Dalaï Lama ‡ Igor Cavalera ‡ The Soft Moon ‡ François
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Dalaï Lama ‡ Igor Cavalera ‡ The Soft Moon ‡ François
Culture Luxembourg numéro 18 numéro 18 ‡ culture ‡ voyage ‡ mode ‡ clubbing ‡ musique ‡ voiture ‡ interviews ‡ agenda ‡ Dalaï Lama ‡ Igor Cavalera ‡ The Soft Moon ‡ François Damiens ‡ Mode Prêt À Porter Automne Hiver ‡ SÉRIE LIMITÉE MÉGANE COUPÉ R.S. CUP ÉDITÉE À 40 EXEMPLAIRES. ROULER AU-DESSUS DE 130 KM/H C’EST INTERDIT. LES ATTEINDRE EN 8 SECONDES, NON. CHANGEONS DE VIE CHANGEONS L’AUTOMOBILE SÉRIE LIMITÉE RENAULT MÉGANE COUPÉ R.S. CUP Donnez-vous les moyens de relever tous les défis. Ce véritable coupé sport bénéficie des technologies les plus pointues issues de l’expertise Renault Sport. Son moteur 2.0 16V délivre 250 ch pour une exceptionnelle réactivité. Son design est directement inspiré de la F1. Performance, précision et caractère font de Nouvelle Mégane Coupé Renault Sport un accélérateur de plaisir de conduite. Vous faudra-t-il 8 secondes pour être séduit ? Série Limitée Mégane Coupé R.S. 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On y observe les mêmes comportements malveillants, misogynes et xénophobes, heureusement vite calmés par le reste de la plèbe. Les vannes fusent autour du zinc comme des headshots dans Counter-Strike et tout le monde s’accorde à prendre du bon temps. Évidemment, je retourne à l’occasion dans les bars épancher mon inénarrable soif… de sociabilisation. Et justement, la semaine dernière, en sortant du bu- reau, un ami de comptoir me contait une anecdote amusante. Kristian Wilson, le boss de Nintendo, avait exposé en 1989 une théorie intéressante. Le magnat de la console expliquait que si les jeux vidéo affectaient les kids, enfin si Pac-Man nous avait influencés étant enfants, nous devrions tous courir en rond dans des pièces sombres, en gobant des pilules magiques tout en écoutant de la musique répétitive. Nous avons tous bien ri à gorge déployée autour d’une énième tournée de Bofferding. Nous en avons conclu que les jeux vidéo ne pouvaient pas être foncièrement nocifs et que, malgré tout, nous étions assez éloignés du stéréotype de l’adolescent insociable obnubilé par sa quête dans World Of Warcraft. En rentrant chez moi, j’ai cependant vérifié les dires de mon acolyte. Le patron de la firme nippone n’a nullement été Kristian Wilson puisque Hiroshi Yamauchi a occupé ce poste de 1949 à 2002. Il s’agit en effet d’une boutade lancée par l’humoriste anglais Marcus Alexander Brigstocke lors d’un show télévisé. Alors fausse blague geek mais très bonne blague quand même. † Sébastien numéro 18 vitrine sommaire Luxuriant 18 Editeur Responsable ................................................... Luxuriant SARL 42 Rue de Hollerich L-1740, Luxembourg Directrice Artistique ................................................... Alice Litscher assistée de Julie Lulie Fashion & Lifestyle Editor ................................................... 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A.R, A.V, Antoine Weber, Caroline Puerta, Christian Pearson, Christine Delvaux, Christophe Hanesse, Christophe Michel, Fabien Rodrigues, François Koch, Georg Klein, Géraldine Grisey, Laurent Bravetti, Léa Revon, Marley Hutchinson, Régis Kuckaertz, Stéphanie L., Thomas Decker, Yannick Poinsignon Photographes ................................................... Albert Nguon, cargocollective.com/msng, Charles Lenoir, Claude Piscitelli, Eric Brausch, Frédéric Berns, Greg Buttay, Julian Benini, Kévin Métallier, Lex Kleren, Mike Zenari, Olivier Dessy, Vincent Kohl Illustrations ................................................... Gilles Uzan, Minisushi Abonnement et réservation ................................................... 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Éditorial........................................................................................03 Décibel Sermeq vs Loud Was The Sea...................08 The Soft Moon................................................ 12 Birdbones........................................................ 14 And So I Watch You From Afar................ 16 Rockhal............................................................. 18 Uncommonmenfrommars...........................20 Igor Cavalera..................................................22 Été 67................................................................24 Mixuriant......................................................................................26 Vroom Service..............................................................................28 Hélène...........................................................................................32 Ciné François Damiens..........................................34 Vitrine...........................................................................................42 Punky b............................................................50 Trippin...........................................................................................52 La nuit..........................................................................................60 Eldoradio......................................................................................64 Extrabold......................................................................................66 Blabla............................................................................................68 Cookxuriant.................................................................................74 Hangover......................................................................................76 Tirage ........................ 20 000 exemplaires affilié au CIM Horoscope.....................................................................................78 Agenda..........................................................................................80 In web we trust............................................................................82 dcibel « Loud Was The Sea s’apparente à une douce promenade. » Sermeq Sermeq vs Loud Was The Sea Les artistes luxembourgeois Sermeq et Loud Was The Sea partagent l’amour des envolées aqueuses binaires et des plongées rythmiques glaciales. Le hasard, le talent et la proximité d’un microcosme gravitant autour de l’electronica grand-ducale auront réuni ces deux prodiges sur le label Schnurstrax. Les deux sbires viennent de sortir leur album respectif au même moment. Luxuriant les a invités à défendre leur beefsteak autour de quelques verres. Plus qu’une interview, voici le compte rendu d’une conversation animée par deux passionnés d’Intelligent Dance Music. numéro 18 « Sermeq ne désire pas ancrer sa musique dans le présent. » Loud Was The Sea numéro 18 dcibel L : J’ai joué dans Balboa, un groupe post rock instrumental, bidouillé avec des amis de l’université à Liège. Nous avions sorti un disque signé sur un label allemand en 2002. Ensuite, certains membres sont devenus casaniers. J’en ai profité pour former Metro avec d’autres gens. Après un beau passage par Miaow Miaow, je me concentre sur Loud Was The Sea et Mount Stealth (en concert fin juillet à l’Exit07), le groupe dont je t’ai parlé. • Vous composez du son plus intelligent que vos confrères ? Loud Was The Sea : C’est très arrogant de penser cela (sourire). Cependant, je produis une musique qui s’écoute de manière différente et pas forcément prévue pour le dancefloor. Je plonge mes morceaux dans une atmosphère cinématographique, j’y ajoute des climats de tension tout en favorisant une progression mélodique. Sermeq : J’aime bien faire partie d’un mouvement comprenant le mot intelligent (rires). J’estime que je fais de l’ambient, même si parfois j’accélère le beat. Attention, ce style ne se résume pas uniquement au chant des baleines. • Parlez-moi de vos albums. L : Autist Wedding, avec un jeu de mots un peu limite sur un mariage où on a rien à se dire, est mon premier EP en téléchargement libre sur Schnurstrax Record. J’ajoute que je suis également fan d’Otis Redding (sourire). S : Nautilus, mon quatrième disque, fait également partie du catalogue Schnurstrax. Je produis un album tous les deux ans. • Où avez-vous puisé l’inspiration pour vos pseudos ? L : Je venais de terminer un morceau à l’époque où je jouais avec Metro. Le track ne collait pas trop à l’esthétique du groupe. J’en ai donc profité pour faire un projet solo avec une consonance visuelle très forte. Loud Was The Sea était né. S : J’ai eu le déclic lors d’un voyage au Groenland en 2001, période où j’ai décidé de m’investir davantage dans ma musique. Sermeq signifie glacier en inuit. • Quelle est l’autre partie immergée de ton iceberg ? S : Claude, 34 ans, infirmier psychiatrique, je vis à Kopstal. J’anime également, depuis une dizaine d’années, l’émission Bloe Baaschtert (Batard Bleu) sur Radio Ara, une émission 100 % musique nationale. • Batard bleu ? S : Exactement, comme un drôle de chien issu du métissage de plusieurs races… mais de couleur bleue (sourire). • Le groupe que tu aimes plébisciter dans ton émission ? S : Entre autres, Artaban et Sug(r)cane, ce dernier a également signé à nos côtés sur Schnurstrax. • Tu passes aussi souvent l’artiste eschois Rome sur tes ondes ? S : Evidemment, mais aujourd’hui, Jérôme Reuter, de son vrai nom, ne se limite pas uniquement à la scène grand-ducale. Il est devenu un artiste international. J’adorais son ancien groupe Mack Murphy And The Inmates, une formation très rock et très noire, dans laquelle il chantait et jouait de la guitare, avec des clins d’œil à la scène punk et à Nick Cave. • Rome s’est hissé en troisième position des charts « dark » des disquaires Amobea en Californie. S : Il le mérite car Jérôme est un musicien doué. Du reste, il existait également, au début des années 90, un label indépendant luxembourgeois dénommé Amoeba Records, avec un catalogue assez sympa en musique industrielle, créé par Patrick Kleinbauer, le guitariste de Toxkäpp!, le groupe de ska. • Et toi David, quels sont tes artistes phare de la scène locale ? L : J’aime beaucoup Chief Mart’s, du post-rock avec des éléments psychédéliques, également La Fa Connected composé d’anciens membres de Tiger Fernandez, de dEFDUMp et de l’ancien guitariste d’Actarus, qui, au passage, joue avec moi dans un groupe appelé Mount Stealth. numéro 18 • David, à part la musique, quelles sont tes autres occupations ? L : Je donne des cours d’économie et de mathématique dans un lycée d’enseignement secondaire à Esch-sur-Alzette, j’ai 35 ans et, accessoirement, j’écris dans les pages culturelles de l’hebdomadaire d’Lëtzebuerger Land. • Tu as d’ailleurs la réputation d’être un journaliste vindicatif. Je n’ai jamais eu la volonté de me venger mais je refuse le copinage forcé propre à la scène locale (sourire). Personne n’ose donner son avis dans la presse luxembourgeoise. Je m’inspire des chroniques controverses et vivantes des magazines français Best, Magic RPM et Les Inrocks ou des fanzines belges Rif Raf et Mofo. • As-tu déjà chroniqué Sermeq ? L : Bien sûr, mais je préfère le laisser t’en parler (sourire). S : Il avait fait une superbe critique de mon précédent album en 2008, j’étais très content. Par contre, pour la compilation Bloe Baaschtert spéciale violoncelle intitulée The Cell[O] Division, il n’avait pas été vraiment convaincu par mon morceau (rires). Néanmoins il reste honnête même s’il connaît personnellement les musiciens. C’est tout à son honneur et cela permet à l’artiste de se remettre en question. • Le violoncelle est un instrument que tu chéris dans ton mode de composition ? S : J’ai eu une bonne expérience avec Lisa Berg, violoncelliste professionnelle, lors de l’enregistrement de mon track pour la compilation The Cell[O] Division. Ce morceau, intitulé « We Should Feel The Same », a été enregistré dans les studios de la Rockhal dont un remix figure également sur mon dernier album. Pour le titre « To Lilia », Lisa a encore participé, mais cette fois-ci, nous avons fait la prise de son dans le studio du jazzman Claude Pauly. • Ok, vous êtes timides, alors que chacun me décrive la musique de l’autre. S : La musique de Loud Was The Sea s’apparente à une douce promenade agréable à écouter le soir pour s’endormir. Par contre, en live, je souhaiterais encore plus d’action. L : Sermeq ne désire pas ancrer sa musique dans le présent. Il évolue dans un univers rétro-futuriste, un peu désuet à la façon �������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������� • David, utilises-tu également des vrais enregistrements d’un Jules Verne qui, par le passé, aurait imaginé la bande son de l’avenir avec, évidemment, tous ses avantages et ses inconvéd’instruments dans ta musique ? L : J’ai enregistré uniquement une ligne de basse jouée par mes nients. soins sur ce premier EP. • C’est important de signer sur un label local ? L : Cela signifie que nous participons à un réseau. Nous côtoyons • Vous jouez d’autres instruments ? S : Sur scène je pianote des mélodies simples sur un Keytar, un cette petite scène électronique marginale et le fait de signer sur Schnurstrax démontre que les acteurs principaux nous acceptent synthétiseur guitare. dans leur univers. C’est relativement cool. L : Guitare, clavier et basse. • Avez-vous suivi des cours de solfège ? S : De 12 à 15 ans j’ai fait un peu de solfège. J’ai rapidement arrêté pour me concentrer sur mon émission de radio, à Médernach, dans mon village. L’animateur principal, Laurent Wohlfart, m’avait fait découvrir Aerosmith, Birth Control, The Doors… Ensuite, je me suis instinctivement dirigé vers le hard rock, le métal, le grunge. L : Lors de mon adolescence, un de mes actes de rébellion fut incontestablement de ne pas aimer le solfège. J’ai commencé la guitare à 16 ans et j’ai commencé, à cette période, à écouter les cassettes et les vinyles de mon père. Il avait des goûts relativement bons et assez éclectiques. Je pense à Elvis Costello et aux Beatles. Puis, lorsque je rendais visite à mes grands-parents en Belgique, je louais dans les discobus (NDLR médiathèques mobiles), des piles de CD que j’enregistrais ensuite illégalement sur cassette pour en garder une copie. J’ai ainsi découvert Sonic Youth, Dinosaur Jr, la scène indie, The Young Gods, The Chemical Brothers, DJ Shadow, le label Mo Wax, Ninja Tune, etc. • Votre processus de création ? S : J’essaie de mettre en musique une idée d’ambiance mais cela ne marche jamais (rires). L : Je boucle sur mon ordinateur une mélodie qui me trotte dans la tête et j’ajoute ma sauce. • Avant d’être des stars de l’electronica, avez-vous joué dans d’autres formations ? S : Le premier groupe dans lequel j’ai chanté, enfin gueulé, fut Schweinepest soit Peste Porcine (rires) en 2001. Nous composions avec Alex Zeimet, un collectionneur de synthés analogiques, une new wave punk électro dans la lignée de DAF ou Die Krupps. • Vos prochaines dates ? S : Au Rocas le 16 avril avec Chief Mart’s, Z-Town Massiv et Keta. L : Au Rocas le 30 avril avec Plankton Waves, le 10 juin aux Save Esch Sessions à Esch-sur-Alzette. † Sébastien Photo : Vincent Kohl • Votre configuration live ? S : Ma musique est très flexible même si une grande partie est préprogrammée. Sur scène, nous opérons en duo avec Paul Leruth, un ami multi-instrumentaliste. Il joue du synthé et de la guitare. De mon côté, je mixe les effets derrière mon laptop, je joue aussi du synthé et du stylophone, instrument à 27 euros, devenu culte depuis que David Bowie l’a utilisé dans le morceau Space Oddity. L : La partie pré-programmation est également importante mais je préserve une piste que je joue live via un clavier maître. Parfois, j’utilise aussi des effets et j’accompagne certaines mélodies à la guitare. numéro 18 dcibel The Soft Moon Each note comes from one man raised in the Mojave Desert. Inspired by memories of weather in a region, a long way from San Francisco’s outside world. Joy Division resonates with his life the most. Luis Vasquez is The Soft Moon. His Brooklyn based label, Captured Tracks, recommends his music for paranoid train rides in a postapocalyptic world. Get your tickets for the ride at Exit07, the train departs on May 13th. • Do you use music as a therapy? My music is a way of facing my demons and dealing with my personal problems. I would consider my songs to be more angry with a splash of hope rather than dark, but I guess anger and darkness go hand in hand. • Do you whisper your indistinguishable lyrics because you don’t have the right voice? Ironically, the whispering was due to my neighbors always complaining about the noise. I prefer to use my voice unconventionally to express feeling without words. • It’s impossible not to think about the Bauhaus movement influences in your artwork. I envision shapes when I hear a sound. The same thing happens when I taste food. I’m a fan of art history and felt the Bauhaus movement would work well as a visual aesthetic for The Soft Moon. Suprematism also plays a big part in the artwork. • Andrew Weatherall plays The Soft Moon in his mix for Vice Magazine. Who would be the “other” perfect DJ to play your music? And the perfect moment? I would say Alan Vega and Martin Rev if they were a DJ duo. Perfect moment would be in the sewers of New York, hanging out with alligators during the late 70s at 4am. • You sometimes DJ too. Which record never leaves your bag? Siekiera “Jest Bezpiecznie”. “The whispering was due to my neighbors.” • What was Luis the teenager like? An energetic teenager. All day, everyday consisted of me switching back and forth between skateboarding and playing music. I never got into too much trouble, or maybe I just never got caught. I used to wear my dad’s worn out jeans. I was also obsessed with thrift stores at the time. • Are European 80s bands a part of your musical culture too? Definitely. Probably more so than American 80s bands. • Why don’t you use today’s technology to be The Soft Moon’s only member on stage? I was actually worried I would have to perform solo during the initial stages of The Soft Moon. In fact I had lots of nightmares about it. I wanted to give a good live show to the audience. Live, we are a three-piece and I couldn’t be happier with our dynamic and energetic performances. • How would you describe the Mojave Desert? Dry, life-threatening, miserable, freezing, blisteringly hot, windy, with mountains, meth, abandoned houses, Joshua trees, coyotes, skulls, lizards - post-apocalyptic. † Christophe Hanesse numéro 18 dcibel Birdbones Zu Lëtzebuerg ass d'Band schon zimlech bekannt. Enner anerem hunn se fir d'Macy Gray als Opening Act gespillt. Mat den Birdbones hunn ech EP, Band-Geschicht an Musek geschwat… • Wien spillt alles mat an de Birdbones? Den Dan ass eisen Guitarist, den Jonah spillt Bass, d’Deborah ass d'Sängerin, den Erik ass den Drummer an last but not least, den Sid spillt d’Keyboard. • Wéini gouf d'Band gegrënnt? Mir waren an denen leschten Joeren a villen Projetën verwéckelt. Et as e bësschen duerch Zoufall datt mer eis, 2008 iwwert de Wee gelaaf sin, an eis iwwerluecht hun zesummen Musek ze maan. Well mir zu dem Zeitpunkt awer net all zu Lëtzebuerg gelieft hun, hun mier vill op Distanz geschafft. • Wéi ginn d'Lidder geschriwwen? Wat ass de kreativen Prozess? E richtegen Prozess gëtt et am Fong net. Mir tauschen eis Ideen ënnerteneen aus, testen se, lossen se leien, geheien se weg. Dat wichtegst bei där ganzer Saach as den Feeling. Et gin Deeg wou d’Inspiratioun nët um Rendez-Vous as. An dem Fall gëtt e bësschen gejamt, den Groove montert eis op. • Wou gëtt geprouft? Mir prouven beim Erik am Keller well mir dann nët ëmmer mussen d’Batterie ronderëm schleefen. • Ech hunn héieren et wär eng EP ënnerwee? Gouf et nët schon eng? Mir hun d’lescht Joër eng 6- Track EP erausbruecht op där ganz verschidden Stécker waren. Vun Funk an Pop Songs op Rock an Experimental Lidder. Mir hun eis virgeholl eis dëst Joer nach an en Studio anzespärenan an D’Release ass fir de 15 Oktober an den Rockhal geplangt. • Wien bréngt wat fir Influenzen an der Band mat? Mir lauschtern vun allem. Daat spiert een an eiser Musek. An ët fuerdert eis Kreativitéit. Den Erik an den Dan bréngen daat Progressivt an d’Spill woubai den Jonah séng Funky Bass schwätze léisst, den Sid eis den klengen Folk, an World Touch gëtt an d’Deborah Soul Vocals asetzt. Mir setzen eis keng Limiten. Maachen Musek déi eis glaïcht. "Mir setzen eis keng Limiten!" • Eng gutt lëtzebuergesch Band? Mutiny On The Bounty oder Heartbeat Parade. • Eng mega Erënnerung? Eisen Concert als opening act vum Macy Gray an der Rockhal, ët wor op allefall en groussen Challenge fir mol virun engem Publikum ze spillen, deen nët eis kucken kënnt. • Ech hun héiren dir hätt en Succès-Barometer? Jo, eisen gudden Kolleg Bob. Den Mann den am härtsten blären kann. (Laachen) Wann een just saïn Enthousiasmus no engem Lidd héiert, ass ët e schlecht Zeechen. Wann aaner Leit mat maachen an et héiert een hien net méi raus, dann sin mer zefridden. • Hudd dir en Hotspot zu Lëtzebuerg? De Rocas Café oder den Tram, soss ginn mir och zesummen an de chinesëschen Restaurant "San He" zu Rolleng iessen, avis aux amateurs… • Déi nächst Shows? Mir spillen den 7 Abrëll an der Rockhal als Support Act fir Stornoway, den 14 Mee zu Schous op engem Festival an den 27 Mee um "Food For Your Senses". Soss wärten mer den Summer nees op Tour sin an ënnert aanerem och um “Rock um Knuedler''. † François Koch Photo : Greg Buttay numéro 18 dcibel And So I Watch You From Afar Four mates and four instruments. Here is the basis of And So I Watch You From Afar, Belfast’s post rock revelation over the past years. Formed in 2005, the instrumental band has just released its second album and is determined to share the pure energy and positive aggression on April 9th in Kulturfabrik’s “Out Of The Crowd” festival. As their title song “Don’t Waste Time Doing Things You Hate” says, lead guitarist Rory Friers doesn’t waste any of his, he just tries to be honest with the music he plays, always searching for party animals. • ASIWYFA sounds like a paranoid name for a band? Yeah, I think it probably is. When we first got together as a band we were reading a lot of George Orwell and had kind of an obsession with it. But it could have a double meaning: someone invades your privacy or it can also be someone looking after you as well, watching your back. • Why did you choose the instrumental way? We didn’t choose it. We all grew up in punk rock and hardcore bands and when we met, we just started to play music. We didn’t have rules and it seemed we didn’t need lyrics, just enjoying the fact that music could speak for itself. numéro 18 • Do you have to play louder and louder? Yes because we get deafer and deafer. • What are your major influences? When we were kids we were listening to Black Flag, At The Drive In or Depth Charge. When I got “Repeater” from Fugazi I just couldn’t stop listening to it. • What’s your definition of the perfect audience? We could probably collect them and come back from tour with the perfect audience. We just came from Russia, none of us even speaks the language, we were close to having the perfect one: open-minded, energy addicted, crazy, lovely people. Music and gigs sometimes cross so many divides. • Any other tour stories? I challenged Josh Home (Queens Of The Stone Age & Eagles Of Death Metal) to a drinking competition in Amsterdam. I’m a short, skinny dude, Josh is like ten feet tall and obviously the craziest guy in rock. He laughed at me and then put me in a taxi and took me down to a local bar. We started drinking, but he got mobbed by fans so I was able to skip before I was totally sleepy… • What do you think about playing at festivals? It’s such a good buzz, it’s amazing when you’re backstage, walking around and you see all these bands acting very cool. Sharing tour stories and a plate of pasta with John Paul Jones (Led Zeppelin’s bassist) is quite a mad experience for a big fan… At the Pukkelpop festival when we were backstage, a guy from another band’s crew (Black Rebel Motorcycle Club’s sound engineer) died next to our cabin, he had a heart attack. • What about the ups and downs of touring? Being far from home and your family but sharing extreme moments of companionship with the guys. It might be something like we’ve been driving all night and wake up in the morning and it’s like “holy shit I’m in Poland and life is good!” Or maybe the van has broken down and you are running out of money, nobody speaks your language and you’re just like “fuck this I wanna go home!” “Holy shit I’m in Poland and life is good!” • What’s the thing you won’t ever waste time doing? What I hate the most is… people littering. I would never do that. Anybody throws something on the ground and I’m like “put it in the fucking bin!” That makes me crazy. • What do you think about Luxembourg? We love it because you can get twenty cigarettes for three Euros. † Christophe Hanesse numéro 18 dcibel L’écho de la Rockhal Hooverphonic, Angus & Julia Stone, Last Days Of April, Ayo, Ez3kiel, Carl Cox, Korn, Bloody Beetroots, Warpaint et même sa majesté du métal Ozzy Osbourne, le prince des shows TV : la Rockhal balance de charmantes grenades musicales et son agenda de printemps opère une véritable opération de séduction. Hooverphonic : 27 avril Armée de luxure et de bagatelle, de longues et fines jambes aux mélodies ensorcelantes, de cheveux aux couleurs du soleil, riches en orchestration ; Hooverphonic est au trip hop et aux ballades mélancoliques ce que Scarlett Johansson est au glamour. Le trio de compositeurs de l’ombre, tels des masseurs tantriques, a modelé le relief de la voix de Geike Arnaert, pour qu’au fil des disques, elle soit, à travers le monde, la bande son de nos nuits les plus exaltées. Mais après dix ans, la chanteuse s’envole vers des amours solitaires. Aujourd’hui Alex, Frank et Raymond font toujours ménage à trois et posent désormais leurs mains sur la voix pure de la jeune et innocente, mais néanmoins mordante, Noémie Wolfs. Avec son nouvel album Night Before, Hooverphonic n’a pas perdu de sa verve et fera à nouveau serrer le cœur de son public, le 27 avril prochain au club de la Rockhal. numéro 18 Angus & Julia Stone : 3 mai Murmures de frustration, et chuchotements d’amour fraternel, l'album de Angus et Julia Stone, Down The Way, recèle le plus beau scénario de l’histoire du cinéma. Elevés sur les côtes du pacifique australien, les enfants Stone soufflent délicatement dans nos oreilles une pop folk aux allures de grands espaces et de sérénité. Pourtant, comme dans tous les amours impossibles, les sentiments sont à la fois intenses et violents. Ici, les textes chaudement habités envoient plutôt la vaisselle cassée et les feux des regards sont éteints à grands coups de larmes salées. Sur scène, les voix au timbre douloureux de la femme-enfant et de son frangin nous délivrent l’émoi des premiers flirts. L’alternance d’harmonie et d’obsession réveille en nous de rares moments de palpitations. Le verbe aimer n’a plus la même conjugaison. S’il existe des romances dont on ne sort pas indemne, il en est de même pour certains concerts : Angus & Julia Stone le 3 mai au club de Belval. † A.V. dcibel Uncommonmenfrommars "Kaffi, Klope a Kacken!" • Firwat haasst du deng Band? Genau wéi an enger aal Koppel, heiansdo ginn et Deeg wou d’Stëmmung net gudd ass mee awer och oft Deeg wou alles einfach perfekt leeft. Den Daag wou mir den Numm vum I Hate My Band album fonnt hun war ee vun deene schlechten Deeg, mir haaten grad gestridden… An der Band sinn mir dräi Bridder, dat heescht mir kennen eis schon ganz gudd an och schon laang, 32 Joer! Mee mir sinn nach do an et klappt alles gudd. D’Punk-rockers vun Uncommonmenfrommars wëllen net bekannt ginn an se ware selwer erstaunt hiren Numm a fetten Buchstawen op der Affiche vum DIE FEST!val am dem Atelier de 14 Abrëll ze gesinn. A nach méi erstaunt dass den Festival annuléiert gouf wéinst Mangel un Tickéen. De Quatuor presentéiert, réischt ee Joer no sengem leschten Album, en neien Opus. I Hate My Band, ass einfach méi schnell, méi graff a méi Punk… kuerz: besser! Interview mam Gittarist deen an de Mikro brëllt: Motor Ed. • An alles klappt zwar och net nëmme gudd mee och nach schnell… dësen neien Album kennt jo schon nëmmen 365 Deeg nom leschten Functional Dysfunctionnality? Ufank 2009, hu mir vun enger zwee Méint laanger Paus während eiser Tournee profitéiert fir un neien Lidder ze schaffen an se och schon e bëssen ze prouwen. Zimlech schnell hun mir dann eigentlech ganz flott Lidder geschriwwen. Statt de Layout fir ze bereeden hun mir einfach direkt en live Album all zesummen am Studio opgeholl. Et ass bestëmmt der Band hieren grellsten a spontansten Album je. Et war wierklech fun! • Bass du en Fan vum Lemmy vun dem Motorhead? Ech war schon ëmmer e Fan vun him. En ass e bësschen de Gott vum Rock n’ Roll! • Am Moment geet et en bëssen de Bierg rof mat ärem Musek-Stil? Punk-rock spillt een mam Häerz. De Business Aspekt ass wierklech net wichteg. Mir spillen eis Musek well se Wäerter wéi Rock’ n’ Roll, Schweess, Spontanitéit, Frëndschaft, ronderëm henken vertrett… an de Rescht ass onwichteg an eis och komplett egal! • Hues du en ähnlecht Liewen? Nee hien verbréngt vill Zaït am Casino, ech sinn net esou en Fan dovunner. Mee wat mir gemeinsam hun ass en bestëmmte Goût fir Jack Daniel’s a partyen. • Dir wunnt matten an der Ardèche an Frankräich, ass dat net d’Plaatz déi am weitste vun de Punk-rock Clichéen Leit? Bestëmmt! Mee ech mengen d’Ariège kéint nach méi schlëmm sinn (laachen). Meng Mamm kënnt aus engem klengen Duerf matten an der Ardèche. Wéi mir zeréck vun de States koumen sinn mir och ganz normal rem zeréck hei ënner eis Wënzer a Bauer Famillien liewe komm. Dank deem kënne mir och mega gudd Wäin genéissen. numéro 18 • Wat ass d’Regel vun den 3 « K » an der Tournee? Kaffi, Klope a Kacken! Jidderee wees dat! † François Koch dcibel Igor Cavalera, the Brazilian music legend, will be deejaying with Mixhell on 23th April at the Aralunaires festival in Arlon, and will be drumming with Cavalera Conspiracy in Esch-Sur-Alzette at the Rockhal on June 30th. The founder of Sepultura, when he was 16, had to hide from security at shows that were not meant for “all ages”. After being a teenage metalhead, he’s turned into a club DJ, and this disco daddy can boogie. Want to see the best thrash metal drummer, just signed on Boysnoize Records, playing some electro tunes? Get your tickets for Aralunaires party. Want to see the best electro Deejay, just signed again on Roadrunner records, hammer his drum kit? Get your tickets for the Rockhal concert. • Some fans considered you as the world’s best heavy metal drummer, who is your main challenger? I’m totally honoured with that title… but my biggest opponent is still “Animal” from the Muppet Show. • Someone in a webforum says you are gay… Any answer for this guy? I’ve been called many things since over the 20 years since I started making the music that I love, but I guess today it’s easier to get super macho sitting at your computer and call people whatever you want… but face to face it’s a different game. • Who is this pretty girl playing beside you? Laima Leyton is my partner in crime, lover, my wife, the coolest producer to work with, the best mom ever and the hottest girl on earth! • Does she look like Tura Satana? I’m a huge fan of the movie Faster Pussycat but it was just an homage because she looked like Tura in a photo shoot we did in Sao Paulo. • Is Max, your older brother, proud of your track with Mixhell? Max is very open-minded, and he really loves what we do now. • What about Henry Rollins, because you often wear a Black Flag t-shirt? I love Black Flag but I really don’t care if any of the band members like my shit. • Tell me the worst clash in your couple? There is always a fight between me and Laima when Palmeiras play against Sao Paulo. Objects are flying around the house… • Which football t-shirt is the sexiest? Palmeiras of course! Even Oprah would look crazy hot in a Palmeiras jersey! • Have you got Pelé’s autograph? Yes, I met him in 1989 and I have a 1970 Brazil jersey signed for me by the king of the kings! Igor Cavalera “Today it’s easier to get super macho.” numéro 18 • Are the parties more out of control after a Cavalera Conspiracy Show or after a Mixhell DJ set? Definitely the Mixhell parties! The Cavalera Conspiracy vibe has a shorter but more intense thrash feeling. • What is the biggest difference between the audiences? There are different kinds of zombies… but the techno zombies have more girls around. • Does your wife get jealous of Mixhell’s female fans? Not at all, she is looking for more female fans… But only fans… † Sébastien dcibel Été 67 • Qu’en est-il de Bob Dylan dans les remerciements de votre CD ? Cet artiste est un monument, une légende. Au final, très peu d’albums de Dylan sont mauvais. Ses textes représentent une source d’inspiration sans fin pour nous. C’est l’héritier d’un patrimoine dans lequel Été 67 se retrouve complètement. • Vous complaisez-vous dans cette scène belge qui chante en anglais ? Nous n’avons jamais essayé de nous positionner par rapport à d’autres groupes. Ghinzu ou Girls In Hawaï commencent à vraiment bien s’exporter dans leur univers respectif avec des textes en anglais. De notre côté, bizarrement, nous continuons à chanter en français et cela ne nous empêche pas de partager les mêmes grosses affiches de festivals comme les Francofolies, Dour, etc. Les Liégeois d’Été 67 s’étaient fait plutôt discrets depuis leur premier opus sorti en 2007, le temps pour ces six musiciens d’arpenter les routes et de peaufiner leur nouvel album folk rock intitulé Passer La Frontière. Ne vous fiez pas à la noirceur du visuel, l’écoute se fait tout en douceur. Envie d’en entendre davantage ? Passez la frontière belge et allez les applaudir aux Transmusicales de Villers-le-Bouillet le 7 mai. • Les paroles de la chanson « Crime Passionnel » sont plutôt cinglantes vis-à-vis de la gente féminine. Un problème à régler ? C’est un titre assez sombre simplement car nous sommes passionnés par la criminalité et les romans noirs de Simenon. Et puis Liège est un peu le Manchester belge avec ses voyous, ses filles de joie, ses voitures de sport et ses tueurs glauques. • Vous avez sorti votre disque le 14 février, cherchiez-vous à choper des filles ? Pour être honnête, c’était une idée de notre label, nous n’avions même pas fait le rapprochement jusqu’à récemment. Nous ne sommes pas très St Valentin dans le groupe… • « Passer La Frontière », premier titre de l’album éponyme évoque une envie de vous exporter ? La plupart des morceaux ont été écrits sur la route lors de notre dernière tournée. Nous voulions mettre en exergue cette idée de gestation continuelle et de traversées des frontières européennes. • Lequel de vous a eu le rendez-vous le plus romantique le jour de la fête des amoureux ? Nous tous ! Nous avons mangé un burger entre membres du groupe. • Vous aimez les tournées ? Notre état d’esprit est tourné à fond vers le live. Nous sommes soucieux de livrer des prestations de qualité tout en essayant de garder un peu de fraîcheur pour les dates suivantes. numéro 18 « Nous sommes passionnés par la criminalité. » • Revendiquez-vous des influences old school dans vos mélodies ? Nous sommes relativement jeunes avec une moyenne d’âge de 25 ans, mais nous écoutons depuis le lycée des grands noms comme Jimi Hendrix, les premiers Velvet, The Doors. Nous avons voulu rendre hommage à cette période très prolifique malgré des instruments rudimentaires. La musique anglo-saxonne et américaine des sixties nous a toujours passionnés. Des disques comme On The Beach de Neil Young ou Exile On Main Street des Stones sont des références communes. Ces galettes ont été enregistrées dans l’instant, dans l’immédiateté et laissent ressentir beaucoup d’émotions. Pour les prises de sons de Passer La Frontière, nous avons voulu justement nous rapprocher de cette ambiance brute. • Vous semblez avoir utilisé de nouveaux instruments sur cet album ? Nous sommes tombés sur un banjolélé, un hybride entre un yukulélé et un banjo (rires) ! Blague à part, nous nous sommes concentrés sur des instruments plus rock et avons délaissé les machines sur ce disque. Jack White des White Stripes est notre maître à penser, il nous guide. Il explique dans une interview qu’il rejette en bloc la technologie et tous ces plug-ins qui te filent des sons à l’infini. Nous affectionnons son côté révolutionnaire. Les doutes existent mais il faut savoir aller à l’essentiel. Même si la préparation est méticuleuse, lors de cet enregistrement nous avons un rendu différent, plus live et moins parfait. • Vous débutiez vos sessions studio chaque jour à 9 h du matin, pourquoi une telle rigueur ? Nous avions largement dérapé sur le premier album (rires), entraînant fatigue et prises de têtes… Cette fois ci, un vrai rythme nous a permis d’être plus sereins et encadrés. Nous avons, tous les six, besoin de règles communautaires. † Yannick Poinsignon Photo : Élodie Ledure numéro 18 LA VIE OFFRE BIEN PLUS QU’UNE VOLVO. IL Y A RÉSERVER UNE TABLE DANS UN GRAND RESTAURANT ÉTOILÉ. ET COMMANDER UN DESSERT AVEC DEUX CUILLÈRES. C’EST POURQUOI VOUS ROULEZ AVEC LA VOLVO C70 FUTÉE/SEXY. / ESSAYEZ LA VOLVO C70 FUTÉE/SEXY. Découvrez les deux facettes de la très stylée Volvo C70. D’un côté, un coupé intelligent débordant de technologie astucieuse. De l’autre, un cabriolet sexy, exceptionnellement glamour. Deux voitures stupéfiantes en une, pour seulement 34.207 euros. Aujourd’hui, faites quelque chose d’audacieux. Mettez-vous au volant de la voiture la plus sexy du marché. Rendez-vous sur www.volvocars.lu ou chez votre distributeur Volvo pour plus d’informations. 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La face A comportait généralement le tube et la B, un titre voire plusieurs plus subtils et, implicitement, plus risqués. Christophe, de son vrai prénom, jouait aussi bien les deux côtés de ses galettes. Aujourd’hui, même s’il pilote des MP3 et des CDs, ce passionné s’aventure toujours sur les deux versants de la musique, tantôt ultra dancefloor tantôt plus mentale. Transporté par cet amour pour les expérimentations et les beats produits, il décide en 2008, avec deux amis de longue date, de lancer Absolutive Records, leur propre label. Managés directement du Luxembourg via Marseille, ils produisent évidemment du digital mais tiennent absolument, malgré la réalité du marché, à continuer de presser du vinyle. L’année 2011 s’annonce riche en actualité avec plusieurs EP’s et un album déjà en préparation. La maison de disque refuse de se voir affliger l’étiquette techno et désire plus encore produire un son qui lui ressemble. Avec ce set intimiste réalisé avec des matrices vinyles pilotées par le logiciel Traktor Scratch, No Side enchaîne joliment et finement des titres résolument techno. L’ambiance est au groove et à la sensualité. Le DJ en profite pour nous présenter une partie des nouvelles recrues de son écurie, le compositeur italien Steve Lorenz et Dean Olbricht, une jeune pousse prometteuse made in Hongrie. Christophe n’a pas oublié, dans sa playlist, de faire un clin d’œil à nos héros locaux avec un morceau inédit de Chook & Tim Oé. À ce propos, le label manager vous invite à lui envoyer vos démos via son soundcloud (www.soundcloud.com/ absolutivesoundcloud), le vrai cyber réseau des musiciens depuis la descente aux enfers de Myspace. Il m’a juré qu’il écoutait tout mais n’en profitez pas pour lui faire parvenir des tracks bâclés car Absolutive privilégie la qualité et l’originalité. † numéro 18 Playlist Tomas More : Body Count Little : Lilian Tomas More : Guilt Moenster : This Is For You Maetrik-Bottom Heavy : Dark Star Edit Steve Lorenz : Viraga Chook & Tim Oé : The Game Is Outthere Dean Olbricht : Tiliae II Kane Roth : Dangy Marc Romboy : The Overture Ryan Davis : Roads (Roland M. Dill remix) Alan Fitzpatrick : Gridlock Emptyset : Awake Sébastien Photo : Charles Lenoir Offiziell Ouverture: Freides, 29. Abrëll 2011 Départ vum Cortège: 18.30 Auer op der Moartplaz Grousst Freedefeier: Samschdes, 7. Mee 2011 ëm 22.00 Auer Journée à tarif réduit: i·m·p·r·i·m·e·r·i·e HEINTZ, Pétange Dënschdes, 10. Mee 2011 vroum service Si dans l’imaginaire collectif, le nom Cadillac est largement associé aux « belles américaines » façon péniche rose, la luxueuse marque de l’Oncle Sam revient sur le devant de la scène avec quelques arguments de poids… numéro 18 Black To The Future numéro 18 vroum service Son of Detroit Dans la plus pure tradition de l’Automobile avec un grand « A » made in U.S., la CTS Coupé s’impose comme la digne héritière du mythe Cadillac. La firme fut fondée à Détroit en 1906 par le très conservateur Henry M. Leland dont le passage à la Colt’s Manufacturing Company laissait présager la production future de quelques armes de destruction massive « from Michigan with love ». Avec le lancement de son 5,1L V8 en 1914, Leland – selon la formule d’un journaliste de l’époque – « réalise pour les riches ce que Ford a fait pour les pauvres ». Le ton est donné et la marque au blason n’aura de cesse de produire de luxueuses et vrombissantes machines infernales qui nourriront des décennies de fantasmes automobiles de part et d’autre de l’Atlantique. numéro 18 Ma belle américaine Pour ma part, le rêve américain prend forme en 1978 quand, le jour de Noël, je reçois des mains de feu mon parrain un magnifique mange-disque orange taillé dans cette matière noble qu’est le polymère. À l’époque, cartonne sur les ondes FM le single « Où Est Ma Ch’mise GRISE » de Sim et Topaloff. En bon puriste, je jette mon dévolu sur la face B du 45t… une reprise très libre du « Greased Lightning » de Travolta : Cette bagnole là ça f’sait dix ans que j’la cherchais (Sa Cadillac, ouh, sa Cadillac) Pour moi y’en a pas une qui soit mieux balancée (Sa Cadillac, ouh, sa Cadillac) Elle est géniale… Elle est fatale… Ma Cadillac… Autant dire qu’à l’époque, les deux minutes de rimes poussives avaient eu leur petit effet sur mon inconscient. Dans la peau de Bruce Wayne « Vite, tous à la Batmobile ! ». En posant mes fesses sur le luxueux cuir (sans doute une vache texane) de ma CTS Coupé noire comme une nuit sans étoile, je me prends à jouer les Batman du dimanche dans le parking souterrain d’Autopolis, accompagné du valeureux Robin... euh Kevin. En effet, la CTS Coupé est taillée à la serpe et son architecture hors-norme lui confère un style néo-50’s comme tout droit sortie d’un sombre Comics. Sur la route, une Corsa pas de première fraîcheur me double avec la plus grande peine. A son bord, les deux collègues arborent un large sourire 360°. Je les sens heureux pour moi. Je le suis également. Ma CTS Coupé est dotée d’un 3,6 L V6 de 311ch et d’une boîte auto six rapports. De quoi voir venir… Je pourrais palabrer des heures durant sur la puissance et le comportement routier impeccable et les sensations que procure l’engin mais c’est plus particulièrement la finition intérieure qui a retenu mon attention tant la qualité se montre à la hauteur des espérances. Cuirs de qualité, inserts en bois et chrome, keyless, enceintes Bose… on est bien en classe Deluxe. Conclusion La CTS Coupé est une américaine pure et dure… à l’allemande. Avec un équipement des plus complets et une finition hors-norme, cette routière sportive sait faire oublier la concurrence. On a aimé Le look batmobile. L’esprit « rétro ». Le généreux et onctueux V6. On a moins aimé La visibilité arrière. Le manque d’information de la caméra de recul. La gamme Cadillac CTS est disponible chez Autopolis. † (www.autopolis.lu) Texte et photos : Christophe Michel numéro 18 helene et ses colocataires numéro 18 Accompagner Aller à l’école, trouver un emploi ou encore fonder une famille sont autant de défis auxquels sont confrontées les personnes en situation de handicap. © J-J. Bernard / Handicap International Prévenir Maladies invalidantes, accidents de la route, sida, danger des mines, santé maternelle... les risques de handicap sont divers et variés. © S. Bonnet / Handicap International Soigner Conflits, catastrophes, accidents, maladies : la réhabilitation des personnes handicapées nécessite une prise en charge médicale rapide et appropriée. © J Van Wetter / Handicap International Mobiliser © P.Grappin pour Handicap International Les mines antipersonnel et les armes à sous-munitions continuent de polluer plus de 80 pays à travers la planète et de menacer des milliers de civils. www.handicap-international.lu Tél.: 42 80 60-1 Fax : 26 43 10 60 IBAN LU47 1111 0014 2062 0000 Copyright F.Damiens Copyright RTL-TVI cin Caméra Cachée Saint-Tropez 2007 François Damiens Attention vedette ! Sacralisé sur le petit écran par les caméras cachées de François l’Embrouille… Adulé au cinéma pour son rôle de Claudy Focant dans le film Dikkenek… Parachuté au panthéon des acteurs bankables du XXIe siècle grâce au blockbuster Rien À Déclarer… Luxuriant n’est pas peu fier de vous présenter l’interview de François Damiens. À la rédaction, nous n’avions plus autant ri, depuis l’autre grand trublion du plat pays, Benoît Poelvoorde et son premier long métrage ultra culte C’Est Arrivé Près De Chez Vous. numéro 18 Cela faisait plus de six mois que nous traquions François Damiens. Nous rêvions de rire et de boire un godet avec la vedette mais l’acteur n’est ni à l’aise avec son statut de star, ni avec l’exercice laborieux de la promotion. Nous avons pu converser trente minutes avec l’animal, pas une de plus, exactement comme stipulé dans le mail de son attaché de presse. Pas grave François, tu restes pour nous le roi des Belges et aujourd’hui encore, nous continuons, au bureau, d’essayer d’imiter ton merveilleux accent du patron des Abattoirs d’Anderlecht. Entretien avec un grand timide qui ne mâche pas ses mots. numéro 18 cin • Tu restes très discret sur Google, essaies-tu de te préserver vis-à-vis de ta célébrité ? Je ne suis pas un fana d’interviews donc j’évite les plateaux télé, même si c’est parfois un peu difficile en période de promo… Je préfère un dialogue naturel, pendant deux heures, autour d’une bière. Ici, c’est de l’abattage. Ces conférences de presse n’apportent rien à personne, ni à toi, ni à moi, ni aux lecteurs. • Ta célébrité est pourtant inévitable ? Je me fais déjà suffisamment traquer depuis les caméras cachées alors je préfère éviter d’en remettre une couche. En plus, les jeunes y vont à fond avec mes vidéos sur Internet. « On ne me propose pas des rôles de Belges. » • Tu peux encore mettre le nez dehors ? Il existe des célébrités beaucoup plus connues que moi mais comme j’emmerde les gens, et bien, c’est moi qu’on emmerde en retour. Je suis allé skier une semaine à La Plagne avec mes gosses et c’était trop. Tu arrives dans la file, 100 personnes commencent à te hurler dessus, te prennent en photo, t’attendent à la sortie du télésiège… • C’est difficile de rester sympa ? C’est super dur d’être tout le temps disponible. Par exemple, je n’ai pas été gentil hier. Je suis rentré chez moi vers 23h et un mec m’attendait pour avoir un autographe. Je me suis légèrement emporté, j’étais très fatigué. Et puis ce matin, il a fait 60 km pour venir me présenter ses excuses. Je me suis senti penaud et j’ai regretté ne pas avoir été cool. • Elles arrivent bientôt tes nouvelles caméras cachées ? J’ai tourné pendant un an une cinquantaine de pseudos variantes de caméras cachées, mais, au final, je les ai trouvées trop trash. J’ai donc décidé, en accord avec Canal Plus, de ne pas les sortir. • Tu devrais faire comme Georges Clooney et essayer de te rendre moins populaire pour garder une part de mystère ? Cela reste un métier d’image mais je fais attention à ne pas me surmédiatiser ni à me laisser dépasser par les évènements. Tu travailles sur un tournage pendant deux ou trois mois. Le film est vu par 500 000 spectateurs et fonctionne plutôt bien avec le bouche à oreille. Ensuite, tu vas faire l’émission Les Enfants De La Télé pendant deux heures, et là, c’est regardé par cinq millions de personnes. C’est un décalage pas sain. Je comprends les actrices et acteurs qui retournent au théâtre pour jouer devant 700 ou 800 personnes afin de garder un rapport humain avec l’audience. • As-tu contribué à redonner à la « belgitude » ses lettres de noblesse ? Benoît Poelvoorde a déjà bien ouvert les portes. Il a mis en avant l’autodérision des Belges, un trait de caractère qui n’est pas forcément développé, par exemple, chez les Français. En Belgique, lors des tournages des caméras cachées, les gens te demandent immédiatement la date de diffusion. En France, ils refusent de passer pour des cons et ne veulent pas que la séquence soit diffusée. C’est dur à avaler de pouvoir passer pour un imbécile. numéro 18 Protéger Et Servir 2010 numéro 18 Copyright F.Damiens cin « Quand tu veux t’envoyer une nana, si tu la veux, tu ne l’auras pas forcément. » • Sauf pour toi ? Attends, je fais aussi des comédies dramatiques. Je vais même tourner un film sociologique. Je ne suis pas un inconditionnel de toutes ces grosses comédies qui font rire pour faire rire. • Dany Boon aborde dans son film Rien À Déclarer une relation de voisinage un peu tendue entre la France et la Belgique, c’est du vécu pour toi ? Les Français aiment bien se foutre de la gueule des Belges. J’ai été faire, à 14 ans, un stage de voile en France. Les gosses étaient un peu lourds avec moi. Ils me demandaient tout le temps si je voulais des frites, etc. En plus, si tu ne joues pas le jeu, on t’accuse de ne pas avoir d’humour. De toute façon, les Français ne savent pas faire l’accent belge. • Ce sont des mauvais imitateurs comme ton personnage dans le canular du Speed Dating ? Exact, un mauvais imitateur précise toujours qui il imite pour être sûr que cela fonctionne. Mais maintenant, les rapports sont plus faciles en France, c’est cyclique. Les Belges, en ce moment, sont un peu dans leur moment de grâce. Cela devient un snobisme pour les Français, enfin surtout pour les Parisiens, d’aimer les Belges. Cela témoigne d’une ouverture d’esprit… • As-tu peur de devenir le Belge de service ? On ne me propose pas des rôles de Belges. • Dans L’Arnacœur, ton personnage est relativement proche de François l’Embrouille ? Quand je fais une comédie, j’y vais à fond. Je n’aime pas les demi-trucs et je n’hésite pas à surjouer. « Quand tu veux t’envoyer une nana, si tu la veux, tu ne l’auras pas forcément. » • Tu es arrivé par hasard dans le cinéma ? Je n’ai jamais fait de casting ni rien. J’avais piégé, pour une des mes caméras cachées, Eric et Ramzy lorsqu’ils jouaient à Bruxelles, dans une pièce de théâtre mise en scène par Michel Hazanavicius. Quand ils sont revenus en Belgique, ils m’ont appelé pour aller boire un verre et me présenter Michel. Le réalisateur m’a proposé un petit rôle dans OSS 117 : Le Caire, Nid D’Espions. • Et Dikkenek ? Olivier Van Hoofstadt m’avait appelé deux ou trois ans avant de faire son film. Cela s’est fait naturellement. Je n’ai jamais couru derrière le truc. J’ai longuement cru que le projet était avorté, un peu comme les gens qui te disent qu’ils vont écrire un livre. Tout le monde veut écrire un bouquin mais, au final, peu le font (sourire). • Assumes-tu ton rôle d’ambassadeur de la culture belge ? Avec la notoriété, tu te retrouves à faire des trucs déments. Tu arrives à la Gare du Nord à Paris, deux secondes après, on te demande « alors en Belgique comment ça se passe avec votre gouvernement ? » C’est complètement dingue. Caméra cachée Belle-île-en-Mer 2008 numéro 18 • Tu ne dois pas être un inconditionnel du festival de Cannes ? J’y vais quand je suis invité. En fait, je reçois des invitations chaque année, mais je ne me déplace pas si je n’ai pas un film à représenter. Je fais juste un aller-retour. Je reviens déjà en compote avec une seule soirée sur place (rire). Ce n’est pas la vraie vie… (Au même moment, à la table d’à côté, Benoît Poelvoorde, également en interview, braille comme un dératé en faisant le pitre). • C’est comment de tourner avec Poelvoorde ? C’est super cool. Nous sommes très complémentaires. Il est dans l’action, moi je suis dans la réaction (rires). • As-tu beaucoup d’appréhension quand tu arrives sur un plateau de tournage ? Non pas du tout, je connais toujours à peine mon texte. Je commence un nouveau film lundi et je n’ai pratiquement pas lu le scénario. J’essaie de me mettre dans un état d’esprit relax, en mode fataliste comme dans l’avion. En bagnole, à la limite, sur le siège passager, je stresse car j’ai peur que le conducteur fasse une couille. De toute façon, on ne crève pas à cause d’un bon ou d’un mauvais film. Idem avec les gonzesses, quand tu veux t’envoyer une nana, si tu la veux, tu ne l’auras pas forcément. • Tu déclines beaucoup de propositions de films ? En refusant beaucoup de rôles, finalement, je crée davantage une demande que si je cours les castings. Pour le moment, et je sais bien que c’est passager, on me sollicite beaucoup. La plupart du temps, je ne rappelle jamais les mecs. Je garde de la distance par rapport au milieu. J’essaie simplement de mettre un peu de sous de côté pour partir faire de la voile et voyager. • Tu joues souvent sur l’improvisation ? Selon les films et si on me laisse de la liberté, je peux me laisser aller, tout en faisant attention à la personne en face de moi. • L’impro est un bon exercice pour les caméras cachées ? Les caméras cachées sont beaucoup plus fatigantes que les films. Rien n’est préparé, même pas une ligne. Je dois être dans l’écoute et dans la réaction. J’agis comme un vendeur. Je peux marchander la même chemise à deux personnes, la négocier au premier client parce qu’elle est chaude et au second parce qu’il aime les couleurs foncées. Tu ne peux pas faire l’article avant sans faire parler ton interlocuteur. C’était mon prof de négociation en commerce extérieur qui m’avait expliqué ce principe-là. Cela m’avait marqué. Je savais très bien, à l’époque, que je suivais des études qui n’allaient pas trop me servir. Mais finalement, tu t’en resers après, quand tu vas négocier. Tu es plus à l’aise quand tu sais de quoi tu parles. • Comme lorsque tu énumères les alcools dans la caméra cachée du Speed Dating ? C’était facile, j’ai simplement imaginé un comptoir de bar. Nous avons fait sept hommes et sept filles en 49 minutes. J’ai uniquement été me changer cinq minutes entre chaque sketch. Il fallait improviser, rester sur ce truc de lévitation et surtout ne pas préparer une blague à l’avance. C’est ce qui fait la magie du truc… Une scène un peu poussive qui va partir sur un mot marrant. • Jupiler ou Stella ? Jupiler. numéro 18 cin • • Brel ou Maurane ? Jacques Brel est mon dieu. J’écoute ses interviews en boucle. Ce mec me fout une pêche d’enfer. On se rend compte, en l’écoutant, que tous les hommes sont restés les mêmes 30 ans après. C’est vachement rassurant. • Han Sur Lesse ou La Panne ? La Panne, car j’aime bien la mer. • Janin ou Liberski ? Je connais mieux Liberski que Janin mais j’apprécie les deux. • Benoît Mariage ou les frères Dardenne ? Benoit Mariage est le seul réalisateur que je n’ai pas contacté pour faire un film. J’adore son univers, Les Convoyeurs Attendent, Striptease… Nous nous voyons souvent et avons des projets en commun. C’est vraiment l’humour que j’affectionne. Benoît développe une gravité pour déboucher sur un effet comique. Il ne cherche pas le rire au premier degré mais c’est tellement lourd que tu rigoles. • Exactement comme la scène du bar dans Dikkenek. De toute façon, il n’y a rien de meilleur que d’aller dans un bar pour observer les gens. Souvent, quand je regarde une scène dans un café, je me dis que si j’arrive à la reproduire, j’ai le César. • Tu joues beaucoup là-dessus pour composer tes personnages ? Et bien oui, je ne fais que ça, je passe mon temps à observer les gens. Au restaurant, je suis toujours occupé à regarder la table à côté et souvent ça se termine en engueulade avec mon invité parce que je ne m’occupe pas assez de lui. • Zaïre ou Congo ? Je n’ai jamais été en Afrique mais je dirais le Congo. • Liège ou Bruxelles ? Je connais beaucoup mieux Bruxelles que Liège. J’aime beaucoup les Liégeois et je pense que si j’étais né à Liège je serais resté habiter dans cette ville. Leurs grandes tablées festives ont un côté bon enfant et une candeur que je trouve super mignonne et super fraternelle. • Andalouse ou mayonnaise ? Andalouse. • Tintin ou Blake et Mortimer ? Aucun des deux, je n’aime pas la BD, sauf peut-être celle réalisée pour le film Rien À Déclarer car les gains seront reversés à une œuvre humanitaire. † Sébastien « Je reviens déjà en compote avec une seule soirée sur place. » numéro 18 François est habillé par Peak Performance General Store 42 Avenue Louise, 1050 Bruxelles. Rien À Déclarer 2010 numéro 18 vitrine Collection Prêt à Porter / Automne-Hiver 2011-2012 Sélections : Pascal Monfort Photos : Albert Nguon Commuun numéro 18 numéro 18 vitrine Lutz numéro 18 numéro 18 vitrine Jean-Charles De Castelbajac numéro 18 numéro 18 numéro 18 Jean-Charles De Castelbajac Jean-Charles De Castelbajac vitrine numéro 18 vitrine • Qui es-tu ? Je m’appelle Alessia Gisondi et j’ai 19 ans. Je suis de nationalité italienne et j’habite au Luxembourg. J’adore le peintre Edvard Munch, les groupes The Velvet Underground et Joy Division. J’aime beaucoup sortir avec mes amis, rire et faire la fête. Londres est ma capitale préférée surtout pour le shopping ! Et évidemment, j’oublie souvent les cours (sourire). • Quand as-tu porté ce look ? Je l’ai porté un jour de semaine. Je m’habille au quotidien de cette façon et mon look dépend surtout de mes humeurs. Une fille, son look, ce jour-là • Décris-nous ce que tu portes. Je porte un top Givenchy orné de colliers avec des petites médailles, un legging noir American Apparel, une veste H&M et des derbys Prada été 2011 que je trouve sensationnelles. J’ai également une bague Yves Saint Laurent et une écharpe Dolce & Gabbana que je m’amuse à accrocher à mon sac Chanel. Ces deux accessoires se contrastent à merveille. Mes boucles d’oreilles sont des Miu Miu, une de mes marques favorites. • Pourquoi ce look et pas un autre ? Parce que c’est moi, tout moi. • En quoi ce look te représente (ou pas) ? Ce look décrit bien ma personnalité et mon humeur (enfin des fois) ! J’aime le noir, mais aussi les couleurs, donc ce mélange reflète ce qui me plaît. J’aime mixer les différences. Je n’ai pas vraiment de style fixe ou de modèle. Encore une fois, c’est juste moi. • Si tu étais un look pour une occasion particulière, tu serais ? Je serais une femme vivant dans les années 20, avec un magnifique collier Chanel, des plumes avec un bandeau dans les cheveux et le même rouge à lèvres que je porte à l’instant. † Interview et photos : punky-b.com numéro 18 numéro 18 trippin Rencontre du 14e type Kevin Métallier et son gang de skaters sont partis en Inde chercher un peu d’exotisme à glisser sous leurs roulettes. À défaut de rider de nouveaux plans inclinés et autres handrails, leur session s’est métamorphosée, selon la théorie de la sérendipité, en une incroyable rencontre spirituelle avec le Dalaï Lama. Voici un aperçu de leur carnet de voyage. numéro 18 L’errance est une notion assez vague. La quête frénétique d’images peut parfois conduire à entrer dans un certain vagabondage. Perdre pied, ne plus savoir dans quelle direction poursuivre sa route, ne pas prévoir, ne plus prévoir… Comme le disait Raymond Depardon dans un de ses ouvrages portant le même nom : « l’errance, c’est une conduite sans but déclaré… une aventure unique, un grand bonheur, une grande liberté. L’aventure de l’errance m’a permis de vivre dans le présent, d’être assez bien dans le présent… » numéro 18 trippin C’est peut-être cette errance, aussi relative soit-elle, qui nous a conduits ce jour-là à Kalimpong. Nous avons fait demi-tour, perdu toute notion du nord et du sud, du loin et du près. Ici, rien n’est pareil, nous sommes sur la même planète mais nous ne vivons définitivement pas dans le même monde. Perchées sur les hauts sommets du nord-est de l’Inde, encastrées entre le Népal et le Bhoutan, les 70 000 âmes qui vivent dans ces contrées semblent relativement préservées des assauts ravageurs de la modernité. Sereinement agrippés à la montagne, les temples bouddhistes saluent paisiblement le vide tout en perçant les nuages. Le voisin d’en face n’est autre que le Kangchenjunga (le troisième plus haut sommet de la planète, culminant à 8 586 mètres), l’un des résidents principaux de l’Himalaya. numéro 18 Malgré la sérénité ambiante, une certaine agitation semble s’être brusquement emparée des lieux, comme si chacun se préparait à un événement peu commun, à une célébration… La réponse à notre question ne tardera pas à prendre un nom, celui de Tenzin Gyatso. Le chef politique et spirituel du peuple tibétain, le 14e Dalaï Lama est sur le point de venir dans la cité quelques jours en visite officielle. Un véritable événement pour toute une com- munauté, surtout lorsque l’on sait que sa dernière venue dans cette région de l’Inde remonte à plus de 10 ans. Voilà plus d’un demi-siècle que l’invasion du Tibet par l’armée chinoise a contraint l’incarnation du Bodhisattva à l’exil, au même titre que 80 000 pacifistes tibétains, réfugiés pour la plupart en Inde. Depuis, l’ancien prix Nobel de la paix ne cesse de prôner de façon pacifique la libération de son pays, en mul- tipliant les conférences et les rencontres officielles, à travers le monde, avec les chefs d’État qui acceptent de le recevoir malgré la despotique pression politique qu’exercent sans relâche les dirigeants chinois. Dans quelques heures, il sera ici, à Kalimpong, pour les mêmes raisons. Tous les habitants y vont de leur contribution. On repeint les façades usées par le temps, on goudronne certaines rues numéro 18 trippin délabrées, partout on nettoie, on range, on rénove, on décore… Des bannières multicolores s’étirent à perte de vue au-dessus des ruelles, tandis que les messages de paix et de bienvenue fleurissent sur les murs. Comme un signe prophétique, les drapeaux du Tibet flottent à nouveau librement par centaines, caressés par l’air pur de l’Himalaya ; leurs couleurs semblent ici ressusciter. Dans le ciel bleu profond, un voile blanc moiré s’accorde même numéro 18 une petite danse, venant se joindre à la célébration, en allant effleurer les hauts sommets enneigés… Progressivement, une longue haie rougeâtre de jeunes moines tibétains, pensionnaires de l’école bouddhiste voisine ou venus des quatre coins de la région, se déploie de part et d’autre de la route que leur guide spirituel s’apprête à emprunter d’ici quelques minutes. Une forêt de drapeaux à prières est apparue, per- chée au-dessus de la profonde vallée, laissant le vent souffler les formules sacrées de ces lungtas à travers les cimes. Peu à peu, le temps suspend son cours. Les Mchod-Rols, instruments tibétains, résonnent et lancent des notes insoupçonnées qui frappent l’air, se mêlant à une formidable symphonie jouée par les éléments. Lentement, la spiritualité ambiante s’immisce en chacun de nous sans que nous le décidions. numéro 18 trippin Avec toute la patience et la sérénité du monde, la foule de disciples rend un hommage mystique au Dalaï Lama qui vient de pénétrer dans l’enceinte du temple Ganden Tharpa Choling Gompa. Le décompte du temps vient de perdre sa nécessité. Nous sommes les seuls européens à assister à cette cérémonie sacrée, mais notre présence ne semble pas susciter un réel étonnement. Dans un véritable océan de sagesse, entourés d’un cortège de lamas incarnés d’une saisissante majesté, le maître tibétain entame un long discours en langue anglaise, en toute humilité. Il prône le respect mutuel pour présider à toute action, vante les mérites d’une action pacifiste, il remercie ses hôtes à plusieurs reprises pour l’accueil qui vient de lui être réservé, se réjouit d’être ici à nouveau, énonce le programme des jours à venir, et n’hésite pas à faire preuve d’humour à plusieurs reprises, ce qui ne manque pas de déclencher des rires en cascade dans l’assemblée. numéro 18 Avant de disparaître derrière les murs épais du monastère pour entamer la méditation, il salue la foule et ses yeux s’éclairent d’un dernier sourire. Un véritable bouquet d’espoir et de paix. La route de Lhassa n’est peut-être pas si loin… Demain, portés par la lumière de l’aube, nous quitterons ce côté-ci du globe, renforcés dans notre croisade du bonheur par cette rencontre improbable, en tentant de garder certains de ses enseignements dans un coin de nos têtes : « le vrai bonheur ne dépend d’aucun être, d’aucun objet extérieur. Il ne dépend que de nous… » (Tenzin Gyatso, 14e Dalaï Lama). † Texte et photo : Kévin Métallier numéro 18 la nuit Post-report du knight clubber ! Le Knight Clubber venait de découvrir sur la toile la pire nouvelle de l’année depuis la bouleversante séparation d’Eva Longoria et de Tony Parker. Sa mâchoire était serrée telle celle de Mike Tyson un jour de pesée face à son adversaire : un mélange de violence bestiale et d’incrédulité non feinte. D’un point de vue purement européen, votre humble serviteur avait toujours vendu sa patrie luxembourgeoise comme le dernier refuge à cancer du poumon. Sa crédibilité dans les cercles festifs venait de s’effondrer telle une enceinte encore fumante d’un des réacteurs nucléaires de Fukushima : le tabac serait interdit dans les bars et clubs du Grand-Duché dès le premier janvier 2012. À ce moment précis, il s’est retrouvé dans la peau de ces femmes qui, la ménopause se profilant, s’autorisent sexuellement les pra- numéro 18 tiques allumeuses qu’elles refusaient jadis. Il lui fallait se surpasser, fumer tout ce qui était fumable dans tous les endroits de débauche, troquets et autres bouges de la capitale. Il en était capable. Il était fort et il le savait car il n’avait jamais mégoté sur son égo. Il mit en œuvre cette résolution le soir de la Micro Clubbing au Am Puff, avec Jess & Crabbe, grands fumeurs de cigares à moustache devant l’Éternel, derrière les platines. Son objectif fut atteint : trou de clopes dans le t-shirt, brûlures sur la peau et, cerise sur le space cake, une magnifique odeur de nicotine froide embaumant la chambre de sa suite à l’Hôtel Royal. La nuit s’est évanouie, comme s’achève une cigarette, sur une dernière volute de fumée évanescente, se dissipant tels les derniers espoirs de ne pas (se) terminer seul. † numéro 18 la nuit numéro 18 numéro 18 eldoradio I Blame Coco: „The Constant“ Biergerlech heescht hatt Eliot Paulina Sumner. A genee do läit de Problem: Di 20 Joer al Sängerin ass d’Duechter vum briteschen Pop-Millionär Sting , hatt mécht awer alles fir sech aus deem sengem Schiet ze léisen. Dowéinst verstoppt hatt sech hannert dem Bandprojet I Blame Coco, deen zwar nach aus 4 Jongen besteet, bei deem hatt awer ganz klor de Chef ass. An do tendéiert hatt an eng Richtung, déi näischt mat sengem Papp oder The Police ze dinn huet. Op sengem Debütalbum „The Constant”, un deem hatt 3 Joer gebastelt huet, wollt hatt eng Mëschung tëscht Electronica a Power-Pop, gewürzt mat enger Prise Dub a Synthie-Pop. D‘Texter erweisen sech dobäi als Therapie fir d‘Sängerin. Si verschaffen alles, wat am Kapp vun engem 20 Jähregen sou fir sech geet. Eben e bëssen Liebeskummer a Rebellioun, awer och schmäerzhaft Liewenserfahrungen wéi ee komplexe Schädelbroch aus dem Joer 2009: An engem Restaurant zu Los Angeles war et him schwindelech ginn, hatt war mam Kapp op de Dësch geknuppt an huet dobäi och säi Gerochsënn verluer. Eng skurril Geschicht, déi d‘Coco am Titel „2Playwright Fate“ beséngt, an säi Sound grinsend als „Dark Pop“ verkeeft, well en op Schmäerz a Verzweiflung baséiert, awer och eppes Optimistesches huet. Sou wéi säi Cover vum Neil-Young-Klassiker „Only Love Can Break Your Heart”, deen d’Coco an een Dub-Gewand presst. An domat ee klore kënschtleresche Statement ofgëtt: Hatt passt a kéng Kategorie, well hatt zevill individualistesch kléngt. Domat ass de Promi-Fluch vum Dësch. Zwar op Käschten vun de Verkafszuelen, awer zugonschten vum kënstlereschen Usproch. An deen ass him am Wichtegsten. Den 2. Abrëll kënnt dës intressant Newcomerin mat hirem Album live an den Atelier. † Christine Delvaux numéro 18 numéro 18 extrabold Emilia, Emilia, :_\Xgdfe[Xpk\\#aXZb\kXe[a\Xej# :_\Xgdfe[Xpk\\#aXZb\kXe[a\Xej# Ted,Ted, N\dfkfk\\#FY\paXZb\k#;i;\e`d:_`efgXekj# N\dfkfk\\#FY\paXZb\k#;i;\e`d:_`efgXekj# Fiona, Fiona, ;i;\e`dj_`ik#Ycflj\Xe[gXekj#Ilc\jYpDXipglij\# ;i;\e`dj_`ik#Ycflj\Xe[gXekj#Ilc\jYpDXipglij\# Anthony, Anthony, :_\XgDfe[XpaXZb\k#G\eÔ\c[_ff[\[j_`ik#<c\m\eGXi`jk\\# :_\XgDfe[XpaXZb\k#G\eÔ\c[_ff[\[j_`ik#<c\m\eGXi`jk\\# Ilc\jYpDXipYX^#MX^XYfe[j_f\j Ilc\jYpDXipYX^#MX^XYfe[j_f\j DXij_Xcc_\X[g_fe\j#MXejj_f\j DXij_Xcc_\X[g_fe\j#MXejj_f\j MX^XYfe[j_f\j MX^XYfe[j_f\j I\Y\c<`^_kZXg#:_\XgDfe[Xpa\Xej#B\[jj_f\j I\Y\c<`^_kZXg#:_\XgDfe[Xpa\Xej#B\[jj_f\j Anthony, Anthony, Cpc\JZfkkZXi[`^Xe#Aleb[\Clo\k\\#9i`okfeZXg# Cpc\JZfkkZXi[`^Xe#Aleb[\Clo\k\\#9i`okfeZXg# Fiona, Fiona, <c\m\eGXi`jk\\#Ilc\jYpDXipjb`ikXe[YX^#MXej_Xk# <c\m\eGXi`jk\\#Ilc\jYpDXipjb`ikXe[YX^#MXej_Xk# Emilia, Emilia, Gi`d@8daldgjl`k#Ilc\jYpDXipZXi[`^XeXe[YX^#MX^XYfe[j_f\j Gi`d@8daldgjl`k#Ilc\jYpDXipZXi[`^XeXe[YX^#MX^XYfe[j_f\j Ted,Ted, <c\m\eGXi`jYcXq\i#MXejj_`ik#N\jZa\Xej#I\[:fccXiGifa\ZkjZXi]Xe[Y\ck# <c\m\eGXi`jYcXq\i#MXejj_`ik#N\jZa\Xej#I\[:fccXiGifa\ZkjZXi]Xe[Y\ck# ;i;\e`d:_`efgXekj#:cX\j_f\j#?XggpjfZbj ;i;\e`d:_`efgXekj#:cX\j_f\j#?XggpjfZbj ?XggpJfZbjk`^_kj#MX^XYfe[j_f\j ?XggpJfZbjk`^_kj#MX^XYfe[j_f\j Bfdfefjle^cXjj\j#N\jZj_f\j Bfdfefjle^cXjj\j#N\jZj_f\j JZXek_`jZf[\n`k_pfli JZXek_`jZf[\n`k_pfli jdXikg_fe\kf^X`e`ejkXekXZZ\jjkf jdXikg_fe\kf^X`e`ejkXekXZZ\jjkf _kkg1&&Ycf^%\okiXYfc[%\l& _kkg1&&Ycf^%\okiXYfc[%\l& G_fkfjYpnnn%Ycf^Yljk\i%cl G_fkfjYpnnn%Ycf^Yljk\i%cl numéro 18 L I 9L8IE98C E @ = C <@ = < numéro 18 blabla Crudivore à capillarité domptée Jamais plus de frites, de chocolat et de sucre dans le café ! Enfin jamais plus… une pause jusqu’à l’hiver prochain. Comme chaque année, avec l’arrivée des belles journées à rallonge, l’envie de s’affiner s’impose comme une évidence. Des tonnes de crudités, un peu de sport, quelques sessions shopping pour les couleurs, une nouvelle coupe de cheveux, voilà ce qu’il nous faut pour se délester de ces longs mois glacés. Un peu de fantaisie au milieu des tomates, de la salade & des endives ! Se restaurer – Jour C’est MA salade sur mesure ! Celle qui fait du bien au corps et au moral. Jour est un concept de restauration rapide de salades vraiment faites par soi et pour soi. Cette enseigne est déjà connue dans d’autres capitales, elle s’est imposée tout naturellement dans le paysage urbain comme un lieu de vie incontournable pour les adeptes du manger vite et bien. Jour est une véritable alternative pour mieux se nourrir avec des produits de saisons, frais et raffinés… Mais il faudra bien sûr y aller à pied ! Pour se motiver sur le chemin, il suffit de penser qu’il y a six bases, 42 toppings, huit sauces et une création par jour, soit 365 propositions différentes à l’année ! Du nouveau et du renouveau pour stimuler nos papilles et motiver nos efforts. numéro 18 Le principe est simple : on compose chaque jour sa salade préférée en choisissant parmi les six bases (batavia, pousses d’épinard, mâche, roquette, céréales bio ou pâtes bio), les 42 accompagnements (poulet grillé, avocat, pamplemousse frais, tomates séchées, haricots verts croquants, …) et les huit sauces pour une infinité de possibilités ! En perspective, ce sont une infinité de combinaisons saines et équilibrées pour tous les goûts, et pour varier les plaisirs au fil du temps, ils ont pensé à tout : il faudra tester la sélection de wraps, tartes salées, de soupes « maison » et de desserts gourmands et savoureux. Adeptes gourmandes de la qualité et de la fraîcheur, sachez que 50% des produits sont issus de l’agriculture biologique ou raisonnée. Les produits sont donc authentiques, frais et variés, ils suivent les saisons… Les boss sélectionneraient un par un les légumes et crudités s’ils le pouvaient, mais ils font confiance à leurs quinze fournisseurs triés sur le volet ! Soyez donc tranquilles et confiez-leur votre ligne. 33, Avenue J.F Kennedy Luxembourg – Kirchberg, 274040 www.jour.lu blabla Se bichonner – Avant Garde L’Avant Garde suggère une douce idée de décalage, d’anticipation et de fantaisie. Ici, on ne vous fait pas une coupe, on réalise la vôtre. Ce sera celle qui vous convient, celle qui s’adapte à votre côté ange mais évidemment aussi à votre côté démon ! On s’adapte à votre visage sans torturer vos cheveux. Avant Garde est un salon très confidentiel que je vous offre sur un plateau… Emmenez Loulou ou peut-être votre tendre mère, les deux y trouveront la fine lame qui cisèlera finement leurs attributs capillaires. L’endroit est aussi discret que possible mais il regorge d’une exubérance passionnée dès que l’on en franchit le seuil. L’équipe est soudée, compétente et ultra attentive. Elle travaille dans une ambiance totalement libérée, inspirée et pleine de bonne humeur, tout en restant bien sûr au top de la technique. Le chef de file, Cyril, est un professionnel absolument inégalable et très haut en couleur, il saura vous faire oublier tout ce que vous aviez en tête en arrivant : sa verve ne laisse pas de répit à vos soucis. Chez Avant Garde, on traite tous les maux avec des mots et des coups de ciseaux de super pros : formateur pour l’Académie L’Oréal et maître de conférence dans les écoles de coiffure les plus réputées, il a obtenu avec sa team le prix de la Haute Coiffure Internationale 2010 pour le Luxembourg. Plus de 21 pays en compétition pour très peu d’élus : Le Carrousel du Louvre de Paris a vibré sous les applaudissements en février dernier. Un moment d’exception qu’il ne se lasse pas de partager avec ses très fidèles clients. La coiffure anime intensément la vie de chaque membre de ce salon hors norme, et en plus ils le partagent ! L’éducation capillaire que chacune d’entre nous a toujours voulue, c’est là-bas que vous la trouverez : son yin et son yang – il faut comprendre son profil droit et gauche – ne laisseront plus jamais indifférent qui que ce soit après un passage au salon. La nature difficile de nos cheveux ne sera plus jamais un affreux problème mais une qualité sur laquelle s’appuyer au quotidien. Le rêve ? Oui, mais ce n’est pas tout : si vous rêviez de faire passer Loulou de la tondeuse à une vraie coupe juste-faite-pourlui… alors c’est bien là-bas qu’il faut l’emmener. Chez Avant Garde, on coiffe l’homme à la perfection. Pendant qu’il passera entre des mains expertes, nous attendrons sagement – ou pas – en surfant sur le web avec un des mini PC mis à notre disposition, tout en sirotant une boisson de notre choix. Loulou, lui, ressortira changé et sensibilisé à son image comme jamais. C’est indéniablement un endroit exceptionnel, animé, qui permet d’accéder à un niveau de coiffure qui vise l’excellence au sein d’une équipe qui s’investit à 100% pour vous, dans une atmosphère familiale où certains viennent même juste pour le plaisir. N’oubliez pas, tout se transmet par le bouche à oreille, alors allez-y de la part de Caro de Luxuriant, vous en serez ravies, c’est promis. Et pour les adeptes de Shu Uemura, ces fabuleux produits soins à effet longue durée, le salon les distribue pour le Luxembourg. Bon, rendez-vous là-bas ! Avant Garde mardi – samedi / 9h – 19h euh… 22h 12 Rue des Cerisiers Luxembourg Tel : 27 99 60 60 numéro 18 blabla Secret d’alcôve – Masking Tape Des couleurs partout, partout ! Des envies assouvies aussi vite qu’on peut les changer. Le masking tape est bien la solution pour booster son intérieur et son moral. Mais de quoi parle-t-on ? De petites bandelettes collantes futées. Pour la petite histoire, ces rouleaux magiques sont fabriqués à partir de papier washi, communément appelé papier japonais ou, à tort, papier de riz. Ecolo, bio… hyper girly aussi. Bref, le masking tape, ça se colle, ça se décolle et ça se recolle très facilement. C’est solide, flexible et léger, même pas besoin de ciseaux pour créer et laisser libre court à son imagination : il suffit de le déchirer avec les doigts. Et une fois enlevé du support sur lequel on l’a posé, il ne laisse aucune trace. Enfin de la décoration qui laisse libre cours à tous les caprices sans aucune contrainte. A chaque fois, ce sont dix mètres de couleurs, motifs et transparence, qui s’harmonisent et se collent partout, surfaces rugueuses ou non, murs ou plafonds, boîtes, meubles etc. On peut même « jouer au making » avec ses neveux puisque ce n’est pas toxique et qu’on peut le décoller sans problème. Comme rien n’est trop beau pour nous, Luxuriant a testé pour vous et la customisation d’un abat-jour blanc en coton ou en plastique s’est révélée être un jeu… d’enfant. Du coup, les portes, les bords d’étagères, les cadres, le frigo, tout y est passé. Mais il paraît que la déco du courrier ou des paquets cadeaux est aussi simple à réaliser. Hâte de tester ? D’avoir un intérieur unique et original ? Tout est disponible online et en plus, c’est plutôt donné. www.maskingtape.fr/blog † Caro numéro 18 DECHMANNCOMMUNICATION Eldo_Corporate_A4.indd 1 6/24/09 4:16:20 PM The taste of bon goût Bar Coco Mango Sofitel Luxembourg le Grand Ducal l’équipe du bar Coco Mango vous accueille tous les jours de 10h00 à 01h00 du matin. Ambiance, service et cocktails sont les maîtres-mots du Coco Mango ! Chaque dernier vendredi du mois, venez apprécier un moment unique en assistant aux performances Live des artistes spécialement sélectionnés pour vous ! Au même étage, Le restaurant Top Floor offre une vue imprenable sur la ville de Luxembourg. Son cadre est à la hauteur de la cuisine raffinée et créative de Sébastien Perrot. Le restaurant est ouvert du lundi au vendredi de 12h00 à 14H30 et de 19H00 à 23H30, ainsi que le samedi de 19H00 à 23H30, pour le plaisir de déguster une carte agréable et délicate. La gastronomie fait partie intégrante de l’expérience Sofitel. 40 Boulevard d’Avranches - L-1160 Luxembourg Tel: (+352)24 87 71 — Fax: (+352)26 48 02 23 - H5555-FB@sofitel.com - www.sofitel.com The taste of bon goût Bar Coco Mango Sofitel Luxembourg le Grand Ducal l’équipe du bar Coco Mango vous accueille tous les jours de 10h00 à 01h00 du matin. Ambiance, service et cocktails sont les maîtres-mots du Coco Mango ! Chaque dernier vendredi du mois, venez apprécier un moment unique en assistant aux performances Live des artistes spécialement sélectionnés pour vous ! Au même étage, Le restaurant Top Floor offre une vue imprenable sur la ville de Luxembourg. Son cadre est à la hauteur de la cuisine raffinée et créative de Sébastien Perrot. Le restaurant est ouvert du lundi au vendredi de 12h00 à 14H30 et de 19H00 à 23H30, ainsi que le samedi de 19H00 à 23H30, pour le plaisir de déguster une carte agréable et délicate. La gastronomie fait partie intégrante de l’expérience Sofitel. 40 Boulevard d’Avranches - L-1160 Luxembourg Tel: (+352)24 87 71 — Fax: (+352)26 48 02 23 - H5555-FB@sofitel.com - www.sofitel.com pub restau 2.pdf 8/04/11 8:49:08 C M J CM MJ CJ CMJ N http://www.lili-is-pi.com/ cookxuriant Makis de foie gras à la mangue et risotto ibérique Le Boos K’fé a accueilli cette fois-ci le sixième rendezvous culinaire de Luxuriant. Jean-Marc Tallone, le chef du restaurant de Bridel et son maître sushi, Zhan Fengwei, se sont armés de patience pour accompagner nos invités dans l’élaboration de ce menu découverte, entre cuisine méditerranéenne et saveurs du pays du Soleil levant. Sylvain, directeur du Boos, nous a accueillis comme des rois et c’est encore dans une ambiance festive et pleine de surprises que l’atelier s’est déroulé. Zhang, parfait maître sushi, s’est appliqué à montrer à ses élèves l’art de rouler des makis tandis que le maestro Jean-Marc Tallone a fait partager son amour des saveurs latines, en faisant réaliser à ses apprentis d’un soir, un risotto ibérique, onctueux mélange de cuisine italienne et d’arômes rappelant les terres d’Andalousie. Une fois de plus, le partage, les rencontres et les rires étaient de mise. Et nos gourmets sont repartis repus et le sourire aux lèvres. Merci encore à nos chefs, à nos hôtes et à nos invités qui ont joué le jeu jusqu’au bout. Risotto ibérique Makis de foie gras à la mangue Ingrédients : • 400 g de riz à sushi (1 dose de riz pour 1,5 dose d’eau), • 400 g de foie gras mi-cuit, • 2 mangues fraîches • vinaigre de riz (sucre inclus). Faire cuire le riz à l’autocuiseur, laisser refroidir et ajouter du vinaigre. Découper le foie gras en forme de « grosses frites », et la mangue en tranches très fines. Mettre un film alimentaire sur la natte en bambou, car il n’y aura pas de feuille de nori pour enrouler le maki. Déposer du riz sur la natte et l’étaler sur 10 cm de largeur, puis ajouter le foie gras et rouler la natte. Couvrir le riz avec les tranches de mangue et serrer la natte à nouveau pour faire adhérer. Découper les makis dans la largeur. numéro 18 Ingrédients (pour 6 personnes) : • 400 g de riz Carnaroli, • 6 grosses gambas, • 400 g de moules cuites décortiquées, • 1 pincée de safran, • 1 chorizo découpé en julienne, • le blanc d’un oignon nouveau ciselé, • 1 l de fumet de poisson, • 60 g de beurre, • 50 g de parmesan rapé, • 1 verre de vin blanc sec, • beurre et huile d’olive. Faire fondre un peu de beurre avec l’huile dans une casserole. Faire suer la julienne de chorizo et l’oignon nouveau. Ajouter le riz et le faire revenir jusqu’à ce qu’il devienne nacré. Mouiller avec le vin blanc et faire totalement réduire. Ajouter le fumet de poisson et une pincée de safran. Mouiller par louche, sans cesser de remuer jusqu’à réduction pendant 13-15 min, puis arrêter le feu. Hors du feu, ajouter des morceaux de beurre, les moules, puis mettre un couvercle et laisser reposer 3-4 minutes. Mélanger et rajouter du fumet en fonction de la consistance désirée. Bon appétit ! † Stéphanie V. Photo : Olivier Dessy pub restau 1.pdf C M J CM MJ CJ CMJ N 8/04/11 8:25:58 hangover Vicarious Bliss “People getting undressed on the dance floor is always a good sign…” Vicarious Bliss joins the Ed Banger Records crew in 2003 after his meeting with Pedro Winter. He is considered as a godfather for the rest of the team! The same year, he released his first E.P. “Theme From Vicarious Bliss” including remixes by Justice or Busy P. He produces the French band “I Love UFO” too. He also collaborated with artists like The Bloody Beetroots, Yuksek or Ladytron. He will spin for the first time in Luxembourg the 20th of May for Micro-Clubbing III at Am Puff! The tall red-haired bloke rocks to the beat! • You are well known to be one of the first signatures on Ed Banger. Could you explain how you met Pedro? I was the third actually, after Mr Flash and Justice. I met Pedro completely by accident in rainy Soho, London. • What was your life before producing such great electro anthems? Before creating electronic music, I produced great pop songs for less than great artists and a bit of film music. • Are you a musician or more an artist? That’s actually a very valid question! I feel more of a musician when I’m in the studio and more of an artist when I’m on the road! It is sometimes complicated to have several ‘hats’, and then there’s the production stuff for other artists too. • Could you describe your music? It’s pretty horrific with the odd moment of beauty and genius very occasionally! • What was the strangest request you received as DJ? Weird musical requests come all the time. It’s the ‘other’ requests that I find weird, like ‘can I come in the booth please, I really need to pee’? • What is for you a perfect party? It’s all about the people really. Firstly, there should be enough of them to fill the place up. Secondly, they should be there to party and not hang around looking at each other. People getting undressed on the dance floor is always a good sign… • Will you perform live your own tracks in the future? Possibly. Touring, or the way I would want to do it (with a live band), is notoriously expensive. It really depends on whether people will want me to do it. I would love to! • The success of the Ed banger Records has changed your way of life? In lots of ways. I sleep less. I travel more. I still piss standing up though… • Has it changed the way you produce music? No, I still do that sitting down… numéro 18 • Do you feel close with all the artists? With some more than others. I think it comes down to who you travel quite often with together. In my case, I’ve seen a lot of Mr Flash at hotel breakfasts (scary, believe me). • You went to Holland to produce your album. Why? My girlfriend lives there and the conditions were perfect to record while looking at water and natural daylight rather than the walls of a Parisian basement! • Pedro Winter gives you some advice on your music or are you totally free? He gives great suggestions, but I’m a pain in his butt as I am not terribly quick at letting him here new stuff. • Could you describe what we could find in your next release? Beauty, love, pain and despair. And everything louder than everything else… • Play Paul is currently working at your studio. Do you plan to produce with him? I already have! We did a secret remix for someone under a secret name! • Do you feel the night in Europe has changed last months? I think it gets darker later each day at the moment. In clubs, people are still looking at each other far too much, rather than partying… • Do you think that it is necessary to be connected to share your music? Totally! We’ll all end up giving it away at some point in the future. I think it is inevitable and I try to lose as little sleep over this as possible. • If I say Luxembourg what do you feel? I’m really looking forward to coming. I think that it’s the only European state that I have never actually played in. I can’t wait! † Laurent Bravetti numéro 18 horoscope Heureuscope BELIER (21 mars — 20 avril) : Amour : Devenez membre officiel du club de tricots des vieilles de votre quartier, elles sont plus cools qu’elles n’en ont l’air… Travail : Prenez des cours de danse country. TAUREAU (21 avril — 20 mai) : Amour : Votre tête a tellement enflé qu’elle fait de l’ombre à Saturne. Vous devriez vous méfier car quand la mégalomanie vous tient, elle ne vous lâche plus ! Travail : Arrêtez de fréquenter les backrooms, vous allez finir par tomber nez à nez avec votre père. GEMEAUX (21 mai — 20 juin) : Amour : La demande de votre forfait pour vos cours d’intoxication sexuelle a bien été prise en compte. Votre carte d’adhérent sera bientôt envoyée dans la maison close que vous avez sélectionnée. Travail : Saurez-vous éviter la crotte de pigeon qui tombera sur votre tête prochainement ? Fallait pas énerver Jupiter. CANCER (21 juin — 22 juillet) : Amour : Votre capital séduction explose avec l’arrivée des beaux jours, fêtez ça dignement en arrosant votre jardinier. Travail : Vous reprenez du poil de la bête à vue d’œil, et, au passage, arrachez ceux de votre jardinier. LION (23 juillet — 22 août) : Amour : Votre mamie vole dans votre porte-monnaie quand vous avez le dos tourné. C’est moche la vieillesse, vraiment moche. Travail : Savez-vous garder un secret ? Écouter une chose et ne jamais la répéter ? Changez de signe, vous êtes une balance. VIERGE (23 août — 22 septembre) : Amour : Vous devriez faire confiance à votre moitié, car quand elle (il) passe la nuit avec d’autres compagnons sexuels, elle (il) les choisit sur le volet. Un(e) chic fille (garçon). Travail : Mettez-vous au sport avant qu’on ne finisse par saluer également votre bedaine. numéro 18 BALANCE (23 septembre — 23 octobre) : Amour : Manger, dormir, baiser, boire, manger, dormir, baiser, boire… vous êtes dans la peau d’un chat. Travail : Dealez votre pâté contre des croquettes allégées. SCORPION (24 octobre — 22 novembre) : Amour : Vous êtes tombé dans les bras de Vénus, dommage qu’elle ne soit pas aussi belle que vous l’ayez imaginée. Va falloir vous la coltiner pendant un moment. Travail : Changez le titre de votre carte de visite pour écrire en caractères gras « Directeur De La Congrégation Des Imbéciles Sans Cervelle ». SAGITTAIRE (23 novembre — 22 décembre) : Amour : Click « OK » to continue. Travail : Reprenez le train en marche, ou plutôt les montagnes russes. Cela peut vous surprendre, mais vous allez aimer ça. CAPRICORNE (23 décembre — 19 janvier) : Amour : Vous avez une haleine de poney. Travail : Mars enverra une pluie d’astéroïdes sur votre maison d’ici 24 heures. Bonne réception. Cordialement. Mars (une planète qui ne vous veut pas du bien). VERSEAU (20 janvier — 18 février) : Amour : L’enfer de la mode, ce n’est pas pour vous. Ce serait plutôt l’enfer des sous-vêtements propres. Vous devriez sérieusement éviter les lieux publics pour ne pas éveiller les soupçons. Travail : Lisez le journal intime de vos enfants afin de découvrir qui ils sont véritablement. POISSONS (19 février — 20 mars) : Amour : Votre fiancé(e) est une gourde, pensez à en changer dans les plus brefs délais. Travail : Soyez généreux et n’hésitez pas à dépanner de bon cœur vos amis quand ils sont à court de feuilles à rouler. † Mademoiselle Léa Revon agenda Mardi 12 avril Syd Matters. Rockhal / Out Of The Crowd (9-23). Kulturfabrik / Overtall Quartet. Op Der Schmelz / The Young Gods. L’Entrepôt (Arlon) / Before The Torn. Rocas / Claude Pauly & Mind Matter Quartet. Mercredi 13 avril …And You Will Know Us By The Trail Of Dead. Rockhal / College Wednesday. Verso / Rock Night. Soul Kitchen / Blindtest with DJ Putasgroove. Rocas Jeudi 14 avril The Sedan Vault. Rockhal / Trey Songz. Rockhal / Bonobo. Kulturfabrik / Stop Being A Nerd. Café Du Gymnase / Plankton Waves. Soul Kitchen / Thursday Poker. Kockelscheuer / Xavier Pillac Trio. Liquid / Boban I Marko Markovic Orkestar. Op Der Schmelz / Musique Baroque. Centre Culturel de Rencontres Abbaye de Neumünster / Insingizi (14-16). L’Inouï / Versus You + Dear Lanlord + Open Mic Jam Session. Rocas Vendredi 15 avril Claude Pauly & Mind Matter Quartet. Rockhal / Angel At My Table. d:qliq / Heineken Party. Centre Culturel Arsdorf / Don Simon & Dj Doublekick. Soul Kitchen / Russian Delicious Night. Byblos / Party Like A Rock Star. Centre Culturel Fancy / DJ Sirius. Rock Box / Blue Art Orchestra: Sketches Of A Working Band. Abbaye de Neumünster / Sorel. Casino 2000 / Young Stars In Concert. Centre Culturel-Heinerscheid / The Gang. Club House 223 (Differdange) / DJ Carlos Ladeira. Am Puff / The Gameboys’s Rockset. Rocas Samedi 16 avril Sermeq + Chief Mart’s + Z Town Massive + Keta. Rocas / The Oscillation + Ana & The Randefelts. d:qliq / Dribbel Den Deich!. Deichhaal / Daniel Balthasar & Saturday Big Party. Soul Kitchen / DJ Raymond. Byblos / Eddie Gee & Jeymore. Am Puff / Dj Jesse James. Rock Box / Blues Night. Op Der Schmelz / Zillertale Haderlumpen. Halle Omnisports Dommeldange / Amaury Vassili. Conservatoire de Musique Luxembourg / Premium Jazz. Leger Premium Hôtel / Sonido Profundo. Ancien Cinéma Vianden / Gentleman. Le 112 (Terville) / Concerts Arel Tattoo Show. L’Entrepôt (Arlon) / Inferno-Bal. Junglinster / Chaos Bal. Beringen / Emilie Duval. Ikkuvium (Differdange) / Hardcore Destination. Double Deuce numéro 18 smart, la voiture chic, pour vos rendez-vous chocs ! Dimanche 17 avril David Ianni. Op Der Schmelz / Sonido Profundo (Apéro’s Jazz). Brasserie le Neumünster / Concert Trio (Musek Am Syrdall). Kulturhaus (Niederanven) Vendredi 13 mai Gerald De Palmas. Rockhal / Albor Cale. Kulturfabrik / The Soft Moon. Exit07 / Dj Jean-François Du Marché & Dj Doublekick. Soul Kitchen / Electro Airline. L’Entrepôt (Arlon) / Leben Bis Zuletzt (13/05-12/06). Abbaye De Neumünster / DJ Oscar Guzman. Am Puff / Festival Salsa Grande Région. Abbaye De Neumünster / Soulcookies. Abbaye De Neumünster / Um Olhar A Dois (1314). Abbaye de Neumünster / High Voltage (ACDC Tribute). Double Deuce Mardi 19 avril Julian Peretta. Atelier / Roberto Negro Trio. Liquid / Morblus. L’Inouï / Brackets Closed + Selfcontrol + Weakonstruction + The Liberation Service. Rocas Mercredi 20 avril Warm Up Show Heartbeat Parade. Rockhal / One Republic. Atelier / College Wednesday. Verso / Music For The Masses. Soul Kitchen / Carlos del Junco. L’Inouï / The Gameboys. Rocas Jeudi 21 avril One Republic. Atelier / Stop Being A Nerd. Café Du Gymnase / Dany Des Rues. Soul Kitchen / Ying Yang Twins. Byblos / Thursday Poker. Kockelscheuer / Blues Gang. Liquid / Jugendsinfonieorchester : EifelArdennen. Trifolion (Echternach) / Melo-M (21-23). L’Inouï / Art Latino-Américain Etniavi (21/0404/05). Abbaye de Neumünster / Open Mic Jam Session. Rocas Vendredi 22 avril The Used. Atelier / Kakkmaddafakka + Rainbow Arabia. Exit07 / Arms & Sleepers, Ben Shepard, Disasteradio, A Low Hum. d:qliq / All Together. Centre Culturel Wiltz / Dj Jean-François Du Marché & Don Simon. Soul Kitchen / Nina Hagen. Le 112 (Terville) / Rock This Town. La Raquette (Bertrange) / DJ Lapino. Am Puff / Enemies + Ikebana. Rocas Samedi 23 avril Bodi Bill, Wilhelm Tell Me, Clockwork Radio. d:qliq / Dj Dee. MClub / Dj Isaac D’Augny & Dj Lowic. Soul Kitchen / Dj Extra Balle. Rock Box / Premium Jazz. Leger Premium Hôtel / Rebel. Messancy / Festival Les Aralunaires (23/04-01/05). Arlon / Ouschteren. Preizerdaul / DJ Toni J. Am Puff / Stinky Pete & The Rabid Babies With The Barcodes. Little Woodstock Café (Ernzen) Dimanche 24 avril Xuto & Pontapes. Rockhal / Dustin Wong. Exit07 / Easter Bunny Sunday Madness. Soul Kitchen / AprèsSki. Choco / Münchner Bal. Le Melusina Mardi 26 avril Este Mundo. Philharmonie / Liquid Jazz House Band. Liquid Mercredi 27 avril Hooverphonic. Rockhal / Kings’ X. Kulturfabrik / CollegeWednesday. Verso / 60’s Beat Music. Soul Kitchen / Walking Through… Collection Mudam (27/04-06/11). Mudam / Little Dash-Live. Mudam / Stoner Rock Night With DJ La Macina Loca. Rocas Jeudi 28 avril Empyr. Atelier / Thursday Poker. Kockelscheuer / Gwilym Simcock Trio. Philharmonie / The Fitness. Soul Kitchen / Carl Wyatt Feat Archie Lee Hooker. Liquid / Bridges Of Our Past (28/04-15/05). Abbaye de Neumünster / Mudam Akademie 07. Mudam / Open Mic Jam Session. Rocas Vendredi 29 avril Kamelot. Atelier / Pictures From The Front Row (29/04-08/05). Kulturfabrik / Sawuri & Sokan. Kulturfabrik / Hal Flavin. Exit07 / Motorama. d:qliq / DJ Carlos Ladeira. Am Puff / Back At Chameleon. Chameleon (Diekirch) / DJ Ars. Byblos / DJ Jay. Rock Box / Dj Chook & Dj Doublekick. Soul Kitchen / Je M’En Vais. Abbaye de Neumünster / Takatuka. Mierscher Kulturhaus / Deviled + Versus You + Project 54. Rocas Samedi 30 avril Patrick Fiori. Rockhal / Mousso Doums & Mare Sanogo. Kulturfabrik / Stages De Danse Et Percussion (30/04-01/05). Kulturfabrik / Dj Dee. M-Club / Dj Luke Skywalker. Rock Box / DNR Hexennuecht. Bâteau Roude Léiw / Anna Engel. Philharmonie / Dj Lowic & Northern Monkeys. Soul Kitchen / Premium Jazz. Leger Premium Hôtel / Rebel. Wiltz / Festival Ska. Le 112 (Terville) / Golden Oldies Night. Halle Polyvalent Niederkorn / Alexandrov (30/04-01/05). Ettelbruck / Mental Masturbation. Ikkuvium (Differdange) / Jeymore. Am Puff / Plankton Waves. Rocas Dimanche 1er mai Tricky. Atelier / Afrikafestival Esch. Kulturfabrik / Benoit Martiny Band. Abbaye De Neumünster / Geoffrey Oryema. Abbaye De Neumünster Lundi 2 mai Schäffer / Schneider. Philharmonie Mardi 3 mai Angus & Julia Stone. Rockhal / Vers à Verre. Kulturfabrik / Abdullah Ibrahim Trio. Philharmonie / PBH Trio. Liquid / Le Médecin De Son Honneur. Abbaye de Neumünster Mercredi 4 mai Katatonia : Last Fair Day Gone. Kulturfabrik / Album Night Avec Black Records Shop. Soul Kitchen / Special Red Hot Chili Peppers With DJ Safari. Rocas Jeudi 5 mai La Fouine. Rockhal / Milow. Atelier / Rantanplan & Bandgeek Mafia Tour. Kulturfabrik / Thursday Poker. Kockelscheuer / La Nouvelle Babylone. Philharmonie / Radio Daze. Soul Kitchen / Les Gonfleurs D’Hélice. Liquid / Performance Par La Chorale L’Encyclopédie De La Parole. Mudam / Open Mic Jam Session. Rocas Vendredi 6 mai Boyce Avenue. Rockhal / Bauchklang. Atelier / Solar Bears. Exit07 / Last Tango In Berlin. Philharmonie / Ben Andrews & Gareth Decibel. Soul Kitchen / Saint-André Moladji. L’Entrepôt (Arlon) / Julien & Jeymore. Am Puff / Smooth & The Bully Boys. Abbaye De Neumünster / Cleanstate. Rocas Samedi 7 mai Vibra(k)tion. Rockhal / Docteur Gonzo. Soul Kitchen / Fókatlep. Abbaye De Neumünster / Sysmik Records Label Night. Dreams Bar (Esch-Sur-Alzette) / Back 2 Roots. An Der Koll (Mersch) / Kingstone. Ikkuvium (Differdange) / Crusader & 664. Double Deuce / Christal & Crack. Rocas Dimanche 8 mai Kaki King & Raul Midón. Atelier / Jidz Jeitz Quartet. Abbaye De Neumünster Lundi 9 mai Last Days Of April. Rockhal Mardi 10 mai Autrefois Il Faisait Jour…. Kulturfabrik / Niklas Kraft Quartet. Liquid Mercredi 11 mai 80’s & 90’s Hip-Hop Avec DJ Qash. Soul Kitchen / Blindtest With DJ Putasgroove. Rocas Jeudi 12 mai Children Of Bodom. Atelier / Bailar Vivir. Kulturfabrik / Laurent Garnier. L’Autre Canal (Nancy) / Thursday Poker. Kockelscheuer / Quintasy. Soul Kitchen / Dynamite Funk Project. Liquid / Open Mic Jam Session. Rocas Samedi 14 mai Ayo. Rockhal / Antaño. Kulturfabrik / Hauschka Special Rescore Of Vampyr By Carl Dreyer. Exit07 / Gunther Florida & Mad Fred. Soul Kitchen / Golden Oldies Night. Centre Prince Henri (Walferdange) / Jeymore. Am Puff / Remo Cavallini. Ikkuvium (Differdange) / Be Hardcore. Double Deuce / Chook, Kugener & Oé. Rocas Dimanche 15 mai Ez3kiel. Rockhal / Guy Schadeck 5tet. Abbaye de Neumünster Lundi 16 mai Saxon. Atelier / Workshop Flamenco Festival Esch 6. Kulturfabrik Mardi 17 mai Cataclysm Box. Liquid Mercredi 18 mai Yuko. Rockhal / ¡Flamenco! (18/0520/05). Kulturfabrik / After Work Party-Cool Sound. Bâteau Roude Léiw / Journée Internationale Des Musées. Mudam / The Gameboys. Rocas Jeudi 19 mai Funeral For A Friend And The Blackout. Rockhal / Thursday Poker. Kockelscheuer / Big Kids. Soul Kitchen / Bandits. Liquid / Philippe Katherine. Le 112 (Terville) / OutOf-Sync. Mudam / Open Mic Jam Session. Rocas Vendredi 20 mai Vicarious Bliss. Am Puff / TR 35. Kulturfabrik / Darkstar. Exit07 / Steve R.I.O.T.. Soul Kitchen / Sade. Galaxie / Cotton Belly’s. Abbaye De Neumünster / DJ Carlos Ladeira. Am Puff / Ettelbruck Meets Woodstock. Ettelbruck / Save The Animals. Rocas Samedi 21 mai Raphael. Rockhal / Carl Cox. Rockhal / Ser flamenco. Kulturfabrik / Don Simon. Soul Kitchen / Rebel. Aal Seerei (Diekirch) / Soprano. Galaxie / Récital. Abbaye De Neumünster / Spring Break. Perl / DJ Carlos Ladeira. Am Puff / Irish Folk-Fiddler’s Green. Double Deuce / Save The Animals. Rocas Dimanche 22 mai Rooney. Rockhal / Carta Blanca A Las Escuelas De Baile. Kulturfabrik / Fahrgeschäft. Abbaye De Neumünster / Discotisme. Double Deuce Vendredi 27 mai Food For Your Senses (27-29). Tuntange / Sir Oliver. Byblos / Dj Blueprint. Soul Kitchen / Instants De Vie (27/05-12/06). Abbaye De Neumünster / DJ Carlos Ladeira. Am Puff / Vecchi E Brutti. Abbaye De Neumünster / Ebony 5t Autour De Louis Sclavis. Abbaye de Neumünster / Theatre Impro Labo. Rocas Samedi 28 mai An Pierle & White Velvet. Kulturfabrik / Rebel. Biereng / Burning Wheels. Double Deuce / Marché Des Créateurs (28-29). Mudam / Youssoupha + Rebel. Steinsel / Jeymore. Am Puff Dimanche 29 mai John Dell Jazztet. Abbaye De Neumünster Lundi 30 mai Art Freak Workshops (30/05-01/06). Mudam Lundi 23 mai Dj Shadow. Atelier Mardi 31 mai Liquid Jazz House Band. Liquid Mardi 24 mai Lesung : Marget Steckel et Susanne Jaspers. Kulturfabrik / Jean-Marc Robin Trio. Liquid / Raphael. Galaxie Mercredi 1er Juin Festival Saveurs Culturelles Du Monde. Casino 2000 / Oldies Night 70’s-80’s-90’s. Centre Camille Ney (Ell) / Gilles Rod. Mudam Mercredi 25 mai Christophe Maé. Rockhal / The Afro Cuban All Stars. Atelier / Kofi Baker’s Tribute To Cream. Kulturfabrik / Funk / Soul Night avec Dj Blueprint. Soul Kitchen / Raphael. Galaxie / Théâtre – Lesebühne. Rocas Jeudi 2 juin 3 Doors Down. Rockhal / Thursday Poker. Kockelscheuer / De Läb. Soul Kitchen / Liquid Blues House Band Meets Bluesschoul Differdeng. Liquid / Festival Saveurs Culturelles Du Monde. Casino 2000 / Performance Autour De L’œuvre De Mac Adams. Mudam / Special Chez Kito Kat Label. Rocas Jeudi 26 mai Thursday Poker. Kockelscheuer / Jacob Conspiracy. Soul Kitchen / Heavy Petrol & The Greyhound. Liquid / Zucchero. Galaxie / Mudam Akademie 08. Mudam / Open Mic Jam Session. Rocas Dimanche 5 juin Korn. Rockhal Lundi 6 juin Enrique Iglesias. Rockhal / Axis Of. Rocas Mardi 7 juin Luxembourg Conservatory Jazz Combos. Liquid / Théâtre (7-8) Le Dîner De Cons. Rocas Mercredi 8 juin Conférence Design Friends: Joachim Sauter. Mudam / Carte Blanche A Gilles Rod. Mudam Jeudi 9 juin Thursday Poker. Kockelscheuer / Dave White & The Bad Luck Cats. Liquid / Mudam Akademie 09. Mudam / Open Mic Jam Session. Rocas Vendredi 10 juin David Guetta. Rockhal Samedi 11 juin Bloody Beetroots Death Crew 77. Rockhal / Double Deuce Goes Hardstyle. Double Deuce / With Christal & Crack. Rocas Dimanche 12 juin Jam Session. L’Entrepôt (Arlon) Mardi 14 juin Brownies Colors. Liquid / Théâtre (14-15) Le Dîner De Cons. Rocas Mercredi 15 juin Alter Bridge. Atelier / Marky Ramone’s Blitzkrieg. Kulturfabrik / Gilles Rod. Mudam Vendredi 3 juin Screaming Fields 2011. Rockhal / Julian Marley. Kulturfabrik / Festival Saveurs Culturelles Du Monde. Casino 2000 / Julien. Am Puff Samedi 4 juin Inborn. Kulturfabrik / Festival Metal Battle. Le 112 (Terville) / Festival Saveurs Culturelles Du Monde. Casino 2000 / Dj Furax. Double Deuce / DJ Toni J. Am Puff / Everwaiting Serenade. Rocas Découvrez la sélection d’un noctambule notoire avec, pour ce numéro 18, les bons plans de Don Simon, DJ, animateur radio et Directeur Artistique du Soul Kitchen. numéro 18 in web we trust Adada sur mon bidet Peuple du Luxembourg, je vous livre Jérôme, adadadministrateur et fier de l’être. • Jérôme, ne sois pas gêné : ton site, qu’est-ce donc ? Adada.lu, tu connais ? C’est le premier, le seul, donc le meilleur site dédié à l’actualité publicitaire du Luxembourg. Lancé fin avril 2010, il frôle maintenant les 6500 visites par mois. • Étant toi-même du métier, ne frôles-tu jamais le conflit d’intérêts ? Je me contente d’informer, mes lecteurs font le reste. C’est important de rester neutre, alors je veille à ne pas mettre mon agence plus en avant que les autres. • Es-tu déjà tombé sur une exclusivité que tu as gardé pour toi ? Je suis infiltré et tout se sait dans notre petit milieu ! Mon but est de flairer le scoop avant les autres, et parfois c’est le cas. • Allez ! Régale nos lecteurs, balance la sauce ! Le pitch Orange, un des gros budgets pub du pays. J’ai publié les résultats avant l’annonce officielle et les gagnants l’ont appris ainsi. Je sais aussi qui couche avec qui, mais cela n’intéresse personne… Si ? • L’annonce de Kreutz.Grey (http://goo.gl/R4f8v) et d’autres posts donnent lieu à de belles joutes verbales : quelle est ta politique de censure et que penses-tu de l’anonymat ? Le site vit aussi grâce aux commentaires, alors je laisse une grande liberté à ceux qui participent, sous un pseudo ou non. Ils sont intraitables ! Certains ont la critique juste (salut Troismille), d’autres transpirent la haine (hein Castrol). Will Kreutz fait couler beaucoup d’encre sur Adada. J’apprécie qu’il ne se laisse pas démonter et surtout, qu’il ne m’ait jamais demandé de supprimer des commentaires. numéro 18 « Je sais aussi qui couche avec qui. » • Beaucoup de créations se résument à une photo et un slogan, parfois finaud, parfois fadasse : c’est barbant à la longue, n’est-ce pas ? C’est la réalité de la pub au Grand-Duché : parfois de très bonnes choses sortent, mais plus souvent, les campagnes sont insipides. D’où l’intérêt des commentaires : les agences et annonceurs lisant Adada sont sensibles à la critique. Et si cela peut tirer la créa vers le haut, bingo ! • Revenons à ton site. Quelle leçon en tires-tu ? Des projets pour l’avenir ? La vraie leçon, c’est qu’il faut croire en ses idées, car certaines sont bonnes. Quant aux projets, j’en ai 50 par jour qui me font oublier les 50 de la veille. Une chose est sûre : il existe plein d’idées à développer sur la toile et le Luxembourg est un bon laboratoire. • Un message d’espoir à ceux qui hésitent à se lancer sur le « World Wide Web » ? Le Net permet de faire de belles choses sans investir un rond. Lancez-vous, cela ne vous coûtera que du temps. † Régis LUXURIANT ADVERT 210311_Layout 1 21/03/2011 16:23 Page 1 SuperdryStore. 8 boulevard royal 2449 luxembourg superdry.com 2011_03_Annonce Jeunes-Luxuriant18.indd 1 30/03/11 15:41