Mai 2012 - Ministère de l`Intérieur

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Mai 2012 - Ministère de l`Intérieur
No 2012-05
10 octobre 2012
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
BULLETIN
OFFICIEL
Sommaire thématique
Sommaire chronologique
Direction
de l’information légale
et administrative
26, rue Desaix
75727 Paris Cedex 15
ISSN : 1282-7924
Edité par :
La délégation à l’information
et à la communication
du ministère de l’intérieur
Directeur de la publication :
Monsieur Michel MOSIMANN,
délégué à l’information
et à la communication
Application du titre Ier de la loi no 78-753 du 17 juillet 1978
relatif à la liberté d’accès aux documents administratifs
NOTA
Les annexes citées et non incluses dans le
présent document peuvent être obtenues, sur
simple demande, auprès des directions dont elles
émanent.
Il est important de donner les références précises
(date et numéro de code).
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Sommaire thématique
Pages
Délégations de gestion
Convention de délégation de gestion du 14 juin 2012 du directeur général de la sécurité civile
et de la gestion des crises au directeur des systèmes d’information et de communication
relative aux crédits, biens, achats et procédures de gestion dans le domaine informatique...13
Finances locales
Concours financiers de l’État
Circulaire du 2 mai 2012 relative au recensement des contraventions dressées en 2011 par les
services de police en vue de la répartition du produit des amendes relatives à la circulation
routière (exercice 2012)........................................................................................................ 17
Circulaire du 4 mai 2012 relative à la répartition de la dotation nationale de péréquation
(DNP) pour l’année 2012.................................................................................................... 22
Circulaire du 4 mai 2012 relative au Fonds de solidarité des communes de la région d’Île-deFrance (FSRIF) au titre de 2012......................................................................................... 34
Financements des transferts de compétences
Circulaire du 27 juin 2012 relative au concours particulier de la dotation générale de
décentralisation (DGD) relatif à la compensation des accroissements de charges résultant
de la souscription de contrats destinés à garantir les communes et leurs groupements
contre les risques contentieux liés à la délivrance des autorisations d’utilisation du sol
(ASPC). Exercice 2012......................................................................................................... 53
Fonction publique territoriale
Circulaire du 25 mai 2012 relative aux participations des collectivités territoriales et de leurs
établissements publics à la protection sociale complémentaire de leurs agents.................... 57
Immigration
Décision no 2012-65 du 3 mai 2012 portant délégation de signature pour l’Office français de
l’immigration et de l’intégration.......................................................................................... 78
Décision du 3 mai 2012 portant nomination à l’Office français de protection des réfugiés et
apatrides (OFPRA)............................................................................................................. 79
Décision du 3 mai 2012 portant nomination à l’Office français de protection des réfugiés et
apatrides (OFPRA)............................................................................................................. 80
Décision du 12 juin 2012 portant délégation de signature pour l’Office français de l’immigration
et de l’intégration................................................................................................................. 81
Décision du 26 juin 2012 portant délégation de signature pour l’Office français de l’immigration
et de l’intégration................................................................................................................. 82
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Pages
Personnels d’État
Arrêté du 30 décembre 2011 relatif au tableau d’avancement au grade de brigadier de police
pour l’année 2012................................................................................................................ 84
Arrêté du 3 mai 2012 conférant un grade et un emploi d’officier commissionné servant au
titre de l’article L. 4132-10 du code de la défense............................................................... 121
Arrêté du 14 mai 2012 portant dissolution de la brigade motorisée de Toul (Meurthe-etMoselle)............................................................................................................................... 122
Arrêté du 14 mai 2012 portant dissolution de la brigade motorisée de Louviers (Eure)......... 123
Arrêté du 15 mai 2012 portant dissolution de la brigade territoriale d’Évisa (Corse du Sud).124
Arrêté du 15 mai 2012 portant dissolution des détachements de gendarmerie des centres de
rétention administrative du Mesnil-Amelot, de Saint-Jacques-de-la-Lande, de Metz, de
Rivesaltes et de Geispolsheim.............................................................................................. 126
Arrêté du 15 mai 2012 portant modification des circonscriptions des brigades territoriales de
Carcès et du Luc (Var)........................................................................................................ 127
Arrêté du 15 mai 2012 portant modification de la circonscription de la brigade territoriale
de Colombey-les-Deux-Églises (Haute-Marne)................................................................... 129
Arrêté du 15 mai 2012 portant changement d’appellation et modification de la circonscription
de la brigade territoriale de Terre-Natale (Haute-Marne)................................................... 131
Arrêté du 22 mai 2012 conférant un grade et un emploi d’officier commissionné servant au
titre de l’article L. 4132-10 du code de la défense............................................................... 133
Arrêté du 25 mai 2012 portant modification de la circonscription de la brigade territoriale
de Montier-en-Der (Haute-Marne)..................................................................................... 134
Arrêté du 29 mai 2012 portant modification des brigades territoriales de Laplume (Lot-etGaronne) et de Port-Sainte-Marie (Lot-et-Garonne)........................................................... 136
Arrêté du 30 mai 2012 conférant un grade et un emploi d'officier commissionné servant au
titre de l'article L. 4132-10 du code de la défense................................................................ 138
Décision no 10752 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Franche-Comté............................................ 139
Décision no 24178 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est........................ 141
Décision no 31745 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Bretagne....................................................... 142
Décision no 36624 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur....................... 144
Décision no 36625 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud....................... 146
Décision no 37890 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général des organismes centraux – branche « secrétariat »........................................ 147
Décision no 37898 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général des organismes centraux – branche « formations extérieures »..................... 148
Décision no 37923 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général du commandement des forces aériennes de la gendarmerie nationale........... 149
Décision no 37933 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général des organismes centraux – branche « technique »......................................... 150
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Pages
Décision no 2009 du 3 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la gendarmerie maritime.................................................................................... 151
Décision no 3770 du 3 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général du commandement de la gendarmerie outre-mer – branche « personnel servant en
ambassade »........................................................................................................................ 152
Décision no 3771 du 3 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général du commandement de la gendarmerie outre-mer – branche « personnel servant
outre-mer, en assistance militaire technique et en prévôté »................................................ 153
Décision no 12851 du 3 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Basse-Normandie........................................ 155
Décision no 27591 du 3 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Midi-Pyrénées.............................................. 157
Décision no 15793 du 4 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Poitou-Charentes......................................... 159
Décision no 24809 du 4 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Lorraine....................................................... 161
Décision no 38143 du 4 mai 2012 portant attribution de l’échelon exceptionnel aux majors du
corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale............................ 163
Décision no 11263 du 7 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Haute-Normandie....................................... 164
Décision no 20604 du 7 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie du Centre.......................................................... 166
Décision no 22052 du 7 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon................................. 168
Décision no 43693 du 7 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Rhône-Alpes................................................ 170
Décision no 4563 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la gendarmerie de l’air........................................................................................ 173
Décision no 7040 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la gendarmerie des transports aériens................................................................ 174
Décision no 13528 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la garde républicaine – branche « infanterie ».......................................... 175
Décision no 13529 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la garde républicaine – branche « cavalerie »............................................ 176
Décision no 13530 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la garde républicaine – branche « orchestre-chœur de l’armée française »......... 177
Décision no 33474 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Ouest.................... 178
Décision no 39708 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général du commandement des écoles de la gendarmerie nationale.......................... 179
Décision no 44056 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest............ 180
Décision no 44092 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est................ 181
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Pages
Décision no 7600 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Corse........................................................... 182
Décision no 11777 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie du Limousin..................................................... 183
Décision no 15576 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Picardie........................................................ 184
Décision no 22846 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie des Pays de la Loire.......................................... 186
Décision no 42386 du 10 mai 2012 portant attribution, en 2012, de la prime de résultats
exceptionnels à titre exceptionnel........................................................................................ 188
Décision no 50302 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie d’Île-de-France................................................. 213
Décision no 50386 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris................ 215
Décision no 13041 du 11 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie d’Auvergne....................................................... 216
Décision no 9855 du 14 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie d’Alsace............................................................ 218
Décision no 23411 du 14 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Nord - Pas-de-Calais................................... 220
Décision no 23413 du 14 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord.................... 222
Décision no 45903 du 14 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie d’Aquitaine....................................................... 223
Décision no 16780 du 15 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Bourgogne................................................... 225
Décision no 16785 du 15 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Bourgogne................................................... 227
Décision no 45343 du 17 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la
spécialité « montagne »....................................................................................................... 229
Décision no 45427 du 17 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la
spécialité « systèmes d’information et de communication »................................................ 230
Décision no 46690 du 17 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la
spécialité « aéronautique – mécaniciens cellules et moteurs »............................................. 231
Décision no 46695 du 17 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la
spécialité « aéronautique – mécaniciens avionique »........................................................... 232
Décision no 46697 du 17 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la
spécialité « aéronautique – pilotes ».................................................................................... 233
Décision no 50270 du 30 mai 2012 portant nomination au grade d’aspirant........................... 234
Circulaire du 9 mai 2012 relative à la sécurisation du cycle de vie de la carte agent
ministérielle......................................................................................................................... 235
Circulaire no 27798 du 21 mai 2012 relative à la préparation des tableaux d’avancement
pour 2013 des sous-officiers de gendarmerie....................................................................... 261
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Pages
Circulaire no 48000 du 24 mai 2012 relative à l’hébergement des volontaires dans les armées
servant au sein de la gendarmerie nationale........................................................................ 268
Circulaire no 57974 du 19 juin 2012 relative à l’avancement des sous-officiers et militaires du
rang de la réserve opérationnelle pour l’année 2012............................................................ 279
Instruction no 55000 du 8 juin 2012 relative à la formation des sous-officiers de gendarmerie
servant au titre de la spécialité « systèmes d’information et de communication »............... 282
Polices administratives
Arrêté du 6 juin 2012 portant agrément d’un organisme de formation au titre de
l’article L. 3332‑1‑1 du code de la santé publique............................................................... 306
Arrêté du 7 juin 2012 portant agrément d’un organisme de formation au titre de
l’article L. 3332‑1‑1 du code de la santé publique............................................................... 307
Arrêté du 7 juin 2012 portant agrément d’un organisme de formation au titre de
l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique............................................................... 308
Arrêté du 22 juin 2012 portant agrément d’un organisme de formation au titre de
l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique............................................................... 309
Arrêté du 22 juin 2012 portant agrément d’un organisme de formation au titre de
l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique............................................................... 310
Arrêté du 26 juin 2012 portant agrément d’un type de véhicule blindé de transport de fonds
prévu à l’article 4 du décret no 2000‑376 du 28 avril 2000 modifié relatif à la protection des
transports de fonds.............................................................................................................. 311
Réglementation
Arrêté du 30 mai 2012 portant indemnisation des rapporteurs à la commission consultative
des jeux de cercles et de casinos.......................................................................................... 312
Circulaire du 3 mai 2012 relative au Fonds d’Aide pour le Relogement d’Urgence (FARU)....313
Circulaire du 4 mai 2012 relative aux statistiques de recherches dans l’intérêt des familles des
personnes majeures. Résultats définitifs 2010 – Premiers résultats 2011.............................. 337
Circulaire du 11 mai 2012 relative à la transition administrative et comptable en cas de fusion
d’EPCI ou de syndicats mixtes............................................................................................ 341
Circulaire du 22 mai 2012 relative à la mise en œuvre de l’attestation de dépôt sécurisée
prévue à l’article 7 de l’arrêté ministériel du 12 janvier 2012 fixant les conditions de
reconnaissance et d’échange des permis de conduire délivrés par les États n’appartenant
ni à l’Union européenne ni à l’Espace économique européen............................................. 344
Sécurité civile
Circulaire du 4 mai 2012 relative aux contributions des services départementaux d’incendie
et de secours aux opérations de recherche et de sauvetage en mer...................................... 347
Sécurité et circulation routières
Arrêté du 29 juin 2012 portant nomination au Conseil supérieur de l’éducation routière...... 373
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Sommaire chronologique
Pages
Arrêté du 30 décembre 2011 relatif au tableau d’avancement au grade de brigadier de police
pour l’année 2012................................................................................................................ 84
Décision no 10752 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Franche-Comté............................................ 139
Décision no 24178 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est........................ 141
Décision no 31745 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Bretagne....................................................... 142
Décision no 36624 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur....................... 144
Décision no 36625 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud....................... 146
Décision no 37890 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général des organismes centraux – branche « secrétariat »........................................ 147
Décision no 37898 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général des organismes centraux – branche « formations extérieures »..................... 148
Décision no 37923 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général du commandement des forces aériennes de la gendarmerie nationale........... 149
Décision no 37933 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général des organismes centraux – branche « technique »......................................... 150
Circulaire du 2 mai 2012 relative au recensement des contraventions dressées en 2011 par les
services de police en vue de la répartition du produit des amendes relatives à la circulation
routière (exercice 2012)........................................................................................................ 17
Arrêté du 3 mai 2012 conférant un grade et un emploi d’officier commissionné servant au
titre de l’article L. 4132-10 du code de la défense............................................................... 121
Décision no 2012-65 du 3 mai 2012 portant délégation de signature pour l’Office français de
l’immigration et de l’intégration.......................................................................................... 78
Décision no 2009 du 3 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la gendarmerie maritime.................................................................................... 151
Décision no 3770 du 3 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général du commandement de la gendarmerie outre-mer – branche « personnel servant en
ambassade »........................................................................................................................ 152
Décision no 3771 du 3 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général du commandement de la gendarmerie outre-mer – branche « personnel servant
outre-mer, en assistance militaire technique et en prévôté »................................................ 153
Décision no 12851 du 3 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Basse-Normandie........................................ 155
Décision no 27591 du 3 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Midi-Pyrénées.............................................. 157
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Pages
Décision du 3 mai 2012 portant nomination à l’Office français de protection des réfugiés et
apatrides (OFPRA)............................................................................................................. 79
Décision du 3 mai 2012 portant nomination à l’Office français de protection des réfugiés et
apatrides (OFPRA)............................................................................................................. 80
Circulaire du 3 mai 2012 relative au Fonds d’Aide pour le Relogement d’Urgence (FARU)....313
Décision no 15793 du 4 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Poitou-Charentes......................................... 159
Décision no 24809 du 4 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Lorraine....................................................... 161
Décision no 38143 du 4 mai 2012 portant attribution de l’échelon exceptionnel aux majors du
corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale............................ 163
Circulaire du 4 mai 2012 relative à la répartition de la dotation nationale de péréquation
(DNP) pour l’année 2012.................................................................................................... 22
Circulaire du 4 mai 2012 relative au Fonds de solidarité des communes de la région d’Île-deFrance (FSRIF) au titre de 2012......................................................................................... 34
Circulaire du 4 mai 2012 relative aux statistiques de recherches dans l’intérêt des familles des
personnes majeures. Résultats définitifs 2010 – Premiers résultats 2011.............................. 337
Circulaire du 4 mai 2012 relative aux contributions des services départementaux d’incendie
et de secours aux opérations de recherche et de sauvetage en mer...................................... 347
Décision no 11263 du 7 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Haute-Normandie....................................... 164
Décision no 20604 du 7 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie du Centre.......................................................... 166
Décision no 22052 du 7 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon................................. 168
Décision no 43693 du 7 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Rhône-Alpes................................................ 170
Décision no 4563 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la gendarmerie de l’air........................................................................................ 173
Décision no 7040 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la gendarmerie des transports aériens................................................................ 174
Décision no 13528 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la garde républicaine – branche « infanterie ».......................................... 175
Décision no 13529 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la garde républicaine – branche « cavalerie »............................................ 176
Décision no 13530 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la garde républicaine – branche « orchestre-chœur de l’armée française »......... 177
Décision no 33474 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Ouest.................... 178
Décision no 39708 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général du commandement des écoles de la gendarmerie nationale.......................... 179
Décision no 44056 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest............ 180
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – CHR – Page 9
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Pages
Décision no 44092 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est................ 181
Circulaire du 9 mai 2012 relative à la sécurisation du cycle de vie de la carte agent
ministérielle......................................................................................................................... 235
Décision no 7600 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Corse........................................................... 182
Décision no 11777 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie du Limousin..................................................... 183
Décision no 15576 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Picardie........................................................ 184
Décision no 22846 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie des Pays de la Loire.......................................... 186
Décision no 42386 du 10 mai 2012 portant attribution, en 2012, de la prime de résultats
exceptionnels à titre exceptionnel........................................................................................ 188
Décision no 50302 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie d’Île-de-France................................................. 213
Décision no 50386 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris................ 215
Décision no 13041 du 11 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie d’Auvergne....................................................... 216
Circulaire du 11 mai 2012 relative à la transition administrative et comptable en cas de fusion
d’EPCI ou de syndicats mixtes............................................................................................ 341
Arrêté du 14 mai 2012 portant dissolution de la brigade motorisée de Toul (Meurthe-etMoselle)............................................................................................................................... 122
Arrêté du 14 mai 2012 portant dissolution de la brigade motorisée de Louviers (Eure)......... 123
Décision no 9855 du 14 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie d’Alsace............................................................ 218
Décision no 23411 du 14 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Nord - Pas-de-Calais................................... 220
Décision no 23413 du 14 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord.................... 222
Décision no 45903 du 14 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie d’Aquitaine....................................................... 223
Arrêté du 15 mai 2012 portant dissolution de la brigade territoriale d’Évisa (Corse du Sud).124
Arrêté du 15 mai 2012 portant dissolution des détachements de gendarmerie des centres de
rétention administrative du Mesnil-Amelot, de Saint-Jacques-de-la-Lande, de Metz, de
Rivesaltes et de Geispolsheim.............................................................................................. 126
Arrêté du 15 mai 2012 portant modification des circonscriptions des brigades territoriales de
Carcès et du Luc (Var)........................................................................................................ 127
Arrêté du 15 mai 2012 portant modification de la circonscription de la brigade territoriale
de Colombey-les-Deux-Églises (Haute-Marne)................................................................... 129
Arrêté du 15 mai 2012 portant changement d’appellation et modification de la circonscription
de la brigade territoriale de Terre-Natale (Haute-Marne)................................................... 131
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Décision no 16780 du 15 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Bourgogne................................................... 225
Décision no 16785 du 15 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Bourgogne................................................... 227
Décision no 45343 du 17 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la
spécialité « montagne »....................................................................................................... 229
Décision no 45427 du 17 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la
spécialité « systèmes d’information et de communication »................................................ 230
Décision no 46690 du 17 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la
spécialité « aéronautique – mécaniciens cellules et moteurs »............................................. 231
Décision no 46695 du 17 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la
spécialité « aéronautique – mécaniciens avionique »........................................................... 232
Décision no 46697 du 17 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la
spécialité « aéronautique – pilotes ».................................................................................... 233
Circulaire no 27798 du 21 mai 2012 relative à la préparation des tableaux d’avancement
pour 2013 des sous-officiers de gendarmerie....................................................................... 261
Arrêté du 22 mai 2012 conférant un grade et un emploi d’officier commissionné servant au
titre de l’article L. 4132-10 du code de la défense............................................................... 133
Circulaire du 22 mai 2012 relative à la mise en œuvre de l’attestation de dépôt sécurisée
prévue à l’article 7 de l’arrêté ministériel du 12 janvier 2012 fixant les conditions de
reconnaissance et d’échange des permis de conduire délivrés par les États n’appartenant
ni à l’Union européenne ni à l’Espace économique européen............................................. 344
Circulaire no 48000 du 24 mai 2012 relative à l’hébergement des volontaires dans les armées
servant au sein de la gendarmerie nationale........................................................................ 268
Arrêté du 25 mai 2012 portant modification de la circonscription de la brigade territoriale
de Montier-en-Der (Haute-Marne)..................................................................................... 134
Circulaire du 25 mai 2012 relative aux participations des collectivités territoriales et de leurs
établissements publics à la protection sociale complémentaire de leurs agents.................... 57
Arrêté du 29 mai 2012 portant modification des brigades territoriales de Laplume (Lot-etGaronne) et de Port-Sainte-Marie (Lot-et-Garonne)........................................................... 136
Arrêté du 30 mai 2012 conférant un grade et un emploi d’officier commissionné servant au
titre de l’article L. 4132-10 du code de la défense............................................................... 138
Arrêté du 30 mai 2012 portant indemnisation des rapporteurs à la commission consultative
des jeux de cercles et de casinos.......................................................................................... 312
Décision no 50270 du 30 mai 2012 portant nomination au grade d’aspirant........................... 234
Arrêté du 6 juin 2012 portant agrément d’un organisme de formation au titre de
l’article L. 3332‑1‑1 du code de la santé publique............................................................... 306
Arrêté du 7 juin 2012 portant agrément d’un organisme de formation au titre de
l’article L. 3332‑1‑1 du code de la santé publique............................................................... 307
Arrêté du 7 juin 2012 portant agrément d’un organisme de formation au titre de
l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique............................................................... 308
Instruction no 55000 du 8 juin 2012 relative à la formation des sous-officiers de gendarmerie
servant au titre de la spécialité « systèmes d’information et de communication »............... 282
Décision du 12 juin 2012 portant délégation de signature pour l’Office français de l’immigration
et de l’intégration................................................................................................................. 81
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Convention de délégation de gestion du 14 juin 2012 du directeur général de la sécurité civile
et de la gestion des crises au directeur des systèmes d’information et de communication
relative aux crédits, biens, achats et procédures de gestion dans le domaine informatique...13
Circulaire no 57974 du 19 juin 2012 relative à l’avancement des sous-officiers et militaires du
rang de la réserve opérationnelle pour l’année 2012............................................................ 279
Arrêté du 22 juin 2012 portant agrément d’un organisme de formation au titre de
l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique............................................................... 309
Arrêté du 22 juin 2012 portant agrément d’un organisme de formation au titre de
l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique............................................................... 310
Arrêté du 26 juin 2012 portant agrément d’un type de véhicule blindé de transport de fonds
prévu à l’article 4 du décret no 2000‑376 du 28 avril 2000 modifié relatif à la protection des
transports de fonds.............................................................................................................. 311
Décision du 26 juin 2012 portant délégation de signature pour l’Office français de l’immigration
et de l’intégration................................................................................................................. 82
Circulaire du 27 juin 2012 relative au concours particulier de la dotation générale de
décentralisation (DGD) relatif à la compensation des accroissements de charges résultant
de la souscription de contrats destinés à garantir les communes et leurs groupements
contre les risques contentieux liés à la délivrance des autorisations d’utilisation du sol
(ASPC). Exercice 2012......................................................................................................... 53
Arrêté du 29 juin 2012 portant nomination au Conseil supérieur de l’éducation routière...... 373
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MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
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Convention de délégation de gestion du 14 juin 2012 du directeur général de la sécurité civile
et de la gestion des crises au directeur des systèmes d’information et de communication
relative aux crédits, biens, achats et procédures de gestion dans le domaine informatique
NOR : INTE1227600X
Vu la loi organique no 2001‑692 relative aux lois de finances (LOLF) du 1er août 2001, le décret no 2004‑1085 du
14 octobre 2004 relatif à la délégation de gestion dans les services de l’État et la circulaire du ministre de l’économie,
des finances et de l’industrie no CD-1166 relative à la mise en œuvre de la délégation de gestion du 27 mai 2005,
Vu l’arrêté du 26 janvier 2004 fixant les attributions et portant organisation du secrétariat général et de la délégation
aux affaires internationales et européennes, notamment l’article 4 ;
Vu l’arrêté du 23 août 2011 portant organisation et attributions de la direction générale de la sécurité civile et de
la gestion des crises ;
Afin d’atteindre les objectifs fixés par le Parlement au programme 128 « coordination des moyens de secours » ;
Afin de faciliter la gestion des crédits afférents aux dépenses informatiques de ce même programme ;
Le directeur général de la sécurité civile et de la gestion de crises (DGSCGC) au ministère de l’intérieur, responsable
du programme « coordination des moyens de secours », désigné sous le terme de « délégant », d’une part ;
Et le directeur des systèmes d’information et de communication (DSIC) de ce même ministère désigné sous le
terme de « délégataire », d’autre part,
Conviennent :
Article 1er
Objet de la délégation et rôles des parties
Conformément à l’article 4 du décret susvisé, le délégant confie au délégataire, en son nom et pour son compte, dans
les conditions ci-après précisées et sous réserve des délégations de signature des agents concernés du service délégataire,
la gestion des crédits – titres 3 et 5 –, des biens, des achats et des procédures des dépenses en matière de systèmes
d’information et de communication (SIC) relevant de l’unité opérationnelle Chorus, UO 128 – COMS – CSIC.
Le délégant fixe les orientations stratégiques et exprime les besoins opérationnels et les objectifs associés. Il confie la
maîtrise d’œuvre des marchés SIC dont il est pouvoir adjudicateur au délégataire. Il décide des priorités et arbitrages
de programmation en termes de gestion budgétaire et de calendrier.
L’UO considérée comprend, conformément au tableau joint en annexe, les systèmes suivants :
– le projet SAIP : conception, déploiement, maintenance et accessoires ;
– la finalisation du programme ANTARES ;
– la quote-part aux coûts de fonctionnement de l’INPT ;
–le projet PORTAIL Synergie – ORSEC : maintenance évolutive, conception et développement sur demande
particulière ;
– le maintien en condition opérationnelle des réseaux locaux et des réseaux radio des services de la sécurité civile,
– le suivi des équipements de câblages et radio.
Le délégataire traduit, à l’issue d’un dialogue de gestion avec le délégant : les besoins opérationnels en termes
techniques et financiers, réalise les opérations qui lui sont confiées, propose, si besoin est, des modifications, et rend
compte au délégant de l’action menée.
Article 2
Prestations confiées au délégataire
S’agissant des projets SIC de la direction générale de la sécurité civile et de la gestion de crises, le délégataire est
chargé :
–de fournir les éléments financiers nécessaires à la DGSCGC, sur la base des besoins opérationnels exprimés
par celle-ci, en vue de la préparation de la programmation des crédits d’investissement, d’équipement et de
fonctionnement ;
– de la gestion des crédits de l’unité opérationnelle concernée, c’est-à-dire de l’engagement comptable et juridique
des crédits, de leur ordonnancement et liquidation, à l’exception des crédits mis à disposition des services
déconcentrés qui continuent d’être délégués par la DGSCGC ;
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– le délégataire assure via la plate-forme CHORUS AG et pour le compte du délégant les actes suivants :
– le traitement de l’engagement juridique qui comporte sa saisie complète et sa validation dans l’outil CHORUS ;
– l’envoi, sans délai, du bon de commande correspondant au fournisseur ;
– la saisine lorsqu’il y a lieu, du contrôleur financier ;
– la saisine et la validation des engagements de tiers ;
– la certification du service fait dans CHORUS sur la base de la constatation du service fait transmise par le
délégataire ;
– le traitement des factures comprenant la saisie dans CHORUS de la demande de paiement et sa validation
valant ordre à payer au comptable ; à ce titre, d’une part, il veille au strict respect des délais prévus par le décret
2008‑407 du 28 avril 2008, hors cas d’urgence ; d’autre part, il est chargé des relations avec le comptable ;
– la réalisation en liaison avec les services du délégant, des travaux de fin de gestion ;
– la mise en œuvre du contrôle interne comptable au niveau de sa structure ;
– l’archivage des pièces qui lui incombe ;
– de la maintenance et du développement des réseaux, des infrastructures et des applications ;
– des achats et des acceptations des matériels dans le cadre des marchés conclus par le délégataire ;
– de l’exécution des prestations afférentes aux marchés confiés par le délégant ;
–et, sans préjudice des compétences des autres directions du ministère, de toutes les procédures légales,
administratives et financières nécessaires à la mise en œuvre et au développement des programmes précités.
Article 3
Obligations du délégataire
Le délégataire réalise la délégation dans les conditions et les limites fixées par le présent document.
Le délégataire rend compte des prestations confiées à l’article 2 de la présente convention :
– par la communication, après le vote de la loi de finances initiale, dans le cadre de l’élaboration des documents
prévisionnels de gestion (DPG), des éléments nécessaires à la ventilation des crédits ouverts en AE et en CP au
sein du tableau de suivi des opérations des systèmes d’information et de communication ;
– dans un état de la consommation des crédits (PEC de gestion assorti d’une liste récapitulative, par opération, des
bons de commande et des marchés notifiés) ;
– par la fourniture de tous les éléments techniques et financiers nécessaires à l’élaboration du PLF ;
– le délégataire fournira des prévisions de consommation des crédits avec le meilleur degré de fiabilité possible ;
– dans un rapport budgétaire annuel circonstancié remis au délégant le 31 janvier de l’année suivante (constitution
du RAP) ;
– ces différents documents seront fournis lors des réunions tenues :
– en janvier lors de la programmation budgétaire initiale (PBI) ;
– en juin lors du point de situation budgétaire (PSB) ;
– en septembre lors de la programmation budgétaire rectifiée (PBR) ;
– et à chaque fois que le délégant et ou le délégataire le demande ;
– lors des revues clients ;
–de l’établissement des données comptables nécessaires au délégant pour satisfaire aux obligations de la
comptabilité générale de l’État, notamment pour ce qui concerne le rattachement des charges à l’exercice et la
gestion des autres immobilisations corporelles et des stocks.
Suite aux questions parlementaires transmises par le délégant au délégataire, ce dernier prépare les éléments de
réponse qu’il envoie ensuite au délégant, dans les délais impartis ; à charge pour le délégant de les compléter par les
éléments fonctionnels et de les transmettre.
Article 4
Obligations du délégant
Le délégant s’engage :
– à fournir en temps utile tous les éléments d’information dont le délégataire a besoin pour l’exercice de sa mission
(projet de PAP et expression des besoins, notamment) ;
– à procéder aux dotations en AE et CP de l’UO dédiée au délégataire.
Après signature du présent document, le délégant confirme à la direction de l’évaluation de la performance, et des
affaires financières et immobilières (DEPAFI) du ministère de l’intérieur l’habilitation donnée pour intervenir sur les
crédits de l’unité opérationnelle et en adresse en parallèle une copie au contrôleur budgétaire et comptable ministériel.
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Article 5
Exécution financière de la délégation
Pour 2012, conformément au descriptif de l’annexe jointe à la présente convention, l’UO 128- COMS – CSIC est
dotée, après application de la réserve de précaution de 6 % :
– de 23 554 447 € en AE ;
– de 32 835 477 € en CP.
Le tableau joint en annexe à la présente convention détaille l’emploi de ces crédits.
Il convient de préciser que la répartition par titre est prévisionnelle et susceptible d’évoluer en cours d’exercice, en
fonction de l’évolution des différents projets et des ressources effectivement mises à disposition du délégataire
L’affectation de ces dotations devra être consacrée principalement à la réalisation des opérations prévues dans
le PAP. Sur demande expresse du délégant, l’affectation peut être modifiée, notamment en cas de modification du
calendrier prévisionnel d’exécution des projets.
Ces crédits sont mis en place conformément aux prescriptions de la LOLF et aux impératifs de gestion de l’exercice
en cause.
Le délégataire exerce, dans cette limite et pour les seules lignes budgétaires ci-dessus précisées, la fonction
d’ordonnateur des crédits. Il informe par écrit le délégant préalablement de tout mouvement de gestion de nature à
remettre en cause la réalisation des objectifs impartis. Dans les autres cas, le délégataire est responsable de la gestion
de ces crédits et informe le délégant de ces mouvements lors de nos rencontres programmées
Les crédits (AE/CP) sont mis en place par le délégant auprès du délégataire, dans le respect des règles de la
comptabilité publique, en fonction des besoins exprimés par le délégataire et des disponibilités budgétaires.
Il convient de préciser que les mises à dispositions de crédits (AE/CP) sont opérées à titre régulier lors des 3 points
budgétaires (PBI, PSB et PBR) et à titre ponctuel à la demande du délégataire, en cas de besoins.
Dans ce dernier cas, en cas d’insuffisance des crédits, le délégataire informe le délégant sans délai. À défaut
d’ajustement de la dotation, le délégataire suspend l’exécution de la délégation.
Article 6
Modification du document
Toute modification des conditions ou des modalités d’exécution du présent document, définie d’un commun accord
entre les parties, fait l’objet d’un avenant, dont un exemplaire est transmis aux destinataires du présent document
mentionnés à l’article 4 ainsi qu’au contrôleur budgétaire et comptable ministériel.
Article 7
Durée, reconduction et résiliation du document
Le présent document prend effet à la date du 1er janvier 2012. La durée est de un an.
Le document peut prendre fin de manière anticipée sur l’initiative d’une des parties sous réserve d’une notification
écrite de la décision de résiliation, de l’information du contrôleur budgétaire et comptable ministériel et de l’observation
d’un préavis de trois mois. Le délégataire fournira en temps utile au délégant l’ensemble des documents contractuels,
administratifs et comptables nécessaires à la reprise de la gestion par le délégant.
Le délégant informe sans délai la DEPAFI, le contrôleur budgétaire et comptable ministériel des décisions de
reconduction du présent document ainsi que de la date à laquelle celui-ci cesse de produire ses effets.
La délégation, dont un exemplaire sera communiqué au comptable assignataire compétent, fera l’objet d’une
publication au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
Fait à Paris, le 14 juin 2012.
Le délégant,
Le directeur général de la sécurité civile
et de la gestion des crises,
Jean-Paul Kihl
Le délégataire,
Le directeur des systèmes
d’information et de communication,
Raymond Le Deun
Copies (hors annexe) :
– Contrôleur budgétaire ;
– Comptable ministériel ;
– Plate-forme AG.
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ANNEXE
Plan d’emploi des crédits en AE et CP 2012
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MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
MINISTÈRE CHARGÉ
DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
_____
Direction générale
des collectivites locales
_____
Sous-direction des finances locales
et de l’action économique
_____
Bureau des concours
financiers de l’État
_____
Circulaire du 2 mai 2012 relative au recensement des contraventions dressées en 2011 par les
services de police en vue de la répartition du produit des amendes relatives à la circulation
routière (exercice 2012)
NOR : COTB1220957C
Pièce jointe : annexe : calendrier de recensement et de répartition des données relatives aux amendes de police.
Résumé :
 I. –Recensement des contraventions dressées par les différents services de police en 2011.
  II. –Recensement de la longueur de voirie départementale au 1er janvier 2012 pour les départements, les régions
d’outre-mer et la collectivité territoriale de Corse.
III. –La collecte des informations s’effectuera du 1er juin 2012 au 29 juin 2012 inclus sur Colbert Départemental.
Le ministre auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration
chargé des collectivités territoriales à Monsieur le préfet de police ; Mesdames et Messieurs les préfets de
département (métropole et outre-mer) et Monsieur le préfet de la collectivité territoriale de Saint-Pierreet-Miquelon.
En vertu des articles L. 2334‑24, L. 2334‑25, et R. 2334‑10 à R. 2334‑12 du code général des collectivités territoriales
(CGCT), l’État rétrocède aux communes et aux groupements compétents le produit effectivement recouvré des
amendes de police relatives à la circulation routière dressées sur leur territoire. La répartition est proportionnelle au
nombre de contraventions dressées l’année précédente sur le territoire de chaque commune ou groupement.
La présente circulaire a pour objet de préparer la répartition du produit des amendes de la circulation routière au
titre de 2012. Il convient par conséquent de recenser le nombre de contraventions à la police de la circulation routière
dressées par les différents services de police durant l’année 2011 pour la répartition du produit des amendes relatives
à la circulation routière ainsi que la longueur de voirie départementale pour la répartition du produit des amendes de
police relevées par les radars automatiques revenant aux départements.
I. – MODALITÉS DE RÉPARTITION DU PRODUIT DES AMENDES DE POLICE
1. Les collectivités bénéficiaires du produit des amendes de police de la circulation routière
Conformément aux dispositions de l’article R. 2334‑10 du CGCT, le produit des amendes de police de la circulation
routière est partagé, en 2012, proportionnellement au nombre de contraventions dressées en 2011 sur le territoire des
communes bénéficiaires suivantes :
– les communes, les communautés urbaines et autres groupements comptant 10 000 habitants et plus auxquels
les communes ont transféré la totalité de leurs compétences en matière de voies communales, de transports en
commun et de parcs de stationnement ;
– les communes et les groupements de communes de moins de 10 000 habitants exerçant la totalité des compétences
précitées.
La compétence en matière de voies communales est considérée comme étant totalement transférée au groupement
lorsque celui-ci assure la compétence pour toute la voirie anciennement communale.
La population prise en compte pour déterminer le seuil mentionné ci-dessus est celle définie à l’article L. 2334‑2
du code général des collectivités territoriales, soit la population utilisée pour la répartition de la dotation globale
de fonctionnement (DGF). Il s’agit de la population totale majorée d’un habitant par résidence secondaire et d’un
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habitant par place de caravane conventionnée au titre de l’aide forfaitaire à la gestion (deux habitants pour les
communes éligibles en 2011 à la dotation de solidarité urbaine et de cohésion sociale ou à la fraction « bourg centre »
de la dotation de solidarité rurale).
Attention :
La répartition 2012 du produit des amendes de police s’appuie donc sur la pop DGF au 1er janvier 2012 pour cibler
les collectivités bénéficiaires et sur les amendes dressées en 2011 comme critère de répartition.
Il convient également de noter que la répartition 2012 sera à nouveau versée en décalage d’un an, soit en 2013.
2. Versement de la dotation
Les attributions revenant aux communes et groupements de communes ayant reçu la totalité des compétences
précitées et comptant au moins 10 000 habitants leur sont versées directement.
Les sommes correspondant aux communes et groupements de communes de moins de 10 000 habitants sont
réparties par les conseils généraux.
S’agissant de la région Île-de-France, les recettes sont partagées entre le syndicat des transports Île-de-France
(50 %), la région d’Île-de-France (25 %) et les communes et groupements (25 %).
Les dotations accordées sont obligatoirement destinées au financement des opérations d’amélioration des transports
en commun et de la circulation routière énumérées à l’article R. 2334‑12 du code général des collectivités territoriales.
II. – CONTENU ET DÉROULEMENT DES OPÉRATIONS DE RECENSEMENT À MENER
1. L’origine et la nature des contraventions à recenser
Il vous appartient de recenser le nombre de contraventions à la police de la circulation routière dressées par
les services de police municipale et nationale entre le 1er janvier et le 31 décembre 2011. Vous veillerez à ce titre à
distinguer les amendes dressées par des policiers municipaux assermentés de celles établies par des agents de police
nationale. Les contraventions établies par la police nationale englobent notamment celles émises par les services de la
police aux frontières (PAF), des compagnies républicaines de sécurité (CRS) et de la SNCF. J’insiste sur le fait que
les contraventions doivent être ventilées par commune ; elles ne doivent pas correspondre à la somme des amendes
dressées par les services de police nationale au niveau des circonscriptions de police.
Les amendes dressées par la gendarmerie nationale n’ont pas à être recensées par vos services. Ces données seront
en effet directement communiquées aux miens par la direction générale de la gendarmerie nationale.
De même, les contraventions dressées par procès-verbal électronique (PVé) ne doivent pas être intégrées au nombre
d’amendes recensées. Les services de l’ANTAI (Agence nationale de traitement automatisé des infractions) en charge
du déploiement du PVé dans plusieurs communes et services de police nous communiqueront directement les résultats
obtenus en 2011.
Par ailleurs, je vous indique que les amendes à dénombrer sont les amendes forfaitaires de catégorie 1 à 4. En
revanche, les amendes relevées par les radars automatiques fixes sont exclues de cet exercice. Seules les amendes
forfaitaires relevant de la circulation routière et du stationnement (stationnement gênant ou dangereux, défaut de
paiement de tickets de stationnement, radars mobiles tels que jumelles ou Eurolaser...) sont à prendre en compte.
2. Longueur de voirie départementale
Afin de pouvoir procéder à la répartition du produit des amendes relevées par les radars automatiques au profit
des départements, il convient de recenser la longueur de voirie départementale au 1er janvier 2012 de l’ensemble
des départements, des régions d’outre-mer et de la collectivité territoriale de Corse. Cette donnée fait partie des
informations nécessaires à la répartition de la DGF 2013 dont le recensement fera l’objet d’une circulaire particulière
en septembre prochain.
Le nouveau département de Mayotte n’est pas concerné par ce recensement. En effet, les dispositions de l’article
L. 2564‑61 du CGCT ne prévoient pas que les articles L. 2334‑24 et L. 2334‑25 du CGCT relatifs aux amendes de
police s’appliquent aux communes de Mayotte.
3. Les modalités de remontée des informations recensées
La remontée des informations à la direction générale des collectivités locales s’effectue grâce au serveur intranet
Colbert Départemental, disponible à partir du 1er juin 2012. Les services chargés d’effectuer la saisie des données et
ne disposant pas de cette application doivent se mettre en relation avec le ou les bureaux chargés des finances locales
de la préfecture qui utilisent cet outil.
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
À toutes fins utiles, je vous rappelle que le site http://doc-soutien.dsic.mi/. met à votre disposition tous les
supports de formation relatifs à l’application Colbert Départemental (identifiant et mot de passe : colbert ; onglet
« Application »). L’annexe jointe présente l’ensemble de la procédure à suivre.
Doivent notamment être mentionnées :
– le cumul des contraventions dressées dans chaque département par la police nationale d’une part, et la police
municipale d’autre part, sur l’ensemble des communes et groupements de communes de moins de 10 000 habitants
hors PVé ;
– le nombre total de contraventions dressées par la police nationale d’une part, et la police municipale d’autre
part, sur le territoire de chaque commune de plus de 10 000 habitants hors PVé ;
– le nombre total de contraventions dressées par les services de police nationale d’une part et de police municipale
d’autre part constatées sur le territoire des communautés urbaines et des groupements de plus de 10 000 habitants
exerçant les compétences voies communales, transport en commun et parcs de stationnement, hors PVé. Vous
veillerez à ne transmettre à mes services que les données relatives aux groupements exerçant effectivement ces
trois compétences cumulées.
Une copie des statuts des groupements nouvellement éligibles au bénéfice de cette dotation sera également transmise
au bureau des concours financiers de l’État. Les groupements concernés sont ceux qui ont fait l’objet d’un transfert
de compétences entre les deux exercices de recensement.
Enfin, j’attire votre attention sur l’importance de la colonne « commentaires » qui apparaît dans les différents
masques de saisie de Colbert Départemental. Cette colonne permet d’expliquer les écarts constatés entre le nombre
d’amendes dressées en 2010 et en 2011. Les informations mentionnées permettront d’éclairer les contrôles de données
opérés par mes services. Ils peuvent notamment porter sur les variations d’effectifs de police municipale.
Attention :
Pour le recensement des amendes de police municipale, je vous demande de transmettre une copie d’écran du
logiciel qui gère ce type d’amendes (WINAF – LOGITUD ou tout autre document officiel) pour les écarts les plus
significatifs (+/– 1 000 amendes et/ou +/– 25 % d’amendes recensées).
Il vous est également possible d’envoyer à l’adresse suivante (sophie.marinne@interieur.gouv.fr) tout document
explicatif sur les écarts constatés.
Enfin, la validation finale de la saisie permettra à mes services de consulter les résultats obtenus et de débuter le
contrôle des données dont l’attention portera particulièrement sur l’étude des écrans WINAF retraçant le nombre
d’amendes PM. Pour les amendes PN, vous veillerez à ce que les variations constatées entre les deux recensements
soient également justifiées. Le cas échéant, mes services contacteront la personne désignée par vos soins dès réception
de la présente circulaire.
Pour recenser la longueur de voirie départementale, l’écran de saisie sur Colbert Départemental comporte deux
zones à remplir : la première concerne la longueur de voirie départementale située en zone de montagne et la seconde,
la longueur de voirie départementale hors-montagne.
Étant donné que ces données sont nécessaires à la répartition du produit des amendes de police relevées par les
radars automatiques au profit des départements qui sera effectuée en octobre 2012, nous vous demandons de bien
vouloir renseigner ces informations en premier lieu dès l’ouverture de la saisie des éléments nécessaires à la répartition
de la DGF 2013 sur Colbert Départemental prévue en septembre 2012. En effet, mes services vous contacteront
rapidement afin de vérifier les écarts constatés.
Compte tenu des enjeux financiers en présence, vous voudrez bien prêter la plus grande attention à la fiabilité des
données transmises ainsi qu’à la bonne coordination de nos services dans les opérations de contrôle de données.
Je vous rappelle que l'ensemble des informations demandées devra être adressé directement à la direction générale
des collectivités locales, sous-direction des finances locales et de l’action économique, bureau des concours financiers
de l'État, 2, place des Saussaies, 75008 Paris.
Je vous invite également à respecter le calendrier des opérations de recensement des données relatives aux amendes
de police. Il est impératif de procéder à la saisie des informations demandées dans les délais impartis : la saisie sur
Colbert Départemental débutera le 1er juin 2012 et se terminera le 29 juin 2012.
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Toute difficulté dans l'application de cette circulaire devra être signalée :
En ce qui concerne le recensement de la longueur de la voirie départementale : bureau des concours financiers de
l'État, Alicia SAOUDI (alicia.saoudi@interieur.gouv.fr) ; tél. : 01 40 07 26 79 ; fax : 01 40 07 68 30.
En ce qui concerne les aspects financiers et les modalités pratiques du recensement : bureau des concours financiers
de l'État, Sophie MARINNE (sophie.marinne@interieur.gouv.fr) ; tél. : 01 49 27 35 52 ; fax : 01 40 07 68 30.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général des collectivités locales,
É. Jalon
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Du 1 janvier 2011
au
31 décembre 2011
– Communes
et groupements
de plus
de 10 000 habitants
ayant les trois
compétences
obligatoires
– Communes
et groupements
de moins
de 10 000 habitants
ayant les trois
compétences
obligatoires
Longueur de voirie
départementale
Nombre d’amendes
dressées
par la police
municipale et
la police nationale
hors procès-verbal
électronique
Radars
automatiques
Amendes
forfaitaires
er
1er janvier 2012
– Départements
(sauf Mayotte)
– Régions outre-mer
– Collectivité territoriale
de Corse
DONNÉES
recensées
AMENDES
de police
DATE LIMITE
de prise
en charge
Colbert Départemental
Groupes de données :
– AMDC pour les communes > 10 000
– AMDD pour les communes < 10 000
(une seule ligne à remplir :
les données sont globalisées)
– AMDG : pour les groupements
détenant les 3 compétences
obligatoires
Colbert Départemental
Groupe de données VOID
MODALITÉS
de recensement
Groupe de données
à renseigner
relatives aux amendes de police
Amendes
de police
municipale
ou nationale :
+/– 1 000 unités
et/ou
+/– 25 %
Département :
+ ou – 10 %
CONTRÔLE
à effectuer
par vos services
Au fur
et à mesure
de la saisie
Au fur
et à mesure
de la saisie
en septembre 2012
Septembre 2012
(après ouverture
de la saisie
sur Colbert
Départemental
des données
pour la DGF 2013)
29 juin 2012
CONTRÔLE
effectué
par la DGCL
DATE LIMITE
de retour
des informations
de recensement et de répartition des différentes données
COLLECTIVITÉS
concernées
Calendrier
ANNEXE 1
Février 2013
Octobre 2012
RÉPARTITION
par le comité
des finances
locales
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
–––––
MINISTÈRE CHARGÉ
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
–––––
Direction générale
des collectivités locales
–––––
Sous-direction des finances locales
et de l’action économique
–––––
Bureau des concours
financiers de l’État
–––––
Circulaire du 4 mai 2012 relative à la répartition de la dotation nationale
de péréquation (DNP) pour l’année 2012
NOR : COTB1220933C
Pièces jointes : 4 annexes.
Le ministre auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration,
chargé des collectivités territoriales à Mesdames et Messieurs les préfets (métropole).
La présente circulaire a pour objet de vous préciser les conditions d’éligibilité et les modalités de répartition de
la dotation nationale de péréquation (DNP) pour 2012. Les fiches de notification vous sont adressées par l’intranet
COLBERT-départemental.
La DNP comprend deux parts : une part dite « principale », qui vise à corriger les insuffisances de potentiel financier,
et une part dite « majoration », plus spécifiquement destinée à la réduction des écarts de potentiel fiscal calculé par
seule référence aux nouveaux produits fiscaux se substituant à la taxe professionnelle.
I. – DÉTERMINATION DE LA MASSE À RÉPARTIR
Les crédits alloués à la DNP s’élèvent en 2012 à 764 059 406 € (contre 755 540 700 € en 2011). La somme effectivement
mise en répartition entre les communes de métropole s’élève à 723 754 998 € (contre 715 856 193 € en 2011) après
prélèvement de la quote-part réservée aux communes des départements et collectivités d’outre-mer.
Cette masse à répartir en métropole se ventile de la manière suivante entre les deux parts de la DNP :
– le montant de la part principale s’élève en 2012 à 562 528 881 € (contre 556 389 642 € en 2011) ;
– celui de la majoration à 161 226 117 € (contre 159 466 552 € en 2011).
II. – RÉPARTITION DE LA PART PRINCIPALE DE LA DNP
A. – Les
conditions d’éligibilité
1. Les conditions de droit commun
Sont éligibles :
– Les communes qui satisfont cumulativement aux deux conditions suivantes (code 1) :
– avoir un potentiel financier par habitant supérieur de 5 % au plus à la moyenne du groupe démographique
correspondant ;
– avoir un effort fiscal supérieur à la moyenne du groupe démographique correspondant.
– Les communes de plus de 10 000 habitants qui répondent également aux deux conditions suivantes (code 6) :
– avoir un potentiel financier par habitant inférieur ou égal à 85 % du potentiel financier du groupe démographique
correspondant ;
– avoir un effort fiscal supérieur à 85 % de la moyenne du groupe démographique correspondant.
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2. Les conditions dérogatoires
Sont également éligibles les communes répondant à l’une des conditions suivantes :
–avoir un potentiel financier par habitant supérieur de 5 % au plus à la moyenne du groupe démographique
correspondant et un taux de cotisation foncière des entreprises égal en 2011 au taux plafond à savoir 50,84 %.
Ces communes bénéficient d’une attribution à taux plein (code 3) ;
–avoir un potentiel financier par habitant supérieur au plus de 5 % à la moyenne du groupe démographique
correspondant et un effort fiscal compris entre l’effort fiscal moyen des communes du même groupe démographique
et 85 % de cet effort fiscal moyen. Ainsi, l’assouplissement des conditions de droit commun ne concerne que la
condition liée à l’effort fiscal. La condition relative au potentiel financier reste impérative. Dans cette seconde
hypothèse dérogatoire (code 2), les communes éligibles à titre dérogatoire perçoivent une attribution réduite de
moitié. On notera au passage que, dans l’hypothèse où cet abattement induirait une diminution supérieure à
10 % du montant perçu en 2011 par les communes concernées, un total de 90 % du montant perçu en 2011 leur
serait cependant garanti.
B. – La
répartition des ressources entre les strates
Les ressources de la part principale de la DNP font l’objet d’une répartition entre, d’une part, les communes de
200 000 habitants et plus et, d’autre part, celles de moins de 200 000 habitants.
C. – La
répartition entre les communes
1. L’attribution d’une garantie d’inéligibilité (code 4)
Elle est versée aux communes éligibles en 2011 qui ne remplissent plus les conditions d’éligibilité en 2012. Ces
communes reçoivent, à titre de garantie pour 2012, une attribution égale à 90 % de leur part principale de 2011.
2. L’attribution des communes éligibles en 2012
Au regard de l’article L. 2334‑14-VII du CGCT, les communes qui ont un montant d’attribution ou de garantie
inférieur ou égal à 300 €, ne perçoivent aucune attribution.
• L'attribution des communes éligibles à la DNP selon les conditions de droit commun (codes 1 et 6) et la condition
dérogatoire en cas de plafonnement de la CFE (code 3) :
Part principale DNP =
(
)
1,05 × PFi – PFi
× Pop × VP1
PFi
Ou
Part principale DNP =
(
)
1,05 × PFi – PFi
× Pop × VP2
PFi
Avec :
PFi = Potentiel financier moyen par habitant du groupe démographique auquel appartient la commune ;
PFi = Potentiel financier par habitant de la commune ;
Pop = Population DGF 2012 de la commune ;
VP1 = Valeur de point, soit 62,578115 € pour les communes de moins de 200 000 habitants ;
VP2 = Valeur de point, soit 39,999147 € pour les communes de plus de 200 000 habitants.
• L'attribution des communes éligibles à la DNP en 2012 en cas d’effort fiscal compris entre 85 % et 100 % de
l’effort fiscal moyen des communes du même groupe démographique (code 2)
Part principale DNP =
(
)
1,05 × PFi – PFi
1
× Pop × VP1 ×
2
PFi
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Ou
Part principale DNP =
(
)
1,05 × PFi – PFi
1
× Pop × VP2 ×
2
PFi
Avec :
PFi = Potentiel financier moyen par habitant du groupe démographique auquel appartient la commune ;
PFi = Potentiel financier par habitant de la commune ;
Pop = Population DGF 2012 de la commune ;
VP1 = Valeur de point, soit 62,578115 € pour les communes de moins de 200 000 habitants ;
VP2 = Valeur de point, soit 39,999147 € pour les communes de plus de 200 000 habitants.
À l’issue de ce calcul, les communes éligibles, dont l’attribution 2012 est inférieure de 10 % à celle de 2011,
bénéficient d’une garantie égale à 90 % du montant perçu en 2011 au titre de la part principale. Cette garantie est
prélevée sur la masse à répartir.
De façon symétrique, les communes éligibles, dont l’attribution 2012 est supérieure de 20 % à celle de 2011,
perçoivent une attribution égale à 120 % du montant perçu en 2011 au titre de la part principale. Le produit de ces
écrêtements est réinjecté dans la masse à répartir
3. Aucun versement inférieur ou égal à 300 €
Conformément au VII de l’article L. 2334‑14 du CGCT aucune attribution inférieure ou égale à 300 € n’est versée
aux communes.
III. – RÉPARTITION DE LA MAJORATION DE LA DNP
À compter de 2012, le potentiel fiscal taxe professionnelle utilisé les années antérieures dans le calcul de la part
majoration, du fait de la suppression de la taxe professionnelle, est remplacé par les produits post-TP qui comprennent
les produits mentionnés au 2o de l’article L. 2334‑4 du CGCT, c’est-à-dire : le produit des bases de cotisation foncière
des entreprises (CFE) et du taux moyen national d’imposition à cette taxe, les produits de cotisation sur la valeur
ajoutée des entreprises (CVAE), les produits des impositions forfaitaires sur les entreprises de réseaux (IFER), les
produits de la taxe sur les surfaces commerciales (TASCOM), et les produits de la taxe additionnelle à la taxe foncière
sur les propriétés non bâties (TAFNB).
A. – Les
conditions d’éligibilité
Sont éligibles à cette majoration les communes qui satisfont cumulativement aux trois conditions suivantes :
– être éligibles à la part principale de la dotation nationale de péréquation (même si aucune attribution n’a été
versée en raison d’un montant inférieur ou égal à 300 €) ;
– compter moins de 200 000 habitants ;
– avoir un potentiel fiscal relatif aux seuls produits post-TP par habitant inférieur de 15 % à la moyenne du groupe
démographique auquel elles appartiennent.
B. – La
répartition de cette majoration entre les communes
1. L’attribution d’une garantie d’inéligibilité
À compter de 2012, les mécanismes de garanties existant pour la part principale s’appliquent également à la
part majoration. Ainsi, les communes éligibles en 2011 à la part majoration qui ne remplissent plus les conditions
d’éligibilité en 2012, reçoivent, à titre de garantie pour 2012, une attribution égale à 90 % de leur part majoration
de 2011.
2. L’attribution des communes éligibles en 2012
Le calcul de la dotation des communes éligibles s’effectue en appliquant la formule suivante :
(
)
PFTP – PFTP
Majoration DNP =
× Pop × VP3
PFTP
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Avec :
PFTP = Produits post-TP moyens par habitant du groupe démographique auquel appartient la commune ;
PFTP = Produits post-TP par habitant de la commune ;
Pop = Population DGF 2012 de la commune ;
VP3 = Valeur de point, soit 7,777691 €.
Comme pour la part principale, et ce conformément au VII de l’article L. 2334‑14 du CGCT aucune attribution
de la part majoration inférieure ou égale à 300 € n’est versée.
IV. – MODALITÉS DE NOTIFICATION ET DE VERSEMENT DES DOTATIONS
Les montants de la DNP sont accessibles sur le site Internet de la DGCL. Toutefois, seule la notification par vos
soins fait foi.
A. – Les
fiches de notification
Vous trouverez les fiches de notification sur COLBERT-départemental pour les communes bénéficiaires, c’est-àdire éligibles à la DNP au titre des codes 1, 2, 3, 5, 6 et 7 (cf. annexe I), ou sortantes et bénéficiant de la garantie de
sortie (code 4).
B. – Les
modalités de versement des attributions
Vous notifierez, dès réception de la présente circulaire, les dotations aux communes pour l’établissement de leur
budget.
J’attire également votre attention sur les conséquences de la circulaire interministérielle du 21 novembre 2006
relative aux versements des dotations de l’État, qui prévoit que les collectivités doivent désormais être informées de
la date à laquelle s’effectuera le versement de la dotation sur leur compte au Trésor public, dans la lettre leur notifiant
leur attribution.
La DNP est en effet concernée par les dispositions relatives aux dotations non mensualisées, pour lesquelles il vous
appartient de fixer la date de versement, en accord avec les services du Trésor.
C. – Les
modalités de notification des attributions
Vos arrêtés de versement viseront le compte, ouvert en 2012 dans les écritures du trésorier-payeur général, sous le
no « 465 1200000 : Dotation globale de fonctionnement – dotation nationale de péréquation – répartition initiale de
l’année. Année 2012 » ouvert dans les écritures du directeur départemental (ou régional) des finances publiques. En
outre, afin de permettre aux DDFIP/DRFIP de distinguer les dotations relevant de l’interface Colbert/Chorus, vous
veillerez à faire figurer sur vos arrêtés la mention « interfacé ».
En outre, vos arrêtés de versement ou de reversement à l’occasion d’une rectification éventuelle viseront le compte
unique no 465‑1200000 « Dotation globale de fonctionnement – Opérations de régularisation » en précisant le code
CDR « COL 1001000P » que les rectifications portent sur les dotations allouées au titre de l’exercice 2012 ou des
années antérieures. Toutes les opérations de régularisation y compris celles concernant des dotations relevant de
l’interface au titre de 2012 ou d’années antérieures seront traitées hors interface. Afin de permettre aux DDFIP/
DRFIP de distinguer les opérations relevant de l’interface Colbert/Chorus, vous veillerez à faire figurer sur vos
arrêtés la mention « non interfacé ».
Je vous rappelle que pour permettre l’application des dispositions des articles R. 421‑5 du code de justice
administrative, doivent être expressément mentionnés, lors de la notification de chaque dotation aux collectivités
bénéficiaires, les voies et délais de recours contre une telle décision.
Vous veillerez donc à l’indiquer dans la lettre circulaire par laquelle vous notifiez aux communes le montant de
leurs attributions.
Je vous invite, par ailleurs, afin de prévenir tout contentieux, à indiquer également que, durant le délai de recours
contentieux, un recours gracieux peut être exercé auprès de vos services.
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Ce recours gracieux interrompt le délai de recours contentieux, qui ne courra à nouveau qu’à compter de
l’intervention de votre réponse. Je vous rappelle à cet égard, qu’en application de l’article R. 421‑2 du code précité
« le silence gardé pendant plus de deux mois sur une réclamation par l’autorité compétente vaut décision de rejet ».
Toute difficulté dans l’application de la présente circulaire devra être signalée à la direction générale des collectivités
locales, sous-direction des finances locales et de l’action économique, bureau des concours financiers de l’État,
M. Etienne Cailly, Tél. : 01 49 27 39 65, couriel : etienne.cailly@interieur.gouv.fr.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur des collectivités locales,
Éric Jalon
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ANNEXE 1
Fiche
technique relative aux codes
DNP
Code 1 : Communes éligibles de plein droit.
– elles sont éligibles selon les conditions de droit commun ;
– elles bénéficient d’une attribution intégrale à 100 %.
Code 2 : Effort fiscal assoupli.
– elles ont un potentiel financier par habitant supérieur de 5 % au plus à la moyenne du groupe démographique
correspondant ;
– elles sont éligibles en raison de leur effort fiscal, compris entre 85 % et 100 % de l’effort fiscal de référence ;
–elles bénéficient d’une attribution minorée, c’est-à-dire que l’attribution 2012 est réduite de moitié (tout en
restant au moins égal à 90 % du montant 2011 pour la part principale).
Code 3 : Communes possédant un taux de cotisation foncière des entreprises plafonné.
– elles ont un potentiel financier par habitant supérieur de 5 % au plus à la moyenne du groupe démographique
correspondant ;
– elles sont éligibles en raison de leur taux de cotisation foncière des entreprises ;
– elles bénéficient d’une attribution de droit commun.
Code 4 : Communes non éligibles en 2012 et bénéficiant de la garantie d’inéligibilité.
– il s’agit des communes qui, éligibles en 2011, ne le sont plus en 2012.
Code 5 : Communes éligibles à la part principale en 2012 mais bénéficiant de la garantie d’attribution.
–il s’agit de toutes les communes éligibles en 2012 (selon les conditions de droit commun ou les conditions
dérogatoires) et dont la référence pour le calcul de leur part principale correspond à 90 % de leur part principale
en 2011, ce seuil étant supérieur à ce qu’aurait été leur dotation en 2012.
Code 6 : Communes de plus de 10 000 habitants éligibles selon les conditions de droit commun.
– il s’agit des communes dont le potentiel financier par habitant est inférieur ou égal à 85 % de la moyenne de la
strate et dont l’effort fiscal est supérieur à 85 % de la moyenne de leur strate ;
– elles bénéficient d’une attribution à hauteur de 100 %.
Code 7 : Communes éligibles à la part principale en 2011 et en 2012 dont l’attribution en 2012 est plafonnée à
120 % de l’attribution perçue en 2011.
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
ANNEXE 2
Calcul
du potentiel fiscal et financier 2012
La loi de finances pour 2010 prévoit dans son dispositif la suppression de la taxe professionnelle. Cette suppression
n’est pas sans conséquences pour les dotations de l’État versées aux collectivités territoriales, dans la mesure où
la taxe professionnelle était prise en compte dans le calcul du potentiel fiscal des collectivités afin de déterminer
l’éligibilité à une dotation et le montant versé.
La loi de finances pour 2012 intègre la suppression de la taxe professionnelle et son remplacement par un nouveau
panier de ressources fiscales dans le calcul du potentiel financier des communes. Ainsi, pour 2012, les modalités
de calcul des potentiels fiscal et financier sont sensiblement différentes de celles appliquées les années antérieures.
Néanmoins, la logique du calcul des potentiels fiscal et financier reste la même, à savoir prendre en compte, pour une
commune donnée, l’ensemble de la richesse perçue sur son territoire, en particulier celle tirée de son appartenance à
un EPCI.
Le nouvel article L. 2334‑4 du CGCT prévoit que le potentiel fiscal d’une commune est déterminé par application
aux bases communales des quatre taxes directes locales du taux moyen national d’imposition de chacune de ces
taxes. Pour la taxe foncière sur les propriétés bâties (TFB), la taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFNB),
la taxe d’habitation (TH) et la cotisation foncière des entreprises (CFE), les bases retenues sont les bases brutes de
la dernière année dont les résultats sont connus servant à l’assiette des impositions communales. Les taux moyens
nationaux sont ceux constatés lors de la dernière année dont les résultats sont connus.
Le potentiel fiscal est également majoré des produits de cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE), des
impositions forfaitaires sur les entreprises de réseaux (IFER), de la taxe sur les surfaces commerciales (TASCOM),
des produits de la taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties (TAFNB), des montants perçus
au titre de la redevance des mines, des montants perçus des prélèvements communaux opérés sur les produits des
jeux des casinos, des montants perçus au titre de la surtaxe eaux minérales, de la dotation de compensation de la
réforme de la taxe professionnelle (DCRTP), du reversement dont bénéficie la commune au titre du Fonds national
de garantie individuelle de ressources (FNGIR), ou du prélèvement subi par la commune au titre du même fonds.
Dans le dernier cas, le montant vient minorer le potentiel fiscal de la commune.
Il est également minoré ou majoré des transferts de taxe professionnelle, pris en application des dispositions de la
loi no 80‑10 du janvier 1980, utilisés dans la répartition de 2011.
Le périmètre intercommunal et le régime fiscal de l’EPCI pris en compte pour le calcul du potentiel fiscal sont ceux
connus au 1er janvier 2011.
Pour toutes les communes membres d’un EPCI à fiscalité propre, le potentiel fiscal est majoré de la dotation de
compensation de réforme de la taxe professionnelle perçu par l’EPCI, du reversement dont bénéficie l’EPCI au
titre du Fonds national de garantie individuelle de ressources ou du prélèvement subi par l’EPCI au titre du même
fonds. Dans le dernier cas, le montant vient minorer le produit des compensations perçues par l’EPCI. La somme
de ces montants est ventilée à la commune en fonction de la part de sa population DGF 2012 dans la population
DGF 2012 de l’EPCI.
Pour les communes membres d’un EPCI à fiscalité additionnelle, les produits perçus par le groupement ne sont pas
ventilés. Les produits intercommunaux correspondent aux produits perçus par l’EPCI sur le territoire de la commune
et sont directement imputés dans le potentiel fiscal de la commune. Pour les communes membres d’un groupement
faisant application de l’article 1609 quinquies C du CGI, ce mode de calcul s’applique uniquement aux produits
perçus par l’EPCI en dehors de la zone d’activité économique et/ou de la zone éolienne.
Pour les communes appartenant à un groupement faisant application de l’article 1609 nonies C ou de
l’article 1609 quinquies C du CGI, le potentiel fiscal est majoré de l’attribution de compensation perçue par la
commune. Si cette attribution est négative, celle-ci vient alors minorer le potentiel fiscal de la commune.
Pour ces mêmes communes, le potentiel fiscal est majoré des produits perçus par l’EPCI, ventilés en fonction de
la part de sa population DGF 2012 dans la population DGF 2012 de l’EPCI. Pour les communes membres d’un
groupement faisant application de l’article 1609 quinquies C du CGI, ces produits correspondent uniquement aux
produits perçus par l’EPCI sur la zone d’activité économique et/ou la zone éolienne. Pour les communes appartenant
à un groupement faisant application de l’article 1609 nonies C du CGI, ces produits comprennent, en plus des
produits mentionnés aux troisième et quatrième paragraphes, les bases brutes de taxe d’habitation sur le territoire de
l’EPCI valorisées du taux moyen national à la taxe d’habitation spécifique pour les EPCI à fiscalité professionnelle
unique. Concernant la taxe d’habitation, les communes appartenant à un groupement faisant application de
l’article 1609 nonies C du CGI se voient appliquer un taux moyen national spécifique afin de tenir compte de la
redescente de la part départementale de taxe d’habitation à l’EPCI.
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Le potentiel fiscal est majoré de la part de la dotation forfaitaire de la commune correspondant à la compensation
prévue au I du D de l’article 44 de la loi de finances pour 1999 (no 98‑1266 du 30 décembre 1998).
Le potentiel financier de la commune correspond à son potentiel fiscal majoré de la dotation forfaitaire (hors
compensation « part salaires » et compensation des baisses de DCTP) perçue l’année précédente, et minoré des
éventuels prélèvements fiscaux subis par la commune à la suite de la suppression des CCAS et de la perception par
les communes/groupements de la TASCOM.
1. Calcul du potentiel fiscal et financier des communes
Bases brutes d’imposition 2011
Taxe d’habitation
Taux moyen national 2011
×
0,237619 ou 0,160539 (FPU)
=
(a)
+
Taxe foncière sur les propriétés bâties
×
0,19887
=
(b)
+
Taxe foncière sur les propriétés non bâties
×
0,485089
=
(c)
+
Cotisation foncière des entreprises (1)
×
0,254204
=
(d)
+
Montant de cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE)
(e)
+
Montant des impositions forfaitaires sur les entreprises de réseaux (IFER)
(f)
+
Montant de taxe sur les surfaces commerciales (TASCOM)
(g)
+
Montant de Taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties (TAFNB)
(h)
+
Montant de redevance des mines/prélèvements sur les jeux/surtaxe eaux minérales
(i)
+
Transferts de TP 2009 loi de 1980 potentialisés
(j)
+
Montant de dotation de compensation de réforme de la taxe professionnelle (DCRTP)
(k)
+
Montant perçu ou prélevé au titre du FNGIR
(l)
+/-
Montant de DCRTP + GIR du groupement ventilé
(m)
+/-
Attribution de compensation
(n)
+
Produits du groupement sur le territoire de la commune (FA ; FPZ)
(o)
+
Produits du groupement ventilés (FPU ; FPZ)
(p)
+
Part de la dotation forfaitaire correspondant à la compensation prévue au I du D
de l’article 44 de la loi de finances pour 1999 (no 98-1266 du 30 décembre 1998)
(q)
=
Potentiel fiscal = Total des lignes (a) + (b) + (c) + (d) + (e) + (f) + (g) + (h) + (i)
+(j) + (k) + (l) + (m) + (n) + (o) + (p) + (q)
(r)
(1) Pour les communes membres d’un groupement à fiscalité professionnelle unique, ne pas prendre en compte le (d) qui est entièrement inclus
dans les produits du groupement ventilés.
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
+
Dotation forfaitaire 2011 hors part représentant l’ancienne « part salaires »
(s)
-
Prélèvements sur la fiscalité
(t)
=
Potentiel financier = (r) + (s) – (t)
(u)
2. Calcul du potentiel financier par habitant des communes
Potentiel financier
/
Population DGF 2012 de la commune
=
Potentiel financier par habitant de la commune
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ANNEXE 3
Calcul
de l’effort fiscal
L'effort fiscal d'une commune est égal au rapport entre le produit de la taxe d'habitation, des deux taxes foncières,
de la taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties, de la taxe ou redevance pour l'enlèvement des
ordures ménagères, et le potentiel fiscal correspondant à ces trois taxes majoré des produits de la taxe additionnelle
à la taxe foncière sur les propriétés non bâties. Les produits de cotisation foncière sur les entreprises, de cotisation
sur la valeur ajoutée des entreprises, des impositions forfaitaires sur les entreprises de réseaux, de la taxe sur les
surfaces commerciales, de la surtaxe eaux minérales, de la redevance des mines, de la taxe sur le produit des jeux, des
attributions de compensation, ainsi que de la dotation de compensation de réforme de la taxe professionnelle et de la
garantie individuelle de ressources, ne sont pas pris en compte dans l’effort fiscal.
L'article L. 2334‑5 du code général des collectivités territoriales prévoit un mécanisme d'écrêtement du produit fiscal
pris en compte pour le calcul de l'effort fiscal lorsque l'augmentation du taux moyen pondéré des trois taxes directes
locales de la commune est supérieure à celle constatée pour les communes de même importance démographique.
Le produit fiscal est alors calculé sur la base de cette augmentation moyenne. De manière symétrique est prévu un
mécanisme destiné à ne pas pénaliser les communes qui baisseraient leur taux d'une année sur l'autre. Le taux pris en
compte pour le calcul de la DGF est alors, non pas le dernier taux connu, mais celui de l'exercice précédent.
Pour les communes membres d'un groupement de communes à fiscalité propre, l'effort fiscal est calculé en ajoutant
au produit et au taux de chacune de leurs propres taxes communales ceux correspondant au groupement de communes.
1. Calcul de l'effort fiscal des communes
Produit de la taxe d'habitation, de la taxe foncière sur les propriétés bâties, de la taxe foncière sur les propriétés
non bâties, de la taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties de la taxe ou redevance pour
l'enlèvement des ordures ménagères majoré du produit des exonérations.
/
Potentiel fiscal (trois taxes) et produits de la taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties
=
Effort fiscal de la commune
2. Modalités de l'écrêtement
La loi a institué un mécanisme d'écrêtement du produit fiscal pris en compte pour le calcul de l'effort fiscal lorsque
l'augmentation du taux moyen pondéré de la commune est supérieure à celle constatée pour les communes de même
importance démographique.
STRATE DÉMOGRAPHIQUE
TAUX MOYEN PONDÉRÉ 2011
TAUX MOYEN PONDÉRÉ 2012
1
0 à 499 habitants
0,157806
0,209063
2
500 à 999 habitants
0,159303
0,208567
3
1 000 à 1 999 habitants
0,161455
0,211186
4
2 000 à 3 499 habitants
0,166985
0,216004
5
3 500 à 4 999 habitants
0,173149
0,223495
6
5 000 à 7 499 habitants
0,181854
0,230015
7
7 500 à 9 999 habitants
0,19014
0,239096
8
10 000 à 14 999 habitants
0,197564
0,246513
9
15 000 à 19 999 habitants
0,201316
0,246981
10
20 000 à 34 999 habitants
0,207138
0,252283
11
35 000 à 49 999 habitants
0,215827
0,26017
12
50 000 à 74 999 habitants
0,202987
0,2473
13
75 000 à 99 999 habitants
0,180101
0,219809
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 31
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
soit
soit
soit
soit
14
100 000 à 199 999 habitants
0,228664
0,277928
15
200 000 habitants et plus
0,149012
0,177054
t1 le taux moyen pondéré de la commune en 2010
t2 le taux moyen pondéré de la commune en 2011
T1 le taux moyen pondéré de l'ensemble des communes de la strate en 2010
T2 le taux moyen pondéré de l'ensemble des communes de la strate en 2011
Si t2 – t1 est inférieur à T2 – T1, on conserve le produit fiscal de la commune
Si t2 – t1 est supérieur à T2 – T1, le produit fiscal est écrêté dans les conditions suivantes :
1er cas
Si t2 > t1, T2 – T1 > 0 et (t2 – t1) > (T2 – T1), le produit fiscal est écrêté dans les conditions suivantes :
Base nette d’imposition à la taxe d’habitation de 2011
(a)
+
Base nette d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés bâties en 2011
(b)
+
Base nette d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés non bâties de 2011
(c)
=
Sous-total
{
(a) + (b) + (c)
t1 + (T2 – T1)
(d)
}
×
=
Produit fiscal écrêté
2e cas
Si t2 > t1, t2 > T2 et T2 – T1 <0, le produit fiscal est écrêté dans les conditions suivantes :
Base nette d’imposition à la taxe d’habitation de 2011
(a)
+
Base nette d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés bâties en 2011
(b)
+
Base nette d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés non bâties de 2011
(c)
=
Sous-total (a) + (b) + (c)
×
si t2 + T2 – T1 > T2 alors
(d) × t2 + (T2 – T1)
×
si t2 + T2 – T1 < T2 alors
(d) × T2×
=
}
(d)
(ou)
= Produit fiscal écrêté
Dans les deux cas, il convient d'ajouter au produit fiscal écrêté le produit de la taxe ou redevance pour l'enlèvement
des ordures ménagères ainsi que le produit des exonérations permanentes et temporaires retenues par l'article L. 2334‑6
du code général des collectivités territoriales.
L’effort fiscal de la commune a été recalculé avec le produit fiscal écrêté.
3. Diminution du taux moyen pondéré des trois taxes locales
Pour les communes dont le taux pondéré des trois taxes directes locales est en 2011 inférieur à celui de 2010, c’est
ce dernier taux qui a été pris en compte pour le calcul du produit fiscal.
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 32
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
ANNEXE 4
Potentiels
financiers, efforts fiscaux et
DNP
par strate 2012
Pour chaque strate démographique de communes, les valeurs moyennes de potentiel financier et d'effort fiscal
retenues pour déterminer l'éligibilité des communes sont les suivantes :
STRATE DÉMOGRAPHIQUE
POTENTIEL
financier
moyen 2011
POTENTIEL
financier
moyen 2012
% VAR
EFFORT
fiscal
moyen
2011
EFFORT
fiscal
moyen
2012
% VAR
DNP 2011
DNP 2012
% VAR
1
0 à 499 habitants
546,150172
572,185191
4,77 %
0,989136
0,943736
-4,59 %
51 747 004
53 570 053
3,52 %
2
500 à 999 habitants
610,635768
644,898553
5,61 %
1,026151
0,961578
-6,29 %
69 600 720
70 817 906
1,75 %
3
1 000 à 1 999 habitants
670,71666
701,199909
4,54 %
1,063502
0,988213
-7,08 %
85 675 323
86 423 657
0,87 %
4
2 000 à 3 499 habitants
779,504071
800,258037
2,66 %
1,100803
1,02176
-7,18 %
79 593 857
77 656 813
-2,43 %
5
3 500 à 4 999 habitants
853,815195
890,817735
4,33 %
1,138934
1,058888
-7,03 %
45 676 666
46 942 071
2,77 %
6
5 000 à 7 499 habitants
948,316628
999,613498
5,41 %
1,175324
1,079315
-8,17 %
58 527 077
56 736 506
-3,06 %
7
7 500 à 9 999 habitants
997,614474
1054,173939
5,67 %
1,208629
1,110225
-8,14 %
37 545 398
39 571 386
5,40 %
8
10 000 à 14 999 habitants
980,10789
1077,458305
9,93 %
1,264322
1,152881
-8,81 %
42 432 363
42 797 659
0,86 %
9
15 000 à 19 999 habitants
1049,982187
1176,419687
12,04 %
1,269663
1,13566
-10,55 %
27 643 770
27 849 173
0,74 %
10
20 000 à 34 999 habitants
1038,130738
1170,65055
12,77 %
1,282425
1,144094
-10,79 %
54 758 321
56 625 494
3,41 %
11
35 000 à 49 999 habitants
1147,171049
1292,768039
12,69 %
1,317649
1,176502
-10,71 %
39 417 078
41 464 815
5,20 %
12
50 000 à 74 999 habitants
1127,895338
1241,945161
10,11 %
1,26166
1,126737
-10,69 %
36 101 662
35 823 631
-0,77 %
13
75 000 à 99 999 habitants
1247,981068
1423,374905
14,05 %
1,121679
1,010024
-9,95 %
20 208 584
20 174 675
-0,17 %
14
100 000 à 199 999 habitants
1118,735028
1224,675958
9,47 %
1,414598
1,263025
-10,71 %
25 869 508
26 151 549
1,09 %
15
200 000 habitants et plus
1387,462357
1561,921458
12,57 %
0,9459
0,810924
-14,27 %
41 058 925
41 149 610
0,22 %
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 33
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
MINISTÈRE CHARGÉ
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
_____
Direction générale
des collectivités locales
_____
Sous-direction des finances locales
et de l’action économique
_____
Bureau des concours financiers
de l’État
_____
Circulaire du 4 mai 2012 relative au Fonds de solidarité des communes
de la région d’Île-de-France (FSRIF) au titre de 2012
NOR : COTB1220964C
Pièces jointes : 6 annexes dont la liste des communes contributrices et celle des communes éligibles au FSRIF en 2012.
Résumé : la présente circulaire a pour objet de vous présenter les modalités de financement, de répartition et de
versement du FSRIF au titre de l’exercice 2012.
Monsieur le ministre auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de
l’immigration, chargé des collectivités territoriales, à Monsieur le préfet de la région Île-de-France, préfet
de Paris ; Messieurs les préfets des départements de Seine-et-Marne, de l’Essonne, des Yvelines, des Hautsde-Seine, de la Seine-Saint-Denis, du Val-de-Marne et du Val-d’Oise.
Le Fonds de solidarité des communes de la région Île de France (FSRIF) a été créé en 1991 pour contribuer à
l’amélioration des conditions de vie dans les communes urbaines d’Île de France supportant des charges particulières
au regard des besoins sociaux de leur population sans disposer de ressources fiscales suffisantes (art. L. 2531‑12
CGCT). Ce dispositif de péréquation horizontale spécifique à la région Île de France permet une redistribution des
richesses entre les communes de la RIF.
Jusqu’à la loi de finances 2012, le FSRIF était alimenté par deux prélèvements sur les ressources fiscales des
communes et des EPCI : l’un en fonction de l’écart entre le potentiel financier par habitant de la commune et le
potentiel financier moyen des communes de la région ; l’autre en fonction des bases totales d’imposition à la taxe
professionnelle des communes et des EPCI à taxe professionnelle unique et à taxe professionnelle de zone.
La loi de finances pour 2012 adapte le dispositif du FSRIF aux conséquences de la réforme de la fiscalité locale et
supprime le deuxième prélèvement au fonds. De ce fait, les EPCI sont désormais exclus du fonds, d’autant qu’ils ont
désormais vocation à participer au nouveau fonds de péréquation des recettes fiscales communales et intercommunales
(FPIC).
De plus, la loi fixe désormais un objectif annuel de ressources au fonds : pour 2012, 210 millions € ; pour 2013,
230 millions € ; pour 2014, 250 millions € ; et pour 2015, 270 millions €.
Cet objectif permet de garantir la visibilité des ressources du fonds et témoigne de la volonté d’accroître la réduction
des inégalités entre les communes franciliennes.
I. – L’ALIMENTATION DU FSRIF
A. – Les
modalités de calcul du prélèvement initial prévu à l’article L. 2531‑13-I
du code général des collectivités territoriales
La loi de finances pour 2012 adapte le dispositif du FSRIF aux conséquences de la réforme de la fiscalité locale et
supprime le deuxième prélèvement au fonds. Il ne reste qu’un seul prélèvement sur les ressources des communes de
la région. Sont contributrices au fonds toutes les communes dont le potentiel financier par habitant est supérieur au
potentiel financier moyen par habitant des communes de la région. Le prélèvement est calculé pour atteindre chaque
année le montant fixé par la loi. Un système de plafonnements est mis en place afin d’assurer une certaine stabilité
d’une année sur l’autre dans le montant des prélèvements des communes.
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 34
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
1. La détermination des communes contributrices
Sont contributrices au fonds toutes les communes dont le potentiel financier par habitant est supérieur au potentiel
financier moyen par habitant des communes de la région :
pfi ≥ PFi
Avec :
– pfi : potentiel financier par habitant de la commune en 2012 ;
– PFi : potentiel financier moyen par habitant des communes RIF en 2012.
En vertu de ces dispositions, 137 communes sont concernées par le prélèvement en 2012.
2. La détermination de la contribution des communes
L’assiette du prélèvement
L’assiette du prélèvement est constituée par le produit de l’écart relatif de son potentiel financier par habitant au
potentiel financier moyen par habitant des communes de la région Île-de-France, élevé au carré, par la population
DGF 2012 (1) de la commune. Cet écart est élevé au carré afin d’accentuer la progressivité des prélèvements.
Le potentiel financier moyen par habitant de la région Île-de-France s’élève à 1477,66 € en 2012 contre 1333,77 €
en 2011.
Le montant du prélèvement
La contribution pour le FSRIF est donc calculée selon la formule suivante :
(
)
contribution brute = (pfi – PFI) ² * pop DGF 2012 * valeur de point
PFI
La valeur de point correspond au rapport entre la masse à prélever et la somme du nombre de points de chaque
commune. Elle s’élève à 429,9181 en 2012 (2).
Le nombre de points de chaque commune est défini en fonction de son écart relatif au carré et de sa population.
3. Les modalités de prélèvement de la contribution des communes
En tant qu’ordonnateur des recettes du fonds, il appartient au préfet de la région d’Île-de-France de notifier le
montant du prélèvement à chacune des communes contributrices et donc de prendre un arrêté en débit visant le
compte no 4612000000 (programme 833) « Avances sur le montant des impositions revenant aux communes – année
courante ».
L’inscription du prélèvement effectué au titre du fonds de solidarité des communes de la région Île-de-France
est à effectuer dans le budget des communes au compte suivant 739.114 « Fonds de solidarité Île-de-France », au
chapitre 73 « Impôts et taxes ».
Le prélèvement fait l’objet d’une retenue à la source sur les recettes fiscales de ces communes : il est imputé sur les
attributions versées mensuellement aux communes contributrices en application de l’article L. 2332‑2 du code général
des collectivités territoriales.
4. Les mécanismes de plafonnement et d’abattement applicables à cette contribution
Le prélèvement ne peut excéder 10 % du montant des dépenses réelles de fonctionnement de la commune
constaté dans le compte administratif afférent au pénultième exercice (2010 pour le FSRIF 2012). En 2012, 21 des
137 communes contributrices voient ainsi leur contribution plafonnée à hauteur de 10 % des dépenses réelles de
fonctionnement afférentes à l’exercice 2010.
De plus, le prélèvement ne peut excéder, en 2012, 120 % de la contribution de la commune au FSRIF en 2009. Si
la contribution excède ce montant, alors celle-ci fait l’objet d’un écrêtement la ramenant à 120 % de sa contribution
de 2009. En 2012, 34 des 137 communes contributrices sont concernées.
Par ailleurs, les 69 communes nouvellement contributrices au fond en 2012 bénéficient d’un abattement de 50 %
de leur contribution.
Enfin, le mécanisme francilien est articulé avec le nouveau mécanisme de solidarité nationale (FPIC). D’une part,
la somme des prélèvements FSRIF de l’année précédente et FPIC de l’année ne peut excéder 10 % des ressources
(1) La population « DGF » correspond à la population légale identifié par l’INSEE majorée d’un habitant par résidence secondaire et d’un habitant par
place de caravane située sur une aire d’accueil conventionnée.
(2) Cette valeur ne peut être comparée à celle de 2011 suite à la réforme du fonds et à la suppression du deuxième prélèvement.
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 35
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
fiscales (3). En 2012, 6 communes sont concernées par ce mécanisme. Il convient cependant de noter que ce mécanisme
vient minorer la contribution des communes concernées au titre du FPIC et non celle au titre du FSRIF, afin de
préserver l’alimentation du mécanisme de solidarité francilien.
D’autre part, le prélèvement dû au titre du FPIC par une commune membre d’un EPCI qui serait par ailleurs
contributrice l’année précédente au FSRIF est minoré du montant de la contribution au titre du FSRIF. Les sommes
ainsi minorées sont acquittées par le groupement en lieu et place de ses communes. 56 communes sont concernées par
ce mécanisme de minoration. Pour 55 d’entre elles, l’application de ce mécanisme conduit à une annulation de leur
contribution et à un report total de cette contribution au niveau de l’EPCI.
B. – Montant
total du prélèvement et montant mis en répartition
La contribution totale des communes au titre du prélèvement FSRIF s’élève en 2012 à 210 000 000 € auxquels il
convient d’ajouter le solde de gestion des exercices antérieurs qui atteint 699 998 € à la fin 2011. Le montant total du
Fonds de solidarité des communes de la région d’Île-de-France à répartir est donc de 210 699 998 € en 2012.
II. – RÉPARTITION DU FSRIF
A. – La
détermination des communes éligibles
Sont éligibles au reversement les communes de la région Île-de-France dont la population DGF au 1er janvier 2012
est supérieure à 5 000 habitants et dont la valeur de l’indice synthétique (IS) est supérieure à l’IS médian de l’ensemble
des communes d’Île-de-France.
La définition de l’indice synthétique s’appuie sur trois critères mis en œuvre sous forme de ratios pondérés :
– le rapport entre le potentiel financier moyen par habitant régional et celui de la commune, pour 50 % de l’indice ;
– le rapport entre la proportion de logements sociaux dans le total des logements de la commune et la proportion
moyenne régionale, pour 25 % ;
– le rapport entre le revenu moyen par habitant régional et le revenu par habitant de la commune, pour 25 %.
Afin de concentrer le bénéfice des attributions au titre du fonds sur les communes les plus en difficulté, un coefficient
multiplicateur (allant de 0,5 à 4) est appliqué à l’indice synthétique ainsi obtenu.
B. – Le calcul
de l’attribution
1. La masse à répartir entre les communes éligibles
La masse à répartir entre les communes éligibles est égale au montant de la masse à répartir (soit 210 699 997,66 €),
diminuée des montants prélevés d’une part au titre de la réserve prudentielle destinée à couvrir les éventuelles
rectifications de cours d’exercice (699 997,66 €) et d’autre part au titre de la garantie de sortie des communes devenant
inéligibles en 2012 et de la garantie de baisse limitée des communes éligibles en 2011 et en 2012 qui ne peuvent
percevoir en 2012 une attribution inférieure à 75 % de celle perçue en 2011.
152 communes sont éligibles en 2012 (147 en 2011), dont 21 sont nouvellement éligibles.
2. Les conditions de répartition
L’attribution des communes éligibles au fonds de solidarité est égale au produit de leur population DGF 2012 par
la valeur de leur indice synthétique, de la valeur de point et du coefficient relatif au classement de la commune.
Dotation = pop DGF × Indice × coefficient IS × VP
3. Les garanties
Afin de garantir aux communes éligibles avant la réforme du FSRIF une attribution stable, deux mécanismes sont
mis en place.
Une commune qui était bénéficiaire du FSRIF en 2011 et le demeure en 2012 ne peut voir son attribution diminuer
de plus de 25 %. Ce mécanisme concerne 35 communes en 2012.
(3) Ce seuil est mesuré au niveau de l’ensemble intercommunal ou de la commune isolée mais ne s’applique pas individuellement aux communes
membres d’un EPCI.
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 36
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
La garantie de sortie en vigueur dans l’ancien système est maintenue : toute commune qui deviendrait inéligible
en 2012 percevra 50 % de son attribution 2011. En 2012, 14 communes sont sortantes et se voient attribuer 50 % de
la dotation de l’année précédente.
C. – Le calcul
du solde
Contrairement au système antérieur (avant 2012), une commune peut être à la fois contributrice et bénéficiaire.
À ce titre, 12 communes en 2012 sont à la fois contributrices et bénéficiaires. Le prélèvement ne peut toutefois être
supérieur au reversement. Dans ce cas, le solde est nul.
D. – Les
modalités de notification et de versement
Il appartient au préfet de la région d’Île-de-France de procéder à la répartition du FSRIF en prenant des arrêtés
de versement visant le compte no 465‑1200000 (interfacé) « Fonds de solidarité des communes de la région Île-deFrance » ouvert en 2012 dans les écritures de la direction départementale des finances publiques.
J’attire également votre attention sur les conséquences de la circulaire interministérielle du 21 novembre 2006
relative aux versements des dotations de l’État, qui prévoit que les collectivités doivent désormais être informées de
la date à laquelle s’effectuera le versement de la dotation sur leur compte à la direction départementale des finances
publiques, dans la lettre leur notifiant leur attribution. Le FSRIF est en effet concerné par les dispositions relatives
aux dotations non mensualisées, pour lesquelles il vous appartient de fixer la date de versement, en accord avec les
services de la DDFiP.
Je vous signale, en outre, qu’en vertu des dispositions de l’article R. 421‑5 du code de la justice administrative,
les voies et délais de recours doivent être expressément indiqués lors de la notification de chaque dotation aux
collectivités bénéficiaires. Cette mention est donc inscrite sur chaque fiche individuelle de notification annexée à la
présente circulaire.
Je vous invite néanmoins, afin de prévenir tout contentieux, à indiquer à chaque collectivité bénéficiaire que,
durant le délai de deux mois mentionné sur la fiche de notification, un recours gracieux peut être exercé auprès de
vos services.
Ce recours gracieux interrompt le délai du recours contentieux qui ne courra à nouveau qu’à compter de la
réception de votre réponse. Je vous rappelle, à cet égard, qu’en application de l’article R. 421‑2 du code précité « le
silence gardé pendant plus de deux mois sur une réclamation par l’autorité compétente vaut décision de rejet ».
Toute difficulté dans l’application de la présente circulaire devra être signalée à : direction générale des collectivités
locales, sous-direction des finances locales et de l’action économique, bureau des concours financiers de l’État,
Mlle Caroline SAUVAGE (tél. : 01-49-27-34-92, caroline.sauvage@interieur.gouv.fr).
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général des collectivités locales,
Éric Jalon
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 37
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ANNEXE 1
Calcul
du potentiel fiscal et du potentiel financier
2012
La loi de finances pour 2010 prévoit dans son dispositif la suppression de la taxe professionnelle. Cette suppression
n’est pas sans conséquences pour les dotations de l’État versées aux collectivités territoriales, dans la mesure où
la taxe professionnelle était prise en compte dans le calcul du potentiel fiscal des collectivités afin de déterminer
l’éligibilité à une dotation et le montant versé.
La loi de finances pour 2012 intègre la suppression de la taxe professionnelle et son remplacement par un nouveau
panier de ressources fiscales dans le calcul du potentiel financier des communes. Ainsi, pour 2012, les modalités
de calcul des potentiels fiscal et financier sont sensiblement différentes de celles appliquées les années antérieures.
Néanmoins, la logique du calcul des potentiels fiscal et financier reste la même, à savoir prendre en compte, pour une
commune donnée, l’ensemble de la richesse perçue sur son territoire, en particulier celle tirée de son appartenance à
un EPCI.
Le nouvel article L. 2334-4 du CGCT prévoit que le potentiel fiscal d’une commune est déterminé par application
aux bases communales des quatre taxes directes locales du taux moyen national d’imposition de chacune de ces
taxes. Pour la taxe foncière sur les propriétés bâties (TFB), la taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFNB),
la taxe d’habitation (TH) et la cotisation foncière des entreprises (CFE), les bases retenues sont les bases brutes de
la dernière année dont les résultats sont connus servant à l’assiette des impositions communales. Les taux moyens
nationaux sont ceux constatés lors de la dernière année dont les résultats sont connus.
Le potentiel fiscal est également majoré des produits de cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE), des
impositions forfaitaires sur les entreprises de réseaux (IFER), de la taxe sur les surfaces commerciales (TASCOM),
des produits de la taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties (TAFNB), des montants perçus
au titre de la redevance des mines, des montants perçus des prélèvements communaux opérés sur les produits des
jeux des casinos, des montants perçus au titre de la surtaxe eaux minérales, de la dotation de compensation de la
réforme de la taxe professionnelle (DCRTP), du reversement dont bénéficie la commune au titre du Fonds national
de garantie individuelle de ressources (FNGIR), ou du prélèvement subi par la commune au titre du même fonds.
Dans le dernier cas, le montant vient minorer le potentiel fiscal de la commune.
Il est également minoré ou majoré des transferts de taxe professionnelle, pris en application des dispositions de la
loi no 80-10 du janvier 1980, utilisés dans la répartition de 2011.
Le périmètre intercommunal et le régime fiscal de l’EPCI pris en compte pour le calcul du potentiel fiscal sont ceux
connus au 1er janvier 2011.
Pour toutes les communes membres d’un EPCI à fiscalité propre, le potentiel fiscal est majoré de la dotation de
compensation de réforme de la taxe professionnelle perçu par l’EPCI, du reversement dont bénéficie l’EPCI au titre
du Fonds national de garantie individuelle de ressources ou du prélèvement subi par l’EPCI au titre du même fonds.
Dans le dernier cas, le montant vient minorer le produit des compensations perçues par l’EPCI. La somme de ces
montants est ventilée à la commune en fonction de la part de sa population DGF 2012 dans la population DGF
2012 de l’EPCI.
Pour les communes membres d’un EPCI à fiscalité additionnelle, les produits perçus par le groupement ne sont pas
ventilés. Les produits intercommunaux correspondent aux produits perçus par l’EPCI sur le territoire de la commune
et sont directement imputés dans le potentiel fiscal de la commune. Pour les communes membres d’un groupement
faisant application de l’article 1609 quinquies C du CGI, ce mode de calcul s’applique uniquement aux produits
perçus par l’EPCI en dehors de la zone d’activité économique et/ou de la zone éolienne.
Pour les communes appartenant à un groupement faisant application de l’article 1609 nonies C ou de l’article 1609
quinquies C du CGI, le potentiel fiscal est majoré de l’attribution de compensation perçue par la commune. Si cette
attribution est négative, celle-ci vient alors minorer le potentiel fiscal de la commune.
Pour ces mêmes communes, le potentiel fiscal est majoré des produits perçus par l’EPCI, ventilés en fonction de
la part de sa population DGF 2012 dans la population DGF 2012 de l’EPCI. Pour les communes membres d’un
groupement faisant application de l’article 1609 quinquies C du CGI, ces produits correspondent uniquement aux
produits perçus par l’EPCI sur la zone d’activité économique et/ou la zone éolienne. Pour les communes appartenant
à un groupement faisant application de l’article 1609 nonies C du CGI, ces produits comprennent, en plus des
produits mentionnés aux troisième et quatrième paragraphes, les bases brutes de taxe d’habitation sur le territoire de
l’EPCI valorisées du taux moyen national à la taxe d’habitation spécifique pour les EPCI à fiscalité professionnelle
unique. Concernant la taxe d’habitation, les communes appartenant à un groupement faisant application de l’article
1609 nonies C du CGI se voient appliquer un taux moyen national spécifique afin de tenir compte de la redescente de
la part départementale de taxe d’habitation à l’EPCI.
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Le potentiel fiscal est majoré de la part de la dotation forfaitaire de la commune correspondant à la compensation
prévue au I du D de l’article 44 de la loi de finances pour 1999 (no 98-1266 du 30 décembre 1998).
Le potentiel financier de la commune correspond à son potentiel fiscal majoré de la dotation forfaitaire (hors
compensation « part salaires » et compensation des baisses de DCTP) perçue l’année précédente, et minoré des
éventuels prélèvements fiscaux subis par la commune à la suite de la suppression des CCAS et de la perception par
les communes/groupements de la TASCOM.
1 – Calcul du potentiel fiscal et financier des communes
Bases brutes d’imposition 2011
Taxe d’habitation
Taux moyen national 2011
×
0,237619 ou 0,160539 (FPU)
=
(a)
+
Taxe foncière sur les propriétés bâties
×
0,19887
=
(b)
+
Taxe foncière sur les propriétés non bâties
×
0,485089
=
(c)
+
Cotisation foncière des entreprises (1)
×
0,254204
=
(d)
+
Montant de cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE)
(e)
+
Montant des impositions forfaitaires sur les entreprises de réseaux (IFER)
(f)
+
Montant de taxe sur les surfaces commerciales (TASCOM)
(g)
+
Montant de la taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties (TAFNB)
(h)
+
Montant de redevance des mines/prélèvements sur les jeux/surtaxe eaux minérales
(i)
+
Transferts de TP 2009 loi de 1980 potentialisés
(j)
+
Montant de dotation de compensation de réforme de la taxe professionnelle (DCRTP)
(k)
+
Montant perçu ou prélevé au titre du FNGIR
(l)
+/-
Montant de DCRTP + GIR du groupement ventilé
(m)
+/-
Attribution de compensation
(n)
+
Produits du groupement sur le territoire de la commune (FA ; FPZ)
(o)
+
Produits du groupement ventilés (FPU ; FPZ)
(p)
+
Part de la dotation forfaitaire correspondant à la compensation prévue au I du D
de l’article 44 de la loi de finances pour 1999 (no 98-1266 du 30 décembre 1998)
(q)
=
Potentiel fiscal = Total des lignes (a) + (b) + (c) + (d) + (e) + (f) + (g) + (h) + (i) +
(j) + (k) + (l) + (m) + (n) + (o) + (p) + (q)
(r)
(1) Pour les communes membres d’un groupement à fiscalité professionnelle unique, ne pas prendre en compte le (d) qui est entièrement inclus
dans les produits du groupement ventilés.
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 39
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
+
Dotation forfaitaire 2011 hors part représentant l’ancienne « part salaires »
(s)
-
Prélèvements sur la fiscalité
(t)
=
Potentiel financier = (r) + (s) – (t)
(u)
2 – Calcul du potentiel financier par habitant des communes
Potentiel financier
/
Population DGF 2012 de la commune
=
Potentiel financier par habitant de la commune
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 40
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ANNEXE 2
Calcul
de l’effort fiscal
L’effort fiscal d’une commune est égal au rapport entre le produit de la taxe d’habitation, des deux taxes foncières,
de la taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties, de la taxe ou redevance pour l’enlèvement des
ordures ménagères, et le potentiel fiscal correspondant à ces trois taxes majoré des produits de la taxe additionnelle
à la taxe foncière sur les propriétés non bâties. Les produits de cotisation foncière sur les entreprises, de cotisation
sur la valeur ajoutée des entreprises, des impositions forfaitaires sur les entreprises de réseaux, de la taxe sur les
surfaces commerciales, de la surtaxe eaux minérales, de la redevance des mines, de la taxe sur le produit des jeux, des
attributions de compensation, ainsi que de la dotation de compensation de réforme de la taxe professionnelle et de la
garantie individuelle de ressources, ne sont pas pris en compte dans l’effort fiscal.
L’article L. 2334-5 du code général des collectivités territoriales prévoit un mécanisme d’écrêtement du produit fiscal
pris en compte pour le calcul de l’effort fiscal lorsque l’augmentation du taux moyen pondéré des trois taxes directes
locales de la commune est supérieure à celle constatée pour les communes de même importance démographique.
Le produit fiscal est alors calculé sur la base de cette augmentation moyenne. De manière symétrique est prévu un
mécanisme destiné à ne pas pénaliser les communes qui baisseraient leur taux d’une année sur l’autre. Le taux pris en
compte pour le calcul de la DGF est alors, non pas le dernier taux connu, mais celui de l’exercice précédent.
Pour les communes membres d’un groupement de communes à fiscalité propre, l’effort fiscal est calculé en ajoutant
au produit et au taux de chacune de leurs propres taxes communales ceux correspondant au groupement de communes.
1 – Calcul de l’effort fiscal des communes
Produit de la taxe d’habitation, de la taxe foncière sur les propriétés bâties, de la taxe foncière sur les propriétés
non bâties, de la taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties de la taxe ou redevance pour
l’enlèvement des ordures ménagères majoré du produit des exonérations.
/
Potentiel fiscal (trois taxes) et produits de la taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties
=
Effort fiscal de la commune
2 – Modalités de l’écrêtement
La loi a institué un mécanisme d’écrêtement du produit fiscal pris en compte pour le calcul de l’effort fiscal lorsque
l’augmentation du taux moyen pondéré de la commune est supérieure à celle constatée pour les communes de même
importance démographique.
STRATE DÉMOGRAPHIQUE
TAUX MOYEN PONDÉRÉ 2011
TAUX MOYEN PONDÉRÉ 2012
1
0 à 499 habitants
0,157806
0,209063
2
500 à 999 habitants
0,159303
0,208567
3
1 000 à 1 999 habitants
0,161455
0,211186
4
2 000 à 3 499 habitants
0,166985
0,216004
5
3 500 à 4 999 habitants
0,173149
0,223495
6
5 000 à 7 499 habitants
0,181854
0,230015
7
7 500 à 9 999 habitants
0,19014
0,239096
8
10 000 à 14 999 habitants
0,197564
0,246513
9
15 000 à 19 999 habitants
0,201316
0,246981
10
20 000 à 34 999 habitants
0,207138
0,252283
11
35 000 à 49 999 habitants
0,215827
0,26017
12
50 000 à 74 999 habitants
0,202987
0,2473
13
75 000 à 99 999 habitants
0,180101
0,219809
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 41
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
TAUX MOYEN PONDÉRÉ 2011
TAUX MOYEN PONDÉRÉ 2012
14
STRATE DÉMOGRAPHIQUE
100 000 à 199 999 habitants
0,228664
0,277928
15
200 000 habitants et plus
0,149012
0,177054
soit t1 le taux moyen pondéré de la commune en 2010 ;
soit t2 le taux moyen pondéré de la commune en 2011 ;
soit T1 le taux moyen pondéré de l’ensemble des communes de la strate en 2010 ;
soit T2 le taux moyen pondéré de l’ensemble des communes de la strate en 2011 ;
Si t2 – t1 est inférieur à T2 – T1, on conserve le produit fiscal de la commune ;
Si t2 – t1 est supérieur à T2 – T1, le produit fiscal est écrêté dans les conditions suivantes :
1er cas
Si t2 > t1, T2 – T1 > 0 et (t2 – t1) > (T2 – T1), le produit fiscal est écrêté dans les conditions suivantes :
Base nette d’imposition à la taxe d’habitation de 2011
(a)
+
Base nette d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés bâties en 2011
(b)
+
Base nette d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés non bâties de 2011
(c)
=
Sous-total (a) + (b) + (c)
{
t1 + (T2 – T1)
(d)
}
×
=
Produit fiscal écrêté
2e cas
Si t2 > t1, t2 > T2 et T2 – T1 <0, le produit fiscal est écrêté dans les conditions suivantes :
Base nette d’imposition à la taxe d’habitation de 2011
(a)
+
Base nette d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés bâties en 2011
(b)
+
Base nette d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés non bâties de 2011
(c)
=
Sous-total (a) + (b) + (c)
×
si t2 + T2 – T1 > T2 alors
(d) × t2 + (T2 – T1)
×
si t2 + T2 – T1 < T2 alors
(d) × T2 ×
}
(d)
ou
=
= Produit fiscal écrêté
Dans les deux cas, il convient d’ajouter au produit fiscal écrêté le produit de la taxe ou redevance pour l’enlèvement
des ordures ménagères ainsi que le produit des exonérations permanentes et temporaires retenues par l’article
L. 2334-6 du code général des collectivités territoriales.
L’effort fiscal de la commune a été recalculé avec le produit fiscal écrêté.
3 – Diminution du taux moyen pondéré des trois taxes locales
Pour les communes dont le taux pondéré des trois taxes directes locales est en 2011 inférieur à celui de 2010, c’est
ce dernier taux qui a été pris en compte pour le calcul du produit fiscal.
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 42
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
ANNEXE 3
Calcul
des attributions du fonds de solidarité entre les communes
de la région d’Île-de-France
otentiel financier par habitant de l'ensemble des communes
P
de la région d'Ile-de-France (en €) 1 477,660 458
÷ potentiel financier par habitant de la commune (en €) ÷
.................................
= sous-total .................................
× pondération dans l’indice ×   0,50
= part, dans l’indice, du potentiel financier ............................ (a)
Nombre de logements sociaux de la commune .................................
÷ nombre de logements de la commune ÷
.................................
= part relative des logements sociaux de la commune .................................
÷ part des logements sociaux dans les communes de plus de 5 000 habitants
de la région d’Île-de-France
÷   0,253 436
× pondération retenue pour les logements sociaux ×   0,25
= part, dans l’indice, des logements sociaux ............................ (b)
Revenu moyen par habitant constaté dans l'ensemble des communes
de la région d’Île-de-France (en €)
÷ revenu moyen par habitant de la commune (en €) × pondération dans l’indice = part, dans l’indice, du revenu 16 706,170 67
÷
.............................
×   0,25
............................ (c)
Valeur de l’indice I = (a) + (b) + (c) ............................
Les communes éligibles sont celles dont la valeur d’indice est supérieure ou égale à l'indice médian soit 1,198 836.
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ANNEXE 4
Liste
des communes contributrices au
FSRIF
en
2012
Nouveau : à compter de 2012, une commune peut être à la fois bénéficiaire et contributrice au FSRIF.
CODE INSEE
NOM COMMUNE
CONTRIBUTION FSRIF 2012 (EN EUROS)
75056
PARIS
121 174 618
77016
BAGNEAUX-SUR-LOING
    54 319
77018
BAILLY-ROMAINVILLIERS
    20 742
77111
CHESSY
   327 632
77121
COLLEGIEN
     8 379
77123
COMPANS
   270 698
77129
COULOMBS-EN-VALOIS
     4 495
77132
COUPVRAY
   227 520
77146
CROISSY-BEAUBOURG
    132 911
77181
FERRIERES
       580
77196
FRESNES-SUR-MARNE
        23
77204
GERMIGNY-SOUS-COULOMBS
       509
77211
GRANDPUITS-BAILLY-CARROIS
     76 636
77241
JUILLY
     29 206
77268
MAGNY-LE-HONGRE
    116 146
77282
MAUREGARD
     45 601
77291
MESNIL-AMELOT
    236 933
77294
MITRY-MORY
    377 849
77305
MONTEREAU-FAULT-YONNE
     30 402
77306
MONTEREAU-SUR-LE-JARD
     42 886
77323
MOUSSY-LE-VIEUX
    133 527
77332
NANTOUILLET
     3 259
77349
OTHIS
    162 107
77368
POIGNY
      3 282
77369
POINCY
      1 538
77392
ROUVRES
      6 535
77448
SEPT-SORTS
     13 979
77449
SERRIS
    222 229
77482
VARENNES-SUR-SEINE
     15 239
77518
VILLIERS-EN-BIERE
     50 970
77525
VINANTES
      2 636
78029
AUBERGENVILLE
   100 870
78043
BAILLY
       501
78117
BUC
   651 934
78118
BUCHELAY
   131 693
78133
CHAMBOURCY
    76 121
78143
CHATEAUFORT
      960
78164
CLAIREFONTAINE-EN-YVELINES
     1 345
78168
COIGNIERES
   833 288
78208
ELANCOURT
   516 017
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CODE INSEE
NOM COMMUNE
CONTRIBUTION FSRIF 2012 (EN EUROS)
78238
FLINS-SUR-SEINE
   122 479
78291
GUERVILLE
     34 488
78297
GUYANCOURT
   1 345 196
78320
JEUFOSSE
       478
78343
LOGES-EN-JOSAS
      5 723
78350
LOUVECIENNES
     66 935
78356
MAGNY-LES-HAMEAUX
    230 809
78423
MONTIGNY-LE-BRETONNEUX
   1 334 003
78466
ORGEVAL
      8 197
78498
POISSY
    396 757
78501
PORCHEVILLE
    262 996
78524
ROCQUENCOURT
     17 508
78558
SAINT-ILLIERS-LA-VILLE
       411
78561
SAINT-LAMBERT
     24 572
78615
THIVERVAL-GRIGNON
      2 181
78620
TOUSSUS-LE-NOBLE
     23 771
78621
TRAPPES
    502 495
78640
VELIZY-VILLACOUBLAY
   4 390 415
78644
VERRIERE
     93 494
78650
VESINET
     29 131
78683
VILLIERS-SAINT-FREDERIC
        660
78688
VOISINS-LE-BRETONNEUX
     262 391
91041
AVRAINVILLE
      8 206
91064
BIEVRES
    200 434
91136
CHAMPLAN
    254 245
91161
CHILLY-MAZARIN
      2 145
91174
CORBEIL-ESSONNES
    431 856
91179
COUDRAY-MONTCEAUX
    208 228
91340
LISSES
    174 342
91377
MASSY
    720 977
91432
MORANGIS
      6 402
91435
MORSANG-SUR-SEINE
     23 603
91458
NOZAY
     34 303
91479
PARAY-VIEILLE-POSTE
    708 572
91534
SACLAY
     99 417
91538
SAINT-AUBIN
    101 641
91560
SAINT-JEAN-DE-BEAUREGARD
       185
91659
VILLABE
    41 617
91661
VILLEBON-SUR-YVETTE
   1 068 444
91666
VILLEJUST
    170 863
91679
VILLIERS-LE-BACLE
        65
91689
WISSOUS
    515 315
91692
ULIS
     30 338
92012
BOULOGNE-BILLANCOURT
   8 821 908
92022
CHAVILLE
      5 612
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 45
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
CODE INSEE
NOM COMMUNE
CONTRIBUTION FSRIF 2012 (EN EUROS)
92024
CLICHY
    227 670
92026
COURBEVOIE
  12 860 148
92035
GARENNE-COLOMBES
      2 591
92036
GENNEVILLIERS
   1 309 708
92040
ISSY-LES-MOULINEAUX
   4 590 527
92044
LEVALLOIS-PERRET
   6 456 113
92047
MARNES-LA-COQUETTE
     51 765
92048
MEUDON
    466 657
92050
NANTERRE
    759 959
92051
NEUILLY-SUR-SEINE
   4 596 052
92060
PLESSIS-ROBINSON
     93 336
92062
PUTEAUX
   12 237 137
92063
RUEIL-MALMAISON
   2 820 135
92064
SAINT-CLOUD
    658 479
92072
SÈVRES
    105 204
92073
SURESNES
    705 428
92075
VANVES
     27 715
92076
VAUCRESSON
      9 937
92077
VILLE-D’AVRAY
     92 693
93005
AULNAY-SOUS-BOIS
     73 345
93051
NOISY-LE-GRAND
     14 729
93055
PANTIN
    649 134
93066
SAINT-DENIS
     15 825
93070
SAINT-OUEN
   1 909 462
93073
TREMBLAY-EN-FRANCE
   3 273 893
93074
VAUJOURS
    172 568
94003
ARCUEIL
     97 685
94011
BONNEUIL-SUR-MARNE
    141 509
94015
BRY-SUR-MARNE
        253
94018
CHARENTON-LE-PONT
    125 593
94021
CHEVILLY-LARUE
    422 033
94033
FONTENAY-SOUS-BOIS
      1 798
94037
GENTILLY
      7 867
94041
IVRY-SUR-SEINE
    434 367
94054
ORLY
    441 335
94065
RUNGIS
   2 116 639
94081
VITRY-SUR-SEINE
      1 561
95051
BEAUCHAMP
     19 085
95088
BONNEUIL-EN-FRANCE
     76 934
95154
CHENNEVIERES-LES-LOUVRES
     16 704
95210
ENGHIEN-LES-BAINS
   1 897 757
95212
EPIAIS-LES-LOUVRES
     13 620
95271
GENICOURT
        281
95371
MARLY-LA-VILLE
    210 496
95492
PLESSIS-GASSOT
      6 863
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 46
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
CODE INSEE
NOM COMMUNE
CONTRIBUTION FSRIF 2012 (EN EUROS)
95510
PUISEUX-PONTOISE
        54
95527
ROISSY-EN-FRANCE
    757 709
95580
SAINT-WITZ
     93 593
95604
SURVILLIERS
      4 164
95612
THILLAY
     30 188
95633
VAUDHERLAND
      7 758
95675
VILLERON
      4 022
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 47
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
ANNEXE 5
Liste
des communes bénéficiaires du
FSRIF
en
2012
Nouveau : à compter de 2012, une commune peut être à la fois bénéficiaire et contributrice au FSRIF.
CODE INSEE
NOM COMMUNE
ATTRIBUTION FSRIF 2012 (EN EUROS)
77014
AVON
    429 580
77079
CHAMPAGNE-SUR-SEINE
    558 870
77083
CHAMPS-SUR-MARNE
    814 463
77108
CHELLES
   1 765 758
77131
COULOMMIERS
    723 293
77152
DAMMARIE-LES-LYS
   1 080 353
77153
DAMMARTIN-EN-GOELE
    266 429
77171
ESBLY
    411 496
77183
FERTE-SOUS-JOUARRE
    687 014
77192
FONTENAY-TRESIGNY
    113 744
77215
GRETZ-ARMAINVILLIERS
    150 749
77249
LESIGNY
    248 192
77258
LOGNES
    521 381
77284
MEAUX
   3 238 289
77285
MEE-SUR-SEINE
   1 865 570
77288
MELUN
   2 508 669
77296
MOISSY-CRAMAYEL
    771 033
77305
MONTEREAU-FAULT-YONNE
    825 084
77326
NANDY
    290 166
77327
NANGIS
    381 504
77330
NANTEUIL-LES-MEAUX
    137 632
77333
NEMOURS
    874 871
77337
NOISIEL
    652 966
77350
OZOIR-LA-FERRIERE
    650 480
77373
PONTAULT-COMBAULT
   1 110 847
77379
PROVINS
    853 592
77382
QUINCY-VOISINS
    334 185
77390
ROISSY-EN-BRIE
   1 207 438
77430
SAINT-PATHUS
    446 826
77445
SAVIGNY-LE-TEMPLE
   1 604 500
77458
SOUPPES-SUR-LOING
    307 899
77464
THORIGNY-SUR-MARNE
    214 188
77468
TORCY
    798 016
77470
TOURNAN-EN-BRIE
    107 084
77514
VILLEPARISIS
   1 126 740
78005
ACHERES
   1 190 190
78123
CARRIERES-SOUS-POISSY
    416 111
78138
CHANTELOUP-LES-VIGNES
    792 096
78335
LIMAY
    458 826
78361
MANTES-LA-JOLIE
   2 390 232
78362
MANTES-LA-VILLE
    566 992
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 48
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
CODE INSEE
NOM COMMUNE
ATTRIBUTION FSRIF 2012 (EN EUROS)
78401
MEULAN-EN-YVELINES
    402 419
78440
MUREAUX
   1 823 898
78545
SAINT-CYR-L’ECOLE
    780 102
78586
SARTROUVILLE
   1 377 011
78621
TRAPPES
   1 688 981
78642
VERNEUIL-SUR-SEINE
    444 618
78643
VERNOUILLET
    237 954
78644
VERRIERE
    319 577
91027
ATHIS-MONS
   1 189 815
91045
BALLANCOURT-SUR-ESSONNE
    127 096
91105
BREUILLET
    197 674
91114
BRUNOY
    749 272
91182
COURCOURONNES
    430 861
91200
DOURDAN
    138 050
91201
DRAVEIL
   1 319 385
91207
EGLY
    227 079
91215
EPINAY-SOUS-SENART
   1 131 505
91223
ETAMPES
    779 906
91228
EVRY
   1 938 023
91235
FLEURY-MEROGIS
   1 010 290
91286
GRIGNY
   2 307 712
91434
MORSANG-SUR-ORGE
    644 237
91514
QUINCY-SOUS-SENART
    100 660
91552
SAINT-GERMAIN-LES-ARPAJON
    260 244
91570
SAINT-MICHEL-SUR-ORGE
    961 146
91589
SAVIGNY-SUR-ORGE
    958 632
91657
VIGNEUX-SUR-SEINE
   2 239 807
91687
VIRY-CHATILLON
    963 197
91692
ULIS
    949 145
92007
BAGNEUX
   2 705 951
92019
CHATENAY-MALABRY
   1 379 007
92025
COLOMBES
   2 252 017
92032
FONTENAY-AUX-ROSES
    492 762
92036
GENNEVILLIERS
   1 309 708
92046
MALAKOFF
   1 007 397
92050
NANTERRE
    759 959
92078
VILLENEUVE-LA-GARENNE
   2 165 915
93001
AUBERVILLIERS
   4 956 066
93005
AULNAY-SOUS-BOIS
   1 977 353
93006
BAGNOLET
   1 050 724
93007
BLANC-MESNIL
   3 207 664
93008
BOBIGNY
   3 773 779
93010
BONDY
   4 782 921
93014
CLICHY-SOUS-BOIS
   3 249 493
93027
COURNEUVE
   2 856 846
93029
DRANCY
   3 959 935
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 49
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
CODE INSEE
NOM COMMUNE
ATTRIBUTION FSRIF 2012 (EN EUROS)
93030
DUGNY
   1 045 944
93031
EPINAY-SUR-SEINE
   3 849 581
93032
GAGNY
   2 010 541
93039
ÎLE-SAINT-DENIS
    569 028
93046
LIVRY-GARGAN
   1 046 028
93047
MONTFERMEIL
   1 386 818
93048
MONTREUIL
   3 129 230
93050
NEUILLY-SUR-MARNE
   2 119 794
93053
NOISY-LE-SEC
   2 884 057
93059
PIERREFITTE-SUR-SEINE
   2 167 348
93061
PRE-SAINT-GERVAIS
   1 424 722
93063
ROMAINVILLE
   1 562 415
93066
SAINT-DENIS
   5 840 047
93071
SEVRAN
   4 413 609
93072
STAINS
   3 288 307
93078
VILLEPINTE
   1 201 053
93079
VILLETANEUSE
   1 137 709
94001
ABLON-SUR-SEINE
    108 633
94002
ALFORTVILLE
   2 267 085
94004
BOISSY-SAINT-LEGER
    720 662
94011
BONNEUIL-SUR-MARNE
   1 038 773
94016
CACHAN
    890 387
94017
CHAMPIGNY-SUR-MARNE
   3 807 716
94022
CHOISY-LE-ROI
   1 523 782
94028
CRETEIL
   3 558 884
94037
GENTILLY
    648 952
94043
KREMLIN-BICETRE
    727 152
94044
LIMEIL-BREVANNES
    645 934
94054
ORLY
    877 301
94059
PLESSIS-TREVISE
    495 624
94060
QUEUE-EN-BRIE
    378 574
94074
VALENTON
    969 742
94076
VILLEJUIF
   1 890 465
94078
VILLENEUVE-SAINT-GEORGES
   2 094 617
94079
VILLIERS-SUR-MARNE
    972 351
94081
VITRY-SUR-SEINE
   2 328 273
95018
ARGENTEUIL
   3 754 671
95019
ARNOUVILLE
    476 978
95039
AUVERS-SUR-OISE
    109 703
95052
BEAUMONT-SUR-OISE
    520 747
95060
BESSANCOURT
    553 944
95063
BEZONS
   1 102 396
95091
BOUFFEMONT
    354 479
95127
CERGY
   2 324 762
95197
DEUIL-LA-BARRE
    721 032
95219
ERMONT
   1 910 479
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 50
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
CODE INSEE
NOM COMMUNE
ATTRIBUTION FSRIF 2012 (EN EUROS)
95252
FRANCONVILLE
   1 174 218
95268
GARGES-LES-GONESSE
   4 124 531
95277
GONESSE
   2 042 008
95280
GOUSSAINVILLE
   2 001 369
95288
GROSLAY
    143 135
95323
JOUY-LE-MOUTIER
    524 058
95355
MAGNY-EN-VEXIN
    253 154
95394
MERY-SUR-OISE
    464 084
95424
MONTIGNY-LES-CORMEILLES
    764 588
95427
MONTMAGNY
    991 845
95487
PERSAN
    777 040
95488
PIERRELAYE
    193 285
95500
PONTOISE
   1 008 728
95555
SAINT-GRATIEN
    589 267
95572
SAINT-OUEN-L’AUMONE
    377 631
95582
SANNOIS
    990 526
95585
SARCELLES
   6 322 782
95652
VIARMES
     99 074
95680
VILLIERS-LE-BEL
   3 053 634
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 51
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
ANNEXE 6
Liste
des communes bénéficiant de la garantie de sortie en
CODE INSEE
NOM COMMUNE
2012
GARANTIE DE SORTIE
77122
COMBS-LA-VILLE
474 125
77251
LIEUSAINT
241 493
77479
VAIRES-SUR-MARNE
236 642
78674
VILLEPREUX
169 602
91174
CORBEIL-ESSONNES
836 601
91216
EPINAY-SUR-ORGE
191 137
91326
JUVISY-SUR-ORGE
294 279
91521
RIS-ORANGIS
548 140
91549
SAINTE-GENEVIEVE-DES-BOIS
519 849
93055
PANTIN
917 400
95203
EAUBONNE
422 306
95539
SAINT-BRICE-SOUS-FORÊT
305 018
95598
SOISY-SOUS-MONTMORENCY
320 988
95637
VAUREAL
297 993
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 52
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_____
Direction générale
des collectivités locales
_____
Sous-direction des finances locales
et de l’action économique
_____
Bureau du financement
des transferts de compétences
_____
Circulaire du 27 juin 2012 relative au concours particulier de la dotation générale de
décentralisation (DGD) relatif à la compensation des accroissements de charges résultant de
la souscription de contrats destinés à garantir les communes et leurs groupements contre
les risques contentieux liés à la délivrance des autorisations d’utilisation du sol (ASPC).
Exercice 2012.
NOR : INTB1227491C
Références :
Loi no 83‑8 du 7 janvier 1983, notamment ses articles 4 et 17 ;
Loi no 2000‑1208 du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbains (SRU), notamment
ses articles 4 et 6 (art. L. 123‑1 et suivants et L. 124‑1 et suivants du code de l’urbanisme) ;
Loi Urbanisme et habitat no 2003‑590 du 2 juillet 2003, notamment ses articles 12 et 14 à 27, modifiant les
articles L. 123‑1 et suivants du code de l’urbanisme ;
Code de l’urbanisme, notamment ses articles L. 421‑1, L. 421 2 et L. 421‑2‑1 ;
Code général des collectivités territoriales (CGCT), notamment ses articles L. 1614‑9, R. 1614‑52 à 57 ;
Ma circulaire no 84‑233 du 22 août 1984.
Résumé :
La présente circulaire indique pour l’année 2012 :
1.le montant global de la compensation par l’État des accroissements de charges résultant de la souscription de
contrats destinés à garantir les communes et leurs groupements contre les risques contentieux liés à la délivrance
des autorisations d’utilisation du sol ;
2.les valeurs de point nationales 2012 et le mode de calcul permettant de déterminer la dotation revenant aux
collectivités concernées.
Elle demande aux préfets de faire connaître pour le 27 août, délai de rigueur, le montant des crédits à attribuer à
leurs départements.
Le ministre de l’intérieur à Mesdames et Messieurs les préfets
des départements de métropole et d’outre-mer.
1. Rappel du cadre juridique de la compensation
En application de la loi n 83‑8 du 7 janvier 1983 modifiée, le maire délivrait les permis de construire (et autres
autorisations d’utilisation du sol) au nom de la commune dès que celle-ci disposait d’un POS (plan d’occupation
des sols) devenu exécutoire depuis 6 mois (ancien art. L. 421‑2‑7 du code de l’urbanisme), sauf dans les hypothèses
légalement définies dans lesquelles les permis de construire restaient délivrés au nom de l’État (par le maire ou par
le préfet).
La loi du 13 décembre 2000 citée en référence a par la suite modifié ce dispositif :
–les POS ont été remplacés par les PLU (plans locaux d’urbanisme), et la carte communale, qui était appelée
MARNU (modalités d’application du règlement national d’urbanisme), est devenue un véritable document
d’urbanisme fournissant aux petites communes un document adapté ;
– la compétence des communes en matière de délivrance des permis de construire est étendue aux communes dotées
d’une carte communale lorsque le conseil municipal, dans sa délibération approuvant la carte communale, en a
décidé ainsi (art. L. 421‑2‑1 du code de l’urbanisme) ;
– la compétence des communes en matière de délivrance des permis de construire est effective dès que la délibération
approuvant le PLU est devenue exécutoire ;
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
–dans les communes non couvertes par un schéma de cohérence territoriale (SCOT) ou un schéma directeur,
l’acte publié approuvant le PLU devient exécutoire un mois après sa transmission au préfet ou dès publication
et transmission au préfet de la délibération approuvant les modifications qu’il a éventuellement demandées
(art. L. 123‑12 du code de l’urbanisme).
1.2. Règles spécifiques aux cartes communales
Pour les cartes communales, le transfert au maire de la responsabilité de délivrer les autorisations d’utilisation du
sol est effectif lorsque sont remplies les trois conditions suivantes :
– la délibération d’approbation du conseil municipal est devenue exécutoire ;
– cette délibération a décidé expressément que les permis de construire seront délivrés par le maire au nom de la
commune (art. L. 421‑2‑1 du code de l’urbanisme) ;
– la carte a été approuvée par arrêté préfectoral.
1.3. Couverture du risque lié à la délivrance des autorisations d’utilisation du sol
Le transfert de cette responsabilité entraînant un transfert des risques liés à son exercice, les communes, ainsi
que leurs groupements dotés de la compétence en matière de PLU ou de carte communale (communautés urbaines,
d’agglomération, de communes,...) reçoivent, conformément à l’article 17 de la loi du 7 janvier 1983, une compensation
financière de la part de l’État, s’ils choisissent de s’assurer (contrat ou avenant à un contrat déjà existant) contre les
risques contentieux liés à la délivrance des autorisations d’utilisation du sol.
2. Modalités de calcul des valeurs de point nationales 2012
La masse à répartir en 2012 pour le concours particulier cité en objet est de 5 352 017 € (crédits disponibles
en 2012).
Peuvent bénéficier de la compensation au titre de 2012, les communes disposant d’un POS, d’un PLU ou d’une
carte communale dont l’approbation sera entrée en vigueur avant le 31 décembre 2012 (1) et qui auront souscrit le
contrat d’assurance ou l’avenant précité avant cette date.
Pour bénéficier de ce concours, il convient de produire un contrat d’assurance ou un avenant. Compte tenu du
calendrier de gestion, il vous est demandé de ne retenir que les POS, les PLU ou les cartes communales approuvés au
30 juin 2012. Les droits acquis au cours du second semestre seront pris en compte dans le cadre de la gestion 2013.
2.1. Les valeurs de point nationales pour 2012
Les trois valeurs de point nationales applicables à chaque critère de répartition ont été déterminées à partir des
données de population de la dotation globale de fonctionnement (DGF) pour 2011, des enquêtes relatives à l’état
d’avancement des documents d’urbanisme effectuées auprès des directions départementales des territoires (DDT), et
enfin, à partir de l’exploitation de données statistiques extraites de la base « SITADEL 2 » (Système d’information et
de traitement automatisé des données relatives à la construction), gérée au sein des services centraux du ministère de
l’égalité des territoires et du logement.
Ces valeurs de point sont les suivantes :
– population des communes ou des groupements de communes concernés : 0,025 € par habitant ;
– nombre de permis de construire délivrés pendant les trois dernières années dans les communes ou les groupements
concernés : 1,909 € par permis de construire ;
– nombre de logements figurant sur les permis de construire délivrés pendant les trois dernières années dans les
communes ou les groupements concernés : 1,543 € par logement.
2.2. Les données issues de l’application « SITADEL 2 »
Les valeurs de point nationales ont été établies à partir des données suivantes remontées dans la base « SITADEL 2 » :
–le nombre des permis de construire accordés, refusés ou annulés – tous susceptibles d’engendrer des
contentieux – au cours des 3 dernières années (2009 à 2011) concernant aussi bien des logements ou annexes à
l’habitation que des locaux à usage autre que d’habitation, qu’il y ait ou non création de surface de plancher ;
Sont exclues les déclarations de travaux et autres autorisations d’utilisation du sol (installations et travaux
divers, etc.).
(1) Peuvent également bénéficier du concours les communes dont le PLU a été annulé et n’a pas encore été remplacé. Ces communes demeurent
en effet compétentes puisque le transfert de compétence est définitif, conformément au a de l’article L. 422-1 du code de l’urbanisme.
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– le nombre de logements (« ordinaires » ou « en résidence ») correspondant à ces demandes de permis de construire,
et retenus selon les mêmes modalités : logements dont la construction a été autorisée ou refusée, ou dont le
permis de construire a été annulé, au cours des 3 dernières années (2009 à 2011). Les annexes à l’habitation sont
écartées.
Est retenue la date de la décision et non celle de sa prise en compte par « SITADEL 2 ». Pour les permis de
construire annulés, la date retenue est celle de l’autorisation de construire et non celle de son annulation.
Contrairement à l’application « SITADEL » utilisée jusqu’en 2009, l’application « SITADEL 2 » ne distingue plus
les permis de construire délivrés au nom de la commune ou de l’établissement public de coopération intercommunal
(EPCI) compétent des permis délivrés au nom de l’État, soit par le maire ou le président de l’EPCI, soit par le
préfet. Or, jusqu’en 2010, seuls étaient pris en compte les permis de construire accordés ou refusés (ou annulés après
accord) en leur nom par les communes ou les groupements de communes compétents en manière de délivrance
des autorisations d’utilisation des sols. Ceux accordés, refusés ou annulés au nom de l’État étaient donc exclus.
Désormais, depuis la gestion 2011, et pour lever les difficultés techniques rencontrées en 2010, tous les permis de
construire délivrés sur la période 2009‑2011 sont pris en compte dans le calcul des valeurs de point et l’évaluation de
l’enveloppe de crédits allouée à chaque collectivité éligible.
3. Modalités de calcul et de versement de la dotation aux collectivités concernées
Les modalités de calcul et de versement de la dotation aux collectivités concernées sont identiques à celles de
l’année 2011. Ainsi, tous les permis de construire et tous les logements afférents sont pris en compte et non uniquement
ceux délivrés au nom de la commune ou de l’EPCI compétent (cf. supra).
3.1. Calcul de la dotation à verser aux bénéficiaires
Le montant de la dotation à attribuer est obtenu en multipliant chaque valeur de point nationale par les données
correspondant pour la collectivité bénéficiaire à chacun des trois critères suivants : population, nombre de permis de
construire et nombre de logements, puis en additionnant ces trois résultats. Le cas échéant pour la première année le
calcul sera opéré, pro rata temporis, à compter de la date du contrat d’assurance.
Vous procéderez à ces calculs pour les communes ou groupements de communes qui sont compétents en matière
de délivrance des permis de construire, c’est-à-dire pour celles et ceux qui sont dotés de PLU ou de POS, ainsi que
pour les communes qui sont dotées de cartes communales lorsqu’elles en ont décidé ainsi. Seuls les communes ou
groupements de communes ayant souscrit un contrat d’assurance en cours de validité sont éligibles au concours.
Vous actualiserez les données relatives aux trois critères de répartition pour les communes et groupements de
communes déjà bénéficiaires de la dotation en 2011 et réunirez les informations relatives à ces critères pour les
communes nouvellement bénéficiaires de la dotation en 2012.
Pour les communes nouvellement bénéficiaires de la dotation en 2011, dont le POS, PLU ou la carte communale
n’est entrée en vigueur qu’après le 30 juin 2011, vous agrègerez à la dotation due au titre de 2012 les droits acquis au
titre de 2011 calculés pro rata temporis à partir des valeurs de points de 2011.
Les données statistiques extraites de « SITADEL 2 » relatives aux permis de construire et aux logements sont
recensées par la direction générale de l’aménagement, du logement et de la nature (DGALN) du ministère de l’égalité
des territoires et du logement et sont disponibles via l’intranet du ministère (http ://ads2007.projet.i2/donnees-ddt-r64.
html), tout comme les données relatives à la population (population DGF 2011).
Dans le cas où une commune ou un groupement de communes répondant aux critères d’éligibilité précités ne
figurerait pas sur la liste disponible sur l’intranet, il conviendrait de le signaler dans les plus brefs délais à la DGALN
afin qu’elle puisse actualiser les données statistiques disponibles sur l’intranet.
3.2. Demande de délégation des crédits à l’administration centrale
Vous voudrez bien me faire connaître, avant la date limite du 27 août 2012, le montant total des crédits revenant
aux communes et groupements de communes concernés du département, arrondi à l’euro entier supérieur, au titre de
la compensation des charges découlant de la souscription des contrats d’assurance.
Je souligne que votre demande globale de délégation sera considérée comme définitive.
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Toute difficulté dans l’application des dispositions énoncées ci-dessus devra être signalée, par courrier, messagerie
ou téléphone, à la direction générale des collectivités locales (sous-direction des finances locales et de l’action
économique, bureau du financement des transferts de compétences, tél. : 01.40.07.23.74 ou amelie.letort@interieur.
gouv.fr).
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général des collectivités locales,
Éric JALON
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 56
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_____
INISTÈRE DE LA RÉFORME DE L’ÉTAT,
M
DE LA DÉCENTRALISATION
ET DE LA FONCTION PUBLIQUE
_____
Direction générale des collectivités locales
_____
Sous-direction des élus locaux
et de la fonction publique territoriale
_____
Bureau de l’emploi territorial
et de la protection sociale (FP3)
_____
Circulaire du 25 mai 2012 relative aux participations des collectivités territoriales
et de leurs établissements publics à la protection sociale complémentaire de leurs agents
NOR : RDFB1220789C
Références :
Décret no 2011‑1474 du 8 novembre 2011 ;
Arrêtés du 8 novembre 2011 relatifs, respectivement, à la composition du dossier de demande d’habilitation ;
aux majorations de cotisation ; à l’avis d’appel à la concurrence et aux critères de choix dans le cas d’une
convention de participation.
Résumé : la présente circulaire a pour objet de commenter les dispositions du décret du 8 novembre 2011 et de
ses arrêtés d’application. Ces textes fixent les conditions dans lesquelles les collectivités territoriales et leurs
établissements publics peuvent accorder des participations à leurs agents qui souscrivent à des contrats ou
règlements de protection sociale complémentaire (santé, prévoyance).
Le ministre de l’intérieur et la ministre de la réforme de l’État, de la décentralisation et de la fonction publique
à Madame et Messieurs les préfets de région ; Mesdames et Messieurs les préfets des départements
(métropole et DOM).
Cette circulaire abroge et remplace la circulaire NOR INT/B/93/00063/C du 5 mars 1993 relative à la prise en
charge, par les collectivités territoriales, d’une partie des cotisations versées par leurs employés aux mutuelles dont
ils sont adhérents.
Par ailleurs, dans la présente circulaire, l’expression « les collectivités » ou « les collectivités territoriales » s’entend
des collectivités territoriales et de leurs établissements publics.
Le décret no 2011‑1474 du 8 novembre 2011 a été publié, ainsi que ses quatre arrêtés d’application, au Journal
officiel du 10 novembre 2011. Il fixe le cadre permettant aux collectivités de verser une participation à leurs agents
(publics ou privés) qui souscrivent à des contrats ou règlements de protection sociale complémentaire (santé ou
prévoyance).
Il se situe dans le contexte suivant :
À la suite de mesures demandées par la Commission européenne le 20 juillet 2005, les modes d’aide des employeurs
publics à la protection sociale complémentaire de leurs agents (santé, prévoyance) ont été revus. Les aides doivent
en effet satisfaire aux principes du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne (régime des aides d’État
article 107, 2 a). Il doit s’agir d’aides à caractère social, accordées à titre individuel, sans considération tenant à
l’origine des contrats. En outre, selon les principes de la jurisprudence communautaire, les contrats et règlements au
titre desquels l’aide est versée doivent avoir fait l’objet d’une procédure transparente et non-discriminatoire.
Une nouvelle base légale a été définie pour les trois fonctions publiques : la loi no 2007‑148 du 2 février 2007 a
créé un article 22 bis dans la loi no 83‑634 portant droits et obligations des fonctionnaires. Ce texte permet aux
personnes publiques de « contribuer au financement des garanties de protection sociale complémentaire auxquelles les
agents qu’elles emploient souscrivent », à condition que leur participation soit « réservée aux contrats ou règlements
garantissant la mise en œuvre d’une solidarité entre les bénéficiaires, actifs et retraités ». Des décrets en Conseil
d’État – un par fonction publique – sont prévus par la loi.
Ces textes donnent l’esprit du nouveau régime des participations des employeurs publics : elles doivent constituer
une aide à caractère social, en particulier en étant réservées aux seuls contrats et règlements montrant une solidarité
entre les bénéficiaires, actifs et retraités. Par ailleurs, ces aides sont des aides à la personne, et elles ne peuvent être
attribuées qu’après une procédure de sélection transparente des contrats et règlements.
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 57
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Cette base légale a été complétée, pour les collectivités territoriales, par les lois no 2009-372 du 3 août 2009 et
n 2010‑1249 du 22 octobre 2010, qui ont défini les procédures de sélection pouvant être utilisées par les collectivités
pour vérifier le caractère solidaire des contrats et règlements (convention de participation et labellisation), dans un
nouvel article 88‑2 de la loi no 84‑53 du 26 janvier 1984.
Les pouvoirs de l’Autorité de contrôle prudentiel ont été définis par cette même loi, dans un nouvel article L. 310‑12‑2
du code des assurances.
Enfin, la loi no 2010‑751 du 5 juillet 2010 relative à la rénovation du dialogue social a introduit, dans l’article 33 de
la loi du 26 janvier 1984 précitée, l’obligation de consulter les comités techniques sur les aides à la protection sociale
complémentaire lorsque la collectivité ou l’établissement en a décidé l’attribution à ses agents.
Le décret a été élaboré, ainsi que ses arrêtés d’application, après concertation et consultation des organismes
habilités. Entrant dans le champ des projets d’aide d’État devant être notifiés à la Commission européenne, son projet
a été notifié à celle-ci, qui a rendu une décision favorable le 23 février 2011.
Le nouveau régime des participations se définit, dans ses principes, comme suit :
Le dispositif est entièrement facultatif, pour les agents comme pour les collectivités.
Les collectivités territoriales pourront accorder des aides aux agents qui auront souscrit à des contrats ou règlements
répondant aux critères de solidarité du décret (titre IV).
À cet effet, elles peuvent :
– soit aider les agents qui auront souscrit un contrat ou adhéré à un règlement dont le caractère solidaire aura été
préalablement vérifié au niveau national, dans le cadre d’une procédure spécifique dite de « labellisation », sous
la responsabilité de prestataires habilités à cette fin par l’Autorité de contrôle prudentiel (ACP). Ces contrats et
règlements « labellisés » seront répertoriés sur une liste publiée par le ministère chargé des collectivités territoriales ;
– soit engager une procédure de mise en concurrence ad hoc, définie par le décret, pour sélectionner un contrat
ou un règlement remplissant les conditions de solidarité du décret. La collectivité conclura avec l’opérateur
choisi, au titre du contrat ou du règlement ainsi sélectionné, une « convention de participation ». Ce contrat ou
ce règlement sera proposé à l’adhésion facultative des agents. Chaque adhésion fera l’objet d’une participation
financière de la collectivité. L’article 25 de la loi no 84‑53 du 26 janvier 1984 permet aux centres de gestion de
conclure, pour le compte des collectivités, des conventions de participation conformes à ce décret.
Les collectivités devront choisir, pour la santé comme pour la prévoyance, entre l’une et l’autre de ces procédures.
L’instauration des participations ne pourra se faire qu’à partir de la publication de la première liste des contrats et
règlements labellisés soit le 31 août 2012.
La participation est versée soit directement à l’agent (montant unitaire) soit via un organisme (mutuelle, institution
de prévoyance ou entreprise d’assurance).
Le présent décret ainsi que ses arrêtés d’application peuvent être consultés sur le site Légifrance (http://www.
legifrance.gouv.fr).
La présente circulaire a pour but d’expliciter ces dispositions.
Elle expose :
– les dispositions générales du dispositif (I) ;
– les principes de solidarité à respecter par les contrats et règlements éligibles aux aides (II) ;
– les modalités de sélection pouvant être utilisées pour vérifier ces principes de solidarité (III) ;
– les règles de versement de la participation (IV) ;
– les dispositions transitoires (V) ;
– d’autres points apportant des précisions complémentaires (VI).
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PLAN DE LA CIRCULAIRE
I. – DISPOSITIONS GÉNÉRALES
Caractère facultatif du dispositif
A. – Les
personnels bénéficiaires du dispositif d’aide
1. Les agents
2. La question des retraités
3. Information générale sur ces dispositifs
B. – Les
contrats ou les règlements éligibles
1. C
eux proposés par les organismes suivants : mutuelles, institutions de prévoyance, entreprises d’assurance
2. Ceux portant sur certains risques
C. – Le rôle
du comité technique dans la procédure
II. – PRINCIPES DE SOLIDARITÉ APPLICABLES AUX GARANTIES COMPLÉMENTAIRES
A. – Les
principes communs
B. – Les
principes concernant les garanties du risque
« santé »
1. Principes de solidarité intergénérationnelle et familiale
2. Garanties minimales en matière de santé
C. – Les
principes concernant les garanties du risque
« prévoyance »
1. Complémentarité à la protection sociale de base
2. Garantie minimale sur l’incapacité de travail
3. Critères de solidarité spécifiques aux opérations collectives facultatives
III. – MODALITÉS DE SÉLECTION DES GARANTIES POUVANT DONNER LIEU À PARTICIPATION
A. – La
procédure de
« labellisation »
1. La procédure d’habilitation des prestataires chargés de la « labellisation »
2. La procédure de « labellisation » elle-même
B. – La
procédure de convention de participation
1. Le lancement de la procédure
a) La convention de participation est un contrat spécifique, ce n’est pas un marché public
b) Une convention peut être conclue pour un type de risque ou l’ensemble des risques
c) Un seul opérateur peut être choisi
d) La convention est conclue « au titre » du contrat ou du règlement choisi
e) La convention fait l’objet d’une procédure transparente et non-discriminatoire destinée à vérifier le
caractère solidaire du contrat ou du règlement
1re étape : La collectivité consulte le comité technique et délibère sur les éléments essentiels de la future
convention
e
2 étape : La collectivité publie l’appel à la concurrence
3e étape : La collectivité fournit aux candidats un document définissant les caractéristiques quantitatives et
qualitatives de son personnel et des prestations à proposer
e
4 étape : Les candidats remettent leur offre
5e étape : La collectivité examine les offres
6e étape : La collectivité consulte le comité technique et délibère sur le choix du contrat ou du règlement
7e étape : La collectivité signe la convention
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
2. L’exécution de la convention de participation
a) Les tarifs
b) Le contrôle de la collectivité et les moyens de mettre fin à la convention
3. La compétence des centres de gestion
IV. – VERSEMENT DE LA PARTICIPATION
1. Nécessité d’une ou deux délibérations
2. Incidence du mode de sélection choisi
3. Montant de la participation
4. Mode de versement
V. – DISPOSITIONS TRANSITOIRES (ARTICLE 32 : DÉLAIS DE MISE EN PLACE DE LA PROCÉDURE
DE LABELLISATION ; ARTICLE 34 : DATE D’INSTAURATION DES PARTICIPATIONS)
VI. – POINTS COMPLÉMENTAIRES
1. Droits et obligations des agents
2. COS et autres structures associatives
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
I. – DISPOSITIONS GÉNÉRALES
Au préalable, il convient de souligner le caractère facultatif pour les agents de l’adhésion à une protection sociale
complémentaire rappelé à l’article 3 du décret.
Corrélativement, la participation des employeurs est facultative (cf. la loi no 83‑634 « droits et obligations des
fonctionnaires », article 22 bis : « les personnes publiques... peuvent contribuer au financement des garanties de
protection sociale complémentaire »).
A. – Les
personnels bénéficiaires du dispositif d’aide
Les personnels pouvant bénéficier d’une participation sont les agents de la fonction publique territoriale, comme
le précise l’article 1er du décret : « La participation des collectivités territoriales et de leurs établissements publics ...
bénéficie aux fonctionnaires et agents de droit public et de droit privé ... ».
1. Les agents bénéficiaires sont les « fonctionnaires et agents de droit public et de droit privé » (article 1er), donc les
fonctionnaires et les agents non titulaires, de droit public comme de droit privé.
Les agents de la fonction publique territoriale des Offices publics de l’habitat (OPH) figurent parmi les bénéficiaires,
les OPH étant des établissements publics locaux (article L. 421‑1 du code de la construction et de l’habitation). Les
agents de droit privé des OPH, en revanche, ne relèvent pas du décret car ils sont régis par un accord collectif (décret
no 2011‑636 du 8 juin 2011 relatif aux OPH, articles 30 et 59).
En ce qui concerne les fonctionnaires détachés, la loi ne prévoit pas de règle spécifique en matière de protection
sociale complémentaire. Ils sont en principe régis par les règles de leur fonction de détachement (article 64 de la loi
no 84‑53 du 26 janvier 1984) ; un fonctionnaire détaché pourra bénéficier des aides de son employeur de détachement.
S’agissant des agents mis à disposition, la convention (article 61 de la loi no 84‑53 du 26 janvier 1984 pour les
fonctionnaires, articles 5211‑4‑1 et 5211‑4‑2 du code général des collectivités territoriales dans le cadre des mises
à disposition intercommunales pour les fonctionnaires et les agents non titulaires) peut régler la question et il est
conseillé qu’elle le fasse pour clarifier la situation des agents. À défaut, les agents étant dans une situation où le
fonctionnaire demeure dans son cadre d’emplois ou corps d’origine (article 61 de la loi no 84‑53 du 26 janvier 1984),
ils ont vocation à bénéficier des aides de leur collectivité d’origine.
Il conviendra toutefois d’éviter les cumuls possibles d’aide à la protection sociale complémentaire entre la collectivité
d’origine et celle d’accueil, et pour les agents qui seraient détachés dans la fonction publique de l’État, de veiller à la
cohérence avec les décisions prises par les différents ministères en la matière.
2. La question des retraités : Conformément à l’article 22 bis de la loi no 83‑634 du 13 juillet 1983 « droits et
obligations des fonctionnaires », seuls les actifs sont concernés par une participation, par opposition aux retraités.
Dans son paragraphe I en effet, cet article dispose : « Les personnes publiques ... peuvent contribuer au financement
des garanties de protection sociale complémentaire auxquelles les agents qu’elles emploient souscrivent ». Les retraités
ne peuvent recevoir d’aide financière de leur ancienne collectivité employeur.
Dans son paragraphe II, l’article 22 bis poursuit : « La participation des personnes publiques est réservée aux
contrats ou aux règlements garantissant la mise en œuvre de dispositifs de solidarité entre les bénéficiaires, actifs et
retraités ». Ainsi, les retraités bénéficient indirectement du dispositif compte tenu de la solidarité imposée, notamment
envers les retraités, dans les contrats et règlements éligibles aux aides, ce qui concerne le risque « santé ». Ils ne sont
en effet pas concernés par le risque prévoyance au titre du décret.
Les retraités peuvent donc librement :
– soit, s’ils sont déjà adhérents ou souscripteurs auprès d’un organisme, y rester sans aucune démarche particulière
à effectuer ; si ce contrat ou règlement vient à être « labellisé », ils bénéficieront des conditions « solidaires » qui y
figurent ;
– soit adhérer à un contrat ou à un règlement « labellisé » – leur liste sera publiée sur le site internet du ministère
chargé des collectivités territoriales le 31 août 2012 ; les retraités peuvent y adhérer directement en prenant
contact avec la mutuelle, l’institution de prévoyance ou l’assurance porteuse du contrat ou du règlement.
– soit adhérer à une « convention de participation » conclue par leur dernière collectivité employeur lorsqu’ils ont
été admis à la retraite. En ce cas également, ils bénéficieront des conditions « solidaires » qui y figurent. Il leur
appartient de se rapprocher de leur dernière collectivité employeur pour savoir si elle a conclu une convention de
ce type.
3. Conformément à l’article 22 du décret, une information générale sur le dispositif est assurée par le ministère
chargé des collectivités territoriales, disponible sur son site (http ://www.dgcl.interieur.gouv.fr/sections/les_collectivites_
te/fonction_publique_te/protection_sociale/complementaire/), et sera publiée par les caisses de retraite (CNRACL et
IRCANTEC) « par tous moyens » – sur leur site internet et dans la revue destinée à leurs adhérents.
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B. – Les « contrats » ou les « règlements » éligibles
1. Ce sont, conformément à l’article 88‑2 de la loi no 84‑53 du 26 janvier 1984, ceux proposés par les organismes
suivants :
– les mutuelles ou unions relevant du livre II du code de la mutualité (y compris pour un risque porté par un autre
organisme habilité conformément à l’article L. 116‑1 du code de la mutualité, ainsi que les mutuelles substituées,
utilisant la possibilité prévue par l’article L. 211‑5 du code de la mutualité) ;
– les institutions de prévoyance relevant du titre III du livre IX du code de la sécurité sociale ;
– les entreprises d’assurance mentionnées à l’article L. 310‑2 du code des assurances.
Ces « contrats » et « règlements » sont ceux définis aux codes des assurances, de la sécurité sociale et de la mutualité,
à condition qu’ils soient à adhésion facultative des agents (cf. article 3 du décret – voir paragraphe III, B, 1, d).
2. Les contrats ou règlements éligibles sont ceux portant sur certains risques.
L’article 2 fixe les types de risque ouvrant droit à la participation. Les collectivités peuvent apporter leur
participation soit au titre du risque « santé », soit au titre du risque « prévoyance » – avec au minimum la garantie
« incapacité », point qui sera examiné à propos des principes de solidarité à respecter-, soit au titre des deux risques.
Ils doivent être complémentaires à la « protection sociale de base » déjà ouverte de façon obligatoire aux agents
par les textes. On rappelle que celle-ci est constituée par le régime de sécurité sociale. Pour les agents publics, outre
ce régime (régime spécial pour les fonctionnaires, issu du décret no 60‑58 du 11 janvier 1960 ; régime général pour les
non-titulaires), la protection sociale de base est aussi constituée par les droits ouverts par leur statut.
Les garanties offertes par la couverture complémentaire tiennent compte de ces spécificités : elles complètent,
en matière d’incapacité, les droits au maintien du traitement en cas de maladie (article 57 de la loi no 84‑53 du
26 janvier 1984 pour les fonctionnaires, titre III du décret no 88‑145 du 15 février 1988 pour les agents non titulaires) ;
en matière d’invalidité, les droits spécifiques des fonctionnaires à une retraite pour invalidité (décret no 2003‑1306
du 26 décembre 2003, titre V) ; en matière de décès, les droits spécifiques des fonctionnaires au capital-décès (décret
no 60‑58 du 11 janvier 1960).
Les collectivités peuvent accorder leur participation de façon différenciée selon ces risques.
L’article 4, conformément à l’article 88‑2 de la loi du 26 janvier 1984, dispose :
– que les collectivités peuvent accorder leur participation pour l’un ou l’autre des risques « santé » et « prévoyance »
ou pour les deux,
–qu’elles peuvent choisir une procédure de sélection des contrats et règlements (voir chapitre II du décret,
commenté au III de la circulaire) différente par risque. Elles peuvent choisir la labellisation pour un risque et
la convention de participation pour l’autre. En revanche, elles ne peuvent choisir qu’une procédure par risque
(au titre du risque santé, par exemple, il n’est pas possible d’aider à la fois dans le cadre d’une convention de
participation et dans le cadre de contrats et règlements labellisés – voir IV, 2 de la circulaire).
Ce choix, effectué par délibération conformément au code général des collectivités territoriales (1), intervient après
avis du comité technique.
C. – Le rôle du comité technique dans la procédure
L’article 33 de la loi n 84‑53 du 26 janvier 1984, modifié par la loi no 2010‑751 du 5 juillet 2010 relative au
dialogue social, dispose que : « Les comités techniques sont également consultés sur les aides à la protection sociale
complémentaire, lorsque la collectivité territoriale ou l’établissement public en a décidé l’attribution à ses agents ».
Aussi le comité technique est consulté avant le choix de la procédure de sélection (article 4 du décret). En cas
de convention de participation, il est consulté une deuxième fois, avant la délibération choisissant le contrat ou le
règlement (article 18). Le dialogue social peut aussi porter sur les modalités de la participation (montant, modulation
dans un but d’intérêt social...).
L’information des représentants du personnel dans le cadre du dialogue social doit permettre la meilleure
transparence sur les choix à opérer lors des différentes étapes du processus.
o II. – PRINCIPES DE SOLIDARITÉ APPLICABLES AUX GARANTIES COMPLÉMENTAIRES
Les aides des collectivités doivent satisfaire aux principes du traité sur le fonctionnement de l’union européenne
fixant le régime des aides d’État (article 107, 2, a sur les aides à caractère social).
(1) Pour la commune, article L. 2121-29 du CGCT ; pour le département, article L. 3211-1 ; pour la région, article L. 4221-1 et L. 4231-1,
donnant compétence à l’assemblée délibérante pour régler les affaires de la collectivité (pour les départements et régions, dans les domaines de
compétence que la loi leur attribue).
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L’article 22 bis de la loi no 83‑634 du 13 juillet 1983, dans ce cadre, dispose que la participation est « réservée aux
contrats ou règlements garantissant la mise en œuvre d’une solidarité entre les bénéficiaires, actifs et retraités ».
La solidarité est définie par les principes imposés par le décret (titre IV), qui en distingue trois types :
– la solidarité intergénérationnelle consiste en ce que les agents les plus jeunes cotisent en moyenne plus cher que
le coût de leurs prestations annuelles, ce qui permet de diminuer en contrepartie les cotisations ou les primes
acquittées par les agents les plus âgés. Ainsi, pour le risque « santé », le rapport entre la cotisation due par
l’adhérent âgé de plus de trente ans qui acquittera la cotisation la plus élevée, et celui de moins de trente ans
qui acquittera la cotisation la moins élevée ne peut être supérieur à 3 (hors coefficient de majoration). Ce critère
est apprécié à charge de famille et catégorie statutaire identiques, compte non tenu des pénalisations tarifaires
(article 28 [1o] du décret). Cette solidarité a pour conséquence que les retraités bénéficient de « transferts » de la
part des actifs. Pour le risque « prévoyance » (article 31), la cotisation ou la prime devra être la même pour tous
les agents affiliés, quel que soit leur âge.
– en frais de santé, la solidarité familiale naît du fait que les tarifs des familles les plus nombreuses ne peuvent
excéder ceux prévus pour les familles de trois enfants (article 29 du décret).
– en prévoyance, en plus de la solidarité intergénérationnelle, les cotisations sont établies en fonction de la
rémunération (article 31 du décret), ce qui induit une solidarité en fonction des revenus.
Sur ces bases, le titre IV du décret du 8 novembre 2011 décline les principes de solidarité à respecter par les contrats
et règlements éligibles aux aides.
A. – Les
principes communs concernant les modalités de présentation des garanties
(chapitre 1er –
article 27)
Il fixe le mode d’expression des garanties (soit en référence aux tarifs servant de base au calcul des prestations de
l’assurance maladie, soit en référence à la rémunération des agents, soit en valeur monétaire forfaitaire) et ouvre la
possibilité pour les garanties de comporter un choix entre plusieurs options de couverture.
Il reprend l’article 22 du décret no 2007‑1373 du 19 septembre 2007 relatif à la fonction publique de l’État.
B. – Les
principes à respecter par les garanties du risque
(chapitre II – articles 28
et
29)
« santé »
Il s’agit des garanties « en matière de risques portant atteinte à l’intégrité physique de la personne ou liés à la
maternité », titre du chapitre II.
1. Les principes de solidarité intergénérationnelle et familiale.
– L’article 28 [1o] fixe un écart de cotisation maximum (1 à 3) entre la cotisation la moins chère (demandée aux
agents plus jeunes) et la plus chère (demandée aux agents plus âgés, plus exposés aux risques), à charge de famille et
catégorie statutaire identiques, et pour une option de garanties comparable. Ne sont pas concernés par le ratio de 1
à 3 les adhérents ou souscripteurs âgés de moins de 30 ans, ce qui permet aux opérateurs d’offrir des tarifs ou des
garanties plus attractives pour ces populations, en vue de favoriser une adhésion au dispositif de ces agents dès leur
entrée dans la fonction publique. Cette mesure, en attirant des agents jeunes, favorise une bonne mutualisation des
risques avec les agents âgés, plus exposés à ceux-ci.
– Il ne peut être prévu d’âge maximal d’adhésion (article 28 [2o]).
Toutefois, des majorations de cotisation ou de prime sont demandées aux agents et retraités adhérant tardivement
à un contrat ou règlement labellisé ou faisant l’objet d’une convention de participation, selon les modalités prévues
par l’arrêté du 8 novembre 2011 sur les majorations de cotisation.
Certains agents pourraient en effet ne pas adhérer à un contrat ou règlement « solidaire » tant que la cotisation
ou la prime de celui-ci serait supérieure à celle de tout autre contrat ou règlement ne pratiquant pas de solidarité
intergénérationnelle, pour n’adhérer qu’à un âge proche de la retraite. Ce comportement, s’il était appliqué par un
grand nombre d’agents, conduirait à un vieillissement significatif du groupe des adhérents (ou souscripteurs) et aurait
pour conséquence une augmentation importante du montant des cotisations ou des primes.
Pour éviter ce risque, le décret prévoit des majorations de cotisation ou de prime à l’encontre des agents et
retraités qui adhéreraient tardivement à un contrat ou à un règlement ayant fait l’objet d’une labellisation ou d’une
convention de participation. Ce régime est prévu par l’article 28 [2o] du décret et l’arrêté du 8 novembre 2011 relatif
aux majorations de cotisation.
Ainsi, une majoration de cotisation (ou de prime), de 2 % pour toute année non cotisée postérieurement à l’âge
de 30 ans à un contrat ou règlement « solidaire », est demandée par l’organisme dans les conditions prévues par ces
textes.
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Le décret laisse des délais aux agents et retraités ainsi qu’aux organismes pour entrer dans ce dispositif. La
majoration n’est ainsi appliquée : pour les nouveaux agents, qu’à l’issue des deux premières années suivant leur entrée
dans la fonction publique ; pour les agents en fonctions à la publication du décret et aux retraités, qu’à compter de la
deuxième année suivant la publication de la liste des contrats et règlements labellisés (article 4 de l’arrêté).
Par ailleurs, cette majoration n’est pas appliquée aux agents et retraités qui adhéraient déjà à un règlement ou à un
contrat pour lequel un label est délivré dans le délai d’un an suivant la publication de la liste des contrats et règlements
labellisés (article 33-II du décret). Les organismes qui obtiendraient le label dans le délai d’un an permettront ainsi
aux bénéficiaires du contrat ou règlement concerné d’échapper aux majorations de cotisation.
Enfin, si un contrat ou un règlement perd son label ou cesse de faire l’objet d’une convention de participation,
les périodes écoulées postérieurement sont prises en compte comme durée de cotisation jusqu’au 1er jour du 2e mois
suivant la perte du label (voir article 13) ou la fin de la convention de participation (voir article 21).
L’arrêté du 8 novembre 2011 précise par ailleurs les modalités de production de justificatif d’adhésion ou de
majoration de cotisation.
– Les cotisations ou les primes ne peuvent être fixées en fonction de l’état de santé du souscripteur, aucune
information médicale ne pouvant être recueillie à cette fin (article 28 [3o] du décret).
– Les cotisations ou primes ne sont pas fixées en fonction de la nature de l’emploi du souscripteur (article 28‑3o du
décret).
– Les cotisations ou primes ne sont pas fixées en fonction du sexe du souscripteur (article 28‑3o du décret).
– Les retraités bénéficient des mêmes garanties que les agents (article 28 [3o] du décret).
– Les familles les plus nombreuses bénéficient d’une solidarité : les tarifs qui leur sont appliqués ne peuvent excéder
ceux des familles comprenant trois enfants (article 28 [3o] du décret).
2. Le décret exige également certaines garanties minimales en matière de santé.
a) Les contrats et règlements doivent respecter les critères du contrat « responsable » au sens du code de la sécurité
sociale, c’est-à-dire :
–conformément à l’article L. 322‑2, laisser à charge de l’assuré une participation forfaitaire fixée à 1 € par
l’article R. 322‑9‑2 du même code pour les actes et consultations pris en charge par l’assurance maladie (à
l’exclusion de ceux réalisés au cours d’une hospitalisation), les actes de biologie médicale et les franchises
médicales laissées à la charge de l’assuré ;
– conformément à l’article L. 871‑1, notamment :
–ne pas rembourser totalement ou partiellement la majoration du ticket modérateur si l’assuré ne respecte
pas le parcours de soins ou refuse de présenter son dossier médical personnel, ainsi que les dépassements
d’honoraires des médecins spécialistes consultés en dehors du parcours de soins ;
– prévoir des minima pour le remboursement des consultations du médecin traitant, des prescriptions de celui-ci,
ainsi qu’au moins deux prestations de prévention. Ces minima de garanties sont détaillés à l’article R. 871‑2
du code de la sécurité sociale ;
– prendre en charge, dans les conditions prévues à l’article R. 871‑1, l’intégralité des dépassements d’honoraires
encadrés des médecins exerçant à titre libéral une spécialité chirurgicale, obstétricale ou d’anesthésieréanimation ayant opté pour l’option de coordination prévue par la convention nationale des médecins
généralistes et spécialistes conclue le 26 juillet 2011 dans sa version résultant de l’arrêté du 21 mars 2012.
b) Les contrats et règlements doivent assurer un montant minimum de remboursement ou d’indemnisation, celui
prévu par l’arrêté du 19 décembre 2007 pris en application de l’article 23 du décret du 19 septembre 2007 précité,
relatif aux agents de l’État.
Cet arrêté édicte que le minimum des garanties proposées doit correspondre à ce qui est exigé par les contrats
« responsables », décrits ci-dessus, avec une garantie supplémentaire visant à la prise en charge du ticket modérateur
pour les actes et consultations effectués lors de l’hospitalisation. Ainsi, à l’occasion d’une hospitalisation dans un
établissement de santé, les garanties comprennent au moins la prise en charge « de la participation des assurés ou de
leurs ayants droit au sens du I de l’article L. 322‑2 du code de la sécurité sociale », c’est-à-dire le ticket modérateur à
l’exception de la participation laissée à la charge de l’assuré par l’article R. 322‑8‑I du code de la sécurité sociale pour
certains frais s’élevant à 18 € (cette dernière pouvant être prise en charge, sans que ce soit obligatoire). La durée de
prise en charge est d’au moins 365 jours et son montant est limité aux frais exposés.
C. – Les
principes à respecter par les garanties du risque prévoyance
(chapitre III – articles 30 et 31)
Il s’agit des garanties incapacité, invalidité et décès, désignées sous la dénomination de risque « prévoyance »
(cf. article 2, 2o du décret).
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Les retraités ne sont pas concernés par ces garanties ; les contrats et règlements doivent ainsi respecter la « solidarité
entre bénéficiaires » actifs.
1. Conformément à l’article 2, les garanties proposées sont complémentaires à la « protection sociale de base
des agents ». En effet, les agents publics disposent de garanties spécifiques en matière de prévoyance (cf. I, B, 2). Il
conviendra de veiller à ce que les garanties proposées par les contrats et règlements ne fassent pas « doublon » avec
les droits ouverts aux agents publics et prennent en compte ces spécificités du secteur public.
2. Pour être éligibles à la participation des collectivités, les contrats et règlements de prévoyance doivent comprendre
au minimum la garantie « incapacité de travail » (article 30 du décret). Elle complète le demi-traitement que verse
l’employeur en cas de maladie, en vertu de l’article 57 de la loi no 84‑53 du 26 janvier 1984 pour les fonctionnaires et
du titre III du décret no 88‑145 du 15 février 1988 pour les agents non titulaires.
Les contrats et règlements peuvent comprendre, en plus, des garanties supplémentaires. Pour les fonctionnaires,
elles viennent en complément, en matière d’invalidité, de leurs droits spécifiques à une retraite pour invalidité (décret
no 2003‑1306 du 26 décembre 2003, titre V) ; en matière de décès, de leurs droits spécifiques au capital-décès définis
par le décret no 60‑58 du 11 janvier 1960.
3. En outre, les contrats et règlements faisant l’objet d’une convention de participation accompagnée d’une
opération collective facultative, devront satisfaire à des critères de solidarité (article 31 du décret). Il s’agit d’une
solidarité intergénérationnelle – absence d’âge maximal d’adhésion, de questionnaire médical – et en fonction de la
rémunération (tarif au même taux pour les agents affiliés, exprimé en pourcentage de la rémunération), sous réserve
toutefois que les agents adhèrent dans les 6 mois de leur embauche ou, pour les agents en place, de la prise d’effet
du contrat ou du règlement. Passé ce délai, si l’adhésion est acceptée, elle pourra être subordonnée à une tarification
différente fondée sur un questionnaire médical. Les agents en arrêt de travail peuvent adhérer au contrat ou au
règlement dans les conditions prévues par celui-ci.
Certains agents peuvent cependant être déjà couverts, à titre individuel, par des organismes exigeant que la
résiliation de leur garantie, au titre d’une année, s’effectue à date fixe. Afin de ne pas pénaliser ces agents, il est
souhaitable que la convention (dossier de mise en concurrence) prévoie de les prendre en compte, pourvu qu’ils
demandent leur adhésion dans le délai de 6 mois, l’effet de celle-ci étant toutefois reporté à compter de l’expiration
de leur précédente garantie.
Cette convention offre les avantages suivants. En adhésion individuelle, les tarifs sont souvent fonction du « risque »
représenté par l’agent, donc de son âge et de son état de santé : le tarif est alors d’autant plus élevé que l’agent est âgé
et en moins bonne santé. Or, pour les conventions de participation, l’article 31 impose que, sous certaines conditions,
les agents puissent adhérer sans condition d’âge ou d’état de santé et que le tarif soit le même pour tous. Ce système
est avantageux pour les agents les plus âgés, les plus exposés aux risques. Il encourage également les plus jeunes à
adhérer, favorisant ainsi une meilleure mutualisation des risques avec les personnes les plus âgées.
Pour vérifier que les contrats et règlements satisfont aux principes de solidarité ainsi exposés, les collectivités
peuvent soit engager une procédure de mise en concurrence « ad hoc », soit aider les agents qui auront adhéré à un
contrat ou règlement « labellisé ».
III. – MODALITÉS DE SÉLECTION DES GARANTIES POUVANT DONNER LIEU
À PARTICIPATION
Les collectivités peuvent apporter leur participation au titre des seuls contrats et règlements satisfaisant aux
principes de solidarité du titre IV du décret. Deux procédures de sélection sont prévues pour vérifier ceux-ci par le
titre II du décret, en lien avec les besoins des collectivités et au choix de celles-ci : la « labellisation » et la convention
de participation.
Elles reposent sur l’article 88‑2 de la loi no 84‑53 « sont éligibles à la participation des collectivités ... les contrats
et règlements... remplissant la condition de solidarité prévue à l’article 22 bis de la loi du 13 juillet 1983, attestée
par la délivrance d’un label... ou vérifiée dans le cadre de la procédure de mise en concurrence (convention de
participation) » (1).
Les modalités de ces deux procédures sont explicitées ci-après.
(1) Le choix entre ces procédures a été ouvert pour que les collectivités puissent choisir celle adaptée à leur contexte local. La labellisation
n’existe pas à l’Etat, elle a été créée pour la fonction publique territoriale qui comporte « un très grand nombre d’employeurs territoriaux » qui ont
une « taille très hétérogène » afin que ceux-ci puissent également disposer « d’une procédure plus simple » (cf. travaux parlementaires-commission
des lois du Sénat, 17 juin 2009) et pour permettre aux collectivités « de continuer à aider leurs agents lorsque ceux-ci se répartissent entre de
nombreux organismes » (cf. décision de la Commission européenne du 23 février 2011).
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A. – La
procédure de
« labellisation » (articles 5
à
14)
Les collectivités peuvent aider au titre de contrats ou de règlements « labellisés ».
1. La procédure d’habilitation des prestataires chargés de la « labellisation » (articles 5 à 10).
Les labels sont délivrés par des prestataires privés (« labellisateurs ») habilités par l’Autorité de contrôle prudentiel,
selon une procédure décrite à la section 1 (articles 5 à 10). Les prestataires présentent leur demande à l’Autorité
de contrôle prudentiel, sous forme d’un dossier dont la composition est prévue par l’arrêté du 8 novembre 2011
correspondant. Le modèle de dossier peut être retiré auprès de l’Autorité, sur son site internet dans la rubrique
« Agréments et autorisations » (www.acp.banque-france.fr/acp/agrements-et-autorisations). Les dispositions de la
loi no 2000‑321 du 12 avril 2000 relatives au régime des décisions prises par les autorités administratives (titre II,
chapitre II) s’appliquent à cette procédure. Les prestataires sont habilités pour trois ans. À l’issue de trois ans, lorsque
les « labellisateurs » demandent un renouvellement d’habilitation, ils remettent un rapport d’activité à l’Autorité de
contrôle prudentiel.
L’arrêté du 8 novembre 2011 précise le contenu de ce rapport, qui permet notamment à l’Autorité de contrôle
prudentiel de vérifier :
– que le prestataire a « labellisé » selon les principes de solidarité du décret (article 9) ;
– qu’il a contrôlé le respect des règles comptables visées à l’article 24.
Aussi comporte-il un bilan quantitatif et qualitatif de l’activité du prestataire en matière de labellisation, notamment :
1o Une note de présentation générale de son activité relative aux labels délivrés. Cette note indique le nombre de
contrats ou règlements examinés et les décisions d’octroi et de refus ainsi que les motifs des refus ;
2o Une annexe comportant les notes techniques exposant, pour chacun des contrats et règlements qui lui ont été
transmis pour délivrance du label, les analyses que le prestataire a réalisées au regard :
a) d
es conditions fixées par l’article 2 du décret (portant sur les risques minimums à garantir et la complémentarité
des garanties à la protection sociale de base des agents) ;
b) des principes de solidarité définis au titre IV de ce décret ;
c) des règles relatives à la comptabilité mentionnées à l’article 24 de ce même décret ;
3o Les décisions d’octroi et de refus de label, les contrats et règlements concernés ainsi que les correspondances
échangées.
L’article L. 310‑12‑2 du code des assurances confère à l’Autorité de contrôle prudentiel les pouvoirs suivants :
–Elle peut retirer l’habilitation « à la demande du prestataire ». En ce cas, le décret prévoit (article 10, dernier
alinéa) que le silence gardé par l’Autorité de contrôle prudentiel à l’issue d’un délai de deux mois à compter de
l’enregistrement de la demande vaut acceptation.
–L’Autorité de contrôle prudentiel peut également retirer l’habilitation « lorsque les conditions mises à son octroi
ne sont plus satisfaites ».
–Lors de la demande de renouvellement de l’habilitation, l’Autorité de contrôle prudentiel « apprécie l’activité du
prestataire au vu du rapport que lui remet celui-ci » et qui est cité plus haut. Elle peut « refuser le renouvellement
en cas d’insuffisances constatées » dans l’activité de labellisation, donc si les décisions prises ne sont pas conformes
aux principes de solidarité et aux règles comptables du décret.
Dans ces deux derniers cas, le prestataire doit avoir été mis à même de présenter ses observations écrites et, le cas
échéant, orales. Le prestataire qui sollicite son habilitation, son renouvellement ou le retrait de celle-ci est tenu de
répondre à toute demande de renseignement ou de pièces de l’Autorité de contrôle prudentiel (article 10 du décret).
Cette procédure étant du ressort de l’Autorité de contrôle prudentiel, c’est auprès de celle-ci que les prestataires
pourront obtenir des éléments complémentaires.
2. La procédure de « labellisation » elle-même (articles 11 à 14).
Les organismes intéressés transmettent leur contrat ou règlement pour labellisation à un prestataire habilité.
Le prestataire délivre le label si le contrat (ou le règlement) est conforme :
–aux principes de solidarité du titre IV du décret,
–aux règles comptables de l’article 24 du décret (contrôle, lorsque la participation est versée à l’organisme, de la
tenue par celui-ci d’une comptabilité permettant d’en retracer l’utilisation au bénéfice des agents et de la mention
de la participation sur les appels de cotisation ou de prime).
Le prestataire établit une note pour chacune des demandes, exposant les analyses réalisées et leurs conclusions
(article 12). Ces notes seront à joindre en annexe au rapport d’activité du prestataire (article 9).
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Les décisions du prestataire, habilité par une autorité administrative pour exercer la tâche de labellisation, relèvent
du chapitre II de la loi no 2000‑321 du 12 avril 2000 modifiée relative aux droits des citoyens dans leurs relations
avec l’administration. Aussi, le prestataire doit accuser réception des demandes (article 19 de la loi), dans les formes
prévues par le décret no 2001‑492 du 6 juin 2001, en précisant :
1o La date de réception de la demande et la date à laquelle, à défaut d’une décision expresse, celle-ci sera réputée
rejetée ;
2o La désignation, l’adresse postale et, le cas échéant, électronique, ainsi que le numéro de téléphone du service
chargé du dossier.
L’accusé de réception indique que la demande est susceptible de donner lieu à une décision implicite de rejet. Il
mentionne les délais et les voies de recours à l’encontre de la décision.
Décisions favorables du prestataire
Si le prestataire prend une décision accordant le label, il la notifie par lettre recommandée avec avis de réception à
l’organisme (article 11 du décret). Simultanément, il la communique au ministère (même article 11), chargé d’établir la
liste des contrats et règlements labellisés, à l’adresse suivante : Ministère de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités
territoriales et de l’immigration – Direction générale des collectivités locales – Sous-direction des élus locaux et de la
fonction publique territoriale – Bureau P3 – place Beauvau, 75800 Paris. La liste des contrats et règlements labellisés
sera accessible sur site internet du ministère chargé des collectivités territoriales (http://www.dgcl.interieur.gouv.fr/
sections/les_collectivites_te/fonction_publique_te/protection_sociale/complementaire/).
Le contrat ou le règlement est labellisé pour une durée de trois ans (renouvelable – article 13).
Décisions défavorables du prestataire
Si le prestataire garde le silence pendant plus de deux mois après la demande de l’organisme, conformément à la
loi no 2000‑321 du 12 avril 2000 relative aux droits des citoyens dans leurs relations avec l’administration (article 21)
ce silence vaut décision implicite de rejet.
Une telle décision implicite n’est pas motivée. En revanche, conformément à l’article 5 de la loi no 79‑587 du
11 juillet 1979, l’organisme peut demander, dans les délais du recours contentieux, les motifs de la décision et en vertu
du même article, le prestataire répond dans le délai d’un mois.
Si le prestataire prend une décision expresse de refus, il la notifie à l’organisme, en indiquant les délais et voies de
recours (article 8 de la loi no 78‑753 du 17 juillet 1978).
En vertu de l’article 13 du décret, les modifications intervenant au cours des 3 ans du label sont transmises au
prestataire habilité qui vérifie que les conditions du label sont toujours satisfaites. Si elles ne le sont plus, le prestataire
retire le label dans les conditions prévues par ce même article, et en informe immédiatement le ministre des collectivités
territoriales à l’adresse mentionnée ci-dessus.
L’article 13 édicte les conséquences du retrait ou du non-renouvellement du label par le prestataire. L’organisme
doit en informer les agents dans un délai d’un mois à compter de la notification de la décision, en leur précisant les
majorations de cotisation qui peuvent en résulter pour eux, définies à l’article 28. Ces majorations prennent effet,
pour les agents, à compter du premier jour du 2e mois suivant la fin du label.
B. – La
procédure de
« convention
de participation »
1. Le lancement de la procédure
La convention de participation a pour base législative l’article 88‑2, II de la loi no 84‑53 du 26 janvier 1984 : « Pour
l’un ou l’autre ou pour l’ensemble des risques en matière de santé et prévoyance, les collectivités territoriales et leurs
établissements publics ont la faculté de conclure avec un des organismes mentionnés au I, à l’issue d’une procédure de
mise en concurrence transparente et non discriminatoire permettant de vérifier que la condition de solidarité prévue à
l’article 22 bis de la loi no 83‑634 du 13 juillet 1983 précitée est satisfaite, une convention de participation au titre d’un
contrat ou règlement à adhésion individuelle et facultative réservée à leurs agents. Dans ce cas, les collectivités et leurs
établissements publics ne peuvent verser d’aide qu’au bénéfice des agents ayant adhéré à ce contrat ou règlement.
Les retraités peuvent adhérer au contrat ou règlement faisant l’objet d’une convention de participation conclue par
leur dernière collectivité ou établissement public d’emploi. »
Ce texte, appliqué par le chapitre 2 du décret, définit les caractéristiques de la convention de participation : c’est
une convention spécifique et non un marché public (a), qui peut être souscrite pour un type de risque ou l’ensemble
de ceux-ci (b), un seul opérateur peut être choisi (c), la convention est conclue au titre du contrat ou du règlement
choisi (d), elle fait l’objet d’une procédure transparente et non-discriminatoire destinée à vérifier la solidarité du
contrat ou du règlement (e).
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a) La convention de participation est un contrat spécifique, ce n’est pas un marché public.
Les marchés publics, selon la définition du code des marchés (article 1er) reprenant un avis du Conseil d’État
no 370169 du 18 mai 2004, sont des « contrats conclus à titre onéreux conclus entre les pouvoirs adjudicateurs et des
opérateurs économiques... pour répondre à leurs besoins ». Un marché public est ainsi caractérisé lorsque la somme
versée par le pouvoir adjudicateur a un lien direct avec les prestations effectuées (Conseil d’État, 29 novembre 2003,
Communauté urbaine de Lyon no 241524).
Or, les conventions de participation n’ont pas pour objet de satisfaire les besoins des employeurs publics. Elles
ont pour but de sélectionner un seul contrat ou règlement de protection sociale ouvrant droit aux aides destinés aux
agents, satisfaisant à la solidarité exigée par la loi (1). À cet effet, le décret crée une procédure spécifique (articles 15
à 19). Les sommes versées à l’organisme choisi ne sont pas une rémunération de celui-ci, il s’agit des aides de la
collectivité à ses agents, que l’organisme leur répercute (2). Ces conventions ne constituent donc pas des marchés
publics.
Il convient de noter que le visa du code des marchés figurant au décret ne se rapporte pas aux conventions de
participation mais à l’article 5‑4o du décret relatif aux prestataires chargés de labelliser (qui ne doivent pas avoir fait
l’objet de l’une des interdictions de soumissionner prévues par le code des marchés).
b) Une convention peut être conclue pour un type de risque ou l’ensemble des risques.
Les collectivités peuvent choisir une procédure différente par type de risque comme précisé à propos de l’article 4
du décret (voir I, B). Si elles choisissent la convention de participation, l’article 88‑2‑II de la loi du 26 janvier 1984
dispose qu’elles peuvent le faire « pour l’un ou l’autre ou pour l’ensemble des risques en matière de santé et de
prévoyance ». Une convention peut être conclue soit pour le risque santé, soit pour le risque prévoyance, soit pour
les deux risques (par convention distincte pour chaque risque ou par convention portant sur l’ensemble des risques).
c) Un seul opérateur peut être choisi au titre de chaque risque (un seul pour les deux risques pouvant l’être aussi,
cf ci-dessus) : « les collectivités territoriales et leurs établissements publics ont la faculté de conclure avec un des
organismes... » (article 88‑2 de la loi du 26 janvier 1984). Ce principe est rappelé à l’article 15 du décret.
d) La convention est conclue « au titre » du contrat ou du règlement choisi.
L’article 88‑2 dispose que les collectivités peuvent conclure « une convention de participation au titre d’un contrat
ou règlement à adhésion individuelle et facultative réservée à leurs agents ».
La procédure de convention de participation comprendra ainsi deux types de documents :
– la convention elle-même ;
– le contrat ou règlement au titre duquel elle est conclue ;
La « convention de participation » elle-même est un document de subventionnement, destiné à régler les relations
financière entre la collectivité et l’organisme et à s’assurer que celui-ci s’engage sur les conditions solidaires exigées
par le décret. À ce titre la convention reprend, dans ses clauses, les obligations de l’organisme définies par le décret
tant envers les adhérents (par exemple l’engagement à proposer pendant la durée de la convention l’ensemble des
options prévues dans les garanties proposées (3), l’absence de fixation des cotisations ou primes en fonction d’un
questionnaire médical (4)...) qu’envers la collectivité (par exemple la production d’un rapport à l’issue de 3 ans
ainsi qu’au terme de la convention montrant comment a été mise en pratique l’offre d’assurer la solidarité entre les
adhérents ainsi qu’une couverture effective des plus âgés et des plus exposés aux risques (5)).
L’organisme contractant comme la collectivité s’engage sur l’ensemble des obligations définies par le décret pour la
convention de participation, dans quelque chapitre du décret qu’elles figurent.
La convention de participation est accompagnée du contrat ou du règlement « au titre » duquel elle est conclue
(article 88‑2 de la loi du 26 janvier 1984).
La convention de participation règle les relations spécifiques collectivité/organisme ; elle est accompagnée du
contrat ou du règlement définissant les droits et obligations des agents assurés.
(1) Article 22 bis de la loi no 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires.
(2) Cf. article 24, alinéa 2, du décret du 8 novembre 2011 : la participation est versée aux agents ou à l’organisme et, dans ce dernier cas, celui-ci
doit la répercuter intégralement aux agents en réduction de la cotisation ou de la prime.
(3) Cf. article 17 du décret.
(4) Articles 28 (2o) et 31 (2o) du décret.
(5) Article 19 du décret.
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Il s’agit de contrats ou règlements à adhésion individuelle des agents, conformément à l’article 88‑2 de la loi
de 1984 :
–Contrat (entreprises d’assurance, article L. 112‑2 du code des assurances ; institutions de prévoyance,
article L. 932‑14 du code de la sécurité sociale) ou règlement (mutuelles : articles L. 114‑1 et L. 221‑2-II du code
de la mutualité ; institutions de prévoyance : article L. 932‑14 du code de la sécurité sociale) auxquels les agents
adhèrent directement. Celui-ci sera annexé à la convention.
– Opération collective à adhésion facultative : l’employeur la souscrit et les agents y adhèrent s’ils le souhaitent
(voir partie I, B, 1). En ce cas la collectivité, en même temps que la convention, souscrit auprès de l’organisme
l’un des documents prévus par les textes pour ce type d’opération :
– soit un bulletin d’adhésion au règlement de l’organisme, ouvert à l’adhésion facultative des agents (mutuelles,
article L. 221‑2-III du code de la mutualité ; institutions de prévoyance, article L. 932‑14 du code de la sécurité
sociale) ;
–soit un contrat : contrat « de groupe » à adhésion facultative pour les agents (entreprises d’assurance,
article L. 141‑1 du code des assurances ; contrat « collectif » à adhésion facultative pour les agents (mutuelles
et institutions de prévoyance, voir articles L. 221‑2-III, code de la mutualité et L. 932‑14 du code de la sécurité
sociale).
Ces documents, qui accompagnent la convention de participation, sont ensuite proposés à l’adhésion facultative et
individuelle des agents.
e) La convention fait l’objet d’une procédure transparente et non discriminatoire destinée à vérifier le caractère
solidaire du contrat ou du règlement.
1re étape : La collectivité consulte le comité technique et délibère sur les éléments essentiels de la future convention.
Le comité technique est consulté, conformément à l’article 33 de la loi no 84‑53 du 26 janvier 1984 issu de la loi
« dialogue social » no 2010‑751 du 5 juillet 2010, « sur les aides à la protection sociale complémentaire, lorsque la loi
en a décidé l’attribution à ses agents ».
La collectivité délibère sur les éléments essentiels de la convention (en pratique, le projet de convention et le
dossier soumis à la mise en concurrence), conformément au code général des collectivités territoriales qui prévoit que
l’assemblée délibérante règle les affaires de la collectivité, l’exécutif exécutant ses décisions (1).
À cette occasion, la collectivité détermine le montant estimé ou la fourchette de participation qu’elle prévoit,
comme mentionné dans le modèle d’avis de mise à la concurrence défini par arrêté du 8 novembre 2011, commenté
ci-après.
Cette délibération pourra, le cas échéant, intervenir en même temps que celle sur le choix de la procédure
(labellisation ou convention de participation) après avis du comité technique, délibération prévue par l’article 4 du
décret.
2e étape : La collectivité publie l’avis d’appel à la concurrence.
L’avis d’appel à la concurrence est publié avec les précisions mentionnées à l’article 15 du décret :
1o Les modalités de présentation des offres de candidature, dont le délai de réception ne peut être inférieur à
quarante-cinq jours à compter de la date de publication de l’avis d’appel à la concurrence ;
2o Les niveaux minimaux de capacité demandés aux candidats et les renseignements à fournir à cet effet ;
3o Les caractéristiques essentielles de la convention envisagée, notamment son objet, sa nature et les personnels
intéressés ;
4o Les critères de choix de la collectivité territoriale ou de l’établissement public.
Ces critères de choix marquent la spécificité de la convention de participation à sélectionner un contrat ou un
règlement solidaire. Ils sont définis par l’article 18 du décret et un arrêté du 8 novembre (texte no 71 au JO du
10 novembre) fixe la liste des documents et justificatifs à demander aux candidats. Ils sont commentés ci-après, à
propos des critères de choix de la collectivité.
L’avis est publié dans une publication habilitée à recevoir les annonces légales et dans une publication spécialisée
dans le secteur des assurances. Afin de déterminer les publications habilitées à recevoir les annonces légales, il
convient de se reporter à la liste fixée chaque année par arrêté préfectoral dans le département où est institué le siège
de l’employeur public (article 2 de la loi no 55‑4 du 4 janvier 1955). À cet effet, il convient de préciser que le Bulletin
officiel d’annonces des marchés publics (BOAMP) est une publication habilitée à recevoir les annonces légales (CE,
19 novembre 2004, « commune d’Auxerre c/ société Saur France », req no 266975). S’agissant de la publicité effectuée
(1) Pour le maire, articles L. 2121-29 et L. 2122-21 du CGCT ; pour le président du conseil général, articles L. 3211-1 et L. 3221-1, R. 3221-1 ;
pour le président du conseil régional, articles L. 4221-1 et L. 4231-1.
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dans ce bulletin, un formulaire dédié est en cours d’élaboration. Dans l’attente, le formulaire relatif aux marchés
de prestations de service peut être utilisé en indiquant qu’il s’agit d’une convention de participation au titre de la
protection sociale complémentaire.
Par ailleurs, au-delà d’un seuil fixé à 100 000 € de montant annuel de participation financière prévue par l’arrêté
du 8 novembre 2011 relatif à l’avis d’appel à la concurrence, l’avis est également publié au Journal officiel de l’Union
européenne selon un formulaire annexé à cet arrêté (les mentions figurant dans ce formulaire peuvent être reprises
dans l’avis d’appel à la concurrence publié au niveau national). Dans ce cas, les avis destinés aux autres publications
leur sont adressés après l’envoi de l’avis à l’office des publications officielles de l’union européenne.
3e étape : La collectivité fournit aux candidats un document définissant les caractéristiques quantitatives et
qualitatives de son personnel et des prestations à proposer (article 16 du décret).
S’agissant du risque « santé » qui concerne également les retraités, les caractéristiques de la population portent
également sur ceux-ci. Les collectivités peuvent les obtenir auprès des caisses de retraite (CNRACL et IRCANTEC),
habilitées à fournir aux collectivités des renseignements non nominatifs concernant le sexe, l’âge et le niveau moyen
des pensions relatifs à la population retraitée. Elles passent à cet effet une convention avec les Caisses et remboursent
celles-ci selon les modalités financières fixées par cette convention (article 16, alinéa 2 du décret).
S’agissant du risque « prévoyance », les caractéristiques quantitatives et qualitatives de la population doivent intégrer
un état déclaratif des risques à couvrir pour l’ensemble des agents, affiliés ou non à la CNRACL. Les articles L. 113‑8
et 9 du code des assurances sanctionnent l’omission ou la déclaration inexacte du risque. De façon comparable à ce
qui a été préconisé pour la fonction publique de l’État, pourraient être présenté aux candidats :
– S’agissant du risque incapacité : Pour les agents affiliés et non affiliés à la CNRACL sur les 3 derniers exercices,
le nombre d’agents arrêtés et de jours indemnisés à plein et demi traitement pour chacun des congés de maladie
(maladie ordinaire, longue maladie, longue durée, grave maladie) et en disponibilité d’office ;
– S’agissant du risque invalidité, sur les 3 derniers exercices le nombre d’agents mis à la retraite pour invalidité par
la CNRACL ou ayant obtenu une pension d’invalidité de la Sécurité sociale ;
– S’agissant du risque décès, sur les 3 derniers exercices le nombre d’agents décédés ;
– L’évolution des effectifs sur les 3 derniers exercices et la pyramide des âges.
La collectivité veille à ce que chaque candidat reçoive un document identique afin que le principe d’égalité entre
les candidats soit respecté.
Elle peut leur transmettre un dossier de candidature.
Les caractéristiques de la population et, le cas échéant, le dossier de candidature, doivent pouvoir être communiquées
dès la publication de l’avis d’appel à la concurrence aux candidats qui en font la demande auprès du service compétent.
La collectivité peut par ailleurs fixer une date limite de retrait des dossiers antérieure à la date limite de dépôt des
offres.
4e étape : Les candidats remettent leur offre.
L’offre est remise dans le délai fixé par la collectivité et qui ne pourra être inférieur à 45 jours (cf article 15, 1o du
décret). Le contenu de cette offre est fixé par les articles 17 et 18 du décret. Elle comprend les éléments suivants :
1. « les conditions générales d’adhésion » (article 17, 1o) ;
2. « les prestations offertes » (article 17, 2o) ;
3. « pour chacune des options, le tarif proposé » (article 17, 3o), c’est-à-dire le contrat ou le règlement proposé aux
agents (cf. point I.4, b). À cet égard, s’il s’agit d’un contrat collectif ou de groupe, il n’a pas besoin de faire l’objet
d’une mise en concurrence distincte. Il forme un ensemble unique avec la convention de participation ;
4. « les limites, âge par âge, au-delà desquelles ce tarif ne peut évoluer » (article 17, 4o). Il s’agit d’éviter que des
organismes présentent des tarifs très attractifs sur certaines tranches d’âge (exemple : les moins de 40 ans), aménant
ceux-ci à se désaffilier d’organismes plus solidaires, lesquels conserveraient seulement les adhérents les plus âgés. Il en
résulterait un écart tarifaire global entre opérateurs. Pour faire face à ce risque, les organismes fournissent, en plus
de l’ensemble des tarifs correspondant à leur offre, les évolutions de tarif âge par âge envisagées sur les 6 ans de la
convention ;
5. « Une précision du degré effectif de solidarité et de la maîtrise financière du dispositif envisagé » (article 17, 5o).
Le contenu de ces documents est précisé dans un arrêté du 8 novembre relatif aux critères de choix de la collectivité :
– La « précision du degré effectif de solidarité »
Ce « degré » est à comprendre en fonction du critère de choix correspondant qui sera appliqué par la collectivité
(cf. article 18, 2o) : « degré effectif de solidarité entre les adhérents ou souscripteurs, intergénérationnelle, en fonction
de la rémunération et, pour le risque “santé”, familiale ».
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Les contrats et règlements éligibles aux aides respectent, au minimum, les principes de solidarité prévus au titre IV
du décret (commentés dans la partie II de la présente circulaire). Sur ces bases minimales, ils présentent un degré de
solidarité plus ou moins grand que la collectivité appréciera.
En vue de permettre cette appréciation, les organismes candidats transmettent les prévisions des transferts
de solidarité qu’ils mettront en œuvre, s’ils sont choisis. Plus les transferts seront élevés, plus la tarification sera
« solidaire ».
S’agissant des transferts en matière de solidarité intergénérationnelle et familiale, ces prévisions sont calculées
conformément à l’arrêté du 8 novembre 2011 relatif aux critères de choix.
S’agissant de la solidarité en fonction de la rémunération (obligatoire pour le risque « prévoyance » au cas où la
convention est accompagnée d’une opération collective facultative (voir article 31, 1o du décret), il est préconisé d’en
fixer les modalités d’appréciation dans le dossier de mise en concurrence. À titre d’exemple, elles peuvent porter,
en s’inspirant des recommandations pour la fonction publique de l’État, sur le montant des transferts monétaires
envisagés entre les adhérents à bas et à haut revenu.
Les éléments justifiant de ce calcul doivent être joints.
Les candidats fournissent également des éléments permettant à la collectivité de vérifier (article 18, 4o) « Les moyens
destinés à assurer une couverture effective des plus âgés et des plus exposés aux risques ».
Celle-ci peut être effectuée par la présentation, par les candidats, de leur stratégie de recrutement, assortie
d’engagements tarifaires âge par âge. Aussi est-il recommandé de poser aux candidats des questions permettant
de juger ces éléments, telles que : plan de communication envisagé vis-à-vis de ces populations spécifiques, contacts
possibles pour les agents (téléphonique, rendez-vous personnalisé, internet), accessibilité à l’organisme (plages
horaires, lieu)...
– « La maîtrise financière du dispositif envisagé »
Ce critère est destiné à vérifier la viabilité financière du contrat. Il est précisé dans l’arrêté relatif aux critères de
choix du 8 novembre 2011.
6. Chaque candidat « s’engage également », en cas de sélection, à offrir à la population intéressée, pendant les 6 ans
de la convention et selon les modalités prévues au présent décret, « l’ensemble des options prévues dans les garanties
proposées » (article 17, dernier alinéa) ;
7. Des « garanties professionnelles, financières et prudentielles » (article 18, premier alinéa).
5e étape : La collectivité examine les offres (article 18 du décret).
Son choix est préparé sur la base des critères suivants :
1. « Examen des garanties professionnelles, financières et prudentielles présentées par les candidats » (article 18,
premier alinéa). Les candidats dont les justifications sont insuffisantes sont éliminés (cf. CE, ordonnance du
15 décembre 2006, « Sté Corsica Ferries », req. no 298618).
La procédure prévue par le décret ne comporte pas deux étapes (examen des garanties financières, professionnelles
et prudentielles des candidats puis présentation d’une offre par les candidats sélectionnés). L’examen des garanties
professionnelles, prudentielles et financières constitue seulement un élément d’appréciation des dossiers présentés par
les candidats.
À titre d’illustration, tirés de jurisprudence portant sur d’autres types de contrat :
Concernant l’examen des garanties financières, le chiffre d’affaires d’un organisme peut être pris en compte (cf. CE,
21 juin 2000, « Syndicat intercommunal de la Côte d’Amour et presqu’île guérandaise », req no 209319) ; il convient,
toutefois, de veiller à ne pas porter atteinte à l’égalité entre les candidats (cf. CAA, Nantes, 22 décembre 1999,
« District urbain de l’agglomération nantaise », req no 95NT00738 : en l’espèce, il était exigé des candidats un chiffre
d’affaires cinq fois supérieur au montant du coût du projet). De même, le capital social, le minimum de fonds propres,
la caution et autres garanties externes constituent autant d’éléments pouvant être examinés dans ce cadre (1).
Les garanties professionnelles visent à attester des capacités techniques de l’organisme candidat. Les garanties
prudentielles sont, par exemple, le ratio de marge de solvabilité ou le montant des fonds propres.
Les offres de tous les candidats présentant des garanties financières, professionnelles et prudentielles suffisantes
sont examinées par l’employeur (cf. CE, 30 juin 1999, « SMITOM », Centre ouest Seine et Marnais, req no 198147).
2. « Les principes de solidarité fixés au titre IV » (article 18, premier alinéa). Ces principes ont été commentés dans
la partie II. Ils constituent la base minimum du choix des offres.
(1) Groupe moniteur, DSP, décembre 2004, II, 210-2 sélection des candidats, examen des candidatures.
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3. Les critères de l’article 18
1o « Le rapport entre la qualité des garanties et le tarif proposé ».
Si le coût des garanties proposées est un élément du choix, la complémentarité des garanties avec celle du statut
de la fonction publique (pour les fonctionnaires et les agents non titulaires de droit public) et du régime de sécurité
sociale sont à prendre en compte. La richesse des options pourrait également l’être.
Les évolutions de tarif proposées par les organismes candidats sont également appréciées, car celui sélectionné
s’engage sur ses propositions pour toute la durée de la convention (voir article 17 du décret).
2o « Le degré effectif de solidarité entre les adhérents ou les souscripteurs, intergénérationnelle, en fonction de la
rémunération et, pour le risque “santé”, familiale ».
Ce critère applique la condition de solidarité exigée par la loi du 13 juillet 1983 (article 22 bis) portant droits et
obligations des fonctionnaires. Il a été analysé dans la partie relative à la 4e étape – les candidats remettent leur offre.
3o « La maîtrise financière du dispositif ».
Ce critère a également été commenté dans la partie relative à la 4e étape.
4o « Les moyens destinés à assurer une couverture effective des plus âgés et des plus exposés aux risques ».
Ce critère a été examiné avec celui relatif au degré effectif de solidarité, dans la partie relative à la 4e étape.
La collectivité dispose d’une marge pour apprécier la pondération à affecter à ces différents critères, la pondération
devant apparaître dans l’avis d’appel public à la concurrence. Ces pondérations, à titre d’exemple selon les
recommandations effectuées pour la fonction publique d’État, pourraient être égales à :
30 % pour le rapport entre la qualité des garanties et le tarif proposé ;
40 % pour le degré effectif de solidarité entre les adhérents ou les souscripteurs ;
20 % pour la maîtrise financière du dispositif ;
10 % pour les moyens destinés à assurer une couverture effective des plus âgés et des plus exposés aux risques.
5. « Tout autre critère objectif respectant l’obligation de transparence et de non-discrimination, adapté à la
couverture de la population intéressée » (article 18, 5o).
Cette disposition permet aux collectivités de définir un critère supplémentaire pour qu’elles puissent s’adapter, le
cas échéant, aux spécificités de leur personnel. Toutefois, si la collectivité souhaite ajouter des critères à la couverture
spécifique de ses agents, ceux-ci doivent être justifiés afin d’éviter tout risque contentieux.
6e étape : La collectivité consulte le comité technique et délibère sur le choix du contrat ou du règlement.
Le choix du contrat ou du règlement est effectué « par délibération, après avis du comité technique » (article 18,
premier alinéa, du décret).
L’article 18 du décret dispose que la collectivité « après examen des garanties professionnelles, financières et
prudentielles présentées par les candidats, fonde son choix, par délibération, après avis du comité technique, sur
les principes de solidarité fixés au titre IV et sur les critères suivants (1o rapport entre qualité des garanties et tarif
proposé ; 2o degré effectif de solidarité entre les souscripteurs, intergénérationnelle, en fonction de la rémunération
et, pour le risque santé, familiale ; 3o la maîtrise financière du dispositif ; les moyens destinés à assurer une couverture
effective des plus âgés et des plus exposés aux risques ; 4o tout autre critère objectif... adapté à la couverture de la
population intéressée ».)
Le comité technique est consulté préalablement au choix du contrat ou du règlement qui est ensuite effectué par
l’organe délibérant.
Lors de cette consultation, une synthèse de l’examen des offres est présentée par l’autorité territoriale.
7e étape : La collectivité signe la convention (article 19 du décret).
– La convention est accompagnée d’un document destiné à régler les droits et obligations des agents envers
l’organisme (cf. II, B, 1, d).
Ces documents sont régis par les dispositions correspondantes des codes de la mutualité, de la sécurité sociale ou
des assurances ainsi que par la loi « Evin » no 89‑1009 du 31 décembre 1989 renforçant les garanties des personnes
assurées contre certains risques.
– La convention est conclue pour une durée de six ans. Elle peut être « prorogée pour des motifs d’intérêt général,
pour une durée ne pouvant excéder un an ».
– La collectivité ou l’établissement « informe ses agents de la signature de cette convention, des caractéristiques du
contrat ou du règlement au titre duquel elle est conclue ainsi que des modalités d’adhésion à celui-ci. » Elle procède
à cette information par tous moyens (internet, affichage sur les lieux de travail...).
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– Concernant les retraités, ils sont informés et peuvent adhérer à la convention de participation conclue par leur
dernier employeur selon les modalités rappelées en I, A, 3.
– Dans un souci de sécurité juridique, la conclusion de la convention ainsi que les modalités de sa consultation
sont également rendues publiques par voie de presse, afin que le recours éventuel des candidats évincés à l’encontre
de cette convention soit enfermé dans un délai de deux mois à compter de la publication. En l’absence de publicité,
ces derniers sont en effet recevables à demander au juge l’annulation de la convention sans délai (CE, 16 juillet 2007,
« Société Tropic travaux signalisation », no 291545, publié au recueil Lebon).
La collectivité pourrait combiner ces mesures de publicité avec une notification individuelle aux candidats non
retenus.
2. L’exécution de la convention de participation
a) Les tarifs
L’organisme s’engage sur sa tarification pour la durée de la convention (article 17, 3o et 4o, du décret). Cependant
des possibilités pour l’organisme de faire varier son tarif sont introduites, si le changement « revêt un caractère
significatif », dans les cas définis à l’article 20 du décret Il s’agit :
1o de l’aggravation de la sinistralité (par exemple, une épidémie) ;
2o de la variation du nombre d’agents et de retraités adhérents ou souscripteurs, à la hausse comme à la baisse ;
3o des évolutions démographiques : par exemple, évolution des effectifs de la collectivité non conforme aux prévisions
et conduisant à un vieillissement du groupe d’adhérents ou souscripteurs, ne permettant plus d’assurer les solidarités
intergénérationnelles prévues ;
4o de la modification de la réglementation : par exemple, diminution des remboursements par la sécurité sociale,
modification des couvertures statutaires, renforcement des exigences prudentielles demandées aux organismes
assureurs.
La convention de participation étant un contrat, la hausse de tarif ne peut intervenir sans l’accord de la collectivité.
En conséquence, la convention précisera les conditions dans lesquelles ces demandes peuvent être introduites,
notamment le délai dans lequel elles peuvent être présentées, ainsi que le délai de réponse de la collectivité.
b) Le contrôle de la collectivité et les possibilités de mettre fin à la convention
L’organisme produit à la collectivité, au terme d’une période de trois ans et au terme de la convention, un rapport
retraçant les opérations réalisées au vu des critères des 2o et 4o de l’article 18 (c’est-à-dire : degré de solidarité entre les
adhérents ou souscripteurs, intergénérationnelle, en fonction de la rémunération et, pour le risque santé, familiale ;
moyens destinés à assurer une couverture effective des plus âgés et des plus exposés aux risques). Ces critères ont
fait l’objet de documents fournis par l’organisme au moment de la mise en concurrence, selon le contenu défini par
l’arrêté du 8 novembre 2011 relatif aux critères de choix ; les prévisions de transferts de solidarité dans les différents
domaines ont été calculées pour 5 ans.
Si ces critères n’ont pas été satisfaits – le rapport devant permettre à la collectivité de les contrôler compte tenu des
prévisions annoncées – la collectivité peut résilier la convention.
Si l’organisme ne respecte plus les dispositions du décret, la collectivité peut dénoncer la convention (article 21 du
décret, qui en mentionne aussi la procédure). La collectivité recueille les observations écrites et, le cas échéant, orales
de l’organisme, et lui indique qu’il peut se faire assister par un conseil ou représenter par un mandataire de son choix.
De plus, la convention de participation étant un contrat administratif, la collectivité peut le résilier pour un motif
d’intérêt général selon les principes définis pour ces contrats, ou pour faute, même dans le silence du contrat (sur
ce dernier point, voir arrêt du Conseil d’État du 30 septembre 1983, « SARL Comexp », Rec. page 393), en dehors
des cas prévus par les articles 19 et 21 du décret de 2011. La convention peut également prévoir d’autres sanctions,
notamment pécuniaires, en cas de défaut ou de mauvaise exécution par l’organisme.
Dans l’hypothèse d’une dénonciation comme d’un non-renouvellement, l’organisme, ou la collectivité – en cas
d’opération collective facultative, voir paragraphe I, 3 – informe, dans le délai d’un mois à compter de la décision, les
souscripteurs ou adhérents des conséquences qui peuvent en résulter pour eux en termes de majoration de cotisation
(voir commentaire sur l’article 28 du décret en II, B, 1).
3. La compétence des centres de gestion
La compétence des centres de gestion en matière de protection sociale complémentaire est fixée par l’article 25
de la loi no 84‑53 du 26 janvier 1984. Initialement ce texte, issu de la loi no 2007‑209 du 19 février 2007 relative à la
fonction publique territoriale, donnait compétence aux centres de gestion pour conclure des « contrats-cadres » en
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matière d’action sociale et de protection sociale complémentaire (1). Mais ce texte a été modifié par la loi no 2009‑972
du 3 août 2009 relative à la mobilité. En même temps qu’elle créait les conventions de participation pouvant être
conclues par les collectivités (nouvel article 88‑2 de la loi du 26 janvier 1984), la loi a modifié l’article 25 de sorte
que les centres de gestion ne puissent conclure que ces conventions de participation au titre de la protection sociale
complémentaire. Ainsi, si les centres de gestion peuvent continuer à conclure des contrats-cadres pour l’action sociale,
ce c’est plus le cas pour la protection sociale complémentaire.
Aussi l’article 25 dispose à présent que les centres de gestion « peuvent souscrire, pour le compte des collectivités
et établissements de leur ressort qui le demandent, des contrats-cadres permettant aux agents de bénéficier de
prestations d’action sociale mutualisées (l’action sociale) et conclure avec un des organismes mentionnés au I de
l’article 88‑2 une convention de participation dans les conditions prévues au II du même article (la protection sociale
complémentaire). »
Dans ce cadre le centre de gestion ne peut, sans avoir reçu mandat de collectivités, prendre l’initiative d’une mise
en concurrence pour une convention de participation.
Le centre de gestion suit la procédure de convention de participation établie pour les collectivités par l’article 88‑2
de la loi no 84‑53 du 26 janvier 1984 et le décret du 8 novembre 2011 (voir 2, e de la présente circulaire). Il lance la
procédure de mise en concurrence. À ce stade, le montant de la participation ou de la fourchette de participation est
indicatif ou estimatif (2).
Avant la signature de la convention, chacune des collectivités délibère sur le montant définitif de la participation
qu’elle accorde, qui figurera dans la convention signée. Celle-ci sera rendue publique par le centre de gestion (voir 2, e).
Enfin, les collectivités et établissements publics peuvent adhérer à ces contrats par délibération, après signature
d’une convention d’adhésion avec le centre de gestion de leur ressort.
Dans le cas où des collectivités mandateraient ultérieurement le centre de gestion en vue de la conclusion d’une
convention de participation, celui-ci pourra conclure d’autres conventions pour les collectivités concernées, selon la
même procédure.
Quant à la consultation des comités techniques, chaque collectivité concernée consulte son comité technique sur le
choix de la procédure de sélection (labellisation ou convention de participation, voir article 4 du décret). Le comité
technique compétent sur le projet de dossier de mise en concurrence et le choix du candidat est, en revanche, celui
du centre de gestion, les collectivités ayant demandé à celui-ci de conclure la convention de participation pour leur
compte (3). Dans un souci de qualité du dialogue social, il apparaît souhaitable que celui-ci soit organisé de telle sorte
que les représentants du personnel des comités techniques des collectivités concernées soient informés des différentes
étapes du processus.
Les financements que les centres de gestion sont habilités à demander pour l’exercice de cette mission sont ceux
fixés par l’article 22 de la loi no 84‑53 du 26 janvier 1984 pour leurs missions facultatives, qui ne prévoit que des
financements auprès des collectivités et établissements. La loi ne prévoit pas de financements auprès d’opérateurs.
IV. – VERSEMENT DE LA PARTICIPATION
Celui-ci est régi par le chapitre III du décret.
La participation constitue une « aide à la personne » comme le précise l’article 24, « sous forme d’un montant
unitaire par agent, et vient en déduction de la cotisation ou de la prime due par l’agent. ». Elle est fixée par délibération.
1. Nécessité d’une ou de deux délibérations
Dans le cas d’une convention de participation, deux délibérations sont nécessaires, comme indiqué dans la partie
III, B, 1, e. Une première délibération approuvant le dossier à mettre à la mise en concurrence fixe le montant estimé
ou la fourchette de participation prévue. Le montant définitif de la participation est fixé lors de la délibération finale
choisissant l’organisme et habilitant l’autorité territoriale à signer la convention (article 18 du décret). Dans le cas
d’une convention de participation conclue par le centre de gestion pour le compte de collectivités, des spécificités sont
à prendre en compte (III, B, 3).
2. Incidence du mode de sélection choisi
Lorsque la collectivité choisit, sur un risque (santé ou prévoyance), de verser sa participation dans le cadre d’une
convention de participation, elle ne peut la verser qu’aux agents ayant adhéré au contrat ou au règlement correspondant
(1) « Permettant aux agents de bénéficier de prestations d’action sociale mutualisées et de prestations dans les domaines de la santé et de la
prévoyance ».
(2) Voir arrêté du 8 novembre 2011 relatif à l’avis d’appel public à la concurrence.
(3) Celle-ci englobant la mise en concurrence. Les travaux parlementaires montrent que la disposition visait à la « mutualisation de la mise en
concurrence », qui devait être « source d’économies pour les collectivités concernées » (débats au Sénat, 20 décembre 2006, M. Jean Boyer).
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et non à ceux adhérant à des contrats ou règlements labellisés. L’article 88‑2 de la loi du 26 janvier 1984 dispose en
effet : « Dans ce cas, les collectivités et leurs établissements publics ne peuvent verser d’aide qu’au bénéfice des agents
ayant adhéré à ce contrat ou règlement » Cette disposition a été prise pour que la convention de participation attire
un minimum d’agents et soit donc viable.
Lorsque la labellisation aura été choisie par la collectivité comme mode de sélection sur un risque, celle-ci devra
verser la participation à tous les agents ayant souscrit un contrat ou adhéré à un règlement labellisé. L’article 88‑2
de la loi du 26 janvier 1984 rend en effet éligibles à la participation de la collectivité « les contrats et règlements en
matière de santé ou de prévoyance remplissant la condition de solidarité prévue à l’article 22 bis de la loi no 83‑634
du 13 juillet 1983 précitée, attestée par la délivrance d’un label ».
3. Montant de la participation
La législation ne fixe pas de montant minimum. Quant au montant maximum, c’est celui du « montant de la
cotisation ou de la prime qui serait dû en l’absence d’aide » (article 25).
La participation est versée sous forme d’un montant unitaire par agent et vient « en déduction de la cotisation ou
de la prime due par l’agent » (article 24 du décret). Or cette cotisation ou prime due peut être modulée en fonction
du nombre d’ayants droit si le contrat ou le règlement le prévoit. La participation de la collectivité peut donc être
apportée à due concurrence. Cette modulation de la participation est également conforme à l’article 23 du décret, qui
permet de moduler la participation en prenant en compte la situation familiale des agents.
Le montant de la participation peut être modulé « dans un but d’intérêt social, en prenant en compte le revenu
des agents et, le cas échéant, leur situation familiale » (article 23). Le « but d’intérêt social » consiste à favoriser les
personnels aux revenus les moins élevés en prenant en compte, le cas échéant, la situation familiale, à l’instar de ce
qui est prévu en matière d’action sociale par l’article 9 de la loi no 83‑634 du 13 juillet 1983.
4. Mode de versement
La participation peut être versée directement aux agents (article 24).
Elle peut également être versée via les organismes, qui doivent alors la répercuter intégralement en déduction de la
cotisation ou de la prime due par les agents (article 24). Le décret comporte différentes dispositions pour s’assurer
de cette répercussion :
– Le montant de l’aide versée à l’organisme ne peut excéder le montant unitaire de l’aide multiplié par le nombre
d’agents bénéficiaires, le versement étant effectué par la collectivité au vu de la liste de ses agents qui lui est
communiquée par l’organisme au moins une fois par an (la collectivité définira avec l’organisme le rythme de
fourniture de cette liste : annuel, semestriel, trimestriel...). C’est l’objet de l’article 25.
– L’organisme « tient une comptabilité permettant de retracer l’utilisation des participations reçues dans le respect
de l’article 1er » c’est-à-dire dans les conditions du décret, et en particulier de l’obligation de répercuter la
participation par une réduction de la cotisation ou de la prime due par les agents définie à l’article 24.
L’organisme doit également faire apparaître sur les appels de cotisation ou de prime le montant total ainsi que le
montant de l’aide versée.
Ces modalités sont vérifiées par les collectivités dans le cas d’une convention de participation et par les prestataires
habilités dans le cas d’un contrat ou d’un règlement labellisé.
V. – DISPOSITIONS TRANSITOIRES
Le titre V organise les dispositions transitoires et finales du projet de décret.
L’article 32 fixe des délais pour la mise en place de la procédure de labellisation.
Le premier alinéa impose un cadre pour la publication de la première liste de prestataires habilités par l’Autorité
de contrôle prudentiel (cinq mois maximum suivant la publication de l’arrêté portant composition du dossier de
demande d’habilitation). L’arrêté portant composition du dossier d’habilitation du 8 novembre 2011 ayant été publié
au Journal officiel du 10 novembre, la publication de la liste par l’Autorité de contrôle prudentiel, cinq mois plus tard,
est intervenue le 10 avril 2012 (elle est consultable sur www.acp.banque-france.fr/acp/agrements-et-autorisations).
Les organismes qui le souhaitent peuvent faire « labelliser » leurs contrats ou règlements auprès d’un prestataire
de la liste. Conformément à l’article 11, les prestataires transmettront leurs décisions de label au ministère des
collectivités territoriales, qui en publiera une première liste le 31 août 2012 (sur le site : http://www.dgcl.intérieur.
gouv.fr/ sections/les_collectivites_te/fonction_publique_te/protection_sociale/complementaire/). Le second alinéa de
l’article 32 dispose en effet que ces premières labellisations prendront effet à compter du dernier jour du quatrième
mois suivant la date de publication de la première liste des prestataires, soit le 31 août 2012, et qu’à cette même date,
le ministère chargé des collectivités territoriales publiera la première liste des contrats et règlements labellisés.
Les premiers labels délivrés prendront effet à cette même date de publication.
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L’article 34 dispose que « les collectivités peuvent instaurer des participations sur la base du présent décret à compter
de la publication de la première liste des contrats et règlements labellisés ». En effet la procédure de labellisation
nécessite un temps d’installation (9 mois, cf. article 32). Le décret entre donc en vigueur de façon progressive de
telle sorte que les deux procédures de sélection soient placées à égalité de choix des collectivités, les délibérations
instaurant les participations étant différées, quelle que soit la procédure choisie, après l’installation de la procédure
la plus longue (la labellisation). Ce temps peut être mis à profit pour la réflexion sur le choix des procédures dans le
cadre du dialogue social.
Les articles 32 et 34 s’articulent donc comme suit :
– Depuis la publication du décret, les collectivités souhaitant instaurer des participations peuvent engager le dialogue
social notamment par la consultation du comité technique (article 33 de la loi no 84‑53 du 26 janvier 1984),
délibérer sur le choix de la procédure de sélection ainsi que, le cas échéant, sur le lancement de la convention de
participation.
– La procédure de labellisation est mise en place comme indiqué ci-dessus.
–À compter du 31 août 2012, les collectivités pourront délibérer sur leur participation et, dans le cas des
conventions de participation, autoriser corrélativement la signature de la convention comportant le montant de
celle-ci.
S’agissant des contrats que les collectivités territoriales auraient conclu pour la protection sociale complémentaire
de leurs agents avant la publication du décret, il convient de noter que les aides antérieures au décret ont été
considérées comme illégales par la Commission européenne. Il appartient aux collectivités territoriales qui
auraient conclu de tels contrats de se mettre en conformité.
À cet effet, les collectivités peuvent recourir aux possibilités de résiliation annuelle des contrats de protection
sociale complémentaire, (au moins deux mois avant la date de leur échéance) ouvertes par les codes de la
mutualité (article L. 221‑10), de la sécurité sociale (article L. 932‑21) et des assurances (article L. 113‑2). Elles
en informent les agents en appelant leur attention sur les conséquences de cette résiliation, au titre du devoir
d’information et de conseil (1). Ces modalités sont destinées à ce que les agents puissent souscrire à temps une
autre couverture.
Dans l’hypothèse où un dispositif d’aide conforme au décret du 8 novembre 2011 est envisagé par la collectivité,
il y aurait tout lieu qu’elle en informe concomitamment les agents afin qu’ils puissent prendre leur décision dans
un délai raisonnable. Enfin, si la collectivité choisit d’aider via une convention de participation, sans que cela
constitue néanmoins une obligation, une continuité de couverture des risques entre l’ancienne et la nouvelle
convention est de nature à faciliter la pleine adhésion des agents à cette nouvelle réglementation.
L’article 35 prévoit un rapport interministériel d’évaluation des effets sociaux du dispositif, quatre ans après l’entrée
en vigueur du décret.
VI. – POINTS COMPLÉMENTAIRES
1. Droits et obligations des agents
– Une information pourrait utilement être apportée par la collectivité à ses agents lors de l’instauration du nouveau
dispositif d’aide.
–Les agents sont régis par le contrat ou le règlement auquel ils auront adhéré et, selon les cas, par les
dispositions correspondantes des codes de la mutualité (mutuelles), de la sécurité sociale (institutions de
prévoyance) et des assurances (entreprises d’assurance). Ils sont également régis par la loi « Evin » no 89‑1009 du
31 décembre 1989 – hormis ses dispositions sur les opérations à adhésion obligatoire, celles visant les salariés
couverts sur la base de dispositifs propres au droit privé, qui ne trouvent pas à s’appliquer dans la fonction
publique territoriale.
– Les agents ne pourront plus, dans le cas où le contrat ou le règlement cesse de faire l’objet d’un label ou d’une
convention de participation, continuer à bénéficier de la participation de la collectivité. Il en est de même
lorsqu’ils quittent la collectivité, et lorsqu’ils sont admis à la retraite. Cependant, s’ils adhèrent à un contrat ou
à un règlement labellisé, ils pourront bénéficier d’une aide au titre de celui-ci dans toute collectivité aidant au
titre de contrats et règlements labellisés ; si, dans leur nouvelle collectivité, c’est une convention de participation
qui a été conclue, ils pourront bénéficier d’une participation en rejoignant celle-ci.
–En ce qui concerne leur couverture, les agents continueront à être couverts par l’organisme : soit, s’ils sont
dans un contrat ou règlement « labellisé », tant qu’ils y demeurent, soit, s’ils sont dans une opération collective
facultative, tant qu’ils le souhaitent dans les conditions prévues par l’article 6 de la loi « Evin » no 89‑1009 du
31 décembre 1989.
(1) Voir arrêt de la Cour de cassation, civile 2e, 10 juin 2004 no 02-10824.
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Par ailleurs, s’ils avaient adhéré à une opération collective facultative, la résiliation et le non-renouvellement du
contrat sont sans effet sur le versement des prestations, immédiates ou différées, acquises ou nées durant son exécution
(article 7 de la même loi).
2. COS et autres structures associatives
Certaines collectivités recourent à des comités des œuvres sociales (COS) ou à d’autres structures, qui concluent
des conventions en matière de protection sociale complémentaire. La collectivité verse une participation au COS et
laisse celui-ci gérer la convention.
Cependant, la loi du 13 juillet 1983 « droits et obligations des fonctionnaires », article 22 bis, prévoit que les aides
peuvent être versées par les personnes publiques mentionnées à son article 2, c’est-à-dire les administrations de l’État,
des régions, des départements, des communes et de leurs établissements publics.
Dans ce cadre, le décret relatif à la fonction publique de l’État – no 2007‑1373 du 19 septembre 2007 – habilite
l’employeur public à conclure des conventions avec les organismes de protection sociale complémentaire et le décret
relatif à la fonction publique territoriale – du 8 novembre 2011 – (articles 15 et suivants), les collectivités territoriales
et leurs établissements publics.
Il n’est donc pas prévu que les conventions puissent être conclues par des personnes autres que les employeurs
publics eux-mêmes.
C’est à l’employeur public, après consultation du comité technique, de prévoir sa politique de versement des aides
en matière de protection sociale complémentaire.
En outre les COS et autres associations loi de 1901 ne sont pas prévues, à l’article 88‑2 de la loi du 26 janvier 1984,
comme pouvant percevoir la participation des collectivités, mais seulement les mutuelles, les entreprises d’assurance
et les instituts de prévoyance. Par ailleurs, seuls les centres de gestion sont autorisés à conclure des conventions
relatives à la protection sociale complémentaire pour le compte des collectivités (article 25 de la loi no 84‑53 du
26 janvier 1984).
Enfin, les COS ou d’autres structures associatives ne peuvent prendre en charge les aides à la protection sociale
complémentaire. De telles dépenses ne peuvent être assumées par l’intermédiaire d’une association, elles doivent être
prises en charge directement par le budget de la collectivité, comme l’ont rappelé régulièrement la Cour des comptes
ainsi que différentes chambres régionales des comptes.
Il appartient aux collectivités qui auraient engagé de tels dispositifs de se mettre en conformité, dans les conditions
rappelées au paragraphe V.
*
*
*
Telles sont les caractéristiques du nouveau dispositif concernant les aides à la protection sociale complémentaire.
La protection sociale complémentaire des sapeurs-pompiers donnera lieu à l’établissement d’une circulaire spécifique.
Je vous serais obligé de bien vouloir assurer la diffusion de la présente circulaire aux collectivités territoriales de
votre département ainsi qu’à leurs établissements publics.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur des collectivités locales,
Éric Jalon
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OFII
OFFICE FRANÇAIS DE L’IMMIGRATION
ET DE L’INTÉGRATION
–––––
Le préfet, directeur général
–––––
Décision no 2012-65 du 3 mai 2012 portant délégation de signature
pour l’Office français de l’immigration et de l’intégration
NOR : IOCV1222965S
Le directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration,
Vu le code du travail et notamment ses articles L. 5222‑2, L. 5223‑1 à L. 5223‑6 et L. 8253‑1 et L. 8253‑6 ;
Vu le décret no 2009‑331 du 25 mars 2009 substituant la dénomination « Office français de l’immigration et de
l’intégration » à la dénomination « Agence nationale de l’accueil des étrangers et des migrations » ;
Vu le décret du 4 septembre 2006 (JO du 5 septembre 2006) portant nomination du directeur général de l’Agence
nationale de l’accueil des étrangers et des migrations ;
Vu les décisions no 2010‑359 du 20 décembre 2010 et no 2011‑236 du 20 décembre 2011 relatives à l’organisation de
l’Office français de l’immigration et de l’intégration ;
Vu la décision no 2010‑286 du 1er septembre 2010 portant délégation de signature pour l’Office français de
l’immigration et de l’intégration,
Décide :
Article 1er
Délégation de signature est donnée à M. Christophe BACOUP, directeur des systèmes d’information, à l’effet de
signer tous les actes, décisions et correspondances relevant du champ de compétence de la direction des systèmes
d’information tel que défini à l’article 13 de la décision de structure de l’OFII no 2010‑359 susréférencée.
Article 2
En cas d’absence ou d’empêchement de M. Christophe BACOUP, délégation de signature est donnée à M. JeanPierre GIGNOUX, adjoint au directeur des systèmes d’information, à l’effet de signer tous les actes, décisions et
correspondances visés à l’article 1er de la présente décision.
Article 3
La décision no 2010‑286 du 1er septembre 2010 est abrogée.
Article 4
La présente décision prend effet à compter du 2 mai 2012.
Article 5
Le directeur des systèmes d’information, le secrétaire général et l’agente comptable sont chargés, chacun en ce qui
le concerne, de l’exécution de la présente décision.
Fait le 3 mai 2012.
Le directeur général de l’Office français
de l’immigration et de l’intégration,
Jean Godfroid
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
OFPRA
OFFICE FRANÇAIS DE PROTECTION
DES RÉFUGIÉS ET APATRIDES
_____
Décision du 3 mai 2012 portant nomination
à l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA)
NOR : INTV1225224S
Le directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides,
Vu le code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, notamment le livre VII de ses parties législative
et réglementaire ;
Vu la loi no 84-16 du 11 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de
l’Etat ;
Vu le décret no 93-34 du 11 janvier 1993 modifié portant statut particulier des corps de fonctionnaires de l’Office
français de protection des réfugiés et apatrides ;
Vu le décret no 2002-682 du 29 avril 2002 modifié relatif aux conditions générales d’évaluation, de notation et
d’avancement des fonctionnaires de l’État ;
Vu le décret no 2006-1827 du 23 décembre 2006 modifié relatif aux règles du classement d’échelon consécutif à la
nomination dans certains corps de catégorie A de la fonction publique de l’État ;
Vu le décret no 2008-836 modifié du 22 août 2008 fixant l’échelonnement indiciaire des corps et des emplois communs
aux administrations de l’État et de ses établissements publics ou afférent à plusieurs corps de fonctionnaires de l’État
et de ses établissements publics ;
Vu la décision du 15 décembre 2011 établissant la liste d’aptitude pour l’accès au grade d’officier de protection au
titre de l’année 2012 parmi les fonctionnaires de catégorie B de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides,
Décide :
Article 1er
À compter du 1er janvier 2012, M. Julien LIMARE est nommé et titularisé en qualité d’officier de protection de
l’Office français de protection des réfugiés et apatrides et classé au 5e échelon de ce grade (indice brut 500) sans
ancienneté conservée.
Article 2
La dépense résultant du présent arrêté est imputable sur les crédits du chapitre 641 du budget de l’Office français
de protection des réfugiés et apatrides.
Article 3
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
Fait le 3 mai 2012.
Le directeur général de l’Office français
de protection des réfugiés et apatrides,
Jean-François Cordet
Si vous estimez devoir contester cette décision, vous disposez d’un délai de deux mois à compter de la date de réception
de la présente pour formuler un recours contentieux devant le tribunal administratif de Melun.
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
OFPRA
OFFICE FRANÇAIS DE PROTECTION
DES RÉFUGIÉS ET APATRIDES
_____
Décision du 3 mai 2012 portant nomination
à l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA)
NOR : INTV1225244S
Le directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides,
Vu le code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, notamment le livre VII de ses parties législative
et réglementaire ;
Vu la loi no 84-16 du 11 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de
l’État ;
Vu le décret no 93-34 du 11 janvier 1993 modifié portant statut particulier des corps de fonctionnaires de l’Office
français de protection des réfugiés et apatrides ;
Vu le décret no 2002-682 du 29 avril 2002 modifié relatif aux conditions générales d’évaluation, de notation et
d’avancement des fonctionnaires de l’État ;
Vu le décret no 2006-1827 du 23 décembre 2006 modifié relatif aux règles du classement d’échelon consécutif à la
nomination dans certains corps de catégorie A de la fonction publique de l’État ;
Vu le décret no 2008-836 modifié du 22 août 2008 fixant l’échelonnement indiciaire des corps et des emplois communs
aux administrations de l’État et de ses établissements publics ou afférent à plusieurs corps de fonctionnaires de l’État
et de ses établissements publics ;
Vu la décision du 15 décembre 2011 établissant la liste d’aptitude pour l’accès au grade d’officier de protection au
titre de l’année 2012 parmi les fonctionnaires de catégorie B de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides,
Décide :
Article 1er
À compter du 1er janvier 2012, Mme Kaysone CREMOUX est nommée et titularisée en qualité d’officier de
protection de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides et classée au 6e échelon de ce grade (indice
brut 542) avec 8 mois d’ancienneté conservée.
Article 2
La dépense résultant du présent arrêté est imputable sur les crédits du chapitre 641 du budget de l’Office français
de protection des réfugiés et apatrides.
Article 3
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
Fait le 3 mai 2012.
Le directeur général de l’Office français
de protection des réfugiés et apatrides,
Jean-François Cordet
Si vous estimez devoir contester cette décision, vous disposez d’un délai de deux mois à compter de la date de réception
de la présente pour formuler un recours contentieux devant le tribunal administratif de Melun.
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_____
Décision du 12 juin 2012 portant délégation de signature
pour l’Office français de l’immigration et de l’intégration
NOR : INTV1228377S
Le directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration,
Vu le code du travail et notamment ses articles L. 5222-2, L. 5223-1 à L. 5223-6 et L. 8253-1 et L. 8253-6 ;
Vu le décret 2009-331 du 25 mars 2009 substituant la dénomination « Office français de l’immigration et de
l’intégration » à la dénomination « Agence nationale de l’accueil des étrangers et des migrations » ;
Vu le décret du 4 septembre 2006 (JO du 5 septembre 2006) portant nomination du directeur général de l’Agence
nationale de l’accueil des étrangers et des migrations ;
Vu les décisions no 2010-359 du 20 décembre 2010 et no 2011-236 du 20 décembre 2011 relatives à l’organisation de
l’Office français de l’immigration et de l’intégration,
Décide :
Article 1er
Délégation de signature est donnée à M. Nicolas AFCHAIN, directeur territorial à Bordeaux, à l’effet de signer,
dans le cadre des instructions qui lui sont données et dans la limite de ses attributions tous les actes, décisions et
correspondances se rapportant :
− aux missions dévolues à la direction à Bordeaux ;
− à la gestion de la direction à Bordeaux, notamment à :
− l’engagement, la liquidation et le mandatement de toutes les dépenses relevant de la direction à Bordeaux ;
− le renouvellement des contrats des agents vacataires (personnels infirmiers et enquêteurs logement) ;
− les contrats des personnels recrutés pour deux mois maximum dans le cadre des renforts estivaux.
Article 2
En cas d’absence ou d’empêchement de M. Nicolas AFCHAIN, délégation de signature est donnée à Mme MarieHélène LE MELLIONNEC, adjointe, à l’effet de signer tous les actes, décisions et correspondances, mentionnés dans
l’article 1er de la présente décision.
Article 3
En cas d’absence ou d’empêchement de M. Nicolas AFCHAIN et de Mme Marie-Hélène LE MELLIONNEC,
délégation de signature est donnée, dans le cadre de ses attributions, à Mme Estelle DIGONNET, à l’effet de signer
tous les actes, décisions et correspondances relatifs à la procédure de regroupement familial et relevant de la direction
à Bordeaux.
Article 4
Délégation de signature est donnée, dans le cadre de ses attributions, à Mme Pierrette SAINT PE, assistante
sociale à la délégation de l’OFII à Pau, à l’effet de signer, pour la direction de Bordeaux, tous les actes, décisions et
correspondances relatifs à une demande d’aide au retour (dossier de demande, décision d’attribution des aides et bon
de commande pour le vol), et ce, pour le département des Pyrénées Atlantiques.
Article 5
Les décisions no 2010-320 du 27 octobre 2010 et no 2012-31 du 13 février 2012 sont abrogées.
Article 6
Le directeur territorial à Bordeaux, le directeur de la synthèse budgétaire, du contrôle de gestion et de l’administration
générale et l’agente comptable sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente décision.
Fait le 12 juin 2012.
J. Godfroid
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_____
Décision du 26 juin 2012 portant délégation de signature
pour l’Office français de l’immigration et de l’intégration
NOR : INTV1228387S
Le directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration,
Vu le code du travail et notamment ses articles L. 5222-2, L. 5223-1 à L. 5223-6 et L. 8253-1 et L. 8253-6 ;
Vu le décret 2009-331 du 25 mars 2009 substituant la dénomination « Office français de l’immigration et de
l’intégration » à la dénomination « Agence nationale de l’accueil des étrangers et des migrations » ;
Vu le décret du 4 septembre 2006 (JO du 5 septembre 2006) portant nomination du directeur général de l’Agence
nationale de l’accueil des étrangers et des migrations ;
Vu les décisions no 2010-359 du 20 décembre 2010 et no 2011-236 du 20 décembre 2011 relatives à l’organisation de
l’Office français de l’immigration et de l’intégration,
Décide :
Article 1er
Délégation de signature est donnée à M. Jean-Yves BOSSON, Directeur de la synthèse budgétaire, du contrôle de
gestion et de l’administration générale, à l’effet de signer :
– les engagements y compris les ordres de service relatifs aux marchés publics passés sur les crédits de fonctionnement
et d’investissements et les mandatements des dépenses assignées payables sur la caisse de Mme l’agente comptable
dans les limites des crédits ouverts au budget de l’Office français de l’immigration et de l’intégration ;
– les titres de recettes émis à l’encontre des débiteurs de l’Office français de l’immigration et de l’intégration ;
– les délégations de crédits portant avances aux régisseurs comptables des dépenses et toutes pièces de comptabilité ;
– les ampliations et certifications de pièces ressortissant à la compétence du service de l’administration.
Article 2
En cas d’empêchement ou d’absence de Jean-Yves BOSSON, délégation de signature est donnée, dans le cadre de
leurs attributions respectives à :
M. Abdellah BOUKELLAL, adjoint au directeur de la synthèse budgétaire, du contrôle de gestion et de
l’administration générale, pour la section de la synthèse budgétaire, à l’effet de signer :
– les engagements et les mandatements des dépenses assignées payables sur la caisse de Mme l’agente comptable
dans les limites des crédits ouverts au budget de l’Office français de l’immigration et de l’intégration ;
– les titres de recettes émis à l’encontre des débiteurs de l’Office français de l’immigration et de l’intégration ;
– les délégations de crédits portant avances aux régisseurs comptables des dépenses et toutes pièces de comptabilité ;
– les ampliations et certifications de pièces ressortissant à la compétence de la section de la synthèse budgétaire.
Mme Michelle BODIN, adjointe au directeur la synthèse budgétaire, du contrôle de gestion et de l’administration
générale, pour la section de la logistique, à l’effet de signer :
– les ampliations et certifications de pièces ressortissant à la compétence de la section de la logistique ;
– les engagements de dépenses relatifs :
– aux abonnements aux différentes publications dont l’OFII est destinataire ;
– aux achats de fournitures courantes et de petit matériel de fonctionnement (dans la limite de 380 €) ;
– aux réparations courantes de fonctionnement (dans la limite de 2000 € par lettre d’engagement) ;
– les documents relatifs aux opérations de réception des travaux réalisés dans le cadre de marché public ou sur
mémoire.
Mme Jacqueline MAESTRACCI, adjointe au directeur la synthèse budgétaire, du contrôle de gestion et de
l’administration générale, pour la section des marchés publics, à l’effet de signer :
– les ampliations et certifications de pièces ressortissant à la compétence de la section des marchés publics ;
–les copies des pièces contractuelles des marchés publics en vue de leur notification aux titulaires et de leur
transmission à l’agente comptable pour règlement des marchés ;
– les copies des pièces annexes aux marchés publics, des contrats, des conventions ou des accords en vue de leur
transmission à l’agence comptable.
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Article 3
En cas d’empêchement ou d’absence de Mme Michelle BODIN, délégation de signature est donnée à M. Abdellah
BOUKELLAL ou Mme Jacqueline MAESTRACCI, à l’effet de signer tous les actes, décisions et correspondances
mentionnés à l’article 2 de la présente décision.
Article 4
En cas d’empêchement ou d’absence de M. Abdellah BOUKELLAL, délégation de signature est donnée à
Mmes Michelle BODIN ou Jacqueline MAESTRACCI, à l’effet de signer tous les actes, décisions et correspondances
mentionnés à l’article 2 de la présente décision.
Article 5
En cas d’empêchement ou d’absence de Mme Jacqueline MAESTRACCI, délégation de signature est donnée à
Mme Michelle BODIN ou M. Abdellah BOUKELLAL, à l’effet de signer tous les actes, décisions et correspondances
mentionnés à l’article 2 de la présente décision.
Article 6
La décision n 2011-153 du 25 juillet 2011 est abrogée.
o
Article 7
La présente décision prend effet à compter du 1 juillet 2012.
er
Article 8
Le directeur de la synthèse budgétaire, du contrôle de gestion et de l’administration générale, le secrétaire général
et l’agent comptable sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente décision qui sera publiée
au Bulletin officiel.
Fait le 26 juin 2012.
J. Godfroid
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 83
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Direction générale
de la police nationale
_____
Direction des ressources
et des compétences
de la police nationale
_____
Sous-direction de l’administration
des ressources humaines
_____
Bureau des gradés
et gardiens de la paix
_____
Arrêté du 30 décembre 2011 relatif au tableau d’avancement
au grade de brigadier de police pour l’année 2012
NOR : IOCC1135110A
Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration,
Vu la loi no 83‑634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires, ensemble, la loi no 84‑16 du
11 janvier 1984, modifiée, portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l’État et notamment les
articles 56, 58 et 59 ;
Vu la loi no 95‑73 du 21 janvier 1995 modifiée, d’orientation et de programmation relative à la sécurité ;
Vu le décret no 82‑451 du 28 mai 1982, modifié, relatif aux commissions administratives paritaires ;
Vu le décret no 95‑654 du 9 mai 1995 modifié fixant les dispositions communes applicables aux fonctionnaires actifs
des services de la police nationale ;
Vu le décret no 2004‑1439 du 23 décembre 2004 modifié portant statut particulier du corps d’encadrement et
d’application de la police nationale ;
Vu l’avis émis par la commission administrative paritaire nationale compétente à l’égard du corps d’encadrement
et d’application de la police nationale en sa séance du 16 décembre 2011 ;
Sur la proposition du préfet, directeur général de la police nationale,
Arrête :
Article 1er
Le tableau d’avancement au grade de brigadier de police pour l’année 2012 est arrêté conformément à l’annexe
ci-jointe.
Article 2
Le préfet, directeur des ressources et des compétences de la police nationale est chargé de l’exécution du présent
arrêté qui sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur et sur le site intranet de la direction des ressources
et des compétences de la police nationale.
Fait le 30 décembre 2011.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur de cabinet du directeur général
de la police nationale,
Thierry Matta
La présente décision peut faire l’objet d’un recours administratif auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales
et de l’immigration ou d’un recours contentieux devant le tribunal administratif (art. R. 421‑1 et suivants du code de justice administrative), dans
le délai de deux mois courant à compter de sa publication.
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
ANNEXE
Liste
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DUBO
LABRANA
SPARMA
LANCKBEEN
FERRE
FRANCOIS
TARDIEU
TRENTESAUX
MERLET
CHAUSSOY
FOURCADE
TARDY
GUILPAIN
BIECHELIN
ESCLAPEZ
MARQUES
RIVET
VALENTIN
ROGRON
GENTES
FRASSO
LUGAGNE
CLAUDEL
FRATTER
LAURENT
BRAJOU
COUPEZ
HOUCHARD
GUILLON
AVELLAN
BOULINEAU
GLINEUR
VAILLANT
GASSMANN
QUEVA
LABAT
KONIECZNY
SANZEY
MANCA
FABRE
SIKORA
RIVET
VALANCON
BARTOLI
MERCADIER
FOUILLET
VILETTE
MANON
BENARD
CALVEZ
GAQUIERE
PIERRE
BOUR
GUIBERT
CLEMENT
Patrick
Marie
Silvio
Francis
Patrick
Daniel
Régis
Gilbert
Alain
Daniel
Jacques
Andre
Michel
Rene
Jean Marc
Jean-Pierre
Andre
Claude
Alain
Francois
Philippe
Daniel
Francis
Serge
Ludovic
Roger
Michel
Daniel
Claude
Marc
Paul
Bernard
Claude
Jeannot
Lionel
Christian
Paul
Alain
Christian
Brun
Jean-Luc
Guy
Alain
Marc
Paul
Jean-Marc
Thierry
Roland
Jean-Max
Luc
Claude
Dominique
William
Jean
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utile
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SIDRO
BLE
BONNET
SOULATGE
DELAME
BAROT
DEFENTE
BECUE
FERNANDEZ
FAHRLAENDER
HOUSSIN
DEFONTE
JOZWIAK
NETENS
FAUCHIER
LOUIS
MARCADAL
DELANNOY
SAINT-GERARD
RUCHAUD
KOPP
RUIZ
UMOLA
LEFRANC
SAN-NICOLAS
GARCES
CLAUDE
KIPKA
ZARAGOZA
BELIN
LEGAY
FERREIRA DA COSTA
KOBRYN
CENSE
DECHANET
TUR
MADASCHI
ROSIER
SOREL
VENTRE
LIENARD
SALVAT
CERBERE
LEGALL
THIEBEAUX
KEHRES
BEAUMONT
DEHLINGER
FONTENEAU
COMBAL
BACQUET
NOWAKOWSKI
CIRILLO
SUPPO
LE CLOIREC
Michel
Alain
Eric
Jean
Sylvain
Eric
Patrick
Gerard
Francis
Jean-Marie
Didier
Gerard
Dario
Jacques
Philippe
Regis
Christian
Eddy
Michel
Yannick
Constant
Ange
Marc
Rene
Florent
Patrick
Godefroy
Bernard
Maurice
Alain
Patrick
Jacques
Daniel
Annick
Jean-Francois
Nicole
Armand
Yves
Robert
Patrick-Alain
Herve
Denis
Thierry
Jean-Luc
Marcel
René
Christian
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Alain
Christian
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THIANT
CROTTET
DEZERE
MONNIER
ROUSSELLE
SCHULZ
LALLEMAND
BRONNER
PICOT
LESAFFRE
MONNIER
LIS
SEIGNEZ
FAVAZZO
CASCIO
NAYEZ
IBERT
DUMOULIN
BELAY HO YOUNG FOOK
GALLOIS
COTTE
VIGOUREUX
DELCOIGNE
DOUHINE
BERMOND
RAMPANOU
DECARPENTRY
BARETTY
DURAND
MARIN
WOJCIECHOWSKI
PENIN
STIEVENARD
POURTIER
BATAZZI
DELASSUS
ABEIJON BUJAN
CHAZE
AZOULAY
BALISTE
DUCLOVEL
BAZZO
DELBARRE
BALLAY
CANDELA
ROBILLARD
HUMBERT
DUSSART
THOMAHSOWSKI
VANDENABEELE
FRERE
VARILLES
VILLALBA
SANCHEZ
REUS
TEBOUL
SALAT
HERBIN
ANDRZEJEWSKI
TRANCHANT
Jean Claude
Myriam
Jacques
Daniel
Jean-Francois
Christian
Mireille
Pascal
Jacques
Emile
Alain
Fernand
Pascal
Calogero
Philippe
Philippe
Patrick
Alain
Josette
Robert
Norbert
Michelle
Sylvain
Pascal
Christian
Michel
Herve
Andre
Dominique
Francis
Bernard
Philippe
Jean Marc
Martine
Georges
Freddy
Marc
Ralph
Georges
Georges
Marie-Albert
Pierrette
Jean Marc
Daniel
Thierry
Jean-Luc
Gerard
Yves
Richard
Gérald
Bernard
Christian
Bruno
Jean Luc
Jean-Jacques
Patrick
Veronique
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Patrick
Octavio
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BAYLE
LASKA
RIPOLL
BONNEFOND MUSSAULT
SAADA
LE TOULLEC
BLUMENAU
DARROMAN
BURON
LLOPIS
SOUDY
PLET CHABAUD
LUCANI
GABARDOS
ZUBRIC
POURCEL
HERNANDEZ
BRANCOURT
SKOWRON PAUL
PUAUX
CALLU
TOURNADE
GUYON
GAUDRY
BALANGE
GINGLINGER
SADOC
BOULET
CHAMALBIDE
JEGO
RICHARD
THERY
DAHAN
OBIN
MEZOELA
FEUDRE
VAN LAETHEM
DENIS
SAIDI
BUSSER
MARIE LOUISE
GIRARD
SALVADORI
LE HAN
ALEXANDRE
JAMMAUD
MISS
FOUBERT
WALLOIS
GREGOIRE
CILIA
ROUDAUT
JOURDAN
WIPPLIEZ
MATRON
AVERT
BLANIC
ROUFINO
MOREL
DEGARDIN
Alain
Philippe
Eric
Marie
Philippe
Philippe
Sylviane
Patrick
Eric
Stephane
Pierre
Christine
Gil
Patrice
Denis
Richard
Guy
Didier
Sylvie
Didier
Jean Francois
Rodolphe
Florent
Gontrand
Olivier
Christian
Stephane
Stephane
Serge
Francois
Jean
Daniel
Paul
Hervé
Marie
Patrick
Denis
Dominique
Hamid
Luc
Bertin
Jean Pierre
Dominique
Patricia
Alain
Francoise
Jean
Christian
Didier
Florent
Jean Jacques
Pierre-Yves
Frederic
Christophe
Stephane
Stephane
Stephane
Fabrice
Stephane
Philippe
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290
CASTES
LUCCHINACCI
CHANTELOUP
POUGEZ
CHEVAL
TREFFKORN MAURAU
GUITTARD
AULANIER REPPELIN
CHALON
DANSIN
SOULI
GOBARD’HAN
FORT
GAUTIER DE GRAAF
BELERY
GARCIA
CAUDRON
DAVOINE
EDOUARD-ROSE
LE MONTAGNER
BOHERS
ARCONY
BATAILLE
RAGOT
JEGOU
GAGNEUX
ARNAUDAS
SOULE
SAIVE
GEORGET
COLOMBO
WAGNER
SAHUT MANIFACIER
FORTIN
ZIESSEL
HORNEBECK
SERIN
FAURE
MEDARD
BRUN
DUCHARTRE
LOUESDON
DHAENE
PERONNEAU
MOREAU
MESSAOUDI
TOZZI
JULIA
HENRY
HERNERT
FONS
BLAVIER
AGAT
BRUYERE
DUREUX
FONTAINE
GILLOT
SOFFIATI
RIETHMULLER
ZARRI
Christophe
Bruno
Stéphane
Florent
Gregory
Cyrill
Jerome
Anne Marie
Sebastien
Fabien
Djamel
Jean-Michel
Sophie
Dominique
Samuel
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Ludovic
Arnaud
Didier
Christophe
Rudy
Xavier
Bruno
Didier
Patrick
David
Nathalie
Sebastien
Guillaume
Jérôme
Laurent
Lorene
Lydie
Jean-Christophe
James
Didier
Daniel
Pascale
Michael
Frederic
Christophe
Wilfried
Clement
Alban
Isabelle
Raissi
Frederic
Fabrice
Philippe
Sébastien
Anne Laure
Michael
Jean-Claude
Nicolas
Renald
Laurent
Marie
Thibaud
Magali
Christelle
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350
LIBRA LOISON
TRAN THANH THIEN
SID
PENNEQUIN
LAURANTIAUX
MARGAILLAN
GARNIEL
WATEAU LAUVAU
ABAZ
MOULIN
TEXIER
HENRI
CLEMENT
CARTIER
CONTOUR
DALY
CAUCHON
WOZNY
GRANGER
GIOT
BOUCHAOUI
FAUQUET
MORISSEAU
AHAMAD
LEROUX
HUCTEAU
SALLES
ROUILLARD
MORILLON
TECHER
GIL
MAUCORPS
BELMOKHTAR SADIKHOSSEN
NICOLAS BERNARD
ARAR
MACAL
RODRIGUES
LYON DE FAUTEREAU-VASSEL
CASANOVA
SAVELLI
JORON
SERVA
BAZAILLACQ
ROUCAYROL
BLANCHET
LEBON
TOULANGUI
MAROILLEY LLINARES
SEROUART
DAMOUR
SALAH BEN ALI
MARANO
ARNAULT
EDOUARD
HELLOUIN
LION
CHAMOT
GALICHET
ALVES DOS SANTOS
COPY
Christelle
Marc
Eddy
Thierry
Olivier
Philippe
Fanny
Sylvia
Virginie
Patrick
Arnaud
Magali
Amaury
Jimmy
Virginie
Mathieu
Nathalie
Arnaud
Christophe
Valerie
Amaria
Nathalie
Mylene
Farid
Melisa
Stephane
Gilles
Vincent
David
Dominique
Melissa
Valerie
Aicha
Carolle
Derar
Frederick
Sandra
Delphine
Jean Louis
Thierry
Pascal
Germain
Sophie
Guillaume
Celine
Olivier
Gervais
Fanny
Eric
Michaela
Sabrina
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408
409
410
ARMAND
CLOUS
MONTES CARDOSO
LHUILLIER GUILLERM
LUTEL
REMY
FERNANDEZ
GOURINCHAS BLANC-MAPPAS
CRAZE
CALADOU
DALMAS
AMOROSO
DELERIN
GONZALVEZ
SCHMIDT SKAF
GERLOT
BOUDRY
CARON
BOUCHE
GIARMANA
VENEZIA
BOUTIN
FOSSE
ROCHE
GHARBI
SUROT
THETIO
ARAAR
RIQUIER
GERFANION
MARTINOLLI
DAVAUT
DUFAUD
GIUDICELLI
LEBLEU
LACOMBE
REISS
CLEMENT LOUBENS
BRISEMEUR
FALCON
LAFORT
VIDAL
BENSEGHIR ZEKKARA
RUFFIER
COTINAUT THEULOT
BAUDOUIN
SAYAD
CANONGE
KAMINSKI FELTEN
MEHOUACHI
D’ARLHAC
NESSAH POUX
BONNET
DUPUIS
DUMAS
CHAUMARD
LANDRY
TOALI
AUDIARD DUFAYET
BOUZELMAT
Thierry
Olivier
Victor
Nathalie
Frederic
Alexandre
Antoine
Stephanie
Mathias
Olivier
Nicolas
Loic
Sophie
Gregory
Sophie
Wilfried
Fabien
Christophe
Emmanuel
Christophe
Arnaud
Aurelie
Sebastien
Sophie
Mohamed-Ali
Richard
Guillaume
Abdel
Francois
Gilles
Luc
Jérôme
Franck
Alice
Ulrich
Alexandre
Ludovic
Annabelle
Sabrina
Magalie
Nadege
Carole
Amel
Emmanuel
Audrey
Julien
Jamela
Romaric
Alexandra
Tarek
Christophe
Zina
Alain
Frederic
Eric Alexis
Mickael
Bruno
Mohamed
Claire
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470
KOELLSCH
DELTOMBE
WALSH
COUFRANC
DEMOUGEOT
HAJDARI
POIDEVIN
GERARD
POISSENOT
KOROBETSKI
BONIN
NAMPONT
MALOU PERNOT
GRELAIT
LAGRECA
GIVORD
FARGEOT
MEYER COURTECUISSE
BEAUSOLEIL MARCHAND
SMAILI
SILMONT
BOUREUX
AZZOUZI
GUILLERAULT JURQUET
BELLI
DUFLOS
GOUMY
POTIN
BRUNAUD
SEGUIN
GRENIER
LOUIS
MICHALAK
AGOSTINI
DAOUT
PINGUET
BEKHTIAR
DUCAS
LOUSTAU
DE BRYE
KOUFI
BOUTIGNON
DESMAZIERES
AMOUROUX
BOUCHAGE
PELAUDEIX
VEZINE
MONCE
KORNALEWSKI
FORIEL
BENADDA
DORE
PERNA
RENAUDOT
GUERMOUD
GASTALDI
AROCA
MEYER
GRANCHI LESCOUET
GAUTIER
Marjorie
Cedric
Michael
Anthony
Mickael
Sami
Paolla
Yann
Elise
Arnaud
Erika
Fanny
Cindy
Grégory
Julien
Kevin
Julien
Bénedicte
Kristell
Mehdi
Romuald
Frederique
Khalid
Aurélie
Anne
Ludivine
Alexandre
Laurent
Flavien
Arnaud
Magali
Gregory
Francois
Renaud
Jean-Marc
Julie
Samira
Mathieu
Alexandre
Berengere
Farid
Baptiste
Cedric
Priscillia
Julien
Angelique
Romain
Johan
Herve
Arnaud
Anissa
Stephane
Lydie
Alcime
Sidi-Ahmed
Philippe
Georges
Rodrigue
Laurie
Arnaud
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BLACKOWSKI
BOUTEILLE MENNELLA
PRADET-FUERTES
VANESSCHE
ROBERT
JANNEL
BEY
ESPASA
NANDI MUSSARD
DELAPLACE
FABRE
DENNI
PALAZON
VALETTE
BEMATOL
CLAISSE
GOETZ
SIMON GREGORI
SARTORY
DARROUZET
MAGUET
GELLIOT MARTINS
SEZIA
PISANI
DUCHESNE
GOUYON
CALVETE
BOUAMMACHE
MOREAU
GABELLE
BODENS
BAUDUIN
DUPONT
GACQUER
THEBAULT RANNOU
HERMO
MACE
BOURDON MERLEN
OSMONT
TOUQUET
ROHART
RAMEAUX
PELLETIER
MAGNIER
BEZANNIER
BILLARD
LOPEZ
GALBAS
RUBIN
VERBEECK GELLY
BESNARD FONTAINE
CHARDON
MARTY
REEB
PAILLERET
DAGES
FAURE
FERRANDI
COLE
GUERRY
Jerome
Laurène
Mathieu
Sebastien
Claude
Bruno
Sophie
Serge
Laurence
Olivier
Frederic
Fabrice
Rafael
Joel
Patrick
Laurent
Emmanuel
Sophie
Yves
Jean Marie
Eric
Stephanie
Frederic
Marc
Jerome
Olivier
Julie
Frederic
Karine
Vincent
Philippe
Yannick
Isabelle
Patrice
Marina
Emmanuel
Sylvain
Cathie
Lydie
Fabrice
Fabrice
Nicolas
Cyrille
Arnaud
Fabien
Fabrice
Johann
Rodrigue
Romuald
Caroline
Nathalie
Sandrine
Franck
Martial
Gil
Gilles
Sebastien
Jean Christophe
Fabien
Eric
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PAUCHET
INDIAAN
GUITTARD
ROUX
MIFORT
MURIN
CLAUDEL
HEMERY DENOUAL
BRIRMI
TRAVER
COCHIN
MORLOT
RAYMONDE
MORTEIRA
CONTAMIN
ILLA
ORLANDI
PERRAUD
SCHWARTZ
STURMA
GOUT
BAYLET
SAUVE
THIELLY
BAYROU
KACI
DUWICQUET
CAILA
DELETAIN
GENEVIEVE LAMA
GOUME
GARCIA
APPOURCHAUX
BOUZIN
MERLETTE
PONS
DERRE
MARTEL
CHEUNG LIM YEM
ZOPPI
BRENEZ
ACOSTA
EL KHATTABI
BARDET HAMELIN
DUHAMEL
HOARAU
CHARNEAU
BEAUDI
STOINSKI
SAVARY
RUELLE
DUCHESNAY LEVASSEUR
WILCZEWSKI
ANNICETTE
ROULLET
GUERRA
SCHOEMAECKER
ITALIQUE
GOUZIEN
BUSTOS GARGUILO
Pascal
Christiane
Frederic
Isabelle
Eric
Patrick
David
Fabienne
Stephane
Cyril
Mathieu
Philippe
David
Mario-Georges
Jean Christophe
Marie-Noelle
Paolo
Ellen
Gregory
Christophe
Jerome
Sebastien
Eric
Olivier
Jean-Luc
Martine
Gregory
Xavier
Florence
Karine
Thierry
Laurent
Yannick
Kine
Emmanuelle
Gerald
Yohann
Laurent
Frederic
Sebastien
Laurent
Jean Marc
Nabil
Sabine
Yoann
Jean Herve
David
Christian
Mickael
Michael
Jean Eric
Alexandre
Daniele
Xavier
Bruno
David
Olivier
Joel
Gwenaelle
Armelle
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PRUM
NAWROT
MARCHAND
VILAR
TEBIB
SARRAUTE
PERTHUISON PAOLI
TOURNEMINE
RICHAUD
CATEL PIERRE
WACKERNIE HILLION
FALVARD DELANNOY
SINGER
VANHAUWAERT SAVARY
ALIZIER
MARTEL
VAN PARYS
SAVES
DABRAINVILLE
MILLIERE
DOHEN
COURTIAL
SERAPHIN
HAMADACHE
BAQUIE
VIGNON
RICHET
COURIAS
GUERANT
LAUREOTE LAGRANDCOURT
BERSEGEAY
SOUBIELLE
TROUDE
BODINI
CONTESSOTTO
RIVIERE
XOLIN
MARCHAND
GRACEFFA
VALETTE
BAILLES
MAZAJCZYK
COCOUAL
DENIS
REMY
ROMANTINI
EL MAROUDI
BROCHIER
MAURIZI
PERRIER
MORCHAIN
SIMONOVIC
BOUTAFA
GIBRAT
MABON
VASCHALDE
MAHDANI
BERTRAND
DACLINAT
GILLOT
Sebastien
Nicolas
Pierre
Christian
Rachid
Boris
Celine
Frederic
Francois
Guillemette
Stephanie
Laurianne
Vincent
Caroline
Olivier
Stephane
Jerome
Cedric
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Alan
Jérôme
Hortense
Sélim
Gérald
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Gerald
Davy
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Jean Philippe
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Nicolas
Vincent
Nicolas
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Angelique
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MALARET
STITOU
SARTRE
MARRE
GIRAUD
BIRD
MATLOUB
LIGEOUR
VAN WYNSBERGHE
POTZSCH
LEMETAYER
KILIC
HOUARD
POYAULT
MILESI
BACLET
WALLET
DECUYPERE VINCART
OMERAGIC
JEAN-LOUIS JEAN FRANCOIS
CHOTIN
MARINO
GUILLEMOT
DIGNOIRE
DEVISCH
ACHILLE
ORLANDI
MORENO
NEWTON
ROUPSARD
YACANA
MARSIETTE
SABATHE
DUMAS
BOISSON
CHARLES
SOSSOU
MOREAU MASO
BARBE
BAAL
HOSPITAL
MARTIN
BIARESE
NGANYANE DROWA
BOURGOIN
VERNAULT
ROZAS
DAVID
MODARD
HOUSSARD
PORTIER
GRONDIN
LOPEZ
RECHARD
DAOUDI
BERILLAC
CHNAFI BEN BENNACEUR
DESHAYES
VERCRUYSSE
GARCIA
Ronny
Bochra
Julien
David
Nicolas
Helene
Mohamed
Sonia
Cedric
William
Samuel
Tuncay
Mickael
Mickael
Christelle
Olivia
Pascal
Celine
Tina
Danuela
Agnes
Carole
Julien
Jerome
Aurelie
Mirella
Cedrick
Regis
Fabrice
Aurelie
Jimmy
Marcellin
Sylvain
Xavier-Franck
Joanna
Aurelien
Jean Philippe
Laurence
Sophie
Emile
Vanessa
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Marguerite
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OHAYON
TROUDE
GANGNEUX
HADDOU
BRUNEAU
SOUC
LEPLAY
PALES
BONZOM
MALLEVAEY
JOSNET
PETITGAS
CAVELIUS
ROUVIERE
HUND
CRAY
ALLEMAND
SCHWARTZ
ABBES
TRAUCHESSEC
CAMUS
TREBAOL
BAREK BARBIER
HAUMONT
BEN CHOAIB
MONIO
MURATET
PARENT
SOUFFLET
GESLIN
CHAMPESTING
NOIRON
COLLOBER
AUROI
CHAOUKI
MATHIEU
SORIVELLE
LANDO
BOUZAR
VAUR
BOUTON
BAUDIER
DEVAUD
GANDERATZ
DIERO
PORTUT PAKA
BOUTTIER LUSSON
MARTINS
CENCIARINI
MICHEL-VILLAZ
ALZUAGA
ALGOET
MOUTIER
CHABERT
RIMBAUD
DI LEONARDO
CHAMBELANT
PAVILLA
EYMARD BAUR
CANCES MIQUEL
David
Jean Bernard
Mickael
Gaelle
Romuald
Aurelien
Christophe
Fabien
Paul
Isabelle
Laurent
Olivier
Bastien
Renaud
Christel
Laetitia
Nicolas
Fabien
Julien
Sandra
Nicolas
Corinne
Soraya
Aurelie
Hasna
Alexia
Cyril
Guillaume
Gregory
Vincent
Joel
Yvan
Corinne
David
Said
Philippe
Geoffrey
Jean Remi
M’hamed
Delphine
Richard
Maxence
Cécilia
Alexis
Carole
Peggy
Stephanie
Antonio
Jean Guy
Frederic
Stephane
Hugues
Emilie
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Sabrina
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Claudine
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LAACHACHI
YVORA HADJADJ
WAGENHEIM
SALRA
DECOSSIN
BENJDER
FAY
OTTAVIANI
BOUDON
MASO
PIERLOT DA SILVA GOMES
HELLEU
DESPLATS
SIMONE
BLAISE
NERON
VATTIER
MANENC
MOSCATO
LARDANS
MANIQUANT
DIEULAFAIT
MORELLE
FERRO
HUMBERT
CLEIN
BOISSART
GEORGE
BORREGO
KERLAU
LEDUC
SOUDANT
DELEPLACE
HASSDENTEUFEL
GONTIER
BLAISE
FERRARI
JARDON
BERILLEY
DOMENGER
LINSART
HOFFMANN
PATOUX
LABURTHE
HAOUCHINE
BRELLE
MERIAU
MONTENON
HERFRAY
MONNIER
BLOUIN
CAMPANA
LAM-CHAN
SAHKI
AMIOUD VERMARE
DUFOUR
MATOUG
CATINAUD
RENAUX
PLUMAIN
Ramar
Virginie
Virginie
Carole
Vincent
Najat
Jonathan
Alexandre
Aurelie
Eric
Celine
Marie France
Adeline
Marie-Sandrine
Thierry
Isabelle
Mikael
Virginie
Elisabeth
Jonathan
Nicolas
Florian
Jérémie
Vincent
Marc
Aurelien
Stephanie
Sebastien
Guillaume
Nicolas
Florimond
Stephane
Mathieu
Sebastien
Thomas
David
Jean-Charles
Marion
Steve
Karine
Yohann
Genevieve
Nicolas
Beatrice
Marjorie
Loic
Guillaume
Adrien
Benjamin
Arnaud
Carole
Elodie
Eric
Nasser
Gislaine
Denis
Nadia
Celine
Noémie
Patrice
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TEGUI
TONIAZZO
SUZAN
NIEPCERON
GRACIA
GELIS
MARIE
MAHE
BENESCHI
DUBOIS
QUER
THEBAULT
PIQUET
TRUCHON
DUBAU
RABY
DUMALIN
MANNEVY LEBRUN
HENNEQUIN
MARCHAND
POULMANE
LEUBA
LUIGGI
CROISAN
BARRE
FLURY
ANFRYE
CATALOGNE
BREDEL
PERCHET
LEGER
WARCHOL
RIZZUTO
FORZY
SALMON
AFONSO CAVALHEIRO
HEMEZ
BROUTAIN
PHILIPS
PETILLON
LE JEANNIC
LEBEAU
DUSSARAT
BLANCHIER
DE BODMAN
DUPARCQ
BERESKI -LAURENT
LALLEMAND
MINGOT
ERDOGAN
MARTEL
SOLER
HANNAOUI
TEKIN
DOMBROSIO
AMRI
GUERIN
STCHERBININE
LE SOUDER
LUDDECKE
Samira
Franck
Johan
Francois
Guillaume
Marie Francoise
Stephanie
Arnaud
Fabien
Angelique
Sonia
Mickael
Pascal
Gerald
Benoit
Christelle
Arnaud
Elodie
Ruddy
Elodie
Bertrand
Cecile
Olivier
Yann
Gérald
Sabrina
Mathieu
Christophe
Angelique
Auriane
Geraldine
Coralie
Cyriel
Quentin
Valérie
Rudy
Frederic
Grégory
Maxime
Aurelie
Matthieu
Eric
Johanne
Melanie
Christophe
Benoît
Eric
Philippe
Olivier
Ines
Kevin
Etienne
Adil
Asir
Aurelie
Fawzi
Aline
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PELISSIER
BERTRAND
MICHEL
BURET
DELBECQ
DECORRUEE
TISON
GOUGOUEFF DILLY
ROSBIF
HAND
ZIANI
VERON
ARANJO
TRANCHANT
LABAT
COLANGE
VERNET
BAILLEUL
DELECOURT
ESPINASSE
DROUET
GIBIERGE
LESTOURNEAUD
BALDACHINO
GASTINE
DRUENNES
CHATELAIN
THEBAUD
CHERABA
MARTIN
TUR
DUMERCY
TONNAIRE
BROSSEAU
SANCHO
CARREZ
DESBORDES
SCHEIDECKER
SOTO
MONTLOUIS-FELICITE
BOUCHE
GAILLARD
AUPETIT BARRIER
SALLEY
SEPTIFORT
MARION
CHEVALLIER
SEMAK
JUNKE SAUNIER
DE MARCO
SKAWSKI
TRIMOLET
NEKER
CARLUCCIO
CHENIN
FRATTINI
DINI
LE GALL DARDIER
DE ALMEIDA
LUCAS
Lilian
Sebastien
Sandrine
Francois-Xavier
Michel
Karine
Stéphanie
Jennifer
Natacha
Nicolas
Celine
Stephane
Patrick
Chloe
Fabrice
Emilie
Julie
Cathy
Julie
Severine
Angelique
Eva
Pierre
Vanessa
Stephane
Damien
Nicolas
Gaelle
Akim
Sandrine
Gregory
Jessica
Sylvain
Nicolas
Sebastien
Aline
Jean-Philippe
Nicolas
Jean Christophe
Gilles
Deborah
Delphine
Florence
Herve
Marilyn
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LUCAS
FOUGEREAU
GERAUD
HOUZEL
MACALUSO PIRAS
EWENDT
WEISSE
VANLAERES
CHIMIER
THOCKLER
GEAY
GEOFFROY
BOVET
LEROY MOLINO
GUERVIN
MAGNIER
DUPUIS
REBAUD
DENAT
DI STEFANO
BROUSSART
MALGAROLI
ALLEGRINI CABROL
CHARBIT
DAMEZ
ASTRUC
DIRMAN FLAVIEN
GRYGOWSKI CHATELAIN
LEBLOND JUMELINE
TERRACCIANO
BENDJENNI
SILVA BRANCO
VINCENT
DUFOUR
LAGARRIGUE ROUSSEL
MIQUEL
BOUREAU POYAUX
GUERARD
TOURTOIS
CHAMBON
MARTY
TERESZKIEWICZ BELET
RIOT
DIDDENS
COMPAIN
VALCKE
TALLADA
LEBLANC
HONVAULT
APRILE
FARDEAU
POINTDAVOINE
DAIGNE
PELEGRIN
MALLET
CAZIER
SCOTTO D ABUSCO
ROUSSEAU
CHAUVEL
SIFFERMANN
Stephane
Laurent
Jean-Jacques
Catherine
Francine
Brunhilde
Olivier
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Franck
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Stephanie
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Christelle
Stephane
David
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Xavier
Christelle
Michele
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Francois
Julien
Veronique
Natacha
Laurence
Fabien
Christelle
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Nicolas
Laurent
Anne
Christophe
Carole
David
Yann
Axel
Pierre
Tatiana
Pierre
Franck
Cyrille
Gregory
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PARIS
COELHO
SPONVILLE
GOMES
BELGACEM
SPENLE
TARABLA
CYS
VAMPOUILLE
CREPIN QUEVILLY
LECLERCQ
VIGIER
GAMBIN
BLANDIN ESNAULT
MENEYROL
LE LAY
HUG TANNEUX
LUSSEAU
CHIHI
GOMEZ CAGNAC
PAYET
HAMMAR VACCANI
HOREL BAZIN
DELFRATE
FERNANDES
ECOFFARD
SOUDRAIN BARREAU
BEN YAKHLEF
MENESTRET
FAGNOU
FORTUNA
MENAGE
SCAPPUCCINI
ROUSSELLE
LEULIER
CHAGNON
ANDLAUER
CHELLE
ALIX
BRIAND
CORMIER
SACHY
BENONY
GARCIA QUETTIER
LAURET
SERRES
KHAIRALLAH STEPHAN
OBERTAN
GONZALEZ
DELBOS
PERINEL
DEMONTIERS
LAGUERRE
ZENNER
HORVILLE
FORT
DE RENTY
MAROUSE
RENARD
PENON
Nicolas
Frederic
Olivier
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Malik
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Melanie
Emmanuel
Nathalie
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Charline
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PEVERELLY
DUCROCQ
CESAR
GOURDON
FOURDINIER
LAMOUREUX
LEDOUX POULLAIN
BREAUX
GLORIEUX
GEORGES
BOYER
GUYOT
CERNA
PAPEGAEY-LAFFONT
TOREL
COLOCCI
KRUMEICH VERNIER
TOLLIO
MERLO
MEYER
EKWAKWE PRISO
MONERAT
STASIAK
CORNEVAUX
PRIGENT
DIOP
VIVIEN
GAUBERT
SANSON
GERTZ
LE MOUEL
WALLE
VIGNAU
COUVIDOUX
DUJARDIN
DOMBES
PLATEAUX
PILON
AVOLEDO
BAUDOIN
QUERIN
STACHERA
VIDAL
EXBRAYAT
FYLEYSSANT
DELAPORTE
BOUTAMTAM
VANSTRASEELLE
LAFFONT PALOMO
TODESCO
MALEMBITS
LUCAS
MOREAUX
LATHUILLIERE
DONNIOU
FEILLET
FONTAINE
CADILLAC
MANGON
MALBRANCHE MIGOUT
Melanie
Paule
Guillaume
Sebastien
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Jean-Philippe
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Stéphane
Florian
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Christian
Pascal
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Yann
Gora
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Damien
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Jean-Philippe
Christelle
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KRYZEK
BOYER
MAIRE
BELBACHIR FINANCE
LARCHER
GARIN
MARTIN
GROSSET
ALBRECHT
MAUDUIT
LUCCIONI
CHANUT
LERAILLE
CLEDA
QUINTIN
RIVET
BAPPEL
KIEFFER
LE GOFF
SAINT MACARY
FOUCHAUX
LE ROUZIC
MOISAN
GELE
RABIET
VAN AUTRYVE
DETON
CHAUVEL
HELIAS
SANSAT
RIVIERE
CHAZEIX
PACE
LELIEVRE
CHALIGNE
LAURENT
GROENE
VERDUN
PETRELLI
PENNACCHIO
FRANCES
EYNARD
MARCUS
PENARD
BERQUIEZ
ARANDA
SAULNIER
PELLENARD
BERNA
MURILLO
POUTOU
BATIQUE
BARLUET
CUCHE
BOR
JONCQUEL
NIESCIUR
BLONBOU
BOFILL
PILLON
Benjamin
Nicolas
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Frederique
Alain
Claude
Paule
Eric
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Vincent
Didier
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Christophe
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Dominique
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Henri
Frederic
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Nicolas
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JOSEPH
LEBAHY
MESNIER
EROSIE
CLAUSTRES
CHOUVET
CHEMIN
VIARDOT
PENNUEN
RIBES
AUBRY
VERNAC
GUALANDI
ALLEGRE
BARTHELEMY
BAVAY
PELLICER SARRAQUIGNE
POULAIN
CAUET
MOLMY
OLEJNICZAK
THON
ROUILLON
LEFEBVRE
LESCANE
FEUILLET
LOSANGE
VANMOERKERKE
MUNCH
COLACE
THURLOY
SIMEONI
PONCET
ARLABOSSE
CLEMENTE
VERRIER
BEAUFORT
CHETIF
HERNANDEZ
PITET
WEYH
VERCAEMPT
MONNIOT
BARAN
TEILLAY
MAHE
NOLIBOIS
KRZYSTOFIK
VINCENTI
BEAURIEUX
CARBONELL
MALVEZY
CAUHET
BOUTILLIER
CORBE
BOLLY
MANZO
GALIOTTO
GUYOT
GUILLEM
Laurent
Sebastien
Marc
Fabrice
Christophe
Christel
Benoit
Yoann
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Emmanuel
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Laurent
Gregory
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Grégory
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Fabrice
Sebastien
Brice
Michael
Didier
Loic
Sebastien
Pierre
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Jerome
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Guillaume
Emmanuel
Franck
Fabrice
Sebastien
Gael
Julian
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BOUDJENAH
MOLINS
BEAUVIEUX
LARROUY
AMMARI
HENRION
BOMONT
JEAN
CLEMENT
SAHRAOUI
PHERON
JOLIVEL
LAMBERT
RENDU
CAVRERA
MERLO
NOYELLE
KAMODA
QUILLET
TURC
TECHER
PRETEUR
MARIN
CHAPUIS
GROLLET
NASSIF
CHAIBI
LEMEITOUR
BENEDETTI
MACQUET
GONZALEZ
LEMOINE
BILLON
LARDET
MENARD
PENA
ALVARO
DANJOU
SEGAFREDO
LEFEBVRE
BILTERYST
HODY
CASAS
FAYET
BARES
LE BOULER
GUILLOUX
FAURE
GERVAISE
LAPIERE
MORAIN
MANFROI
DUPUY
BOISSIERE
DABE
DOMENEC
LE SOMMER
JAILLARD
BOQUILLET
MIECH
Farid
Frédéric
Florian
Frederic
Karim
Sebastien
Cedric
Rodolphe
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Mohamed
Bernard
Yvan
Anthony
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Eric
Alexandre
José
Fabien
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Gregory
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Kamel
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David
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Tanguy
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Francis
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Jean-François
Stephane
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Anthony
Mickael
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David
Francois
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Rudy
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Manuella
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SOLANO
OHANNESSIAN
DURY
JORDANIDIS
PIERRE
KONOPACKI
JURADO
PRODHOMME
GUINARD
PUECH
HERNANDEZ
CARBONE PANDOR
GUEGUEN
ZADWORNY
ZAMORA
ALLART
PLOQUIN
SERRANO
WATTRELOT
RIUS
BEC
CARDON
CASSARINO
CABAL
CAMPS
LARROZE LAUGA
SEGUIN
FAURE
BUSSI
GRELLOIS
BROUSTE
COUDERT
CAMINOTTO
ESTEVAN
BAGANZ LE DEUN
SERVOLES
CORSINI
LE BRETON
GABARD
RAMADE
DAMERON
RODE
CAUJOLLE
BISSON
PRADES
HERSANT
VIDAL
LE GALL
TANCHON
MUSSI
LANASPEZE
RHYNE
TETON
FABBRO
SEVRAIN
VIEVILLE
OTT
BAUCHERON
ANGLARET
CESSE
Daniel
Richard
Thierry
Marc
Michel
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Jean-Philippe
Loïc
Bernard
Christophe
Marcel
Ghislaine
Jean Claude
Didier
Beatrice
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Jean-Marc
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Pascal
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Frederic
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Didier
Philippe
Pascal
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Jean-Pierre
Jean-Paul
Alain
Fabien
Isabelle
Hervé
Aldo
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Jean Luc
Lionel
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LECLERCQ
NICOT
WALLE
LAUROUA
GIL
PERROCHON
MICHAUD
CHAMPION
BOYER
HONORE
CHAUZET
BERTOUT
LEGRAND
TRICOIT
BLANPAIN
CIPRIANO
LE D’HERVE
COYAC
BENZI
DELCROIX
FLAMENT
PIRON
LEMAIRE
LALLEMENT
CHATAIGNE
RIOU
JUMAUCOURT
GRUMIAUX
MANTOVANI
LEGELEUX
BOUGUYON
THIERRY
CARTEAUX
FERNANDEZ
BORDERIE
MABIRE
WILLAIME
FANISE
SOBANSKA
MASSE
DUPINET
TORRES
VILAIN
DEBLOCK
COUSTET
PEILLON
PAVIN
PICHIOTTINO
NAUD
GENEIX
LIONNE
BOURGOGNE
BORKOWSKI
SANCHEZ
MILLO
PERIGNON
AUGUSTE
HUBERT
LEBEL
CHRISTMANN
Emmanuel
Francis
Pascal
David
Thierry
Pascal
Jean-Yves
Alain
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Bruno
Richard
Rénald
Christophe
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Gregory
Stephane
Thierry
Philippe
Jérôme
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Emmanuel
Christophe
David
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Franck
Jerome
Emmanuel
Herve
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Alexis
Eric
Alexandre
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Viviane
Vincent
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Fabrice
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Stephane
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ROLLINO
LEGENDRE
DUPRE
BIRBES
MENAGE
CAYROL
PLANE
LERICHE
SOUVAIS
DUMONT
CRESPIN
COUSIN
ACHARD
FOINTIAT
CHAMOUX
LECORNET
SENGER
LAMINE
LEGIOT
BLONDET
GROSJEAN
CARPENTIER
CORBEAUX
GENTY
NEUVILLERS
SEILER
SOLA
JORIS
GONZALEZ
FERNANDEZ
TUR
LOUIS
FRANCONNE
PADILLA
FARGEAU
LADNIAK
PELET
DIEMUNSCH
WALTER
MALEYSSON RIVIANI
GUETTOUCHA
JULLIEN
DOARE
BELLAME
BELLANTE
DERINE
BURLOT
LACROIX
BRIAND
MISSIAEN
TIANO
LERAT
GUYODO
DE SA ROSAS
KERMEL
COUTAND
CHUQUET
BURGART
LE FOLL
MONSEC
Jean Marie
Bruno
Sébastien
Michael
Sébastien
Laurent
Fabrice
Johannah
Cyrille
William
Jacky
Laurent
Ludovic
Guillaume
Frédéric
Yann
André
David
Pierre
Eric
Stephane
Richard
Olivier
Emmanuel
Stephane
Régis
Christophe
Romain
Jerome
Franckie
Caroline
Stephane
Jean Paul
Dominique
Eric
Valery Richard
Tony
Eric
Tony
Carole
Abdelkrim
Jerome
Gwenael
Franck
Stephane
Rodolphe
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Frederic
Regis
Frederic
Michel
Christian
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Fabrice
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Michael
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Eric
Cedric
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CHASTIN
LECLERCQ
GIRARDOT
CHAMBELLAND
NONIER
DAUMONT
PUMILIA
JACOB
MONTEILS
LE BAYON
VARLOT
DUPORT
MORETTI
LE GORBELEC
DESCAMPS
DANNOOT DESCAMPS
AMADEI
LENGLART
THOMAS
TELLE
NICOLAI
PRADA
RIGAUDIERE
FILALI
POLLION
ANGELI
DIAFAT
PARSI
LE MESTRE DUBUS
CHARLIER
LECA
PRIGENT
VATTIER
POLAK
TELLIER
CADET-MORREELS
PORTO
DUFRENOY DUPREZ
MACZKA
MOTTAY
AGAR
PUJOS
HONORE
ROGES
BEHAGUE
BRIANT
MAILLARD
POLAK
DHELIN
VIEVILLE
DEVAUX
GOUET
BRION
KUNTZ
LEPAGE VAVASSEUR
NOGUES
ANGER
OLIGER
SOUMAGNAC
MAROT
Michael
Olivier
Laurent
Pascal
Fabrice
David
Jean Francois
Arnaud
Muriel
David
Pascal
Didier
Stéphane
Cyrille
Joachim
Deborah
Stephane
Frederic
Erwan
Alexandre
Joël
Adriano
Antony
Younes
Hervé
Philippe
Walter
Stephane
Nathalie
Pascal
Marc
Mickael
Laurent
Sebastien
Arnaud
Sebastien
Stéphane
Mylene
Eric
Raphael
David
Frederic
Alex
Bruno
Sebastien
Stephane
Fabien
François
Samuel
Jonathan
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Yannick
Stephen
Yannis
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Raphael
Philippe
Frédéric
Philippe
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1610
ROBIN
MOREL MOREY
BERTILE
LAPOMME
FIRON
ZUNQUIN
TERRASSE
HERNOT
CARDI
KOWALISZYN
GANTOIS-FRANCOIS
BERTHEZENE
DUCARIN
BOUCLON
SANTONI
HORMOS
COLIN
BLANCHET DEMIT
ABBADIE
GAURY
MAILLE
GUILLET
HENNINGER
SAUNIER
BARBOTIN
RABAIOLI
ARDOUIN
BEUSQUART
CHATELARD
BERDER
DEPONT
TRINDADE
BROSSE
BEGUE
ABRY
AGUILAR
VANNESTE
BRASME
LEGENDRE
LEFEUVRE
BADIN
CECCANTI
BADOUARD
MAIDONIS
FERRIER
FABRE
FURET
HAMON
MENGELLE
FIEVRE
BEAL
ALBERTIN
SOLAN
HEMMERTER
ANSELME
MILLET
BERNARD
DA CUNHA
BUGNAZET
GROSSO
Raymond
Emilie
Yann
Benjamin
Anthony
Gregory
Abel
Sebastien
Robert
Ivan
Nathalie
Damien
Sylvain
Thomas
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Ludovic
Franck
Betty
Sebastien
Franck
Patrick
Gérald
Franck
Christophe
Franck
Philippe
Tristan
Laurent
Patrice
Mikael
Mathieu
Alexandra
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Benjamin
Nicolas
Laurent
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Jerome
Jérôme
Lionel
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Cyril
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Christophe
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Jérôme
Steve
Benoit
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Pierre
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David
Yannick
Ludovic
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Frédéric
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RIBEAUCOURT
AUVRAY
MARCHIONI
ALLAIN
BOULERT
RIGOTTI
GIRAUDO
PATALANO
DELGERY
LUBRANO DI SCAMPAMORTE
GUERIN
KRUKOWSKI
ICHARD
VERNEUIL
CULETTO
EDET
DELOUVROY
LASCARAY
CAPUTO
BOUSQUET
AVOLIO
TEPMAHC
SOUCHA
CLEMENT
MENDY
MOUGEOT
PAGET
GARCIA
DECONINCK
SCHRYVE
AVINEN
PIEDBOIS
DJABBOUR
RZEPECKI
DEVORSINE
BALLE
PETROGNANI
COMBES
COUTEAU
FRANZ
ARNAUD BRIAND
MINTER
GADANHO
CHOLEZ NAVET
LAUMORTE
DUPUIS
DESMURS
GEORGE
ABIJOU
NICOT
CINGAL
BANCHELIN
DEGORGUE DEPUYDT
JOUSSE
JANURA
LETULLIER
DUPRE
PETIT AZZOPARDI
HAUTCOEUR
JOUILLE
Stéphane
Sebastien
Florent
David
Guillaume
David
Benoit
Jerome
Frederic
Christophe
Yann
Gregory
Hervé
Luc
Gilles
Christophe
Philippe
Iban
Michel
Daniel
David
Frederic
Cyrille
Cedric
Brice
Stephane
Jean Claude
Yannick
Vincent
Sébastien
Nicolas
William
Moktar
Mickael
Sebastien
Frederic
Noel
Patrice
Stéphane
Christophe
Christelle
Sebastien
Sandrine
Claudine
Frederic
Ludovic
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Veronique
Anthony
Stanislas
Francois
Claude
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1730
LAVERNY ESPOSITO
CAMPANELLA
LEFEBVRE
ROGER
GUYOT
M BATI
CASSES
PRIETO
DA SILVA GOMES
LECOINTE
FIGARO
VANDEPITTERIE
BOUSSION
BERNARDINI
ARNOULT
MONTANIER
ALZINGRE
MARTINEZ
VONET
RAMOS
SCHOTTE
GILLANT
BENOIT
SIGNOUREL
RUNAVOT
SABATIER
MUTOLO
SAMAK
GELIS
CESARI
COUREAU
ELZBIECIAK
MONNIER
DELAFAITE
DROGUET
MASSA AUDU
LESERT
DEMONTAY
BRESSON
AHERFI
MARTIN
CHAUWIN
DEBRIL
DELANNOY
BENARIOUA
ASSELIN
XENOPHANE
ROMITO
COURTIN
PERRIER
GROUT
PENEL
MARC
SKOWRONEK
DEPREZ
GLORIANT
CARRETTE
MOYSAN
MOLLE
CHERY
Daphne
Sebastien
Frederic
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Vincent
Frederic
Stephane
Wilfried
Olivier
Pierre
Alain
Philippe
Laurent
Mathias
Vincent
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Sebastien
Sebastien
Lionel
David
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Johan
Sebastien
Rodolphe
Erwan
Celine
Olivier
Denis
Stephane
Yannick
Odilon
Alex
Sebastien
Eric
Jérôme
Laetitia
Olivier
Guy
Bruno
Xavier
Anthony
Jeremie
Michael
Benjamin
Morad
Boris
Xavier
Bruno
Gregory
Stephane
Walter
Stephane
Emmanuel
Yohan
Cédric
Patrice
Yohan
Bruno
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1790
GAILLARD
BENAKCHA HOUE
SONILIACQUE
FONTAINE
BIOUT
AMMANN
RUCART
HEERNAERT
GUINET
LEROUX
REBSTOCK
FOURNI
WILLAUME
POUX
MAES
LEVEQUE
FAUCOEUR
PILLIER
MEYER
GARCIA
HECQUET
GARCIA
TROLAIS
TILLARD LEGENDRE
QUILBAULT
SENE
LEFEBVRE
NAYET
DELHAY
GIRODOLLE
BADUEL
PLAWNY
DESIMEUR
TORRES
SOUTENARE
BULCOURT
LAVIGNE
CAUSARD
WALLET
FERRASSE
FREMAUX
CASTREMAN
LOUCHART
IDER
VAUTRAIN
BACO
SICARD
DEPERCHIN
ROSSETTI
CANTAL MARIE REINE
NOGUERA
DI MARTINO
MARCHAL
LAUTRU
CHEKROUNE
COLLET
DUMORTIER
MEHEL
HAMEL
CAILLE
Steeve
Salima
Pierre
Julien
Eric
Rodolphe
Gregory
Sebastien
Adeline
Olivier
Stephane
Gregory
Virginie
Nicolas
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Nadege
Stéphane
Sebastien
Lionel
Sebastien
Mathieu
Sébastien
Mathieu
Delphine
Stephane
Jean-Philippe
Arnaud
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Christophe
Eric
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Jerome
Michael
Hubert
Sabrice
Christophe
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Jonathan
Eric
Gregory
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Christophe
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MINY
PEROT
SAUVIAT
DERCY
SANCHEZ
GRAU
CAULIER
NOELL
BARBIER
CHANTEPIE
ROCHOWIAK
SAVARY
BLONDEL
LULIE-TUQUET
COURAULT
GOMEZ
DEMAY
PIERRE
SIFFERMANN
ALEXANDRE
PULON
GATAULT
JEU
CONCHONAUD
LEVAN
RIVIERE
ELIOT
LHEUREUX
PECOULT
MASSE
LECONTE
AFAKIR
HENNION
CARPENTIER
DELAPORTE
BEE
FALIU
DEBERGUE
CHAUSSOY
GILMET
ROUAUD
LAGACHE
LATOUR
BOURSIN
CISZAK
BENAKCHA
LEROY
VERNEUIL
ROTH
MAUPAS
LEFEBVRE
HOURIEZ
GRUWE
DITTLO
PUYDOYEUX LAMY
POULLEIN
PUCCI
PICARD
HASSEVELDE
MOYA
Gauthier
Emmanuel
Henri
Jose
Marc
Nicolas
Benoit
Jean-Luc
Gregoire
Aurelie
Nicolas
Francois
Mikael
Cedric
Sylvain
Richard
Xavier
Arnaud
Aline
Gerald
Marie Laure
Erika
Nicolas
Cedric
Yannick
Frederic
Steeve
Yannick
Stéphane
Mickael
Laurent
Haddouch
Cedric
Freddy
Frederic
Tony
Andre
Eric
Samy
Cedric
Yvonnick
Frederic
Mélanie
Arnaud
Fabien
Yacine
Thomas
Xavier
Jérémy
Vincent
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1910
ALTAVILLA
LAMBERT
FERET SOREL
BAY
FLACELIERE
DELATTRE
SERVIEN
GIEZEK
CORNELIE
DOSSMANN
HUE
BARRAT
OBRY
MEYER
VAN DENESTE
ZADIGUE GOUGOUGNAN
CARO
EMERY
MENARD VERMEULEN
LEUTELLIER
FONTAINE
CARTIER
ROMANO
LABORDE HARAMBURU
BERARD
BUISSONNET
AMIGO
PIGNOL
RATAJCZAK
MIGNON
CAVARLE
RIUS
CATANANTE
MILANGE
TEMMERMAN
YANETTI
POUPON
CARLIGNY
MONDET
GARDE
DAVAULT
PINON
LEBEHOT
FATOU
GUERIN
MARULL SOULATGE
MASSIE
BOIX
DUPIN
MOURAIT
BOUZAIRES
PELLEGRY
QUENEHEN
STEMPFLE
MEMERY
LEONARD
BENEDETTI COLIN
DEMOL CALMEL
ROUAULT
SCHWARZ
Eric
Vincent
Ingrid
Mathieu
Cyril
Gerard
Mickael
Nicolas
Marie Laure
Julien
Christophe
Jean-Pierre
Sebastien
Steve
Sebastien
Mario
Christophe
Laurent
Laurie
Jean Paul
Ludovic
Jerome
Maria-Angeles
Céline
Lionel
Patrick
Gabriel
Dominique
Alain
Jean-Francois
Michel
Patrick
Jean
Jerome
Alexandre
Thierry
Pierre
Guy
Jean Pierre
Philippe
Didier
Pascal
Thierry
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Herve
Francoise
Patrick
Pierre
Christine
Patrice
Catherine
Francis
Francois
Alain
René
Claude
Christine
Sabine
Josiane
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1970
HENRI
ALFONSI
BESSOLES
RENIA
GIACOMELLI
GARDILLOU
GARCIA PESENTI
DURUPT
ASSET
CLANET
GAGLIOLO
LENCLUD
MIGNANO
RAGAZZI
MARTINACHE
RIVET
CAROL
COMNOS
CARRASCO
MOURET
SIMLER
DANIEL
LESEVRE
FREYERMUTH
CHRYSANTHOS
DUPIRE
PATAY
JOUBERT
PLAIRE
TACCHINI
DEYRES
TALLET
VITRY
SPRIET
DUFFAUD
BACLET
TISSERAND
SANCHEZ
DELABROYE
GREGOIRE DALLET
PETITGIRARD
PIRON
QUERRIOUX
WERNETTE
CARAMIAUX
BEGU
FAUQUEMBERGUE
BOUISSIERE
DUPRE
BERTOLINI
LEWY
BONJOUR
LE CAHAIN
ZOBEL
GEORGES DELVAL
CABIOC’H
SARDA
DECOURCELLE
RUDANT
GUILLAUME
Pascal
Serge
Franck
Harry
Guy
Franck
Beatrice
Frederic
Alain
Jean-Luc
Patrick
Albert
Thierry
Christian
Philippe
Christian
Jacques
Ali Steeve
Guy
David
Roland
Olivier
Laurent
Frederic
Athanase
Mickael
Laurent
Lydia
Michel
Lionel
Jean Luc
Frederic
Jean Jacques
Pascal
Thierry
Eric
Magali
Christophe
David
Sylvie
Benoit
Pierre
Lionel
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Tony
Philippe
Vincent
Stephan
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Philippe
Laurent-Pascal
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Dominique
Philippe
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2030
RUFFENACH
LANNELONGUE
SCHIEFER DESCAMPS
DRIANO
ARNALES
BOUQUIE
FALLET
POULET
DELEAU
ESCOLANO
MAIGRET
DUHEM
CATALDO
DE SLOOVER
DUPLAA
DELEU
MOUTIER ROMAN
CLUZELAUD
HAZOUT
LOGARIO
DECALUWE
GOSSELET
GRYSON
BULTEEL
COISSAC
MORGAND
SARDA
DUBIEF PRIESTER
CALLUIERE
FORTHOMME
RODRIGUEZ
IDOUX
WALLERAND
DUCONGE
TETART
HUOT
BOUTROY
KHENIEN
ALBERT
DUPUIS
CLAVEL
PERNOT
LE GUERN
OFTINGER
MARTIN
DUPRAT
VERNE
SEVERIN
BAHEUX
GARCIA
PONS
THEROND
MOREL
DHINAUX
DUMINY
BOUNGO SOMBE
GREGOIRE
MALIGNE
GRYMONPREZ
TROPEA
Gilles
Olivier
Gabrielle
Jean Paul
Patrick
Frederic
Fabrice
Eric
Gaby
Laurent
Christophe
David
Christophe
Christophe
Laurent
Frederic
Aurelia
Franck
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Reynald
David
Stéphane
Stephane
Fabrice
Nicolas
Vincent
Julien
Marie-Pierre
Peggy
Laurent
Marc
Fabien
Magali
Christophe
Frederic
Dominique
Laurent
Nedy
Fabrice
Julien
Laurent
Laurent
Frederic
Gerald
Claude
Christophe
Jean - Luc
Laurent
Fabien
Severine
Martine
Michael
Jérôme
David
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Francesca
Elisabeth
Stephane
Roxane
Mickael
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
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2090
RIVIERE MARTINEZ
LEFEVRE
CARON
VERON
STRACCIALANO
THUMERELLE
HOCHET
MAURICE
MASSON
ALOPH
DANCOISNE
GERINI
BARRY
RINGARD
CHEUSEL GALBAS
ZINS GERINI
MUSSARD
MARDIL
PHILIPPE
LE RAY
PATE DIGOUDE
DANET
KOENIG
RIZZO
LAMOURET
VAN WYNENDAELE
REGARDIER
DUFOUR
DOLLIN
DEJOUET
COUTEUX
FOUTREL
OUDOT
FELBER
ANDRIEUX
MAREY
ROBERT
JANNUER
PAYAN
CHARLES
MOUTARLIER
MAINGUY
GARDEY
IOLA
RIEGIS
POUPARD
VINCENT
WEBER
STRIPPOLI
DUMAS
CHONG-PAN
BRUCHMANN
JACQUEMIN
CISEY
DUPRAT
GRANGEARD
AUBRY
DOUCE
BRIAUX
RICHARD
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Nicolas
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Anthony
Cedric
Nicolas
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Patrice
Louis-Steve
Sebastien
Katia
Johanna
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Alain
Emmanuel
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Marjolaine
Christophe
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Hervé
Emmanuel
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Jean Baptiste
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Valerie
Manuel
Frederic
Frederic
Johny
Jean Luc
Patrick
Sebastien
Olivier
Reginald
Delphine
Christophe
Caroline
Cedric
Dimitri
Séverine
Jean Philippe
Michael
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Christophe
Emmanuel
Mathieu
Sebastien
Sylvain
Sebastien
Sébastien
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2150
RONSIN
GERMAIN
ROBINET
DAVIN
CATALDO
KRUCHTEN
BOCAGE
PUEYO
MEYER
LELEUX
GARCIA
SENAC
FACON
FELDEN VERGNAUD
RADJAH
CHARLO
PITOU VIMBOULY
KRAWCZYK
CHEVALIER
WACHOWIAK
PLACE
HONTANS
MARTINEZ
NOGUES
HARO
DESFONTAINES
HEITZ GABEL ETTER
BOUCHER
FORT
RIGAUD
MERCHER
FONTAINE
VANNESSCHE
NOUAILLES
MARTINO DECOCK
FATRE
DELPORTE BASTIEN
DUPONT
MOUNIER
JUNQUET
SOUSSI
COMBES
HUBBEL GOUACIDE
DEGREMONT
THESIER
DURIF
PETIOT GUERIN
AVRILLON
BOUCHET
PARASKEVOPOULOS
GARRIGOU
BELGACEM
PERDRIX
MICHENEAU
COLET CESAIRE-GEDEON
DE GARIDEL
TREFEIL
BOYER
CABON
DUFOUR
Fabrice
Franck Sebastie
Nicolas
Sebastien
Jean Philippe
Cyril
Fabrice
Mario
Jérôme
Gery
Michael
Christophe
Armelle
Marie-Annick
Philippe
Aziz
Sonia
Florian
Thierry
Gyslain
Jean Sebastien
Bruno
Anne
Philippe
Jean-Pierre
Sebastien
Liselotte
Domitille
Fabien
Sebastien
Valérie
Jerome
Cyril
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Nicolas
Julien
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FOREST
VERGAIN
CARLET
FORET
BOUISSET
GABELUS
BRIDE
DOUDOUX
BRAUD
MILETO
DUBUS
MOULIN
DA SILVA
SABBAH
POILPOT
ALVES
COPPIOLI
BLANCHARD
DUPUCH
AIDI
HUYNH
CHAMPARE VALCY
BOUHET
LABBE
COLIN
BOIT
COURTOIS
LYONNET
MEALLIER
SACI
BEZIN
AUBERTEL
BOUCLY
HOUDART RAULT
GENEST
TREMOLIERES
CUOZZO
DELEAGE
GRANDMOUGIN
LECROART
BALLE
BEN ALI
ALLEGRE
DUFETELLE
CHERVIER
RAZEYRE
GUERLAIN
MAITRE
BARTHET
JOYE
PALYSWIT
RAMILLIEN
LEGRAND
FOURCADE
AMETLLER
PEYCLIT
POUILLON
DEHOVE
HECHICHE
TRAVET
Audrey
Dominique
Johann
Pascal
Bernard
Arnaud
David
Jacky
Emmanuel
David
Aurelien
Christophe
Carla
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Celine
Marc
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Youssef
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Jean Gael
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Aissa
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David
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Stephane
Antony
Mouguilane
Chahid
Jeremie
Sebastien
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Cyril
Kevin
Olivier
Dimitri
Herve
Stephanie
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Thomas
Matthieu
Stephanie
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MONTUELLE
BOURHOU
AUBRY
POYET-ROUGANNE
LAMOUREUX
FRANCOIS
DUEZ
ROULIN
MARTIN CAMUS
MALLAURAN
DIEULLE
BAEZA
STOJCEVSKI
DIDIER
RICARD
GOBEAUT
MICHENET
COPIN
PICO
LOMBART
GERMANY
DROGOZ
THIANT
BERNARD DE COURVILLE
DELAIRE
HOUCINE
BALERIN
DELESTRE
VIGUIE
BERQUEZ
HOAREAU
BAZIRE
ROCHE
BALLOUL
GODARD
BEAURAIN
BERTOLOTTI
MARTIN
SAINT JACQUES
ARMAND
SAYER RABA
MERCEREAU
ALSTERS
SPAMPINATO-BOUSSIOUX
PAILLET
MABRUT
MAROTTA
HOYAU
DE FARIA
BRIZ
RAFFIN
BOYER
VERCOUTRE
PEYROL THEVENET
SARDIN
CAGNAC
FABRE
GERARD
LOLLI
EL HAYYATE
Sylvain
Messaoud
Yannick
Thomas
Christophe
Sandra
Alexandra
Jeremy
Jessica
Boris
Elina
Jérémy
Aleksandar
Alexis
Julie
Fabien
Sebastien
Loic
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Sebastien
Davy
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Theo
Jacques
Anne Sophie
Agnes
Guilhem
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Lionel
Carl-Stephane
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Jimmy
Thierry
Barbara
Emmanuel
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Christophe
Cedric
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Mickael
Aude-Marie
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BRUSSE
DELIGNIERES
FENICHE
CHASTAGNIER
CIANO
VEJTZIK
RAYNAUD
BERTHIER
FRANCOIS
KAYGIN
LAGASSE
MORACCHINI
WILLARD
DELHOSTE
MOUNIE
DI PIETRANTONIO
JACOULOT
WIETECKA
RICHARD
MONTANARO
CLOET
ANTOINE
SAUVAGE
MOTTER
GIRGIN
CLEMENT
PEREA NARANJO
MONDEJAR
GROSSON
BAUSSENS
KIRCH
MOURNIAC
MORIO BUTEAU
BURON
MADEBOS
AGRICOLE
JEAN BAPTISTE NICOLAS
STUTZINGER
ZUNINO
ROSSET FOUILLEN
MARTIN
POURQUIES
GIMENEZ
MARECHAL
DE BARROS
FROMENT
REALE
SANS
DUSCONI
SALOMON HILAIRE
FILLEZ
PREVOST
LAMM
MILESI
MELIANI
CUCINIELLO
DE BIASIO
TAIEB RENASSIA
PERRIN
PILLOT
Gwenael
Sebastien
Nadel
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Benoit
Celine
Alexandra
Sebastien
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Nicolas
Frederic
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Gregory
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Pascal
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Sylvain
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Nicolas
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Philippe
Christian
Jean-Luc
Alfred
Eric
Marie Helene
Thierry
Gilles
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Eric
Fabrice
Isabelle
Jean Yves
Jean-Francois
Christian
Bruno
Francis
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BUSSIERE
MERCERON
BRUMAN
DEBERNE
DIMANCHE
PORTE
MOUTEL
PETIT
JULIE
CHEMINADE REIX
GUERIN HALOIN
MALOUNGILA EZELIN
ESCARAVAGE
GODEY CHERPIN
AGRELO
GRUMETZ
SCHREINER
LOISEL
NOLIBOIS
CHIBACO
FERNANDEZ
MASSONIE
COMPAIN
HERMET
MORAIN
SANSON
COMBROUZE
ETIENNE
VANLOVEN
GUERIN
AUGUGLIARO
HUREL
MANGIN
BETTENS
ROGER
GENER
COLLET
ROUAULT
MARTY
LUGOWSKI
SAINT-MACARY
MASLET-PALLER
MOSCHENI
LEMERCIER
GENOVESE
STIEG
LAVENU
BILLEREY
DEKKAK BEN FATAH
PERETTI
ACTIS DATO
BENMERIEME
BA
DEJEAN
MARMASSE
CLUZEAU
NEPERT
GAILLEMIN
BOJCZUK
GIVERS
Frederic
Herve
Stephane
Florent
Christophe
David
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Philippe
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Jérôme
Patrice
Moustoihi
David
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Fabrice
Georges
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Sylvie
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Eric
Thomas
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Ingrid
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PREVOT GROULT
PERRUFFEL BILLET
BRANSOLLE
LATCHIMY VAGINAY
DEIVASSAGAYAME
PALADINI
L’ YVONNET
HIE
RAGOUVA SALVY
LATUILE
CHAILLOU
PAYET
GIRARD
PLUGNIK
GEST
LITVINENKO
ROC
LERICHE
BARBE
LEMATTRE
COIQUE
LARGILLET
SIGOIRE
ROSCHITZ
JULIEN
CHEMIN
ESNAULT
DOLOIR
RICHARD
DESFONTAINES
RIGOT
MAGLOIRE
ATOUT
FERNEZ
BOURNIER
SERAFIN BONVARLET
CAFFIER
DUPONT
MARTIN
D’ALMEIDA
ZIEGLER
GAUDIN
GALLO
RICHY DUMY
ANDRE
BANAIAS
SELLIER HODIER
SAINT PAUL
HERRMANN
JORET
DUBET
BORGES
ARBINET
DOUIS
VALAT
LAPLAGNE
JOACHIM
ANEZMI
BROUXEL
GORON
Thamara
Myriam
Fabrice
Julia
Antoine
Guy Noel
Stephane
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Laurence
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David
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Michael
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Ricardo
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Charles Henri
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AMADOU
LERICHE
RENAUDIE
PATRAULT
BOURDELAT
TINEL
VIGNOT
DEMESSAZ
BEYNEIX
MONIEZ
MERCIER
HITIER
BOUTRY
BOGE
REBOUH
DAVID
FABRE
MOIA
AMILY
GERMANE
VALLON
TOUDERT
WILLIAM
DOBREMETZ
ASSET
BOCQUET
CHEMOUL
AINSEBA
CARABEUF
SGHAIRI
STOUQUE
LOPEZ
HAUMONT
EOUZAN
BEL
GALLEGO
GROSS
MERCHI
VIDEAU
POULAIN D ANDECY
ELBENE
BLOT
CACAIS
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BAUP
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FONTAINE PAYAN
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GALLIOT NAUDIN
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KOMESSE
LE ROY
CHANOINE KUNZ
LAVERDURE
SALOMON
NOEL
LAGNEAU
DUBOIS
BARDOUIL
ESPEJEL
PAPILLON
DUMY
HOAREAU
DELORD
FOLIO
DI TOMASO
BONNEAUD
RENONCOURT
AGUIDI
SIMON
ADELAIDE
ERRE
SWAIN
GOUILLIART
LE QUILLIEC
CHEVANNE
BOSSARD
EDDAOURI
GAMEIRO
LARCHE
NOEL
LEBON
GODEAU
BADUEL
BURBAUD
TIN-SANG
DELANEAU
CHEVALIER
LE GUENNEC
MAHE
FAIVRE DARBIER
DAGUET
LEGER
VOELCKEL
BELMHAREM
BOUCHER
HERBASSIER
REDON
MENAND
PERRAULT
BEREL
GARRE
CLARIS
BONNEFONT
LECOUVEZ
PANSA
LAUWERS
ARTUS
MAINGE
HOUSSACK
Thibaut
Christophe
Muriel
Fabrice
Miguel
Stephane
Sophie
Cyrille
Laetitia
Bernard
Christelle
Sebastien
Jonathan
Emilie
Frederic
Michel
Antoine
Odile
Hafida
Jerome
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Laurent
John
Mathieu
Emmanuel
Francois
Dimitri
Houria
Marco
Sylvain
John
Stephane
Yohann
Stephane
Laurent
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Sebastien
Christelle
Sandrine
Nadege
Olivier
Dimitri
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Karim
Muriel
Thomas
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Jean Marc
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DUCOURET
BARTHET
MARICOT
EL AMRANI
RAYNAL
NEMOUTHE
FONTANEAU KILIAN
TELEMAQUE
ALVES
ZOBEL BORRULL
SALMI
BELENUS
SELPONI
ZINAI
CAZAL
CORNUEL
MORENO
GALIBERT
LLAMAZARES
PAUPORTE
DECAUDAIN
CRISTOFINI
DELELIS
BOURDIM
LAURENT JOHARANE
PREZEAU
PIERRON
NGUYEN VAN SANG
MORTEAU
VANDENBROELE
LEON
LE CORRE
ZIRCON
ALVAREZ
MOLINA
BEAL
DROY
DOIT
POIROT
SEGUIN
BOUWY
BEAUFILS
PRIBAT
MUSSARD
BOUHOUT
QUELLEC
BARREAU
PIAULT
DAMAY
OCULI
PECQUET
MORMONT-MEDERIC
GREGOIRE
DUVEAU
GHIGO
LEBLANC
DIBLING
FAUTER
BANELLE
RAY
Fabien
Daniel
Damien
Fouad
Cyril
Gilles
Vanessa
Sebastien
Armenio
Astrid
Farid
Libert
Pierre
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Guy
Sebastien
Deborah
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Jeremy
Katia
Jeremy
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Matthieu
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Fabrice
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SECHER
PALUD
FENOUIL
ZORZI
TIALA
LECREUX
LUZINSKI
PEILLON
RABIER
SCOUARNEC
OMEZ
SAMBIN
PEREZ
MASSON
POETTE
GOMEZ
MICHAUD
SIROP
LABONNE
MARTINS
MARI
MENDIELA
GEORGES
SERETIS
ROBILLART
BENAHMED
KHALED
BOUHADIBA
BERTRAND
PROUTEAU
POGGIO
CREPU
LOZACHMEUR
CEZAR
DEGRAEVE
TROUILLET
ABID
LEBON
RECART
SERVA
LEPONT
EDON LECLERC
FAVEREAU
BOUCHAIT BACCHIALONI
GRIMAUD
FOURGEAUD
VERDET
ROUSSEAU
LE GOFF
TERRAL
LOPEZ
MARTY
RENARD
CHAUVIN
CARRIER
DARTHOIT MONTABORD
LEYSSENNE
BLEQUY
DESUMEUR
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Yoann
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Catherine
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Bertrand
Sebastien
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Nicolas
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Stephane
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Franck
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Fadila
Nadjah
Jamel
Tristan
Carine
Stephane
Ludovic
Karine
Didier
Jeremy
Aurelie
Karim
Olivier
Patricia
Romuald
Isabelle
Celine
Vanessa
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SANGARIN
DANINTHE-ASTHAN
PRUVOST
SENAR-CHESA
FOURE
BRANDILY
DOS ANJOS OUSSELIN
BESSAGUET
BURSAC
MAYDAT
TRIOULLIER
GOULIAS
DEGANNE
JOURDE
RACINE
DUPUY
MONTAGNE
GOMRI
TINJUS
MAURICE
WIROWSKY NARCISI
CHADOIN
CHAUMONT
HOUSSEMAND
TRANQUILLIN
PAJKERT
GRAVOUILLE
GOFFINET
NAVELET
MASSEAUX
CORNIL
POIRIER
BOCCABELLA
GARRIDO
AHUMADA
GUILLOT LE DEAUT
LEFEVRE
DARSCH
DIA
PAGEAUX
LEVASSEUR
HERBELOT
BARRAS
SAVARY
BRICQUEBEC
REQUILLARD
POIGNAND
MATHIEU
FRAISSE
SALAH ORBEL
ABDELMOUMENE
HAMART
RIVIERE
FAVRIS
VERSABEAU
HELBECQUE
DUBOIS
TASSEL
HENIART
LANDY
Nicolas
Jose
Sebastien
Virginie
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Dorothee
Kamel
Marie Evelyne
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Frederic
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Frederic
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Nathalie
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ABAUZIT
GALY
VACOSSIN
CABANE
BRANCHEREAU
MAUHE
COLLIN
LECORRE
DETEUF
MICHEL
KINTARD
POTIER
LEGROS
LOITIERRE
WILLERS
VERDURE SERVILLE
KHEMISSA
HUSTACHE
GRUNWEISER
MORELLE
NEDROMI
CHAILLOU
ROBERT
SCHAMBER
NOUVEL
DE TAXIS DU POET
GIRAUDET
MACREZ
SALLUSTRO
LE GALLOUDEC
ARNAUD
LOPEZ
CHEVAL
VERON CLAIRON
BERNARD
LE COLLINET LECOLLINET
CAUFOURIER
NACHIN
MICHELOZZI
FLINGOU
PATURAL
JULIEN
GALLAIS DUCHESNE
BUSCAIL
BARAST
DURAND
SAPIO
AURANGE
DRISSI
MAGUET
LEULIER
GERVAIS
GRONDIN
LIMOUSIN
BONNET
BRUNET
HANQUIER
GUERRIN
FLANDINET
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Maud
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Nicolas
Karine
Olivier
Maxime
Claire
Philippe
Yann
Jean Jacques
Anthony
Sophie
Severine
Adlane
Stephanie
Agnes
Nicolas
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Brice
Celine
Orlane
Jérôme
Florence
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Michael
Caroline
Delphine
Aurelien
Serge
Christophe
Delphine
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Sabrina
Nina
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Carl
Fabrice
Christelle
Jennifer
Sabrina
Aymeric
Sebastien
Stephanie
Nabil
Johannes
Arnaud
Laurent
Olivier
Baptiste
Christophe
Nicolas
Alexandre
Stephane
Stephane
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LEROY
SAVREUX
BILARD
SIBILLE
RENE
BERTRAND
RIVIERE
ROBIC
ROUSSEL
LE GALLOU
DUBUISSON
LYON
MASSU
NARDI
GUINARD
CORNEZ
ERKOL TACIAK
RYBIENIK
MONTIGNY
BARANGER
SAPOR
VERMEULEN
SCOHIER
FIEVET
BREGANZE
BRAUNSTEIN
CHARRUAULT
VULLIEZ GUELTON
PADE
BERTINCHAMPS
POUJOL
LE SERRE
PIERROT
RGUIBI
DE ARAUJO
ALIX
HEZAZI
DOS REIS
OUDJAIL
POPULO
REBUS
LEVEQUE
KERYHUEL
JOFFRE
LECHALUPE
BONNIN
GROLLET
BUOT
ANDUZE
DISSEZ
BREL
GUICHARD
GERARD
CEDELLE
BAUVILLE
JEANNE
BARATIN
BERTELOOT
BOUGUET
BOBER
Severine
Sebastien
Solene
Fabrice
Cyrille
Pierric
Stephane
Olivier
Celine
Francois
Sebastien
Melodie
Fabrice
Jeremy
Stephane
Julien
Christine
Julien
Francois
Fabrice
Cindy
Mathieu
Cyril
Gregory
Raphael
David
Anthony
Laetitia
Karine
Anthony
Jean-Pierre
Patricia
Jose
Ayoub
Fernando
Olivier
Stephane
Amilcar
Mekki
Rudy
Fabrice
Nicolas
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Christophe
Patrice
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Philippe
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CARE
RICARD
SADDEDINE
MARIE
BERRIO
BOUCHERARA
TAILLARD
BEGUEC
BOYER
HUE
HIBON
JOUSSET
FILIPIC
AUGER
LECOANET
BERTHE
VAN DIJK
JARDOT
GARREAU
LISON
MIRAULT
TAPON
NEU
FERNANDES
MOLLER
VERNET
VIENNE
SCHERPEREEL
COURT
CAUSEUR
KAFELIK
DEBUCHY
NOLBAS
ANDRIEU
PIBRE
FIATA
RUAUX
COMPERE
NUNEZ
FERREIRA
DUPAQUIER
MOUNSI
CARASSOU
JACQUEMIN BLANCHAUD
MOULINIER
LIUFAU
CYRILLE
ANTOINE PACINI
ANDRE
CAZELLES COMBES
DESIR
MARCEL
PITOUX MASSON
GASPARD
VERGER
BINON
LORGET VALERIUS
MAILLOT
CHEVALIER
BOISGIBAULT
Franck
Isabelle
Cedric
Richard
Nicolas
Riadh
Jerome
Cedric
Sébastien
Richard
Caroline
Cecile
Stephan
Christophe
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Laurent
Fabrice
Aurelien
Jerome
David
Jerome
Patrice
Nicolas
Karine
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Nicolas
Ingrid
Damien
Sylvie
Pierre
Patrick
Sophia
Christian
Xavier
Christophe
Paula
Bertrand
Makhlouf
Stephanie
Alexandra
Sylvain
Pétélo
Fabrice
Lidwine
Didier
Geraldine
Maryse
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Stéphane
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FAUTERRE VERNET
HOUSSIN
BUREAU GOMBAULT
DE SOUSA
DAGRON
LAVERRE
DELIVET
MIDOZ
VALLEE
LOPES
VEZIEN
GERBAULT
DILMI
EGUIENTA
CHAOU
ALBAYRAK
COTTENCEAU
PAYET
DOUCET
MITRI
RAGAUT-DOE
LE GALL
DECALION
HASTEY
GOURDIN
CHANTOISEAU
COUNADEN BENASSILA
LAYNAUD
WILCZYNSKI
RAIMBAULT
BALCON
MARTIN
SMAIL
SCHUHMACHER
FAVE
CHEA
GASPARIK
DOS SANTOS
CHOCIAN
CARCY
CADOREAU
TARRAGO
REDOLFI
COCONNIER
SADOK
PECHON
PILON
MACIA
GAMBIER
PEDARROS
ALAMELAMA
PRUDENT
PLANA
VIROULET
DESMARCHELIER
TIJOU
NIECHE
HENRY
BUSETTO
HEUX
Stephanie
Anthony
Aurelia
Bruno
Angelique
Eric
Sebastien
Stéphane
Alexis
Frédéric
Nicolas
Thierry
Angelique
Thomas
Saïd
Ekrem
Guillaume
Erick
Kevin
Constantin
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Yannick
Boris
Harold
Quentin
Julien
Zahra
Régis
Sébastien
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Marie-Cecile
Christian
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Thomas
Véronique
Christian
Emilie
Eusebio
Eric
Eric
Christophe
Frederic
Jean-Louis
Virginie
Reda
Lars
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Sylvain
Christophe
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Ghislain
Yann
Florent
Jérôme
Damien
Alan
Stephane
Marie Agnes
Laurent
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VALOT
SCHULZ
BRICOUT
LAURENT
PINHEIRO DA SILVA
MAHIEU
NOIRMAIN
SISTO
CHAILLY
SURELLE
LAPIN
METIVIER
TOUCHARD
DEBALLE
MILLE
GALLAND
FIERS
GONZALEZ
PODEVIN
ARREDE
CATHENOZ
ROMBAUX
DEVOS
VY
PAIA
BRETON
BRIGTHON
BEGUE
RIVET
BEURY COUTIER
OUELHADJ HIRACHE
MANSARD
BERLE
SCHOEN
COLLIOT
CAIANO
KANIZSAY
MONIER
MOULIN FERMIGIER
MARIE SAINTE
AVRIAMA
ELISABETH
CHASSANGRE
CLOUET
LOUISON TORVAL
GRY
RAZANAMAHEFA
GUICHARD
ALICALAPA
MARIE
SCHWALLINGER
BLANCHARD
DUFAY
FERNANDES
CASES
LAHAIE
MARTIN
ONESTO
DUVAL
PERDIGEON
Marc Alexandre
Emmanuel
Romain
Alexis
Lidia
Harold
Vincent
Therese
Sabrina
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David
Benjamin
Julie
Charlene
Thomas
Guillaume
Guillaume
Alix
Aurore
Jessica
Delphine
Van Hai
James
Martine
Betty
Cyrille
Cedric
Audrey
Ouassila
Jean Daniel
Pierre
Christophe
Cecile
Sandrine
Cecile
Marina
Christelle
Jean Philippe
Laurent
Elvis
Cyril
Johann
Marie-Esther
Christelle
Dina
Virginie
Olivier
Carine
Ophelie
Romain
Christelle
Didacio
Sophie
Alexandre
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DENAT
MAZALTO
BRANCHET
PARET
REYNAUD
DIANTEILL
MALBRANQUE
HERINGUEZ
GALLARD
MOULY
BRENELIERE
FORESTIER
DUFOUR
DESETTE
CARRASCO
ROMBAUX
BUCH
ANSART
HATTACH
GASMI
STAESSENS
TONNERRE
DIDIER
VIRLY
SANTOLARIA
DADDA DELONG
GRIMALDI AGOSTINI
GACHON
SAINT GHISLAIN
HUBERT
FLORENS
CHEVE
LE JEAN
VALLON
YAZAG
LE DUFF
GUENERIN
OUVRIER NEYRET
FILA
VANKEMMEL
STEPHAN
ROBERT
BELLAHCENE
FAUVEAU
MIGLIORELLI
MELISSE
HIRSCH
ROCHET
DRUET
JOYEUX
COUTANT TELLIER
MARTIN
TISSERANT GACHON
ROMAIN
FORMERY
GEMME
MALET
ESCALIN GROSSIN
DESARTHE
INGHILLERI
Virginie
Gregory
Berard
Lauriane
Alexandre
Fabrice
Maureen
Francis
Audrey
Vincent
Laetitia
Frederic
Aurelie
Melanie
Yann
Yohann
Pierre
Amandine
Souad
Karim
Franck
Sébastien
Hervé
Francois
Alain
Kaltoum
Marilyn
Laurent
Matthieu
Herve
Mathieu
Valerie
Arnaud
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Malik
Nicolas
Michael
Nicolas
Eric
Anne Laure
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Christelle
Noria
Mikael
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Steven
Candy
Audrey
Sébastien
Celine
Thomas
Philippe
Gregory
Amandine
Natacha
Damien
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FRIDERICH
ROSEAU
VIOU
USAI
DOMINGUEZ
FISTACHE
TABEAU
CHOULET
VICOT
PECHOUX
JULIA
STENNOU NICOLAI
ANGOT
LAUBY
ALLAIN
ATAOUMBE
SUBRENAT MALAVAL
LASSA
ASSANI
GOMES
EHRLACHER
LAVIER
FRENOIS
BATLLE
PATUREL
DUPERRIER
PEROSINO FORT
DESCHODT
HOAREAU
GARCIA
CANOPE
BOUTEVILLE
AUPETIT
SCHMIDT
MALICET
VINAL
LABBACI
PAGES
DUPOUY
LATHULIERE
JANER
LEFEBVRE
RIVOAL
PREVOTEAU
MASSON
FORCINAL
OUAKI BRETEL
DA COSTA
TANGUY
POUDROUX
SANTERNE
MONNIER
YESSAAD
CRETINOIR
LE MOUILLOUR
GIMENO
ANEST
PERINI
DURIVAULT
BERTRAS LALANNE
Olivier
Angele
Laurent
Fabrice
Frédéric
Franck
Serge
Sylvain
Prisca
Laetitia
Frederic
Nathalie
Vanessa
Sebastien
Fabrice
Thierry
Cendrine
Philippe
Rakibou
Antonio
Stephane
Frantz
Jean Philippe
Gregory
Rudy
Laurent
Isabelle
Franck
Thierry
Florian
Yolaine
Pascal
Gregory
Norman
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Denise
Rodric
Denis
Sylvie
Steve
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Ludovic
Philippe
Stephane
David
Djamila
Cedric
Mathieu
Jeremy
David
Franck
Mourad
Ricardo
Tangi
Nathaniel
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INNAURATO
PASCAL
PAADOO
MANSUY
TOUSSAINT
BOTTEMER
MANNINO
PINQUET
FLORIAN
CARDET
MORIN
GARE
LEGER
POUGET
LEBON
CHAMI
GRAILLE
MITH
LAHNA DESMAISONS
BRETTE
DELORT-BESSE
TAGLIASCO
GAUDRY
PETE
MESSAOUDINE
DENUIT
BEN ABDALLAH
DUPONT
VERE
MARIE
CREBESSEGUES
LEMARCHAND
ROYER
ROUBIN
POUBLAN
MELSE
GARNIER
CHALON
FREAU
MAILLOT
SOFFIATI
PEREZ
ROMAGNY CUSSONNEAU
LOTTE
DENIS
SAUTRON
AJAPUHNYA
BASSIN
LAMBERT
PIQOT LALLEMAND
MARGUERITE
ARNOULD
RICHET
ABDELDJEBBAR
BERTRAND
REMY
LASSERRE
LECHAT
CONRARDY
ALANOIX
Luigi
Laurent
Marie-Edmee
Gregory
Vincent
Veit
Dalila
Ingrid
Sebastien
Patrice
Cildric
Franck
Alexandre
Julien
Dominique
Karim
Marine
Dominique
Amal
Lauriane
Isabelle
Nicolas
Yoann
Cyril
Amanda
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Nessim
Virginie
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Denis
Anne
Fabien
Jessica
Julien
Joelle
Anne Laure
Jean-Pierre
Nathalie
Frédéric
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Aude
Linda
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Steve
Farid
Cedric
Emmanuelle
Fabien
Benoit
Beatrice
Patrick
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LELIEVRE
HAMDAOUI
FILIPIC
INFORTUNA
AIDI
MORIN AUBLANC
KARI
GOSSET
ROUX
JOULAN
GHRIBI
RIVIERE
WILLIAMS
VIEIRA
DUSSIEL
SAVOYE
CLOET LECLERCQ
PINOT
MONTONI
BAUT
FORABOSCO
COUTRON
WEBER
DELVALLEE
NGUYEN
EISENBARTH
DELMOTTE
DUTERTE
CELIGNY
FRUCHART
RIVAL
LOUVET
SALAH
JALLAGEAS
SERRET
MARION
VIAS
DEMKO
HERNOULT
DELEBECQUE
GARCIA
ACCARY
SAUCET
SARIC
BODART
ILTIS
RICHARD
LAURENT
BASTIDE
MATHIVET
DEBAER
SINTES
BAUJARD
ABOUNA
ATTALI
ABELKALON
DOUMBIA
PETER
LEROY
CROCHARD
Franck
Samia
Geraldine
Laura
Hanane
Stephanie
Ludovic
Patrick
Jean-Christophe
Yoann
Nouredine
Priscilla
Sebastien
Silvio
Rodrigue
Anthony
Ludivine
Frederic
Richard
Julien
Olivier
Olivier
Gregory
David
Philippe
Marc
Frederic
Dimitri
Thierry
Emmanuelle
Jonathan
Jonathan
Josephine
Julien
Jean-Christophe
Benjamin
Julien
Arnaud
Hubert
Typhaine
Sylvain
Charles
Fabienne
Goran
Remi
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DO PINHAL
MAHE
COLAS
ENOKA
MARCANDIER
CHE
ROZE
HEYMANN TISSOT
MARIE
BOST
PIETERS
FLECHARD
DELLIS
COUTURIER
CAMERLYNCK
CARNICELLI
ABADIE
SERRE
HEULLY
SONATORE
HARTMANN
MELONI
PAUTY
CRETON
DUSAUTOIR
MESSIEN
CARRARA
MARANGES
SLAMA
JELIE
CLAPE
BRETAUDEAU
DEMORY
MARY
RIQUIER
GIRIER-DUFOURNIER
FLORES
LE SCAVINER
JOURDE
GHESTEM
JUEST
PALMA
BETHE
SAHLI
MORAUX
CHAMBON
RITCHEN
LEON
MINUEL PREVOST
SEKROUN
LE PROVOT
LLIBOUTRY
PIAT
AUVRAY
DUBOIS CHARREAU
DONASCIMENTO
CARLADOUS
BRAGA DO ESPIRITO SANTO
ANTON Y TOVAR
POILLOT
Olivier
Anthony
Emilie
Jean-Manuel
Ludovic
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Alexandra
Nathalie
Anthony
Vincent
David
Julien
Vincent
Angelique
Damien
Laurent
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Patrick
Maryvonne
Francois
Virginie
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Alexandre
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Samuel
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Thomas
Jean Didier
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Didier
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Thomas
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Richard
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PAUCHET
MARQUET
PASQUIER
HUYNH
VOURDON
DURIEUX-TROUILLETON
RECHNER
JANUEL
BENYAHIA
DEROSIAUX
BOUCHARD CHOUCHANE
SION
LAVALETTE
NATIVEL
PICHON
KALTENBACH
MIROSLAW
TAZDAIT
VITRY
RIVERE DE CARLES VALLOIS
HUBERT
MASSACRY
MEKIBES
GOURDAIS
OLESZKO
MANSARD
CHAUCHOT
RODRIGUES
PONTOIS
GAUDIN
CAMPANA
FERNANDES
BOURDERY
LEVEQUE
ANDRE
CELLIER
BRUCHET
HETROIT
HAY
TANDJAOUI
POCHET
DRINE
TEKIN
DUWIQUET
DUBOIS
PASCOA
ROMANO
RAMADI RUAHE
POCTHIER
NDOUMBE
MARCHETTO
NIVERS
LEFEVRE PINOT
STEFANCZYK
DHEILLY
CIRACIYAN
PEREZ
BAEYAERT
PROUDHOM
PASCAL
Tony
Ruddy
Nicolas
Kim-Anh
Loic
Emilie
Cedric
Cedric
Boubakare
Stephanie
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Sébastien
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Christophe
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Cedric
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Peggy
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Samira
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REPUSSARD
DIZAMBOURG
BESSE
JASKULSKI
BOUTHIER
DZIUBAK
GUERAND
DOMINGOS
DA ROCHA
FERNANDEZ
BRILLET
CHABRERIE
ETIENNE
LAWSON
ABENG EMVOUTOU
BERNARD
HAAS
GUENINECHE
MENENDEZ
SANT
CARPENTIER
TAESCH DERAMBURE
CHARRON
VIALARD
SOMMIER
RIETH
CHONG-WA
FUENTES
PINEDA
RIVIERE
DURET
PICAURON
RICHARTE
LAFUENTE
RAMEDACE
DAUTREMAY
GLIGORIJEVIC
LAJNEF
LUCIANO
DEUBRAS
GAVREL
GOSSELIN
GERVAISEAU PEYTEAUD
PIERSON
VARLET
MELE
CHARLES
DEMEESTER
LEDOUX
TOLSY
BONDILANGE
DE JESUS
BOUCLE
MAUFAY
VINGADAS
MENNELLA
DUMINI
KUTENICS
SOURD
DELRIEU
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Annie Flore
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Jean Luc
Philippe
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Patrice
Anne Cecile
Michel
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Marjory
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Eric
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FILIN
LAE
PARIS
ANDREO
PAULY
BANYULS
MOREL
GRONDIN
GAY
NARCISI
CURTZ
LEBON
NARDI
GLOAGUEN
BIDOLIS
BABIUCH
GATTI
DE MICHEL
PALASZ
GROSSOT
DUWICQUET
MICHEL
MEGRET
LUBOCH
MASQUELIER
DE CHAVIGNY
DUCLOS
LOYER GIBOT
JAAI
DURET
SMAIL
KLIN
PASSOS
DOIZY
DODARD
GARDIER
FREULON
COUVRAT
LEGOFF
MADRIAS
ROUSSEAU
NANTIER
ODET
GAY
CHARRON
SOUMIREU-LARTIGUE
GEOFFROY
GOURMELON
ROVILLAIN
DOUCHEZ
VICENTE
FAURE
POIRIER
SANTELLI
VILLEFAYOT
CHARPENTIER
QUEIROZ
ROCHAT NICAULT
LAZIOU
REBAGLIATI
Philippe
Guillaume
Sebastien
Jose
Vivien
Maxime
Elodie
Jean Florent
Laurent
Pasquale
Emmanuel
Laurent
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Sarah
Pierre
Olivier
Sebastien
Jimmy
Slawomir
Aurore
Herve
Carole
Magali
Malika
Laetitia
Cedric
Wesley
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Virginie
Christophe
Eric
Nicolas
Pierre
Caroline
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Joanny
Coraline
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Callixte
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Daniel
Michel
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Jean Baptiste
Veronique
Dominique
Victor
Magalie
Xavier
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AUGIER DE MOUSSAC
LE NOAC H MANZELLA
PASTOL
LADAUGE
DOS SANTOS
HERBIN
LACROIX
MORE
CONTE
DIJOUX
AUBERON
LAINE
MINCHELLA
GILLAIN
DUPONT
THENARD
BOULER
DEMBELLE
MARIE
ROUX
MARASLIOGLU
FRANC
CREVEUIL
LETEMPLIER
SAINT JEVIN
PERROT
CANNEVIERE
LECOCQ
LAVENDE
LECOMPT
BOUCHARD
LEGILLON
CLEMENTE
LANTENOIS
LEPRINCE
GERMOND
VANYPER
LATT
BLANCHOT
BEIGNET ORTIZ
OSMANI
MARCHOIS
GRIZELIN
DESIREE
BERNARD
COM
VENAISSIN
JANNOT
BELLEMARE
SAIDI TOUJANI
MAXANT
ANGELIQUE
PICART LANGUENOU
PLEE
BRUERE
HEBBACHE
BREDARIOL
CARRICO
PRINTEMPS
RABERGEAU
Camille
Celine
Vincent
Lucien
Carlos
Amelie
Isabelle
Frederic
Sabine
Magali
Nicolas
Mathieu
Sandrine
Christian
Nicolas
Claudia
Jonas
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Aymeric
Guillaume
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Alexandre
Jerome
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Gilbert
Sylvain
Sylvie
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Nicolas
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Aurelie
Nevia
Yohann
Vicky
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Ismain
Lydie
Joel
Olivier
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DUIGOU
MATEO
GRATIAS
MANZAGOL
MICHEL
CARNEAU
BIGNON
PELTIER
DEMOUVEAUX
DROUOT
MONNIER
GASSMANN LECOUFFE
HERRERA
VICENTE
LAFLUTTE BENESY
FEREOL GAUTRON
DORVAN
BOULON
RIGAT
FLOUZAT
PEYRON
MANHOUT
BOUCHENTOUF
FONTENEAU MOREAU
HAMMACHE
THIBAULT
HOCEPIED
MARRET
BENJEDDI
BENETAUX
REBAUDENGO BRAIL
RACAPE
JOUSSELIN
DEJARDIN
RICARD
BIDARD
SCHIETTE-CATTE
DAS NEVES
SILANDE
BOURALI
ROLAND
CRETON
MESNAGE
TENNEGUIN
CHIRON
SIROT LACROIX
DOMARIN
CHALOCHET
VIOLLET
LOVISOLO
LEGROS
GRUMETZ
EMILE
VICENTE
PEREIRA
RAYNAUDON
LAMBERT
BOULOGNE
BURGER
LANGOUET
Loic
Pierre-Jean
Alexandra
Vincent
Aurelie
Caroline
Nicolas
Sophie
Mickael
Sebastien
Johann
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Grâce
Philippe
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Jean Marc
Xavier
Aurelien
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Mickael
Delphine
Nassim
Jean Claude
Laurent
Michael
Driss
Amelie
Celine
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Jean Christophe
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Erwan
Florence
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Dominique
Maxime
Olivier
Franck
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Emmanuel
Herve
Jean-Christophe
Celine
Michael
Pierre
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Jean Philippe
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Baptiste
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DIEUDE
SANNA
BAJOUE
LETERME
PINAUD
LIMPALER
LE GLEUT
REMRAM
GAUTHIER
LABRO
OURLIAC TESSEDRE
SOLER
PARAUD PHEULPIN
GOURLAND
CORNU
CAPDEVIELLE
DUCHESNE
MAILLARD
NAPIERALA
COUPE
SANEK
PERON
DUHEM
MARIT
VIOLA
DOMPS
DESQUIENS
FONTAINE
DELOR
CHAPUIS
FREY
AIGLE
WAGON-DEMADE
RAVI
BONHUIL
CHANROUX
DRABIK
GAUTHIER
BENNAMRI
THIEMPONT
STASSIN
LASALLE
BERTHELOT JAGNIAUX
KEIGNAERT
TARRIUS
CHIARELLI
KLENKLE
AGULLO
MILOT
ROGRON
LAMANDE
MIOLARD
LOMBART
GHAMRI
FRENEL
MANSUY
ABDOU
BIALAS
PISANO
FORT
Aurore
Geraldine
Remi
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Richard
Rolande
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Aude
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Isabelle
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Majdouline
Mickael
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VARLET
POUVAIT
FARGE
DUVAL
BELHACHE
OLLITRAULT
NEPOS
LAMBERT RAMART
LOURME
PERREAUX
FRECINAT
FERT
SMEULDERS
NAGEL
MAZOYER
SAOLI
GRIER
BERTACHE
BOULET
ETIENNE
SEVETIAN BOULARD
FIORETTI
SILVERA
LAVRADOR
GALY
MAHE
VALENS
FUMERON
DRAUSSIN
LAMANT
BOYER
RODRIGUEZ CALLET
PILOU
ROCHAT
BERTAUD
SALI
ATTOUMANI
LEMIERE
MICHEL
LE BAIL
ZIANE
MITTELLETTE
CROP
BARBAUD
BELGACEM
JOVANOVIC
BOURCIER
TAOUSSART
METERFI
STANISZEWSKI
BASILEVITCH
BERNARD
BEAUJOUR
DEVINE
BERTIN
JABLONSKI
BIBARD
PIETRASZEWSKI
DE OLIVEIRA
JACQUOT
Vincent
Alexandre
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Sophie
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Ruddy
Olivier
Stephane
Michel
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Teddy
Marina
Aline
Armide
Fabien
Marc
Gilles
Yannick
Frederic
Soizic
Alexandre
Sebastien
Charles
Laurent Jacques
Aurélie
Nicolas
Gerald
Emmanuel
Jean- Christoph
Bacar
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Florian
Pierre
Abdel Kader
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AMBROSIO
OLIVEAU
GILLOIR
SCAILLEREZ
ANDREOLETTI DELORT
ROTENBERG
NOUBEL
COUFOURIER
SAISON
ZAGUI
ETIENNE
SAICHI
BENROKIA
DJOGHLAL
BERGES
FONTAINE
SOUM BUCCHIERE
MANTEAU
JABIOL
SURRE
MONTICELLI
DOUGHA
OZIER-LAFONTAINE
LE ROY
THOMAS
MAHI
NICOLLET
BASUYAUX
BAPTISTO
AGUIBAHI
JUDITH
GOUTTEBEL
MERY
VUAGNOUX
CASTELLI
VASSE
MOREL
HEMOUS
QUILLET
BAREAUD
CHTOUKI
BOURREAU
CANNARD
DA SILVA FERNANDES
CLECH
ZINE
PERONET
REVELLAT
POINSIGNON
BORDEAU
BEGUE
VINCENT
SI SAID
BOTTE-AMOUR
PURREY
JOLLIET
LETORT
GEORGES
GONZALEZ
CHAROLLAIS
David
Pascal
Elodie
Cedric
Maeva
Andrew
Gwennael
Jérémie
Jérémie
Driss
Kevin
Islam
Houria
Lembarek
Christelle
Manuel
Valerie
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Jean Guy
Nicolas
Laura
Farida
Didier
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Jonathan
Amor
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Crys
Paul
Olivier
Vanessa
Virginie
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Anthony
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François
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Tarik
Alexandre
Alexandre
Brigitte
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Max
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Fabrice
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Jean
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Belkacem
Alexandre
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Hugues
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DANJOU
GATINEAU
DUPUIS
INK
LINET
BIAGIOLI
AGESILAS
COSSART
GIMENEZ
DARNAUD
GRIMA
FOUILLOUSE
PELEGRY
KAUF
LE DOUCE
GODET
ALESI
ROBLES
JEANDIN
WOLFF
DEBELVALET
BRETEAU
BEURIOT
GOTTARDI
WALKOWIAK
CANIAUX
SADAILLAN
SANCHEZ
TIPALDI
COUVELARD
MONNEL
BERT-LATRILLE
BLOT
AUBRY
BACH
COUBRONNE
LE BLOIS
LEBORGNE
SUPPA
ATHANAZE
ELSEN
LACAZE - LABARRERE
MAILLY
DROP
ZAREMBA
BOQUILLET
KOSCIELNIAK
LEDAN
FELIX
DELPLANQUE
PIERRE
LIARD
LOMBARD
PARDES
BONNARDEL
HUDE
MOITIE
CAZE
BRACCINI
ALLEMAND
Christophe
Lucie
Christophe
Jacky
Erik
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Jean Luc
Bruno
Joseph
Jean-Louis
Robert
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Christian
Jean-Francois
Didier
Didier
Marc
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Jean
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Michel
Joel
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Philippe
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Vito
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BAS
ARFEUILLE
FORTUNE
FRETIER
CHAUVEAU
COGNET
CALAS
HYPOLITE
QUENNESSON
CAZENAVE
PETIT
PIEJOS
MAHE
MARC
COUBARD
CERUTTI
JOURDAN
COURMONT
MERLE-BARRALIS
HOUDE
TOUCHARD
BACHELET
ROCHE
DUBOURD
GERBAUT
MAVILLE
SZYMCZAK
DE BUTTAFOCO
PLUTA
ROTTIERS
FEDY
GRANADA
PIZZALA
GOUNET
SWIETLICKI
DUBUC
ABADIE
PINNETERRE
MACENO
DEMEY
BACHELARD
URTEBIZE
ANDORNO
FRADET
REMOLA
ANDREOLI-DUPRE
PEREZ
FETU
KUNEJ-ESTAVIO
CHALAGUIER
BONDARENKO
VANACKER
RIONDET
LOBJOIS
MOUTON
PIEDBOIS
RYBARCZYK
MERTZ
GRAS
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Guy
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Eric
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Pascal
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Jean-Marie
Jean-Paul
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Martine
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VONTHRON
IMBERT
SEMELY
JEANPERT
MILLE
LIEFOOGHE
SEGADE
GOULIN RAGOT
THOUENON
DELOME
AUCHERE
MINGIONE
WARGNIER
LAVENANT
FLAQUIERE
JACQUES
RANCHON
SARAGA MORAIS
FERRY
DUBOIS
GASPARINI
TAURINES ABIVEN
PARDON CARLIER
FLEURY
LEDIEU
POLPRE
DELMAS
LAPALUS
DEBRAECKELAER
RICHARD
CHEVEAU HAGUENIER
ALBERTI
MAYEUR
HELIN
HUE
ARTAL
DUBOIS
PY
BOUSSARD
DERO
THIEBAULT
ROLLET
SALOME
REVELLAT
MABILE
DELEMPS
WALLOIS
MERLIN LEVESQUE
PUTTSCHNEIDER
QUEAU
ULMER
MAHDJOUB
BERTHIER
CISNAL
HAUSTIEN
VILLALARD
ROESS
QUEVREUX
LARDENOIS BOUHIER
MARINNE
Jean-Louis
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BOTELLA
MONIN
MOREL
BOUCHARD
SCACCAGLIA
DEREGNAUCOURT
VUILLIET PERRIN
BOINAIDI
AMAR
GOURDEL SANCHES FURTADO
CATAN COUVIN
LE PADELLEC
DAVROUX
JOUCHET
PETIT PAUL
KRAUSE
BOUCLY JUPPIN
MEYER
FAIVRE
ABDOU
MAOULIDA
LEBAS PASSOS
SEYMOUR
GOUEL
LEMOINE
PICHAVANT
THIRION
ORUZ
MARMOL
RAMACCIOTTI
CAGLIERO
MALAVAL
GRENET
PESTRE
PLOTIN
DEREGNAUCOURT
SOULAIMANA
RIMSKY
BARUDONI
VINCENT
BRAZ
MORET
DEMARET
BLANCHOT
BERCOT
MORJON
COMPAIN
BELLOU
CERISIER
DESPEE
DE LA CROIX LLUHI
FRANCOIS
RICHARD
ETIFIER
TEUF
LANGRENE
MANNA
COSTES
PELTIER
HAVEZ
Christophe
David
Régis
Sandrine
Dolores
Christine
Laurence
Mahamoudou
Rachid
Beatrice
Saturnine
Stephane
Arnaud
Alexandre
Jean Louis
Arnaud
Marie Noelle
Yann
Cyril
Ahamadi
Nawir Edine
Sophie
Etienne
Fabrice
Marc
Anne Francoise
Isabelle
Sebastien
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Stephane
Thierry
Nathalie
Eric
Florence
David
Ahamadi Alain
Gregoire
Bruno
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Helene
Stephanie
Arnaud
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Stephan
Stephane
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Veronique
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4130
CONTI
LUGAN
VERGNAUD
BOURLET FIEVET
GOMES
CHERITAT
AMESTOY
PINEAU
ESCAICH
PADER
VAN TWENBEKE BONNEFOY
SONRIER
PAINNOT
GOUBELLE
CUVILLIER
DESNOYER
HOURDEAUX
THIVART
GODART
HAY
LEROY
MERIDA
JEAN DIT DENIAUD
BURGHGRAEVE
LIMOSIN
HOUEIX JOLIVET
OZANON
LEPAN
JABES
MOULIE
LAVAL
HUARD
GRATTE
DUCROT
BERGET
BELONDRADE
ETIENNE
PIOTROWSKI
PETIT
DESLOUS
DIAS
LAPOUS
MORENO
MATENCE
LOBODA
LE ROY
FAVREAU
PONTI
DESFARGES
MOUTON
DAGUERRE RYCKEWAERT
BOUANANI
AUZIAS
MIGNOT
CASSOU
QUERE
LAGALICE
CATHERINE
BOUTIGNY
JESBAC
Gilbert
Cynthia
Frederic
Annie
Joel
Jacques
Jacques
Francis
Denis
Michel
Francoise
Daniel
Philippe
Jean
Pascal
Didier
Didier
Jean Noel
Raynald
Francois
Patrick
Théodule
Bertrand
Dominique
Eric
Christiane
Pierre
Eric
Guy
J.Pierre
Patrick
Yvon
Laurence
Jean Marc
Frederique
Michel
Thierry
Philippe
Isabelle
Philippe
Fernand
Eric
Joseph
Valerie
Alain
Pierre
Jacques
Patricia
Christophe
Philippe
Nathalie
Frederic
Laurent
Christophe
Gilles
Ronan
Frank
Sandrine
Philippe
Yves
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4187
4188
4189
4190
LE GUILLOU BRABANT
VEJUX
ROIRANT
CLARES
ESCOUBES PETERS
MARIETTE
PREVOST
BECHIEAU
BRASSEAU LUNEAU
BOUTANTIN
SERAUD BOYER
BLONDEL
COUVILLERS GIOVANNINI
BUFOLO
DRIGNY
ABILY
GIBARU FABRY
BOTTIER
HEARD
SOTOS
PERNOLLET
LIBESSART
MARCO
LOZANO
HUE
VALLIEN EUTROPE
MIRAM MARTHE ROSE
BARA
CUERVO
COUEDON
CHERFAOUI
BEZIES
MITRENKO
MARGUEREZ
BRAUD
FARRANT GAUTHIER
BARBE
GARNIER
TREMEL
LE PENDU
SANS
BOCAGE
BOUDADA BENAMARA
BELLONGA
MARTIN
VIGNY
PUCHEU
MATHIEU
SOVRAN
TOULGOAT
PEREIRA
PINOT
BORIE
DIAZ
BAKOWSKI
PANTO
CESAIRE
EOUKICH
VIEVILLE
QUARGNUL
Benedicte
Stephane
Stephane
Arnaud
Martine
Loic
Thierry
Olivier
Christelle
Benoit
Cécile
Jacky
Lorie
Franck
Eric
Loic
Muriel
Florent
Jérôme
Serge
Damien
Laurent
Jesus
Patrice
Francois
Marie-Laure
Philippe
Stéphanie
Frederic
Fabien
Hamed
Jean Pascal
Miguel
Fabien
Laurent
Patricia
Laurent
David
Valerie
Vincent
Stephane
Herve
Dalila
Pascal
Stephane
Sylvain
Pierre
Cyril
Arnaud
Jean Marc
Carlos
Ronald
Frederic
Tony
Christophe
Cedric
Jean Yves
Alexandre
Francky
Virginie
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 119
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
4191
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AGUER
GARCIA
PEZZOLI
VIEIRA
STELMACH
QUERE
ESTEVAN
MAYEUR
SANCHEZ
THIERY
BOUDIER
RIBEIRO
GILBERT
GUTTIN
RADIVOJEVIC
HERES
NOWICKI
Benoit
Richard
Baptiste
Guillaume
Christophe
Mickael
Sebastien
Eric
Juan Carlos
Julien
Emmanuelle
Joao Luis
Nicolas
Stephane
Stevan
Christophe
Vincent
4208
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4210
4211
4212
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4214
4215
CHEDALEUX
RHIN
IMMERY
ABDOUL
GOUMILLOU
JEANNE
FRICOT
DI CAMILLO
Liste
4216
4217
4218
4219
4220
4221
4222
Xavier
Nicolas
Stephane
Sithanon
Paul
Eric
Francois
Joseph
complémentaire
SAINTOT CHERON
FRANCOIS-SAINT-CYR
TILLARD AUGUSTO
AUBRY
BOURGUIGNON
MOLINIER
KASZUBA
Lydie
Guylaine
Marie Isabelle
Rudy
Yann
Bruno
Jerome
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 120
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Direction générale
de la gendarmerie nationale
_____
Direction des personnels militaires
de la gendarmerie nationale
_____
Sous-direction
de la gestion du personnel
_____
Bureau du personnel officier
_____
Arrêté du 3 mai 2012 conférant un grade et un emploi d’officier commissionné servant
au titre de l’article L. 4132-10 du code de la défense
NOR : IOCJ1222564A
Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration,
Vu le code de la défense, notamment son article L. 4132‑10 ;
Vu le décret no 2008‑959 du 12 septembre 2008 modifié relatif aux officiers commissionnés ;
Vu l’arrêté du 21 janvier 2011 fixant la liste des emplois d’officiers et de sous-officiers commissionnés recrutés au
titre de l’article L. 4132‑10 du code de la défense au sein de la gendarmerie nationale,
Arrête :
Article 1er
Mme Sophie Lafaye épouse Parquet est recrutée au grade de lieutenant (1er échelon) en qualité d’officière
commissionnée servant au titre de l’article L. 4132‑10 du code de la défense pour occuper un poste de conseillère à
l’emploi au sein du centre d’orientation et de reconversion de la région de gendarmerie de Rhône-Alpes – zone de
défense et de sécurité Sud-Est, pour une durée de trois ans, à compter du 1er juin 2012.
Article 2
L’intéressée est rattachée au corps des officiers du corps technique et administratif de la gendarmerie nationale.
Article 3
Le directeur général de la gendarmerie nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au
Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
Pour le ministre et par délégation :
Le général de corps d’armée,
directeur des personnels militaires
de la gendarmerie nationale,
Joël Delpont
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 121
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Arrêté du 14 mai 2012 portant dissolution de la brigade motorisée de Toul
(Meurthe-et-Moselle)
NOR : IOCJ1222793A
Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration,
Vu le code de la défense ;
Vu le code de procédure pénale, notamment ses articles 15 et R. 15‑22 à R. 15‑26 ;
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment son article L. 421‑2,
Arrête :
Article 1er
La brigade motorisée de Toul est dissoute à compter du 1er juillet 2012.
Article 2
Le directeur général de la gendarmerie nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au
Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
Fait le 14 mai 2012.
Pour le ministre et par délégation :
Le général de corps d’armée,
major général de la gendarmerie nationale,
R. Lizurey
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 122
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Arrêté du 14 mai 2012 portant dissolution de la brigade motorisée de Louviers (Eure)
NOR : IOCJ1222800A
Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration,
Vu le code de la défense ;
Vu le code de procédure pénale, notamment ses articles 15 et R. 15‑22 à R. 15‑26 ;
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment son article L. 421‑2,
Arrête :
Article 1er
La brigade motorisée de Louviers est dissoute à compter du 1er juillet 2012.
Article 2
Le directeur général de la gendarmerie nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au
Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
Fait le 14 mai 2012.
Pour le ministre et par délégation :
Le général de corps d’armée,
major général de la gendarmerie nationale,
R. Lizurey
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 123
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Arrêté du 15 mai 2012 portant dissolution de la brigade territoriale d’Évisa (Corse du Sud)
NOR : IOCJ1220882A
Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration,
Vu le code de la défense – partie réglementaire, III ;
Vu le code de procédure pénale, notamment ses articles 15 et R. 15‑22 à R. 15‑26 ;
Vu la loi no 2009‑971 du 3 août 2009 relative à la gendarmerie nationale ;
Vu le décret no 2005‑850 du 27 juillet 2005 relatif aux délégations de signature des membres du Gouvernement,
Arrête :
Article 1er
La brigade territoriale d’Évisa (Corse du Sud) est dissoute à compter du 1er juillet 2012. Corrélativement, les
circonscriptions des brigades territoriales de Piana et de Vico (Corse du Sud) sont modifiées, dans les conditions
précisées en annexe.
Article 2
Les gradés et gendarmes des brigades territoriales de Piana et de Vico (Corse du Sud) exercent les attributions
attachées à leur qualité d’officier ou d’agent de police judiciaire dans les conditions fixées aux articles R. 13 à R. 15‑2,
R. 15‑24 1o du code de procédure pénale.
Article 3
Le directeur général de la gendarmerie nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au
Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
Fait le 15 mai 2012.
Pour le ministre et par délégation :
Le général de corps d’armée,
major général de la gendarmerie nationale,
R. Lizurey
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 124
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
ANNEXE
BRIGADES TERRITORIALES
CIRCONSCRIPTIONS ACTUELLES
CIRCONSCRIPTIONS NOUVELLES
Évisa
Cristinacce
Évisa
Marignana
Ota
(dissolution)
Piana
Osani
Partinello
Piana
Serriera
Osani
Ota
Partinello
Piana
Serriera
Vico
Arbori
Balogna
Guagno
Letia
Murzo
Orto
Poggiolo
Renno
Soccia
Vico
Arbori
Balogna
Cristinacce
Évisa
Guagno
Letia
Marignana
Murzo
Orto
Poggiolo
Reno
Soccia
Vico
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 125
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Arrêté du 15 mai 2012 portant dissolution des détachements de gendarmerie des centres
de rétention administrative du Mesnil-Amelot, de Saint-Jacques-de-la-Lande, de Metz,
de Rivesaltes et de Geispolsheim
NOR : IOCJ1221651A
Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration,
Vu le code de la défense – partie réglementaire, III ;
Vu la loi no 2009‑971 du 3 août 2009 relative à la gendarmerie nationale ;
Vu le décret no 2005‑850 du 27 juillet 2005 relatif aux délégations de signature des membres du Gouvernement,
Arrête :
Article 1er
Les détachements de gendarmerie des centres de rétention administrative du Mesnil-Amelot (Seine-et-Marne), de
Saint-Jacques-de-la-Lande (Ille-et-Vilaine), de Metz (Moselle), de Rivesaltes (Pyrénées-Orientales) et de Geispolsheim
(Bas-Rhin) sont dissous à compter du 1er juillet 2012.
Article 2
Le directeur général de la gendarmerie nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au
Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
Fait le 15 mai 2012.
Pour le ministre et par délégation :
Le général de corps d’armée,
major général de la gendarmerie nationale,
R. Lizurey
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 126
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Arrêté du 15 mai 2012 portant modification des circonscriptions des brigades territoriales
de Carcès et du Luc (Var)
NOR : IOCJ1221839A
Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration,
Vu le code de la défense – partie réglementaire, III ;
Vu le code de procédure pénale, notamment ses articles 15 et R. 15-22 à R. 15-26 ;
Vu la loi no 2009-971 du 3 août 2009 relative à la gendarmerie nationale ;
Vu le décret no 2005-850 du 27 juillet 2005 relatif aux délégations de signature des membres du Gouvernement,
Arrête :
Article 1er
Les circonscriptions des brigades territoriales de Carcès et du Luc (Var) sont modifiées à compter du 1er août 2012,
dans les conditions précisées en annexe.
Article 2
L’officier, les gradés et gendarmes des brigades territoriales de Carcès et du Luc (Var) exercent les attributions
attachées à leur qualité d’officier ou d’agent de police judiciaire dans les conditions fixées aux articles R. 13 à R. 15-2,
R. 15-24 1o du code de procédure pénale.
Article 3
Le directeur général de la gendarmerie nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au
Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
Fait le 15 mai 2012.
Pour le ministre et par délégation :
Le général de corps d’armée,
major général de la gendarmerie nationale,
R. Lizurey
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 127
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
ANNEXE
BRIGADES TERRITORIALES
CIRCONSCRIPTION ACTUELLE
CIRCONSCRIPTION NOUVELLE
Carcès
Cabasse
Carcès
Correns
Cotignac
Entrecasteaux
Montfort-sur-Argens
Saint-Antonin-du-Var
Carcès
Correns
Cotignac
Entrecasteaux
Montfort-sur-Argens
Saint-Antonin-du-Var
Le Luc
Le Cannet-des-Maures
Le Luc
Les Mayons
Le Cannet-des-Maures
Le Luc
Les Mayons
Cabasse
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 128
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Arrêté du 15 mai 2012 portant modification de la circonscription de la brigade territoriale
de Colombey-les-Deux-Églises (Haute-Marne)
NOR : IOCJ1221988A
Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration,
Vu le code de la défense – partie réglementaire, III ;
Vu le code de procédure pénale, notamment ses articles 15 et R. 15‑22 à R. 15‑26 ;
Vu la loi no 2009‑971 du 3 août 2009 relative à la gendarmerie nationale ;
Vu le décret no 2005‑850 du 27 juillet 2005 relatif aux délégations de signature des membres du Gouvernement,
Arrête :
Article 1er
La circonscription de la brigade territoriale de Colombey-les-Deux-Églises est modifiée à compter du 1er juillet 2012
dans les conditions précisées en annexe.
Article 2
Les gradés et gendarmes de la brigade territoriale de Colombey-les-Deux-Églises exercent les attributions attachées
à leur qualité d’officier ou d’agent de police judiciaire dans les conditions fixées aux articles R. 13 à R. 15‑2 et
R. 15‑24 1o du code de procédure pénale.
Article 3
Le directeur général de la gendarmerie nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au
Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
Fait le 15 mai 2012.
Pour le ministre et par délégation :
Le général de corps d’armée,
major général de la gendarmerie nationale,
R. Lizurey
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 129
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
ANNEXE
BRIGADE TERRITORIALE
Colombey-les-deux-Églises
CIRCONSCRIPTION ACTUELLE
Autreville-sur-la-Renne
Blaisy
Colombey-les-Deux-Églises
Curmont
Daillancourt
Gillancourt
Guindrecourt-sur-Blaise
Juzennecourt
Lachapelle-en-Blaisy
Lamothe-en-Blaisy
Maranville
Meures
Montheries
Rennepont
Rizaucourt-Buchey
Sexfontaines
Vaudrémont
CIRCONSCRIPTION NOUVELLE
Autreville-sur-la-Renne
Blaisy
Colombey-les-Deux-Églises
Curmont
Daillancourt
Gillancourt
Guindrecourt-sur-Blaise
Juzennecourt
Lachapelle-en-Blaisy
Lamothe-en-Blaisy
Lavilleneuve-au-Roi
Maranville
Meures
Montheries
Rennepont
Rizaucourt-Buchey
Sexfontaines
Vaudrémont
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 130
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Arrêté du 15 mai 2012 portant changement d’appellation et modification de la circonscription
de la brigade territoriale de Terre-Natale (Haute-Marne)
NOR : IOCJ1222160A
Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration,
Vu le code de la défense – partie réglementaire, III ;
Vu le code de procédure pénale, notamment ses articles 15 et R. 15-22 à R. 15-26 ;
Vu la loi no 2009-971 du 3 août 2009 relative à la gendarmerie nationale ;
Vu le décret no 2005-850 du 27 juillet 2005 relatif aux délégations de signature des membres du Gouvernement,
Arrête :
Article 1er
La brigade territoriale de Terre-Natale prend l’appellation de brigade territoriale de Varennes-sur-Amance à
compter du 1er juillet 2012.
Article 2
La circonscription de la brigade territoriale de Varennes-sur-Amance est modifiée dans les conditions précisées en
annexe.
Article 3
Les gradés et gendarmes de la brigade territoriale de Varennes-sur-Amance exercent les attributions attachées à
leur qualité d’officier ou d’agent de police judiciaire dans les conditions fixées aux articles R. 13 à R. 15-2 et R. 15-24
1° du code de procédure pénale.
Article 4
Le directeur général de la gendarmerie nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au
Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
Fait le 15 mai 2012.
Pour le ministre et par délégation :
Le général de corps d’armée,
major général de la gendarmerie nationale,
R. Lizurey
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 131
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
ANNEXE
BRIGADE TERRITORIALE
CIRCONSCRIPTION ACTUELLE
CIRCONSCRIPTION NOUVELLE
Terre-Natale
Anrosey
Arbigny-sous-Varennes
Bize
Celles-en-Bassigny
Champigny-sous-Varennes
Coiffy-le-Bas
Haute-Amance
Laneuvelle
Lavernoy
Maizières-sur-Amance
Marcilly-en-Bassigny
Plesnoy
Rançonnières
Terre-Natale
Vicq
(Ancienne appellation)
Varennes-sur-Amance
(Nouvelle appellation)
Anrosey
Arbigny-sous-Varennes
Bize
Celles-en-Bassigny
Champigny-sous-Varennes
Chézeaux
Coiffy-le-Bas
Haute-Amance
Laneuvelle
Lavernoy
Maizières-sur-Amance
Marcilly-en-Bassigny
Plesnoy
Rançonnières
Varennes-sur-Amance
Vicq
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 132
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_____
Direction générale
de la gendarmerie nationale
_____
Direction des personnels militaires
de la gendarmerie nationale
_____
Sous-direction de la gestion du personnel
_____
Bureau du personnel officier
_____
Arrêté du 22 mai 2012 conférant un grade et un emploi d’officier commissionné
servant au titre de l’article L. 4132-10 du code de la défense
NOR : INTJ1223138A
Le ministre de l’intérieur,
Vu le code de la défense, notamment son article L. 4132-10 ;
Vu le décret no 2008-959 du 12 septembre 2008 modifié relatif aux officiers commissionnés ;
Vu l’arrêté du 21 janvier 2011 fixant la liste des emplois d’officiers et de sous-officiers commissionnés recrutés au
titre de l’article L. 4132-10 du code de la défense au sein de la gendarmerie nationale,
Arrête :
Article 1er
Monsieur Silvio Morandi est recruté au grade de capitaine (troisième échelon) en qualité d’officier commissionné
servant au titre de l’article L. 4132-10 du code de la défense pour occuper un emploi d’expert dans les technologies
de middlewares et de services orientés architecture au service de traitement de l’information gendarmerie du centre
technique de la gendarmerie nationale, pour une durée de trois ans, à compter du 1er juillet 2012.
Article 2
L’intéressé est rattaché au corps des officiers de la gendarmerie nationale.
Article 3
Le directeur général de la gendarmerie nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au
Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
Pour le ministre et par délégation :
Le général de corps d’armée,
directeur des personnels militaires
de la gendarmerie nationale,
Joël Delpont
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 133
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_____
Arrêté du 25 mai 2012 portant modification de la circonscription
de la brigade territoriale de Montier-en-Der (Haute-Marne)
NOR : INTJ1223271A
Le ministre de l’intérieur,
Vu le code de la défense ;
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment son article L. 421‑2 ;
Vu le code de procédure pénale, notamment ses articles 15 et R. 15‑22 à R. 15‑26,
Arrête :
Article 1er
La circonscription de la brigade territoriale de Montier-en-Der est modifiée à compter du 1er juillet 2012 dans les
conditions précisées en annexe.
Article 2
Les gradés et gendarmes de la brigade territoriale de Montier-en-Der exercent les attributions attachées à leur
qualité d’officier ou d’agent de police judiciaire dans les conditions fixées aux articles R. 13 à R. 15‑2 et R. 15‑24 1o du
code de procédure pénale.
Article 3
Le directeur général de la gendarmerie nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au
Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
Fait le 25 mai 2012.
Pour le ministre et par délégation :
Le général de corps d’armée,
major général de la gendarmerie nationale,
R. Lizurey
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 134
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
ANNEXE
BRIGADE TERRITORIALE
Montier-en-Der
CIRCONSCRIPTION ACTUELLE
CIRCONSCRIPTION NOUVELLE
Ceffonds
Ceffonds
Droyes
Droyes
Frampas
Frampas
Longeville-sur-la-Laines
Laneuville-à-Rémy
Louze
Longeville-sur-la-Laines
Montier-en-Der
Louze
Planrupt
Montier-en-Der
Puellemontier
Planrupt
Robert-Magny-Laneuville-à-Rémy
Puellemontier
Sommevoire
Robert-Magny
Thilleux
Sommevoire
Thilleux
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 135
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_____
Arrêté du 29 mai 2012 portant modification des brigades territoriales de Laplume
(Lot-et-Garonne) et de Port-Sainte-Marie (Lot-et-Garonne)
NOR : INTJ1223070A
Le ministre de l’intérieur,
Vu le code de la défense ;
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment son article L. 421‑2 ;
Vu le code de procédure pénale, notamment ses articles 15 et R. 15‑22 à R. 15‑26,
Arrête :
Article 1er
Les circonscriptions des brigades territoriales de Laplume et de Port-Sainte-Marie (Lot-et-Garonne) sont modifiées
à compter du 1er août 2012 dans les conditions précisées en annexe.
Article 2
Les gradés et gendarmes des brigades territoriales de Laplume et de Port-Sainte-Marie (Lot-et-Garonne) exercent
les attributions attachées à leur qualité d’officier ou d’agent de police judiciaire dans les conditions fixées aux
articles R. 13 à R. 15‑2, R. 15‑24 1o du code de procédure pénale.
Article 3
Le directeur général de la gendarmerie nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au
Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
Fait le 29 mai 2012.
Pour le ministre et par délégation :
Le général de corps d’armée,
major général de la gendarmerie nationale,
R. Lizurey
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 136
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
ANNEXE
BRIGADES TERRITORIALES
Laplume
Port-Sainte-Marie
CIRCONSCRIPTION ACTUELLE
CIRCONSCRIPTION NOUVELLE
Aubiac
Brax
Estillac
Laplume
Marmont-Pachas
Moirax
Roquefort
Sainte-Colombe-en-Bruilhois
Aubiac
Brax
Estillac
Laplume
Marmont-Pachas
Moirax
Roquefort
Sainte-Colombe-en-Bruilhois
Sérignac-sur-Garonne
Bazens
Clermont-Dessous
Frégimont
Port-Sainte-Marie
Saint-Laurent
Sérignac-sur-Garonne
Bazens
Clermont-Dessous
Frégimont
Port-Sainte-Marie
Saint-Laurent
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 137
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_____
Direction générale
de la gendarmerie nationale
_____
Direction des personnels militaires
de la gendarmerie nationale
_____
Sous-direction de la gestion du personnel
_____
Bureau du personnel officier
_____
Arrêté du 30 mai 2012 conférant un grade et un emploi d'officier commissionné
servant au titre de l'article L. 4132-10 du code de la défense
NOR : INTJ1223410A
Le ministre de l'intérieur,
Vu le code de la défense, notamment son article L. 4132-10 ;
Vu le décret n° 2008-959 du 12 septembre 2008 modifié relatif aux officiers commissionnés ;
Vu l'arrêté du 21 janvier 2011 fixant la liste des emplois d'officiers et de sous-officiers commissionnés recrutés au
titre de l'article L. 4132-10 du code de la défense au sein de la gendarmerie nationale,
Arrête :
Article 1er
Madame Céline Dravet épouse Bachelet est recrutée au grade de lieutenant (1er échelon) en qualité d'officière
commissionnée servant au titre de l'article L. 4132-10 du code de la défense pour occuper un emploi de psychologue
clinicien, conseiller technique régional auprès du commandant de la région de gendarmerie de Bourgogne, pour une
durée de trois ans, à compter du 1er septembre 2012.
Article 2
L'intéressée est rattachée au corps des officiers du corps technique et administratif de la gendarmerie nationale.
Article 3
Le directeur général de la gendarmerie nationale est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au
Bulletin officiel du ministère de l'intérieur.
Pour le ministre et par délégation :
Le général de corps d’armée,
directeur des personnels militaires
de la gendarmerie nationale,
Joël Delpont
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 138
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Région de gendarmerie de Franche-Comté
_____
Décision no 10752 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général de la région de gendarmerie de Franche-Comté
NOR : IOCJ1204725S
Le commandant de la région de gendarmerie de Franche-Comté,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 32435 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128663S),
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 :
Behra, Thierry
Nigend : 113 487
Numéro de livret de solde : 5 191 550
Poinsel, Éric
Nigend : 106 664
Numéro de livret de solde : 5 147 552
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Silvent, Pierre
Nigend : 124 527
Numéro de livret de solde : 5 244 189
Lamboley, Jean-Louis
Nigend : 124 880
Numéro de livret de solde : 5 270 849
Sarras, Benoît
Nigend : 152 513
Numéro de livret de solde : 8 010 383
Glaudel, Thierry
Nigend : 152 458
Numéro de livret de solde : 8 010 539
Guillaume, James
Nigend : 145 195
Numéro de livret de solde : 8 003 934
Menoud, Daniel
Nigend : 117 128
Numéro de livret de solde : 5 229 004
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Leuillier, Céline
Nigend : 165 287
Numéro de livret de solde : 8 024 967
Veuve, Jean-Jacques
Nigend : 188 057
Numéro de livret de solde : 8 038 473
Bordy, Christelle
Nigend : 189 012
Numéro de livret de solde : 8 045 314
Leuenberger, Olivier
Nigend : 167 979
Numéro de livret de solde : 8 024 155
Pirat, Christophe
Nigend : 156 099
Numéro de livret de solde : 8 013 373
Lebard, Patricia
Nigend : 195 559
Numéro de livret de solde : 8 048 034
Oudin, Jean-Christophe
Nigend : 129 151
Numéro de livret de solde : 5 281 369
Brévière, Richard
Nigend : 168 160
Numéro de livret de solde : 8 023 813
Corneille, Olivier
Nigend : 163 136
Numéro de livret de solde : 8 019 926
Vaubourg, Stéphane
Nigend : 139 404
Numéro de livret de solde : 5 264 396
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 139
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Verdeil, Alexandre
Nigend : 240 081
Numéro de livret de solde : 8 087 701
Gottvalles, Patrice
Nigend : 195 700
Numéro de livret de solde : 8 048 214
Grognu, Sébastien
Nigend : 204 869
Numéro de livret de solde : 8 058 751
Fait le 2 mai 2012.
Le colonel,
commandant la région de gendarmerie de Franche-Comté,
Jacques Vire
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 140
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Région de gendarmerie de Lorraine
et gendarmerie pour la zone de défense
et de sécurité Est
_____
Décision no 24178 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est
NOR : IOCJ1204720S
Le commandant de la région de gendarmerie de Lorraine et de la gendarmerie pour la zone de défense et de
sécurité Est,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 71906 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128659S),
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 :
Frère, Laurent
Nigend : 132 284
Numéro de livret de solde : 5 295 043
Daloz, Guy
Nigend : 132 816
Numéro de livret de solde : 5 294 725
Pernot, Jean-Pierre
Nigend : 103 230
Numéro de livret de solde : 5 173 188
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Mangin, Pascal
Nigend : 126 429
Numéro de livret de solde : 5 279 790
Gingembre, Pascal
Nigend :  70 251
Numéro de livret de solde : 5 283 149
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Chacornac, Nicolas
Nigend : 203 818
Numéro de livret de solde : 8 054 735
Moyemont, David
Nigend : 168 464
Numéro de livret de solde : 8 024 279
Darnaud, Sébastien
Nigend : 194 379
Numéro de livret de solde : 8 047 822
Corberand, Jean-Marc
Nigend : 168 167
Numéro de livret de solde : 8 023 717
Article 4
Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
De Checchi, Baptiste
Nigend : 205 876
Numéro de livret de solde : 8 058 588
Fait le 2 mai 2012.
Le général de corps d’armée,
commandant la région de gendarmerie
de Lorraine et la gendarmerie
pour la zone de défense et de sécurité Est,
Gérard Deanaz
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 141
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Région de gendarmerie de Bretagne
et gendarmerie pour la zone
de défense et de sécurité Ouest
_____
Décision no 31745 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général de la région de gendarmerie de Bretagne
NOR : IOCJ1204705S
Le commandant de la région de gendarmerie de Bretagne et de la gendarmerie pour la zone de défense et de
sécurité Ouest,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 81823 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128641S),
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 :
Saulais, Hervé
Nigend : 143 267
Numéro de livret de solde : 8 002 648
Jégou, Serge
Nigend : 127 610
Numéro de livret de solde : 5 281 159
Danet, Gilles
Nigend : 115 772
Numéro de livret de solde : 5 219 423
Crézé, Jean-Luc
Nigend : 135 961
Numéro de livret de solde : 5 311 788
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Leroy, Sébastien
Nigend : 146 128
Numéro de livret de solde : 8 004 619
Bonnin, Yannick
Nigend : 142 279
Numéro de livret de solde : 5 272 413
Adam, François
Nigend : 70 676
Numéro de livret de solde : 5 282 800
Gillard, Rodolphe
Nigend : 145 669
Numéro de livret de solde : 8 004 023
Steunou, Ronan
Nigend : 152 634
Numéro de livret de solde : 8 010 489
Kerneves, Gilles
Nigend : 119 008
Numéro de livret de solde : 5 220 953
Blanch, Pascal
Nigend : 155 648
Numéro de livret de solde : 8 013 412
Guegano, Christophe
Nigend : 144 828
Numéro de livret de solde : 8 003 141
Hanecart, Frédéric
Nigend : 159 797
Numéro de livret de solde : 8 016 951
Romestant, Philippe
Nigend : 135 482
Numéro de livret de solde : 5 311 567
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Voranger, Laurent
Nigend : 163 085
Numéro de livret de solde : 8 019 897
Sanchez, Jean-François
Nigend : 164 997
Numéro de livret de solde : 8 021 593
Lorant, Sylvain
Nigend : 191 209
Numéro de livret de solde : 8 039 955
Jorelle, Mathieu
Nigend : 177 656
Numéro de livret de solde : 8 032 550
Talleu, Martial
Nigend : 163 375
Numéro de livret de solde : 8 020 189
Placeau, Pascal
Nigend : 151 010
Numéro de livret de solde : 8 009 277
De Kerpezdron, Erwan
Nigend : 162 893
Numéro de livret de solde : 8 019 726
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 142
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Hunaut, Pierrick
Morin, Nicolas
Tréfel, Bruno
Le Bère, Olivier
Nigend : 193 528
Nigend : 188 223
Nigend : 180 471
Nigend : 172 449
Numéro
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solde : 8 047 480
solde : 6 544 803
solde : 8 037 848
solde : 8 027 165
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Bouvier, Sabrina
Nigend : 236 631
Numéro de livret de solde : 8 086 764
Jeannes, Cindy
Nigend : 228 330
Numéro de livret de solde : 8 058 489
Etesse, Guillaume
Nigend : 190 390
Numéro de livret de solde : 8 039 545
Wanherdrick, Erwan
Nigend : 231 253
Numéro de livret de solde : 8 085 299
Bernard, Aurélie
Nigend : 234 737
Numéro de livret de solde : 8 086 566
Fait le 2 mai 2012.
Le général de division,
commandant la région de gendarmerie de Bretagne
et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Ouest,
Alain Giorgis
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 143
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Région de gendarmerie
de Provence-Alpes-Côte d’Azur
et gendarmerie pour la zone de défense
et de sécurité Sud
_____
Décision no 36624 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général de la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur
NOR : IOCJ1204714S
Le commandant de la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur et de la gendarmerie pour la zone de
défense et de sécurité Sud,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 110052 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128653S) ;
Vu la décision no 22638 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128657S),
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 :
Wetta, Mike
Paris, Vincent
Raffaelli, Alain
Trambaud, Éric
Pietri, Pierre
Coste, Hervé
Nigend : 121 987
Nigend : 129 255
Nigend : 114 142
Nigend : 110 403
Nigend : 128 681
Nigend : 149 637
Numéro
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solde : 5 242 995
solde : 5 282 971
solde : 5 191 784
solde : 5 150 317
solde : 5 283 552
solde : 8 007 521
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Orlhac, Laurent
Fauveau, Michael
Bages, Christophe
Bergier, Stéphane
Poujols, Bernard
Paris, Éric
Vanhaesebroucke, Stéphane
Roupie, Fabrice
Podair, Pascal
Soriano, Frédéric
Carteron, Christophe
Feur, Yves
Gaudet, Pascal
Nigend : 162 950
Nigend : 152 455
Nigend : 134 745
Nigend : 157 839
Nigend : 105 848
Nigend : 138 169
Nigend : 147 908
Nigend : 152 510
Nigend : 131 950
Nigend : 158 236
Nigend : 148 436
Nigend : 132 134
Nigend : 110 489
Numéro
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solde : 8 019 774
solde : 8 010 538
solde : 5 312 203
solde : 8 015 604
solde : 5 171 875
solde : 5 251 308
solde : 8 005 997
solde : 8 010 381
solde : 5 294 476
solde : 8 015 591
solde : 8 006 813
solde : 5 295 427
solde : 5 175 427
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 144
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Charlet, Nicolas
Hugou, Christophe
Marmeys, Richard
Pawlik, Rodolphe
Furby, Bruno
Nidecker, Jennyfer
Beaurain, Fabrice
Georges, Emmanuel
Rahal, Patrick
Fornelli-Dellaca, Éric
Guwy, Arnaud
Berthier, Laetitia
Monneray, Yves
Brun, Alexandre
Nigend : 183 163
Nigend : 145 557
Nigend : 181 888
Nigend : 209 207
Nigend : 152 837
Nigend : 182 371
Nigend : 197 097
Nigend : 163 023
Nigend : 172 621
Nigend : 145 662
Nigend : 162 633
Nigend : 178 072
Nigend : 152 248
Nigend : 210 530
Numéro
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de
solde : 8 033 824
solde : 8 004 835
solde : 8 041 539
solde : 8 062 914
solde : 8 010 741
solde : 8 041 750
solde : 8 048 476
solde : 8 019 244
solde : 8 031 127
solde : 8 004 116
solde : 8 019 539
solde : 8 029 210
solde : 8 010 275
solde : 8 063 090
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Puthier, Éric
Mouillard, Fabrice
Gillardin, Simon
Meissonnier, Stéphane
Dieulesaint, Stéphane
Hauton, Éric
Wirowsky, Jean-François
Nigend : 238 454
Nigend : 199 485
Nigend : 204 002
Nigend : 166 037
Nigend : 208 153
Nigend : 239 767
Nigend : 164 658
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
de
de
de
de
de
de
de
livret
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livret
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de
de
de
de
solde : 8 087 125
solde : 8 047 093
solde : 8 059 872
solde : 8 022 473
solde : 8 062 610
solde : 8 087 740
solde : 8 021 394
Fait le 2 mai 2012.
Le général de corps d’armée,
commandant la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur
et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud,
Marc Mondoulet
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 145
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Région de gendarmerie
de Provence-Alpes-Côte d’Azur
et gendarmerie pour la zone de défense
et de sécurité Sud
_____
Décision no 36625 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud
NOR : IOCJ1204715S
Le commandant de la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur et de la gendarmerie pour la zone de
défense et de sécurité Sud,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 110023 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128654S),
Décide :
Article 1er
L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juin 2012 :
Fonson, Tristan
Nigend : 116 506
Numéro de livret de solde : 5 219 558
Article 2
L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Rocher, Serge
Nigend : 140 035
Numéro de livret de solde : 5 305 080
Article 3
Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Auger, Philippe
Nigend : 149 123
Numéro de livret de solde : 8 006 703
Article 4
Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Ordono, Laurent
Nigend : 210 483
Numéro de livret de solde : 8 063 131
Fait le 2 mai 2012.
Le général de corps d’armée,
commandant la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur
et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud,
Marc Mondoulet
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 146
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Direction générale
de la gendarmerie nationale
_____
Décision no 37890 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général des organismes centraux – branche « secrétariat »
NOR : IOCJ1204734S
Le sous-directeur de la gestion du personnel,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2005‑850 du 27 juillet 2005 relatif aux délégations de signature des membres du Gouvernement ;
Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers
de gendarmerie ;
Vu la décision no 119096 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128672S),
Décide :
Article 1er
L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juin 2012 :
Venuti, Willie
Nigend : 106 343
Numéro de livret de solde : 5 147 599
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Grollet, Patricia
Nigend : 154 662
Numéro de livret de solde : 8 012 266
Vautier, Pascal
Nigend : 123 224
Numéro de livret de solde : 5 270 182
Article 3
Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Vrhovac, Branko
Nigend : 184 648
Numéro de livret de solde : 8 034 298
Article 4
Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Eugène, Nicolas
Nigend : 172 573
Numéro de livret de solde : 8 033 376
Fait le 2 mai 2012.
Le général,
sous-directeur de la gestion du personnel,
Thibault Morterol
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 147
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Direction générale
de la gendarmerie nationale
_____
Décision no 37898 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général des organismes centraux – branche « formations extérieures »
NOR : IOCJ1204735S
Le sous-directeur de la gestion du personnel,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2005-850 du 27 juillet 2005 relatif aux délégations de signature des membres du gouvernement ;
Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu la décision no 119097 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128673S),
Décide :
Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Girard, Franck
Nigend : 169 162
Numéro de livret de solde : 8 024 833
Fait le 2 mai 2012.
Le général,
sous-directeur de la gestion du personnel,
Thibault Morterol
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 148
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Commandement des forces aériennes
de la gendarmerie nationale
_____
Décision no 37923 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général du commandement des forces aériennes de la gendarmerie nationale
NOR : IOCJ1221254S
Le sous-directeur de la gestion du personnel,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2005-850 du 27 juillet 2005 relatif aux délégations de signature des membres du gouvernement ;
Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 septembre 2011 (NOR : IOCJ1109309A) portant dissolution du groupement central des formations
aériennes de la gendarmerie de Vélizy-Villacoublay (Yvelines) et création du commandement des forces aériennes de
la gendarmerie nationale de Vélizy-Villacoublay (Yvelines) ;
Vu la décision no 11715 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128667S),
Décide :
L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Loiron, Stéphane
Nigend : 162 401
Numéro de livret de solde : 8 019 365
Fait le 2 mai 2012.
Le général,
sous-directeur de la gestion du personnel,
Thibault Morterol
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 149
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Direction générale
de la gendarmerie nationale
_____
Décision no 37933 du 2 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général des organismes centraux – branche « technique »
NOR : IOCJ1204736S
Le sous-directeur de la gestion du personnel,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2005‑850 du 27 juillet 2005 relatif aux délégations de signature des membres du Gouvernement ;
Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu la décision no 120541 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128674S) ;
Vu la décision no 180677 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128625S),
Décide :
Article 1er
L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juin 2012 :
Martinez, Fabienne
Nigend : 144 978
Numéro de livret de solde : 8 002 077
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Belmas, Vincent
Nigend : 115 874
Numéro de livret de solde : 5 191 118
Manizan, Albert
Nigend : 135 598
Numéro de livret de solde : 5 195 237
Delage, Éric
Nigend : 140 837
Numéro de livret de solde : 8 001 023
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Honvault, Sandy
Nigend : 204 457
Numéro de livret de solde : 8 055 284
Calvayrac, Guillaume
Nigend : 209 430
Numéro de livret de solde : 8 050 979
Angibaud, Vanessa
Nigend : 180 636
Numéro de livret de solde : 8 029 803
Briffa, Christophe
Nigend : 187 208
Numéro de livret de solde : 8 038 313
Grosset, Yves
Nigend : 184 560
Numéro de livret de solde : 8 054 934
Article 4
Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Escrich, Jérôme
Nigend : 191 130
Numéro de livret de solde : 8 039 828
Fait le 2 mai 2012.
Le général,
sous-directeur de la gestion du personnel,
Thibault Morterol
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 150
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Gendarmerie maritime
_____
Décision no 2009 du 3 mai 2012 portant promotion de sous-officiers
de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie maritime
NOR : IOCJ1204737S
Le commandant de la gendarmerie maritime,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 4666 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128676S),
Décide :
Article 1er
L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Colin, Bruno
Nigend : 137 417
Numéro de livret de solde : 5 324 521
Article 2
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Vischi, Christian
Nigend : 146 308
Numéro de livret de solde : 8 004 598
Demangel, Stéphane
Nigend : 152 956
Numéro de livret de solde : 8 092 827
Houel, Arnaud
Nigend 153 703
Numéro de livret de solde : 8 011 644
Article 3
Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Lacombe, Arnaud
Nigend : 167 856
Numéro de livret de solde : 8 023 649
Fait le 3 mai 2012.
Le colonel,
commandant la gendarmerie maritime,
Georges Strub
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 151
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Commandement de la gendarmerie outre-mer
_____
Décision no 3770 du 3 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général du commandement de la gendarmerie outre-mer – branche « personnel servant
en ambassade »
NOR : IOCJ1204731S
Le commandant de la gendarmerie outre-mer,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 11714 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128668S),
Décide :
Article 1er
Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Chanaz, Denis
Nigend : 109 423
Numéro de livret de solde : 5 174 321
Article 2
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Trochu, Gaël
Nigend : 162 135
Numéro de livret de solde : 8 019 098
Boisnay, Jean-Michel
Nigend : 162 332
Numéro de livret de solde : 5 287 494
Fait le 3 mai 2012.
Le général de corps d’armée,
commandant la gendarmerie outre-mer,
S. Caillet
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 152
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Commandement
de la gendarmerie outre-mer
_____
Décision no 3771 du 3 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général du commandement de la gendarmerie outre-mer – branche « personnel servant
outre-mer, en assistance militaire technique et en prévôté »
NOR : IOCJ1204730S
Le commandant de la gendarmerie outre-mer,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu l’arrêté du 30 septembre 2011 portant dissolution du groupement central des formations aériennes de la
gendarmerie de Vélizy-Villacoublay (Yvelines) et création du commandement des forces aériennes de la gendarmerie
nationale de Vélizy-Villacoublay (NOR : IOCJ1109309A) ;
Vu la décision no 11715 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128667S),
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 :
Makil, Frédéric
Nigend : 121 716
Numéro de livret de solde : 5 244 558
Letertre, Christophe
Nigend : 129 724
Numéro de livret de solde : 5 283 059
Roch, Francis
Nigend : 129 751
Numéro de livret de solde : 5 282 984
Brillouet, Stéphane
Nigend : 152 045
Numéro de livret de solde : 8 010 107
Gourguechon, Laurent
Nigend : 137 720
Numéro de livret de solde : 5 281 758
Barrois, Patrick
Nigend : 125 674
Numéro de livret de solde : 5 269 802
Payen, Bernard
Nigend : 131 293
Numéro de livret de solde : 5 202 573
Juncker, Bruno
Nigend : 125 730
Numéro de livret de solde : 5 279 846
Paris, Michel
Nigend : 70 378
Numéro de livret de solde : 5 293 670
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Thomas, James
Nigend : 155 634
Numéro de livret de solde : 8 013 094
Canitrot, Philippe
Nigend : 142 027
Numéro de livret de solde : 5 272 309
Doyen, Franck
Nigend : 133 865
Numéro de livret de solde : 5 294 825
Fischer, Michel
Nigend : 107 984
Numéro de livret de solde : 5 157 652
Lesaicherre, Yves
Nigend : 148 490
Numéro de livret de solde : 8 006 261
Ferrara, Fabrice
Nigend : 142 558
Numéro de livret de solde : 5 272 359
Barberis, Thierry
Nigend : 147 418
Numéro de livret de solde : 5 252 254
Tiger, Jean-Philippe
Nigend : 153 629
Numéro de livret de solde : 8 011 195
Moreau, Tristan
Nigend : 150 906
Numéro de livret de solde : 8 009 068
Runner, François-Xavier
Nigend : 149 466
Numéro de livret de solde : 8 007 185
Fraisse, Sébastien
Nigend : 156 442
Numéro de livret de solde : 8 013 821
Le Gouallec, Yves
Nigend : 138 265
Numéro de livret de solde : 5 322 356
Sergent, Michael
Nigend : 145 730
Numéro de livret de solde : 8 004 089
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 153
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Buelens, André
Dos Santos, Antonio
Nigend : 110 311
Nigend : 150 867
Numéro de livret de solde : 5 150 245
Numéro de livret de solde : 8 009 031
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Roche, Sébastien
Nigend : 192 933
Numéro de livret de solde : 8 047 301
Daye-Vigouroux, Fabien
Nigend : 192 946
Numéro de livret de solde : 8 047 253
Begin, Loïc
Nigend : 199 881
Numéro de livret de solde : 8 048 697
Sussest, Rémy
Nigend : 170 832
Numéro de livret de solde : 8 026 494
Deroy, Thierry
Nigend : 153 943
Numéro de livret de solde : 8 011 733
Brand, Christophe
Nigend : 170 313
Numéro de livret de solde : 8 025 716
Carlier, Jérôme
Nigend : 173 919
Numéro de livret de solde : 8 027 711
Bodo, Olivier
Nigend : 157 112
Numéro de livret de solde : 8 014 611
Coudrin, Jérome
Nigend : 181 098
Numéro de livret de solde : 8 030 031
Bigonet, Sylvain
Nigend : 145 635
Numéro de livret de solde : 8 004 102
Petit, Jean-Christophe
Nigend : 155 113
Numéro de livret de solde : 8 012 475
Guilhot, Luc
Nigend : 155 299
Numéro de livret de solde : 8 012 840
Rohan, Yann
Nigend : 153 026
Numéro de livret de solde : 8 010 888
Marquer, Arnaud
Nigend : 169 051
Numéro de livret de solde : 8 024 762
Guise, Fabrice
Nigend : 169 172
Numéro de livret de solde : 8 024 843
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Abdou Soilihi, Soulaïmana
Nigend : 199 039
Numéro de livret de solde : 8 049 904
Jullia, Fabien
Nigend : 234 643
Numéro de livret de solde : 8 086 667
Fait le 3 mai 2012.
Le général de corps d’armée,
commandant la gendarmerie outre-mer,
Serge Caillet
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 154
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Région de gendarmerie
de Basse-Normandie
_____
Décision no 12851 du 3 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général de la région de gendarmerie de Basse-Normandie
NOR : IOCJ1204708S
Le commandant de la région de gendarmerie de Basse-Normandie,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 36096 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128645S),
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 :
Ozouf, Jacques
Nigend : 117 692
Numéro de livret de solde : 5 241 864
Victor, Thierry
Nigend : 119 052
Numéro de livret de solde : 5 220 898
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Laine, Dominique
Nigend : 137 738
Numéro de livret de solde : 5 281 768
Storti, Philippe
Nigend : 119 377
Numéro de livret de solde : 5 241 794
Blanchemain, Franck
Nigend : 144 120
Numéro de livret de solde : 8 003 011
Morel, Jean
Nigend : 140 256
Numéro de livret de solde : 5 296 243
Geslin, Cyrille
Nigend : 168 303
Numéro de livret de solde : 8 024 042
Pringault, Michel
Nigend : 122 556
Numéro de livret de solde : 5 270 065
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Bonnet, Frédéric
Nigend : 164 587
Numéro de livret de solde : 8 021 309
Lebey, Steve
Nigend : 216 533
Numéro de livret de solde : 8 064 386
Danne, Christophe
Nigend : 161 110
Numéro de livret de solde : 8 018 226
Paul, Stéphane
Nigend : 146 690
Numéro de livret de solde : 8 005 177
Etienne, Loïc
Nigend : 196 324
Numéro de livret de solde : 8 048 302
Enot, Jacques
Nigend : 197 180
Numéro de livret de solde : 8 048 400
Housseau, Ingrid
Nigend : 175 628
Numéro de livret de solde : 8 028 555
Belveyre, Samuel
Nigend : 163 115
Numéro de livret de solde : 8 019 906
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 155
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Pellet, Stéphanie
Nigend : 233 121
Numéro de livret de solde : 8 086 113
Eveille, Valérie
Nigend : 193 906
Numéro de livret de solde : 8 047 641
Zimmermann, Yannick
Nigend : 177 487
Numéro de livret de solde : 8 035 686
Fait le 3 mai 2012.
Le colonel,
commandant la région de gendarmerie de Basse-Normandie,
Gilles Dautois
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 156
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Région de gendarmerie
de Midi-Pyrénées
_____
Décision no 27591 du 3 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général de la région de gendarmerie de Midi-Pyrénées
NOR : IOCJ1204702S
Le commandant de la région de gendarmerie de Midi-Pyrénées,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 81390 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128637S),
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 :
Barthas, Alain
Nigend : 132 355
Numéro de livret de solde : 5 295 508
Mas, Jean-Michel
Nigend : 125 422
Numéro de livret de solde : 5 270 625
Cesaro, Carole
Nigend : 154 640
Numéro de livret de solde : 8 012 415
Bella, Joseph
Nigend : 123 936
Numéro de livret de solde : 5 244 044
Lenfant, Frédéric
Nigend : 154 763
Numéro de livret de solde : 8 012 350
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
André, Michèle
Nigend : 159 442
Numéro de livret de solde : 8 016 704
Fromy, Dominique
Nigend : 153 693
Numéro de livret de solde : 8 011 634
Sicot, Philippe
Nigend : 132 339
Numéro de livret de solde : 5 294 996
Villemur, Richard
Nigend : 160 844
Numéro de livret de solde : 8 017 797
Series, Jean-Marc
Nigend : 112 931
Numéro de livret de solde : 5 174 984
Bruyère, Olivier
Nigend : 139 712
Numéro de livret de solde : 5 324 620
Scotto Di Carlo, Marie-Paule
Nigend : 159 534
Numéro de livret de solde : 8 016 780
Castelanelli, Christophe
Nigend : 159 765
Numéro de livret de solde : 8 016 920
Pochon, Arnaud
Nigend : 164 772
Numéro de livret de solde : 8 021 283
Montagnon, Pascal
Nigend : 135 176
Numéro de livret de solde : 5 312 170
Gervais, Michel
Nigend : 122 946
Numéro de livret de solde : 5 241 629
Fillol, Jean-Louis
Nigend : 143 336
Numéro de livret de solde : 5 254 835
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Prono, Stéphane
Nigend : 166 677
Numéro de livret de solde : 8 022 777
Demaison, Jean-Michel
Nigend : 145 300
Numéro de livret de solde : 8 003 956
Boinot, Christophe
Nigend : 165 810
Numéro de livret de solde : 8 022 308
Laborie, Franck
Nigend : 220 221
Numéro de livret de solde : 6 029 955
Durand, Romain
Nigend : 190 305
Numéro de livret de solde : 8 039 237
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 157
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Leroux, Louis
Bineau, Lionel
Pavan, Laurent
Véga, Stéphane
Perrette, Christophe
Rolland, Matthieu
Forté, Jean-Georges
Vaucheret, Sébastien
Letellier, Arnaud
Nigend : 180 053
Nigend : 132 522
Nigend : 152 371
Nigend : 167 714
Nigend : 171 339
Nigend : 174 732
Nigend : 165 671
Nigend : 203 270
Nigend : 166 029
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
de
de
de
de
de
de
de
de
de
livret
livret
livret
livret
livret
livret
livret
livret
livret
de
de
de
de
de
de
de
de
de
solde : 8 029 752
solde : 5 294 608
solde : 8 010 164
solde : 8 023 597
solde : 8 026 872
solde : 8 028 181
solde : 8 022 229
solde : 8 054 973
solde : 8 022 465
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Schaff, Michaël
Nigend : 203 719
Numéro de livret de solde : 8 055 046
Claudé, Stéphanie
Nigend : 210 591
Numéro de livret de solde : 8 065 737
Bourrillon, Benoit
Nigend : 224 211
Numéro de livret de solde : 8 083 915
Roos, Maxence
Nigend : 218 282
Numéro de livret de solde : 8 071 258
Fait le 3 mai 2012.
Le général,
commandant la région de gendarmerie de Midi-Pyrénées,
Laurent Tavel
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 158
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Région de gendarmerie
de Poitou-Charentes
_____
Décision no 15793 du 4 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général de la région de gendarmerie de Poitou-Charentes
NOR : IOCJ1204703S
Le commandant de la région de gendarmerie de Poitou-Charentes,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 66 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128638S),
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 :
Delamare, Alain
Nigend : 110 327
Numéro de livret de solde : 5 150 257
Gouleau, Christophe
Nigend : 125 404
Numéro de livret de solde : 5 270 817
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Octeau, Guy
Nigend : 108 322
Numéro de livret de solde : 5 162 668
Bonnin, Jean-Louis
Nigend : 147 430
Numéro de livret de solde : 8 004 231
Charles, Éric
Nigend : 147 698
Numéro de livret de solde : 8 008 529
Jouanneau, Yves
Nigend : 143 212
Numéro de livret de solde : 8 002 646
Moreau, Jean-Noël
Nigend : 155 476
Numéro de livret de solde : 8 013 160
Beaufils, Patrice
Nigend : 132 900
Numéro de livret de solde : 5 295 704
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Vergne, Patrick
Nigend : 107 479
Numéro de livret de solde : 5 156 686
Pineau, Joël
Nigend : 135 716
Numéro de livret de solde : 5 323 987
Merle, Freddy
Nigend : 181 423
Numéro de livret de solde : 8 030 166
Fauvernier, Nicolas
Nigend : 196 045
Numéro de livret de solde : 8 056 416
Larrazet, Alain
Nigend : 139 860
Numéro de livret de solde : 5 272 245
Hoff, Denis
Nigend : 134 503
Numéro de livret de solde : 5 310 944
Garry, Jérôme
Nigend : 164 613
Numéro de livret de solde : 8 021 339
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Kruppa, Frédéric
Nigend : 163 331
Numéro de livret de solde : 8 020 149
Cabrera, Éric
Nigend : 166 942
Numéro de livret de solde : 8 023 013
Fait le 4 mai 2012.
Le général,
commandant la région de gendarmerie de Poitou-Charentes,
Philippe Le Mouël
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 159
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Destinataires
Direction générale de la gendarmerie nationale.
Direction des personnels militaires de la gendarmerie nationale, à ISSY-LES-MOULINEAUX.
Commandant du groupement de gendarmerie départementale :
– de la Charente à ANGOULÊME ;
– de la Charente-Maritime à LA ROCHELLE ;
– de la Vienne à POITIERS ;
– des Deux-Sèvres à NIORT.
Chef du centre administratif et financier zonal à BORDEAUX.
Commandant de la section des recherches à POITIERS.
Directeur du bureau du service national à POITIERS.
Sous-directeur des pensions à LA ROCHELLE.
Diffusion
intérieure
Section commandement – Cabinet.
État-major ressources humaines.
État-major organisation-emploi.
État-major soutien finances.
Antenne médicale.
Contrôle de gestion.
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 160
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Région de gendarmerie de Lorraine
et gendarmerie
pour la zone de défense
et de sécurité Est
_____
Décision no 24809 du 4 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général de la région de gendarmerie de Lorraine
NOR : IOCJ1204718S
Le commandant de la région de gendarmerie de Lorraine et de la gendarmerie pour la zone de défense et de
sécurité Est,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 72211 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128658S),
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 :
Blaise, Hugues
Nigend : 133 708
Numéro de livret de solde : 5 294 310
Simonet, Éric Nigend : 134 440
Numéro de livret de solde : 5 311 383
Flausse, Dominique Nigend : 138 791
Numéro de livret de solde : 5 325 234
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Fremiot, Stéphane
Nigend : 69 903
Numéro de livret de solde
Sviontek, Christophe
Nigend : 165 622
Numéro de livret de solde
Morisot, Gérald
Nigend : 119 023
Numéro de livret de solde
Muller, Jean-Marc
Nigend : 161 535
Numéro de livret de solde
Hert, Denis
Nigend : 123 411
Numéro de livret de solde
: 5
: 5
: 5
: 8
: 5
271
188
220
018
244
228
185
873
568
934
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Mareschal, Lydie
Nigend : 210 515
Numéro de livret de solde : 8 063
Loubette, Bertrand
Nigend : 166 177
Numéro de livret de solde : 8 022
Valeur, Olivier
Nigend : 172 098
Numéro de livret de solde : 8 027
Marsac, Harold
Nigend : 200 947
Numéro de livret de solde : 8 057
Francois, Christophe
Nigend : 203 295
Numéro de livret de solde : 6 565
Poinot, Boris
Nigend : 193 174
Numéro de livret de solde : 8 049
126
655
388
147
926
467
Article 3
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Lupo, Sébastien
Nigend : 187 763
Numéro de livret de solde : 8 043 238
Lemarquis, Sylvain
Nigend : 195 130
Numéro de livret de solde : 8 049 664
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 161
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Schallhammer, Katia
Buisson, Rodolphe
Nigend : 205 291
Nigend : 210 265
Numéro de livret de solde : 8 055 240
Numéro de livret de solde : 8 065 554
Fait le 4 mai 2012.
Le général de corps d’armée,
commandant la région de gendarmerie de Lorraine
et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est,
Gérard Deanaz
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 162
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Direction générale
de la gendarmerie nationale
_____
Direction des personnels militaires
de la gendarmerie nationale
_____
Sous-direction de la gestion du personnel
_____
Bureau du personnel sous-officier du corps
de soutien technique et administratif
de la gendarmerie nationale
_____
Décision no 38143 du 4 mai 2012 portant attribution de l’échelon exceptionnel
aux majors du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale
NOR : IOCJ1222156S
Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008-953 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers et
officiers mariniers de carrière des armées et du soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale ;
Vu l’arrêté du 4 août 2010 modifié, fixant pour la gendarmerie nationale la composition et l’organisation de la
commission prévue à l’article L. 4136-3 du code de la défense ;
Vu la circulaire no 124187 du 15 décembre 2011 relative à l’attribution de l’échelon exceptionnel aux majors du
corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale au titre de l’année 2012 ;
Vu les propositions formulées par la commission chargée d’examiner l’attribution de l’échelon exceptionnel aux
majors du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale en date du 15 mars 2012,
Décide :
L’échelon exceptionnel est attribué aux majors du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie
nationale dont le nom figure ci-après, à compter du 1er mai 2012.
Aka, Didier
Nigend : 192 725
Numéro de livret de solde : 5 152 088
Barnet, Marie-Claude
Nigend : 112 684
Numéro de livret de solde : 5 157 064
Borget, Martine
Nigend : 112 569
Numéro de livret de solde : 5 156 739
Dominiak, Monique
Nigend : 166 089
Numéro de livret de solde : 5 093 593
Guéguen, Bernard
Nigend : 186 583
Numéro de livret de solde : 5 216 005
Hutter, Noëlle
Nigend : 112 712
Numéro de livret de solde : 5 157 216
Lavauzelle, Laurence
Nigend : 112 657
Numéro de livret de solde : 5 157 049
Periz, Martine
Nigend : 112 537
Numéro de livret de solde : 5 156 762
Triphose, Thierry
Nigend : 193 527
Numéro de livret de solde : 5 128 242
Vimeux, Christine
Nigend : 112 482
Numéro de livret de solde : 5 156 768
Fait le 4 mai 2012.
Pour le ministre et par délégation :
Le colonel,
adjoint au sous-directeur de la gestion du personnel,
Olivier Courtet
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 163
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Région de gendarmerie
de Haute-Normandie
_____
Décision no 11263 du 7 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général de la région de gendarmerie de Haute-Normandie
NOR : IOCJ1204707S
Le commandant de la région de gendarmerie de Haute-Normandie,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 34011 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128644S),
Décide :
Article 1er
L’ adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juin 2012 :
Philippe, Olivier
Nigend : 134 843
Numéro de livret de solde : 5 311 079
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Candellier, Christian
Nigend : 117 511
Numéro de livret de solde : 5 220 628
Grimonprez, Sylvain
Nigend : 183 305
Numéro de livret de solde : 8 033 945
Cabot, Alain
Nigend : 137 819
Numéro de livret de solde : 5 323 314
Renouard, Damien
Nigend : 161 545
Numéro de livret de solde : 8 018 576
Depoortere, Didier
Nigend : 108 404
Numéro de livret de solde : 5 150 992
Gervais, Fabrice
Nigend : 142 913
Numéro de livret de solde : 8 002 142
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Roussel, Thomas
Nigend : 208 586
Numéro de livret de solde : 8 062 708
Pawlik, Marc
Nigend : 117 326
Numéro de livret de solde : 5 219 184
Filliette, Tony
Nigend : 197 407
Numéro de livret de solde : 8 048 832
Mettetal, Cyril
Nigend : 168 222
Numéro de livret de solde : 8 023 861
Hamel, Valéry
Nigend : 156 056
Numéro de livret de solde : 8 013 647
Marais, Sébastien
Nigend : 201 322
Numéro de livret de solde : 8 057 012
Leroy, Sandra
Nigend : 199 919
Numéro de livret de solde : 8 048 752
Cordier, Kévin
Nigend : 187 348
Numéro de livret de solde : 8 043 245
Duponchel, Olivier
Nigend : 172 420
Numéro de livret de solde : 8 027 136
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 164
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Breban, Olivier
Nigend : 207 194
Numéro de livret de solde : 8 061 378
Maloubier, Alain
Nigend : 218 073
Numéro de livret de solde : 8 071 046
Colinet, Benoît
Nigend : 211 645
Numéro de livret de solde : 8 063 315
Fait le 7 mai 2012.
Le colonel,
commandant la région de gendarmerie de Haute-Normandie,
Denys Morée
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 165
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Région de gendarmerie du Centre
_____
Décision no 20604 du 7 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général de la région de gendarmerie du Centre
NOR : IOCJ1204710S
Le commandant de la région de gendarmerie du Centre,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 62307 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128647S),
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 :
L’Hostis, Stéphane
Nigend : 147 742
Numéro de livret de solde
Bafoil, Karine
Nigend : 159 914
Numéro de livret de solde
Giron, Christophe
Nigend : 142 172
Numéro de livret de solde
Goaziou, Yannick
Nigend : 114 231
Numéro de livret de solde
: 8
: 8
: 8
: 5
008
017
001
218
549
005
647
368
: 8
: 8
: 8
: 5
: 8
: 6
: 8
019
023
019
174
007
009
014
164
539
756
923
803
218
446
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Le Rouzic, Mickaël
Nigend : 162 239
Numéro de livret de solde
Jobin, Cédric
Nigend : 167 654
Numéro de livret de solde
Larchevêque, Laurent
Nigend : 162 931
Numéro de livret de solde
Cazy, Marc-Henri
Nigend : 112 866
Numéro de livret de solde
Augras, Sonia
Nigend : 149 853
Numéro de livret de solde
Lescure, Fabrice
Nigend : 154 303
Numéro de livret de solde
Gheysen, Gilles
Nigend : 157 161
Numéro de livret de solde
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012:
Ligonto, Sébastien
Nigend : 180 605
Numéro de livret de solde : 8 029 864
David, Sébastien
Nigend : 200 080
Numéro de livret de solde : 8 043 896
De Oliveira, Virginie
Nigend : 173 051
Numéro de livret de solde : 8 027 528
Floquet, Sandrine
Nigend : 209 422
Numéro de livret de solde : 8 050 986
Marteau, Thierry
Nigend : 166 664
Numéro de livret de solde : 8 022 764
Perreau, Xavier
Nigend : 180 250
Numéro de livret de solde : 8 037 822
Galland, Grégory
Nigend : 220 747
Numéro de livret de solde : 8 083 545
Chatelin, David
Nigend : 183 965
Numéro de livret de solde : 8 036 952
Dupoyet, Lionnel
Nigend : 147 823
Numéro de livret de solde : 8 064 062
Monsu, Stéphane
Nigend : 168 109
Numéro de livret de solde : 8 023 964
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 166
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Soulé, Benjamin
Nigend : 199 359
Numéro de livret de solde : 8 046 743
Grelet, Julien
Nigend : 213 888
Numéro de livret de solde : 8 068 210
Druy, Julien
Nigend : 231 199
Numéro de livret de solde : 8 085 254
Pouget, Yann
Nigend : 182 672
Numéro de livret de solde : 8 036 499
Mazure, Sophie
Nigend : 202 728
Numéro de livret de solde : 8 058 138
Fait le 7 mai 2012.
Le général,
commandant la région de gendarmerie du Centre,
Simon-Pierre Baradel
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 167
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Région de gendarmerie
de Languedoc-Roussillon
_____
Décision n° 22052 du 7 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général de la région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon
NOR : IOCJ1204716S
Le commandant de la région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 58411 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128655S),
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 :
Quintin, Patrick
Nigend : 115 303
Numéro de livret de solde
Karotsch, Vincent
Nigend : 150 890
Numéro de livret de solde
Sperandio, Pascal
Nigend : 70 629
Numéro de livret de solde
D’Helie de Saint André, Jean-Louis
Nigend : 129 186
Numéro de livret de solde
Chêne, Jean-Philippe
Nigend : 133 312
Numéro de livret de solde
:
:
:
:
:
5 190 076
8 009 053
5 283 990
5 283 663
5 295 929
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
5 283 239
5 175 725
8 004 181
5 295 874
5 295 409
5 294 246
8 025 478
5 305 005
8 020 145
8 010 110
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Gal, Didier
Nigend : 131 033
Numéro de livret
Fauré, Lionel
Nigend : 111 205
Numéro de livret
Rousseau, Cyrille
Nigend : 145 858
Numéro de livret
Roselli, Mauro
Nigend : 133 391
Numéro de livret
Bégarie, Daniel
Nigend : 133 288
Numéro de livret
Galbourdin, Laurent
Nigend : 133 752
Numéro de livret
Revel, Fabrice
Nigend : 170 003
Numéro de livret
Belda, Frédéric
Nigend : 139 932
Numéro de livret
Haro, Gaëtan
Nigend : 163 327
Numéro de livret
Cayrol, Stéphane
Nigend : 152 051
Numéro de livret
de
de
de
de
de
de
de
de
de
de
solde
solde
solde
solde
solde
solde
solde
solde
solde
solde
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont
Berron, Pascal
Nigend :
Vidal, Jean-Philippe
Nigend :
Fournier, Sébastien
Nigend :
Larghi, Frédéric
Nigend :
Cibba, Christophe
Nigend :
Ruzafa, Frédéric
Nigend :
Moulin, Frédéric
Nigend :
promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
154 252
Numéro de livret de solde : 8 012 104
165 008
Numéro de livret de solde : 8 021 698
177 894
Numéro de livret de solde : 8 029 342
190 847
Numéro de livret de solde : 5 287 037
159 371
Numéro de livret de solde : 8 016 619
168 010
Numéro de livret de solde : 8 024 182
168 351
Numéro de livret de solde : 8 024 071
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 168
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Jaumard, Stéphane
Astruc, Jean-François
Belarde, Jérôme
Bordes, Jean-Christophe
Triolet, Jean-Marc
Roques, Anne
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
:
:
:
:
:
:
165 227
192 090
211 424
174 000
158 466
232 288
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
de
de
de
de
de
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livret
livret
livret
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livret
livret
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solde
solde
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solde
solde
:
:
:
:
:
:
8 021 845
8 040 001
8 063 387
8 027 810
8 015 696
8 085 496
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Munier, Yvan
Nigend : 156 240
Numéro de livret de solde :
Talamoni, Alexandra
Nigend : 233 294
Numéro de livret de solde :
Bouillot, Sylvain
Nigend : 217 550
Numéro de livret de solde :
Lorguilloux, Laurent
Nigend : 239 867
Numéro de livret de solde :
Bournel, Pierre
Nigend : 214 324
Numéro de livret de solde :
8 013 775
8 086 058
8 064 538
8 087 444
8 064 044
Article 4
Fait le 7 mai 2012.
Le colonel,
commandant la région de gendarmerie
de Languedoc-Roussillon,
Marc Lévêque
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 169
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Région de gendarmerie de Rhône-Alpes
et gendarmerie
pour la zone de défense
et de sécurité Sud-Est
_____
Décision no 43693 du 7 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général de la région de gendarmerie de Rhône-Alpes
NOR : IOCJ1204711S
Le commandant de la région de gendarmerie de Rhône-Alpes et de la gendarmerie pour la zone de défense et de
sécurité Sud-Est,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 130714 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128649S),
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 :
Piard, Éric
Planchon, Philippe
Recorbet, Fabrice
Lohse, Hervé
Millet, Jacques
Berger, Frédéric
Brisbart, Patrice
Asencio, Gilles
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
:
:
:
:
:
:
:
:
120
116
155
138
115
136
153
132
863
421
624
569
031
724
188
352
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
de
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:
5
5
8
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5
8
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221
219
012
324
218
324
011
295
161
071
987
969
558
311
020
505
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
8 038 809
5 296 044
8 001 165
8 005 791
8 028 721
5 295 524
8 003 401
8 002 098
8 009 301
5 175 412
5 323 595
5 293 712
8 017 626
5 295 268
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Bourbon, Cyril
Dumarski, Hervé
Malkiewiez, Yves
Rossi, Stéphane
Chambosse, David
Callewaert, Gérard
Begey, Jean-Michel
Turquat, André
Acosta-Hurtado, Marc
Boulet, Christian
Theodore, Noël
Beuret, Véronique
Dalzon, Denis
Matéo, Didier
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
188
139
141
147
176
132
144
142
151
109
141
70
160
133
856
747
143
773
347
371
782
982
220
747
436
541
624
231
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
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solde
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 170
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Voillot, Stéphane
Tassa, Thierry
Poutrieux, Sylvie
Baj, Gilles
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
:
:
:
:
158
126
132
134
733
003
070
746
Numéro
Numéro
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Numéro
de
de
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8
5
5
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016
243
294
312
196
392
079
204
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Poncie, Laurent
Ristorcelli, Sylvain
Ferraris, Fabien
Cambres, Sébastien
Meda, Carine
Charpateau, Olivier
Corberand, Benjamin
Liégeois-Sarre, Olivier
Tour, Matthieu
Zaepffel, Olivier
Brumbt, Pierre
Morel, Matthieu
Gosset, Sébastien
Vonarb, Philippe
Griere, Xavier
Chapuis, Roland
Seris, Vincent
Kerskens, Grégory
Ratel, Patricia
Pons, René
Philibert, Xavier
Mazier, Jérôme
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
165
187
185
174
226
165
229
167
183
207
189
230
170
219
201
143
146
168
178
186
142
210
604
740
910
771
195
649
087
666
472
020
582
595
102
057
936
834
422
201
150
781
613
444
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
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Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
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8
8
8
8
8
8
8
8
8
5
8
022
044
037
032
084
022
084
023
034
062
042
085
025
065
044
001
004
023
029
038
272
063
185
776
346
156
450
217
801
550
090
378
484
077
041
079
152
824
779
841
280
260
482
059
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Villain, Michel
Gasiglia, Laurie
Sanchez, Michel
Rapebach, Arnaud
Fontaine, Sophie
Picazo Nuñez, Vincent
Dupuy, Étienne
Krawczyk, Romuald
Lotsch, Stéphane
Goux, Nicolas
Machat, David
Laporte, Franck
Marty, Georges
Ortolani, Marino
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
Nigend
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
219
223
205
239
234
240
165
161
153
168
171
177
179
188
226
768
587
306
683
066
665
977
592
309
078
056
716
931
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
de
de
de
de
de
de
de
de
de
de
de
de
de
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livret
livret
livret
livret
livret
livret
livret
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de
de
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de
de
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059
087
086
087
022
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011
024
026
032
035
035
833
674
734
271
520
622
225
051
160
047
653
556
527
779
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 171
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Glatard, Corinne
Da Cruz, Rudy
Fait le 7 mai 2012.
Nigend : 218 597
Nigend : 233 457
Numéro de livret de solde : 8 071 353
Numéro de livret de solde : 8 086 155
Le général de division,
commandant la région de gendarmerie de Rhône-Alpes
et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est,
Jean-Patrick Ridao
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 172
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Gendarmerie de l’air
_____
Décision no 4563 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général de la gendarmerie de l’air
NOR : IOCJ1204738S
Le commandant de la gendarmerie de l’air,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 12606 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128678S),
Décide :
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Le Moal, Sonia
Nigend : 179 053
Numéro de livret de solde : 8 036 145
Bouyer, Muriel
Nigend : 156 873
Numéro de livret de solde : 8 014 725
Fait le 9 mai 2012.
Le colonel,
commandant la gendarmerie de l’air,
Guy Cazenave-Lacroutz
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 173
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Gendarmerie des transports aériens
_____
Décision no 7040 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général de la gendarmerie des transports aériens
NOR : IOCJ1204733S
Le commandant de la gendarmerie des transports aériens,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 18111 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128671S),
Décide :
Article 1er
L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juin 2012 :
Gibrat, Jean-christophe
Nigend : 125 095
Numéro de livret de solde : 5 279 640
Article 2
L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Masset, Christian
Nigend : 128 527
Numéro de livret de solde : 5 283 469
Article 3
Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Rulliere, Fabrice
Nigend : 142 962
Numéro de livret de solde : 8 002 190
Article 4
Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Jégo, Christophe
Nigend : 158 836
Numéro de livret de solde : 8 015 957
Fait le 9 mai 2012.
Le général,
commandant la gendarmerie des transports aériens,
Damien Striebig
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 174
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Garde républicaine
_____
Décision no 13528 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général de la garde républicaine – branche « infanterie »
NOR : IOCJ1204697S
Le commandant de la garde républicaine,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 180684 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128629S),
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 :
Longatelli, Pierre
Nigend : 104 445
Numéro de livret de solde : 5 126 961
Nespoulous, Jean-Claude
Nigend : 127 965
Numéro de livret de solde : 5 281 058
Borteele, Stéphane
Nigend : 132 247
Numéro de livret de solde : 5 295 107
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Rizat, Jean-Jacques
Nigend : 117 222
Numéro de livret de solde : 5 220 007
Carré, Denis
Nigend : 142 412
Numéro de livret de solde : 8 001 709
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Roy, Alexis
Nigend : 169 082
Numéro de livret de solde : 8 024 791
Loiseau, Wilfried
Nigend : 190 478
Numéro de livret de solde : 8 039 354
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Martin, Nicolas
Nigend : 207 839
Numéro de livret de solde : 8 062 316
Boudes, Patrice
Nigend : 225 225
Numéro de livret de solde : 8 083 976
Fait le 9 mai 2012.
Le général de division,
commandant la garde républicaine,
Philippe Schneider
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 175
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Garde républicaine
_____
Décision no 13529 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général de la garde républicaine – branche « cavalerie »
NOR : IOCJ1204698S
Le commandant de la garde républicaine,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 180685 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128633S),
Décide :
Article 1er
L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Binet, Philippe
Nigend : 116 877
Numéro de livret de solde : 5 218 203
Article 2
Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Aubineau, Hervé
Nigend : 160 029
Numéro de livret de solde : 8 017 104
Article 3
Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Huntziger, Hervé
Nigend : 210 297
Numéro de livret de solde : 8 065 498
Fait le 9 mai 2012.
Le général de division,
commandant la garde républicaine,
Philippe Schneider
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 176
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Garde républicaine
_____
Décision no 13530 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général de la garde républicaine – branche « orchestre-chœur de l’armée française »
NOR : IOCJ1204699S
Le commandant de la garde républicaine,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers
de gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 180687 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128631S),
Décide :
Article 1er
Le choriste de 2e classe dont le nom suit est promu au grade de choriste de 1re classe le 1er juin 2012 :
Patrouilleau, Dominique
Nigend : 162 484
Numéro de livret de solde : 8 021 175
Article 2
Le choriste de 3 classe dont le nom suit est promu au grade de choriste de 2e classe le 1er juin 2012 :
Crevoisier, Pierre
Nigend : 171 529
Numéro de livret de solde : 8 026 292
e
Fait le 9 mai 2012.
Le général de division,
commandant la garde républicaine,
Philippe Schneider
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 177
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Région de gendarmerie de Bretagne
et gendarmerie pour la zone de défense
et de sécurité Ouest
_____
Décision no 33474 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Ouest
NOR : IOCJ1204706S
Le commandant de la région de gendarmerie de Bretagne et de la gendarmerie pour la zone de défense et de
sécurité Ouest,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 81822 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128643S),
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 :
Fassot, Lionel
Nigend : 128 037
Numéro de livret de solde : 5 281 234
Bardoux, Michel
Nigend : 124 546
Numéro de livret de solde : 5 244 212
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Besnehard, Flavien
Nigend : 158 620
Numéro de livret de solde : 8 016 105
Maudet, Cyrille
Nigend : 165 097
Numéro de livret de solde : 8 021 675
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Gousse, Antoine
Nigend : 166 980
Numéro de livret de solde : 8 023 047
Tamizier, Sébastien
Nigend : 190 476
Numéro de livret de solde : 8 038 597
Cliquennois, Guillaume
Nigend : 190 798
Numéro de livret de solde : 8 043 660
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Petresco, Michaël
Nigend : 230 602
Numéro de livret de solde : 8 085 085
Martin, Vincent
Nigend : 231 967
Numéro de livret de solde : 8 085 757
Fait le 9 mai 2012.
Le général de division,
commandant la région de gendarmerie de Bretagne
et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Ouest,
Alain Giorgis
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 178
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MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Commandement des écoles
de la gendarmerie nationale
_____
Décision no 39708 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général du commandement des écoles de la gendarmerie nationale
NOR : IOCJ1204732S
Le commandant des écoles de la gendarmerie nationale,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers
de gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 108858 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128669S),
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 :
Edouard, Jean-Christophe
Nigend : 136 638
Numéro de livret de solde : 5 322 945
Rozada, Jean
Nigend : 128 698
Numéro de livret de solde : 5 283 567
Henray, Gilles
Nigend : 133 876
Numéro de livret de solde : 5 294 836
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Andichou, Luc
Nigend : 151 321
Numéro de livret de solde : 8 009 401
Milla, Ghislain
Nigend : 153 597
Numéro de livret de solde : 8 011 165
Charles, Yann
Nigend : 149 021
Numéro de livret de solde : 8 006 916
Sertier, Daniel
Nigend : 111 528
Numéro de livret de solde : 5 150 498
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Belmas, Christophe
Nigend : 162 986
Numéro de livret de solde : 8 019 808
Goret, Etienne
Nigend : 181 264
Numéro de livret de solde : 8 030 230
Benoist, Olivier
Nigend : 168 991
Numéro de livret de solde : 8 024 705
Fazzino, Fabrice
Nigend : 185 981
Numéro de livret de solde : 8 034 630
Article 4
Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Talassi, Aline
Nigend : 195 102
Numéro de livret de solde : 8 047 802
Fait le 9 mai 2012.
Le général de corps d’armée,
commandant les écoles de la gendarmerie nationale,
Christophe Métais
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 179
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Région de gendarmerie d’Aquitaine
et gendarmerie pour la zone de défense
et de sécurité Sud-Ouest
_____
Décision no 44056 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest
NOR : IOCJ1204701S
Le commandant de la région de gendarmerie d’Aquitaine et de la gendarmerie pour la zone de défense et de
sécurité Sud-Ouest,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 134080 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128636S),
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 :
Lopez, Marc
Nigend : 126 056
Numéro de livret de solde : 5 280 455
Jouanin, Marc
Nigend : 128 649
Numéro de livret de solde : 5 283 626
Article 2
L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Ithurry, Jean-Christophe
Nigend : 159 165
Numéro de livret de solde : 8 015 925
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Michelet, Jean-François
Nigend : 137 355
Numéro de livret de solde : 5 324 765
Juris, Olivier
Nigend : 164 308
Numéro de livret de solde : 8 021 055
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Castelain, Jérôme
Nigend : 234 742
Numéro de livret de solde : 8 086 569
Careil, Kevin
Nigend : 219 731
Numéro de livret de solde : 8 072 415
Fait le 9 mai 2012.
Le général de division,
commandant la région de gendarmerie d’Aquitaine
et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest,
BrunooCarmichael
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 180
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Région de gendarmerie
de Rhône-Alpes et gendarmerie
pour la zone de défense
et de sécurité Sud-Est
_____
Décision no 44092 du 9 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est
NOR : IOCJ1204712S
Le commandant de la région de gendarmerie de Rhône-Alpes et de la gendarmerie pour la zone de défense et
de sécurité Sud-Est,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2011‑1990 du 28 décembre 2011 modifiant le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 portant statut
particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 130717 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128650S),
Décide :
Article 1er
L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juin 2012 :
Faure, Gilles
Nigend : 127 725
Numéro de livret de solde : 5 279 118
Article 2
L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Abadie, Hervé
Nigend : 131 734
Numéro de livret de solde : 5 282 201
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Counioux, Bruno
Nigend : 131 545
Numéro de livret de solde : 5 271 447
Breitenstein, Alain
Nigend : 120 793
Numéro de livret de solde : 5 221 207
Article 4
Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Manzoni, Christophe
Nigend : 193 377
Numéro de livret de solde : 8 049 359
Fait le 9 mai 2012.
Le général de division,
commandant la région de gendarmerie de Rhône-Alpes
et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est,
Jean-Patrick Ridao
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 181
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Région de gendarmerie de Corse
_____
Décision no 7600 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général de la région de gendarmerie de Corse
NOR : IOCJ1204717S
Le commandant de la région de gendarmerie de Corse,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers
de gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 22638 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128657S),
Décide :
Article 1er
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Valnet, Cyril
Nigend : 167 592
Numéro de livret de solde : 8 023 397
Yannic, Ivan
Nigend : 143 678
Numéro de livret de solde : 8 002 794
Hamard, Stéphane
Nigend : 138 434
Numéro de livret de solde : 5 324 849
Article 2
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Pianet, Mathieu
Nigend : 180 958
Numéro de livret de solde : 8 030 902
Bouchy, Lionel
Nigend : 191 112
Numéro de livret de solde : 8 039 805
Colbert, Ludovic
Nigend : 172 406
Numéro de livret de solde : 8 027 123
Roussarie, Olivier
Nigend : 162 575
Numéro de livret de solde : 8 019 481
Angeard, Franck
Nigend : 154 627
Numéro de livret de solde : 8 012 402
Article 3
Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Antiome, Fernand
Nigend : 156 682
Numéro de livret de solde : 8 014 203
Fait le 10 mai 2012.
Le colonel,
commandant par suppléance la région de gendarmerie de Corse,
Stephan Thevenet
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 182
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Région de gendarmerie
du Limousin
_____
Décision no 11777 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général de la région de gendarmerie du Limousin
NOR : IOCJ1204704S
Le commandant de la région de gendarmerie du Limousin,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers
de gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 34820 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128639S),
Décide :
Article 1er
L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juin 2012 :
Zabaleta, Bruno
Nigend : 69 985
Numéro de livret de solde : 5 282 098
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Denis, Pascal
Nigend : 148 174
Numéro de livret de solde : 8 006 015
Dorlet, Jean-Philippe
Nigend : 146 349
Numéro de livret de solde : 8 005 037
Defossez, Denis
Nigend : 136 868
Numéro de livret de solde : 5 294 625
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Lachérade, Jean-François
Nigend : 162 229
Numéro de livret de solde : 8 019 158
Bonnefont, Stéphane
Nigend : 173 915
Numéro de livret de solde : 8 027 706
Wallet, Michaël
Nigend : 169 094
Numéro de livret de solde : 8 024 799
Colléoni, Olivier
Nigend : 163 493
Numéro de livret de solde : 8 020 216
Florenty, Jean-Luc
Nigend : 129 008
Numéro de livret de solde : 5 283 653
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Papin, Teddy
Nigend : 191 690
Numéro de livret de solde : 8 051 948
Laurent, Mickaël
Nigend : 176 804
Numéro de livret de solde : 8 033 701
Fait le 10 mai 2012.
Le colonel,
commandant la région de gendarmerie du Limousin,
Michel Labbé
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 183
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Région de gendarmerie de Picardie
_____
Décision no 15576 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général de la région de gendarmerie de Picardie
NOR : IOCJ1204729S
Le commandant de la région de gendarmerie de Picardie,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 41190 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128666S),
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 :
Bee, Pierre
Nigend : 145 025
Numéro de livret de solde : 8 003 103
Pronier, Pascal
Nigend : 109 714
Numéro de livret de solde : 5 150 085
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Pons, Thomas
Nigend : 178 773
Numéro de livret de solde : 8 029 469
Gromadzinski, Christophe
Nigend : 155 178
Numéro de livret de solde : 8 012 937
Thierry, Jean-Philippe
Nigend : 165 738
Numéro de livret de solde : 8 022 294
Tanguy, Hans
Nigend : 177 592
Numéro de livret de solde : 8 029 189
Luguenot, Joël
Nigend : 153 474
Numéro de livret de solde : 8 011 471
Poret, Sébastien
Nigend : 164 774
Numéro de livret de solde : 8 021 285
Couteaux, Stéphane
Nigend : 153 064
Numéro de livret de solde : 8 010 924
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Hugot, Sandrine
Nigend : 142 832
Numéro de livret de solde : 8 007 848
Erskelboudt, Sébastien
Nigend : 175 461
Numéro de livret de solde : 8 028 436
Blangeois, Mickaël
Nigend : 181 089
Numéro de livret de solde : 8 030 019
Racine, Jean
Nigend : 198 268
Numéro de livret de solde : 8 055 433
Bienaimé, Raphael
Nigend : 178 930
Numéro de livret de solde : 8 032 679
Vauvray, Cyril
Nigend : 200 668
Numéro de livret de solde : 8 046 756
Ollivier, Sébastien
Nigend : 184 696
Numéro de livret de solde : 8 034 269
Lavigne, Rénald
Nigend : 157 432
Numéro de livret de solde : 8 014 355
Morellec, Romuald
Nigend : 193 798
Numéro de livret de solde : 8 047 700
Suiveng, Jean-Charles
Nigend : 190 867
Numéro de livret de solde : 8 039 796
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 184
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Wattez, Lionel
Nigend : 195 798
Numéro de livret de solde : 8 047 979
Tourillon, Emmanuel
Nigend : 173 231
Numéro de livret de solde : 8 030 719
Charon, Damien
Nigend : 223 744
Numéro de livret de solde : 8 073 653
Dhaussy, Arnaud
Nigend : 180 486
Numéro de livret de solde : 8 005 699
Grégoire, Thierry
Nigend : 177 142
Numéro de livret de solde : 8 033 355
Fait le 10 mai 2012.
Le général,
commandant la région de gendarmerie de Picardie,
Marc Betton
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 185
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Région de gendarmerie
des Pays de la Loire
_____
Décision no 22846 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général de la région de gendarmerie des Pays de la Loire
NOR : IOCJ1204709S
Le commandant de la région de gendarmerie des Pays de la Loire,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 77964 du 16 décembre 2011 (NOR : IOCJ1133949S),
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 :
Mieuzet, Charles
Nigend : 116 542
Numéro de livret de solde : 5 219 596
Gelin, Pascal
Nigend : 122 762
Numéro de livret de solde : 5 243 948
Le Tertre, Stéphane
Nigend : 138 150
Numéro de livret de solde : 5 281 937
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Castanet, Fabrice
Nigend : 133 856
Numéro de livret de solde : 5 294 619
Geffard, Pascal
Nigend : 139 492
Numéro de livret de solde : 5 323 622
Censier, Damien
Nigend : 158 264
Numéro de livret de solde : 8 015 713
Joly, Éric
Nigend : 123 514
Numéro de livret de solde : 5 244 828
Aguillon, Christophe
Nigend : 136 715
Numéro de livret de solde : 5 324 301
Morault, Jean-Marie
Nigend : 153 726
Numéro de livret de solde : 8 011 666
Mille, Richard
Nigend : 166 363
Numéro de livret de solde : 8 022 564
Cupial, Didier
Nigend : 162 511
Numéro de livret de solde : 8 019 225
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Feidt, François-Xavier
Nigend : 168 073
Numéro de livret de solde : 8 023 939
Fost, Cyrille
Nigend : 169 674
Numéro de livret de solde : 8 025 222
Guyet, Vincent
Nigend : 195 484
Numéro de livret de solde : 8 048 025
Pipelier, Bertrand
Nigend : 188 040
Numéro de livret de solde : 8 038 562
Thibaudeau, David
Nigend : 157 790
Numéro de livret de solde : 8 014 988
Gicquel, Anthony
Nigend : 171 055
Numéro de livret de solde : 8 026 636
Gandin, Didier
Nigend : 163 982
Numéro de livret de solde : 8 020 540
Dirring, Christelle
Nigend : 190 263
Numéro de livret de solde : 8 039 327
Teyssier, François
Nigend : 132 466
Numéro de livret de solde : 5 295 490
Chénier, Laurent
Nigend : 190 441
Numéro de livret de solde : 8 039 222
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 186
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Briatte, Christophe
Nigend : 165 023
Numéro de livret de solde : 8 021 709
Glos, Aurélie
Nigend : 208 695
Numéro de livret de solde : 8 062 683
Thenard, Yann
Nigend : 215 284
Numéro de livret de solde : 8 068 862
Coulibaly, Mam-Sarra
Nigend : 237 746
Numéro de livret de solde : 6 634 421
Debavelaere, Thierry
Nigend : 159 776
Numéro de livret de solde : 8 016 931
Abdelouahed, Guillaume
Nigend : 196 973
Numéro de livret de solde : 8 048 468
Fait le 10 mai 2012.
Le colonel,
commandant la région de gendarmerie des Pays de la Loire,
F. Alegre de La Soujeole
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 187
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Direction générale
de la gendarmerie nationale
_____
Décision no 42386 du 10 mai 2012 portant attribution, en 2012,
de la prime de résultats exceptionnels à titre exceptionnel
NOR : INTJ1223468S
Le directeur général de la gendarmerie nationale,
Vu le code de la défense ;
Vu la loi no 2002‑1094 du 29 août 2002 d’orientation et de programmation pour la sécurité intérieure ;
Vu le décret no 2004‑1073 du 11 octobre 2004 portant création d’une prime de résultats exceptionnels dans la
gendarmerie nationale ;
Vu l’arrêté du 11 octobre 2004 portant application du décret no 2004‑1073 du 11 octobre 2004 portant création
d’une prime de résultats exceptionnels dans la gendarmerie nationale,
Décide :
Article 1er
Les personnels de la gendarmerie en activité de service dont la liste est jointe en annexe percevront, à titre exceptionnel,
au titre de l’année 2011 une prime de résultats exceptionnels d’un montant de 500,00 € (cinq cents euros).
Article 2
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
Fait le 10 mai 2012.
Le général d’armée,
directeur général de la gendarmerie nationale,
Jacques Mignaux
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 188
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
ANNEXE
Liste
des militaires bénéficiant d’une prime de résultats exceptionnels à titre exceptionnel
d’un montant de
Abeillon, Henri
Acker, Adrien
Adeux, Ludovic
Adorno, Vincent
Agresti, Blaise
Aguera, Thierry
Aguirre, Pascal
Ait-Ameur, Ait-Ali
Ajnaou, Abdelhakim
Alcaraz, Richard
Alessandri, Christian
Alexandre, Claude
Ali, Baptiste
Alia, Ahmed
Aliaga, Philippe
Allard, Émilie
Alsac, Fanny
Amardeil, Frédéric
Amato, David
Amet, Olivier
Ammour, Kamel
André, Sébastien
Andries, Jonathan
Angelaud, Jean-Luc
Anglade, Pierre
Anteblian, Pierre
Antoniutti, Éric
Armengaud, Rémi
Assou, Philippe-Alexandre
Astori, Alexandre
Aubertin, Loïc
Auffret, Yann
Auge, David
Auger, Sébastien
Aurat, Baptiste
Avelange, Éric
Aye, Fabienne
Aymonnier, Julien
Babin, Grégory
Bach, Frédéric
Baggio, Henri
Baïer, Éric
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
500,00
110293
178061
196285
196199
162275
106346
117630
131335
300451
189305
124640
248240
214792
207062
110801
232828
211066
190489
193163
195048
164809
205199
310081
131207
206004
147131
143130
238582
308826
202170
183183
189986
168816
200954
223481
122810
156852
240108
220779
171142
185025
126128
euros pour l’année 2011
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
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8073443
5244002
8014703
8094245
8072956
8026706
8034301
5243667
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 189
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Bailleul, Charles
Bailly, Beryl
Ballari, Michel
Banon, Victor
Bans, Jacques
Baradon, Bertrand
Barberis, Thierry
Barbieri, Alain
Barbot, Nolwenn
Barbotin, Sébastien
Bardy, Pierre-Yves
Baret, Jérôme
Barou, Régis
Barrattier, Alain
Barré, Hervé
Barret, Alain
Barriere, Maxime
Bartassot, Thierry
Bastard, Jean-Yves
Baudoux, Frédéric
Baudry, Frédéric
Bayle, Bruno
Beaudoux, Lydie
Behaz, Ali
Belin, Maxime
Bellemin-Laponnaz, Yannick
Bemer, Sandrine
Bénard, Stéphane
Benatier, Cyril
Benazzedine, Mohamed
Benoit, Cyril
Berger, Roland
Bergère, Cyril
Berkani, Pascal
Bernard, Vincent
Bernier, Jean-Christophe
Bernot, Erwan
Berthaire, David
Berthomé-Laurent, Sébastien
Bertoncini, Jean-Philippe
Bertrand, Didier
Bertrand, Michel
Besse, Laurent
Bey, Patrick
Biasi, Grégory
Biau, Stéphane
Bidard, Romain
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
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Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
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Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
247482
172234
117353
240112
124346
180201
147418
129781
239873
181086
214949
214173
123171
226157
148550
118506
232016
128381
100023
143815
244262
153043
207081
183558
324862
186636
138332
206239
175366
145277
201808
103328
193259
145756
311122
240118
239094
148425
176967
176529
151445
127672
225719
120917
203354
171023
233239
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
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Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
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5280311
5148105
8002008
8096729
8010904
8062306
8035346
8114667
8034692
5294182
8060256
8028301
8003227
8052588
5171803
8049390
8002521
6552233
8094253
8087332
8006805
6536491
8036771
5308027
5279071
8074568
5221311
8054904
8026611
8086009
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 190
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Bidaud, Franck
Bidet, Clément
Bigot, Laurent
Bigouret, Cécile
Billerey, Olivier
Billy, Jean-Claude
Bilski, Karine
Binet, William
Bio Farina, Éric
Bisson, Christophe
Bitouzet, Laurent
Blanc, Aurelien
Blanc, Julie
Blanchard, Jean-Michel
Blanchard, Jérôme
Blanche, Didier
Blanchet, Romain
Blasius, Vincent
Blaudez, Frédéric
Bliquy, Jean-Baptiste
Bobenrieth, Christian
Boget, Marc
Bogner, Philippe
Bohard, Gérard
Boilly, Frédéric
Boinet, Franck
Boistard, Julien
Bonjean, Olivier
Bonmarchand, Stéphane
Bonnery, David
Bonnet, François
Bonnet, Rudy
Bontemps, Stéphane
Bonvalot, Frederic
Bordage, Guillaume
Bordenave, Laurent
Bory, Sébastien
Bosco, Alexis
Bouche, Robert
Boucherie, Alain
Boudaille, Vincent
Bouden, Frédéric
Bouhier, Clément
Boulanger, Stéphan
Bourasseau, Denis
Bourdais, Jean-Louis
Bourgerie, Thomas
Nigend :
Nigend :
Nigend :
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Nigend :
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Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
236058
224209
127134
151608
140508
114960
229206
173547
167208
233240
150822
247595
238191
172119
168154
69733
220162
215878
156989
246383
128752
159874
145511
98478
181333
208582
209192
239737
165526
195480
173156
199148
170731
300786
165018
149619
190583
324034
94292
127459
310416
141891
271899
161465
135522
125173
164559
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
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10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 191
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Bourghelle, Hervé
Bourin, Olivier
Bouriot, Laurent
Bourson, Richard
Bousalah, Sonia
Boutier, Benoît
Boutin, Francois-Xavier
Bouvard, Yves
Bovet, Muriel
Boyé, Thierry
Braconnier, Jean-Charles
Braquehais, Yann
Brard, Emmanuel
Bras, Stéphane
Brassart, Steeve
Breart De Boisanger, Antoine
Brejot, Muriel
Bremond, Vanessa
Bressant, Jean-Philippe
Breteau, Philippe
Breton, Jean-Luc
Breuillé, Pierre
Brice, Francis
Bridoux, Xavier
Brieux, Cédric
Briffoteaux, Alexis
Brion, Jacques
Briqué, Geoffroy
Brisset, Martial
Bronnec, Yves
Bronsin, Sébastien
Broquere-Lartigue, Gérald
Brougiere, Morgan
Brouillon, Laurent
Bruguière, Nicolas
Brun, Alexandre
Brunet, Thierry
Brunswick, Alexandra
Bruzeau, Thomas
Buhot, Gaétan
Busi, Pierre-Yves
Butel, Hervé
Butez, Sébastien
Buttarazzi, Éric
Cabrera, Gilles
Cabrolier, Patrice
Caby, Jean-Pierre
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10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 192
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Cadel, Maxime
Cadoret, Hervé
Caillaud, Jean-Jacques
Caillaud, Jérôme
Caillon, Julien
Calame, David
Calmettes, Arnaud
Calvayrac, Guillaume
Calvier, Gérard
Cam, Yannick
Cambas, Marilyn
Caminade, Richard
Campourcy, Hervé
Camus, Jean-Marc
Canivet, Christophe
Canlet, Antonio
Capel, Pascal
Carasco, Jean-Philippe
Cardenal, Stéphane
Cardona, Vincent
Cariou, Vincent
Carlier, Gérard
Carliez, Arnaud
Caron, Philippe
Carpentier, Pascal
Casas, Frédéric
Casso, Emmanuel
Castagnede, Arnaud
Castel, Laurent
Castelain, Jérôme
Cattini, Franck
Caublot, Raphaël
Cauet, Jean-Jacques
Cauet, Julien
Caumartin, Gauthier
Cauneille, Jacques
Cauvin, Christophe
Cayet, Thierry
Cazénave, Patrice
Cazzadori, Patrice
Ceccaldi, Christophe
Celle, Olivier
Cenedese, Marc
Cent, Nicolas
Chabaud, Stéphane
Chacon, Laurent
Chalm, Julien
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10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 193
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Chambon, Christophe
Champion, Alexis
Champlong, Georges
Chantoisel, David
Chapeau, Patrick
Chardonnet, Thierry
Charlemagne, Laurent
Charpigny, Alex
Charrier, Pascal
Chartoire, Nicolas
Chassaing, Pascal
Chatras, Daniel
Chauvet, Christelle
Chauvin, Benoît
Chavardès, Loïc
Chazot, Anthony
Chelmi, Stéphane
Chenel, Jean-Pierre
Cherault, Jean-Luc
Chevalier, Gérard
Chevreau, Didier
Chiheb, Sammy
Chipon, Thiéry
Choulot, Michel
Chrétien, David
Christin, Laurent
Chudy, Christophe
Ciabrini, Michel
Cisowski, Alain
Clain, Norbert
Clarisse, Franck
Claude, Rachel
Claudel, Laurent
Claudon, Francis
Clayeux, Christopher
Clech, Jérome
Clement, Éric
Clement, Franck
Cluzeau-Chesnoy, Julien
Coat, Ronan
Cocault, Vincent
Cœllo, Christian
Coll Ramis, Michel
Collenne, Jérôme
Collin, Stéphane
Collomb, Philippe
Colmagro, Ghislain
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10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 194
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Colombani, Jacques
Colombet, Karim
Combes, Bernard
Common, Hélène
Condomines, Nathan
Conort, Christian
Conte, Jean-Michel
Cordier, Sébastien
Corouge, Vincent
Corsetti, Luigi
Coste, Didier
Costeux, Maxime
Cosyns, Christine
Cottez, Adrien
Couderc, Christian
Coueslan, René
Coulon, Alain
Courbette, Sylvain
Courivaud, Francis
Courteille, Éric
Cousin, Jonathan
Cousin, Sylvain
Cousseau, Christophe
Coutant, Aurélien
Couturier, René
Couvez, Bruno
Craman, Patrice
Crespel, Jacques
Cristiano, Jean-Yves
Crunchant, Fabrice
Curien, Philip
Curnillon, Éric
Cwiek, Pascal
Da Fonseca, Jacques
Daguet, Olivier
Dailloux, Florent
Dalla-Muta, Yannick
Dalmasso, Christopher
Damoiseau, Éric
Danet, Vincent
Dang, Tri
Danieau, Alexandre
Dantzer, Jean-Marc
Dasilva, Olivier
Dasquié, Philippe
Daum, Laurent
David, Fabrice
Nigend : 110708
Nigend : 166321
Nigend : 128988
Nigend : 232253
Nigend : 320528
Nigend : 106379
Nigend : 159277
Nigend : 199913
Nigend : 198412
Nigend : 120670
Nigend : 116604
Nigend : 228047
Nigend : 138694
Nigend : 241519
Nigend : 114441
Nigend : 209394
Nigend : 93189
Nigend : 231933
Nigend : 172132
Nigend : 127260
Nige nd : 235957
Nigend : 147011
Nigend : 144923
Nigend : 229224
Nigend : 104196
Nigend : 166915
Nigend : 119293
Nigend : 144267
Nigend : 146464
Nigend : 131374
Nigend : 241167
Nigend : 193126
Nigend : 109870
Nigend : 166486
Nigend : 106612
Nigend : 238544
Nigend : 184184
Nigend : 240821
Nigend : 150002
Nigend : 211651
Nigend : 301532
Nigend : 248252
Nigend : 121147
Nigend : 188850
Nigend : 117028
Nigend : 163003
Nigend : 120808
Numéro
Numéro
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8019825
5221117
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 195
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
David, Francois-Xavier
Nigend :
David, Sébastien
Nigend :
De Crevoisier Gouy
Nigend :
De Bellocq Feuquieres, Dominique
De Decker, Johan
Nigend :
De L’Estang Du Rusquec,
Nigend :
Vincent
De Oliveira, Armando
Nigend :
De Serres De Mesples, Benjamin Nigend :
Debard, Loïc
Nigend :
Deblanc, Benoit
Nigend :
Debout, Dominique
Nigend :
Debril, Mélanie
Nigend :
Debruyne, Pierre
Nigend :
Decorte, Olivier
Nigend :
Decovemacker, Laurent
Nigend :
Dehay, Michael
Nigend :
Dehornoy, Fabrice
Nigend :
Dehove, Florian
Nigend :
Delamarre, Vincent
Nigend :
Delanoy, Denis
Nigend :
Delaunois, Ludovic
Nigend :
Delcambre, Jérôme
Nigend :
Delort, Jean-Louis
Nigend :
Demain, Jean-Marie
Nigend :
Demaison, Gilles
Nigend :
Demange, Jean-Philippe
Nigend :
Demangel, Mathieu
Nigend :
Demaria, Frédéric
Nigend :
Demerval, Sébastien
Nigend :
Demezon, Grégoire
Nigend :
Denamur, Mélanie
Nigend :
Denis, Olivier
Nigend :
Denis, Philippe
Nigend :
Denis, Xavier
Nigend :
Depauw, François
Nigend :
Deregnaucourt, Ludovic
Nigend :
Derez, Thierry
Nigend :
Descarpentries, Henri
Nigend :
Desenclos, Benjamin
Nigend :
Despret, Charles-Édouard
Nigend :
Deurveilher, Elvis
Nigend :
Deveaux, Benoit
Nigend :
Dewilde, Guillaume
Nigend :
Dezeure, Thierry
Nigend :
Dhersin, Dimitri
Nigend :
Di Meo, Michael
Nigend :
230491
161955
114766
Numéro de livret de solde : 8085116
Numéro de livret de solde : 8018926
Numéro de livret de solde : 5191923
150520
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Numéro de livret de solde : 8008322
Numéro de livret de solde : 6625602
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Numéro
Numéro
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Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
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8055142
8061399
6033509
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 196
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Didaoui, Éric
Didelot, Antonin
Didier, Julien
Domecq, Albert
Dorlin, Hugo
Doucen, Arnaud
Doutouma, Damien
Doux, Florian
Drapier, Pauline
Drillat, Thierry
Droullé, Alain
du Hommet, Philippe
Du merle, Hugues
Duault, Olivier
Dubois, Valentin
Dubrulle, Jean-Hubert
Dubuc, Xavier
Dubuis, Samuel
Ducamp, Bertrand
Dufeil, Vincent
Duffour, Pascal
Duhalde, Jérémie
Duhamel, Henri
Duhayon, David
Duhoux, Vincent
Dulong De Rosnay, Henri
Dupas, Pierrick
Duport, Eddy
Dupré, Didier
Duquenoy, Alain
Durand, Alain
Durand, Gil
Durand, Guillaume
Durand, Julien
Durand, Pierre
Duros, Mathieu
Dusserre, Nicolas
Dutto, Lionel
Duwez, Philippe
Dvorsak, Gilles
Dziedzic, Frédéric
Eisenbarth, Yvain
Eléouet, Roland
Émile-Zola-Place, Guillaume
Engoué, Florent
Erceau, Jean-Michel
Ertzbischoff, Sébastien
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
Nigend :
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Nigend :
Nigend :
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Nigend :
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Nigend :
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Numéro
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10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 197
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Escalier, Thierry
Escande, Frédéric
Escot, Vanessa
Escouflaire, François
Espinal, Éric
Etavard, Kévin
Eternot, Pascal
Etienne, Jean-Pierre
Evenat, Jacques
Evrard, Jean-Marie
Fabry, Hervé
Fantin, Benoit
Fargere, Nicolas
Faure, Antoine
Favier, Jean-Michel
Fayzi, Khalid
Felez, Gilles
Félix, Julien
Féré, Ludovic
Ferran, Jean-Claude
Ferreira, Fabrice
Fillon, Christian
Fin, Philippe
Fiore, Jean-Marc
Flamand, Denis
Flaux, Thierry
Fleury, Antoine
Folgoas, Philippe
Fontaine, Éric
Formell, Francis
Foucart, Dominique
Fourcadet, Pierre
Fourcroy, Jean-François
Fradin, Richard
Fremaux, Éric
Frily, Fabian
Froment, Pascal
Fromentin, Cédric
Frycz, Frédéric
Fuchs, Fabien
Fugier, Jean-François
Gable, Dominique
Gaboriau, Pierre-Luc
Gadiolet, François
Gagliardi, Sylvain
Gagnaire, Didier
Galek, Cédric
Nigend :
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164181
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315300
143723
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248575
Numéro
Numéro
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8089649
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 198
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Gallardo, Benoît
Gallego, Cédric
Gallo, Sylvain
Gamblin, Jacques
Ganiou, Jean-Paul
Garcia, Marjorie
Garel, Marius
Garguilo, Gilles
Garibotti, Jean
Garrigues, Laurent
Gasnier, Christophe
Gastaud, Michaël
Gautier, Gérard
Gautier, Patrick
Gauvin, Pierre
Gazeaux, Julien
Gelis, Olivier
Genevès, Arthur
Gentili, Jérôme
Gentilucci, Michel
Geoffrin, Patrick
Georg, Marcel
Gerome, Yann
Gessant, Hervé
Giacobi, Gérald
Giboreau, Géraldine
Gibot, Franck
Gilibert, Christophe
Giorgi, Pascal
Girardet, Christian
Gitlaw, Yann
Godard, Christian
Gœpfert, Laurent
Golenia, Romain
Gomez, Aurélia
Gonzalez, Michel
Gosselin, Éric
Goubert, Yannick
Goumard, Pascal
Gousson, Fabrice
Granier, Johan
Gransard, Nathanaël
Gras, Adrien
Gravier, Cyrille
Gregoire, Pierre
Grellaud, Jean-Philippe
Grollet, Patricia
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8012266
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 199
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Gros, Sébastien
Grosskost, Philippe
Grunert, Christophe
Grzelak, Éric
Guebe, Dominique
Guenoun, Patrice
Gueorgiou, Thierry
Guérin, Gilles
Guglielmi, Philippe
Guilbert, Erik
Guillaud, Fabien
Guillaume, David
Guillaumot, Eric
Guillerault, Jean-Michel
Guillot, Didier
Guillout, Patrick
Guindon, Jean-Patrick
Guion, Philippe
Gully, Philippe
Halabura, Frédéric
Halm, Jean-Philippe
Halopeau, Fabrice
Hamba, Jean-Philippe
Hamy, Mario
Hannoy, Fabrice
Hardouin, James
Harle, Sylvain
Hattab, Karim
Haziza, Véronique
Hebert, Jérôme
Hebrard, Jacques
Hebras, Vincent
Henrio, Hervé
Hernandez Sanchez, Rodrigue
Hersent, Fabrice
Hervé, Jean-Pierre
Hervillard, Olivier
Heuline, Laurent
Hillion, Laurent
Hily, Stéphane
Hisler, Benjamin
Ho Yu Hin, Sébastien
Houel, Jean-Luc
Houot, Pascal
Houssaye, Christian
Hubart, Franck
Hubaud, Frédéric
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10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 200
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Hubert, Quentin
Huchot, Myriam
Hulmel, Laurent
Hurault, David
Hurtault, Pascal
Hussenot, Patrick
Imouche, Jérôme
Iopeti, Sébastien
Isambourg, Hervé
Istria, Tristan
Ithurry, Jean-Christophe
Jacquemard, Renaud
Jacques, Patrick
Jacquet, Olivier
Jacquot, Pierre
Jakubowski, Christophe
Jambou, Philippe
Jaouen, Wilfried
Jaries, Didier
Jarrassier, Jean-Philippe
Jaume, Sébastien
Jbouha, Isam
Jean, Pascal
Jeandel, Sébastien
Joannier, Alexandre
Joly, Sylvain
Josse, Grégory
Jouanolle, Didier
Jouniaux, Laurent
Jouy, Nicolas
Juin, Géraldine
Jullien, Ludovic
Julsonnet, Marc
Kaczor, Patrice
Kafanke, Alexandra
Kapp, Sandrine
Kaufmann, Laurent
Keck, Gilles
Kerautret, Julien
Kerbiquet, Arnaud
Kermarec, Raymond
Konieczny, Hervé
Kopacz, Thierry
Kormann, Rémi
Kosniewski, Nicolas
Koutchouk, Abdelhamid
Krantz, Jean-Claude
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10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 201
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
L’Helgoualc’H, Dominique
L’Héréec, Stéphane
Labbé, Bruno
Labbé, Michel
Labes, Jean
Labory, Florian
Lagarde, Christian
Lajeunesse, Philippe
Laloux, Cédric
Lambard, Damien
Lambert, Jean-Luc
Lambert, Jean-Paul
Lamothe, Benoît
Lamotte, Jean-Michel
Lamoureux, Bernard
Landais, Xavier
Langhinrichs, Frank
Langlois, Baptiste
Lannuzel, Christel
Larondelle, Grégory
Lartigue, Jacques
Lasgleyzes, Christophe
Latapie, Karine
Lauhea, Cynthia
Launay, Yoann
Laurent, Franck
Lauret, Michaël
Lavallée, Grégory
Lavergne, Régis
Le Bihan, Stéphane
Le Blay, Jacques
Le Callonnec, Stéphane
Le Clainche, Benoît
Le Clec’H, Tanguy
Le Corvec, Jérôme
Le Crouhennec, Philippe
Le Dréau, Christophe
Le Faou, Thierry
Le Faucheur, Johann
Le Gall, François-René
Le Gentil, Laurent
Le Gleuher, Sylvère
Le Guillou, Nicolas
Le Hen, Thierry
Le Houerou, Eric
Le Lay, Éric
Le Manchec, Jacques
Nigend :
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140984
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10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 202
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Le Mestric, Hervé
Le Nevanen, Éric
Le Neve, Loïc
Le Quec, Michel
Le Tirant, David
Lebouc, Ludovic
Lebrun, Pierre
Leclercq, Jérôme
Leclercq, Philippe
Lecomte, Arnaud
Lecomte, Christophe
Lecomte, Olivier
Ledig, Gérard
Lefauconnier, Philippe
Legrand, Christophe
Legrand, Éric
Legroux, Germain
Lejault, Philippe
Leleu, Gilles
Leloup, Olivier
Lemarquis, Damien
Lemay, Lionel
Lercier, Virginie
Lesle, Frédéric
Leneutre, Bruno
Leprovost, Christopher
Leroux, Antoine
Lesne, Bernard
Lestrade, Vincent
Levoyer, Thierry
Liétard, Jean-François
Lionnet, Maud
Litaize, Fabrice
Locatelli, Emmanuel
Loir, Ludovic
Loirat, Sylvie
Loison, Christophe
Lopez, Fernando
Lorinquer, Thierry
Lorre, Joël
Lostetter, Éric
Louchouarn, Erwan
Louvet, Bruno
Lozac’H, Michel
Luboinski, Lionel
Lugnot, Anne-sophie
Lumineau, François
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10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 203
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Lupfer, Fabien
Lutton, Dominique
Luzi, Patrick
Macaigne, Julien
Maccio, Éric
Macé, Bruno
Macioszek, Joël
Mademann, Cédric
Mahérault, Justine
Maheut, Damien
Mahoudeaux, Alain
Maïbeche, Chérif
Maintenay, Bruno
Maisonneuve, Xavier
Majet, Damien
Malard, Jean-Luc
Malesys, Sébastien
Maloubier, Alain
Malric, Thierry
Manceau, Julien
Mangin-Mange, Anthony
Manier, Pascal
Maniez, Pascal
Manin, Frédéric
Marc, Frédéric
Marchais, Julian
Marestin, Philippe
Marette, Christian
Mariaud, Denis
Marie, Olivier
Mariette, Stéphane
Marin, Xavier
Marmeys, Richard
Marque Sans, Thierry
Marsail, Mathieu
Martin, Jennifer
Martin, Pascal
Martin, Xavier
Martinez, Gilles
Martot, Virginie
Marty, Eddie
Marzi, Jean-Paul
Mas, Pascal
Masbou, Lionel
Massa, Alexandre
Massiot, Hervé
Matrat, Anthony
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10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 204
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Maurice, Olivier
Mayer, Axel
Maziere, Pascal
Medard, Olivier
Medici, Michel
Meister, Julien
Mélan, Thomas
Melin, Julien
Mendes, Carlos
Meneau, Christophe
Menevret, Moïse
Ménigot, Benoît
Menino, Daniel
Menoret, Michael
Mérat, Jean
Merivot, Jérémy
Merle, Sébastien
Merlin, Girel
Merlot, Thomas
Mian, Sylvain
Michard, Julien
Michel, Nicolas
Michel, Nicolas
Michou, Philippe
Miel, Frédéric
Miersman, Bruno
Miette, Éric
Migadel, Benoît
Mijuskovic, Damien
Millerioux, Gaëlle
Minier, Christian
Moitel, Hervé
Molina, Nicolas
Mollo, Jérémy
Monbelli-Valloire, Christophe
Monguillon, Dominique
Montardy, Romuald
Montay, Patrick
Monteil, Jean-Louis
Monteleone, Mickael
Montier, Éric
Morales, Nicolas
Morch, Michaël
Moreau, Bertrand
Moreau, Pierre
Moreaux, Bruno
Morel, Matthieu
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10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 205
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Morvan, Jean-Michel
Motteau, Rémy
Moulanier, Frédéric
Mounier, Gérard
Mouscaz, Philippe
Mouzanuik, Sabrina
Muller, Aurélien
Munier, Nicolas
Muravinskis, André
Myrthe, Serge
Nardelli, Frédéric
Natalini, Philippe
Navinel, Jacky
Neufcœur, Charlène
Nevers, Matthieu
Neyer, Xavier
Nicolas, Alain
Nicole, Lionel
Nicolle, Thomas
Niderleidner, Florian
Nizan, Pascal
Noailles, Ivan
Normand, François
Nunes, Frédéric
Odiot, Christophe
Olivier, Thierry
Olivo, Bruno
Ollivier, Romain
Ooghe, Fabien
Orset, Christophe
Ortega, Dimitri
Oswald, Renaud
Ousset, Michaël
Pacaud, Philippe
Pagé, Laurent
Paglia, Gilles
Pagnoux, Patrick
Palmeri, Vincent
Panisset, Nicolas
Pannier, Gaël
Paradis, Gilles
Pardo, Dominique
Paris, Jean-Marc
Parrain, Laurent
Pasquereau, Christophe
Passelande, Alain
Passier, Emilie
Nigend :
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10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 206
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Pattyn, Nicolas
Pauchet, Julien
Paulinski, Laurent
Paulus, Hervé
Pauty, Louis
Pavlovic, Sasa
Pawlik, Rodolphe
Payrar, Marc
Pédron, Christian
Pele, Christophe
Pelletier, Éric
Pelletier-Caton, François
Pelouze, Joël
Pepin, Yoann
Perdriel, Marc
Perdu, Franck
Perrin, Jérôme
Perrin, Laurent
Perrin, Yannick
Perruche, Christophe
Peset, Patrick
Pestel, Bernard
Pété, Rémi
Petillot, André
Petit, Sébastien
Petit-Pierre, Yann
Petresco, Michaël
Petry, Hervé
Pezza, Olivier
Picard, Éloïse
Pichard, Jérôme
Pichon, Jean-Luc
Picot, Emilie
Picq, Lilian
Pidoux, Alain
Pierre, Laurent
Pilard, Philippe
Piljean, Ludovic
Piton, François-Xavier
Pizzi, Christophe
Place, Alain
Plat, Jean-Michel
Plesel, Bruno
Plisson, Anthony
Pohu, Ludovic
Poirier, Gwenaëlle
Poirier-Coutansais, Bruno
Nigend :
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10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 207
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Poirot, Fabrice
Ponce, Franck
Ponchant, Jean-Jacques
Pons, Laurent
Porcher, Christophe
Poulet, Régis
Pourtet, Cédric
Prével, Baptiste
Prevent, Thierry
Prevost, Cédric
Priester, Olivier
Pringault, Aurélien
Prudent, Sebastien
Pujol, Christian
Pujol, Jérôme
Quaranta, André
Quenelle, Didier
Quenon, Laurent
Quinio, Bernard
Raballand, Sandy
Raffin, David
Raffy, Jean-Marc
Raimond, David
Raisonnier, Christophe
Ramel, Jean
Ramirez, Laurent
Rance, Frédéric
Raoul, Patrick
Raoux, Michel
Rauch, Charlène
Rault, Christophe
Rault, Sébastien
Ray, Marie
Raybier, Jean-Martin
Razafindranaly, Jacques
Récaborde Levêque, Béatrice
Reclik, David
Redel, Constant
Reffo, Olivier
Reijasse, Sébastien
Reiland, Jean-Philippe
Renard, Mickaël
Renault, Alain
Rességuier, Éric
Rey, Alfredo
Reynaert, Jean-Louis
Richard, Fabien
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10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 208
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Richard, Sonia
Rigoni, Éric
Ripaux, Nicolas
Ripoll, Bruno
Riviere, Gilles
Riviere, Thierry
Robert, Bruno
Robert, Guillaume
Robert, Hervé
Robert, Stéphane
Robic, Yann
Robin, Christophe
Robin, Franck
Robin, Line
Robinot, Renaud
Roble, Frédéric
Rochat, Emmanuel
Roche, Clément
Rodriguez, Stéphane
Rolland, Yves-Marie
Ronecker, Sophie
Ropital, Rudy
Rosa, Pierre-Antoine
Rosello, Sébastien
Rosier, Melody
Rosoli, Christophe
Rossier, Laurent
Rotat, Philippe
Rouet, Christophe
Rougegré, Sébastien
Rousseau, François
Rousseau, Hugues
Royo, Christophe
Ruffo, Emmanuel
Saint Leger, Antoine
Saint-Cyr, Cédric
Salard, Laurent
Salata, David
Sallé, Camille
Salvador, Benjamin
Samson, Jean-Michel
Samson, Nancy
Sanner, Dominique
Sannier, Michel
Sarfati, Benoît
Sarraille, Jean-Philippe
Sautereau, Michel
Nigend :
Nigend :
Nigend :
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Numéro
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5234340
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10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 209
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Sauvage, Jean-Baptiste
Schlaflang, Thierry
Schmitt, Pierre
Schwartz, David
Scotte, Thomas
Sebah, Philippe
Séghir, Kévin
Sergent, Cédric
Sergent, Jean-Yves
Sergent, Michael
Seys, Fabien
Siguier, Jean-Christian
Silvestre, Christophe
Simon, Fabien
Sirieix, Laurent
Skoczylas, Frédéric
Smitter, Alain
Soffner, Franz
Soirat, Gilles
Sollier, Stéphane
Sorin, Christophe
Soton, Philippe
Souchon, Frédéric
Soulet, Jérôme
Spalart, Pierre
Spiegel, Georges
Steinmetz, Philippe
Stephan, Stéphane
Stordair, Cédric
Strzelczyk, Patrick
Szarazi, Alexandre
Taffin, Michel
Tallet, Christian
Tanjon, Christophe
Tastard, Jean-Philippe
Tauzin, Xavier
Techer, Michael
Terrier, François
Thizy, Laurent
Thomas, Elysé
Thomas, Sébastien
Thomine, Cyrille
Thomy, Philippe
Thuillier, Nicolas
Tiboni, Nicolas
Tillmann, Cédric
Tinarelli, Thomas
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10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 210
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Tissier, Jean-Paul
Tobelem, Matthieu
Todisco, Florence
Tolikoli, Xavier
Tomczyk, Christophe
Tosello, Valérie
Totain, Pierre-Olivier
Tottoli, Rémy
Touchais, Frantz
Tourat, Jean-Michel
Touron, Patrick
Touze, Pascal
Traber, Daniel
Tranchefort, Sébastien
Treguier, Laure
Treville, Jean
Tripier, Denis
Trives, Stéphane
Trœsch, Guillaume
Trouchaud, Pierrick
Troussier, Romuald
Tudela-Girau, Jérôme
Tuppi, Julien
Turpin, Dominique
Vagnier, Rémi
Valade, Bertrand
Valette, Kevin
Valynseele, Jean-François
Van Blitz, Grégory
Vanario, Wilfried
Vandoit, Bruno
Vaquette, William
Varetz, Christophe
Vary, Emmanuel
Vasselon, Frédéric
Vassenet, Jérôme
Vasseur, Pascal
Vennet, Serge
Venturi, Bertrand
Verdeil, Alexandre
Vergine, Pierre
Vernier, Philippe
Viaud, Jérôme
Vieille, Mickaël
Vienne, Cédric
Villaséque, Jérôme
Villeron, Olivier
Nigend :
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10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 211
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Violo, Béatrice
Vire, Philippe
Visconti, Laurent
Vivier, Laurent
Vrel, Clément
Wable, Jean-Noël
Wambre, Éric
Wantiez, Jean-Pierre
Watrelos, Eddy
Watrin, Willy
Wattrelot, Emmanuel
Weiss, Stéphane
Wendler, Guillaume
Wenker, Alexandre
Wieczorek, Loïc
Witte, David
Woillard, Thierry
Wolski, Jean-Christophe
Worthmann, Bruno
Wuillaume, Julien
Wujciak, Hervé
Yœsle, Jean-Philippe
Youm, Issa
Yvrard, Yoann
Zanieri, Alexandre
Zerguine, Gaël
Zymek, Christophe
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10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 212
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
égion de gendarmerie d’Île-de-France
R
et gendarmerie pour la zone
de défense et de sécurité de Paris
_____
Décision no 50302 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général de la région de gendarmerie d’Île-de-France
NOR : IOCJ1204695S
Le commandant de la région de gendarmerie d’Île-de-France et de la gendarmerie pour la zone de défense et
de sécurité de Paris,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers
de gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 180677 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128625S),
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 :
Hervé, Antoine
Nigend : 158 937
Numéro de livret de solde : 8 016 243
Hornois, Robert
Nigend : 134 903
Numéro de livret de solde : 5 312 036
Serot, Patrick
Nigend : 144 220
Numéro de livret de solde : 8 002 992
Mattei, Jean-Christophe
Nigend : 150 572
Numéro de livret de solde : 8 008 375
Boucher, Stéphane
Nigend : 151 741
Numéro de livret de solde : 8 009 813
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Cuvelé, Cyril
Nigend : 154 037
Numéro de livret de solde : 8 011 830
Batard, Emmanuel
Nigend : 153 916
Numéro de livret de solde : 8 011 706
Baudin, Jean-Marc
Nigend : 140 351
Numéro de livret de solde : 5 281 707
Brebion, Christophe
Nigend : 149 751
Numéro de livret de solde : 8 007 420
Jalicot, Christophe
Nigend : 165 226
Numéro de livret de solde : 8 021 844
Curtil, Céline
Nigend : 158 536
Numéro de livret de solde : 8 015 917
Pouillade-Magique, Céline
Nigend : 175 638
Numéro de livret de solde : 8 028 586
Rault, Sylvain
Nigend : 186 122
Numéro de livret de solde : 8 038 174
Valcarce, Emmanuel
Nigend : 168 023
Numéro de livret de solde : 8 024 195
Renart, Pierre
Nigend : 117 177
Numéro de livret de solde : 5 220 003
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Cartabbi, Thierry
Nigend : 174 198
Numéro de livret de solde : 8 027 912
Goussard, Jérôme
Nigend : 197 242
Numéro de livret de solde : 8 048 410
Chantreuil, Mélanie
Nigend : 201 296
Numéro de livret de solde : 8 057 212
Heno, Michael
Nigend : 198 498
Numéro de livret de solde : 8 053 573
Couret, Philippe
Nigend : 103 562
Numéro de livret de solde : 5 125 650
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 213
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Beausergent, Laurent
Briard, Jérôme
Delautel, Xavier
Alexandre, Stéphane
Michel, Joeffray
Fronton, Pascal
Dubois, Jessica
Calmettes, Christophe
Nigend : 167 500
Nigend : 166 939
Nigend : 185 228
Nigend : 161 450
Nigend : 211 395
Nigend : 173 432
Nigend : 203 616
Nigend : 195 645
Numéro
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solde : 8 023 305
solde : 8 023 111
solde : 8 035 363
solde : 8 018 500
solde : 8 063 445
solde : 8 034 761
solde : 8 059 051
solde : 8 048 194
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Yagouni, Florence
Nigend : 206 577
Numéro de livret de solde : 8 060 248
Chane-Koune, Audrey
Nigend : 209 850
Numéro de livret de solde : 8 065 270
Martin, José
Nigend : 169 983
Numéro de livret de solde : 8 025 458
Pochelu, Ramuntxo
Nigend : 171 715
Numéro de livret de solde : 8 032 032
Vallienne, Pierre
Nigend : 153 503
Numéro de livret de solde : 8 011 497
Dumont, Benjamin
Nigend : 194 359
Numéro de livret de solde : 8 047 831
Verriere, Laurent
Nigend : 172 101
Numéro de livret de solde : 8 027 391
Pilatre, Laurent
Nigend : 172 206
Numéro de livret de solde : 8 027 281
Fait le 10 mai 2012.
Le général de corps d’armée,
commandant la région de gendarmerie d’Île-de-France
et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris,
Denis Favier
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 214
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Région de gendarmerie d’Île-de-France
et gendarmerie pour la zone de défense
et de sécurité de Paris
_____
Décision no 50386 du 10 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris
NOR : IOCJ1204696S
Le commandant de la région de gendarmerie d’Île-de-France et de la gendarmerie pour la zone de défense et
de sécurité de Paris,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers
de gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 180680 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128628S),
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 :
Lameth, René
Nigend : 127 188
Numéro de livret de solde : 5 280 143
Guillemaud, Christophe
Nigend : 143 203
Numéro de livret de solde : 8 002 572
Garcia, Philippe
Nigend : 152 841
Numéro de livret de solde : 5 273 660
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Helvin, Christophe
Nigend : 111 723
Numéro de livret de solde : 5 186 769
Danielczak, Alain
Nigend : 113 958
Numéro de livret de solde : 5 191 629
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Guillemot De Liniers, Guillaume Nigend : 178 685
Numéro de livret de solde : 8 037 088
Cols Boada, Pierre
Nigend : 190 587
Numéro de livret de solde : 8 038 928
Fabre, Éric
Nigend : 184 705
Numéro de livret de solde : 8 034 229
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Loferne, Armel
Nigend : 217 605
Numéro de livret de solde : 8 064 565
Lemesle, Frédéric
Nigend : 193 998
Numéro de livret de solde : 8 053 908
Gil, Yohan
Nigend : 234 686
Numéro de livret de solde : 8 086 522
Poiraudeau, Mathieu
Nigend : 211 105
Numéro de livret de solde : 8 066 081
Fait le 10 mai 2012.
Le général de corps d’armée,
commandant la région de gendarmerie d’Île-de-France
et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris,
Denis Favier
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 215
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Région de gendarmerie
d’Auvergne
_____
Décision no 13041 du 11 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général de la région de gendarmerie d’Auvergne
NOR : IOCJ1204713S
Le commandant de la région de gendarmerie d’Auvergne,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers
de gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 33489 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128652S),
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 :
Diot, Stéphane
Nigend : 136 871
Numéro de livret de solde : 5 322 727
Laborie, Joël
Nigend : 113 103
Numéro de livret de solde : 5 189 345
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Blanc, David
Nigend : 176 335
Numéro de livret de solde : 8 028 708
Heudron, Vincent
Nigend : 168 316
Numéro de livret de solde : 8 023 752
Landais, Xavier
Nigend : 168 452
Numéro de livret de solde : 8 024 266
Dias-Caetano, Thierry
Nigend : 131 242
Numéro de livret de solde : 5 294 028
Eymere, Philippe
Nigend : 134 249
Numéro de livret de solde : 5 310 768
Vaillant, Éric
Nigend : 144 068
Numéro de livret de solde : 8 002 984
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Estoup, Patrice
Nigend : 165 550
Numéro de livret de solde : 8 022 132
Gallego, Johann
Nigend : 168 439
Numéro de livret de solde : 8 024 252
Porte, Virginie
Nigend : 165 792
Numéro de livret de solde : 8 027 072
Gilles, Nicolas
Nigend : 153 567
Numéro de livret de solde : 8 011 140
Noziere, Cécile
Nigend : 193 898
Numéro de livret de solde : 8 047 681
Chaussenot, Dominique
Nigend : 217 939
Numéro de livret de solde : 8 064 766
Brugoux, Patrick
Nigend : 125 078
Numéro de livret de solde : 5 279 618
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 216
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Fayolle, Patrick
Nigend : 208 794
Numéro de livret de solde : 8 062 407
Gardès, Lionel
Nigend : 155 293
Numéro de livret de solde : 8 012 837
Cremont, Sébastien
Nigend : 171 039
Numéro de livret de solde : 8 026 627
Fait le 11 mai 2012.
Le colonel,
commandant la région de gendarmerie d’Auvergne,
Éric-Pierre Molowa
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 217
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Région de gendarmerie
d’Alsace
_____
Décision no 9855 du 14 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général de la région de gendarmerie d’Alsace
NOR : IOCJ1204721S
Le commandant de la région de gendarmerie d’Alsace,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers
de gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 25661 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128660S),
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 :
Tonietto, Jean-Luc
Nigend : 123 918
Numéro de livret de solde : 5 243 637
Burger, Marc
Nigend : 126 795
Numéro de livret de solde : 5 279 317
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Mazelin, Thierry
Nigend : 143 511
Numéro de livret de solde : 5 272 532
Beck, Christophe
Nigend : 148 423
Numéro de livret de solde : 8 006 804
Raymond, Pascal
Nigend : 120 869
Numéro de livret de solde : 5 221 167
Isinger, Fabien
Nigend : 139 605
Numéro de livret de solde : 8 000 233
Maestri, Gilles
Nigend : 149 563
Numéro de livret de solde : 8 007 367
Lamare, Michel
Nigend : 158 672
Numéro de livret de solde : 8 015 944
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Vogt, David
Nigend : 193 662
Numéro de livret de solde : 8 047 608
Biache, Pascal
Nigend : 158 518
Numéro de livret de solde : 8 015 809
Politano, Michel
Nigend : 183 289
Numéro de livret de solde : 8 033 975
Siat, Frédéric
Nigend : 188 071
Numéro de livret de solde : 8 038 466
Bajada, Grégory
Nigend : 162 982
Numéro de livret de solde : 8 019 804
Lodwitz, Benoît
Nigend : 138 155
Numéro de livret de solde : 5 281 942
Niderlender, Pascal
Nigend : 170 379
Numéro de livret de solde : 8 025 769
Engelmann, François
Nigend : 155 433
Numéro de livret de solde : 8 013 121
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 218
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Giorgetti, Chris
Nigend : 232 245
Numéro de livret de solde : 8 085 459
Hauck, Jessica
Nigend : 233 198
Numéro de livret de solde : 8 085 831
Thiry, Pierre-Alain
Nigend : 183 697
Numéro de livret de solde : 8 030 936
Fait le 14 mai 2012.
Le colonel,
commandant la région de gendarmerie d’Alsace,
Jean-Thierry Daumont
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 219
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Région de gendarmerie
de Nord - Pas-de-Calais
et gendarmerie pour la zone de défense
et de sécurité Nord
_____
Décision no 23411 du 14 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général de la région de gendarmerie de Nord - Pas-de-Calais
NOR : IOCJ1204726S
Le commandant de la région de gendarmerie de Nord - Pas-de-Calais et de la gendarmerie pour la zone de défense
et de sécurité Nord,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers
de gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 65387 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128664S),
Décide :
Article 1er
L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juin 2012 :
Gournay, Éric
Nigend : 113 398
Numéro de livret de solde : 5 205 884
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Pouplard, Jérôme
Nigend : 158 336
Numéro de livret de solde : 8 015 779
Bonnesoeur, Laurent
Nigend : 153 924
Numéro de livret de solde : 8 011 714
Frappart, Laurent
Nigend : 165 554
Numéro de livret de solde : 8 022 135
Gengembre, Christophe
Nigend : 145 190
Numéro de livret de solde : 8 003 930
Bienaimé, Jean-Claude
Nigend : 127 021
Numéro de livret de solde : 5 280 615
Fontaine, Christophe
Nigend : 161 852
Numéro de livret de solde : 8 018 828
Copin, Philippe
Nigend : 153 937
Numéro de livret de solde : 8 011 727
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Leonard, Thomas
Nigend : 192 951
Numéro de livret de solde : 8 047 281
Grimonprez, Nicolas
Nigend : 188 499
Numéro de livret de solde : 8 045 492
Routier, Maxence
Nigend : 187 244
Numéro de livret de solde : 8 038 374
Nivelet, Nicolas
Nigend : 190 807
Numéro de livret de solde : 8 043 656
Dufour, Thierry
Nigend : 168 069
Numéro de livret de solde : 8 023 937
Matha, Alexandre
Nigend : 188 610
Numéro de livret de solde : 8 038 759
Santy, Grégory
Nigend : 138 977
Numéro de livret de solde : 5 323 391
Joachim, Yannick
Nigend : 161 134
Numéro de livret de solde : 8 018 248
Boucard, Sylvie
Nigend : 135 203
Numéro de livret de solde : 5 312 227
Philippot, Benjamin
Nigend : 188 724
Numéro de livret de solde : 8 038 769
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 220
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Caron, Maïté
Nigend : 239 097
Numéro de livret de solde : 8 087 335
Rousseau, David
Nigend : 238 575
Numéro de livret de solde : 8 087 023
Normand, Hélène
Nigend : 237 780
Numéro de livret de solde : 8 086 970
Fait le 14 mai 2012.
Le général de division,
commandant la région de gendarmerie de Nord - Pas-de-Calais
et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord,
Patrick Lunet
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 221
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Région de gendarmerie
de Nord - Pas-de-Calais
et gendarmerie pour la zone de défense
et de sécurité Nord
_____
Décision no 23413 du 14 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord
NOR : IOCJ1204728S
Le commandant de la région de gendarmerie de Nord - Pas-de-Calais et de la gendarmerie pour la zone de défense
et de sécurité Nord,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers
de gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 65388 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128665S),
Décide :
Article 1er
L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juin 2012 :
Roger, Hervé
Nigend : 138 595
Numéro de livret de solde : 5 324 888
Article 2
L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Le Malicot, Christian
Nigend : 126 308
Numéro de livret de solde : 5 279 245
Article 3
Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Hugot, Lionel
Nigend : 188 209
Numéro de livret de solde : 8 038 647
Article 4
Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Nempont, Nicolas
Nigend : 225 000
Numéro de livret de solde : 8 084 084
Fait le 14 mai 2012.
Le général de division,
commandant la région de gendarmerie de Nord -Pas-de-Calais
et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord,
Patrick Lunet
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 222
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Région de gendarmerie d’Aquitaine
et gendarmerie pour la zone de défense
et de sécurité Sud-Ouest
_____
Décision no 45903 du 14 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général de la région de gendarmerie d’Aquitaine
NOR : IOCJ1204700S
Le commandant de la région de gendarmerie d’Aquitaine et de la gendarmerie pour la zone de défense et de
sécurité Sud-Ouest,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 139204 du 15 décembre 2011 (NOR : IOCJ1133948S),
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 :
Reclus, Alain
Nigend : 107 202
Numéro de livret de solde : 5 172 781
Salmon, Thierry
Nigend : 117 709
Numéro de livret de solde : 5 241 877
Flament, Christian
Nigend : 125 608
Numéro de livret de solde : 5 244 431
Curvalle, Thierry
Nigend : 132 537
Numéro de livret de solde : 5 294 622
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Michelet, Sylvain
Nigend : 137 992
Numéro de livret de solde : 5 322 169
Rousselle, Michel
Nigend : 134 852
Numéro de livret de solde : 5 311 085
Morgnieux, Thierry
Nigend : 152 124
Numéro de livret de solde : 8 010 072
Perromat, Serge
Nigend : 108 389
Numéro de livret de solde : 5 173 933
Palacio, Patrick
Nigend : 105 078
Numéro de livret de solde : 5 127 074
Lanoire, Dominique
Nigend : 145 073
Numéro de livret de solde : 5 187 179
Walas, Pascal
Nigend : 148 988
Numéro de livret de solde : 8 006 699
Truquez, Christophe
Nigend : 165 130
Numéro de livret de solde : 8 021 690
Mercier, Laurent
Nigend : 159 071
Numéro de livret de solde : 8 016 371
Raynal, Philippe
Nigend : 148 768
Numéro de livret de solde : 8 006 575
Guipet, Daniel
Nigend : 132 401
Numéro de livret de solde : 5 295 552
Grégoire, Stéphane
Nigend : 149 167
Numéro de livret de solde : 8 006 736
Vigneron, Pascal
Nigend : 122 806
Numéro de livret de solde : 5 243 899
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Batailley, Thierry
Nigend : 151 732
Numéro de livret de solde : 8 009 803
Gravot, Samuel
Nigend : 187 189
Numéro de livret de solde : 8 038 333
Descharmes, Angélique
Nigend : 174 645
Numéro de livret de solde : 8 028 230
Riviere, Stéphane
Nigend : 171 582
Numéro de livret de solde : 8 032 035
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 223
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Pasquet-Berdot, Clément
Labory, Pascal
Spatarakis, Thierry
Maucoronel, Nicolas
Maguis, Laurent
Sauvage, Ludovic
Boughir, Philippe
Masbou, Sébastien
Nigend : 213 530
Nigend : 117 296
Nigend : 101 480
Nigend : 174 152
Nigend : 131 051
Nigend : 174 589
Nigend : 193 064
Nigend : 217 476
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
Numéro
de
de
de
de
de
de
de
de
livret
livret
livret
livret
livret
livret
livret
livret
de
de
de
de
de
de
de
de
solde : 8 063 818
solde : 5 219 157
solde : 5 125 370
solde : 8 034 822
solde : 5 283 260
solde : 8 028 088
solde : 8 047 332
solde : 8 064 448
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Lespielle, Davy
Nigend : 195 513
Numéro de livret de solde : 8 048 037
Petit, Manuel
Nigend : 164 865
Numéro de livret de solde : 8 021 484
D’Andrade Da Silva, Nigend : 159 467
Numéro de livret de solde : 8 016 728
Manuel-Carlos
Sabatey, Éric
Nigend : 211 323
Numéro de livret de solde : 8 063 219
Fait le 14 mai 2012.
Le général de division,
commandant la région de gendarmerie d’Aquitaine
et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest,
Bruno Carmichael
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 224
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Région de gendarmerie de Bourgogne
_____
Décision no 16780 du 15 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général de la région de gendarmerie de Bourgogne
NOR : IOCJ1204724S
Le commandant de la région de gendarmerie de Bourgogne,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 447/4 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128662S),
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 :
Guillaumot, Thierry
Nigend : 132 953
Numéro de livret de solde : 5 295 830
Gérard, Christophe
Nigend : 155 294
Numéro de livret de solde : 8 012 738
Oreillard, Emmanuel
Nigend : 149 573
Numéro de livret de solde : 8 007 372
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Jacquey, Gilles
Nigend : 164 475
Numéro de livret de solde :
Lagoutte, Pierre
Nigend : 181 404
Numéro de livret de solde :
Dardaine, Laurent
Nigend : 161 837
Numéro de livret de solde :
Henriot, Jean-Marie
Nigend : 154 291
Numéro de livret de solde :
Rodier, Christophe
Nigend : 142 372
Numéro de livret de solde :
Bertin, Philippe
Nigend : 114 958
Numéro de livret de solde :
Tourbier, David
Nigend : 161 921
Numéro de livret de solde :
De Lamper, Emmanuel
Nigend : 155 273
Numéro de livret de solde :
Barbosa Da Silva, Serge
Nigend : 157 676
Numéro de livret de solde :
Durcaze, Alain
Nigend : 140 848
Numéro de livret de solde :
Clement, Pascal
Nigend : 123 721
Numéro de livret de solde :
8 020 948
8 030 147
8 018 815
8 012 140
5 281 984
5 218 505
8 018 892
8 012 728
8 015 105
8 001 029
5 270 040
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Michot, Geoffrey
Nigend : 219 210
Numéro de livret de solde : 8 071 817
Chillon, Hervé Nigend : 175 274
Numéro de livret de solde : 8 033 422
Audeau, Stéphane
Nigend : 200 841
Numéro de livret de solde : 8 044 057
Motteau, Rémy
Nigend : 212 239
Numéro de livret de solde : 6 565 225
Pacaud, Delphine
Nigend : 179 377
Numéro de livret de solde : 8 029 578
Boudias, Gilles
Nigend : 175 869
Numéro de livret de solde : 8 033 624
Jarno, Olivier
Nigend : 169 687
Numéro de livret de solde : 8 025 235
Bettle, Paul-Émile
Nigend : 179 234
Numéro de livret de solde : 8 037 830
Platarets, Jonathan
Nigend : 203 676
Numéro de livret de solde : 8 059 076
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 225
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Chanliau, Stéfan
Faure, Olivier
Nigend : 175 440
Nigend : 168 735
Numéro de livret de solde : 8 028 414
Numéro de livret de solde : 8 024 534
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Langilier, Katty Nigend : 194 211
Numéro de livret de solde : 8 053 840
Tourteau, Sylvain
Nigend : 208 561
Numéro de livret de solde : 8 062 587
Héraud, Jean-Luc
Nigend : 128 419
Numéro de livret de solde : 5 280 346
Fait le 15 mai 2012.
Le colonel,
commandant la région de gendarmerie de Bourgogne,
Jean-Luc Favier
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 226
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Région de gendarmerie
de Bourgogne
_____
Décision no 16785 du 15 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général de la région de gendarmerie de Bourgogne
NOR : IOCJ1223241S
Le commandant de la région de gendarmerie de Bourgogne,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié, portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 447/4 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1128662S),
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er mai 2012 :
Portrat, Dominique
Nigend : 146 283
Numéro de livret de solde : 8 004 575
Leuzy, Dominique
Nigend : 140 435
Numéro de livret de solde : 5 281 749
Calandras, Thierry
Nigend : 115 094
Numéro de livret de solde : 5 190 227
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2012 :
Vanoost, Bruno
Nigend : 153 753
Numéro de livret de solde : 8 011 692
Miché, Robert
Nigend : 126 205
Numéro de livret de solde : 5 279 013
Menigoz, Alexandra
Nigend : 151 182
Numéro de livret de solde : 8 014 476
Gabriot, Christophe
Nigend : 158 039
Numéro de livret de solde : 8 015 243
Vincent, Jean-Yves
Nigend : 156 672
Numéro de livret de solde : 8 014 195
Fernandes-Pedreiro, Christophe Nigend : 160 884
Numéro de livret de solde : 5 298 122
Constantin-David, Jean-Pierre Nigend : 108 367
Numéro de livret de solde : 5 150 984
Tondeur, François
Nigend : 113 904
Numéro de livret de solde : 5 187 160
Payot, Sandrine
Nigend : 138 726
Numéro de livret de solde : 5 324 677
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2012 :
Rama, Philippe
Nigend : 165 609
Numéro de livret de solde : 8 022 188
Fortrie, René
Nigend : 116 797
Numéro de livret de solde : 5 218 146
Citerne, André
Nigend : 176 349
Numéro de livret de solde : 8 028 723
Rozen, Sébastien
Nigend : 168 246
Numéro de livret de solde : 8 023 886
Gouhier, Jérôme
Nigend : 194 566
Numéro de livret de solde : 8 049 601
Ceneda, Sébastien
Nigend : 207 039
Numéro de livret de solde : 8 062 314
Roche, Patrice
Nigend : 188 278
Numéro de livret de solde : 8 038 686
Rinaldis, Frédéric
Nigend : 165 260
Numéro de livret de solde : 8 021 880
Leborgne, Marc
Nigend : 144 447
Numéro de livret de solde : 8 003 573
Roy, Bertrand
Nigend : 180 870
Numéro de livret de solde : 8 033 564
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 227
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2012 :
Leisen, Julien
Nigend : 225 625
Numéro de livret de solde : 8 084 208
Perderiset, Julien
Nigend : 220 258
Numéro de livret de solde : 8 083 414
Jossec, Julien
Nigend : 233 307
Numéro de livret de solde : 8 085 896
Article 5
La présente décision annule la décision no 12395 du 6 avril 2012 (NOR : IOCJ1204653S).
Fait le 15 mai 2012.
Le colonel,
commandant la région de gendarmerie de Bourgogne,
Jean-Luc Favier
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 228
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Direction générale
de la gendarmerie nationale
_____
Décision no 45343 du 17 mai 2012 portant promotion
de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « montagne »
NOR : INTJ1223481S
Le sous-directeur de la gestion du personnel,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 4 août 2010 modifié, relatif à la répartition des sous-officiers de gendarmerie par subdivision d’arme,
par branche ou par spécialité et fixant les branches et spécialités au sein desquelles l’avancement intervient de façon
distincte ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 118796 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1131576S),
Décide :
Article 1er
L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juin 2012 :
Le Nevé, Guy
Nigend : 154 762
Numéro de livret de solde : 8 012 348
Article 2
L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juin 201 2 :
Binet, Frédéric
Nigend : 165 525
Numéro de livret de solde : 8 022 107
Article 3
Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Lopez, Maximo
Nigend : 141 657
Numéro de livret de solde : 8 001 356
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Poirot, Christophe
Nigend : 220 967
Numéro de livret de solde : 8 073 126
Romain, Gilles
Nigend : 142 247
Numéro de livret de solde : 8 001 693
Fait le 17 mai 2012.
Le général,
sous-directeur de la gestion du personnel,
Thibault Morterol
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 229
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Direction générale
de la gendarmerie nationale
_____
Décision no 45427 du 17 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
de la spécialité « systèmes d’information et de communication »
NOR : INTJ1223483S
Le sous-directeur de la gestion du personnel,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 4 août 2010 modifié, relatif à la répartition des sous-officiers de gendarmerie par subdivision d’arme,
par branche ou par spécialité et fixant les branches et spécialités au sein desquelles l’avancement intervient de façon
distincte ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 118750 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1131572S),
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2012 :
Mougin, André
Nigend : 116 411
Numéro de livret de solde : 5 219 064
Prospero, Jean-Michel
Nigend : 127 529
Numéro de livret de solde : 5 280 882
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Marie, Wilfried
Nigend : 133 227
Numéro de livret de solde : 5 295 266
Gil, Carlos
Nigend : 165 060
Numéro de livret de solde : 8 021 746
Archimbaud, Didier
Nigend : 131 736
Numéro de livret de solde : 5 282 202
Macé, Jean-Michel
Nigend : 149 066
Numéro de livret de solde : 8 006 947
Boillet, Pascal
Nigend : 131 510
Numéro de livret de solde : 5 271 429
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Nolot, Jean-Baptiste
Nigend : 181 674
Numéro de livret de solde : 8 033 541
Lecuyer, Michael
Nigend : 181 368
Numéro de livret de solde : 8 030 153
Leroy, Sébastien
Nigend : 174 556
Numéro de livret de solde : 8 028 158
Fayolle, Michel
Nigend : 140 852
Numéro de livret de solde : 8 001 031
Article 4
Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Adrian, Olivier
Nigend : 198 157
Numéro de livret de solde : 8 056 012
Fait le 17 mai 2012.
Le général,
sous-directeur de la gestion du personnel,
Thibault Morterol
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 230
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Direction générale
de la gendarmerie
_____
Décision no 46690 du 17 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
de la spécialité « aéronautique – mécaniciens cellules et moteurs »
NOR : INTJ1223413S
Le sous-directeur de la gestion du personnel,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 4 août 2010 modifié, relatif à la répartition des sous-officiers de gendarmerie par subdivision d’arme,
par branche ou par spécialité et fixant les branches et spécialités au sein desquelles l’avancement intervient de façon
distincte ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 118799 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1131578S),
Décide :
Article 1er
L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Ganiou, Jean-Paul
Nigend : 157 727
Numéro de livret de solde : 5 304 135
Article 2
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Houillons, Hervé
Nigend : 232 254
Numéro de livret de solde : 6 574 332
Lambert, Gérald
Nigend : 143 493
Numéro de livret de solde : 5 226 542
Article 3
Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Hamaide, Thibaut
Nigend : 239 213
Numéro de livret de solde : 8 087 296
Fait le 17 mai 2012.
Le général,
sous-directeur de la gestion du personnel,
Thibault Morterol
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 231
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Direction générale
de la gendarmerie nationale
_____
Décision no 46695 du 17 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
de la spécialité « aéronautique – mécaniciens avionique »
NOR : INTJ1223424S
Le sous-directeur de la gestion du personnel,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 4 août 2010 modifié, relatif à la répartition des sous-officiers de gendarmerie par subdivision d’arme,
par branche ou par spécialité et fixant les branches et spécialités au sein desquelles l’avancement intervient de façon
distincte ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 118801 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1131580S),
Décide :
Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Vialle, Stéphane
Nigend : 217 926
Numéro de livret de solde : 6 551 315
Fait le 17 mai 2012.
Le général,
sous-directeur de la gestion du personnel,
Thibault Morterol
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 232
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Direction générale
de la gendarmerie nationale
_____
Décision no 46697 du 17 mai 2012 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
de la spécialité « aéronautique – pilotes »
NOR : INTJ1223358S
Le sous-directeur de la gestion du personnel,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 4 août 2010 modifié, relatif à la répartition des sous-officiers de gendarmerie par subdivision d’arme,
par branche ou par spécialité et fixant les branches et spécialités au sein desquelles l’avancement intervient de façon
distincte ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement
des sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 118797 du 2 décembre 2011 (NOR : IOCJ1131577S),
Décide :
Article 1er
L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juin 2012 :
Dubrulle, Jean-Hubert
Nigend : 139 208
Numéro de livret de solde : 5 211 618
Article 2
L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2012 :
Lamarre, Patrick
Nigend : 174 694
Numéro de livret de solde : 5 263 548
Article 3
Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juin 2012 :
Dubois, Régis
Nigend : 303 691
Numéro de livret de solde : 6 574 126
Article 4
Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2012 :
Bolle, Bertrand
Nigend : 309 905
Numéro de livret de solde : 6 611 647
Fait le 17 mai 2012.
Le général,
sous-directeur de la gestion du personnel,
Thibault MORTEROL
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 233
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_____
Direction générale
de la gendarmerie nationale
_____
Décision no 50270 du 30 mai 2012 portant nomination au grade d’aspirant
NOR : INTJ1224442S
Le sous-directeur de la gestion du personnel,
Vu le code de la défense, article L. 4131‑1 ;
Vu le décret no 2008-948 du 12 septembre 2008 relatif au grade d’aspirant ;
Vu le décret no 2008-955 du 12 septembre 2008 relatif aux volontariats militaires ;
Vu l’arrêté du 28 novembre 2008 fixant pour les volontaires dans les armées les titres et diplômes universitaires
exigés pour l’admission à l’un des cycles de formation conduisant à la nomination au grade d’aspirant,
Décide :
Les volontaires des armées servant au titre de la gendarmerie nationale du stage 05/12 dont le nom suit sont
nommés au grade d’aspirant à compter du 1er juin 2012 :
Alary, Jessica, Marie
Nigend : 342623
Barbier, John, Marcel, André
Nigend : 342652
Bourgeois, Loic
Nigend : 342656
Bouvot, Xavier, Eugène
Nigend : 342660
Brisseau, Adrien, Gilles, Louis, Bernard
Nigend : 342733
Bruyas, Véronique, Florence
Nigend : 342665
Claudepierre, Alexandra, Gertrude, Thérèse
Nigend : 342671
Collin, Guillaume
Nigend : 342674
Desprez, Aurélie, Virginie, Christine
Nigend : 342676
Gioudes, Anne-Sophie, Véronique, Audrey
Nigend : 342682
Grangié, Élodie
Nigend : 342687
Groussin, Adrien, Pierre, Valdeck
Nigend : 342686
Lacroix, Aurélien, Pierre, Maurice
Nigend : 342689
Landmann, Thomas, Benoit
Nigend : 342690
Lauret, Johan
Nigend : 342779
Le Roux, Maëva, Élodie
Nigend : 318323
Oury, Franck, Charles, Frédéric
Nigend : 342708
Patruno, Lorenzo, Tiziano
Nigend : 342709
Phocion, Marie, Laetitia
Nigend : 342739
Plouhinec, Jessica
Nigend : 342713
Quinsac, Jerome, Antoine, Henri, Pierre
Nigend : 342717
Vidal, Émilie, Isabelle, Bernadette, Sylvette
Nigend : 342725
Pour le ministre et par délégation :
Le colonel,
adjoint au sous-directeur de la gestion du personnel,
Olivier Gourtet
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 234
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Secrétariat général
haut fonctionnaire de défense
_____
Service du fonctionnaire de défense
_____
Circulaire du 9 mai 2012 relative à la sécurisation du cycle de vie
de la carte agent ministérielle
NOR : IOCK1207281C
Pièces jointes : – Glossaire ;
– Imprimé de création, suppression et modification d’autorités d’AEL et ADR ;
– Liste des visuels de la carte agent ministérielle ;
– Document de référence technique de la puce sans contact RFID ;
– Modèle de procès-verbal de destruction ;
– Modèles d’organigramme fonctionnel type ;
– Schémas des changements de situation d’agent.
Le préfet, secrétaire général, haut fonctionnaire de défense, aux destinataires in fine.
Dans le cadre du développement de l’administration électronique, le ministère de l’intérieur a décidé de doter
l’ensemble de ses agents, administratifs et policiers, d’une carte professionnelle sécurisée.
Cette carte d’identité professionnelle aura aussi pour usage l’identification et l’authentification de l’agent pour
les accès aux applications informatiques ainsi que de permettre le contrôle des accès aux bâtiments et sites. Elle
permettra, à terme, de signer électroniquement un courrier et de chiffrer la transmission d’un message.
Elle inclut des possibilités d’utilisation particulière, par exemple en matière de paiement dans un restaurant
administratif.
La gouvernance de ce dispositif nécessite une organisation et une gestion rigoureuses.
L’objectif de cette circulaire est de vous préciser les conditions de mise en œuvre de cette gouvernance et les
responsabilités qui en découlent tout au long du cycle de vie de la carte agent.
Michel Bart
Destinataires Monsieur le directeur de cabinet du ministre de l’intérieur, à l’attention de :
Monsieur le chef du bureau du cabinet du ministre chargé de l’outre-mer ;
Monsieur le chef du bureau des cabinets ;
Monsieur le préfet, secrétaire général, haut fonctionnaire de défense, à l’attention de :
Monsieur le directeur de la modernisation et de l’action territoriale ;
Monsieur le directeur des ressources humaines ;
Monsieur le directeur de l’évaluation, de la performance et des affaires financières et immobilières ;
Monsieur le directeur des systèmes d’information et de communication ;
Monsieur le délégué à l’information et la communication ;
Monsieur le chef du service de l’inspection générale de l’administration ;
Monsieur le directeur général de la police nationale ;
Monsieur le secrétaire général à l’immigration et à l’intégration ;
Monsieur le directeur général des collectivités locales ;
Monsieur le directeur général de la sécurité civile et de la gestion des crises ;
Monsieur le directeur des libertés publiques et des affaires juridiques ;
Monsieur le préfet de police, préfet de la zone de défense de Paris ;
Monsieur le délégué général à l’outre-mer ;
Mesdames et messieurs les préfets de zone de défense (métropole et DOM) ;
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Mesdames et messieurs les préfets délégués pour la sécurité et la défense ;
Mesdames et messieurs les préfets de région (métropole, et DOM) ;
Mesdames et messieurs les préfets de département (métropole et DOM).
Pour information
Monsieur le directeur général de la gendarmerie nationale.
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SOMMAIRE
I. – LA CARTE AGENT MINISTÉRIELLE
A. – Une
carte professionnelle multiservices
B. – Une
carte professionnelle sécurisée inscrite dans un corpus réglementaire et normalisé
C. – Les
caractéristiques techniques de la carte agent
D. – Les
certificats électroniques
E. – Les
usages liés à la carte agent ministérielle
II. – LES MODALITÉS D’ATTRIBUTION DE LA CARTE AGENT MINISTÉRIELLE
A. – Les
catégories d’agents concernés
B. – Les
sources d’information,
de la carte agent
DIALOGUE -ARPEGE,
à consulter pour l’attribution
C. – Les cartes agent délivrées
a) Les types de carte agent
b) Les différents visuels attachés à la carte agent
III. – LA GOUVERNANCE GÉNÉRALE DU DISPOSITIF CARTE AGENT MINISTÉRIELLE
A. – L’administration
générale du système à l’échelon national
B. – Les entités fonctionnelles
a) Les autorités d’enregistrement (AEL)
b) Les autorités de délivrance (ADR)
c) Les dispositions communes aux autorités d’enregistrement et de délivrance
C. – L’organisation de la gouvernance pour
a) Les entités administratives responsables
b) L’organigramme fonctionnel
c) Le règlement d’application de l’entité
chaque entité administrative
IV. – LES 6 ÉTAPES DU CYCLE DE VIE DE LA CARTE AGENT MINISTÉRIELLE
A. – La
commande de carte agent ministérielle
B. – L’acheminement
C. – La
délivrance de la carte agent ministérielle
D. – Les
procédures de renouvellement
E. – Le retrait
F. – La
de la carte agent ministérielle
de la carte agent ministérielle
perte ou le vol de la carte agent ministérielle
V. – LA GESTION DES AUTORISATIONS LIÉE AUX MOUVEMENTS DES AGENTS
A. – La
mobilité interne à une direction ou service
B. – La
mobilité entre directions ou services de l’administration centrale
C. – Les
mobilités entre administration centrale et déconcentrée
VI. – LA CHAÎNE DE SOUTIEN UTILISATEURS
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ANNEXES
Annexe
I . – Glossaire
Annexe II . – Imprimé de création, suppression et modification d’autorités d’AEL et ADR
Annexe III . – Liste des visuels de la carte agent ministérielle
Annexe IV . –Document de référence technique de la puce sans contact RFID
Annexe V . –Modèle de procès-verbal de destruction
Annexe VI . –Modèle d’organigramme fonctionnel type en administration centrale
Annexe VII . – Modèle d’organigramme fonctionnel type en administration territoriale
Annexe VIII . – Modèle d’organigramme fonctionnel type en direction de police (DDSP)
Annexe IX . – Schéma de changement de situation sans renouvellement de carte agent
Annexe X . – Schéma de changement de situation avec renouvellement de carte agent
Annexe XI . – Schéma de changement de situation avec retrait de la carte agent
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I. – LA CARTE AGENT MINISTÉRIELLE
A. – Une
carte professionnelle multiservices
À la fois carte professionnelle sécurisée, carte d’accès aux applications informatiques, carte d’accès aux bâtiments
et aux sites et carte permettant la gestion de services rendus (restauration collective), la carte agent constitue un outil
majeur de la sécurité des systèmes d’information.
La carte agent ministérielle est conçue comme un instrument d’identification et d’authentification de l’agent.
Les personnels de la gendarmerie nationale disposent, déjà, d’une carte professionnelle de même type, qui est
totalement compatible et interopérable avec la carte agent ministérielle et les nouveaux systèmes d’information du
ministère.
B. – Une
carte professionnelle sécurisée inscrite dans un corpus réglementaire et normalisé
La carte agent ministérielle s’inscrit dans le contexte réglementaire du référentiel général de sécurité (RGS) dont
les modalités sont fixées par le décret no 2010‑112 du 2 février 2010 pris pour l’application des articles 8, 10 et 12 de
l’ordonnance no 2005‑1516 du 8 décembre 2005 relative aux échanges électroniques entre les usagers et les autorités
administratives et entre les autorités administratives.
Le référentiel général de sécurité (RGS) fixe les règles à respecter pour assurer la sécurité des informations échangées
par voie électronique.
Il fonde les contraintes attachées à la demande, à la délivrance et à l’usage de la carte agent ministérielle.
C. – Les
caractéristiques techniques de la carte agent
Afin de réduire la contrefaçon, la carte agent est composée de plusieurs éléments résultant d’un processus complexe
de fabrication :
– Une puce à contact : assimilable à un coffre-fort contenant les certificats personnels d’authentification, de signature
et de confidentialité. La lecture de la puce à contact de la carte agent ne peut s’opérer que par l’utilisation du
lecteur « Xiring » validé par l’administration, à partir d’une station de travail.
– Une puce sans contact : permettant la gestion des accès aux bâtiments et aux sites.
– Une bande magnétique : permettant la gestion de services rendus (restauration collective...).
– Des sécurités sur la valeur faciale : dispositions s’inscrivant dans la lutte contre la fraude documentaire.
D. – Les
certificats électroniques
Les certificats électroniques contenus dans la carte agent sont des fichiers numériques permettant de valider le lien
entre une signature électronique et son signataire.
Les certificats électroniques permettent l’identification et l’authentification du porteur de la carte agent.
Les certificats électroniques permettent d’instaurer la confiance dans les échanges électroniques, grâce à :
– l’identification formelle d’un utilisateur (authentification) ;
– l’assurance de l’identité de l’émetteur d’un message électronique (signature) ;
– la protection de la confidentialité des informations échangées (chiffrement) ;
–un renforcement de l’imputabilité des actions effectuées et l’accroissement de la traçabilité des accès aux
applications les plus sensibles.
E. – Les
usages liés à la carte agent
La carte agent peut être utilisée, dès à présent, pour contrôler les accès aux bâtiments ou aux sites équipés d’un
système compatible.
Elle est également destinée à permettre l’accès aux applications informatiques :
– elle est déjà opérationnelle pour l’application du procès verbal électronique (PVe), de celle du plan de vidéoprotection de Paris (PVPP) et de l’application Chorus ;
– à court terme de futures applications, en cours de développement, seront accessibles à partir de la carte agent :
FAETON, AGDREF, AG1 bio ;
– elle permettra également la signature électronique et le chiffrement de la transmission des données ;
– son usage pourra être étendu à la gestion de services rendus, telle la restauration collective.
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II. – LES MODALITÉS D’ATTRIBUTION DE LA CARTE AGENT MINISTÉRIELLE
L’attribution d’une carte agent ministérielle nécessite que la personne concernée soit identifiée comme disposant
d’un statut ouvrant droit à sa délivrance.
Il est impératif de vérifier que l’agent ou la personne identifiée peut bénéficier d’une carte agent, comme carte
professionnelle pour les agents du ministère, comme carte d’identification et d’authentification pour les autres.
Pour tous les agents, l’ensemble des informations indispensables à la vérification de leur statut en vue de la délivrance
d’une carte agent, (état-civil, situation administrative ou statutaire, grade, affectation, statutaire, adresse du service),
sont détenues dans un référentiel unique ministériel : le référentiel des identités et des organisations (RIO).
Cette vérification incombe, sur instruction de sa hiérarchie, au responsable RH.
A. – Les
catégories d’agents concernés
La carte agent ministérielle est attribuée à tout agent du ministère, ou personne collaborant aux missions du
ministère, qui ont le statut requis pour cette délivrance :
– Les agents appartenant au ministère ;
– Les agents en mobilité au ministère ;
– La carte agent pourra être délivrée à des personnes identifiées comme collaborateurs occasionnels ;
– Les personnels attachés fonctionnellement au ministère (notamment les sapeurs-pompiers de la DGSCGC, de la
BSPP, les marins-pompiers de Marseille). Pour cette catégorie, la carte agent leur sera attribuée chaque fois que
l’autorité hiérarchique dont ils dépendent juge indispensable la délivrance d’une carte agent pour l’exercice de
leurs missions ;
– Tout agent n’appartenant pas à un corps géré par le ministère mais employé et rémunéré par le ministère de
l’intérieur, qu’il appartienne à la fonction publique d’État, territoriale, hospitalière ou de la ville de Paris ;
– Les personnels de la réserve civile de la DGPN (population non fonctionnaire de la police).
B. – Les
sources d’information à consulter, dialogue – arpège pour l’attribution
de la carte agent ministérielle
Le référentiel des identités et des organisations (RIO) : ce dernier est alimenté automatiquement par deux systèmes
d’information : Dialogue et Arpège.
En conséquence, les deux systèmes d’information Dialogue et Arpège doivent être impérativement actualisés en
temps réel par les gestionnaires RH.
Le RIO n’est pas un système d’information de ressources humaines : il n’est pas autorisé de créer un dossier dans
le RIO pour pallier le retard d’un dossier Dialogue ou Arpège.
Tout agent appartenant au ministère ou employé et rémunéré par le ministère de l’intérieur, qu’il appartienne à la
fonction publique d’État, territoriale, hospitalière ou de la ville de Paris, doit faire l’objet d’un dossier dans un des
deux systèmes d’information (Dialogue ou Arpège).
C’est le bureau de gestion RH de l’agent qui crée de toute pièce le dossier d’un nouvel arrivant ou qui en prend la
gestion dans l’hypothèse de l’arrivée d’un agent en mobilité, dans Dialogue ou Arpège.
C. – Les
cartes agent délivrées
a) Les types de carte agent
– La carte permanente destinée aux personnels œuvrant au sein du ministère pour une période supérieure à six
mois, et disposant d’un statut leur ouvrant droit à cette délivrance.
– La carte temporaire destinée :
– Aux personnels travaillant au sein du ministère pour une courte durée.
– Aux personnels du ministère ayant un besoin impératif de disposer d’une carte pour leur travail quotidien et ne
disposant pas d’une carte permanente pour l’une des deux raisons suivantes : attente d’une carte permanente
commandée ou carte invalidée.
– Aux personnels permanents du ministère quittant le ministère dans un délai de six mois.
Les certificats électroniques de la carte temporaire sont valables pour une durée de 3 mois et pourront être
renouvelés autant de fois que nécessaire.
Nota. – La carte temporaire ne peut pallier l’oubli par un agent de sa carte permanente à son domicile.
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b) Les différents visuels attachés à la carte agent
Des dispositions ont trait aux règles concernant la personnalisation des cartes.
Onze visuels différents ont été définis pour figurer sur la valeur faciale de la carte agent.
A : police nationale : policier actif
B : police nationale : adjoint de sécurité
D : agent des administrations parisiennes : préfecture de police
K : agent de surveillance de Paris : préfecture de police
L’attribution de ces quatre visuels à la carte agent des personnels concernés est faite de manière automatique, en
fonction des informations statutaires contenues dans le RIO et provenant pour la plupart des porteurs de Dialogue
et d’Arpège. Pour les personnels techniques et scientifiques de la police, le choix du visuel B est fait manuellement
par l’AEL.
F : corps préfectoral
I : hauts fonctionnaires
Seule l’AEL du bureau de gestion du corps préfectoral et des administrateurs civils (DMAT) peut attribuer ces
deux visuels.
J : cabinet du ministre
Attribution réservée aux seules AEL des bureaux des cabinets des ministres.
G : inspection générale de l’administration
Attribution réservée à la seule AEL de l’IGA.
C : personnel administratif et technique
E : personnel temporaire
H : externe
Ces trois derniers visuels sont attribués par les AEL de chaque entité administrative concernée.
III. – LA GOUVERNANCE GÉNÉRALE DU DISPOSITIF CARTE AGENT MINISTÉRIELLE
A. – L’administration
générale du système à l’échelon national
La sécurité globale du dispositif incombe au service du haut fonctionnaire de défense (SHFD).
Conformément au référentiel général de sécurité (RGS), l’initialisation du système à l’échelon central nécessite la
mise en place de « secrets » qui ont été confiés à des porteurs. Ces « secrets » constituent des éléments clés de la sécurité
du dispositif.
La section des réseaux sécurisés du SHFD assure la gestion nationale de ces « secrets ».
Les agents à qui ont été confiés ces « secrets » doivent les conserver en lieu sûr dans une armoire forte et s’assurer
régulièrement de leur présence. En cas de disparition, il y a lieu d’aviser sans délai le SHFD.
Annuellement, une revue de la présence de ces « secrets » sera organisée par le SHFD.
En cas de départ (mutation, retraite, départ du ministère, etc.), le porteur de « secret » (ou son responsable
hiérarchique) doit aviser le SHFD au plus tôt, et le cas échéant, lui remettre ce « secret ».
B. – Les
entités fonctionnelles
Il existe des entités fonctionnelles :
– Autorité d’enregistrement nationale (AEN) et autorité d’enregistrement locale (AEL) ;
– Autorité de délivrance nationale (ADN) et autorité de délivrance de rattachement (ADR).
Sous l’appellation « autorité » d’enregistrement ou de délivrance on désigne une fonction. Les agents qui assurent
cette fonction sont dénommés « opérateurs ». On emploie indifféremment la terminologie AEL ou opérateur, et la
terminologie ADR ou opérateur.
a) L’autorité d’enregistrement (AEL)
L’autorité d’enregistrement (AE) procède à la commande de la carte agent.
Il existe deux types d’AE :
– l’autorité d’enregistrement nationale ayant un périmètre de responsabilité général sur tout le ministère ;
– l’autorité d’enregistrement locale (AEL) ayant un périmètre de responsabilité limité à quelques services, qui a
pour principale mission de commander les cartes des agents qui font partie de son périmètre de responsabilité.
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L’autorité d’enregistrement local (AEL) dispose d’un périmètre de responsabilité, une adresse mail en « nom-duservice-ael@interieur.gouv.fr » et procède à la commande des cartes.
Pour exécuter ses commandes de cartes agent, l’opérateur d’autorité d’enregistrement local se repose sur :
DIALOGUE : données d’organisation et données personnelles ;
RIO : référentiel des identités et de l’organisation.
Il doit en outre procéder à la vérification des points essentiels suivants :
– Fiabilité des informations dans Dialogue : conformité des informations essentielles ;
– État civil ;
–Grade/corps ;
– Affectation en service d’affectation administrative (SAA) ou service d’affectation opérationnelle (SAO) ;
– Adresse des unités : livraison des cartes – courrier code ;
– Adresse mail en « prénom.nom@interieur.gouv.fr » ;
– Vérification dans le RIO : insertion de la photographie de l’agent.
b) L’autorité de délivrance
L’autorité de délivrance (AD) procède à la remise de la carte agent.
Il existe deux types d’AD :
– l’autorité de délivrance nationale ayant un périmètre de responsabilité général sur tout le ministère ;
– l’autorité de délivrance de rattachement (ADR) ayant un périmètre de responsabilité limité à quelques services
et qui a pour principale mission de délivrer les cartes aux agents qui sont dans son périmètre de responsabilité.
L’autorité de délivrance de rattachement (ADR) dispose d’un périmètre de responsabilité défini, d’une adresse mail
en « nom-du-service-adr@intérieur.gouv.fr », et procède à la délivrance des cartes agent.
L’opérateur d’autorité de délivrance de rattachement (ADR) :
– Réceptionne les colis de cartes ;
– Réceptionne les cartes dans l’application CARTES ;
– Initialise dans la puce à contact les certificats personnels de l’agent ;
– Présente les certificats à l’agent ;
– Imprime et signe le récépissé de délivrance ;
– Fait saisir les questions/réponses secrètes par le porteur de la carte.
c) Dispositions communes aux autorités d’enregistrement et de délivrance
Les décisions de création, suppression et modification d’autorités (AEL ou ADR), ainsi que les décisions de
désignation ou de cessation de fonction d’opérateur d’autorités seront portées sans délai à la connaissance des
services du SHFD (voir imprimé joint en annexe).
Il en est de même de leur périmètre de responsabilité. Ces informations sont transmises aux services du haut
fonctionnaire de défense qui assurent sur les applications RIO et CARTES la gestion des autorités et des opérateurs.
Cette information sera transmise dans un premier temps par mail (à l’adresse : deploiement-carte-agents@interieur.
gouv.fr), confirmé par courrier en utilisant l’imprimé joint en annexe.
Chaque autorité (AE/AD) disposera d’une adresse mail « correspondant carte agent ministérielle » (de type
nom-du-service-ael/adr@interieur.gouv.fr) accessible à chaque opérateur RIO pour recevoir les messages émis
automatiquement par l’application.
La gestion nationale des autorités et des opérateurs est effectuée, par mesure de sécurité, par des personnels
différents. Fin 2012, un outil informatique de gestion automatique des AEL, ADR et des opérateurs sera mis à la
disposition des directions et services.
Les AE et AD ne doivent pas, conformément aux annexes du référentiel général de sécurité approuvé par l’arrêté
du Premier ministre du 6 mai 2010 (JO du 18 mai 2010), avoir de condamnation de justice en contradiction avec
leurs attributions. Ces informations pourront être contrôlées par les services du haut fonctionnaire de défense ou des
personnes dûment mandatées par le SHFD.
Préalablement à l’exercice des fonctions d’AEL ou d’ADR, l’opérateur devra avoir reçu une formation organisée
soit par la DRF Paris – Île de France ou le SERFOR pour la préfecture de police, la DRCPN pour la DGPN ou la
SDRF pour tous les autres agents du ministère. Ce n’est qu’au terme de cette formation que le périmètre de chaque
autorité sera arrêté et ouvert par le SHFD en conformité du périmètre défini par le service demandeur.
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Même si une documentation est en ligne sur le portail carte agent, des sessions de formation devront obligatoirement
être organisées et suivies afin de respecter les prescriptions du RGS. Il appartient à chaque entité administrative,
nationale et locale, par la tenue et le suivi d’un tableau de bord, d’anticiper les départs des opérateurs afin d’organiser
ces formations en lien avec la DSIC au niveau central.
C. – L’organisation
de la gouvernance pour chaque entité administrative
La carte agent sera délivrée à tous les agents du ministère avant la fin de l’année 2013. Les personnes identifiées
comme collaborateurs occasionnels pourront aussi en bénéficier dans les conditions rappelées ci-dessus. Toutes les
entités administratives au sein du ministère sont impliquées dans le dispositif carte agent.
a) Les entités administratives responsables
Ces entités sont définies par les responsables des différentes grandes missions du ministère, administration centrale,
administration territoriale, police nationale, sécurité civile et en fonction de leurs instructions.
Est considérée comme périmètre d’autorité, soit pour la commande ou la délivrance de la carte agent ministérielle
« une entité administrative homogène ».
Par exemple, il peut s’agir d’une direction d’administration centrale, d’une préfecture, d’une sous-préfecture, d’une
direction locale de police (DDSP, DDPAF), d’un SGAP, d’un service, de la préfecture de police, d’une agence du
ministère, etc.
Ces entités administratives responsables identifiées sont en charge de la gouvernance locale du dispositif de
commande et délivrance de la carte agent et de la gestion de son cycle de vie.
b) L’organigramme fonctionnel
Il doit être impérativement élaboré, par chaque entité administrative, un organigramme fonctionnel détaillant la
chaîne des procédures de délivrance, retrait et de gestion des cartes agent.
Il identifiera nominativement les autorités qui seront en charge de la mise en œuvre du dispositif pour cette entité.
L’implication de tout acteur au sein d’une chaîne organisationnelle au sein de l’entité administrative doit être
construite dans le détail tenant compte des spécificités propres à chaque entité administrative et en respectant les
lignes directrices fixées dans la présente circulaire.
c) Le règlement d’application de l’entité
Dans le règlement d’application pour l’entité, sera décrit le rôle des autorités responsables des diverses autorisations
(commande, délivrance, accès aux applications et bâtiments, gestion du cycle de vie de la carte). Ces dispositions
sont indispensables pour prévenir tout usage frauduleux de la carte agent susceptible d’entraîner des procédures
disciplinaires, contentieuses ou, le cas échéant, pénales.
Devront être également précisément identifiées les fonctions de chaque intervenant dans la chaîne organisationnelle
définie et mise en place.
d) Dispositions diverses
Chaque entité administrative fixe le périmètre de responsabilité de son AEL et de son ADR. Au sein de chaque
périmètre, des agents sont désignés comme opérateur soit pour l’autorité d’enregistrement locale, soit pour l’autorité
de délivrance de rattachement. Un opérateur ne peut pas être opérateur de plusieurs autorités.
Chaque entité administrative du ministère (hormis pour l’administration centrale) arrête le nombre d’AEL et
d’ADR dont elle souhaite disposer. Le SSMI est ADR pour tous les sites franciliens de l’administration centrale. Il
doit être désigné un nombre suffisant d’opérateurs pour assurer la continuité du service public et pallier les éventuelles
absences.
Les décisions de création, suppression et modification d’autorités (AEL ou ADR) ainsi que les décisions de
désignation ou de cessation de fonction d’opérateur d’autorités seront portées sans délai à la connaissance des
services du SHFD. Il en est de même de leur périmètre de responsabilité, cette information sera transmise dans un
premier temps par mail (à l’adresse : deploiement-carte-agents@interieur.gouv.fr), confirmé par courrier en utilisant
l’imprimé joint en annexe.
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
IV. – LES 6 ÉTAPES DU CYCLE DE VIE DE LA CARTE AGENT MINISTÉRIELLE
A. – La
commande de carte agent ministérielle
Pour tout personnel déjà affecté ou entrant dans le ministère, la commande sera réalisée par l’opérateur AEL de
l’entité administrative, qui vérifiera au préalable les éléments du dossier de l’agent qui doit en bénéficier. L’opérateur
AEL devra s’assurer de l’exactitude des données saisies dans Dialogue et présentes dans le RIO.
Dans l’hypothèse d’informations erronées ou insuffisantes interdisant une commande de la carte, l’AEL devra
saisir le gestionnaire RH de l’agent pour mise à jour de son dossier dans Dialogue. La mise à jour finale du RIO
incombe à l’AEL. En aucun cas il ne pourra être créé ex-nihilo un dossier dans le RIO sans création du dossier
Dialogue ou mise à jour des données, sauf des cas particuliers strictement limités, après autorisation de la hiérarchie.
La mise à jour permanente et immédiate de Dialogue et d’Arpège conditionne la commande des cartes. Les
gestionnaires RH ont cette responsabilité sous le contrôle de l’autorité autorisant les commandes de cartes.
Une commande de carte ne doit pas intervenir s’il est connu que l’agent est en instance de mutation ou de départ
du ministère. L’opérateur AEL doit vérifier ces hypothèses auprès du gestionnaire RH.
Pour les agents disposant d’un dossier dans le RIO, quelques données peuvent être modifiées : il s’agit de la photo,
de l’adresse de messagerie (au format « prenom.nom@interieur.gouv.fr » ou « prenom.nom@nomdudépartement.
gouv.fr ») et l’affectation RIO.
Pour les personnels présents temporairement au sein du ministère (prestataires extérieurs, vacataires), un opérateur
AEL devra créer le dossier dans le RIO sur instruction de sa hiérarchie.
Des informations essentielles sont à vérifier par l’AEL :
– l’état civil de la personne : nom, prénoms, date de naissance qui doivent être conformes à l’état-civil, le système
carte agent utilise le nom d’usage ;
– le grade et l’adresse de messagerie électronique au format « prenom.nom@interieur.gouv.fr » ou « prenom.nom@
nomdudépartement.gouv.fr » ; si l’agent n’en possède pas, cette zone ne doit pas être renseignée ;
–l’affectation : le système utilisé, le service d’affectation opérationnelle ;
– l’adresse du service : elle est utilisée pour l’envoi à l’agent de la lettre contenant son code d’activation.
B. – L’acheminement
de la carte agent ministérielle
Dès sa validation, la commande de carte est transmise à l’imprimerie nationale pour être fabriquée et éditée.
L’envoi des fichiers de demandes est réalisé tous les lundis et jeudis avant 6 heures du matin. Une fois produites, les
cartes sont envoyées au destinataire via l’autorité de délivrance de rattachement (ADR) à J + 4 jours, (J étant le jour
de réception du fichier).
Les cartes sont livrées aux ADR à J + 5 pour la métropole, à J + 6 pour la Corse et pour les DOM-COM de
J + 8 à J + 12.
Les opérateurs ADR ont connaissance par courriel envoyé automatiquement par l’application CARTES de
l’expédition d’un colis de cartes à leur attention. Les opérateurs ADR doivent, aussitôt la réception du colis de
cartes, vérifier la présence des cartes produites par l’Imprimerie nationale en pratiquant l’opération de « réception »
dans l’application CARTES. Toute absence de réception du colis dans un délai de 3 jours après la date de réception
du courriel doit être signalée à l’adresse deploiement-carte-agents@interieur.gouv.fr.
Un courrier contenant le code d’activation de la carte est adressé, par courrier postal à l’agent, à l’adresse de son
service d’affectation opérationnelle (SAO) à J + 6 jours. Le délai d’acheminement de ce courrier est de 4 à 8 jours,
pour la métropole et l’outre-mer.
À l’arrivée de ce courrier au sein du service, il ne doit pas être ouvert par une tierce personne, même par les
secrétariats d’autorité. Il doit être remis au plus vite au destinataire et non à un opérateur ADR. En l’absence du
destinataire, il est conservé dans un endroit sûr au sein de son service.
Si une carte est livrée dans une unité où le porteur n’est plus présent, les mesures suivantes sont à appliquer :
–l’agent a été muté dans une autre unité du ministère ou en dehors du ministère. Un message est envoyé à
l’adresse deploiement-carte-agents@interieur.gouv.fr en précisant les noms, prénoms et numéro RIO de l’agent.
En retour, il sera communiqué à l’ADR et à l’AEL les nouvelles coordonnées du porteur pour faire suivre la
lettre contenant le code d’activation et les nouvelles coordonnées de l’ADR pour envoyer par pli recommandé la
carte de l’agent ;
– l’agent a quitté définitivement la fonction publique : la carte est retirée du service par l’ADR, puis détruite.
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C. – La
délivrance de la carte agent ministérielle
La délivrance de la carte est effectuée par l’ADR (SSMI pour les directions centrales situées en Île-de-France).
Le titulaire lors de la délivrance de sa carte l’active en saisissant le code d’activation reçu par courrier personnel,
puis il la protège en saisissant des codes PIN personnels (PIN global à 4 chiffres et PIN de signature à 6 chiffres).
L’ADR teste aussitôt son bon fonctionnement en utilisant le logiciel dénommé « Middleware IAE ECC » explorateur
de carte pour montrer au porteur les certificats insérés dans la puce. Le porteur doit impérativement in fine de la
procédure de délivrance se connecter au portail agent pour saisir ses questions/réponses secrètes.
Cette dernière opération est obligatoire, car dans l’hypothèse de 3 saisies erronées d’un code PIN, la carte est
bloquée et en l’absence de questions/réponses secrètes, il est impossible de la débloquer. La carte est alors inutilisable
définitivement et retirée du service.
Le porteur et l’ADR signent à l’issue de cette procédure le récépissé de prise en compte et d’engagement de
responsabilité. Un exemplaire est remis au porteur et un autre archivé dans son dossier personnel (transmis au service
RH par l’ADR).
Concernant la réserve civile de la DGPN (population non fonctionnaire de la police), la délivrance se fera également
dans les mêmes conditions, dans les secrétariats généraux pour l’administration de la police SGAP.
L’autorité de délivrance de rattachement (ADR) doit disposer d’une adresse mail en « nom-du-service-adr@
interieur.gouv.fr ».
D. – Les
procédures de renouvellement
a) Renouvellement de la carte agent
En principe, le remplacement de la carte intervient tous les 6 ans, il est initié par l’AEL, prévenu par l’application.
Le renouvellement a lieu aussi en cas de changement :
– de situation ou affectation qui nécessite une modification du visuel de la carte de l’agent ;
– de l’état civil du porteur ;
– du corps pour tous les agents ;
– de grade pour l’ensemble des fonctionnaires.
La première carte devra être restituée à l’ADR au moment de l’activation de la nouvelle carte. Elle sera détruite
par celui-ci en présence du porteur, dans la mesure du possible, avec établissement d’un procès-verbal de destruction
classé au dossier RH de l’intéressé (voir modèle de procès-verbal de destruction joint en annexe).
Dans l’hypothèse du renouvellement à échéance des 6 ans, l’opérateur AEL sera avisé par l’application CARTES
par la mention : état : carte à renouveler.
Le renouvellement sera aussi effectué sur requête en cas de perte, vol, détérioration de la carte ou d’impossibilité
de rechargement des certificats électroniques.
Ces renouvellements permettent d’actualiser, le cas échéant, les données personnelles de l’agent, notamment la
photographie.
Dans l’hypothèse du renouvellement sur demande de l’agent par la voie hiérarchique (cas de perte, vol, détérioration
ou impossibilité de recharger les certificats électroniques), en ce cas l’opérateur AEL devra s’assurer que tous les
éléments du dossier du demandeur sont toujours valides. Il incombe à chaque entité administrative de définir les
modalités des pièces à fournir en cas de perte ou de vol.
b) Renouvellement des certificats électroniques
Le renouvellement des certificats électroniques peut intervenir dans trois cas :
– les certificats arrivent en fin de validité (les certificats ont une durée de validité de 3 ans) ;
–mutation du porteur susceptible d’entraîner un changement de l’autorité de certification des certificats.
Le ministère met en œuvre trois autorités de certification correspondant à 3 domaines : police nationale,
administration centrale et administration territoriale. Une mutation d’un service inclus dans un domaine vers un
service d’un autre domaine entraîne un renouvellement de certificat ;
– changement d’adresse mail du porteur.
L’opération est effectuée par l’AEL avisé par l’application CARTES (état : certificats à renouveler).
Le porteur est avisé par courriel s’il dispose d’une adresse de messagerie en « prenom.nom@interieur.gouv.fr » ou
« prenom.nom@nomdudepartement.gouv.fr » ou par l’opérateur AEL s’il n’en dispose pas.
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 245
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Le porteur peut après cette action de l’AEL se connecter au portail agent (https://portail-agent-cartes.mi/) pour
effectuer le renouvellement de ses certificats. Deux renouvellements successifs de certificats par le portail ne sont pas
possibles. Après un renouvellement par le portail, le renouvellement suivant doit être effectué auprès d’une ADR.
L’opération est également possible auprès d’une ADR.
c) Dispositions diverses concernant les certificats électroniques
Lorsque le bénéficiaire quitte temporairement son poste au sein du ministère (congé parental ou congé formation
de longue durée), les codes et autorisations d’accès aux applications seront désactivés, par l’administrateur des
applications, sans invalidation des certificats de la carte.
S’agissant du congé maternité, congé de longue maladie et congé de longue durée, les agents conservent leur carte.
Pour toute durée d’absence supérieure à 6 mois, l’autorité hiérarchique s’assurera de l’invalidation des certificats
de la carte.
Nota. – En attendant la mise en œuvre opérationnelle de l’invalidation des certificats, il y a lieu de procéder à la
désactivation des autorisations d’accès aux applications.
En cas de détachement ou de mise à disposition sortante, tous les agents conserveront leur carte dans la mesure où
elle est une carte professionnelle sécurisée. Les codes et autorisations d’accès aux applications seront désactivés, sans
invalidation des certificats de la carte, sur décision de l’autorité hiérarchique.
E. – Le retrait
de la carte agent ministérielle
a) Retrait définitif de la carte agent
La carte agent est retirée en cas de départ définitif de l’agent du ministère : démission, exclusion définitive,
révocation, retraite, décès. Elle est également retirée en cas de suspension d’activité de l’agent.
Propriété de l’État, elle doit être remise par le titulaire soit à l’autorité hiérarchique, soit à un opérateur AEL ou
ADR avant le départ.
Elle devra être immédiatement invalidée par l’ADR et sera détruite avec établissement d’un procès-verbal de
destruction qui sera classé au dossier de l’intéressé.
En cas de placement en disponibilité, tous les agents doivent rendre leur carte.
Elle pourra être retirée par l’autorité hiérarchique en cas de sanction disciplinaire le justifiant. Elle sera
immédiatement invalidée par l’ADR avant le départ de l’agent, puis remise soit à l’autorité hiérarchique, soit à son
AEL ou ADR.
b) Retrait temporaire de la carte agent
La carte agent sera retirée le temps d’une exclusion temporaire prononcée à l’encontre de l’agent ou suite à une
suspension de fonction.
Dans le cas d’une exclusion temporaire, les codes et autorisations d’accès aux applications seront désactivés sans
invalidation de la carte.
Les réservistes non retraités de la police nationale doivent remettre leur carte à leur service d’emploi entre deux
périodes d’emploi. Leurs codes et autorisations d’accès aux applications doivent être désactivés sans invalidation de
la carte.
Dans ces deux dernières situations, la carte sera insérée dans une enveloppe scellée, sur laquelle le porteur apposera
sa signature de manière à garantir, lors de la récupération de la carte, que celle-ci n’a pas été manipulée à son insu.
Les codes PIN (4 chiffres et 6 chiffres), qui protègent l’utilisation de la carte, sont personnels au bénéficiaire de la
carte. Il ne peut pas être exigé du bénéficiaire de la carte que celui-ci dévoile ses codes PIN.
F. – La
perte ou le vol de la carte agent ministérielle
Une carte perdue ou volée doit être signalée immédiatement à l’autorité hiérarchique, pour être invalidée dans les
plus brefs délais :
– en heures et jours ouvrés, le porteur de la carte agent s’adresse en priorité à un opérateur ADR qui informera
aussitôt l’AEL et l’autorité hiérarchique. L’opération d’invalidation incombe à l’ADR ;
–en heures et jours non ouvrés, le porteur de la carte agent appellera le centre de service national (CSN),
au 0800 20 72 77 ou + 33 800 20 72 77 pour l’outre-mer ;
– le porteur de la carte agent est identifié par le centre de service national (CSN) grâce à la réponse à une des
questions secrètes du porteur que celui-ci a formulé lors de l’activation initiale de sa carte ;
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 246
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
– l’opérateur CSN saisit la réponse du porteur de la carte et la valide. La réponse est vérifiée. Si elle est correcte,
l’invalidation est rendue possible. La carte est invalidée par l’opérateur du CSN. Un message confirmant cette
invalidation est adressé au porteur, à son AEL et à son ADR ;
– dans le cas d’une réponse incorrecte à la question posée, l’invalidation de la carte ne peut pas être opérée par le
CSN, elle devra être invalidée par un ADR.
Le traitement administratif de la perte ou du vol de la carte continue à suivre les dispositions actuellement en
vigueur pour chaque catégorie d’agents.
Il est en revanche rappelé qu’eu égard aux droits attachés à cette carte, toute perte ou vol doit immédiatement être
déclaré, dès que l’agent en a connaissance, afin d’empêcher l’utilisation frauduleuse de la carte.
Ce défaut de déclaration immédiate peut faire l’objet d’une sanction.
L’autorité informée de la perte ou du vol de la carte doit aviser immédiatement, par tous moyens, le responsable
de la gestion des accès informatiques et bâtimentaires, aux fins de neutralisation des codes et autorisations d’accès.
V. – LA GESTION DES AUTORISATIONS LIÉE AUX MOUVEMENTS DES AGENTS
Dans tous les cas de mouvements de personnels, les modifications dans Dialogue sont effectuées par le gestionnaire
RH dans les meilleurs délais. Le chef de service ou le référent RH avisera immédiatement des modifications par
message l’AEL qui contactera le gestionnaire des accès aux applications et le service responsable de la sécurité et des
accès aux bâtiments (SSMI pour les sites franciliens de l’administration centrale).
A. – La
mobilité interne à une direction ou service
En ce qui concerne un changement de poste consécutif à une mobilité interne au sein d’un même service
d’affectation opérationnelle ou administrative, il n’y aura pas de modification des certificats électroniques par
l’autorité de certification émettrice du certificat.
La modification de l’affectation dans Dialogue sera effectuée par le gestionnaire RH.
Le référent RH ou le chef de service informera dans les meilleurs délais les services gestionnaires des autorisations
aux nouvelles applications ainsi que les services concernés par la sécurité des accès aux bâtiments.
Il est précisé, en cas de modifications sur les autorisations d’accès aux applications que l’accès aux nouvelles
applications ne peut être opéré que si les autorisations d’accès aux anciennes applications ont été fermées.
Ces opérations se feront sans délai sous forme d’un message visé par l’autorité hiérarchique et selon un schéma
organisationnel propre à chaque entité administrative.
B. – La
mobilité entre directions ou services de l’administration centrale
En administration centrale, la modification de l’affectation de l’agent dans Dialogue par le gestionnaire RH sera
effectuée dans les meilleurs délais.
L’AEL d’origine sera informé par le référent RH de départ de la mobilité de l’agent.
Le référent RH de départ ou le chef de service informera les services gestionnaires des autorisations d’accès aux
applications et d’accès aux sites et bâtiments, de la mobilité de l’agent, en leur précisant les modifications éventuelles
de celles-ci. Ces opérations s’effectueront conformément à la procédure du schéma organisationnel de l’entité
administrative.
Le service concerné (SSMI) par la sécurité des accès aux bâtiments et sites doit être informé de la mobilité de l’agent
par le référent RH de départ, conformément à la procédure du schéma organisationnel de l’entité administrative.
Le référent RH d’arrivée, à réception de l’arrêté d’affectation de l’agent par le gestionnaire RH, devra informer
l’AEL d’arrivée ainsi que le chef de service. Il demandera, conformément aux instructions de la hiérarchie, aux
services concernés l’ouverture des autorisations aux applications et au SSMI les droits d’accès aux bâtiments et sites.
Ces démarches se feront par message selon des procédures et un schéma organisationnel propres à chaque entité
administrative.
Ces opérations se feront sans délai et après aval de la hiérarchie. Les référents RH devront être mobilisés pour
mener celles-ci à bien.
C. – Les
mobilités entre administration centrale et déconcentrée
En ce qui concerne le périmètre déconcentré, après modification de l’affectation dans Dialogue par le gestionnaire
RH de l’administration centrale ou déconcentrée, le référent RH de départ avise l’AEL du départ de l’agent et veille
à la fermeture des autorisations d’accès aux applications et aux accès des bâtiments.
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 247
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Le référent RH d’arrivée informera par message l’AEL d’arrivée, ainsi que le chef de service d’affectation de
l’agent.
IL veillera, comme indiqué dans le paragraphe supra, à l’ouverture des autorisations d’accès aux nouvelles
applications et aux bâtiments.
Ces opérations devront être effectuées sans retard avec la mobilisation des référents RH.
Ces démarches se feront par message selon les procédures du schéma organisationnel propres à chaque entité
administrative.
Lorsque la mobilité s’effectue hors du périmètre d’administration centrale vers un service déconcentré, l’agent
conserve sa carte agent si son profil RH ne change pas. Il y a modification des certificats électroniques par l’autorité
de certification compétente d’arrivée.
Les modifications d’affectation sont faites dans Dialogue sans délai par le gestionnaire RH de départ.
VI. – LA CHAÎNE DE SOUTIEN UTILISATEURS
Tous les porteurs de carte agent ministérielle ayant accès à l’Intranet du ministère peuvent accéder au portail carte
agent ministériel à l’adresse suivante : https://portail-agent-cartes.mi.
Après s’être identifié et authentifié à l’aide de sa carte agent, le porteur peut :
– gérer ses questions/réponses secrètes ;
– charger ses certificats sans avoir à se rendre devant une ADR (cas du renouvellement suite à dépassement de
validité d’un certificat sans changement des données personnelles) ;
– débloquer le(s) code(s) PIN (global, signature) ;
– changer un des codes PIN de sa carte.
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
ANNEXE I
Glossaire
AEL : autorité d’enregistrement locale – personne responsable de la demande des cartes agent ministérielles pour
toutes les personnes d’une structure.
ADR : autorité de délivrance de rattachement – personne responsable de la délivrance des cartes agent ministérielles
pour toutes les personnes d’un structure.
Authentification : action qui consiste à vérifier l’identité d’une personne et autoriser l’accès de celle-ci à des ressources
(systèmes, réseaux, applications).
Arpège : système d’information source des ressources humaines de la préfecture de police.
CARTES : logiciel « Centralisation pour l’Administration et la Remise des cartes Électroniques Sécurisées »
permettant la commande et la remise des cartes agent ministérielles.
Certificat électronique : le certificat électronique (aussi appelé certificat numérique) est un fichier numérique
permettant de s’identifier, de chiffrer et de signer électroniquement des documents.
Chiffrement : le chiffrement, aussi appelé cryptage, est le procédé grâce auquel on souhaite rendre la compréhension
d’un document impossible à toute personne qui n’a pas la clé de déchiffrement
Code PIN : il existe un code porteur global (code PIN global) et un code porteur de signature (code PIN de
signature) dont la saisie peut être demandée pour l’accès aux applications.
CSN : centre de service national de la DSIC.
Dialogue : système d’information source des ressources humaines du ministère.
Gestionnaire RH : personne habilitée à modifier les données administratives dans Dialogue et Arpège.
Identification : action qui consiste à connaître l’identité d’une personne.
Invalidation : action qui consiste à rendre inactif des fonctionnalités de la carte agent.
Opérateurs AEL : opérateurs qui ont comme mission principale de commander les cartes pour les agents qui font
partie de leur périmètre sous la responsabilité de l’AEL.
Opérateurs ADR : opérateurs qui ont comme mission principale de délivrer les cartes pour les agents qui font partie
de leur périmètre sous la responsabilité de l’ADR.
Portail carte agent : portail intranet permettant aux agents d’accéder à un certain nombre d’informations relatives
à la carte agent.
Puce avec contact : la puce avec contact est une puce visible sur la carte qui contient les certificats d’authentification,
de signature et de confidentialité du porteur.
Puce sans contact (RFID) : la puce sans contact est non visible sur la carte, faisant partie intégrante de la carte.
La radio-identification plus souvent désignée par le sigle RFID (Radio Frequency IDentification) est une méthode
pour mémoriser et récupérer des données à distance. Ces puces électroniques sont constituées d’une antenne et d’un
microprocesseur. On peut y stocker des d’informations, et contrairement aux cartes à puces avec contact, on peut lire
ces informations et les mettre à jour sans insérer la puce dans un lecteur.
PVe : Procès-verbal électronique.
PVPP : Plan de vidéo protection de Paris.
Questions/réponses secrètes : dispositif d’authentification secondaire d’un agent après un blocage du code PIN
d’authentification.
RIO : référentiel des identités et des organisations – base de données élaborée à partir d’éléments de ressources
humaines recensant tous les agents du ministère de l’intérieur et leur numéro unique permettant, entre autres, la
commande de carte.
Référent RH : le référent RH est l’interlocuteur privilégié des directions de l’administration centrale ou des structures
administratives (services territorialement compétents) avec les bureaux de gestion des personnels et les agents.
Il exerce les missions suivantes : gestion administrative des agents affectés dans le service, notifications des divers
actes de gestion, suivi des effectifs, position statutaire, primes, rémunérations, etc.
Référentiel général de sécurité (RGS) : le référentiel général de sécurité définit un ensemble de règles de sécurité qui
s’imposent aux autorités administratives dans la sécurisation de leurs systèmes d’information. Il propose des bonnes
pratiques en matière de sécurité des systèmes d’information que les autorités administratives sont libres d’appliquer.
Le RGS est élaboré conformément à l’article 9 de l’ordonnance no 2005‑1516 du 8 décembre 2005 relative aux
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 249
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
échanges électroniques entre les usagers et les autorités administratives ainsi qu’entre les autorités administratives. Il
fixe les règles que doivent respecter les fonctions des systèmes d’information contribuant à la sécurité des informations
échangées par voie électronique.
Invalidation de certificat : action demandée par une autorité de certification ou une autorité administrative, par le
porteur de certificat ou son autorité de sécurité et dont le résultat est la suppression de la caution de l’autorité de
certification sur un certificat donné, avant la fin de sa période de validité. Cette action peut être la conséquence de
différents types d’évènements tels que la compromission d’une clé, le changement d’informations contenues dans un
certificat, etc.
SHFD : service du haut fonctionnaire de défense.
Signature électronique : il s’agit d’une combinaison chiffrée qui permet d’authentifier l’émetteur d’un message.
D’un point de vue réglementaire, la signature électronique consiste en l’usage d’un procédé fiable d’identification
garantissant son lien avec l’acte auquel elle s’attache. La fiabilité de ce procédé est présumée, jusqu’à preuve contraire,
lorsque la signature électronique est créée, l’identité du signataire assurée et l’intégrité de l’acte garanti.
SSMI : service de sécurité du ministère de l’intérieur qui est ADR pour les administrations centrales du ministère.
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 250
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
ANNEXE II
Création – Suppression – Modification
d’autorités AEL et ADR
« Carte agent ministérielle »
Direction / Service (dénomination et adresse) :
Date :
........................................................................
Document à envoyer par courriel (à l’adresse suivante : et à l’adresse du SHFD – place Beauvau)
I. – AEL
1.1 – Création (1)
NOM
de l’autorité
CODE DIALOGUE
du service
responsable de cette
autorité
CODE DIALOGUE
des services devant
être inclus dans le
périmètre de l’autorité
(1)
DATE
de création
souhaitée
ADRESSE MAIL DE L’AUTORITÉ
Nom_du_service-ael@interieur.gouv.fr
OBSERVATIONS
1.2. Suppression
NOM
de l’autorité
CODE DIALOGUE
du service responsable de cette autorité
DATE
de suppression souhaitée
OBSERVATIONS
1.3. Modification (préciser dans le tableau ce qui doit être modifié) (2)
NOM
de l’autorité
CODE DIALOGUE
du service
responsable de cette
autorité
CODE DIALOGUE
des services devant
être inclus dans le
périmètre de l’autorité
(2)
DATE
de modification
souhaitée
ADRESSE MAIL DE L’AUTORITÉ
Nom_du_service-ael@interieur.gouv.fr
OBSERVATIONS
CODE DIALOGUE
des services devant
être inclus dans le
périmètre de l’autorité
(3)
DATE
de création
souhaitée
ADRESSE MAIL DE L’AUTORITÉ
Nom_du_service-adr@interieur.gouv.fr
OBSERVATIONS
II. – ADR
2.1. Création (3)
NOM
de l’autorité
CODE DIALOGUE
du service
responsable de cette
autorité
2.2. Suppression
(utilisation du même tableau que 2.1)
(1) Si l’autorité couvre une entité complète, préciser laquelle, sans énumérer tous les services (exemples : préfecture XX, DDSPXX).
(2) Si l’autorité couvre une entité complète, préciser laquelle, sans énumérer tous les services (exemples : préfecture XX, DDSPXX).
(3) Si l’autorité couvre une entité complète, préciser laquelle, sans énumérer tous les services (exemples : préfecture XX, DDSPXX).
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 251
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
ANNEXE III
Les
visuels de la carte agent ministérielle
A
Policier actif ou réserviste
B
Personnels techniques et scientifiques de la police nationale/adjoints de sécurité
C
Personnels administratifs et techniques
D
Agent des administrations parisiennes (préfecture de police)
ETemporaire
F
Corps préfectoral
GIGA
HExternes
I
Hauts fonctionnaires
J
Cabinet du ministre
K
Agent de surveillance de Paris (préfecture de police)
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 252
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
ANNEXE IV
Les
accès aux sites et bâtiments
S’agissant de l’accès aux bâtiments, le document de référence technique de la puce sans contact (RFID) a été
finalisé et validé le 31 janvier 2012. Il a été transmis sous le no 12‑02590-D du 17 février 2012. Ce document est
disponible sur le site intranet du ministère de l’intérieur, rubrique carte agent, onglet SHFD.
Il devra être annexé au cahier des clauses techniques particulières lors de toutes les démarches d’appels d’offres des
travaux de sécurisation des bâtiments (document joint).
Il sera fait référence à la circulaire NOR/INT/SG/HFDAIOCA 1208138 du 19 mars 2012 relative à la protection
des préfectures, des sous-préfectures et de leurs personnels.
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 253
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
ANNEXE V
Procès-verbal de destruction
« Carte agent ministérielle »
– Direction/Service (dénomination et adresse) :Date :
– NOM et prénom du demandeur :Signature :
– NOM et prénom du titulaire :
– Service d’affectation opérationnelle du titulaire :
– Service d’affectation administrative du titulaire :
___________________________________________________________________________________________________
Type de carte (visuel) :
Libellé :
MOTIF DE LA DESTRUCTION :
NUMÉRO DE LA CARTE
(indiqué au verso)
VISUEL
NOM ET PRÉNOM DU TITULAIRE
______________________________ PARTIE RÉSERVÉE À LA DESTRUCTION ____________________________
Nom et prénom de l’opérateur
Nom et prénom du vérificateur
Signature
Signature
Destinataires : – SHFD (par courrier, adresse mail : deploiement-carte-agents@interieur.gouv.fr ;
– Titulaire de la carte ;
– Supérieur hiérarchique ;
– Demandeur, opérateur, vérificateur ;
– Copie dossier RH titulaire.
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 254
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
ANNEXE VI
Organigramme
fonctionnel type en administration centrale
Directeur
Délégation possible
Sous-directeur ou Chef de cabinet
Bureau des ressources humaines
BRH
Référent RH
AEL
ADR
SSMI
Autorisations
accès sites et
bâtiments
Chef de bureau ou de Service
Autorisations d’accès aux
applications
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 255
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
ANNEXE VII
Organigramme
fonctionnel type en administration territoriale
Préfet
Délégation possible
Secrétaire général ou Directeur de cabinet
Bureau des ressources humaines
BRH
Référent RH
AEL
ADR
Responsable
sécurité des accès
aux bâtiments
Chef de bureau ou
Chef de Service
Autorisations d’accès
aux applications
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 256
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
ANNEXE VIII
Organigramme
fonctionnel type
en direction départementale de la sécurité publique
(DDSP)
DDSP
Délégation possible
Chef d’Etat Major ou SGO
ou
Chef de circonscription
Référent RH
AEL
ADR
Service ou
référent
informatique
RSSI
Autorisations d’accès aux
applications et aux sites et
aux bâtiments
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 257
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
ANNEXE IX
Modification
de la situation de l’agent n’entraînant pas de changement
de sa carte agent
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 258
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
ANNEXE X
Modification
de la situation de l’agent entraînant un changement
de sa carte agent
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 259
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
ANNEXE XI
Modification
de la situation de l’agent entraînant un retrait
de sa carte agent
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 260
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_____
Direction générale
de la gendarmerie nationale
_____
Direction des personnels militaires
de la gendarmerie nationale
_____
ous-direction de la gestion du personnel
S
_____
Bureau du personnel sous-officier
de gendarmerie et volontaire
_____
Circulaire no 27798 du 21 mai 2012 relative à la préparation des tableaux d’avancement
pour 2013 des sous-officiers de gendarmerie
NOR : INTJ1223538C
Références :
Code de la défense (partie législative), notamment le livre Ier de la partie 4 ;
Décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 (JO no 216 du 16 septembre 2008, texte 34) modifié, portant statut
particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ;
Arrêté du 30 décembre 2009 (JO no 303 du 31 décembre 2009, texte 123) relatif aux délégations de pouvoirs
du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière (en cours de
refonte) ;
Arrêté du 4 août 2010 (JO no 195 du 24 août 2010, texte 6) modifié, fixant pour la gendarmerie nationale la
composition et l’organisation de la commission prévue à l’article L. 4136‑3 du code de la défense ;
Arrêté du 17 novembre 2010 (JO no 271 du 23 novembre 2010, texte 3) fixant les titres professionnels et la
qualification exigés pour la promotion des sous-officiers de gendarmerie aux grades de maréchal des logis-chef
et d’adjudant-chef (en cours de refonte) ;
Arrêté du 5 avril 2012 (JO no 105 du 4 mai 2012, texte 30) relatif à la répartition des sous-officiers de gendarmerie
par subdivision d’arme, par branche ou par spécialité et fixant les branches et spécialités au sein desquelles
l’avancement intervient de façon distincte ;
Instruction no 33000 du 18 mai 2011 relative à l’avancement des sous-officiers de gendarmerie (en cours de
refonte).
Pièce(s) jointe(s) : deux annexes.
L’instruction de référence fixe les dispositions relatives à l’avancement des sous-officiers de gendarmerie ainsi
que celles inhérentes à la mise en place du tableau. Elle pose les principes généraux de l’avancement (conditions,
mobilité, dialogue de gestion et mérite) puis son phasage (volontariat, préparation, arrêt et exploitation du tableau
d’avancement).
La présente circulaire apporte les directives complémentaires pour le tableau d’avancement (TA) 2013.
1. Calendrier des travaux
1.1. Ouverture du portail Agorh@
Les sous-officiers de gendarmerie volontaires à l’avancement renseignent le formulaire dédié via le portail Agorh@
à partir du 11 juin 2012. Cette déclaration de volontariat doit, en principe, intervenir après la prise en compte de la
notation juridique (1) dans Agorh@.
À ce titre, il est rappelé que lors de la saisie de la demande d’avancement, chaque volontaire doit veiller à cocher
la case qui correspond à sa situation. Il est donc précisé que :
– la case « voie classique » est exclusivement réservée aux gendarmes comptant au moins 4 ans d’ancienneté à ce
grade et titulaires, au 1er janvier de l’année de promotion, d’un titre énuméré à l’arrêté du 17 novembre susvisé
ainsi qu’aux gradés, à l’exception des maréchaux des logis-chefs promus au titre de la gestion de fin de carrière ;
(1) Exprimer son volontariat alors que sa notation juridique ne figure pas dans la fiche individuelle de renseignement (FIR) engendre une
procédure de « demande tardive », donc une nouvelle sélection dite « sélection des proposables ». C’est donc dans un souci d’efficacité qu’il est
recommandé d’exprimer son volontariat après la prise en compte de la notation juridique dans Agorh@.
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 261
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
– la case « voie professionnelle » (AVP) concerne uniquement les gendarmes réunissant les conditions du 2e alinéa du
point 1.2. de l’instruction de référence ;
– la case « gestion de fin de carrière » (GFC) concerne les maréchaux des logis-chef promus au titre de la GFC et
les gendarmes volontaires pour un avancement à ce titre.
Pour les personnels ne disposant pas de l’outil informatique Agorh@, le volontariat est exprimé sous format papier
(cf. imprimé 651 0.019) puis adressé au gestionnaire pour traitement.
1.2. Sélection des proposables
La sélection des proposables (1), hors simulation, est effectuée le 18 septembre 2012 pour les sous-officiers de
gendarmerie (cadre général et spécialistes). Aussi, aucune déclaration de volontariat n’est saisie en base ce jour là, toutes
les déclarations sont donc, en principe, saisies via le portail Agorh@ pour cette date. À partir du 19 septembre 2012,
les saisies tardives sont traitées selon la procédure des « demandes tardives » (2).
1.3. États justificatifs
1.3.1. Cas général (concerne les sous-officiers de gendarmerie du cadre général)
Les états justificatifs prévisionnels (annexe I) visant à déterminer le nombre d’inscriptions possible par grade
pour 2013 sont transmis signés et datés, sous format PDF, via la messagerie organique (bpsogv.sdgp.dggn@
gendarmerie.intérieur.gouv.fr), avant le 7 septembre 2012.
1.3.2. Dispositions particulières pour les branches « personnel servant au sein des écoles de la gendarmerie
nationale », « personnel servant outre-mer, en assistance technique, en prévôté » et « personnel servant en
ambassade ».
Pour ces trois branches, les états justificatifs prévisionnels sont accompagnés pour le 3 octobre 2012 :
– d’un état numérique des gradés affectés dans la branche considérée en 2013 indiquant le nom, le grade et la
formation administrative d’appartenance ;
– d’un état des personnels relevés en 2013 précisant la subdivision d’arme, le nigend, le grade et le nom du militaire.
1.4. Volume des TA 2013
La procédure des postes réservés est finalisée au cours d’une séance de travail réunissant, semaine 42 (entre le
15 et le 19 octobre 2012), la direction générale de la gendarmerie nationale (DGGN), le commandement de la
gendarmerie outre mer (CGOM) et le commandement des écoles de la gendarmerie nationale (CEGN). L’objectif
de cette procédure est de déterminer tous les flux entrants en 2013 dans les branches de gestion des sous-officiers de
gendarmerie du cadre général, du grade d’adjudant à major.
Les volumes maximum des tableaux d’avancement par branche, par grade et par formation administrative seront
diffusés le 26 octobre 2012 (note portant directives de gestion relatives à l’avancement 2013 des sous-officiers de
gendarmerie du cadre général, sous timbre de la sous-direction de la gestion du personnel [SDGP]).
Les promotions au grade de maréchal des logis-chef (MDC) au titre de la deuxième voie d’avancement (avancement
voie professionnelle + GFC) font l’objet d’un contingentement statutaire représentant 20 % au maximum de
l’ensemble des promotions de l’année à ce grade. Les promotions au grade d’adjudant GFC respecteront strictement
les deux critères de gestion exposés au paragraphe 2 de la présente circulaire. Le parcours de carrière médian de la
« voie professionnelle » est rappelé en annexe II. Le volume des promotions au grade de MDC, au titre de l’AVP,
est déterminé par chaque formation administrative dans la limite du contingentement statutaire après déduction du
volume GFC effectivement réalisé.
1.5. Réunion des commissions d’avancement
Pour les sous-officiers de gendarmerie du cadre général, les commissions d’avancement se réunissent à compter du
29 octobre 2012.
1.6. Date d’arrêt des tableaux d’avancement
Les tableaux d’avancement sont arrêtés le mardi 4 décembre 2012.
(1) Cette opération vise à permettre aux notateurs d’accéder aux dossiers des militaires ayant exprimé leur volontariat à l’avancement.
(2) Pour ce qui concerne les spécialistes, la DGGN/DPMGN/SDGP/BPSOGV/SSOGS (section SOG spécialistes) doit impérativement être
informée de toute « demande tardive » établie par un SOG spécialiste. Elle seule est autorisée à supprimer et/ou modifier sur l’application Agorh@
les « demandes tardives » pour les personnels qui relèvent de son périmètre.
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 262
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
1.7. Information des sous-officiers inscrits au tableau d’avancement
Pour ce qui concerne la communication interne région et formation, toute latitude est laissée aux autorités
délégataires des pouvoirs du ministre. La mise en ligne des tableaux d’avancement à l’échelon national de l’ensemble
des formations est effectuée le 4 décembre 2012 à 14 heures sur le site https://www.gendcom.info.
1.8. Information de la direction générale de la gendarmerie nationale
Les autorités habilitées à arrêter les tableaux d’avancement adressent impérativement pour le 4 décembre 2012,
9 heures, la décision portant inscription aux TA pour l’année 2013 (version PDF signée et OpenOffice), par messagerie
interpersonnelle, au chef d’escadron Mortelec, Philippe, à l’adjudant-chef Robert, Bertrand et à Mme Denoyelle,
Chantal.
L’état justificatif définitif des inscriptions aux TA pour l’année 2013, daté et signé, est transmis sous format PDF,
via la messagerie organique (bpsogv.sdgp.dggn@gendarmerie.intérieur.gouv.fr), sous référence du présent timbre,
pour le 13 décembre 2012 (1).
Enfin, pour l’insertion de la décision portant inscription au tableau d’avancement au Bulletin Officiel du Ministère
de l’Intérieur (BOMI), un original signé (2) est également adressé à la DGGN/DPMGN/SDGP/BPSOGV/2SOGCG.
2. Avancement voie professionnelle et gestion de fin de carrière
La gestion de fin de carrière s’insère dans un processus d’avancement « voie professionnelle » tardif. Les sous-officiers
inscrits aux tableaux d’avancement en raison de la gestion de leur fin de carrière n’ayant pas vocation à occuper des
responsabilités d’encadrement, ils sont maintenus sur des postes de gendarme. À ce titre, ils sont dispensés du module
spécifique de formation destiné aux autres militaires inscrits au titre de la voie professionnelle.
Au-delà du contingentement statutaire à 20 % de l’ensemble des promotions au titre de la « voie professionnelle »,
les gestionnaires déconcentrés veilleront à la nouvelle limite d’âge des militaires susceptibles d’être retenus en tenant
compte des deux impératifs suivants :
– l’inscription éventuelle des gendarmes au grade de maréchal des logis-chef au titre de la GFC fera l’objet d’une
étude chronologique individuelle, tenant compte de leur date de naissance pour permettre d’accéder au grade
d’adjudant dans les conditions décrites ci-dessous ;
– à l’exception des militaires présentant des insuffisances dans la manière de servir, tous les maréchaux des logischefs doivent être promus au grade d’adjudant pour leur permettre de bénéficier d’au moins six mois d’ancienneté
dans l’un des échelons de ce grade sans toutefois dépasser dix huit mois avant radiation des cadres par limite
d’âge.
3. Situation des spécialistes
(affaires immobilières – montagne – systèmes d’information et de communication)
Le fusionnement est effectué dans les mêmes conditions que pour les sous-officiers de gendarmerie du cadre
général (3) et les déclarations sont transmises à la section sous-officiers de gendarmerie spécialistes de la DGGN
pour le 18 juillet 2012 accompagnées de la dernière notation.
L’officier des systèmes d’information et de communication pourra utilement être associé au travail d’avancement
des sous-officiers de cette spécialité en tant que conseiller technique du commandant de région.
Les sous-officiers spécialistes mutés après le 30 juin 2012 restent fusionnés par la formation à laquelle ils
appartenaient avant la mutation. Il appartient à la région de départ de transmettre à la région d’accueil le fusionnement
du personnel.
Les candidats à l’unité de valeur 6 (UV6) du diplôme technique des systèmes d’information et de communication
(DTSIC) peuvent se déclarer volontaires à l’avancement au titre de l’année 2013, conformément au paragraphe 1.2
de l’instruction de référence. Afin de faciliter le traitement de leur dossier, il leur est toutefois conseillé d’attendre la
codification de leur spécialité sur Agorh@ avant de valider leur déclaration de volontariat.
(1) Les listes des personnels volontaires, le procès-verbal de la commission d’avancement et l’état de positionnement sont archivés à l’échelon
local et ne sont transmis que sur demande particulière.
(2) Le formalisme du modèle joint en annexe II. de l’instruction de dernière référence doit être scrupuleusement respecté.
(3) Cf. point 2.2. de l’instruction de référence.
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
4. Cas spécifique des spécialistes aéronautiques
Comme prévu par les nouveaux textes, les TA 2013 des spécialités aéronautiques seront désormais établis par le
commandement des forces aériennes de la gendarmerie nationale (CFAGN). Ils seront contrôlés et arrêtés par le
directeur des personnels militaires de la gendarmerie nationale (DPMGN).
4.1. États justificatifs
Les états justificatifs prévisionnels (annexe I) visant à déterminer le nombre d’inscriptions possibles par grade et par
spécialité pour 2013 sont transmis signés et datés, sous format PDF via la messagerie organique (ssogs.bpsogv.sdgp.
dggn@gendarmerie.intérieur.gouv.fr), avant le 7 septembre 2012. Les volumes maximum des tableaux d’avancement
seront diffusés le 26 octobre 2012 (note portant directives de gestion relatives à l’avancement 2013 des sous-officiers
de gendarmerie des spécialités aéronautiques, sous timbre de la SDGP).
4.2. Composition des commissions d’avancement
Sont adressés sous référence du présent timbre pour le 13 septembre 2012 :
–les noms, grades et fonctions, des membres titulaires et suppléants désignés par le commandant des forces
aériennes de la gendarmerie nationale ;
– la date des commissions d’avancement.
5. Rôle des notateurs
Il appartient à chaque échelon de notation de :
– vérifier la pertinence des volontariats exprimés au titre de la GFC au regard des conditions de gestion précisées
au point 2 ci-dessus ;
– fusionner et attribuer un numéro de préférence aux candidats proposés (P) et non proposés (NP) à l’aide d’une
fraction dont le dénominateur correspond au nombre total des volontaires à l’échelon considéré (P + NP) au
regard des dispositions énoncées au point 1.4 de l’instruction de référence ;
– s’assurer que les candidats remplissent les conditions statutaires et appliquer le cas échéant les dispositions du
point 2.2. de l’instruction de référence.
Le rapatriement des données contenues dans Agorh@ n’exclut pas le contrôle. Aussi, le détail des notes des cinq
dernières années tout comme le potentiel attribué sont scrupuleusement vérifiés par le notateur juridique.
Conformément à l’article R. 4135‑5 du code la défense, il est rappelé que le militaire qui n’a pas accompli au moins
120 jours de présence effective en position d’activité durant la période de notation, n’est pas noté au titre de l’année
considérée. Dans ce cas, sa dernière notation lui est conservée. Ces dispositions sont impérativement appliquées.
Conformément au paragraphe 2.3 de l’instruction de référence, les déclarations de volontariat à l’avancement
établies par les sous-officiers du cadre général, mutés hors branche, doivent comporter le fusionnement de la branche
d’origine avant d’être transmises sans délai à la branche d’accueil. Après prise en compte du fusionnement établi
par la branche perdant le personnel, la branche d’accueil rectifie en conséquence le fusionnement apposé sur la
déclaration de volontariat.
6. Commissions d’avancement
6.1. Composition
Les commissions d’avancement sont composées conformément à l’arrêté du 4 août 2010 modifié, susvisé.
Pour les branches ci-dessous, sont adressés sous référence du présent timbre pour le 13 septembre 2012 :
–branche « formations extérieures », dont la réunion est arrêtée au 13 novembre 2012 matin, les noms, grades
et fonctions, des membres titulaires et suppléants désignés par le général d’armée, inspecteur général des
armées – gendarmerie, par le général de corps d’armée, inspecteur général de la gendarmerie nationale, par le
général, directeur adjoint opérations de la protection et de la sécurité de la défense et par le colonel, commandant
la gendarmerie de la sécurité des armements nucléaires
– branche « secrétariat », dont la réunion est arrêtée au 13 novembre 2012 après-midi, les noms, grades et fonctions,
des membres titulaires et suppléants désignés par les autorités compétentes.
Les commandants de la gendarmerie de l’air, de la gendarmerie maritime, de la gendarmerie des transports
aériens, de la gendarmerie de l’armement, des formations composant la branche « technique », et le directeur de
l’établissement central de l’administration et du soutien de la gendarmerie nationale, font connaître leurs besoins en
membres titulaires ou suppléants ainsi que la date de la commission d’avancement pour le 13 septembre 2012, sous
référence du présent timbre.
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
6.2. Procès-verbal
Les listes nominatives des volontaires, annexées au procès-verbal de la commission, sont établies par grade, sans
omission, ni modification, conformément à l’annexe I de l’instruction de référence. Les volontaires sont classés dans
l’ordre alphabétique du patronyme. Seuls les personnels proposés à l’inscription (PI) portent un numéro de préférence
(numérateur sans dénominateur). Les autres personnels ne font pas l’objet d’un classement préférentiel.
7. Mobilité et dialogue de gestion
Il est rappelé que les dispositions relatives à la mobilité et au dialogue de gestion dans le cadre de l’avancement de
grade, précisées au point 1.3 de l’instruction de référence, sont à appliquer stricto sensu.
8. Cas particuliers
8.1. Sous-officiers en position de non-activité
Les militaires placés en congé de longue durée pour maladie ou en congé de longue maladie conservent leur droit
à l’avancement lorsque l’affection survient du fait ou à l’occasion de l’exercice des fonctions ou à la suite de l’une des
causes exceptionnelles prévues à l’article L. 27 du code des pensions civiles et militaires de retraite.
8.2. Sous-officiers en position de détachement
Un militaire inscrit au tableau d’avancement, détaché en application des articles L. 4139‑1, L. 4139‑2 ou L. 4139‑3
du code de la défense, ne peut être promu durant son détachement. Les promotions des militaires inscrits après lui
continuent, conformément aux dispositions de l’article L. 4136‑3 du code de la défense. Le militaire détaché sera
promu le premier jour du mois qui suit sa réintégration.
Pour le ministre et par délégation :
Le général de corps d’armée,
directeur des personnels militaires de la gendarmerie nationale,
Joël Delpont
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
ANNEXE I
CONFIDENTIEL PERSONNEL SOUS-OFFICIERS.
ATTACHE UNITÉ.
Avancement des sous-officiers de gendarmerie
Branche «
» (a)
N° __________________
ÉTAT JUSTIFICATIF DES INSCRIPTIONS AU TABLEAU D'AVANCEMENT POUR L'ANNÉE 2013.
Majors. Adjts-chefs.
Adjudants.
Maréchaux des logis-chef.
Voie
GFC.
Voie
Voie
GFC.
classique.
classique. professionnelle.
1. Effectif autorisé au 31.12.2012(b).
(c)
2. Effectif réalisé au 31.12.2012 .
(d)
3. Détachements gradés GM en GD .
4. Repyramidage 2013.
5. Balance (1 – 2 + 4) + (- ou + 3) (+ ou -).
PERTES 2013.
6. Radiations certaines des cadres pour l’année du T.A(e).
7. Vacances répercussion promotions prévisionnelles(f).
8. Vacances répercussion réussite OGR
(hors liste complémentaire).
9. Vacances probables(g).
(h)
10. Prévisions d’affectation hors branche et CSA gradés .
11. TOTAL des pertes (5 + 6 + 7 + 8 + 9 + 10).
GAINS 2013.
(h)
12. Prévisions d’affectation hors branche et CSA gradés .
13. Postes réservés par la DGGN.
14. TOTAL des gains (12 + 13).
15. Possibilités d'inscriptions (5 + 11 – 14).
VOLONTAIRES À L'AVANCEMENT.
Majors. Adjts-chefs.
Adjudants.
Maréchaux des logis-chef.
GFC.
Voie
Voie
Voie
GFC.
classique.
classique. professionnelle.
16. Nombre de volontaires remplissant la (les) condition(s)
statutaire(s) (P - NP) pour « voie classique » et « voie
professionnelle » et nombre de volontaires (P - NP) pour la
voie « GFC ».
17. Nombre de volontaires remplissant les conditions de
gestion pour la GFC(i).
18. Inscriptions réalisées au TA 2013.
19. Nombre de militaires remplissant la (les) condition(s)
statutaires et non volontaires pour l'avancement, à la date
d'arrêt du TA.
Signature du Commandant de formation administrative
(a) Préciser la branche ou la spécialité.
(b) Cadre général : déduire les effectifs autorisés dans toutes les spécialités, les personnels affectés au sein de la direction de la protection et de la sécurité de la défense
(DPSD) et les gestions de fin de carrière (GFC) pour le grade d'adjudant.
(c) Cadre général : déduire les effectifs réalisés dans toutes les spécialités, les personnels affectés au sein de la DPSD et les GFC pour le grade d'adjudant.
(d) Uniquement détachements prononcés. Perte pour la branche GM et gain pour la branche GD. Sur pièce jointe, fournir par grade, le nigend, le nom, prénom,
l'affectation d'accueil et la date du mouvement (entrée, sortie) pour tous les détachés quelque soit l'année initiale de détachement.
(e) Radiations des cadres par limite d'âge (LA) ou par anticipation (effective à l'établissement du présent état). Sur pièce jointe, fournir par grade, le nigend, le nom, le
prénom et la date de radiation effective.
(f) Répercussion des possibilités d'inscriptions au grade d'adjudants-chefs et d'adjudant.
(g) Calculées sur la base statistique des vacances effectivement constatées sur les cinq dernières années (radiation des cadres, positions non-activité, décès ...).
(h) Dont la réalisation relève des attributions des autorités déconcentrées. Aucun mouvement ne devra être pris en compte sans l'accord de principe écrit de la branche
d'accueil. Sur pièce jointe, fournir par grade, le nigend, le nom, le prénom, l'affectation d'accueil et la date du mouvement.
(i) Cf. point 2. de l'instruction de dernière référence. Sur pièce jointe, fournir par grade, le nigend, le nom, prénom, la date de radiation par limite d'âge.
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Âge.
Gestion
de fin de carrière.
Voie
Professionnelle.
Encadrement
Commandement.
Mobilité
fonctionnelle.
MDC
ADJ
Encadrement.
MDC
Concours OGR (ADJ ITA à MAJ)
ADC
ADJ
MDC
MAJ ou OGR
Commandement.
ADJ
ADC
25. 26. 27. 28. 29. 30. 31. 32. 33. 34. 35. 36. 37. 38. 39. 40. 41. 42. 43. 44. 45. 46. 47. 48. 49. 50. 51. 52. 53. 54. 55. 56. 57. 58. 59.
Engagement / expériences / compétences
Aptitude à exercer des responsabilités
Concours EOGN SD
OPJ/DA/DS
Exécution.
Parcours de carrière médian
(plage de grade et âges moyens)
ANNEXE II
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 267
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_____
Direction générale
de la gendarmerie nationale
_____
Direction des soutiens
et des finances
_____
Sous-direction de l’immobilier
et du logement
_____
Bureau du budget
et de la réglementation
_____
Circulaire no 48000 du 24 mai 2012 relative à l’hébergement des volontaires
dans les armées servant au sein de la gendarmerie nationale
NOR : INTJ1225333C
Références :
Décret no 2008‑955 du 12 septembre 2008 (JO du 16 septembre 2008, texte no 37 ; signalé au BOC 42 : 2008 ;
BOEM 106.2, 300.3, 311.1, 323.1, 331.2, 614.1, 621‑4, 651.5, 810.1, 810.2 – CLASS. : 91.03) ;
Instruction no 201710/DEF/SGA/DFP/FM/1 du 4 novembre 2005 (BOC 2005, p. 8299 – CLASS. : 31.00)
modifiée ;
Circulaire no 21550/MA/GEND/A/I du 7 mai 1973 (CLASS. : 95.03) ;
Correspondance de la direction de la législation fiscale du ministère de l’économie, des finances et de l’industrie
du 29 juillet 2005 (ND).
Pièce(s) jointe(s) :
Deux annexes ;
Correspondance de la direction de la législation fiscale du ministère de l’économie, des finances et de l’industrie
du 30 mai 2000.
Préambule
La présente circulaire a pour objet de préciser les modalités d’hébergement des personnels ayant souscrit un contrat
de volontariat dans la gendarmerie, en qualité de gendarme adjoint ou d’aspirant de gendarmerie issu du volontariat.
Militaires non professionnels hébergés gratuitement en célibataire par l’État au titre de leur participation au service
national en qualité de volontaires, ils ne sont pas réglementairement éligibles à une concession de logement.
La gratuité d’occupation des locaux d’hébergement s’étend aux dépenses correspondant aux charges et
consommations individuelles (eau, gaz, électricité, chauffage, entretien,...) qui incombent aux formations. Ils
perçoivent en conséquence l’indemnité pour charges militaires au taux logé.
À l’exception des indemnisations dues pour des détériorations résultant d’une faute personnelle détachable du
service, aucune contribution ne peut être demandée aux volontaires.
1. Nature des locaux d’hébergement
Les locaux d’hébergement, considérés comme des locaux de service, doivent, sauf cas exceptionnel, être situés à
l’intérieur des casernes de gendarmerie domaniales ou locatives.
Ils doivent répondre dans toute la mesure du possible au standard de confort suivant : chambre individuelle de 9 m2
au moins par militaire avec sanitaires et coin cuisine commun.
Ces locaux peuvent prendre la forme soit d’un local d’hébergement spécifique, soit d’une chambre individuelle
dans un logement déclassé en local de service.
1.1. Les locaux d’hébergement spécifiques
Dans les constructions existantes, les locaux d’hébergement doivent permettre une individualisation des chambres.
Lorsque ce n’est pas le cas, des travaux d’aménagement seront réalisés pour y parvenir. Les équipements sanitaires
seront rénovés en cas de besoin.
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 268
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Dans les constructions neuves ou lors des opérations de réhabilitation, l’hébergement sera réalisé, selon trois
configurations :
– soit par l’attribution d’une chambre dans un logement famille dit « réversible » (type 3, 4 ou 5), comprenant
2 WC indépendants. Une salle d’eau (une douche et un lavabo) est attachée à chaque chambre et uniquement
accessible depuis celle-ci ;
– soit par un module individuel d’une surface de 20 m², jusqu’à 3 unités. Le ou les modules sont construits de
manière indépendante en juxtaposition des locaux de service. La salle d’eau avec WC intègre le principe de mise
en place d’une machine à laver le linge ;
– soit par un module de 19 m² au-delà de 3 unités. Dans ce cas, les modules sont intégrés à une entité immobilière
indépendante comprenant des locaux communs (lingerie, local de convivialité et local cycles) construite en
juxtaposition d’un bâtiment logements « familles ».
1.2. L’attribution d’une chambre individuelle dans un logement déclassé
À défaut de locaux spécifiques, les logements situés en caserne dont le déclassement (1) en locaux de service a été
autorisé par la direction générale de la gendarmerie nationale sont destinés à l’hébergement des gendarmes adjoints
ou aspirants volontaires.
En pareille hypothèse, chaque militaire hébergé dans le logement déclassé dispose d’une chambre individuelle.
En outre, à l’exclusion de la partie commune constituée par les dégagements, le coin cuisine et les sanitaires, il ne
peut être mis à la disposition des occupants une pièce supplémentaire autre que celle qui leur a été attribuée supra ;
les pièces inoccupées sont considérées comme des locaux de service et peuvent être utilisées comme tels par le corps
gestionnaire.
L’attention est appelée sur la nécessité d’informer les services fiscaux compétents en temps utile afin de faire
bénéficier ces locaux de l’exonération de la taxe d’habitation et de la taxe d’enlèvement des ordures ménagères.
Lorsque les logements déclassés permettent l’hébergement d’au moins deux gendarmes adjoints ou aspirants
volontaires, les seuls travaux d’aménagement, s’ils sont possibles, viseront à améliorer l’équipement de la salle de
bain. Une cabine de douche comprenant un espace déshabillage pourra remplacer la baignoire et un deuxième lavabo
pourra être installé si la surface de la pièce le permet. Les portes des chambres seront équipées d’une serrure à clef.
Les chambres individuelles susceptibles d’être utilisées en local d’hébergement doivent, dans toute la mesure du
possible, être équipées d’une ligne téléphonique privée (liaison internet), d’une prise télévision et d’un réseau de
6 prises de courant. En tout état de cause, une chambre individuelle ne peut pas être utilisée en local d’hébergement
si elle ne comporte pas au minimum 3 prises de courant.
La mixité dans les logements déclassés destinés à l’hébergement des volontaires n’est pas interdite. En cas de
mixité, il conviendra néanmoins de veiller à ce que les chambres, salles de bains et sanitaires disposent chacun d’un
système de verrouillage permettant de préserver l’intimité des militaires.
Par ailleurs, au sein d’un même logement déclassé, l’hébergement de personnels militaires de statuts différents doit
être évité dans toute la mesure du possible.
2. Matériels meublant les locaux d’hébergement
Le lot de mobilier, de couchage et d’ameublement codifié 0219 00 au catalogue no 9605 MA/GEND/AF.3 T est
reconduit pour les gendarmes adjoints et pour les aspirants de gendarmerie issus du volontariat.
Sous réserve d’obtenir l’autorisation préalable du commandement, le militaire peut équiper le local attribué d’un
mobilier personnel conforme aux normes de sécurité en vigueur, en lieu et place du lot ci-dessus désigné.
En revanche, il n’appartient pas à l’État-gendarmerie de financer la mise en place de téléviseurs dans les locaux
d’hébergement. Toutefois, il est précisé qu’une partie des crédits des actions communautaires et culturelles doit être
utilisée, après avis des comités sociaux territorialement compétents, pour financer l’installation de tels matériels.
3. Attribution des hébergements et états des lieux
L’attribution d’un local d’hébergement est prononcée par le commandant de région (ou autorité assimilée) sur la
base d’une décision conforme au modèle figurant en annexe I. Celui-ci peut déléguer ce pouvoir aux commandants
de groupement de gendarmerie départementale ou mobile qui lui sont subordonnés. Corrélativement, le gestionnaire
procède à la mise à jour de la base GEAUDE 2 G AI.
(1) Le déclassement des logements domaniaux ou non domaniaux est régi par la circulaire no 21550/MA/GEND/AI du 7 mai 1973 (CLASS. :
95.03).
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 269
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Lors de l’entrée dans les lieux et lors de la sortie, il est procédé contradictoirement à un état des lieux du local
d’hébergement ainsi qu’à un inventaire des matériels mis à disposition. Ce document est signé par l’hébergé ainsi que
par le commandant de caserne.
Un modèle d’état des lieux figure en annexe II.
4. Conditions d’occupation des locaux d’hébergement
S’agissant de locaux de service, les règles d’occupation sont définies par le commandement, notamment en ce qui
concerne le droit de visite et l’accès aux chambres. Par ailleurs, l’attribution d’un local d’hébergement ne permet pas
à l’occupant de prétendre à une quelconque jouissance privative des lieux.
4.1. Occupation en célibataire de la chambre individuelle attribuée
Les volontaires sont hébergés en célibataire. Cette disposition ne saurait toutefois exclure ni un accueil momentané
à l’occasion d’une visite, ni un accueil de courte durée soumis à une autorisation écrite du commandant de caserne (2).
L’autorisation donnée par le commandement n’emporte pas droit à occuper un autre local d’hébergement. Dans cet
esprit, il importe de veiller à la présence, ou le cas échéant d’assurer la pose, de dispositifs de fermeture aux portes
des chambres individuelles des militaires hébergés ainsi qu’à celle de la salle d’eau.
4.2. Interdiction de détenir un animal domestique
Par analogie avec les dispositions de la circulaire no 11000/DEF/GEND/Œ/EMP/SERV du 5 mai 1982, l’occupation
d’un local d’hébergement, classé dans la catégorie locaux de service, ne permet pas aux militaires occupants de
détenir, à titre privé, un animal domestique.
4.3. Modalités relatives au contrôle des locaux d’hébergement
Le commandement (3) doit procéder régulièrement aux visites des locaux de service qui s’avèrent nécessaires
dans les différents domaines relevant de sa responsabilité. Il lui appartient notamment de veiller à ce que les règles
élémentaires d’hygiène et de sécurité soient respectées (usage des multi-prises, des installations sanitaires pour la
vaisselle,...). à cet effet, le principe de revues de chambres, régulières et annoncées, doit être privilégié.
Si, sur le fond, il n’y a pas lieu de distinguer les locaux d’hébergement des autres locaux de service, il importe
cependant de conserver à l’esprit la destination des chambres individuelles et de préciser que de tels contrôles ne
doivent pas, sauf en cas de nécessité avérée, nuire au repos ou à la tranquillité des occupants (4). Ils doivent être
annoncés au moins vingt-quatre heures à l’avance en précisant l’objet et être réalisés en présence de l’occupant des
lieux.
Ce principe ne doit cependant pas être de nature à empêcher ou limiter l’action du commandement, notamment
en cas d’urgence. à ce titre, le commandant de caserne doit disposer d’un double des clés dans les mêmes conditions
que pour les logements concédés par nécessité absolue de service.
5. Utilisation de matériels personnels et responsabilité des occupants
5.1. L’utilisation d’appareils électriques personnels
Les gendarmes adjoints et aspirants de gendarmerie issus du volontariat sont entretenus par l’État au moyen de
prestations en deniers et en nature. À ce titre, l’État est tenu de pourvoir gratuitement à leur alimentation, à leur
hébergement, au renouvellement et à l’entretien de leur paquetage, et de dispenser certaines prestations destinées à
accroître leur bien-être.
Il appartient en conséquence à la gendarmerie de mettre en place les matériels indispensables ainsi que, dans la
mesure du possible, ceux qui peuvent procurer à ces personnels des possibilités de relations, de loisirs et de détente.
(2) Par analogie avec les dispositions de l’annexe I à la circulaire no 11000/DEF/GEND/Œ/EMP/SERV du 5 mai 1982 (CLASS. : 31 42), dont le
champ d’application se limite strictement à l’admission de personnes dans les logements concédés par nécessité absolue de service, le commandant
de caserne, compétent pour délivrer cette autorisation d’accueil de courte durée, de l’ordre de quelques jours, devra être informé de l’identité de
la personne accueillie.
(3) Ce terme désigne aussi bien l’autorité de commandement territorial en charge de l’immobilier que l’autorité de commandement organique
telle que la prévoit l’instruction no 30000/GEND/2SF/SDI du 23 octobre 2009 (CLASS. : 95 19).
(4) Dans toute la mesure du possible, il conviendra d’éviter de procéder à ces contrôles au cours :
– d’un repos consécutif à un service nocturne ;
– d’un accueil momentané ou de courte durée autorisé par le commandement.
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Cependant, si, pour des raisons diverses, il ne peut être apporté satisfaction à des besoins qui se révèlent manifestes, le
commandement peut, si la configuration du réseau électrique le permet (réseau de prises, disjoncteur de protection...),
autoriser l’installation et l’utilisation, dans les locaux réservés à l’hébergement, d’appareils électroménagers mais
également de radios, téléviseurs, chaînes hi-fi, ordinateurs...
5.2. Les responsabilités
5.2.1 Responsabilité en cas de sinistre ayant pour origine l’utilisation d’appareils électriques personnels
Si l’utilisation de ces appareils est autorisée par le commandement, les dommages qui pourraient en résulter
engagent la responsabilité de l’État au même titre que si ces appareils avaient été fournis par l’administration.
Dans ces conditions, il appartient au commandement d’en fixer les modalités d’emploi et de s’assurer de leur bon
fonctionnement. à défaut, la responsabilité du commandement pourrait être recherchée sur la base d’une négligence.
Seul le cas d’utilisation non autorisée pourrait éventuellement exonérer l’administration de cette responsabilité.
5.2.2. Responsabilité en cas de sinistre ayant une autre origine
L’État-gendarmerie est par principe responsable des dommages subis par des tiers, par lui-même ou par ses agents
dans les locaux de service ou du fait de ces locaux. Il lui appartient de prendre toutes les dispositions pour s’assurer
du parfait état de ces locaux et du mobilier en place ainsi que de l’usage qui en est fait.
Le volontaire est un agent de l’État et, en tant que tel, sa responsabilité pécuniaire ne peut être engagée dans
l’utilisation d’un local de service qu’en cas de faute personnelle. Bien que les critères de la faute personnelle soient
assez divers, constitue généralement une faute personnelle :
– la faute qui révèle la recherche d’un intérêt personnel (usage du local d’hébergement en violation des conditions
restrictives,...) ;
– la faute qui révèle une intention malveillante ;
– la faute lourde (négligence, imprudence ou maladresses inexcusables) ;
– la faute qui constitue un délit pénal (incendie ou dégradations volontaires,...).
Par ailleurs, en application de l’article L. 4123‑10 du code de la défense, l’État doit, dans la mesure où aucune faute
personnelle détachable de l’exécution des fonctions n’a été commise, couvrir le militaire des condamnations civiles
prononcées contre lui.
5.2.3. Intérêt de souscrire une assurance
Il ne peut pas être imposé aux volontaires la souscription d’une assurance pour couvrir les dommages susceptibles
d’être occasionnés dans les locaux d’hébergement. Il est néanmoins recommandé à ces personnels de contracter une
assurance en responsabilité civile pour garantir les préjudices causés aux tiers mais aussi les dommages subis par leurs
biens personnels en cas de sinistre dans le local d’hébergement.
6. Situation des militaires autorisés à se loger à l’extérieur
Les gendarmes adjoints ou aspirants mariés, liés par un pacte civil de solidarité (PACS), concubins ou chargés de
famille peuvent, sous réserve d’obtenir une autorisation préalable du commandant de région, se loger à l’extérieur d
ans des conditions compatibles avec l’exécution du service. Il leur incombe dès lors de s’acquitter des dépenses de
loyer et charges qui en résultent. Il n’incombe pas à l’État d’obligation particulière de transport du personnel pour
les trajets travail-domicile qui restent financièrement à la charge des intéressés. Une telle autorisation ne dispense
pas non plus le militaire concerné de son obligation d’occuper le local mis à sa disposition lorsqu’il appartient à la
ressource employée.
Les volontaires mariés, vivant en concubinage, liés par un PACS et autorisés à se loger à l’extérieur sont éligibles
à l’indemnité pour charges militaires (ICM) au taux non logé et à un taux particulier de l’ICM dès lors qu’ils
remplissent les conditions prévues par la réglementation en vigueur (5).
Conformément aux dispositions de l’instruction no 21467/DEF/DAG/SDP/HAB du 2 juin 1997 (BOC, p. 2861),
les gendarmes adjoints et aspirants, chargés de famille, pacsés depuis plus de trois ans ou chargés de famille peuvent
prétendre à l’attribution d’un logement militaire familial sous réserve de satisfaire aux conditions fixées par cette
instruction.
(5) Conformément au paragraphe 1.2.3. de la circulaire no 7300/DEF/GND/LOG/ADM du 26 mars 1993 (CLASS. : 93.11).
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7. Régime fiscal applicable aux locaux d’hébergement
7.1. La taxe d’habitation
L’attribution d’un local d’hébergement n’emportant pas la disposition privative et personnelle d’un logement, les
militaire hébergés en caserne sont exonérés de la taxe d’habitation.
S’agissant des situations exceptionnelles dans lesquelles ces militaires seraient hébergés dans des logements pris à
bail hors caserne ou des ensembles immobiliers locatifs, l’imposition est établie au nom de la gendarmerie nationale,
en sa qualité de locataire, sans qu’aucune contribution ne puisse être réclamée à ce titre aux occupants des lieux.
En conséquence, il appartient au corps gestionnaire de supporter le paiement de cette taxe sur son budget de
fonctionnement.
7.2. La taxe d’enlèvement des ordures ménagères (TEOM)
En aucun cas les militaires hébergés ne sont imposables à la TEOM.
Lorsque la gendarmerie nationale doit s’acquitter de cette taxe (6), il appartient au corps gestionnaire de supporter
le paiement de cette taxe sur son budget de fonctionnement, sans qu’aucune contribution ne puisse être réclamée à
ce titre aux occupants les lieux.
7.3. La redevance d’enlèvement des ordures ménagères
S’agissant de la redevance d’enlèvement des ordures ménagères prévue à l’article L. 2333‑76 du code général des
collectivités territoriales, celle-ci n’a pas de caractère fiscal. En conséquence, la redevance, instaurée par la collectivité
territoriale en lieu et place de la taxe, est due pour les locaux d’hébergement et, plus généralement, pour les locaux
de service et techniques. Elle est mise à la charge du corps gestionnaire, sans qu’aucune contribution ne puisse être
réclamée à ce titre aux occupants les lieux.
7.4. Conséquence liée au régime fiscal des locaux d’hébergement
Le régime fiscal applicable aux locaux d’hébergement doit conduire les destinataires à faire réintégrer dans les
casernes domaniales ou locatives les militaires actuellement hébergés dans des logements pris en location hors caserne
par la gendarmerie nationale ou dans des ensembles immobiliers locatifs.
9. Dispositions transitoires
La présente circulaire entre en vigueur à compter du 1er juillet 2012. Elle n’annule ni les décisions d’attribution de
locaux d’hébergement, ni les états des lieux établis antérieurement.
Pour le ministre et par délégation :
Le général de corps d’armée,
major général de la gendarmerie nationale,
R. Lizurey
(6) Les logements pris à bail hors caserne et les ensembles immobiliers loués par la gendarmerie nationale sont imposables à la TEOM au nom
du propriétaire. Celui-ci a la possibilité de récupérer la TEOM auprès de la gendarmerie en sa qualité de locataire.
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ANNEXE I
Région de gendarmerie de
_____
N°
Décision portant attribution à titre précaire et révocable d’un local d’hébergement à un militaire
de la gendarmerie ne bénéficiant pas d’une concession de logement par nécessité absolue
de service
Le ministre de l’intérieur,
Vu le code de la défense (notamment les articles L. 4125‑5, L. 4132‑5 et L. 4132‑11) ;
Vu le décret no 2008‑955 du 12 septembre 2008 relatif au volontariat militaire ;
Vu l’instruction provisoire no 24000/DEF/GEND/PM/LOG/ADM du 7 décembre 1998 (CLASS : 12.52) ;
Vu la circulaire no 48000/GEND/DSF/SDIL/BBR du 24 mai 2012 relative à l’hébergement des volontaires dans
les armées servant au sein de la gendarmerie nationale ;
Vu l’ordre de mutation no ....... du ........ portant affectation à ...... à compter du ............ ;
Attendu que selon la circulaire, les gendarmes adjoints (ou aspirant volontaires) sont des militaires non
professionnels hébergés gratuitement en célibataire par l’État au titre de leur participation au service national en
qualité de volontaires ;
Attendu que cette gratuité ne saurait exclure une responsabilité de l’occupant en cas de dégradation imputable à
son fait ;
Attendu que le local d’hébergement doit être situé en caserne et peut consister soit en un local d’hébergement
spécifique soit en une chambre individuelle dans un logement déclassé ;
Attendu que ces locaux d’hébergement, dont l’occupation est toujours liée à l’exécution du service, excluent toute
jouissance privative des lieux et ne permettent pas à leur attributaire d’héberger leur famille, des personnes de leurs
relations ou de détenir des animaux ;
Décide :
Article 1er
Un local spécifique d’hébergement (ou une pièce du local de service), UI no ........, en caserne, sis ...... est attribué à
titre gratuit, précaire et révocable au gendarme adjoint (ou à l’aspirant) ....... à compter du ..........
Article 2 Lors de l’entrée dans les lieux et lors de la sortie, il sera procédé contradictoirement à un état des lieux du local
d’hébergement entre l’hébergé et le commandant de caserne.
Article 3
L’occupant devra utiliser les lieux en « bon père de famille », respecter les prescriptions du règlement de caserne et
les règles de vie en collectivité dans la gendarmerie. Son attention est attirée sur l’intérêt de disposer d’une assurance
en responsabilité civile couvrant, non seulement les dommages qui pourraient lui être imputés au titre d’un sinistre
dans son local d’hébergement, mais aussi les dommages subis par ses biens personnels ainsi que les dommages causés
par lui-même à des tiers.
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Article 4 L’occupant n’est pas autorisé à héberger des membres de sa famille ou des personnes de ses relations, sauf si une
autorisation écrite a été donnée par le commandant de caserne pour une période de courte durée. Par ailleurs, il n’est
pas autorisé à détenir un animal de compagnie, ou à procéder ou faire procéder à des installations particulières (1).
Article 5 La présente décision peut faire l’objet d’un recours auprès de la commission instituée par les articles R. 4125‑1
et suivants du code de la défense dans un délai de deux mois à compter de sa date de notification. La saisine de la
commission est un préalable obligatoire à l’exercice d’un recours contentieux devant la juridiction administrative
compétente.
Article 6
Cette décision sera notifiée à l’intéressé dans les conditions définies par la note-express no 40000/DEF/GEND/RH/
ETG du 17 août 2001 (CLASS : 31.23).
Destinataires :
Intéressé
Centre expert des ressources humaines
Commandant de caserne
Diffusion
intérieure :
Section affaires immobilières (région)
Bureau du personnel (région)
Groupe soutien ressources humaines (groupement)
(1) L’occupant des lieux a cependant la possibilité de souscrire, à titre personnel, un abonnement pour disposer d’une ligne téléphonique privée
ou de l’accès à un réseau câblé. Cet abonnement est réalisé selon les prescriptions énoncées au III du chapitre II de l’instruction no 6900/DEF/
GEND/TI/2T/MF du 11 mars 1988 (CLASS. : 98.12).
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ANNEXE II
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C O R R E S P O N DA N C E
MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE,
DES FINANCES ET DE L’INDUSTRIE
_____
Direction générale des impôts
_____
Direction de la législation fiscale
_____
Sous-direction C – Bureau C 2
139, rue de Bercy
75572 PARIS CEDEX 12
Télédoc 571
N° DS/99029886i/CPF
___
Le directeur de la législation fiscale à Monsieur le directeur général de la Gendarmerie nationale,
35, rue St-Didier, 75775 PARIS Cedex 16
Objet : Situation au regard de la taxe d’habitation et de la taxe d’enlèvement des ordures ménagères des gendarmes
adjoints.
La direction de la législation fiscale a été saisie par plusieurs directions des services fiscaux de demandes
d’exonérations d’impôts locaux émanant de groupements locaux de gendarmerie en faveur de logements occupés par
des gendarmes adjoints.
Les différentes informations fournies par vos services ainsi que les renseignements obtenus par les services fiscaux
auprès desquelles des demandes ont été déposées, ont permis de dégager l’analyse suivante.
1. En ce qui concerne la taxe d’habitation
Les conditions d’hébergement dans les casernes des gendarmes adjoints diffèrent notablement de celle des
gendarmes titulaires bénéficiant d’un logement de fonction concédé par nécessité absolue de service. Contrairement à
ces derniers, les gendarmes adjoints n’ont pas la disposition privative et personnelle d’un logement.
Par conséquent, au regard des principes d’imposition à la taxe d’habitation, aucune imposition à cette taxe ne peut
être établie à leur nom.
2. En ce qui concerne la taxe d’enlèvement des ordures ménagères
Il convient de distinguer les casernes dont l’État est propriétaire et celles qui appartiennent aux collectivités locales
qui les louent à la Gendarmerie Nationale.
2.1. Casernes dont l’État est propriétaire
Lorsqu’elles sont propriétés de l’État, affectées à un service public et non productives de revenus, les casernes sont
exonérées de taxe foncière sur les propriétés bâties en application de l’article 1382‑1o du code général des impôts et de
taxe d’enlèvement des ordures ménagères.
Toutefois, les gendarmes attributaires d’un logement de fonction sont imposés nominativement à la taxe,
conformément à l’article 1523 du code général des impôts.
Cela étant, cette disposition ne peut s’appliquer qu’à un logement pris dans son intégralité et non à une chambre
au sein d’un tel logement.
Par conséquent, les gendarmes adjoints qui ne disposent que d’une chambre dans un appartement ne sont pas
imposables à la taxe d’enlèvement des ordures ménagères.
2.2. Casernes dont les collectivités locales sont propriétaires
Lorsque les casernes sont prises à bail par la Gendarmerie Nationale auprès d’une collectivité locale moyennant
versement d’un loyer, la taxe foncière est normalement due. En effet, dans cette situation, la collectivité locale
propriétaire des locaux ne peut bénéficier de l’exonération visée à l’article 1382‑l° du code général des impôts, la
condition d’absence de productivité de revenus n’étant pas remplie. Par conséquent, la taxe d’enlèvement des ordures
ménagères est en principe également due.
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Cela étant, l’article 1521‑II du code général des impôts prévoit que sont exonérés de la taxe d’enlèvement des
ordures ménagères les locaux sans caractère industriel ou commercial loués par l’État et affectés à un service public.
Les casernes de la Gendarmerie Nationale dont l’État n’est pas propriétaire peuvent bénéficier de cette exonération.
Toutefois, les dispositions de l’article 1523 précité demeurent applicables aux gendarmes attributaires d’un logement
de fonction.
3. En ce qui concerne la redevance d’enlèvement des ordures ménagères
Celle‑ci relève de la compétence du ministère de l’intérieur, direction générale des collectivités locales, sous‑direction
des compétences et institutions locales, bureau des services industriels et commerciaux, à qui une copie de
l’argumentaire rédigé par vos services a été transmise.
*
*
*
Conformément au souhait de la gendarmerie nationale, il sera procédé à une harmonisation au plan national
du traitement fiscal des logements situés dans les casernes et occupés par les gendarmes adjoints, sur la base des
informations fournies par les groupements de gendarmerie concernés.
Paris, le 30 mai 2000
Le directeur,
Hervé Le Floc’h-Louboutin
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_____
Direction générale
de la gendarmerie nationale
_____
irection des personnels militaires
D
de la gendarmerie nationale
_____
Sous-direction de la gestion
du personnel
_____
Bureau du personnel
de la réserve militaire
_____
Circulaire no 57974 du 19 juin 2012 relative à l’avancement des sous-officiers
et militaires du rang de la réserve opérationnelle pour l’année 2012
NOR : INTJ1230551C
Références :
Code de la défense, notamment ses articles L. 4143‑1, L. 4221‑3, R. 4221‑21et R. 4221‑22, R. 4221‑24 et R. 4221‑27 ;
Décret no 2008‑961 du 12 septembre 2008 relatif aux militaires engagés ;
Arrêté du 7 juin 2010 fixant pour la gendarmerie nationale les conditions à remplir pour être proposable au
grade supérieur dans la réserve opérationnelle ;
Arrêté du 7 juin 2010 relatif aux délégations de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière de gestion et
d’administration des officiers, sous-officiers et militaires du rang de réserve de la gendarmerie nationale ;
Arrêté du 4 août 2010 fixant pour la gendarmerie nationale la composition et l’organisation de la commission
prévue à l’article L. 4136‑3 du Code de la Défense.
La présente circulaire a pour objet de préciser les conditions d’exécution du travail d’avancement des militaires du
rang, des sous-officiers rattachés au corps des sous-officiers de gendarmerie et des sous-officiers rattachés au corps
des sous-officiers du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale appartenant à la réserve
opérationnelle de 1er niveau. Elle fixe à cet effet les éléments techniques à prendre en considération.
1. Conditions générales
Pour être proposables, les candidats doivent réunir les conditions suivantes :
– être titulaires d’un ESR homologué et en cours de validité au 1er décembre 2012 ;
– être volontaires à l’avancement ;
– avoir été radiés des cadres de l’active au plus tard le 31 décembre 2011 et avoir effectué un minimum de 5 jours
d’activité dans la réserve.
2. Prises en compte des demandes
2.1.Tout réserviste, qui remplit les conditions requises, est pris en compte pour l’avancement par sa région
d’affectation au 1er janvier 2012.
2.2.Les réservistes proposables rattachés au corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie font
l’objet d’un travail distinct.
2.3.Les réservistes proposables affectés en gendarmerie mobile font également l’objet d’un travail distinct réalisé
au niveau de la région zonale de gendarmerie.
2.4.Les réservistes proposables affectés en gendarmerie de l’air, maritime, de l’armement, des transports aériens,
au CGOM, dans les COMGEND, à l’ECASGN, à la garde républicaine et au GIGN sont pris en compte par
leurs commandements respectifs.
3. Avancement des sous-officiers de réserve
3.1. Conditions d’ancienneté
3.1.1. Sous-officiers de gendarmerie
Les conditions d’ancienneté minimum de grade sont arrêtées à l’échelon régional.
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3.1.2. Sous-officiers du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale
Les conditions d’ancienneté minimum de grade exigées figurent sur le tableau ci-dessous :
POUR LE GRADE DE
GRADE ET ANCIENNETÉ MINIMUM DE GRADE EXIGÉS
Major
4 ans et 4 mois minimum d’ancienneté de grade au 31/12/2012
Adjudant-chef
2 ans et 4 mois minimum d’ancienneté de grade au 31/12/2012
Adjudant
2 ans et 6 mois minimum d’ancienneté de grade au 31/12/2012
Maréchal des logis chef
4 ans et 2 mois minimum d’ancienneté de grade au 31/12/2012
Ces sous-officiers de réserve, à la différence de leurs homologues de l’active, ne sont pas distingués en gestion par
le biais de leur spécialité (AGP, GLF, AEB...).
Qu’il s’agisse des sous-officiers de réserve rattachés au corps des sous-officiers de gendarmerie ou au corps des sousofficiers du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale, les périodes d’interruption du
contrat d’engagement ne sont pas prises en compte pour le calcul de l’ancienneté de grade du réserviste opérationnel.
3.2. Conditions particulières
Qu’il s’agisse des sous-officiers de réserve rattachés au corps des sous-officiers de gendarmerie ou des sous-officiers
de réserve rattachés au corps des sous-officiers du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie, il est
tenu compte de la manière de servir, du nombre de jours d’activité, de l’expérience militaire déjà acquise, de l’aptitude
au commandement et du potentiel du candidat.
4. Avancement des militaires du rang de réserve
Les militaires du rang de réserve sont rattachés au corps des militaires engagés. Le décret 2008‑961 du
12 septembre 2008 relatif aux militaires engagés précise dans son article 15 les conditions d’avancement des militaires
du rang :
– pour le grade de brigadier, avoir obtenu une qualification et servi trois mois sous ESR ;
– pour le grade de brigadier-chef, avoir servi au moins un mois sous ESR dans le grade de brigadier ;
– pour le grade de gendarme, avoir obtenu une qualification et servi au moins six mois sous ESR dont au moins
deux mois dans le grade de brigadier-chef.
Les périodes d’interruption du contrat d’engagement ne sont pas prises en compte pour le calcul de l’ancienneté
de grade du réserviste opérationnel.
4.1. Réservistes issus des PMIPDN
(périodes militaires d’initiation ou de perfectionnement à la défense nationale)
4.1.1. Réservistes brevetés PMG (Préparation Militaire Gendarmerie)
–la qualification requise pour pouvoir être promu jusqu’au grade de brigadier-chef est le diplôme d’aptitude
réserve (DAR) ;
– la qualification requise pour pouvoir être nommé au grade de gendarme est le diplôme d’agent de police judiciaire
adjoint (APJA).
4.1.2. Réservistes brevetés PMSG (Préparation Militaire Supérieure Gendarmerie)
Les réservistes brevetés PMSG ont la qualité d’APJA à la signature de leur contrat ESR, sous réserve qu’ils aient
réussi, durant leur stage de formation, l’ensemble des unités de valeur APJA.
4.2. Réservistes, anciens gendarmes-adjoints volontaires
4.2.1. Anciens gendarmes adjoints volontaires-APJA
Ces personnels, sous réserve qu’ils soient titulaires du diplôme de gendarme adjoint (DGA), peuvent accéder à
l’avancement jusqu’au grade de gendarme de réserve.
4.2.2. Anciens gendarmes adjoints volontaires-emploi particulier
4.2.2.1. Réservistes employés dans des postes de soutien
En l’absence de cursus de formation, il est tenu compte de leur manière de servir, de leur nombre de jours d’activité
et de l’expérience militaire déjà acquise pour être proposé à l’avancement jusqu’au grade de maréchal des logis de
réserve du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale.
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
4.2.2.2. Pour les réservistes qui ont demandé à être affectés en unités opérationnelles et qui satisfont aux dispositions
générales relatives à l’aptitude médicale
Ces personnels intègrent le cursus de formation du DAR et de l’APJA. Leur avancement est alors identique à celui
évoqué au point 4.1.
4.3. Réservistes anciens gendarmes auxiliaires
L’avancement de ces personnels est identique à celui évoqué au point 4.1.
4.4. Réservistes ayant intégré la réserve par voie de changement d’armée
L’avancement de ces personnels, admis avec leur grade, est identique à celui évoqué au point 4.1.
5. Établissement du tableau d’avancement
La commission d’avancement, qui comprend au moins deux officiers supérieurs, dont un officier (d’active ou de
réserve) chargé de la réserve opérationnelle est présidée par le commandant de région (1).
Après avis de cette commission, pour chaque corps, les tableaux d’avancement annuels sont arrêtés par le
commandant de région (1).
Les réservistes retenus sont inscrits au tableau d’avancement, par grade décroissant, dans l’ordre de leur ancienneté
de grade telle que définie par les articles R. 4221‑24 et R. 4221‑27 du code de la défense.
6. Établissement des décisions de nomination ou de promotion
Les décisions de nomination ou de promotion sont établies pour compter du 1er décembre 2012.
Les réservistes doivent appartenir à la réserve opérationnelle et être sous contrat ESR à la date de leur promotion
ou nomination.
La DGGN/BPRM assure l’insertion au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur de la présente circulaire. Il en est
de même des tableaux d’avancement et des décisions de promotion des sous-officiers de réserve. Aussi, des modèles de
TA et de décisions seront fournis aux régions. L’ensemble des tableaux et des décisions arrêtées devront être transmis
au BPRM au plus tard pour le 1er novembre 2012.
Pour le ministre et par délégation :
Le général de corps d’armée,
directeur des personnels militaires de la gendarmerie nationale,
Joël Delpont
(1) Sauf mention particulière et chaque fois qu’ils sont employés dans la présente circulaire, les termes « commandant(s) de région » et « région(s)
de gendarmerie » visent aussi respectivement le(s) commandant(s) et commandement(s) de la gendarmerie outre-mer, de la garde républicaine, du
groupe d’intervention de la gendarmerie nationale, de la gendarmerie des transports aériens, de la gendarmerie de l’armement, de la gendarmerie
maritime et de la gendarmerie de l’air et de l’établissement central de l’administration et de soutien de la gendarmerie nationale.
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_____
Direction générale
de la gendarmerie nationale
_____
Direction des personnels militaires
de la gendarmerie nationale
_____
Sous-direction des compétences
_____
Bureau de la formation
_____
Instruction no 55000 du 8 juin 2012 relative à la formation des sous-officiers de gendarmerie
servant au titre de la spécialité « systèmes d’information et de communication »
NOR : INTJ1224642J
Références :
Arrêté du 8 juin 2012 fixant les conditions de délivrance du diplôme technique des systèmes d’information et de
communication ;
Arrêté du 22 juillet 2011 fixant les conditions d’obtention du certificat de formation à l’encadrement opérationnel ;
Arrêté du 30 mars 2012 fixant les conditions physiques et médicales d’aptitude exigées des personnels militaires
de la gendarmerie nationale et des candidats à l’admission en gendarmerie ;
Arrêté du 15 avril 2012 relatif à la répartition des sous-officiers de gendarmerie par subdivision d’arme, par
branche ou par spécialité et fixant les branches et spécialités au sein desquelles l’avancement intervient de
façon distincte ;
Instruction no 1700/DEF/DCSSA/AST/AS du 28 janvier 2002 (BOC, p. 1319 ; BOEM 620‑4.1.2.2 – CLASS. : 92.05)
modifiée ;
Instruction no 90500/DEF/GEND/SF/TI/SC/2R du 1er juillet 2008 (n.i. BO – CLASS. : 63.06) ;
Instruction no 139300/DEF/GEND/RH/SDC/FORM du 27 octobre 2008 (n.i. BO – CLASS. : 32.01) ;
Instruction no 49000 du 28 juillet 2011 relative à la formation des gradés supérieurs de gendarmerie nationale à
l’encadrement opérationnel et au commandement ;
Circulaire no 18900/DEF/GEND/RH/RF/FORM du 1er juillet 2004 (BOC, p. 5707 ; BOEM 651.6.2) modifiée ;
Circulaire no 29250/DEF/GEND/RH/RF/FORM du 14 octobre 2005 (BOC, p. 8485 ; BOEM 651.1) modifiée ;
Circulaire no 15400/DEF/GEND/RH/RF/FORM du 1er février 2008 (n.i. BO – CLASS. : 32.01) ;
Circulaire no 3615/GEND/DPMGN/SDGP/BPSOGV du 2 février 2010 (n.i. BO – CLASS. : 32.30).
Pièces jointes : huit annexes.
Texte abrogé : instruction no 46000/DEF/GEND/RH/RF/FORM du 12 février 2009 relative à la formation des sousofficiers de gendarmerie servant au titre de la spécialité « systèmes d’information et de communication » (SIC).
(BOC no 14 du 6 mai 2009, texte 9 – CLASS. : 32.30)
L’organisation du commandement territorial de la gendarmerie affirme le caractère opérationnel des systèmes
d’information et de communication (SIC) de la gendarmerie. Dès lors, il apparaît nécessaire de disposer de personnels
spécialistes capables d’intervenir tout au long des processus d’installation et du maintien en condition opérationnelle
des matériels SIC et d’apporter en toutes circonstances l’expertise technique nécessaire.
La formation dans le domaine des SIC est adaptée aux besoins de la gendarmerie et garantit l’homogénéité des
connaissances des sous-officiers spécialistes.
La présente instruction a pour objet de définir le cursus de formation et les modalités de sélection des sous-officiers
de gendarmerie ayant choisi de servir au titre de la spécialité SIC.
1. Descriptif général de la formation
Les sous-officiers de gendarmerie appelés à exercer des fonctions de spécialiste dans le domaine des SIC suivent
une formation qui s’articule autour :
–d’une formation initiale de sous-officier spécialiste sanctionnée par l’attribution du diplôme technique des
systèmes d’information et de communication (DTSIC), permettant l’intégration au sein de la spécialité SIC ;
– de modules de formation complémentaire garantissant le maintien à niveau des compétences ;
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– d’une formation de gradé à l’encadrement opérationnel sanctionnée par l’attribution du certificat de formation
à l’encadrement opérationnel (CeFEO) ;
– d’une formation au commandement.
2. Diplôme technique des systèmes d’information et de communication (DTSIC)
Conformément au référentiel d’activités et de compétences (RAC) défini en annexe I, la formation au DTSIC a
pour objet d’apporter aux sous-officiers sélectionnés :
– des compétences relatives à l’appui opérationnel des unités ;
– une connaissance de la technologie et des principes de fonctionnement des matériels des systèmes
d’information et de communication ;
– une maîtrise des techniques d’installation, de maintien en condition et de gestion des réseaux ;
– une compétence technique pour la mise en œuvre, l’exploitation et l’administration des systèmes informatiques,
ainsi que la conception et le développement des applications propres à ces systèmes ;
– une capacité à mener des études et expertises techniques ;
– une faculté à dispenser la formation nécessaire aux utilisateurs des systèmes d’information et de
communication.
Le cursus de formation s’organise autour de deux voies distinctes :
– la voie « examen/section SIC-organismes centraux » permettant une affectation en unité de terrain (bureau des
systèmes d’information et de communication (BSIC) – section des systèmes d’information et de communication
(SSIC) – poste « satellite » (1)) ou en organisme central ;
– la voie « validation des acquis de l’expérience ».
Ce cursus de formation est sanctionné par un diplôme unique.
2.1. DTSIC voie « examen/section SIC-organismes centraux »
2.1.1. Admission en formation
2.1.1.1. Conditions requises :
– être
– être
– être
– être
– être
– être
volontaire ;
sous-officier de gendarmerie ;
titulaire du certificat d’aptitude technique ;
du grade de gendarme ou maréchal des logis-chef non inscrit au tableau d’avancement ;
âgé de moins de 42 ans à la date d’admission en formation ;
médicalement apte à intégrer la spécialité SIC.
Nota. – Les militaires en service outre-mer peuvent faire acte de candidature au DTSIC sous réserve que leur
rapatriement intervienne normalement avant l’examen d’admission.
2.1.1.2. Établissement et transmission des dossiers
Le sous-directeur des compétences de la DGGN (SDC/BFORM) établit annuellement un appel à volontaires au
cours du dernier trimestre de l’année A–1 de la formation et précise la date limite de dépôt des dossiers de candidature
des personnels intéressés.
Ces dossiers de candidature, établis sur imprimé modèle 314/18, sont à adresser au BFORM et comprennent :
– le formulaire de reconnaissance relatif à l’admission à l’une des formations spécialisées affecté du lien au
service conformément aux dispositions définies dans l’instruction de septième référence ;
– les avis hiérarchiques sur la candidature du militaire.
Le sous-directeur des compétences (DGGN/SDC) arrête la liste des militaires autorisés à présenter les épreuves de
sélection de l’année A.
Nota. – Les candidats peuvent faire parvenir leur dossier à tout moment de l’année en tant que candidature
spontanée. Les dossiers déposés dans ce cadre avant le 31 décembre de l’année A–1 de la formation seront pris en
compte pour le test de sélection de l’année A.
(1) Hors programme 152.
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2.1.1.3. Sélection des candidatures.
L’examen de sélection organisé par le bureau du recrutement, des concours et des examens (BRCE) de la DGGN
au cours du premier semestre de l’année d’entrée en formation comporte :
– une épreuve de mathématiques (niveau classe de première de l’enseignement technologique) notée sur 20 ;
– une épreuve d’électricité (niveau classe de première de l’enseignement technologique) notée sur 20 ;
– des tests psychotechniques (raisonnement et aptitude aux métiers des SIC).
Une note inférieure à 8 sur 20 à l’une des deux premières épreuves est éliminatoire.
Le programme sur lequel porte les épreuves de sélection est précisé en annexe II.
Une aide à la préparation des épreuves de mathématiques et d’électricité est accessible depuis le site intranet du
centre national de formation aux systèmes d’information et de communication de la gendarmerie (CNFSICG).
Nota – Cet examen peut être présenté trois fois.
2.1.1.4. Agrément des candidatures
Une commission chargée du travail de sélection des candidats est mise en place.
Elle comprend :
– le conseiller technique de la spécialité SIC, ou son représentant, qui préside ;
– le commandant du CNFSICG ou son représentant ;
– un officier, occupant les fonctions de chef de bureau SIC d’une région, désigné annuellement par message de la
DGGN/SDC.
S’appuyant sur les résultats des examens de sélection, cette commission établit la liste des militaires pour lesquels
l’admission au cycle de formation est proposée et la transmet à la sous-direction des compétences (DGGN/SDC).
La sous-direction de la gestion des personnels (SDGP), en lien avec le service des technologies et des systèmes
d’information de la sécurité intérieure STSI2, arrête annuellement le volume de candidats qu’il conviendrait de retenir
pour suivre la formation.
La SDC arrête et publie, avant le 15 juillet, la liste définitive des candidats retenus. Cette décision est notifiée, par
les régions, dans les formes réglementaires, à l’ensemble des candidats admis ou non à suivre le cycle de formation.
2.1.1.5. Formalités avant l’admission en formation
Une réunion d’information sur le cycle de formation du DTSIC et les modalités de réalisation de la période
d’instruction personnelle en unité est organisée au profit des candidats retenus au CNFSICG à l’issue de la parution
des résultats.
Le militaire admis en formation doit présenter, le premier jour de son stage au CNFSICG, un certificat
médicoadministratif en cours de validité, précisant notamment l’aptitude à la spécialité SIC.
2.1.2. Nature et organisation de la formation
2.1.2.1. Déroulement (cf. annexe III)
Le cycle de formation est constitué d’un tronc commun et d’un module différencié en fonction de l’option choisie
(BSIC – SSIC ou organismes centraux) et articulé en unités de valeur (UV) de la manière suivante :
– une période d’instruction dispensée :
–par un apprentissage individuel des notions fondamentales à caractère scientifique constituant la première
partie du tronc commun (UV1) ;
– par un stage d’instruction technique au CNFSICG comprenant la deuxième partie du tronc commun (UV2)
et un module différencié (UV3 à 5) ;
– une année de pratique opérationnelle en unité d’affectation (1), constituant une UV spécifique (UV6).
2.1.2.2. Programme de la formation
La durée totale de la formation est de 2 ans.
Le programme détaillé des matières enseignées ainsi que l’organisation de la scolarité, élaboré par le CNFSICG et
validé par la DGGN/SDC en lien avec le conseiller technique de la spécialité SIC, figurent en annexe IV.
(1) En bureau des systèmes d’information et de communication (BSIC), en section des systèmes d’information et de communication (SSIC) en
organisme central : centre technique de la gendarmerie nationale (CTGN) ou service des technologies et des systèmes d’information de la sécurité
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2.1.3. Périodes d’instruction
2.1.3.1. Instruction personnelle en unité
Le début de la formation est consacré à l’acquisition des connaissances fondamentales dans les quatre domaines
scientifiques (mathématiques, électricité, électronique analogique et électronique numérique) nécessaires au bon suivi
de l’enseignement du DTSIC.
Cet apprentissage repose sur un travail personnel, réalisé dans l’unité d’affectation, grâce notamment à la mise
à disposition de contenus pédagogiques diffusés sous forme papier et de cours mis en ligne. Le suivi des matières
enseignées est réalisé sous tutorat des référents matières du CNFSICG.
Pendant la formation, les personnels font l’objet d’évaluations indicatives intermédiaires qui ne rentrent pas dans
la notation globale du DTSIC. Elles permettent aux militaires d’évaluer l’assimilation des savoirs dispensés et la
progression ainsi réalisée.
Les modalités d’organisation de cette période d’instruction sont définies par des directives annuelles émises par le
CNFSICG.
2.1.3.2. Stage d’instruction technique
Les compétences acquises pendant la scolarité font l’objet d’un contrôle continu et de notes d’aptitude puis, en fin
de formation au CNFSICG, d’un examen devant des sous-commissions.
2.1.3.3. Évaluations des connaissances acquises lors des UV 1 à 5
Un contrôle des connaissances sous forme de questions à choix multiples (QCM) est effectué par les stagiaires dès
le commencement de la formation au CNFSICG afin de contrôler l’acquisition des connaissances dispensées lors de
l’UV1.
Le contrôle du niveau atteint par les stagiaires pendant la formation au CNFSICG est réalisé pendant les UV 2 à
5 par un contrôle continu sous formes de QCM, de contrôles écrits sur table et d’épreuves pratiques.
Une moyenne inférieure à 8 sur 20 à l’ensemble des notes obtenues lors des UV 1 et 2 est éliminatoire (1).
Toute moyenne obtenue à l’une des UV 3 à 5 inférieure à 6 sur 20 est éliminatoire (1).
En cas d’obtention d’une note éliminatoire, le stagiaire est remis immédiatement à la disposition de son unité. Il
perd alors le bénéfice de la réussite à l’examen de sélection défini au paragraphe 2.1.1.3.
Le détail des évaluations des connaissances figure en annexe V.
2.1.3.4. Notes d’aptitude
Lors de la période d’instruction technique, deux notes sur 20 sont attribuées par le commandant du CNFSICG.
La première à l’issue du tronc commun est affectée d’un coefficient 5, la seconde à l’issue des modules différenciés est
affectée d’un coefficient 10.
Elles sanctionnent la progression, le savoir-être et la motivation du stagiaire. L’attribution d’une note inférieure à
10 sur 20 à l’une d’entre elles est éliminatoire (1).
2.1.3.5. Détermination de l’option des stagiaires
À l’issue du tronc commun (UV1 et 2), les stagiaires choisissent, par ordre de mérite, l’option BSIC/SSIC ou l’option
organismes centraux en fonction du classement réalisé sur la base de la moyenne générale obtenue sur les 2 premières
UV et la note d’aptitude délivrée au tronc commun.
Le nombre de places disponibles dans chaque option est arrêté chaque année par le bureau du personnel sousofficier de gendarmerie et volontaires (BPSOGV) de la DGGN en liaison avec le STSI2.
2.1.3.6. Examen de fin de formation au CNFSICG
Les enseignements dispensés depuis le début du cursus de formation au DTSIC font l’objet d’un examen de fin de
formation au CNFSICG devant un jury, composé de sous-commissions.
Les modalités de composition du jury et de déroulement de l’examen sont définies en annexe VI.
Toute note obtenue dans l’une des sous-commissions inférieure à 6 sur 20 est éliminatoire (1).
(1) Cf. paragraphe 2.1.3.9.
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2.1.3.7. Sanction de la période d’instruction
Les candidats ayant obtenu, à l’ensemble de la période d’instruction, une moyenne générale supérieure ou égale à
10 sur 20, et n’ayant pas obtenu de note éliminatoire, sont classés par ordre de mérite et font l’objet d’une décision
du sous-directeur des compétences permettant l’admission à l’UV de pratique opérationnelle en unité d’affectation.
Les stagiaires choisissent, dans l’ordre du classement établi par option différenciée, leur affectation au plan
national, en fonction des places proposées par le gestionnaire national. S’agissant des militaires relevant du cadre
général jusqu’à leur entrée en spécialité, les ordres de mutation des intéressés sont établis par les régions d’affectation
dans les meilleurs délais.
Les sous-officiers obtenant une moyenne inférieure à 10 sur 20 sont éliminés (1).
2.1.3.8. Report de formation
Un stagiaire bénéficie d’un report de formation dans le cas d’une incapacité prolongée supérieure à 21 jours
cumulés à suivre le contenu de l’instruction personnelle en unité, d’une part, ou de l’instruction technique, d’autre
part, pour des motifs particuliers d’ordre médical ou d’engagement opérationnel empêchant le bon déroulement de
la formation.
Dans ce cas, il peut bénéficier d’une seule et unique admission en formation pour la session suivante en conservant
le bénéfice de sa réussite à l’examen de sélection mais perd le bénéfice des UV déjà obtenues le cas échéant.
2.1.3.9. Radiation des périodes d’instruction
En cas de résultats insuffisants (note éliminatoire) ou de motif disciplinaire en lien avec la formation, le stagiaire
est exclu du stage sur décision du sous-directeur des compétences, sur proposition du commandant du CNFSICG. Il
est alors remis immédiatement à la disposition de son unité.
Dans ce cas, cette exclusion compte pour un échec à la formation. Si le stagiaire souhaite présenter à nouveau le
DTSIC, il doit reprendre l’intégralité du cursus à partir des épreuves de sélection.
2.1.4. Pratique opérationnelle en unité d’affectation
2.1.4.1. Principes généraux
À l’issue de leur période d’instruction, les stagiaires bénéficient d’une permission estivale (2) avant de débuter leur
formation de pratique opérationnelle.
Les militaires font l’objet d’une mutation dans l’intérêt du service à l’été dans l’unité SIC choisie à l’issue du stage
d’instruction technique.
Lorsque le militaire n’a pas pu être affecté au sein de son unité au plus tard à la date du 1er septembre, il commence
son stage en tant que détaché dans l’unité SIC la plus proche de son affectation (BSIC, SSIC). Les dépenses sont
imputées sous budget de fonctionnement des formations administratives de rattachement.
Cependant, les militaires affectés au sein des organismes centraux doivent être impérativement mutés pour
le 1er septembre, dernier délai.
Pendant toute la durée de la pratique opérationnelle en unité, le militaire est employé en qualité de non breveté
employé dans la spécialité (NBES).
Il est placé en situation et est évalué par le commandement local sur ses capacités à mettre en application les
différentes techniques et connaissances acquises au cours du stage d’instruction technique.
2.1.4.2. Sanction de l’UV de pratique opérationnelle.
Les personnels affectés dans leur unité SIC font l’objet, à la fin de leur UV de pratique opérationnelle, d’une fiche
d’observation finale en fonction de l’option suivie, dont le modèle figure en annexe VII et comportant une note
chiffrée sur 20. Elle est remplie par le commandant d’unité des personnels suivant l’UV6 et transmise au CNFSICG.
En cas de détachement d’un stagiaire dans l’attente de son affectation en unité SIC, le commandant de l’unité
de détachement renseigne et fait suivre au commandant d’unité d’affectation, lorsque celle-ci est prononcée, une
fiche d’observation initiale en fonction de l’option suivie, conformément au modèle défini dans l’annexe VII, sur
les qualités démontrées par l’intéressé pendant son détachement. Cette fiche est prise en compte dans le cadre de
l’établissement de la fiche d’observation finale et transmise au CNFSICG.
(1) Cf. paragraphe 2.1.3.9.
(2) Cf. circulaire no 49500/DEF/GEND/OE/SDSPSR/PA du 11 avril 2008.
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L’UV6 est attribuée par le jury (1) à l’issue de l’année de pratique opérationnelle aux militaires ayant obtenu une
note supérieure ou égale à 10 sur 20. La réussite à l’UV6 emporte proposition d’attribution du diplôme par le jury
à la DGGN/SDC.
En cas de note comprise strictement entre 8 et 10 sur 20, le jury propose au BFORM d’accorder au stagiaire le
bénéfice d’une nouvelle année d’application afin de lui permettre d’obtenir cette UV. Cette mesure ne peut s’entendre
qu’une seule fois.
En cas de note inférieure ou égale à 8 sur 20, le jury propose au BFORM de prendre une décision de non attribution
du DTSIC. Le stagiaire perd alors le bénéfice de sa formation et fait l’objet d’une mutation hors spécialité SIC
prononcée par le gestionnaire national. S’il souhaite présenter à nouveau le DTSIC, il doit reprendre l’intégralité du
cursus à partir des épreuves de sélection.
2.1.4.3. Report de formation.
Un stagiaire bénéficie d’un report de formation dans le cas d’une incapacité prolongée supérieure à 60 jours
cumulés de l’intéressé à suivre l’UV de pratique opérationnelle en unité pour des motifs particuliers d’ordre médical
ou d’engagement opérationnel.
Dans ce cas, il peut bénéficier d’une seule et unique admission en formation pour la session suivante en conservant
le bénéfice de sa réussite à la période d’instruction technique.
2.1.5. Attribution du DTSIC
La DGGN/SDC établit les décisions collectives d’attribution du DTSIC (code savoir : 104 900) sur proposition du
jury. Cette décision est insérée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
En référence à la décision d’attribution, le commandant de région ou autorité assimilée est chargé d’établir, de
signer par ampliation, de remettre le diplôme papier au militaire concerné et de mettre à jour les FIR des personnels
qualifiés au retour des formations.
2.2. DTSIC par validation des acquis de l’expérience (VAE)
Le DTSIC est également accessible par la voie de la VAE aux militaires de la gendarmerie pouvant justifier de
trois ans d’expérience de maintenance opérationnelle des systèmes d’information et de communication dans les six
dernières années qui précèdent la demande de VAE. La procédure de cette validation et la composition du jury
figurent dans la circulaire de neuvième référence.
La DGGN/SDC établit les décisions collectives d’attribution du DTSIC (code savoir : 104 900) sur proposition du
jury. Cette décision est insérée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
En référence à la décision d’attribution, le commandant de région ou autorité assimilée est chargé d’établir, de
signer par ampliation, de remettre le diplôme papier au militaire concerné (cf. annexe VIII) et de mettre à jour les
fiches individuelles de renseignement (FIR) des personnels qualifiés au retour des formations.
2.3. Dispositions administratives
Les frais engendrés par l’examen d’admission au DTSIC voie « examen/section SIC-organismes centraux », le
stage d’instruction technique au CNFSICG et les commission et jury d’examen sont imputés sur le BOP « CDGN »
(DGGN). Les dispositions administratives et financières sont précisées par des directives annuelles.
3. Formations complémentaires sic inscrites au référentiel des actions de formations (RAF)
3.1. Objectifs
Les modules de formation complémentaires permettent, d’une part, de compléter et d’uniformiser les compétences
acquises par les spécialistes dans le cadre de la formation au DTSIC et, d’autre part, de maintenir à niveau les
connaissances en fonction des évolutions techniques.
3.2. Modules
Chaque module de formation fait l’objet d’une fiche synthétique (2), insérée dans un référentiel des actions de
formation SIC consultable sur le site intranet gendarmerie du BFORM de la DGGN.
(1) Cf. annexe VI.
(2) Chaque fiche définit la finalité de la formation, les compétences, le lieu et la durée de la formation, les conditions requises, l’établissement
des dossiers de candidature, le programe succint, l’évaluation et les références.
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
3.3. Expression des besoins
Les besoins en formation seront exprimés lors du dialogue de gestion annuel entre les régions de gendarmerie ou
unités assimilées et le BFORM de la DGGN conformément aux dispositions de la circulaire no 15400/DEF/GEND/
RH/RF/FORM du 1er février 2008.
À cet effet, avant d’exprimer leurs besoins, il est demandé aux bureaux recrutement formation reconversion
réservistes (BRFRR), en liaison avec leur bureau des systèmes d’information et de communication, de déterminer :
– l’effectif cible par compétence ;
– le nombre de militaires détenant la compétence.
La répartition des places dans les différentes sessions est inscrite au calendrier des actions de formation (CAF)
consultable sur le site Intranet gendarmerie du BFORM de la DGGN.
Chaque région ou unité assimilée assure la désignation ainsi que la mise en route des stagiaires et en informe au
plus tôt le CNFSICG.
Les modalités pratiques relatives à l’organisation des stages sont arrêtées par le commandement des écoles de la
gendarmerie nationale.
3.4. Sanction de la formation
Chacune des formations complémentaires est sanctionnée par un test d’évaluation permettant de valider ou non
les connaissances acquises conformément aux objectifs du stage.
L’attestation de stage est délivrée par le chef de centre uniquement si la moyenne obtenue par le stagiaire est
supérieure ou égale à 10/20.
3.5. Dispositions administratives
Les formations complémentaires sont imputées sur le BOP « CDGN » (DGGN). Les dispositions administratives
et financières font l’objet de directives annuelles.
4. Formations des gradés de la spécialité SIC
4.1. Le stage national de formation à l’encadrement opérationnel (SNFEO).
Les adjudants nouvellement promus et les maréchaux-des-logis chefs inscrits au tableau d’avancement, spécialistes
dans le domaine des SIC, suivent la formation à l’encadrement opérationnel réalisée dans le cadre du SNFEO.
Les modalités d’organisation du stage (déroulement, tests initiaux, programme, sanction de la formation, aptitude
physique, dispositions administratives et financières...) sont fixées par l’instruction de huitième référence.
4.2. Le certificat de formation au commandement (CFC)
Dans la continuité du SNFEO, cette formation s’adresse aux futurs chefs de service ou premier adjoint des
sections des SIC afin de préparer ces gradés supérieurs à leur nouveau commandement.
Les militaires concernés de la spécialité SIC sont rattachés au certificat de formation au commandement, option
gendarmerie départementale, composé de trois modules :
– un module « commandement » d’une durée d’une semaine au centre national de formation au commandement
deRochefort ;
– un module « préparation spécifique / systèmes d’information et de communication » d’une durée d’une semaine
au CNFSICG ;
– un module « appropriation territoriale » d’une semaine.
Les modalités d’organisation du stage (déroulement, programme, sanction de la formation, aptitude physique,
dispositions administratives et financières...) sont fixées par l’instruction de huitième référence.
Pour le ministre et par délégation :
Le général,
sous-directeur des compétences,
Philippe Mazy
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1) Connaissances scientifiques
Connaître et appliquer :
– Les normes et les lois en électricité, en électronique numérique et en modulation analogique.
– Les notions théoriques fondamentales en matière de composants électroniques (résistances, diodes,
inductances, condensateurs, transistors...).
– Le fonctionnement des circuits logiques et numériques.
– Les principes de transport des informations en radioélectricité.
– La structure fonctionnelle d’un ordinateur.
2) Méthodologie – technique d’installation et de dépannage
– Mettre en œuvre les principes élémentaires pour installer une source d’énergie.
– Connaître les fonctionnalités des différents types de réseau (Rubis, micro-ordinateur...), des différentes bases de données (Oracle...) et des différents systèmes d’exploitation utilisés en gendarmerie
(Linux...).
– Connaître les concepts d’internet et d’intranet.
– Connaître l’architecture des systèmes d’information et de communication.
– Appliquer une méthodologie de dépannage.
– Appliquer les techniques de base des transmissions numériques dans les techniques de câblage et
les réseaux locaux.
– Concevoir, installer et mettre en œuvre tous types de réseaux existants au sein d’un groupement ou
d’une région de gendarmerie.
– Être en mesure de contrôler la performance des équipements.
– Être en mesure d’effectuer des travaux d’installation des pylônes et aériens utilisés en gendarmerie.
– Mettre en œuvre une application web.
– Savoir installer les différentes applications opérationnelles et de gestion.
– Savoir mettre en œuvre un poste de commandement opérationnel en cas d’événement calamiteux
(catastrophe naturelle, terrorisme, affaire judiciaire ...).
3) Matériels des SIC
– Connaître les moyens : filaires (téléphonie, messagerie interarmées ...) radioélectriques (PMR tactiques), informatiques (serveurs, réseaux ...), bureautiques (traitement de texte, tableur...), applications
métier.
4) Écrits de service
– Rédiger les écrits de service liés à l’installation et à la mise en œuvre des SIC.
COMPÉTENCES ASSOCIÉES
des activités et compétences d’un spécialiste sic
Installer et mettre en œuvre les matériels et logiciels des systèmes et sous-systèmes d’information et
de communication de la gendarmerie :
– Installer, configurer et paramétrer les matériels et les systèmes d’exploitation composant les SIC de
la gendarmerie.
– Procéder aux réglages et aux vérifications des matériels pour permettre une exploitation optimale.
– Procéder à des modifications techniques et dépanner le matériel.
– Monter et entretenir les pylônes et antennes (aériens).
ACTIVITÉS ET TÂCHES
Référentiel
ANNEXE I
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
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1) Connaissances scientifiques
– Avoir les connaissances scientifiques nécessaires en électricité, en électronique analogique et
numérique.
2) Méthodologie – technique d’installation et de dépannage
– Mettre en œuvre les principes élémentaires pour installer une source d’énergie.
– Connaître les fonctionnalités des différents types de réseau (Rubis, micro-ordinateur...), des différentes bases de données (Oracle) et des différents systèmes d’exploitation utilisés en gendarmerie
(Linux...).
– Connaître les concepts d’internet et d’intranet.
– Connaître l’architecture des systèmes d’information et de communication.
– Appliquer une méthodologie d’installation et de dépannage.
– Lire et comprendre un schéma électrique.
– Mettre en œuvre les appareils de mesures et interpréter les résultats.
– Établir un bilan de liaison radioélectrique.
– Savoir rechercher un brouilleur.
– Appliquer les procédures relatives aux travaux de maintenance des pylônes et aériens utilisés en
gendarmerie.
– Appliquer les procédures de maintenance d’un serveur d’un groupement de gendarmerie et d’un
réseau (local, de base Rubis).
– Administrer les différentes applications opérationnelles et de gestion.
3) Matériels des SIC
– Connaître les possibilités et les conditions d’emploi des différents matériels
4) SSI
– Connaître le cadre de cohérence technique en vigueur.
– Connaître la structure et les attributions de la chaîne fonctionnelle de la sécurité des SIC.
5) Écrits de service
– Rédiger les écrits de service liés à l’installation et à la mise en œuvre des SIC.
– Rédiger un rapport d’anomalie.
6) Commandement
– Appliquer les principes fondamentaux de pédagogie et de communication.
– Connaître les règles de gestion et les positions administratives du matériel (classification, mouvements, contrôles).
1) Gestion globale de maintien en condition opérationnelle
– Être sensibilisé à la gestion des matériels et logiciels des systèmes d’information et de communication.
– Maîtriser les règles de maintenance des matériels opérationnels.
– Savoir utiliser les documents de service garantissant la traçabilité d’un matériel ou d’un logiciel.
– Appliquer la procédure de suivi et de positionnement d’un matériel ou d’un logiciel des SIC (atelier,
réparation, usine, unité opérationnelle).
– Appliquer les règles de maintenance des matériels et logiciels.
– Mettre en œuvre les procédures administratives adaptées.
2) SSI
– Connaître la structure et les attributions de la chaîne fonctionnelle de la sécurité des SIC.
Assurer une traçabilité des matériels et logiciels des systèmes et sous-systèmes d’information et de
communication de la gendarmerie :
– Assurer le suivi des matériels SIC et des logiciels.
– Provoquer l’élimination et le remplacement des matériels et logiciels.
COMPÉTENCES ASSOCIÉES
Administrer les systèmes et sous-systèmes d’information et de communication de la gendarmerie :
– Assurer la maintenance technique des systèmes et le fonctionnement des matériels.
– Renseigner un rapport d’anomalie chaque fois que cela s’avère nécessaire.
– Sécuriser les matériels et les applications.
– Former les utilisateurs à l’emploi des matériels et systèmes.
ACTIVITÉS ET TÂCHES
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 290
1) Gestion globale de maintien en condition opérationnelle
– Savoir mettre en application les règles de maintenance préventive et corrective.
2) SST
– Appliquer les moyens de prévention afin d’éviter tout risque et tout incident de travail sur un mât
vidéo, une toiture, un autoportant ou sur des matériels électriques.
– Être en mesure de sensibiliser les personnels sur les risques en matière d’électricité et de travaux en
hauteur.
– Connaître les textes de référence et l’organisation de SST en gendarmerie.
– Connaître la législation relative aux travaux en hauteur et aux travaux électriques.
– Connaître les gestes élémentaires de premiers secours.
3) SSI
–A
ppliquer les moyens de prévention afin d’éviter tout risque de contamination d’un système informatique
– Connaître et appliquer les procédures de gestion des matériels classifiés.
1) Méthodologie – technique d’installation et de dépannage
– Être en mesure d’analyser une situation complexe dans le domaine des SIC.
– Être en mesure de conduire une étude technique.
– Savoir mener une expertise dans le domaine des SIC.
– Être en mesure d’exploiter un dossier d’audit.
2) Matériels des SIC
– Connaître les fonctionnalités du réseau RUBIS.
– Maîtriser les connaissances techniques dans le domaine des SIC.
– Mettre en application les techniques d’expression orale et de conduite de réunion.
– Exposer une problématique.
– Être en mesure de présenter, justifier et défendre un point de vue technique ou un objectif défini au
préalable par le commandement.
– Analyser le besoin du système d’information.
– Développer une application informatique.
– Recetter une application informatique.
– Maintenir une application informatique.
Mener des expertises techniques relatives aux SIC de la gendarmerie :
– Analyser une situation complexe dans le domaine des télécommunications et de l’informatique de la
gendarmerie.
– Réaliser des études techniques.
– Procéder à des expertises.
– Exploiter un dossier technique d’audit.
– Proposer des solutions fiables au commandement.
Représenter le service au cours de réunions internes ou externes.
– Participer à des réunions en tant que technicien supérieur des SIC.
– Rendre compte au commandement.
Être responsable de tout ou partie de l’analyse, de la conception, du développement ou de l’évolution
de solutions informatiques.
COMPÉTENCES ASSOCIÉES
Veiller au respect des règles de sécurité relatives aux SIC :
– Appliquer et faire appliquer les règles relatives aux matériels équipant les SIC (mât vidéo, toiture,
autoportant).
– Éviter tous risques de contamination d’un système informatique.
– Sensibiliser les personnels sur les risques en matière d’électricité, de travaux en hauteur et de
contamination informatique.
– Gérer les matériels classifiés.
ACTIVITÉS ET TÂCHES
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 291
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
ANNEXE II
Test
de sélection
DTSIC
Le test de sélection au DTSIC comprend une épreuve de mathématiques, une épreuve d’électricité et des tests
psychotechniques.
Les deux premières épreuves, notées chacune sur 20, se déroulent sur une durée totale de 1 heure et sont présentées
sous forme de questions à choix multiples.
Une note inférieure à 8 sur 20 à l’une de ces épreuves est éliminatoire.
Les tests psychotechniques, d’une durée d’une demi-journée, ont pour objet d’évaluer les capacités d’observation,
d’attention, d’organisation et de raisonnement du candidat ainsi que ses aptitudes numériques et verbales.
Le programme de révision porte sur les domaines suivants :
ÉPREUVE DE MATHÉMATIQUES
I. – Rappel sur le calcul algébrique
11. Arithmétique
12. Calcul algébrique. Identités remarquables
13. Calcul numérique
14. Puissances
15. Racines
16. Equations
17. Systèmes d’équations
II. – Notion de trigonométrie
21. Angles orientés de vecteurs
22. Radians arcs orientés
23. Trigonométrie dans le triangle rectangle
24. Fonctions de la tangente
25. Complexes : applications à la trigonométrie
26. Trigonométrie : formulaires
III. – Etude de fonctions
31. Plan étude de fonctions
32. Continuité
33. Les limites
34. Ensemble de définitions
ÉPREUVE D’ÉLECTRICITÉ
I. – Le courant électrique
11. Généralités
12. Intensités
13. Sens du courant
14. Différence de potentiel
15. Mesures
II. – Les résistances
21. Les résistances
22. Association de résistances
III. – Les générateurs
31. Les générateurs
32. Les récepteurs
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 292
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
33. Association de générateurs
34. Loi de Kirchhoff
IV. – Loi d’Ohm
41. Loi d’Ohm pour un circuit fermé
42. Loi d’Ohm généralisée ou loi de Pouillet
V. – Théorème de Thévenin
51. Notions élémentaires sur les dipôles
52. Théorème de Thevenin
VI. – Théorème de Norton
61. Les sources de courant
62. Théorème de Norton
VII. – Les condensateurs
71. Généralités
72. Charge et décharge des condensateurs
VIII. – Le courant alternatif
81. Les régimes sinusoïdaux
82. Loi d’Ohm en régime sinusoïdal
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 293
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
ANNEXE III
Déroulement
de la formation préparatoire au diplôme technique des systèmes d’information
et de communication
ANNÉE
A – 1
DERNIER
trimestre
EN UNITÉ
APPEL À VOLONTAIRES DTSIC ET DÉPÔT DE DOSSIERS DE CANDIDATURE
février
DGGN/BFORM
Publication de la liste des candidats autorisés à effectuer
les épreuves de sélection.
mars
DGGN/BRCE
Test de sélection.
avril
DGGN/BFORM
Publie la liste des sous-officiers admis en formation au CNFSICG.
janvier
mai
Année A
Réunion d’information sur l’instruction personnelle en unité.
juin
juillet
août
septembre
octobre
novembre
Instruction personnelle en unité.
Tronc commun : UV1.
décembre
janvier
février
mars
avril
CNFSICG
mai
Année A + 1
Tronc commun : UV2
(si échec, retour en unité).
Module différencié : option BSIC/SSIC ou organismes centraux
UV3 à UV5
(si échec, retour en unité).
Jury d’examen
(si échec, retour en unité).
juin
juillet
août
septembre
octobre
novembre
décembre
janvier
février
mars
UV6
Pratique opérationnelle en unité
d’affectation, en qualité de non breveté
employé dans la spécialité (NBES).
avril
Année A + 2
mai
juin
Attribution du DTSIC
En cas de non attribution de cette UV, possibilité d’accorder au militaire
le bénéfice d’une nouvelle année d’application en qualité NBES
afin de lui permettre d’obtenir cette UV, soit de prendre une décision
de non attribution du DTSIC
(si échec, mutation hors poste de la spécialité SIC).
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 294
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
ANNEXE IV
Programme
de la formation
DTSIC voie « examen/section SIC-organismes centraux »
Tronc commun :
– UV 1 « Formation scientifique » : mathématiques, électricité, électronique analogique et numérique ;
–UV 2 « Fondamentaux SIC » : présentation de la filière SIC, sécurité des systèmes d’information et de
communication, hygiène et sécurité des conditions de travail dans les domaines de la santé et de la sécurité
au travail, structure fonctionnelle de l’ordinateur, système d’exploitation « poste de travail Windows », système
d’exploitation « Linux », Rubis niveau 1, présentation des concepts de téléphonie, prévention et secours civiques
de niveau 1, habilitation aux travaux électriques.
Modules différenciés :
– Option BSIC/SSIC :
– UV 3 « Emploi – Gestion » : règles d’exploitation et de procédure, gestion globale MCO, applications métier,
la messagerie ISIS, architecture et dépannage logiciels ;
–UV 4 « Technique d’atelier » : technologie, modulation analogique, énergie et terre, propagation lignes et
antennes, mesures, MCO réseau radioélectrique, travaux en hauteur, étude et réglage des postes, montage
pylône ;
– UV 5 « Systèmes de communication » : PMR tactiques, rubis niveau 2, Rubis niveau 3, autocommutateurs petite
capacité (6501), autocommutateurs grande capacité (6550), autres moyens filaires, plate-forme opérationnelle
groupement (BDSP), réseaux informatiques, TDHF ;
– Option organismes centraux :
–UV 3 « Administration système d’exploitation » : Linux Debian, annuaire LDAP, SSO et Kerberos,
administration système, systèmes d’exploitation serveur Windows 2003 ;
– UV 4 « Architecture serveurs » : réseaux informatiques – théorie, réseaux informatiques – l’adressage IP, réseaux
informatiques – les VLAN, réseaux informatiques – le routage, réseaux informatiques – l’analyse de la trame,
virtualisation des serveurs – théorie, virtualisation des serveurs – pratique ;
– UV 5 « Conception, programmation » : base de données, langages du web, algorithmique et PS – Web statique
(HTML-CSS), algorithmique et PS – Web dynamique (projet), analyse et conception, la programmation objet,
langages de programmation – Java.
Pratique opérationnelle en unité d’affectation :
UV 6 « Application en unité en qualité de non breveté employé dans la spécialité (NBES) » : elle permet une mise
en pratique des enseignements reçus et l’acquisition d’un complément d’instruction.
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 295
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Volumes
horaires
Module Commun
Phase
Matières
Volume horaire
UV1
Formation scientifique
UV2
Fondamentaux SIC
194
Administration, sport, contrôle, examen, réserve, etc...
34
Divers
80 jours ouvrés (EAD)
TOTAL
228 (Présentiel)
Module Différencié – Option BSIC/SSIC
Phase
Matières
Volume horaire
UV3
SSIC : Emploi - Gestion
32
UV4
SSIC : Technique d'atelier
189
UV5
SSIC : Systèmes de communication
304
Administration, sport, contrôle, examen, réserve, etc...
121
Divers
TOTAL
646 (Présentiel)
Module Différencié – Option organismes centraux
Phase
Matières
Volume horaire
UV3
ORGA : Administration système d'exploitation
116
UV4
ORGA : Architecture serveurs
101
UV5
ORGA : Conception, programmation
313
Administration, sport, contrôle, examen, réserve, etc...
116
Divers
TOTAL
646 (Présentiel)
Volume horaire total (présentiel)
Option BSIC/SSIC
874
Option organismes centraux
874
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 296
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
ANNEXE V
Évaluation
des connaissances acquises
Tronc commun
Matières UV1
Mathématiques
Électricité
Électronique analogique
Électronique numérique
Coefficients
2
2
2
2
Total coefficients
Matières UV2
Contrôles
Écrit /20
Écrit /20
Écrit /20
Écrit /20
Contrôles
Présentation de la filière SIC
0
Néant
Sécurité des systèmes d’information et de communication
2
Écrit /20
HSIE – Santé et sécurité au travail
2
Écrit /20
Structure fonctionnelle de l'ordinateur
2
Écrit /20
Système d'exploitation « Poste de travail Windows »
3
Écrit /20
Système d'exploitation « Linux »
3
Écrit /20
Rubis niveau 1
2
Écrit /20
Présentation des concepts de téléphonie
1
Écrit /20
Prévention et secours civiques de niveau 1
0
Néant
Habilitation aux travaux électriques
2
Écrit /20
Note d'aptitude
Volume horaire
194
17
5
Total coefficients
80
jours ouvrés
8
Coefficients
Total coefficients
Volume
Décision du
chef de centre
30
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 297
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Module
différencié
Option BSIC/SSIC
Matières UV3 – Option SSIC
Règles d'exploitation et de procédure
Gestion globale MCO
Applications métier
La messagerie ISIS
Architecture et dépannage logiciels (Thunderbird / Fire
Fox / Open Office)
6B
Coefficients
4
4
0
0
Contrôles
Écrit /20
0
Néant
Total coefficients
Matières UV4 – Option SSIC
7B
Coefficients
2
Contrôles
Écrit /20
2
2
3
4
4
4
0
0
Écrit /20
Modulation analogique
Énergie et terre
Propagation lignes et antennes
Mesures
MCO réseau radioélectrique
Travaux en hauteur
Étude et réglage des postes
Montage pylône
Total coefficients
8B
32
Volume horaire
Écrit /20
Écrit /20
Écrit /20
Écrit /20
Écrit /20
Néant
Néant
189
21
10B
Matières UV5 – Option SSIC
PMR tactiques
Rubis niveau 2
Rubis niveau 3
Autocommutateurs petite capacité (6501)
Autocommutateurs grande capacité (6550)
Autres moyens filaires
Plateforme opérationnelle groupement (BDSP)
Réseaux informatiques
TDHF
Écrit /20
Néant
Néant
8
9B
Technologie
Volume horaire
Coefficients
3
5
5
5
3
2
3
3
2
Total coefficients
Contrôles
Écrit /20
Volume horaire
Écrit /20
Écrit /20
Écrit /20
Écrit /20
Écrit /20
Écrit /20
Écrit /20
Écrit /20
304
31
11B
Note d'aptitude
10
Décision du
chef de centre
Sous commissions - Option SSIC
Réglementation et gestion SIC
Technique d'atelier
Téléphonie
PMR - Radioélectricité
Architecture – Serveurs
Coefficients
10
10
10
10
10
0B
1B
2B
3B
4B
5B
12B
13B
14B
15B
Total coefficients du stage
150
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 298
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Option organisme centraux
Matières UV3 – Option ORGA
Linux DEBIAN
Annuaire LDAP
SSO et KERBEROS
Administration système
Systèmes d'exploitation serveur Windows 2003
Coefficients
4
4
4
4
2
Total coefficients
Matières UV4 – Option ORGA
Réseaux informatiques – Théorie
Réseaux informatiques – L'adressage IP
Réseaux informatiques – Les VLAN
Réseaux informatiques – Le routage
Réseaux informatiques – L'analyse de trame
Virtualisation des serveurs – Théorie
Virtualisation des serveurs – Pratique
Volume horaire
Écrit /20
Écrit /20
Écrit /20
Écrit /20
116
18
Coefficients
3
2
3
3
3
2
4
Total coefficients
Matières UV5 – Option ORGA
Bases de données
Langages du web
Algorithmique et PS – Web statique (HTML - CSS)
Algorithmique et PS – Web dynamique (projet)
Analyse et conception
La programmation objet
Langages de programmation – JAVA
Contrôles
Écrit /20
Contrôles
Écrit /20
Volume horaire
Écrit /20
Pratique /20
Pratique /20
Pratique /20
Écrit /20
Écrit /20
101
20
Coefficients
4
2
3
3
2
4
4
Total coefficients
Contrôles
Écrit /20
Volume horaire
Écrit /20
Écrit /20
Pratique /20
Écrit /20
Écrit /20
Écrit /20
313
22
Note d'aptitude
10
Décision du
chef de centre
Sous commissions - Option ORGA
Administration système d'exploitation
Architecture serveurs
Programmation
Analyse et conception
Architecture web
Coefficients
10
10
10
10
10
Total coefficients du stage
150
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 299
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
ANNEXE VI
Le
jury d’examen
Membres du jury
Il se compose de membres internes et externes au CNFSICG.
Membres internes :
–le commandant du centre national de formation aux systèmes d’information et de communication de la
gendarmerie (CNFSICG) de Rosny-sous-Bois, ou son représentant ;
– l’officier chef du bureau formation du CNFSICG, ou son représentant ;
– le directeur du stage DTSIC.
Membres externes :
– le conseiller technique de la spécialité SIC, ou son représentant ;
Membres des sous-commissions :
– officiers et sous-officiers composant les dix sous-commissions.
La présidence et la vice-présidence du jury sont assurées par le conseiller technique et le commandant du CNFSICG
ou leurs représentants selon leur grade et ancienneté.
Organisation des sous-commissions
La commission d’examen se décompose en 5 sous-commissions pour le module « BSIC-SSIC » et le module
« organismes centraux ». Chaque sous-commission est composée de deux officiers ou sous-officiers servant dans la
filière SIC.
« BSIC-SSIC » : les sous-commissions portent sur les thèmes suivants :
– sous-commission « réglementation – gestion SIC » : gestion globale MCO, sécurité systèmes d’information et de
communication, HSIE – santé et sécurité au travail, règles d’exploitation et de procédure ;
– sous-commission « technique d’atelier » : mesures, étude de couverture et recherche de brouilleur, énergie et terre,
MCO des réseaux radioélectriques, technologie, modulation analogique, propagation lignes et antennes ;
– sous-commission « téléphonie » : généralités et principes d’une communication, la connectique, les PABX, Saphir
3G, messagerie sécurisée ;
– sous-commission « PMR – radioélectricité » : Rubis 1 – 2 – 3, PMR tactique – réseaux de circonstance, messagerie
tactique, plate-forme opérationnelle groupement (BDSP) ;
– sous-commission « architecture – serveurs » : les réseaux informatiques.
« Organismes centraux » : les sous-commissions portent sur les thèmes suivants :
–sous-commission « administration – système d’exploitation » : systèmes d’exploitation serveur (Linux Debian –
LDAP – SSO – Kerberos, système d’exploitation serveurs 2003), administration système ;
– sous-commission « architecture-serveur » : réseaux informatiques, virtualisation des serveurs ;
–sous-commission « programmation » : bases de données, langages du web, algorithmique et programmation
structurée ;
–sous-commission « analyse et conception » : analyse et conception, la programmation objet, langages de
programmation ;
– sous-commission « architecture web » : programmation web, sécurité des systèmes d’information, santé et sécurité
du travail.
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 300
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
ANNEXE VII
Fiche
d’observation de pratique opérationnelle
Option BSIC/SSIC
– initiale (1)
– finale (1)
Identité du candidat
NOM :
Affectation / Lieu d'emploi :
Note
Prénom :
Période probatoire (UV 6), du :
au :
EVALUATION DU SAVOIR-ETRE
Faculté d'adaptation
/1
Manière de servir
/1
Confiance en soi
/1
Esprit d'équipe
/1
Qualité du travail fourni
/1
Sens de l'organisation
/1
total
/6
Observations relatives à l'évaluation du savoir-être :
(1) Rayez les mentions inutiles.
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 301
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Option BSIC/SSIC
(suite)
Note
EVALUATION DES SAVOIR-FAIRE
Connaissance de la technologie, des principes de fonctionnement des matériels des systèmes
d'information et de communication
/3
Maîtrise des techniques d'installation, de maintien en condition opérationnelle des systèmes
/3
Maîtrise des techniques de gestion des réseaux et applications
/3
Capacité de mise en oeuvre, d'exploitation et d'administration des systèmes de circonstance
/3
Dispenser la formation nécessaire aux utilisateurs des systèmes d'information et de communication
/2
total
/14
Observations relatives à l'évaluation des savoir-faire :
EVALUATION DU SAVOIR-ETRE
/6
EVALUATION DES SAVOIR-FAIRE
/ 14
NOTE FINALE
/ 20
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 302
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Fiche
d’observation de pratique opérationnelle
Option BSIC/SSIC
– initiale (1)
– finale (1)
Identité du candidat
NOM :
Affectation / Lieu d'emploi :
Note
Prénom :
Période probatoire (UV 6), du :
au :
EVALUATION DU SAVOIR-ETRE
Faculté d'adaptation
/1
Manière de servir
/1
Confiance en soi
/1
Esprit d'équipe
/1
Qualité du travail fourni
/1
Sens de l'organisation
/1
total
/6
Observations relatives à l'évaluation du savoir-être :
(1) Rayez les mentions inutiles.
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 303
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Option organismes centraux
(suite)
Note
EVALUATION DES SAVOIR-FAIRE :
Maintien à niveau des connaissances dans les domaines système, réseau et/ou langages
informatiques
/3
Aptitude à propager les savoirs acquis dans les domaines techniques au travers de fiches réflexes ou
de documents de synthèse/formation
/2
Utilisation des outils et des méthodes de conception, de développement ou de déploiement
d'applications. Utilisation des outils de maintien en condition opérationnelle et de dépannage
/3
Appropriation des techniques et méthodes spécifiques mises en oeuvre au sein des systèmes
d'information et de communication des unités et/ou services de la sécurité intérieure
/3
Respect des standards, des normes et directives techniques y compris celles liées à la sécurité des
systèmes d'information
/3
total
/14
Observations relatives à l'évaluation des savoir-faire :
EVALUATION DU SAVOIR-ETRE
/6
EVALUATION DES SAVOIR-FAIRE
/ 14
NOTE FINALE
/ 20
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 304
Code savoir : 104900
Se voit attribuer le diplôme technique des systèmes d'information et de communication
Le (grade, nom, prénom, NIGEND)
Par (nature du texte de référence)
à
Le (autorité militaire) commandant (unité)
A (lieu)
Né le
N° (timbre-date)
DIPLÔME TECHNIQUE DES SYSTÈMES D'INFORMATION
ET DE COMMUNICATION
MODÈLE DE DIPLÔME
ANNEXE VIII
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 305
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_____
Arrêté du 6 juin 2012 portant agrément d’un organisme de formation
au titre de l’article L. 3332‑1‑1 du code de la santé publique
NOR : INTD1225170A
Le ministre de l’intérieur,
Vu le code de la santé publique, notamment les articles L. 3332‑1‑1 et R. 3332‑4 à R. 3332‑9 ;
Vu l’arrêté du 22 juillet 2011 fixant le programme et l’organisation des formations requises pour l’obtention des
attestations prévues à l’article R. 3332‑4‑1 du code de la santé publique ;
Vu la demande en date du 6 janvier 2012 et le dossier complet présentés par l’organisme dénommé « FORMA
COMM », sis 8, rue Pierre-Chausson à PARIS (75010), société à responsabilité limitée,
Arrête :
Article 1er
L’organisme de formation dénommé « FORMA COMM », sis 8, rue Pierre-Chausson à PARIS (75010), est agréé
pour une durée de cinq ans à l’effet de dispenser à l’attention des exploitants de débits de boissons ou d’établissements
pourvus de la « petite licence restaurant » ou de la « licence restaurant », la formation prévue au premier alinéa de
l’article L. 3332‑1‑1 du code de la santé publique.
Article 2
Le présent arrêté sera notifié à l’organisme dénommé « FORMA COMM », sis 8, rue Pierre-Chausson à PARIS
(75010), et sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
Fait le 6 juin 2012.
Pour le ministre et par délégation :
Le chef du bureau des polices administratives,
Philippe Leblanc
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 306
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
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Arrêté du 7 juin 2012 portant agrément d’un organisme de formation
au titre de l’article L. 3332‑1‑1 du code de la santé publique
NOR : INTD1225445A
Le ministre de l’intérieur,
Vu le code de la santé publique, notamment les articles L. 3332‑1‑1 et R. 3332‑4 à R. 3332‑9 ;
Vu l’arrêté du 22 juillet 2011 fixant le programme et l’organisation des formations requises pour l’obtention des
attestations prévues à l’article R. 3332‑4‑1 du code de la santé publique ;
Vu la demande en date du 10 novembre 2011 et le dossier complet présentés par l’organisme dénommé « DUPUY
CONSEIL » (formation professionnelle en techniques et technologies agro-alimentaires), sis 10, avenue de Madrid à
CANNES (06400), profession libérale,
Arrête :
Article 1er
L’organisme de formation dénommé « DUPUY CONSEIL » (formation professionnelle en techniques et
technologies agro-alimentaires), sis 10, avenue de Madrid à CANNES (06400), est agréé pour une durée de cinq ans
à l’effet de dispenser à l’attention des exploitants de débits de boissons ou d’établissements pourvus de la « petite
licence restaurant » ou de la « licence restaurant », la formation prévue au premier alinéa de l’article L. 3332‑1‑1 du
code de la santé publique.
Article 2
Le présent arrêté sera notifié à l’organisme dénommé « DUPUY CONSEIL » (formation professionnelle en
techniques et technologies agro-alimentaires), sis 10, avenue de Madrid à CANNES (06400), et sera publié au Bulletin
officiel du ministère de l’intérieur.
Fait le 7 juin 2012.
Pour le ministre et par délégation :
Le chef du bureau des polices administratives,
Philippe Leblanc
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 307
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
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Arrêté du 7 juin 2012 portant agrément d’un organisme de formation
au titre de l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique
NOR : INTD1225474A
Le ministre de l’intérieur,
Vu le code de la santé publique, notamment les articles L. 3332-1-1 et R. 3332-4 à R. 3332-9 ;
Vu l’arrêté du 22 juillet 2011 fixant le programme et l’organisation des formations requises pour l’obtention des
attestations prévues à l’article R. 3332-4-1 du code de la santé publique ;
Vu la demande en date du 16 février 2012 et le dossier complet présentés par l’organisme dénommé « I.U.T. de
TOURS » (Institut universitaire de technologie de TOURS), sis 29, rue du Pont-Volant à TOURS (37082),
Arrête :
Article 1er
L’organisme de formation dénommé « I.U.T. de TOURS » (Institut universitaire de technologie de TOURS), sis
29, rue du Pont-Volant à TOURS (37082), est agréé pour une durée de cinq ans à l’effet de dispenser à l’attention
des exploitants de débits de boissons ou d’établissements pourvus de la « petite licence restaurant » ou de la « licence
restaurant », la formation prévue au premier alinéa de l’article L.3332-1-1 du code de la santé publique ; à l’attention
des débitants de boissons à emporter vendant des boissons alcoolisées entre 22 heures et 8 heures, la formation
prévue au deuxième alinéa de l’article L.3332-1-1 du code de la santé publique.
Article 2
Le présent arrêté sera notifié à l’organisme dénommé « I.U.T. de TOURS » (Institut universitaire de technologie de
TOURS), sis 29, rue du Pont-Volant à TOURS (37082), et sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
Fait le 7 juin 2012.
Pour le ministre et par délégation :
Le chef du bureau des polices administratives,
Philippe Leblanc
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 308
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
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Arrêté du 22 juin 2012 portant agrément d’un organisme de formation
au titre de l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique
NOR : INTD1227018A
Le ministre de l’intérieur,
Vu le code de la santé publique, notamment les articles L. 3332-1-1 et R. 3332-4 à R. 3332-9 ;
Vu l’arrêté du 22 juillet 2011 fixant le programme et l’organisation des formations requises pour l’obtention des
attestations prévues à l’article R. 3332-4-1 du code de la santé publique ;
Vu la demande en date du 12 juin 2012 et le dossier complet présentés par l’organisme dénommé « PROM’HÔTE »,
sis 22, rue d’Anjou à PARIS (75008), association régie par la loi du 1er juillet 1901,
Arrête :
Article 1er
L’organisme de formation dénommé « PROM’HÔTE », sis 22, rue d’Anjou à PARIS (75008), est agréé pour une
durée de cinq ans à l’effet de dispenser à l’attention des exploitants de débits de boissons ou d’établissements pourvus
de la « petite licence restaurant » ou de la « licence restaurant », la formation prévue au premier alinéa de l’article
L.3332-1-1 du code de la santé publique ; à l’attention des débitants de boissons à emporter vendant des boissons
alcoolisées entre 22 heures et 8 heures, la formation prévue au deuxième alinéa de l’article L.3332-1-1 du code de la
santé publique.
Article 2
Le présent arrêté sera notifié à l’organisme dénommé « PROM’HÔTE », sis 22, rue d’Anjou à PARIS (75008),
et sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
Fait le 22 juin 2012.
Pour le ministre et par délégation :
Le chef du bureau des polices administratives,
Philippe Leblanc
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 309
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
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Arrêté du 22 juin 2012 portant agrément d’un organisme de formation
au titre de l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique
NOR : INTD1227080A
Le ministre de l’intérieur,
Vu le code de la santé publique, notamment les articles L. 3332-1-1 et R. 3332-4 à R. 3332-9 ;
Vu l’arrêté du 22 juillet 2011 fixant le programme et l’organisation des formations requises pour l’obtention des
attestations prévues à l’article R. 3332-4-1 du code de la santé publique ;
Vu la demande en date du 14 juin 2012 et le dossier complet présentés par l’organisme dénommé « FAGIHT
FORMATION », sis 221, avenue de Lyon, B.P. 448, à CHAMBERY Cedex (73004), association régie par la loi du
1er juillet 1901,
Arrête :
Article 1er
L’organisme de formation dénommé « FAGIHT FORMATION », sis 221, avenue de Lyon, B.P. 448, à CHAMBERY
Cedex (73004), est agréé pour une durée de cinq ans à l’effet de dispenser à l’attention des exploitants de débits de
boissons ou d’établissements pourvus de la « petite licence restaurant » ou de la « licence restaurant », la formation
prévue au premier alinéa de l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique ; à l’attention des débitants de boissons
à emporter vendant des boissons alcoolisées entre 22 heures et 8 heures, la formation prévue au deuxième alinéa de
l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique.
Article 2
Le présent arrêté sera notifié à l’organisme dénommé « FAGIHT FORMATION », sis 221, avenue de Lyon,
B.P. 448, à CHAMBERY Cedex (73004), et sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
Fait le 22 juin 2012.
Pour le ministre et par délégation :
Le chef du bureau des polices administratives,
Philippe Leblanc
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 310
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
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Arrêté du 26 juin 2012 portant agrément d’un type de véhicule blindé de transport de fonds
prévu à l’article 4 du décret no 2000‑376 du 28 avril 2000 modifié relatif à la protection des
transports de fonds
NOR : INTD1226905A
Le ministre de l’intérieur,
Vu le code de la sécurité intérieure ;
Vu le décret no 2000‑376 du 28 avril 2000 modifié relatif à la protection des transports de fonds, notamment
l’article 2 et le II de l’article 4 ;
Vu l’arrêté du 28 avril 2000 fixant les normes minimales nécessaires à l’agrément prévu par l’article 4 du décret
no 2000‑376 du 28 avril 2000 modifié relatif à la protection des transports de fonds ;
Vu la demande de la société CENTIGON France S.A.S., R.C.S. Saint-Brieuc no 347 994 196, sise zone industrielle,
rue d’Armor, 22400 LAMBALLE, en date du 14 février 2012 ;
Vu la visite de réception réalisée par le secrétariat général pour l’administration de la police de la zone de défense
et de sécurité Ouest en date du 20 mars 2012 ;
Vu le procès-verbal no 1213 relatif aux essais de résistance balistique des matériaux blindés opaques (parois) et
des matériaux blindés transparents (vitrage), réalisé le 5 juin 2001 par la direction des centres d’expertise et d’essais
(établissement technique de Bourges) du ministère de la défense ;
Vu l’avis favorable du secrétariat général pour l’administration de la police de Rennes en date du 15 juin 2012 ;
Considérant que le véhicule réceptionné correspond aux caractéristiques requises de résistance balistique des
matériaux blindés opaques (parois) et des matériaux blindés transparents (vitrage),
Arrête :
Article 1er
Le type de véhicule de transport de fonds, tête de série, IVECO Daily, type 70J17BE3A, no de châssis
ZCFC 70 C 0005 878073 est agréé.
Article 2
Le présent arrêté entre en vigueur à compter de la date de sa notification à la société CENTIGON France S.A.S.
Il sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
Fait le 26 juin 2012.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur des libertés publiques et des affaires juridiques,
Laurent Touvet
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 311
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
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Arrêté du 30 mai 2012 portant indemnisation des rapporteurs à la commission consultative
des jeux de cercles et de casinos
NOR : INTD1225360A
Le président de la commission consultative des jeux de cercles et de casinos,
Vu la loi no 2010‑476 du 12 mai 2010 modifiée relative à l’ouverture à la concurrence et à la régulation du secteur
des jeux d’argent et de hasard en ligne ;
Vu le décret no 2006‑672 du 8 juin 2006 modifié relatif à la création, à la composition et au fonctionnement de
commissions administratives à caractère consultatif ;
Vu le décret no 2011‑252 du 9 mars 2011 relatif au comité consultatif des jeux ;
Vu l’arrêté du 8 décembre 2011 fixant le taux des indemnités pouvant être allouées aux rapporteurs apportant leur
concours à la commission consultative des jeux de cercles et de casinos,
Arrête :
Article 1er
Le nombre de vacations correspondant à la présentation de rapports d’instruction devant la commission des jeux
de cercles et de casinos est fixé comme suit :
NATURE DU DOSSIER RAPPORTÉ
NOMBRE DE VACATION(S) PAR DOSSIER
Extension de jeux ou augmentation du nombre de tables
Extension de jeux et augmentation du nombre de tables et
Expérimentation
Renouvellement simple d’autorisation de jeux assorti ou non d’une extension de jeux ou d’une augmentation
du nombre de tables pour les casinos
Renouvellement d’autorisation de jeux pour les cercles
3
Renouvellement d’autorisation avec nouveau cahier des charges
Ouverture d’un casino, d’un cercle, transfert ou sanction disciplinaire
5
Article 2
Le montant unitaire de chaque vacation s’élève à 8,20 € en application de l’article 1er de l’arrêté du 8 décembre 2011
fixant le taux des indemnités pouvant être allouées aux rapporteurs apportant leur concours à la commission
consultative des jeux de cercles et de casinos.
Fait le 30 mai 2012.
Le président de la commission consultative
des jeux de cercles et de casinos,
Jean-Pierre Duport
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 312
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Direction générale
des collectivités locales
_____
Sous-direction des compétences
et des institutions locales
_____
Bureau de la domanialité,
de l’urbanisme, de la voirie
et de l’habitat
_____
Circulaire du 3 mai 2012 relative au Fonds d’Aide pour le Relogement d’Urgence (FARU)
NOR : IOCB1210239C
Référence : article L. 2335‑15 du code général des collectivités territoriales.
Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration
à Messieurs les préfets de région et Mesdames et Messieurs les préfets de département.
Le Fonds d’Aide pour le Relogement d’Urgence (FARU), initialement destiné à apporter un financement aux
communes qui réalisent, soit le relogement de personnes occupant des locaux présentant un danger pour leur santé
ou leur sécurité, soit les travaux interdisant l’accès à ces locaux dangereux, a fait l’objet de plusieurs modifications
qui portent sur :
– la prorogation à 2015 de l’échéance du fonds ;
– l’élargissement des bénéficiaires des subventions aux établissements publics locaux et aux groupements d’intérêt
public ;
– une harmonisation des taux de subventionnement (75 % ou 100 %) ;
– la déconcentration de la procédure d’instruction des demandes de subvention.
La présente circulaire a pour objet de présenter ces modifications et d’actualiser les modalités d’instruction et
d’attribution de subventions au titre du FARU.
Les circulaires NOR : MCTB0600052C du 2 juin 2006 et NOR : INTB0700074C du 22 juin 2007 relatives aux
modalités d’attribution du FARU sont abrogées.
Le fonds d’aide pour le relogement d’urgence (FARU), prévu à l’article L. 2335‑15 du code général des collectivités
territoriales (CGCT), constitue un véritable outil financier à l’attention des communes, des établissements publics
locaux (EPL) et des groupements d’intérêt public (GIP) compétents afin de soutenir leurs actions dans le domaine de
la lutte contre l’habitat indigne qui constitue une priorité gouvernementale, et de les aider à répondre à des situations
d’extrême urgence comme en cas de catastrophes naturelles où la responsabilité des propriétaires n’est pas engagée.
Il a été prorogé jusqu’en 2015 par l’article 56 de la loi no 2010‑1657 du 29 décembre 2010 de finances pour 2011.
La présente circulaire a pour objet de rappeler les principes d’intervention de ce fonds (1) et les principales modifications
qui y ont récemment apportées, notamment en termes d’instruction des demandes de subventionnement (2).
1. Principes d’intervention du FARU
Le FARU est destiné à financer, d’une part, l’hébergement d’urgence ou le relogement temporaire, dans la limite
de 6 mois, des personnes occupant des locaux présentant un danger pour leur santé ou leur sécurité, et, d’autre part,
la réalisation de travaux interdisant l’accès à ces locaux (cf. annexe 1 sur les opérations éligibles au titre du FARU).
Ce financement ne peut intervenir qu’à la suite d’une des mesures de police suivantes :
– un arrêté de péril ordinaire ou imminent du maire pris en application des articles L. 511‑2 et L. 511‑3 du code de
construction et de l’habitation (CCH) interdisant d’habiter les lieux ou ordonnant l’évacuation des occupants ;
– un arrêté du maire prescrivant des travaux de sécurité dans un hôtel meublé assorti d’une interdiction d’habiter
ou un arrêté ordonnant sa fermeture en application des articles L. 123‑3 et L. 123‑4 du CCH ;
–un arrêté d’insalubrité du préfet pris en application des articles L. 1331‑22 à L. 1331‑30 du code de la santé
publique (CSP) assorti d’une interdiction d’habiter dès lors que le maire a assuré le relogement des occupants
sur le fondement de l’article L. 521‑3‑2 du CCH ;
– un arrêté du maire pris sur le fondement des pouvoirs de police générale qu’il détient de l’article L. 2212‑2 du
CGCT interdisant l’occupation des locaux dangereux (cas des catastrophes naturelles, incendies, squats devenus
dangereux).
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 313
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
2. Modifications apportées au dispositif du FARU
Ces modifications concernent les collectivités bénéficiaires, le taux des subventions susceptibles d’être accordées et
l’instruction des demandes de subventionnement.
En premier lieu, le dispositif d’aide financière, initialement destiné aux seules communes, est élargi aux
établissements publics locaux (EPL) et aux groupements d’intérêt public (GIP) compétents qui assurent la prise
en charge financière des opérations de relogement ou de travaux. Il s’agit principalement des centres communaux
d’action sociale, des établissements publics de coopération intercommunale compétents en matière d’habitat, des
offices publics de l’habitat, des GIP compétents dans ce domaine dont le SAMU social à Paris.
En deuxième lieu, le taux des subventions susceptible d’être accordées, qui s’échelonnait auparavant de 50 à 100 %
est désormais harmonisé avec un taux de 75 % pour l’ensemble des dépenses indemnisables. Un taux de prise en
charge de 100 % s’applique toutefois pour les situations de péril ou de danger sans responsabilité du propriétaire,
dans lesquelles le maire a mis en œuvre les pouvoirs de police générale définis à l’article L. 2212‑2 du CGCT
(cf. annexe 2 sur l’assiette des dépenses éligibles au FARU et annexe 3 sur les taux de subvention).
En troisième lieu, l’instruction des demandes de subvention, auparavant réalisée par les services d’administration
centrale, est désormais déconcentrée conformément aux dispositions de L. 2335‑15 du CGCT.
Afin de vous aider à accompagner les demandeurs de subvention au titre du FARU dans leurs démarches, vous
trouverez en annexe 4 à 6 une liste des pièces justificatives que le demandeur doit vous faire parvenir ainsi que des
modèles de fiches récapitulatives de demande de subvention. La bonne diffusion par vos soins de ces fiches permettra
de favoriser la constitution d’un dossier complet mais aussi de faciliter le travail d’instruction de vos services.
Sont également joints en annexe à la présente circulaire d’autres modèles de documents que vous serez amené à
utiliser au cours des phases d’instruction et d’attribution des demandes de subvention au titre du FARU.
Vous me rendrez compte, sous le timbre de la direction générale des collectivités locales (sous direction des
compétences et des institutions locales – bureau de la domanialité, de l’urbanisme, de la voirie et de l’habitat) des
difficultés que vous pourriez éventuellement rencontrer dans l’application du dispositif commenté par la présente
circulaire.
*
*
*
Afin de mobiliser l’ensemble des acteurs concernés et de donner au FARU toute son efficacité, je vous demande
d’assurer la meilleure information possible de ce dispositif auprès des élus locaux. Cette diffusion de l’information
constitue en effet une condition indispensable pour que le fonds soit utilisé plus régulièrement et bénéficie de façon
effective aux territoires les plus touchés par la problématique d’habitat dégradé.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général des collectivités locales,
Éric Jalon
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
LISTE DES ANNEXES
1.Les opérations éligibles à une subvention au titre du FARU.
2.Assiette des dépenses éligibles au FARU.
3.Taux de subvention pour les diverses opérations éligibles au FARU.
4.Liste des pièces justificatives à fournir par le demandeur d’une subvention au FARU.
5.
Modèle de fiche récapitulative de demande de subvention au titre du FARU concernant une opération
d’hébergement d’urgence ou de relogement temporaire.
6.Modèle de fiche récapitulative de demande de subvention au titre du FARU concernant une opération de
travaux d’interdiction d’accès à des locaux dangereux.
7.Modèle d’attestation délivrée par une commune, un EPL ou un GIP pour une opération de relogement.
8.Modèle d’attestation délivrée par une commune, un EPL ou un GIP pour une opération de travaux d’interdiction
d’accès à des locaux dangereux.
9.Instruction du dossier et modalités de versement des subventions au titre du FARU.
10.Modèle de fiche de synthèse à transmettre à la DGCL concernant une opération d’hébergement d’urgence ou
de relogement temporaire.
11.Modèle de fiche de synthèse à transmettre à la DGCL concernant une opération de travaux interdisant l’accès
à des locaux dangereux.
12.Modèle d’arrêté préfectoral portant attribution d’une subvention au titre du FARU à une commune.
13.Modèle d’arrêté préfectoral portant attribution d’une subvention au titre du FARU à un EPL.
14.Modèle d’arrêté préfectoral portant attribution d’une subvention au titre du FARU à un GIP.
15.Modalités de suivi, et le cas échéant, de remboursement de la subvention FARU.
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 315
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
ANNEXE 1
Les
opérations éligibles à une subvention au titre du
FARU
Deux catégories d’opérations réalisées par une commune, un EPL ou un GIP compétent peuvent être financées par
ce fonds, d’une part, les opérations d’hébergement d’urgence ou de relogement temporaire pour une durée maximale
de 6 mois (I), et d’autre part, les opérations de travaux interdisant l’accès à des locaux dangereux (II).
I. – L’HÉBERGEMENT D’URGENCE OU LE RELOGEMENT TEMPORAIRE
Lorsqu’il existe un danger pour la sécurité ou la santé des occupants d’un immeuble, l’autorité publique, le préfet
ou le maire, est tenue de prescrire aux propriétaires les mesures appropriées pour y mettre fin, c’est à dire des travaux
à réaliser dans un délai d’exécution précisé.
Cette prescription peut être assortie d’une interdiction temporaire ou définitive d’habiter. Dans ce cas, il revient
au propriétaire ou à l’exploitant, d’assurer le relogement des occupants conformément aux dispositions des
articles L. 521‑1 et suivants du code de la construction et de l’habitation (CCH).
Cependant, en cas de carence du propriétaire, le préfet ou le maire est tenu d’assurer l’hébergement ou le
relogement des occupants, conformément aux dispositions de l’article L. 521‑3‑2 du CCH, aux frais du propriétaire
ou de l’exploitant.
Lorsque les locaux ne sont pas libérés du fait des occupants qui refusent toutes les offres de relogement qui leur
sont faites, le propriétaire peut demander leur expulsion (1) auprès du juge judiciaire.
L’article 62 de la loi no 91‑650 du 9 juillet 1991 indique que l’expulsion ne peut avoir lieu qu’à l’expiration d’un
délai de deux mois qui suit le commandement de quitter les lieux, sauf si le juge en décide autrement. À l’issue de ce
délai, lorsque l’huissier rencontre une résistance à mettre en œuvre l’expulsion, il peut requérir le concours de la force
publique. Après cette réquisition, l’expulsion peut être effectuée à tout moment et même en période hivernale si les
occupants sont entrés dans les lieux par voie de fait (squatters). Le refus préfectoral de concours de la force publique
pour procéder à une expulsion ouvre droit à indemnisation pour le bailleur.
La procédure d’hébergement d’urgence ou de relogement temporaire peut intervenir, d’une part, en cas d’atteinte à
la sécurité publique (voir point 1), et d’autre part, en matière de lutte contre l’insalubrité (voir point 2).
1. L’atteinte à la sécurité publique
Le manque d’entretien des immeubles peut engager la sécurité des personnes et des biens. La législation permet
au maire d’intervenir, notamment, par deux types de procédures afin de prescrire aux propriétaires les mesures
appropriées pour remédier aux situations dangereuses. Il s’agit de la procédure de péril (1.1) et du contrôle de la
sécurité des hôtels meublés (1.2).
1.1. La procédure de péril (immeuble menaçant ruine)
La procédure de péril est fondée sur la notion de sécurité publique et de danger encouru par les personnes, le
public ou les occupants, compte tenu des défauts de solidité des éléments bâtis, y compris les éléments intérieurs aux
bâtiments.
Cependant, un immeuble menaçant ruine n’est pas nécessairement un immeuble d’habitation. Un immeuble
d’habitation peut être insalubre et ne pas menacer ruine et réciproquement. Mais les deux désordres peuvent
également se cumuler. Dans ce cas il peut être nécessaire de recourir à la procédure de péril et à celle de l’insalubrité.
La police des immeubles menaçant ruine relève de la compétence du maire. Elle trouve son fondement dans
l’article L. 2212‑2 du code général des collectivités territoriales relatif au pouvoir de police générale (1.1.1) et dans
l’article L. 2213‑24 du même code afférent au pouvoir de police spéciale (1.1.2).
(1) Il faut distinguer l’évacuation, dont l’objectif est la libération physique de locaux dangereux, opération de sécurité et d’urgence qui est
indépendante des droits d’occupation des habitants et qui n’y met pas fin, de l’expulsion prononcée par le juge, qui statue sur le droit d’occupation
des habitants et y met fin, le cas échéant.
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 316
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
1.1.1. En matière de police générale
D’une part, dès lors que la solidité des bâtiments est mise en cause par des évènements accidentels indépendants
de toute responsabilité des propriétaires, le maire prend les mesures qui s’imposent afin de garantir la sécurité et la
salubrité publiques. Ainsi, par exemple, à la suite de catastrophes naturelles ou d’incendies, il assure l’hébergement
des habitants sinistrés.
En matière de catastrophe naturelle, le FARU peut être mobilisé afin de prendre en charge financièrement les frais
engagés par les communes, les EPL et les GIP compétents pour l’hébergement d’urgence ou le relogement temporaire
des propriétaires occupants et des locataires.
D’autre part, pour les squats devenus dangereux dans des immeubles très dégradés, souvent déjà sous arrêté de
péril ou d’insalubrité, mais pour lesquels les travaux n’ont pu être exécutés, ou dont l’expulsion des occupants sans
titre, ordonnée par le juge, n’a pu être mise en œuvre, le maire peut en ordonner l’évacuation. Cependant, comme
pour toute évacuation, si les occupants n’obtempèrent pas, le maire doit demander au préfet le recours à la force
publique. Dans ce cas, et pour des raisons de santé publique, le maire peut se trouver dans l’obligation de trouver un
hébergement en urgence pour ces personnes.
Dans ce cas, la subvention accordée au titre du FARU correspond à 100 % du coût du relogement pendant une
durée maximale de 6 mois. En effet, dans ces cas, les dépenses engagées par la commune, l’EPL ou le GIP, ne peuvent
pas être recouvrées sur des tiers.
1.1.2. En matière de police spéciale
Dans le cadre de ce pouvoir de police spéciale du maire, on distingue deux cas, le péril ordinaire et le péril imminent.
a) Le péril ordinaire
La procédure de péril ordinaire est initiée par le maire. Il peut prescrire par arrêté toutes mesures tendant à
la réparation ou à la démolition des murs, bâtiments ou édifices qui, eu égard à leur état, seraient de nature à
compromettre la sécurité publique.
Il incombe, dans ce cas, au propriétaire d’assurer le relogement des occupants dans les conditions prévues à
l’article L. 521‑3‑1 du CCH.
Toutefois, le maire est tenu de prendre, en cas de carence du propriétaire, les dispositions nécessaires pour héberger
ou reloger les occupants de ces bâtiments. Dans ce cas, le propriétaire défaillant doit rembourser à la commune la
somme correspondante aux frais occasionnés par le relogement. Elle est recouvrée comme en matière de contributions
directes et le maire émet un titre exécutoire.
Il pourra être attribué à la commune ou à l’EPL ou au GIP, si son dossier est retenu, une subvention correspondante
à 75 % du coût pendant une durée maximale de 6 mois. Ce taux d’attribution se justifie par le fait que la créance doit
être recouvrée par la commune sur les propriétaires défaillants.
b) Le péril imminent
En cas de péril imminent, le maire, après avertissement adressé au propriétaire, demande à la juridiction
administrative compétente la nomination d’un expert qui, dans les vingt-quatre heures qui suivent sa nomination,
examine les bâtiments, dresse constat de l’état des bâtiments mitoyens et propose des mesures de nature à mettre fin
à l’imminence du péril s’il la constate.
Si le rapport de l’expert conclut à l’existence d’un péril grave et imminent, le maire ordonne les mesures provisoires
nécessaires pour garantir la sécurité, notamment, l’évacuation de l’immeuble.
Dans le cas où ces mesures n’auraient pas été exécutées dans le délai imparti, le maire les fait exécuter d’office. En
ce cas, le maire agit en lieu et place des propriétaires, pour leur compte et à leurs frais. Si les mesures ont à la fois
conjuré l’imminence du danger et mis fin durablement au péril, le maire, sur le rapport d’un homme de l’art, prend
acte de leur réalisation et de leur date d’achèvement.
Si elles n’ont pas mis fin durablement au péril, le maire poursuit la procédure dans les conditions prévues à
l’article L. 511‑2 du CCH et édicte un arrêté de péril ordinaire.
Il pourra être attribué à la commune ou à l’EPL ou au GIP, si son dossier est retenu, une subvention correspondante
à 75 % du coût pendant une durée maximale de 6 mois. Ce taux d’attribution se justifie par le fait que la créance doit
être recouvrée par la commune sur les propriétaires défaillants.
1.2. Le contrôle de la sécurité des hôtels meublés
Les hôtels meublés sont des établissements à usage d’hébergement. Ils sont soumis aux dispositions des
établissements recevant du public. À ce titre, il relève de la compétence du maire d’en assurer le contrôle et la sécurité
sur le fondement des articles L. 123‑1 à L. 123‑4 du CCH.
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Le maire prescrit, par arrêté, après visite et avis de la commission de sécurité, l’exécution des mesures et travaux
nécessaires pour faire cesser la situation d’insécurité. Il peut enfin, en cas d’inexécution des mesures par l’exploitant,
y procéder d’office et aux frais de celui-ci (art L. 123‑3 du CCH). Il peut également prononcer une interdiction
temporaire d’habiter ou d’utiliser les lieux. Dans la mesure où l’état des locaux impose une fermeture définitive,
le maire y procède par arrêté.
Dans tous ces cas, l’exploitant est tenu d’assurer l’hébergement temporaire ou le relogement définitif des occupants.
En cas de carence de ce dernier, le maire doit prendre toutes les dispositions nécessaires pour héberger ou reloger les
occupants. Les frais ainsi générés restent bien évidemment à la charge financière des exploitants (article L. 521‑1 du
CCH).
Par ailleurs, si l’état de l’hôtel meublé présente un très grave danger pour les occupants, le maire peut en ordonner
l’évacuation. Dans ce cas, les dispositions afférentes au péril imminent en matière d’hébergement ou de relogement
sont applicables.
Le maire qui assure l’hébergement ou le relogement des occupants des hôtels meublés peut demander à bénéficier
des subventions du FARU.
Il pourra être attribué à la commune, si son dossier est retenu, une subvention correspondante à 75 % du coût
pendant une durée maximale de 6 mois.
L’EPL ou le GIP compétent qui assure l’hébergement ou le relogement des occupants des hôtels meublés peut
également demander à bénéficier des subventions du FARU.
Il pourra être attribué à ces structures, si leur dossier est retenu, une subvention correspondante à 75 % du coût
pendant une durée maximale de 6 mois.
2. En matière de lutte contre l’insalubrité
La lutte contre l’insalubrité a pour objet de protéger les habitants des risques d’atteinte à leur santé que l’état du
logement leur fait courir, grâce à la réalisation de travaux ou, le cas échéant, à l’interdiction d’habiter, provisoire ou
définitive.
L’insalubrité peut être qualifiée de remédiable lorsque qu’il est demandé au propriétaire d’effectuer des travaux
avec une éventuelle interdiction temporaire d’habiter.
L’insalubrité est irrémédiable lorsqu’il n’existe aucun moyen technique pour y mettre fin ou lorsque les travaux
seraient plus coûteux que la reconstruction du bâtiment. Dans ce cas, une interdiction définitive d’habiter est
nécessairement prononcée.
2.1. La lutte contre l’habitat insalubre qui relève de la compétence du préfet...
La lutte contre l’habitat insalubre est une compétence de l’État, prévue aux articles L. 1331‑22 à L. 1331‑30 du code
de la santé publique. Elle est mise en œuvre par arrêté préfectoral déclarant l’insalubrité et prescrivant les mesures
nécessaires à sa résorption. Ainsi, relève de la seule compétence du préfet l’obligation de prescrire les travaux à
réaliser et, s’il y a lieu, de prononcer l’interdiction temporaire ou définitive d’habiter.
Il incombe au propriétaire, d’assurer le relogement des occupants conformément aux dispositions de
l’article L. 521‑3‑1 du CCH.
Le préfet, en cas de carence du propriétaire en matière de relogement ou d’hébergement des occupants, prend les
dispositions nécessaires pour les héberger ou les reloger.
2.2. ... peut être mise en œuvre par le maire
Le maire peut, sur le fondement de l’article L. 521‑3‑2 du CCH, également intervenir au soutien du préfet en
cas d’interdiction temporaire ou définitive d’habiter afin d’assurer l’hébergement ou le relogement temporaire des
occupants dans les trois cas suivants :
– si le maire est délégataire de tout ou partie des réservations de logements en application de l’article L. 441‑1 du
code de la construction et de l’habitation ;
–lorsque la commune initie des actions sur un immeuble déclaré insalubre situé dans le périmètre d’une
opération programmée d’amélioration de l’habitat prévue par l’article L. 303‑1 du CCH ou dans une opération
d’aménagement définie à l’article L. 300‑1 du code de l’urbanisme ;
–dans le cas où une convention a été signée entre le maire et le préfet, prévoyant en application du V de
l’article L. 521‑3‑2 du CCH, une répartition des obligations d’hébergement ou de relogement (cas, par exemple,
de protocoles d’accord de lutte contre l’habitat indigne signés entre la commune et l’État).
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Il convient de rappeler que lorsque l’état des lieux a nécessité une interdiction temporaire d’habiter et que le préfet
ou le maire s’est substitué au propriétaire défaillant en matière d’hébergement des occupants, ce dernier est tenu de
rembourser les frais occasionnés. Ils sont ainsi recouvrés comme en matière de contributions directes et le préfet ou
le maire émet un titre exécutoire.
Lorsque les locaux ne sont pas libérés et si les occupants ont refusé toutes les offres de relogement tant du
propriétaire que du préfet ou du maire, il convient de recourir à la procédure de l’expulsion telle que précédemment
décrite.
Si son dossier est retenu, il pourra être attribué à la commune, s’agissant d’une créance recouvrable sur les
propriétaires, une subvention correspondante à 75 % du coût du relogement pendant une durée maximale de 6 mois.
L’EPL ou le GIP compétent qui assure l’hébergement ou le relogement des occupants de locaux déclarés insalubres
peut demander à bénéficier du FARU.
Si son dossier est retenu, il pourra lui être attribué, s’agissant d’une créance recouvrable sur les propriétaires, une
subvention correspondante à 75 % du coût du relogement pendant une durée maximale de 6 mois.
II. – LES OPÉRATIONS DE TRAVAUX INTERDISANT L’ACCÈS
À DES LOCAUX DANGEREUX
Lorsqu’une commune assure l’exécution de travaux qui interdisent l’accès à des locaux frappés par un arrêté de
péril et/ou d’insalubrité et limite ainsi le développement des squats, elle peut demander à bénéficier de subvention au
titre du FARU.
Si ces travaux d’interdiction d’accès sont réalisés par un EPL ou bien par un GIP compétent, ceux-ci peuvent
demander à bénéficier de subvention au titre du FARU.
Ces mesures portent notamment sur le murage des ouvertures, la mise en place de fermeture ou tout autre dispositif
nécessaire à éviter toute occupation illicite des bâtiments.
Pour chaque dossier retenu, il est accordé une subvention correspondante à 75 % du coût des travaux.
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ANNEXE 2
Assiette
des dépenses éligibles au
FARU
La demande de subvention peut comporter des dépenses réellement acquittées ou des dépenses prévisionnelles.
Dans ce dernier cas, il appartient à vos services de vérifier ex post auprès du demandeur la concordance entre la
dépense prévisionnelle et le montant de la dépense réellement acquittée et de m’en tenir informé afin de procéder aux
ajustements nécessaires.
En matière d’hébergement d’urgence ou de relogement temporaire, le montant de la dépense pris en charge au
titre du FARU est celui toutes taxes comprises pour une durée maximale de six mois. Il s’agit notamment des nuitées
d’hôtels taxe de séjour incluse ou des loyers.
En revanche, à titre d’exemple, ne sont pas pris en charge au titre du FARU : les frais de « bouche », les équipements
nécessaires à l’aménagement d’un logement, les factures d’eau, de gaz, d’électricité et de téléphone, l’achat de mobilier,
les frais d’huissier de justice, les frais d’expertise, les frais d’agence immobilière, les frais de garde meuble, les frais de
déménagement ou les cautions.
Concernant les travaux d’interdiction d’accès à des locaux présentant un danger pour la santé ou la sécurité de
leur occupant, les dépenses prises en charge par le FARU sont celles toutes taxes comprises relatives notamment à
des frais de murage des ouvertures, de la mise en place de fermeture ou tout autre dispositif nécessaire à éviter toute
occupation illicite des bâtiments.
Les travaux de remise en état d’un logement ne donc sont pas éligibles au titre du FARU.
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ANNEXE 3
Taux
de subvention pour les diverses opérations éligibles au
FARU
Deux catégories d’opérations, dès lors qu’elles sont réalisées par une commune, un EPL ou un GIP compétent,
peuvent être financées par ce fonds. Il s’agit, d’une part, des opérations d’hébergement d’urgence ou de relogement à
titre temporaire d’une durée maximale de 6 mois, et d’autre part, des opérations de travaux interdisant l’accès à des
locaux dangereux.
Les taux de subvention au titre du FARU, définis dans le tableau ci-dessous, diffèrent selon la nature de l’opération
et la procédure mise en œuvre (1).
Toutefois, dans un souci de simplification, les taux de subventionnement ont été harmonisés. Désormais, l’ensemble
des opérations seront donc subventionnées à un taux de 75 %, excepté les situations de péril sans responsabilité du
propriétaire conformément à L. 2212‑2 du code général des collectivités territoriales (catastrophe naturelle, incendie,
squats devenus dangereux) pour lesquelles le taux de prise en charge est de 100 %.
OPÉRATIONS ÉLIGIBLES
à des aides financières au titre du FARU
TAUX
de subvention
au titre
du FARU
DURÉE MAXIMALE
de prise en charge
au titre du FARU
Le péril sans responsabilité du propriétaire conformément
à L. 2212‑2 du code général des collectivités territoriales
(catastrophe naturelle, incendie, squats devenus dangereux)
100 %
6 mois
Le péril ordinaire avec responsabilité du propriétaire défini à
L. 511‑2 du code de la construction et de l’habitation
75 %
6 mois
Le péril imminent défini à l’article L. 511‑3 du code de la
construction et de l’habitation
75 %
La sécurité des hôtels meublés définie aux articles L. 123‑3 et
suivants du code de la construction et de l’habitation
75 %
L’insalubrité définie aux articles L. 1331‑22 à L. 1331‑30 du
code de la santé publique (CSP)
75 %
PROCÉDURES
mises en œuvre
Hébergement d’urgence
ou relogement temporaire
Travaux d’interdiction d’accès à des
locaux présentant un danger pour la
santé ou la sécurité de leurs occupants
6 mois
6 mois
6 mois
75 %
Un taux différent peut être appliqué par décision ministérielle au vu d’une proposition motivée de votre part. En
revanche, la durée maximale de 6 mois, qui est fixée par la loi, ne peut faire l’objet de dérogation.
(1) Annexe 1.
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ANNEXE 4
Liste
des pièces justificatives à fournir par le demandeur d’une subvention au
FARU
Les dossiers transmis par les communes, les EPL et les GIP compétents demandeurs d’aide doivent obligatoirement
comprendre les pièces suivantes :
– une lettre de la commune, de l’EPL ou du GIP qui demande une subvention au titre du FARU et précise le
montant de la subvention sollicitée toutes taxes comprises ;
– un descriptif sommaire de l’opération (relogement, travaux) nécessitant le recours au FARU.
Cet exposé précisera l’adresse, le nom du ou des propriétaires de l’immeuble concerné, ainsi que la chronologie et
le support juridique de la procédure mise en œuvre (articles L. 2212‑2 du CGCT ou L. 511‑2 du CCH ou L. 511‑3
ou L. 123‑3 du CCH ou L. 1331‑22 à L. 1331‑30 du CSP). Selon les cas, il précisera les conditions de relogement (le
lieu, le coût, la période de relogement, le nombre de personnes...) ou la nature des travaux d’interdiction d’accès à des
locaux dangereux réalisés ou à effectuer.
– la fiche récapitulative de demande de subvention au titre du FARU dûment complétée et signée (annexes 5 et 6) ;
– l’arrêté d’évacuation déterminant la procédure mise en œuvre compte tenu de l’état de l’immeuble (pouvoir de
police générale du maire, péril, insalubrité, sécurité d’hôtels meublés) ou en cas d’absence d’arrêté, une attestation (1)
de l’autorité qui a assuré l’opération ;
Le site Internet du Pôle national de lutte contre l’habitat indigne met à disposition des préfectures ainsi qu’à celle
des communes, qu’il peut être utile de sensibiliser sur ce point des modèles d’arrêté de police consultables à l’adresse
suivante www.habitatindigne.logement.gouv.fr
– les justificatifs relatifs aux dépenses prévisionnelles ou réelles (bail, quittances de loyer, factures d’hôtel, factures
ou devis pour la réalisation de travaux d’interdiction d’accès...) ;
Les hébergements ou relogements temporaires effectués dans des structures gérées par des associations ou par des
CCAS, bénéficiant de l’Allocation de logement temporaire (ALT) (2) ne peuvent pas bénéficier d’aides du FARU.
Dans le cadre d’une catastrophe naturelle, le demandeur devra en outre fournir pour chaque sinistré relogé, ou à
reloger, les pièces justificatives suivantes :
– l’attestation d’assurance du sinistré relogé ; le FARU pourra éventuellement intervenir après une prise en charge
par les assurances ou les mutuelles des frais de relogement des sinistrés ;
– le cas échéant, l’attestation de l’allocation logement perçu par le sinistré dans son lieu de relogement. Dans ce
cas particulier, les sommes allouées par la CAF au titre d’allocation logement devront en effet être déduites des
sommes pouvant être allouées au titre du FARU.
(1) Modèles en annexe 7 et 8.
(2) Allocation de logement temporaire, financée par l’État et liquidée par les CAF.
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ANNEXE 5
Modèle
de fiche récapitulative de demande de subvention au titre du
FARU
concernant une opération d’hébergement d’urgence ou de relogement temporaire
DEMANDE DE SUBVENTION
AU TITRE DU FONDS D’AIDE POUR LE RELOGEMENT D’URGENCE
COMMUNE/EPL/GIP :
INSTRUCTEUR DE LA DEMANDE :
DÉCISION DU MAIRE OU DU PRÉFET JUSTIFIANT LE RELOGEMENT :
 Arrêté municipal
ÉTAT CIVIL
DU RELOGÉ
 Arrêté préfectoral
Nom
 Attestation
Prénom
Date de Naissance
Composition de la famille
relogée
ADRESSE DE L’IMMEUBLE ÉVACUÉ
STATUT
RELOGÉ
DU
 Locataire
 Propriétaire
 Accédant à la propriété
MODE DE RELOGEMENT
 Nuitée(s) d’hôtel
 Maison
 Appartement
 Autre
ADRESSE DU RELOGEMENT
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DESCRIPTIF DU RELOGEMENT
PÉRIODE DE RELOGEMENT
DURÉE DU RELOGEMENT
DESCRIPTIF DES DÉPENSES DE RELOGEMENT DU DEMANDEUR
POUR UNE DURÉE MAXIMALE DE 6 MOIS DE PRISE EN CHARGE PAR LE FARU
À remplir en cas de catastrophe naturelle :
PRISE EN CHARGE DES FRAIS DE RELOGEMENT PAR L’ASSURANCE
OU LA MUTUELLE
Oui
Non
Oui
Non
Si oui, indiquez le montant de l’indemnité perçu par le relogé :
AIDE AU LOGEMENT
Si oui, indiquez la nature de l’allocation perçue par le relogé :
Si oui, indiquez le montant de l’allocation perçue par le relogé :
PIÈCES JUSTIFICATIVES À FOURNIR
 La lettre de saisine de la commune, l’EPL ou le GIP
 Descriptif sommaire de l’opération
 Arrêté municipal
 Attestation
 Arrêté préfectoral
 Les justificatifs des dépenses
En cas de catastrophe naturelle :
 Arrêté municipal d’évacuation ou attestation
 Attestation de l’assurance relative à l’indemnisation ou non des frais de relogement
 Attestation allocation logement
 Justificatifs des dépenses
Montant TTC de la subvention sollicitée :
 La subvention accordée à déjà été engagée
 La subvention accordée constitue une dépense prévisionnelle
Date, nom et signature du demandeur (commune, EPL ou GIP) :
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ANNEXE 6
Modèle
de fiche récapitulative de demande de subvention au titre du
FARU
concernant une opération de travaux d’interdiction d’accès à des locaux dangereux
DEMANDE DE SUBVENTION
AU TITRE DU FONDS D’AIDE POUR LE RELOGEMENT D’URGENCE
COMMUNE/EPL/GIP :
INSTRUCTEUR DE LA DEMANDE :
DÉCISION DU MAIRE OU DU PRÉFET JUSTIFIANT LES TRAVAUX :
 Arrêté municipal
 Arrêté préfectoral
 Attestation
ADRESSE DE L’IMMEUBLE ÉVACUÉ
DESCRIPTIF ET MONTANT DES TRAVAUX
PIÈCES JUSTIFICATIVES À FOURNIR
 La lettre de saisine de la commune, l’EPL ou le GIP
 Descriptif sommaire de l’opération
 Arrêté municipal
 Attestation
 Arrêté préfectoral
 Les justificatifs des dépenses
Montant TTC de la subvention sollicitée :
 La subvention accordée à déjà été engagée
 La subvention accordée constitue une dépense prévisionnelle
Date, nom et signature du demandeur (commune, EPL ou GIP) :
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ANNEXE 7
Modèle
d’attestation delivrée par une commmune, un
EPL,
un
GIP
pour une opération de relogement
I. – MODÈLE D’ATTESTATION DÉLIVRÉE PAR UNE COMMUNE
Je soussigné(e), Maire de X, certifie que l’immeuble sis ................................................................................., dont
M. et Mme .............................................................................................................. étaient locataires/propriétaires, est
interdit temporairement/définitivement à l’habitation à la suite de ...............................................................................
De ce fait, M. et Mme ............................................................... ont été relogés/vont être relogés temporairement à
compter du ............................ jusqu’au ............................ à l’adresse suivante ............................................................
...................................................................... pour un montant de ................. € TTC pris en charge par la commune.
La commune sollicite une subvention de ................. € TTC au titre du FARU pour la période du .............................
au ............................
II. – MODÈLE D’ATTESTATION DÉLIVRÉE PAR UN EPL
Je soussigné(e), Président de l’EPL X, certifie que l’immeuble sis .....................................................................
..........., dont M. et Mme .............................................................................................................. étaient locataires/
propriétaires, est interdit temporairement/définitivement à l’habitation à la suite de ...................................................
............................
De ce fait, M. et Mme ............................................................... ont été relogés/vont être relogés temporairement à
compter du ............................ jusqu’au ............................ à l’adresse suivante ............................................................
...................................................................... pour un montant de ................. € TTC pris en charge par la commune.
L’EPL X sollicite une subvention de ................. € TTC au titre du FARU pour la période du .............................
au ............................
III. – MODÈLE D’ATTESTATION DÉLIVRÉE PAR UN GIP
Je soussigné(e), Président du GIP X, certifie que l’immeuble sis ........................................................................
........, dont M. et Mme .............................................................................................................. étaient locataires/
propriétaires, est interdit temporairement/définitivement à l’habitation à la suite de ...................................................
............................
De ce fait, M. et Mme ............................................................... ont été relogés/vont être relogés temporairement à
compter du ............................ jusqu’au ............................ à l’adresse suivante ............................................................
...................................................................... pour un montant de ................. € TTC pris en charge par la commune.
Le GIP X sollicite une subvention de ................. € TTC au titre du FARU pour la période du .............................
au ............................
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ANNEXE 8
Modèle
d’attestation delivrée par une commmune, un
EPL,
un
GIP
pour une opération de travaux d’interdiction d’accès à des locaux dangereux
I. – MODÈLE D’ATTESTATION DÉLIVRÉE PAR UNE COMMUNE
Je soussigné(e), Maire de X, certifie que l’immeuble sis ..........................................................................................
est interdit temporairement/définitivement à l’habitation à la suite de ..........................................................................
La commune a procédé/va procéder aux travaux d’interdiction d’accès à ces locaux dangereux le ..............................
pour un montant de ................... € TTC pris en charge par la commune.
La commune sollicite une subvention de ................... € TTC au titre du FARU pour les travaux précités.
II. – MODÈLE D’ATTESTATION DÉLIVRÉE PAR UN EPL
Je soussigné(e), Président de l’EPL X, certifie que l’immeuble sis ............................................................................
est interdit temporairement/définitivement à l’habitation à la suite de ..........................................................................
L’EPL X a procédé/va procéder aux travaux d’interdiction d’accès à ces locaux dangereux le ..............................
pour un montant de ................... € TTC pris en charge par la commune.
L’EPL X sollicite une subvention de ................... € TTC au titre du FARU pour les travaux précités.
III. – MODÈLE D’ATTESTATION DÉLIVRÉE PAR UN GIP
Je soussigné(e), Maire de X, certifie que l’immeuble sis ........................................................................................
est interdit temporairement/définitivement à l’habitation à la suite de .........................................................................
Le GIP X a procédé/va procéder aux travaux d’interdiction d’accès à ces locaux dangereux le ..............................
pour un montant de ................... € TTC pris en charge par la commune.
Le GIP X sollicite une subvention de ................... € TTC au titre du FARU pour les travaux précités.
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ANNEXE 9
Instruction
du dossier et modalités de versement des subventions au titre du
FARU
La synthèse du dossier :
Au terme de l’instruction du dossier par les services de la préfecture, il revient à ceux-ci de réaliser une fiche de
synthèse. Cette fiche, dont deux modèles sont joints en annexe 10 et 11, certifiée par les services de la préfecture,
atteste que le dossier est complet et que les dépenses à prendre en charge sont éligibles.
Elle récapitule l’objet de la demande de subvention (relogement ou travaux ; procédure mise en œuvre) ainsi que
son contenu (liste des pièces constitutives du dossier transmis par le demandeur), et détaille le calcul de la subvention
que les services de la préfecture proposent d’accorder au titre du FARU (1).
Il est utile d’y indiquer le contexte local générateur de la demande de subvention ainsi que des éléments sur la
situation des occupants concernés (par exemple : la demande de subvention s’inscrit-elle dans le cadre d’une action
particulière menée par la commune, l’EPL ou le GIP en matière de logement telle qu’une opération programmée
d’amélioration de l’habitat ou un programme d’intérêt général.)
Le versement de la subvention :
La synthèse devra être transmise au bureau de la domanialité, de l’urbanisme, de la voirie, et de l’habitat de la
Direction générale des collectivités locales, compétent pour préparer l’arrêté d’attribution de la subvention.
Sur la base de l’arrêté ministériel pris par la Direction générale des collectivités locales, il appartient au préfet de
prendre un second arrêté (2) pour transmission au directeur départemental des finances publiques (DDFIP) et de
faire procéder au versement des fonds auprès du bénéficiaire par le DDFIP au cours de l’année d’émission de l’arrêté
ministériel portant attribution.
La subvention sera directement versée aux communes par le DDFIP et sera imputée sur le compte de tiers
no 465‑127 « fonds d’aide pour le relogement d’urgence » ouvert dans les écritures de l’État.
L’inscription des aides accordées au titre de ce fonds dans le budget des bénéficiaires relevant de la nomenclature
M14 (communes, CCAS, CIAS et EPCI notamment) sera différente selon la nature de l’opération financée.
Ainsi, s’agissant des dépenses d’hébergement d’urgence ou de relogement temporaire, les aides seront enregistrées
sur le compte 74718 « Participations État – Autres ».
Concernant les travaux d’interdiction d’accès à des locaux dangereux, les aides reçues seront enregistrées sur des
lignes budgétaires différentes selon que les travaux sont amortis ou non. Si les travaux sont amortis, l’aide sera versée
sur le compte 1338 « Fonds affectés à l’équipement transférables – État et établissements nationaux », dans le cas
inverse, l’aide sera versée sur le compte 1348 « Fonds affectés à l’équipement non transférables – État et établissements
nationaux ».
S’agissant des bénéficiaires relevant de la nomenclature M31 (OPH), le versement des aides FARU s’effectue,
selon les cas, pour les dépenses en matière d’hébergement d’urgence ou de relogement temporaire au compte C/ 743
« Subventions d’exploitation » ou pour les travaux d’interdiction d’accès à des locaux au compte C/ 1311 « Subvention
d’équipement – État ».
Enfin, concernant les GIP qui relèvent de la nomenclature M9, le versement des aides FARU s’effectue sur le compte
C/ 741 « Subventions d’exploitation – État » pour les dépenses en matière d’hébergement d’urgence ou de relogement
temporaire. Pour les aides relatives à des opérations de travaux d’interdiction d’accès à des locaux dangereux, celles-ci
sont inscrites au compte C/1311 « Subvention d’équipement – État » ou C/741 « Subventions d’exploitation – État »
du GIP selon que les dépenses sont immobilisables ou non.
(1) Dans un souci d’allègement des tâches administratives, il est pertinent de regrouper, pour chaque demandeur, les dossiers de subvention
instruits par la préfecture afin que le total de la subvention à accorder au titre du FARU ne soit pas inférieur à 500 €.
(2) Modèles en annexes 12, 13 et 14.
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ANNEXE 10
Un
modèle de fiche de synthèse à transmettre à la
DGCL
concernant une opération d’hébergement d’urgence ou de relogement temporaire
Demande de subvention au titre du FARU
DOSSIER : nom de la commune, de l’EPL ou du GIP
I. – PRÉSENTATION GÉNÉRALE DE LA DEMANDE DE SUBVENTION FARU
La commune/EPL/GIP X a transmis, par lettre du ......................, un dossier de demande d’aide suite au relogement
des occupants de l’immeuble/hôtel meublé sis .................................................................................................. dans le
cadre d’un arrêté .......................... du .......................... en raison ..........................
La commune/EPL/GIP X sollicite une subvention au titre du FARU pour un montant de .......................... € TTC.
Immeuble situé : .........................................................................................................................................................
Identité du/des propriétaire(s) : ..................................................................................................................................
Identité du/des locataire(s) relogés : ...........................................................................................................................
II. – LES PIÈCES DU DOSSIER DE SUBVENTION TRANSMISES PAR LE DEMANDEUR
(à conserver par la préfecture et à ne pas transmettre à la DGCL)
– une lettre de la commune, de l’EPL ou du GIP X qui sollicite une subvention au titre du FARU du ..................
– un descriptif sommaire de l’opération et des conditions de relogement ;
– la fiche récapitulative de demande de subvention ;
–l’arrêté (pouvoir de police générale du maire, péril, insalubrité, sécurité d’hôtels meublés) ou l’attestation
communale du ............... ;
– les justificatifs relatifs aux dépenses (bail, quittances de loyer, factures d’hôtel).
En cas de catastrophe naturelle :
– une attestation d’assurance ;
– une attestation de la caisse d’allocation familiale.
III. – LE CALCUL DE LA SUBVENTION À OCTROYER AU TITRE DU FARU
Dans le cadre de la mise en œuvre des pouvoirs de police générale du maire :
Les frais de relogement de .................................... pour la période du ....................... au ...................... s’élèvent à
...................... €. Ils sont pris en charge à 100 % car ils résultent d’une mise en œuvre du pouvoir de police générale
du maire suite à un incendie/catastrophe naturelle/squats devenus dangereux.
Dans le cadre d’une procédure de péril :
Les frais de relogement de .................................... pour la période du ...................... au ...................... s’élèvent
à ...................... €. Ils sont pris en charge à 75 % soit ...................... € car ils doivent faire l’objet d’une demande de
remboursement auprès du propriétaire suite à l’arrêté de péril ordinaire/imminent qui lui a été notifié.
Dans le cadre d’une procédure de contrôle de la sécurité des hôtels meublés :
Les frais de relogement de .................................... pour la période du ...................... au ...................... s’élèvent
à ...................... €. Ils sont pris en charge à 75 % soit ...................... € car ils doivent faire l’objet d’une demande de
remboursement auprès du propriétaire/exploitant suite à l’arrêté portant sur la sécurité de l’hôtel meublé qui lui a
été notifié.
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 329
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
IV. – ÉLÉMENTS DE CONTEXTE LOCAL
Exemple : cette opération de relogement a été menée dans le cadre d’une OPAH, d’un PIG, d’un protocole de lutte
contre l’habitat indigne...
V. – TABLEAU SYNTHÉTIQUE RELATIF AUX CONDITIONS
ET AU COÛT DU RELOGEMENT
IDENTITÉ
des personnes
relogées
STATUT D’OCCUPATION
(locataire, propriétaire)
MODE DE RELOGEMENT
(hôtel, appartement,
mobile home)
PÉRIODE
de relogement
DÉPENSES
de relogement
la commune
Total de la subvention sollicitée par la commune/EPL/GIP X :
Total de la subvention à accorder au titre du FARU :
Je certifie que la présente demande de subvention est éligible au titre du FARU au regard des dispositions de
l’article L. 2335‑15 du code général des collectivités territoriales et de la circulaire du ................................................
.......................................................................................................................................................................................
J’atteste que le présent dossier comporte, d’une part, les pièces justificatives requises, et d’autre part, des dépenses
éligibles au titre de ce fonds.
Au regard des éléments transmis, je vous propose donc qu’une subvention d’un montant de ............................ € soit
octroyée au titre du FARU à la commune/EPL/GIP X pour avoir procédé à une/plusieurs opérations de relogement
d’urgence.
Le Préfet
Signature
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 330
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ANNEXE 11
Modèle
de fiche de synthèse à transmettre à la
DGCL
concernant une opération
de travaux d’interdiction d’accès à des locaux dangereux
Demande de subvention au titre du FARU
DOSSIER : nom de la commune, de l’EPL ou du GIP
I. – PRÉSENTATION GÉNÉRALE DE LA DEMANDE DE SUBVENTION FARU
La commune/EPL/GIP X a transmis, par lettre du ......................, un dossier de demande d’aide concernant une
opération de travaux d’interdiction d’accès de l’immeuble/hôtel meublé sis .................................................................
................................. dans le cadre d’un arrêté .......................... du ..........................
La commune/EPL/GIP X sollicite une subvention au titre du FARU pour un montant de .......................... € TTC.
Immeuble situé : .........................................................................................................................................................
Identité du/des propriétaire (s) : .................................................................................................................................
II. – LES PIÈCES DU DOSSIER DE SUBVENTION TRANSMISES PAR LE DEMANDEUR
(à conserver par la préfecture et à ne pas transmettre à la DGCL)
–une lettre de la commune, de l’EPL ou du GIP X qui sollicite une subvention au titre du FARU en date
du ............... ;
– un descriptif sommaire de l’opération ;
– la fiche récapitulative de demande de subvention ;
–l’arrêté (pouvoir de police générale du maire, péril, insalubrité, sécurité d’hôtels meublés) ou l’attestation
communale en date du ............... ;
– les justificatifs relatifs aux dépenses (factures ou devis pour la réalisation de travaux d’interdiction d’accès).
III. – LE CALCUL DE LA SUBVENTION À OCTROYER AU TITRE DU FARU
Le montant des travaux d’interdiction d’accès à des locaux présentant un danger s’élève à ............................... €.
Ils sont pris en charge à 75 % car ils permettent d’interdire l’accès à ces locaux et d’empêcher d’éventuels squats.
IV. – ÉLÉMENTS DE CONTEXTE LOCAL
Exemple : cette opération de travaux a été menée dans le cadre d’une OPAH, d’un PIG, d’un protocole de lutte
contre l’habitat indigne...
V. – TABLEAU SYNTHÉTIQUE RELATIF AU COÛT ET À LA NATURE
DES TRAVAUX D’INTERDICTION D’ACCÈS À DES LOCAUX DANGEREUX
NATURE
des travaux
DÉPENSES
de la commune
Total de la subvention sollicitée par la commune/EPL/GIP X :
Total de la subvention à accorder au titre du FARU :
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 331
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Je certifie que la présente demande de subvention est éligible au titre du FARU au regard des dispositions de
l’article L. 2335‑15 du code général des collectivités territoriales et de la circulaire du ................................................
.......................................................................................................................................................................................
J’atteste que le présent dossier comporte, d’une part, les pièces justificatives requises, et d’autre part, des dépenses
éligibles au titre de ce fonds.
Au regard des éléments transmis, je vous propose donc qu’une subvention d’un montant de ............................ €
soit octroyée au titre du FARU à la commune/EPL/GIP X pour avoir procédé à une/plusieurs opérations de travaux
d’interdiction d’accès à des locaux dangereux.
Le Préfet,
Signature
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 332
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ANNEXE 12
Modèle
d’arrêté préfectoral portant attribution d’une subvention
au titre du faru à une commune
Arrêté préfectoral portant attribution d’une subvention au titre du fonds d’aide
pour le relogement d’urgence à la commune de .................
Le Préfet de ...........................,
Vu l’article 39 de la loi no 2005‑1719 du 30 décembre 2005 de finances pour 2006 relatif au fonds d’aide pour le
relogement d’urgence (FARU) ;
Vu l’article 56 de la loi no 2010‑1657 du 29 décembre 2010 de finances pour 2011 relatif au fonds d’aide pour le
relogement d’urgence (FARU) ;
Vu l’article L. 2335‑15 du code général des collectivités territoriales ;
Vu la circulaire du .................... du Ministère de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de
l’immigration portant sur le fonds d’aide pour le relogement d’urgence ;
Vu l’arrêté ministériel du .................... 2011 portant attribution d’une subvention au titre du fonds d’aide pour le
relogement d’urgence à la commune de .................... ;
Vu la demande de la commune de .................... du .................... d’une subvention au titre du fonds d’aide pour le
relogement d’urgence ;
Vu la synthèse du Préfet du .................... du ....................,
Arrête :
Article 1er Une subvention de .................... € est attribuée à la commune de .................... au titre du fonds d’aide pour le
relogement d’urgence suite ....................
Article 2
Le versement s’opérera par débit du compte « Fonds d’aide pour le relogement d’urgence – FARU » no 465127
ouvert dans les écritures de M. le Directeur départemental des finances publiques du .................... au cours de l’année
d’émission de l’arrêté ministériel.
Article 3 Le Préfet et le Directeur départemental des finances publiques du .................... sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l’exécution du présent arrêté.
A ...................., le
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 333
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ANNEXE 13
Modèle
d’arrêté prefectoral portant attribution d’une subvention
au titre du
FARU
à un
EPL
Arrêté préfectoral portant attribution d’une subvention au titre du fonds d’aide
pour le relogement d’urgence à L’EPL ....................
Le Préfet de ....................,
Vu l’article 39 de la loi no 2005‑1719 du 30 décembre 2005 de finances pour 2006 relatif au fonds d’aide pour le
relogement d’urgence (FARU) ;
Vu l’article 56 de la loi no 2010‑1657 du 29 décembre 2010 de finances pour 2011 relatif au fonds d’aide pour le
relogement d’urgence (FARU) ;
Vu l’article L. 2335‑15 du code général des collectivités territoriales ;
Vu la circulaire du ................... du Ministère de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de
l’immigration, portant sur le fonds d’aide pour le relogement d’urgence ;
Vu l’arrêté ministériel du .................... 2011 portant attribution d’une subvention au titre du fonds d’aide pour le
relogement d’urgence à l’EPL .................... ;
Vu la demande de l’EPL de .................... du .................... d’une subvention au titre du fonds d’aide pour le
relogement d’urgence ;
Vu la synthèse du Préfet du .................... du .................... ,
Arrête :
Article 1er Une subvention de .................... € est attribuée à l’EPL de .................... au titre du fonds d’aide pour le relogement
d’urgence suite .................... sur l’imputation budgétaire ....................
Article 2 Le versement s’opérera par débit du compte « Fonds d’aide pour le relogement d’urgence – FARU » no 465127
ouvert dans les écritures de M. le Directeur départemental des finances publiques du .................... au cours de l’année
d’émission de l’arrêté ministériel.
Article 3 Le Préfet et le Directeur départemental des finances publiques du .................... sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l’exécution du présent arrêté.
A...................., le
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 334
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ANNEXE 14
Modèle
d’arrêté préfectoral portant attribution d’une subvention
au titre du
FARU
à un
GIP
Arrêté préfectoral portant attribution d’une subvention au titre du fonds d’aide
pour le relogement d’urgence au GIP ....................
Le Préfet de ....................,
Vu l’article 39 de la loi no 2005‑1719 du 30 décembre 2005 de finances pour 2006 relatif au fonds d’aide pour le
relogement d’urgence (FARU) ;
Vu l’article 56 de la loi no 2010‑1657 du 29 décembre 2010 de finances pour 2011 relatif au fonds d’aide pour le
relogement d’urgence (FARU) ;
Vu l’article L. 2335‑15 du code général des collectivités territoriales ;
Vu la circulaire du .................... du Ministère de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de
l’immigration portant sur le fonds d’aide pour le relogement d’urgence ;
Vu l’arrêté ministériel du .................... 2011 portant attribution d’une subvention au titre du fonds d’aide pour le
relogement d’urgence au GIP.................... ;
Vu la demande du GIP de .................... du .................... d’une subvention au titre du fonds d’aide pour le
relogement d’urgence ;
Vu la synthèse du Préfet du .................... du .................... ,
Arrête :
Article 1er Une subvention de .................... € est attribuée au GIP de .................... au titre du fonds d’aide pour le relogement
d’urgence suite .................... sur l’imputation budgétaire ....................
Article 2 Le versement s’opérera par débit du compte « Fonds d’aide pour le relogement d’urgence – FARU » no 465 127
ouvert dans les écritures de M. le Directeur départemental des finances publiques du .................... au cours de l’année
d’émission de l’arrêté ministériel.
Article 3 Le Préfet et le Directeur départemental des finances publiques du .................... sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l’exécution du présent arrêté.
A...................., le
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 335
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
ANNEXE 15
Modalités
de suivi et, le cas échéant, de remboursement
de la subvention
FARU
Les pièces constitutives de la demande de subvention devront être conservées par les services de la préfecture
durant cinq ans.
Lorsque le maire, l’établissement public ou le GIP ont du assurer l’hébergement ou le relogement temporaire des
occupants d’un logement interdit à l’habitation ou évacué sur le fondement d’une mesure de police spéciale (police
des immeubles menaçant ruine, de l’insécurité des hôtels ou de l’insalubrité) la créance est recouvrable par le maire
sur les propriétaires défaillants (cf. annexe 1).
Aussi, je vous invite à rappeler aux maires leur obligation légale de recouvrer les créances auprès des propriétaires ou
exploitants défaillants lorsqu’ils se sont substitués d’office à eux pour réaliser les travaux ou assurer les hébergements
et relogements.
Si le bénéficiaire d’une aide au titre du FARU, a recouvré l’intégralité de sa créance auprès du propriétaire ou du
gestionnaire, devra reverser la subvention qui lui a été allouée.
En cas de remboursement partiel de ces dépenses par le propriétaire ou le gestionnaire, le bénéficiaire de la subvention
FARU doit rembourser une partie de l’aide, à savoir le différentiel, dès lors qu’il est positif, entre le montant de la
dépense engagée et le montant des crédits perçu au titre du remboursement des créances et la subvention perçue au
titre du fonds d’aide au relogement d’urgence.
Cette demande de remboursement n’est toutefois pas sollicitée auprès des communes, EPL compétents, GIP
compétents qui seraient intervenus dans le cadre d’un projet de traitement d’ensemble de l’habitat dégradé.
Au vu de ces éléments, il est recommandé de mettre en place des outils de suivi des opérations subventionnées par
ce fonds.
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 336
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
ES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
D
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Circulaire du 4 mai 2012 relative aux statistiques de recherches dans l’intérêt des familles
des personnes majeures. Résultats définitifs 2010 – Premiers résultats 2011
NOR : IOCD1208835C
Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration à Mesdames et
Messieurs les préfets (métropole et outre-mer) ; Monsieur le préfet de police et Mesdames et Messieurs les
sous-préfets (en communication).
J’ai le plaisir de vous adresser le rapport d’activité concernant les recherches dans l’intérêt des familles pour la
période 2009‑2010. Il dresse la synthèse des résultats au niveau national pour l’ensemble des préfectures ainsi que pour
le Bureau des questions pénales, soit un taux de 48 % de personnes retrouvées (résultats partiels) pour 4 373 demandes
concernant l’année 2010.
Afin d’établir le rapport d’activité pour l’année 2011, je vous prie de bien vouloir me retourner, avant le 1er juin 2012,
les tableaux statistiques ci-joints complétés.
Vous prendrez exclusivement en compte les demandes de recherches émanant des requérants domiciliés dans votre
département, à l’exclusion de celles émanant des autres préfectures.
Je vous remercie de bien vouloir me communiquer vos réponses à l’aide du tableur Excel ci-joint prévu à cet effet.
Vous voudrez bien me faire parvenir vos résultats par voie électronique à l’adresse suivante : claire.dumas@interieur.
gouv.fr.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur des libertés publiques
et des affaires juridiques,
Laurent Touvet
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 337
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
RAPPORT D’ACTIVITÉ DES ANNÉES 2009 ET 2010
DES SERVICES DE RECHERCHES DANS L’INTÉRÊT DES FAMILLES
Ce rapport d’activité présente les résultats 2010 des recherches de personnes effectuées par le bureau des questions
pénales et les préfectures.
Les résultats prennent en compte les nouvelles demandes déposées en 2010 ainsi que le volume de demandes
global concernant les années 2009 et 2010. En effet, la procédure administrative de recherches dans l’intérêt des
familles donne lieu éventuellement à une inscription des personnes au fichier des personnes recherchées (FPR), dont
la durée s’étend de l’année d’inscription à la fin de l’année suivante, déterminant ainsi le temps de recherche consacré
par les services aux dossiers déposés une même année.
1. Évolution de la procédure : vers la primauté du principe de la liberté de circulation des individus
L’origine de cette procédure administrative se trouve aux lendemains de la Première Guerre mondiale quand l’État
a apporté son concours aux particuliers pour recomposer les familles dispersées par le conflit. Après la Seconde
Guerre mondiale, l’État a confirmé cette aide par une circulaire du ministère de l’intérieur du 26 mai 1945.
Puis, la nature des recherches n’a plus eu de lien avec les évènements évoqués et la question de la communication
de l’adresse de la personne recherchée, si celle-ci n’y consentait pas, a été soulevée.
Actuellement cette procédure est encadrée par la circulaire no 83‑52 du 21 février 1983 qui a pris en compte la
diffusion nationale de la recherche avec l’inscription au fichier national des personnes recherchées (FPR). Elle vise à
répondre à des demandes formulées par des personnes majeures qui recherchent un parent sur notre territoire.
Elle repose désormais sur la liberté de circulation des personnes, le respect de la vie privée, et ne présente aucun
caractère de contrainte ou d’obligation. Le droit à disparaître s’est ainsi imposé.
Cas particuliers
Sont exclus de la procédure administrative de recherches dans l’intérêt des familles :
– les mineurs et les majeurs protégés ;
–les personnes disparues dans des conditions inquiétantes dues aux circonstances, aux conditions d’âge ou de
santé (article 26 de la loi no 95‑73 du 21 janvier 1995, et article 74‑1 du code de procédure pénale).
2. Traitement des demandes : une procédure uniforme
Le traitement de la recherche est uniforme quelle que soit l’origine de la demande.
Il consiste en :
– une diffusion nationale avec l’inscription au fichier des personnes recherchées (FPR), après des recherches locales
infructueuses ;
–des formalités de recherches aux niveaux départemental et régional auprès de toutes les administrations, ou
organismes privés, susceptibles de détenir des renseignements concernant l’adresse de la personne disparue.
En cas de découverte, l’accord de la personne retrouvée est un préalable indispensable à la communication de son
adresse.
La validité des avis de recherche court de l’année d’inscription à la fin de l’année suivante.
Un certificat de vaines recherches, sans valeur juridique, peut être délivré au requérant après six mois de recherches
infructueuses et entraîne la cessation des recherches.
2.1. Demandes adressées au ministre
Le ministère (DLPAJ – bureau des questions pénales) reçoit et traite les demandes en provenance de l’étranger par
l’intermédiaire du ministère des affaires étrangères, via les représentations consulaires, ou par l’intermédiaire de la
Croix Rouge.
Sur l’ensemble des dossiers, on constate une grande disparité dans la provenance des demandes. En outre, l’origine
géographique de ces dernières semble de moins en moins être déterminée par les conséquences de conflits ou de
situations politiques précaires.
Parmi les demandes de recherches transmises par le ministère des affaires étrangères, on constate une baisse continue
des demandes en provenance d’Afrique du Nord et en particulier d’Algérie. Après des séparations de quarante ans,
ou plus, beaucoup de personnes sont décédées, introuvables, ou ne souhaitent pas renouer de contacts.
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 338
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
2.2. Mission d’orientation et de conseil
Outre la mission principale de recherches de personnes sur le territoire français, la section de recherches du bureau
des questions pénales est destinataire de courriers et appels téléphoniques émanant de particuliers, relatifs à la
disparition de personnes, qui appellent un travail d’orientation et de conseil.
Le service joue également un rôle de conseil auprès du service de recherches dans l’intérêt des familles de chaque
préfecture et suit l’évolution des réglementations susceptibles d’avoir une incidence sur les règles de fonctionnement
de la procédure, en particulier sur les conditions de recevabilité des demandes.
3. Résultats statistiques
Globalement, le nombre de demandes de recherches dans l’intérêt des familles est en baisse constante et l’année 2010
confirme ce mouvement.
Pour l’année 2010, l’ensemble des résultats est le suivant :
7 591 dossiers en stock (nouvelles demandes 2010 et demandes 2009) ;
4 373 nouvelles demandes déposées en 2010 ;
2 389 dossiers ont débouché sur la localisation des personnes ;
48 % des personnes retrouvées, soit 1 147 dossiers, ont consenti à communiquer leur adresse.
Ainsi, alors que le bureau des questions pénales enregistrait 472 demandes en 2004, le nombre de dossiers passe à
148 en 2010, c’est-à-dire une baisse de 70 % en six ans.
Les préfectures enregistraient 4 225 demandes de recherches en 2010, contre 8 039 en 2004, soit une baisse de 47 %.
En outre, les trois quarts des recherches sont effectuées inutilement, soit parce que les recherches se sont révélées
vaines, soit parce que les personnes retrouvées ont refusé que leur adresse soit communiquée.
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 339
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
TABLEAUX STATISTIQUES DE RECHERCHES DANS L’INTÉRÊT DES FAMILLES
ENSEMBLE DES PRÉFECTURES - STATISTIQUES 2011
(Exclure les poursuites de recherches présentées par d’autres préfectures)
NOUVELLES DEMANDES 2011
Français
Étrangers
TOTAL
TOTAL
PERSONNES RECHERCHÉES
(2010 + 2011)*
Français
Étrangers
TOTAL
TOTAL
PERSONNES RETROUVÉES
en 2011*
Français
Étrangers
TOTAL
TOTAL
Nombre
de personnes
ayant consenti
à communiquer
leurs coordonnées
* La procédure administrative de recherches dans l’intérêt des familles donne éventuellement lieu à
une inscription au fichier des personnes recherchées (FPR), dont la durée s’étend de l’année d’inscription
à la fin de l’année suivante, déterminant ainsi le temps de recherche consacré par les services aux dossiers
déposés une même année.
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 340
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Direction générale
des collectivités locales
_____
Sous-direction des compétences
et des institutions locales
_____
Sous-direction des finances locales
et de l’action économique
_____
Département des études
et statistiques locales
_____
MINISTÈRE DU BUDGET,
DES COMPTES PUBLICS
ET DE LA RÉFORME DE L’ÉTAT
_____
Direction générale des finances publiques
_____
Service des collectivités locales
_____
Circulaire du 11 mai 2012 relative à la transition administrative et comptable
en cas de fusion d’EPCI ou de syndicats mixtes
NOR : IOCB1223084C
Références : circulaire NOR : IOCB1132783C du 12 janvier 2012 relative à la mise en œuvre des schémas
départementaux de coopération intercommunale.
Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration et la ministre du
budget, des comptes publics et de la réforme de l’État à Mesdames et Messieurs les préfets et les directeurs
des finances publiques de région et de département de métropole et d’outre-mer.
Les ordonnateurs et les comptables publics seront sollicités à l’occasion de la mise en œuvre de la loi no 2010‑1563
du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales (RCT) et notamment des schémas départementaux de
coopération intercommunale. Les opérations de création, dissolution, fusion ou extension d’établissements publics
de coopération intercommunale (EPCI) exigeront notamment une attention particulière au regard des transferts de
patrimoines.
Les modalités exposées ci-dessous doivent permettre aux comptables d’assurer à grande échelle les opérations
relatives à la fusion d’EPCI engagées dans les prochaines années dans le cadre de procédures simples et sécurisées au
plan juridique.
1. Le rappel du cadre juridique de la fusion des EPCI
L’article L. 5211‑41‑3 du code général des collectivités territoriales (CGCT), modifié par l’article 42 de la loi RCT,
définit le droit commun des fusions d’EPCI dont au moins l’un d’entre eux est à fiscalité propre.
La fusion d’EPCI entraîne la création d’une nouvelle personne morale de droit public et la disparition des EPCI
d’origine. Ces opérations sont réalisées concomitamment. Par conséquent, il n’y a pas lieu de répartir l’actif et le
passif des EPCI préalablement entre les communes membres des anciens EPCI, ni, pour les communes, de les mettre
à disposition du nouvel EPCI. Malgré le changement de personne morale, la loi prévoit la continuité juridique des
contrats, des biens et des services.
De manière identique, la fusion des syndicats de communes et des syndicats mixtes, rendue possible par la loi
RCT (1), entraîne la création d’une nouvelle personne morale de droit public et la disparition des EPCI d’origine.
L’article L. 5211‑41‑3 du CGCT applicable aux EPCI à fiscalité propre et l’article L. 5212‑27 applicable aux
syndicats précisent que l’établissement public issu de la fusion est substitué de plein droit, pour l’exercice de ses
compétences, aux anciens EPCI à fiscalité propre ou syndicats. L’ensemble des biens, droits et obligations des EPCI
à fiscalité propre ou des syndicats fusionnés est transféré à l’EPCI à fiscalité propre ou au syndicat issu de la fusion.
Ces mêmes règles s’appliquent aux fusions résultant des dispositions temporaires fixées par les articles 60-III (EPCI
dont l’un au moins est fiscalité propre) et 61-III (syndicats) de la loi de réforme des collectivités territoriales, lesquels
renvoient aux dispositions précitées des articles L. 5211‑41‑3 et L. 5212‑27.
(1) L’article L. 5212-27 du CGCT issu de l’article 46 de la loi RCT autorise les fusions entre tous types de syndicats.
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 341
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
2. Les contraintes comptables de ces opérations de fusion
En cas de fusion d’EPCI ou de syndicats, le comptable assignataire de chaque établissement public doit transférer
l’ensemble de la comptabilité des EPCI ou syndicats d’origine vers l’EPCI ou le syndicat issu de la fusion. Ces
opérations de transfert comptable peuvent s’avérer très lourdes pour, par exemple, des EPCI ou des syndicats très
intégrés exerçant des compétences à caractère industriel et commercial comme la gestion de l’eau et de l’assainissement.
Ceux-ci peuvent en effet être amenés à émettre un grand volume de factures au cours de l’année.
Le système d’information de gestion budgétaire et comptable des comptables publics des organismes publics locaux
(Hélios) est en mesure de gérer le transfert de volumes d’opérations importants mais seulement à compter de la date
d’entrée en vigueur fixée par l’arrêté préfectoral prononçant la fusion.
3. Transition administrative et comptable en cas de fusion d’EPCI ou de syndicat mixte
3.1. Champ d’application
Lors de la fusion d’EPCI ou de syndicats, il se peut que les opérations de transfert comptable s’avèrent impossibles
à réaliser le jour de la date d’entrée en vigueur de l’arrêté préfectoral de fusion.
C’est notamment le cas lorsque les opérations de recouvrement de recettes concernant des services publics
industriels et commerciaux présentent un volume très important rendant complexe le transfert de ces créances à la
date de la fusion. Le volume des créances à recouvrer est apprécié par les services des directeurs départementaux et
régionaux des finances publiques.
Conformément aux termes de la circulaire NOR : IOCB1132783C du 12 janvier 2012 relative à la méthodologie
de mise en œuvre des schémas départementaux de coopération intercommunale, il est demandé aux préfets et aux
directeurs départementaux et régionaux des finances publiques d’établir, le plus en amont possible de la date d’entrée
en vigueur, un partenariat étroit entre leurs services respectifs dans le cadre de la préparation et de l’exécution
des mesures de création, de fusion, de dissolution ou de modification d’EPCI ou de syndicats, en garantissant la
continuité du service public.
Les opérations susceptibles de faire l’objet du dispositif prévu par la présente circulaire doivent être identifiées de
manière précise par les directeurs départementaux et régionaux des finances publiques et être portées à la connaissance
des préfets le plus tôt possible.
Toutefois, ce travail préparatoire peut ne pas être suffisant pour permettre la réalisation de toutes les opérations
comptables le jour de l’entrée en vigueur de la fusion. Une période transitoire pour réaliser ces opérations devient
alors nécessaire.
3.2. Principes régissant la transition administrative et comptable en cas de fusion d’EPCI ou de syndicats mixtes
Dans la situation décrite en paragraphe 3.1, il convient de mettre en œuvre des modalités temporaires de transition
administrative et comptable, justifiées par les nécessités pratiques, après la date d’entrée en vigueur de la fusion.
Dans ce cas, l’arrêté préfectoral de fusion prévoira un délai pour procéder au transfert comptable, et disposera
expressément que, pendant ce délai, des opérations peuvent continuer à être enregistrées par le ou les comptables
concernés dans la comptabilité des anciens EPCI ou syndicats, étant précisé que l’ordonnateur désormais compétent
est, en tout état de cause et dès l’entrée en vigueur de la fusion, celui du nouvel établissement public.
Il convient également de rappeler à cet égard que jusqu’à l’adoption du budget, l’ordonnateur du nouvel EPCI ou
du nouveau syndicat met en recouvrement les recettes et engage, liquide et mandate les dépenses selon les modalités
fixées par l’article L. 1612‑1 du CGCT, en prenant pour référence la somme des montants inscrits aux derniers budgets
des établissements publics fusionnés. À cette fin, l’ordonnateur de l’EPCI ou du syndicat fusionné est chargé d’établir
un état consolidé des autorisations budgétaires ouvertes par les anciens EPCI ou syndicats fusionnés dans leurs
budgets de l’exercice précédent afin de déterminer les montants dans la limite desquels il peut mandater les dépenses.
Le comptable du nouvel EPCI ou du nouveau syndicat est en droit de payer les mandats de dépenses et recouvrer les
titres de recettes émis dans ces conditions.
Par ailleurs, l’organe délibérant du nouvel EPCI ou du nouveau syndicat est compétent pour voter les comptes
administratifs des anciennes structures. Ainsi, dans le cadre d’une fusion, l’ensemble des comptes mouvementés dans
les établissements publics fusionnés est consolidé dans la nouvelle entité sans retour préalable dans les communes
membres. Les comptes de chacun des EPCI ou des syndicats fusionnés sont repris, compte par compte, par opération
d’ordre non budgétaire sur les masses budgétaires. Les résultats consolidés des EPCI ou des syndicats fusionnés
apparaîtront dans la colonne « Transfert ou intégration des résultats par opération d’ordre non budgétaire » de l’état
II-2 du compte de gestion du nouvel établissement public.
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 342
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
L’arrêté préfectoral doit décrire de la manière la plus précise possible les opérations rattachées à ce dispositif
administratif et comptable transitoire. Il précisera notamment :
–la nature des opérations qui peuvent être comptabilisées dans les comptes de l’ancien EPCI ou syndicat
postérieurement à la date d’entrée en vigueur de l’arrêté de fusion ;
– la durée pendant laquelle les opérations peuvent faire l’objet de ce dispositif dérogatoire, étant précisé que cette
durée doit être la plus courte possible et se limiter à ce qui est strictement nécessaire à la transition. Elle sera
déterminée après avis du comptable public concerné.
Toute éventuelle difficulté d’application de la présente circulaire devra être signalée par les services préfectoraux au
bureau CIL 2 de la DGCL et par les services locaux des finances publiques au bureau CL1A de la DGFIP.
Pour la ministre du budget, des comptes publics
et de la réforme de l’État et par délégation :
Le directeur général des finances publiques,
Philippe Parini
Pour le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer,
des collectivités territoriales et de l’immigration et par délégation :
Le directeur général des collectivités locales,
Éric Jalon
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 343
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_____
Délégation à la sécurité
et à la circulation routières
_____
Sous-direction de l’éducation routière
_____
Bureau du permis de conduire
_____
Direction de la modernisation
et de l’action territoriale
_____
Mission de prévention
et de lutte contre la fraude documentaire
_____
Circulaire du 22 mai 2012 relative à la mise en œuvre de l’attestation de dépôt sécurisée prévue
à l’article 7 de l’arrêté ministériel du 12 janvier 2012 fixant les conditions de reconnaissance
et d’échange des permis de conduire délivrés par les États n’appartenant ni à l’Union
européenne ni à l’Espace économique européen
NOR : INTA1224697C
Pièce jointe : 1 annexe
Le ministre de l’intérieur à Monsieur le préfet de police ; Mesdames et Messieurs les préfets des départements
métropolitains et des départements et régions d’outre-mer ; Monsieur le préfet de Saint-Pierre-etMiquelon ; Monsieur le préfet de Guadeloupe, représentant de l’État dans les collectivités d’outre-mer
de Saint-Martin et Saint-Barthélemy ; Monsieur le préfet, administrateur supérieur des îles Wallis et
Futuna ; Monsieur le haut-commissaire de la République en Polynésie française et Monsieur le hautcommissaire de la République en Nouvelle-Calédonie.
Les conditions de reconnaissance et d’échange des permis de conduire délivrés par les États non membres de
l’Union européenne et de l’Espace économique européen, ont été fixées par un arrêté ministériel du 12 janvier 2012
publié au JORF le 20 du même mois. Son article 7 prévoit qu’en cas de doute sur l’authenticité du titre ou sur
l’authenticité des droits à conduire, le préfet conserve le permis de conduire du demandeur et délivre en contrepartie
une attestation de dépôt sécurisée.
La présente circulaire porte instructions aux services déconcentrés sur les modalités de mise en place de cette
attestation. Elle est d’application immédiate.
L’attestation de dépôt sécurisée vise à informer les forces de l’ordre que son titulaire, ayant déposé son permis
de conduire à la préfecture en vue de son échange, ne peut le leur présenter. Elle permet aux forces de l’ordre de
contrôler que son titulaire respecte les conditions de conduite définies par les articles L. – 221‑2 et R. 221‑1 du code
de la route. La remise de tout autre document que celui prévu par la présente instruction, et notamment l’attestation
autorisant le titulaire du permis étranger à conduire prévue par l’article 11 de l’arrêté du 8 février 1999, aujourd’hui
abrogé, doit cesser.
L’attestation prendra la forme du modèle joint en annexe à la présente. Son support sera un papier filigrané
comprenant un fond d’impression, numéroté. L’Imprimerie Nationale assurera la fabrication et la livraison par
transporteur des imprimés auprès de chaque préfecture, en fonction des commandes que vous lui passerez.
Leur coût sera imputé sur le budget de fonctionnement de chaque UO. Vous communiquerez en fin d’année 2012
le montant d’imprimés vierges commandés au cours de l’année, sous le timbre DMAT-Mission de prévention et de
lutte contre la fraude documentaire, information nécessaire dans le cadre des discussions menées par l’administration
centrale avec l’Imprimerie nationale.
S’agissant d’un imprimé sécurisé vierge, une comptabilité matière devra donc être tenue par le régisseur de recette
de la préfecture.
L’attestation comporte un numéro d’inscription au SNPC et un numéro support de l’imprimé, figurant sur le
document vierge, à enregistrer également dans SNPC.
Pour permettre aux agents de personnaliser l’ADS avant de la remettre au demandeur, il convient de procéder de
la manière suivante :
– se connecter via Internet sur le site web de l’Imprimerie nationale,
– renseigner les champs « ouverts » du masque au format A4,
– enregistrer sur un poste local de préfecture (bouton « enregistrer sous »),
– lancer l’impression du document sécurisé vierge sur l’imprimante locale de la préfecture (bouton « imprimer »).
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 344
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Un champ est prévu pour mentionner la suite à donner à l’attestation lorsqu’elle est restituée à la préfecture ou
lorsque son titulaire déclare l’avoir perdue. Cette dernière information est sans incidence sur l’application SNPC,
elle constitue une simple information pour vos services. En effet, il ne sera pas délivré de duplicata en cas de perte
ou de vol d’une attestation en cours de validité. Seule une nouvelle attestation pourra être délivrée, à l’issue du délai
d’expiration de 2 mois, pour le cas où les vérifications nécessaires ne seraient pas achevées.
La photographie du demandeur sera couverte sur l’angle gauche du cachet sec de la préfecture récipiendaire du
titre de conduite.
L’attestation comporte une police monographique.
Un cachet humide de la préfecture, apposé à côté de la signature de l’autorité de délivrance, clôt l’attestation.
Votre attention est attirée, afin de vous permettre d’ajuster vos commandes d’attestations à l’Imprimerie Nationale,
sur le fait que la mise en œuvre de la nouvelle application de délivrance des permis de conduire FAETON, devrait
conduire à une modification de ce modèle à terme. Mais l’attestation de dépôt sécurisé ne sera pas intégrée dans la
première version de l’application qui entrera en vigueur en janvier 2013. Un éventuel nouveau modèle ne concernera
donc que les versions de FAETON postérieures au 19 janvier 2013.
Pour le ministre et par délégation :
Le secrétaire général,
Le préfet,
Michel Bart
délégué interministériel à la sécurité routière,
délégué à la sécurité et à la circulation routières,
Jean Luc Nevache
Copie :
Cabinet (délégation aux affaires internationales et européennes) ;
Secrétariat général (direction de la modernisation et de l’action territoriale) ;
Direction générale de la police nationale (direction centrale de la police aux frontières) ;
Direction générale de la gendarmerie nationale (direction des opérations et de l’emploi) ;
Direction des libertés publiques et des affaires juridiques.
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 345
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
ANNEXE I
Modèle
attestation de dépôt
Numéro support :
Préfecture de ________________
U
ATTESTATION DE DEPOT DE PERMIS DE CONDUIRE
U
Article 7 de l'arrêté du 12 janvier 2012 fixant les conditions de reconnaissance et d'échange des permis de conduire délivrés
par des Etats n'appartenant pas à l'Union européenne ni à l'Espace économique européen
Nom :
PHOTO
Prénom :
Né(e) le _____________________ à ______________
Demeurant :
Titulaire du permis de conduire :
•
•
•
•
n° _________________
délivré le
par xxxxxxx
catégorie(s) détenue(s) :
La présente attestation est délivrée dans le cadre d'une demande d'échange du
permis de conduire étranger contre un permis de conduire français. Elle
constitue la preuve pour son détenteur qu’il a déposé son permis de conduire
auprès de la préfecture de XXXXX en vue de son analyse ou son
authentification. Sous réserve de leur vérification, il est titulaire des droits à
conduire référencé ci-dessus.
La présente attestation est valable jusqu’au ../../20..Elle doit être restituée à
l’issue de la procédure d’échange.
Il ne sera pas délivré de duplicata de ce document
U
Fait le xx xxx 20xx à
Cachet de la préfecture
En cas de prolongation du délai de
décision :
Attestation précédente restituée le
../../20..
ou
Perte ou vol de l’attestation précédente
déclaré le ../../20..
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE,
DU DÉVELOPPEMENT DURABLE,
DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT
_____
Direction générale des infrastructures,
des transports et de la mer
_____
MINISTÈRE DE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
ET DE L’IMMIGRATION
_____
Direction générale de la sécurité civile
et de la gestion des crises
_____
Circulaire du 4 mai 2012 relative aux contributions des services départementaux d’incendie
et de secours aux opérations de recherche et de sauvetage en mer
NOR : INTE1224209C
Pièces jointes : 3 annexes.
Résumé :
La présente circulaire a pour objet :
–d’introduire une procédure de coordination des opérations entre les centres régionaux opérationnels de
surveillance et de sauvetage (CROSS) ou des centres équivalents outre-mer et les centres opérationnels
départementaux d’incendie et de secours (CODIS) du littoral ;
–de prescrire une convention-cadre type pour harmoniser et sécuriser juridiquement les contributions des
services départementaux d’incendie et de secours (SDIS) du littoral aux opérations de recherche et de sauvetage
en mer.
Le ministre de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement et le ministre de l’intérieur,
de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration aux destinataires in fine.
1. Exercice du pouvoir de police en mer
Conformément à l’article L. 2212‑2 du code général des collectivités territoriales (CGCT), la police municipale a,
entre autre, pour objet de pourvoir d’urgence à toutes mesures d’assistance et de secours. Cette police municipale
s’exerce sur le rivage de la mer jusqu’à la limite des eaux (1) (article L. 2212‑3 du CGCT). Elle s’exerce également dans
les ports à l’intérieur de leurs limites administratives et dans les estuaires en amont des limites transversales de la mer.
En dehors de ces limites, le préfet maritime, représentant de l’État en mer, exerce le pouvoir de police générale.
En cas d’événement majeur intéressant l’interface littorale, le préfet de la zone de défense et de sécurité,
territorialement compétent, coordonne les actions à terre et s’assure de leur cohérence avec les actions maritimes.
L’État coordonne la mise en œuvre opérationnelle de l’ensemble des moyens de secours pour la recherche et le
sauvetage des personnes en détresse en mer (article L. 5261‑1 du code des transports). La responsabilité des opérations
de recherche et de sauvetage des personnes en détresse en mer, dans les zones de responsabilité française, appartient
au préfet maritime ou, outre-mer, au délégué du gouvernement pour l’action de l’État en mer, sur l’ensemble des
eaux territoriales et des eaux intérieures ainsi que sur les eaux maritimes internationales dans les zones où la France
a accepté des responsabilités de recherche et de sauvetage. Sous leur autorité, les CROSS, ou les centres équivalents
outre-mer, sont en charge de la coordination du sauvetage.
Sans préjudice de la police des baignades exercées par les maires, cette responsabilité d’organisation des secours en
mer du préfet maritime s’exerce donc à partir de la limite des eaux mais exclut :
– les estuaires, en amont de la limite transversale de la mer ;
– les ports, à l’intérieur de leurs limites administratives.
Toutefois, les préfets maritimes et les préfets de département peuvent fixer par arrêtés conjoints d’autres limites que
celles mentionnées supra.
Par ailleurs, le maire d’une commune du littoral exerce la police des baignades et des activités nautiques pratiquées
à partir du rivage avec des engins de plage et des engins non immatriculés jusqu’à une limite fixée à 300 mètres
à compter de la limite des eaux (article L. 2213‑23 du CGCT). Dans le cadre de cette police spéciale, il pourvoit
d’urgence à toutes les mesures d’assistance et de secours. Lorsqu’il estime nécessaire l’intervention de moyens
autres que les moyens propres de la commune et, le cas échéant, ceux mis à sa disposition (2), le maire doit en faire
(1) Limite des eaux : ligne délimitant sur l’estran les terres immergées des terres émergées. C’est donc une limite fluctuante dans le temps sous
l’effet de la marée.
(2) Comme il l’est précisé au § 2 de cette circulaire, les SDIS n’ont aucune obligation pour réaliser les missions de secours exercées dans le
cadre de la police spéciale des baignades. Toutefois, le SDIS peut exercer ces missions selon des modalités définies entre le CASDIS et les maires.
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 347
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
immédiatement la demande au CROSS ou, outre-mer, au centre de coordination du sauvetage compétent qui prend
en charge la coordination de l’ensemble des moyens affectés à l’opération. Le maire exerce cette responsabilité de
manière permanente, y compris à l’extérieur des zones et des périodes de surveillance où il reste tenu d’exercer sa
mission de sécurité.
2. Champ d’application
Conformément aux dispositions législatives et règlementaires des articles L. 2213‑23, L. 14241, R. 1424‑1 et suivants
du CGCT, les services d’incendie et de secours sont organisés au niveau départemental. Les SDIS sont placés pour
emploi et agissent sous l’autorité du maire ou du préfet dans le cadre de leurs pouvoirs de police (article L. 1424‑3 et
4 du CGCT) pour l’accomplissement des missions de secours d’urgence aux personnes victimes d’accident, lesquels
font partie de leurs compétences (article L. 1424‑2 du CGCT).
Le SDIS est territorialement compétent jusqu’à la limite géographique à partir de laquelle s’exerce l’autorité du
préfet maritime en matière de secours, soit :
– jusqu’à la limite des eaux,
– dans les ports à l’intérieur de leurs limites administratives,
– dans les estuaires en amont des limites transversales de la mer.
La participation aux opérations de recherche et de sauvetage en mer n’est pas une mission obligatoire des SDIS, au
sens des articles L. 1424‑2 et L. 1424‑42 du code général des collectivités territoriales. L’exercice de cette mission par
les SDIS est réalisé et décliné suivant les règlements opérationnels établis en application des SDACR .
Les SDIS de certains départements littoraux contribuent, sur la base d’accords de partenariat passés avec les
CROSS, voire en l’absence de tel partenariat, à la couverture des secours en mer et à la sécurisation des activités
nautiques.
Il ressort de l’examen des accords précités que les pratiques et les planifications de ces activités de secours en mer
par les sapeurs pompiers restent hétérogènes dans les départements du littoral.
La présente circulaire fixe un cadre unifié de coopération entre les CROSS et les SDIS définissant :
– d’une part, les modalités de leur information mutuelle sur les alertes relatives aux personnes à secourir au sein
de leurs zones de responsabilités respectives,
– d’autre part, les modalités de la coopération des SDIS au secours en mer définies dans une convention cadre.
Cette convention-cadre énumère de manière limitative les divers types d’intervention en mer auquel un SDIS, qui
le souhaite, a la possibilité de contribuer au moyen de ses ressources opérationnelles propres. Ces contributions sont
les suivantes :
– en application de l’article 8 du décret 88‑531 du 2 mai 1988 portant organisation du secours de la recherche et du
sauvetage des personnes en détresse en mer, la participation aux opérations de secours incombant à la direction
opérationnelle du préfet maritime, dans la zone des 300 mètres ainsi qu’au-delà de cette zone,
– la participation à l’armement des hélicoptères de la sécurité civile,
– la participation aux équipes d’évaluation et d’intervention du préfet maritime,
– la participation à l’évaluation des conditions d’accueil d’un navire admis dans un lieu de refuge.
Cette convention-cadre est applicable à l’échelle d’un département côtier. Elle est établie, sur proposition du
directeur départemental du SDIS et du directeur du CROSS, entre le président du conseil d’administration du SDIS
et les autorités préfectorales maritime et terrestres responsables.
3. Compétences respectives des CROSS et des CODIS pour la coordination des opérations
Les CROSS sont en charge de la coordination de l’ensemble des opérations de recherche et de sauvetage des
personnes en détresse en mer quel que soit le rattachement organique des ressources opérationnelles employées.
Si cette mission leur est dévolue, les SDIS sont en charge des missions de secours aux personnes dans les estuaires
en amont de la limite transversale de la mer, les plans d’eaux intérieurs et les ports maritimes du département.
Le CROSS et le SDIS procèdent conjointement à l’examen de la délimitation de leurs zones respectives de
compétence en matière de coordination des opérations de secours fixées en application du décret 88‑531 susvisé. Les
cas particuliers des étangs salés, des baies, des secteurs à fort courant et des larges zones intertidales doivent être
abordés de façon pragmatique. Le cas échéant, ils proposent conjointement au préfet de département et au préfet
maritime la prise d’arrêtés inter préfectoraux portant adaptation de leurs compétences géographiques respectives
pour le secours aux personnes en fonction des spécificités géographiques et opérationnelles locales.
Le préfet de zone de défense et de sécurité est tenu informé de ces arrêtés et s’assure de la cohérence des dispositions
prises dans les différents départements du littoral de la zone.
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 348
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
4. Coordination CROSS-CODIS
La procédure de coordination, explicitée en annexe II, vise à introduire le dialogue opérationnel nécessaire entre
CROSS et CODIS. Le principe de la coordination entre ses deux services repose sur :
– un schéma commun de ré-acheminement sans délai des éléments d’une alerte ayant trait à leur champ d’action
respectif ;
– l’instauration d’une conférence à trois « CROSS – CODIS – Requérant/Témoin » permettant au centre devant
assurer la coordination de l’opération de disposer sans délai des éléments de l’alerte et visant également à éviter
qu’un même évènement ne débouche pas sur deux opérations distinctes ;
–une information mutuelle en permanence et en temps réel de toute opération dans leur zone de compétence
ou d’intervention respective, dès lors que celle-ci est susceptible de conduire l’autre centre opérationnel, selon
les circonstances, soit à prendre la coordination d’ensemble de l’opération, soit à engager des moyens sous sa
responsabilité opérationnelle.
Cette procédure est applicable à l’ensemble des SDIS du littoral, quel que soit leur niveau d’implication respectif
dans l’organisation des secours en mer.
Cette procédure de coordination a vocation à être déclinée localement à travers des fiches communes de procédure
et d’aide à la décision, applicables dans les CROSS et les CODIS, afin de promouvoir les échanges entre les services
et la diffusion des bonnes pratiques, des visites croisées des installations et des centres opérationnels ainsi que des
formations réciproques sont organisées au profit du personnel du CROSS et du SDIS.
Par ailleurs, les préfets maritimes établiront avec les préfets de zone de défense et de sécurité de leur littoral des
protocoles d’accords particuliers précisant :
– les modalités de demande de concours du CROSS pour l’engagement en mer des moyens aériens de la sécurité
civile ;
– les dérogations éventuelles accordées aux SDIS pour l’engagement en mer, dans la limite de la zone de police des
baignades, des moyens aériens, selon la configuration du littoral et/ou la typologie de l’intervention.
5. Formalisation des contributions du SDIS
Le modèle de convention-cadre, proposé en annexe III, est issu des travaux d’un groupe de travail national relatif
à la participation des services d’incendie et de secours aux opérations de recherche et de sauvetage en mer, au profit
principalement des baigneurs et des personnes pratiquant des loisirs ou sports nautiques, sur la façade littorale du
département.
Cette démarche a reçu un avis favorable de la conférence nationale des services d’incendie et de secours (CNSIS)
lors de sa réunion plénière du 30 juin 2010.
La convention-cadre harmonise, à partir d’un référentiel juridique et opérationnel unique, les modalités de
participation, aux différents types d’intervention en mer accomplies sous la direction des opérations de secours du
préfet maritime et la coordination du CROSS, selon un schéma commun, harmonisé à l’échelon national.
Elle prévoit également les contributions facultatives suivantes :
– participation à l’armement des hélicoptères de la sécurité civile du littoral ;
– renfort de la capacité opérationnelle des équipes d’évaluation et d’intervention désignées par le préfet maritime ;
– préparation de l’accueil dans un port d’un navire en difficulté.
La convention-cadre couvre également les exercices et entraînements des SDIS dans le cadre de la préparation
opérationnelle à ces mêmes missions.
La convention-cadre intéresse les SDIS du littoral et le bataillon de marins pompiers de Marseille (BMPM).
Les prescriptions du modèle de convention-cadre respectent les contraintes et spécificités, d’une part de l’organisation
des secours en mer et d’autre part, de l’organisation et du fonctionnement des SIS.
L’approbation de cette convention n’a pas pour effet de créer une obligation d’engagement, par les collectivités
territoriales signataires, d’un programme d’équipement spécifique visant à étendre la capacité d’intervention du SDIS
dans le domaine maritime, ni de justifier un tel programme.
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 349
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Le modèle de convention ne peut être amendé que pour tenir compte :
–des spécificités d’organisation locales (délégation de signature, adaptations nécessaires pour les départements
d’outre-mer, cas particulier du BMPM) ;
– du niveau d’implication facultatif décidé par le SDIS ;
– de la mise à jour du référentiel réglementaire.
6. Modalités d’instruction
La participation aux opérations côtières reste sur la base exclusive du volontariat du SDIS.
La mise en œuvre du cadre conventionnel proposé doit se faire, sur l’initiative des SDIS et des CROSS. L’objectif
est une mise en application sur l’ensemble des façades maritimes dans un délai de 24 mois suivants la signature de la
présente circulaire.
Les SDIS du Finistère et de la Seine-Maritime établissent des conventions avec chacun des deux CROSS concernés.
La convention-cadre a un caractère exhaustif et exclusif. Elle a pour effet d’autoriser l’engagement des SDIS
signataires à intervenir uniquement dans les types d’interventions stipulés. En dehors de ce cadre conventionnel,
les SDIS n’ont pas vocation à participer aux interventions autres que celles associées à la police des baignades. Les
éventuels accords de partenariat existants entre un CROSS et un SDIS devront être dénoncés à l’entrée en vigueur de
la convention-cadre départementale.
À défaut de la mise en œuvre d’une convention-cadre dans un délai de 30 mois suivant la signature de la présente
circulaire, les préfets de départements résilieront unilatéralement l’accord de partenariat CROSS-CODIS de leur
département respectif précédemment passé.
En application des articles L. 1424‑33 et R. 1424‑47 du CGCT, les préfets de département interdiront la planification
et la préparation de toute activité opérationnelle maritime, non couverte par une convention départementale prise
en application de la présente instruction, qui auraient pour objectif l’intervention dans la partie des estuaires située
en aval de la limite transversale de la mer ainsi qu’à l’extérieur des plans d’eaux intérieurs et des ports maritimes du
département.
7. Modalités d’instruction et mise en œuvre de la circulaire dans les départements et collectivités d’outre-mer
Dans les départements d’outre-mer et les collectivités d’outre-mer où les missions de secours d’urgence prévues
par l’article L. 1424‑2 et suivants du CGCT sont exercées par un SDIS au sens de l’article L. 1424‑1 du CGCT,
l’ensemble des dispositions et modalités d’instruction prévues par la présente circulaire s’appliquent strictement. Les
conventions et procédures adoptées sur son fondement sont cependant adaptées afin de tenir compte des particularités
d’organisation des services déconcentrés de l’État, et notamment des autorités responsables de l’action en mer et de
leurs services dans ces territoires.
Dans les collectivités d’outre-mer où les missions de secours d’urgence prévues par l’article L. 1424‑2 et suivants
du CGCT ne sont pas exercées par un SDIS au sens de l’article L. 1424‑1 du CGCT, les objectifs généraux fixés par
la circulaire doivent être respectés. Si les services en charge des missions de lutte contre l’incendie et de secours dans
ces collectivités souhaitent pouvoir participer aux opérations de secours en mer, les modalités d’information mutuelle
et de coopération entre ces derniers et les services en charge de l’organisation et de la coordination des opérations de
secours et de sauvetage en mer doivent faire l’objet de procédures, et éventuellement de conventions, établies entre
les autorités et services compétents. Ces procédures et conventions s’inspirent librement des modèles annexés à la
présente circulaire afin de prendre en compte les particularités d’organisation des services de l’État et des SIS dans
ces territoires.
8. Mise en œuvre
Les préfets maritimes, les délégués du gouvernement pour l’action de l’État en mer et les préfets de zone de défense
et de sécurité organisent localement un suivi annuel des conventions-cadre afin d’évaluer leur mise en place et faire
un retour d’expérience de leurs applications.
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 350
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Le secrétaire général de la mer, le directeur générale de la sécurité civile et de la gestion des crises, le directeur
général des infrastructures, des transports et de la mer seront :
– destinataires des conventions-cadres départementales signées ainsi que de leurs éventuels amendements ultérieurs ;
– tenus informés, chacun en ce qui les concerne, des toutes difficultés qui s’avèreraient en la matière.
Après douze mois de mise en oeuvre, ils s’effectueront un bilan d’application de la présente circulaire.
Pour le ministre de l’écologie,
du développement durable, des transports
et du logement et par délégation :
Le directeur général des infrastructures,
des transports et de la mer,
Daniel Bursaux
Pour le ministre de l’intérieur,
de l’outre-mer, des collectivités territoriales
et de l’immigration et par délégation :
Le préfet, directeur général de la sécurité civile
et de la gestion des crises,
Jean-Paul Kihl
Destinataires :
Messieurs les préfets maritimes (Manche – Mer du Nord, Atlantique, Méditerranée) ;
Messieurs les délégués du gouvernement pour l’action de l’État en mer d’outre-mer ;
Messieurs les préfets des zones de défense et de sécurité du littoral métropolitain, à l’attention de messieurs les
préfets délégués pour la défense et la sécurité (zones Nord, Ouest, Sud-Ouest et Sud) ;
Messieurs les hauts-fonctionaires des zones de défense et de sécurité d’outre-mer ;
Messieurs les préfets des départements du littoral métropolitain et d’outre-mer, à l’attention de messieurs les
directeurs des services d’incendie et de secours (SDIS et BMPM) ;
Messieurs les directeurs interrégionaux de la mer (Manche Est – Mer du Nord, Nord Atlantique – Manche Ouest,
Sud-Atlantique et Méditerranée), à l’attention de messieurs les directeurs des centres régionaux opérationnels de
surveillance et de sauvetage (CROSS) ;
Messieurs les directeurs de la mer des départements d’outre-mer, à l’attention de messieurs les directeurs des centres
régionaux opérationnels de surveillance et de sauvetage (CROSS).
Copies :
Monsieur le Premier ministre, à l’attention de Monsieur le secrétaire général de la mer ;
Monsieur le délégué général à l’outre-mer.
ANNEXE I
Principales
références
a) Convention internationale sur la recherche et le sauvetage maritimes, signée à Hambourg le 27 avril 1979 et
publiée par le décret no 85‑580 du 5 juin 1985 ;
b) Code général des collectivités territoriales (CGCT) ;
c) Code de la défense ;
d) Code des transports ;
e) Code des ports maritimes ;
f) Loi no 86‑2 du 3 janvier 1986 relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral ;
g) Loi no 2004‑811 du 13 août 2004 de modernisation de la sécurité civile ;
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
h) Décret no 88‑531 du 2 mai 1988 portant organisation du secours, de la recherche et du sauvetage des personnes
en détresse en mer ;
i) Décret no 94‑491 du 16 juin 1994 relatif à la rémunération de certains services rendus par les navires des
administrations civiles de l’État ;
j) Décret no 2004‑112 du 6 février 2004 relatif à l’organisation de l’action de l’État en mer ;
k) Décret no 2005‑1514 du 6 décembre 2005 relatif à l’organisation outre-mer de l’action de l’État en mer ;
l) Décret no 2010‑1582 du 17 décembre 2010 relatif à l’organisation et aux missions des services de l’État dans les
départements et les régions d’outre-mer, à Mayotte et à Saint-Pierre-et-Miquelon ;
m) Décret no 2010‑224 du 4 mars 2010 relatif aux pouvoirs des préfets de zone de défense et de sécurité ;
n) Décret no 2010‑225 du 4 mars 2010 portant modifications de certaines dispositions du code de la défense relatives
aux préfets délégués pour la défense et la sécurité, aux états-majors interministériels de zone de défense et de
sécurité, aux délégués et correspondants de zone de défense et de sécurité et à l’outre-mer ainsi que certaines
dispositions relatives aux secrétariats généraux pour l’administration de la police et certaines dispositions du
code de la santé publique ;
o) Arrêté du 9 mars 1995 portant rémunération des services rendus par les navires des administrations civiles de
l’État ;
p) Instruction du 29 mai 1990 relative à l’organisation du secours, de la recherche et du sauvetage des personnes
en détresse en mer ;
q) Circulaire Premier ministre no 4 628/SG du 30 juillet 1998 relative à la coordination dans la zone côtière des
moyens de sécurité, de recherche et de sauvetage des personnes en détresse en mer, relevant des préfets de zone
de défense et des préfets maritimes en France métropolitaine ;
r) Instruction du 29 juillet 2004 relative à l’accueil des navires en difficulté dans des lieux de refuge ;
s) Instruction du 29 août 2011 relative à l’organisation de l’aide médicale en mer ;
t) Lettre no 2202/SGMER du 24 novembre 2011 relative à la mise en œuvre de la fiche de secours en mer (FDSM).
ANNEXE II
Procédure
opérationnelle de coordination entre
CROSS
et
CODIS
I. – PRINCIPES GÉNÉRAUX
Les appels reçus concernant une intervention en mer font l’objet d’une procédure d’interconnexion téléphonique
dite de « conférence à trois » permettant de relier simultanément, le CROSS, le CTA/ CODIS et le témoin/requérant.
Elle constitue le principe général de la coordination entre le CROSS et le CODIS. Ses modalités doivent permettre
de transférer sans délai les éléments de l’alerte au centre devant assurer la coordination de l’opération.
En outre, le CROSS et le CODIS s’informent mutuellement en permanence et en temps réel de toute opération
dans leur zone de compétence respective qui pourrait conduire l’autre partie à mettre en œuvre une opération de
secours aux personnes dans son ressort.
Ces principes généraux s’appliquent dans les différents cas de figure détaillés ci-après.
II. – APPELS REÇUS AU CTA/CODIS CONCERNANT UNE INTERVENTION DE SECOURS EN MER
1. Procédure de conférence téléphonique
Les appels reçus par le CTA/CODIS et qui nécessitent une intervention en mer en dehors du ressort du SDIS font
l’objet d’une procédure de conférence téléphonique entre le requérant, le CODIS et le CROSS.
L’interconnexion téléphonique donne lieu à la fourniture des éléments suivants :
– l’identification et les coordonnées téléphoniques du requérant ;
– sa localisation dans la mesure du possible ;
– la nature de l’appel ;
– les actions éventuellement entreprises de façon quasi concomitante à l’interconnexion téléphonique.
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Si l’interconnexion n’a pu être réalisée avec le témoin ou le requérant, le CODIS retransmet au CROSS les
informations précitées, en absence de conférence à 3.
Sont définies dans la convention les éventuelles possibilités pour le SDIS d’engager une action concomitante à la
conférence téléphonique, ayant pour objectif de répondre à une détresse vitale identifiée à l’appel ou à une situation
d’urgence particulière. Le ou les moyens engagés par le CODIS doivent être adaptés à la nature de l’urgence et aux
conditions connexes (délai de transit, météorologie, capacité nautique des moyens, qualifications de l’équipage...).
Le CROSS, assurant la coordination de l’opération, confirme, infirme ou complète ces éventuelles actions prises par
le CODIS.
2. Information/Communication
Lorsque la mission est confiée au SDIS, le CODIS tient informé le CROSS des interventions réalisées par le
SDIS dans le cadre de l’exercice de la « police des baignades ». Au besoin, le degré d’information du CROSS et ses
modalités sont définies par l’intermédiaire de fiches communes.
Ces fiches peuvent établir le principe d’une conférence téléphonique entre le témoin requérant, le CODIS et le
CROSS, en particulier lorsque l’alerte se situe dans une zone où la baignade n’est pas surveillée.
En cas d’inadaptation des moyens du SDIS, au regard des conditions d’environnement, des prévisions d’évolution
de la situation ou de l’insuffisance des capacités opérationnelles mises à la disposition de la municipalité, le CODIS
transmet au CROSS, sans délai, les éléments mentionnés au II-1. Le CROSS reprend alors la coordination des
opérations de secours et assure la coordination opérationnelle de l’ensemble des moyens engagés à cet effet.
3. Compétences du CROSS
Le CROSS détermine le type de moyen (nautique, aérien ou terrestre) à mettre en œuvre et en informe le CODIS.
Sauf dispositions particulières locales explicites précisées dans le protocole d’accord particulier entre le préfet
maritime et le préfet de zone de défense et de sécurité concernés, seul le CROSS est compétent pour l’engagement des
moyens aériens de la sécurité civile en mer, y compris dans la zone de police des baignades.
Conformément au paragraphe 3 de la présente circulaire, des dérogations pour l’engagement en mer des moyens
aériens pourront être accordées aux SDIS, ces dérogations circonstancielles étant précisées par protocole d’accord
particulier sus-mentionné.
III. – CAS DES APPELS REÇUS AU CROSS CONCERNANT
UNE INTERVENTION RELEVANT DU CODIS
1. Procédure de conférence téléphonique
Les appels sont reçus au CROSS par moyen téléphonique (numéros d’appel direct) ou par des moyens spécialisés
de radiocommunication maritime (radiotéléphonie, appel sélectif numérique ou télex).
Les appels reçus au CROSS concernant une intervention relevant a priori de la zone de compétence ou d’intervention
du SDIS font l’objet d’une procédure de conférence téléphonique entre le requérant, le CROSS et le CODIS.
Le CROSS transmet l’ensemble des éléments dont il dispose au CODIS en lui précisant :
– l’identification et les coordonnées téléphoniques du requérant ;
– sa localisation dans la mesure du possible ;
– la nature de l’appel ;
– les actions entreprises.
Si l’interconnexion n’a pu être réalisée avec le témoin ou le requérant, le CROSS retransmet au CODIS les
informations précitées, en absence de conférence à 3.
A contrario du II.1, les actions susmentionnées ne peuvent être prédéfinies dans la convention car le CROSS, qui
ne possède pas de moyens en propre, peut, en application des conventions internationales, engager tout navire et
aéronef se trouvant à proximité d’une situation d’urgence.
2. Information/Communication
Le CODIS indique au CROSS les mesures dont il prend l’initiative et le tient régulièrement informé du résultat des
actions entreprises.
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IV. – COMPTE RENDU D’INTERVENTION
Le CROSS et le CODIS informent respectivement le préfet maritime et le COZ, de tout évènement porté
mutuellement à leur connaissance et présentant un caractère sensible. Cette information est réalisée de manière
précoce dès la réception d’éléments pertinents.
Le CROSS adresse au CODIS et au COZ un compte rendu normalisé d’intervention (SITREP) lorsqu’un moyen
du SDIS ou de la sécurité civile a été engagé.
À l’issue d’une intervention en mer, le SDIS établit et adresse au CROSS une « fiche de secours en mer (FDSM) »,
conformément à l’instruction du secrétariat général de la mer.
V. – RETOUR D’EXPÉRIENCE
Dans le cadre d’une démarche de retour d’expérience et d’amélioration de la coordination des activités entre le CODIS
et le CROSS, une fiche d’amélioration de la qualité est rédigée à l’occasion de tout constat de dysfonctionnement.
Cette fiche est transmise, à la diligence du chef de centre, aux parties intéressées. La réponse à la fiche doit intervenir
dans le mois suivant sa réception. Elle spécifie l’action d’amélioration mise en œuvre et le calendrier associé.
ANNEXE III
Convention-cadre
type relative aux contributions des services départementaux d’incendie
et de secours aux opérations de recherche, de secours et de sauvetage en mer
La version numérique de la convention-cadre est disponible sur les sites ministériels du premier ministre (www.
circulaires.gouv.fr), de la direction générale de la sécurité civile et de la gestion des crises (www.infosdis.fr) et de la
direction des affaires maritimes (www.développement-durable.gouv.fr).
Cette version numérique sera actualisée, le cas échéant, en fonction de l’évolution du référentiel réglementaire
relatif au secours en mer.
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CONVENTION-CADRE RELATIVE AUX CONTRIBUTIONS
DU SERVICE DÉPARTEMENTAL D’INCENDIE
ET DE SECOURS DU XXXXXXXX (XX)
AUX OPÉRATIONS DE RECHERCHE
ET DE SAUVETAGE EN MER
< LOGO >
< LOGO >
Service départemental
d’incendie et de secours
du xxxxx (xx)
Centre régional opérationnel
de surveillance et de sauvetage
XXXXXXXXX
< LOGO >
< LOGO >
< LOGO >
Préfecture
du département
du xxxxx (xx)
Préfecture de la zone
de défense et de sécurité
XXXXXX
Préfecture maritime
de xxxxxxxxxx
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
DIFFUSION DU DOCUMENT
Exemplaires originaux :
– Préfet maritime de xx.
– Préfet de la zone de défense et de sécurité du xx.
– Préfet du département de xx.
– Directeur du SDIS xx.
– Directeur du CROSS xx.
Copies :
– Secrétaire général de la mer (organisme SECMAR).
– MIOMCTI / Directeur général de la sécurité civile et de la gestion des crises.
– MEDDTL / Directeur général des infrastructures, des transports et de la mer / Directeur des affaires maritimes.
SUIVI DES ÉVOLUTIONS
Date
Objet
Entrée en vigueur de la convention-cadre.
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SOMMAIRE
1.Cadre général
2.Intervention en mer
2.1. Réacheminement des alertes et information réciproque
2.2. Déclenchement des moyens
2.3. Déroulement de l’opération
2.4. Transmission en opération
2.5. Continuité terrestre de l’opération
2.6. Compte rendu d’intervention
2.7. Retour d’expérience
3.Contributions particulières
3.1. Armement des hélicoptères de la sécurité civile (OPTIONNEL)
3.2. Renfort de la capacité opérationnelle de l’EEI du préfet maritime (OPTIONNEL)
3.3. Préparation de l’accueil au port d’un navire ayant besoin d’assistance (OPTIONNEL)
4.Préparation
4.1. Disponibilités des équipements
4.2. Exercices et entraînements
4.3. Échanges informels CROSS-CODIS
5.Dispositions relatives au personnel
6.Dispositions relatives aux matériels
7.Dispositions financières
8.Assurances
9.Suivi de la convention-cadre
9.1.Correspondant
9.2.Évaluation
10. Évolution de la convention-cadre
10.1. Date d’entrée en vigueur et durée
10.2.Avenant
10.3. Règlements des litiges
10.4.Résiliation
VISAS
ANNEXE 1 : Liste des acronymes
ANNEXE 2 : Circulaire du secrétariat général de la mer relative à la fiche de secours en mer
ANNEXE 3 : Renfort de la capacité opérationnelle de l’EEI du préfet maritime (optionnelle)
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 357
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
ENTRE :
Monsieur Prénom NOM, préfet maritime de XXXXX,
et désigné ci-après par « préfet maritime »,
ET
Monsieur Prénom NOM, préfet de la zone de défense et de sécurité de XXXXX, préfet de la région XXXXX,
préfet du département XXXXX,
et désigné ci-après par « préfet de zone »,
ET
Monsieur Prénom NOM, préfet du département de XXXXX (XX),
et désigné ci-après « préfet de département »,
ET
Monsieur Prénom NOM, président du conseil d’administration du service départemental d’incendie et de secours
de XXXXX (XX),
et désigné ci-après par les sigles « SDIS »,
ET
Monsieur Prénom NOM, directeur interrégional de la mer XXXXXX,
et désigné ci-après par le sigle « CROSS »,
désignés tous ensemble, sous le terme « parties » ou séparément sous le terme « partie ».
VU
Convention internationale sur la recherche et le sauvetage maritimes, signée à Hambourg le 27 avril 1979 et publiée
par le décret no 85‑580 du 5 juin 1985 ;
Code général des collectivités territoriales (CGCT) ;
Code de la défense ;
Codes des transports ;
Code des ports maritimes ;
Loi no 86‑2 du 3 janvier 1986 relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral ;
Loi no 2004‑811 du 13 août 2004 de modernisation de la sécurité civile ;
Décret no 88‑531 du 2 mai 1988 portant organisation du secours, de la recherche et du sauvetage des personnes en
détresse en mer ;
Décret no 94‑491 du 16 juin 1994 relatif à la rémunération de certains services rendus par les navires des
administrations civiles de l’État ;
Décret no 2004‑112 du 6 février 2004 relatif à l’organisation de l’action de l’État en mer ;
Décret no 2005‑1514 du 6 décembre 2005 relatif à l’organisation outre-mer de l’action de l’État en mer ;
Décret no 2010‑1582 du 17 décembre 2010 relatif à l’organisation et aux missions des services de l’État dans les
départements et les régions d’outre-mer, à Mayotte et à Saint-Pierre-et-Miquelon ;
Décret no 2010‑224 du 4 mars 2010 relatif aux pouvoirs des préfets de zone de défense et de sécurité ;
Décret no 2010‑225 du 4 mars 2010 portant modifications de certaines dispositions du code de la défense relatives
aux préfets délégués pour la défense et la sécurité, aux états-majors interministériels de zone de défense et de sécurité,
aux délégués et correspondants de zone de défense et de sécurité et à l’outre-mer ainsi que certaines dispositions
relatives aux secrétariats généraux pour l’administration de la police et certaines dispositions du code de la santé
publique ;
Arrêté du 9 mars 1995 portant rémunération des services rendus par les navires des administrations civiles de
l’État ;
Instruction interministérielle du 8 octobre 1987 relative aux conditions de prise en charge des frais occasionnés par
les opérations d’aide médicale apportées aux malades ou blessés à bord des navires en mer ;
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Instruction du 29 mai 1990 relative à l’organisation du secours, de la recherche et du sauvetage des personnes en
détresse en mer ;
Instruction du 29 août 2011 relative à l’organisation de l’aide médicale en mer ;
Circulaire du Premier ministre no 4.628/SG du 30 juillet 1998 relative à la coordination dans la zone côtière des
moyens de sécurité, de recherche et de sauvetage des personnes en détresse en mer, relevant des préfets de zone de
défense et des préfets maritimes en France métropolitaine ;
Instruction du 29 juillet 2004 relative à l’accueil des navires en difficulté dans des lieux de refuge ;
Lettre no 2202/SGMER du 24 novembre 2011 relative à la fiche de secours en mer (FDSM) (annexe 3) ;
Circulaire interministérielle MIOMCTI/DGSCGC et MEEDTL/DGITM/DAM no NOR : INTE1224209C du
4 mai 2012 relatives aux contributions des services départementaux d’incendie et de secours aux opérations de
recherche et de sauvetage en mer (texte support du présent modèle de convention-cadre).
CONSIDÉRANT
Les responsabilités du CROSS en matière de coordination des opérations de recherche et de sauvetage des personnes
en détresse en mer, sous l’autorité du préfet maritime, directeur des opérations de secours en mer ;
La zone de compétence du CROSS, s’étendant sur l’ensemble des eaux maritimes de la zone de responsabilité pour
la recherche et le sauvetage en mer attribuée à la France, à partir de la limite des eaux à l’exception des eaux situées
à l’intérieur des limites administratives des ports et dans les estuaires en amont de la limite transversale de la mer ;
Les responsabilités et compétences du SDIS ainsi que leurs capacités opérationnelles pour couvrir les secours
dans les estuaires en amont de la limite transversale de la mer, les plans d’eaux intérieurs et les ports maritimes du
département, sous l’autorité du maire ou du préfet de département, directeur des opérations de secours ;
L’exercice par les maires des communes du littoral du pouvoir de police des baignades et des activités nautiques
pratiquées à partir du rivage avec des engins de plage et des engins non immatriculés jusqu’à une limite fixée à
300 mètres à compter de la limite des eaux (dénommée après par simplification « police des baignades ») [CGCT
article L. 2213‑23] ;
La participation des SDIS aux opérations de recherche et de sauvetage en mer au-delà de la bande des 300 m
susmentionnée peut donner lieu à des opérations relevant des « secours d’urgence aux personnes victimes d’accidents,
de sinistres ou de catastrophes ainsi que leur évacuation » [CGCT article L. 1424‑2]. Toutefois, de telles opérations
s’avèrent exclues de leurs zones de compétence territoriale. En conséquence, elles ne peuvent être considérées comme
une des missions obligatoires des SDIS au sens de l’article L. 1424‑2 du CGCT ;
La possibilité pour le SDIS de conventionner avec des organismes tiers pour la réalisation de prestations ou
interventions qui ne se rattachent pas directement à ses missions de service public définies à l’article L. 1424‑2 du
CGCT ;
SUR PROPOSITION
– de monsieur Prénom NOM,
directeur du service départemental d’incendie et de secours du XXXXX
– de monsieur Prénom NOM,
directeur du centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage XXXXX
IL A ÉTÉ CONVENU CE QUI SUIT :
1. Cadre général
La présente convention-cadre a pour objet de définir les modalités de participation, en tant que de besoin, de
personnels et/ou de moyens opérationnels du SDIS dans le cadre :
–des opérations de recherche et de sauvetage en mer, au profit principalement des baigneurs et des personnes
pratiquant des loisirs ou sports nautiques, dans la façade littorale du département ;
– de l’armement des hélicoptères de la sécurité civile du littoral (optionnel) ;
–de renfort de la capacité opérationnelle de l’équipe d’évaluation et d’intervention (EEI) du préfet maritime
(optionnel) ;
– de la préparation de l’accueil au port d’un navire en difficulté (optionnel).
La convention-cadre couvre également les exercices et entraînements des SDIS dans le cadre de la préparation
opérationnelle à ces mêmes missions.
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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Est exclue du champ d’application de la présente convention-cadre la participation du SDIS :
– à l’armement des postes de secours de plage municipaux par ses personnels ;
– aux dispositifs préventifs de secours en mer à l’occasion de campagne de pêche ou de manifestation nautique.
Pour les missions susmentionnées, cette exclusion ne dispense pas les SDIS de l’application des directives formulées
dans la lettre no 2202/SGMER du 24 novembre 2011 relative à la fiche de secours en mer (FDSM).
2. Intervention en mer
La procédure opérationnelle de coordination entre CROSS et CODIS pour la gestion des interventions en mer est
présentée dans la circulaire NOR : INTE1224209C du 4 mai 2012.
2.1. Réacheminement des alertes et information réciproque
La procédure de coordination vise à introduire le dialogue opérationnel nécessaire entre CROSS et CODIS.
Le principe de la coordination entre le CROSS et le CODIS repose sur :
– un schéma commun de réacheminement sans délai des éléments d’une alerte ayant trait à leur champ d’action
respectif ;
– l’instauration d’une conférence à trois « CROSS – CODIS – Requérant/Témoin » permettant au centre devant
assurer la coordination de l’opération de disposer sans délai des éléments de l’alerte ;
–une information mutuelle en permanence et en temps réel de toute opération dans leur zone de compétence
ou d’intervention respective, dès lors que celle-ci est susceptible de conduire l’autre centre opérationnel, selon
les circonstances, soit à prendre la coordination d’ensemble de l’opération, soit à engager des moyens sous sa
responsabilité opérationnelle.
Le CROSS et le CODIS informent respectivement le préfet maritime et le COZ, de tout évènement porté
mutuellement à leur connaissance et présentant un caractère sensible. Cette information est réalisée de manière
précoce dès la réception d’éléments pertinents.
2.2. Déclenchement des moyens
En fonction de l’analyse de la situation en mer, le CROSS détermine le type de moyen à mettre en œuvre (nautiques,
aériens ou terrestres) et en informe le CODIS. Il annule ou confirme les moyens éventuellement engagés à l’initiative
du CODIS dans le cadre des actions entreprises de façon quasi concomitante à l’interconnexion téléphonique.
Le CROSS attribue à la mission un numéro d’opération qu’il communique au CODIS.
Le CROSS formule une demande de concours au CODIS au début de l’opération ou en cours d’opération si un
renfort s’avère nécessaire. Le CODIS engage alors les moyens du SDIS selon leur disponibilité et informe le CROSS
des délais de mise en œuvre et/ou d’arrivée sur zone.
Lorsque les moyens demandés sont susceptibles d’amoindrir la couverture départementale des risques, le préfet de
département (SDIS) en informe le préfet de zone (COZ).
Sauf dispositions particulières explicitées dans des protocoles d’accords particuliers entre le préfet maritime et le
préfet de zone de défense et de sécurité, seul le CROSS est compétent pour la mise en œuvre des moyens aériens de la
sécurité civile dans la zone de compétence du préfet maritime et dans la zone de police des baignades.
2.3. Déroulement de l’opération
Coordination des opérations :
L’ensemble des moyens engagés par le CODIS est coordonné par le CROSS.
Le chef de bord du moyen nautique du SDIS reste responsable de la sécurité de l’embarcation et du personnel à
bord. Il reste juge de la possibilité de réaliser l’intervention. Il peut désengager ses moyens s’il juge que les conditions
d’environnement et de navigabilité de son embarcation ne permettent pas de remplir en sécurité la mission confiée.
Dans ce cas, le chef de bord informe immédiatement le CROSS, qui informera à son tour le CODIS.
Lorsque le personnel du SDIS est projeté sur zone par un moyen extérieur au SDIS et désigné par le CROSS
(hélicoptère de la sécurité civile, vedette d’une administration ou de la SNSM,...), il se place sous l’autorité du
commandant de bord de l’aéronef ou du chef de bord du moyen. Ce dernier reste juge de la faisabilité de la mission
et des modalités d’accomplissement de celle-ci. Le chef du détachement du SDIS reste quant à lui, seul habilité à
juger de la sécurité des actions qui relèvent de son autorité.
10 OCTOBRE 2012. – INTÉRIEUR 2012/5 – Page 360
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Lors d’opération impliquant plusieurs moyens, le CROSS peut désigner un coordonnateur sur zone « on scene
coordinator – OSC ». L’OSC :
– devient l’interlocuteur unique du CROSS pour les moyens de sauvetage engagés sur zone et que le CROSS place
sous sa coordination,
– coordonne les manœuvres des intervenants, sur instruction du CROSS,
– assure la remontée d’information vers le CROSS de l’ensemble des moyens engagés sur zone.
Fin des opérations :
À la clôture de la mission, le CROSS en informe le CODIS et donne alors liberté de manœuvre aux moyens
engagés.
Le CODIS reprend le contrôle opérationnel de ses moyens.
2.4. Transmission en opération
Dès lors qu’un moyen nautique SDIS est susceptible d’intervenir dans une opération coordonnée par le CROSS, il
doit être équipé d’une radio VHF marine.
Le chef de bord du SDIS procède impérativement à une prise de contact radio avec le CROSS (VHF canal 16)
avant l’appareillage.
Il effectue un compte rendu systématique à chaque phase de son action par VHF (canal précisé par le CROSS) :
–appareillage,
– compte rendu d’ambiance à l’arrivée sur zone,
– en cours d’intervention, selon une périodicité convenue entre le chef de bord et le CROSS ou pour toute difficulté
particulière,
– demande de renfort ou de moyens complémentaires,
– bilan final en quittant la zone,
– retour au mouillage ou à la base.
Selon les circonstances et afin d’assurer la continuité des transmissions, le CODIS peut être amené à établir une
liaison relais, via une VHF marine activée à partir d’un point haut sur le littoral, entre les moyens nautiques du SDIS
sur zone et le CROSS (procédure « MODERATO »).
En parallèle des comptes-rendus au CROSS, le chef de bord peut informer le CODIS du déroulement de
l’intervention. Cette information ne peut en aucun cas donner lieu à l’envoi de moyens complémentaires à la seule
initiative du CODIS.
2.5. Continuité terrestre de l’opération
Afin d’assurer la prise en charge dans les meilleurs délais des victimes lors du débarquement à quai ou sur la zone
de pose (DZ), le CROSS s’assure que le CODIS dispose des informations du lieu et de l’horaire prévisionnel d’arrivée
du vecteur de transport des victimes.
2.6. Compte rendu d’intervention
Selon le caractère de l’intervention, le CODIS assure l’information du préfet de département.
Le CROSS adresse au CODIS et au COZ un compte rendu normalisé d’intervention (Situation Report – SITREP)
lorsqu’un moyen du SDIS ou de la sécurité civile a été engagé.
Si pour des raisons exceptionnelles (problème ponctuel de couverture radio par exemple) une intervention menée
en mer par un SDIS n’est pas réalisée sous la coordination du CROSS, il appartient au SDIS de remplir une fiche
de secours en mer (FDSM) et de la transmettre a posteriori au CROSS dans le mois qui suit. Si nécessaire, une fiche
d’amélioration de la qualité, telle que définie au paragraphe suivant, est établie.
La FDSM est saisie par le CROSS dans le logiciel dédié au suivi et à l’enregistrement statistique des opérations de
secours en mer.
Le modèle de FDSM est donné en annexe de la présente convention.
2.7. Retour d’expérience
Dans le cadre d’une démarche de retour d’expérience et d’amélioration de la coordination des activités entre le CODIS
et le CROSS, une fiche d’amélioration de la qualité est rédigée à l’occasion de tout constat de dysfonctionnement.
Cette fiche est transmise, à la diligence du chef de centre, aux parties intéressées. La réponse à la fiche doit intervenir
dans le mois suivant sa réception. Elle spécifie l’action d’amélioration mise en œuvre et le calendrier associé.
Le CROSS fournira aux différentes parties impliquées le modèle de fiche en vigueur.
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3. Contributions particulières
3.1. Armement des hélicoptères de la sécurité civile (OPTIONNEL)
La composition de l’équipage d’un hélicoptère de la sécurité civile inclut un pilote commandant de bord et un
mécanicien opérateur de bord.
L’équipe embarquée, qui s’ajoute à l’équipage, peut être composée de plongeurs, personnels médicaux ou autres
spécialistes.
La qualité des personnels composant l’équipe embarquée sera définie en fonction de la nature de la mission. Leur
nombre ne devra en aucun cas excéder les limites fixées par le commandant de bord.
Afin de rendre plus efficace l’organisation des secours par hélicoptère sur le littoral, le SDIS peut contribuer à
l’armement journalier des d’hélicoptères de la sécurité civile avec ses personnels sauveteurs et ses équipes médicales.
Les questions relatives aux effectifs, niveaux d’emploi et tours de garde sont réglées par convention particulière
entre le préfet de zone, le préfet de département et le SDIS.
Le préfet maritime et le CROSS sont informés de la mise en œuvre de ce dispositif de médicalisation ou de sauvetage
ainsi que de l’indisponibilité opérationnelle (envoi sur des missions terrestres) et techniques (maintenance...) des
hélicoptères de la sécurité civile.
3.2. Renfort de la capacité opérationnelle de l’EEI du préfet maritime (OPTIONNEL)
Le préfet maritime désigne une « équipe d’évaluation et d’intervention » (EEI) projetable à bord d’un navire en
difficulté en mer. Le rôle de l’EEI est de recueillir les informations nécessaires pour permettre au préfet maritime
d’apporter au navire une solution adaptée à sa situation.
Les effectifs et capacités des équipes sont modulables selon le type d’événement. Les modules « secours » sont
assurés par les marins-pompiers de la base navale la plus proche.
Le SDIS dispose d’un personnel spécialisé qui peut contribuer au renforcement de la capacité opérationnelle de
l’EEI dans des domaines particuliers, dont notamment celui des risques technologiques.
Sur demande du préfet maritime, le préfet de zone sollicite le SDIS pour qu’il engage les moyens préalablement
identifiés en annexe de la présente convention et les conseillers techniques associés. La doctrine d’emploi de ces
moyens peut faire l’objet d’un document connexe à la présente convention.
Les conseillers techniques désignés par le SDIS sont placés sous l’autorité de l’officier désigné par le préfet maritime
pour diriger l’EEI.
3.3. Préparation de l’accueil au port d’un navire ayant besoin d’assistance (OPTIONNEL)
Un navire peut, sur décision du préfet maritime, être dérouté vers un port maritime pour être mis à l’abri,
conformément à l’instruction du premier ministre relative à l’accueil des navires ayant besoin d’assistance.
Cette procédure d’accueil fait l’objet d’une consultation des autorités terrestres par l’autorité maritime.
Afin de recueillir toute information nécessaire à la réalisation de l’intervention en zone portuaire, le préfet de
département peut solliciter l’envoi à bord du navire, en approche du port, d’experts techniques du SDIS.
Dans ce cadre, il saisit le préfet maritime de la demande et en tient informé le préfet de zone. Le SDIS et le CROSS
sont informés de la décision du préfet maritime.
À bord du navire, les experts techniques du SDIS sont placés sous l’autorité du représentant du préfet maritime. Ils
recueillent et transmettent au CODIS les données pertinentes pour la préparation de l’intervention à quai.
Le CODIS retransmet au préfet de département ces informations qui sont également portées à la connaissance du
CROSS.
Une fois le navire accosté, le SDIS assure la conduite des secours, sous la direction opérationnelle du préfet de
département.
4. Préparation
4.1. Disponibilités des équipements
Chaque année ou à l’occasion de chaque modification, le SDIS informe le CROSS de ses moyens mobilisables, de
leur implantation, de leurs capacités opérationnelles et techniques.
Le SDIS informe le CROSS des périodes d’indisponibilité programmées pour entretien ou réparation de ses moyens.
Sur demande, le CODIS informe le CROSS du niveau de disponibilité en temps réel de ses moyens.
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4.2. Exercices et entraînements
Les exercices conjoints sont l’occasion d’échanges entre les différents moyens de sauvetage susceptibles d’être
mobilisés par le CROSS et optimisent la compréhension générale de la coordination des opérations de recherche et
de sauvetage en mer.
Chaque année, la participation des moyens SDIS aux exercices ORSEC maritimes et/ou aux autres exercices
maritimes organisés avec le CROSS sera recherchée.
Le SDIS peut être amené à annuler un entraînement ou sa participation à un exercice conjoint notamment en
fonction des conditions météorologiques, de l’état de la mer ou du volume d’activité de secours dans le département.
Le CROSS est systématiquement tenu informé (localisation, début et fin) des exercices ou entraînements organisés
à la mer pour l’entraînement propre des équipes du SDIS.
4.3. Échanges informels CROSS-CODIS
Afin de promouvoir les échanges entre les services et la diffusion des bonnes pratiques, des visites croisées des
installations et des centres opérationnels ainsi que des formations réciproques sont organisées au profit du personnel
du CROSS et du SDIS.
Ce programme d’échanges fait l’objet d’une planification annuelle entre le SDIS et le CROSS.
5. Dispositions relatives au personnel
Le personnel du SDIS est qualifié et habilité par le SDIS selon les prescriptions des guides nationaux de référence
élaborés par la direction générale de la sécurité civile et de la gestion des crises.
Les chefs de bord du SDIS sont par ailleurs détenteurs des qualifications adaptées à la conduite de leurs
embarcations et à leurs activités.
6. Dispositions relatives aux matériels
Le schéma départemental d’analyse et de couverture des risques (SDACR) fait état des risques auxquels le SDIS
doit faire face. Les objectifs de couverture de la frange littorale, déterminant la capacité opérationnelle à pouvoir
apporter une réponse opérationnelle cohérente et adaptée en fonction des domaines d’intervention stipulés dans la
présente convention, sont déterminés en concertation avec l’ensemble des acteurs du secours en mer.
Le règlement opérationnel du SDIS fera référence à la présente convention-cadre pour ce qui relève de l’organisation
et la participation du SDIS à la couverture des secours dans la bande littorale.
Les moyens nautiques du SDIS et leurs équipements sont conformes à la réglementation applicable pour les
activités de secours en mer.
Chaque partie reste propriétaire des matériels et équipements acquis dans le cadre de la présente convention-cadre
et mis à la disposition d’une autre partie dans le cadre de son exécution.
7. Dispositions financières
Opérations n’ouvrant droit à aucun remboursement :
Les opérations de secours à personnes n’ouvrent pas de droit à rémunération.
Les frais engagés par le SDIS à l’occasion des opérations de recherche et de sauvetage en mer restent à sa charge.
Opérations ouvrant droit à remboursement :
En application de l’article L. 1424‑42 du CGCT, dans le cadre d’une convention, le conseil d’administration du
SDIS fixe la nature des prestations d’assistance (remorquage, récupération de planche à voile,..) engagées à l’occasion
d’opérations de secours à personne et leurs conditions de prise en charge financière. Le SDIS communique aux
parties, à titre d’information, la grille tarifaire de ces prestations.
La participation aux opérations d’assistance aux navires en danger de se perdre (incendie, voie d’eau,...) ouvre
droit à rémunération, par le propriétaire du navire, si l’action a été efficace (principe: no cure, no pay). La rémunération est évaluée au prorata des actions engagées par les différents intervenants, de la valeur marchande du bien et de
sa cargaison. Dans le cadre de la procédure de recouvrement, le SDIS adresse au préfet maritime le bilan des moyens
et les justificatifs des frais engagés lors de l’opération.
Actions de formation :
Les frais engagés à l’occasion des exercices et des entraînements restent à la charge des parties.
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8. Assurances
Chacune des parties reste responsable des dommages et préjudices de toutes natures causés par ses membres
uniquement, et de quelque manière que ce soit, tant aux navires, aux matériels et aux installations, qu’à son personnel
ou à des tiers, et trouvant, directement ou indirectement, en totalité ou en partie, leur origine dans l’exécution de la
présente convention-cadre.
Le SDIS souscrit et maintient en cours de validité les polices d’assurances qu’il juge appropriées afin de couvrir
pour un montant suffisant, compte tenu des possibilités du marché de l’assurance, les risques et responsabilités lui
incombant, tant en vertu du droit commun qu’en vertu de ses engagements résultant de l’exécution de la présente
convention-cadre.
9. Suivi de la convention-cadre
9.1. Correspondant
Chaque partie désigne et communique aux autres parties le nom et les coordonnées du correspondant chargé, au
sein de son organisme, de la mise en œuvre et du suivi de la présente convention-cadre.
9.2. Évaluation
L’ensemble des dispositions fait l’objet d’une évaluation régulière entre les parties à l’occasion de réunion annuelle.
Lors de ces réunions sont évoqués l’activité opérationnelle, l’entraînement, le suivi des FAQ et toutes les difficultés
rencontrées.
Ces réunions font l’objet d’un relevé de décisions et le cas échéant d’un plan d’actions correctives, diffusés à
l’ensemble des parties.
10. Évolution de la convention-cadre
10.1. Date d’entrée en vigueur et durée
La présente convention-cadre entre en vigueur à la date de la dernière signature des parties.
La présente convention est conclue pour une durée d’un an renouvelable par tacite reconduction, sans que sa durée
totale ne puisse excéder cinq années consécutives.
Les parties se réunissent six mois avant la fin du terme des 5 ans pour analyser les modalités de son éventuelle
révision ou reconduction.
10.2. Avenant
À l’initiative d’une des parties, il pourra être étudié toute proposition de modification de la présente conventioncadre. Les modifications devront être acceptées par l’autre partie et faire l’objet d’un avenant validé avant son entrée
en vigueur.
Les éléments modifiés de la présente convention-cadre ne peuvent conduire à remettre en cause les objectifs
généraux définis. Les éventuels changements de coordonnées peuvent être mis à jour par simple courrier.
Le SGMER et les directions ministérielles de tutelle sont tenus informés des modifications.
10.3. Règlements des litiges
Les parties s’efforcent de résoudre à l’amiable les contestations qui peuvent surgir de l’interprétation ou de
l’exécution des clauses de la présente convention-cadre. En cas de désaccord persistant, le litige est porté devant le
tribunal administratif compétent.
10.4. Résiliation
La résiliation de la présente convention-cadre peut être initiée par l’une ou l’autre des parties pour des motifs
d’intérêt général ou pour un désaccord insurmontable.
La résiliation ne peut être notifiée qu’en fin d’année calendaire, par lettre recommandée avec un préavis d’au moins
trois mois.
Le SGMER et les directions ministérielles de tutelle sont tenus informés de cette résiliation.
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VISAS
La présente convention cadre comporte 10 articles et 3 annexes.
Fait en cinq exemplaires originaux.
Le titre/grade, fonction
Lieu et date :
Le titre/grade, fonction
Lieu et date :
Prénom NOM
Prénom NOM
Le titre/grade, fonction
Le titre/grade, fonction
Lieu et date :
Lieu et date :
Prénom NOM
Prénom NOM
Le titre/grade, fonction
Lieu et date :
Prénom NOM
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ANNEXE 1
LISTE DES ACRONYMES
CGCT
CMS
CODIS
COM
COS
COZ
CROSS
CTA
DAM
DGITM
DIRM
DOS
DGSCGC
EEI
FAQ
FDSM
OSC
SAR
SDACR
SDIS
SGMER
SITREP
SNSM
:
:
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:
:
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:
:
:
:
Code général des collectivités territoriales
Coordonnateur de mission de sauvetage du CROSS
Centre opérationnel départemental d’incendie et de secours
Centre des opérations maritimes de la préfecture maritime
Commandant des opérations de secours
Centre opérationnel de zone de préfecture de zone de défense et de sécurité
Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage
Centre de traitement des alertes du CODIS
Directeur des affaires maritimes (MEDDTL/DGTIM)
Direction générale des infrastructures, des transports et de la mer
Direction interrégionale de la mer
Directeur des opérations de secours
Directeur général de la sécurité civile et de la gestion des crises (MIOMCTI)
Équipe d’évaluation et d’intervention du préfet maritime
Fiche d’amélioration de la qualité
Fiche de secours en mer
On Scene Coordinator (coordonnateur sur les lieux)
Search and rescue (recherche et sauvetage)
Schéma départemental d’analyse et de couverture des risques
Service départemental d’incendie et de secours
Secrétaire général de la mer
Situation report (compte rendu de situation normalisé)
Société nationale de sauvetage en mer
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ANNEXE 2
LETTRE No 2202 DU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL DE LA MER
DU 24 NOVEMBRE 2011 RELATIVE À LA FICHE DE SECOURS EN MER
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ANNEXE 3
Renfort
de la capacité opérationnelle
de l’EEI du préfet maritime
(optionnelle)
I. – PRINCIPES GÉNÉRAUX
Les capacités matérielles et humaines du SDIS peuvent venir renforcer le dispositif d’intervention engagé par
le préfet maritime. La présente annexe à la convention a pour objectif de les identifier afin que le directeur des
opérations de secours soit en mesure de planifier leur engagement au regard des idées de manœuvre retenues.
Les moyens matériels devant être projetables par voie aérienne ou maritime, ils doivent être constitués en lots.
Leurs encombrements et leurs masses sont spécifiés.
Sauf autres dispositions d’entente entre les parties, les moyens de protection individuels et les équipements de
sauvetage (brassières, combinaisons de protection thermique si nécessaire...) imposés pour ce type de mission, sont à
la charge du SDIS en ce qui concerne son personnel.
II. – RECENSEMENT DES MOYENS DU SDIS SUSCEPTIBLES
D’ÊTRE ENGAGÉS EN RENFORT DE L’EEI
1. Les moyens sanitaires
À renseigner
2. Les moyens de lutte contre l’incendie
À renseigner
3. Les moyens de lutte contre les voies d’eau
À renseigner
4. Les moyens de lutte contre les menaces radiologiques, bactériologiques et chimiques
À renseigner
5. Autres moyens
À renseigner
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MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
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Arrêté du 29 juin 2012 portant nomination au Conseil supérieur de l’éducation routière
NOR : INTS1227212A
Le ministre de l’intérieur,
Vu l’article D. 214‑2 du code de la route ;
Vu l’arrêté du 10 février 2010 portant nomination au Conseil supérieur de l’éducation routière,
Arrête :
Article 1er
M. Patrick Chopin, secrétaire général du SNICA-FO, est nommé membre du Conseil supérieur de l’éducation
routière en remplacement de M. Christian Grolier.
Article 2
Le délégué à la sécurité et à la circulation routières, est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au
Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
Fait le 29 juin 2012.
Pour le ministre et par délégation :
Le délégué à la sécurité et à la circulation routières,
F. Péchenard
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