Scene Coordinator (coordonnateur sur les lieux) Search and rescue (recherche et sauvetage) Schéma départemental d’analyse et de couverture des risques Service départemental d’incendie et de secours Secrétaire général de la mer Situation report (compte rendu de situation normalisé) Société nationale de sauvetage en mer 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 366 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE 2 LETTRE No 2202 DU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL DE LA MER DU 24 NOVEMBRE 2011 RELATIVE À LA FICHE DE SECOURS EN MER 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 367 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 368 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 369 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 370 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 371 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE 3 Renfort de la capacité opérationnelle de l’EEI du préfet maritime (optionnelle) I. – PRINCIPES GÉNÉRAUX Les capacités matérielles et humaines du SDIS peuvent venir renforcer le dispositif d’intervention engagé par le préfet maritime. La présente annexe à la convention a pour objectif de les identifier afin que le directeur des opérations de secours soit en mesure de planifier leur engagement au regard des idées de manœuvre retenues. Les moyens matériels devant être projetables par voie aérienne ou maritime, ils doivent être constitués en lots. Leurs encombrements et leurs masses sont spécifiés. Sauf autres dispositions d’entente entre les parties, les moyens de protection individuels et les équipements de sauvetage (brassières, combinaisons de protection thermique si nécessaire...) imposés pour ce type de mission, sont à la charge du SDIS en ce qui concerne son personnel. II. – RECENSEMENT DES MOYENS DU SDIS SUSCEPTIBLES D’ÊTRE ENGAGÉS EN RENFORT DE L’EEI 1. Les moyens sanitaires À renseigner 2. Les moyens de lutte contre l’incendie À renseigner 3. Les moyens de lutte contre les voies d’eau À renseigner 4. Les moyens de lutte contre les menaces radiologiques, bactériologiques et chimiques À renseigner 5. Autres moyens À renseigner 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 372 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR _____ Arrêté du 29 juin 2012 portant nomination au Conseil supérieur de l’éducation routière NOR : INTS1227212A Le ministre de l’intérieur, Vu l’article D. 214‑2 du code de la route ; Vu l’arrêté du 10 février 2010 portant nomination au Conseil supérieur de l’éducation routière, Arrête : Article 1er M. Patrick Chopin, secrétaire général du SNICA-FO, est nommé membre du Conseil supérieur de l’éducation routière en remplacement de M. Christian Grolier. Article 2 Le délégué à la sécurité et à la circulation routières, est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Fait le 29 juin 2012. Pour le ministre et par délégation : Le délégué à la sécurité et à la circulation routières, F. Péchenard 10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 373
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