Paco Cuenca

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Paco Cuenca
Paco Cuenca
Paco Cuenca
Chanson française
Canciones
Sinestepolis© / photographie
Français
Chansons
«Chansons»
“La vérité de Brel, la précision de Brassens, la beauté de Ferré m´ont conduit jusqu´à
l´univers infini du mot, à la vie épluchée par le dictionnaire. Et puisque ces trois géants,
comme Aznavour, Barbara ou Trénet, étaient, par ailleurs, de remarquables musiciens, ils
m´ont catapulté au délicieux vertige de la musique, au prodige de la gamme diatonique,
d´un seul coup à la symphonie de chaque jour et, note à note, au jazz de chaque nuit. “
Paco Cuenca
L´idée d´interpréter, en Espagne et en français, les chansons de Ferré, Aznavour, Brassens,
Brel, Nougaro, Montand, Trénet, Jonaz, Barbara, Ferrat et d´autres était audacieuse.
Pourtant, dès le premier jour, les salles qui ont accueilli le spectacle « Chansons » se sont
remplies d´un public francophile, parfois francophone, toujours intéressé et fidèle.
La formule est simple: interpréter de belles chansons avec des arrangements qui se promènent aux alentours du jazz. Le répertoire, modulable, comprend des chansons qui vont des
années 30 jusqu´à nos jours mais surtout celles qui appartiennent à l´âge d´or de la chanson française, des années 50 aux années 80.
« Voici un disque d´amour, de respect, d´ensorcellement : de dettes essentielles de sensibilité
que Paco Cuenca, l´enfant Jean-François qui a grandit, paie avec ces syllabes, ces arpèges qui
foncent droit au cœur. Décontractez-vous, abandonnez-vous à la lassitude de la passion renouvelée. Cette musique projette des films sur l´âme. Les voici: Brassens, Brel, Trénet, Aznavour,
Nougaro, Léo Ferré… C´est ainsi qu´ils résonnent et vivent dans la voix de Paco Cuenca, le troubadour Jean-François, qui ose tenir tête au blues de la mémoire y aux délires de la mélancolie. »
Voix, piano, contrabasse
90 minutes
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pacocuenca.com
Français
Brel à l´Olympia
«Brel à l´Olympia»
C’est avec beaucoup de fidélité que Paco Cuenca a choisit de créer un spectacle inspiré des
tours de chant à l´Olympia de Jacques Brel de 1961, 64 et 66. Nous y trouvons l´essentiel
de son parcours sur scène, qu´il ne pratiqua qu´une douzaine d´années. Très peu l´ont vu.
“Brel à l’Olympia” conserve les atmosphères et les arrangements musicaux originaux.
Ainsi, tout au long de ce spectacle, nous retrouverons le Brel auteur-compositeur, sa force
poignante, parfois blessante, ses histoires d´amour, d´amitié ou de mort, toujours présentes, avec lesquelles il a su construire des chefs-d œuvre en miniature, des fictions authentiques, des tragi-comédies vécues en moins de trois minutes.
Le Brel interprète sera également évoqué, le volcan, l´histrion, l´acteur capable de remplir de grands espaces avec sa seule présence, sans économie de gestes, de grimaces
et d´efforts. C´est lui le chanteur qui a su le mieux offrir, jouer et plaider sur scène la vérité
de ses créations.
C’est pour rendre hommage au Grand Jacques, à son immense talent, à son dévouement
absolu et son investissement sans limite pour son public qu’est né ce spectacle.
Voix, piano, contrabasse
90 minutes
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Français
Brel à l´Olympia
«Brel à l´Olympia»
« Paco Cuenca ressuscite Brel.
À guichet fermé, Paco Cuenca nous a offert un de ces concerts inoubliables dont la beauté, l´émotion et la mémoire sédimentée palpitent dans l´air.
Paco Cuenca, petit-fils de républicains espagnols exilés, est né en France en 1961, l´année où
Brel présentait son spectaculaire concert à l´Olympia. Avec les chansons de ce tour de chant
et d´autres de ses passages sur la même scène en 64 et 66 nous avons assisté à un récital qui
résume à la perfection qui était Brel, sa façon de chanter y de voir le monde.
Paco Cuenca, avec une voix magnifique, nous a rendu sa mémoire et sa légende. »
Antón Castro, El Heraldo
« Des chansons sur le quai.
Paco Cuenca est arrivé au Théâtre de La Estación et il l´a fait avec des bagages fascinants: une
poignée de chansons du grand Jacques Brel (un des piliers de la chanson française le moins diffusé en Espagne) choisies entre celles des tours de chant que le chanteur belge réalisa à l´Olympia en 1961, 1964 et 1966.
Un bel hommage à qui, romantique, sombre, amer et ironique, chanta à la vie avec passion.
Paco Cuenca est arrivé, disais-je, en très bonne compagnie : Pedro Gan au piano et Coco Balasch à la contrebasse. Les deux l´ont entouré avec maîtrise en égrenant des accents de jazz et
en créant des atmosphères évocatrices pendant les intros et les interludes.
Et à partir de là, Paco Cuenca, tout à fait dans son élément, métamorphosé en Brel qui chante
sur le quai, non de la Seine mais de l´Ebre débordé par les sentiments; Paco/Jean-François, avec
la voix et les gestes qui sont les siens, domine la scène, le ton et le verbe. Il a été particulièrement
vibrant en interprétant « Les vieux », « Amsterdam » et « Ces gens-là » (chantée à capella).
La proposition est splendide. Recréer Brel n´est pas un tâche facile; pour le faire il faut avoir de
l´audace et du talent. C´est le cas de Paco Cuenca.»
Javier Losilla, El Periódico
Voix, piano, contrabasse
90 minutes
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Espagnol
El hombre + feliz del mundo
«El hombre + feliz del mundo»
“Contraint, chaque jour, à supporter des citoyens à l´air sérieux, en costard, cravatés, pomponnés ou en uniforme tandis qu´ils disent des clowneries sans s´altérer, j´ai décidé de me déguiser
avec le contrevenant et enjôleur nez rouge des clowns pour dire des choses sérieuses.
Je suis conscient d´avoir choisi, pour m´exprimer, un art mineur, celui des chansons. Et, parfois,
je songe qu´au bout du chemin j´aurai su dompter l´inspiration au point d´avoir composé deux
ou trois chansons qui me plaisent vraiment.
En ce qui concerne la musique, cet album dévoile le style qui nous est le plus cher, construit sur
des harmonies élaborées, des sons simples et des timbres naturels.“
(Extrait de l´album « El hombre más feliz del mundo »)
Ce spectacle, en espagnol, réunit des chansons de deux albums :
«El hombre más feliz del mundo » et « Del placer de hacer canciones ».
Paroles et musique : Paco Cuenca
Voix, piano, contrabasse
90 minutes
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Espagnol
Todas las flores de abril
«Todas las flores de abril»
Paco Cuenca a préparé ce spectacle pour faire un petit tour dans l´univers de ses chansons
préférées en espagnol. Il peut ainsi disséquer chaque vers, chaque mesure, chaque mélodie
pour les reconstruire à sa guise et les interpréter à son goût.
Voici des chansons de Silvio Rodríguez, Joan Manuel Serrat, Pablo Milanés, Víctor Jara, Paco
Ibáñez et bien d´autres mijotées avec des arrangements intimistes et des échos de jazz.
Piano, contrebasse et voix s´associent pour servir ce menu de friandises.
L´univers de la langue espagnole est une source débordante de belles chansons, de chefs-d´œuvre éblouissants, de succès incontournables entre lesquels ce spectacle qui présente des fleurs, d´avril et de toujours, pourra puiser sans cesse.
Les spectacles «Chansons» et «Todas las flores de abril» se basent sur le même principe: il
y a de la place pour toutes les belles chansons, en français ou en espagnol et ils sont modulables, pouvant s´adapter à volonté à des époques, des auteurs ou des styles différents.
Voix, piano, contrabasse
90 minutes
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Discographie
pacocuenca.com
Espagnol
En
españolety français
francés
Sinestepolis©
Sinestepolis© / Photographie
Sinestepolis©, la ville fabulée, est un projet visuel et narratif en développement qui associe
des photographies de personnes réeles avec des identités et des biographies imaginaires.
Ce sont toujours des histoires quotidiennes et, pourtant, tellement singulières qu´elles pourraient être vraies. Les textes sont limités à 240 caractères. Le projet, une fois aboutit, se
composera de 2000 photographies/personnages.
Dans la présentation du projet on peut lire : « Sinestepolis© est une petite ville coincée entre
le fleuve Volpama, la chaîne des Anensus et l´océan. Voici ses habitants. »
Le grand nombre de photographies/personnages permet de concevoir des expositions monothématiques: les saisons, Paris, New York, la France, les voyages, la mer, les jeunes, en
vélo, le métro, l´Amérique, Amsterdam, Copenhague, en route, les vieux quartiers, la nuit, les
bancs publics, restaurants, la ville, la campagne, en Asie, etc…
Formats photos : 70 x 50 cm ou 50 x 70 cm.
Présentées avec passepartout sur cadre 100 x 70 cm ou 70 x 100 cm.
web Paco Cuenca
Sinestepolis©
http://cort.as/EoHC
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Sinestepolis©
Anabella Ross
Anabella Ross, la dulce empleada de la
sección de arte de Barnes and Noble, se sumerge cada tarde en el colorido laberinto
de puestos de Unión Square porque tiene
el pálpito de que es allí dónde, como aquella vez, volverá a toparse con él.
La Princesse Lucie
Por uno de los dones que los años y las costumbres acaban mustiando, la Princesse
Lucie es capaz de ver en una maraña de garabatos los ojos de su muñeca, un pato volando, un desfile de hormigas, el mar bravío
y el corazón de mamá.
Andrej Koznis
Estupefacto quedó Andrej Koznis cuando,
al llegar a las páginas de sociedad del Primorske Novice, se topó con la foto de Majda, su prometida, sorprendida en actitud
inequívoca en el asiento trasero del Audi
relumbrante del ex-alcalde Brankovic.
Brandi Madden
Era mayo en Brooklyn y, como los demás de
su clase, Brandi Madden entró con fastidio
en el BAM sin sospechar que Pina Bausch y
su Tanzthearter iban a detonar en su cabeza para hacerla otra, danza, emoción, para
siempre suspendida en el aire.
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Sinestepolis©
Paul McGregor
Atraído por el reclamo que los Picasso, Miró
y sobre todo Dalí ejercían sobre un hijo de
juez de la Princess Street de los cincuenta,
Paul McGregor llegó al casino de Cadaqués
para, desde entonces, llenarlo de sus largos
silencios con acento escocés.
El impostor Franz Wilmberg
Aún pudiendo elegir la teletransportación,
el impostor Franz Wilmberg prefiere la invisiblidad, ese gozo inigualable de espiar,
sobrevolar laberintos, franquear parajes
sombríos, dominar, incluso, el crujir sordo
de las alfombras holladas.
Iris Palacios
Las noches de verano que rondan el equinoccio, Iris Palacios se alza hasta volar sobre el entorno y sobre sí misma como si el
equilibrio, la sabiduría y el aplomo se alojaran, incrustados, en la azulada taracea de la
ingravidez.
Macarena Duarte
Pudo ser princesa con rango y honores
pero, ni la pompa, ni los fastos, ni los obsequios ostentosos, ni los modales con ojos
hipno!ticos de Maktum Bin Ali Mansour lograron alejar a Macarena Duarte de su vida
independiente, aventurera y libre.
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