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Décembre 2010
Gennevilliers Magazine
4500
nouveaux
logements
d’ici 2016
n°209
Le métro
du futur . . .
Les
oiseaux
dans
la ville
Epicerie
solidaire
… en débat public
Axelle Red
à la salle
des fêtes
Le Père Noël
a son village
Forfait Corps 28 €
l'épilations 1/2 jambes
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Culture à domicile
disponibles
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spectacles
en appartement
Renseignements
et réservations
01 40 85 64 50
© Cécile Raoulas
25 artistes
SomMaire
pp.14
Marché de Noël
M
Il s’installe les 10, 11 et 12 décembre,
place Jean-Grandel.
pla
p.20
2011-2016
p.22
Le Programme local de l’habitat
pour les six ans à venir a été adopté.
Solidarité
p.16
16
Dossier
Le métro du futur en débat public.
p.24
Gennevilliers et Asnières,
partenaires autour d'une épicerie
sociale.
Des oiseaux et des
hommes
La maison de l’enfance Youri-Gagarine
est labellisée Refuge LPO.
p.26
p.28
Collège Guy-Môquet
Après la musique, les arts plastiques sont
enseignés au collège.
Histoire
Les fiefs.
p.30
Entreprise
ThyssenKrupp Monolift.
p.33
Culture
Axelle Red, le 3, à la salle des fêtes ;
une expo très g raphique à EdouardManet ; l’accordéon, sa vie, son
œuvre, en e xpo et en concer t ;
concert de musique romantique à
Edgar-Varèse ; de jolis albums pour
enfants… Bonnes fêtes de Noël !
p.40
Sports
Le club de rugby.
p.47
p.45
Pratique
L’association Couleur Tropic
fête ses dix ans.
Adresses utiles
p.48
Libre expression
Gennevilliers magazine - décembre 2010 /3
1
2
L’actu en images
1. Dépôts de gerbes au cimetière municipal, pour les cérémonies
du 11-Novembre.
2. Les jeunes diplômés du CAP, BEP, baccalauréat et de l’enseignement
supérieur, jusqu’à bac + 3, reçus en mairie et honorés le 9 novembre dernier.
3. Béret rubgy pour les élèves de CP et CE1. L’objectif : prendre le ballon
et aplatir un essai !
4. Réception des jeunes diplômés du brevet des collèges, reçus en mairie
et aussi honorés le 6 novembre dernier.
5
5. Dans le cadre de l’année de la femme à Gennevilliers, la MDC
expose des portraits de femmes avec… leurs poupées.
Un travail mené par l’ensemble des associations de femmes.
6. Cocktail d’accueil des participants à la 12e conférence internationale
sur l’intégration de l’information, les applications et les services Web,
le 8 novembre dernier, en mairie.
7. Cérémonie des récipiendaires pour la médaille du travail.
8. Balade insolite en chariot, organisée par l’association des commerçants des
marchés et la Ville. Les Gennevillois sont partis à la conquête des poireaux !
9. Assemblée générale de l’Office municipal des loisirs, le 6 novembre, à
l’Espace Grésillons, suivie d’un buffet campagnard et d’une soirée piano-bar.
10. Du 16 au 20 novembre, le Secours populaire français organisait sa grande
braderie de solidarité à l’Espace Grésillons.
11. Jeux vidéo, de cartes, de plateaux, d’imitation, d’ambiance.
A la seconde édition du Festival du jeu en famille, on joue, d’entrée de jeux !
12. Les gourmets et les autres étaient présents à la Foire aux vins
et aux produits régionaux !
8
10
4/Gennevilliers magazine - décembre 2010
13. Gros succès pour l’exposition « Reg’art d’enfants ». Ils sont doués,
ces petits.
11
3
6
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12
13
Gennevilliers magazine - décembre 2010 /5
ActuAlité
Cartes invalidité
Les titulaires d’un macaron Grand
Invalide de Guerr e (GIC) ou d’une
plaque Grand Invalide Civil (GIC) à durée limitée ont jusqu’au 31 décembre
2010 pour les remplacer par la Carte
européenne de stationnement. À partir du 1 er janvier prochain, l’utilisation
des anciennes cartes GIG/GIC sera
passible d’une amende de type 4.
Les personnes concernées doivent
s’adresser au CCAS, bureau 1 ou 3,
pour retirer un dossi er qui leur per mettra l’obtention de la Carte européenne (tél. 01 40 85 65 81) ou sur
le site de la Maison départementale
des personnes handicapées : mdph@
cg92.fr Renseignements au 01 41 91
92 50. Pour les invalides de guerre,
s’adresser à l’Office national des
anciens combattants et victimes de
guerre, tél. 01 42 04 48 97.
Collecte de livres
Dans le cadre du projet de Festival
international conduit par la direction de l’enfance et le service préadolescents, ce dernier organise une
collecte de livres adaptée aux préadolescents et aux adolescents, afin
de participer à la construction d’une
bibliothèque dans un établissement
scolaire du Burkina Faso. Outre cette
collecte, d’autres actions seront menées tout au long de l’année avec les
jeunes du club au profit de ce projet.
La collecte se fait au sein même du
club préado Jean-V igo, situé derrière
le cinéma Jean-V igo. Contact : Laetitia, au 01 40 85 48 91.
Apprentis stylistes
Cette année, au club Thomas-Bessot, les jeunes du s ervice préadolescents joueront les apprentis stylistes.
Pour leurs ateliers customisation et
couture, ils ont besoin de vi eux vêtements. Les vieilles « fripes » sont
les bienvenues au 56 bis, rue HenriBarbusse. Contact : Stella, au 01 47
92 02 78.
Diplômés
Les jeunes diplômés du brevet national des collèges sont invités à retirer
leur récompense jusqu’au 5 janvier
2011, au 8 e étage de la mairie, sur
présentation d’une pièce d’identité.
Logement
Les étudiants ont la possibilité de
compléter leur demande d’aide au
logement en ligne, directement sur
le site de la Caisse d’allocations familiales : www .caf.fr S’ils étaient déjà
bénéficiaires de cette prestation au
cours de l’année universitaire précédente, ils peuvent la renouveler en
indiquant seulement les informations
relatives à leur nouveau logement.
6/Gennevilliers magazine - décembre 2010
Violences faites aux femmes
La Ville
s’engage
A
l’occasion du 25 no
vembre,
Journée nationale de lutte contre
les violences faites aux femmes,
la Ville s’est engagée dans un cer tain
nombre d’actions en f aveur de ce combat. En affichant, tout le mois, dans ses
rues, des portraits d’hommes dénonçant
ces violences ; en or ganisant un débat
à la MDC, autour de la loi du 9 juillet
2010 relati ve aux violences f aites spécifiquement aux femmes, en présence
de femmes politiques et représentantes
d’associations impliquées dans ces
questions ; débat au terme duquel le pu-
En France, une femme sur dix
est victime de violences. STOP
Téléphone 39 19 : numéro d’écoute national unique et anonyme
blic a pu assister à la représentation de
la célèbre pièce « Les monolo gues du
vagin ». Le ser vice jeunesse s’est aussi
associé à ces manifestations, en or ganisant un « flash-mob » dans les différents
quartiers de la ville et la projection d’un
film documentaire dénonçant l’image
de la femme dans le rap. Du nouveau sur le site de la V ille
Écoutez… les pages !
U
ne nouv elle fonctionnalité
vient de f aire son apparition
sur le site Inter net de la Ville.
D’un simple clic, il est maintenant
possible d’écouter les pages du site
grâce à un système de v ocalisation, à
l’aide du petit « pla yer » placé à côté
de « Écouter la page », en haut à droite
du contenu de page. La lecture d’une
page ou d’une actualité se f ait d’un
simple clic dans toutes les r ubriques.
Un service pratique pour tous et accessible aux malv oyants, quel que soit le
navigateur Internet utilisé. Bénévoles
Une commission accessibilité
ActuAlité
Handicap
L’association Petits Princes, qui
réalise les rêves des enfants
gravement malades, recherche
des bénévoles. Les personnes
qui souhaitent s’investir auprès
des enfants malades, et sont
libres deux jours par semaine, peuvent a dresser u ne l ettre d e m otivation par courrier à : Association Petits
Princes, 15, rue Sarrette, 75014 Paris
(tél. 01 43 35 49 00) ; ou par courriel:
mail@petitsprinces.com ; site Inter net : www.petitsprinces.com
Unicef
L
e 16 no vembre der nier, la commission communale pour l’accessibilité des personnes handicapées a été officiellement installée par
le maire, et ses membres ont été désignés au sein d’institutions, d’élus de la
Ville, d’associations et d’usagers. Cette
commission a pour mission de dresser le
constat de l’état d’accessibilité du cadre
bâti e xistant de la v oirie, des espaces
publics et des transpor ts ; d’étab lir un
rapport annuel présenté en conseil municipal et de f aire toutes propositions
utiles de nature à améliorer la mise en
accessibilité de l’existant.
La Ville de Genne villiers n’a toutefois
pas attendu la loi de 2005 pour réfléchir et mettre en place des g roupes de
concertation sur la question du handicap, puisque, dès 2001, usagers et associations ont été associés à l’élaboration
d’une Charte Ville-Handicap. Nettoiement
Les o pérations d e n ettoiement a pprofondi, qui consistent en un nettoyage mécanique et manuel des
voies dans leur to talité (chaussées,
caniveaux, trottoirs), se poursuivent
ce mois-ci. Le 1 er décembre : allée
de la Pépinière, rue Fernand-Léger ,
rue Guillaume-Apollinaire, rue Ambroise-Croizat ; le 15 décembre : rue
Marcelin-Berthelot, rue Guy-de-Maupassant.
OML
Passer les fêtes
à la montagne
Jardinage
I
l est encore temps de passer les fêtes
de f in d’année entre neige et soleil.
À un mois de Noël, il reste quelques
places disponib les à Ceillac du 18 décembre au 1er janvier 2011 (séjour possible du dimanche au dimanche) ; du 12
au 26 février ; du 27 février au 6 mars.
Ainsi qu’aux Gets, du 18 décembre au
1er janvier 2011 (séjour possible du dimanche au dimanche).
Sur ces deux destinations, l’OML propose des tarifs très avantageux pour faciliter l’accès aux vacances au plus g rand
nombre de Genne villois. L’OML of fre
en outre une participation financière sur
les cours collectifs de ski, et des tarifs
préférentiels sur la location du matériel
de ski.
Outre ces deux destinations, il est également possib le de séjour ner à Châtel,
Doucy-Valmorel, La Norma, Les Deux-
Le comité départemental des Hautsde-Seine de l’Unicef recherche durant toute l’année des bénévoles capables d’informer les enfa nts dan s
les écoles du 92, sous forme de plaidoyers, sur les thèmes de la santé,
de l’éducation, de la protection et de
l’égalité. Sont également bienvenues
toutes personnes susceptibles d’aider aux tâches administratives au
siège du Comité 92 (courriel : unicef.
levallois@unicef.fr). L’Unicef 92 recherche aussi des personnes bénévoles pour aider en décembre à la
vente de cartes de vœux et cadeaux,
sur les stands, dans les centres commerciaux du 92. Tél. 01 42 70 78 23,
06 08 99 18 76.
Alpes pour le g rand ski, et à Xonr uptLongemer pour le ski de fond ou la
balade en raquettes, ou encore à Gérardmer pour le ski de descente.
Et si v ous préférez la mer , BoullevilleHonfleur ou Ca yeux-sur-Mer ne sont
qu’à 2 heures de Genne villiers ! P our
les amateurs de campagne, Ménilles est
à moins de 100 km. Ces destinations et
toutes celles de la brochure-vacances de
l’OML sont en général ouvertes toute la
saison Une g rande di versité pour que
chacun puisse trouv er un séjour à sa
convenance. De janvier à juin 2011, le Conseil
général d es H auts-de-Seine d onne
rendez-vous a ux p assionnés e t a ux
curieux dans les parcs et jardins
du département, pour partager leur
amour de la nature, apprendre de
nouvelles techniques de jardinage
et approfondir leur savoir . Inscription
obligatoire au 01 41 13 03 83 ou sur
jardinage@cg92.fr
Fnaca
Nouveaux horaires pour les permanences du comité de Gennevilliers
de la Fnaca. Dès janvier 2011, ses
membres re çoivent à la Ma ison du
combattant, le jeudi, de 17 heures à
19 heures, et le premier dimanche
de chaque mois, de 10 heures à 12
heures (sauf dimanche férié).
Tél. 01 40 85 48 12.
Gennevilliers magazine - décembre 2010 /7
ActuAlité
« Grosse fatigue »
Une projection du film de Michel
Blanc, « Grosse fatigue », réservée
aux non-voyants et malvoyants, a lieu
en audiovision, lundi 6 décembre, à
13 h 45, au cinéma André-Malraux
de Villeneuve-la-Garenne. Contact et
réservations au 01 40 85 62 56.
Multimédia
Les mathématiques, un jeu d’enfants
8e édition
Prochains rendez-vous de décembr e
des ateliers d’initiation multimédia (à
partir de 14 a ns) : atelier messagerie,
mardi 7, de 18 h 30 à 20 heures et
vendredi 10, de 10 heures à 12 heures;
atelier traitement de texte, mardi 14,
de 18 h 30 à 20 heures et vendredi 17,
de 10 heures à 12 heures. Inscriptions
gratuites et renseignements au 01 40
85 66 47 ou 64 61.
UP 92
Les cours de l’Université populaire
sont constitués d’une série de cinq ou
six séances de deux heures. Les dates
et horaires sont détaillés sur le site
www.universite-populaire92.org
Numérique
Le 8 mars 2011, l’Ile-de-France passera au « tout numérique » audiovisuel.
Cela signifie l’arrêt de la diffusion des
six chaînes reçues par l’antenne râteau e t s on r emplacement d éfinitif
par la TNT (télévision numérique ter restre) ou un autre mode de diffusion
numérique (satellite, câble, ADSL ou
fibre optique). Plus d’informations sur
www.tousaunumerique.fr ou au 09
70 81 88 18 (prix d’un appel local).
Gaz naturel
Voici quelques numéros utiles concernant l ’accès a u g az n aturel p our l es
usagers de la commune. Urgence sécurité gaz : 0 800 47 33 33 (appel
gratuit depuis un poste fixe). Raccor dement a u g az n aturel : 0 8 10 2 24
000 (prix d’un appel local). La liste
des autres fournisseurs de gaz naturel
que Gaz de France présents sur la
commune, est disponible sur le site de
la commission de régulation de l’énergie, www.cre.fr
Noël durable
Les fêtes de fin d’année sont une
période de grande consommation et
donc de déchets à venir. Il est conseillé
de choisir un sapin non floqué, lequel
pourra être dépos é sur le trottoi r
chaque lundi et jeudi de janvier avant
8 heures. Ils seront ramassés par le
service Gennevilliers Propreté et valorisés en compost, ce qui n’est pas le cas
des sapins floqués. Pour les papiers cadeaux, évitez les papiers métallisés ou
comportant du plastique, qui ne sont
pas recyclables.
8/Gennevilliers magazine - décembre 2010
Du 6 au 10 décembre
Math’Gic à la salle des fêtes
M
ath’Gic revient à la salle des
fêtes pour cette manifestation
ludique annuelle ouverte aux
scolaires, du CM2 à la terminale, mais
également au g rand pub lic. Plus de 9
200 élèv es y ont déjà par ticipé. F ondée sur les pro grammes scolaires, elle
cherche à aider élèves, parents, professeurs, et à s’ouvrir à l’uni vers mathématique !
Math’Gic est ouv ert aux visiteurs de 9
heures à 12 heures et de 13 h 30 à 16
h 30. La visite est libre et g ratuite. Le
mercredi après-midi est dédié à la visite
du grand public (familles, enfants ).
À noter notamment au programme : mercredi 8 décembre, dans l’auditorium de
la bibliothèque François-Rabelais, à 14
heures et 15 h 15, un conte, «Histoire de
fou », sera présenté par l’association Les
Atomes Crochus ; jeudi 9 décembre, à
19 heures, à la salle des fêtes, M. Pier re
Léna, astrophysicien, professeur émérite
à l’Université Paris Diderot, membre de
l’Académie des sciences dont il est délégué à l’éducation et la formation, cofondateur de « La main à la pâte » aux côtés
des ph ysiciens Yves Quéré, académicien, et Georges Charpak (académicien,
prix Nobel de ph ysique 1992), donnera
une conférence ouverte au public : « La
science pour tous, à l’école et au collège : pourquoi ? Comment ? » Plus d’infos sur www.mathgic.com
Enquête
Les déplacements des Franciliens
L
e syndicat des transpor ts d’Ilede-France (Stif) et l’État réalisent une enquête auprès des ménages franciliens jusqu’en a vril 2011.
L’objectif de ce tra vail est de recenser
les déplacements des Franciliens, quels
que soient leurs lieux d’habitation et
leurs habitudes.
C’est l’or ganisme TNS Sofres, choisi
pour réaliser cette enquête, qui contactera par téléphone puis par cour rier les
personnes sollicitées.
Ensuite, un enquêteur muni d’une accréditation officielle se rendra au domicile
des personnes contactées pour réaliser
l’entretien. Coordonnées
Sept agents de développement social et culturel
relaient les informations auprès des habitants.
Leur rôle : aider les associations ou groupes à faire
aboutir leurs projets, favoriser l’animation du quartier (sorties, loisirs...). Voici leurs coordonnées :
AGNETTES-CHEVRINS
FOSSÉ-DE-L’AUMÔNE
TOUS QUARTIERS
Une Passerelle
de 25 ans
QuarTierS
Par Frédéric Lombard
Chef de projet :
Évelyne Bleux, 01 40 85 48 51.
- Agnettes :
Ipticem Ayadi, 1, rue Julien-Mocquard,
01 40 85 48 50.
- Chevrins : Baya Mazri,
01 40 85 48 54 ou 06 34 46 38 87
- Fossé-de-l’Aumône :
Bruno Hervouet, place Jules-Guesde,
01 41 21 04 94 ou 06 11 44 97 15
GRÉSILLONSCHANDON-BRENU-SÉVINES
Chef de projet :
Géraldine Fauvel, 01 40 85 60 41.
- Grésillons :
Laïla Melaz, 30-40, rue F.-Kovac,
01 40 85 60 40 ou 06 23 16 52 22.
- Chandon-Brenu-Sévines :
Ridha Dahan, Arthur Jouanaud,
100, rue H.-Barbusse,
01 47 94 50 16 ou 06 12 96 70 64.
LUTH-VILLAGE
Chef de projet : Meguedouda Kerma.
- Luth : 7, avenue du Luth. 01 40 85 49 20.
- Village : Malek Ghanem, 2, rue J.-Moulin,
01 40 85 60 79 ou 06 18 66 38 22.
CHANDON-BRENU-SÉVINES
Conseil
Mercredi 1 er décembre, à 18 h 30, réunion
du bureau du conseil local de quartier, dans
la salle du 7-13, avenue des Sévines.
« Il était une fois »
Samedi 18 décembre, sortie au théâtre
musical Marsoulan, à Paris, pour aller voir
« Il était une fois », un spectacle musical.
Rien ne va plus dans les contes de fées,
l prétendant
p
le
de Blanche
Neige est
amoureux
d’une sor c iè
cière
! Inscriptions
me
mercredi
8
dé
décembre,
à
1 8 h eures,
18
a u local du
au
co
comité
de
q u a r t i e r,
100, rue
H
Henri-Barb
busse.
I
l n’est pas dans les habitudes du relais parental « P asserelle 92 » de se
mettre dans la lumière, préférant de
loin l’être au paraître et l’action aux longs
discours. Exception faite ce 19 novembre,
où, en présence notamment du maire de
Gennevilliers et du représentant du préfet
des Hauts-de-Seine, l’association célébrait un quar t de siècle de son implantation sur la commune. C’était en 1985.
Historiquement, ce fut dans l’ancienne
ferme de la r ue Félicie, puis r ue HenriBarbusse en 1989 et au 34, rue VilleboisMareuil depuis 1994. L’association « Passerelle 92 » ne s’est jamais départie de sa
vocation de relais parental. Elle accueille
sur ses deux lieux de vie, sept jours sur
sept et 24h/24, 36 enfants dont les parents sont confrontés à des prob lèmes
familiaux, sociaux, éducatifs ou de santé,
ponctuels ou périodiques. Les enf ants
sont ainsi accueillis à la demande des parents, en dehors de toute mesure administrative ou judiciaire. La lo gique est celle
de la prév ention. Ils continuent d’aller à
l’école mais vivent le reste de la jour née
et dor ment dans leur « deuxième » maison, véritable cocon reconstitué autour
d’eux. Le relais parental se v eut un lieu
intermédiaire entre l’intimité f amiliale
et le monde e xtérieur. D’ailleurs, une
vingtaine d’enf ants sont les hôtes de f amilles relais. « Nous soignons les valeurs
énoncées dans notr e c harte, comme la
créativité, l’hospitalité, la simplicité et la
rencontre avec l’autr e », a rappelé dans
son intervention Nicole Madrennes, présidente de Passerelle 92. Une association
reconnue unanimement pour la qualité de
son travail au quotidien auprès des enfants, et toujours en collaboration a vec
leurs parents. Gennevilliers magazine - décembre 2010 /9
QuarTierS
CHEVRINS
Les enfants fêtent Noël
VILLAGE
Téléthon et handicap
À l’occasion du Téléthon 2010, samedi 4 décembre, de 14 heur es à 18 heures, l’antenne
Luth-Village, le service des Sports et l’association CVHG organisent plusieurs parcours sur le
plateau d’évolution Gustave-Caillebotte, sur le
thème du handicap.
Bienvenue à l’atelier…
Celui de Dominique Gay, alias Yagdom, artiste
plasticien gennevillois à l’imagination fertile,
qui invite aux journées portes ouvertes de son
atelier, les samedi 4 et dimanche 5 décembre,
de 14 heures à 19 heures. Un accueil des plus
ur
sympas avec café, thé ou chocolat chaud pour
les visiteurs. 25, rue Retrou. Tél. 01 47 99 1313
66 ; 06 43 35 12 65 ; http:/yagdom.com
Pachacamac
Samedi 11 décembre, à 20 heures, concert
ncert
Amérique latine avec le groupe Pachacamac
à l’église Sainte-Marie-Madeleine, organisé en
partenariat avec l’OTSI, à l’occasion du marché
de Noël. Inscriptions samedi 4 décembre, à
l’antenne du Village, de 10 heures à 12 heures.
Possibilité de retirer les billets sur place. T arif
unique : 3 euros. Renseignements auprès de
Malek Ghanem, agent de développement du
Village, au 06 18 66 38 22.
Le bruit du silence
Vendredi 17 décembre, de 19 heures à
22 h 30, spectacle « Le Bruit du silence »,
en partenariat avec l’OPH, au préau de
l’école p rimaire G ustave-Caillebotte. I nscriptions jeudi 2 déc embre, de 18 heures à
20 heures, à l’antenne du V illage et à l’OPH.
n plat
Tarif d’entrée au spectacle : apporter un
salé ou sucré.
I
l se passe toujours quelque chose
dans le quar tier, aux alentours de
Noël. C’est le « Noël des enf ants ».
Mieux qu’une habitude, c’est une tradition et le désir renouv elé d’habitants
d’offrir chaque f in d’année une jolie
surprise aux enf ants. L’architecture est
éprouvée, un spectacle ou une projection de f ilm au cinéma Jean-V igo, le
tout suivi d’un goûter et d’une remise de
cadeaux aux enfants par le Père Noël en
personne. Classique peut-être, mais ter riblement efficace. Il n’y a qu’à v oir la
bouille ravie des gamins que les parents
viennent rechercher le soir , pour comprendre tout l’impact de cet après-midi.
C’est ça, la magie de Noël. Cette année
encore, elle opérera à fond. Samedi 18
décembre, le bureau du conseil de quartier des Che vrins/Cité-jardin propose
un « Noël des enf ants » qui débutera à
16 heures par la projection de « Megamind », un dessin animé tous publics des
studios DreamW orks qui car tonne au
box-office. C’est l’histoire du super méchant le plus génial de l’humanité, et le
10/Gennevilliers magazine - décembre 2010
pire loser aussi… qui essaye de conquérir par tous les mo yens Metro City , en
vain. Hilarant ! Après le film, les enfants
seront guidés jusqu’à la Maison pour
tous où un goûter leur sera offert jusqu’à
19 h 30. Il y aura des bonbons, des jus de
fruits et des gâteaux confectionnés par
les membres de l’atelier de créati vité et
le bureau du conseil de quartier. C’est le
moment que choisira également le Père
Noël pour f aire son entrée et distribuer
des cadeaux à tous. « Une quinzaine de
bénévoles encadr eront ce moment f ort
dans la vie du quartier », explique Maeva, chargée de la commission animation.
La jeune f ille a g randi aux Che vrins.
Elle se souvient qu’elle aussi, enf ant,
participait à ces Noëls dont elle garde un
merveilleux souvenir. Passée de l’autre
côté de la barrière, elle veut faire de cette
édition 2010 un moment inoubliable. Les inscriptions au « Noël des enfants »
sont prises mercredi 8 décembre, de 17
heures à 19 h 30, à la salle de la Maison
pour tous (à l’arrière du cinéma JeanVigo). Entrée : 1 euro par personne.
Bouglione
Samedi 23 décembre, a lieu une sortie familiale
ale
5
au cirque Bouglione, à Paris. Départ en car à 15
h 30 ; retour vers 22 h 30. Inscriptions samedi
4 décembre, de 10 heures à 12 heures, à l’antenne du Village. Tarif unique : 10 euros.
Quine !
La Fnaca organise un loto, samedi 18 décembre,
dès 14 heures, à la Ferme de l’Horloge. Nombreux lots à gagner . Un carton : 3 euros ; 3 car tons : 8 euros. Faim et soif ? Pas de problème, la
Fnaca vend crêpes et boissons.
Cité des sciences
Dimanche 12 décembre, les P’ tits villageois proposent une sortie à la Cité des sciences. Les 5-12
ans auront la possibilité de se rendre à la Cité
des enfants et les plus grands visiteront l’exposition « Bon appétit ». Rendez-vous à 12 h 30
au rond-point Jean-Pierre-Timbaud. Inscriptions
samedi 4 décembre, de 10 heures à 12 heures,
ique : 5 e uros.
à l ’antenne d u Village. Tarif u nique
Se munir de titres de transpor
transport.
QuarTierS
Théâtre
GRÉSILLONS
Samedi 18 décembre, les P’ tits villageois organisent une sortie au Théâtre de Nesles, à Paris,
pour voir « Jacques Offenbach et la Mouche enchantée ». Rendez-vous à 14 heures à la station
de métro Les Courtilles. Inscriptions samedi
4 décembre, de 10 heures à 12 heures, à l’antenne du Village. Tarif unique 5 euros. Se munir
de titres de transport.
Complet !
La représentation du 23 décembre, à 20 h 30,
de « l’Avare » à la Comédie-Française, est malheureusement complète. Toutefois, il reste des
places pour les autres pièces prévues en février
et mars . Contact au 0 6 11 68 46 09 ou par
courriel : ptitsvillageois@orange.fr
GRÉSILLONS
Sortie familiale
Le Point info famille de l’antenne des Grésillons propose une sortie au Cirque Phénix,
mercredi 29 décembre. Rendez-vous à 13
h 15 sur l’esplanade Paul-V aillant-Couturier. Inscriptions à l’antenne des Grésillons,
mardi 14 décembre, de 18 heures à 19 h
30. Départ en car. Tarifs : moins de 12 ans,
5 euros ; adulte et plus de 12 ans : 8 euros.
Jouets solidaires
Mercredi 15 décembre, de 14 heures
à 18 heures, l’Espace Grésillons propose un grand goûter solidaire pour les
enfants. A u p rogramme, u n s pectacle,
« Ouhlala ! », par l a troupe W anbliproduction
de Magic Show, et un goûter. À cette occasion,
les jouets collectés lors de la soirée du 11 décembre à la résidence Camille-Cartier , au Luth,
seront remis aux enfants.
Trois quartiers,
une sortie
Samedi 18 décembre, les antennes des
Agnettes, d u F ossé-de-l’Aumône e t d e
Chevrins/Cité-jardin proposent une sortie
familiale au cirque Phénix, à Paris. L es
inscriptions sont prises jeudi 9 décembre,
de 18 heures à 20 heures. À l’antenne
des Agnettes, 1, rue Julien-Mocquard,
pour les habitants des Agnettes. À l’antenne d u Fo ssé, 6 , p lace Ju les-Guesde,
pour les habitants des Chevri ns et du
Fossé.
Tarif unique :
10 euros.
Plus d’infos
auprès
de l’antenne
des Agnettes,
au 01 40 85
48 50.
Doisneau
à l’heure
du multimédia
L
es bib liothèques aussi se mettent au diapason du multimédia
et d’Inter net. C’est déjà le cas
à la bib liothèque F rançois-Rabelais.
Sur le même modèle, début 2011, elle
sera rejointe par son alter ego RobertDoisneau. L’équipement culturel, situé
à l’intérieur de l’Espace Grésillons, est
déjà prêt à accueillir les six ordinateurs
et les deux imprimantes qui lui sont destinés. Au rez-de-chaussée consacré à la
partie adulte, des tables ont été alignées
le long du mur . Sur chacune d’elles,
un abat-jour . Trois postes seront posés dessus. Les trois autres trouv eront
leur place à l’étage jeunesse, dans la
salle de tra vail en g roupe. Chaque pôle
multimédia sera connecté à une imprimante. « Les ordinateurs seront tous
équipés d’Internet et disposer ont d’une
sélection de sites utiles, choisis par un
bibliothécaire, dans des domaines aussi
variés que les droits, la cuisine, les arts,
les formations, etc. », explique Patricia
Drouot, responsable de la bib liothèque.
Les por tails comme Goo gle ou Yahoo
seront également en libre accès par les
utilisateurs. Dans le secteur jeunesse, un
filtre spécial et une page d’accueil enfants éviteront les mauvaises rencontres
sur la Toile. Ils pour ront également se
déterminer par mi une sélection de CD
de jeux. Les sept salariés de la bib liothèque seront formés à l’accompagnement des internautes durant leur navigation. « L’arrivée du multimédia répond
à une attente parmi les 1 300 personnes
inscrites à Robert-Doisneau. » Sa collègue considère la na vigation sur Inter net
comme complémentaire de la consultation des suppor ts papiers. Elle sait
aussi que des demandes nouv elles vont
certainement sur gir, comme une aide à
la rédaction de CV ou la consultation
de sites de recherche d’emploi. Le développement de la fonction multimédia
s’annonce comme un plus pour les habitués de l’équipement. Il devrait en attirer
de nouv eaux. En tout cas, quatre mois
après son coup de neuf – réfection des
peintures intérieures, réaménagement
des lieux, « désherbage » des collections
– , la bib liothèque s’apprête à entrer de
pleine page dans le XXIe siècle. GRESILLONS
Beau Noël solidaire
Vendredi 17 décembre, de 19 heures à minuit, à l’Espace Grésillons, mettez-vous
sur votre 31 pour passer avant l’heure, un réveillon de Noël joyeux et solidaire. A
19 heures, concert du groupe Karamba. A 20 heures, démonstration de danses :
antillaise avec l’association Couleur T ropic ; de rock et de salon avec Geneviève
et Alfred. A 20h30, buffet comprenant entrée, plat, dessert et boisson, servi
avec amour par l’association APG. Puis, DJ Loulou et ses platines vous feront
danser jusqu’aux 12 coups de minuit. Sur place, un photographe pourra réaliser
un joli portrait de famille, disponible le 12 janvier, lors de la galette des rois. Droit
d’entrée : un jouet neuf sous emballage par famille. Les jouets seront remis au
Secours populaire français. Cette soirée est financée par le conseil de quartier et
organisée par la commission animation, en partenariat avec l’antenne des Grésillons et le SPF.
Réservations à l’antenne des Grésillons, 28, rue Paul-Vaillant-Couturier,
1er étage (tél. 01 40 85 60 40).
Gennevilliers magazine - décembre 2010 /11
QuarTierS
AGNETTES
À contes d’auteur
AGNETTES
« Gentil coquelicot »
à la MDC
En partenariat avec l’OPH de Gennevilliers,
rs,
Maisamedi 11 décembre, à 16 h 30, à la Maimpagnie
son du développement culturel, la compagnie
licot»,» ,
Le Pli de la voix joue « Gentil coquelicot
chanun spectacle musical conçu à partir deechanartistes.
sons d’Henri Salvador et d’autres artistes.
très
La représentation s’adresse aux très
d’un
jeunes et à leurs parents, suivie d’un
ce regoûter. Inscriptions auprès du service
du
lations publiques de l’OPH à partirirdu
neau
au
mercredi 1 er décembre, par téléphone
que
01 46 85 88 88. Attention, il n’y ya aque
80 places de disponibles.
Conseil de quartier
er
Mardi 7 décembre, de 18 heures à à20
20
h 30, au club Agir (rue du 8-mai-1945)
se
déroule la séanc e plénière du conseil de quar tier d es A gnettes. L es m embres d u b ureau
vous feront part des différents projets qu’ils
souhaitent mettre en place avec les habitants
al,
du quartier (commissions : animation, journal,
pabien-être, aménagement). Le budget participatif 2011 du conseil de quartier sera proposé.
Jour de fêtes
J
ean-Louis Le Craver aime la langue
et l’har monie des mots, et puis les
histoires, ces contes qui ont traversé
les époques et év olué a vec. Véritable
chasseur de contes du monde entier , cet
ex-dessinateur en architecture, animateur culturel, comédien et guitariste f ait
vibrer ses cordes v ocales depuis plus
de trente ans de vant des pub lics de 4 à
97 ans. « J’ai démarré en 1979 à la bibliothèque François-Rabelais », rappelle
notre conteur professionnel et for mateur
à l’art du conte. Le bouche-à-oreille et le
talent de l’ar tiste ont f ait le reste. « Un
bon conteur requiert trois qualités : les
mots justes, le naturel et la musicalité. »
Lorsqu’il feuillette son réper toire de
contes, il peut en e xtraire haut la main
plus d’une cinquantaine.
« Ce sont
souvent des histoir es que j’ai adaptées
à partir de ver sions plus ou moins
connues ou que j’ai r etrouvées », ajoute
cet ér udit. D’un continent à l’autre, les
versions changent mais la trame reste
souvent la même. « Din’Roa la Vaillante,
par exemple, est un conte c hinois qui se
12/Gennevilliers magazine - décembre 2010
rapproche beaucoup du P etit c haperon
rouge. » Sa quête a conduit ce Breton
d’origine sur plusieurs continents. Mais
il nour rit un amour pour les contes celtiques qu’il a remis au goût du jour. Il publie en 2007 un recueil intitulé « Contes
populaires de Haute-Bretagne », en gallo
et en français, s’il v ous plaît ! Son activité l’a conduit partout en France et dans
les pa ys francophones, sur les lieux de
lecture, les festivals et les salons du livre.
alement auauJean-Louis Le Cra ver est également
teur. Il a publié une quinzainee de contes,
strateurs.
en collaboration avec des illustrateurs.
e d’Oret et
Le der nier en date, « Boucle d’Or
vec Irène
les trois ours », a été réalisé avec
ouvrageàà
Bonacina. Un magnif ique ouvrage
l’aquarelle et à la plume, par paruu
aussi
chez Didier Jeunesse (v oir aussi
p. 37, r ubrique culture). Ce lilivre
vre a
d’ailleurs été sélectionné parr le
le jur
juryy
du Prix littéraire des enf ants.
« C’est un plaisir et un honnneur. J e ser ai toujour s r econnaissant à ma ville de m’avoirvoir
mis le pied à l’étrier. » Marquer en même temps la fin du trimestre
estre
scolaire et l’arrivée de Noël, c’est le sens de la
fête qui se déploie vendredi 17 décembre, rue
Roger-Pointard, entre les écoles Henri-W allon
A et Joliot-Curie. De nombreuses surprises
guetteront les enfants dès la sortie des classes.
Parmi elles, une parade dans le quartier , qui
démarre à 16 h 30, rue Julien-Mocquard, avec
des artistes de rues, fanfare, lutins et clowns,
et un feu d’artifice de confettis. Arrivée prévue
à 17 h 30 au gymnase Henri-W allon avec un
goûter à 18 heures. La commission animation du conseil de quartier , l’association Unité
Gavroche, les parents d’élèves du quartier , la
maison de l’enfance, le service jeunesse et l’Ofed
fice communal Agir sont à l’initiative
de cette
première édition.
CHEVRINS/CITÉ JARDIN
Téléthon créatif
Samedi 4 décembre, l’atelier de créativité
ivitéororganise, au profit du Téléthon 2010, une vente
d’objets réalisés durant ses activités. Rendezvous de 10
10 heures
heuresàà18
1 heures, sous
la tente dressée
dressée ààcôté du cinéma
Jean-Vigo. Sur pl
a les enfants
place,
pourront f aire
a
u ne p êche
à la ligne. Des
D enveloppes
cadeaux ser
o également
seront
proposées.
Dimanche 5 décembre,
d
re, l’atel ate
lier organise, de 14 heures
eures à
19 heures, un loto-goûgoûter à la salle MaiMaison pour tous.
ous.
Là aussi,
au
proles profits seront
s
ver-rever
sés au Téléthon.
T
n.
Repas solidaire
Samedi 11 décembre, à partir de 19 heures, à
la résidence Camille-Cartier, l’antenne du quartier Luth-Village organise un repas solidaire en
partenariat avec le comité de la Croix-Rouge
française, le Secours populaire français, la résidence, l’association Cuisines du monde, le club
de prévention Page, l’Apes, le service préadolescents et l’atelier créativité des Locom’ s. Le
repas sera suivi d’une soirée dansante avec la
compagnie Philband 93. Participation demanun jouet
jouet
dée : apporterr un
neuf (non emballé) à l’antenne du Luth
(7, avenue duu
Luth).
Plus belle la résidence
QuarTierS
LUTH
LUTH
Permanences
Les élus du Luth vous reçoivent les mardis
7 décembre et 4 janvier , de 18 heures à 19
heures, à l’antenne du Luth.
FFOSSÉ-DE-L’AUMÔNE
Téléthon
Samedi 4 décembre, l’association Renaissance organ ise une vente d’écharpes,
de bonnets, couvertures et autres
« merveilles » en t ricot, de 12 heures à 18
heures, à l’antenne de quartier (6, place JulesGuesde). L’intégralité des bénéfices ira à l’édition 2010 du Téléthon.
SOS laine
SO
La Clinique du vêtement
r
recherche
de toute ur g
gence
d e l a l aine p our
alimenter son atelier
de confection. V ous
pouvez joindre l’agent
d
nt, au
au
de développement,
0
06 11 44 97 15.
Place en fête
Les 21, 22 et 23 décembre, la place JulesGuesde accueille une série d’animations de
Noël. Au programme des réjouissances, de 14
heures à 19 heures, un manège, un spectacle
de marionnettes (mercredi 22), un atelier de
Noël avec la maison de l’enfance, des jeux,
des décorations, un chocolat « show ». Sans
oublier la visite du Père Noël. Renseignements
auprès de l’agent de développement, au 01 41
21 04 94 ou 06 11 44 97 15.
T
our du propriétaire, allocutions et
petits fours, la résidence CamilleCartier n’a pas échappé au règlement du genre en matière d’inauguration. Pas celle de l’établissement, inséré
depuis une trentaine d’années dans le
tissu du quar tier, r ue P aul-Verlaine. La
petite
p
cérémonie qui s’est déroulée le 22
novembre der nier, en présence des élus
de la municipalité, mar quait symboliquement la fin des travaux de résidentialisation qui ont habité son quotidien
durant neuf mois. Mais cela en v alait la
peine. Les aménagements ont redonné
un coup de jeune à la résidence et ouvert de nouv elles possibilités à ses 80
résidents. L’opération a constitué en un
vaste
v
réaménagement des espaces e xtérieurs.
té
Celle-ci s’est composée d’une
r
redéfinition
des surf aces dédiées au
stationnement et celles consacrées aux
espaces verts. Un gazon renforcé a été
s
semé.
Les par terres ont été ref aits à
n
neuf.
De nouveaux arbres ont été planté dont trois Gingko Biloba, une vatés,
ri connue pour sa vitalité et sa longériété
vité. C’est aussi le lo go de l’association
Arefo, qui gère la résidence. Désormais,
un sentier serpente au pied du bâtiment.
Les clôtures ont été changées. Elles vont
de pair avec l’installation d’un portail télécommandé et la pose d’un inter phone
à l’entrée. Un espace repas a été créé
pour les beaux jours. C’est également
l’aménagement d’un terrain de boules et
celui d’un vrai potager, structuré en banquettes qui culminent à 45 centimètres
du sol. Le jardinage sera confié aux résidents eux-mêmes. « Ces deux demandes
émanent des résidents que nous avons
concerté », précise Jean-Paul Gélin, responsable de l’établissement.
Les travaux avaient démarré au mois de
février par un g ros labeur de ter rassement, prélude au remplacement de l’ancien bitume. « Le phasa ge du c hantier
était bien or ganisé, ce qui a réduit au
maximum les nuisances pour nos résidents » , poursuit le directeur . Cette résidentialisation est une suite lo gique à
la réhabilitation lourde entreprise à Camille-Cartier en 2005. Gennevilliers magazine - décembre 2010 /13
Du10au12
Vendredi 10, samedi 11 et dimanche 12 décembre, bloquez l’agenda !
Place à la magie du Marché de Noël, organisé par l’Office de tourisme,
qui s’installe place Jean-Grandel. Trois jours d’animations, de surprises,
de gastronomie, d’idées de cadeaux à offrir ou à s’offrir.
ç
a étincelle, ça ra yonne de joie, ça
rit, ça chante, ça déguste Y’a même
des lutins qui se f aufilent entre les
jambes des grands… Des lutins ? Euh…
en fait des enfants ! Et en cherchant bien,
on peut même trouver des ours bruns, des
castors, des loutres. Mais que se passe-t-il
donc, ici ? P ardon ? Vous ne sa vez pas ?
Mais c’est le marché de Noël qui prend
ses quar tiers d’hiver ! On ne peut pas le
rater, il est toujours à la même place. On
dit même que le Père Noël tient absolument à v enir ici, tous les ans. C’est son
village, après tout. Suivez-moi, je vais
vous y emmener.
Cadeaux et gastronomie
Au village du Père Noël, dans les dix-huit
chalets, mille et une choses nous attendent. Plaisir des y eux, dans un premier
temps, où s’e xposent broderies, décorations de Noël, cosmétiques, photophores,
galets décoratifs, bougies, lampes, v ases,
peintures, bijoux, peluches, jouets…
Plaisir du palais, dans un second , où sont
présentés produits bios, huile d’oli
ve,
fromages, poissons fumés, foies gras,
confits, mag rets, saucissons, rillettes,
tartiflette et vin chaud… Et les raisins
macérés au vin de sauternes enrobés de
chocolat noir, vous les avez goûtés ? Ouh,
là, là ! Envie de retrouver votre âme d’enfant ? Voici qu’arrivent à vos narines des
effluves de gaufres et de barbes à papa ;
plus loin des senteurs de crêpes et de chocolat chaud, préparés par les associations
Genn’Village et Genne villiers commerce
artisanat (GCA). Durant les trois jours, on
peut se restaurer , sous chapiteau chauf fé,
et déguster tar tiflette ou choucroute, assiettes landaise ou nordique.
Ateliers pour les lutins
« J’ veux aller au manèg e et à la pêc he
aux canards ! » , infor me v otre petit lutin,
très déter miné à f aire les deux en même
Chassez le trésor !
La remise des lots de la grande chasse
au trésor de Noël, organisée par GCA, a
lieu le dimanche, à 11 heures. Premier
prix : un ordinateur portable.
14/Gennevilliers magazine - décembre 2010
temps. Eh oui, c’est cela le Marché
de Noël. Plein de choses à voir et à
faire. Envie de se grimer ? Direction l’atelier maquillage. Envie de créer ? Trois ateliers s’offrent aux enfants : l’un de sculpture sur ballons, avec M. Cherré, l’autre de
sculpture sur glace, a vec Steve Armance,
champion du monde de la catégorie, le troisième, le dimanche, à 14 heures,vec
a Dominique Gay, artiste gennevillois, pour qui la
récup’ est un v aste champ de créations.
Objectif ? F abriquer des décorations de
Noël avec tout et rien. En vie de déguster ?
L’atelier de confection de sablés, animé par
M. Caillaut, du restaurant l’Ambassade des
Terroirs, et M. Santos, de la boulangerie A
la four née du Village, attirera bon nombre
de petits gourmands.
Envie d’aller
dd’’allerau spectacle ? On peut
éécouter
éc
outer la chorale
cho
h
avec les enfants qui se
relaient pour cchanter sur la scène, le vendredi. On peut visiter la forêt féerique
de Noël a vec une trentaine d’automates
– ours br un, castors, loutres … On peut
aussi écouter des contes pour enf ants
sous le chapiteau chauf fé, assister le
samedi, à 16 heures, au concert de P achacamac, g roupe d’Amérique latine
ne*.
**.
En attendant l’arrivée du Père Noël, à 17
heures, un goûter est of fert aux enf ants,
à 16 h 30, par les associations Genn’Village et GCA. Juste après, les Magiciens
du feu offrent un feu d’ar tifice. Pour les
enfants – et les g rands –, il est temps
d’agiter les bâtonnets lumineux, comme
autant de centaines de petites lucioles qui
annoncent Noël.
* Ég alement en concert à l’église SainteMarie-Madeleine, le samedi, à 20 h 30.
Tarif unique : 3 eur os. Billets en vente le 4
décembre, de 10 heur es à 12 heur es, à l’antenne du Village, ou sur place, dès 20 heures.
Du10au12
Le Pè
Père Noël arrive !
Martine Chaymotty
Cha
Illuminé !
Noël ne serait pas Noël sans les illuminations. Au service de l’éclairage public,
on n’a pas chômé. Toutes les lampes à
incandescence des guirlandes ont été
supprimées et remplacées par des leds,
moins gourmands en énergie.
Noël partout
dans la ville
Pour c onnaître l es a nimations d e
Noël dans les quartiers, reportez-vous
pages 9 à 13, rubrique quartiers.
Gennevilliers magazine - décembre 2010 /15
DosSier
Réseaux de transports franciliens
Les Gennevillois sont
Les deux pr ojets de tr ansports collectifs pour la régi on parisienne à l’h
consultation publique jusqu’à fin janvier 2011. 12 millions de Franciliens son
deux projets (1) invitent les Gennevillois à venir donner leur avis le 15 décem
(1) La CNDP, Commission nationale du débat public
L
a création d’un réseau fer ré circulaire, reliant directement les communes franciliennes situées autour
de Paris, est une exigence ancienne et
constante des usagers et des élus locaux.
En effet, les lignes de transport ferré actuel, conçues en radiale v ers le centre de
Paris, ne répondent pas aux besoins de
déplacements de banlieue à banlieue des
Franciliens. Les usagers doi vent pouv oir
se déplacer rapidement sans être ob ligés
de passer par Paris.
Il est donc ur gent que le métro circulaire
soit réalisé à cour t terme. Sa mise en cir culation avant 2020 doit être une priorité
pour l’ensemble des pouvoirs publics locaux et nationaux, a vec des in vestissements de l’État à la hauteur des besoins
d’amélioration et de moder nisation des
réseaux de transpor ts publics, depuis trop
longtemps abandonnés.
Un développement urbain
équilibré
La création d’un réseau de transport circulaire doit être un moyen de réduire réelle-
16/Gennevilliers magazine - décembre 2010
ment les inégalités territoriales et sociales
qui fracturent l’Ile-de-F
rance depuis
des décennies. L ’aménagement de l’espace francilien a f avorisé l’émergence de
quelques pôles de dév eloppement au détriment de l’essor des ter ritoires environnants, éloignant de plus en plus les salariés de leur lieu de travail, générant zones
de richesse et lieux de pauvreté, f aisant
des inégalités et de l’exclusion une réalité
pour des millions de Franciliens.
La création du métro circulaire doit au
contraire per mettre de desser vir et de
désenclaver l’ensemb le des ter ritoires,
pour per mettre un dév eloppement équilibré, solidaire et complémentaire de la
région Ile-de-F rance. Un tel projet doit
s’inscrire dans une ambition plus vaste de
construction d’une métropole capab le de
répondre, dans une démarche collective,
aux inégalités, ség régations, relégations
et exclusions qui frappent les populations,
par la constr uction de logements sociaux,
le développement des ser vices publics et
d’équipements de pro ximité, le dév elop-
pement de l’emploi, le développement durable, la solidarité territoriale.
Au service des Franciliens
Les trajets de banlieue à banlieue sont aujourd’hui très longs. Près de 45 minutes
en transpor ts en commun (en bus ou en
métro, dont la ligne 13 saturée) sont nécessaires pour se rendre de Genne villiers
à Nanterre, distantes de 10 km, contre 15
minutes en mo yenne en véhicule par ticulier. Le nouv eau métro doit per mettre de
réduire ces temps de transports pour que
les usagers puissent se déplacer plus rapidement et dans de bonnes conditions
vers leur lieu de tra vail et d’études, v ers
les équipements de loisirs, de ser vices et
de transports (gares TGV, aéroports) qu’ils
fréquentent.
Il est ainsi primordial que le futur métro
circulaire soit connecté le plus possib le
au réseau de transpor t existant et que les
nouvelles stations per mettent de désenclaver un g rand nombre de ter ritoires,
aujourd’hui uniquement desservis par des
lignes de bus.
DosSier
invités à en débattre
Une station devrait desservir les Grésillons (RER)…
horizon 2020 -2030, Arc Express et Gr and Paris, sont soumis à u ne vaste
nt appelés à en débattre au cours de 70 réunions. Les représentants de ces
mbre prochain, à 20 heures, salle du conseil municipal.
Quels enjeux
pour Gennevilliers ?
La Ville souhaite contribuer aux perspectives de dév eloppement de la métropole
parisienne. De nombreux projets d’aménagements urbains sont réalisés ou en projets
avancés. Face à l’augmentation du nombre
d’usagers induite par une politique de densification de l’habitat et de développement
de l’emploi en zone dense, la municipalité
est particulièrement favorable au développement du tracé dit « proche » de transport
circulaire, en interconnexion avec le RER
C à la station Grésillons et avec la ligne 13
du métro à la station Les Agnettes.
En ef fet, les stations Grésillons et Les
Agnettes per mettront à la boucle Nord
des Hauts-de-Seine de disposer d’un réseau de transpor t de pro ximité de qualité
et très maillé au réseau existant, en cohérence a vec son dév eloppement actuel et
futur. Les déplacements en métro, RER,
tramway T1 et bus seront f acilités. Les
habitants et les salariés de la boucle Nord
rejoindront beaucoup plus rapidement le
centre des Hauts-de-Seine, l’ouest de la
Seine-Saint-Denis et le sud du Val-d’Oise.
Moderniser
le réseau
Pour autant, la création du métro circulaire ne doit pas se f aire au détriment des
projets de moder nisation du réseau e xistant. C’est pour quoi, la Ville réaf firme
sa v olonté que soient réalisés, dans les
plus brefs délais, le dédoub lement de la
ligne 13 du métro et son prolongement
jusqu’au P ort de Genne villiers. Le dédoublement, c’est-à-dire la création d’une
ligne indépendante – la ligne 15 – de la
station Saint-Lazare jusqu’au Port de Gennevilliers, est la seule solution efficace
pour désaturer la ligne 13 et éviter aux
usagers de v oyager dans des conditions
inacceptables. La ligne 14, prolongée en
2017 jusqu’à la station Mairie-de-SaintOuen, voire jusqu’à l’aéropor t de Roissy,
n’absorbera qu’une f aible partie du traf ic
de la ligne 13 et sera rapidement saturée
à son tour . Les études pour dédoub ler la
ligne 13 doivent se poursuivre.
Mercredi 1e5
décembr
nseil
Salle du co
municipal
à 20 heures
Le prolongement de la ligne 13 jusqu’au
Port de Genne villiers per mettra aux salariés des nombreuses entreprises situées
dans cette zone d’acti vité en for t dév eloppement, de se déplacer beaucoup plus
facilement en transpor ts en commun.
Aujourd’hui, les entreprises du P ort emploient 8 000 personnes, elles en emploieront 19 000 à moyen terme.
D’autre par t, la Ville réitère sa demande
de création d’une ligne de bus transv ersale entre la station RER Grésillons et la
station Les Agnettes desservant le centreville et le futur écoquartier.
Gennevilliers magazine - décembre 2010 /17
DosSier
Deux stations
pour un territoire
en développement
Les Grésillons
La s tation e n i nterconnexion a vec l a
ligne C d u R ER s era s ituée e n p leine
zone d’activité économique de la commune de Gennevilliers et jouxtera
quatre zones de développement, ter tiaires et mixtes, comptabilisant près
de 570 000 m 2 et répondant aux enjeux de développement durable. Dans la
zone d’influence directe de cette gare,
les villes d’Asnières et de Villeneuve-laGarenne développent également deux
zones d’aménagement importantes à
vocation mixte d’habitat, d’équipement
et de tertiaire.
Les Agnettes
La s tation e n i nterconnexion a vec l a
ligne 13 d u métro desservira l es secteurs résidentiels denses des villes d’Asnières et de Gennevilliers. Elle passera
par u n t erritoire e n p leine e xpansion
et densification avec la construction à
venir de 1 700 logements en centralité
de ville et le développement de commerces, 1 700 logements dans le futur
écoquartier, l’installation de nouvelles
entreprises en plein secteur résidentiel
du sud au nord de la commune favorisant l’emploi.
… Et une deuxième station devrait desservir les Agnettes (Métro).
Grand Paris
Quelles stations
à Gennevilliers ?
Deux scénarios de tracé sont envisagés :
Le t racé d e r éférence p rivilégie l a d esserte des centres urbains d’Asnières et de
Gennevilliers, en correspondance avec la
ligne 13 du métro à la station Les Agnettes
et avec le RER C aux Grésillons ;
Le t racé v ariante ( vert c lair) f avorise l a
desserte du port de Gennevilliers et la cor respondance avec le RER C aux Barbanniers.
Arc Express
Quelles stations
à Gennevilliers ?
Un tracé rejoint la ligne 13 à AsnièresGennevilliers avec deux possibilités de
connexion : Gabriel-Péri ou Les Agnettes.
Le maillage avec le RER C se fait à la station
des Grésillons.
Un autre tracé se superpose au tramway
T1 j usqu’au t erminus d e l a l igne 1 3 L es
Courtilles avec deux variantes : la gare RER
C Grésillons ou la gare RER C Gennevilliers.
18/Gennevilliers magazine - décembre 2010
Un débat et quelques
questions sensibles
C
’est a vec plaisir que nous
accueillerons ce mois-ci, à
l’occasion d’un impor tant
débat public, les représentants des
deux grands projets du futur pour
le transport en Région parisienne,
celui du Grand
Paris, comme celui d’Arc Express.
To u s d e u x p r é voient deux stations
sur Genne
villiers,
indice incontestable
que notre ter ritoire
est reconnu comme
l’un des pôles incontournables de
d é ve l o p p e m e n t ,
entre d’un côté la
Défense, de l’autre
Pleyel et Roissy, et enf in bien sûr
Paris. La Ville de Genne villiers
est donc naturellement f avorable
à la création de ce « super-métro
circulaire », espéré de longue date
par tous les habitants des villes de
banlieue pour f aciliter leurs déplacements en petite et mo yenne
couronne. Les Genne villois écouteront donc a vec intérêt les infor mations qui leur seront communiquées. Mais je ne doute pas qu’ils
’infosrg
Plus d
.o
blic-arcexpress
www.debatpu
blic-reseau
www.debatpu
rg
-GrandParis.o
Longueur
Nombre
de stations
Distance
Vitesse
entre stations
Fréquence
DosSier
Le mot du Maire
saisissent aussi cette oppor tunité
pour poser quelques questions
sensibles. Et par e xemple cellesci : le futur métro circulaire serat-il accessib le à tous g râce à une
politique tarifaire sans e xclusion ?
Desservira-t-il l’ensemble des ter ritoires
pour per mettre un développement équilibré
et solidaire de la région
Ile-de-France ? ’LEtat
s’engagera-t-il enfin
auprès de la Région à
la modernisation des
infrastructures, et du
matériel des lignes actuelles ?
Car le dédoub lement
de la ligne 13 du métro
« classique » reste d’une ur gence
absolue pour les Genne
villois,
tout comme son prolongement
jusqu’au Port. Et le tramw ay T1 ?
Nous sommes bien sûr ravis que la
fin des travaux en cours soit programmée pour 2012. Mais nous
attendons aussi son prolongement
vers Nanterre. Alors oui débattons
et agissons !
Jacques Bourgoin,
Maire de Gennevilliers.
Capacité
Coût
total
Calendrier
Grand Paris
155 km
40 stations
4 km
65 km/
heure
85 secondes
40 stations
1 km
à 1,5 km
40 km/
heure
2 minutes
2 à 3 millions
23 milliards
voyageurs/ d’euros
jour
Travaux :
2013
à 2023
1 million
voyageurs/jour
Travaux :
2013
à
2017
Arc Express
60 km
6 milliards
d’euros
Gennevilliers magazine - décembre 2010 /19
PersPective
Rue Justin, au Village
Avenue Lucette-Mazalaigue, au Luth
Programme local de l’habitat 2
4 556 nouveaux lo
Le 17 novembre dernier, le Conseil municipal a
pour les six ans à v enir. La Ville confirme sa volo
tions de logements, d’apporter une offre nouvelle
aux besoins des popu lations spécifiques, sur l’ens
forts.
4 556 logements,
dont 2 074 en social
P our les six ans à v enir, la pro grammation Habitat recense 66 opérations représentant une constr uctibilité de 4 556
logements, dont 2 074 en social : 3 013 sur
la période 2011-2014, soit une mo yenne
d’environ 750 lo gements par an et 1 543
logements à par tir de 2015. P our mesurer
pleinement l’offre nouvelle, il faut compter à par t les lo gements associés au Programme de renouvellement urbain (PRU),
208 logements en compensation de démolitions et au protocole de lutte contre l’habitat indigne, 322 lo gements sur la durée
des deux protocoles.
Rue des Petites-Murailles, au Village
L’immeuble ILN, avenue Gabriel-Péri
Cette pro grammation conf irme l’accélération du r ythme de ces opérations et la
diversification des statuts d’occupation,
50 % en locatif et 50 % en accession à la
propriété. Et ce dans un conte xte de crise
du logement qui se traduit localement par
une demande de logements sociaux toujours plus g rande – + 30 % en quatre ans
– et un f aible taux de libération de lo gements – 5 % en 2009.
Pour répondre à la demande en accession sociale et per mettre à un cer tain
nombre de ménages de poursui vre leur
parcours résidentiel à Gennevilliers, il est
prévu, d’ici à 2016, une pro grammation
de 448 logements en accession sociale.
L’application du Surlo yer de Solidarité
(SLS) agg rave la paupérisation des locataires en remettant en question le principe de per mettre à toutes les personnes
d’accéder à un lo gement adapté à leurs
besoins et à leurs moyens. La défense et la
préservation de cette mixité ont conduit la
Ville à demander à l’Etat l’exonération de
ce dispositif sur plusieurs quar tiers de la
Ville, dans le cadre du PLH.
Répondre aux besoins
des jeunes
Lutte contre l’habitat insalubre
20/Gennevilliers magazine - décembre 2010
Et à tous ceux qui ne trouv
ent pas de
réponses adaptées dans l’of fre actuelle :
les personnes âgées, les personnes han-
dicapées, celles en dif ficultés sociales,
les gens du v oyage, les résidants en fo yer
pour mig rants. La Ville souhaite notamment réaliser 400 lo gements en direction
des jeunes. P our la rentrée de septembre
2011, 147 lo gements seront dédiés aux
étudiants et chercheurs, dans le cadre de
l’acquisition-amélioration de l’ensemb le
immobilier 13-15, rue Basly.
Revaloriser l’habitat existant
En maintenant la politique d’éradication de l’habitat indigne engagée de longue date. Les deux protocoles signés pour
les périodes 2003-2008 puis 2009-2014
représentent 99 immeubles, soit 907 logements indignes sui vis par la Mous (Maîtrise d’œuvre urbaine et sociale), dont 539
traités (60 %).
En poursui vant des opérations de restructuration urbaine et de requalif ication,
afin de re valoriser les quar tiers d’habitat
social. À ter me, 627 lo gements sociaux
auront été démolis et reconstruits. 379 démolitions ont été réalisées, 248 sont à réaliser. 276 reconstructions ont été réalisées,
259 sont en cours et 92 sont à venir.
Réaliser un écoquartier
Aménagé sur le site de la ZA C ChandonRépublique, l’écoquar tier v a per mettre
la constr uction de 1 695 lo gements, dont
848 logements locatifs sociaux et 847 logements en accession. Cet aménagement
s’inscrit dans des objectifs environnementaux déf inis à tra vers une Char te de qualité environnementale.
Se doter d’outils
Le Pro gramme local de l’habitat en visage un cer tain nombre d’outils per mettant de mieux connaître la demande et de
construire des réponses a vec l’ensemb le
des par tenaires. Cer tains e xistent déjà,
comme l’observatoire de l’habitat qui doit
permettre d’analyser les besoins de la population af in d’alimenter la pro grammation Habitat et d’évaluer la mise en œuvre
PersPective
2011-2016
ogements prévus
a adopté son Programme local de l’habitat (PLH)
nté d’accélérer le rythme des prochaines construcet diversifiée de logements sociaux et de répo ndre
emble du ter ritoire communal. En voici les poi nts
Rue Clara-Zetkin
Pignon Jean-Jacques-Rousseau
Rue Pierre-Mignard
Attributions
de logements
sociaux en 2009
Le Clos Griffon
619 logements sociaux ont été attribués l’an dernier, dont 501 (80,9 %),
par l’Office public de l’habitat et 118
par les autres bailleurs sociaux. Ces
619 attributions représentent 6 %
du parc social gennevillois, d’où la
complexité pour la Ville de répondre
à l’ensemble des demandeurs,
3 623 cette année, dont le nombre
est en augmentation constante.
Rappelons également que Gennevilliers compte la proportion de
wlogements s ociaux l a p lus é levée
des Hauts-de-Seine, avec 64,9 %.
Martine Monsel,
ADJOINTE AU MAIRE DÉLÉGUÉE AU LOGEMENT.
du PLH. D’autres sont à en visager, comme
la création d’un obser vatoire du foncier pour
évaluer les disponibilités foncières ou la mise
en place d’une conférence interbailleurs, dans
l’objectif de traiter collecti vement les questions liées à la gestion du parc social.
Fabienne Dagouat
Pourquoi avoir élaboré un Programme local de l’habitat ?
Martine Monsel. Le PLH est un document de programmation qui inclut l’ensemble de la politique locale de l’habitat :
Compte tenu du développement rapide de la commune, nous
avons engagé en 2008 un « diagnostic global sur l’habitat et
le marché du logement ». Démarche complétée par la réalisation de ce Programme local de l’habitat, rendu obligatoire
pour les communes de plus de 20 000 habitants par la loi de mobilisation pour
le logement et la lutte contre l’exclusion, de mars 2009. Gennevilliers est ainsi
la première ville d’Ile-de-France à présenter un PLH. Ce document vient d’être
validé, à l’unanimité, par la Direction régionale et interdépartementale de l’équipement et de l’aménagement (DRIEA) d’Ile-de-France et les préfets de la Région
et du Département. Ce qui lui confère une valeur officielle sur laquelle on pourra
s’appuyer.
Gennevilliers magazine - décembre 2010 /21
SoCial
Une
épicerie
La mise en place d’une épicerie
solidaire est un engagement municipal. Début 2011, Gennevilliers
devrait rejoindre Asnières autour
d’un projet commun, dont l’objectif est d’apporter un soutien alimentaire et ponctuel à un certain
nombre de familles bénéficiaires.
Un beau projet intercommunal.
C
e jeudi matin, une quinzaine de personnes, en majorité des femmes,
font leurs achats dans les ra yons
bien achalandés de l’épicerie solidaire
d’Asnières et remplissent leurs cabas de
fruits, légumes, laitages, conser ves, pâtes,
produits d’h ygiène ou boissons. Tandis
qu’elles prennent leur tour à la caisse, certaines se laissent tenter par les quelques décorations de Noël proposées. L ’ambiance
est conviviale et les bénév oles, huit, vêtus
de gilets rouges, discutent tantôt avec les
unes, aident tantôt les autres à trouv er tel
ou tel produit.
Dès janvier, la Ville de Gennevilliers va,
au ter me d’une con vention passée a vec le
centre communal d’action sociale d’Asnières et l’association Pacte 92, qui œuvre
pour l’accompagnement social des per sonnes en dif ficulté, s’associer au dév eloppement de cette épicerie solidaire dont
l’activité a débuté f in 2009, r ue Louis-Armand, à la limite de Gennevilliers.
Apparues au début des années 1990, les
épiceries solidaires et sociales appor tent
une aide, principalement alimentaire, à un
public en difficulté économique, fragilisé
et souv ent e xclu des circuits de consommation traditionnels. Elles se distinguent
et complètent les autres dispositifs d’aides
alimentaires mis en place, par exemple, par
les Restos du cœur ou le Secours populaire
français. « Ici, les usagers choisissent leurs
produits comme ils le f eraient dans une
grande surface, souligne Amida Laala, responsable de l’épicerie solidaire d’Asnières
22/Gennevilliers magazine - décembre 2010
pour l’association Pacte 92. Les prix usuels
sont affichés, et c’est seulement au moment
du passage en caisse que la réduction s’applique. Les clients paient environ 20 % du
prix du marché. »
Une aide ponctuelle
Depuis le début de l’année, en viron 300
familles asniéroises ont été habilitées à
fréquenter l’épicerie solidaire, et Gennevilliers en visage l’habilitation de 150 f amilles. Dans le cadre de ce projet, ce sont
les tra vailleurs sociaux qui orientent les
familles, en fonction de dif férents critères
sociaux et budgétaires. Ils remplissent la
demande d’habilitation puis la transmet-
tent à une commission or ganisée chaque
semaine. « Sur les 408 dossiers déposés
auprès de la commission d’habilitation, de
janvier à no vembre 2010, seuls 28 ont été
refusés. L’accès à l’épicerie sociale est un
coup de pouce dans le pr ojet d’insertion
d’une famille, un tr emplin pour fair e face
à des dif ficultés passa gères et lui éviter
de connaîtr e des dif ficultés plus gr aves,
explique Florie Rob lin, coordinatrice de
l’épicerie solidaire pour le CCAS d’Asnières. « Ce n’est pas un complément de
ressources, mais un outil supplémentaire à
disposition des familles pour les accompagner dans leur réinsertion sociale », insiste
Mohamed Bellouch, adjoint au maire, dé-
SoCial
solidaire
aide gratuite. Les produits sont variés et de
qualité et je peux ac heter des laitages, des
fruits et des légumes à un prix correct. »
À ce titre, l’appro visionnement est un
point clé du bon fonctionnement de l’épicerie sociale. « Afin de bénéf icier d’un
éventail de pr oduits le plus lar ge possible
et faciliter notr e approvisionnement régulier en denrées de qualité, nous c herchons
constamment à diver sifier les sour ces
d’approvisionnement, en développant des
partenariats avec le secteur de la gr ande
distribution et en sollicitant des partenaires locaux, comme c’est le cas actuellement avec l’h ypermarché Carr efour de
Gennevilliers » , précise la responsab le de
la structure.
Un lieu d’échanges
Toutefois, l’offre alimentaire de l’épicerie
n’est pas son unique vocation. Cette activité de base permet une action solidaire plus
vaste. L’épicerie est aussi un lieu d’accueil,
d’écoute et d’échanges qui doit aider les
personnes à retrouv er conf iance en elles.
Plusieurs activités sont or ganisées au sein
des locaux : ateliers de cuisine, de couture, cours de « massage de bébés » animés par une sophrolo gue. « Récemment,
une socio-esthéticienne est venue proposer
cinq séances axées sur l’ima ge et l’estime
de soi, commente Florie Rob lin. Les personnes que nous accueillons vivent souvent
dans des lo gements exigus dont elles sor tent peu. Ces ateliers sont pour elles un sas
de décompression. »
Fabienne Dagouat
légué à la solidarité et à l’action sociale.
Ainsi, chaque usager est amené à déf inir
un projet qu’il souhaite mener à bien pendant la durée d’accès à l’épicerie. « Grâce
au faible coût des pr oduits de consommation courante, une part plus importante du
budget peut être consacrée à un besoin ou
une amélior ation de la vie quotidienne »,
indique Marcelle Rohr , conseillère municipale, déléguée à l’épicerie solidaire. P ar
exemple, of frir des v acances ou des sor ties à ses enf ants, f aire réparer sa v oiture
pour pouvoir continuer à travailler, faire un
achat nécessaire au bien-être de la f amille
ou simplement mieux manger. La durée
d’accès à l’épicerie est déf inie en fonction
de ce projet. En général, elle est de trois
mois, renouv elable et dépasse rarement
six mois. Chaque personne habilitée peut
venir deux fois par mois à l’épicerie. Elle
bénéficie d’une car te nominati ve et d’un
budget qui lui est alloué en fonction de la
composition du foyer.
Sabrina, en recherche d’emploi et mère
d’un petit garçon de 4 ans, fréquente l’épicerie depuis plusieurs mois. « L’accès à un
lieu comme celui-ci est très important pour
moi, confie-t-elle. Le fait que l’on puisse
choisir les produits dont on a besoin, à un
tarif a bordable, ne nous fait pas per dre
notre dignité. J’ai le sentiment d’utiliser
un service et non de venir pr ofiter d’une
Une forte
demande sociale
En France, presque 8 millions de Français doivent vivre avec un revenu de
moins de 950 eur os par mois (seuil
de pauvreté fixé par l’Insee, chiffres
2008). Il existe environ 300 épiceries
solidaires en France. Chaque épicerie
accueille en moyenne 100 foyers par
an. Le public des épiceries est essentiellement composé de familles monoparentales, de « travailleurs pauvres »,
d’intérimaires En France, en moyenne
120 000 personnes sont bénéficiaires
des épiceries solidaires.
Gennevilliers magazine - décembre 2010 /23
EnvironNement
Pinson
Mésange
Des oiseaux
Héron cendré
T
endez l’oreille et obser vez… vous
serez sur pris d’entendre, au détour d’un parc, d’une rue ou même
entre deux immeubles, le pépiement d’oiseaux. En ef fet, notre milieu urbain n’est
pas exempt d’une certaine biodiversité, et
une quarantaine d’espèces ont été recensées sur le territoire de Gennevilliers.
L’idée de faire découvrir les richesses insoupçonnées de la faune et de la flore en
milieu urbain a germé au sein de la maison
de l’enfance Youri-Gagarine depuis 2005,
sous l’impulsion de Gérard Prodhomme,
son directeur d’alors. « Au vu des espaces
privilégiés de ce lieu, nous avons commencé, avec l’aide du service des espaces
verts, à sensibiliser les enfants des centres
de loisirs au développement dur able et à
l’environnement », précise-t-il. Nommé
La biodiversité existe aussi en milieu urbain.
collaboration avec la LPO, Ligue pour la protect
le 8 décembre prochain, la labellisation de la mais
en 2008 éducateur à l’environnement, il
étend son action aux six maisons de l’enfance de la Ville sur le thème : « environnement et écocitoyenneté ».
La maison de l’enf ance Youri-Gagarine
poursuit alors naturellement son tra vail
sur la biodi versité, a vec la création d’un
jardin pédago gique destiné à f avoriser
la v enue des oiseaux. F inies les tailles
intempestives, on y apprend à laisser
pousser les haies pour que les oiseaux
y trouv ent un refuge naturel, on plante
des végétaux à fleurs pour les insectes
et à fr uits, g roseilliers, mûriers, framboisiers, pour leur four nir de la nour riture.
Dans le même temps, les enf
ants f abriquent des mangeoires, des abris à
insectes et des nichoirs pour accueillir mésanges, moineaux domestiques et autres
Olivier Païkine, animateur LPO, Alain Cléty, bénévole à la LPO,
et Gérard Prodhomme, éducateur à l’environnement.
rouges-gorges, qu’ils installent ensuite
dans le jardin.
Agir avec la LPO
Décidée à aller plus loin dans son engagement, la Ville contacte, début 2010, la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO).
« Nous souhaitions mettr e en place un
certain nombre de r efuges sur la ville et
nous leur avons demandé de réaliser une
enquête de terr ain, pour évaluer les endroits les plus appropriés à la pose de ces
nichoirs » , souligne Gérard Prodhomme.
En juin, jumelles en mains, représentants
de la Ville et spécialistes de la LPO ont
donc arpenté, durant quatre jours, tous les
espaces verts : coulée verte, jardins, parcs,
talus le long du RER, ber ges de la Seine
es
afin d’y faire l’inventaire du milieu et des
ant, ils
végétaux e xistants. Chemin f aisant,
Mercredi 8 décembre
À partir de 15 heures : inauguration du « Refuge LPO », à la maiai-re
e.
son de l’enfance Youri-Gagarine, 27, rue de la Couture-d’Auxerre.
De 16 h 30 à 18 heures : démonstration, par les agents du sereron
vice des espaces verts, de diverses techniques d’intervention
enpréservant la biodiversité : fauchage, broyage, apport d’engrais naturel dans le potager du centre de loisirs ; intervention
des représentants de la Ligue pour la protection des oiseaux,
observation d’oiseaux à l’aide de jumelles ; petits ateliers de
fabrication de mangeoires, expositions sur la biodiversité et la
gestion différenciée.
24/Gennevilliers magazine - décembre 2010
EnvironNement
Martin-pêcheur
Verdier
dans la ville
Soucieuse de son maintien, la Ville a engagé une
ion des oiseaux, dont le premier acte officiel sera,
on de l’enfance Youri-Gagarine en « Refuge LPO ».
ont croisé des chardonnerets élégants, des
verdiers, des mésanges à longue queue,
des corneilles, des pinsons, des ber geronnettes, un mar tin-pêcheur, des g rèbes, un
héron cendré ; entendu un faucon crécerelle qui nichait probab lement le long de
l’autoroute, un pic-v ert au cimetière et
aperçu des cor morans sur la Seine, l’IleSaint-Denis, proche, constituant l’un de
leurs lieux de reproduction. « À partir de
cet état des lieux, qui ser a complété au
printemps prochain, par un r elevé visuel
et auditif des espèces, nous allons r endre
un r apport avec des préconisations, explique Oli vier P aïkine, char gé d’études
et animateur Ile-de-F rance pour la LPO .
Cela permettr a de déf inir le type de
plantes à mettr e en place pour favoriser
le maintien d’espèces locales, les zones
à pr otéger de l’intervention de l’homme
pour préserver la tranquillité des oiseaux.
De nombr euses espèces tr ansitent sur la
région, mais il faut êtr e conscient de la
réalité du territoir e et ne pas y attir er
des variétés qui n’y ont pas leur place ,
comme, par exemple , la c houette ef fraie,
animal nocturne qui pourr ait se heurter
aux voitures. »
Préserver la biodiversité
La protection de la f aune et des espèces
d’oiseaux présentes dans nos villes doit
beaucoup au développement de la gestion
différenciée, qui consiste à pratiquer un
entretien adapté des espaces v erts selon
leurs caractéristiques et leurs usages. La
Ville, qui a signé, en septembre dernier, la
Charte biodiversité de la Région, s’attache
depuis un cer tain temps à la mise en pra-
Cormoran
tique de ces méthodes plus économiques
et plus respectueuses, et le ser vice des
espaces v erts entend bien sui vre les préceptes de la LPO en la matière. Il s’agit,
par exemple, de ne pas faucher systématiquement les pelouses pour per
mettre
à des fleurs de se dév elopper et d’attirer
plus d’insectes donc plus d’oiseaux ; de
supprimer l’utilisation de produits ph ytosanitaires au prof it de produits naturels ;
de sélectionner des végétaux en fonction
de ce qu’ils peuv ent appor ter au sol ; de
préférer les engrais biologiques à action
plus lente. « Il ne faut pas s’y tromper, affirme Claude Daniel, responsab le des espaces verts, la nature est présente en ville,
parfois plus que dans un champ cultivé de
façon intensive. »
Fabienne Dagouat
F
Créer
C
r
un Refuge LPO
Il n
Il
n’y
’y a pas de superficie minimale pour
c
réer un Refuge LPO et chacun peut agir
créer
à son échelle pour protéger les oiseaux.
Un simple
Un
si
balcon ou jardinet de quelques
èt
mètres
carrés, un terrain petit ou grand
peuvent suffire, moyennant quelques
aménagements simples destinés à assurer la tranquillité des oiseaux et favoriser leur nidification. Le premier Refuge
LPO a été c réé en 1921, et il s’en crée
en moyenne 2 300 chaque année. Ces
refuges constituent le premier réseau de
jardins écologiques de France en faveur
de l a b iodiversité. À l ’origine c réé p our
les particuliers, il s’adresse aujourd’hui
également aux collectivités, aux établissements scolaires, aux entreprises.
L’objectif de tous étant de mieux protéger l’environnement et donc notre cadre
de vie. Renseignements sur www .lpo.fr
ou par mail : refuges@lpo.fr
Les enfants de la maison de l’enfance Youri-Gagarine ont fabriqué des nichoirs.
Gennevilliers magazine - décembre 2010 /25
Enseignement
À la rentrée de septembre, le collège Guy-Môquet a ouvert une Classe à
arts plastiques (CHAAP). Des élèves de 6e y reçoivent un enseignement
renforcé, dispensé au sein de l’établissement ainsi qu’à l’école municipa
beaux-arts Edouard-Manet, partenaire du projet. Elle est la première CHA
créée dans l’académie de Versailles.
Ils ont dit
C
e v endredi matin-là, le premier er
étage de l’école municipale des s
beaux-arts Edouard-Manet a des s
airs de salle d’e xamen. Une douzaine e
d’élèves de la classe de 6e A du collègee
Guy-Môquet colorient, peignent, dessi- inent, penchés sur leur g rand rectangle dee
papier blanc posé sur une longue tab le dee
travail. Au mur, une reproduction du « Cri
ri
», une toile du peintre expressionniste norrvégien Edvard Munch. L’œuvre est âpre.e.
Un homme sur fond de paysage tourmentéé
se tient la tête, la bouche g rande ouverte.
e.
Il se dégage une dimension de vertige. On
n
est loin de la légèreté des créations esthéé-
26/Gennevilliers magazine - décembre 2010
Thu Van Tran, artiste intervenante
« Complémentaire »
« En plus des cours à Edouard-Manet, nous irons voir des expositions, rencontrerons des artistes dans leur lieu de création. Pierrick Villaumé m’a choisie précisément
parce que je ne suis pas professeur. Mon intervention complète la sienne au collège.
Les enfants ont moins l’impression d’aller à l’école en venant à Manet. »
Pierrick Villaumé, professeur d’arts plastiques
« Ouvert à tous les quartiers »
« Nos élèves ont été recrutés en CM2 dans les écoles du Luth. Mais les enfants de tous
les quartiers peuvent postuler. Les collègues qui accompagnent
le dispositif sont très motivés. Ils utilisent les arts comme un fil
rouge dans l’enseignement de leur matière respective. »
Henri Gohin, principal du collège Guy-Môquet.
« Tirer le collège vers le haut »
« La CHAAP est l’un des nombreux projets
du collège.
Donner la possibilité à nos élèves de
s’ouvrir aux arts,
les faire sortir de leur quartier, leur
donner une motivation,
valoriser leur implication, c’est le sens de ce dispositif exigeant mais
qui ne se veut surtout pas réservé à une élite.
La CHAAP tire notre collège vers le haut. »
Enseignement
à horaires
raires aménagés
artistique
istique
ale des
AAP
P
tico-potagères
ères d’Arcimboldo. « Pourquoi
cet homme crie-t-il ? Ima
I aginez
ginez ce
c equi
qu i
pourrait être la raison de son tourment »,
lance Thu Van Tran, artiste-intervenante,
aux collégiens attentifs. C’est par ti pour
une heure et demie d’inter prétation, pastels, feutres et pinceaux en main, sur le
thème de la peur . Fenda dessine un per sonnage mis à la tor ture par des chaussures trop petites à ses pieds. Adam imagine que le personnage a été témoin d’un
meurtre. Mélissa suggère qu’il aurait
croisé un e xtraterrestre. Chacun déroule
son fil d’inspiration. Thu V an T ran va
d’un élève à l’autre, prodigue conseils et
encouragements, incite à la réfle xion. Fin
de la séance à midi. Un sur veillant reconduit les élèv es au collège. Ils re viendront
vendredi prochain.
Projets artistiques
ambitieux
Ces apprentis créateurs composent une
moitié de la Classe à horaires aménagés
arts plastiques (CHAAP) de 23 élèv es,
créée à la rentrée au collège Guy-Môquet.
Une CHAAP est un dispositif spécifique
U
ddee l’Éducation nationale ouvert sur canddi
i
didature
aux collégiens – avec ou sans exppérience
pé
é
de la pratique des ar ts plastiques
– désireux de concilier un enseignement
aar
r
artistique
de qualité, a vec leur scolarité
classique.
ccl
l
À l’origine, les classes à hora
a
raires
aménagés ont concerné la musique,
puis la danse, et depuis 2009 le théâtre etet
les arts plastiques.
Le système de CHAAP per met d’améénager l’emploi du temps des élèv es de
de
l’enseignement général pub lic. Ceux-cici
suivent ainsi, parallèlement à un cursus ar
r-tistique renforcé de deux heures dans leur
ur
établissement, une heure trente de cours rs
hebdomadaires hors-les-murs. Comme me
le souligne Sandrine Her tig, adjointe au
au
maire déléguée à la culture, « L’une des
es
clés de ce dispositif est le partenariat at
avec les institutions cultur elles. Depuisis
plusieurs années, le collèg e conduit avec
ec
l’école et la g
alerie Edouar d-Manet,
et,
mais aussi d’autr es institutions comme
me
le P alais de Tokyo à P aris, des pr ojets
ts
artistiques ambitieux. » Mais la CHAAP
AP
à Guy-Môquet – la première dans l’acaadémie de Versailles – n’aurait pas vu le le
jour sans l’implication de Pier rick Vilillaumé. Ce professeur d’ar ts plastiques,s,
féru d’ar t contemporain, peut s’appuy er
sur une équipe de professeurs moti vée
ée
et v olontaire autour d’un projet pédago-ogique global. Le collège a tous les atoutsts
en mains et entend bien persévérer danssa
sa
voie. L’objectif n’est-il pas de poursui vre
re
ce dispositif avec l’ouverture d’une classe
se
CHAAP en 5e dès la rentrée 2011, puis en
4e et en 3e les années suivantes ?
Frédéric Lombard
d
Les bonnes notes
de Pasteur
Tout comme il existe une classe à horaires
aménagés arts plastiques à Guy-Môquet,
il existe une classe à horaires aménagés
musique, à l’instar du collège Louis-Pasteur, qui accumule les bonnes notes avec
une CHAM créée il y a une quinzaine d’années. De la 6 e à la 3 e, ses quatre classes
ont formé plusieurs générations de jeunes
musiciens issus de tous les quartiers. « Il
y a très peu d’abandons ou d’exclusions
en cours de route » , souligne Gilles Valandina, le principal du collège.
La plupart des coll égiens ont poursuivi
leur scolarité dans des lycées à filière musicale, Renoir à Asnières, Racine ou La
Fontaine à Paris. Comme en CHAAP, le
succès de ces classes à horaires aménagés repose sur un partenariat indéfectible,
ici avec le conservatoire Edgar -Varèse.
Cette collaboration, c’est 6 à 8 heures
de m usique, l e m ardi e t l e j eudi a prèsmidi d ans le s l ocaux d u c onservatoire,
sous la direction de ses professeurs. Ces
créneaux s’ajoutent aux deux heures habituelles en classe. Afin « d’ingurgiter »
sans indigestion un agenda copieux, les
élèves bénéficient d’horaires allégés dans
certaines matières. Résultats scolaires et
CHAM vont plutôt de pair. « La motivation
et l’implication permettent à nos élèves
d’avancer sur les deux tableaux avec bonheur. » En avril, les 4es passeront un weekend studieux, au château de Ménilles, à
répéter leur nouveau spectacle.
Grâce à la CHAM, les collégiens ont découvert un univers dont ils feront peutêtre un jour leur horizon professionnel.
Le conservatoire voit affluer de nouveaux
élèves. Le collège voit dans la CHAM un
excellent moyen de valoriser ses élèves,
et aussi une belle occasion de tordre le
cou à la réputation des établissements
de ZEP.
Gennevilliers magazine - décembre 2010 /27
HistOire
À travers l’histoire de ses fiefs, on peut suivre l’histoire pluriséculaire
de la propriété rurale dans la presqu’île de Gennevilliers à l’ombre de
l’abbaye de Saint-Denis.
D
omaine ro yal sous les Mérovingiens, le ter ritoire de la
presqu’île de Gennevilliers passe
aux mains de l’abba ye de Saint-Denis
vers 638 lorsque Dagober t 1 er, fondateur
de l’abba ye, lui lègue la plupar t de ses
biens personnels. Les bords de Seine,
entre Clichy et Saint-Ouen, sont un lieu
de villégiature du roi qui y chasse ; il
meurt d’ailleurs dans une de ses villas
à Epinay-sur-Seine, en 638 ou 639. Dagobert a fait de l’abbaye de Saint-Denis
une des plus importantes puissances foncières, financières et politiques d’Ilede-France, ce qu’elle restera quasiment
jusqu’à
j q la Rév olution. Au Mo yyen Âge,
g
l’organisation
ll’’or
orgaanniisa
sati
tion
ti
onn adm
aadministrative
dm
miinnis
istr
trat
attiv
ive
ve de
de
28/Gennevilliers magazine - décembre 2010
la France n’est guère plus simple qu’aujourd’hui ! Propriétaire du territoire gennevillois, l’abba ye de Saint-Denis s’y
comporte en seigneur féodal même si elle
demeure aussi vassale du roi de France.
Suivons Rober t Quinot (« Gennevilliers,
évocation historique, tome I »), qui nous
explique clairement la répar tition des
rôles sur les ter res qui font aujourd’hui
Gennevilliers : « L’abbaye tire l’essentiel
de ses revenus des terres qu’elle exploite
en faire-valoir direct, par l’inter médiaire
d’un fer mier, ou des droits qu’elle per çoit sur les f iefs concédés à ses v assaux.
Les pa ysans, qui ont reçu leurs ter res
en tenure de l’abbé ou de ses v assaux,
paient le cens en ar gent ou en nature,
sselon
se
selo
elo
lon les
les conventions.
le
conv
conv
co
nven
nven
ennti
tion
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onss.. »» Donc,
D on
oncc,, ili l eex
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ttte époque,
époq
ép
oquuee,
e, ààGenne
Geenn
G
nnnev
evvilliers,
viillli
lier
ers,
s
s,
HistOire
trois types d’e xploitation : une fer me de
165 hectares appar tenant directement à
l’abbaye mais e xploitée par un fer mier,
des f iefs d’une dizaine d’hectares chacun,
c’est-à-dire des ter res concédées aux v assaux de l’abba ye, nobles dans un premier
temps, contre paiement de cer tains droits,
et 1320 hectares de ter res e xploitées par
des paysans, des tenures à cens ou censives
(voir glossaire). Ce schéma v aut cer tainement à par tir du XII e siècle, car l’absence
d’archives concernant Gennevilliers fait
cruellement défaut pour éclairer les siècles
antérieurs.
Des terres
comme placement
et moyen d’anoblissement
Lors de l’acquisition d’un fief, et à chaque
succession ou changement de propriétaire, le vassal présente à son suzerain son
hommage et sa foi, rédigeant un « aveu
ou dénombrement » qui récapitule ce que
comportent les ter res. C’est ce type de
ddo
document
ocu
oc
cum
meent
nt qque
quuee l’on
ll’o
onretrouv
retr
re
ettrrou
ouve
uvvee ddans
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Le
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ddoc
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men
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conc
co
n errnaanntt G
nant
Gennevilliers
enne
en
enne
nevi
evviill
llie
iers
rs ddate
ate de
at
de 11125
1225
où Mathieu le Bel, seigneur
der de
gnneu
gneu
eur
de
Villiers-le-Bel, mentionnee sses
ess
terres situées à Gennevilliers
ers
rs
dans le f ief de l’Isle, prèsèèss
de l’île Saint-Denis et de e
l’actuel pont d’Epina y
(de par t et d’autre de
l’avenue Marcel-Paul).
Il est également f ait mention d’autres f iefs, de la a
Maréchaussée, de la Ga- arenne, de la P oterne, de lala
Neuville. Mais celui dont don
ont
nous suivons le plus longuement
ueem
men
e t
l’histoire est le f ief du Che
h valier,
li dit
dit
i
aussi de la Demoiselle. En 1391, un roturier fait aveu pour ce f ief du Che valier.
En effet, à par tir du XIII e siècle, les non
nobles, bourgeois de Paris pour la plupart,
peuvent acquérir un fief en poursuivant
deux objectifs, celui d’ef fectuer un placement en terres cultivables et celui d’obtenir un jour son anob lissement par ajout
du titre de la ter re à son nom. Le système
féodal se détend sensiblement puisque les
serfs de Genne villiers sont af franchis en
1248 par l’abbé de Saint-Denis, ce qui
favorisera l’érection de Gennevilliers en
paroisse en 1302.
La plus ancienne pièce des archi ves municipales a trait à ce f ief du Che valier,
situé au cœur de la ville actuelle (à cheval sur le boule vard Camélinat, l’a venue
Laurent-Cély et la r ue Henri-Barbusse),
le parc des Sévines en constituant sans
doute sa lointaine sur vivance. Le 27 mai
1402, Simon de Champlainsant, conseiller
du roi et garde de la prévôté de P aris, rachète le fief à Pernelle de la Pierre, veuve
de Guillaume de Coulongue qui en a vait
fait aveu en 1375. Le f ief change encore
de main en 1447 puis en 1541, en 1587,
en 1667. Entre 1762 et 1765 encore, un
litige
li
iti
tige
g oppose
o ppppo deux propriétaires
concernant
cco
onc
onnccer
er
ce f ief, f inallement
le
em
mee v endu en 1773 à
Antoine
An
A
n
Lucas, ancien
pprésident de la cour
ddes Monnaies, par
Gobert Boursier , secrétaire du roi. De
hauts personnages de
l’État s’intéressent
à la bonne ter re gennevilloise
nne
e
! Il f aut dire
qque
qu
ue la presqu’île est très
cconvoitée
co
nvoi
nv
o té
oi
t puisque, lors des
ddeux der
d niers
i siècles de l’Ancien Régime, Genne villiers est aussi une
des grandes réserves royales de chasse, et
qu’une partie des ter res de l’abbaye a été
redistribuée à la Maison ro yale de SaintCyr. La Rév olution mettra un ter me à ce
système complexe, en vigueur pendant un
millénaire.
Jean-Michel Masqué
Avec l’aide précieuse
des Archives municipales.
Glossaire
Cens : redevance en principe fixe et perpétuelle,
ue
elle
e,
en
nure
e
recognitive de seigneurie, due pour une tenure
r. Ellee
(ou une part de tenure) au seigneur foncier.
pouvait être en argent, en nature ou mixte.
v svas
Fief : tenure qu’un seigneur concède à son vasen
nce
ce
e
sal en vue de lui assurer les moyens d’existence
e
et de lui permettre de fournir au seigneururlele
service requis.
cu
uuTenure : portion d’une seigneurie rurale occue..
pée et cultivée par un tenancier et sa famille.
e »,
»,
D’après « Lexique historique du Moyen Âge
éditions Armand Colin, 1980.
Gennevilliers magazine - décembre 2010 /29
EntrePrise
Filiale du gr oupe i nternational ThyssenKru
Krupp Monolift, basée à Gennevilliers, fournit des
d’accessibilité pour les bâtiments publics et les
L
es questions d’accessibilité aux
bâtiments et à l’intérieur des bâtiments recevant du public sont désormais prises très au sérieux par les pouvoirs publics et les entreprises. Le décret
du 17 mai 2006 met en œuvre le principe
d’accessibilité généralisée, posé par la loi
du 11 février 2005, qui doit permettre à
toutes les personnes, quel que soit leur
handicap (ph ysique, sensoriel, mental,
psychique et co gnitif) d’exercer les actes
de la vie quotidienne et de par ticiper à
la vie sociale (*). Les questions liées au
maintien à domicile des personnes âgées
sont également posées dans notre société
où l’espérance de vie n’a cessé de progresser ces dernières années.
ThyssenKrupp Monolift appor te des solutions d’accessibilité, d’élév ation et de
mobilité à différents publics. Par exemple,
elle a rendu accessib les les installations
du village olympique lors des der niers JO
de Pékin. Cette société, en F rance depuis
plus de vingt ans, s’est installée à Gennevilliers en 2002. Son directeur commer cial, Xa vier Boillot, e xplique cette implantation pour les raisons suivantes : « la
situation géo graphique pour la pr oximité
des infr astructures r outières et la localisation d’une majorité de nos colla borateurs, l’intérêt économique et le bon r apport qualité-prix du site . » ThyssenKrupp
Monolift est une f iliale du secteur accessibilité de la société allemande ThyssenKrupp Ele vator (3 e plus impor tante
société d’ascenseurs mondiale),elle-même
branche du groupe ThyssenKrupp AG.
Son siège social gennevillois regroupe les
activités administratives et f inancières, le
service après-v ente et le télémark eting.
24 personnes y tra vaillent alors que l’entreprise compte 62 personnes au total,
30/Gennevilliers magazine - décembre 2010
De haut en bas, le directeur commercial, Xavier Boillot et le directeur général Europe
et France, Mauro Carneiro.
les commerciaux et technico-commer ciaux étant disséminés sur l’ensemb
le
du territoire français. Lorsqu’on sait que
ThyssenKrupp Monolift ne comprenait
que cinq personnes lors de son ar rivée en
France en 1987, puis 20 en 2002 lors de
son installation à Gennevilliers, on se rend
compte de la croissance de l’entreprise en
France. Au niveau mondial, le secteur accessibilité représente, pour le g roupe, un
chiffre d’affaires de 225 millions d’euros.
Solutions publiques,
solutions privées
L’entreprise f abrique et commercialise
trois types de produits dif férents : des
monte-escalier, des élév ateurs ou plateformes élév atrices, des mini-ascenseurs
ou « Home Ele vator ». Les premiers per mettent de maintenir chez elles des per sonnes âgées à mobilité réduite, évitant
ainsi les tracas f inanciers et émotionnels
d’un déménagement. Le monte-escalier
Signor, qui est installé à l’intérieur de
l’escalier et pivote pendant la montée, est
considéré comme un des plus aboutis au
monde.
Les élévateurs sont adaptés aux bâtiments
publics et aux commerces pour f aciliter
l’accès des personnes à mobilité réduite,
en f auteuil roulant notamment. L ’activité
mini-ascenseurs ou « Home Elevator » est
plus récente et s’adresse aux par ticuliers
disposant d’une habitation sur plusieurs
niveaux. Enf in, on ne saurait oub lier le
quatrième secteur de l’entreprise qui
EntrePrise
pp, l’entreprise Thyssen
solutions aux problèmes
habitations privées.
concerne l’installation de ces différents
produits, ThyssenKrupp Monolift disposant de ses propres installateurs dans toute
la France.
Chaque gamme de produits comprend
plusieurs modèles, ce qui fait dire au Directeur général Europe et F rance, Mauro
Carneiro, que ThyssenKrupp Monolift
propose « la g amme de pr oduits la plus
complète » , insistant sur le f ait que l’entreprise f abrique et distribue. Les produits sont assemblés en Europe (Italie,
Pays-Bas, Allemagne) pour une dif fusion
mondiale. « Le Groupe est très axé sur la
technique, poursuit le Directeur général,
avec un important budg et en Rec herche
et Développement. L’innovation et l’amé-
lioration de nos pr oduits sont un souci
permanent pour nous. » On pense notamment aux 25 000 combinaisons possib les
concernant le design des mini-ascenseurs,
cette gamme de produits étant sans doute
celle qui sera la plus amenée à év oluer à
l’avenir dans un marché moins contraint
par les normes réglementaires.
Jean-Michel Masqué
(*) Ce décret stipule notamment qu’a vant le 1 er
janvier 2015, les 650 000 établissements existants
recevant du public devront être adaptés ou aménagés, afin que toute personne handicapée puisse y
accéder et bénéficier des prestations offertes dans
des conditions adaptées. Le délai est ramené au
31 décembre 2010 pour les par ties de bâtiments
des préfectures déli vrant les prestations au public, ainsi que les parties ouvertes au public des
établissements d’enseignement supérieur appar tenant à l’État.
Contacts : ThyssenKrupp Monolift (Xavier Boillot), 7, rue du Fossé-Blanc, Bât. G,
01 41 11 43 50, www.thyssen-monolift.fr
Gennevilliers magazine - décembre 2010 /31
EcoNomie
Chasse
aux trésors
La grande chasse aux trésors de
Noël, organisée par l’association
Gennevilliers Commerce Artisanat,
se poursuit jusqu’au 12 décembre. Il
s’agit pour les participants de deviner
une énigme sur Gennevilliers, composée d’une phrase dont des indices
sont cachés dans la vitrine des commerçants participants. La remise des
lots a lieu dimanche 12 décembre, à
11 heures, sur le Marché de Noël.
« Pointe Métro 2 »
15 000 mètres
carrés de bureaux
Jeunes
diplômés
Jeunes diplômé(e)s, vous vous apprêtez à entrer sur le marché du travail.
La boutique Club emploi et la Mission locale de Gennevilliers ont des
solutions po ur v ous. C ontactez-les
pour un rendez-vous diagnostic. Vous
bénéficierez d’un accompagnement
à la carte, doublé d’un coaching professionnel.
Boutique Club emploi : 01 40 85 67
80 ; Mission locale : 01 41 21 40 20.
Édition
2011
L’annuaire économique 2011 est en
préparation. Il recense toutes les entreprises par type d’activité et par
ordre alphabétique. Celles qui n’y figurent pas encore ou qui souhaitent
apporter des modifications à leur annonce, peuvent contacter le service
économique de la V ille. Cette inser tion est gratuite. Tél. 01 40 85 63 99.
L
e groupe Gecina vient de signer
l’acquisition de l’immeuble
« P ointe Métro 2 », der nière
tranche de cette opération mixte de 20
hectares, face au métro Gabriel-Péri.
Signé par le cabinet d’architecture
Jean-Paul Viguier, « P ointe Métro 2 »
se composera de 15 000 m 2 de surfaces
de bureaux HQE (Haute qualité en vironnementale) et BBC (Bâtiment basse
consommation) di visibles en plateaux
pouvant aller jusqu’à 2 500 m 2. Les
travaux de vraient démar rer en jan vier
prochain pour une livraison prévue au
quatrième trimestre 2012. Le bâtiment
pourra accueillir jusqu’à 1 100 occupants. Rappelons que le groupe Prisma
Presse v a prochainement occuper la
première par tie de l’opération. Nous
reviendrons, dans un prochain numéro,
sur l’installation du premier groupe de
communication en Europe. Mission locale
Cinq jeunes
Gennevillois au Québec
L
a Mission locale a placé la mobilité au centre de ces préoccupations. Elle f ait le pari qu’of frir
aux jeunes Genne villois la possibilité
de découvrir d’autres pa ys, d’autres
cultures, d’autres réalités de tra vail, dynamise leur accès à l’emploi.
Cette année, pour la première fois, la
Mission locale a initié un par tenariat
avec l’Of fice franco-québecois pour la
jeunesse et la Région Ile-de-F rance. Ce
partenariat per met à cinq jeunes Gennevillois de f aire un stage d’immersion
32/Gennevilliers magazine - décembre 2010
d’un mois dans une entreprise québecoise. Le 10 no vembre der nier, L ydia,
Héline, Adrien, Yassine, Abdellah, accompagnés par Fouzia Bendelhoum, de
la Mission locale, ont atterri à Montréal.
Tout était prêt pour les accueillir : lo gement, plan, transport
Lundi 15 novembre, tous les cinq ont démarré dans leur entreprise d’accueil. Ils
seront de retour mi-décembre et pourront, alors, nous livrer leur récit de cette
aventure.
À suivre, donc… CultUre
Axelle Red
Nourrie à la musique soul
De tubes en albums, la chanteuse à la chevelure flamboyante
a conquis un large public avec ses chansons
alliant une interprétation sensuelle
à un esprit résolument soul.
Axelle Red est en concert acoustique,
entre guitare et clavier,
vendredi 3 décembre, à la salle des fêtes.
Par Martine Chaymotty
Gennevilliers magazine - décembre 2010 /33
CultUre
CONCERT
AXELLE RED, VENDREDI 3 DÉCEMBRE, À LA SALLE DES FÊTES
Chanteuse engagée
F
lamande francophone, Axelle Red
a tout pour réunir un pays comme
la Belgique, sans gouv ernement
depuis début juin : elle a la par ticularité
de f aire car rière dans les deux communautés linguistiques. Née en 1968, à Hasselt, en Flandre, la petite Fabienne Demal
ne s’appelle pas encore Axelle Red. Qui
sait si ses parents ont senti que leur enfant
deviendrait une inter prète de soul music,
car au-dessus de son berceau, les fées se
sont penchées ; parmi elles, Aretha Franklin, dont la voix fait office de berceuse.
Adolescente, elle pratique la danse, le
théâtre et apprend par cœur tous les tubes
d’Abba. En 1993, elle enregistre son premier album, « Sans plus attendre ». Effectivement, elle n’attend pas, car trois
ans plus tard , elle enre gistre à Memphis
avec, excusez du peu, Steve Cropper et
Isaac Hayes, musiciens légendaires du
label Stax. Sor t « À tâtons », véritable
boulet de canon : un million d’albums
vendus. Suivront quantité d’albums, un
ven
duo désor mais culte, « Manhattan-Kaboul », a vec Renaud, des centaines de
bou
concerts, et des distinctions tant honocon
rifiques qu’artistiques. Ambassadrice
rifiq
de l’Unicef, Axelle Red se bat contre
les mines antipersonnelles, la mondialisation, les enfants soldats, les drolis
gues, le racisme, les violences f aites
gu
aux femmes P our ce spectacle, elle
au
est ar mée d’une guitare et d’un piano,
elle dépouillera anciennes et nouvelles
chansons de toutes fioritures, tiendra la
cha
routine à distance. Engagée, humaniste,
rout
Axelle la Rouge a encore beaucoup à
Axe
dire. Et à chanter. dire
A2
20 h 30.
Rés
Réservations au 01 40 85 64 55.
SPECTACLE JEUNE PUBLIC
LES 7, 8, ET 9
DÉCEMBRE, À LA MDC
Au Théâtre
Une lecture performance de la der nière création d’Eric Da Silva a lieu au
Théâtre de Gennevilliers, les vendredi 3
et samedi 4 décembre à 20 h 30.
41, avenue des Grésillons.
CINÉ-GOÛTER
« Une vie de chat »
Bonom
D
ans l’atelier du peintre commence un g rand jeu de découverte et d’e xploration des
matériaux. Ici, les petits spectateurs
partagent l’e xpérience de la rencontre
physique avec les matières : le mœlleux
de la ouate, le son du papier , la sensation tactile de l’eau et des pigments.
Créé en 2009 par la Compagnie Senso
Tempo, « Bonom » est un spectacle de
danse et un jeu de cor ps à matières, les
34/Gennevilliers magazine - décembre 2010
sens à fleur de peau, qui s’achemine
naturellement vers l’éclosion de la couleur. Magique. À partir de 2 ans. Mardi 7 et jeudi 9, à 9 h 15 et 10 h 30 ;
mercredi 8, à 10 heures (séances scolaires) ; mercredi 8, à 16 heures (séance
familiale).
Réservations au 01 40 85 64 55.
À la Maison du développement culturel,
16, rue Julien-Mocquard.
Dino est un chat qui mène une double
vie. Le jour, il vit avec Zoé, la fillette
de Jeanne, commissaire de police. La
nuit, il escalade les toits de Paris avec
Nico, un cambrioleur d’une grande habileté… Les réalisateurs Alain Gagnol
et Jean-Loup Felicioli offrent ici six ans
de travail pour aboutir à un film drôle,
touchant, captivant et qui sort de l’or dinaire par son côté esthétique. À partir
de 5 ans.
Mercredi 15 décembre, à 14 h 30,
au cinéma Jean-Vigo.
JUSQU’AU 15 JANVIER, À LA GALERIE EDOUARD-MANET
« La Méthode graphique et autres lignes »
CultUre
EXPOSITION
D
ans le cadre de ses car
tes
blanches à des commissaires
indépendants, la galerie gennevilloise invite Johana Car rier et Joana
Neves pour la Plateforme Roven. Cette
exposition collecti ve, qui rassemb le
treize ar tistes (allemand , anglais,
belges, français, italiens, néerlandais,
portugais, suisse), s’inspire de l’invention d’appareils de mesure. Issue de la
science expérimentale du XIX e siècle,
l’expression « méthode g raphique »
désigne le développement de procédés
de traductions et de quantif ication des
mouvements de la matière et des or ganismes. Ces techniques d’auscultation
produisent des tracés d’une étrange
beauté, directement inde xés à la vie :
pulsations, vibrations, ondulations,
secousses, tressaillements, frémisse-
Racontines
Des histoires et des comptines racontées
aux tout-petits de 0 à 3 ans et à leurs
parents, ce sont les Racontines proposées par les bibliothécaires et les discothécaires. Prochain rendez-vous câlin samedi 4 décembre , à 10 h 30, à l’espa ce
jeunesse de la bibliothèque François-Rabelais. Entrée libre.
ments… Une innovation technique qui
fait vibrer la frontière entre science et
esthétique et détermine de nouveaux
territoires de travail pour les artistes. 3, place Jean-Grandel, au Village. Du lundi
au vendredi, de 14 heures à 18 h 30 ; le
samedi, de 14 heures à 19 heures ; et sur
rendez-vous pour les groupes. Tél. 01 40
85 67 40.
INSTALLATION AUDIOVISUELLE
Test Pattern [n° 3]
Cocktail facial !
Vous prendrez bien un petit cocktail ?
De scènes, bien sûr . Les comédiens de la
Compagnie Phénix, sous la houlette de Karima Djelid, metteur en scène, font le ser vice et distribuent des extraits d’Emma de
Jane Austen, Beaucoup de bruit pour rien
et Roméo et Juliette de Shakespeare, Ma
vie d’ autiste, d e Temple G randin, Fanny
de Marcel Pagnol, Les Noces rebelles de
Sam Mendès, Au cœur de la tempête et
Mam’selle Bourgeois, de Karima Djelid.
Vendredi 17 et samedi 18 décembre, à
20 h 30, à la Maison du développement
culturel, 16, rue Julien-Mocquard. Entrée :
5 euros. Réservations au 06 16 10 17 15.
L
’espace de la salle 2 du Théâtre
de Genne villiers, entièrement
couverte d’images de codebarres ultrarapides… C’est ce que
propose l’artiste japonais Ryoji Ikeda,
avec son installation « Test P attern
[n° 3 ] ». Il présente des images oscillantes en noir et b lanc qui flottent
et se con vulsent dans l’obscurité de
quatre écrans – trois au sol et un autre
du sol au plafond –, parf aitement synchronisés. Grâce à un pro gramme in-
formatique en temps réel, les modes
de signal audio de Ry oji Ik eda sont
convertis en schémas de code-bar res.
Face à quelques centaines d’images
par seconde, les spectateurs peuv ent
expérimenter leurs propres sens visuels et auditifs qui, sans aucun doute,
seront éprouvés ! Du 1 er au 11 décembre. T ous les jours,
de 12 heures à 20 heures (sauf dimanche 5 décembre). 41, avenue des
Grésillons
Gennevilliers magazine - décembre 2010 /35
CultUre
EXPOSITION
À LA MDC
JUSQU’AU 19 DÉCEMBRE, À LA DISCOTHÈQUE FRANÇOIS-RABELAIS
L’accordéon
déon
éon dans tous ses états
D
e la chanson
onn rock
réaliste
auu
techno-trash-musette, en passant
nt
par le jazz, la mu- u-sique contemporaine,nee,
e
la world music, les mumumu
siques de f ilms, l’accor
cccorc déon re vient en force.
cee.EtEt
Robert Santiago, accordéoordéoor
r
niste professionnel etet
el’un
t l’un
des plus g rands collectionollle
lectionneurs d’accordéons en
n France,
ne s’en plaindra pas. Passionné
Passionné
Pa
par le piano à bretelles,
llees,
e il présente « Accordéons…
… », une collecco llection originale d’instrru
uments,
uments, des
um
des orior igines à nos jours, de photos,
photos,
d’af
fiches
hotos,, dd’affiches
hotos
affiches
et de méthodes, de musiciens
i i aussi, i
qui constr uisirent la légende. On suit
la trace de l’accordéon dans les salons
parisiens, sous le règne de Louis-Philippe, dans les fêtes champêtres, les
bals-musettes de la rue de Lappe et
bien au-delà, dans les festi vals acadiens de Louisiane… « C’est d’abord
la beauté de l’instrument, plus que le
Culture à dom icile a
pour obje ctif l ’organisation de 130 sp ectacles
jusqu’à juin prochain. Réservez dès à présent v otre
spectacle pour l ’hiver ou
les beaux jours.
Accordéon Mixte
Ranco Luigi - Italie 1900.
Collection et photo : Robert Santiago ©
son, qui m’a attiré et m’a donné envie de
les collectionner , dit Rober t Santiago.
Très vite, j’en ai tr ouvé des bizarr es, et
je me suis dit qu’il fallait les montrer. »
Bonne idée. 177, avenue Gabriel-Péri. Entrée libre.
Renseignements au 01 40 85 64 63.
CONCERT JAZZ
SAMEDI 11 DÉCEMBRE
Daniel Mille, accordéoniste
Stéphane Chausse, clarinettiste
voyageur excelle dans l’ar t de prendre
l’auditeur par la main pour l’entraîner
sur les chemins où il a lui-même glané
des perles mélodiques, des bribes de
rêves, des visions d’ailleurs… Le tout
donne à la vie une sa veur impalpable,
persistante, essentielle. O
n connaissait déjà la musique
de Daniel Mille : six albums
depuis 1993. En 2006, il est élu
Meilleur ar tiste de l’année en catégorie jazz instr umental, aux Victoires de
la musique, pour son album Après la
pluie. En novembre 2009, la sortie de
l’Attente provoque une pluie d’articles
élogieux dans la presse. Daniel Mille
confirme sa place à part dans le monde
de l’accordéon, et dans celui de la musique tout simplement. Ce poète et
36/Gennevilliers magazine - décembre 2010
A 20 h 30. Amphithéâtre
de la bibliothèque François-Rabelais.
Entrée libre. Réservation indispensable
au 01 40 85 64 63 ou 64 68.
C
e mois-ci, focus sur Ali Merghache, un artiste qui donne de
nouveaux accents à la chanson
française, les accents de ses origines,
de ses parents et g rands-parents. Il
chante la banlieue g rise pour la baigner de soleil et, à travers elle, revisite
les contes universels, comme celui de
la belle au bois dormant qui se désespère de v oir ar river son prince char mant… au 15e étage d’une HLM.
Ali Mer ghache n’est pas un nouv eau
venu. Leader du g roupe Nemla, il décroche en 1994 le 1er prix du « Chorus
des Hauts-de-Seine ». Titulaire d’une
maîtrise en sociolo gie et d’anthropologie urbaine, il écrit des textes poétiques et réalistes sur le milieu urbain
contemporain.
À domicile, il se produira, selon l’espace, en duo ou en trio, accompagné
de Amar Chaoui, percussionniste
ussionnistedudu
groupe Gnawa Diffusion,
n, et de Da vid
Aubaile au clavier. Réservation auprès de Gui
Guillaume
llaume De6, ou
ou de
de DomiDomiloire, au 01 40 85 60 76,
0 85 64 50.
nique Hermann, au 01 40
Toute la programmation sur :
nevilliers.fr/
http://www.ville-gennevilliers.fr/
e/
culture/culture-a-domicile/
Raconte-moi
des histoires !
Noël appr oche, et
Jean-Louis Le Cr aver,
conteur gennevillois (voir
aussi en p.10, r ubrique
quartiers), n’oublie jamais
les enfants.
D
ans sa hotte, il li vre trois nouv eaux
livres de contes, rigolos, sensés,
pleins de sagesse, à offrir ou à s’offrir. P our « Boucle d’Or et les trois ours »
(1), Jean-Louis s’est adjoint le talent d’illustratrice d’Irène Bonacina pour raconter l’histoire de gros ours, ours moyen et petit ours et
d’une petite fille qui passait par là.
Dans « Bêtes pas si bêtes ! », on a trois histoires d’animaux qu’on peut lire et écouter
puisqu’un CD accompagne l’ouvrage. La
première, « Les trois boucs », est un conte populaire norvégien, illustrée par Rémi Saillard,
dans lequel il est question d’un troll a
vec
les yeux plus g ros que le v entre. Eh oui, ça
existe. Avec le deuxième, « La chèvre biscornue » (1), contée par Christine Kif fer et
illustrée merveilleusement par Ronan Badel,
on f ait connaissance a vec un lapin qui v oit
son ter rier « squatté » par une chèvre mal
embouchée. On v erra ici que l’on a toujours
besoin d’un plus petit que soi. La troisième, «
Le Petit cochon têtu », contée par Jean-Louis
et subtilement illustrée a vec des tissus par
Martine Bourre, est un conte énumératif – il
fait fonctionner la mémoire ! Tout part d’une
bonne femme qui a un joli cochon très récalcitrant, refusant de rentrer à la maison. Der nière histoire, « La Chachatatutu et le phénix
» (2), adaptée par Jean-Louis et illustrée par
Nathalie Choux, est un conte tibétain plein de
malice et de sagesse, qui prouve qu’une petite
chose mal réglée peut avoir de graves conséquences… Plongez dans ces histoires et vous
retrouverez votre âme d’enfant. « Aux chœurs
de l’hiver »
CultUre
ALBUMS POUR ENFANTS
C’est le ti tre du concert d e mu sique romantique qui rassemble
le chœur Edgar -Varèse, le chœur
d’enfants, l’ensemble vocal féminin, la
classe de chant, en un mot toutes celles
et tous ceux qui pratiquent le chant
au conservatoire, du plus petit au plus
grand. Environ une soixantaine de voix,
qui interpréteront des œuvres de Fauré,
Gounod et leurs contemporains. Direction Camille Bourrouillou, Didier Louis.
Jeudi 16 décembre, à 19 heures. Auditorium Edgar-Varèse, 13, rue Louis-Calmel.
Entrée libre. Renseignements au 01 40
85 64 71.
Places à la danse
Votre enfant a envie de faire de la
danse ? Cela tombe plutôt bien. Il reste
des places en initiation pour les 6-8 ans:
au gymnase Anatole-France, le mardi,
de 16 h 20 à 17 h 45. À noter que le
professeur vient chercher les enfants à
l’école ;
a u g y m n a s e eJ eJaen
a-n G u i m i e r , l e l u lnudni d
, i,
de 17 h 30 à 19 heures
heures..
ent cherLe professeur vient
centre
cher les enfants auucentre
esnos,
de loisirs Robert-Desnos,
au Luth ;
au gymnase Gusustave-Caillebotte,
le mercredi, de 14 hh
30 à 16 heures et dee
16 heures à 17 h 30 ;
à l’Espace Gré-és i l l o n s , l e m a radrid, i ,
5.
de 17 h 45 à 18 h 45.
ans,ililreste
reste
Pour les plus de 8 ans,
contempoquelques places en contemporrain, classique et jazzz (après
rain
(après une
une
péri
période d’essai).
Enfi
nvier, s’ouvre
Enfin, à partir de janvier,
un nouveau
n
cours enéveil
éveilpour
pourles
les
4-5 ans, au gymnase
Joliot-Curie,
Joliot-Curie,
le m
heuresàà
mercredi, de 15 heures
15 h 45.
Ren
Renseignements complémentaires à
l’Éc
l’École municipale de danse,
au 01
0 40 85 64 53.
(1) Aux éditions Didier Jeunesse,
collection A petits petons.
(2) Aux
Aux éditions Syros, collection
Album paroles de conteurs.
Gennevilliers magazine - décembre 2010 /37
CultUre
CINÉMA
CINÉ
ÉMA
Par Jacques Déniel, directeur du cinéma Jean-Vigo. 1, rue Pierre-et-Marie-Curie.
Bandes-annonces : www.ville-gennevilliers.fr Programme sur répondeur : 0 892 68 27 43.
UN FILM/UN BUFFET/ UN CONCERT
A Skin too Few, the Days of Nick Drake
U
n f ilm de Jeroen Berkv ens (V O).
C’est un documentaire de 48 mn,
réalisé en 2000, sur un musicien
anglais intro verti et rêv eur, nour ri au baroque et éduqué à Cambridge : Nick Drake.
J. Berkvens a nour ri son f ilm d’entretiens
avec la sœur de l’ar tiste, Gabrielle Drak e,
l’arrangeur Rober t Kirb y et le producteur
Joe Boyd, et d’images d’archi ves de Nick
Drake, Molly Drake, Paul Wheeler …
Fleur sauv age sur la planète folk, Nick
Drake eut un court destin de poète maudit.
Avant de devenir culte. Mort à 26 ans, il est
incontestablement un ar tiste unique et incontournable, ses albums se savourent, tout
simplement. Vendredi 10 décembre, à 18 heures :
« A Skin too Few, The Days of Nick Drake »
de Jeroen Berkvens ; à 19 h 30 :
buffet ; à 20 h 30 : concert Johnny Dickinson, Anglais, folk, et Alastair Moock,
Américain, country folk.
LE CONCERT
Johnny Dickinson
E
n 2001, sor t le premier album solo
de Johnny Dickinson. Il y développe
un style unique de folk tra versé de
saveurs celtiques et de blues américain qui
rappelle parfois Kelly Joe Phelps et Martin
Simpson.
Sim
« Le joueur
de slide
s
guitar le plus
subtil
sub et brillant du
Royaume-Uni.
Roy
J e f erais
rai des kilomètr es
pour
po aller écouter
Johnny
Dickinson ! »
Jo
John
n.
Jo Renbour
www.johnnydickinw
son.com.
so
RÉTROSPECTIVE ROBERT BRESSON
Le Journal
d’un curé
de campagne
Alastair Moock
S
ur scène, Alastair Moock capti ve
le pub lic g râce à son humour et
sa perspicacité. Il interprète ses
propres chansons, du folk et b lues traditionnel, des ballades entrecoupées de récits. Il a pub lié cinq albums : « Walking
Sounds », « Bad Moock Rising », « A Life
I Ne ver Had », « Let it Go », « Fortune
Street ». Alastair Moock est présent du
3 au 11 décembre sur Genne villiers et Paris, pour des concer ts en appar tement, en
collaboration avec Culture à domicile. Une
date reste disponible, le 4 décembre, pour
l’accueillir chez vous. Contact au 01 40 85 48 80.
www.moock.com
FILM DU MOIS
Mystères
de Lisbonne
U
n f ilm de Raul Ruiz (V O). « Mystères de Lisbonne » est un f ilmfleuve (4 h 26) nouant les destins
d’un prêtre, d’un vil séducteur , d’un semi-orphelin, d’une amoureuse éconduite,
d’une épouse tyrannisée.
Un jeune bâtard se découvre une mère aimante. Une jeune femme br une poursuit
de sa vengeance l’homme qui l’a anéantie.
Une jeune femme blonde doit choisir entre
trois jeunes hommes et se trompe peutêtre. Elle mour ra jeune. On peut parler de
miracle, car le genre romanesque aboutit
à une équation inouïe : la splendeur et la
légèreté tout ensemb le. Beauté de la mise
en scène, avec les mouvements coulissants
faisant sur gir les personnages comme autant de fleurs sauv ages et pensi ves, menacées par la trame des secrets. Projections les jeudi 16, samedi 18,
dimanche 19 et lundi 20 décembre.
À
sa sor tie du séminaire,
un jeune prêtre intèg re sa
première paroisse : d’Ambricourt. Idéaliste et dév ot, il se
heurte très vite à l’hostilité de ses
ouailles. La châtelaine, notamment, fait preuve d’un athéisme
fanatique depuis la per te d’un de
ses enf ants. Elle meur t peu après
avoir retrouvé la foi. Dès lors les
haines se cristallisent autour du
jeune curé. Présenté par Charles Tesson,
critique et historien du cinéma.
Jeudi 9 décembre, à 20 h 15.
38/Gennevilliers magazine - décembre 2010
Pour voter,
il faut être inscrit
sur les listes électorales
C’est obligatoire
2011 : élections cantonales
PRENEZ
MINUTES
POUR VOUS INSCRIRE
! YRXVrWHVGHQDWLRQDOLWpIUDQoDLVH
! YRXVYHQH]G·HPPpQDJHURXGHGpPpQDJHUj*HQQHYLOOLHUV
! YRXVDXUH]DQVDYDQWOHPDUV
! YRXVQ·DYH]MDPDLVpWpLQVFULW
(QYHQDQW
YRXVPrPH
HQ0DLULH
DOCUMENTS À FOURNIR IMPERATIVEMENT :
! Carte
nationale d’identité
RXDXWUHSLqFHHWFHUWLÀFDWGHQDWLRQDOLWp
! Justificatif
de domicile
TXLWWDQFHGHOR\HUIDFWXUH(')WpOpSKRQH«
OÙ S’ADRESSER ?
0DLULHGH*HQQHYLOOLHUV6HUYLFHGHVDIIDLUHVFLYLOHV
RX‡DYHQXH*DEULHO3pUL*HQQHYLOOLHUV
ZZZYLOOHJHQQHYLOOLHUVIU
DATE LIMITE
31 DÉCEMBRE À 16 H
SportS
En course pour la montée dans l’élite du rugby amateur français pour
nine, le CSM Gennevilliers rugby est un club de tradition et de formation.
A
ussi étonnant que cela puisse paraître,
car notre région est encore loin d’en
être un bastion, le rugby a déjà une
longue tradition à Genne villiers. En ef fet, le
club existe depuis 1968 sous la for me d’une
école de r ugby. D’ailleurs, le nouv eau président du CSM Genne villiers Rugb y, Christophe Tricot, s’en souvient qui a commencé
à tâter de la balle o vale à cette époque. Le
créateur de l’école de r ugby genne villoise,
l’ancien instituteur Jean-Charles Giriat,
est toujours à l’honneur en début de saison
puisqu’un impor tant tour noi de jeunes por tant son nom, sans doute le plus important en
Ile-de-France, se déroule tous les ans à Gennevilliers en octobre.
Cette année, le 10 octobre, le tour noi Giriat
intéressait les catégories moins de 7, moins
de 9 et moins de 11 ans représentant un grand
nombre d’écoles de r ugby franciliennes (Clichy, Massy, PUC, Racing Metro, Stade F rançais, Suresnes… ). Ce tour noi a attiré 1 200
jeunes joueurs et drainé en viron 3 000 per sonnes toute la jour née d’un beau dimanche
d’automne, sur les trois ter rains du parc des
Sports. « L’impact d’une telle manif estation
est important, estime Christophe Tricot, sur
le plan sportif comme sur le plan communal
pour l’utilisation des équipements que nous
prête la municipalité. »
En ef fet, ce tour noi, qui e xiste sous cette
forme depuis plusieurs années déjà, montre la
volonté des nouveaux dirigeants (un nouveau
bureau a été élu mi-septembre) de conser ver
au club son orientation fondamentale de club
formateur. L’école de r ugby compte en viron
250 adhérents et plus d’une vingtaine d’entraîneurs, ce ni veau de pratiquants se maintenant depuis 2007, année de la Coupe du
monde de rugby en France.
Les filles ont toute
leur place
« Notre souci est de pérenniser cette vocation f ormatrice, précise le président ,
tout en permettant à l’équipe pr emière
masculine d’évoluer au plus haut niveau
amateur, la Fédér ale 1. Nous ne visons
en aucun cas la création d’une équipe
professionnelle. » Après un passage en
Fédérale 1, il y a deux saisons, l’équipe
seniors masculine s’efforce de rejoindre
cette saison l’élite du r ugby amateur
hexagonal en a yant bien démar ré son
championnat de Fédérale 2. Avec un
40/Gennevilliers magazine - décembre 2010
effectif de qualité et un calendrier f avorable, l’équipe masculine pour rait réussir ce challenge de la montée même si
cette saison, en raison de modif ications
d’organisation, seules les quatre équipes
demi-finalistes du championnat de Fédérale 2 monteront à l’échelon supérieur.
L’équipe seniors féminine fait partie désormais du Top 10, le plus haut ni veau
du rugby féminin en F rance. Car la for mation à Genne villiers intéresse aussi
les filles, même s’il n’existe pas d’école
de r ugby spécif iquement féminine. En
petites sections, les f illes s’entraînent
avec les garçons puis, à partir des moins
SportS
l’équipe masculine, déjà dans l’élite du rugby français pour l’équipe fémi-
Rencontres
Matchs de l’équipe 1 masculine
le dimanche, à 15 heures, au parc
des Sports (en alternance
avec l’équipe 1 féminine),
terrain Claude-Luboz.
Prochain match au sommet :
Gennevilliers-Arras (1er de la poule),
dimanche 12 décembre.
Contacts : 06 17 81 77 24,
www.rugby-gennevilliers.com
de 15 ans (cadettes), elles reçoi vent un
entraînement particulier. Cela a permis au
club de Gennevilliers d’engager, outre une
équipe à 15 en Top 10, une équipe seniors
2 en championnat de r ugby à 12 et une
équipe cadettes en championnat de r ugby
à 7. Cela f ait de Genne villiers une des
places for tes du r ugby féminin français
avec Bobign y, Chill y-Mazarin et Vitrysur-Seine comme autres clubs franciliens.
Des cadets et juniors, qui ne font pas par tie de l’école de r ugby, aux vétérans, les
effectifs « adultes » du club genne villois
tournent autour de 250. L’équipe des vétérans, intitulée avec humour Rugby Folklo
Gégenne ou Jurassic Pack et dont le noyau
dur est constitué d’anciens joueurs du
club, a récemment por té loin les couleurs
noires et blanches gennevilloises. Au moment de la Toussaint, cette équipe a effectué une « tour née » en Argentine où elle
a joué deux rencontres, toutes deux per dues, mais dans la bonne humeur ! Des
mini-poussins (nés en 2004-2005) aux
« ancêtres » du Jurassic Pack, le rugby traverse tous les âges à Genne villiers, pour
faire de notre ville une référence dans le
monde de l’ovalie francilien et hexagonal.
Jean-Michel Masqué
Gennevilliers magazine - décembre 2010 /41
SpOrtS
Samedi 4
FOOTBALL - Parc des Sévines
10h30 : CSMG/Levallois (U 11/ 1)
14h : CSMG/Levallois (U 13/1)
14h : CSMG/Levallois (U 13/3)
15h : CSMG/Colombes (U 18F à 7)
15h30 : CSMG/Aulnaysienne (U 15/1)
16h45 : CSMG/Villeneuve-la-Garenne
Stade du Luth
10h30 : ES gennevilloise/Asnières
14h : ES gennevilloise/LSO Colombes
TÉLÉTHON
Parc des Sévines
Animation tennis organisée par
le Tennis-club gennevillois
Gymnase Gustave-Caillebotte
14h-24h : concours de tir à l’arc
organisé par les Archers gennevillois
BASKET-BALL
Gymnase Joliot-Curie
14h : Gennevilliers Basket-Club/
Rueil (mini-poussins)
16h : GBC/PLA (mini-poussins)
18h : GBC/LSO Colombes (poussines)
20h : GBC/ Etincelle sportive de Brunoy
TAE KWON DO
Dojo
7h30-22h : coupe de Noël
Animations sportives de la Ville, plateau
Gustave-Caillebotte
13h30-17h30 : animation Sport handicap.
Plateau et gymnase Anatole-France
14h-18h : animation « Ge-Gen à moteur ».
Animations sportives
Noël tonique
L
es animateurs spor tifs de la Ville
accueillent les jeunes pendant les
deux semaines de v acances de
Noël (20-24 et 27-31 décembre) dans
les gymnases Jean-Guimier (Luth),Ana-
tole-France (Chandon-Brenu) et Grésillons. Au pro gramme, un tour noi des
trois raquettes et des rencontres et tour nois multispor ts, notamment de spor ts
collectifs. On peut y par ticiper indi viduellement ou en groupe déjà formé. Entrée libre sur inscription à l’entrée.
Renseignements : 01 40 85 65 70.
Gymnastique rythmique
Gala de Noël
A
vec plus de 200 gymnastes, la
section GR du CSMG n’est pas
loin d’a voir atteint son principal objectif de la saison, c’est-à-dire
d’attirer plus d’adhérentes que l’an
dernier (166) et surtout d’engager plus
de f illes en compétition. Ce qui réjouit
Sandrine Gr un, maman de deux jeunes
gymnastes, qui a pris la succession de
Jean-Louis Bertin, président du CSMG,
à la tête de la section en juin der nier.
L’autre tâche de la nouvelle présidente
et des membres du bureau est de trouver des par tenaires pour bénéf icier de
tarifs a vantageux sur les tenues et les
équipements. Cette année encore, le
gala de Noël sera l’occasion d’apprécier
l’évolution des gymnastes du club. Elles
présenteront une danse par g roupe pour
les élèves en loisir et une prestation individuelle pour les compétitrices. Mais
aussi d’autres sur prises pour un jo yeux
moment de con vivialité autour du Père
Noël. Samedi 11 décembre, à partir
de 16 heures, gymnase Jean-Guimier.
Renseignements : 06 69 79 68 00
(Elodie Me ur) ou www .csmggr-gennevilliers.com
Dimanche 5
FOOTBALL
Parc des Sévines
9h30 : Amicale 92/Rueil-Malmaison Fc
13h : CSMG/Argenteuil (U 17/1)
13h : CSMG/Colombienne (U 17/2)
15h : AS Fossé-de-l’Aumône 2/
Benfica Argoselo
Stade Louis-Boury
13h : CSMG/Malakoff (U 19/2)
15h : CSMG/Salesienne de Paris
Stade du Luth
13h : ES gennevilloise/Enfants de Passy
15h : FC Luth/Fouilleuse
ROLLER-HOCKEY
Gymnase Anatole-France
8h : Roller-hockey gennevillois/CergyPontoise (Régionale)
10h : RHG/Elancourt (loisir)
15h : RHG/ Moreuil (Nationale 3))
BASKET-BALL
Gymnase Joliot-Curie
9h : GBC/ Le Plessis-Robinson
on (minimes
(minimes-1)
1)
10h30 : GBC/Tremblay-en-France (anciens)
12h : GBC/LSO Colombes (cadets-2)
13h30 : GBC/PLA (cadets-1)
15h30 : GBC/ Malakoff (seniors filles)
TÉLÉTHON
Gymnase Gustave-Caillebotte
24-/2h : concours de tir à l’arc
42/Gennevilliers magazine - décembre 2010
Basket-ball
Les habits neufs du
basket gennevillois
L
a réflexion mûrissait depuis deux
ans. La section bask et du CSMG
a f inalement pris son indépendance, l’été der nier, pour de venir Gennevilliers Basket club (GBC). « Sur le
fond et la continuité des activités, cela
ne c hange pas gr and-chose » , estime
Gilles Tectin, manager du club. « Finalement, poursuit le manager , les membres
du bureau se sont dit que le meilleur
moyen de s’investir encore plus dans le
club était d’en prendre complètement les
rênes, d’assumer toutes les r esponsabilités en toute transparence. » D’ailleurs,
il trouve que, depuis juillet, la cohésion
s’est renforcée au sein du club. Avec 280
licenciés, dont un tiers de f illes, et une
vingtaine d’entraîneurs, les effectifs sont
similaires à ceux de l’an der nier. Au niveau sportif, l’équipe masculine seniors
(Excellence régionale) a mieux démarré
son championnat puisqu’elle se trouv ait
à la seconde place mi-no vembre après
un tiers des matchs joués, même si cette
division est très ser rée et que 7 équipes
(sur 12) quittent ce niveau chaque année,
soit pour monter soit pour descendre.
Il faudra encore batailler pour rester dans
les sept premiers. Au niveau de l’équipe
féminine et des équipes de jeunes, la
saison a aussi bien démar ré, les cadets
ayant même sur volé les phases qualif icatives régionales.
Samedi 4 décembre, à 20 heures, au
gymnase Joliot-Curie, le GBC reçoit Br unoy en championnat. Le 128 e
de f inale de la Coupe de F rance, dans
laquelle est encore engagé le GBC, se
déroulera samedi 18 décembre, à
Amiens (N3) Renseignements :
www.gennevilliersbasket.com
Samedi 11
Les archers visent au cœur
F
idèles à leur engagement en f aveur du Téléthon depuis toujours
et à leur de vise « Mettre ses
muscles au ser vice de ceux qui n’en
ont plus », les Archers gennevillois invitent tous les pratiquants de plus de
14 ans à un concours « After Lunch ».
Il s’agit d’un concours de tir à l’arc par
équipes de trois archers pendant douze
heures, les archers se rela yant toutes
les heures, du samedi 4 décembre (14
heures) au dimanche 5 (2 heures). Les
archers qui viendront indi viduellement
pourront for mer des équipes sur place.
Les tenues excentriques étant for tement
conseillées, le spectacle risque d’être au
rendez-vous ! On pourra se restaurer sur
place et par ticiper à une tombola, tous
les bénéfices étant évidemment reversés
à l’AFM-Téléthon (Association française contre les myopathies). Du 4 (14 heures) au 5 décembre
(2 heures), gymnase G. - Caillebotte.
Accès au gymnase : 2 euros
(20 euros pour les archers).
Renseignements : http://archers.gennevillois.free.fr et www.afm-telethon.fr
RUGBY
Stade Claude-Luboz
11h : France Pub Rugby/
AS Police Hauts-de-Seine
FOOTBALL
Parc des Sévines
10h30 : CSMG/Clichy (U 11/1)
14h : CSMG/Suresnes (U 13/1)
15h : CSMG/Bagneux (U 15 filles)
16h45 : CSMG/Puteaux (U 15/2)
Stade du Luth
10h30 : ES gennevilloise/Seizième
FUTSAL
Gymnase Paul-Langevin
16h30 : Gennevilliers Soccer/
Saint-Germain futsal
BASKET HANDISPORT
Gymnase des Grésillons
15h : CVHG 2/CAP SAA
18h : CVHG/Le Puy-en-Velay
VOLLEY-BALL
Gymnase Gustave-Caillebotte
20h : CSMG/Courbevoie Sport
SpOrtS
Téléthon / Tir à l’arc
(seniors masculins départemental)
BASKET-BALL
Gymnase Joliot-Curie
14h : GBC/ACBB (benjamins-1)
16h : GBC/ Bourg-la-Reine (minimes filles)
18h : GBC/ACBB (seniors-3)
20h30 : GBC/ Fontenay (seniors-1)
Dimanche 12
Téléthon / Tennis
Des sets de cœur
L
e Tennis club gennevillois se mobilise pour le Téléthon des 3 et 4
décembre : tour noi ludique pour
tous les joueurs, même non-adhérents,
vendredi 3 décembre (de 22 heures à
1 heure), animation Téléthon le 4 décembre (de 15 heures à 17 heures) à
l’occasion du match de doub le télévisé
de la f inale de la coupe Da vis SerbieFrance, tour noi compétitif le 4 (de 17
heures à 19 heures) pour les joueurs
adhérents du club junior . Les droits de
participation et les dons sont re versés à
l’AFM-Téléthon. Renseignements : 01 40 85 18 79.
FOOTBALL
Stade Louis-Boury
13h : CSMG/Le Blanc-Mesnil (U 19/1)
15h : CSMG/Montgeron ES (seniors-1)
Parc des Sévines
9h30 : CSMG/Abeille de Rueil (vétérans)
13h : CSMG/Levallois (U 17/3)
15h : AS Fossé-de-l’Aumône/
Rueil-Malmaison
Stade du Luth
9h30 : Olympique gennevilloise/
Castanheira
9h30 : Labrenne/Fantasia
VOLLEY-BALL
Gymnase Gustave-Caillebotte
14h : CSMG/Le Plessis-Robinson
18h : CSMG/Nanterre (espoirs féminins)
RUGBY
Stade Claude-Luboz
10h : CSMG/RC Amiens (cadets)
13h30 : CSMG/Rugby Club Arras (réserve)
15h : CSMG/Stade rennais (féminines à 15)
15h : CSMG/Rugby Club Arras (première)
BASKET-BALL
Gymnase Joliot-Curie
10h30 : GBC/USO Bièvre (anciens)
12h : GBC/AAEGC (poussins)
13h : GBC/Courbevoie (benjamins-2)
15h30 : GBC/Abeille de Rueil (cadettes)
17h30 : GBC/Villeneuve-la-Garenne
Samedi 18
FUTSAL - Gymnase Paul-Langevin
9h-17h : compétition jeunes
KARATÉ - Dojo
10h : compétition Elite
14h-17h : coupe de Noël
Gennevilliers magazine - décembre 2010 /43
EtatCivil
DU 15 OCTOBRE AU 15 NOVEMBRE
NAISSANCES
COLAS Evans - MENDES FERNANDES
Djayna - GABET CRISPIN Ethan - BAAZIZ Maissa - MBODOU ABDOU Moussa
- GHERMOUL Yamina - AMEGROUD
Ilias - CARBONNIER Aubin - SOUB ANI Wassima - MOREAU Clara - FALL
Kim - DIN ALLE Dja yden - NGUELET
Eden - BATHILY Nefissa - ABRASSART
Hugo - B UCIN Karla - GESLA Victoria
- NEGAB Ibrahim - HAMADOU Ghilas
- BEN FARHAT Hana - REISTER Maximilien - TALBI Medina - AGSIB Mélék
- MAHN AOUI Nahila - SANDOZ
Ousmene - FLOR US Janaelle - FLORUS Nal ya - KHEY AR Abdelmalek BOUKHCHEM Janna - CUSSA C Rafaële - BOUMOUR Nour - D AKOURI
Grâce-Simone - D AKOURI Lohoré CARON Lucien - HMADNA Abdallah
- AZARQI Bilal - MARINE Djahn ys VACHOT Kylie - ARRAS Rania - FAÏD
Célia - CORREIRA DA SILVA Nuria KUKARKHOEV Abdulmalik - ODJE
Chiadon - AIT MOHAMED Younes
- YAHYAOUI Mohamed - AGUIDA-BIKANIMINE Brahiem - PLESDIN
Lauryne - GHALEM Lina - MICHELOT JOB ARD Lisa - IBOUREK Lamyâa - HAJIOUI Lina - CHOUGRANI
Ahmed - LIBOUB AN--SANDJIAN
Colombine - ANAJJAR Zainab - LAHDAR Adil - BEN AHMED Anass MALLEM Imane - JOVIAL--LEGROS
Kessy - CHAIBI Nour - DROUMAGUET LE NOZERH Noan - TOUATI
Maëlys - MOUYH Hidaya - BENJHALIFA Amine - HAZZOUJI Rayane NASSIH Waël - DRAMEAssya - BENREDJEM Roma yssa - MOUZOURI
Hania - BENACHLIOU Ismail - DIAW
Alassane - DIAW Fousseinou.
MARIAGES
AÏT OUFKIR Khalid et TISSIR Halima - BAAIS Abderrahmane et
OUBELLA Rachida - BOUSSAID
Abdelkrim et HARZALLAH Monia CHOUKRI Fouad et ETTOUH Hakima
- FERKAK OUM Abdallah et TABARY Angélique - KHAZOU Yassine et
LHANAFI Mona - KHEMIRI Amen et
LECAILLE Laetitia - KRISSI Mohamed et N AJMI Myriam - MEHARGA
Karim et AIDEL Samia - SIAD Achour
et BELARBI Meriem - SILLAH Hagi
et DRAME Cissé - ZARBAN AhmedAli et MENSOURI Siham - ZEGHARI
Hassan et AMINE Jamila.
DÉCÈS
GENTY Louise VASLET Ber the
- PONS Michel - POMARES Joséphine - HO Tan Quan - PEREIRA D A
COSTA Antoine - CASANO VAS Marie - EDDANISS Lahsen - LÉONARD
Patrick - FOFI Ubaldo - PIERRES
Albert - MAR TI SUBIRANA Alfonso
- ROUABAH Hamlaoui - NDOUBIHI
Brahim - MARCHAND P aulette TORRES Claude - DE RIVIERE Br unel - BENAMAR Ahmed.
Les bibliothèques...
tout le monde
s’y retrouve
F.-Rabelais
177, avenue Gabriel-Péri
A.-Malraux
28, avenue Lucette-Mazalaigue
44/Gennevilliers magazine - décembre 2010
R.-Doisneau
30-40, rue François-Kovac
Gratuit
près de chez vous
vigilance accrue
ASSOCIATION COULEUR TROPIC
C’est une couleur qui v a bien a u teint
de tous. Et cela fait dix ans que cela dure.
Couleur Tropic fête ses dix ans d’existence.
Le m onoxyde d e c arbone ( CO) e st
la p remière c ause d e m ortalité p ar
intoxication en France. Si l’on comptait près de 300 cas fin 1970, une
centaine, entre 2000 et 2006, est
encore à déplorer. D’une densité voisine de l’air, le CO se diffuse très vite
dans l’environnement, prend la place
de l’oxygène dans le sang, provoque
maux de tête, nausées, fatigue, malaise, paralysie musculaire, voire coma et décès.
Gaz asphyxiant indétectacle, invisible, inodore, non irritant, il résulte
d’une mauvaise combustion d’un
appareil ou d’un moteur à combustion fonctionnant au gaz, au bois, au
charbon, à l’essence, au fuel ou encore à l’éthanol. Sont concernés les
chaudières et chauffe-eau ; poêle et
cuisinières ; cheminées et inserts, y
compris les cheminées décoratives
à l’éthanol ; appareils de chauffage
à combustion fixes ou d’appoint ;
groupes électrogènes ou pompes
thermiques ; engins à moteur ther mique (voitures et certains appareils
de bricolage, notamment) ; braseros
et barbecues ; panneaux radiants à
gaz ; convecteurs fonctionnant avec
des combustibles.
Comment l’éviter ?
Faire
vérifier et entretenir par un
professionnel chaudières, chauffeeau, chauffe-bain, inserts et poêles,
conduits de fumée.
Aérer le logement tous les jours
pendant au moins dix minutes,
même en hiver.
Ne jamais obstruer les entrées et
sorties (grilles d’aération dans les
cuisines, salles d’eau et chaufferie).
En cas de présence de CO
Aérer
immédiatement les locaux
(portes et fenêtres).
Arrêter, si possible, les appareils à
combustion.
Evacuer au plus vite les locaux et
bâtiments.
Appeler les secours : 112 (numéro
unique d’urgence européen), 18
(sapeurs-pompiers), 15 (Samu).
Ne pas réintégrer les lieux avant
d’avoir reçu l’avis d’un professionnel du chauffage ou des sapeurspompiers.
Pratique
MONOXYDE DE CARBONE :
La fête avant tout
F
rançoise Kancel, présidente de
Couleur Tropic, n’en revient toujours pas. « Je n’ai pas vu le temps
passer », dit-elle. L’aventure de son association est née comme ça. « J’attendais un bébé et… je m’ennuyais !
Au
cours d’une fête familiale , j’ai eu l’idée
de faire un spectacle de danses. J’ai créé
les chorégraphies et les costumes. Tout
le monde a cru que j’avais une association ! Plus tard, on continuait de danser,
et l’association n’existait toujours pas. »
Elle se renseigne, réunit ses amis, tous
cherchent un nom autour du soleil, des
couleurs… Ce sera Couleur Tropic ! Depuis que les statuts ont été déposés, le
bureau n’a pas changé, excepté le trésorier, muté aux Antilles. Françoise et ses
amis n’ont pas les deux pieds dans le
même sabot. La fête, oui, mais chacun
sait ce qu’il a à faire. Et la forte solidarité qui règne au sein de l’association f ait
le reste. Deux couturières s’occupent
des costumes, un cuisinier prépare les
bons petits plats pour les quatre à cinq
fêtes dans l’année, qui, chaque fois, réunissent deux cents personnes. Des fêtes
mais aussi des sor ties, à Eurodisne y ou
au parc Saint-P aul, qui rencontrent un
franc succès. Il ar rive aussi que Couleur Tropic par ticipe à des soirées dansantes dans d’autres villes. F rançoise,
ancienne danseuse, qui a dansé dans des
ballets africains, antillais ou guyannais,
enseigne quadrille, gwoka, merengue et
autres danses îliennes à une douzaine
d’adultes et une quinzaine d’enf ants.
Employée à la Ville de Paris, elle trouve
le temps de créer toutes les chorég raphies pour les spectacles où théâtre et
sketches viennent aussi ponctuer les soirées toniques de Couleur Tropic. En dix
ans, trois mariages ont été célébrés par mi les membres de l’association. Quand
elle v oit le tra vail accompli, F rançoise
est heureuse. Elle peut. La soirée de gala
des dix ans de Couleur Tropic a réuni pas
moins de 500 personnes, le 27 novembre
dernier, à la salle des fêtes. Une soirée
tonique, brillante, éclatante comme une
danse créole. Martine Chaymotty
Contact : 06 86 82 88 56.
Courriel : couleur.tropic@wanadoo.fr
Gennevilliers
G
Ge
enn
nevil
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villililier
ie s maga
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bre 20
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2010
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45
CourRier
Chers lecteurs, nous vous rappelons que cette page est la
vôtre ! Merci de continuer à nous écrire. N’oub liez pas
de nous autoriser à reproduire un e xtrait de votre lettre
avec votre signature ou v os initiales et, le cas échéant,
votre lieu de résidence ou v otre quar tier. Vous pouvez
aussi nous adresser un cour rier électronique à daniele.
salque@ville-gennevilliers.fr
La collecte
des ordures
ménagères s’effectue
deux fois par semaine
dans l’habitat
pavillonnaire
Taxe d’habitation
A
près l’article paru dans
GenMag de novembre
sur la tax e d’habitation, plusieurs Genne villois
nous ont inter pellés, suite à
une augmentation inhabituelle
de leur taxe 2010. Rappelons,
tout d’abord , que la hausse
du taux communal 2010 est
de 1 %. Toute v ariation supérieure a donc une cause liée à
la situation ph ysique de l’habitation, comme, par exemple,
une re valorisation suite à des
travaux, ou l’adjonction à la
taxe d’habitation de la tax e
sur les parkings qui f igurait
jusqu’à présent sur une f iche
séparée. Les ser vices f iscaux
ont en effet effectué un travail
d’évaluation – ou de réév aluation – de la v aleur locative
des parkings. Ce tra vail vise
également à rassemb ler dans
la tax e d’habitation à la fois
l’habitat et les parkings. Ce
qui peut, par conséquent, e xpliquer une hausse apparente.
Toutefois, si v ous constatez
des variations qui vous paraissent impor tantes, rapprochezvous des ser vices f iscaux, 1 er
étage du centre administratif,
177, avenue Gabriel-Péri. Tél.
01 40 85 43 00 ou 0 810 012
011. Accueil du lundi au v endredi, de 8 h 45 à 12 heures et
de 13 h 30 à 16 heures. Secteur Ouest
Secteur Est
Luth
Fossé-de-l’Aumône
Chevrins - Cité jardin
Agnettes
Chandon-Brenu - Sévines
Zone industrielle
Grésillons
illons
Village
llage
V
Lundi
endredi
Mardi
ardi
Samedi
medi
Pour tout renseignement, contacter
Gennevilliers propreté :
01 40 85 60 10
LES ENCOMBRANTS
La collecte des objets encombrants
s’effectue le premier lundi de chaque mois,
dès 6 heures du matin, sur l’ensemble de la ville.
Prochains passages :
le 3 janvier
et le 7 février
Gennevilliers Propreté : 01 40 85 60 10
Gennevilliers Magazine Décembre 2010 no209
177, avenue Gabriel-Péri 92230 Gennevilliers - Tél. 01 40 85 66 66 - F ax 01 40 85 68 98 www .ville-gennevilliers.fr Directeur de
publication : Olivier Mériot Rédactrice en chef : Danièle Salque-Tselouiko (01 40 85 64 85) d aniele.salque@ville-gennevilliers.fr
Rédaction : Martine Chaymotty (01 40 85 64 89) - F abienne Dagouat (01 40 85 64 82) - F rédéric Lombard (06 81 90 54 00)
- Jean-Michel Masqué - Y ves Schebat (01 40 85 64 75) - Clém entine Vitelotte Photographes : Didier Com ellec - Chr istophe
Couffinhal Maquettiste : André Guilhou Imprimerie : LNI (01 40 85 74 85) Publicité : HSP (01 55 69 31 00) Dépôt légal :
décembre 2010.
46/Gennevilliers magazine - décembre 2010
Santé
Dimanche 5 décembre : Cougouliègne, 78, avenue Gabriel-Péri.
Centres
municipaux de santé
Dimanche 12 décembre : Lacombe, 8, place Jules-Guesde.
- 3, rue de la Paix
01 40 85 66 50
Dimanche 19 décembre : Heurzeau, 134, avenue Gabriel-Péri.
- 80, avenue Chandon
01 40 85 48 20
Samedi 25 décembre : Fingerhut, 10, place Jean-Grandel.
Centre de planification
et d’éducation familiale
- 66, rue Pierre-Timbaud
01 40 85 66 83
Dimanche 26 décembre : Cornaille, 10, avenue du Général-de-Gaulle.
Samedi 1er janvier : Tran, 5, place Jean-Grandel.
Espace santé-jeunes
- 66, rue Pierre-Timbaud
01 40 85 67 62
Dimanche 2 janvier : Mestiri, 221, boulevard Gallieni
92390 Villeneuve-la-Garenne.
CDAG
- Centre de dépistage anonyme
et gratuit 01 40 85 48 20
Urgences
Sapeurs-pompiers :
18
SOS suicide :
Service médical d’urgence :
15
Secours adolescents
suicidaires :
01 44 75 54 54
Samu social :
(numéro national gratuit)
Commissariat
de police :
Gendarmerie
nationale :
115
01 40 85 14 31
01 42 42 02 42
SOS médecins 92 : 01 47 07 77 77
SOS 92
(garde et urgences médicales) : 01 46 03 77 44
Centre antipoison : 01 40 05 48 48
Hôpital
Louis-Mourier :
UtiLe
Pharmacies de garde
01 47 60 61 62
01 40 50 34 34
Allô Enfance maltraitée :
(24h/24)
Écoute Enfance :
(8h30/23h)
Hôpital St-Jean
- 01 40 80 66 66
Vie libre
- 06 75 99 67 15
119
Drogue info-service
- 0800 23 13 13
0800 00 92 92
Centre Magellan
(cure ambulatoire en alcoologie)
- 01 41 21 05 63
Clinique Chandon : 01 47 98 79 35
Urgences
dentaires :
01 47 78 78 34
SOS vétérinaires :
01 47 45 51 00
Vétérinaires
à domicile (24h/24) :
01 47 46 09 09
Fichier canin :
(identification tatouages)
01 49 37 54 54
Hôpital
Beaujon :
01 40 87 50 00
SPA :
01 47 98 57 40
Hôpital
Max-Forestier :
01 47 69 65 65
EDF :
GDF :
0810 333 092
0810 433 192
Femmes victimes
de violences 92
01 47 91 48 44 de 9 h 30 à 17 h 30
Consultation médicopsychologique
- 01 41 47 94 80
Sequanaciat
(accueil, soins aux toxicomanes)
01 47 99 97 16
Siadpa (Service Infirmier d’Aide
à Domicile aux Personnes Agées)
- 01 40 85 65 75
Mairie de Gennevilliers
01 40 85 66 66
Les Marchés
Violences conjugales femmes
info services
39 19 - de 7 h 30 à 23 h 30
Pratique
En mairie
Passeport, carte d’identité
(affaires civiles, rez de chaussée)
01 40 85 60 90
Naissances, mariages, décès
(affaires civiles)
01 40 85 63 80
Aide au logement (5e étage)
01 40 85 62 76
Permis de construire
(15e étage)
01 40 85 63 84
Centres de loisirs maternels
(7e étage)
01 40 85 64 47
Centres de loisirs primaires
(7e étage)
01 40 85 65 37
Service vacances 4-17 ans
(7e étage)
01 40 85 65 46
Club “11-14” (8e étage)
01 40 85 65 58
Service jeunesse (8e étage)
01 40 85 65 59
Conseil local de la jeunesse
(parvis mairie)
01 40 85 65 68
Affaires scolaires (9e étage)
01 40 85 64 25
Activités sportives (8e étage)
01 40 85 65 70
Action sociale retraités
(rez-de-chaussée, mairie)
01 40 85 65 96
Centre des impôts (4e étage)
01 40 85 43 00
Quotient familial, inscriptions
scolaires (démarcherie)
01 40 85 62 52
Une centaine de commerçants à
votre service, cinq fois par semaine,
de 8 heures à 13 heures.
En dehors de la mairie
Aux Grésillons :
mercredis et samedis,
39, avenue des Grésillons
aVccinations gratuites
01 40 85 66 97
Au Village :
mardis, vendredis et dimanches,
62, rue Pierre-Timbaud.
Maison des sportifs
01 41 21 22 60
Mini-marché du Luth:
lundis et jeudis de 15 h à 19 h
parking du centre commercial.
Pôle emploi
01 41 47 22 40
Plie
01 40 85 66 04
Boutique Club emploi
01 40 85 67 80
Circonscription vie sociale
assistantes sociales
01 41 21 14 50
Mission locale
01 41 21 40 20
Coordination gérontologique
01 40 85 67 25
Maison du tourisme
Office municipal des loisirs
01 40 85 48 12
Office de tourisme
Syndicat d’initiative
01 40 85 48 11
Déchèterie
93, rue des Cabœufs
01 46 17 01 64
Gennevilliers magazine - décembre 2010 /47
LIBRE EXPRESSION LIBRE EX P
Les groupes
du conseil municipal
s’expriment sur les thèmes
de leur choix
Groupe communiste, alternative citoyenne,
républicain et parti de gauche
Élus socialistes et républicains
Europe Ecologie - Les Verts
Martine Monsel
M
Maria Blanca Fernandez
M
Anne
Adouche
A
L Programme local
Le
dde l’habitat 2011-2016
P
Pour
un marché à
ll’image des Grésillons !
Q
Quelques
propositions
ppour la jeunesse
G
Gennevilliers
illi veut jouer un rôle important dans le dév eloppement des nouvelles centralités urbaines qui str ucturent l’agglomération parisienne.
Elle engage un profond renouvellement
de son tissu urbain a vec, comme enjeu
majeur, le développement du système
de transports.
C’est dans ce conte xte régional ambitieux que le PLH de Gennevilliers a été
formalisé.
. Dans toutes ses composantes, pour répondre à la diversité et l’évolution des
besoins en logements de ses habitants ;
mais aussi des salariés qui y travaillent,
des personnes âgées, des personnes
handicapées, des jeunes décohabitants
et des étudiants.
. Dans son approche territoriale, en articulant les politiques d’aménagement de
l’ensemble des quartiers et de développement durable.
. Dans son approche thématique, en direction de tous les pub lics, notamment
les publics spécifiques.
. Dans sa dimension stratégique de v alorisation maîtrisée des potentialités
que per met l’espace urbain à Gennevilliers.
Cette politique locale induit une accélération sensible du r ythme de constr uctions (plus de 4 500 lo gements, dont
50 % en accession et 50 % en locatif).
Mais elle ne peut se traduire qu’avec la
participation concrète des partenaires
(État, Conseil général) par la mobilisation des moyens financiers.
La validation de notre PLH par l’État
est une première étape. P our les f inancements nécessaires, il f audra tous ensemble se mobiliser pour les obtenir.
48/Gennevilliers magazine - décembre 2010
Comme d’autres quar tiers de la ville, les
Grésillons connaissent de profonds changements. De nouv elles constr uctions, la
Coulée v erte, le parc Camille-Ronce, de
nouvelles entreprises s’y installent. Des
Gennevillois changent d’habitat suite au
projet de réno vation urbaine (ANR U) au
sein du quar tier, et de nouv elles populations arrivent.
La période de fer meture du marché des
Grésillons, assez longue, permit de nouveaux aménagements répondant aux
normes et mieux adaptés pour les commerçants. La Ville a aussi mis f in à la délégation de gestion du marché pour assurer
elle-même le placement des commerçants
dans le lieu.
Après tous ces efforts, le marché des Grésillons ne nous apparaît pas, aujourd’hui,
répondre à l’idée d’un marché of frant une
diversité de commerces améliorés pour tant attendue par la population.
Pour le g roupe socialiste, la situation révèle un manque de boucher , de fromager et des métiers de bouche plus v ariés,
permettant au marché des Grésillons de
participer pleinement à la vie et à l’animation du quartier par son dynamisme et son
rayonnement commercial.
Le g roupe des élus socialistes souhaite
que des améliorations soient appor tées
au marché des Grésillons sur la base
d’une concer tation avec les habitants car ,
ne l’oub lions pas, c’est eux qui viennent
acheter les produits frais dont ils ont jour nellement besoin.
Nous n’oub lierons pas, les fêtes v enant,
et malg ré la crise qui touche cr uellement
beaucoup d’entre nous, de v ous souhaiter
partage et bonheur pour ces moments importants de rencontres festives.
Pour nous écrire : P arti socialiste de Gennevilliers, BP 10, 92237 Gennevilliers Cedex.
Revenu d’autonomie : 20 % des jeunes vivent sous le seuil de pauvreté.
Un revenu minimum uni versel permettrait à
tous une plus grande sérénité face au présent.
Il serait un frein aux décrochages et aux sorties mal préparées du système scolaire.
Travail : 25 % des jeunes qui sont sur le marché du travail sont au chômage.Avec 1,2 million de chômeurs supplémentaires en deux
ans. Les jeunes sont les premiers touchés.
Ni les sous-contrats qui précarisent la jeunesse, ni les exonérations de charges pour les
entreprises n’ont montré leur efficacité.
Le 1,2 million de stages par an joue contre
l’emploi. Les entreprises sont totalement
désengagées de leurs responsabilités dans
l’embauche. On devrait limiter le nombre de
stagiaires par entreprise et (ou) le cor réler à
un quota d’embauche de jeunes.
Logement : le nombre de lo gements universitaires n’a pas sui vi la démocratisation
de l’enseignement supérieur . Sur la F rance
entière, le ratio est d’une place en lo gement
universitaire pour 13 étudiants.
Les Verts demandent de plafonner les lo yers
pour les petites surfaces et un plan massif de
création de logements d’étudiants.
Santé : un droit pour toutes et tous. La jeunesse se soigne peu et mal, et n’a souv ent
pas de médecin traitant. Il nous f aut mettre
en place une CMU jeune.
Éducation : le non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux par tant à la retraite est
une approche comptab le. La suppression
de dizaines de milliers de postes, de la car te
scolaire, et celle des IUFM agg ravent la situation.
Drogues : les Verts demandent une politique
de santé pub lique responsab le, ef ficace et
cohérente.
La légalisation du cannabis per mettrait de
mettre f in à l’hypocrisie actuelle. Elle régulerait la consommation (lieux sûrs, interdiction de la vente aux mineurs) et lutterait plus
efficacement contre les trafics.
PRESSION LIBRE EXPRESSION
Les contributions
publiées
dans ces pages
n’engagent pas
la rédaction
de Gennevilliers
Magazine
Union des Gennevillois
Gennevilliers pour tous
Rassemblement pour Gennevilliers , UMP
Patrick Théret
Taoufik Halem
Jacqueline Marichez-Clero
La pauvreté
en augmentation
Un tramway
nommé tristesse
La Région participe
aussi au financement
Plusieurs rapports récents font état d’une
situation dramatique quant à la pauvreté
dans notre pays.
Pour l’Obser vatoire national de la pauvreté et de l’e xclusion, la F rance compte
plus de 8 millions de personnes pauvres
et 1,6 million de personnes vi vent a vec
moins de 602 euros par mois. Pour le Secours catholique, la pauvreté augmente
en F rance et, phénomène nouv eau, elle
concerne de plus en plus de jeunes et de
personnes à la recherche d’un emploi.
Une autre tendance forte est soulignée par
tous les acteurs sociaux, c’est l’augmentation du nombre de travailleurs pauvres qui
ont de très f aibles revenus et qui doi vent
faire face aux dépenses de tous les jours,
et dont souv ent le lo yer occupe la première place des contraintes budgétaires.
Les associations d’aide soulignent toutes
l’augmentation importante du nombre de
personnes venant faire appel à elles.
Le constat est accab lant pour les politiques mises en place depuis plusieurs
années par la droite. Mieux, toutes les
associations soulignent le désengagement
de l’État qui reporte sur les conseils généraux et régionaux un nombre important de
charges. Ces der niers réduisent souv ent
leurs subventions aux acteurs sociaux, les
mettant en grande difficulté.
On voit avec ce bilan que toute une par tie de la population vit l’e xclusion. Mais
les riches se portent bien… L’affaire Bettencourt révèle l’indécence des sommes
en jeu. Des milliards pour une minorité
et quelques euros pour des f amilles qui
doivent vi vre a vec presque rien. Amer
constat, alors qu’on ne v oit rien v enir
pour aider ces personnes au seuil de la
misère.
Le tracé du tramway que nous n’avons cessé
de dénoncer a vec les habitants et les commerçants du Village, a des conséquences sur
le devenir d’un quartier de notre ville. P ourquoi donc a voir sacrif ié deux r ues étroites,
mais vi vantes, une belle place, bref ce qui
ressemblait le plus à une ville ? P ourquoi
« éviter » le futur centre-ville ?
Démocratie et transparence ? La consultation-concertation avec les habitants du quartier, à deux reprises, n’a porté que sur des détails d’aménagement et non sur l’essentiel :
le trajet.
Et pour tant, de même que beaucoup d’habitants et commerçants du
Village, nous
avons défendu un trajet répondant mieux
aux besoins locaux : soit par la r ue Villebois-Mareuil – qui avait l’avantage de ne pas
découper le Village – ; soit par le boule vard
Camélinat – qui passait par le centre-ville.
Ces propositions intéresseraient sans doute
ceux qui habitent et habiteront le nouv eau
centre-ville, si la municipalité v oulait bien
leur demander leur avis.
Les commerçants subissent les tra vaux avec
une g rande baisse de leur clientèle, s’ajoutant à la situation économique avec la baisse
conséquente du pouvoir d’achat, le chômage
et l’augmentation des prix ; demain, nombre
d’entre eux risquent de cesser leur activité.
Aujourd’hui, la tra verse du Village de vient
un véritable parcours du combattant.
Les lignes de bus ne passent plus au cœur du
quartier, l’éclairage et la sécurité laissent à
désirer, les ar rêts sont mal placés, très loin
pour les personnes âgées Avec l’ar rivée du
tramway, que sera le de venir des lignes de
bus qui traversent le quartier !
Le prolongement du tramw ay ne doit pas se
faire en réduisant l’offre de transport, il doit
au contraire per mettre un meilleur maillage
et une meilleure régularité des autobus.
Non ! Le tramway doit être une avancée pour
les usagers et les ter ritoires qu’il tra verse,
avec une amélioration de la desserte des
autobus. Le g roupe Gennevilliers pour tous
réclame un autobus urbain.
À l’heure où l’on parle du Grand P aris et de
l’intercommunalité, le Conseil régional d’Ilede-France comme le Conseil général, se préoccupent aussi de l’a venir et du bien-être des
Gennevillois.
Le groupe UMP travaillant à la Commission des
finances du Conseil régional d’Ile-de-France
s’est exprimé en f aveur de plusieurs inter ventions concernant la Ville de Gennevilliers.
- Le soutien à des tra vaux, à l’achat d’équipements scolaires et des dotations complémentaires au prof it du l ycée Galilée, pour 19 318
euros.
- Le soutien à la réalisation de 45 lo gements
au 12-14, boule vard Camélinat, pour 658 898
euros.
- Le soutien à la réalisation de 50 logements à la
ZAC Debussy, pour 728 174 euros.
- Le soutien à la réalisation des travaux dans les
parties communes de l’immeub le situé au 15,
rue Auguste-Guignedoux, pour 15 639 euros.
- Le soutien à la création de la diffusion numérique de la bib liothèque Rober t-Doisneau du
quartier des Grésillons, pour 7 600 euros.
- Le soutien à l’action de prévention IDSU (Insertion et Développement social urbain), pour
6 870 euros.
- Le soutien à des actions d’aide par l’inser tion
économique via « le comité inter médiaire des
Hauts-de-Seine », pour 50 000 euros.
Conseil municipal extraordinaire
La Municipalité, dans un g
rand numéro
d’amant outragé, a cr u bon de mobiliser nos
concitoyens pour leur e xpliquer que sans le f inancement du Conseil général pour la reconstruction du Centre municipal de santé, ce der nier n’existerait pas.
On sait aujourd’hui qu’il n’en a jamais été
question et que le montage financier pour une
telle opération demande du temps. Ce qui pour
certains élus de gauche au Conseil municipal
passerait pour une f in de non-rece voir. Il est
clair que la reconstr uction du CMS est impor tante en terme de soins et que ce projet d’envergure doit être mûrement réfléchi, car n’oublions
pas qu’il s’agit là d’argent public et non pas de
fonds privés.
Vos conseillers municipaux UMP v ous souhaitent de très bonnes fêtes de f in d’année et vous
donnent rendez-vous en janvier 2011.
Gennevilliers magazine - décembre 2010 /49
ContActs
Jacques Bourgoin
Maire
de Gennevilliers,
Conseiller général
des Hauts-de-Seine
Pour écrire aux élus par courrier électronique,
taper en minuscules et sans espace
prénom.nom@ville-gennevilliers.fr
Tél. 01 40 85 62 23
Roland
R
M
Muzeau
Marc Hourson
Arielle Vermillet-Parry
A
3e adjoint
2 adjointe
e
Député, 1 adjoint
D
er
Président de l’Office public de
l’Habitat, vie associative, tourisme,
commerces, fêtes et cérémonies,
marchés aux comestibles,
anciens combattants.
Vi démocratique et citoyenne,
Vie
lutte contre les discriminations,
lut
politiques de l’insertion et de l’emploi,
po
prévention-sécurité,
pr
restauration municipale.
re
Ur
Urbanisme
et aménagement,
action foncière,
ac
développement économique,
dé
communication.
co
Tél. 01 40 85 62 33
Tél.
T
é 01 40 85 62 31
Tél.
T
é 01 40 85 62 30
Martine Monsel
Mohamed Bellouch
4 adjointe
5 adjoint
Logement, résorption
habitat insalubre, lutte
contre les expulsions,
Grand projet de ville du Luth
et des Grésillons.
Solidarité, action sociale,
quotient familial,
coopération
internationale
et jumelage.
Tél. 01 40 85 62 37
Tél. 01 40 85 62 35
Latifa Meya
6e adjointe
e
e
Droits des femmes,
prévention et promotion
de la santé, crèches,
haltes-garderies,
relais assistantes
maternelles.
Tél. 01 40 85 62 33
Olivier Mériot
Richard Merra
7e adjoint
9e adjoint
Sandrine Hertig
S
Finances et budget,
personnel communal
et moyens des services,
affaires civiles et générales,
propriétés communales
extérieures, élections.
Enseignement maternel,
élémentaire, secondaire
et supérieur, service public
communal dans les écoles
maternelles et élémentaires.
8e adjointe
Culture et développement culturel.
C
Tél.
T
é 01 40 85 62 35
Tél. 01 40 85 62 33
Tél. 01 40 85 62 32
Yasmina Attaf
10 adjointe
e
Muriel Goudou
Abdelhakim Sari
12e adjointe
11e adjoint
Espaces verts,
développement durable,
environnement, transport
et circulation, infrastructures
et bâtiments communaux,
voirie-assainissement.
Enfance, centres de loisirs
maternels et primaires,
centres de vacances,
interclasse.
Tél. 01 40 85 62 31
Sports, associations
sportives et école
municipale des sports.
Tél. 01 40 85 62 31
Conseillers municipaux délégués
Tél. 01 40 85 62 32
Élus référents des quartiers et co-présidents du bureau des conseils de quartier
Anissa Ben Lahcene Préadolescence.
Zine Boukriche Jeunesse
Joëlle Mutis Retraités, coordination gérontologique,
activités intergénérationnelles.
Yasmina Attaf - Agnettes Muriel Goudou - Grésillons
Carole Lafon - Village Joëlle Mutis - Fossé-de-l’Aumône
Laurent Noël Sécurité publique liée aux installations classées.
Jean-François Burgos Charte Ville-Handicap, démocratisation
de l’accès au numérique et
au développement du très haut débit.
Anne-Laure Perez Conseil consultatif des services publics.
Marcelle Rohr Associations caritatives et épicerie sociale.
Votre député
Roland Muzeau
Député, premier adjoint
www.roland-muzeau.org
Tél. 01 40 85 62 30
50/Gennevilliers magazine - décembre 2010
Laurent Noël - Chevrins Martine Monsel - Luth
Yvette Ouchikh - Chandon - Brenu - Sévines
Conseillers municipaux aux responsabilités spécifiques
Patrick Théret - Patrimoine, mémoire de la ville
et de la population
Jacqueline Fleuret - Présidente d’Agir
Zine Boukriche - Président de la Mission locale.
Vos conseillers généraux
Jacques Bourgoin
Patrice Leclerc
Tél. 01 40 85 62 23
www.patrice-leclerc.org
Tél. 01 40 85 62 24
(canton nord)
(canton sud)
Les mathématiques, un jeu d’enfants
8e édition
Du 6 au 10
décembre
Salle des fêtes
Ateliers,
spectacle,
conférence
Le 6 : de 13 h 30 à 16 h 30
Les 7, 8 et 9 : de 9 h à 12 h / 13 h à 16 h 30
Le 10 : de 9 h à 12 h
Conférence de Pierre Léna, astrophysicien,
cofondateur de La main à la pâte.
La science pour tous, à l’école
et au collège : pourquoi ? Comment ?
JJeudi 9, à 19 heures.
service Université
préados Populaire92
www.ville-gennevilliers.fr
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