les laurentides

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les laurentides

juillet2009 - w w w . f l e c h e m a g . c o m
L’artdevivre…
L’artdevivre…
… lesLaurentides !
w w w . f l e c h e m a g . c o m - juillet / août 2009
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4
L’artdevivre…
w w w . f l e c h e m a g . c o m - juillet2009
5
ÉDITEUR
Jean-Pierre Charland
ÉDITRICE DÉLÉGUÉE
Brigitte Latour
DIRECTEUR DE
PUBLICATION
Sylvain-Claude Filion
sommaire
le magazine des LAURENTIDES
No 100
Juillet / Août 2009
COLLABORATEURS
Danielle Arsenault
René-Pierre Beaudry
Lyne Bouchard
Louise Dubé
Martin Falco
Maxime Florent
Réjean Genest
Christine Ouin
Mireille Villeneuve
DIRECTEUR
ARTISTIQUE
8 BILLET
Karl Morrisseau
11
GRAPHISTE SÉNIOR
C’EST NOTRE FÊTE !
Nancy Arsenault
FLÈCHE PUBLIE SON 100e NUMÉRO
PHOTOS
MX Photographe
Ma
Vie
Laurentides
16
20
22
24
26
28
RÉVISIONCORRECTION
dans les
Josée Guévin
CONTRÔLEURE
ESCAPADE
ON JOUE DEHORS !
L’ÉTAT DES LIEUX
VIRAGE VERT
POULS IMMOBILIER
Lise Benoît
SERVICE DES VENTES
450.229.5444
1.866.602.8349
ÉQUIPE DES VENTES
31
100 COUPS DE CŒUR
NATALIE LÉVESQUE
natalie@flechecible.com
VANESSA TANGUAY
vanessatanguay@yahoo.com
POUR LES LAURENTIDES
ANNIE LANGLOIS
annie@flechecible.com
41
SOPHIE PROULX
sophie@flechecible.com
Ma
maison
LISE BÉRUBÉ
liseb@flechecible.com
JOVAN VAN CHESTEING
jovan@flechecible.com
42 HOME STAGING
44 CÔTÉ COUR CÔTÉ JARDIN
50 TENTATIONS
VENTES RÉGIONALES
et NATIONALES
JEAN-PIERRE
CHARLAND
jpc@flechecible.com
SPÉCIAL 9 PAGES!
58
100 IDÉES POUR L’ÉTÉ
100 SUGGESTIONS D’ACTIVITÉS POUR AVOIR
DU PLAISIR DANS LES LAURENTIDES
Mes
68
plaisirs
carte
à la
68
FASS 2009
69
JARDINS DU PRÉCAMBRIEN
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ANIK BISSONNETTE COMMENTE LE
13e FESTIVAL DES ARTS DE SAINT-SAUVEUR
RENÉ DEROUIN EXPLIQUE LA
10e ÉDITION DU SYMPOSIUM D’ART IN SITU
CHASSE GALERIE
NOUVEAUTÉS DVD
CINÉMA EN SALLES
LA CIBLE
DISTRIBUTION
Sylvain «Bonneau»
Charbonneau
Georges Charbonneau
Diffumag
Flèche Mag est distribué
gratuitement à 30 000
exemplaires, 100% en
dépôt de Laval à
Tremblant et de
Renpentigny à Lachute.
Le contenu publicitaire du
magazine ne peut être
reproduit en tout ou en
partie sans autorisation
écrite. Le contenu des
publicités n’engage que
les annonceurs et en
aucun cas Flèche Mag
ne peut être tenu
responsable de leur
incidence.
le magazine
des Laurentides
est publié 10 fois par
année par FlècheMag
Média dont le siège
social est situé au
1652, boulevard de
Sainte-Adèle,
Sainte-Adèle (Québec)
J8B 2N5
450.229.5444
info@flechecible.com
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© Tous droits résevés
textes et photos
Papier recyclable
juillet / août 2009 - w w w . f l e c h e m a g . c o m
L’artdevivre…
7
Billet
Mes Laurentides à moi
Durant mon enfance à Rosemère, faire un tour dans
« le Nord » était perçu comme une escapade
sérieuse, une expédition, une extravagance. Les
choses ont bien changé. Aujourd’hui, les Laurentides
sont devenues le terrain de jeu des Montréalais et
Montréal est souvent le lieu de travail des Laurentiens.
Ce qui n’a pas changé, c’est l’histoire d’amour des
Québécois avec un lieu en constante effervescence,
qui se classe au premier rang des régions en
développement.
Mes coups de cœur
À 17 ans, un collègue de travail m’a invité à passer
le week-end à Saint-Sauveur. Je me souviens encore
de mon cœur battant la chamade quand l’auto a zigzagué entre les premières
montagnes, sur la 15, à hauteur de Sainte-Anne-des-Lacs… wow !
En 1996, après presque vingt ans d’une vie urbaine bien remplie et malgré
d’heureuses saucettes en Mauricie, dans les Cantons de l’Est et dans Charlevoix,
c’est vers les Laurentides que l’appel du grand air m’a naturellement aspiré. On peut
ici, mieux que partout ailleurs, conjuguer vie champêtre et carrière professionnelle.
Ma vie au cœur des Laurentides a commencé dans un petit coin de Sainte-Adèle
où des sentiers boisés aboutissaient sur le pas de la porte arrière. Les coups de
cœur se sont rapidement succédés : dès les premiers jours, je remarquai sous la
douche que l’eau était tellement plus douce sur la peau.
J’ai aussi vite été frappé par la simplicité, la solidarité qui caractérisaient les
rapports humains. Il vous manque 10¢ pour payer le litre de lait au dépanneur ?
« Pas de problème, vous nous payerez la prochaine fois ! » À Montréal, après avoir
fréquenté le même dépanneur tous les jours pendant deux ans, on m’aurait retiré
le litre de lait des mains sans discussion !
En général, les gens qui ont élu domicile dans les Laurentides ont aussi eu, un
jour, leur coup de foudre bien personnel. Pour souligner la 100e édition de Flèche,
découvrez en page 31 les coups de cœur d’une centaine de Laurentiens de tous
les horizons.
100 idées pour l’été !
Parce que les brochures touristiques ont tendance à favoriser leurs annonceurs,
elles sont souvent incomplètes. Flèche a voulu souligner la richesse des activités
offertes dans les Laurentides en répertoriant une pléthore de suggestions – 100 pour
être exact – afin de passer du bon temps chez nous, indépendamment des diktats
publicitaires qui gouvernent trop souvent les publications locales.
Vous trouverez en page 58 un grand reportage de 9 pages proposant pas moins
de 100 idées afin de jouir au maximum de l’été laurentien. C’est une première
dans les Laurentides.
100 mille fois merci
Avec ses 30 000 exemplaires distribués dans toutes les Laurentides, de même
que dans le grand Montréal, Flèche a atteint le chiffre magique des 100 000 lecteurs.*
Publier une 100e édition est un exploit en soi. Au cours de ses six ans d’existence,
Flèche a vu naître et mourir quantité de publications gratuites initiées par des
empires médiatiques désireux d’accaparer les présentoirs. Nous sommes extrêmement
fiers de vous offrir, mois après mois, un contenu éditorial comportant plusieurs
reportages et une quinzaine de chroniques. Lisez en page 11 la petite histoire de
Flèche, le seul et unique magazine dont la vocation est de promouvoir l’art de
vivre les Laurentides.
Nos chroniques habituelles sont en vacances ou parlent de vacances : plages,
bateau-dragon, festivals, entrevues avec les têtes pensantes du FASS, des Jardins
du Précambrien, du Festival de la Rouge… L’été poursuit sa course vers son
apothéose, qui sera des plus ensoleillées, on le souhaite !
Toute l’équipe de Flèche se joint à moi pour vous souhaiter un été excitant,
amusant, enrichissant, épanouissant et surtout, apaisant.
On se retrouve en septembre !
Directeur de publication
scfilion@flechecible.com
* Source : Statistiques Québec / Service de la recherche commerciale Metro Richelieu inc.
8
L’artdevivre…
9
10
L’artdevivre…
C’est notre
fête !
La petite histoire d’une folle et belle aventure
Jean-Pierre Charland et Brigitte Latour étaient
aux commandes de l’agence de publicité Bang
Communications lorsque l’idée d’un magazine
publicitaire a surgi au terme d’un copieux souper
au restaurant La Bohème.
Jean-Pierre : Nous avons réalisé qu’il y avait une
case média inoccupée dans les Laurentides, d’où
l’idée de créer une publication haut de gamme,
au format distinctif, afin de mettre en valeur les
artisans et les bâtisseurs de la région.
Brigitte : Nous savions en partant que ce serait
le premier média publicitaire sur papier glacé
dans les Laurentides.
Flèche Mag grandit…
Brigitte : En plus d’une formidable équipe des
ventes qui s’est dévouée corps et âme, nous avons
pu compter sur des annonceurs de la première
heure qui ne nous ont jamais laissé tomber comme
Christiane Perreault et Marc Paquet de Century 21,
et Sylvain Cousineau des Boisés champêtres.
Jean-Pierre : Sans oublier nos fidèles partenaires : la
Caisse Populaire de Saint-Sauveur et TD Canada
Trust pour leurs services financiers et leurs conseils,
et notre partenaire majeur Monsieur Ronald
Bouchard de Litho-Mag, pour la qualité du produit
imprimé qui plaît tant à nos lecteurs.
Mag
VOLUME
VOLUME 2
2 ÉDITION
ÉDITION 4
4
Le magazine
VOLUME 2 ÉDITION 5
Immobilier
secteur Laurentides
98, rue de la Gare, St-Sauveur Qc
450.227.8349 1.866.277.0059
Le premier numéro
En septembre 2003, Flèche publie une première
édition de 12 pages… qui a été prête à partir chez
l’imprimeur assez tard dans la nuit.
Brigitte : L’adrénaline nous a permis de rester
fébriles une bonne partie de la nuit, on a dû
avoir recours à la bière et à un peu de vin
pour tenir le coup !
Jean-Pierre : Heureusement, le numéro a été
finalisé avant que l’équipe ne tombe dans un
coma éthylique !
TIO
E 2 ÉDI
La couverture
préférée de l’éditeur
N 19
« Pour des raisons purement
sentimentales, j’ai un faible
pour celle de décembre
2004. On y voit ma fille
Éloïse, en compagnie de
quelques neveux et nièces,
attendant sagement le
Père Noël. »
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Lussier,
Michel
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Les Trois Villages
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En 2007, Flèche emménage dans ses splendides
nouveaux bureaux à Sainte-Adèle et commence à
intégrer du contenu éditorial au cours de sa
troisième année d’existence.
Brigitte : C’était à partir de notre 58e édition !
Les premières entrevues rapportaient les propos
de Jean-Paul Cardinal (alors maire de Sainte-Adèle),
Pierre Urquhart de la Chambre de commerce de
la Vallée de Saint-Sauveur.
Jean-Pierre : Nos annonceurs souhaitaient plus
de contenu éditorial et je crois que le temps était
venu de passer à une autre étape. Nos débuts
ont été modestes. C’était la première fois que
les lecteurs pouvaient lire autre chose que les
journaux hebdomadaires.
Le grand saut
Dès 2003, Flèche Mag a été lauréat de la catégorie
Nouvelle entreprise de moins de deux ans au
Gala excellence de la Chambre de commerce
de Saint-Sauveur.
En 2006, l’éditrice Brigitte Latour a été choisie
Nouvelle entrepreneure de l’Année au Gala des
femmes d’affaires du Québec, et s’est retrouvée
en nomination en 2007 pour le titre de Personnalité
de l’année au gala annuel de la Chambre de
Commerce de Sainte-Adèle.
VO LUM
VO
En 2004, l’éditrice Brigitte Latour,
qui est un beau brin
de fille, a fait la couverture
de l’édition spéciale «Mode,
santé, beauté», croquée
par le photographe
Michel Lussier.
450.227.8349 1.866.277.0059
Quelques honneurs
Jean-Pierre Charland et Brigitte Latour, les fondateurs
du magazine Flèche.
Beau brin de fille
Mic
hel
Luss
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ph
otog
raph
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L’idée de départ
L’idée de transformer Flèche en un grand magazine
s’impose aux éditeurs. En octobre 2008, le
magazine fête son 5e anniversaire avec une
transformation majeure. Présentation visuelle
renouvelée, reportages et plusieurs chroniques.
L’équipe s’enrichit d’une demi-douzaine de
nouveaux collaborateurs.
Jean-Pierre : À l’été 2008, j’ai retenu les services de
Sylvain-Claude Filion pour piloter le projet. Je
l’avais connu au début des années 80 alors qu’il
était un jeune scripteur génial à CKOI-FM. Je le
trouve toujours génial et il le prouve à chacune de
nos éditions actuelles !
Brigitte : Avec son nouveau logo, Flèche a adopté
la nouvelle identification visuelle « Le magazine des
Laurentides ». Plus que jamais, notre vocation est de
promouvoir l’art de vivre dans les Laurentides.
2
Paix
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Le tout premier numéro, en septembre 2003
Le moment le plus gênant !
Le « nouveau » Flèche a été lancé en octobre 2008, au
moment où le magazine célébrait son 5e anniversaire.
Pour sa première apparition publique à titre de Directeur
de publication, Sylvain-Claude Filion s’est retrouvé
dans l’embarras...
Brigitte : La thématique du cocktail de presse était « Mission
impossible » et un hélicoptère devait survoler la terrasse,
signal de la distribution du nouveau magazine aux invités.
Or, on nous a changé de salle à la dernière minute en raison
du mauvais temps. Sylvain-Claude étirait son discours en
attendant le passage de l’hélico qu’on a jamais entendu !
Jean-Pierre : Pauvre Sylvain-Claude, il étirait la sauce, il
n’avait plus rien à dire et il me jetait des regards
désespérés… Dans ses yeux, je devinais les mots « Va-t-il
Regard de détresse du directeur de
finir par arriver, ce %$#@& d’hélicoptère ! »
publication, le 1er octobre 2008.
11
LU
ME
3 ÉD
Une journée dans
les bureaux de
Flèche
L’éditrice et le directeur du
magazine étudient la maquette.
Devrait-on déplacer la chronique
Home Staging à page 52 ? 2
Sylvain-Claude Filion semble
amusé par la question existentielle
qui taraude la collaboratrice
Christine Ouin… 3 Louise
Dubé s’inquiète auprès de
Brigitte Latour : a-t-on aimé ses
plus récentes trouvailles pour la
chronique Tentation ?
1
1
2
3
La réviseure-correctrice
Josée Guévin sort parfois la tête
de ses dictionnaires pour
révéler un regard mystérieux et
l’infographiste Nancy Arsenault
5 , imperméable au stress du
bouclage, réussit toujours à
afficher un sourire radieux.
4
Pendant que dans la salle de
conférence une partie de
l’équipe de rédaction s’échine à
concevoir les dossiers spéciaux
du 100e numéro 6 , le directeur
artistique Karl Morisseau, 7
gougounes en l’air, trouve
le temps de se la
couler douce…
4
5
7
6
Avril 2004
Septembre 2004
Octobre 2004
Mag
Novembre 2004
Mars 2005
Avril 2005
VOLUME 2 ÉDITION 15
Les magazines « SHOPPING »
Les magazines commerciaux ciblés
des Laurentides
VOLUME 2 ÉDITION 8
des Laurentides
VOLUME 3 ÉDITION 4
VOLUME 3 ÉDITION 6
Le magazine
Immobilier
Le magazine
Immobilier
secteur Laurentides
12
450.227.8349 1.866.277.0059
450.227.8349 1.866.277.0059
Les magazines « SHOPPING »
450.227.8349 1.866.277.0059
Michel Lussier, photographe
secteur Laurentides
450.227.8349 1.866.277.0059
450.227.8349 1.866.277.0059
450.227.8349 1.866.277.0059
des Laurentides
L’artdevivre…
8
8 Seul élément mâle de l’équipe des ventes, Jovan
(8)
Van Chesteing a l’air de se trouver chanceux, entouré
de ses collègues Natalie Lévesque, Sophie Proulx,
Lise Bérubé, Annie Langlois et Vanessa Tanguay.
9 On dirait bien que l’éditeur Jean-Pierre Charland
(9)
vient d’apprendre une bonne nouvelle en scrutant
ses courriels… 10 Si la contrôleure Lise Benoît a le
temps de sourire, c’est qu’elle a dû réussir à balancer
9
ses livres… 11 Annie mériterait bien de vraies
marguerites pour remplacer celles, en plastique, qui
jouxtent son téléphone… 12 Natalie et Lise font
une démonstration de l’irrésistible sourire qu’elles
réservent à des annonceurs potentiels. 13 Sofphie
est beaucoup moins sérieuse dans la vie de tous les
jours, qu’elle en a l’air sur cette photo… 14 Avec le
sourire qu’elle arbore, Vanessa est sûrement en train
de conclure une vente !
14
10
13
Janvier 2006
Mars 2006
12
Avril 2007
11
Août 2007
Janvier 2008
Avril 2008
Le magazine des Laurentides
Volume 6 Édition 5 | Avril 2008
VOLUME 6 ÉDITION 1 - Janvier 2008
Le magazine des Laurentides
VOLUME 5 ÉDITION 5 avril 2007
L e
m a g a z i n e
d e s
L a u r e n t i d e s
VOLUME 5 ÉDITION 11 - août 2007
VOLUME 4 ÉDITION 1
VOLUME 4 ÉDITION 4
• STE-MARGUERITEDU-LAC-MASSON •
• PIEDMONT •
Luc Guérin - p.2
Sophie Thibault
« Méfiez-vous des grands
comiques »
Chef d’antenne sur le réseau TVA
• VAL-DAVID •
• PRÉVOST •
Entrevue avec
Jocelyne Cazin - p.18-19
• STE-ANNE-DES-LACS •
Pierre Lapointe - p.8
Guillaume Lemay-Thivierge - p.2
Maire de Val-David
• MONT-TREMBLANT •
Pierre Pilon
Maire de Ville Mont-Tremblant
A choisi Ste-Anne-des-Lacs
Une « VRAIE » Laurentienne
• ST-EUSTACHE •
• À LIRE •
• LES BÂTISSEURS •
Ville d’histoire et de nature - p.4
Jean Soulard
L’équilibre en cuisine - p.13
Étienne Grégoire - p.12
Michel Lagacé - p.4
Directeur musical et animateur
«Je reviens chez nous»
Maire de St-Sauveur
• À LA BONNE VÔTRE •
Tom Fermanian - p.22
• LAURENTIDES •
Rétrospective et suprises 2007
Bernard Drainville
Kain, France D’Amour,
James Blunt et Sylvain Cossette
Cardinal « Zin » vin rouge - p.8
Théâtre St-Sauveur,
Théâtre Ste-Adèle,
et beaucoup plus
• CINÉMA •
Le 18 septembre une
date à retenir
« Tentez le démon »
Philippe Riopelle
Mont Saint-Sauveur International
• TENDANCE MUSIQUE •
• ST-SAUVEUR •
Louis Dufour - p.7
Député Marie-Victorin
• HOME STAGING •
Lyne Bouchard - p.26
• STE-ADÈLE •
• MASCOUCHE •
Chalets et maisons de campagne
Marcelle Bergeron - p.10
Robert Filion
Directrice Chambre de
commerce de Ste-Adèle
Chambre de Commerce
• REPENTIGNY •
• MIRABEL •
Connaissez-vous Repentigny - p.16
• TENDANCE MUSIQUE •
Lysane O’Sullivan - p.12
• ST-JÉRÔME •
Étienne Grégoire
Une directrice dynamique
Thierry Maurer - p.15
Directeur musical
et animateur
Madonna, Éric Lapointe,
Françis Cabrel, Ariane Moffatt
Chef du Soleo
• TENDANCE MUSIQUE - p.9 •
• TOURISTIQUEMENT VÔTRE - p.16 •
• HORS-COUR - p.21 •
• TRÉSORS CACHÉS •
Rick Strubbe - p.19
• HORS-COUR •
104, rue de la Gare, St-Sauveur Qc 1.866.277.0059
1652, boul. Ste-Adèle, Ste-Adèle Qc 450.229.5444 1.866.602.8349
• EN FORME •
Me Josée Dubois LL.B. - p.7
Sylvie Condrain - p.19
Avocate et médiatrice
1652, boul. Ste-Adèle, Ste-Adèle Qc
450.229.5444 1.866.602.8349
Le cardio… !
450.229.5444 1.866.602.8349
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9.
10.
Allez hop !
11.
12.
13.
Christine Ouin (journaliste)
Josée Guévin (réviseure-correctrice)
Louise Dubé (journaliste)
Annie Langlois
(représentante publicitaire)
(directeur de publication)
Jean-Pierre Charland (éditeur)
Nancy Arsenault
(infographiste senior)
Lyne Bouchard (chroniqueure,
spécialiste en home staging)
Lise Benoît (contrôleure)
Lise Bérubé
René-Pierre Beaudry (journaliste)
Mireille Villeneuve (journaliste)
Brigitte Latour (éditrice déléguée)
14. Jovan Van Chesteing
(représentant publicitaire)
15. Sophie Proulx
16. Natalie Lévesque
17. Vanessa Tanguay
18. Karl Morisseau (directeur artistique)
Absents sur la photo : Sylvain
« Bonneau » Charbonneau et Georges
Charbonneau (distribution), Danielle
Arsenault (chronique Des idées dans ma
télé), Maxime Florent (chronique
Chasse-Galerie) et Martin Falco
(chronique Cinéma en salles).
Photo de famille !
Juin 2008
Août 2008
Volume 6 Édition 9 | Juin 2008
L e
m a g a z i n e
d e s
Décembre 2008
Mars 2009
Avril 2009
Mai 2009
Volume 6 Édition 11 | Août 2008
L e
m a g a z i n e
d e s
• VAL-MORIN •
Claude Valade
Les Laurentides tatouées sur le cœur
Denis Lamarre
Le Patriote de Ste-Agathe
• DOSSIER IMMOBILIER •
Francine Soucy
Présidente de la chambre
immobilière des Laurentides
• CINÉMA •
Tom Fermanian
Cruising Bar 2
• STE-ADÈLE •
Claude Descoteaux
Maire de Ste-Adèle
14
.229.5444 1 . 866 .602.8349
450
.229.5444 1 . 866 .602.8349
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L’artdevivre…
15
Ma
Vie
Chroniques
dans les
Laurentides
20
22
24
Vive les
26
marchés d’été
28
On y va pour l’expérience jouissive, la fraîcheur des
produits et pour encourager les producteurs de la
région. Cette belle vieille tradition est de plus en plus
courue dans les Laurentides, à l’heure où l’on se
préoccupe de plus en plus du kilométrage effectué
par les denrées alimentaires.
On joue dehors !
Tous à la plage !
L’État des lieux
Jacques Brien, maire de Val-Morin
Virage vert
Pour un recyclage encore plus efficace
Pouls immobilier
Mirabel: un marché en pleine ébullition
PRÉVOST
UNE NOUVELLE VIE
POUR LE PONT SHAW
La 8e saison du marché d’été de Val-David accapare
la rue de l’Académie en face de l’église tous les
samedis de 9 h à 13 h jusqu’au 5 septembre. On y
trouve une cinquantaine d’exposants dont plusieurs
offrent des produits bio.
À Mont-Tremblant, le Marché d’été est de retour
pour une cinquième saison les samedis de 9h à 13h,
jusqu’au 5 septembre. Les kiosques sont disposés
dans le secteur du village de Mont-Tremblant, à la
hauteur du 2001, chemin du Village.
Escapade
Le bateau-dragon, nouvelle
coqueluche de l’été
Héritier d’une longue tradition, le Marché public de
Saint-Jérôme se déploie près de la place de la Gare
en plein centre-ville. On peut y faire ses emplettes
les mardis (6h à 17h), les vendredis (6h à 21h) et les
samedis (6h à 16h).
Construit en 1923, ce pont historique qui offre un point
de vue magnifique sur la rivière du Nord dans le secteur
Shawbridge a été fermé à la circulation il y a maintenant
un an, pour des raisons de sécurité. Le conseil municipal
de Prévost a choisi de le restaurer avec soin afin de
maintenir sa vocation de lien routier et surtout, de préserver
son caractère patrimonial. Les travaux de réfection
sont estimés à 3 millions de dollars.
SAINT-DONAT
Spectacles
en plein air
Jusqu’au 15 août, on peut assister à des spectacles
gratuits en plein air, place de l’Église, tous les
samedis soirs à 20 h. Parmi les moments forts
de la programmation, signalons The Lost Fingers
(18 juillet), Boom Desjardins (25 juillet) et
Bob Walsh (1er août).
EN VACANCES dans LES LAURENTIDES
Selon un sondage Léger Marketing réalisé en mai
2009, 47 % des Québécois ont l’intention de passer
leurs vacances au Québec, les Laurentides constituent
leur choix de prédilection, après Québec et Charlevoix.
Tourisme Laurentides et ses partenaires ont aussi
investi plus d’un million de dollars pour promouvoir
la région auprès des clientèles du Québec, de l’Ontario,
des États-Unis et d’outre-mer.
Amis touristes, consultez notre répertoire de 100 idées
pour l’été, en page 58, pour vous guider !
MIRABEL
Festival
ÉQUESTRE
Il s’agirait d’une première au Québec : un festival
équestre où chevaux et culture country sont à
l’honneur. Dans le menu: villages d’époque animés,
cours de danse country, musique, spectacles,
boutiques, kiosques, un concours international
de danse et des soupers dont les plats plairont
à tous les cow-boys dans l’âme. Cette première
édition du festival Équestre de Mirabel propose
aussi des cliniques équestres. Les activités
s’échelonnent sur quatre week-ends, du 14 août
au 7 septembre.
16
Boîte aux lettres
Écrivez-nous
Envoyez-nous vos
commentaires et suggestions
à info@flechecible.com ou au
1652, boulevard Sainte-Adèle,
Sainte-Adèle (Québec) J8B
2N5. Vos lettres doivent être
signées et contenir vos
coordonnées, qui resteront
confidentielles.
L’artdevivre…
SAINTE-AGATHE-DES-MONTS
Danse latine
Vous craquez pour la samba, le cha-cha et le merengue ?
Tous les mardis d’été, dès 19 heures, la place Lagny se transforme
en école de danse en plein air. Avec les flots sereins du lac des Sables
comme ligne d’horizon, il y a de quoi se sentir en vacances!
En cas de pluie, ces ateliers de danse latine se déroulent à la salle
J.-A.-Ratelle, à deux pas de la place Lagny.
BEAU LIVRE
Les Laurentides
SAINT-SAUVEUR
Le Bulldozer jubilaire
Parce que les modes sont éphémères, peu de bars peuvent se vanter de
fêter leur 25e anniversaire. Voici pourtant un quart de siècle que Roger,
Richard et Susan Beaulieu ont pignon sur la rue Principale avec leur buvette
sympathique aux accents de pub irlandais.
Les murs lambrissés sont chargés de portraits évocateurs. Des artistes y exposent
régulièrement. Au son d’une musique alternative (feu Alain Bashung est le chouchou
de leur bande sonore), les rencontres y sont garanties peu banales et on peut aussi
y jouer aux fléchettes, ce qui est désormais une rareté dans les Laurentides.
On a beau y vivre et en savourer les splendeurs
visuelles à chaque instant, ce livre magnifique, qui
permet de jouir simultanément des quatre saisons,
est un must pour la table à café. Les images
capturées par la photographe Thérèse Fraysse,
sont spectaculaires et envoûtantes. Les textes de
la géologue et urbaniste Hélène Laperrière sont
lumineux. Vous ne vous lasserez pas de feuilleter
les quelque 216 pages de cet ouvrage rempli de
paysages à faire rêver. publié par les Éditions de
l'Homme, au prix modique de 49,95$.
L’ÉGLISE DE PRÉVOST
Lieu de culte et de culture
Très dynamique en matière d’arts et de culture, Prévost innove encore cette
année: sa Politique culturelle révisée a vu le jour dans l’église Saint-FrançoisXavier, devenue propriété de la ville qui l’a entièrement réaménagée.
Alors même que l’église continue de tenir des célébrations religieuses, sa salle
multifonctionnelle accueille déjà les réunions mensuelles du conseil municipal
et se prépare à recevoir spectacles et festivités dès cet automne. C’est un des
premiers résultats concrets de la mission que s’est donnée la Ville.
En effet, dans la vision avant-gardiste de son développement, Prévost considère la culture comme une composante essentielle de son rayonnement
social, économique et touristique. Ainsi, un des objectifs du maire est de
développer le sentiment d’appartenance des citoyens en facilitant l’accès aux
lieux de diffusion comme la bibliothèque, le pavillon Louis-Arcand, et la Gare,
qui accueille une nouvelle fois cet été les populaires symposiums de peinture
et des métiers du verre.
L’aménagement de l’église permettra d’offrir un lieu mieux adapté à la présentation de spectacles et ainsi d’augmenter l’offre culturelle, en association avec
le diffuseur Diffusions Amal’Gamme, chargé de la promotion. La Ville a pris
l’engagement de contribuer à l’épanouissement individuel et collectif en
collaborant étroitement avec les artistes, les organismes culturels et le milieu
scolaire, mais aussi en soutenant financièrement et techniquement les
initiatives des personnes qui s’engagent dans la communauté pour favoriser
sa vitalité et sa fierté.
En outre, Prévost tient à assurer la protection de son environnement naturel et
la mise en valeur de son patrimoine historique. Pour atteindre ces objectifs,
une commission culturelle permanente chargée du suivi du plan d’action sera
mise en place. Puisse le dynamisme de Prévost inspirer et servir de modèle
dans toute la région!
par Christine Ouin
17
Ma
Vie
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dans les
Laurentides
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Décoratrice
Spécialiste en Feng Shui
Pour sa seconde édition, ce concours lancé
par la ville de Mont-Tremblant invite résidants
et commerçants à rivaliser d’imagination pour
fleurir leurs propriétés, balcons ou espaces
commerciaux. Cette initiative du comité
d’embellissement de la ville promet une
profusion de fleurs, plantes, arbres et arbustes
dans le paysage local. Le jury visitera les
propriétés durant la semaine du 3 au 7 août.
Mais il est impératif de s’inscrire au plus tard le
vendredi 17 juillet. Pour tous les détails du
concours: 819-425-8614, poste 2604 ou
www.villedemont-tremblant.qc.ca.
VAL-DES- LACS
SAINTE-ADÈLE
FOIRE DES
ANTIQUAIRES
FÊTE CHAMPÊTRE
Pour qui est à la recherche d’une expérience
authentique dans les Laurentides, cette
chaleureuse fête villageoise est un
incontournable. Présenté sous la forme d’un
souper dansant, la fête champêtre de
Val-des-Lacs a lieu le 8 août. En cas de mauvais
temps, l’événement se déplacera sous le toit
du Centre culturel et communautaire.
Le rendez-vous annuel des collectionneurs
et des antiquaires occupera le parc de la
Famille toute la journée du samedi 18 juillet.
Une occasion privilégiée pour se laisser
aller au plaisir nostalgique qui sommeille
en nous, et peut-être, faire quelques
bonnes transactions.
NOUVEAU FESTIVAL
Les Musicales
de Sainte-Adèle
Ce festival international de musique d’aujourd’hui
tient sa première édition au parc de la Famille
du 16 au 23 juillet. Tous les jours, des
apéros musicaux et des spectacles gratuits, et trois
grands événements payants (à prix modique) dans
l’amphithéâtre du parc: The Lost Fingers
(16 juillet), Daniel Bélanger (18 juillet) et en
programme double, Mara Tremblay et Antoine
Gratton en spectacle de clôture le 23 juillet.
SAINTE-AGATHE-DES-MONTS
LA PROTECTION
DES LACS
Dans le cadre de sa série d’éco-conférences,
la ville de Sainte-Agathe propose une rencontre gratuite
où l’on pourra se renseigner sur les meilleurs moyens de
protéger et de restaurer nos lacs. Le dimanche 30 août, le
conférencier Robert Lapalme commentera le sujet à la plage
Lagny, en anglais à 10 h, et en français à 13h.
PRÉCISION
Une erreur s’est glissée
dans le répertoire des
clubs de golf publié à la
page 39 du numéro 99
de Flèche (juin 2009).
Pour joindre le Golf
Manitou MontTremblant, il fallait lire
le numéro suivant :
819 681-7977.
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18
L’artdevivre…
19
Escapade
Le
bateau-dragon,
nouvelle coqueluche de l’été
Le soleil vient de disparaître derrière de sombres nuages.
Inquiète, j’appelle mon amie Claire, une dragonne passionnée.
« Pas de problème. Apporte-toi des vêtements de rechange et
une serviette… J’arrive dans cinq minutes.» Sans enthousiasme,
je me prépare. Pour ma première sortie de bateau-dragon,
j’aurais préféré un beau coucher de soleil…
PAR MIREILLE VILLENEUVE
Lorsque nous arrivons au lac SaintFrançois-Xavier à Montfort, plusieurs
femmes, hommes, jeunes et moins
jeunes, s’activent comme des abeilles
autour d’un magnifique bateau. Le
long canot de 10 mètres, même sans ses
apparats de compétition, inspire le
respect. D’ailleurs, plusieurs personnes
sont agenouillées à ses côtés… pour
écoper l’eau de la dernière pluie !
Cet été,
évadez-vous
en VUS !
Je semble être la seule à remarquer les
nuages. Autour de moi, l’ambiance est
joyeuse et dynamique. On fait des
exercices d’étirements. L’entraîneur et
le capitaine en profitent pour motiver
l’équipe.
Munis de pagaies et vestes de sécurité,
nous prenons place à bord. Nous
sommes vingt rameurs, un barreur et
un batteur à la proue. Un équipage de
22 personnes !
Notre entraîneur, une jeune femme
bilingue, donne ses directives. Nous
devons tourner notre canot dans la
bonne position, le nez au large. «À vos
marques, prêts, take her away ! » À
l’unisson, nous plongeons nos pagaies
dans l’eau. Pour synchroniser nos
mouvements, nous suivons le rythme
donné par le batteur de tambour.
Bien vite, je suis prise de la même
ferveur que les autres. Sous les encouragements du coach, je mets toute
mon âme à réussir chacun de mes
mouvements. Au plus fort de la poussée,
nous sentons le canot « sortir le nez »
hors de l’eau.
« Let it run » ! Du coup, les pagaies
s’immobilisent et les rameurs se détendent. Je remarque alors le magnifique
coucher de soleil sur le lac. Au loin, un
huard pousse son cri mélancolique.
Origines
L’histoire du bateau-dragon remonte
à l’an 278 avant J.-C. La légende dit
qu’un poète et ministre chinois se noya
dans le fleuve Mi Luo. Son corps ne fut
jamais retrouvé. Les villageois attristés
embarquèrent sur leurs bateaux, frappant l’eau de leurs rames et battant
tambours à l’unisson afin de préserver
l’âme du poète des mauvais esprits.
Aujourd’hui, plusieurs festivals commémorent cette légende. Le son des
rames et des tambours sert aussi à
éveiller l’esprit du dragon et ainsi
apporter chance et protection.
le magazine des laurentides
20
UN SPORT POUR TOUS
Le bateau-dragon est le sport
nautique le plus populaire
de l’heure. Visuellement
spectaculaire, il est à la portée
de tous et très sécuritaire.
Plusieurs organisations et
entreprises à travers le monde
ont adopté ce sport pour
l’esprit d’équipe qu’il
développe. Les festivals de
bateaux-dragons sont
fréquemment associés aux
œuvres caritatives. Des millions
de dollars ont ainsi été
amassés pour la recherche sur
le cancer et autres levées de
fonds humanitaires.
LA SUBARU
FORESTER 2.5X 2010
À PARTIR DE
*
$
25995
Transport et préparation en sus
Modèle illustré: Subaru Forester 2.5X
Meilleur choix sécurité†
POUR VIVRE L’EXPÉRIENCE
Tous les mardi et jeudi soirs
ainsi que le samedi matin, au
lac Saint-François-Xavier, le
club de canoë-kayak Viking
met ses embarcations et
pagaies à la disposition des
membres et de ceux qui
veulent essayer.
Cote de résistance aux impacts
5-étoiles††
FORESTER 2009
FORESTER 2009
FORESTER 09:
MEILLEUR VUS / VUM
De moins de 35 000 $
Programme d’évaluation des nouveaux
véhicules de la National Highway Traffic
Safety Administration (NHTSA)
Leurs magnifiques bateaux
sont fabriqués ici même par la
compagnie Simon River
Sports. Renseignements :
www.canoekayakviking.ca
FESTIVAL DE
BATEAUX-DRAGONS
La démonstration la plus
spectaculaire de l’été aura
lieu le samedi 8 août sur le lac
Saint-Joseph à Saint-Adolphe
d’Howard, au profit de la
Fondation médicale des
Laurentides et des
Pays-d’en-Haut.
Enfin, pour connaître l’histoire
de ce bateau légendaire et le
calendrier de plusieurs
compétitions, consultez le site
Internet www.22dragons.com
Association des
concessionnaires Subaru
du Québec
quebec.concessionsubaru.ca
* Prix de détail suggéré du fabricant. Les frais de transport et de préparation (1 495,00 $), d’inspection, d’immatriculation, d’assurance, de
consultation du RDPRM et du concessionnaire ainsi que les taxes sont en sus. Immatriculation (prix varie selon le client) et assurances en sus.
Recyclage Québec, droit sur les pneus neufs inclus. † Mention « Meilleur choix sécurité » pour la Forester 2009. Une cote « Bonne » constitue
la meilleure cote possible dans les essais de collision frontale déportée à 40 m/h, de collision latérale à 31 m/h et de collision arrière à 20 m/h
réalisés par l’Institut des assureurs américains (IIHS) (www.iihs.org). La Forester a aussi obtenu une note parfaite aux nouveaux essais de
résistance de toit (protection en cas de capotage). Un véhicule doit avoir obtenu la cote « Bonne » aux trois essais de collision et doit offrir un
programme de stabilité électronique (ESC) (Contrôle de la dynamique du véhicule) pour mériter la distinction « Meilleur choix sécurité ». †† Cote
5 étoiles décernée à la Forester 2009 aux essais de collision frontale et latérale. Les cotes de sécurité du gouvernement américain font partie
du programme d’évaluation des nouveaux véhicules de la National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA) (www.safercar.gov). Une
cote cinq étoiles représente la cote la plus élevée du gouvernement pour a) les sièges du conducteur et du passager avant dans les essais de
collision frontale, et b) les sièges avant et arrière dans les essais de collision latérale. Le concessionnaire peut offrir un prix moindre. Photo à
titre indicatif seulement.
L’artdevivre…
21
Onjouedehors!
Tous à la plage !
Rien de neuf sous le soleil : quoi de mieux, par une chaude
journée d’été, que d’aller se rafraîchir dans l’eau ? Mais si vous
n’avez pas accès à une piscine, à un ami qui possède un quai
ou à de la parenté qui réside au bord d’un lac, voici une belle
excuse pour partir en expédition : on va à la plage !
Les Laurentides regorgent d’étendues
d’eau douce. Même si l’heure est à la
préservation des berges, il existe
encore des plages naturelles de sable
fin où l’on peut étendre sa serviette, de
même que plusieurs lacs bien cotés
pour la baignade. À vos maillots !
Préliminaires
Aller à la plage se conjugue parfaitement
avec l’organisation d’un pique-nique.
Quelques sandwiches, des crudités, et
pour assurer une bonne hydratation :
tranches de melon, eau et jus. On
n’oublie pas l’essentiel : maillot, crème
solaire, lunettes de soleil et son livre
préféré. Sans oublier quelques sous
pour l’imprévu et la crème glacée.
Conseils de sécurité
Baignade et soleil se conjuguent avec
plaisir mais aussi avec danger. Chaque
été, piscines et lacs font malheureusement des victimes. Pour bien profiter
des plaisirs aquatiques, quelques règles
de sécurité et de prévention élémentaires s’appliquent.
Ne jamais laisser les enfants sans
surveillance : surtout les tout-petits,
qui ne connaissent rien du danger.
Les gilets de sauvetage : ils doivent
être bien adaptées aux apprentis
nageurs. Tous ceux qui montent dans
une embarcation devraient aussi en
porter un.
Fréquentez les plages surveillées :
pour savoir si l’eau d’un lac est propice
à la baignade, informez-vous sur ces
deux sites Internet régulièrement
mis à jour : www.eauquebec.com et
www.mddep.gouv.qc.ca/régions
Avant de plonger tête première d’un
tremplin ou d’un rocher, assurez-vous
qu’il y a suffisamment d’eau et aucune
roche ou débris, au fond du lac.
En cas d’orage, tout le monde sort de
l’eau !
Gare aux crampes ! Après un repas et
pendant toute la période de digestion,
on devrait porter des vestes de
sauvetage. C’est le bon moment
pour faire un tour de pédalo.
PLAGES À
DÉCOUVRIR
Plage du lac Saguay
Plage de sable fin, eau
d’excellente qualité. Sur place,
stationnement, aire de piquenique, surveillant de plage, salle
d’habillage et toilettes. À
Lac-Saguay, 819 278-3972
Plage Gratton
Cette plage surveillée est un peu
achalandée, surtout les fins de
semaine. Vous y trouverez
commodités sur place et cassecroûte de l’autre côté de la rue.
Sur le lac Saint-Joseph, à
Saint-Adolphe d’Howard,
819 327-3519
Parc régional du Lac Taureau
Un peu plus au nord, ce grand
parc nouvellement créé propose
des plages exceptionnelles et
des baies sauvages propices aux
activités nautiques et à la
découverte de la nature. À
Saint-Michel-des-Saints,
450 833-6941
Plage La Crémaillère
Bien surveillée et dotée d’aires
de jeux et de pique-nique. Sur
le lac Monroe, dans le secteur de
la Diable à Mont-Tremblant.
819 688-2281
Plage du lac Provost
Dans le secteur la Pimbina, à
Mont-Tremblant, très belle plage
surveillée, où l’on peut aussi
louer pédalos et autres.
embarcations. 819 688-2281
Se protéger du soleil : il est toujours
plus fort sur la plage et l’eau. Il faut choisir
un bon indice UV et bien se tartiner…
22
L’artdevivre…
23
L’Étatdeslieux
Jacques Brien,
maire de Val-Morin
Le village de Val-Morin
à la croisée des chemins
Le maire de Val-Morin commente le
refus de la Cour Suprême à propos de
la synanogue illégale de la communauté
hassidique, les rumeurs d’une fusion
entre Val-Morin et Val-David, et la
revitalisation du centre du village.
PAR RENÉ-PIERRE BEAUDRY
Jacques Brien ne minimise pas l’impact
de la récente décision de la Cour
Suprême qui a débouté de son ultime
requête la communauté hassidique.
On se souviendra que cette dernière
en appelait des décisions en sa défaveur
de la Cour Supérieure et de la Cour
d’appel. Ayant épuisé tous ses recours,
la communauté fautive est sommée de
cesser ses opérations dans les deux
bâtiments qui lui servaient d’école et
de synagogue dans un secteur pourtant
zoné strictement résidentiel. « C’est
une grosse victoire pour toutes les
municipalités du Québec. Attention :
je ne parle pas de victoire sur les juifs
hassidiques, mais bien du principe
fondamental du respect des zonages
municipaux », nuance le maire Brien.
Cela signifie que demain matin, si votre
voisin vend sa maison à un prédicateur
américain, à cause du récent jugement
de la Cour Suprême, ce dernier ne
pourra pas transformer sa nouvelle
résidence en temple religieux pour
accueillir toutes les fins de semaine les
quelque deux cents fidèles de sa
communauté, qui risquent de venir
piétiner votre pelouse.
Monsieur Brien, un ex-courtier d’assurances qui a vendu son entreprise
de Saint-Léonard en 1999 pour s’installer
en permanence au lac Théodore, à ValMorin, n’est pas homme à s’asseoir sur
ses lauriers. « Nous sommes à mettre
en place le plus gros chantier de l’histoire
de Val-Morin, explique-t-il. Des travaux
majeurs de réfection de nos infrastructures entre la 11e avenue et le Chemin
du Curé-Corbeil ont débuté à la fin juin
et coûteront 5,7 millions $. La remise
à neuf des égouts, des aqueducs, de
la chaussée et de tous nos trottoirs est
un premier pas déterminant vers la
revitalisation du centre du village ».
Rumeurs de fusion
Lorsque l’on évoque la persistante
rumeur d’une fusion de Val-Morin avec
Val-David, le visage du maire Brien
s’assombrit. « C’est moi qui ai lancé ce
projet de fusion l’automne dernier et
notre Conseil en a fait une résolution en
novembre 2008. C’est par le dialogue
qu’on peut élaborer un développement
municipal intéressant tant pour les
gens de ce qui deviendra le quartier
24
LES POINTS
CHAUDS
Des rues en triste état
« L’asphaltage des voies municipales
– de la rue Morin par exemple –
mentionnées dans le règlement
d’emprunt de 2,7 millions $ en 2005
n’a pas été complété pour éviter
d’avoir à le reprendre après seulement quelques mois, à cause des
nouveaux travaux de réfection des
infrastructures. »
Dédoublement inutile…
et coûteux
«On n’a aucun échange entre nos
deux conseils municipaux (Val-David
et Val-Morin). J’achète une niveleuse
de 300 000 $, ils achètent la leur
300 000 $ au lieu de dire : est-ce
qu’on peut partager ? »
Val-Morin que ceux du quartier ValDavid. Mais il faut être deux pour
danser… ».
Le maire Brien estime que les résidants
des deux municipalités vivent dans
l’harmonie. Cependant, il en va tout
autrement pour les deux conseils
municipaux qui, historiquement, ne
s’entendent pas. « On se heurte
malheureusement à un mur, poursuit
M. Brien. Pour le moment, il n’y a
aucune discussion possible. Le Conseil
municipal de Val-David ne répond pas:
il paraît même qu’il cherche à re-diviser
le Parc Dufresne en deux ! Si on ne
réussit pas à s’entendre sur une gestion
commune de ce parc, comment voulezvous qu’on s’entende sur le reste ?»
conclut-il.
Jacques Brien n’a toujours pas confirmé
son intention de se présenter pour
un deuxième mandat à la mairie de
Val-Morin l’automne prochain. « Je ne
me suis pas encore prononcé pour
plusieurs raisons personnelles », dit-il.
Parions quand même que cet homme de
défis sera sur les rangs, en novembre…
L’artdevivre…
25
VirageVert
Pour un recyclage
encore plus efficace
Une partie de la bataille est gagnée : la majorité s’applique à
trier à la source ses déchets domestiques, consciente que ce
geste de respect envers l’environnement est vital pour la planète.
Attaquons-nous maintenant aux petits détails qui nuisent au
travail des centres de tri.
PAR CHRISTINE OUIN
En effet, une importante quantité de
matières recyclables s’accumule encore
bêtement dans les sites d’enfouissement
pendant qu’une autre est perdue
parce que le tri n’est pas correctement
effectué. Voici quelques conseils
simples pour parvenir à atteindre
l’objectif «recyclage total» et maximiser
l’efficacité de la récupération.
La séparation
des matériaux
Les trieurs n’ont pas le temps d’exécuter
cette tâche et lorsqu’une matière en
« contamine » une autre, le recyclage
devient impossible. Les matériaux se
divisent dans les catégories suivantes :
papier, carton, matières plastiques,
métaux et verre.
Il est impératif de retirer les circulaires
de leur sac et de les déposer séparément
dans le bac, comme il faut également
ôter des bouteilles les bouchons en
liège et en métal, mais également
ceux qui sont en plastique car ce n’est
pas le même type de plastique que les
contenants : ils sont recyclés à part.
Aussi, on dépose les boîtes en carton
sans la styromousse à l’intérieur et on
retire la pellicule en plastique qui
entoure les emballages en carton des
canettes de boisson.
Non aux sacs fermés
Il faut absolument éviter de nouer le
papier avec de la ficelle et de mettre
des bouteilles et des pots en verre ou en
métal dans des sacs en plastique fermés.
Car ces paquets sont alors considérés
comme des contenants et acheminés
automatiquement vers la mauvaise
ligne de tri à leur arrivée au centre.
Le rinçage
On ne doit pas mettre de contenants
souillés de débris de nourriture ou
autre dans le bac à recyclage. Mais un
simple rinçage des boîtes de conserve
en métal et des pots en plastique suffit
car les matières sont lavées au centre
de tri. En outre, il n’est pas obligatoire
de retirer les étiquettes, toutefois cela
permet de recycler leur papier.
Les indésirables
Enfin, il faut savoir reconnaître les
objets qu’il ne faut pas déposer dans
le bac de recyclage et qui arrivent
encore trop souvent au centre de
tri. Il s’agit généralement d’articles
effectivement récupérables mais qui
doivent être réorientés dans des
points de collecte spécifiques. On
trouve le plus fréquemment dans cette
catégorie :
I Les vêtements et le linge de maison,
qu’il faut déposer dans les friperies,
les comptoirs d’entraide ou les
bornes spéciales prévues à cet effet.
I Les pneus et les batteries
d’auto, récupérés par la plupart
des garages.
I Les batteries d’outils et les piles,
reprises par les casernes de
pompiers et Bureau en Gros.
I Les contenants de peinture,
avec encore de la peinture, que
l’on peut apporter aux
quincailleries qui vendent
de la peinture.
I Les produits informatiques,
comme les pièces d’ordinateur,
les cartouches d’encre vides, les
téléphones cellulaires, etc. qui
sont récupérés par des
boutiques telles que Bureau
en Gros ou Future Shop.
I Les bonbonnes de gaz, grosses
ou petites, qu’il faut rapporter
à un détaillant qui les vend.
« Grâce aux efforts de chacun, la part
de rejet est assez faible, de l’ordre de
10 % des matières reçues », indique
Sophie Poncelet-Latour, de Tricentris,
le centre de tri desservant la plupart
des municipalités des Laurentides.
Si les citoyens qui vivent à l’année dans
la région ont la fibre écologique bien
éveillée, encourageons les vacanciers
à mettre, eux aussi, la main au bac
et à intégrer dans leur quotidien
ces habitudes salutaires, gages d’un
avenir en harmonie avec notre si bel
environnement.
26
L’artdevivre…
27
Poulsimmobilier
Mirabel : un marché
en pleine ébullition
Le marché de l’habitation neuve et celui de la maison existante
sont des plus actifs à Mirabel. Plusieurs facteurs l’expliquent,
nous a dit un agent immobilier implanté solidement dans la
région depuis longtemps.
L’un de ces facteurs, c’est l’usine
d’assemblage de moteurs d’avion de
Pratt & Whitney présentement en
chantier à Mirabel, un projet générateur
de 4 000 nouveaux emplois, a-t-on
annoncé en octobre dernier. L’entreprise
procédera incessamment à l’embauche
de tous ces nouveaux employés, des
travailleurs spécialisés dans le domaine
de l’aéronautique. Ce seront généralement des gens hautement qualifiés
qui, pour la plupart, nous arriveront de
l’extérieur du Québec, du reste du
Canada, des États-Unis et même de
l’Europe.
développement Lac-Mirabel, premier
centre commercial intérieur à être
construit depuis 25 ans, qui sera aussi
le premier à décrocher la certification
LEED. Plusieurs habitations valant en
moyenne 250 000 $ et plus ont déjà
été construites à proximité de ce complexe d’avant-garde et annonciateur
d’une nouvelle génération de centres
commerciaux verts. Plusieurs autres
sont présentement en chantier, notamment des triplex où le coût moyen de
location d’un sous-sol pourrait avoisiner
les 850 $ par mois.
La nouvelle imprimerie du Journal de
Montréal
à Mirabel et l’implantation
Ces nouveaux arrivants vont évideméventuelle
d’un hippodrome qui remment chercher à louer ou à acheter une
placera
celui
de Montréal, l’ex-Blue
propriété à proximité de leur lieu de
Bonnets,
un
projet
dont on discute
travail, mais plusieurs pousseront leur
depuis
longtemps,
sont
deux autres
quête plus loin, au nord jusqu’à Morinfacteurs
en parHeights et à
tie
responsables
l’ouest jusqu’à
de la vigueur
Lachute. Autre
Les
développements
du marché de
facteur imporl’immobilier à
tant, la situation
résidentiels
poussent
Mirabel. Autre
géographique
secteur chaud :
de Mirabel est
comme des champignons
beaucoup de
fort intéressante.
futurs acheteurs
Ce secteur est à à proximité du futur centre
sont à la rechermi-chemin entre
commercial
Lac-Mirabel
che de maisons
les Laurentides
intergénérationet la grande ville
nelles, ces habide Montréal.
tations
où
deux
familles
peuvent vivre
Les travailleurs devant se rendre au
entre
les
mêmes
murs,
mais
dans des
bureau dans la métropole pourront
logements
distincts.
Mais
les
authenéviter les inévitables embouteillages sur
tiques
maisons
intergénérationnelles
l’autoroute 15 aux heures de pointe
sont difficiles à trouver. Ce qu’on offre
grâce au transport en commun. Ils
à l’acheteur est habituellement une
pourront ainsi monter à bord du train
maison, un duplex ou un triplex avec
de banlieue en se rendant à la gare de
bachelor. Ainsi, un couple et ses
Saint-Jérôme ou à celle de Blainville.
enfants peuvent vivre sous le même
On chuchote que Mirabel pourrait
toit que les grands-parents, mais ceux-ci
éventuellement avoir sa propre gare
seront généralement confinés dans un
dans un avenir rapproché.
sous-sol ou au premier étage. Dans
une véritable bâtisse intergénéraAutre élément à considérer : des
tionnelle, les deux familles vivent sur
développements résidentiels – dans
le même plancher.
certains cas des maisons haut de gamme
– poussent comme des champignons
à proximité des 106 boutiques du
28
L’artdevivre…
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ouvrez les yeux...
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de ses saisons.
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30
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DE CŒUR
STÉPHANE ROUSSEAU
Une fois, au début de la vingtaine, je suis
venu faire du ski au mont Saint-Sauveur
avec un de mes chums, puis on
est allés manger au Vieux Four,
c’était un soir de semaine, la
nuit était étoilée et je me sentais
tellement en vacances ! Tout ça à
moins d’une heure de Montréal !
Ça été le déclic.
POUR LES LAURENTIDES
Ils sont amoureux des Laurentides.
(Flèche Mag, octobre 2008)
Ils sont 100 : entrepreneurs, commerçants, travailleurs,
personnalités du monde artistique, littéraire ou
municipal, ou bien simples résidants. Ils nous
révèlent leur coup de foudre, leur moment
de vérité, leur coup de cœur...
100 voix, de concert, chantent
haut et fort leur amour
pour les Laurentides!
MARJO
Mon vrai coup de foudre, il a eu lieu quand j’avais
18 ans. Avec mes chums de filles du collège Boisde-Boulogne, on allait faire du ski à La Réserve, à
Saint-Donat. Mais on commençait d’abord par s’arrêter
à Sainte-Adèle pour manger et prendre un verre.
Ensuite, on passait la soirée à danser dans un endroit
qui s’appelait La Voie du lac. C’était le rendez-vous des
belles filles et des beaux gars, l’époque des premières
rencontres, des premières amours et tout le tralala.
(Flèche Mag, avril 2009)
CHARLES GARNIER
Préfet, MRC des Pays-d’en-Haut
Toute ma jeunesse s’est passée dans les
Laurentides, à Saint-Jovite. Ensuite, les études, le
mariage et le travail m’ont obligé à me rapprocher
de la ville. Mes enfants encore jeunes, j’ai pris la
meilleure décision de ma vie pour eux comme pour moi, celle de
revenir dans les Laurentides, à Saint-Sauveur.
FRANCE CASTEL
C’était en automne, il y a une vingtaine d’années. J’étais
avec des amis français qui s’extasiaient devant les couleurs
et en les observant, moi aussi je n’en revenais pas de cette
symphonie de couleurs, la majesté des arbres… un coup de
foudre qui s’est poursuivi lorsque j’ai ensuite appris à faire
du ski au mont Gabriel.
YVES CORBEIL
Je suis né dans Villeray, en ville.
Vers 11-12 ans, on allait au camp
du collège Grasset au bord du lac
Gémont, à Saint-Adolphe. On couchait sous la
tente. J’ai été enivré par l’odeur des arbres, la
présence de l’eau… Je me disais qu’un jour
j’allais revenir ici, ça été le coup de foudre pour
un p’tit gars de la ville comme moi !
(Flèche Mag, novembre 2008)
ANDRÉ ROUSSEAU
Metro Chevrefils, Saint-Sauveur
Au départ, je travaillais à Montréal pour la
famille Chevrefils et j'ai déménagé avec eux
à Saint-Sauveur en 1979. Je trouvais tout
différent : les maisons, les bâtisses, le calme,
je suis tombé en amour ! Au début le silence m'empêchait de
dormir ! C'était clair que je ne pourrais plus m'en passer, alors
j'ai décidé d'y rester pour toujours.
DENIS
LAMARRE
Théâtre Le Patriote
Tellement de facteurs
m'ont amené à SainteAgathe ! Tout petit l'école
nous amenait au Carnaval
et j'étais marqué par les
sculptures de glace et
cette neige tout autour. Un
peu plus tard, j'ai été
ébloui par la vue sur le lac
depuis la résidence des
Pères Oblats. Et enfin, un
médecin m’a recommandé
d'y vivre pour ma fille,
malade des bronches, car
l'air y était très pur.
(Flèche Mag, mai 2009)
GUILLAUME LEMAY-THIVIERGE
C'est depuis la naissance que je suis amoureux des
Laurentides. Ce sont mes parents qui ont choisi ce coin
de pays pour s'établir il y a plus de 35 ans. Aujourd'hui,
je ne peux tout simplement pas m'imaginer habiter
ailleurs, ou du moins, j'aurai toujours besoin de mon
petit coin à moi dans les Laurentides.
MICHÈLE RICHARD
C’est Pierre Lalonde qui m’a fait connaître les Laurentides, on
venait y faire du ski au Mont Gabriel. J’ai commencé à y venir
de temps à autre en 1965, surtout les week-ends. J’habite la
région depuis maintenant 30 ans. Pour moi, les Laurentides
représentent les vacances, le rêve, le glamour,
le plaisir et la fête. Aujourd’hui encore, même
après 30 ans, chaque fois que je reviens
chez moi à Saint-Sauveur, que ce soit pour
un jour ou une semaine, j’ai l’impression d’être
en vacances.
SUZANNE LAPOINTE
J’étais jeune fille quand mes parents ont acheté un
très joli chalet au Lac Écho que nous avons agrandi,
embelli et gardé encore jusqu’à aujourd’hui. Notre
chalet est devenu une maison cossue, mais remplie
de grand air, de soleil et de beaux souvenirs. J’y
habite toujours et j’adore mon coin de pays, même
au temps des mouches noires !
ROSETTE PIPAR
Écrivaine, directrice
de la Fondation des
arts des Laurentides
J’ai été séduite par le
charme des petits villages
des Laurentides. SaintSauveur est une ville à
la montagne qui m’offre
plusieurs possibilités,
dont celle d’appartenir
à une communauté à la
dimension humaine.
FRANÇOIS CHARTIER
JOSEPH GRAHAM
Historien et auteur du livre
Nommer les Laurentides
En tant qu'historien, il me plaît de résumer
mon coup de foudre pour la région en utilisant
cette citation d'Elizabeth Wand, une infirmière
new-yorkaise déménagée ici dans les années
1890, qui a écrit « dans les Laurentides, l'air
est comme le champagne ».
Sommelier et auteur,
Sainte-Adèle
CLAUDE VALADE
Je suis née à Sainte-Agathedes-Monts. Il y a huit ans, je
suis revenue vivre là où sont
mes racines. J’y ai toujours de la famille. Les
klaxons, les heures de pointe infernales, j’en
avais assez. Vive la nature, les Laurentides et
la qualité de vie chez nous !
En 1982, je suis parti de Montréal pour
travailler au manoir Pinoteau de MontTremblant, tenu par les parents d’un grand ami.
C’est là que j’ai découvert la restauration et la
sommellerie, et c’est dans ce noyau de création,
entouré de la nature sauvage, que j’ai décidé de
vivre. Les Laurentides m’ont donné l’amour…
tout ça est encore là.
PROPOS RECUEILLIS PAR LOUISE DUBÉ, MIREILLE VILLENEUVE, RENÉ-PIERRE BEAUDRY, SYLVAIN-CLAUDE FILION, LYNE ROUILLÉ, KATHLEEN FILION ET BRIGITTE LATOUR
31
TOM FERMANIAN
Cinéma Pine, Sainte-Adèle
Je suis né à Sainte-Adèle en 1954.
Mon père est un réfugié qui a fui le
génocide arménien et il s’est établi ici
en 1923. Ma mère, Aurore Martel, est
une Canadienne-française de SaintJérôme. Notre entreprise familiale est
ici depuis 62 ans et je n’ai jamais
trouvé de raison valable pour quitter
un si beau coin du pays.
LILIANE BRUNEAU
Lorsque j’ai décidé de m’établir dans
les Laurentides il y a 37 ans, je
n’aurais jamais pensé, étant très
citadine, que cette aventure comblerait
ma vie ! Entre Sainte-Anne-des-Lacs,
mon havre de paix, et Sainte-Agathedes-Monts, où mon entreprise a
pignon sur rue, ce coin de pays est
devenu une source d’inspiration.
FANNY LAVOIE
Chambre de commerce
de Sainte-Adèle
Je suis née à Sainte-Adèle et à 18 ans
j’ai décidé d’aller vivre à Montréal pour
poursuivre mes études. J’aurais pu y
travailler ensuite, mais je suis vite
revenue dans les Laurentides ! Ici, les
gens sont tellement gentils et
chaleureux, on vous sourit dans les
dépanneurs, on voit sur les visages
que la vie est bien meilleure qu’à
Montréal !
ANDRÉE D’AMOUR
En 1988, j’ai connu une panne d’inspiration. Pierre Péladeau me dit alors :
« Venez voir nos belles Laurentides, j’ai
une maison d’invité que je peux vous
prêter pendant quelques mois ». Il m’a
installé un petit bureau en me disant
que j’allais désormais écrire comme
Victor Hugo !… Et effectivement,
l’inspiration m’est revenue !
(Flèche Mag, février 2009)
GHYSLAINE NÉRON
Journaliste, Journal La Vallée
Comme je viens du lac Saint-Jean, où
tout est plat, j’ai été émerveillée par les
montagnes lorsque je me suis installée
dans les Laurentides. J’aime travailler
à Saint-Sauveur, j’ai l’impression d’être
toujours en vacances et 30 ans plus
tard, c’est encore comme ça que je me
sens! L’église de Saint-Sauveur a aussi
été un grand coup de coeur pour moi,
je garde un tendre souvenir du curé
Jean Adam et de la chorale dont j’ai eu
la chance de faire partie.
CARMEN AUBRY
Le Bifthèque
JEAN-MARC JORAND
Chef, Café Viva
Étant originaire de la Champagne, je
suis venu en 1985 pour les vacances
et pour voir mon frère, propriétaire à
l'époque du restaurant Le Saint-Tropez.
Lorsque l'heure du départ a sonné je
me suis mis à pleurer et ne me voyais
plus vivre ailleurs qu'à Sainte-Adèle !
SOPHIE THIBAULT
J’habite à Sainte-Marguerite, un village
qui a été un coup de foudre important
dans ma vie. Autant j’ai besoin de bruit
et réalité urbaine, autant le calme est
mon salut. Dès que j’ai franchi la Porte
du Nord en voiture, je décroche, mes
épaules se relâchent… Et c’est tellement chouette de tomber dans cette
autre énergie. (Flèche Mag, avril 2008)
LAURENT PAQUETTE
Maire de
Sainte-Agathe-des-Monts
Les Laurentides offrent un endroit
idéal pour vivre : des opportunités de
carrière, des commerces et services
couvrant les besoins courants, des
activités de toutes catégories dans
un milieu sécuritaire au cœur de la
nature et des sports que l’on peut y
pratiquer… au seuil de sa porte. Voilà
pourquoi j’y suis toujours demeuré.
CHRISTIAN JASMIN
Propriétaire, IGA Marché
au Chalet, Sainte-Adèle
Natif de Sainte-Rose, j’ai travaillé
en distribution alimentaire, ce qui
m’amenait dans les Laurentides toutes
les semaines. L’acquisition de mon
épicerie en 1999 était le parfait
mariage de deux préoccupations
fondamentales : épanouissement
professionnel et personnel, et la
possibilité d’élever notre famille dans
la nature. Le bien-être que les citadins
éprouvent en venant passer le
week-end dans le Nord, nous le
vivons sept jours par semaine !
CLAUDE DESCOTEAUX
Maire de Sainte-Adèle
C’est le travail qui m’a mené à
Sainte-Adèle, en 1985. J’ai quitté
cette année-là la direction générale de
l’Auberge des Gouverneurs de Ste-Foy
pour devenir le nouveau directeur de
l’Hôtel Chantecler. J’ai déménagé à
Sainte-Adèle avec femme et enfants.
Ma famille s’est vite attachée aux
Laurentides, surtout pour la qualité
de vie qu’on y trouve.
SYLVAIN HUPÉ
Barman, bar Bulldozer
Connaissant déjà les Laurentides, nous
avons choisi d'y emménager il y a
30 ans. Charmés par les chevaux de la
ferme Molson, les boutiques, les
restaurants, les services, il y a tout à
Saint-Sauveur pour être indépendant.
C'était idéal pour l'éducation des
enfants. Les facilités de la ville à la
campagne !
Je viens de l’Outaouais, mais depuis
trois ans, j’ai adopté Saint-Sauveur.
On y trouve tout ce dont on a besoin
comme à Montréal, sauf qu’au lieu
d’être entouré de béton, on est entouré
de verdure! Comme je suis également
artiste peintre, je me retrouve aussi
dans un milieu beaucoup plus propice
à l’exercice de mon art.
MARIE DENISE PELLETIER
GUY LAFANTAISIE
Je suis née à Montréal, mais j’ai passé
tous les étés de mon enfance à faire du
camping sur le bord d’un lac. J’avoue
que cela a contribué à l’épanouissement de ma santé mentale. Mon petit
coin des Laurentides, c’est ma cathédrale, un lieu extraordinaire pour
me ressourcer et surtout me
reconnecter à l’essentiel.
PÈRE NOËL
Ho ! Ho ! Ho ! Je passe l’été à
Val-David parce que c’est féerique!
Sept jours sur sept, j’aime jaser avec
les enfants qui s’amusent à toutes
sortes de jeux au Village. Je prends de
leurs nouvelles, ils me disent comment
ils passent leur été et évidemment, je
veux savoir s’ils sont bien sages. Mes
vacances prennent fin le 7 septembre :
je retourne ensuite au Pôle Nord pour
préparer Noël avec mes lutins.
32
Quais Lafantaisie
Moi, les Laurentides, c’est ma vie !
Je suis né ici, et toutes les années
où j’ai travaillé à Montréal, je suis
demeuré ici, quitte à faire le trajet
chaque jour. Maintenant, je passe
tout mon temps ici car je me consacre
à mon entreprise de quais. Je vis mes
Laurentides à temps plein pour mon
plus grand plaisir.
LUC DIONNE
Auteur et réalisateur
C’est vraiment une région que
j’ai adoptée je dirais surtout pour
la qualité de vie. Sa proximité avec
Montréal aussi. Mais la nature c’est
clair. Je skie, je joue au hockey et puis
je suis un excellent golfeur. Et comme
le travail d’écriture me permet de le
faire à la maison hey ben… voilà !
(Flèche Mag, octobre 2007)
RÉJEAN TREMBLAY
Ce que j’aime ici, c’est une façon
d’être plus que de vivre. C’est une
autre façon d’exister. À Montréal, on
n’a jamais le sentiment de posséder
la ville. (Flèche Mag, janvier 2007)
MICHEL LAUZIÈRE
Chez nous, c’était une grande
plaine. Imaginez notre émerveillement devant le paysage des
Laurentides : des vraies montagnes,
des chevaux, des terres à perte de vue pour jouer et courir,
c’était le paradis. Je fais le tour du monde, [mais] je vis
dans les Laurentides, je vais jouer dehors et mes enfants
ont une qualité de vie exceptionnelle ! (Flèche Mag, février 2007)
SONIA PATENAUDE
Assistante sociale, CSSS des Pays-d'en-Haut
De Magog, c'est mon amoureux de l'époque qui m'a
amenée ici il y a huit ans. Quelques années plus tard et
sans chum, je repars pour le sud. On réussit à vendre
notre maison grâce à une annonce dans Flèche ! Je ne
pensais pas que le Nord me manquerait à ce point alors
je suis revenue et mon coin à moi, c'est ici.
JEAN-PIERRE CHARLAND
Flèche Mag
Ce jour-là, on avait un tournoi de golf au Chantecler et
après, un souper chez un ami. Je me retrouve assis dans
la verrière, en contemplation du panorama devant moi
pendant un bon 20 minutes. Quelqu'un arrive et constate
qu'il pleut des cordes. Pour moi il faisait beau ! Dans ma
tête s'est imprimé : il fait toujours beau dans les
Laurentides. Trois mois plus tard j'y habitais et ça fait
12 ans déjà.
CLÉMENT CARDIN
Maire de Piedmont
Quand je travaillais pour Xerox Canada, nous avions
souvent des réunions à l’hôtel Gray Rocks à
Mont-Tremblant. Après les réunions, j’appelais toujours
mon épouse pour qu’on passe la fin de semaine dans les
Laurentides, tellement j’étais impressionné par la beauté
des paysages. En 1987, j’ai acheté ma maison
à Piedmont, que je possède toujours.
SALLY DAD
Marché Vaillancourt, Morin-Heights
Ici, à Morin-Heights, je retrouve le calme et la nature.
Comme l’île de Madagascar d’où je viens… même si
c’est assez différent ! Mon mari et moi sommes venus
ici à cause d’une opportunité d’affaire, mais j’ai bien hâte
de ralentir le travail pour profiter de mon nouveau coin
de pays.
ANNIE LANGLOIS
Flèche Mag
On avait un chalet à Saint-Hippolyte depuis cinq ou six ans
lorsqu'il a brûlé! Alors mes parents, ma sœur et moi, on a
décidé de faire le saut et de s'installer pour de bon dans le
Nord. En tant que mère monoparentale, les services
existants m'ont fourni des ressources exceptionnelles,
m'ont donné ma place au soleil ! Quelle différence avec la
ville ! Et il y a plein d'activités familiales.
GUY DE SÈVE
Acura de Blainville
C’est ma découverte du lac Paquin à Val-David où j’ai
élu domicile il y a environ cinq ans et mon coup de cœur
quotidien, c’est la vie à Val-David, avec les musiciens qui
jouent du Jimi Hendrix au Pazzazz le mercredi soir !
SYLVAIN ALARIE
Fenêtre Mirabel
Mon coup de cœur, au point de venir m'installer dans
les Laurentides il y a quinze ans : c’est d'être sur place
dans la nature et à proximité des pentes de ski, des pistes
cyclables, des terrains de golf et autres occasions
sportives.
CLAUDE DUBOIS
Le Nord, pour mon enfance en vacances, pour les
Laurentides sauvages et boisées, pour les drop-outs,
mes complices, ceux qui refusent les bouchons et qui
s’éloignent de cette mentalité de clocher.
JOSÉE GUÉVIN
Traductrice
C'est un peu un hasard ou naturellement que je suis venue
rejoindre ma famille, sur les pas de mon enfance. C'est
récent ce retour, il y a deux ans. Besoin d'échanger l'agitation pour le silence. Ici j'ai mes repères, l'attachement qui
se crée au fil des jours.
L’artdevivre…
JOHANNA EARLE
Mairesse d’Arundel
Il y a 46 ans, j'ai déménagé de
Montréal à Mont-Tremblant pour être
capable d'élever mes deux enfants à la
campagne. Par la suite, je me suis
installée à Arundel, une belle communauté
agricole. Les gens d'ici sont gentils,
sociables et « parlables ». Les paysages
de montagnes, de lacs, de forêts et de
champs me plaisent beaucoup !
BOOM DESJARDINS
J’ai acheté une terre à Mont-Rolland ;
c’est inspirant pour créer. C’est primordial pour moi de me réveiller sans le
stress et le bruit caractéristique des
milieux urbains, en sachant que je
n’aurai pas à subir les embouteillages.
Et c’est bien de se le rappeler, car
quand on le vit, on ne se rend plus
compte de la chance qu’on a.
(Flèche Mag, septembre 2007)
MARCEL BROQUET
Éditeur
J’adore cette région montagneuse qui
me rappelle ma Suisse natale. J’ai
choisi cet endroit tranquille pour
travailler… mais je n’ai pas moins de
travail! Je dois cependant voyager
très souvent et j’apprécie la facilité
d’accès à la ville.
PIERRE POIRIER
Maire de Saint-Faustin-Lac-Carré
À part les mouches noires, j’aime
la façon de vivre des gens et la
beauté des paysages. Mais mon vrai
coup de cœur fut pour la pisciculture
de Saint-Faustin, un endroit unique et
merveilleux. Plusieurs années après sa
fermeture, nous avons obtenu du
gouvernement de nous céder l’endroit.
Nous allons le faire revivre et
redonner aux citoyens ce lieu aux
possibilités infinies.
PIERRE ROY
Maire de Saint-Adolphe d’Howard
Jeune, j’y venais sur le pouce. J’ai eu
le coup de foudre pour la beauté et la
grandeur de la nature. Aujourd’hui,
mon rêve est devenu réalité. J’ai élu
domicile à Saint-Adolphe d’Howard et
de plus, j’ai la chance de travailler dans
un décor à couper le souffle, sur le
bord d’un lac, au pied des montagnes.
GILLES ROUSSEAU
Maire de Saint-Hippolyte
À ma naissance, mon père étant avec
ses frères copropriétaire d’un chalet,
nous avons passé des étés à patauger
dans les eaux du lac Connelly et il y
a 34 ans, j’ai quitté Montréal pour
m’établir définitivement dans ce coin
de pays unique où la générosité
des résidants et de la nature est
incomparable.
SYLVAIN COUSINEAU
Les Boisés Champêtres
Entrepreneur en construction toujours
à la recherche de terrains, je suis
littéralement tombé en amour avec
l'ancienne chapelle des Frères des
Écoles chrétiennes. Je l'ai achetée,
transportée, rénovée et elle est
devenue ma demeure.
BERTHE BÉLANGER
Mairesse de Val-des-Lacs
Notre village recèle des trésors cachés.
Ses merveilleux espaces verts, ses
panoramas à couper le souffle, surtout
à l’automne, lorsque les chaînes de
montagnes se colorent de mille feux.
Mais mon véritable coup de cœur va
aux citoyens, les anciens et les
nouveaux, qui protègent leur
environnement avec fierté…
D'ARCY MORIN
Éducateur spécialisé, Weir
J'ai été séduit par la facilité avec
laquelle on peut établir des contacts
humains dans les Laurentides.
Contrairement à Montréal, l'esprit de
communauté est très fort ici. On peut
retenir des services sans toujours
avoir à signer des ententes écrites.
Ici, on trouve beaucoup de gens
fiables, les Laurentiens ont le sens
de l'honneur.
VANESSA TANGUAY
Flèche Mag
Étudiante, j'enseignais l'équitation et
l'anglais durant l'été au camp Edphy à
Val-Morin. Moi, fille de la Rive-Sud qui
n'aurait jamais pensé un jour vivre dans
le Nord, j’ai rencontré mon amoureux,
originaire de Sainte-Agathe-des-Monts !
Nous avons acheté une maison et la
passionnée des animaux que je suis
nourrit même les ratons-laveurs !
NATALIE LÉVESQUE
Flèche Mag
On a découvert Saint-Adolphe d'Howard il y a six ans en
repérant un chalet à louer sur le lac Saint-Joseph. Et là
durant ces deux semaines de vacances, on découvre la
maison idéale et on l'achète. De retour en ville, on se retrouve
avec deux maisons! Et on a vendu la maison urbaine en trois
jours! Et nous vivons maintenant dans le Nord!
RAYMOND LESPÉRANCE
Groupe Lindal
Après plusieurs années à fréquenter les Laurentides, en
particulier le club de Golf Carling Lake, nous avons
trouvé à Harrington, en 1995, un terrain sur le lac avec vue
magnifique sur le paysage. Les enfants étaient ébahis de
venir y vivre et ça continue avec les petits-enfants.
KARL MORRISSEAU
Flèche Mag
Des Cantons de l'Est, on a transité ici et là jusqu'au transfert de mon père dans la région il y a douze ans, j'avais
17 ans. Et on dirait que la vie m'a poussé sans que je le
sache! Tout m'arrive… comme ça ! Je finis mes études
et trouve facilement un job dans mon domaine à SainteAdèle, l'occasion d'acheter une maison se présente et
ma nature sauvage est bien servie avec ces montagnes!
JOSÉE LEFRANÇOIS
La maison du Bamboo
Native de Québec, j'ai été initiée aux Laurentides par
un ami en 1984. Après avoir partagé mon temps entre
Montréal et Sainte-Adèle les week-ends, je me suis fixée à
Saint-Sauveur, une extension de Montréal, un axe important. Il y a une concentration de talents qu'on ne retrouve
pas ailleurs, gastronomie, arts, etc. Aussi, l'énergie d’ici
me fascine et je voulais la partager à plein temps avec
mes enfants.
NANCY ARSENAULT
Flèche Mag
Mon coup de cœur est survenu lorsque mon employeur a
transféré ses bureaux à Saint-Sauveur. Je travaillais à Laval
et demeurais à Saint-Eustache. Complètement conquise
par la nature, les montagnes et le calme qui y règne, j’ai
vendu ma maison et suis déménagée ici afin d’y élever ma
future famille. De mon bureau et de chez moi, je peux voir
les montagnes… que peut-on demander de mieux ?
WALTER ALTENDORFER
Résident de Saint-Sauveur
J’avais 21 ans lorsque j’ai quitté l’Autriche pour venir
m’établir à Montréal. Le premier été, il faisait terriblement
chaud. Mes hôtes m’ont invité à leur chalet pour fuir la
canicule. Ils m’ont fait découvrir le magnifique lac
Nominingue et la pêche au brochet. Dans les Laurentides,
je pouvais aussi faire mes deux sports préférés : le ski au
Mont-Tremblant et la voile au lac Notre-Dame de Wentworth.
33
MICHEL LAGACÉ
Maire de Saint-Sauveur
À l’âge de 11 ans, j’ai participé à mon
premier camp scout au lac Grenier à
Sainte-Marguerite. Par la suite, tous
les prétextes étaient bons pour monter
dans le Nord : ski, golf, pêche, chasse,
etc. Je me suis établi définitivement
dans les Laurentides en 1970.
Quel bonheur !
PAULINE VINCENT
Écrivaine, présidente de l’Association
des auteurs des Laurentides
C'est à cause du facteur wow ! qui
m'envahit chaque fois que les bras
généreux des montagnes m'accueillent
en leur sein dès que je franchis la
Porte du Nord. Beauté, sérénité et
liberté ! Tant d'émotions presque
palpables s'élèvent en moi pour
m'habiter pendant plusieurs heures.
Mon sourire spontané devient alors
mon gage de ce bien-être.
RENÉ VARY
Café de la rue Morin,
Sainte-Adèle
Je suis arrivé à Sainte-Adèle il y a deux
ans. Quel endroit magique! Le paysage
aux couleurs changeantes de ce coin
de paradis est une véritable œuvre
d’art. Chaque matin, sur mon balcon,
j’ai l’impression d’avoir sous les yeux
un tableau différent de la veille. Mon
coup de cœur, c’est aussi l’accueil
chaleureux des gens de Sainte-Adèle.
PIERRE PILON
Maire de Mont-Tremblant
J’habite dans les Laurentides, à
Mont-Tremblant, depuis près de trente
ans. J’ai choisi cet endroit pour le ski,
la nature, les montagnes et pour
l’accueil chaleureux des gens. C’est
un endroit fabuleux où tous les goûts
sont comblés.
GUY CARRIÈRE
Boisé Mont-Rolland
Depuis tout petit déjà, on venait dans
les Laurentides chez des amis de la
famille, été comme hiver. J'ai toujours
été attiré par Sainte-Adèle et je rêvais
de m'y installer ! Depuis vingt ans
notre choix s'est confirmé. On s'y sent
chez nous comme si on y était né !
34
JOHANNE MARIN
LOUISE DUBÉ
Garde-robes Gagnon
Flèche Mag
Mon coup de cœur, c'était il y a vingt
ans pour Saint-Sauveur ! J'ai tout de
suite ressenti une impression de
vacances perpétuelles. Le calme, la
beauté, l'harmonie, le monde, tout,
tout, tout me plaît. Je l'appelle ma
campagne urbaine.
Les montagnes, les maisons et
les courbes du paysage me
rappelant la Suisse, la rivière du
Nord et les routes avec vue reliant
si bien les villes et villages et
l'appel de l'amoureux qui m'y
attendait, plusieurs coups
de cœur en un pour ne plus
repartir…
PIERRE URQUHART
Chambre de commerce de la
Vallée de Saint-Sauveur
ANNIE DROUIN
Je voyageais beaucoup… mais lorsque
j’ai visité Saint-Sauveur, dès la première fois, j’ai été charmé par les gens,
le village, la nature. Ce beau mélange
de tranquillité et d’action. Depuis que
je me suis établi ici et que j’y travaille,
le village s’est beaucoup transformé. Il
ne cesse de s’améliorer !
Pub Le Lounge
Expatriée d'Abitibi, une simple visite à ma famille a suffi, il
y a onze ans pour que je tombe en amour avec la région.
Un bac en poche et l'expérience de travail dans les bars,
Le Lounge était une excellente opportunité d'affaires. J'ai
tout de suite aimé la mentalité des gens, accueillants dans
un contexte calme. La nature à 30 minutes de l'action, le
meilleur des deux mondes !
JEAN PETITCLERC
ÉVELYNE CHARBONNEAU
À huit ans, j’avais été très impressionné
par la nature sauvage. C’est la
première fois que je partais si loin de
la maison!... Par la suite, j’ai souvent
loué des chalets, surtout pendant
l’hiver, car j’aime faire du ski.
J’aime la rivière Rouge pour son cachet historique et parce
qu’elle a su préserver ses berges. Son côté moins glamour
en fait un endroit souvent oublié. On y trouve un parc pour
relaxer et des rapides-écoles pour apprendre le kayak.
(Flèche Mag, mai 2007)
MARYLÈNE
Astrologue, Saint-Sauveur
Fraîchement débarquée au Québec en
1967 et alors interprète de la chanson,
je suis venue chanter à La Butte à
Mathieu de Val-David et au Patriote et
je suis littéralement tombée en amour
avec ce coin de pays en me promettant
qu’un jour je m’y installerais… Il m’a
fallu vingt ans pour réaliser mon rêve :
en 1987, je m’installais à Saint-Donat
puis, cinq ans plus tard, je trouvais
mon nid dans les montagnes de SaintSauveur.
KENNETH HAGUE
Maire d’Ivry-sur-le-Lac
J’aime vivre dans la nature et avoir
accès pendant quatre saisons aux
activités extérieures. Ici, les gens sont
moins stressés, plus conscients de
l’environnement. Comme j’habite un
village situé à environ 1200 pieds
d’altitude, je peux admirer le
changement des saisons et la
beauté de chacune.
Mairesse d’Huberdeau
CÉLINE PRÉVOST
P.E. Maurice Inc.
Je suis née à Saint-Jérôme, c'est ma place. S'est ajoutée
notre maison au bord du lac Connelly, où nous allons l'été
comme l'hiver. L'eau a beaucoup d'importance pour nous,
elle dissipe le stress, nous ressource, nous rassemble
en famille avec les enfants. Bientôt, nous irons y vivre à
l'année.
CLAIRE MARCOTTE
Second capitaine de
bateau-dragon, club Viking
J'adore où j'habite, pour les quatre merveilleuses saisons
des Laurentides, les couleurs automnales et les odeurs de
feu de bois, les longues randonnées de ski de fond,
enveloppée d’une luminosité sans pareille, le bateau dragon,
mon jardin qui émerge dans des effluves de boue… et le
corridor aérobique en tout temps. J'adore que ma ville soit
en campagne… bonne bouffe, festivals, art, il ne manque
rien. Quoi demander de plus pour être enchantée ?
STEVEN LAROSE
Maire de Montcalm
J’aime les gens des Laurentides, plus détendus et courtois
qu’en ville, le rythme de vie plus calme. Dans la région de
Montcalm, il faut découvrir le magnifique sentier de randonnée du Nid de l’Aigle, sur le mont Larose. Au sommet,
on a une vue de 360 degrés à la ronde…
L’artdevivre…
JACQUES BRIEN
Maire de Val-Morin
Plutôt que de vendre un immeuble à
appartements que je possédais à Laval,
j’ai proposé un troc. On m’a offert en
échange un bateau de 35 pi ou un chalet
qui avait été inondé, au lac Théodore à
Val-Morin. J’ai choisi le chalet. Ça été le
coup de foudre pour les Laurentides.
Nous avons «renippé» cette maison de
campagne au fil des ans et elle est
devenue notre résidence principale.
JACQUES DUFRESNE
Épicerie Metro, Val-David
Mes racines y sont profondes. Mon
arrière-grand-père s’est établi ici, mon
grand-père y est né et ainsi de suite.
Ce qui me retient ici, ce sont les
montagnes et la culture. Val-David est
riche sur le plan artistique. J’aime rencontrer ces artistes qui pratiquent la
peinture, la gravure, la sculpture et
toutes les autres formes d’art. Ce sont
des gens dont j’aime le contact et avec qui
j’ai toujours beaucoup de plaisir à discuter.
PHILIPPE MARSAN
Concept Immobilier Marsan
Vers 1985, l'alternative de vivre dans
les Laurentides est devenue évidente.
Joindre la qualité de vie à la possibilité
d'y travailler dans un environnement
paisible, entouré des montagnes et des
pentes de ski, ça représente l'idéal.
ANDRÉ BEAUDRY
Propriétaire, Manoir de Lupin
En 1983, j’ai visité mon gérant de
banque à sa résidence des
Laurentides. La tranquillité et la qualité
de l’air m’ont séduit. Une semaine plus
tard, je décidais de quitter Laval pour
venir réaliser le rêve de ma vie à
Morin-Heights, le Manoir de Lupin.
NORMAND RUSSEL
Résident de Sainte-Adèle
Arrivé à Sainte-Adèle afin de remplacer
temporairement un ami dans son travail,
le jeune homme que j'étais a tout de
suite eu le coup de foudre pour ces
paysages. C'est ici que j'ai eu la chance
de rencontrer la mère de ma fille, qui a
fait de moi un heureux grand-père.
Même si je m'interroge sur la vision
d'avenir pour Sainte-Adèle, je poursuis
mon histoire d'amour pour elle.
YVON BRIÈRE
MIREILLE VILLENEUVE
Maire de Sainte-Sophie
Écrivaine et collaboratrice, Flèche Mag
Natif des Laurentides, je n’ai jamais
pensé déménager ! Amant de la nature,
j’ai décidé de fonder ma famille dans
mon coin de paradis. Aujourd’hui
encore, je suis heureux chez moi !
J’avais 13 ans. Une journée de ski de printemps au Mont
Habitant. Et un pique-nique à notre petit chalet au bas des
pentes. C’était la première fois que je goûtais au pain
Pagé… Le goût est resté !
HÉLÈNE QUINTAL
MARC-ANDRÉ LETTER
Sports Letter, Sainte-Adèle
Infirmière, CSSS des
Pays-d'en-Haut
De la Rive-Sud, mon oncle m'a donné
la piqûre pour le Nord, il louait des
chalets ici. Je faisais partie d'un club
alpin et à 20 ans, on avait tout : un
beau chalet, de la neige, les sports et
surtout les bars pour faire la fête. Tout
un contraste avec les Cantons de l'Est !
Depuis huit ans j'y vis enfin.
LAURENT VINSON
Étudiant et résident
de Saint-Sauveur
Mon coup de cœur : en vélo avec ma
blonde, sur la piste du corridor aérobique, à Montfort. Nous nous sommes
arrêtés sur le pont, pour admirer le
coucher de soleil sur le lac SaintFrançois-Xavier. Un vrai décor de rêve!
CLAUDE CHARBONNEAU
Maire de Prévost
Mes coups de cœur vont à Prévost
bien sûr… C’est la vue panoramique
que l’on a à partir de la gare lorsqu’on
lève les yeux vers le nord et qu’on
aperçoit le Cap, première montagne
des Laurentides ; c’est le pont Shaw,
qui enjambe la rivière du Nord ; ce sont
les parcs qui enjolivent Prévost: parc
linéaire, de la Rivière-du-Nord, de la
Coulée ; et c’est aussi pour les
événements culturels uniques qui s’y
déroulent.
NICOLE BARABÉ
Intervenante sociale,
CSSS des Pays-d’en-haut
Mon coup de cœur, ce sont les gens.
Quand je suis arrivée à Shawbridge
pour refaire ma vie de mère monoparentale, je me suis tout de suite
sentie acceptée avec mes différences.
J’aime la simplicité des résidants, la
qualité des contacts humains et l’esprit
de solidarité. Sous le vernis touristique, on trouve ici des gens de cœur.
Passionné de ski depuis toujours, pas étonnant que je sois
venu vivre à portée des pentes il y a 15 ans, dans ce site
idéal! Je travaille aussi dans le sport, ici on a toutes les
facilités dans ce domaine.
FRANÇOIS CHAPDELAINE
Les Jardins de la Source
Il y a 20 ans je quittais Laval sans regret, attiré par tout ce
qu'offraient les Laurentides, comme le corridor aérobique
et le golf de Balmoral. C’est un privilège aussi d'y vivre et
d'y travailler, car les magnifiques terrains et espaces m'ont
donné le goût de développer des projets immobiliers.
LAURENT MOQUIN
Solariums Zytco
Montréalais dans l’âme et dans mon style de vie, j’ai
abandonné mon chic condo de l’Île-des-Sœurs lorsque j’ai
découvert la vue extraordinaire d’un terrain que j’ai acquis
au sommet d’une montagne à Sainte-Anne-des-Lacs
JOVAN VAN CHESTEING
Flèche Mag
Mon coup de foudre est survenu à 6 ans, lorsque mes
parents ont acheté un chalet. Mais je dirais que c'est en
1989 que mon épouse et moi avons pris la décision de
nous y établir, pour que la petite famille puisse s'épanouir
dans un environnement respectant nos désirs et par le fait
même, nous donnant une qualité de vie.
SERGE BOUCHER
Restaurant Le Palais de Bambou, Val-David
Je suis originaire de Montréal. À l’hiver 1989, j’ai loué une
roulotte à Vallée Bleue où j’ai skié. J’ai eu la piqûre.
L’année suivante, je suis venu m’établir à Val-David en
ouvrant un restaurant, Les Trois Cabooses, qui s’appelle
aujourd’hui Le Vitrail. Je n’ai pas tardé à m’installer dans la
région parce que la vie y est plus calme qu’à Montréal,
capitale des embouteillages !
SOPHIE PROULX
Flèche Mag
Dès ma première visite à une amie habitant dans les
Laurentides, il y a plusieurs années, j'ai été conquise !
C'était devenu mon rêve et ma priorité de vivre ici.
Quelques années plus tard, cette même amie m'a présenté
mon nouvel amoureux avec qui j'ai pu concilier mon
amour pour lui et pour les Laurentides.
35
I
l y a 4 ans, à la veille d’une retraite, je décide de
me réorienter pour une deuxième carrière ne sachant
où exactement partir ce nouveau défi. À chaque visite
dans les Laurentides, au retour à la maison à Laval,
nos cœurs restaient accrochés aux montagnes. Notre
âme nous murmurait d’y retourner aussitôt! Nous
venions de découvrir une qualité de vie par la beauté
des montagnes, l’esprit convivial et radieux des gens,
la simplicité de l’art de vivre, la dynamique et l’appartenance des communautés. Puis, nous avons trouvé une
charmante maison à Val-Morin, où nous avons ouvert
le gîte Les matins de Clémentine.
Monic Clément et Clermont Imbeault,
Val-Morin
Les auteurs de ces dix lettres retenues dans le cadre
de notre concours Coup de cœur participeront
à un cocktail privé au Manoir de Lupin, durant
lequel sera tirée au sort une œuvre peintre sur
papier d'Arche de l’artiste Karola Nowak.
M
C
halets loués, ski alpin, fêtes d’hiver de mon enfance, dans
différentes régions des Laurentides. Cette nature était magique;
la sensation de liberté et de pureté, la fraîcheur de l’air parfumé,
un réveillon de Noël, les sapins et les routes féeriquement enneigées,
un renard me saluant... Je ne pourrais pas dire que ce fut un coup
de foudre, mais plusieurs événements successifs et ces instants
privilégiés de rencontre avec mère Nature, qui ont fait de ma vie dans
les Laurentides, un coup de cœur de tous les jours, une révélation.
Benoît Girard,
Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson
Je n’avais que sept ou huit ans, mais me souviens
tellement des beaux souvenirs d’enfance qui se sont
imprégnés en moi alors que je passais mes vacances
d’été à Morin-Heights chez une tante. Il en était de
même pour plusieurs fêtes de Noël où nous festoyions
en famille dans le décor tout à fait bucolique de ce
petit chalet de bois rond, le tout suivi par la messe
de minuit à la petite chapelle du village où tous les
gens semblaient se connaître et échangeaient de
bons vœux…
V
oilà un an que nous sommes dans
nos merveilleuses Laurentides. Nous en
rêvions tellement (travail oblige) que,
pour nous, rester à Piedmont c'est le
paradis terrestre. Maintenant que nous
sommes à la retraite, nous ne pouvions
espérer meilleur endroit pour vivre
pleinement. Nous n'avons pas acheté
une maison mais un « style de vie », un
« havre de paix ». Comme nous adorons
les animaux, nous sommes comblés.
Le jour de notre arrivée, le 11 juin 2008,
quelle ne fut pas notre surprise d'avoir
une belle lettre des anciens propriétaires
nous demandant de continuer à nourrir
leurs écureuils, leurs oiseaux, etc...
C'est là que nous avons compris qu'il
est difficile de se détacher de cette
merveilleuse nature que nous donnent
nos belles Laurentides. Quel grand
bonheur de vivre sur ce petit coin de
planète. Il n'y a aucun endroit dans le
monde où nous serions plus heureux.
Suzanne Chaput et Jean Fafard,
Piedmont
I
l est de ces endroits qui vous rendent la vie belle et
légère. Des lieux où le calme, la sérénité, le bonheur vous
enveloppent comme un drap de soie. Les Laurentides,
pour nous, c'est tout cela et bien plus ! Quand la route
pour y parvenir devient sinueuse, que les montagnes
apparaissent, que les conifères s'imposent de plus en plus
par leur présence tranquille, tout se met en place pour
vivre de beaux moments. Au fil du temps, au gré des étés
et des vacances bénies, nous avons découvert et adopté
ce grand et majestueux coin de pays pour y relaxer et
prendre le temps de goûter à la nature et aux bienfaits
qu'elle apporte.
Caroline Vermette, Saint-Sauveur
L
L
e moment de vérité se produisit en
pique-nique sur un terrain à vendre dans
la région de La Minerve. La musique du
vent, l’éclairement sensuel du soleil, les
vibrations de l’air et du temps, ainsi les
dieux des Laurentides mettaient fin à
notre quête enthousiaste d’un coin de pays.
L’auto-construction suivit et nous flânons
désormais dans la paix rurale. Cette région
se marie parfaitement à notre personnalité.
Nous relaxons à notre guise, épanouis dans
les bois entre les collines coquines, les
arbres espiègles et le majestueux lac
Chapleau.
Richard Fiset, La Minerve
L’artdevivre…
Au fil des années, bien que la ville et la banlieue aient
été le choix « pratiquo-pratique » afin d’accommoder le
boulot et la petite vie de famille, il n’en demeure pas
moins qu’au fond de moi, il y avait ces pensées qui me
revenaient de temps à autre et qui me disaient qu’un
bon jour, il faudrait bien revenir vers cette destination.
Enfin, il m’aura fallu plus de trente ans pour y arriver.
Après m’être promené pendant de nombreux weekends à la recherche d’une vieille maison de campagne,
j’ai finalement déniché mon nid où j’allais m’installer à
l’été 2002. Je réalisais à ce moment un rêve d’enfance
que je caressais depuis très longtemps.
Denis Beausoleil et Ginette Lapointe, Val-Morin
36
e promenant souvent dans
les Laurentides, un jour j'ai eu un
coup de foudre pour Saint-Sauveur.
Pendant un an, j'ai fait le tour des
rues de la Seigneurie à toutes les
fins de semaine. J'en ai pleuré de
ne rien trouver à mon goût.
Finalement, j'ai fait une promesse
à Saint-Jude et aussitôt j'ai trouvé
une maison qui devait être mise en
vente le lendemain. Alléluia! J'ai
été exaucée, je réside maintenant
dans la Seigneurie et j’y suis des
plus heureuses.
Madeleine Themens,
Saint-Sauveur
es Laurentides représentent pour moi un
coup de cœur perpétuel ! Je profite de chacune
des saisons, de toutes les activités qui me sont
offertes... J’ai le privilège de vivre dans une
sorte de palace de plein air, entourée du paysage
de nos belles montagnes et de nos lacs... Vive
les Laurentides et son air pur !
Lise Monette, Val-David
S
ainte-Adèle, 1975. J’avais 20 ans, c’était en septembre. J’avais
l’habitude, avec mes copines d’aller les week-ends dans le « nord ».
Nous habitions Châteauguay. Nous déposions nos valises à l’Hôtel
Ste-Adèle au coin de la rue Morin, puis nous montions la côte Morin
jusqu’au Montclair, célèbre piano-bar de l’époque. Je me liai assez vite
avec le doorman, qui m’invita le lendemain dans sa rutilante Corvette,
pour découvrir une explosion de couleurs sur la route qui mène
jusqu’au FarHills à Val-David. En descendant de voiture au milieu
de cette nature tranquille remplie de chants d’oiseaux et d’odeurs
de sous-bois, une sensation de plénitude et de bonheur m’envahit.
Je décidai d’y mourir et d’y laisser mon âme le jour venu.
Suzanne Blanc, Boisbriand
J'
avais 17 ans quand mon amoureux m'a invitée au restaurant La Soupière de
Saint-Adolphe, malheureusement détruit par le feu depuis, et à d'autres occasions
nous allions au Patriote pour voir des artistes québécois en spectacle. Chaque hiver
nous venions faire du ski avec les enfants, l'été, du camping au mont Tremblant...
Et il y avait aussi les fins de semaine d'amoureux…
En octobre dernier, nous sommes venus voir les couleurs, et nous avons loué un condo
pour dix semaines dans le cœur du village de Saint-Sauveur. Les moments féeriques se
sont succédés : fête de l’Halloween, défilé du Père Noël… À voir les sourires sur les
visages des enfants comme des adultes, la magie s’est installée dans nos cœurs.
Après 35 ans passés sur la Rive-Sud, nous avons vendu notre maison et nous nous
sommes installés en permanence à Saint-Sauveur cette année. Et on adore !
Michelle Dubuc, Saint-Sauveur
37
38
L’artdevivre…
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40
L’artdevivre…
Ma
maison
5
conseils
pour cuisiner dehors
Chroniques
42
44
50
Home Staging
Vendre sa maison durant l’été
Côté cour côté jardin
Un aménagement feng shui
Tentations
Beau, bon, bambou
LIVRE PRATIQUE
Nous en sommes de plus en plus conscients,
les marais, étangs, fossés et tourbières,
communément appelés les « milieux
humides » sont fragiles et requièrent notre
protection car ils jouent un rôle de premier
plan dans l’équilibre écologique.
Les Éditions de l’Homme viennent de publier
un guide fort bien conçu pour apprendre à
reconnaître et à identifier les plantes qu’on
retrouve dans les milieux humides. L’ouvrage,
convivial et facile à consulter, a été préparé
par l’horticultrice bien connue Julie
Boudreau et le photographe Michel Sokolyk.
N
ous ne sommes plus à l’ère du simple barbecue... Cuisiner dehors se veut désormais une activité à grand déploiement.
Il faut prendre en considération les besoins entourant la préparation et la cuisson des aliments, tout en aménageant
un coin-repas dégagé et confortable. Quelques idées pour maximiser votre plaisir durant la belle saison.
Plantes sauvages des milieux humides,
Éditions de l’Homme, 176 pages, 24,95 $.
• Pour la décoration
extérieure: choisir des
matériaux qui résistent bien
aux intempéries: la pierre,
le bois et l’acier sont des
choix classiques.
Deux trucs
• Assurez-vous d’installer
adéquatement vos appareils
et d’aménager la tuyauterie
pour qu’elle résiste au froid.
pour faire
fuir les insectes
L’un circule sur Internet, l’autre nous vient d’une
lectrice. Ça ressemble à des trucs de grandmère mais il paraît que c’est diablement
efficace et ça ne coûte rien d’essayer !
Truc #1
Portez sur vous, dépassant d’une
poche ou attachée à la ganse de
votre pantalon, une feuille d’assouplissant de type Bounce. Il semble qu’aucune
petite bestiole n’osera s’approcher !
Truc #2
Vaporisez le tour des fenêtres, de la porte-patio
et des espaces extérieurs que vous fréquentez
avec du Listerine. Il paraît que les moustiques
détestent !
• Protégez bien vos
accessoires et vos aires de
cuisson à l’aide d’un toit ou
d’un auvent. Prévoyez un
élément de mobilier intégré
ou amovible pour ranger vos
ustensiles et votre vaisselle.
• En complément, un petit
réfrigérateur et un évier
d’appoint pour réduire le
va-et-vient et simplifier la
préparation des repas.
• Le nec plus ultra: procurezvous des brûleurs latéraux et
un tournebroche pour
diversifier les types de cuisson.
Source : 1001 idées de patios
(L’encyclopédie du bricolage),
Heidi Tyline King, éditions
Broquet.
De retour ?
Les nostalgiques seront heureux : présente en Ontario et en ColombieBritannique, la chaîne d’épicerie bio Whole Foods a remis sur ses rayons
la bonne vieille pinte de lait en verre. On en trouve aussi dans certaines
petites épiceries de Montréal. Il faut rapporter le contenant pour le
remplir de nouveau et les frais de consigne sont de un dollar.
L’idée plaît aux écolos car ce geste environnemental permet de réduire
le volume des déchets, mais il semble que le lait conservé dans une
bouteille de verre devient plus froid et a bien meilleur goût.
41
HomeStaging
Résidence haut de gamme.
Sur le marché depuis plus de
18 mois, elle ne réussissait pas
à trouver preneur.
LA MISE EN VALEUR DU MOIS
APRÈS
Un salon repensé
AVANT
Pour optimiser la présentation du salon, les murs ont été repeints d’une couleur
raffinée, l’habillage des fenêtres a été allégé, des housses crème ont été installées sur
les meubles, et la pièce a été aérée. Le résultat: un salon à la hauteur des attentes
des visiteurs! La propriété a été vendue trois semaines plus tard.
Coût de la valorisation: 300$
Vendre sa maison
durant l’été
La conjoncture actuelle encourage les acheteurs à acquérir une
nouvelle propriété. Voici quelques conseils pour valoriser
efficacement votre propriété durant la belle saison :
PAR LYNE BOUCHARD
1. Remplacez la photo de la façade
car c’est l’aspect extérieur de la maison qui attire d’abord les acheteurs.
Si la photo a été prise durant l’hiver,
la neige peut dissimuler le terrain,
l’aménagement paysager et parfois
une partie de la maison. De plus, cela
indique à l’acheteur potentiel que la
maison est sur le marché depuis déjà
plusieurs mois, ce qui peut être perçu
négativement. N’hésitez donc pas à
faire prendre une nouvelle photo pour
créer une bonne première impression.
2. Assurez-vous que votre pancarte
soit visible et ajoutez des affiches
directionnelles. L’été, les gens recommencent à faire des promenades en
voiture à la recherche de maisons à
vendre dans leurs quartiers favoris.
Ces personnes doivent absolument
savoir que vous vendez.
3. Soignez l’aménagement extérieur.
Vous pensiez vendre durant l’hiver et
ne pas avoir à nettoyer la plate-bande?
Faites l’entretien nécessaire, c’est tout
à votre avantage. Une maison propre
et en ordre inspire confiance ; elle se
vend aussi plus rapidement et plus cher.
4. Effectuez les travaux d’entretien
pour éviter une diminution de valeur.
Tous les petits défauts relevés par
l’acheteur ou l’inspecteur constituent
de bons arguments pour faire baisser
votre prix de vente lors de la négociation. Pour obtenir le montant que
vous désirez et vendre dans un délai
raisonnable, la maison doit être clés
en main.
5. Prévoir avant de partir en
vacances : y aura-t-il quelqu’un à la
maison pour répondre aux appels des
acheteurs potentiels ? Aurez-vous
accès à Internet durant votre absence
pour répondre aux courriels des gens
qui s’intéressent à votre maison ? Vous
devez tout prévoir pour partir l’esprit
tranquille.
lynebouchard@votremaisonsurson36.com
www.votremaisonsurson36.com
42
L’artdevivre…
43
Côtécourcôtéjardin
Un aménagement
feng shui : cinq animaux
pour protéger le jardin
Autrefois, en Chine, les formes topographiques étaient
comparées et apparentées aux animaux mythiques comme le
dragon, le tigre, la tortue, le phénix et le serpent. Pour réussir
un jardin feng shui, l’application du bestiaire sert à l’équilibrer
selon l’environnement. Ainsi, la maison entre en bonne relation
avec le voisinage. Le jardin sert alors de zone tampon entre la
résidence et tout ce qui l’entoure.
PAR RÉJEAN GENEST
Le phénix occupe la façade de la maison
ou la limite sud du terrain, dans le but
de ralentir et d’attirer le Chi, mais sans
le détourner de son chemin. Il agit
comme une éternelle sentinelle qui
revient chaque printemps. Il nous
renseigne sur le monde des alentours
et porte bonheur.
Il peut être représenté au jardin par un
petit arbuste isolé, un pin où il aime
vivre, des arbres fruitiers, un massif de
fleurs rouges ou simplement un oiseau
en métal ou en pierre.
Le dragon est un être protecteur,
bienveillant, cultivé, plein de civilité et
favorisé par la chance. Il voit au loin,
reçoit les informations du phénix et les
réfléchit sur le site. Il est le puissant
gardien du côté gauche de la maison
(du côté droit si on regarde depuis la
façade). Idéalement, il doit être plus
grand et plus puissant que le tigre,
sinon il devient jaloux. Il a aussi pour
fonction de chasser les démons.
Les arbres qui le représentent doivent
être les plus grands du site et de
formes et de tailles différentes ou
inégales, pour symboliser la forme
ondulée du dragon. L’arbre le plus en
avant du terrain peut comporter du
rouge (feuillage, fleurs ou fruits) pour
illustrer les flammes sortant de la
bouche du dragon.
Le tigre est l’image de la force. Il est
toujours sur ses gardes. Il est le
sournois gardien du côté droit de la
maison. Idéalement, il doit être plus
petit que le dragon. Il apporte pluies
et tempêtes mais aussi de magnifiques
couchers de soleil.
Les petits arbres et arbustes au feuillage panaché ou aux fleurs blanches
représentent bien le tigre.
La tortue offre la protection contre les
agressions qui viennent sournoisement
de l’arrière. C’est le dos de la maison
qu’elle protège avec sa carapace. Il
peut s’agir d’une rangée d’arbres,
d’une maison arrière voisine, d’un mur
de briques, d’une clôture, d’un arbre
à la silhouette basse, d’une grosse
roche ou d’une haie.
Le serpent est enroulé au centre,
vigilant, stable et prêt à agir comme
44
Utilisation du bestiaire
sur le plan du terrain
A = tortue
B = tigre
C = phénix
D = dragon
Les flèches indiquent l’accès au terrain
ou à la parcelle du terrain.
1 - Positionnez la première grille
du bestiaire sur l’ensemble de la
propriété en prenant l’entrée de la
rue pour le phénix et le fond du
terrain comme tortue.
2 - Positionnez à nouveau le bestiaire
pour la façade, en prenant la maison
comme tortue et la rue comme
phénix.
3 - Placez ensuite le bestiaire pour
la cour arrière, en prenant encore
la maison comme tortue. Le fond
du terrain devient alors le phénix.
4 - Faites aussi le bestiaire pour la
parcelle de terrain qui est coincée
de chaque côté de la maison, en
utilisant encore la maison comme
tortue.
un éclair. Il est protégé par les quatre
créatures extérieures, mais il est aussi
capable de les diriger. Il reçoit les informations de toutes les directions afin
d’engager une action sage et opportune.
Le serpent occupe le centre du terrain
qui devrait toujours être dégagé.
La pelouse, les couvre-sol et les plantes
rampantes sont ses végétaux favoris.
L’artdevivre…
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L’artdevivre…
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L’artdevivre…
49
Tentations
beau
bon
bambou
JOLI ET PRATIQUE
Grand bol en bambou foncé pour la
salade ou à utiliser comme centre de
table Breen Adu (59,95 $) et ses
ustensiles (24,95 $) chez Tribeka.
n dit que le bambou est la solution
écologique du XXIe siècle. Grand producteur
de biomasse,doté d’une croissance ultra rapide,il
constitue un produit de haute technologie tout à
fait naturel.
Le bambou effectue un retour en force,surtout
depuis qu’on l’utilise pour diverses applications
auxquelles on n’aurait jamais pensé auparavant.
C’est beau, c’est bon, c’est bambou !
O
TEXTE ET RECHERCHE : LOUISE DUBÉ
PHOTOS : MX PHOTOGRAPHE ET LA MAISON DU BAMBOO
RANGEMENT AGRÉABLE
Étagère à trois niveaux à placer n'importe où (89 $)
et panier à linge Harman avec pochette amovible
en tissu (159 $) chez Tribeka.
L’HEURE DU BAIN
Pour étirer la séance de relaxation, le plateau
détente ajustable pour le bain Harman (39,95 $).
Pratique, un ensemble comprenant porte-savon,
pompe et verre (54,95 $), et en complément, la
poubelle Umbra (42 $).espace déco chez Tribeka.
50
L’artdevivre…
Tentations
VANITÉ
Vanité de salle de bain faite à partir de panneaux de bambou
sans formaldéhyde de style «Horizontal Naturel» teints d'un bleu
foncé et crème pour les comptoirs, à La Maison du bamboo.
SOUS LES
PIEDS, SOUS
LES FESSES
Plancher de
bambou sans
formaldéhyde de
style « écailles de
tortue » (11,25 $
le pied carré),
chaises Bamboo
Spring faites
à 100 % de
bambou laminé
multicouches
(895 $ chacune)
à La Maison du
bamboo.
INDÉMODABLE
La cuisine s’habille de panneaux de bambou
sans formaldéhyde de style « Horizontal » de
couleur ambrée à La Maison du bamboo.
À TABLE !
Plateau-cabaret avec poignées intégrées en bambou Totally Bamboo (29,95 $), plateau à deux étages
pour servir les entrées Harman Imports (39,95$), ensemble 3 bols à trempette sur son cabaret Accent
Imports (28,95 $), ensemble de 3 ustensiles en acier inoxydable avec poignée en bambou Sunset Palms
(8,95 $) et ensemble de 2 (grande fourchette, grande cuillère) (15,95 $) chez Aubergine.
ÉLÉGANCE
DESIGN
Pour la
cuisine, des
panneaux de
bambou sans
formaldéhyde
de style
«Vertical» de
couleur
ambrée, à La
Maison du
bamboo.
ADRESSES
L'Espace déco Tribeka
75, avenue de la Gare (Galeries des
Monts), Saint-Sauveur 450 227-3339
La Maison du bamboo
Place Lanning 9, avenue Lanning,
Local 101, Saint-Sauveur 450 227-9009
L'Aubergine
Carrefour du Nord, 900, boulevard
Grignon, Saint-Jérôme 450 436-4848
51
52
L’artdevivre…
53
54
L’artdevivre…
55
56
L’artdevivre…
57
100
En manque d’inspiration ?
Voici exactement 100 suggestions
pour tirer le maximum des
Laurentides cet été : nature, action,
spectacles, tourisme, culture,
activités familiales et plus encore !
Un dossier réalisé par
RENÉ-PIERRE BEAUDRY
SYLVAIN-CLAUDE FILION
CHRISTINE OUIN
MIREILLE VILLENEUVE
2
1
MODE D’EMPLOI
Voici un répertoire de 100 activités à faire
dans les Laurentides cet été.
Pour connaître tous les détails et les coordonnées
concernant les activités suggérées, adressez-vous
à l’un des bureaux touristiques dont la liste
figure en page 73. Vous pouvez aussi consulter
l’un des sites Internet suivants :
www.quebecvacances.com/laurentides
www.laurentides.com
www.bonjourquebec.com
le golf est
De tous les sports de plein air,
le plus
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la
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…
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ys des Merveill
Sainte-Adèle, ré
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jouiront les petit , à
2 à 9 ans autant
s de
que leurs parent
s.
Flairer la bonne affaire, la
séduisante vieillerie pas
chère, la douzaine de chaussettes de sport pour quelques
huards… Bizouner allégrement dans un marché aux
puces constitue une façon
agréable de se divertir, de se
laisser surprendre et d’en
avoir pour son argent. À
découvrir, le marché aux
puces de Lachute et le
marché aux puces Lesage, à
Prévost. Dans le même esprit,
surveillez la Foire des antiquaires et des collectionneurs
le samedi 15 juillet à SainteAdèle.
Festival d
dragons e bateauxNe ma
NOTE : Les coordonnées de certains événements peuvent être modifiées et parfois
être annulés. De plus, le magazine Flèche Mag ne peut être tenu responsable des
erreurs qui peuvent se glisser sur les sites Internet.
À vos bâtons !
Aller aux puces
en page 00
.
Se relaxer dans
un spa
5
L’éloge de la lenteur,
farniente et dorlotage.
Laisser filer les heures
entre un massage et une
saucette dans le jacuzzi…
Il y a plus d’une trentaine
de spas dans les
Laurentides, la plus forte
concentration au Québec.
Les résidents ont déjà leurs
endroits favoris; les visiteurs n’ont qu’à se renseigner là où ils logent. On
peut aussi consulter la
« Route des spas » de notre
numéro de septembre
2008, disponible sur le site
Internet flechemag.com
Glisser dans
l’eau
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L’artdevivre…
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versant
!
de le découvrir
7
Festival
des Arts
de St-Sauveur
Consacré à la danse et à
la musique, la 13e édition
du festival accueille
notamment Diane
Dufresne, Oliver Jones,
Bouge de là, Naomi
Stickman, [bjm_danse], le
Ballet Biarritz et le Ballet
Maribor de Slovénie.
Lire l’entrevue
avec Anik Bissonnette
en page 00.
11
8
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10
La Grande
traversée des
trois lacs
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L’Île-des-Moulins
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Profitez des plaisirs conjugués
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ur les amateurs
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!
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13
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partout au Qué
particulièremen bec et
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Cette année, ju de l’Ontario.
squ’au 16 août
,
120 céramistes
et
prennent part à potiers
ce
en voie de deve qui est
importante expo nir la plus
sition du genre
au monde.
14
La fête de
l’épluchette
Au cœur de l’été, il n’y
a rien de plus typique
que de se réunir dans
le cadre d’une
épluchette de blé
d’Inde, activité profondément ancrée
dans les mœurs des
Québécois. L’un des
rassemblements les
plus populaires est
certes la grande
épluchette des pompiers de la ville de
Sainte-Adèle, qui se
déroulera en musique
le dimanche 16 août
au Parc de la famille.
59
nature
15
Rivière
Le Bois de usBeestlle
ival par excellence dans
C’est le rendez-vo
s de la nature
la région de Mirabel. Les amant
t habitée de miladorent marcher dans sa forê
ntes et
pla
de
liers d’espèces indigènes
t s’y adonner à
ven
peu
iers
d’oiseaux. Les vacanc
ge, équitation…
mille plaisirs d’été : pêche, pla
des cabanes
Vous pouvez y séjourner dans
un espace chamer
écologiques et même réserv
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fam
de
pêtre pour vos fêtes
16
20
Sports équestr
es
Q
19
Ornithologie
Observer les oiseaux
et écouter le concert
des divines parulines
au parc de la Tourbière
Saguay. Le Centre
Touristique et Éducatif
des Laurentides, à
Saint-Faustin, possède
plusieurs écosystèmes
qui attirent oiseaux et
ornithologues de
toutes plumes. Le Parc
de la rivière Doncaster
et ses quatre beaux
sentiers en montagne
et bord de rivière font
aussi le bonheur des
oiseaux nicheurs… et
de leurs admirateurs !
uoi de mieux qu
randonnée à ch ’une
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profiter du gran al pour
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forêts ? Que l’on air des
soit débutant
ou cavalier chev
ro
multiples centre nné, les
s équestres
de la région pr
oposent des
balades adapté
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niveaux et pour à tous les
tous les
goûts. Au pas,
au trot, au
galop, parcoure
z le
embaumés et vi s sentiers
vez l’aventure
de la grande na
ture !
Marcher en
Traversez les
Laurentides à
votre rythme, à
pied ou en vélo,
arrêtez-vous en
chemin pour
casser la croûte
ou cueillir des
framboises… Le
parc linéaire du
P’tit train du Nord
et le Corridor
aérobique offrent
plus de 300 km de
plaisirs. Laissezvous charmer par
la beauté et la
diversité des
paysages. Une
expérience
sportive ou
simplement
contemplative, à
vous de décider !
24
Offrez-vous une jou
t la nature et l’histoire !
dans ce lieu où se rencontren
promène dans les
On se dore sur la plage, on se
faune variée des
sentiers à la découverte de la
sé en parcourant le
pas
du
marais, on revit les pages
les Sulpiciens en
chemin de croix aménagé par
magnifique vue
1742 et au bout, on admire la
du lac des Deux-Montagnes !
17
La Réserve faunique de
Papineau-Labelle, qui
s’étend de l’Outaouais aux
Hautes Laurentides, est un
immense territoire de plus
de 1600 km2 de pure nature.
La pêche à la truite
mouchetée et le canot
camping sur l’un des 800
lacs font partie des activités
préférées des visiteurs. La
réserve compte aussi une
quarantaine de chalets à
louer en bordure de lac.
21
forêt
Voilà un exerci
ce
des bienfaits et à la portée de tous, qui ne co
mpo
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munion avec la i permet d’entrer véritablemen rte que
nature. Au-delà
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S’amuser dans l’eau
22
Oiseaux de
25
dehors ! en page 00
18
Il existe plus de
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campings certifi
és pour dormir
à la belle étoile
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s situés sur les
plages idyllique
s de rivière
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La Conception,
la
du prix Mon Ca uréat 2008
mping Préféré,
décerné par la
Fédération
Québécoise de
Camping et de
Caravaning.
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Nos montagnes
sont le
repaire des préd
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plus redoutable eurs les
s et les plus
perfectionnés du
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action est un sp
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aire. Il faut
absolument as
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spectacle des oi
se
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et du
Mont-Tremblan
t auquel on
accède via une
confortable
et sécuritaire té
lécabine
panoramique.
Que ce soit sur l’une des quinze
pla
Laurentides ou au bord des lacs ges publiques des
privés des différents
gîtes et complexes hôteliers,
il est impensable de ne
pas profiter de l’été sans aller
jouer dans l’eau. Que ce
soit pour se rafraîchir, faire du
pédalo, pagayer, nager
ou manœuvrer la voile, on app
récie toujours ensuite de
s’étendre sur le sable de la pla
ge.
(Lire aussi la chronique On joue
Les joies
du camping
23
che
Aller à la pêcho
te-
Calme, silence, chu
ments ou contemplation…
c’est l’art de la pêche.
Pêcheurs de tous âges,
moucheurs chevronnés, as
du lancer léger ou patients
adeptes de la pêche au
posé (ligne morte), vous
pouvez capturer puis
savourer de vigoureuses
ombles de fontaine ou des
truites arc-en-ciel combatives
en vous embarquant sur
l’un des innombrables lacs
des Laurentides.
26
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Parc de la riviè
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Voici l’un des ra
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(en laisse). Le
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faut surtout pa pêcher de petites
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L’artdevivre…
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d’une puissant
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adresse sur un re Plein-Air, à Sainttu
nautiques. Aven e une gamme de forfaits
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otions tout en
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et harnais sous ipuler cordes
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moniteurs qual
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(Tremblant), Ar
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(Rawdon), Acro
-N
Heights) et D’a ature (Morinrbre en Arbre
(Parc du Domai
ne Vert).
30
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La guerre de
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Pour qui carbure
coups de boulettes
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sensations fortes
des
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de peinture, vous fera vivr
. À Paintball
sur l’une des 32 arènes de jeu
ou l’autre des
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(véhicules
les
forfaits offerts : terrain, obstac
boulettes de
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détruits, avion abattu, etc
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de
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peinture, habillem
masque protecteur.
Mini-golf
Ç’a l’a
29
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centaines de milliers de visiMorin où depuis 22 ans, des
, deviennent, le temps d’une
teurs, jeunes et moins jeunes
de Formule Un ou du
course endiablée, champions
olis. Installez-vous au
légendaire 500 milles d’Indianap
kart et écrasez allégregovolant de l’un des six types de
ment le champignon !
32
le vided’!un
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Sauterplon
ger da le vide
Pourquoi
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1000 mètres du
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vo
Pour le plaisir, e Adrénaline, à Saintm
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combinaison et hé solidement à celui
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vous serez ac
r saut
pour un premie
de l’instructeur goûterez à l’euphorie
en tandem. Vous déployé et vous
e
sitôt le parachut t jusqu’au plancher
en
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chuterez douc
!
des vaches
31
Les parois roch
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être gravies ab ses qui ne demandent qu’à
ondent dans la
région. ValDavid est reconn
ue pour être le
l’escalade dans
berceau de
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compte une de st du Canada et l’on
mi-douzaine de
ce
les Laurentides
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t : le risque
d’attraper la pa
ssion de l’escal
ade est grand
si on s’inscrit à
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désiriez faire du e ou expert, que vous
bl
trouverez votre oc ou de la façade, vous y
compte.
ir si simple
vraiment. Golfe : un bâton, une balle, un trou
. Facile ? Pas
ur
Le mini-golf ép s d’expérience ou débutants,
même combat
rouve les nerfs
!
les plus solides
Saint-Jérôme et
. Le Rigolfeur à
ce
prises à ceux qu lui de Sainte-Agathe cachen
t de belles suri
aux pièges cach voudront rivaliser d’adresse.
Mais attention
és sous le tapis
famille et éclats
ve
de rire garantis rt ! Bons moments en
!
Un, deux trois… quad !
Enfourcher un quad, c’est déc
ouvrir des
paysages fabuleux difficileme
nt accessibles
autrement. Les quatre princip
aux clubs de
4 roues de la région vous le diro
nt : nous
sommes choyés dans les Lau
rentides, avec
un réseau de sentiers parmi les
plus
élaborés au monde. L’an dernie
r, on comptait environ 335 000 amateurs
de quad au
Québec, dont une grande par
tie sillonneront
cet été nos magnifiques pistes
en forêt.
36 3 7
, c’est bien
Une course automobile à la télé
mains sur le
les
t,
par
agréable, mais y prendre
R, un comICA
!
l
éga
s
san
est
volant d’un bolide,
récemsés
motori
plexe ultramoderne de sports
e aux
offr
l,
abe
Mir
ment implanté à l’aéroport de
tis
ren
app
–
le
obi
adeptes de la course autom
– une piste novacomme coureurs d’expérience
et un circuit de
trice à configurations multiples
par Jacques
karting de 1 kilomètre conçu
Villeneuve.
Escalade
Vroum-vroum
Rafting
33
L’ivresse de la vitesse
28
34
Marche nordique
Profitez de l’été pour vous remettre en forme !
La marche énergique est l’un des exercices les
plus bénéfiques. Avec vos bâtons de marche,
propulsez-vous à la découverte des plus beaux
sentiers du nord et respirez l’air pur. Le Parc
du Domaine Vert, à Mirabel est un lieu de premier choix avec ses 50 kilomètres de sentiers
pédestres.
action
27
Voltiger dans
les arbres
35
Pour faire le plein d’émotions
fortes sans
avoir peur de se mouiller, le raft
ing est
tout indiqué. La rivière Rouge
est l’une
des plus appréciées au Québec
pour ses
eaux vives, et en Amérique pou
r les
meilleures excursions de rafting
. Situés à
Grenville sur la Rouge, Rafting
Propulsion
et le Centre Nouveau Monde
offrent des
excursions de rafting doux ou
d’action.
Festival Ride à l’os
38
Pour sa deuxième édition, ce
nouveau
festival célèbre les sports ext
rêmes à
Mont-Tremblant, du 31 juillet
au 2 août.
Au programme, une foule d’a
ctivités et de
compétitions excitantes qui sau
ron
les plus blasés. La musique ser t divertir
a également
de la fête avec la présence de
groupes
électrisants. C’est gratuit.
61
famille
39
Course de
Le dimanche 26 boîtes à savon
ju
nelle course de illet, c’est la traditionboîtes à savon
sur la rue
Saint-Louis à Sa
in
Une activité qu te-Agathe-des-Monts.
i re
joie, et qui rem ndra les jeunes fous de
plira leurs pare
nts
talgie. Comme
dans le bon vieu de nosx temps !
La Cité
des j
Cette cité
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re à nouv e
à Val-Mori le site du centre d
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s Jeux du
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des reptsti, leles crsocodiles, les
Il existe une oasis
iseaux exotiques
La ferme de perroquets et d’o
Deux-Montagnes
située en bordure du lac des
ement. Baladezays
vous offre un véritable dép
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tous les coins du monde. Vos
Ouvert les
s.
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épatés par les spectacles
samedi et dimanche.
62
Tout le monde est
août. Chaque été,
érigé à Piedmont le samedi 8
Fête de la famille
la
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nné
depuis une dizaine d’a
e, jeux et animation
porte bien son nom : maquillag
se et chant pour les
pour les enfants, musique, dan
de gratuits, le tout
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plus grands, hot-dogs et blé
Dame Nature le veut
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bien.
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41
40
Parc Carillon
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s
pour faire un sa nautiques… Profitez-en
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historique. À cô d’Argenteuil, haut lieu
té du musée, pr
enez le
traversier et pr
om
des Outaouais. enez-vous sur la rivière
43
Serpents et échelles
Qui n’a pas joué aux serpents
et échelles
dans sa jeunesse ? L’expérien
ce est
autrement saisissante lorsqu’
on peut
disputer une partie sur un jeu
géant, qui
se déploie à Mont-Tremblant.
Une fois sur
place, procurez-vous leur carnet
d’activités
pour en découvrir de nombre
uses autres
comme l’affolante descente de
luge en
montagne !
46
48
en folie
Perroquets trop
icale près de chez vous.
mille
Fête de la fa
invité sous un grand chapiteau
Ferme de la Butte Magique
Pour vivre une expérience unique, amenez vos
petits agneaux à cette bergerie située à SaintFaustin-Lac-Carré ! Les bergères vous accueillent dans leur confortable petit chalet sur la
ferme. Dans cet environnement pittoresque
vivent des moutons de toutes races. Initiezvous au filage de la laine et à l’agriculture biodynamique.
49
’été
La résidence d
du PèreunNdéocoërl magnifique, le
les
Au milieu d’
eille les petits et
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47
Du Coq à l’Âne
50
Faites vivre l’expérience de la
ferme à vos
enfants dans l’ambiance champ
être et
magique de Huberdeau. Avec
l’agricultrice,
ils pourront faire le train du ma
tin, nourrir
et soigner les animaux. En été
, la ferme en
compte plus de 400. Promenez
-vous dans
les pâturages de cet immense
terrain de
166 hectares. Vos enfants vou
dront repartir avec un de leurs adorables
chevaux
miniatures !
L’artdevivre…
Envolez-vous au-des
re d’Héli-Tremblant ou
des lacs ! À bord d’un hélicoptè
z la région depuis une
d’Hélibellule à Mirabel, explore
ez le sommet des montout autre perspective, survol
vue, contemplez de
de
te
tagnes qui ondulent à per
cades et laissez-vous
haut les chutes d’eau et les cas
le souffle des vallées
éblouir par la beauté à couper
ges.
constellées de pittoresques villa
Minibuécsier les panoramas
Pour appr
un œil noulaurentiens sous menté, suivez
cu
veau et bien do
Jean-Hughes
le gentil guide
son minibus
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climatisé, le long s commenique
circuits thémat ferts sont
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sors cachés.
52
sommet
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Au royaum
À Mirabel, le ce e des abeilles
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visites guidées re Intermiel propose des
au pays de ces
merveilleuses petit
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secrets de l’api fées ailées. Découvrez les
cu
duits de la ruch lture et dégustez les proe,
saveurs veloutée dont l’hydromel aux
s.
mations vous do Démonstrations et aninneront la piqû
re !
54
Balade en calèche
Laissez-vous griser par le rom
antisme
d’une agréable promenade en
calèche! À
Tremblant, Lyndsay ou Dan, les
deux
braves percherons vous emmè
neront
tranquillement jusqu’au Parc
des Chutes
tout en vous offrant une vue
imprenable
sur le Mont-Tremblant et le lac
Tremblant. À Saint-Sauveur, vou
s
apprécierez une douce équipé
e dans
les rues tranquilles du village.
60
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Circuit patrimo
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sympa guide le tent de retracer les événeet
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de voguer à
bord d’un bateau spacieux ou d’un
e confortable
péniche pour admirer les eau
x chatoyantes
et les paysages enchanteurs ?
On peut
naviguer en douceur, profiter
d’un soupercroisière ou faire une excursion
sur le lac
des Sables à Sainte-Agathe-d
es-Monts, sur
le lac Tremblant ou sur la rivi
ère Rouge.
55
51
57
Partir en croisière
53
Le secret d’Huberdeau
Dominant un magnifique panorama au-dessus de la
vallée de la rivière Rouge, une impressionnante
œuvre artistique religieuse saisit le promeneur : le
Calvaire d’Huberdeau, avec ses 27 personnages en
bronze de deux mètres de haut encadrent un Christ
sur une croix qui s’élève à neuf mètres vers les
cieux. Cinq stations illustrent des épisodes de la
passion de Jésus. Chaque année, le premier
dimanche d’août, les fidèles s’y rassemblent
nombreux pour célébrer la Fête du Calvaire.
La téléca
pe en douceur
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58
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embellissant l’e s de la
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au de poste !
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duits ménagers,
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59
62
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de Saint- art public
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63
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63
Le Musée d’Art Contemporain
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tion architecturale.
et contemporain sur la concep
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nus : Anne Bertoin, Richard Côt
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, dans le cadre
de l’événement
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», et créer une
« nature
vivante », en al
liant
humain dans un la matière au corps
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Voir l’entrevue
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Le musée du
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Situé au cœur de
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s par une centaine d’artistes
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64
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invite à un
voyage surréaliste au cœur de
l’âme
humaine ; et une exposition des
sculptures
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y. Le duo,
qui réside à Val-David, rencon
trera le public
à l’occasion d’une causerie le
16 juillet.
René Dero
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68
64
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se joindre à ce
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familial pour da and rassemblement culturel et
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guidées et belle Mini-concerts, théâtre, visite
s
s surprises vous
y attendent.
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80
Les Musicales
de Sainte-Adèle
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16 au 23 juillet,
l’amphithéâtre extérieur du Par
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grosses pointures : Daniel Bél
anger, The
Lost Fingers, Mara Tremblay
et Antoine
Gratton. Aussi, des 5@7 sous
forme
d’apéros musicaux. Bonus trac
k : piquenique électronique le dimanche
19 juillet
de midi à minuit.
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notamment en arant et Gilbert
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Forget, Annette
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83
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75
Tous les week-ends, jusqu’au 30 août,
Rythmes Tremblant propose une ambiance festive décontractée ainsi qu’un feu roulant d’animations et de spectacles en plein air, mettant
en vedette les meilleurs artistes de la scène
musicale du Québec, tels Dany Bédard, Les
Respectables, ou encore Caracol et Antoine
Gratton. L’entrée est gratuite.
ux
Coup edLee Pactrisioeteade Sainte-Agathe-
t été la
Le théâtr
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coupable. Avec Hoziel, Claude Maher et
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79
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78
81
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c,
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84
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l’hôtesse d’une série de specta
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Sables. Parmi les
artistes qui y défileront : Frédér
ick de Grandpré,
Natalie Choquette, Boom Des
jardins.
spectacles
Les Estivales d
Saint-Jérôme e
Jusqu’au 22
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Ça me dit co, sur
tout le samedi soir, le
Tous les week-ends
des spectacles
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dans le cadre de
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récital de stanun
et
spectacle swing le 15 août
Dominique
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juillet.
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65
festivals
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Festivon
qui s’or
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de ce
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La 16 édition, qui se déroule du 10 au 19 juillet,
accueille plus de 70 artistes et formations de
haut niveau, incluant Edgar Winter, Steve Hill,
Stephen Barry, Robert Cray Band, Mavis Staples,
Nanette Workman, Jonas, Dawn Tyler Watson,
Jean Millaire, Buckwheat Zydeco qui fête ses
30 ans cette année et tutti quanti.
86
90
famille
Festival de la Lachute
ntry ddue 26 juillet au 2 août :
et couén
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Festival La
Du 27 au 29 ao chute en blues
ût
canadienne du , au profit de la Société
cancer, ils sont
une douzaine
de groupes ou
d’ar
les scènes du fe tistes de blues à monter sur
stival, dont Jim
Carl Tremblay,
Zeller,
Steve Rowe et
le vétéran
Bob Harrison.
Double év
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Famille promet golf, des
le Festival de la
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filé, un tour
activités, un dé oristes, The Lost Fingers
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spectacles d’
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dont Éric Lapo danse en ligne et des
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spectacles de
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ère et Forêt
Festival Rivi
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Course de canots
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Daraîche : l’esprit des
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Mont-Laurier, ville-carrefour des
Laurentides.
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les Laurentides
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ce qui est l’un
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uartet.
Jadis incontournables, les ciné-parcs
sont une espèce en voie d’extinction.
Heureusement, il nous reste celui de
Saint-Eustache, avec ses 5 écrans, et qui
est le plus grand et le plus moderne cinéma
extérieur du Canada. Pour une soirée en
famille, entre amis ou en amoureux,
offrez-vous le dernier film que vous
mourez d’envie de voir, à la belle étoile !
Il suffit de trouver
des grandes
échappe à la pollution visuelle
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municipalités pour scruter
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Festival Classique des
Hautes Laurentides
Jusqu’
au 29 août, trente spectacles
prestigieux, répartis dans neuf mu
nicipalités, du
village Windigo et de Ferme-Ne
uve jusqu’à
Saint-Faustin-Lac-Carré, en pas
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Mont-Laurier, Nominingue, Riv
ière Rouge et
Mont-Tremblant. Point d’orgu
e le 29 août
avec un grand bal viennois à
la salle paroissiale de Lac-au-Cerf.
93
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Jouer aux quille
qui ne se démode pas : s’élancer
C’est un jeu séculaire
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Saint-Jérôme, Lachute, Sainte-A
et Bois-des-Filion.
Casino Tremblant
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Flambant neuf, le Casino de
Mont-Tremblant vient tout jus
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d’ouvrir ses portes et c’est une
destination
qui promet certes une bonne
dose
d’évasion. Plusieurs étages de
machines
à sous et de tapis verts vous
attendent,
dont l’un est réservé aux hau
tes mises.
Rappelez-vous simplement qu’
il s’agit
de jouer pour se détendre, pas
pour y
perdre votre chemise !
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Aller au ciné
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Festival International de
Blues de Tremblant
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Le 23 août
de l’événement. .
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Ski Morin-Heigh
e
100 IDÉES POUR L’ÉTÉ
Où obtenir des
renseignements
sur les événements
Bureau d'accueil touristique
de Saint-Jérôme
450 432-0767
www.ville.saint-jerome.qc.ca
Bureau d'information touristique
La Porte du Nord
450 224-7007
Bureau d’accueil touristique
des Pays-d’en-Haut
Sainte-Adèle: 450 229-3729
Saint-Sauveur / Piedmont :
450 227-3417 / 1 800 898-2127
www.tourismepdh.org
Chambre de commerce et
de tourisme de la
Vallée de Saint-Sauveur
450 227-2564 / 1 877 528-2553
www.lavalleesaintsauveur.com
de Saint-Adolphe d’Howard
1672, chemin du Village
819 327-3519 / 1 866-ADOLPHE
www.stadolphedhoward.qc.ca
Bureau d'accueil
touristique de Val-David
819 322-2900
www.valdavid.com
du Grand Sainte-Agathe
819 326-0457 / 1 888 326-0457
www.ste-agathe.org
Mont-Tremblant (Village)
Secteur Mont-Tremblant Village :
819 425-2434 / 1 877 425-2434
Secteur Saint-Jovite :
819 425-3300 / 1 877 425-2434
www.tourismemonttremblant.com
Office touristique
des Basses-Laurentides
450 491-4444
www.basseslaurentides.com
Bureau d'accueil touristique d’Oka
450 479-8333
www.municipalite.oka.qc.ca
Bureau d'accueil
touristique de Lachute
450 562-6014
www.argenteuil.qc.ca
Tourisme des Moulins (Terrebonne)
450 964-0681
www.tourismedesmoulins.com
L’artdevivre…
67
Mes
plaisirs
carte
à la
Anik Bissonnette
Photo : Peter Morneau
la bonne étoile du FASS
Après une longue et
belle carrière aux Grands
Ballets Canadiens, la
danseuse étoile est
maintenant directrice
artistique du Festival des
Arts de Saint-Sauveur.
Un peu superstitieuse
comme bien des artistes
de la scène, ne lui offrez
pas d’œillets ! Mais elle
assure que le chiffre 13 lui
portera chance cet été.
Depuis combien de temps êtes-vous directrice artistique
du Festival des Arts de Saint-Sauveur?
Le festival en est à sa 13e édition et j’en suis la directrice artistique depuis quatre ans. J’aime mettre ma touche personnelle,
avec mes goûts pour la musique et le ballet classique, tout en
tenant compte qu’on s’adresse à un public estival. Donc, moins
de musique et de danse d’avant-garde et une programmation
plus accessible au grand public.
Pouvez-vous nous dévoiler les
grandes lignes de la programmation?
Cette année, nous accueillons plus de 150 artistes. Nous
débutons avec un véritable coup de cœur, le Ballet Biarritz. J’ai
aussi bien hâte de voir le spectacle multimédia Saturne, sans
oublier Diane Dufresne, dont j’adore la présence scénique.
Est-ce qu’il y aura de la danse pendant son spectacle?
Le FASS n’est pas uniquement un festival de danse! Nous
faisons une belle place à la musique. Oliver Jones, notre
merveilleux pianiste de jazz, revient nous visiter pour la
troisième fois. Le festival s’adresse aussi aux enfants et la
journée Tohu Bohu leur est entièrement dédiée.
Vous devez aimer les Laurentides. Avez-vous un coup
de cœur à partager avec nos lecteurs ?
Ce sont mes étés passés à la Conception, de merveilleux souvenirs
d’enfance et de famille. Mais depuis quelques années, je suis
tombée en amour avec Saint-Sauveur et son hospitalité.
Est-ce que vous songez à venir vous y installer un jour ?
Oui, j’y ai pensé à plusieurs reprises… Mais je ne suis pas
encore prête à quitter la ville définitivement.
Festival des Arts
de Saint-Sauveur
Du 30 juillet au 8 août
Est-ce qu’il vous arrive de vous ennuyer de la danse ?
Pour le moment, non. Ma vie est remplie de belles choses.
Ce qui me manque le plus, c’est l’entraînement quotidien.
L’étonnant Ballet Biarritz, en première
nord-américaine les 30 et 31 juillet
André-Philippe Gagnon, MarieChantal Toupin et Bruno Pelletier,
3 des stars invitées au festival,
du 30 juillet au 9 août.
FA B U L E U X
Festival de la Rouge
Pour sa 2e édition, la qualité de la
programmation du Festival de la Rouge
à Nominingue, a de quoi émerveiller.
Devenu dès sa première édition, l’an
passé, le plus important festival des
Laurentides, il nous offre cet été
11 spectacles prestigieux avec la
participation d’artistes comptant parmi
les plus populaires du Québec. Qu’un
festival d’une envergure aussi
grandiose ait lieu en plein cœur des
Hautes-Laurentides a de quoi
surprendre! Entretien avec le directeur
général Christian Paquette,
également collaborateur au
développement du Gesù, à Montréal.
PAR CHRISTINE OUIN
Comment est venue l’idée de ce
festival à Nominingue ?
Le Festival de la Rouge est né par accident. À l’occasion
des 125 ans de Nominingue, en 2008, plusieurs
organismes ont souhaité organiser un événement
spécial. Puis, on s’est dit que tant qu’à louer un
chapiteau, autant avoir le contrôle du spectacle et
lui donner une direction artistique. Différents partenaires
se sont alors regroupés et ont partagé leur expertise
en divers domaines.
2009 sera la deuxième édition ?
En effet. Grâce au formidable succès du spectacle
de l’an dernier, nous avons réalisé que cet événement
correspondait à un besoin de la région. Les habitants
des Laurentides se sont tout de suite approprié le
festival et d’ailleurs, la moitié des spectateurs viennent
du coin. Nous avons donc décidé de le renouveler
cette année.
Comment êtes-vous parvenu à faire
venir autant d’artistes importants ?
Les artistes et les producteurs ont déclaré que notre
spectacle avait été le meilleur événement de l’été
2008 et l’ont identifié comme étant majeur. Chacun
a reconnu l’excellence de l’organisation. Ainsi, nous
n’avons rencontré aucune difficulté pour inviter les
artistes et certains se sont même spontanément
proposés. Et notre public est enthousiaste ! Chaque
spectacle accueille 1350 personnes et la moitié des
billets étaient vendus dès décembre dernier…
Photo : Olivier Houeix
68
Quoi de neuf en 2009 ?
Un gala d’ouverture exceptionnel et un site encore
amélioré pour une véritable célébration de l’été !
L’artdevivre…
Chemins et tracés dans
Dans les Jardins du Précambrien,
à Val-David, onze artistes des trois
Amériques exposent leurs œuvres
dans les sentiers de la forêt, belle
illustration de l’itinérance propre aux
créateurs : Chemins et tracés est le
thème du 10e Symposium d’art in situ
organisé par la Fondation Derouin.
Entretien avec l’initiateur de
l’événement, René Derouin, artiste en
arts visuels de haute renommée.
PAR CHRISTINE OUIN
les Jardins du
Précambrien
nous vient des Amérindiens. C’est pourquoi j’ai voulu
créer un lieu d’échange interculturel entre les artistes
des trois Amériques (Nord, Centre, Sud) qui mette en
valeur la nature, permette la transmission des savoirs et
favorise la rencontre avec le public. Cependant, le symposium n’est pas un spectacle. Les artistes, qui ont conceptualisé leurs œuvres depuis plusieurs mois, les
réalisent entre eux sur le terrain d’abord, et quand elles
sont achevées, les gens sont invités à les admirer et à
croiser les créateurs qui leur en parlent et les leur
expliquent.
D’où vient cette idée de Chemins et tracés ?
Pascale Beaudet, la commissaire de l’événement, a choisi
ce thème pour évoquer la mobilité des nomades, la
Pourquoi ce nom de Jardins du Précambrien ?
J’aime le mot, que j’ai utilisé pour plusieurs de mes
œuvres. Puis, le territoire laurentien m’a toujours impressionné, à cause des énormes roches qui s’y trouvent. J’ai
fait des recherches et j’ai découvert que mon terrain
abrite des pierres issues de la dernière époque glacière,
le Précambrien, qui remonte à 4 milliards d’années.
richesse des rencontres et le cheminement des artistes
au cours de leur recherche. Le Symposium est un
carrefour entre les créateurs, leurs routes se croisant à
l’image de celle des coureurs des bois et des écrivains
de l’errance qui ont marqué la littérature américaine des
années 50 et 60, comme Jack Kerouac par exemple.
Quoi de neuf pour la 10e édition ?
C’est l’événement plus important depuis sa création, en
1995. Le site a été agrandi et chaque fin de semaine se
dérouleront des animations avec des écrivains et des
conférenciers, en présence du journaliste Louis-Gilles
Francœur, porte-parole de cette 10e édition.
Pourquoi un symposium d’art en forêt ?
Je suis depuis toujours à la recherche de l’américanité
et je la crois profondément liée à la notion de territoire,
à la connaissance profonde que nous en avons et qui
L’artiste René
Derouin à l’œuvre
Les Jardins du Précambrien
Jusqu’au 27 septembre
1303, Montée Gagnon, Val-David
J uillet/July
30
Août/August
8
fas
FESTIVAL DES ARTS
DE SAINT- SAUVEUR
Fass danse
BALLET BIA RR ITZ
BALLET M AR IBOR
BJM DA NSE
BOUGE DE L À
NAOM I STIKEM A N
Fass musique
OL IVER J ONES
DI A NE DUFRESNE
Photo : Ballet Biarritz Jose Usoz
CONSTA NTINOPLE
FAS S.C A
TICKET PRO
1 866 908 9090
69
Chassegalerie
Michèle Richard
MON COQ - MOI LE MONDE,
Huile 18 x 24 po
La galerie du
Manoir de Lupin
Comme dans le classique Champ des rêves où un fermier (Kevin
Costner) transforme apparemment sans raison une partie de sa
ferme en terrain de baseball, « les gens viendront à MorinHeights » pour admirer l’œuvre de toute une vie, le Manoir de
Lupin et sa galerie d’art.
Sylvie St-Maurice JOIE DE VIVRE, Huile 30 x 30 po
L’histoire d’André Beaudry, seigneur
des lieux, est peu banale. Professeur
de composition et d’arrangements
musicaux du cégep Saint-Laurent, des
élèves lui font cadeau à la fin de l’année
scolaire 1980-81 d’un livre illustré des
maisons les plus cossues de France.
Les yeux de celui qui a enseigné et
travaillé avec des artistes aussi réputés
que Gilles Valiquette, Pierre Flynn,
Diane Tell, Harmonium et les Simard
tombent sur une malouinière, une
superbe maison typique des riches et
excentriques propriétaires de Saint-Malo,
en Bretagne. C’est le coup de foudre,
aussi fou qu’inattendu. Il bâtira une
copie exacte de cette superbe maison
dans les hauteurs de Morin Heights. Et
à l’intérieur de ses murs, des peintres
et sculpteurs de renom exposeront
leurs œuvres.
L’œuvre de toute une vie
Homme d’une détermination à toute
épreuve, M. Beaudry a tout de suite
senti que ce serait là l’œuvre – avec un
grand O – de toute une vie et qui lui
survivrait longtemps.
Il ne s’est pas laissé décourager par les
7 à 8 millions $ qu’on lui prédisait
devoir dépenser pour entreprendre en
1983 la construction de ce qui est
devenu une maison-galerie consacrée
aux artistes-peintres – dont Michèle
Richard – et sculpteurs. Il a réduit considérablement ces coûts faramineux
en construisant tout de ses propres
mains et de celles de passionnés
comme lui, dont l’architecte Michel
Pérusse qui a dessiné l’intérieur du
Manoir.
À l’été 2009, 26 ans après le début des
travaux, la bâtisse est une authentique
œuvre d’art bien vivante. À 62 ans,
André Beaudry se lève encore à 3 h 30
pour creuser une moulure ou sculpter
un relief en bois. À ce jour, il y a investi
49 000 heures de travail auxquelles
s’ajoutent les 25 000 heures d’intervenants extérieurs.
Pour contempler les magnifiques
tableaux exposés dans sa galerie d’art
et admirer les détails architecturaux du
Manoir, il faut réserver son temps de
visite. Contactez le 450 226-2975. Pour
un aperçu des œuvres de la quarantaine d’artistes exposés dans sa
galerie : www.galerie-du-manoir.com
Vue aérienne du Manoir de Lupin
70
L’artdevivre…
NouveautésDVD
PAR SYLVAIN-CLAUDE FILION
Trente ans de jazz
Et les meilleures nouveautés à surveiller cet été
COFFRET
JAZZ CONFIDENCES :
30 ANS DE FESTIVAL À MONTRÉAL
Cet été, on pourra revivre les meilleurs moments du plus
important festival de jazz au monde dans le confort de
son salon. Ce coffret renfermant deux disques relate à
coup d’anecdotes et de souvenirs émouvants la petite
histoire du FIJM qui vient de célébrer sa 30e édition. On
y trouve également une multitude d’extraits de spectacles
mettant en vedette de grands moments du festival, avec
notamment Miles Davis, Ella Fitzgerald, Dizzy Gillespie,
Diana Krall, Oscar Peterson, Oliver Jones et plusieurs
autres.
DRAME D’HORREUR
MALÉDICTION AU CONNECTICUT
(HAUNTING IN THE CONNECTICUT)
Il ne faut pas être malin pour emménager dans une demeure qui
a déjà servi de salon funéraire. Aussi bien dire qu’on le fait exprès
pour recevoir la visite de fantômes et autres vilains revenants!
SORTIE : 14 JUILLET
FILM D’ANIMATION
CORALINE
Au moment d’emménager dans une nouvelle maison, la petite
Coraline découvre une porte secrète qui la conduit vers un
monde mystérieux. Si au début ce monde parallèle semble
merveilleux, il tourne vite au cauchemar…
SORTIE : 21 JUILLET
COMÉDIE POLICIÈRE
MON PETIT DOIGT M’A DIT
Cette adaptation française rend bien tout le charme suranné
des romans policiers d’Agatha Christie. Amusant et sans
prétention, avec Catherine Frot et André Dussolier.
SORTIE : 28 JUILLET
DRAME FANTASTIQUE
GRANDE OURSE : LA CLÉ DES POSSIBLES
Porter au grand écran une série télé qui a connu un franc succès
est toujours une entreprise périlleuse, mais le réalisateur
Patrice Sauvé relève le défi haut la main. Avec Marc Messier,
Fanny Mallette et Normand Daneau.
SORTIE : 4 AOÛT
DRAME BIOGRAPHIQUE
DÉDÉ, À TRAVERS LES BRUMES
L’un des meilleurs films québécois de l’année, dans lequel
Sébastien Ricard crève l’écran en incarnant le regretté leader du
groupe Les Colocs, Dédé Fortin. Un voyage musical profondément émouvant.
SORTIE : 11 AOÛT
COMÉDIE
HANNAH MONTANA : LE FILM
Passage au grand écran réussi pour cette populaire série télé.
Le film met en vedette Miley Cyrus, Billy Ray Cyrus et Vanessa
Williams.
SORTIE : 18 AOÛT
DRAME SOCIAL
POLYTECHNIQUE
Vingt ans après la célèbre tuerie, ce film risque de rouvrir des
plaies mais il demeure de haute tenue, défendu avec brio par
Karine Vanasse, Sébastien Huberdeau et Maxime Gaudette,
saisissant dans le rôle du meurtrier.
SORTIE : 25 AOÛT
DRAME PSYCHOLOGIQUE
DEUX AMANTS (TWO LOVERS)
Vibrante incursion au cœur de sentiments tels l'appartenance et
l'indépendance, ce film qui sera sûrement dans la course aux
oscars met en vedette Vinessa Shaw, Gwyneth Paltrow et Joaquin
Phoenix dans ce qui est, aux dires de ce dernier, le dernier film
de sa carrière d'acteur.
SORTIE : 14 JUILLET
71
Cinémaensalles
PAR MARTIN FALCO
Les 10 films
à ne pas manquer cet été
Dès le 10 juillet
Dès le 31 juillet
DRÔLE DE MONDE
DE PÈRE EN FLIC
(FUNNY PEOPLE)
Ils portent tous deux une arme à feu,
un écusson de policier, le même nom
de famille et… un air bête! Michel Côté
et Louis-José Houde interprètent un
genre Bon cop Bad cop version à
crouler de rire.
Atteint d’une maladie incurable, un
humoriste décide de s’offrir quelques
nouveaux objectifs de vie. Les amateurs
d’Adam Sandler seront heureux de
retrouver leur favori dans un rôle qui
oscille entre rires et tendresse.
Dès le 10 juillet
Dès le 7 août
BRÜNO
LES GRANDES CHALEURS
Brüno, roi de la mode en Autriche et
homosexuel flamboyant, débarque en
Amérique. Sasha Baron Cohen (Borat)
prête ses traits à ce personnage plus…
habillé et plus con que nature.
À la mort de son mari, Gisèle (MarieThérèse Fortin) découvre qu’il lui était
infidèle. Elle en profite du coup pour
découvrir les joies de l’amour. Réalisé par
Sophie Lorain, le film promet de…
grandes chaleurs pour le mois d’août.
Dès le 15 juillet
Dès le 7 août
G.I. JOE : THE RISE
OF THE COBRA
Héros d’enfance de la plupart des jeunes
garçons, G.I. Joe prend d’assaut (au sens
propre et figuré) le grand écran. Il y affrontera les menaces d’un groupe terroriste.
On aurait préféré qu’il se mesure à Barbie
comme dans les chaumières, mais bon…
HARRY POTTER ET LE
PRINCE DE SANG-MÊLÉ
Dès le 14 août
(HARRY POTTER AND THE
HALF-BLOOD PRINCE)
Harry Potter découvre un mystérieux
livre qui lui permet d’en apprendre
davantage sur le sombre passé de
Voldemort. Ce sixième opus qui met à
nouveau en vedette Daniel Radcliffe,
Emma Watson et Rupert Grint plaira à
coup sûr aux fans… ou grimoire remis !
Dès le 24 juillet
OSS 117 : RIO NE
RÉPOND PLUS
Pour sa seconde mission, OSS 117 est
envoyé en mission en Amérique du Sud
en charmante compagnie. Pastiche
jouissif des vieux James Bond, OSS
117 est d’abord le lieu d’entraînement
pour les nouvelles « Connery » de Jean
Dujardin.
LES PIEDS
DANS LE VIDE
Trois amis se retrouvent dans un centre de
parachutisme. Alors que Guillaume
Lemay-Thivierge et Laurence Leboeuf se
lanceront dans le vide pour les besoins du
film, on peut dire que c’est la réalisatrice
Mariloup Wolfe qui a véritablement fait
le grand saut ici puisqu’il s’agit de son
premier long métrage.
Dès le 21 août
Dès le 31 juillet
LE COMMANDO
DES BÂTARDS
LES DOIGTS CROCHES
(INGLORIOUS BASTARDS)
Dans le Montréal des années 60, de
petits bandits (Roy Dupuis, Claude
Legault) veulent commettre le supposé
vol du siècle. Le scénariste Ken Scott
(Maurice Richard) nous prépare sa
«grande séduction» à titre de réalisateur.
Ce film de Quentin Tarantino, qui se
déroule pendant la Seconde Guerre
mondiale, a été extraordinairement bien
reçu par la critique. Il met entre autres en
vedette Brad Pitt, Samuel L. Jackson et
Mike Myers.
4 CINÉMAS DES LAURENTIDES
SAINTE-ADÈLE
Cinéma Pine 450-229-7463
MONT-TREMBLANT
Cinéma Pine Station Tremblant 819-429-6111
SAINT-JÉRÔME
Les Cinémas Carrefour du Nord 450-436-4527
SAINT-EUSTACHE
Cinéma St-Eustache 450-472-7086
Note : la date de sortie des films peut changer
72
L’artdevivre…
73
LaCible
Il n’y a pas que le mercure qui grimpe
en été. Le prix de l’essence à la pompe
grimpe aussi déraisonnablement.
Les pétrolières vont encore nous
dire que c’est une coïncidence
ou à cause de l’Irak, ou à cause
de l’instabilité en Iran ou au
Venezuela, ou encore parce
que leur grand-mère est
malade. On appelle
ça rire au visage du
cochon qui paye.
Des lauriers mérités pour la nouvelle
équipe de la Chambre de Commerce
de Sainte-Adèle. Résidants et
visiteurs sentent que ça bouge. Le
party reggae du 20 juin a été un franc
succès et l’été est prometteur,
notamment grâce au nouveau festival
Les Musicales de Sainte-Adèle, qui
amène des stars de la chanson au
parc de la Famille en juillet.
Chapeau au Consortium MR, l’entrepreneur
général qui est en train d’ériger le nouveau
CHSLD-CLSC de Sainte-Adèle. Les travaux
évoluent à bon rythme, proprement, et
sans jamais entraver la circulation sur le
boulevard de Sainte-Adèle.
Beau succès pour
le spectacle
SAKA, le cirque
à cheval, qui
ajoute des
supplémentaires
les mercredi et
jeudi à 20h,
du 23 juillet
au 27 août.
Trésor national, Diane Dufresne chantera sous
le Grand Chapiteau du Festival des Arts de
Saint-Sauveur le 2 août prochain. De mémoire
d’homme c’est la première fois que sa voix
vibrera à Saint-Sauveur. Bravo au FASS pour
avoir réussi à nous offrir ce beau cadeau.
Est décédé, dans sa 43e année, le Journal des Pays-d’en-Haut, absorbé par l’hebdomadaire
La Vallée de Saint-Sauveur. Sainte-Adèle perd son organe de presse historique, dont seul le
nom survivra dans la nouvelle raison sociale de l’hebdomadaire.
74
On a attendu à la mi-juin
pour reprendre la finition du
réaménagement routier à l’entrée de
Saint-Sauveur et les travaux avancent à
pas de tortue. Comme si on faisait
exprès pour que la saison touristique
soit un enfer. Sans parler de
l’étrange configuration routière
et des feux inefficaces…
L’artdevivre…
75

les laurentides

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