ortho 22 - Société Algérienne de Nutrition et de Médécine
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ortho 22 - Société Algérienne de Nutrition et de Médécine
ISSN 2170-1539 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICIN الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي Timetti tazairit n’teggoula N’toudjia N’tazerf-taxeclawt SOCIETE ALGERIENNE DE NUTRITION ET DE MEDECINE ORTHOMOLÉCULAIRE www.orthomoleculaire.org CONEM Council for 5ème Anniversaire de la SANMO Nutritional and Environmental Medicine www.conem.org Gert SCHUITEMAKER PhD Pr. Atsuo YANAGISAWA JCIT Mlle Risa YANAGISAWA www.jcit.org www.ie-antioxydants.com Pr. Ron HUNINGHAKE Pr Nina MIKIROVA Pr Thomas Edward LEVY Princesse Dr Therese von Schwarzenberg Dr Roberto ORTIZ Pr George BIRKMAYER www.kousmine.com *Awarded by Institut Antoine BECHAMP* BULLETIN ORTHO 22 orthomoleculaire2@gmail.com www.sanmo.skyblog.com BN 2777-2011 ONDA 048-2015 Steven CARTER www.orthomed.org ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE PHOTOS ORTHO-COURSES C4S6-SANMO 22-23 JANV. 2016 ALGER 2 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 3 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Edito22 “SAMNO is a great success model of orthomolecular medicine ” Dr. Atsuo Yanagisawa 30/09/2013 Atsuo YANAGISAWA Chef de file de la thérapie intraveineuse par la vitamine C au JAPON Président de l’ISOM “We are very happy to forward a great step of orthomolecular medicine together with you. ” 23 Janvier 2015 www.orthomoleculaire.org www.facebook.com/ilyes.baghli orthomoleculaire2@gmail.com www.sanmo.skyblog.com ORTHO 22 Dr. Ilyès BAGHLI Dans ce monde où nous vivons, l’être humain est soumis à un éternel changement. Les choses autour de nous sont en perpétuelle évolution. L’évolution des mentalités, des modes de vie, ne concernent pas uniquement le mode de pensée, mais également le mode d’action. Ainsi le médecin en tant qu’acteur d’une société en pleine mutation socio-économique doit, lui aussi, faire évoluer ses méthodes en matière de gestion optimale de la santé. Aussi grâce à la micro-nutrition et au concept de médecine orthomoléculaire, la médecine allopathique pourra bénéficier d’un allié sûr en matière de traitement et de prévention. Ceci permettra à long terme de répondre à un problème de santé publique essentiellement dominé par le développement sans cesse croissant de malades chroniques. Une alimentation, variée et équilibrée, corrigée de façon spécifique et ciblée par un apport en suppléments alimentaires, telles seront les orientations de la médecine orthomoléculaire. La Société Algérienne de Nutrition et de Médecine Orthomoléculaire se donne aussi pour objectif d’assurer une formation de qualité en nutrition et en médecine moléculaire. Elle s’adressera à tous les praticiens qui désireraient acquérir une compétence dans ce domaine. Cette formation va permettre aux praticiens, une meilleure prise en charge du patient, dans son bien-être et dans sa prise en charge thérapeutique. Ainsi la Nutrition et la Médecine Orthomoléculaire devront être un complément à la Médecine Allopathique. « Ajouter de la vie aux années plutôt que des années à la vie » passe par une prise de conscience collective. La nutrition et l’hygiène de vie générale, constituent des facteurs de protection bien sous-estimés. Respectueusement Dr Ilyes Baghli. Président de la SANMO. www.orthomoleculaire.org Membre de ISOM, www.orthomed.org de JCIT www.jcit.org et du CONEM www.conem.org ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 3 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE SANMO 4 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 5 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Mr President, ladies and gentlemen, I am Professeur Atsuo YANAGISAWA President of the international Society of Orthomolecular Medicine, ISOM. Today January the fourth 2016 is the fifth anniversary enfant algérian Society for Pr. Atsuo YANAGISAWA Nutrition and Orthomolécular Medicine SANMO. I would like to say congratulation for the five years success for the Society. According to the phylosophy of Dr Linus PAULING, orthomolecular medicine is treating, while preventing diseases by providing the body with optimal amounts of nutrition witch are natural to the body: vitamins, minerals and other nutrients are known to be more effective at times in treating illness than medicines. Medicines should not be the first choice for treatment even cancer, expecting in urgent situations. SANMO in 2016 ! It started with a little group of physicians and other health care professionals. At those times, the term orthomolecular was hardly known. SANMO started to promote a professional practice of orthomolecular medicine, educates the public, promote scientific research in the field of orthomolecular medicine and professional interest of other members and associations. …/… ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 5 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Now in 2016, orthomolecular medicine is a high standard and well known amongst algerian public. This acceptance by the public is a great and incredible work. With orthomolecular nutrition, Algerian People can have his style life and be free of illness and the dangerous side effects of modern medicine. Now all of you are excellent leader of orthomolecular medicine in Algeria. As the president of the ISOM, I would like to give a special thanks to Pioneers : Dr ilyes BAGHLI, president ; Dr Tahar NAILI vice president, Dr Ali ASBAI, Dr Larbi DJAKRIR,Dr toufik SAADOUN, Dr CHERIF HAMADOUCHE, Dr Mustapha OUMOUNA, and all the association members. My friends, the new aira of orthomolecular medicine has come, I believe this is the time for orthomolecular medicine to spread widely around the world. Physicians and patients are begun to realise the limitation of the standard therapy and importance of the nutrition therapy. l believe SANMO can changes the people's health and work as a leader in orthomolecular medicine. My friends, we are the orthomolecular family in this beautiful planet and you are the futur of orthomolecular medicine. Congratulations again and thank you very much. 6 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 7 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Traduction du message vidéo du Professeur Atsuo YANAGISAWA : " Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs, je suis le Professeur Atsuo YANAGISAWA, Président de la Société Internationale de Médecine Orthomoléculaire ISOM. Le 4 janvier 2016 sera le cinquième anniversaire de la création de la Société Algérienne de Nutrition et de Médecine Orthomoléculaire SANMO. Je voudrais vous exprimer mes félicitations pour la 5e année de succès pour votre Société. En accord avec la philosophie du Docteur Linus Pauling, la médecine orthomoléculaire est basée sur le traitement, la prévention des maladies en fournissant au corps des quantités optimales en nutriments qui sont naturels pour le corps et ce sont les vitamines, les minéraux, ainsi que d'autres nutriments. Les médicaments ne devraient pas être le premier choix pour le traitement des cancers en dehors des situations urgentes. La SANMO de 2016 a commencé avec un petit groupe de médecins et d'autres professionnels de la santé. Jusque-là le mot orthomoléculaire était pratiquement inconnu. La SANMO avait commencé à promouvoir la pratique ortho-moléculaire par la formation scientifique, l'éducation du public, la promotion de la recherche dans ce domaine et son développement auprès d'autres professionnels et associations. Maintenant en 2016, la médecine ortho-moléculaire en Algérie est un modèle standard et de haut niveau et assez bien connue par le public algérien. Cette acceptation par le public algérien est le fruit d'un grand et incroyable travail. Avec la nutrition ortho-moléculaire, le peuple algérien peut avoir son propre modèle de style de vie et peut-être à l'abri des effets indésirables et dangereux des médicaments modernes. Maintenant chacun de vous est un modèle d'excellence en médecine orthomoléculaire en Algérie. En tant que Président de l'ISOM, je voudrais remercier tout spécialement les pionniers de la SANMO : Docteur Ilyes BAGHLI le président, Docteur Tahar NAILI vice-président, Docteur Ali ASBAI, Docteur Larbi DJAKRIR, Docteur Toufik SAADOUN, Docteur Cherif HAMADOUCHE, Docteur Mustapha OUMOUNA et tous les autres membres de l'Association. Mes amis, la nouvelle ère de la médecine orthomoléculaire est venue. Aussi il est temps que la médecine orthomoléculaire puisse se répandre largement à travers le monde. Les médecins ainsi que les patients commencent à réaliser la limite des thérapies standards et l'importance de la thérapie nutritionnelle. Je crois que la SANMO peut changer la santé des gens en travaillant en tant que leader de la médecine ortho-moléculaire. Mes amis, nous sommes la famille de la médecine ortho-moléculaire sur cette jolie planète et vous êtes le futur de la médecine moléculaire. Félicitations encore une fois et merci beaucoup." ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 7 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Video letter from Risa Yanagisawa, Director Manager of JCIT to SANMO members at the fifth anniversary of the SANMO, january 4, 2016 https://www.facebook.com/ilyes.baghli/videos/10205516366610392/?theater Bonjour je m'appelle Risa YANAGISAWA. Message vidéo de Mlle Risa YANAGISAWA, Directrice Manager de la JCIT aux membres de la SANMO à l'occasion du 5' anniversaire de la SANMO, le 04 janvier 2016. Bonjour je m'appelle Risa YANAGISAWA je suis la directrice du Collège Japonais de Thérapie Intraveineuse . Félicitations pour le cinquième anniversaire je sais qu'il y a eu beaucoup de changements dans le futur de la médecine dans le monde, au Japon et je crois qu'il y a aussi beaucoup de progrès en Algérie. Aussi je suis très excitée d'entendre ce qui est en train de se réaliser durant ces 5 dernières années et je suis aussi très enchantée de parler de ce nous avons réalisé durant les dernières 8 années avec le Collège de Thérapie Intraveineuse au Japon. Cela fait déjà 3 années depuis que nous avons scellé une amitié avec le Dr. BAGHLI et la SANMO. Je sais que vous êtes très loin sur la carte mais vous êtes très proches de nos coeurs et nous croyons à la bonne médecine. Aussi je suis très excitée à l'idée de pouvoir vous rencontrer dans quelques semaines. Alors Bonne Année et Meilleurs voeux pour votre cinquième anniversaire. Merci. Au Revoir. 8 I am the Manager Director of Japanese College of Intravenous Therapy. Congratulations on the fifth anniversary.I know there has been a lot of change in the future medicine, in the world. ln Japan and I believe there have been a lot of progress in Algeria as well so I am very excited to hear what you have achieved in the past five years and l am also delighted to talk about what we have achieved in Japan in past 8 years with the Japanese College of Intravenous Therapy. So it has been 3 years since our friendship with Dr BAGHLI and SANMO has started. I know you are very far on the map but now you are very closed to our hearts, that what we believe witch is the good medicine.so I am very excited looking forward t see you in a few weeks . Happy New year and best wishes for your fifth anniversary. Thank you Bye. الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 9 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Video letter from Pr Nina MIKIROVA, Director of Research laboratory of Riordan Clinic to SANMO members at the fifth anniversary of the SANMO, january 4, 2016. My name is Nina MIKIROVA and I am the director of research in the Riordan Clininic. I was lucky to visit Algeria in 2015 and make a presentation .it was a great pride to see what orthomolecular medicine of Algeria achieves for all these years.It was more than possible. The hard work or the President of the society Docteur BAGHLI, the vice-president docteur Naili distinguished members of society and all members of the Algerian society made this success possible.It was demonstrated by recognition of SANMO. Speakers from all over the world came to present in the seminar from Japan, Europe, and Message vidéo du Pr Nina MIKIROVA, Directrice au laboratoire de recherche de la Clinique Riordan aux membres de la SANMO à l'occasion du 5' anniversaire de la SANMO, le 04 janvier 2016. America. The Society published 2 Books and journals witch summaries all news, publications and knowledge about nutritional and orthomolecular medicine. In addition, SANMO trained more than thousand doctors and spread a knowledge of nutritional medicine in public. Congratulations for the Society,for the remarkable job and effectiveness and commitment to spread knowledge of orthomolecular medicine in all over the world. Thank you. https://www.facebook.com/ilyes.baghli/videos/10205519226081877/?theater Video letter from Pr Thomas Edward LEVY from Colorado in USA to SANMO members at the fifth anniversary of the SANMO, january 4, 2016. ORTHO 22 Mhttps://www.youtube.com/watch?v=IcyPQs1jdRw Good morning This is Docteur Thomas Edward LEVY in the United States I am here in Denver, Colorado I just want to wish all the members of SANMO a great holiday season and best wishes for a very prosperous and wonderful New year coming up here in 2016. SANMO under the leadership Dr ilyes BAGHLI is coming long extremely well and helping promote the message of orthomolecular medicine. As Dr Linus PAULING puted out many years ago and with the work of SANMO, Algiers and Algeria is definitely lead away in the world for other practitioners looking for another way to help their patients to promote orthomolecular medicine and help the whole world to be healthy. So thank you for everything you have done SANMO, please continue to do it and have a wonderful and prosperous New year. ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 9 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Thank you I would like , on behalf of the director office of the SANMO and all its members, to send very warm thanks to all those who have expressed their wishes and bring their support on the occasion of the fifth anniversary of the SANMO. As we recieved wishes from many part of the world we also wish all the people of our beloved planet a very good health and a happy New year. Dr. Tahar NAILI Message vidéo de son Altesse la Princesse d'Autriche, de Slovaquie et de Hongrie, Dr Therese von Schwarzenberg aux membres de la SANMO à l'occasion du 5' anniversaire de la SANMO, le 04 janvier 2016. 01 https://www.facebook.com/ilyes.baghli/videos/10205539714354071/?theater Mon cher Monsieur Baghli, je vous souhaite une très bonne nouvelle année avec beaucoup de succès pour votre grande tâche que vous avez commencé avec la SANMO et j'espère vous revoir en Algérie et je vous souhaite une très bonne nouvelle année . merci Bonne soirée. الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 11 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Pr. Ron HUNINGHAKE https://www.facebook.com/ilyes.baghli/videos/10205529814346577/?theater Hello, I’m Dr. Ron Hunninghake, Chief Medical Officer at the Riordan Clinic. I got this beautiful book that Dr. Brahimi brought that I unfortunately didn’t get to meet her and I have not yet made it to Algiers. But one of my goals is to visit what I consider one to of the most creative ortho molecular medical groups in the world in Algiers. I’m very impressed with all the medical work you’ve done. As a very interested person in the use of IV vitamin C for all chronic illness, especially in cancer care, I think we need more enthusiasm, we need more involvement around the world. At this point Algiers, I believe, is one of the leaders in the use of high dose vitamin C in the care of cancer patients. And I would like to thank all the doctors there and for all their enthusiasm and it will be my goal to come visit you one day and to work with you in this very important quest to make IV vitamin C known to all peoples of the earth and for the power and the effectiveness it has in the cure of individuals with chronic illness and for the achievement o more optimal health. So wishing you the very best in 2016 and congratulations on your anniversary. Thank you. ORTHO 22 Salut, je suis le docteur Run Hunninghake, je suis le médecin chef ici à la clinique Riordan et je tiens un joli livre que docteur Brahimim'a offert et que je n'ai eu malheureusement pas l'occasion de rencontrer ici en espérant le faire à Alger. Mon objectif est de visiter en Algerie ce que je considère comme le plus créatif des groupes en médecine orthomoléculaire dans le monde . je suis très impressionné par tout le travail que vous avez réalisé dans la prévention du cancer. Nous avons besoin de plus d'enthousiasme, de plus d'engagement à travers le monde. Et sur ce point je pense que les Algériens sont des leaders dans l'utilisation de fortes doses de vitamine C pour le soin des patients atteints de cancer. Je voudrais aussi remercier tous les médecins pour leur enthousiasme et ce sera mon objectif de venir vous visiter un jour et de travailler avec vous dans cet important espace pour faire connaître la vitamine C intraveineuse à tout le monde pour sa puissance et l'efficacité qu'elle présente dans la prévention des maladies chroniques et pour la réalisation d'une santé optimale. Je vous souhaite une bonne année et félicitations pour votre anniversaire . merci ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 00 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Video message letter from Mr Steven CARTER from Toronto in Canada, General Secretary to the members of the SANMO at the 5 anniversary of the SANMO, January 4, 2016. Message vidéo de Mr Steven CARTER de Toronto au Canada, secrétaire général de l'ISOM aux membres de la SANMO à l'occasion du 5' anniversaire de la SANMO, le 04 janvier 2016. My name is Steven CARTER, founding director of the International Society for Orthomolecular Medicine Toronto, Canada. On behalf of ISOM, I wish to congratulate you on the fiveyear anniversary of SANMO. With this achievement you have been strong advocates of Orthomolecular Medicine in Algeria and have trained many doctors in the science and clinical experience of Orthomolecular Medicine. ISOM was founded in 1994 to bring together existing Orthomolecular societies; to establish communication, both online and through the Journal of Orthomolecular Medicine; and to provide support for Orthomolecular education programs and advocacy. Today, we have grown to 23 societies world wide, representing over 30,000 doctors and other health care professionals. We look forward to welcoming you to the 45th Orthomolecular Medicine Today Conference in Vancouver, April 29 – May 1. For information please visit www.CSOM.ca/OMT. I hope some of you can join us. Greetings Mr. President and members of the Algerian Society for Nutrition and Orthomolecular Medicine – The Algerian Society for Nutrition and Orthomolecular Medicine has demonstrated great leadership and commitment, and your success serves the health and wellbeing of Algerians. Once again, hearty congratulations and best wishes on your 5th Anniversary. Have a wonderful celebration! https://www.facebook.com/ilyes.baghli/videos/10205544876403119/?theater 02 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 13 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Gert Schuitemaker PhD Director Ortho Institute, Netherlands Past-president International Society for Orthomolecular Medicine (ISOM) Orthomolecular Doctor of the Year Award 2005 I congratulate you and your colleagues of SANMO with the activities and good work you did the last five years. Founder and Honorary President of the Dutch Society for the Advancement of Orthomolecular Medicine (MBOG) Have a good celebration!! Gert I really admire the way you are promoting and educating orthomolecular medicine in Algeria. Met vriendelijke groet, kind regards, It is quite exceptional in the world. Website: www.ortho.nl Dr. Gert E. Schuitemaker Ortho Institute Postbus 82, 7080 AB Gendringen Telefoon: 0315-695211 Fax: 0315-695215 www.twitter.com/FitMetVoeding E-mail: ortho@ortho.nl www.facebook.com/FitMetVoeding www.twitter.com/orthomagazine https://www.facebook.com/photo.php?fbid=10205545946429869&set=a.1164324150123.2025578.1288455282&type=3&theater Bonjour chers collègues la SANMO est une organisation médicale de niveau International. La SANMO organise plusieurs fois par an des séminaires pour les médecins et les scientifiques internationaux dans leur conférences. Aussi j'ai à plusieurs fois été invité à parler à ces séminaires. Entre autres je fus nommé au comité scientifique de la SANMO, ce qui m'a très honoré. Je souhaiterais que la SANMO et son président le docteur Ilyes BAGHLI continuent dans leurs succès pour les années à venir. Merci ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ Message vidéo du Pr George BIRKMAYER de Vienne en Autriche aux membres de la SANMO à l'occasion du 5' anniversaire de la SANMO, le 04 janvier 2016. Video message letter from Pr George BIRKMAYER from Vienna in Austria to the members of the SANMO at the 5 anniversary of the SANMO, January 4, 2016. www.orthomoleculaire.org 03 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Dear Dr. BAGHLI I've just sent you a video message from the Mexican Association of Orthomolecular Nutrition (AMNO) I hope you like it, and also hope you have a happy celebration! Dr Roberto ORTIZ. Dr Roberto ORTIZ AMNO - Mexico https://www.facebook.com/ilyes.baghli/videos/1020554786503783 3/?thea Mes salutations au docteur Baghli président de la SANMO. Je m'appelle Roberto Ortiz je suis le président de l'association mexicaine de nutrition orthomoléculaire. I also would like to greet doctor Naili I have the pleasure to meet you in Vancouver a couple of years ago. Congratulations to all members of SANMO in this occasion that you celebrate your fifth anniversary. I have knowledge your talents efforts and the success your have achieved in the recent years; I strongly believe that you play a key-role in the population of Algeria as well in spreading the knowledge of orthomolecular medicine in all Africa. I wish you success in the years to come and I am sure you will keep working hard. I also think that our association in Mexico and SANMO could work together with academic projects in the near futur. Congratulations and have a great celebration. 04 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي Mes salutations au docteur Baghli président de la SANMO. Je m'appelle Roberto Ortiz, je suis le président de l'association mexicaine de médecine orthomoléculaire. Je voudrais aussi remercier docteur Naili, que j'ai eu le plaisir de rencontrer à Vancouver il y a de cela quelques années. Mes félicitations à tous les membres de la SANMO à l'occasion de la célébration de votre 5e anniversaire de sa création. Je suis au courant du succès que vous avez obtenu durant ces précédentes années. Je crois profondément que vous êtes en train de jouer un rôle clé dans le domaine de la santé de la population en Algérie et aussi la diffusion de la médecine orthomoléculaire dans toute l'Afrique. Je vous souhaite du succès dans les prochaines années et je suis sûr que vous allez continuer à travailler durement dans ce sens. Je pense aussi que notre association à Mexico pourrait travailler ensemble avec la SANMO autour avec des priorités académiques dans le futur . Mes félicitations www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 15 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Célébration du 5' anniversaire de la SANMO avec le lauréat du Prix Guerouabi de chant Chaabi, Mr Tarik Ayad de Bejaia et son orchestre ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 05 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Liste des participants aux activités de la SANMO en 2015 ! "Membres du bureau, conférenciers, adhérents, invités, sponsors, artiste et journalistes" .- Altesse Therese von SCHWARZENBERG* .- Abdeldjalil MERAZKA* .- Abdelhafid SEMSAR* .- Abdelahamid AIT SAADI* .- Abdelhamid BENCHARIF* .- Abdelkrim BELKHOUCHE* .- Abdelkrim DJERRAD* .- Abdelkrim TAFAT BOUZID* .- Abdellah DIB* .- Abdellah KESSI* .- Abdeslam CHERIFI* .- Abla Amina KERZABI* .- Ahmed GHOUINI* .- Aicha DAHMANI* .- Aicha TAYAR* .- Akila LAIB* .- Ali ASBAI* .- Allam ZERRAGHI* .- Amar RAKEM* .- Amel BOUREZAK* .- Amel KANANE* .- Amel KORRICHI* .- Amina AISSANI* .- Amina BENAOUDA* .- Amina BENZAMOUCHE* .- Amina HAKEM .- Amina KOUITEN* .- Amina LAGGOUN* .- Amira BELARBI* .- Amira BENARBIA* .- Assia EZZIANE* .- Assia GHEMATI* .- Atika EDDAIKRA* .- Atsuo YANAGISAWA* .- Bachir BABA AHMED* 06 .- Bahya MOULOUDI* .- Baya KEBIR* .- Belkacem CHAFI* .- Bochra LEMITA* .- Brahim SADAOUI* .- Chafika MEHDID* .- Cherif GASMI* .- Cherif HAMADOUCHE* .- Christine BOUGUET* .- Cylia LATEB* .- Dahbia SOUCI* .- Dihia HADDAD* .- Dina MOUFFOK* .- Djahida ZEMMORI* .- Djamel OULDSADSAOUD* .- Djamila Leila BENAZZA* .- Djamila DEFFAIRI* .- Douaâ BOUHADJA* .- Dounia KHOUALDIA* .- Fadhila LEBBIHI* .- Faiza DJEMAA* .- Faiza ZOBIRI* .- Farid OUZEROUROU* .- Farida MECHID* .- Fatiha CHEGHNANE* .- Fatiha KHERFELLAH* .- Fatima BERBER* .- Fatima DJEDAA* .- Fatima Zohra BOUNASRI* .- Fatima Zohra HABES* .- Fatima Zohra KASSOUL* .- Fatma El Horia BOUTARENE * .- Fatma Zohra BOUCHAREB* .- Fatma Zohra CHERMAT* .- Fatma DJAHIDA* .- Ferhat MISSOUM* .- Feryel BENTAYEB* الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي .- Fiziya MELZI* .- George BIRKMAYER* .- Ghania AIT AMARA* .- Ghania BADAOUI* .- Ghania BENASLA* .- Ghania REZKALLAH* .- Hafida BOUZIDANI* .- Hafida MERZOUK* .- Hafida ZOUBIR* .- Hakima AIT HAMMI* .- Hakima SAADI* .- Hakima SID OTMANE* .- Halima MERABAI* .- Hamza Amanoullah MEKRI* .- Hanifa BRAHIMI* .- Hassina ABDELATIF* .- Hayatte RERBAL * .- Hayet Nadia ZITOUN* .- Henri JOYEUX* .- Hocine AROUA* .- Hocine BOUTEBBA* .- Houria OUKID* .- Houria SEGHIR* .- Ilyes BAGHLI* .- Imene AYATA* .- Imene KIDRI* .- Isabel WEICKEN* .- Jean Marc ROBIN* .- Kahina OUDJEDI* .- Kamal LAICHAOUI* .- Karima BENHAGOUGA* .- Karima GRAINE* .- Karima LESLOUS* .- Karima SID OTMANE* .- Katarina KOSTUROVA* .- Kebel ZEMOULI* .- Kenza GHERBI* .- Khadidja AISSANI* .- Khadidja AIT BELKACEM* .- Khadidja TOUAFRI* .- Khira ATBI* .- Khira MATAOUI* .- Khoudjia HAMDACHE* .- Khouloud KASSAR* .- Kouider BENHAOUIDGA* .- Lamia BOUGUEROUA* .- Lazhari TOUNSI* .- Leila KHEMANE* .- Leila LARBI* .- Leila MOUZALI* .- Leila SAADI* .- Lila SAIDI* .- Linda BENMESBAH* .- Lotfi BENMANSOUR* ;- Lotfi RAHAL* .- Louisa LOUCIF* .- Louiza AISSOU* .- Louiza CHAID* .- Lynda KACI* .- Mabrouk BENMAAMRI* .- Mahdjouba FELLAGUE* .- Mahmoud AROUA* .- Mahmoud TALEB* .- Mahrez RABIA* .- Malika AMROUCHE* .- Malika DEROUAZI* .- Malika MATAOUI* .- Marion KAPLAN* .- Mehdi KOREICHI* .- Meriem ABOUTALEB* .- Meriem BENHAMADI* .- Meriem DJEDDOU* www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 17 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE .- Meriem FADLI* .- Meriem SAKER* .- Mohamed BILLAMI* .- Mohamed KOUDIL* .- Mohamed MAKRI* .- Mohamed MOKHTARI* .- Naima KENNAB* .- Naima MELIK* .- Naima OUAIL* .- Nassima ABDERRAHIM* .- Nassima BOUSSIOUD* .- Mohamed MOULAY ARIBI* .- Nesrine DOUFFI* .- Nesrine SEDJELMACI* .- Mohamed TAYEB* .- Nesrine Zineb BEKKARA* .- Mohamed El Hadi SENINET* .- Mohamed Lamine YAKOUBI* .- Mohamed Salim BILEM* .- Mohamed Smail AISSANI* .- Monaam KRAIEM* .- Monique BEJAT* .- Nina MIKIROVA* .- Nora IOUALALEN* .- Noura MESSEGUEM* .- Noureddine DRID* .- Nour El Houda BOUZEGAOU* .- Mouloud BOUHADJER* .- Mouna TALEB* .- Mustapha OUMOUNA* .- Nabila DJABAILI* .- Nabila LADDI* .- Nabila MERABET* .- Nabila OUMEDJKANE* .- Nacima CHILA* .- Nachida GUELLATI* .- Nadia GAGI* .- Nadia GUESSAIBIA* .- Nadia KLOUCH* .- Nadia ZIKARA* .- Ouissem NOUIOUA* .- Oum El Kheir MISSIRENE* .- Ourida AIT ALI* .- Radia GUELLATI* .- Razika MOSTEFAOUI* .- Redouane MAHMOUDI* .- Rima KARKAR* .- Sabah SALHI* .- Sabiha KESKAS* .- Sabrina LANASRI* .- Sabrina RAHMANI* .- Saida ADADAINE* .- Saida BOUZEKRINI* .- Saliha BOUIBA* .- Saliha MOULOUDI* .- Salima BELOUZ* .- Salima Aicha EL MANSALI* .- Salma AZZI* .- Samia BOUSBIA* .- Samia LOUNIS* .- Samia MOUSSOUS* .- Siham ANNOUN* .- Sihem BELLAL* .- Slimane ADDAR* .- Sofiane TAKHRIST* .- Sonia BOUZAGHTU* .- Soraya DERRAIS* .- Soraya GHARSEDINE* .- Souad BENCHIHEUB* .- Souad GHEMARI* .- Souad GOUAL* .- Souad HAMADI* .- Souad MAACHOU* .- Souad MEJDOUB* .- Souheila SILINI* .- Souhila KADIM* .- Soumia AZLI* .- Tayeb BOUAROUDJ* .- Tahar NAILI* .- Tarik ZENTAR* .- Taoufik ABDELATIF* .- Toufik HENTABLI* .- Toufik SAADOUN * .- Wafa HIDOUSSI* .- Wahiba GUERAINI* .- Warda YAHI* .- Widad Fatima SAIDJ* .- Wassila Esma ILES* .- Yamina LAOUEDJ* .- Yamina OUDJET* .- Yanis OUABDESSELAM* .- Yasmina KENNICHE * .- Yassia BATOUCHE* .- Yousra BOUDRIES* .- Zahra BOUOUDINE* .- Zakia ARRADA* .- Zakia BOUHADJA* .- Zakia Zahira KAZI TANI* .- Ziloukha MERMOUL* .- Zohour BOUDJENAH* .- Zohra BENBOUAICHA* .- Zohra SIDENNAS* .- Zohor BOUDJENAH* .- Zoubida TOUIMER* La SANMO est une société savante à caractère non lucratif. La formation médicale continue et le perfectionnement en nutrition et en médecine orthomoléculaire et la prise en charge efficace thérapeutique et préventive du patient est l'objectif initial. ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 07 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Linus PAULING الوهم نصف الداء واالطمئنان نصف الدواء والصبر بداية الشفاء ابن سينا La Médecine Orthomoléculaire est la préservation de la santé et le traitement de toutes les maladies, par la modification de la concentration des substances, qui sont normalement présentes dans l'organisme et qui sont nécessaires pour la santé. ِاعةِيَ ْنز ُل ِّ ِهذه َ ََحقُِّصن َ َِالصن َ إِ َّن َ اع َةِأ ِ.ن َِ ِماِأ َْم َك َ ِالج ْزئيَّة ُ ف َيهاِإلَىِاأل ُُمور ابن رشد AVERROES 2291-2221 م/ هـ090-025 AVICENNE 7307-043م/هـ824-073 Abram HOFFER, M.D., Ph.D. ISOM Founding President (1917-2009) "Orthomolecular treatment does not lend itself to rapid drug-like control of symptoms, but patients get well to a degree not seen by tranquilizer therapists who believe orthomolecular therapists are prone to exaggeration. Those who've seen the results are astonished." 08 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Récépissé d’enregistrement N°15/DGLPA/DVA/SDA/10 du 04/01/2011 de Déclaration de Création d’une Association Nationale dénommée: ّ الجمعية الجزائرية للت ّغذي والطّ ّب الجزيئي ' Société Algérienne de Nutrition et de Médecine Orthomoléculaire' du 13/10/ 2010 وصلِاستالمِالتبليغِبالمطابقةِالقانونية ِالمتعلقِبالجمعيات60-21معِالقانون ِ60ِ-21منِالقانونِرقم06طبقاِألحكامِالمادة ّ ِ1621ِِيناير21ِِالموافق2311ِِصفر21ِالمؤرخِفي ِ1623ِِأكتوبر61ِتمِهذاِاليوم ّ ِ،المتعلقِبالجمعيات ِ1623ِ-62-22ِاستالمِمذكرةِالمطابقةِالقانونيةِالمؤرخةِفي ِوالتيِأدخلتِعلىِالقانونِاألساسيِللجمعيةِالوطنية ِ-ّبِالجزيئي ّ الجمعيةِالجزائريةِللتغذيِوالط-المسماة ِ1626ِِأكتوبر21ِِبتاريخ21ِالمسجلةِتحتِرقم الجزائر-القبة-ِشارعِاإلخوةِكنوش0ِ والمقيمةِب Ojectifs principaux. - Recherche.- Formation médicale continue.- Information et sensibilisation.- Participation à des activités de prévention. Objectifs secondaires. - Formation post-universitaire pour tout médecin. - Promouvoir le bien-être physique et mental des patients. - Amélioration de l'état de santé des patients présentant des carences en vitamines, micro-nutriments et oligo-éléments, - Amélioration de la performance sportive. Dépôt légal : ISSN 2170-1539 BN 2777-2011 Tous droits réservés par Société Algérienne de Nutrition et de Médecine Orthomoléculaire Pour toute correspondance avec la Société Algérienne de Nutrition et de Médecine Orthomoléculaire C1S2-S3 27-28Oct. 2011 26-27-28Avril 2012 C1S4 01-02Juin 2012 C1S5 12-13 Oct. 2012 LA SOCIETE ALGERIENNE DE NUTRITION ET DE MEDECINE ORTHOMOLECULAIRE C1S6 DES CYCLES DE FORMATION CONTINUE C2S1 C2S2 22-23 Mars 2013 C2S3 28-29 Juin 2013 C2S4 20-21 Sept. 2013 C2S5 25-26 Oct. 2013 Chaque CYCLE de formation se déroulera sous forme de séminaires repartis sur 06 modules et totalisant un volume horaire de 96 heures Pour avoir la certification SANMO-ISOM, il faudra participer à six séminaires de formation en nutrition et en médecine orthomoléculaire organisés par la SANMO et publié un article sur le bulletin Ortho avec biographie multiple, un résumé en français, arabe, anglais, allemand et tamazight et un lexique de dix mots clefs à partir de l'article à traduire en arabe, anglais, allemand et tamazight. Au delà du sixième séminaire, le participant est considéré en phase de perfectionnement en nutrition et en médecine orthomoléculaire. A chaque séminaire le participant obtient une attestation de participation au séminaire quosignée par tous les conférenciers et par moimême. La certification SANMO-ISOM est quosignée par le Pr Atsuo Yanagisawa, Président de l'ISOM: Société Internationale de Médecine Orthomoléculaire et par moi-même en ma qualité de Président de la SANMO et de membre de l'ISOM.. L'espace SANMO, c'est pour la vie, c'est pas juste une formation, c'est aussi un perfection nement continu et surtout un espace d’échanges et de rencontres pédagogique et scientifique national et international. Respectueusement. Dr Ilyes Baghli. Président de la SANMO. COPIE DU DIPLOME - COPIE D’UNE PIECE D'IDENTITE - PHOTO D'IDENTITE A ADRESSER PAR MAIL : orthomoleculaire2@gmail.com www.orthomoleculaire.org ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ 25-26 Janv. 2013 CYCLE II ORGANISE DOSSIER D'INSCRIPTION : ORTHO 22 C1S1 www.orthomoleculaire.skyblog.com MEDECIN / BIOLOGISTE / MICROBIOLOGISTE / PHARMACIEN / AGRONOME / VETERINAIRE / BIOCHIMISTE/ CHIMISTE/ DENTISTE / DIETETICIEN. SOCIETE ALGERIENNE DE NUTRITION ET DE MEDECINE ORTHOMOLÉCULAIRE 7 Rue des Frères Khanouche – Kouba- ALGER ALGERIE CYCLE I www.orthomoleculaire.org www.youtube.com/SanmoTV www.sanmo.skyblog.com CONDITION D'INSCRIPTION: ETRE DKnews du 14/12/2014 p.19 2522/22/50 إشهار ديكانيوز FORMATION ET PERFECTIONNEMENT EN NUTRITION ET EN MEDECINE ORTHOMOLEUCLAIRE Il est possible de s'inscrire directement au prochain séminaire, car il s'agit d'un cycle de formation médicale continue. C2S6 24-25 Mai 2013 24-25 Janv. 2014 CYCLE III C3S1 C3S2 C3S3 C3S4 C3S5 C3S6 28-29 Mars 2014 30-31 Mai 2014 10-11 Oct. 2014 21-22 Nov. 2014 26-27 Déc. 2014 23-24 Janv. 2015 CYCLE IV C4S1 13-14 Mars 2015 C4S2 14-15 Mai 2015 C4S3 11-12 Sept. 2015 C4S4 23-24 Oct.. 2015 C4S5 27-28 Nov.. 2015 C4S6 22-23 Janv. 2016 CYCLE V C5S1 C5S2 C5S3 C5S4 C5S5 C5S6 25 - 26 Mars 2016 27 - 28 Mai 2016 29 - 30 Juil. 2016 30 Sept.-1 Oct. 2016 25 - 26 Nov. . 2016 27 - 28 Janv. 2017 CYCLE VI C6S1 C6S2 C6S3 C6S4 C6S5 C6S6 24 - 25 Mars 2017 26 - 27 Mai 2017 28 - 29 Juil. 2017 29 - 30 Sept. 2017 24 - 25 Nov. . 2017 26 - 27 Janv. 2018 www.orthomoleculaire.org 09 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Bilan moral de la SANMO, le26/12/2015. La SANMO est une société savante à caractère non lucrative qui est encadrée par des médecins bénévoles constituants les membres du bureau et avance grâce à la confiance et à la cotisation de ses membres qui sont des vrais militants pour une médecine d'aujourd'hui avant demain basée sur la nutrition et la médecine orthomoléculaire en organisant des séminaires de formation et de perfectionnement en nutrition et en médecine orthomoléculaire basée sur des cycles de six séminaires innovatifs, évolutifs et non répétitifs. La SANMO fonctionne sur la base du cercle de Vienne d'antan pour faire fédérer les médecins, les pharmaciens, les dentistes, les vétérinaires, les biologistes, les biochimistes, les agronomes, les psychologues, les kinésithérapeutes, les ingénieurs du sport et les naturopathes au service du patient et au service d'une approche globale de la prise en charge des patients sur la base d'une médecine pour chaque patient. Je vous souhaite la bienvenue au prochain séminaire de la SANMO du 22 au 23 janvier 2016 à l'EGTC El Hamma à Alger. Le 4 janvier la SANMO va célébrer son 5' anniversaire avec à son actif: - L'organisation de 23 séminaires. - La participation de 18 conférenciers internationaux. - La participation de 13 conférenciers nationaux. - Le 24' séminaire est prévu les 22-23 janv. 2016 à Alger. - La publication de 20 bulletins Ortho. - Le bulletin Ortho21 est en cours d'édition et sera publié le 22 janvier 2016. - L'édition de deux livres OrthoDZ. - Le livre OrthoDZ3 prêt à l'édition. - La participation à 12 directs télévisés sur Canal Algérie. - La participation à une émission radio en direct sur Alger Chaine 3. - La formation finalisée avec remise de la certification SANMO-ISOM à 72 Ortho-DZ: médecins, pharmaciens, dentistes, biologistes, biochimistes et agronomes. 21 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي - La formation en cours d'une centaine membres de la SANMO. - La mise au point du protocole 1 de la SANMO dans le traitement des maladies chroniques dégénératives et auto-immunes qui a été présenté à Tokyo en mars 2014 et à Vienne en octobre 2014. - L'octroi de l'Awards Antoine Bechamps au conseil scientifique de la SANMO. - La participation du Dr Tahar Naili vice-Président de la SANMO aux congrès de l'ISOM à Vancouver au Canada en avril 2012 et 2014. - La nomination à la direction de la CONEM: Conseil international de Nutrition et de Médecine Environnementale dont le siège est en Norvège. - La nomination à vie en qualité de membre du collège japonnais de thérapie intra-veineuse. Liste de conférenciers internationaux ayant participé aux séminaires de la SANMO à Alger: - Japon: * Pr Atsuo Yanagisawa: séminaire C3S6 du 23 au 24 janvier 2015, séminaire C2S6 du 24 au 25 janvier 2014 et séminaire C1S6 du 25 au 26 janvier 2013. - Autriche: * Son Altesse la Princesse Dr Therese von Schwarzenberg: séminaire C4S2 du 14 au 15 mai 2015. * Pr George Birkmayer: séminaire C4S2 du 14 au 15 mai 2015, séminaire C3S1 du 28 au 29 mars 2014, séminaire C3S1 du 22 au 23 mars 2013 et séminaire C1S5 du 12 au 13 octobre 2012. * Dr Heidi Thomasberger: séminaire C3S4 du 21 au 22 novembre 2014, séminaire C2S5 du 25 au 26 octobre 2013, séminaire C1S6 du 25 au 26 janvier 2013, séminaire C1S5 du 12 au 13 octobre 2012, séminaire C1S4 du 01 au 02 juin 2012 et séminaires C1S1 du 27 au 28 octobre 2011. * Dr Sabine Wied: séminaires C1S2S3 du 26 au 28 avril 2012. * Dr Monika Fuchs: séminaires C1S2S3 du 26 au 28 avril 2012. * Dr Florian Goetzinger: traduction au séminaire C1S1 du 27 au 28 octobre 2011 et aux séminaires C1S2S3 du 26 au 28 avril 2012. - USA: * Pr Thomas Levy: séminaire C2S6 du 24 au 25 janvier 2014 et séminaire C2S4 du 20 au 21 septembre 2013. - Russie: * Pr Nina Mikirova: séminaire C4S3 du 11 au 12 septembre 2015. www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE - Espagne: * Pr Gilbert Henri Crussol: séminaire C2S6 du 24 au 25 janvier 2014 et séminaire C2S5 du 25 au 26 octobre 2013. - France: * Pr Henri Joyeux: séminaire C4S5 du 27 au 28 novembre 2015. * Mme Christine Bouguet Joyeux: séminaire C4S5 du 27 au 28 novembre 2015. * Dr Monique Bejat: séminaire C4S4 du 23 au 24 octobre 2015. * Mme Marion Kaplan: séminaire C4S1 du 13 au 14 mars 2015. * Pr Smail Meziani: séminaire C3S2 du 30 au 31 mai 2014, séminaire C2S6 du 24 au 25 janvier 2014 et séminaire C2S5 du 25 au 26 octobre 2013. * Pr Michel Narce: séminaire C2S2 du 24 au 25 mai 2013. * Pr Patrick Curmi: séminaire C2S1 du 22 au 23 mars 2015. * Pr Mustapha Daidj: séminaire C1S6 du 25 au 26 janvier 2013. Liste des conférenciers nationaux ayant participé au séminaires de la SANMO à Alger: - Pr Mustapha Oumouna: séminaire C4S5 du 27 au 28 novembre 2015, séminaire C4S4 du 23 au 24 octobre 2015, séminaire C4S3 du 11 au 12 septembre 2015, séminaire C4S2 du 14 au 15 mai 2015, séminaire C4S1 du 13 au 14 mars 2015, C3S6 du 23 au 24 janvier 2015, séminaire C3S4 du 21 au 22 novembre 2014, séminaire C3S3 du 10 au 11 octobre 2014, séminaire C3S2 du 30 au 31 mai 2014, séminaire C3S1 du 28 au 29 mars 2014, séminaire C2S6 du 24 au 25 janvier 2014, séminaire C2S5 du 25 au 26 octobre 2014, séminaire C2S4 du 20 au 21 septembre 2014, séminaire C2S3 du 28 au 29 juin 2013, séminaire C2S2 du 24 au 25 mai 2013, séminaire C1S6 du 25 au 26 janvier 2013, séminaire C1S5 du 12 u 13 octobre 2012 et séminaire C1S4 du 01 au 02 juin 2012. - Pr Hafida Merzouk: séminaire C4S1 du 13 au 14 mars 2015, séminaire C3S5 du 26 au 27 décembre 2014, séminaire C3S3 du 10 au 11 octobre 2014, séminaire C3S2 du 30 au 31 mai 2014, séminaire C3S1 du 28 au 29 mars 2014, séminaire C2S6 du 24 au 25 janvier 2014, séminaire C2S4 du 20 au 21 septembre 2013, séminaire C2S3 du 28 au 29 juin 2013, séminaire C2S2 du 24 au 25 mai 2013, séminaire C2S1 du 22 au 23 mars 2013, séminaire C1S5 du 12 au 13 octobre 2015, ORTHO 22 séminaire C1S4 du 01 au 02 juin 2012 et séminaires C1S2S3 du 26 au 28 avril 2012. - Pr Chafika Mehdid: séminaire C4S4 du 23 au 24 octobre 215, séminaire C4S1 du 13 au 14 mars 2015, séminaire C3S4 du 21 au 2 novembre 2014, séminaire C2S5 du 25 au 26 octobre 2013, séminaire C2S4 du 20 au 21 septembre 2013, séminaire C2S3 du 28 au 29 juin 2013, séminaire C2S1 du 22 au 23 mars 2013 et séminaire C1S6 du 25 au 26 janvier 2013. - Pr Belkacem Chafi: séminaire C4S2 du 14 au 15 mai 2015 et séminaire C3S4 du 21 au 22 novembre 2014. - Pr Ahmed Ghouini: séminaire C4S5 du 27 au 28 novembre 2015, séminaire C4S4 du 23 au 24 octobre 2015 et séminaire C4S3 du 11 au 12 septembre 2015. - Pr Zakia Arrada: séminaire C4S3 du 11 au 12 septembre 2015. - Dr Zoubida Touimer: séminaire C4S5 du 27 au 28 novembre 2015 et séminaire C4S4 du 23 au 24 octobre 2015. - Dr Meriem Saker: séminaire C4S3 du 11 au 12 septembre 2015. - Dr Sabrina Rahmani: séminaire C4S4 du 23 au 24 octobre 2015 et séminaire C3S3 du 10 au 11 octobre 2014. - Dr Souhila Kadim: séminaire C4S3 du 11 au 12 septembre 2015. - Dr Brahim Sadaoui: séminaire C4S3 du 11 au 12 septembre 2015. - Dr Tahar Naili: séminaire C3S5 du 26 au 27 décembre 2014. - Dr Ilyes Baghli: séminaire C2S5 du 25 au 26 octobre 2013, séminaire C3S3 du 10 au 11 octobre 2014 et séminaire C3S5 du 26 au 27 décembre 2014. Dr Ilyes Baghli Président de la SANMO. Le dimanche 26 décembre 2015. ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 20 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE PROTOCOLE DE RIORDAN A BASE DE MEGA-DOSES DE VITAMINE C DANS LE TRAITEMENT DES MALADIES CHRONIQUES DEGENERATIVES DONT LE CANCER. 1' perfusion: 25 grammes de Vitamine C diluées dans 250 ml d'eau distillée stérile + une ampoule de sulfate de magnésium ou de chlorhydrate de magnésium en intraveineuse lente en 50 minutes. 2' perfusion: 50 grammes de Vitamine C diluées dans 400 ml d'eau distillée stérile ou du Lactate Ringer + une ampoule de magnésium en Intraveineuse lente En 75 minutes. 3' perfusion: 75 grammes de Vitamine C diluées dans 400 ml d'eau distillée stérile ou du Lactate Ringer + une ampoule de magnésium en Intraveineuse lente en 105 minutes. 4' perfusion: 75 grammes de Vitamine C diluées dans 400 ml 22 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي d'eau distillée stérile ou du Lactate Ringer + une ampoule de magnésium en Intraveineuse lente en 90 minutes. 5' perfusion et les perfusions suivantes: 100 g de Vitamine C diluées dans 400 ml d'eau distillée stérile ou du Lactate Ringer + une ampoule de magnésium ou du Lactate Ringer + une ampoule de magnésium en Intra-veineuse lente en 90 minutes. Rythme des perfusions: deux fois par semaine, jusqu'à rémission. Ne jamais utiliser du sérum salé glucosé ou du sérum salé. Ce protocole peut être appliqué seul ou associé à d'autres protocoles. Prompt rétablissement. www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE ب الجزيئي ّ الجمع ّية الجزائر ّية لل ّتغ ّذي وال ّطTimetti tazairit n’teggoula N’toudjia N’tazerf-taxeclawt ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE SOCIETE ALGERIENNE DE NUTRITION ET DE MEDECINE ORTHOMOLECULAIRE Algerian Branch of CONEM Council for Nutritional and Environmental Medicine PROGRAMME SANMO C4S6 Séminaire 6 Cycle IV Ven.22 - Sam.23 Janvier 2016 Salle Hassiba Ben Bouali Egt Centre El-Hamma SOFITEL–172 Rue Hassiba Ben Bouali- ALGER – INSCRIPTION PAR E-MAIL : orthomoleculaire2@gmail.com www.orthomoleculaire.org Vendredi 22 Janv. 2016 8h30-10h30 Pr Ahmed GHOUINI www.orthomoleculaire.skyblog.com Vendredi 22 Janv. 2016 14h00-15h30 "CLINICAL USEFULNESS OF INTRAVENOUS VITAMIN C THERAPY: A POWERFUL TOOL FOR CANCER, RADIATION INJURY AND ANTI-AGING.” www.sanmo.skyblog.com Samedi 23 Janv. 2016 8h00-10h30 Chef de service de Physiologie de la Faculté de Médecine Blida Pr. Mustapha OUMOUNA Universiéy def Médéa 26000 Algerie Vendredi 22 Janv. 2016 10h30-11h30 Les leçons apprises du fonctionnement du système immunitaire et son dysfonctionnement. FaridaGUESSAIBIA BELFODIL DrDrNadia Pr Atsuo YANAGISAWA - Président de l'ISOM: Société Internationale de Médecine Orthomoleculaire – President du Collège Japonais de Thérapie Intraveineuse ÉPIGÉNÉTIQUE Nutrition du sujet âgé Vendredi 22 Janv. 2016 11h30-12h00 Dr. Zoubida TOUIMER AIT ALI Allaitement et Travail Repas : 12h30-13h30 Samedi 23 Janv. 2016 14h00-15h30 Risa YANAGISAWA DIABETE ET DIETETIQUE Pauses : eau+fruits 10h- 10h30 : Médecin gérontologue de Paris. www.youtube.com/SanmoTV h30-16h00 Pauses : eau+fruits Vendredi 22 Janv. 2016 16h00-17h30 2ème Partie "CLINICAL USEFULNESS OF INTRAVENOUS VITAMIN C THERAPY: A POWERFUL TOOL FOR CANCER, RADIATION INJURY AND ANTI-AGING.” Il est possible de s'inscrire directement au prochain séminaire, car il s'agit d'un cycle de formation médicale continue. 10h- 10h30 Pauses : eau+fruits Samedi 23 Janv. 2016 10h30-12h00 Eléments d’Anglais médical Pr. Mustapha OUMOUNA Repas : 12h30-13h30 "ORGANIZATION AND ACTIVITIES OF JAPANESE COLLEGE OF INTRAVENOUS THERAPY.”medi 15h30-16h00 Pauses : eau+fruits Samedi 23 Janv. 2016 16h00-17h30 Présentation D’ORTHO-DZ PAPERS Du Bulletin ORTHO 21 CONDITIONS D'INSCRIPTION ETRE DOSSIER D'INSCRIPTION : - COPIE DU DIPLOME - COPIE D’UNE PIECE D'IDENTITE – MEDECIN / BIOLOGISTE / MICROBIOLOGISTE/ PHARMACIEN /AGRONOME /VETERINAIRE / BIOCHIMISTE/CHIMISTE/ DENTISTE / DIETETICIEN. PHOTO D'IDENTITE – Copie Bordereau de Versement (10.000,00 DA Frais de participation au Séminaire + 2000,00 DA Frais d’adhésion 2015 à la SANMO) au Compte Bancaire N* 02100012018000009458 auprès de la SOCIETE GENERALE ALGERIE Birkhadem à l’ordre de : - Association Nationale de Nutrition et de Médecine OrthomoléculaireADRESSER LE DOSSIER PAR MAIL : orthomoleculaire2@gmail.com Salle Hassiba Ben Bouali Egt Centre El-Hamma ALGER C4S6 C5S1 22-23 Janv. 2016 25-26 Mars 2016 - 23 Janv. Samedi 23 Janv. 2016 Samedi 23 Janv. 23 2016 ORTHOSamedi 22 ِالجُزَيْئ2016 ّوالطّبSamedi للتّغذّي23يّةJanv. الجزائر2016 الجمعيّة www.orthomoleculaire.org 14h00-15h30 14h00-15h30 14h00-15h30 14h00-15h30 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE PARTICIPANTS Au Séminaire S6 du Cycle IV C4S6 ALGER 23-24 JANVIER 2016 CONFÉRENCES DU SEMINAIRE C4S6 SANMO 22-23 JANVIER 2016 Vendredi 22 Janv. 2016 8h30-10h30 Pr Ahmed GHOUINI LISTE DES PARTICIPANTS EN FORMATION Abdeldjalil MERAZKA Abdelkrim BELKHOUCHE Vendredi 27 Nov. 2015 10h30-11h30 Abdelouahab ATTOUT Dr Nadia GUESSAIBIA ÉPIGÉNÉTIQUE Abdeslam CHERIFI Vendredi 22 Janv. 2016 11h30-12h00 Aicha DAHMANI Dr. Zoubida TOUIMER Ali BOULEGROUNE ALLAITEMENT ET TRAVAIL Vendredi 22 Janv. 2016 14h00-15h30 puis 16h.00-17h.30 Allam ZERRAGHI Atsuo YANAGISAWA Amar RAKEM - Président de l'ISOM: Société Internationale de Médecine Orthomoleculaire – President du Collège Japonais de Thérapie Intraveineuse Amel KENANE "CLINICAL USEFULNESS OF INTRAVENOUS Amina BENAOUDA VITAMIN C THERAPY: Amira BELARBIA A POWERFUL TOOL FOR CANCER, Atika EDDAIKRA RADIATION INJURY AND ANTI-AGING.” Djemya DJEDIAT Samedi 23 Janv. 2016 8h00-10h30 Fadila BELKADA Pr. Mustapha OUMOUNA - Université de Médéa 26000 AlgerieFaiza DJEMAA LES LEÇONS APPRISES DU Farid OUZEROUROU FONCTIONNEMENT DU SYSTEME Fateh MAOUCHI IMMUNITAIRE ET SON Fatiha CHEGHNANE DYSFONCTIONNEMENT. Fatima DJEDAA Samedi 23 Janv. 2016 10h30-12h00 Eléments d’Anglais médical Fatima Zohra BOUNASRI Pr. Mustapha OUMOUNA Samedi 23 Janv. 2016 14h00-15h30 Fatima Zohra KASSOUL Risa YANAGISAWA Feriane AIZEL "Organization and activities of Japanese College Fizya MELZI of Intravenous Therapy.” Ghania BENASLA Samedi 23 Janv. 2016 16h00-17h00 Présentation D’ORTHO-DZ PAPERS du Bulletin ORTHO 21 Hadj ABDELHAK Hadjira AISSA Hocine BOUTEBBA Jamila CHENTOUF Jean Marc ROBIN Karima LESLOUS Kenza GHERBI Chef de service de Physiologie de la Faculté de Médecine CHU Blida DIABETE ET DIETETIQUE 24 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Khaled ABBOUD Leila KHEMANE Leila LARBES Louiza BENAROUS Malika AMROUCHE Malika CHAOUCH Meriem FADLI Mohamed BENABDESSELAM Mohamed BENSALEM Mohamed El Hadi SENINET Mohamed MAKRI Mohamed Nassim HALLAL Mohamed Salim BILEM Mohamed Smail AISSANI Nadia ZIKARA Naima OUAIL Naima OULD AROUSSI Nassima ABDERRAHIM Nassima BOUSSIOUD Oum El Kheir MISSIRENE Razika MOSTEFAOUI Redouane MAHMOUDI Sabiha KESKAS Saida BOUZEKRINI Samia CHAID Samira ACHI Sihem BELLAL Taoufik NEKKA Yamina OUDJET Zohor BOUDJENAH LISTE DES PARTICIPANTS EN PERFECTIONNEMENT Amel KORRICHI Amina LAGGOUN Djamel Eddine GASMI Ferhat MISSOUM Hanifa BRAHIMI Hocine AROUA Houria SEGHIR Karima BENHAGOUGA Khadidja AISSANI Leila LARBI Leila MOUZALI Lotfi BENMANSOUR Mahmoud AROUA Samia MOUSSOUS Zohra SIDENNAS Membres du BUREAU SANMO Dr Ilyes BAGHLI Dr Tahar NAILI Dr Ali ASBAI Dr Larbi DJAKRIR Dr Toufik SAADOUN Dr Cherif HAMADOUCHE Journaliste Nor El Houda BOUZEGAOU et l'équipe tv de Canal Algérie. Remise de la certification SANMOISOM pour Dr Nassima BOUSSIOUD ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 25 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE ORTHO-PRESS adopter la «réunion de concertation pluridisciplinaire» (RCP) qui prévoit un protocole de soins personnels pour chaque cancéreux, s’est-il interrogé devant une assistance nombreuse. Tout en restant optimiste, le Pr Zitouni n’a pas caché sa déception quant à la mentalité des médecins algériens pour Plus de 70% des patients cancéreux ont été concrétiser cette RCP, sachant qu’en France, le principe est appliqué depuis 2005. Par ailleurs, 13 communications, les unes plus importantes que les autres, dont les expériences des services de radiothérapie des CAC de dépistés par les cliniques privées. C’est ce qu’a déclaré hier le professeur Zitouni, coordinateur national du Plan cancer 2015-2019 en Algérie, à l’occasion des premières journées Annaba, Batna et Sétif, ont été présentées à la faculté de médecine locale, où les efforts louables du ministère de la Santé ont été mis en exergue. d'évaluation, les 8 et 9 janvier, au Centre anticancer (CAC) de Annaba. Organisée par le CHU de Annaba, cette manifestation à laquelle ont pris part les dirigeants des nouveaux CAC de Batna et de Sétif se veut un bilan de l’activité «Pour être au diapason du combat contre le cancer en Algérie, nous avons fait appel au professeur Gerbault, une référence dans le domaine de la curiethérapie à haut débit. Son expérience sera d’un apport inestimable pour annuelle visant l’uniformisation du processus de traitement de cette pathologie. Dans ce contexte, le président de l’Ordre des médecins de la région de Annaba, le professeur Abdelaziz Ayadi, qui s’est interrogé sur nos praticiens», a estimé le Pr Lankar, directeur général du CHU de Annaba. Prévue aujourd’hui, la seconde journée traitera de la médecine nucléaire en oncologie et de l’apport du centre de transfusion sanguine dans la prise en charge l’absence de cliniques privées sur la carte régionale des nouveaux CAC que le Pr Zitouni a du cancer. Gaidi Mohamed Faouzi Le Pr ZITOUNI présentée lors de son intervention, a d’emblée engagé les débats. Peut-on espérer qu’en 2020, l’Algérie aura sa «haute autorité sanitaire» pour 26 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي El-Watan le 09.01.16 | 10h00 www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE ORTHO PRESS LA MEDECINE ORTHO-MOLECULAIRE EST EN MESURE DE PREVENIR TOUTES LES MALADIES Dr Nina Mikirova* à Santé Mag Les travaux du séminaire de la Société Algérienne de Nutrition et de Médecine Ortho-molécu-laire (SANMO) se sont déroulés le 11 et le 12 septembre 2015, à la salle Hamma (Alger), dans un esprit d’échanges et de convivialité. Cette rencontre scientifique a réuni plus de 130 participants, venus de différents horizons. A cet effet, plusieurs communications, toutes relatives à la médecine ortho-moléculaire, ont été présentées par neuf conférenciers. ORTHO 22 nementale, en Norvège. Il est à rappeler, aussi, que la SANMO est la première Socié-té Savante, qui s’est alliée aux membres de l'ISOM: Société Internationale de Médecine Ortho moléculaire, dont le siège est à Toronto, au Canada. La SANMO est, également, membre de la JCIT, Collège Japonais de Thérapie Intraveineuse, sis à Tokyo, au Japon et fait partie, également, du CONEM: Conseil de la Nutri-tion et de la Médecine Environ- ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ Nous avons saisi, lors de ce séminaire, l’occasion d’interviewer le Dr Nina Mikirova, récipiendaire, en 2014, du Prix Pearl Maker de la Clinique Riordan, en reconnaissance des actions qu’elle a menées, en vue de promouvoir et d’élargir une couverture sanitaire, de par le monde. Ecoutons la conférencière. www.orthomoleculaire.org 27 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Santé Mag: Vous êtes l’invitée d’honneur au séminaire de la SANMO. Est-ce la première fois que vous venez, en Algérie ? Dr Nina Mikirova: C’est pour la première fois que je visite l’Algérie et je suis très contente d’être parmi les membres de la SANMO. A cet effet, je remercie la SANMO de m’avoir invitée et je suis très enthousiaste de participer à ce séminaire; ravie, également, de découvrir la culture de votre pays et ses habitants. Quel est l’intitulé de la conférence, que vous allez présenter, pour la formation médicale continue des médecins? Ma conférence s’articule autour du pro-tocole de Riordan, à base de vitamine C, dans le traitement thérapeutique. Pouvez-vous nous en dire plus, sur le pro-tocole de Riordan ? C’est un protocole établi en 1975, par le fondateur de la Clinique Riordan, dans le Wichita, au Kansas, le Dr Hugh Riordan, décédé en 2004. Voici, déjà, une quaran-taine d’années qu’au Wichita, au Kansas, ce traitement, à base de méga-dose de vitamine C est appliqué, pour soigner les malades atteints de cancers, de pathologies 28 chroniques dégénératives est utilisé, même à titre préventif. 40 ans, c’est, donc, un laps de temps appréciable, pour juger de l’efficacité de ce traitement, n’estce pas ? En effet, nous avons le recul nécessaire, quant à l’efficacité du traitement, à base de méga-dose de vitamine C et depuis 1990, cette thérapie a pris beaucoup plus d’importance, puisque nous traitons, par ce moyen, même le cancer. Ce traitement, en l’occurrence, cible les cellules atteintes, tout en préservant celles qui sont saines. Quels sont les pays qui ont adopté cette thérapie ? Très utilisée en Allemagne et au Japon. Nous espérons l’introduire en Algérie et c’est pour cette raison que nous sommes là. Quelles sont les indications du protocole de Riordan ? Le protocole de Riordan est indiqué dans les infections bactériennes, les infections virales majeures, dans le traitement du cancer, de l’asthénie, de façon globale, grâce à l’action de la Vitamine C; mais, à des doses pharmaceutiques; c'est-à-dire, thérapeutiques et non pas par الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي des dosages préventifs utilisés tel qu’on nous l’a ensei-gné dans nos études de médecine; mais, avec des méga-doses, qui font passer la Vitamine C d’un complément vitaminique à une arme thérapeutique. La Vitamine C en méga-dose peut-elle être utilisée comme moyen prophylactique ? Tout à fait et nous avons été, plusieurs fois, sollicités par des patients ayant un risque potentiel de développer un cancer, pour utiliser ce protocole comme thérapie préventive et nous avons accédé à leur demande. En tout état de cause, il importe de dire que si, pour le traitement du cancer, on utilise des mégadoses de vitamine C ; cependant, par la suite, pour éviter les récidives, on diminue celles-ci, à titre préventif. Au demeurant, la dose est en proportion au cas clinique présenté et en fonction de l’évolution de la maladie. Quel est le rôle de la médecine ortho-moléculaire, dans la prévention des cancers et des maladies métaboliques et régénératrices ? Le docteur Hugh Riordan était convaincu que la médecine orthomoléculaire est en mesure de prévenir toutes les maladies, www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE puisqu’elle permet de réguler les différents déficits pouvant être à l’origine de diverses maladies. Il s’agit, donc, de prévenir d’abord la maladie, par l’utilisation de ce pro-tocole. Peut-on utiliser la vitamine C en traitement adjuvant avec la chimiothérapie ? Des études, réalisées dans le laboratoire de la clinique de Riordan, ont prouvé que la vitamine C potentialise l’effet bénéfique de la chimiothérapie et réduit les effets secondaires de celle-ci, dans le traitement des cancers du pancréas et de l’ovaire. Ces deux études ont, d’ailleurs, été publiées. Ceci dit, la vitamine C peut être utilisée seule, lorsqu’il y a contreindication à la chimiothérapie, la chirurgie, ou la radiothérapie; mais, on peut, également, l’associer comme complément à la chimiothérapie, pour réduire les ORTHO 22 effets se-condaires dernière. de cette La vitamine C est–elle indiquée, pour soigner tous les cancers ? On ne peut pas dire, pour l’heure, que cela vaut pour tous les cancers; mais, pour la plupart de ces pathologies. A titre d’exemple, je dirais que plus de 250 patientes atteintes de cancer du sein ont été traitées avec le protocole de Riordan, dans cette clinique, ainsi que plus de 200 personnes tou-chées par le cancer de la prostate et environ, 50 personnes malades du cancer du pancréas, également. A quel stade de l’évolution de leur cancer ces patients sont-ils arrivés chez vous ? La plupart sont arrivés à un stade très avancé de leur cancer, après être passés par la chirurgie, la chimiothérapie et la radiothérapie; ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ traitements n’ayant pas, toujours, donné de bons résultats. Ils sont, donc, venus faire appel, en dernière instance, à cette méthode à laquelle on n’accordait pas beaucoup d’intérêt, auparavant et pourtant, elle a apporté la guérison. Le mot de la fin….. Je suis ravie d’avoir eu l’opportunité de présenter, grâce à l’invitation au séminaire de la SANMO, les résultats des 40 années de pratique du traitement du cancer, au niveau de la clinique de Riordan, par mégadose de Vitamine C * Nina Mikirova, PhD, directrice de recherche à la Clinique Riordan. Santé MAG N°45 Novembre 2015 pp10-11 www.orthomoleculaire.org 29 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE findings on vitamin C may open the door NEW STUDY: VITAMIN C latest for its use as treatment for some of the most challenging cancers. KILLS ‘UNTREATABLE’ A safe way to attack ‘difficultto-treat’ cancer tumors CANCER CELLS Posted by: Lori Alton, staff writer in Vitamin C Benefits December 14, 2015 12 Comments (NaturalHealth365) Findings from a new study offer further evidence of the cancer-fighting properties of vitamin C. This time, research shows the powerful antioxidant may be effective in combating a class of cancerous tumors – including colorectal cancer cells – that can be particularly difficult to treat by conventional means. Findings of the study, which showed the vitamin was effective in curbing cancer-causing mutations in mice, were published recently in the journal Science.Vitamin C is already known for its effectiveness in detoxifying the body and boosting the immune system. Notably championed by globally respected scientist Dr. Linus Pauling and other advocates as a treatment for cancer and heart disease, these 31 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي It may sound incredible that a deadly disease like cancer could be treated by something as simple (and safe) as vitamin C. For decades, naysayers denied what Nobel Prize-winning chemist Pauling and others outside the conventional medical establishment had discovered: Vitamin C can be effective against many of the serious illnesses that have plagued mankind – including cancer. The most recently published study using cell culture and mice shows that vitamin C was effective at killing tumor cells that carry a common cancer-causing mutation. The hope is that the findings may eventually lead to the ability to use vitamin C to create a variety oftargeted treatments against deadly cancers. In the study, researchers from Harvard Medical School, Weill Cornell Medicine, The Sidney Kimmel Comprehensive Cancer Center, Cold Spring Harbor Laboratory and Tufts Medical Center teamed up to investigate the effect of high doses of vitamin C on colorectal tumor formation. Using roughly the equivalent of the amount of vitamin C found in 300 oranges, the scientists were able to document impaired growth of KRAS-mutant and BRAF-mutant colorectal tumors in cultured cells as well as in mice. www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Vitamin C acts as Trojan horse in cancer cells Typically, the health benefits of vitamin C are associated in large part with its role as an effective antioxidant, helping to prevent or at least delay certain types of damage to cells. However, this latest study shows an entirely different role regarding its effect on certain forms of colorectal cancer, with it actually inducing oxidation in cancer cells. In oxygen-rich environments, like arteries, a portion of vitamin C is oxidized and transformed into a new compound known as dehydroascorbic acid or DHA. This new compound is able to act as a Trojan horse and pass through the cancer cell membrane, thanks to a protein glucose transmitter. Once inside, the cancer cell’s natural antioxidants attempt to convert DHA back to ascorbic acid, but are unable to keep up and instead become depleted, with the cancer cell then dying of oxidative stress. Because certain colorectal cancer cells produce greater amounts of reactive oxygen than other cell types, they need more antioxidants to survive. This makes them more susceptible to the action of DHA than normal cells or even other types of cancer cells. carcinoma, bladder cancer and pancreatic cancer. Continued research could also lead to development of biomarkers. These could aid physicians in determining a more precise mode of treatment and a better understanding of which cancer patients would most benefit from this type of vitamin C therapy. Editor’s note: The NaturalHealth365 Store offers the finest quality vitamin C powder on the market. Click here to order today. References: http://news.sciencemag.org/chemistry/2015/11/vi tamin-c-kills-tumor-cells-hard-treat-mutation http://www.natureworldreport.com/2015/11/highintake-of-vitamin-c-kills-cancer-cells http://www.oncologynurseadvisor.com/webexclusives/vitamin-c-halts-growth-of-aggressiveforms-of-colorectal-cancer-in-preclinicalstudy/article/453949 Can vitamin C help people with pancreatic cancer? While the results of this latest study need to be evaluated via human clinical trial, researchers believe these preclinical findings hold much promise in development of a new treatment strategy for certain types of colorectal cancer. Further study may also later lead to similar treatments for other cancers as well, particularly those expressing high levels of the protein glucose transmitter, including renal cell ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 30 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE LEARN HOW VITAMIN C THERAPY NEUTRALIZES TOXINS (NaturalHealth365) Some of the most serious health concerns to plague American society could be slowed, or even cured, with one well-known, natural nutrient. Research by renowned scientists across the years has produced solid evidence that vitamin C has significant powerswhen it comes to ridding the body of toxins and improving health. Unfortunately, the medical community was built on costly, invasive treatments and technologies, and that is not likely to change. But with vitamin C readily accessible, you can reap its benefits and take greater responsibility for your own health. Editor’s note: Register today for the Holistic Oral Health Summit and gain immediate access to 33 experts talking about the dangers of poor oral health and how to naturallyprevent and reverse disease. A simple way to boost immunity and avoid chronic disease symptoms “Intravenous vitamin C has additional properties above and beyond what vitamin C does. But, just vitamin C – taken orally – is so effective at 32 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي helping to detoxify the body and helping to boost the immune system,” says Ronald Hunninghake, M.D. Dr. Hunninghake is an internationally recognized expert on vitamin C and a presenter at the upcoming Holistic Oral Health Summit. You may be surprised to learn where most chronic illnesses start. “All the major chronic illnesses that consume most of the aging population in our country are due to poor mouth health,” says Dr. Hunninghake. Dr. Linus Pauling, famous for using vitamin C to treat cancer and heart disease, is among a number of renowned scientists whose research and experiments support the use of Vitamin C to treat chronic illness. Dr. Pauling believed vitamin C, coupled with lysine, was capable of nearly wiping out conditions like heart attack, stroke or cardiovascular disease. While intravenously administered vitamin C is known to be effective in management and treatment of cancer, the vitamin’s larger notoriety for healing can be traced to its effectiveness in boosting immunity and detoxifying the body. Although its use is not typically promoted by conventional medicine, proponents of vitamin C consider it an exceptional treatment for any chronic infection. How much vitamin C should I take? Most individuals will be able to gain benefits of vitamin C by following Pauling’s recommended dose of 1 gram, twice pre day. Those who are suffering a serious illness, however, should consider having a trusted healthcare provider administer vitamin C intravenously. Because, in reality, a sick person may need much more vitamin C to feel better. www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE If you are planning to take vitamin C orally (great), however, you may want to consider looking into the “multi-C protocol“. Keep in mind, if you have any digestive disturbances, you simply have to adjust the dosage to remain comfortable – on a steady basis. Editor’s note: Register now for the Holistic Oral Health Summit – 33 of the world’s top experts talking about how to improve oral health, prevent and reverse disease symptoms and avoid years of unwanted pain. To discover (in detail) the power of vitamin C – be sure to check out the special presentation by Dr. Ronald Hunninghake. References: http://www.doctoryourself.com/klennerbio.html http://www.losaltosonline.com/news/sections/news/2 16-latc-sections/community-archive/28890-J25518 http://www.paulingtherapy.com ANTIBIOTIC RESISTANCE MAKES VITAMIN C MORE IMPORTANT THAN EVER Posted by: Lori Alton, staff writer in Vitamin C Benefits November 3, 2015 16 Comments (NaturalHealth365) Each year, in the United States, at least 2 million people become infected with antibiotic-resistance bacteria – 23,000 of them are fatal. This development of drugresistant bacterial infections can be traced to the overuse of antibiotics leading to antibiotic resistance. However, with an estimated 200 million-plus antibiotic prescriptions written every year in the U.S., this very real threat of antibiotic-resistant “super bugs” does not seem to have slowed reliance on antibiotics. Yet, the solution is simple: research shows high doses of vitamin C – a powerful antioxidant – can successfully fight all kinds of infections. Killing infections naturally: The volume of scientific evidence can NOT be ignored The incredible infection-fighting qualities of vitamin C, making it an excellent antibiotic ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 33 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE alternative, are not a new concept. Dr. Frederick Robert Klenner, who first began practicing medicine in 1936, documented years of research on vitamin C benefits. His work is said to have inspired further research on vitamin C by Linus Pauling and Irwin Stone. Results of his lifetime of research provide evidence that vitamin C diminishes infections and toxins, controls cancer cell growth, relieves depression, modifies pain and alters the path of many conditions, including ALS, multiple sclerosis, and reactions from poisonous bites, among others. In fact, Dr. Klenner found vitamin C to have tremendous therapeutic power, boosting the immune system, acting as an antihistamine, and neutralizing toxins. 34 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي Vitamin C found to be effective against drug-resistant TB Tuberculosis, or TB, is a bacterial infection that affected 9 million people worldwide, killing about 1.5 million, according to the Centers for Disease Control and Prevention. Today, TB infections that fail to respond to drugs as evidence of antibiotic resistance are an increasing problem, with 650,000 people now suffering from multidrug resistant TB worldwide. In 2013, researchers at Albert Einstein College of Medicine of Yeshiva University made a surprising discovery while studying how TB bacteria become resistant to a first-line TB drug. According to results published in the online journal Nature Communication, the study revealed that vitamin C destroys drugresistant TB bacteria in lab culture. The findings pave the way for a clinical trial, says lead author Dr. Williams Jacob. How to effectively (and safely) reduce the threat of toxins in the body While the TB study’s results may have been surprising to the researchers conducting the investigation, it comes to no surprise to Thomas E. Levy, MD, JD. Dr. Levy is a board-certified cardiologist and has written six books on vitamin C benefits plus other health-related issues. “I don’t aim to be inflammatory, I just aim to be accurate,” explains Dr. Levy. “We’re very reluctant in medicine to use the word ‘cure’ because we have so many naysayers that want to come along and say you’re providing false hope. Well, where a cure has been clearly provided for a specific disease, repeatedly, with www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE a specific therapy, and you don’t use the word ‘cure,’ you’re doing even greater harm.” Dr. Levy has reviewed extensive amounts of literature on vitamin C and says viral pneumonia, diphtheria and other diseases and toxins have all responded well to treatment with vitamin C. “You find me a toxin, I’ve got the cure,” he says. Vitamin C recommendations: What the doctors have to say VITAMIN C DEFICIENCY WREAKS HAVOC ON THYROID FUNCTION Posted by: Abby Campbell, staff writer in Vitamin C Benefits August 5, 2015 14 Comments Based on his experience, Dr. Klenner recommended adults take at least 10 grams of ascorbic acid daily and children under 10 years of age take at least 1 gram for each year of life to maintain health. Editor’s note: The NaturalHealth365 Store offers the finest quality vitamin C powder on the market. Click here to order today. Dr. Levy says sodium ascorbate or ascorbic acid can be used as a cost-effective, well-tolerated form of vitamin C for keeping the gut mostly detoxified. But to achieve nearcomplete absorption, he suggests vitamin C products utilizing liposomal encapsulation technology as an additional option. In the case of acute infections and toxic states, Dr. Levy recommends intravenous sodium ascorbate, typically at doses of 50 grams or more, over several hours for most individuals. At the same time, he recommends also administering the liposomeencapsulated form of vitamin C orally. In the absence of intravenous sodium ascorbate Dr. Levy recommends sodium ascorbate or ascorbic acid at levels up to bowel tolerance, and then the liposomeencapsulated form of vitamin C at the rate of several grams hourly. Subsequent dosing should be guided by symptoms and clinical response. References http://www.einstein.yu.edu/news/releases/907/study-finds-vitamin-c-can-kill-drugresistant-tb http://seanet.com/~alexs/ascorbate/198x/smith-lh-clinical_guide_1988.htm (NaturalHealth365) With an estimated 30 million Americans having some form of thyroid disease,solutions are necessary as impaired thyroid function can lead to other chronic diseases if not treated. Because the thyroid is a hormone-producing gland that regulates the body’s metabolism, it also affects critical body functions. Keep in mind, the rate at which your body produces energy from oxygen and nutrients can alter the way your heart, brain, muscles, liver, and other body parts work. If they work too fast or slow, you won’t feel well. Therefore, therapy is essential if you want to feel your best. An important but neglected vitamin for healthy thyroid function Numerous studies have confirmed the presence of excess oxidative stress and a deteriorated antioxidant defense system in thyroid conditions. In fact, a large experimental study published in the BMC Endocrine Disorders journal reported ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 35 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE that all subjects with benign or malignant thyroid disease had low levels of antioxidants, particularly with selenium, zinc, and vitamin C. While low levels of selenium and zinc were not found in all subjects, low levels of vitamin Cwere. This confirms an association with vitamin C deficiency and thyroid function. One reason why vitamin C may be deficient in all people with thyroid conditions could be a result of adrenal fatigue. Physical, mental, and emotional stress takes its toll on the adrenal gland The adrenal gland contains the highest concentration of vitamin C in the body. In fact, the vitamin plays a crucial role in both the adrenal cortex and adrenal medulla which are responsible for responding to stress. According to the American Journal of Clinical Nutrition, vitamin C secretion is part of the body’s stress response. Excessive stress, along with the body’s insufficient intake of the vitamin, can create a deficiency that leads to adrenal stress. Countless studies show chronic adrenal stress disrupts the hypothalamic-pituitary-adrenal (HPA) axis. Because thyroid hormone is directed by the hypothalamus and the pituitary glands, anything that disrupts the HPA axis will affect thyroid function. With studies proving that vitamin C deficiency is a problem for all people who have a thyroid condition, it’s possible that adrenal fatigue could be the cause. Therefore, it’s imperative to include foods and/or supplements containing vitamin C, especially with extreme or ongoing stress. 36 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي How does vitamin C boost thyroid medication delivery Many people who have been diagnosed with a form of thyroid disease often adopt pharmaceutical medication to regulate their thyroid. However, many patients still exhibit symptoms which indicate the medication may not fully work towards thyroid homeostasis. However, studies are showing that natural antioxidant therapy – such as with vitamin C – can reverse thyroid damage and even help those who don’t see improvement with their prescription medication. The Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism recently studied the effects of vitamin C on the absorption of a synthetic T4 hormone with 31 patients who either had autoimmune thyroiditis or idiopathic hypothyroidism. Prior to the study, all patients were not in good control when taking the synthetic T4. Serum concentrations of T3, T4, and TSH were measured at particular intervals after vitamin C therapy. All three concentrations were improved while taking vitamin C. TSH decreased in all patients and normalized in nearly 55 percent of them. T4 was higher with 30 of the 31 patients, and T3 was increased with all patients tested. These findings are significant in the role of vitamin C and thyroid function. Improving thyroid function with vitamin C Every day is a challenge when it comes to protecting our bodies from damaging chemicals in the food we eat, the water we drink, and the air we breathe. As presented, vitamin C has www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE proven to help prevent adverse effects to health by optimizing thyroid function. If you suspect or have a thyroid condition, you may want to consider taking a vitamin C supplement. One of the leading experts on treating thyroid disease, the late Dr. John C. Lowe, recommended the highest doses of vitamin C to bowel tolerance for four weeks as therapy. The supplement should be taken in divided doses throughout the day. Larger amounts taken are less absorbed into the blood. Therefore, you may want to consider 250 to 2,000 milligrams at one time. Absorption rate is 80 to 50 percent respectively. Dr. Lowe’s requirement for Vitamin C ranges from 8,500 to 20,000 milligrams per day during stressful times and 2,300 to 10,000 milligrams per day for optimal health. Editor’s note: If you’re looking to learn more about vitamin C – check out our section called, “Vitamin C Benefits” – and, in particular, take a look at “Reversing disease with the multi-C protocol” by Thomas Levy, MD, JD – a featured NaturalHealth365 contributor. About the author: Abby Campbell is a medical, health, and nutrition research writer. She’s dedicated to helping people live a healthy lifestyle in all aspects – physically, mentally, emotionally, and spiritually. Abby practices, writes, and coaches on natural preventive care, nutritional medicine, and complementary and alternative therapy. References: http://www.thyroidawareness.com http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2266752 http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/15666839 http://ajcn.nutrition.org/content/86/1/145.long http://press.endocrine.org/doi/10.1210/jc.2013-4360?url_ver=Z39.882003&rfr_id=ori:rid:crossref.org&rfr_dat=cr_pub%3dpubmed Lowe, J.C. & Honeyman-Lowe, G. (2003). Your Guide to Metabolic Health. Boulder, Colorado: McDowell Health-Science Books, LLC. ORTHO 22 (NaturalHealth365) For generations, the medical profession has told grieving parents that the sudden death of their infant was simply unexplainable and vastly unpreventable. Told there was nothing that could have been done to avoid the tragedy, new parents were left with empty hearts and empty answers. Sadly, between 2,500 and 4,500 infants in the U.S. fall victim each year to sudden infant death syndrome (SIDS). But, discoveries made decades ago may provide the clues that modern medicine, for all its advances, has chosen to ignore: Something as attainable as vitamin C could save many lives. Medical doctors: Saving lives with vitamin C Dr. Archie Kalokerinos, a family physician, virtually eliminated infant mortality among patients in New South Wales, Australia, after moving his practice there in 1967. But few have heard of Dr. Kalokerinos and his discovery that ascorbic acid, commonly referred to as vitamin C, can eliminate SIDS. That’s because his findings were repeatedly rejected by medical journals. Likewise, few know of the works of Dr. Frederick R. Klenner, who also used ascorbic acid to banish infant mortality among hundreds of births from the late 1940s through the 1970s. In both cases, the broader medical community was ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 37 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE unreceptive to what these men saw firsthand in their practices. Yet, both men came to the same conclusion: Sudden infant death syndrome comes about because of a deficiency of ascorbate, also known as vitamin C. On the other hand, supplementing with enough vitamin C can prevent the ‘unpreventable,’ and likely save the lives of thousands of infants. In 1978, Dr. Irwin Stone, himself a pioneer in vitamin C research, reported that SIDS was in fact, a result of chronic subclinical scurvy or vitamin C deficiency. Are you getting adequate levels of vitamin C? Ascorbate, commonly called vitamin C, is known to be an essential nutrient for good health and is involved in dozens of metabolic processes. It is critical for everything from tissue repair to recycling of cholesterol. It is involved in neutralization of free radicals and toxins. Vitamin C is also known to play a critical role in the building of antibodies and white blood cells. To prevent SIDS in the people of New South Wales, Dr. Kalokerinos urged parents to administer 100 mg of ascorbic acid daily per month up to age 10 months, in quantities of 100 mg per day the first month, 200 mg per day the second month, and so on. Beginning at 11 months of age, he advised children receive 1 g daily for each year of age up to 10 years, at which point he recommended 10 grams daily for the rest of life to reap the many benefits of adequate vitamin C. If an infant or child is ill or stressed by events like immunizations, then additional supplementation is required. A sufficient level can be found by supplementing to the point that the vitamin 38 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي causes harmless diarrhea, then dosing to a threshold that avoids diarrhea. Try administering up to 100-200 mg per 10 lbs. of body weight for each individual dose, up to 5 doses per day, checking for bowel tolerance. For optimal health benefits, the need for vitamin C should be addressed before birth. And, of course, to protect unborn babies in the womb, pregnant women are urged to take vitamin C by using the formula of 200 mg per 10 lbs of body weight, or about 3000-4000 mg per day. For more information about vitamin C – take a look at the ‘multi-C protocol’, described by Thomas E. Levy, M.D., JD References: http://www.healthy-again.net/sids.htm http://www.vaccinationcouncil.org/2012/08/14/drkalokerinos-last-book http://www.seanet.com/~alexs/ascorbate/199x/hatter sley-jg-j_orthomol_med-1993-v8-n4-p229.htm www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE LATEST NEWS DU CANE MEDICAL IMAGING LTD./SCIENCE SOURCE PET scans reveal glucose-hungry tumors (here lung masses) that may be susceptible to vitamin C therapy. VITAMIN C KILLS TUMOR CELLS WITH HARD-TO-TREAT MUTATION Jocelyn is a staff writer for Science magazine. Jocelyn Kaiser 5 November 2015 2:00 pm ORTHO 22 Maybe Linus Pauling was on to something after all. Decades ago the Nobel Prize–winning chemist was relegated to the fringes of medicine after championing the idea that vitamin C could combat a host of illnesses, including cancer. Now, a study published online today inScience reports that vitamin C can kill tumor cells that carry a common cancer-causing mutation and—in mice—can curb the growth of tumors with the mutation. If the findings hold up in people, researchers may have found a way to treat a large swath of tumors that has lacked effective drugs. "This [could] be one answer to the question everybody's striving for," says molecular biologist Channing Der of the University of North Carolina, Chapel Hill, one ofmany researchers trying to target cancers with the mutation. The study is also gratifying for the handful of researchers pursuing vitamin C, or ascorbic acid, as a cancer drug. "I'm encouraged. Maybe people will finally pay attention," says vitamin C researcher Mark Levine of the National Institute of Diabetes and Digestive and Kidney Diseases. In 1971, Pauling began collaborating with a Scottish physician who had reported success treating cancer patients with vitamin C. But the failure of two clinical trials of vitamin C pills, conducted in the late 1970s and early 1980s at the Mayo Clinic in Rochester, Minnesota, dampened enthusiasm for Pauling’s idea. Studies by Levine’s group later suggested that the vitamin must be given intravenously to reach doses high enough to kill cancer cells. A few small trials in the past 5 years— for pancreatic and ovarian cancer—hinted that IV vitamin C treatment combined with chemotherapy can extend cancer survival. But doubters were not swayed. "The atmosphere ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 39 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE was poisoned" by the earlier failures, Levine says. A few years ago, Jihye Yun, then a graduate student at Johns Hopkins University in Baltimore, Maryland, found that colon cancer cells whose growth is driven by mutations in the gene KRAS or a less commonly mutated gene, BRAF, make unusually large amounts of a protein that transports glucose across the cell membrane. The transporter, GLUT1, supplies the cells with the high levels of glucose they need to survive. GLUT1 also transports the oxidized form of vitamin C, dehydroascorbic acid (DHA), into the cell, bad news for cancer cells, because Yun found that DHA can deplete a cell’s supply of a chemical that sops up free radicals. Because free radicals can harm a cell in various ways, the finding suggested “a vulnerability” if the cells were flooded with DHA, says Lewis Cantley at Weill Cornell Medicine in New York City, where Yun is now a postdoc. Cantley’s lab and collaborators found that large doses of vitamin C did indeed kill cultured colon cancer cells with BRAF or KRAS mutations by raising free radical levels, which in turn inactivate an enzyme needed to metabolize glucose, depriving the cells of energy. Then they gave daily high dose injections—equivalent to a person eating 300 oranges—to mice engineered to develop KRAS-driven colon tumors. The mice developed fewer and smaller colon tumors compared with control mice. Cantley hopes to soon start clinical trials that will select cancer patients based on KRAS orBRAF mutations and possibly GLUT1 status. His group’s new study "tells you who should get the drug and who shouldn't," he says. Cancer geneticist Bert Vogelstein of Johns Hopkins University, in whose lab Yun noticed the GLUT1 connection, is excited about vitamin C 41 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي therapy, not only as a possible treatment for KRAS-mutated colon tumors, which make up about 40% of all colon cancers, but also for pancreatic cancer, a typically lethal cancer driven by KRAS. “No KRAS-targeted therapeutics have emerged despite decades of effort and hundreds of millions of dollars [spent] by both industry and academia,” Vogelstein says. Others caution that the effects seen in mice may not hold up in humans. But because high dose vitamin C is already known to be safe, says cancer researcher Vuk Stambolic of the University of Toronto in Canada, oncologists “can quickly move forward in the clinic." One drawback is that patients will have to come into a clinic for vitamin C infusions, ideally every few days for months, because vitamin C seems to take that long to kill cancer cells, Levine notes. But Cantley says it may be possible to make an oral formulation that reaches high doses in the blood—which may be one way to get companies interested in sponsoring trials. Posted in Chemistry, Health www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Vitamin B3 Found to Rescue Mitochondria Defects in Adults with Mitochondrial Myopathy Patricia INACIO Phd In a new study entitled “Effective treatment of mitochondrial myopathy by nicotinamide riboside, a vitamin B3,” an international team of researchers show that a vitamin B3 form, nicotinamide riboside, is an effective treatment against mitochondrial myopathy in adults, delaying disease progression. The study was published in the journal Embo Molecular Medicine. Mitochondrial myopathy is a muscular disease characterized by muscular weakness due to dysfunctional mitochondria, the cells’ organelles responsible for converting energy present within food to energy used by the cells, known as ATP. In fact, mitochondria dysfunction is the most common underlying cause of hereditary metabolic syndromes, and in adults, mitochondrial myopathy is the most frequent type of mitochondria disorders. Currently, ORTHO 22 however, no treatment is available for these diseases. In this study, a research team at the University of Helsinki in Finland and collaborators at École Polytechnique Fédérale de Lausanne in Switzerland studied previous reports that showed nicotinamide riboside, a vitamin B3 and NAD+ precursor (NAD+ is a key factor to mitochondrial health) promoted mitochondria biogenesis. The authors hypothesized a positive outcome in the disease if mitochondrial myopathy mice were given nicotinamide riboside. The authors show in the present study that mice fed with food supplemented with nicotinamide riboside exhibited a delayed mitochondrial myopathy progression, detected at early stages of disease and maintained at later stages. The team discovered that the B3 supplement induced formation of de novo mitochondria in skeletal muscle and brown adipose tissue. Additionally, they observed mitochondrial DNA lacked abnormal dysfunctions (at the ultrastructural level) as well as major DNA deletions. A protective response in mitochondria, termed Unfolded Protein Response, was activated upon B3 treatment, probably accounting for the preventive occurrence of mitochondria defects. In conclusion, the authors highlight that their findings suggest that oral administration of nicotinamide riboside, a natural constituent of milk, has the potential to treat adult-onset mitochondrial myopathy. Professor Anu Suomalainen Wartiovaara at University of Helsinki, Finland and study lead author commented in a press release, “These results are a breakthrough for understanding the mechanisms of human mitochondrial muscle diseases and for exploring the efficient treatment options for these progressive disorders of adults. They also highlight the potent role of niacin in guiding mitochondrial energy metabolism.” ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 40 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE COMMENT FAIRE MOURIR LE CANCER DE FAIM EN SUPPRIMANT CE SEUL INGREDIENT ! 14 Décembre 2015, 21:58pm | Publié par Le Nouveau Paradigme Les taux de cancer sont à la hausse, et il y a de nombreux facteurs qui provoquent le cancer qui vont de notre environnement à nos émotions. Cependant, la nourriture est tout, vous êtes ce que vous mangez, mais il y a quelque chose à éliminer de votre alimentation pour faire prospérer votre corps. Le carburant du cancer : le sucre Dr. Otto Wartburg ainsi que d’autres experts de la santé parlent de la façon dont le cancer aime le sucre depuis les années 1920. Étonnamment, de nombreux médecins ne disent pas à leurs patients cancéreux que s’ils continuent à consommer des aliments transformés, ils mettront probablement plus de temps à combattre cette maladie. Le physiologiste allemand, biochimiste, docteur en médecine, et lauréat du prix Nobel était convaincu qu’on pouvait éliminer le cancer en le faisant mourir de faim. Même si ce n’est pas aussi simple que cela, c’est quelque chose qui pourrait changer la partie de manière significative. L’hypothèse de Warburg était que la cause de la croissance du cancer était la transformation du glucose(sucre) en énergie par l’intermédiaire des cellules cancéreuses sans utiliser d’oxygène. Les cellules saines produisent de l’énergie en convertissant le pyruvate et l’oxygène. Le pyruvate est oxydé dans les mitochondries d’une cellule saine, et Warburg théorisa que puisque les cellules cancéreuses n’oxydent pas le pyruvate, le cancer doit être considéré comme un dysfonctionnement mitochondrial . 42 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي Les cellules cancéreuses ont un besoin élevé de glucose, en comparaison aux cellules bénignes du même tissu, et procèdent à la glycolyse même en présence d’oxygène (l’effet Warburg). De plus, de nombreuses cellules cancéreuses montrent des récepteurs de l’insuline (IRs) et montrent une hyperactivation de la voie IGF 1R-IR (récepteur IGF1/récepteur de l’insuline). Il existe des preuves qu’un taux élevé chronique de glucose dans le sang et des niveaux d’insuline et d’IGF-1, facilite la genèse des tumeurs et aggrave l’état de santé chez les patients atteints du cancer. Donc si vous supprimez le sucre vous ne devriez pas développer de cancer Faire mourir le cancer de faim : Le lien entre le sucre et le cancer n’a rien de nouveau. La plupart des gens peuvent facilement éliminer les coupables qui sont remplis de sucres raffinés : gâteaux, bonbons, biscuits, etc. Le problème est que de nombreux aliments qui sont emballés et vendus sont remplis de sucres raffinés qui sont cachés dans les étiquettes d’emballage. Le meilleur moyen d’éliminer les sucres raffinés indésirables est d’arrêter d’acheter des aliments tout prêts ou préemballés, et de bien choisir les restaurants où l’on va car de nombreux établissements se procurent leur nourriture auprès de grandes entreprises qui ajoutent beaucoup de sucre et de sel pour la rendre plus agréable au goût après avoir été congelée et transportée à travers le pays dans des camions. Même les vinaigrettes peuvent être remplies de sucre. Pour éviter d’avoir envie de grignoter des aliments remplis de sucre, mangez plus de légumes et de protéines animales (pas de viande rouge) et mangez plus d’aliments nutritifs. Organic Health, ESM www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Effects of High Doses of Vitamin C on Cancer Patients in Singapore: Nine Cases. Raymond YC1, Glenda CS2, Meng LK3. Author information Abstract INTRODUCTION: Intravenous high-dose vitamin C therapy is widely used in naturopathic and integrative oncology; however, a study reviewing its effects has never been performed in Singapore. This article serves to document administration of supportive vitamin C therapy for cancer patients in Singapore. METHODS: The clinical response of 9 cancer patients of differing stages to the regular administration of large doses (25-100 g/d) of intravenous vitamin C (IVC; ascorbic acid) is outlined. Tumor pathology and patient health were verified by doctors who do not practice vitamin C treatment. ORTHO 22 RESULTS: Cases suggesting survival beyond prognosis, improvement in quality of life, safe coadministration with and improved tolerance of conventional therapy, and deterioration in clinical condition following withdrawal of vitamin C therapy are documented clinically. Some patients experience the Jarisch-Herxheimer reaction-the release of endotoxin from microorganism death resulting in pimples, fever, and body odor-for a few hours after the therapy, but these are resolved quickly with no lasting effects. CONCLUSION: Randomized trials of IVC therapy are recommended because it has minimal side effects and has shown promising results. © The Author(s) 2015. KEYWORDS: ascorbic acid; cancer; high-dose vitamin C therapy; intravenous vitamin C; nutrition therapy ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 43 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE High-Dose Intravenous Vitamin C Combined with Cytotoxic Chemotherapy in Patients with Advanced Cancer: A Phase I-II Clinical Trial L. John Hoffer , Line Robitaille, Robert Zakarian, David Melnychuk, Petr Kavan, Jason Agulnik, Victor Cohen, David Small, Wilson H. Miller Jr. Published: April 7, 2015 - DOI: 10.1371/journal.pone.0120228 Abstract Background Biological and some clinical evidence suggest that high-dose intravenous vitamin C (IVC) could increase the effectiveness of cancer chemotherapy. IVC is widely used by integrative and complementary cancer therapists, but rigorous data are lacking as to its safety and which cancers and chemotherapy regimens would be the most promising to investigate in detail. Methods and Findings We carried out a phase I-II safety, tolerability, pharmacokinetic and efficacy trial of IVC combined with chemotherapy in patients whose treating oncologist judged that standard-of-care or off-label chemotherapy offered less than a 33% likelihood of a meaningful response. We documented adverse events and toxicity associated with IVC infusions, determined preand post-chemotherapy vitamin C and oxalic acid pharmacokinetic profiles, and monitored objective clinical responses, mood and quality of life. Fourteen patients were enrolled. IVC was safe and generally well tolerated, although some patients experienced transient adverse events during or after IVC infusions. The preand post-chemotherapy pharmacokinetic 44 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي profiles suggested that tissue uptake of vitamin C increases after chemotherapy, with no increase in urinary oxalic acid excretion. Three patients with different types of cancer experienced unexpected transient stable disease, increased energy and functional improvement. Conclusions Despite IVC’s biological and clinical plausibility, career cancer investigators currently ignore it while integrative cancer therapists use it widely but without reporting the kind of clinical data that is normally gathered in cancer drug development. The present study neither proves nor disproves IVC’s value in cancer therapy, but it provides practical information, and indicates a feasible way to evaluate this plausible but unproven therapy in an academic environment that is currently uninterested in it. If carried out in sufficient numbers, simple studies like this one could identify specific clusters of cancer type, chemotherapy regimen and IVC in which exceptional responses occur frequently enough to justify appropriately focused clinical trials. Trial Registration ClinicalTrials.gov NCT01050621 Figures www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 45 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Citation: Hoffer LJ, Robitaille L, Zakarian R, Melnychuk D, Kavan P, Agulnik J, et al. (2015) HighDose Intravenous Vitamin C Combined with Cytotoxic Chemotherapy in Patients with Advanced Cancer: A Phase I-II Clinical Trial. PLoS ONE 10(4): e0120228. doi:10.1371/journal.pone.0120228 Academic Editor: Robert K. Hills, Cardiff University, UNITED KINGDOM Received: July 16, 2014; Accepted: January 27, 2015; Published: April 7, 2015 Copyright: © 2015 Hoffer et al. This is an open access article distributed under the terms of the Creative Commons Attribution License, which permits unrestricted use, distribution, and reproduction in any medium, provided the original author and source are credited Data Availability: All relevant data are within the paper and its Supporting Information files. Funding: This research was supported by the Lotte & John Hecht Memorial Foundation, Vancouver, BC, Canada. The funders had no role in study design, data collection and analysis, decision to publish, or preparation of the manuscript. Competing interests: Ascorbic acid for injection was an unconditional gift from Alveda Pharma Canada, Ltd. Alveda Pharma Canada had no role in the design, implementation, analysis, interpretation or write-up of this study. This unconditional gift did not, and does not affect our adherence to all PLOS ONE policies on sharing data and materials. There are no relevant declarations relating to employment, consultancy, patents, or any other matter. Introduction Intravenous vitamin C (IVC) is a widely used alternative cancer treatment [1–3] whose objective of cancer delay, arrest or regression is supported by a large and fairly consistent body of cellular evidence [4–16] and some animal [17–20] and clinical evidence [21–23]. The United States National Cancer Institute provides detailed and upto-date information about the scientific status of IVC therapy (http://www.cancer.gov/cancertopics/pdq/cam/highd osevitaminc/healthprofessional) even though the 46 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE website Quackwatch condemns it as a fraud (http://www.quackwatch.org/01QuackeryRelatedTopi cs/Cancer/c.html). Indeed, despite the common use of IVC by integrative and complementary practitioners [3], there is a serious lack of systematic information pertaining to IVC’s safety and effectiveness in cancer therapy [3,21,22,24–27]. We and others have documented the safety and lack of serious side effects of IVC injections as sole therapy for advanced cancer [26,28,29]. Despite some indication of maintained quality of life when higher doses of the vitamin were infused, we did not observe anti-cancer effects when IVC was used as the sole treatment for advanced incurable cancer that had previously failed all other treatments. The present study was carried out to obtain information about the safety and tolerability of high-dose IVC when combined with cytotoxic chemotherapy. There is biological evidence that high extracellular or tissue concentrations of vitamin C (and other antioxidants) could reduce the toxicity of chemotherapy or increase its efficacy [12,30–33]. However, with the possible exception of adenocarcinoma of the pancreas [21,22] or ovarian cancer [23], no clinical information is available to indicate which cancer types and chemotherapy regimens could be augmented or antagonized by IVC. This clinical trial had four aims. The first aim was to document the side effects, toxicity and tolerability of IVC in combination with cytotoxic chemotherapy in a consecutive series of patients administered a dose of 1.5 g/kg body weight 2 or 3 times per week. The second aim was to determine the pharmacokinetic profiles of vitamin C and oxalic acid before and after chemotherapy. Chemotherapy and systemic inflammation cause antioxidant depletion, lowering plasma vitamin C concentrations [34–37], potentially increasing formation of vitamin C’s breakdown metabolite, oxalic acid and increasing the risk of calcium oxalate renal stone formation. The third aim was to identify “clusters” of cancer diagnosis and chemotherapy regimen associated with an unexpectedly favorable or unfavorable clinical course. Finally, patients were followed to assess ORTHO 22 their quality of life and mood while receiving IVC and chemotherapy. Methods Clinical trial designation and design This was an early-phase clinical trial whose primary aim was to identify serious adverse events and toxicity related to the combined use of IVC and chemotherapy. The primary aim of phase I clinical trials is to identify a safe and tolerable dose of the investigational drug by administering increasingly large doses to small successive cohorts of volunteer patients, with secondary aims of determining pharmacological and metabolic parameters and screening for indications of clinical benefit [38]. The primary aim of phase II trials is to test for clinical effectiveness using the safe and tolerable dose identified in a phase I trial [39,40]. Phase IIA trials are pilot studies that screen for treatment activity, whereas phase IIB trials are either randomized controlled trials or employ only a single treatment arm which, in principle, should rely on historical or other information as the standard of comparison. The target number of participants is recommended to be determined by the anticipated response based on such prior information. However, some published trials designated as phase I have used only a single dose [22] and some phase II trials set toxicity as their primary aim [39]. The dose of IVC used in this study had been determined in our previous phase I clinical trial of IVC alone [26]. We set toxicity and tolerability as the primary aim despite its record of tolerability in suitably screened people, because there is a dearth of rigorous information about its interactions with standard anti-cancer drugs. The heterogeneity in cancer diagnoses and chemotherapy regimens and the lack of useful historical information in this setting precluded using a statistical model to predict the minimum number of patients to enroll to detect a clinical benefit at a predetermined level of statistical significance. We designate this study as a phase I-II clinical trial, but it could also be described as a single dose phase IIA pilot study [39]. The target enrollment of 24 participants was chosen as the ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 47 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE maximum number of patients anticipated to be enrolled within the limitations of time and available funding [40], similar to our earlier, similarly funded phase I trial [26]. Prior to commencing the treatment protocol and after every two chemotherapy treatment cycles (or every two months of continuous therapy, whichever was longer) all the participants were evaluated by computerized tomographic imaging (CT) of the chest, abdomen and pelvis for possible response to treatment, using the Response Evaluation Criteria In Solid Tumors (RECIST 1.0) criteria [41]. Adverse events were evaluated using National Cancer Institute clinical criteria 3.0 [42]. The clinical trial was carried out among patients attending a large medical school-affiliated cancer centre with an attached clinical research unit that specializes in early-phase clinical trials of novel cancer therapies. The eligibility criteria included good functional status (Eastern Cooperative Oncology Group (ECOG) class 0 or 1, normal erythrocyte glucose-6-phosphate dehydrogenase activity, a serum creatinine concentration not greater than 175 μmol/L, and the judgment of the treating oncologist that standard-ofcare or off-label cytotoxic chemotherapy, while feasible, offered less than a 33% likelihood of an objective clinical response. The main criteria for discontinuation were unacceptable IVC toxicity or disease progression after a minimum of two chemotherapy treatment cycles [41]. The patients’ primary oncologists prescribed the chemotherapy regimen they considered as the most rational in this situation and supervised its administration in the cancer treatment unit. IVC was administered in the nearby clinical research unit. The trial was approved by Health Canada and the Research Ethics Committee of the Jewish General Hospital. The aims, procedures, and potential adverse effects of the study were explained verbally to every eligible and interested patient, who then studied the informed consent document, provided verbal and written consent, and retained a personal copy of the document for reference. After the first patient was 48 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي successfully enrolled and it was clear that the protocol was feasible, the study was formally registered at clinicaltrials.gov on January 11, 2010 (NCT01050621). The first participant was enrolled March 13, 2009, the second on January 8, 2010, and the final participant completed the protocol on February 18, 2013. Enrollment in the study stopped when the research funding that enabled it was spent. There are no other related or ongoing clinical trials at this center. The full protocol for this trial and supporting TREND checklist are available as supporting information; see S1 TREND Checklist and S1 Protocol. IVC infusion protocol The IVC infusion protocol was previously described [26]; it is based on a well-known protocol developed by Riordan et al [43,44]. Vitamin C infusates were prepared using ascorbic acid 500 mg/mL for injection USP (supplied as single-use 50 mL glass ampules) as a gift from Alveda Pharma Canada, Ltd. The stock solution was diluted in sterile water to achieve an osmolarity of approximately 900 mOsm/L. Any air bubbles formed during preparation were promptly evacuated. The solutions were delivered to the clinical research unit covered by an opaque bag, allowed to come to ambient temperature, and infused by calibrated infusion pump within one hour of preparation. Water and other drinks (preferably sugar-free) were provided and the patients encouraged to consume them freely before, during and after IVC infusions. The dose of vitamin C was 1.5 g/kg body weight when the body mass index (BMI) was 30 kg/m2 or less, and normalized to the body weight corresponding to BMI 24 kg/m2 for patients with a BMI > 30. The vitamin was infused at a constant rate over a period of 90 minutes for doses up to 90 g, and over a period 120 minutes for doses > 90 g. IVC was infused three times (at least one day apart) on week days during weeks when chemotherapy was administered (but not on the same day as intravenous chemotherapy) and any two days at least one day apart during weeks when no chemotherapy was given. www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Pharmacokinetic studies Less than 7 days before the first chemotherapy dose, participants were administered a sub-maximal dose of vitamin C (0.6 g/kg of ascorbic acid) by continuous infusion over a period of 90 minutes. Plasma vitamin C concentrations and vitamin C and oxalic acid urinary excretion were measured during the infusion and over the following 4 hours as previously described [26,45]. The same study was repeated approximately 3 days after chemotherapy administration. These studies were carried out in 12 of the 14 participants. The dose of 0.6 g/kg was chosen to allow sensitive detection of any reduction in peak vitamin C concentration or reduced urinary excretion, which would indicate any increase of vitamin C cellular uptake or increased catabolism caused by the chemotherapeutic agent. Monitoring Upon study entry and at the beginning of every 4 week cycle, patients underwent a physical examination and laboratory evaluations that included a complete blood count, serum chemistries, the coagulation profile, the inflammation marker Creactive protein (CRP), and the following tumour markers when appropriate: carcinoembryonic antigen (CEA), cancer antigen 125 (CA-125), cancer antigen 15–3 (CA-15-3). CT examinations were performed for staging and tumour response within 4 weeks prior to the first IVC infusion and after approximately every second chemotherapy cycle. Participants completed the FACT-G quality of life (Functional Assessment of Cancer Therapy— General) questionnaire, in which scores range from 0 to 108 [26]. The total mood disturbance (TMD) score of the Profile of Mood States-B questionnaire [37] was used to assess mood state (scores range from -20 to 100; higher values indicate greater mood disturbance). These questionnaires were administered at baseline, after 2 weeks on protocol and approximately monthly thereafter. Toxicity assessments were performed continuously while on the trial. Every patient was followed by his or her own oncologist, the nurses in the oncology treatment unit, the nurses in the clinical research unit, and the ORTHO 22 investigators. The duration of known stable disease was defined as the number of days from the first IVC infusion to the last CT scan that documented stable disease. Results In addition to the cases described below, 17 patients were brought to our attention as interested and potentially eligible but ultimately were not formally evaluated nor enrolled because their clinical condition deteriorated, they opted to participate in another clinical trial, decided that participation would be too time consuming, or for other reasons. No further information was obtained about these patients since they did not participate in the clinical trial. As shown in the flow diagram (Fig 1) two patients were formally enrolled in the protocol but their condition deteriorated before IVC therapy could get underway. Consequently, no relevant clinical information was obtained about these patients. The fourteen patients who participated in the protocol are the subject of this report (Fig 1). Their characteristics are shown in Table 1, and the details of their treatment are shown in Table 2. The heterogeneity of diagnoses, treatments, and clinical courses was too great to make a simple summary table of responses meaningful. ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 49 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Fig 1. Flow diagram. doi:10.1371/journal.pone.0120228.g001 Table 1. Patient characteristics at study enrollment. doi:10.1371/journal.pone.0120228.t001 Table 2. Metabolic and treatment details. doi:10.1371/journal.pone.0120228.t002 Adverse effects and toxicity IVC was nontoxic for all participants. Thirst and increased urinary flow were predictable and common minor symptoms during all IVC infusions. Three patients experienced notably unpleasant side effects: nausea and occasional vomiting during the IVC infusion (patient 4); thirst and an unpleasant fluttering sensation in the upper abdomen during the IVC infusion and a mentally hazy feeling the day after it (patient 7); chills, thirst, headache, and a rumbling feeling during the IVC infusion, as well as increased leg edema for a few days after each infusion (patient 10). Pharmacokinetics As shown in Table 2, only two patients in this trial (patients 2 and 6) had hypovitaminosis vitamin C when they entered the study. Pre- and postchemotherapy plasma and urinary vitamin C and urinary oxalic acid pharmacokinetic profiles were 51 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي obtained in 12 of the 14 participants (see Fig 1 and Table 3). The plasma vitamin C concentration-time profile was not affected by chemotherapy (Fig 2), but the urinary excretion profiles suggested at least shortterm tissue retention of the vitamin following chemotherapy with no increase of urinary oxalic acid excretion. Urinary oxalic acid excretion represented a trivial proportion of the infused dose both before and after chemotherapy. The individual values for vitamin C and oxalic acid concentrations and vitamin C timecourse profiles are available as supporting information; see S1 Text. Fig 2. Mean plasma vitamin C concentrations ± SEM (N = 12) during and following infusion of 0.6 g/kg vitamin C, before (■) and after (○) chemotherapy. AUC (areas under the curve) were not significantly different (p = 0.146, paired t-test). doi:10.1371/journal.pone.0120228.g002 Table 3. Pharmacokinetic profiles before and after chemotherapy. doi:10.1371/journal.pone.0120228.t003 www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Analysis of the individual data confirmed the accuracy of a previous empirically developed formula [26] for predicting the post-infusion peak plasma vitamin C concentration in a patient with normal renal function, namely, plasma vitamin C concentration (g/L) = 3.75 D/W, where D is the ascorbic acid dose in g, and W is body weight in kg. (To convert g/L to mmol/L, multiply by 5.7. For example, a patient with body weight 70 kg infused 105 g vitamin C will have a peak plasma vitamin C concentration of 5.6 g/L = 32.0 mmol/L.) Clinical responses Two patients who enrolled in the study deteriorated so rapidly, in ways that could not reasonably be attributed to IVC therapy, that no conclusion about its benefit or harm was possible (patients 8 and 14). Six patients experienced neither objective nor subjective benefit as a result of their participation in the clinical trial (patients 2, 3, 4, 5, 9, 12). Four of them had advanced colorectal cancer (patients 2, 3, 4, 5); the others had cancer of the ovary (9) and breast (12). Six patients experienced either transient stable disease (patients 1, 6, 7) or longer-lasting but impermanent stable disease (10, 11, 13). Three patients (patients 10, 11, 13) had unusually favorable experiences that were deemed highly unlikely to result from chemotherapy alone (probability much less than 33%). One patient had transient stable disease with increased energy and strong functional improvement with a marked reduction in tumor-related leg edema even though her chemotherapy consisted merely of infrequent infusions of a drug that had previously been found to be ineffective when given much more frequently (patient 10). A second patient experienced stable disease for approximately 14 months despite having cancer of the ampulla of Vater, a chemotherapyresistant cancer that had earlier progressed during empirical chemotherapy (patient 11). The third patient experienced stable disease and improved well-being even though chemotherapy had been deemed highly unlikely to be beneficial (patient 13). In order to portray the entire clinical outcome of this trial, the experience of every participant is ORTHO 22 summarized in the following paragraphs. More detailed individual case information is available as supporting information; see S2 Text. Case 1. At age 73 this previously healthy woman was found to have asymptomatic stage IV adenocarcinoma of the lung. She received IVC plus standard first-line chemotherapy (carboplatin and docetaxel in 3-week cycles). Stable disease was documented after the second treatment cycle. After the fourth cycle the original target lesions remained stable but a new nodule of unstated size was detected in the posterior apex of the right lung. The oncologist determined that this new lesion was proof of cancer progression and the protocol was terminated. Apart from the side effects of her chemotherapy, the patient remained well with normal quality of life. She experienced no adverse events attributable to vitamin C. Her CRP level remained normal and constant. During the period of IVC infusion the FACT-G score was constant. The TMD score improved from -6 to -14. Duration of stable disease: 46 days. IVC duration: 85 days (28 infusions). This patient with advanced lung cancer had stable disease after 2 cycles of chemotherapy, but after 2 more cycles there was evidence of progression in the form of a small new lung mass. Patients with stage IV lung cancer usually experience progressive disease after first-line chemotherapy. This patient’s brief period of stable disease could have been due to her chemotherapy, the combination of chemotherapy and IVC, or the natural history of her disease. Case 2. At age 54 this man was found to have colon cancer with spread to his abdominal and pelvic lymph nodes, liver and lungs. After resection of the primary lesion he received adjuvant chemotherapy followed by several different chemotherapy regimens, including irinotecan, but none of them halted the cancer’s progression. He enrolled in the IVC trial and was treated with irinotecan, fluorouracil, folinic acid and bevacizumab at 2 week intervals. After 6 weeks of treatment bilateral leg swelling developed and a CT scan showed disease ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 50 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE progression. The protocol was discontinued. His serum CRP concentration, which was markedly increased at trial entry (148 mg/L), decreased moderately during treatment on the protocol. The FACT-G was constant and TMD score improved from 22 to 16. IVC duration: 34 days (15 infusions). IVC and chemotherapy were administered for 34 days without toxicity, side effects or benefit. Case 3. At age 68 this man was found to have an invasive well-differentiated adenocarcinoma of the colon with spread to regional lymph nodes. A right hemicolectomy was performed. The cancer progressed despite 3 years of chemotherapy. He enrolled in the protocol, which included two-week cycles of irinotecan, fluorouracil and folinic acid. After the fifth cycle a CT scan indicated progression of all the intra-abdominal implants. The protocol was discontinued. The serum CEA concentration, which was approximately 130 ng/mL at protocol entry, increased to approximately 200 ng/mL during combined chemotherapy and IVC. The CRP concentration was normal on trial entry and remained so. The FACT-G score was constant. The TMD score improved from 2 to -8. IVC duration: 72 days (26 infusions). IVC and chemotherapy were administered for 72 days without toxicity, side effects or benefit. Case 4. This woman was diagnosed with rectal cancer at age 45 with residual cancer present following surgery. She received chemotherapy and radiotherapy. Five years later the cancer recurred locally and in the form of a pre-sacral tumour mass with involvement of the cervix. There was no response to two different chemotherapy regimens and local brachytherapy. She enrolled in the IVC trial. Chemotherapy on protocol consisted of two weeks of daily oral capecitabine followed by a one week rest period. Early during treatment the patient volunteered that she experienced increased energy after IVC infusions, but later on began to experience nausea and occasional vomiting near the end of the infusions. The nausea was unrelieved either by restricting her consumption of sugary drinks during the infusions or reducing the IVC dose, and she had 52 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي to withdraw from the study. A CT scan carried out 16 days after study withdrawal indicated that a previously identified target nodule in the right upper lobe of her lung had increased in size, evidence of disease progression. Her serum CRP remained high and approximately constant throughout the course of treatment. The FACT-G score did not change. The TMD score worsened from 9 to 22. IVC duration: 41 days (13 infusions). Despite initially feeling increased energy following IVC infusions, this patient ultimately withdrew from the trial because the infusions induced nausea and occasional vomiting. There was no benefit from IVC and chemotherapy. Case 5. This woman was found to have rectal cancer at age 56. She underwent a hemicolectomy followed by chemoradiation therapy. The disease recurred a year later and further surgery was carried out. However, three months afterwards the cancer was found to have spread to her liver and lungs, and it continued to progress despite two different chemotherapy regimens. The patient enrolled in the IVC trial, taking oral capecitabine tablets daily for 2 weeks followed by a one week rest period. At the time of enrollment the CT scan showed liver and bilateral pulmonary nodules; the serum CEA concentration was 27 ng/mL. After 2 months on the protocol a CT scan showed an increased size of the lung and liver nodules; the serum CEA concentration doubled. The CRP remained normal. Disease progression was diagnosed and the protocol was discontinued. The FACT-G score was constant. The TMD score worsened from -9 to 3. IVC duration: 62 days (24 infusions). This patient’s rectal cancer had progressed despite many previous chemotherapy regimens, and it continued to progress despite IVC and chemotherapy. Case 6. This man was found at age 53 to have an invasive, moderately differentiated adenocarcinoma of the rectum with spread to his regional lymph nodes, liver and lungs, treated by hemicolectomy and chemotherapy. The cancer progressed despite two different chemotherapy regimens. The patient www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE enrolled in the IVC protocol with irinotecan administered at 3 week intervals. The baseline CT scan indicated many metastatic lesions in his lungs, liver and abdominal lymph nodes. The serum CEA concentration was 532 ng/mL. After 4 cycles of chemotherapy all the lesions had increased in size, but by less than 20% and hence did not meet the criteria for disease progression. Further CT imaging 6 weeks later definitely showed progression and identified new brain metastases. The protocol was discontinued. During treatment the serum CRP concentration increased from a baseline of 30 mg/L to 120 mg/L. The CEA concentration approximately doubled. The FACT-G score decreased from 76 to 66. The TMD score improved from 13 to -1. Duration of known stable disease: 44 days. IVC duration: 114 days (37 infusions). This patient with advanced rectal carcinoma unresponsive to previous chemotherapy received IVC and chemotherapy without adverse events, toxicity or benefit. Case 7. This man was found at age 56 to have colon cancer with spread to his liver and lungs. Despite four different chemotherapy regimens over the next 3 years the cancer ultimately progressed. Upon enrollment in the IVC trial he received 3-week cycles of irinotecan, bevacizumab and capecitabine. The serum CEA concentration was 359 ng/mL; the CRP concentration was normal. The IVC infusions produced epigastric discomfort and a fluttering feeling in his upper abdomen, occasionally bordering on nausea, during the final minutes of every infusion. Additionally, he experienced fatigue and a hazy mental feeling which persisted over the day following an infusion. He experienced stable disease for 3.5 months, at which time a CT scan indicated increased size of one liver mass. The protocol was terminated. During the period of stable disease the serum CEA concentration doubled. The FACT-G score was constant. The TMD score varied without a directional change. (This patient subsequently experienced an important biochemical and clinical remission when treated with the biologic agent, ORTHO 22 panitumumab.) Duration of known stable disease: 54 days. IVC duration: 115 days (40 infusions). This patient with progressive chemotherapyresistant colon cancer experienced unpleasant but tolerable side effects during IVC and chemotherapy with transient stable disease. Case 8. This 61 year old man underwent a radical cystectomy with creation of an ileal urinary conduit for high grade bladder carcinoma. At surgery he was found to have direct extension of the cancer beyond the bladder with perineural invasion and regional lymph node involvement. He received many different chemotherapy regimens without benefit, and was enrolled in the IVC trial. At the time of enrollment he was taking approximately 30 g/day vitamin C by mouth, and his plasma vitamin C concentration reflected this (see Table 2). The chemotherapy regimen consisted of 3-week cycles of gemcitabine and cisplatin. However, after the first dose of chemotherapy and 4 therapeutic IVC infusions he developed fever, confusion and hypotension from gram-negative sepsis. Chemotherapy and IVC infusions were stopped and the protocol was terminated. IVC duration: 12 days (6 infusions). No conclusion about IVC and chemotherapy can be drawn from this case. Case 9. At age 65 this woman was found to have cancer of the left ovary with peritoneal involvement and ascites. Her cancer progressed despite neoadjuvant chemotherapy, repeated surgical interventions and different chemotherapy regimens. She was enrolled in the IVC protocol, which involved carboplatin infusions at 3 week intervals. The IVC infusions caused thirst and shakiness that were mitigated by slowing the infusion rate. After 3 cycles of carboplatin her large lower abdominal mass increased in size, a clear clinical indication that her disease was progressing. The protocol was terminated. There was no change in quality of life. During this time the CA-125 concentration approximately doubled. The CRP concentration decreased from 32 mg/L to approximately 15 mg/L. FACT-G and TMD scores were inadequately ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 53 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE obtained for this patient. IVC duration: 83 days (24 infusions). This 67 year old woman with advanced chemotherapy-resistant ovarian cancer experienced mild side effects and no benefit from IVC and chemotherapy. Case 10. This woman was diagnosed with poorly differentiated stage II B adenocarcinoma of the cervix at age 43. Several cycles of cisplatin, external radiotherapy and brachytherapy brought about clinical remission, but the disease recurred two years later and hospice care was recommended to her. Instead she came to this hospital where treatment with carboplatin and paclitaxel led to a dramatic clinical improvement with virtual disappearance of disabling bilateral leg edema due to intrapelvic lymph node invasion by the cancer. Carboplatin therapy continued (with carboplatin desensitization after a severe allergy to it developed) but the patient was unable to tolerate the physical and mental disability it caused, so the regimen was changed to paclitaxel at weekly intervals. On this therapy the cancer progressed. The patient enrolled in the IVC protocol. Chemotherapy consisted simply of paclitaxel infused at three week intervals. She also took 10,000 IU per day of vitamin D. After 4 weeks on the protocol the patient experienced a marked improvement in her energy level that lasted for a few days after each IVC infusion. Her feeling of well being and increased energy occurred despite unpleasant symptoms of chilliness, thirst, headache, rumbling feelings and shakiness while the IVC infusion was in progress and despite an increase of her right leg edema after each infusion that required several days to regress. She contrasted the feeling of well being associated with IVC infusions to the “bloated-fatigued” feeling that had become the normal condition of her life with her disease. The symptoms of shakiness, headache and thirst were eliminated by slowing the IVC infusion rate. Stable disease was documented after two months on the protocol despite previous progression when the same chemotherapy was given much more frequently. At this point the patient chose to 54 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي discontinue the paclitaxel injections entirely and requested IVC therapy alone; the request was granted. The patient continued to feel well with IVC therapy, stating that she felt globally better than at any time in the last 4 years. Marked right leg edema had been her most prominent physical symptom, and over the course of protocol it decreased in volume by approximately one half. For the first time in several years she was able to walk 1 km/day and attend her local gym to go swimming. She attributed her sense of well-being to the IVC infusions and continued to refuse chemotherapy. After a total 175 days of IVC therapy a CT scan showed local disease progression. Two weeks later she suddenly experienced twitching of her right arm and face. A CT scan of the head showed a left frontal cortical mass. All anti-cancer therapy treatment, including vitamin C, was stopped, and she entered hospice care. Upon study enrollment the serum CA-125 concentration was 230 U/mL. The concentration steadily increased during IVC and chemotherapy to a maximum of 1030 U/mL. The FACT-G score improved during IVC. The TMD score varied widely without a directional trend. Duration of known stable disease: 84 days. IVC duration: 193 days (57 infusions). This 48 year old woman had advanced poorly differentiated cancer of the cervix that progressed despite paclitaxel infusions every 7 days but was stable when IVC was infused together with paclitaxel administered only every 3 weeks, with improved quality of life. The improved quality of life may partly have been due to simple avoidance of the side effects of chemotherapy. Subsequent IVC alone did not arrest disease progression. Case 11. At age 54 this woman required emergency placement of a biliary stent and cholecystostomy tube to treat biliary tract obstruction by adenocarcinoma of the ampulla of Vater with multiple liver metastases. Five cycles of intravenous gemcitabine and oral capecitabine failed to halt the cancer’s progression. The patient enrolled in the IVC trial, receiving 3 week cycles of intravenous oxaliplatin and oral capecitabine. The baseline CT www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE scan showed innumerable scattered hypodensities throughout the liver. The serum CEA concentration was 30 ng/mL. The patient maintained good functional status and stable disease for 17 months, at which time a CT scan indicated a small new lung nodule, worsening bile duct dilation, and enlargement of a previously stable liver nodule. The CEA concentration remained constant and the CRP level remained normal or near-normal. The extraordinary period of time this patient had enjoyed stable disease encouraged her oncologist to continue the IVC while he considered an alternative chemotherapy regimen, so IVC therapy continued twice weekly for 3 more months, at which time the oncologist concluded that he could not scientifically justify any other chemotherapy regimen, and the protocol was terminated. A few days later the patient suffered a fall and was found to have a large metastatic lesion involving the C2 vertebral body. She was admitted to hospital for palliative radiation and hospice care. During her time on the IVC protocol the FACT-G score did not change. The TMD score fluctuated without any directional trend. Duration of known stable disease 397 days. IVC duration: 580 days (173 infusions). While receiving IVC and chemotherapy this patient experienced an unexpected and unprecedentedly long period of stable disease with maintained quality of life despite a previously progressive chemotherapy-resistant cancer of the ampulla of Vater. Case 12. At age 50 this woman was found to have right breast cancer treated with several cycles of neoadjuvant chemotherapy, surgery, radiotherapy and tamoxifen. The cancer recurred a year later, and it progressed despite treatment with several anticancer drugs She enrolled in the IVC protocol, receiving capecitabine and trastuzumab every 2 weeks. Her CA 125 and CA 15–3 concentrations, already high at baseline, increased further on the protocol. She experienced no adverse effects of toxicity attributable to the IVC, but found the time commitment and inconvenience of continued participation too onerous, and withdrew from the ORTHO 22 study. Her FACT-G score did not change, and the TMD score varied without any net change. IVC duration: 46 days (15 infusions). This patient experienced neither adverse effects nor benefit from IVC and chemotherapy. Case 13. At age 63 this man was found to have a poorly differentiated epidermoid carcinoma involving his tonsils, with invasion of the base of the skull, paranasal and sphenoid sinuses and chest. Radiotherapy and 3 cycles of carboplatin and fluorouracil eliminated all these lesions, but the disease recurred 3 years later. His oncologists told him that futher chemotherapy was futile. He instead came to our institution and was enrolled in the IVC protocol, receiving carboplatin and docetaxel in 3 week cycles. The baseline CT scan showed a large destructive mass in the left nasal cavity with destruction of the medial wall of the left maxillary sinus and nasal turbinates and extension into the sphenoid sinus, destroying the floor of the left orbit and extending into his left maxillary bone, parapharyngeal soft tissues and left hard palate. There was a large metastatic lesion in the left upper lobe of his lung. Within 2 months on the protocol there was clear-cut improvement in hearing in his left ear. His mostly occluded left nasal passage became free, allowing him to sleep normally for the first time, and he could open his jaw more fully. After three more cycles a CT indicated stable disease. Approximately 3 cycles after that, he reported that hearing acuity in his left ear had worsened again, although he also experienced decreasing numbness in his left jaw. The CT scan showed decreased overall size of the extensive tumor mass that was invading his sinuses and the base of his skull, but since the decrease in size was < 15%, his status was evaluated as stable disease. The patient felt very well, exercised frequently, and decided to take a two-week vacation that required discontinuing the IVC and chemotherapy. During the final days of the vacation he sensed increasing pressure in his hard palate. A CT scan carried out upon his return indicated increased size of the tumor mass. Even though the increase in size was less than 30% and ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 55 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE hence classified as stable disease, the general picture was one of disease progression. It was decided to continue the IVC and change the chemotherapy to gemcitabine and capecitabine. After two cycles the tumor progressed further, and the protocol was terminated. During his time on the protocol the FACT-G score improved from 66 to 83. The TMD score improved from 6 to -1. The CRP concentration was normal or near-normal throughout. Duration of stable disease 112 days. IVC duration: 220 days (65 infusions). Despite a nearly hopeless prognosis this patient experienced a temporary but important symptomatic and functional improvement with temporary stable disease during treatment with IVC and chemotherapy. Case 14. This man was diagnosed at age 53 with small cell carcinoma of the lung with a brain metastasis which initially responded to chemotherapy and radiation therapy to the chest and brain, but the cancer recurred within 3 years. He enrolled in the IVC trial with the plan to administer paclitaxel every second week. Despite concern that the patient’s dyspnea might be worsened by the hyperosmolar IVC infusion, treatment proceeded. Careful monitoring indicated no increase in dyspnea, and oxygen saturation was unchanged during the IVC infusions. Despite treatment, his dyspnea steadily worsened to the point that the protocol was terminated. IVC duration: 11 days (6 infusions). This patient was enrolled at an advanced stage of disease, and his clinical condition continued to worsen during the two weeks he was on the protocol. High-dose IVC and chemotherapy did not worsen his dyspnea. Discussion This was a consecutive case phase I-II clinical trial of IVC combined with cytotoxic chemotherapy in patients whose treating oncologist judged that standard-of-care or off-label chemotherapy offered less than a 33% likelihood of a meaningful objective response. We and others have documented IVC’s safety and lack of serious side effects when administered as 56 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي the sole therapy for advanced chemotherapyresistant cancers, but also its lack of an objective anti-cancer effect as determined according to RECIST guidelines [26,28]. On the other hand, recent preliminary evidence suggests that the addition of IVC to conventional chemotherapy could increase its efficacy or reduce its toxicity [21–23,29]. The patients enrolled in this clinical trial could differ importantly from patients participating in trials carried out in an integrative, complementary or alternative medicine setting. They had typically undergone several previous treatments including offlabel conventional therapy. We registered the experience of every patient who was enrolled to avoid the bias of cherry-picking more interesting cases. A number of patients were brought to our attention as interested and potentially eligible but ultimately did not participate. Patients with advanced incurable cancers accept or refuse enrollment in early-phase clinical trials for many reasons [46,47]. The decision process is even more complicated in the case of complementary, integrative or alternative therapy [48]. This study indicates that combination IVCchemotherapy is non-toxic and generally well tolerated when safeguards and mitigating procedures are used. Adverse events may nevertheless occur. These adverse events, pre- and post-chemotherapy vitamin C kinetics, and the participants’ clinical responses are discussed in the following paragraphs. Adverse effects and toxicity The adverse symptoms associated with high-dose IVC infusions do not appear to be caused by the ascorbate molecule, but instead by the temperature of the infused solution, its osmolarity, and the sodium load delivered. Any solution rapidly infused at room temperature may cause chills, a problem that can be mitigated by explaining the situation to the patient, allowing the solution to be close to room temperature when infused, and adjusting the infusion volume and rate within reasonable parameters. Any hyperosmolar solution will induce thirst and cause a solute urinary diuresis associated www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE with feelings of shakiness, pressure or discomfort. These symptoms can be prevented or mitigated by an appropriate adjustment of the dose and/or infusion rate. Symptoms are much milder when the patient starts out well-hydrated and remains so during the infusion. Frequent visits to the bathroom are expected and unavoidable. The sodium load imposed by IVC infusions can create a problem. Caution or avoidance may be necessary in patients with extracellular fluid sequestration, as occurs when venous return from a limb is restricted or in the presence of entrapped third space accumulations such as pleural or pericardial effusions. One patient with advanced lung cancer and dyspnea received IVC with careful monitoring without any drop in oxygen saturation or worsening of his dyspnea. Nonentrapped third space accumulations do not necessarily represent a problem. One patient with advanced gastric cancer and extremely distressing ascites was admitted to hospital for hospice care. Although he was ineligible for enrollment in the clinical trial, he and his family urgently requested offtrial IVC therapy on compassionate grounds. IVC smoothly eliminated the ascites and greatly improved his quality of life. In humans, vitamin C and its metabolites are eliminated only by the urinary route. Consequently, high-dose IVC is contra-indicated when renal function is compromised [45]. Finally, it should be noted that high plasma vitamin C concentrations interfere with most skin-prick or blood glucose measurements by generating either a falsely high or falsely low result [49,50]. For this reason, it is important not to measure (or if inadvertently measured, discount) the blood glucose concentration indicated by such tests until 12 hours after an IVC infusion has ended. If necessary, serum glucose can be accurately measured using the hexokinasemethod. Pharamacokinetic profile Pharmacokinetic studies were carried out to determine whether the pro-oxidant effect of chemotherapy alters vitamin C’s pharmacokinetic profile and increases formation and urinary excretion ORTHO 22 of its breakdown metabolite, oxalic acid. Chemotherapy had no effect on the plasma vitamin C time profile, but a greater fraction of the dose appeared to be retained within the tissues (at least temporarily) following chemotherapy, with no increase in urinary excretion of the breakdown metabolite, oxalic acid (see Table 3). Since ascorbic acid breakdown to oxalic acid can increase the risk of renal stone, this finding addresses an important safety concern regarding the concurrent use of IVC and chemotherapy. We verified the accuracy of a previously described vitamin C dose selection equation for achieving peak plasma concentrations in patients with normal renal function [26]. A formula of this kind is useful because many IVC trials base the dose on a target postinfusion plasma vitamin C concentration [22]. Objective anti-cancer effects Eligibility for this clinical trial was contingent on the treating oncologist’s judgment that there was a less than 33% likelihood that chemotherapy alone would lead to temporary stable disease or regression. Six of the 12 patients whose response could be evaluated experienced either brief or longer lasting disease stabilization with symptomatic improvement. Three cases, in which the likelihood of a response was judged to be very much less than 33%, had unusually favorable clinical trajectories that could represent exceptional responses or “index cases” for future studies that focus on these cancer types (cervix, biliary tract, and head and neck). On the other hand, 6 patients with colorectal cancer had disappointing experiences, suggesting that chemotherapy-resistant advanced colorectal cancer may be a poor target for future clinical trials of IVC plus conventional chemotherapy. Quality of life and mood It is a common anecdotal experience that IVC produces a boost in energy or well being, and some formal evidence supports the possibility [51–54]. The report of a boost in energy by 3 of the participants in this trial echoes similar reports by patients in our earlier clinical trial [26]. Not all patients had this experience, however. The quality of life and mood ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 57 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE questionnaires used in this study would not capture this effect, since they were administered at intervals of weeks, whereas the energy boost associated with IVC appeared to last for only a few days after each vitamin infusion. Beneficial effects of IVC on mood and energy level may be unrelated to its potential anti-cancer effects. Two clinical trials reported improved quality of life [52] or mood [54] with IVC therapy that involved doses of 10 g or less. Strengths and weaknesses This study has important weaknesses inherent in phase I clinical trials, including a low enrollment rate. The patients referred by their oncologists for participation represented a very small fraction of the potentially eligible ones treated in this large cancer treatment center. With one exception (patient 1, who received IVC together with first-line chemotherapy for lung cancer), all of them had very advanced disease that had failed several other treatments. Consequently, the patients enrolled in the study cannot be considered representative of all patients with chemotherapy-resistant cancers. Another weakness is the absence of a control group that would provide assurance that the unusually favorable clinical trajectories of three of the patients is attributable to the addition of IVC to their chemotherapy. No such assurance can be given, other than the clinical judgment of their oncologists that the improvement they experienced had a probability that was much less than 33%. Statistically improbable responses to ineffective chemotherapy do occur—it is for precisely this reason that off-label, ineffective and unproven chemotherapy is very common in conventional cancer care. A final weakness is the fact that disease progression was the protocol-terminating event. The study did not assess long-term survival or long-term quality of life. These are what matter most to patients, but their assessment would require a different and more costly clinical trial design. Thus, this study was not designed either to prove or disprove that the addition of IVC to conventional chemotherapy improves clinical outcomes in cancers of biliary tract, cervix and head and neck, 58 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي but it did identify these cancer types as potential future clinical targets. The study has strengths. It provides useful clinical information about the safety and side effects of IVC and information about its pharmacokinetic profile. In agreement with other reports, our results suggest that IVC is acceptably safe and that it does not necessarily block the beneficial effects of chemotherapy [23,29,32,55,56], justifying its continued use in clinical trials [21–23]. Finally, even though this study does not in itself provide evidence that the addition of IVC to conventional chemotherapy will improve the clinical outcomes of patients with cancers of the biliary tract, cervix or head and neck, it does suggest that similar exceptionally favorable responses by other patients with these kinds of cancer would be important to know about. Any role for IVC in cancer therapy, if there indeed is one, will ultimately emerge from new basic understanding of cancer biology [57]. Pending such discoveries, and given IVC’s widespread use by integrative and complementary cancer therapists, our study protocol illustrates the potential value of an individual case-centered evaluation strategy called “discovery in clinical practice” that has been advocated for discovering new indications for conventional drug therapies [58]. Our study demonstrates that it is feasible and relatively inexpensive to objectively document clinical responses with the aim of identifying specific clusters of cancer type, chemotherapy and an appropriate IVC regimen in which unusually favorable clinical courses are over-represented. If identified, such clusters could become the focus of future, definitive clinical trials. Conclusions A chief interest of this early-phase cancer trial for general readers is the paradoxical nature of IVC therapy. Despite its biological and clinical plausibility, with only rare exceptions [11] it is ignored by conventional cancer investigators and funding agencies even as integrative and complementary cancer therapists prescribe it widely, without reporting the kind of clinical data that is www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE normally gathered in conventional cancer drug development [27]. The present state of cancer chemotherapy is unsatisfactory. New cancer drugs continue to be developed and approved on the basis of marginal improvements in survival at an unsustainably high financial cost [59]. It would seem more rational for cancer investigators to attempt to improve the effectiveness of well known, inexpensive generic cancer chemotherapies by studying their clinical interactions with antioxidants, especially vitamin C [32]. However, the lack of financial reward and tainted association with alternative medicine could dissuade conventional investigators and funding agencies from seriously considering this approach. At present, the few cancer clinical trials of IVC being carried out are, like this one, small and supported by limited funding from integrative cancer foundations. Even if serious interest in funding and carrying out large, formal clinical trials were to develop, data are lacking as to which cancers and chemotherapy regimens to focus on. The present study neither proves nor disproves IVC’s value in cancer therapy. The present data indicate it would be premature to attempt unfocused phase III clinical trials of this therapy at the present time. This study does provide useful information, and suggests a feasible, individual-case oriented strategy for evaluating plausible but poorly understood and unproven metabolic therapies in a mainstream academic environment that is uninterested in them [60]. If carried out in sufficient numbers, simple studies like this one could identify specific clusters of cancer type, IVC and chemotherapy regimen in which unexpectedly beneficial outcomes or exceptional responses occur frequently enough to justify focused clinical trials References 1.Block KI, Mead MN. Vitamin C in alternative cancer treatment: historical background. Integ Cancer Ther 2003;2:147–54. pmid:15035902 doi: 10.1177/1534735403002002007 2.Challem J, Gonzalez MJ, Levy TE, Hunninghake R, Matalon V. Roundtable: Intravenous Vitamin C for ORTHO 22 Treating Cancer. Alt Complement Ther 2009;15:81–6. doi: 10.1089/act.2009.15206 3.Padayatty SJ, Sun AY, Chen Q, Espey MG, Drisko J, Levine M. Vitamin C: intravenous use by complementary and alternative medicine practitioners and adverse effects. PLoS ONE 2010.5:e11414. doi: 10.1371/journal.pone.0011414. pmid:20628650 4.Chen Q, Espey MG, Sun AY, Lee J, Krishna MC, Shacter E et al. 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SUMMARY AND INTRODUCTION Name of protocol: Phase I - II clinical trial of conventional cytotoxic chemotherapy supplemented with intravenous vitamin C in patients with advanced cancer or hematologic malignancy for whom cytotoxic chemotherapy alone is only marginally effective Indication: Patients with a variety of advanced cancers or hematologic malignancies for whom cytotoxic chemotherapy is indicated but, on average, only minimally to marginally effective. Phase I-II concept as applied to patients being offered cytotoxic chemotherapy for poorly responsive cancers: Cytotoxic chemotherapy is relatively ineffective for a large proportion of common cancers. Some cytotoxic drugs are classified as effective even though they temporarily induce stable disease or an objective response in only a small proportion of patients. Even the modest achievement of doubling a typical response rate of 25% to 50% would benefit cancer patients enormously. This clinical trial represents the first step in a systematic exploration of the hypothesis that supplementing certain chemotherapy regimens with ORTHO 22 therapy with a redox-active molecule like vitamin C (ascorbic acid; AA) could increase their anti-cancer activity or protect host tissues from toxicity with no loss of anti-cancer activity. The paradigm of supplementing chemotherapy with redox therapy has theoretical, basic and clinical support; it has reached the stage where careful and rigorous empirical clinical trials are appropriate. Both the American and Canadian Cancer Societies specifically advocate such research. However, until now, clinical trials of combination chemotherapyredox therapy have been small, poorly designed, and unsystematic. Appropriate examination of this treatment paradigm requires a systematic, empirical approach similar to the one used in conventional cytotoxic drug discovery. Data suggesting a benefit of redox therapy are strongest for vitamin C. This protocol describes a Phase I clinical trial of promising chemotherapy-vitamin C combinations to determine their acceptability, limiting toxicity, and clinical benefit in patients with relentlessly progressive cancers for which conventional chemotherapy is clinically indicated but known to be only minimally or marginally effective. Good responses to chemotherapy being unusual, cancer- ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 63 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE chemotherapy-vitamin combinations associated with a good response will be flagged and priority given to this cancer type and chemotherapy regimen as new participants volunteer for enrollment. Patients who previously received chemotherapy and patients currently receiving chemotherapy that has proven to be ineffective will be eligible to participate either by continuing the current chemotherapy with the addition of intravenous vitamin C or by starting a different chemotherapy regimen supplemented with intravenous vitamin C. Anti-cancer effects of vitamin C: In millimolar concentrations, vitamin C in the form of ascorbic acid (AA) is cytotoxic to many cancer cells but innocuous to normal ones. Cancer-cytotoxic concentrations can be achieved in experimental animals and humans after parenteral injection. Vitamin C has anti-cancer efficacy in rodent cancer models. Several case reports lend plausibility to the notion that intravenous AA (IVAA) could have a role in treating some cancers. We completed a Phase I trial of IVAA in 24 patients with a variety of incurable cancers and haematological malignancies; 6 patients received the maximum tested dose of 1500 mg/kg body weight infused over 90 to 120 minutes three times per week. No evidence of toxicity emerged. AA catalyses formation of hydrogen peroxide in cell culture media and in the extracellular fluid of experimental animals. Extracellular hydrogen peroxide diffuses into cells where it is converted to the hydroxyl free radical, which is selectively toxic to many cancer cells. Since most cytotoxic anti-cancer drugs generate reactive oxygen species, it is rational to predict that AA could augment the anti-cancer effect of standard chemotherapy. On the other hand, under most conditions AA is an antioxidant, raising the possibility that AA might reduce the efficacy of 64 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي anti-cancer chemotherapy. Notwithstanding this concern, systematic reviews of randomized clinical trials indicate that the combination of chemotherapy with antioxidant therapy is either neutral or increases treatment response or survival with no effect on chemotherapy-related adverse effects or a reduction in their frequency or severity. Summary of study objectives: The supplementation of cytotoxic chemotherapy with IVAA could prove to be an effective treatment for some patients with advanced malignancies. The primary objectives of this study are to identify a tolerable and safe dose of IVAA as a supplement to cytotoxic chemotherapy, to monitor for preliminary evidence that supplementing certain specific chemotherapy regimens with IVAA reduces the frequency or severity of serious adverse reactions to them (possibly increasing the number of chemotherapy cycles patients can tolerate), and to monitor for preliminary evidence that IVAA supplementation increases the efficacy of chemotherapy in specific cancers. Secondary objectives are to monitor biochemical and metabolic correlates of chemotherapy plus IVAA administration, the effect of chemotherapy on AA pharmacokinetics, and to monitor for improvements in mood and quality of life that may accrue from this treatment approach. Summary of study design: This is a Phase I-II dose escalation study to evaluate the clinical safety, tolerance to and efficacy of IVAA given as a supplement to standard chemotherapy in the first-, second- or third-line treatment of advanced human cancers or hematologic malignancies. Approximately 24 patients will be enrolled. Test (and pharmacokinetic study) dose versus therapeutic doses: During the week before on-protocol chemotherapy starts participants www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE will be administered a test dose of IAA: 600 mg/kg body weight administered by continuous infusion over 90 minutes in the context of a pharmacokinetic study. The same test dose of 600 mg/kg over 90 minutes will be administered a second time during the first or second week of chemotherapy in order to determine the effect of chemotherapy on AA metabolism. There will be twotherapeutic doses of IVAA; 900 mg/kg and 1500 mg/kg. The largest of these doses requires approximately 100 to 120 minutes for administration. The first 3 study participants will receive the 900 mg/kg therapeutic dose and if it is tolerated, the therapeutic dose will increase to 1500 mg/kg for subsequent cycles. The therapeutic dose for later participants will be 1500 mg/kg starting immediately in Cycle 1. 2. BACKGROUND AND RATIONALE 2.1 Vitamin C as a cancer treatment: In the early 1970's a Scottish cancer surgeon, Ewan Cameron, and a physician, Allan Campbell, administered intravenous and oral vitamin C to 50 consecutive hospitalized patients with advanced, untreatable cancer and carefully recorded the results. Important objective cancer remissions occurred in approximately one-fifth of the patients (1,2). Subsequently, two controlled clinical trials of treatment with 10 g/day AA taken orally, the first in patients with a variety of terminal cancers that had failed all previous therapy, and the second in patients with untreatable colorectal cancer but a good performance status, were carried out at the Mayo Clinic in Minnesota. When both trials turned out negative (3,4), mainstream oncologists dismissed the notion that vitamin C could play a role in cancer treatment. However, an important difference between the two negative Mayo Clinic studies and the highly promising Scottish studies (1,2,5,6) was never addressed, namely, that ORTHO 22 in the Scottish studies vitamin C was administered intravenously for the first 10 days of therapy and occasionally thereafter, whereas vitamin C was administered only orally in the Mayo Clinic trials. Subsequent research has shown that even extremely large oral doses of vitamin C do not increase circulating AA concentrations > 250 µmol/L, whereas intravenous administration raises concentrations up to 100 times higher; it is only the latter concentrations that are cytotoxic to some cancer cells. This new evidence has led to a call by mainstream researchers for a re-examination of the role of AA in cancer therapy (7-15). IVAA is widely and legally used as a cancer treatment by alternative practitioners (16-20) but regrettably, the details of therapy and its outcomes are seldom reported. An exception was H.D. Riordan, a physician who pioneered the use of IVAA in his clinic in Wichita, Kansas. Riordan and his colleagues published detailed information about their protocol, the resulting serum AA concentrations, and the clinical responses of some of their patients (16,21-23). As used in Riordan’s clinic, IVAA provides peak plasma AA concentrations > 20 mmol/L and sustained concentrations > 10 mmol/L for many hours. Infusions are given 2 to 3 times per week during a typical treatment program. According to Riordan, no toxicity and few if any adverse effects occurred among thousands of patients administered this treatment, and he published case reports of responses attributable to it (16,19,21,22,24), some of them independently verified as authentic at the U.S. National Cancer Institute when analysed according to NCI guidelines for identifying novel cancer therapies (20). Two patients with advanced ovarian cancer whose standard first-line chemotherapy was supplemented by 60 g IVAA ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 65 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE twice weekly; there was no toxicity attributable to the AA infusions and indications that toxicity due to standard chemotherapy may have been reduced. Both patients had complete remissions (25). 2.2 Ascorbic acid biochemistry, physiology, and toxicity: AA is a water-soluble vitamin (vitamin C) similar in structure to glucose. Dietary AA is essential for life in primates, guinea pigs and certain fruit-eating birds and bats, all of which have lost or inactivated the gene for the key enzyme necessary to synthesize AA from glucose (26). Prolonged vitamin C deficiency leads to the fatal disease, scurvy. AA is a moderately strong reducing agent, and its known biological functions are related to its maintenance of the normal activity of ironmetalloenzymes by keeping the iron atom in the reduced state. Additionally, AA is an outstanding in vivo antioxidant (27) with measurable beneficial biologic effects (26,28,29). Many Canadian and American people routinely consume megadoses of vitamin C. There is no evidence that even extremely large doses are toxic, carcinogenic, teratogenic, or cause adverse reproductive effects (26). AA has been administered intravenously in doses as high as 200 g/day without adverse consequence (30). Because of its limited absorption from the gastroinestinal tract, large oral doses act as an osmotic laxative. AA is broken down to oxalic acid, and it has frequently been claimed that high-dose AA causes oxalate kidney stones. Reports of AA-induced urolithiasis are difficult to evaluate because oxalate stones have a high natural prevalence. A formal epidemiologic study of healthy individuals failed to find any association between high-dose vitamin C consumption and kidney stone formation (26). Some data indicate that systemic conditioning develops by which plasma AA concentrations drop following discontinuation of a 66 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي previously high intake of the vitamin (31,32). A recent expert review concluded that the evidence is inconsistent and does not suggest that systemic conditioning occurs to any significant extent (26). Under certain conditions AA is metabolized to the pro-oxidant ascorbyl free radical. Because free reduced iron catalyses free radical formation, concerns have been expressed about the administration of high dose AA to patients with systemic iron overload (30,33-35). Notwithstanding these concerns, IVAA is used clinically to mobilize iron stores and improve anemia in erythropoietinresistant hemodialysis patients (36). Large oral doses of AA are not pro-oxidant (26,29,37). In vitro studies indicate that under some conditions AA induces lipid hydroperoxide decomposition to DNAdamaging (“clastogenic”) intermediates, even in the absence of mineral catalysis (38); evidence further supporting this concept was recently published, but only in concentrations which are not attained when the vitamin is taken by mouth but are possible when it is administered intravenously (39). Thus, in some situations vitamin C appears to act an antioxidant and in others a pro-oxidant (39,40). When administered intravenously in large doses AA is at least partially a pro-oxidant, and this pro-oxidant activity mediates anti-cancer effects. There are two reports of intravascular hemolysis in people infused with more than 50 g AA and one that describes cases of hemolysis in persons who received at least 6 g of AA as a single oral dose. All of the cases were in persons with the rare congenital disease, glucose-6-phosphate dehydrogenase deficiency, in which red blood cells lack the ability to reduce hydrogen peroxide because of deficient synthesis of reduced glutathione, the substrate for glutathione peroxidase (41). www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Vitamin C is metabolized to oxalate, which is patient experienced stable disease and continued excreted in the urine. Serum oxalate concentrations treatment for 4 years (46). Because this protocol are elevated in end-stage renal failure. Thus, serum tested a continuous infusion of small doses of AA, oxalate concentrations were 17 µmol/L in normal average plasma AA concentrations in this study persons but 75 µmol/L in patients with end-stage were only ~ 1.1 mmol/L and did not exceed 3.8 renal failure(42). Hyperoxalemia has occurred in mmol/L. When large doses of AA are infused over persons with end-stage renal disease administered 60 to 90 minutes the peak plasma concentration is repeated large doses of AA (41), and oxalate predictably much higher, as illustrated by the nephropathy has occurred in patients with prefollowing calculation. If a dose of 60 g of AA (303 existing renal insufficiency who were administered mmol) distributes in the extracellular fluid volume (~ massive doses of IVAA(43,44). In our recent Phase I 14 L), the resulting peak plasma AA concentration trial, which enrolled patients with normal renal should be > 20 mmol/L. In agreement with this logic, function, the maximum IVAA dose of 1500 mg/kg we found that the peak AA concentration after was associated with the excretion of approximately IVAA can be accurately predicted using the simple 80 mg of oxalate over the period of the infusion and empirical formula: plasma AA concentration (g/L) = the subsequent six hours, a physiologically 3.75 D/W, where D is the ascorbic acid dose in g inconsequential amount (45). and W is the patient’s body weight in kg(47). A Phase I clinical trial of IVAA monotherapy was We recently completed a Phase I trial of IVAA carried out in 24 patients with end-stage metastatic administered 3 times per week to 24 patients with a gastrointestinal cancers (46). IVAA was given by variety of advanced malignancies there was no continuous infusion in doses ranging from 0.15 to toxicity at any dose and the adverse effects 0.71 g/kg per day for up to 8 weeks. Side effects encountered were mild and attributable to the effects were minor and consisted largely of nausea, dry of the rapid infusion of any hypertonic solution with skin, dry mouth, fatigue, and edema, all of which are resulting thirst and osmotic diuresis. These mild common in late stage advanced cancer. Standard effects could be ameliorated or prevented by an biochemistry and hematology profiles were adequate oral fluid intake during the infusions (47). unaffected. One patient with a prior history of kidney Several clinical trials of intravenous vitamin C as stone developed a kidney stone after 13 days of cancer therapy are at present underway in the treatment, possibly attributable to the IVAA. One United States (see Table 1). Table 1. Clinical Trials of Intravenous Vitamin C as Cancer Therapy Registered in the United States* Identification No. NCT00441207 NCT00803530 NCT00671697 ORTHO 22 Title Study of High-Dose Intravenous (IV) Vitamin C Treatment in Patients With Solid Tumors Study of Association of Arsenic Trioxide (ATO) and Ascorbic Acid in Myelodysplastic Syndromes Decitabine, Arsenic Trioxide and Ascorbic Acid for Myelodysplastic Syndromes and Acute Myeloid Leukemia ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org Phase I II I 67 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE NCT00691210 NCT00590603 NCT00621023 NCT00803530 NCT00954525 NCT00626444 A Study to Evaluate the Use of the Drug Combination Vorinostat, Niacinamide, and Etoposide in Patients With Lymphoid Malignancies That Have Reoccurred Trisenox, Ascorbic Acid and Bortezomib in Patients With Relapsed/Refractory Multiple Myeloma Cephalon Decitabine, Arsenic Trioxide and Ascorbic Acid for Myelodysplastic Syndrome Study of Association of Arsenic Trioxide (ATO) and Ascorbic Acid in Myelodysplastic Syndromes Intravenous Vitamin C in Combination With Standard Chemotherapy for Pancreatic Cancer** Pilot Trial of Intravenous Vitamin C in Refractory Non-Hodgkin Lymphoma (NHL) I I-II II II I I *http://www.cancer.gov/clinicaltrials, accessed September 16, 20009 **Patients will receive 50, 75 or 100 g IV ascorbic acid three times per week for 8 weeks plus gemcitabine and erlotinib; Kimmel Cancer Center, Thomas Jefferson University, Philadelphia 2.3 Preclinical and early clinical data regarding reduce the efficacy of anti-cancer anti-cancer effects of ascorbic acid: chemotherapy (99). Many reviews have addressed In 1969 Benade et al (48) reported an anti-cancer the question of whether concurrent antioxidant and effect of AA in Ehrlich ascites carcinoma cells. Many chemotherapy improves or worsens the clinical other laboratories have confirmed and extended this outcome (65,100-112). The consensus view is that observation in a large number of cancer cell supplementation of chemotherapy with antioxidants types (49-70). Co-incubation of AA with cytoxic is plausible and promising in some situations, but drugs increases their anti-cancer activity or protects unproven. Historically, the American and Canadian noncancerous cells from chemotherapy toxicity (71Cancer Societies advised people with cancer to 80). AA has anti-cancer activity when administered avoid antioxidants during or shortly after cytotoxic as sole treatment in tumour-bearing experimental chemotherapy. In view of the emerging evidence, animals (81-84). Also in tumour-bearing both organizations are no longer advise against the experimental animals, AA supplementation of use antioxidants during chemotherapy, and call for cytoxic therapy reduced its toxicity (85,86) or clinical research to determine the potential benefits increased its anti-cancer activity (81,86,87). The and risks of this approach. anti-cancer activity of AA is increased by vitamin 2.5 Mechanism of action: It has long been K (57,63,65,80,88-98). suggested that the cancer-specific cytotoxicity of AA 2.4 Do antioxidants like ascorbic acid reduce is at least largely mediated by extracellular hydrogen the efficacy of chemotherapy? Most cytotoxic peroxide formation (48,49). A large amount of drugs generate oxygen free radicals that mediate or subsequent evidence supports this contribute to their action. It is conceivable that AA, view(13,14,39,50,55,56,62,68,71,77,83,90acting as a pro-oxidant, could augment the anti92,95,96). In high concentrations AA generates the cancer effect of standard chemotherapy. However, ascorbyl free radical, which catalyses hydrogen AA is also an antioxidant, and oncologists have peroxide formation both in cell culture systems and been concerned that antioxidants like AA might 68 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE within the extracellular fluid of living experimental animals in a dose-responsive manner (13,62,83,92). Cell culture studies indicate that AA and other antioxidants have greater inhibitory or toxic effects on malignant cells than normal ones (49); the mechanism is uncertain (113) and may relate to the faster growth rate of malignant cells (54). Some malignant cells may be deficient in the free radical protective enzyme, catalase, rendering them susceptible to the damaging effects of hydrogen peroxide, or deficient in superoxide dismutase (114). Malignant cells accumulate AA (115), but AA does not need to enter cancer cells to exert an anti-cancer effect since it induces hydrogen peroxide formation in the extracellular space. It is of interest that AA is concentrated by cancer cells to much higher concentrations than in normal cells or the normal tissues surrounding cancer deposits (67,116-121). High intracellular AA concentrations increase the cytotoxicity of hydrogen peroxide, presumably by mobilizing intracellular reduced iron, which catalyses intracytosolic hydroxyl radical formation via the Fenton mechanism (69,122). Since vitamin C depleted cells from scorbutic guinea pigs accumulate AA to much higher concentrations than non-depleted cells (123), the introduction of highdose AA to cancer patients with pre-existing vitamin C deficiency could induce a potent anti-cancer effect (124). Hydrogen peroxide depletes intracellular ATP. Consequently, cells that largely depend on glycolysis to generate ATP -- the Warburg effect -- could be especially susceptible to hydrogen peroxide toxicity (13,98). Such tumours could be clinically identified using conventional PET scanning, which images the intracellular concentration of radioactive fluorodeoxyglucose. Concentrations of hypoxia inducible factor (HIF), a master transcription factor whose biological functions are highly pertinent to cancer biology and the Warburg effect, are regulated by ascorbatedependent prolyl hydroxylases (125-127). Studied in cultured cells, intracellular AA loading (which can be accomplished by incubating cancer cells with dehydroascorbic acid) increases their ORTHO 22 resistance to cytotoxic drugs even when incubation with AA increases their response to them (55,93,128). 2.6 Previous experience by the coinvestigators: We completed a Phase I clinical trial of monotherapy with IVAA in 24 patients with a variety of incurable malignancies. There was no toxicity (45,47). This work was favourably cited in a lead editorial in the Proceedings of the National Academy of Sciences (14). A TPD-approved Phase I-II clinical trial of IVAA in combination with carboplatin/docetaxel in non-small cell lung cancer is currently underway in this institution (TPD control No. 125663 and file No. 9427-JO832-41C). One patient completed the protocol without complications. 2.7 Potential adverse effects and toxicity in this trial: The most serious potential danger with IVAA is acute tumour lysis. Acute haemorrhage occurred within a few days of commencing IVAA in a small number of patients with advanced, terminal cancer (1,129). In two cases an autopsy was performed and demonstrated acute hemorrhage and necrosis specific to the primary tumour and its metastatic deposits (1). It is possible these catastrophic events occurred because the patients were overtly vitamin C deficient and hence prone to a more dramatic treatment effect (124). According to Riordan, no such adverse effects have occurred in thousands of infusions given in his clinic in the United States (personal communication). A more likely important adverse effect is not due to AA, but the sodium infused along with it. A 60 g dose of AA contains 344 mmol of sodium, approximately the amount of sodium in 2 liters of normal (0.9%) saline. Patients with uncontrolled heart failure, borderline cardiac function, or severe sodium-retaining states could be at risk of overt volume overload. Contrary to expectation, our limited experience in patients with fluid overload is that IVAA has a diuretic effect. In our clinical protocol IVAA is administered in a solution with an osmolality of up to 900 mOsmol/L, and almost the entire dose is promptly excreted with a lower osmolality in urine. IVAA thus acts as an ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 69 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE osmotic diuretic similar to conventional osmotic diuretics like mannitol. Hyperglycemia can interfere with AA transport into cells (130). This is not a side effect of AA, but suggests that the benefit of AA therapy might be reduced in the presence of hyperglycemia. High serum AA concentrations are known to interfere with a number of common clinical biochemistry tests and by inhibiting glucose oxidase can falsely indicate low blood glucose (131). Our recently completed phase I clinical trial of IVAA enrolled only patients with a serum creatinine concentration < 175 µmol/L (47). Because of the possibility of adverse effects from oxalic acid accumulation in patients with subnormal renal function, only patients whose serum creatinine concentration is no greater than 175 µmol/L will be enrolled, and the treatment will be temporarily or completely stopped if serum creatinine concentrations exceed this level during the course of the trial. 3. STUDY OBJECTIVES Primary Objectives 1. To determine the safety and tolerability of intravenous ascorbic acid (IVAA) administered in a target dose of 1500 mg/kg as a supplement to cytotoxic chemotherapeutic drug therapy. 2. To obtain preliminary indications as to whether the addition of IVAA to cytotoxic chemotherapy reduces the frequency or severity of chemotherapeutic side effects and toxicity, potentially allowing patients to complete more chemotherapy cycles, to their benefit. 3. To monitor for anti-cancer efficacy when IVAA is given together with chemotheapy and then continues for a further 16 weeks after the final chemotherapy cycle; further extension may be considered in selected cases. Secondary Objectives 1. To monitor biochemical and metabolic correlates of IVAA administration in the setting of chemotherapy. 2. To determine IVAA pharmacokinetics and urinary excretion of AA and it metabolites in patients treated with chemotherapy. 71 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي 3. To monitor for preliminary improvements in quality of life and mood. 4. STUDY DESIGN 4.1 Conceptual overview of study design and duration: This is a Phase I-II dose escalation study of IVAA supplementation of best available chemotherapy to treat cancers for which this chemotherapy is associated with only a minimal to marginal objective clinical response. The addition of IVAA in close relation to standard cytotoxic drugs therapy could augment the anti-cancer effect of some cytotoxic drugs in patients who would fail to respond when chemotherapy or AA are given separately. IVAA may mitigate the toxicity of chemotherapy, allowing more patients to complete more cycles of effective chemotherapy, to their benefit (107). The participating clinical oncologists will administer conventional chemotherapy in the Segal Cancer Centre of the Jewish General Hospital according to the principles of modern evidence-based medicine and current standard of care guidelines. IVAA will be administered in the Clinical Investigation Unit. The days on which IVAA is administered will be selected to balance the competing objectives of (1) maximum exposure to AA and (2) the need for a treatment protocol that is practical and efficient for patients and medical personnel. The selected regimen involves AA infusions on days that bracket chemotherapy infusion days, with AA infusions 2 or 3 times per week for as long as chemotherapy is clinically indicated. To allow for the possibility of an antitumour effect of maintenance IVAA alone in patients who responded to combined chemotherapy-IVAA, patients who responded to chemotherapy-IVAA will be offered up to 16 weeks of twice-weekly IVAA after the termination of the chemotherapy. If patients continue to be in remission after 16 weeks of twiceweekly IVAA, once weekly infusions will continue for an additional 12 months or longer. Although the results of our recent trial of IVAA monotherapy, and those from an ongoing Phase I clinical trial which combines IVAA and carboplatin/docetaxel in non-small cell lung cancer www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE do not suggest any increase in chemotherapyrelated toxicity or side effects, this possibility will be formally examined for, and it is the stated primary objective of the study. The IVAA dose will be escalated using 2 doses already shown to be without side effects in our previous Phase I study of IVAA alone. These doses are 900 mg/kg and 1500 mg/kg IVAA per infusion. The IVAA infusion protocol to be used in this study was developed in light of pharmacokinetic knowledge about IVAA and its metabolism. Hydrogen peroxide appears very quickly after a sufficiently high AA concentration is achieved either in cell culture media or in the extracellular fluid of a rat (13,39). We know from our previous Phase I trial of IVAA alone that 1500 mg/kg AA rapidly increases plasma AA to > 20 mmol/L by the end of the infusion, and remains > 10 mmol/L for more than 4 hours in people with normal renal function. In experimental animals, higher plasma (and extracellular fluid) AA concentrations are associated with proportionally greater extracellular fluid ascorbate radical and hydrogen peroxide concentrations up to the highest AA concentration achieved in the rat, 8 mmol/L (13). From these results we judge it appropriate to test the highest safe and tolerated dose of AA used in our previous Phase I trial (47), namely 1500 mg/kg, and to continue using our existing technique of infusing the dose at a maximum rate of approximately 1 g/h. Patients considered for participation will have good performance status but a relentlessly advancing cancer or hematological malignancy for which current best therapy offers only a minimal to marginal likelihood of inducing a clinically meaningful response. Potential participants include patients offered first-line chemotherapy for non-small cell lung cancer, cancer of the esophagus, stomach, duodenum, gallbladder and pancreas, primary hepatocellular cancer, metastatic adenocarcinoma of unknown origin, advanced prostate cancer, metastatic melanoma, metastatic urothelial cancer, metastatic endometrial cancer, and most sarcomas. Cancers for which current standard of care second- ORTHO 22 line chemotherapy is known on average to be only marginally beneficial include the above cancers as well as cancer of the small intestine, colon and rectum. Although enrollment will not be restricted to any particular malignancies, the focus will be on common chemotherapy-resistant cancers such as cancer of the pancreas, stomach, or colon. Chemotherapeutic regimens of particular interest will include the antimetabolite drugs such as gemcitabine and capecitabine, because of experimental data suggesting an interaction (132) and suggestive clinical experience (Hoffer and Melnychuk, unpublished observations). Patients who received or are currently receiving chemotherapy but whose disease has progressed in spite of it will be eligible to continue receiving either the same chemotherapy or other chemotherapy without interruption when they are enrolled; indeed, such patients will be a focus of interest. It noteworthy that a Phase I clinical trial supplementing IVAA with chemotherapy in metastatic cancer of the pancreas is currently underway at Jefferson University, Pennsylvania (see Table 1). 4.2. Patient inclusion criteria: 1. Histologically or cytologically documented advanced or metastatic cancer or hematologic maligancy. 2. Physical functional status equivalent to Eastern Cooperative Oncology Group (ECOG) performance status 0 to 1 (Appendix A). 3. Age equal to or greater than 18 years. 4. Measurable disease as defined by at least one lesion that can be accurately measured in at least one dimension of 2 cm or greater by conventional techniques or 1 cm or greater by spiral CT scan as measured within 28 days prior to the planned start date of study treatment, in accordance with Response Evaluation Criteria in Solid Tumors (RECIST) criteria (see Appendix D). Note that patients with radiation to the only site of measurable disease will deem the patient ineligible unless definite progression is documented at the site after radiation treatment is complete. ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 70 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE 5. Adequate bone marrow, hepatic, renal and cardiac function documented within 14 days prior to enrollment, and suitability for the clinically indicated conventional chemotherapy according to the normal standard of care. 6. No current calcium oxalate nephrolithiasis with the potential to reduce urinary flow. 7. Feasible to come to the clinical research unit 2 to 3 times weekly for intravenous infusions. 8. Life expectancy of at least 8 weeks. 9. Signed informed consent. 10. Patients must be accessible for complete documentation of the treatment, toxicity, response assessment and follow-up at the Clinical Research Unit of the Jewish General Hospital. 11. Patients with asymptomatic or controlled brain metastases will be eligible and may receive dexamethasone as clinical indicated; however, they must have completed radiotherapy or radiosurgery at least 1 week prior to enrollment. 12. Patients who are receiving anti-cancer therapy but whose disease progresses despite it may enter the protocol and continue the same therapy or start a different chemotherapy regimen without interruption. 4.3. Patient exclusion criteria: 1. Any cancer for which existing conventional treatment offers more than a 33% likelihood of an clinically meaningful response. 2. Serum creatinine > 175 µmol/L. 3. Serious gastrointestinal disorders including active bleeding. 4. Patients with serious or uncontrolled infections, cardiac or neurological conditions. 5. Major surgery within 4 weeks of study drug administration or local radiation therapy within 7 days. 6. Dementia or severely altered mental status that would render informed consent impossible. 7. Women of childbearing potential must use an acceptable form of contraception for the duration of the study, and must have a pregnancy test within 7 days of the first administration of chemotherapy. 8. Lactating women. 72 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي 9. Glucose-6-phosphate dehydrogenase deficiency. 10. Any abnormal laboratory value or medical condition that would, in the investigators’ judgement, make the patient a poor candidate for study. 4.4. Overview of efficacy and pharmacological measurements: 1. Tumour Response, stable disease (no progression), and progression. 2. Side effect of profile in comparison to what historically occurs with standard chemotherapy. 3. Biomarkers (plasma and monocyte AA concentration, serum C-reactive protein). 4. Quality of life and mood questionnaire (FACT-G; POMS). 5. Pharmacokinetic analysis prior to chemotherapy and 3 days after chemotherapy in the first month of treatment only. 5. DESCRIPTION OF ASCORBIC ACID 5.1 Ascorbic acid: Ascorbic acid is a 6-carbon ketolactone structurally related to glucose and other hexoses. Its formal chemical name is 3-oxo-Lgulofuranolactone, C6H8O6 molecular weight 176. Ascorbic Acid Injection USP is provided by Alveda Pharma, a the sole Canadian distributor of this product, which is manufactured by the Canadian pharmaceutical company, Bioniche Pharma. The Canadian Drug Identification Number (DIN) is 02245214. The product is a clear, colourless to slightly yellow sterile solution of AA in water for injection, for intravenous, intramuscular, or subcutaneous use. Each mL contains AA 500 mg (2.84 mmol), edetate disodium 0.025%, and water for injection q.s. with the pH (range 5.5 to 7.0) adjusted with sodium bicarbonate, hence providing ~ 2.84 mmol sodium. The product is supplied in sterile 50 mL single use glass bottles containing 500 mg/mL of ascorbic acid USP. The stock solution contains 2.84 mmol of AA per mL and 2.84 mmol of sodium per mL for a theoretical osmolality of 2.84 + 2.84 = 5.7 mOsm/mL. The product is stored in a carton protected from light between 2 and 8 degrees C. It must not be frozen. IVAA is to be infused within 4 hours of preparing diluted solutions for injection. When the www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE dose is less than 15 g the stock solution is diluted with lactated Ringer’s to guarantee sufficiently high osmolality to permit intravenous administration. When the dose is equal to or greater than 15 g, the infusate is brought to the required concentration using sterile water to achieve an osmolality between 500 and 900 mOsm/L. The osmolality maybe calculated from the molecular weight of AA assuming it is completely dissociated in aqueous solution. Examples are given as follows. 15 g (30 mL stock qs 300 mL using sterile water): 570 mOsm/L. 30 g (60 mL stock qs 500 mL using water): 684 mOsm/L. 60 g (120 mL stock qs 900 mL using water): 760 mOsml/L. 70 g (140 mL stock qs 1100 mL using water): 725 mOsml/L. 80 g (160 mL stock qs 1100 mL using water): 829 mOsml/L. 90 g (180 mL stock qs 110 mL using water): 933 mOsml/L. 100 g (200 mL stock qs 1200 mL using water): 950 mOsml/L. 110 g (220 mL stock qs 1400 mL using water): 896 mOsml/L. 120 g (240 mL stock qs 1400 mL using water): 977 mOsml/L. 130 g (260 mL stock qs 1600 mL using water): 926 mOsml/L. 140 g (280 mL stock qs 1800 mL using water): 887 mOsml/L. Intravenous infusions are administered via a peripheral or central intravenous catheter at a rate of 0.5 g/minute to approximately 1 g/minute, and not usually faster than approximately 1 g/minute. At the dose of 1.5 g/kg an infusion will typically last 105 minutes. Potential side effects of IVAA (described in detail earlier) include oxalate renal stones, oxalate nephropathy in patients with pre-existing renal insufficiency, intravascular hemolysis in patients with glucose-6-phosphate dehydrogenase deficiency, fluid overload due to the high sodium content of the intravenous ascorbic acid/ascorbate preparation, thirst and a diuretic effect due to the hyperosmolality of the infusate with excretion of > 90% of the dose of sodium ascorbate over the subsequent 6 hours. Apparent tumour haemorrhage occurred in a small number of patients who received IVAA in a case series published in 1974 (1), but has not subsequently been described despite administration to thousands of patients in the United States. The risk may therefore be considered very slight or zero. We observed no evidence of oxalate stone in our recently-completed Phase I trial of IVAA alone, nor any evidence of more than a ORTHO 22 physiologically transient trivial increase in urinary oxalate excretion on the day of an IVAA infusion (45). 6. PROTOCOL DETAILS 6.1 Rationale of trial design: The study concept is to augment the effects or mimimize toxicity of chemotherapy by administering IVAA in close proximity to chemotherapy administration. When chemotherapy is given by weekly intravenous infusion (as with conventional gemcitabine monotherapy on days 1, 8, and 15 of each 28 day cycle) AA will be infused 2 or 3 days per week on non-chemotherapy days and on two days during the “rest” week when chemotherapy is not administered. When chemotherapy is administered intravenously at 3 week intervals (as with combination carboplatin and gemcitabine or a taxane), AA will be infused one day prior to and 2 more times during the first week of the cycle, and twice weekly during the second and third week. Patients who receive weekly intravenous chemotherapy will receive IVAA either 2 or 3 days of each chemotherapy week and 2 times on the “weeks off.” Patients administered oral chemotherapy (as with capecitabine) will have AA infusions 2 or 3 times per week for as long as chemotherapy continues. If tumour progression occurs after a minimum of 2 months of therapy the protocol will terminate. As in standard clinical practice, patients whose treatment results in stable disease or an objective response may continue receiving IVAA and chemotherapy at the discretion of the treating oncologist. Some patients may respond to chemotherapy-IVAA but have to discontinue chemotherapy because of unacceptable toxicity. In these cases IVAA will be offered twice weekly for a further 16 weeks after the final chemotherapy cycle with continuing evaluation of tumour status every 8 weeks (or earlier if clinically indicated). Patients who remain in remission for 16 weeks after the final chemotherapy will be considered for indefinite once weekly IVAA. Patients whose disease progresses will not continue to receive IVAA. 6.2 Study procedures: For patients who continue on protocol (i.e., stable disease or tumour response) ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 73 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE the entire treatment protocol could last for several months. Disease progression will trigger discontinuation of the IVAA. The trial schema is shown in the following tables. Details of the scheme Table 2. First month of protocol Measurement or Action will vary slightly depending on the nature of the chemotherapy protocol selected by the treating oncologist. Screening Day -7 Period to -1 Day 1 Day 2 Day 3 Day 5 (M) (T) (W) (F) X [2] Medical history, informed consent, and screening tests X [1] ECOG status X Vital signs X X [2] Physical exam X X [2] Safety labs X X [3] Biomarkers [4] X X CT scan [5] X FACT -G and POMS questionnaires Days 8-12 Days 15-28 X [3] X ... 74 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Vitamin C in Health: Scientific focus on its anti-cancer efficacy Vitamin C is an undisputable essential vitamin for human health with antioxidant and anti-cancer properties. It is a cofactor for a number of metabolic enzymes and has enormous health benefits. Extensive epidemiological, in vitro, in vivo and clinical studies consistently suggest the benefits of Vitamin C use in cancer treatment. M. Waheed Roomi, Ph.D. - Neha Shanker, Ph.D.- Aleksandra Niedzwiecki, Ph.D.- Matthias Rath, M.D. - Dr. Rath Research Institute, CA, USA Abstrac : Vitamin C, also known as L-ascorbic acid, is an undisputable essential vitamin for human health with antioxidant and anti-cancer properties among others. It is a cofactor for a number of metabolic enzymes and has enormous health benefits. Extensive epidemiological, in vitro, in vivo and clinical studies consistently and strongly suggest the benefits of Vitamin C use in cancer treatment. Epidemiological studies have shown that people consuming a diet rich in Vitamin C are less likely to develop cancer. In vitro and in vivo studies have shown that vitamin C kills cancer cells while simultaneously supporting normal cells and tissues. Clinical data indicates that intravenous administration of vitamin C is much more effective in achieving higher plasma levels, compared to oral administration, making the former the preferred means of administering Vitamin C to achieve sustainable therapeutic effect in cancer treatment. There are a wide variety of mechanisms by which vitamin C kills cancer cells and prevents their spread which include its roles as an anti-oxidant, an inhibitor of metalloproteinases and a supporter of collagen formation and tissue architecture. The therapeutic effect of Vitamin C is accompanied by the lack of cytotoxicity induced by conventional chemotherapy making it the most desirable anti-cancer therapy and one of the safest substances available to physicians. It has been observed through several studies that the anti-carcinogenic characteristics of Vitamin C are further enhanced in combination with other micronutrients such as lysine, arginine, proline and green tea extract. The synergistic effect of these nutrient mixtures can thus be considered in preventive and therapeutic aspects of cancer. Keywords : Vitamin C, ascorbic acid, cancer, epidemiology, in vitro, in vivo, clinical studies, nutrient mixture. Correspondence to Dr. Aleksandra Niedzwiecki, Dr. Rath Research Institute, 1260 Memorex Drive, Santa Clara, CA 95050, USA. Email: author@jcmnh.org ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 75 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Cancer is the second leading cause of death after heart disease in the Western World and it is estimated that 2.6 million new cancer cases will be diagnosed by 2050. Chemicals, radiation and viruses (1, 2, 3) have been recognized as cancer causing agents in human and many animal species. A wide variety of carcinogenic agents circulate in the environment contaminating air, water and food sources. Although there is great diversity in the nature of these agents, the resulting cellular response to them is the transformation of normal cells into cancer cells (Figure 1). This process of transformation primarily involves three distinct phases: initiation, promotion and progression. Cancer initiation often requires sustained DNA damage induced by free radicals in the cellular environment which either cannot be repaired or is missed by the DNA repair enzymes. The mutations in the DNA accumulate over time thereby increasing the risk of cancer with each multiplication. It is therefore no surprise that rapidly dividing cells are more susceptible to 76 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي carcinogens than slowly dividing cells. Finally the stage of progression is reached when the uncontrolled multiplication of these cells forms a cell mass interfering with organ function and the cells also acquire the ability to move into other tissues. Based on the associated degree of spread cancer development shows the following stages: 1) hyperplasia (increased number of cells and division), 2) invasion to the adjacent tissues and 3) metastasis (cellular migration to distal organs) (4). Currently surgery, chemotherapy and radiation are considered standard cancer therapies (3). Although these therapeutic approaches can initially inhibit the tumor mass, they are ineffective in providing a cure. Moreover, these treatments indiscriminately attack all cells including healthy cells causing extensive cellular damage and cytotoxicity. This gives rise to new cancers and promotes development of drug resistance in cancer cells. Furthermore, these therapies are ineffective in curtailing cancers that have already metastasized. www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Figure 1. Cancer causing agents and the stages of transforming normal cell to cancerous cells There is an urgent need to develop effective non-toxic anti-cancer approaches that include prevention of metastasis. In recent decades it has been shown that vitamins, in particular vitamin C used at higher doses can be effective as therapeutic agents that target several mechanisms associated with different pathologies. Among different health applications of vitamin C, its role in relation to cancer has been most thoroughly investigated. Vitamin C identified as “water-soluble vitamin C” or Discovery of vitamin C. The importance of “ascorbic acid”. This compound was vitamin C for human health can be traced isolated and its structure identified (Figure back to several centuries ago. Its deficiency 2) by Hungarian scientist Albert Szentcauses a disease called scurvy which is Gyorgyi. In 1933, Hoffmann La Roche characterized by bleeding gums, dry skin, became the first pharmaceutical company fragile blood vessels, connective tissue responsible for the mass production of dissolution, impaired wound healing and vitamin C. The role of vitamin C as an antifinally death (5, 6). Interestingly scurvy is cancer agent was first suggested in 1952 absent in most species of the animal world when McCormick proposed its role as a and can develop only in humans, guinea chemotherapeutic agent (9) pigs and primates, species that have lost the ability to internally produce vitamin C. The earliest documented case of scurvy was described by Hippocrates around the year 400 BC. This disease became rampant during the 16th century among sea voyageurs and sailors who were deprived of fresh fruits and vegetables in their diet during long voyages. The first clinical proof that citrus fruit juice can cure scurvy was provided by Dr. James Lind who published his findings in the ‘Treatise of the Scurvy’ in 1753 (7). However, it was not until the 1900s, after the establishment of the first guinea pig scurvy model (8), that this antiscorbutic factor was Figure 2. Structure of Vitamin C (Ascorbic Acid) ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 77 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Figure 3. Stereoisomers of Vitamin C and their interconversion 78 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Chemical structure. Natural vitamin C is also known as L-ascorbic acid (Figure 3). The molecule has two asymmetric carbon atoms that result in four stereoisomers: LAscorbic acid, D-Ascorbic Acid, D-iso Ascorbic Acid and L-iso Ascorbic Acid. Of the four isomers, only L-Ascorbic Acid or vitamin C is biologically active and the other three forms are inactive. Vitamin C is a colorless, odorless, crystalline solid compound with a sharp acidic taste. Its chemical composition is C6H8O6, with a molecular weight of 176 and a melting point of 190-1920C. It is soluble in water but insoluble in organic solvents. Vitamin C is easily oxidized by several agents including halogens and hydrogen peroxide (10, 11). The Vitamin C molecule contains several reactive hydroxyl groups, especially at the 2and 6- positions allowing a variety of derivatives to be easily synthesized. 2sulfate and 2- phosphate compounds of vitamin C are much more stable than vitamin C itself, hence they are used in formulations of feed for shrimp, fish, guinea pigs and rhesus monkeys. L-ascorbyl 6-palmitate, a synthetic lipophilic vitamin C derivative is another effective and bio-available compound used in foods and pharmaceuticals (10, 11). It has been seen that both hydrophilic and hydrophobic ORTHO 22 derivatives are cytotoxic to a number of malignant cells. Sources and distribution. Vitamin C is a ubiquitous compound necessary for sustaining life and it is considered one of the most versatile and vital dietary compounds (10). It is widely available in fresh fruits and vegetables. Fruits such as oranges, lemons, grapes, strawberries, papaya, kiwi, cantaloupe, grapefruit, mango and honeydews are good sources of Vitamin C (10, 11, 12). Vegetables rich in vitamin C include broccoli, Brussels sprouts, red and green peppers, tomatoes, cabbage, potatoes, sweet potatoes, cauliflower, snow peas and kale. Cooking generally destroys vitamin C as does storage since the compound is unstable and extremely sensitive to heat. It is also easily oxidized and can be destroyed by exposure to oxygen, alkali, iron and copper (13, 14, 15). Thus in order to preserve vitamin C the food should not be exposed to air, light or water for prolonged periods of time (10, 11). Vitamin C is concentrated in many organs in humans and animals. Its highest levels are found in the adrenal and pituitary glands. Other organs rich in vitamin C include the liver, spleen, pancreas, kidney, brain, thymus, and the lens of the eye. By virtue of its mass, the liver stores the greatest amount of vitamin C followed by the thymus, brain and pancreas (10, 11, 12). ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 79 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Figure 4. Metabolic pathway of vitamin C synthesis from glucose. Ascorbic acid (AA) and its oxidized form Dehydroascorbic acid (DHA) have similar structures. Bio-synthesis. Most animals and plants synthesize vitamin C from glucose (16) (Figure 4). In primitive fish, amphibians and reptiles, vitamin C is synthesized in the kidney, whereas the liver is the main site of vitamin C production in most mammals. Humans, monkeys, guinea pigs, fruit eating bats and several other primates have lost the ability to synthesize vitamin C endogenously as a result of genetic mutations that impair the ability to produce L-gulonolactone oxidase( GULO) – the enzyme that catalyzes a critical step in conversion of glucose to vitamin C. Cellular uptake. Vitamin C is easily oxidized and converted to dehydroascorbic acid (DHA) on exposure to air. In vitro studies have found that oxidized vitamin C (DHA) enters the cell via nonspecific, low-affinity, high-capacity glucose transporters (GLUTs – hexose transporters) and is reduced intracellularly to L- ascorbic acid. L-ascorbic acid is also directly taken up by the cells 81 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي through specific, high-affinity, low-capacity sodium-ascorbate transporters (SVCTs – sodium-ascorbate co-transporter). Both transport mechanisms exist in the majority of cells in the body (Figure 5) (17, 18, 19, 20). Function and physiological relevance. Vitamin C is needed for hundreds of biochemical reactions occurring in the body and for the growth and repair of tissues. One of the main roles Vitamin C plays is that of an anti-oxidant. One of the agents that cause extensive damage to cells and cellular components are free radicals which are highly reactive molecules containing a single electron. Free radicals are generated both during normal cellular metabolism and in pathological conditions. Free radical induced damage to cellular proteins, fats and carbohydrate molecules and their buildup over time contributes to the aging process as well as the development of many pathologies. The most known radical www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE compounds include superoxide, hydroxyl and singlet oxygen, ozone, peroxynitrile, nitrogen dioxide and hypochlorus acid (21, 22). Protection from free radicals is provided by compounds with antioxidant properties that can scavenge the radicals. Vitamin C is considered the most effective, least toxic water soluble antioxidant. It is the predominant antioxidant in blood, tissues and intracellular fluids (23, 24). Due to its antioxidant function Vitamin C helps protect several macromolecules such as DNA, lipids, proteins and enzymes from damage by free radicals. Consequently, it offers protection from degenerative diseases such as cancer, aging, heart disease and cataract formation. Figure 5. Cellular uptake of Vitamin C and its oxidized form, dehydroascorbic acid (DHA) through different transporters. In vivo studies have shown that L-Ascorbic Acid is utilized in cell metabolism as an electron donor capable of donating one or two electrons. In the first step of oxidation, an ascorbyl radical is generated followed by ORTHO 22 the formation of dehydroascorbic acid in the second step. The ascorbyl radical does not accumulate in vivo, because two ascorbyl radicals dismutate into one ascorbic acid ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 80 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE molecule and one dehyroascorbic acid molecule. (Figure 5). Besides its antioxidant function vitamin C plays an indispensable role in maintaining tissue structure and function by regulating the biosynthesis and structure of collagen (25), which is one of the main structural components of blood vessels, skin, tendons, ligaments, bone, cartilage, heart valves and lens of the eye. Optimum collagen formation is also essential in healing wounds and assembly of the extracellular matrix. Vitamin C transcriptionally regulates synthesis of collagen and is also an essential co-factor of Lysyl- and Prolyl- hydroxylases, the enzymes catalyzing formation of hydrogen bridges which link various collagen fibrils. Besides collagen, Vitamin C also plays a role in the synthesis of glycosaminoglycans which are essential components of cartilage, bone and connective tissue. Thus wound healing and maintenance of tissue and organ structure and function are processes dependent on the availability of Vitamin C (10, 11, 12, 21, 22). Vitamin C also participates in the biosynthesis of hormones, carnitine, and neurotransmitters. It also helps the body to absorb iron from non-heme sources and helps keep metals such copper and iron in a reduced state which is essential for many biological reactions in the human body. It also recycles other antioxidants such as vitamin E and glutathione. Vitamin C is an effective antimicrobial agent inhibiting viral and bacterial infections in the body. Other than that health conditions such as high blood pressure, diabetes, asthma & other allergic conditions, gout, infertility, schizophrenia and depression are affected by vitamin C (10, 11, 21). VITAMIN C AND CANCER Interest in the chemo-preventive functions of vitamin C and other antioxidants (10, 11, 26) has grown considerably in recent years since conventional therapies such as chemotherapy and radiation therapy have been unable to provide a cure for cancer. Chemotherapeutic compounds and radiation indiscriminately attack cancer cells and healthy cells causing severe cellular damage including damage to the body’s connective tissues and immune system. This cellular damage leads to new cancers, infections, severe anemia, impaired immunity and 82 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي bleeding. Furthermore, these therapies are ineffective in treating cancers diagnosed at a late stage when metastasis has already occurred. Interest in Vitamin C has arisen since several epidemiological, cell culture, animal and human studies consistently and strongly suggest that it has a protective effect against cancer. Epidemiological studies. An extensive body of evidence accumulated over the years has shown that people consuming diets rich in fruits and vegetables are less likely to www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE develop cancer than people who have lower intake of these foods (27, 28, 29). The US Department of Agriculture and the NCI recommends the consumption of at least 5 servings of fruits and vegetables per day to prevent cancer (30). While many phytochemicals and micronutrients in fruits and vegetables may have anticancer properties, vitamin C is likely to be one of the most effective anticarcinogenic agents. Its anti-carcinogenic properties can be attributed to its antioxidant properties such as preventing free radical damage to DNA, decreasing the formation of carcinogenic nitrosamines and mutagens, enhancing the immune system to fight cancer cells, accelerating the action of detoxifying liver enzymes and blocking the toxic effects of carcinogens (e.g. polycyclic hydrocarbons, organochlorine pesticides, and heavy metals). Epidemiological findings have consistently established a correlation between a high intake of vitamin C (or food rich in vitamin C) and a reduced risk of stomach cancer. This may be due to the action of vitamin C blocking the formation of nitrosamine and other carcinogens in the stomach. Several epidemiological studies have examined the role of vitamin C or vitamin C rich foods in cancer prevention, the vast majority of which demonstrate a statistically significant protective effect. A number of studies have investigated and demonstrated the preventive role of vitamin C in cancers of ORTHO 22 the mouth, esophagus, oral cavity, larynx, stomach and pancreas (27, 28). There is also substantial evidence of its protective effect against cancers of the cervix, rectum and breast. Several recent lung cancer studies suggest significant protective effects of vitamin C or of food rich in vitamin C. Cell culture studies. In recent years there has been growing interest in the therapeutic application of vitamin C and its derivatives (26, 31, 32, 33, 34, 35, 36). Much of the evidence for the anti-cancer efficacy of vitamin C comes from cell culture studies that investigate the therapeutic potential of vitamin C and its derivatives directly on cancer cells (26, 31, 36). There is increasing evidence that vitamin C is selectively toxic to some types of cancer cells, thereby functioning as a pro-oxidant. It has been reported that it is cytotoxic to some human cancers such as neuroblastoma, osteosarcoma and retinoblastoma. At concentrations ranging from 10 nM to 1 mM vitamin C induces apoptosis in neuroblastoma and melanoma cells (11). It also acts as a modulator of growth in mouse myeloma cells as seen in an in vitro colony assay and human bone marrow cells. Vitamin C is also highly toxic to Ehrlich ascites carcinoma cells and 3T3 cells in culture (26). While at low concentrations, vitamin C was found to be cytotoxic to mouse lymphocytic leukemia cells, mouse cells from neoplasms, and acute lymphoblastic leukemia human ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 83 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE cell lines (36, 37, 38), at much higher concentrations it is also toxic to malignant cell lines. Japanese scientists have shown the anti-cancer effect of benzylidene ascorbate against human tumors of the ovary, stomach, pancreas, uterus, bile ducts and lungs (39). Benzylidene ascorbate has also been shown to induce apoptosis, or cell death, in human myelogenous leukemic cell lines, rat hepatocellular carcinoma cells, and in an HIV-replicating human lymphoma cell line. Its cytotoxic effect has been related to its pro-oxidant activity and activation of transcriptional factor NF-kappa B (26, 39). A number of vitamin C isomers and derivatives were synthesized and tested for their anti-cancer effects in vitro and it was demonstrated that derivatives with substitutions at -2 or -6 and at both positions have a marked cytotoxic effect. For instance, Ascorbate 6-palmitate and 6stearate, were found to be more potent inhibitors of murine leukemia cell proliferation compared to ascorbate 2phosphate, and ascorbate 6-phosphate or ascorbate 6-sulfate respectively (40). Ascorbate 6- palmitate and ascorbate 6stearate have also been shown to inhibit the proliferation of mouse gliomas, human gliomas, U-373 & T98G cells and renal carcinomas. All of these were attributed to inhibition of cell proliferation, cell cycle arrest and apoptosis (11, 41). Park et al. (37, 38, 39) and Chen et al. (42, 43) studied the effect of vitamin C on a number 84 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي of cancer cell lines as summarized in Table 1. Their results demonstrate that vitamin C at differing concentrations may utilize varying mechanisms to target cancer cells. At concentrations of 0.25 mM – 1.0 mM Vitamin C induces a dose and time dependent cancer cell inhibition due to oxidative stress. Treatment of cells with high doses of vitamin C resulted in increased intracellular GSH (glutathione) and GSH-S transferase activity that was accompanied by an uptake of cysteine thereby suggesting that high concentrations of vitamin C can modulate intracellular sulfur containing compounds such as glutathione and cysteine. In their pharmacokinetic studies in humans, Chen et al. (42, 43) investigated whether pharmacological concentrations of ascorbate can kill cancer cells selectively. The study tested toxicity of vitamin C towards several cancer cell lines and normal cell. The results indicated that the intravenous administration of ascorbate (5 mM – 10 mM for 1-2hrs) selectively induced death in 75% of the 48 cancer cell lines tested, but demonstrated no toxic effects on human peripheral white blood cells, fibroblasts and epithelial cells. Most recently, the study by Yun et al. shed more light on anti-cancer mechanism of vitamin C. The researchers used cancer cells with BRAF and KRAS mutations which make unusually high levels of a protein that transports glucose across the cell www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE membrane (49). Glucose and vitamin C share the same transporter – GLUT1. The results showed that large doses of vitamin C kill these mutated cells by raising the free radical levels, which in turn inactivate an enzyme needed to metabolize glucose, thereby depriving these cells of energy. Table 1. Effect of vitamin C on cell survival. IC50: the concentration of the drugs which causes inhibition of cellular proliferation in 50 % of the cells. The IC50 values are means ± standard deviations from triplicate experiments. HL-60, human myeloid leukemia; NB4, NB4-R1, NB4-R2, human acute promyelocytic leukemia (APL); KG1, human myeloblast; K562, human chronic myelogenous leukemia; U937, human histiocytic lymphoma; OVCAR, SK-OV3, ovarian cancer; JLP119, human lymphoma; MCF7, MB231, Hs587t, human breast cancer; KLN205, mouse lung cancer; RAG, mouse kidney cancer; CT26, mouse colon cancer; B16, mouse melanoma; LL/2, mouse lung cancer; Hs587Bst, human normal breast cells; CCD34SK, human normal fibroblast cells. *IC50 value was determined using H3 incorporation proliferation assay for 24h. Animal studies. Most of the beneficial effects of vitamin C in cancer observed in in vitro studies have been supported by in vivo testing as well (26, 44). Studies by Linus Pauling and his colleagues have shown that ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 85 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE high dietary intake of vitamin C decreases the incidence and delays the onset of malignant skin tumors in mice initiated by exposure to ultraviolet light (45). It also delays the onset of spontaneous mammary tumors. A mixture of vitamin C and cupric sulfate administered orally significantly inhibited human mammary tumor growth in mice (43, 45, 46). Vitamin C also decreased the incidence of kidney tumors generated by estradiol or diethylstilbesterol treatment in hamsters (47) due to a decrease in the formation of genotoxic metabolites. Other investigators have also found that vitamin C and its lipophilic derivatives such as ascorbyl palmitate, are effective in preventing skin cancer. Development of colon, kidney and bladder cancer in animals can also be controlled by vitamin C intake. Significant inhibition has also been observed with vitamin C treatment in the development of lung cancer in mice exposed to fiberglass dust (44). Our study conducted in mice lacking the ability to synthesize endogenous vitamin C (GULO-/-) has shown that animals supplemented with vitamin C develop lesser number of tumors, which in turn are encapsulated by a layer of connective tissue rendering them less invasive. Tumor metastasis in these mice was reduced by 71% (48). In a study by Levine et al, following a regimen of daily pharmacological ascorbate doses (4g/day) significantly decreased the 86 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي growth rate of ovarian, pancreatic and glioblastoma tumors in mice (46). High concentrations of vitamin C also inhibited tumor growth in Balb/C mice implanted with sarcoma 180 cancer cell lines (39). The survival rate in the group that received high doses of vitamin C increased by 20% compared to the control group. A study conducted by scientists at John Hopkins University (49) showed that colon cancer cells carrying mutations in KRAS or BRAF genes can specifically accumulate DHA. The increased intracellular DHA can in turn induce oxidative stress by depleting intracellular glutathione thereby increasing the vulnerability of cancer cells to free radical damage and death. As expected, Apc/KrasG12D mutant mice exposed to high doses of Vitamin C developed fewer and smaller tumors. Besides directly lowering the incidence and metastasis of several types of cancers vitamin C also demonstrates a supportive role for the normal tissues. Its beneficial effect on normal cells also helps in decreasing the cytotoxic side effects of radiation and chemotherapeutic agents when Vitamin C is used as an adjuvant. Clinical studies. Cancer patients typically have significantly reduced levels of vitamin C in serum, compared to healthy people. Large doses of vitamin C can correct these serum levels and improve immunity and other physiological functions (22, 27, 29). www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Clinical studies conducted by Cameron and his associates in Scotland (50); and later by Linus Pauling (51, 52) showed that on an average, terminal cancer patients who were prescribed 10g/day of vitamin C survived significantly longer than similar cancer patients who did not get a vitamin C supplement. Tumor regression was also reported in some patients with cancer of the lung, pancreas, small intestine, colon, breast or kidney (44). Cameron and Pauling observed no response or minimal response to vitamin C in about 45% of patients but the majority of patients experienced therapeutic responses of tumor retardation, cytostasis, or regression. Patients also reported a greater sense of well-being, improved appetite, increased mental alertness & physical strength and a decreased requirement for pain-killing drugs. These studies indicated that vitamin C therapy is more effective when started at an earlier than later stage. The results were also confirmed by Japanese researchers who found similar survival times (53, 54). Subsequently, Canadian scientist Dr. Abram Hoffer (55) provided more evidence that vitamin C enables cancer patients to live longer with a better quality of life. However, Cameron and Pauling’s work on vitamin C suffered a setback from subsequent studies, including a randomized, double-blind, placebo-controlled clinical trial by Dr. Charles Moertel of the Mayo Clinic (56). Interestingly the two studies differed in the ORTHO 22 modes of administration of Vitamin C, with Pauling recommending both intravenous and oral administration, and Moertel only administering orally thereby limiting anticancer efficacy of vitamin C. However, subsequent pharmacokinetic analysis with oral and combined oral/intravenous administration of Vitamin C by Levine (42, 43, 46) and Riordan (59, 60, 61, 62) suitably explained the conflicting findings. Oral intake of vitamin C, even at a very large dose, can raise plasma vitamin C concentrations to a maximum of only 200 μm/L; whereas an intravenous administration can raise plasma concentrations to as high as 26,000 μm/L. Concentrations of this magnitude can selectively kill tumor cells in vitro without any adverse effect to normal human cells. When 0.25-0.5 g/kg vitamin C was injected into rats intravenously or intraperitoneally, it produced an ascorbate concentration of 60100 fold higher in blood and tissue than with the same oral dose. These findings were soon followed up by many laboratories all over the world. A number of studies thereafter have shown that high doses of parenteral ascorbate inhibits the growth of xenografts of a number of cancer cell lines in mice such as glioblastoma, pancreatic cancer, breast cancer and neuroblastoma. In vitro and in vivo studies from several groups have also demonstrated the synergistic effect of pharmacologic ascorbate doses when ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 87 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE combined with common chemotherapeutic drugs such gemcitabine, paclitaxel and carboplatin (44). Amelioration of adverse side effects of chemotherapy and improvement in quality of life has been demonstrated in breast cancer patients too. In several studies, Riordan et al. clearly indicated benefits of vitamin C intake when used as an adjuvant with chemotherapy. Dr. Kedar Prasad showed that high doses of vitamin C as well as other antioxidants can protect healthy cells during chemotherapy treatment (26). He further states that cancer cells unlike healthy cells cannot regulate vitamin C uptake which results in their death. This study was further supported by the findings from UCLA and MD Anderson Cancer Center advocating that antioxidants should be taken during cancer therapy. Since administration of vitamin C enhances iron absorption, iron overload must be ruled out during treatment. Intravenous injection of vitamin C can also create a high load of sodium which can result in fluid overload in patients with congestive heart failure, renal insufficiency or renal failure. Patients with G6PD deficiency (an enzyme used to maintain the stability of red blood cell membranes) were found to be at risk of hemolysis following a high dose administration of vitamin C. Appropriate precautions should thus be taken for patients with the above case histories before treatment. 88 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي Anti-cancer mechanisms of vitamin C. Vitamin C is synthesized from glucose in four metabolic steps in most animals (16 ). The molecular shape of vitamin C and its oxidized form DHA is remarkably similar to glucose ( Figure 4). Cancer cells often mistake vitamin C for glucose and demonstrate enhanced uptake of Vitamin C by active transport using glucose receptors (GLUT1). Also since cancer cells require a large amount of glucose to sustain their high energy requirements for continuous proliferation and expansion, a large amount of vitamin C if presented to cancer cells will be absorbed by them in excess of that absorbed by normal cells. Once the vitamin C molecule is internalized by its receptors, it generates the superoxide ion in a reaction requiring the presence of iron and copper. This superoxide free radical is converted into hydrogen peroxide which is capable of inducing extensive cellular damage. In normal cells the anti-oxidant enzyme catalase converts the hydrogen peroxide into water and oxygen. In cancer cells, however, since the enzyme catalase is present in very small amounts the hydrogen peroxide is instead converted to even more reactive hydroxyl radicals in a reaction requiring iron and copper (26) (Figure 6). An increase in the oxidative stress in malignant cells consequently generates reactive oxygen species that cannot be eliminated and result in cancer cell death. www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Since normal cells have protein-bound iron and no hydrogen peroxide, vitamin C cannot increase oxidative stress in these cells. Actually, in normal cells the only effect of vitamin C is decreased oxidative stress. Additionally, vitamin C in sufficient amounts prevents the accumulation of hydrogen peroxide thus preventing the cells from oxidative damage and transformation into malignant cells. Therefore, it can be inferred that due to the differences in cellular metabolism between cancer and normal cells, Vitamin C selectively inhibits the former while maintains and strengthens the latter (26). Chemotherapy on the other hand, has adverse effects on both normal and cancerous cells. In cancer cells the increased state of intracellular oxidative stress is exacerbated by the additional prooxidant effects of chemotherapeutic agents causing cell death. Figure 6. Difference in the mechanism of action of Vitamin C in normal versus tumor tissue. Studies show that vitamin C also elicits caspase-mediated apoptosis (57, 58) and autophagy (63) in a variety of cancer cell types. Vitamin C inhibits hyaluronidase, an enzyme that tumors use to metastasize and invade distal organs throughout the body. In addition, upon treatment with Vitamin C ORTHO 22 depletion of cellular ATP levels was found in many cancer models. Downstream from DNA damage and ATP depletion, ZTM/AMPK signaling is activated which in turn results in tumor growth inhibition by cell cycle arrest, apoptosis, necrosis and autophagy. Vitamin C also has inhibitory effect on hypoxia- ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 89 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE inducible factor 1⍺ (HIF-1⍺) (64) which regulates glucose metabolism and promotes oncogenic processes in cancer cells. [A] [B] [C] Figure 7. Gel zymographs and densitometric analysis. A) Inhibition of MMP2 and MMP9 secretion in 91 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي fibrosarcoma HT-1080 cells; B) Dose dependent increase in expression of tissue inhibitors of matrix metalloproteinases (TIMP-2) in prostate cancer cells DU-145; C) Dose dependent inhibition of expression of u-PA in prostate cancer cells DU-145 by increasing concentrations of NM – Lane 1: Marker, Lane 2: Control, Lane 3-7: NM,50, 100, 250, 500, 1000µg/ml Vitamin C in combination with micronutrients. The majority of studies investigating anti-cancer effects of micronutrients used individual compounds or just a combination of a few (65, 66, 67, 68). In our anti-cancer approach we targeted key mechanisms essential in facilitating cancer cell growth, invasion and angiogenesis by using a specifically selected combination of micronutrients. It included vitamin C, lysine, proline, green tea extract, and other nutrients essential in inhibiting oxidative stress and facilitating a natural barrier around cancer cells by supporting the synthesis of extracellular matrix and inhibiting its proteolytic degradation. Due to the synergistic action of a variety of anticarcinogenic components, the micronutrient mixture (NM) was found to be effective in controlling cancer cell proliferation, invasion, metastasis and angiogenesis. Our studies clearly indicate that NM could inhibit cell proliferation in over 50 human cancer cell types selected on the basis of organ www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE malignancies (carcinomas, sarcomas and leukemia) (69). These in vitro findings were also confirmed by in vivo studies. NM inhibited growth of cancer cells implanted as xenografts in athymic mice. It also inhibited cancer development induced by chemicals, such as N-methyl N-Nitrosourea (MNU) in the mammary glands of rats, Urethane in mice lung cancer and dimethyl ben-anthracene (DMBA) in skin cancer (69). Figure 8. NM induces apoptosis in rhabdomyosarcoma cells. (Live Green Caspase detection) The NM also inhibited invasion of several human cancer cell lines in a dose dependent fashion. For instance, NM inhibited metastasis of B16FO melanoma cells into lungs (70) from spleen into liver (71), and from testicles to lungs (72), in a mouse model. The inhibition of invasion by NM can be attributed to its inhibitory effect on the synthesis and activity of MMPs, the enzymes responsible for digestion of the extracellular cells. MMPs are elevated in several types of human cancers and are associated with a poor prognosis. Thus by inhibiting the MMP activity of several different cancer cell lines (Figure 7), NM inhibits not just multiplication ORTHO 22 but also spread of cancer (73). In addition, was effective in inducing cell death in all tested cancer cell types (74) (Figure 8). Our results suggest that a combination of vitamin C and other micronutrients can therefore be effective in a variety of ways by utilizing and targeting mechanisms specific to cancer cells. The NM offers a multitargeted non-toxic approach to fighting cancer without a need for mega doses of micronutrients and provides a therapeutic alternative for the extremely toxic current cancer treatments. ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 90 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE References 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 17. 18. 19. 20. 21. 22. 23. 24. 25. 92 Cairn J. The origin of human cancer. 1987. 289: 353-357. DeVita V.T. The evolution of therapeutic research in cancer. N Engl J Med. 1978; 298 (16): 907-10. Pecorino L. Molecular Biology of Cancer: Mechanisms, Targets and Therapeutics. Oxford University Press; 2005. 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ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 95 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE MODULATION OF CYTOKINES IN CANCER PATIENTS BY INTRAVENOUS ASCORBATE THERAPY Nina Mikirova, Neil Riordan, Joseph Casciari (Bio-Communication research institute, Riordan Clinic, Wichita, KS, USA) Med Sci Monit 2016; 22:14-25 DOI: 10.12659/MSM.895368 Published: 2016-01-03 BACKGROUND: Cytokines play an important role in tumor angiogenesis and inflammation. There is evidence in the literature that high doses of ascorbate can reduce inflammatory cytokine levels in cancer patients. The objective of this study was to investigate the effect of treatment by intravenous vitamin C (IVC) on cytokines and tumor markers. MATERIAL AND METHODS: With the availability of protein array kits allowing assessment of many cytokines in a single sample, we measured 174 cytokines and additional 54 proteins and tumor markers in 12 cancer patients before and after a series of IVC treatments. RESULTS: Presented results show for our 12 patients the effect of treatment resulted in normalization of many cytokine levels. Cytokines that were most consistently elevated prior to treatments included M-CSF-R, Leptin, EGF, FGF-6, TNF-α, β, TARC, MCP-1,4, MIP, IL-4, 10, IL-4, and TGF-β. Cytokine levels tended to decrease during the course of treatment. These include mitogens (EGF, Fit-3 ligand, HGF, IGF-1, IL-21R) and chemo-attractants (CTAC, Eotaxin, E-selectin, Lymphotactin, MIP-1, MCP-1, TARC, SDF-1), as well as inflammation and angiogenesis factors (FGF-6, IL-1β, TGF-1). CONCLUSIONS: We are able to show that average z-scores for several inflammatory and angiogenesis promoting cytokines are positive, indicating that they are higher than averages for healthy controls, and that their levels decreased over the course of treatment. In addition, serum concentrations of tumor markers decreased during the time period of IVC treatment and there were reductions in cMyc and Ras, 2 proteins implicated in being upregulated in cancer. Keywords: Allergy and Immunology, Antineoplastic Agents, Ascorbic Acid 96 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE concen-trations attainable via intravenous infusions, has been Background shown to induce apoptosis in cancer cells [18], inhibit tubule Cells produce cytokines in response to a variety of forma-tion and angiogenesis [17], stimulate collagen synthesis stresses, including infection, physical trauma, and carcinogen-induced injury. Cytokines stimulate a coordinated host response aimed at tissue protection and healing. However, failure of the body to resolve an injury can lead to persistent cytokine production and tissue damage. Chronic cytokine production with angio-genesis and inflammation during tumor growth is an exam-ple of [19,20], and reduce the production of pro-inflammatory this. Cancer cells release various cytokines and growth factors into their surroundings, recruiting and reprogramming other cell types in order to establish a tumor microenvi-ronment [1–11]. Tumor derived cytokines, such as Fas ligand, vascular endothelial growth factor (VEGF), and transforming growth factors a and b (TGF), may facilitate the suppression of immune response to tumors [12,13]. The complex interac-tions between tumor cells and TNF-a [24–28]. Vitamin C may also inhibit inflammation by various other cell types, such as endothelial cells, fibroblasts, and leukocytes, involve cas-cades of cytokines and growth factors that in turn can have local and systemic effects [1–9]. Cytokines such as interleu-kins 4, 6, 8, and 10 (IL-4, IL-6, IL-8, IL-10) along with TGF and VEGF, may regulate tumor growth, promote angiogenesis, in-duce (or inhibit) inflammation, or modify the antitumor im-mune cytokines [21]. Ascorbate may protect against activation of HIF1 [22], an in-flammation promoter that is upregulated in tumors [23] and leads to increased production of the angiogenesis factor VEGF. It also may inhibit the activation of NF-kB, a transcription fac-tor that leads to an overexpression of inflammatory proteins and cytokines such as IL-2IL-1b and blocking the inflammatory activity of GM-CSF, a cytokine that induces an increase in re-active oxygen species in response to tumor necrosis factor and IL-1 [29]. The effects of ascorbate on inflammatory cytokines is concentration dependent, in that doses typical of oral sup-plementation (250 to 3000 mg per day) do not show any ef-fect [30–35]. Hence, any anti-inflammatory effect of vitamin C is likely confined to situations where the antioxidant is administered intravenously. Ascorbate may also be important in supporting immune function, in part through its antioxidant protection of immune cells [36] and its effects on phospha-tase activity, transcription factors, and gene expression [37]. In vitro, T-cell maturation has been shown responses [6–11]. Some cancer patients exhibit chronic low-grade inflammation that in turn can give rise to fatigue, de-pression, anorexia, cachexia, pain, and poor prognosis [14,15]. This chronic inflammation is associated with elevated cytokine levels observed in cancer patients. Interleukins 1, 6, 8, 12, and 13 (IL-1, IL-6, IL-8, IL-12, IL13), granulocyte macrophage colo-ny-stimulating factor to depend on vita-min C [38]. Ascorbate may increase (GM-CSF), monocytes chemoattractant proteins (MCP-1), macrophage inflammatory proteins (MIP-1 a, b), interferon a (IFN-a), tumor necrosis factor (TNF-a), epi-dermal growth factor (EGF), VEGF, and TNF receptor II have all been reported to be elevated in cancer patient serum relative to that of healthy subjects [1–11]. patients before and after treatment with intravenously Recent studies suggest that ascorbate (ascorbic acid, vitamin C) therapy may reduce inflammation and angiogenesis in tu-mors [16,17]. Intravenous ascorbate therapy is of interest as a potential adjuvant therapy, in part because of the potential for ascorbate, at sufficient concentrations, to inhibit cancer cell growth while phagocytic activity [39] and have anti-proliferative activity comparable to that of IFN-a [40]. Given the role of cytokines in cancer, and the potential ability of ascorbate to modulate cytokine production, we undertook to measure cytokine production in cancer administered vitamin C. The goal of the study was to demonstrate that ascorbate ther-apy may alter cytokine expression in cancer patients in a way that is favorable to tumor suppression. The present manuscript describes measurements of over 170 cytokines in twelve patients with a variety of cancers. In a sep-arate sample of 4 patients, we assayed a panel of over fifty proteins and cancer markers. serving as a biological response modifier. Ascorbate, at ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 97 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Material and Methods the Institutional Review Board of Riordan Clinic. All Serum cytokine and protein analysis participants have provided their written informed consent. Serum samples from twelve cancer patients and 8 healthy The vol-unteers were obtained for analysis on a voluntary basis with full HIPAA compliance. The research was in determined. Information about the can-cer patients is summarized in Table1. serum concentrations of 174 cytokines were compliance of the declaration of Helsinki and approved by Most patients were late stage, had metastatic disease, and had previously undergone surgery and/or conventional ther-apy. Cancer patients were treated with intravenous ascor-bate infusions at the Riordan Clinic according to the Riordan IVC protocol. The details of this protocol have been described elsewhere [41] and are available for download at the Riordan Clinic web site: https://riordanclinic.org/research-study/vita-min-c-researchivc-protocol/. Briefly, new cancer patients are given a 15gram injection for their first dose, followed by a 25-gram injection the next day. Dosage is then adjusted by the physician based on the patients’ tolerance and plasma ascorbate levels attained post infusion. Patients in the pres-ent study reached 50 grams per infusion by their sixth course of treatment. Serum samples for cytokine analysis were tak-en before the onset of each patient’s first IVC treatment and after the patient’s sixth IVC treatment. Vitamin C concentra-tions in plasma immediately after infusions were monitored using standard protocols [40]. 98 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي Serum concentrations of 174 cytokines were measured using a protein array kit (AAH-CYT-2000, RayBiotech). The assay was conducted according to the manufacture’s provided pro-cedure. In this assay, antibodies to 174 cytokines are bound to a membrane support. After a sample is added and cyto-kines are allowed to bind to antibodies, additional antibodies tagged with chemiluminescent markers are added. The chemiluminescent signal was imaged by the BioImage system (Alpha Innotech). The antigen-antibody spots on the image were circled by Spot Denso of FluorChem SP software (Alpha Innotech). Serum samples from 8 healthy volunteers were used to establish normal ranges. Specifically the mean c and stan-dard deviation sd were determined for each cytokine, with a ±2 SD range being considered “normal”. Z-scores for each cy-tokine in each cancer patient were computed: � �� �� www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 99 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Furthermore, cytokines were also scored based on their abili-ty to promote (+) or inhibit (–) angiogenesis or inflammation. An angiogenesis score and an inflammation score were then computed for each sample by taking the sum of the z-scores for angiogenesis (or inflammation) promotors and subtract-ing out the z-scores of the angiogenesis (or inflammation) in-hibitors. The result was then divided by the total number of cytokines included in the sum. Further tests were done on 4 of 12 cancer patients for IVC in-fluences as measured by protein array assay. Serum concen-trations of 58 proteins (a list is provided along with results in Table 2) were measured by array, which is a label-based as-say (with antibody spotted and analyte labeled) for 58 mark-ers of cytokines and oncoproteins based on the principle of Ray Biotech protein array kit (#AAH-BLM-1-2) and modified. Serum samples from 8 healthy volunteers (35–60 years old, 4 males and 4 females) were used to establish normal rang-es, and z-scores for each protein in each cancer patient were computed as described above. Vitamin C in serum of subjects was measured by highpressure liquid chromatography (HPLC) with electrochemical detection. Statistical analysis The data were analyzed by Systat software (Systat, Inc.) and Kaleidagraph software. Graphs and curve fits were generated by Kalaidagraph (Synergy Software) and tests of significance were carried out using Mann-Whitney nonparametric test. Variables were presented as mean values ± SD. Statistical significance was accepted if the null hypothesis could be re-jected at p£0.05. The information on the 12 cancer patients is given in Table 1. Our patients varied considerably in type of cancer, prognosis, and treatment. Total treatment times ranged from less than 1 month to 52 months, with cancers of the breast, prostate, colon, lung, sarcoma, and pancreas all represented. Data pre-sented in article were measured at the beginning of patient enrollment during first 2 weeks. The comparison of initial samples (prior to therapy) and final sam-ples (after the last of 6 IVC treatments) showed important changes in cytokine levels. Cytokines that moved Results in the normal range and those that moved outside the normal range are listed in Table 3. The values presented in The serum concentrations of 174 cytokines were determined in each of 12 cancer patients before and after a course of in-travenous vitamin C therapy. Plasma ascorbate levels, shown in Figure 1, ranging from 5 mM to 15 mM, were achieved immediately after infusions, consistent with previous obser-vations with the Riordan protocol [41]. Patients were treated during 2 weeks by 6 IVC infusions. 011 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي 2 columns for each patient show the cy-tokines that were out of normal range (NR ±2SD) and returned to normal range or were in normal range and decreased or increased to levels lower or higher than NR. Values are given in the percentage of difference after treatment to pretreatment levels. www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Generally, patients with elevated cytokines initially showed the most dramatic changes over time. The overall effect of treat-ment was to decrease most cytokine levels; whether this is due to the ascorbate treatments or simply due to disease pro-gression is not known, since we did not have untreated con-trol subjects in this study, but as the period of treatment was 2 weeks, we suggest that all changes were due to treatment. There are several cytokines for which a variety of patients saw decreases after IVC therapy. These include mitogens (EGF, Fit-3 ligand, HGF, IGF-1, IL-21R) and chemo- treatments were TIMP (high concentrations are associated with good prognosis in patients with breast cancer), BetaNGF (stimu-lates chemotactic recruitment of leukocytes), ITAC (potent chemoattractant for IL-2 activated T cells), IL1R (antagonis-tic to IL-1, a non-signaling decoy receptor, which functions by capturing IL-1 and blocking IL-1R1), and Il-3 (enhances tumor antigen presentation). Several cytokines were decreased: MIP-1 (causes local inflam-matory response, chemoattractant for T cells and monocytes), IL-10 (inhibits antigen-presenting cells, inhibits cytokine pro-duction), Lymphotactin (enhances T cell attractants (CTAC, Eotaxin, E-selectin, Lymphotactin, MIP- recruitment), IL-1 (co-stimulates cell activation, inflammation, required for tumor invasion and 1, MCP-1, TARC, SDF-1), as well as inflammation and angiogenesis), BMP (regulates cellular prolifer-ation and angiogenesis factors (FGF-6, IL-1, TGF-1). apoptosis), and IGF (promotes the proliferation of many types of cells). Several improved cytokines were common for several cancer patients. The cytokines that were increased after The cytokine profile in these patients was compared to the normal range (determined from 8 healthy volunteers). We ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 010 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE cal-culated for each patient the percentage of cytokines Particularly striking were decreases in the angiogenesis (from all measured cytokines) that were in normal range before and af-ter treatment, percentage of cytokines that factors endoglin, EGF, and FGF-6. Inflammation factors (or returned to normal range and percentage of cytokines that dramatically were eotaxin, IL-4, IL-10, lympho-tactin, MCP- remained higher or lower than normal range. The cytokines that remained in normal range before and after treatment 1, MIP-1b, TARC, TGF-b3, and TGF- b1. There does not were in a range of 60–80%, the improved cytokines ranged from 1% to 9%, with lowest value for the lung cancer patient, and the levels of 7–9% for patients with prostate, colon, renal, and ovarian cancers. The cytokines that were not changed and were out-side the normal levels ranged from 3% to 23%. There is quite a contrast, with 7 patients (all breast cancer patients, sarcoma, lung and colon cancer) having cytokine levels that are predominately below the normal range while 5 others (prostate, ovarian, pancreas, renal and colon cancers) had cytokine levels that were predominantly in the nor-mal range. Interestingly, all 4 of the breast cancer patients in our study fell into the first group, showing depressed cyto-kine levels across the board. Only 28 cytokines had average z-scores (mean of twelve patients) above zero, with BMP-4, SDF-1, IL-1alpha, MCP-2 and LIGHT having the highest aver-age z-scores before treatment. anti-inflammation factors) that de-creased most appear to be any systematic decrease in pro-inflammato-ry agents versus anti-inflammatory agents. Overall, the inflammation and angiogenesis scores decreased, suggesting that over time the cytokine mix for these patients’ moves toward a less inflammatory and less angiogenic state. These trends are shown graphically in Figure 2A–2C. The de-clines in values are more dramatic in subjects who started with positive initial values. The changes in z-scores, angiogenesis scores, and inflammation scores were especially dramatic for the pancreatic cancer patient, a subject who showed cytokine profiles characterized by normal to elevated levels before treat-ment, and reduced levels after treatment. This patient was in-teresting in that he did not undergo radiation therapy, che-motherapy, or surgery. Three of these 12 patients had positive results with IVC ther-apy. Prostate patient had proved refractory to standard treat-ment and was given a prognosis of death within 1 Among the cytokines considered relevant to inflammation and angiogenesis, the ones with positive mean (for the twelve cancer patients) z-scores are FGF-4 (0.33), SCF (z =0.1), MIP-_ 3-alpha (z =0.2), IL-9 (z =0.24), BMP-6 (z =0.54), TGF-beta 3 _ _ _ _ (z=0.78), CK beta (z=1.2), IL-1alpha (z=1.8), MIF (z=1.04), and _ MIP-1-delta (z=1.1). All of these cytokines, it should be noticed, decreased in concentration over the course of IVC therapy. In an attempt to understand how these changes might affect cancer, we separated the angiogenesis factors and inflamma-tion factors. Angiogenesis and inflammation scores for each patient, computed as described above, are shown in Table 4. Table 5 shows cytokines from those categories that showed the most change over the course of treatment. Some, such as DR6, IL-1a, IL1-R1, and IL-12, showed consider-able variability without consistent trends, while others showed more consistent decreases over time. 012 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي year; with IVC treatments he survived for 6 years. The sarcoma patient began IVC therapy after undergoing radiation and chemo-therapy with poor prognosis. She was treated for 3 years, at which point scans showed her to be clear of almost all metas-tases. Finally, the breast cancer patient (who had an invasive tumor with a recurrence score of 23) was treated with IVC af-ter mastectomy. She was treated at the Riordan clinic for 2.5 years before moving to another location. Examining data in Tables 3 and 5, we do not see much commonality between these 3 subjects. Patients with breast cancer and sarcoma had cytokine levels what were reduced during treatment, with large reductions in angiogenesis and inflammation scores. The pa-tient with prostate cancer, however, showed profiles with re-duced cytokine levels and did not show much change in lev-els during treatment. To gain a different perspective, and perhaps narrow the focus a bit, we tested 4 of the 12 cancer patients for serum lev-els of 58 protein markers. We chose the patient with sarcoma, who came after radiation and chemotherapy with www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE very poor prognosis; 2 patients with breast cancer (both markers (CA 15-3, CA 19-9, CEA, and CA 242) as well as after mastecto-my, but 1 of them had metastasis and treated by chemother-apy and radiation and another did not have metastasis and chemotherapy); and the patient with colon cancer after con-ventional treatment (surgery and chemotherapy). As indicat-ed, these patients were subject to a series of 6 intravenous vitamin C treatments prior to the final assay. The results for 4 patients of protein profiles and their average zscores are listed in Table 2. decreases in the transcription reg-ulator c-Myc. The gene responsible for producing this protein is thought to be mutated in cancer cells, leading to increased expression and increased cell proliferation. Decreases seen in these markers during treatments are therefore encourag-ing. Figure 3 shows a histogram to indicate how dramatically these tumor markers decreased over the course of treatment. Before treatment, all measured proteins except CEA pan H-8, CA 15-3, h-albumin, CA 19-9, c-Myc and CA242 were in normal range ±2SD. The most dramatic and consistent For the average Z-score of Ras protein, we saw a return from an overproduced state (Z=1.18) to normal ranges (Z=–0.08). results involved decreases in values of several tumor ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 013 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Table 5. This table shows data for angiogenesis and inflammation cytokine that showed the most change, or were changed in the most patients, during treatment: mean initial (I) and final (F) z-scores, change in mean z-score (∆). Indication of which cytokines are angiogenesis (Ag) or inflammation (If) factors are given. 014 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 015 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Discussion We are able to show that average z-scores for several inflam-matory and angiogenesis promoting cytokines are positive, in-dicating that they are higher than averages for healthy controls, and that their levels decreased over the course of treatment. Some of these results confirm previous reports, including EGF, FGF, MIP, MCP, and TNF. Others The use of high-dose intravenous vitamin C as a possible ther-apy for cancer has been revisited recently [41–48] and sever-al trails of the use of IVC as adjuvant therapy are under way. In our study we analyzed cytokines as the messengers for the regulation of the inflammatory and angiogenic cascades. Our data confirm the inhibition and positive regulation of the part of cytokines responsible for angiogenesis and inflammation after 6 IVC treatments. elevated in our study, includ-ing IL-4, 10, MCSF-R, and Leptin, have not been reported pre-viously as Angiogenesis and inflammation share common being elevated. Of the cytokines that are thought to pathways, and both play key roles in the initiation be important in angiogenesis and inflammation, we and progression of cancer. Inflammatory cells may saw dra-matic decreases in EGF, FGF, IL-4, IL-10, facilitate angiogenesis and promote tumor cell lymphotactin, MCP-1, MIP, TARC, TGF-a, and TGF- growth, invasion, and metastasis. The FDA has ap- b. We computed 2 parameters, the angiogenesis proved several angiogenesis inhibitors for anticancer score and the inflammation score, to pro-vide an ‘average’ z-score for cytokines involved in these processes. These scores decreased noticeably during the period of treatments, with changes being more dramatic in the can-cer patients, who had elevated levels of inflammatory and an-giogenic cytokines prior to treatment. Our small sample size did not allow us to demonstrate differences pre- versus post-treatment with 95% confidence, but we did have significance near the a=0.10 level in some cases, suggesting that further measurements may be therapy. While these drugs seem to have mild adverse effects, recent studies reveal the potential for complications that reflect the im-portance of angiogenesis in normal body processes. Research is also under way to develop pharmaceuticals that reduce inflam-mation. High-dose ascorbic acid therapy may also be a useful strategy for reducing inflammation and angiogenesis. Phase I studies show high-dose (10 to 100 grams) intravenous ascor-bate therapy shows a good safety profile worthwhile. [45,49–53] while im-proving quality of life as measured by cancer patient reported scores in Our encouraging finding may be the measurements physical, emotional, and cognitive function. Patients also show reduced fatigue, nausea/vomiting, pain, of 58 pro-teins and markers in 4 cancer patients. We found that serum concentrations of tumor markers decreased during the time period of IVC treatment. and appetite loss after IVC administration. In addition to the marker decreas-es, we saw reductions in c-Myc and Ras, 2 proteins implicat-ed in being upregulated in cancer. We also saw Conclusions increases in some proteins that might be considered beneficial in com-bating cancer, including c-Jun, levels of cytokines before and after high-dose which plays a role in differen-tiation and apoptosis, injections resulted in increased concentra-tion of and the DNA repair agents BRCA1 and 2. It should be noted that changes that occurred during the ascorbic acid in blood, from 5 mM after first 15 g IVC course of therapy (1 or 2 weeks) may be due to the therapy itself; however, there were no untreated controls for cancer patients in this study. Because intravenous ascorbate therapy is of interest as a po-tential adjuvant therapy, we analyzed the ascorbic acid treatment in cancer patients. The IVC infusion to 15 mM after last 50 g IVC. Given the role of cyto-kines in cancer, and the potential ability of ascorbate to mod-ulate cytokine production, we measured cytokine production in cancer patients 016 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE before and after treatment. It should be noted that changes that occurred during the time of therapy (2 weeks) may be considered being due to the therapy itself; however, there were no untreated controls of cancer patients in this study. We were able to show that average z-scores for several inflammatory and angiogenesis promoting cytokines that were higher than average for healthy controls decreased over the duration of treatment. In addition, serum concentrations of tumor markers decreased during the period of treat-ment and there were reductions in c-Myc and Ras proteins thought to be upregulated in cancer. In conclusion, the present study suggests that vitamin C thera-py can downregulate angiogenesis and inflammation promot-ing cytokines in some cancer patients. Future studies should focus on a larger sample of cancer patients, and perhaps a greater variety of tumor types. Competing interests The authors declare that they have no competing interests. Acknowledgements We are grateful to Meng X, Yin Z, Rogers A, and Zhong J for their hard work in improvement of cytokine testing procedure and cytokine measurements References: 1. Sheu BC, Chang WC, Cheng CY et al: Cytokine regulation networks in the cancer microenvironment. Bioscience, 2008; 13: 3152 2. Bruchard M, Ghiringhelli F: Tumor microenvironment: regulatory cells and immunosuppressive cytokines. Med Sci (Paris), 2014; 30: 429–35 3. Lee S, Margolin K: Cytokines in Cancer Immunotherapy. Cancers, 2005; 3: 3856–93 4. Dranoff G: Cytokines in cancer pathogenesis and cancer therapy. Nat Rev Cancer, 2004; 4: 11–21 5. 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Atsuo YANAGISAWA Cardiologist Former Professor of Medicine Kyorin University School of Medicine President, Japanese college of Intravenous Therapy International Society for Orthomolecular Medicine Professor, The Graduate School of Project Design Director, SPIC Salon Medical Clinic ORTHO 22 Thank you for inviting us to the SANMO Seminar. And IT IS VERY HONORED FOR ME TO SAY CONGRATURATIONS FOR 5TH ANNIVERSARY OF SANMO. I am very impressed this powerful educational seminar with a lot of energy. We are very happy to forward a great step of orthomolecular medicine together with you. Orthomolecular is a term that comes from ortho, which is Greek for "correct" or "right" . So, "orthomolecular," means the "right molecule." Two-times Nobel Prize winner, and molecular biologist, Dr. Linus Pauling,coined the term "Orthomolecular" in his 1968 article "Orthomolecular Psychiatry" in the journal "Science”. Orthomolecular Medicine describes the practice of preventing and treating disease by providing the body with optimal amounts of substances which are natural to the body. Intake of essential nutrients, such as vitamins, minerals, and amino acids, from supplements with balanced meal will prevent and treat illness, leading to an ideal health condition for whole generations. ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 019 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE TODAY’S TOPICS (1) Intravenous Vitamin C therapy for Cancer Treatment (2) Vitamin C for Anti-Aging (3) Orthomolecular treatment for patients with HPV vaccine side effects (4) Radiation and Vitamin C Today, I will talk to you about 4 topics, The 1st topics is, General knowledge of Vitamin C and cancer from basic research to clinical settings. The 2nd topics is, Effects of Intravenous Vitamin C therapy on quality of life in patients with cancer . The 3rd topics is, Doctors choices on their own cancer treatment. And The 4th topics is, Riordan IVC Protocol (1) Technique of Intravenous Vitamin C a. One-shot iv Vitamin C b. Mega-dose iv Vitamin C ALL MAMMALS SYNTHESIZE VITAMIN C EXCEPT… • Humans • Primates • Guinea pigs • Fruit-eating bats 001 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 000 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE 002 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 003 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE 004 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 005 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE 006 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 007 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE 008 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 009 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE 021 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE As you all know, on March 11th in 2011, there was a terrible Earthquake and Tsunami in Japan. The Earthquake and Tsunami killed more than 15,000 people and nearly 3,000 people is still missing. Starting with you here, warm thoughts and prayers were sent to Japan from all over the world. Particularly, in March 12, one day after the earthquake, British government dispatched the National Rescue Team including 63 rescue members and 2 rescue dogs immediately and saved Japanese people from the disaster. ORTHO 22 We have to consider about radiation exposure from air, water and contaminated food chain. As all you know, from the experiences of Chernobyl disaster, radiation exposure affect our health, and cause many diseases including cancer, heart disease, neural disease, birth defect, allergic disorders etc. ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 020 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE THE MECHANISM OF RADIATION-INDUCED CELLULAR INJURIES Vitamin C (150 mg/kg/day) was orally administered for 3 days, and then the mice underwent 14 Gy irradiation. Pretreatment with ascorbic acid markedly improved radiation-induced gastro-intestinal damage, thereby rescuing mice. Authors of National Defense Medical College & Ground Self- Defense Force in Japan commented in this article, Yamamoto et al. J Radiat Res 2010;51:145-15 There are many scientific studies demonstrating protective effects of vitamin C and other anti-oxidative nutritions upon radiation injury. In 2010, one year before the FUKUSHIMA….. Pretreatment with Ascorbic Acid Prevents Lethal Gastrointestinal Syndrome in Mice Receiving a Massive Amount of Radiation. From National Defense Medical College & Ground Self- Defense Force in Japan Yamamoto et al. J Radiat Res 2010;51:14515. “When we undertake the rescue of victims from a radiation-contaminated area just after a radiation accident or terrorism, it is important for rescue team members to promptly take Vitamin C orally.” Official Statetment of JCIT about “Environmental radioactivity and health” issued in March 29, 2011. Working Group of The Statement Atsuo Yanagisawa M.D. Masashi Uwabu, M.D. Burton E. Burkson, M.D. 022 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Bradford S. Weeks, M.D. Ronald Hunninghake, M.D. Steven Hickey, Ph.D. Thomas Levy, M.D. It is our strongest recommendation that those living in the effected areas regularly take antioxidant supplements such as vitamin C to counteract the negative consequences of long-term low dose radiation exposure as well as to protect the health of coming generations. JCIT - RECOMMENDATION People who have a possible internal and/or external radiation exposure should take antioxidative supplements to maintain optimal anti-oxidative reserve on their own body. Vitamin C 3-4 times a day (50-150mg/kg/day) Alpha-lipoic acid 100-300 mg twice a day Selenium 50-200μg twice a day Vitamin E 100-200 mg twice a day with other essential vitamins and minerals. From National Defense Medical College & Ground Self- Defense Force in Japan Ito et al. J Radiat Res 2013;14:19618-35. Oral Vitamin C (250 mg/kg/day) x3 days Oral shot Vitamin C 250 mg/kg at 8 h before radiation Oral Vitamin C (250 mg/kg/day) x7 days 1-3g However, Japanese Government, Tokyo Electric Power Company (TEPCO) and media ignored our proposal. 2 years later………. National Defense Medical College published new data, 2 years later………. National Defense Medical College published new data, According to their paper, In March 13, 2011, the rescue team members of National Self-Defense Force took VITAMIN C when they were sent out to the radiation contaminated area at Fukushima Nuclear Plant. A Combination of Pre- and Post-Exposure Ascorbic Acid Rescues Mice from RadiationInduced Lethal Gastrointestinal Damage ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 023 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE EFFECTS OF VITAMIN C AND ANTIOXIDATIVE NUTRITION ON RADIATIONINDUCED GENE EXPRESSION IN FUKUSHIMA NUCLEAR PLANT WORKERS - A PILOT STUDY (1) Japanese College of IV Therapy (2) Iwata Ladies Clinic, (3) Gene Science Co, Ltd. METHODS (3) INTERVENTION (1) Intravenous Vitamin C 25g prescription Sterile water 250mL 12.5% MgSO4 5mL 50% vitamin C 50mL (25g) V-B1: 120mg V-B2: 2mg V-B3 : 40mg V-B5: 254mg V-B6: 120mg V-B12: 1mg (2) Daily oral supplements Lyposomal Vitamin C 1 g Alpha-lipoic acid 300 mg Selenium 200 μg Vitamin E 200 mg Multi-Vitamins twice a day twice a day twice a day twice a day twice a day METHODS (1) STUDY SUBJECTS Subjects: 12 men (32-59 yrs.) who worked 5-6 weeks at radiation contaminated area of Fukushima Nuclear Plant after March 12, 2011. Work operations at contaminated area: --> Collecting contaminated water --> Measuring radiation level in the plant area --> Removal of debris --> Operation of heavy machinery 024 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE CONCLUSION (1) We evaluated the effects of radiation exposure on cancer related gene expression in Fukushima nuclear plant workers. (2) Working at Fukushima contaminated area has a risk of radiation-induced cancer. (3) Those cancer risk can be neutralized by anti-oxidative nutrition. (4) We strongly recommend that people living in the radiation contaminated area should take Vitamin C immediately. VITAMIN C CAN SAVE THE PEOPLE’S LIFE FROM RADIATION. - JCIT working group However, Government, TEPCO and media still ignored our proposal. Fukushima workers have not take Vitamin C. Radiation-related health problems such as cancer, heart disease, birth defect etc will increase in next 5-20 years or more in Japan. The incidence of thyroid cancer is increased in young people who have lived in Fukushima area. Daily intake of Vitamin C 3-6 g can prevent radiation-induced health problems and keep optimum health. It is not too late. The year of 2020 is Tokyo Olympic Game. I can imagine that all athlets and tourists from all over the world may take Vitamin C when they visit to Japan. ORTHO 22 LET’S THINK ABOUT ELECTRICITY. Electric power is generated by - Coal power plant - Oil power plant - Gas power plant - Nuclear power plant They are all toxic and make the earth sickness. The earth may recover from the sickness when we control and save the energy, or change to other non-toxic power such as wind, solar, water and geothermal power. However, nuclear power is exceptional. We don’t have safety store room for spent nuclear fuel. This fuel is toxic to the earth for over thousands years. According to the experience of Fukushima Nuclear Power Plant accident, we human being can not control nuclear power.. Once nuclear power plant accident occur, radiation harms people’s health and make the earth more sick for thousands years. And this may happen every where in the world. Japan has more than 50 nuclear power plants and now all they are stopped for supplying electricity. However, government and TEPCO restart nuclear power plants politically. They say nuclear power is safe and cheap. I think “nuclear power is dangerous and expensive”. My opinion, as a physician who protects people’s health, we should stop all nuclear power plant on the earth. ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 025 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE ORTHO-GUEST COURSE Dr. Risa YANAGISAWA "Japanese College of Intravenous Therapy Our work in Japan” Topic: JCIT is a growing organization with over 600 doctors in Japan. We are dedicated to contribute to people’s health through educating doctors on safe and effective orthomolecular medicine. This short talk will cover JCIT’s purpose, history, and activities. 026 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي HEALTHCARE & ORTHOMOLECULAR MEDICINE IN JAPAN 290,000 doctors in Japan. 2 doctors/ 1,000 people Universal insurance – but only covers conventional Western medicine Nutrient therapy, orthomolecular, and other non-conventional medicine is excluded from insurance system and education Mainstream doctors disregard nonconventional medicine Media and the public are doubtful toward non-conventional medicine… although there are rising interest toward orthomolecular, leading to rising interest from doctors OVERVIEW OF JCIT Established in 2007 President - Atsuo Yanagisawa MD., PhD.,FACC. Over 620 members practicing IV therapy Mission: Contribute to people’s health by creating a society where everyone can choose to get safe and effective orthomolecular IV therapy Main Activity: Educating doctors and the society www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE THE FACTS ABOUT MEMBERS BOARD MEMBERS Members’ Professions GyneSurgic al [パー セン テー ジ] • • cology [パー Others セン [カテ 7% Dental テー ゴリ 10% ジ] 名] [パー センテ ージ] Intern al md 55% 14 professionals from Japan, 18 from abroad…. Great network of influential doctors, contributing to the success in our duties 90% at private clinic. 90% of them are owners of their clinic > 60% practice anti-aging medicine regardless of their professions above Number of Members 700 600 500 400 300 200 100 0 602 242 316 373 398 427 478 518 72 07 08 09 10 11 12 13 14 15 • • 600 + doctors in total, including dentists and veterinarians in 2016 Covering all prefectures in Japan ORTHO 22 WHAT DO WE DO? Seminars for professionals Total of 18 sessions for professionals in 2016 Basic seminars, special topic seminars, hands-on seminars, workshops, etc. 40-120 attendees per seminar for most. Total 928 attendees in 2015 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 027 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE 2011 2012 2013 2014 2015 1000 928 800 600 400 200 0 Jan Feb Mar Apr May Jun 028 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي Jul Aug Sep Oct Nov Dec www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE WHAT DO WE DO? Building a network of doctors • “Members-only website” to search for other members, look up their professions • Introduce patients and share protocols when they relocate • Regional conferences to meet local members Other online services • Patients can search clinics • Members can look up protocols, case studies, research papers • Online shop for professionals • Q&A JCIT WEB ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 029 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE DOING GOOD FOR THE SOCIETY #1 DOING GOOD FOR THE SOCIETY#2 Fighting Radiation Damage with Vit C Treating girls with adverse effect of HPV (human papilloma virus) Vaccine Nuclear plant accident in 2011. Serious Over 1,200 girls with serious adverse health concern although the government effect; can be more than 100 k with minor tries to hide the potential damage problems. Scientific paper from national university : Vitamin C reduces radiation damage Treatment with IV glutathione, IVC and Our own study – supplements Established and spreading the protocol among members Risk score decreased significantly --except for 1 person who went Back to the plant Education of doctors and public • Hand-outs, seminars, websites, and posters • … though no support from gov’t or media 031 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي The immunization of adolescent girls with the human papilloma-virus (HPV) vaccine was initiated to prevent uterine and cervical cancer. The first HPV vaccine, Gardasil (Merck & Co) was approved in 2006, and the second vaccine Cervarix (GSK) was introduced in 2009. By the end of 2011, approximately 130 million doses of Gardasil and 44 million doses of Cervarix had been distributed worldwide. In 2010, both vaccines were widely introduced to Japanese girls. In April 2013, Japan decided to add both HPV vaccines to their government recommended vaccination schedule. The new law was to take effect April 1st. www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE LATE-ONSET SYMPTOMS IN GIRLS WITH HPV VACCINE ADVERSE EFFECTS MEDIA; PR IV glutathione for Parkinson’s 15+ newspapers in 4 months Onset of initial symptoms :5.25 + 4.5 months after HPV Headache ...---------------- ------ 68% General malaise ------------60% Muscle weakness ----------48% Nausea -------------------------45% Difficulty in awakening- ------- 43% Learning disturbance ---------- 42% Muscle pain --------------- ------ 42% Dizziness -------------------- ------ 41% Photophobia --------------------- 40% Arm, Foot, Finger tremor------ 34% Joint pain -------------------------- 34% Abdominal pain ------------------ 32% Irregular menstruation --------- 32% Gait disturbance ----------------- 31% Hypersomnia --------------------- 15% Impaired writing Memory loss Skin eczema, acne Syncope etc EDUCATING THE SOCIETY Seminars for patients – Only attracts those who are aware and already interested in the therapy. Effective for clinics, but NOT ENOUGH TO CHANGE THE SOCIETY We do - utilize media…create a theme (i.e. IVC and cold) and release a PR story - set up a media interview with our member - article in somewhat controlled manner–very scientific with a point-of-view of the patients - utilize online media, our website, and SNS (facebook) Countless online news sites+ Facebook and Twitter shares ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 030 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE IVC COVERAGE ON NEWS PAPER, ONLINE MEDIA AND TV 032 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Magazines Facebook Updating seminar schedules, reports, and medical information ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 033 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE SUMMARY It’s all about people • Gather like-minded leaders and members (with some exclusivity) • Build a network, both local and international Be good. Do good. • Do good for the society. • Do good for the members • Don’t do anything shady… It will come back and haunt you Top-down and Bottom-up • Educating doctors necessary, but they cannot continue practice if no patient comes to take it • Educate the society. And when you do, aim big Utilize tech and online Let us work together to make the world a better, healthier, and safer place… one country at a time. Hope for a long lasting friendship between Algeria and Japan, and all of our orthomolecular doctors. Thank you! Arigato gozaimasu! Merci beaucoup! Shukran! 034 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE ORTHO-GUEST COURSE LE Dr HENRI JOYEUX, CANCEROLOGUE A DECLARE : « 85 % des chimiothérapies sont contestables, voire inutiles » 15 Janvier 2016, 21:25pm Publié par Le Nouveau Paradigme Cela fait des années que la chimiothérapie est dénigrée par de très nombreux cancérologues, français et américains et non des moindres, ont osé exprimer leur doute quant aux guérisons obtenues par les voies classiques. Pr. Henri JOYEUX ORTHO 22 www.orthomoleculaire.org Hardin B Jones, alors professeur de Physique médicale et de Physiologie à Berkeley, avait déjà communiqué en 1956 à la presse les résultats alarmants d’une étude sur le cancer qu’il venait de mener durant vingt-trois ans auprès de cancéreux et qui l’avait conduit à conclure que les patients non traités ne mourraient guère plus vite que ceux qui recevaient la chimiothérapie, bien au contraire. « Les patients qui ont refusé tout traitement ont vécu en moyenne douze ans et demi. Ceux qui se sont soumis à l’intervention chirurgicale et aux autres traitements traditionnels ont vécu en moyenne trois ans seulement[1]. » Et le Dr Jones soulevait aussi la question des sommes fabuleuses engendrées par le « Cancer business ». Les conclusions déstabilisantes du Dr Jones n’ont jamais été réfutées. (Walter Last, The Ecologist, vol. 28, n°2, Mars-avril 1998.) Le 4 octobre 1985, le Pr. G.eorges Mathé confirmait à L’Express : « Il y a de plus en plus de cancers parce que le dépistage est beaucoup plus précoce, mais on ne les maîtrise pas aussi bien qu’on le dit, malgré la chimiothérapie qui est surtout prônée par les chimiothérapeutes et par les laboratoires [ce qu’il appelait la « cancer-connection], et pour cause : ils en vivent. Si j’avais une tumeur, je n’irais pas dans un centre anticancéreux » (cf. Le Monde, 4 mai 1988). À son tour, le Dr Martin Shapiro écrivait dans un article « Chimiothérapie : Huile de perlimpinpin ? », : « Certains cancérologues informent leurs patients du manque d’évidence que ce traitement soit utile, d’autres sont sans doute égarés par l’optimisme des parutions scientifiques sur la chimiothérapie. D’autres encore répondent à une stimulation économique. Les praticiens peuvent gagner davantage en pratiquant la chimiothérapie qu’en prodiguant consolation et apaisement aux patients mourants et à leurs familles. » (cf. Los Angeles Times, 1er septembre 1987). Cet avis est largement partagé par les docteurs E. Pommateau et M. d’Argent qui estiment que la chimiothérapie « n’est qu’un procédé de destruction de cellules malignes comme la chirurgie ou la radiothérapie. Elle ne résout pas le problème capital ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ 035 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE des réactions de l’hôte qui devrait être, en dernier ressort, les seules à rechercher pour arrêter la poussée cancéreuse » (Leçons de cancérologie pratique). Pour sa part, le Pr Henri Joyeux, cancérologue à Montpellier, a déclaré à maintes reprises que « ce sont des intérêts financiers gigantesques qui permettent d’expliquer que la vérité scientifique soit encore aujourd’hui trop souvent occultée : 85 % des chimiothérapies sont contestables, voire inutiles ». Pour eux, comme pour bien d’autres médecins, les seuls cas de guérison avec cette thérapeutique sont des cas qui peuvent guérir spontanément, c’est-àdire dans lesquels l’hôte peut organiser ses propres défenses. Il est difficile d’être plus clair : la chimiothérapie ne sert à rien ! Et pour la progression des cas de guérisons, le Dr Jean-Claude Salomon, directeur de recherche au CNRS, cancérologue, estime que le pourcentage de survie à cinq ans après le diagnostic initial s’est accru pour la seule raison que l’on sait faire des diagnostics plus précoces, mais que s’il n’est pas accompagné d’une baisse de la mortalité, l’augmentation du pourcentage de survie à cinq ans n’est pas un indice de progrès. « Le diagnostic précoce n’a souvent pour effet que d’allonger la durée de la maladie avec son cortège d’angoisse. Cela contredit bien des affirmations concernant les prétendues avancées thérapeutiques. » (cf. Qui décide de notre santé. Le citoyen face aux experts, *Bernard Cassou et Michel Schiff, 1998) Le Dr Salomon précise qu’on comptabilise sans distinction les vrais cancers et des tumeurs qui n’auraient sans doute jamais provoqué de maladie cancéreuse, ce qui contribue à augmenter artificiellement le pourcentage des cancers « guéris ». Cela augmente aussi, évidemment, celui des cancers « déclarés ». Encore un fait confirmé par le Dr Thomas Dao, qui fut directeur du département de chirurgie mammaire au Roswell Park Cancer Institute de Buffalo de 1957 à 1988 : « Malgré l’usage répandu de la chimiothérapie, le taux de mortalité par cancer du sein n’a pas changé ces 70 dernières années. » Ainsi que par John Cairns, Professeur de 036 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي microbiologie à l’université d’Harvard, qui a publié en 1985, une critique dans le Scientific American : « À part quelques rares cancers, il est impossible de déceler une quelconque amélioration par la chimiothérapie dans la mortalité des cancers les plus importants. Il n’a jamais été établi que n’importe quel cancer peut être guéri par la chimiothérapie. » Nouvelle confirmation du Dr Albert Braverman, hématologue et cancérologue New Yorkais, dans le Lancet : « De nombreux cancérologues recommandent la chimiothérapie pour pratiquement toutes les tumeurs, avec un optimisme non découragé par un échec quasi immanquable […] aucun néoplasme disséminé, incurable en 1975, n’est guérissable aujourd’hui. » (cf. La Cancérologie dans les années 1990, vol. 337, 1991, p.901). Quant au Dr Charles Moertal, cancérologue de la Mayo Clinic, il admet que : « Nos protocoles les plus efficaces sont pleins de risques et d’effets secondaires ; et après que tous les patients que nous avons traités aient payé ce prix, seule une petite fraction est récompensée par une période transitoire de régression incomplète de la tumeur. » Alan Nixon, ancien Président de l’American Chemical Society, est encore plus radical : « En tant que chimiste, entraîné à interpréter des publications, il m’est difficile de comprendre comment les médecins peuvent ignorer l’évidence que la chimiothérapie fait beaucoup, beaucoup plus de mal que de bien. » Ralph Moss est un scientifique non médecin qui étudie le cancer depuis des lustres. Il écrit des articles sur le sujet dans de prestigieux journaux, tels que leLancet, le Journal of the National Cancer Institute, le Journal of the American Medical Association, le New Scientist, et a publié un ouvrage The Cancer Industry[2] : « Finalement, il n’existe aucune preuve que la chimiothérapie prolonge la vie dans la majorité des cas, et c’est un grand mensonge d’affirmer qu’il existe une corrélation entre la diminution d’une tumeur et l’allongement de la vie du patient. » Il avoue qu’il croyait autrefois en la chimiothérapie, mais que l’expérience lui a démontré son erreur : « Le www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE traitement conventionnel du cancer est tellement toxique et inhumain que je le crains davantage que mourir d’un cancer. Nous savons que cette thérapie ne marche pas — si elle marchait vous ne craindriez pas davantage le cancer qu’une pneumonie. […] Cependant, la plupart des traitements alternatifs, quelles que soient les preuves de leur efficacité, sont interdits, ce qui oblige les patients à se diriger vers l’échec car il n’ont pas d’alternative. Le Dr Maurice Fox, professeur émérite de biologie au MIT (Massachusetts Institute of Technology)[3] a constaté, comme nombre de ses pairs, que les cancéreux qui refusaient les soins médicaux avaient un taux de mortalité inférieur à ceux qui les acceptaient. Le Centre du Cancer de l’université McGill au Canada a envoyé un questionnaire à 118 médecins spécialisés dans le cancer des poumons afin de déterminer le degré de confiance qu’ils accordaient aux produits que les scientifiques de l’université étaient en train d’évaluer. On leur demandait d’imaginer qu’ils avaient un cancer et de dire quel médicament ils choisiraient parmi six autres en cours d’essais. Il y eut 79 réponses des médecins, parmi lesquelles 64, soit 81 % n’accepteraient pas de participer aux essais de la chimiothérapie à base de Cisplatine qu’ils étaient en train de tester et 58 autres médecins parmi les mêmes 79, soit 73 %, estimaient que les essais en question étaient inacceptables, étant donne l’inefficacité des produits et leur degré élevé de toxicité[4]. De son côté, le Dr Ulrich Abel, épidémiologiste allemand du Centre du cancer de HeidelbergMannheim, a passé en revue tous les documents publiés sur la chimiothérapie par plus de 350 centres médicaux à travers le monde. Après avoir analysé, pendant plusieurs années, des milliers de publications, il a découvert que le taux global de réussite de la chimiothérapie à travers le monde était « lamentable », seulement 3 %, et qu’il n’existe tout simplement aucune preuve scientifique indiquant que la chimiothérapie pouvait « prolonger de façon sensible la vie de patients souffrant des cancers organiques les plus courants ». Il qualifie la ORTHO 22 chimiothérapie de « terrain vague scientifique » et affirme qu’au moins 80 % de la chimiothérapie administrée à travers le monde est inutile et s’apparente aux « habits neufs de l’empereur », alors que ni le docteur ni le patient ne souhaitent renoncer à la chimiothérapie. Le Dr Abel a conclu : « Nombre de cancérologues tiennent pour acquis que la chimiothérapie prolonge la vie des patients. C’est une opinion fondée sur une illusion qui n’est étayée par aucune des études cliniques[5] ». Cette étude n’a jamais été commentée par les grands médias et a été entièrement enterrée. On comprend pourquoi. En résumé, la chimiothérapie est elle est très toxique et ne peut faire la différence entre les cellules saines et les cellules cancéreuses. Elle détruit peu à peu le système immunitaire qui ne peut plus protéger le corps humain des maladies ordinaires. Quelque 67 % des gens qui meurent pendant le traitement de leur cancer le doivent à des infections opportunistes qui n’ont pas été combattues par le système immunitaire. L’étude la plus récente et significative a été publiée par le journal Clinical Oncology[6] et menée par trois fameux oncologues australiens, le Pr Graeme Morgan du Royal North Shore Hospital de Sydney, le Pr Robyn Ward[7] de l’Université de New South Wales-St. Vincent’s Hospital et le Dr Michael Barton, membre de la Collaboration for Cancer Outcomes Research and Evaluation du Liverpool Health Service à Sydney. Leur travail minutieux est basé sur l’analyse des résultats de toutes les études contrôlées en double aveugle menées en Australie et aux États-Unis, concernant la survie de 5 ans mise au crédit de la chimiothérapie chez les adultes durant la période de janvier 1990 à janvier 2004, soit un total de 72 964 patients en Australie et de 154 971 aux États-Unis, tous traités par chimiothérapie. Cette vaste étude démontre qu’on ne peut plus prétendre, comme de coutume, qu’il ne s’agit que de quelques patients, ce qui permet aux systèmes en place de les balayer avec mépris du revers de la main. Les auteurs ont délibérément opté pour une estimation optimiste des bénéfices, mais malgré cette précaution, leur ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 037 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE publication prouve que la chimiothérapie ne contribue qu’à un peu plus de 2 % à la survie des patients après 5 ans, soit 2,3 % en Australie, et 2,1 % aux États-Unis. « Certains praticiens restent pourtant optimistes et espèrent que la chimiothérapie cytotoxique[8] prolongera la vie des cancéreux », ont déclaré les auteurs dans leur introduction. Ils demandent à juste raison, comment il se fait qu’une thérapie qui a si peu contribué à la survie des patients au cours des 20 dernières années, continue à obtenir un tel succès dans les statistiques des ventes. Il est vrai qu’on peut leur répondre que les patients peu curieux ou simplement affolés n’ont aucun choix : on ne leur propose rien d’autre. Massoud Mirshahi, chercheur à l’université Pierre et Marie Curie et son équipe ont découvert en 2009 que de nouvelles cellules du micro-environnement tumoral seraient impliquées dans la résistance à la chimiothérapie des cellules cancéreuses et les récidives avec l’apparition de métastases. Ces cellules ont été appelées « Hospicells », car elles servent de niches qui ont la propriété de fixer un grand nombre de cellules cancéreuses et de les protéger de l’action de la chimiothérapie. Les « Hospicells » proviennent de la différenciation des cellules souches de moelle osseuse, et sont présentes dans les épanchements chez les malades atteints de cancers (liquide d’ascite, épanchements pleuraux). Les cellules cancéreuses, agglutinées autour d’une « Hospicell », forment de véritables petits nodules cancéreux. Dans ces nodules ont été également identifiées des cellules immuno-inflammatoire. La microscopie électronique a démontré qu’il y avait des zones de fusion entre les membranes des « Hospicells » et celles des cellules cancéreuses, permettant le passage de matériel d’une cellule à l’autre. De plus, les chercheurs ont observé le transfert de matériel membranaire de l’« Hospicell » vers les cellules cancéreuses, phénomène appelé trogocytose. Plusieurs autres mécanismes, comme le recrutement des cellules immunitaires suppressives ou la sécrétion de facteurs solubles par les « Hospicells » 038 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي aident aussi à la résistance des cellules cancéreuse contre la chimiothérapie. Compte-tenu de cette importance, il est suggéré que les cellules cancéreuses « nichées » sur une « Hospicell » pourraient être considérées comme responsables de la maladie résiduelle. Pour la recherche, il importe donc de trouver des drogues susceptibles à la fois de détruire les cellules cancéreuses et les « Hospicells »[9]. L’étude la plus significative a été publiée par le journal Clinical Oncology[10] et menée par trois fameux oncologues australiens, le Pr Graeme Morgan du Royal North Shore Hospital de Sydney, le Pr Robyn Ward[11] de l’Université de New South Wales-St. Vincent’s Hospital et le Dr Michael Barton, membre de la Collaboration for Cancer Outcomes Research and Evaluation du Liverpool Health Service à Sydney. D’autres études ont paru dernièrement : La première, publiée dans la revue Nature, indique qu’une grande majorité des études sur le cancer sont inexactes et potentiellement frauduleuses. Les chercheurs n’arrivent que rarement à répliquer les résultats des grandes études « de référence ». Parmi 53 études importantes sur le cancer, pourtant publiées dans des revues scientifiques de haut niveau, 47 n’ont jamais pu être reproduites avec des résultats semblables. Ce n’est pas une nouveauté d’ailleurs, puisque, en 2009, des chercheurs de l’University of Michigan’s Comprehensive Cancer Center avaient également publié des conclusions de célèbres études sur le cancer, toutes biaisées en faveur de l’industrie pharmaceutique. Et il reste de notoriété publique que certains médicaments contre le cancer provoquent des métastases. Cette longue liste de publications, toutes négatives et non exhaustives quant aux « bienfaits » de la chimiothérapie, pourraient s’expliquer par les travaux de certains chercheurs de la Harvard Medical School à Boston (USA), qui ont constaté que deux médicaments utilisés en chimiothérapie provoquent le développement de nouvelles tumeurs, et non pas le contraire ! Il s’agit de ces nouveaux médicaments qui bloquent les vaisseaux sanguins qui « www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE nourrissent » la tumeur. Les spécialistes les appellent traitements « anti-angiogénèse ». Ces médicaments, le Glivec et le Sutent (principes actifs, imatinib et sunitinib), ont un effet démontré pour réduire la taille de la tumeur. Cependant, ils détruisent de petites cellules peu étudiées jusqu’à présent, les péricytes, qui maintiennent sous contrôle la croissance de la tumeur. Libérée des péricytes, la tumeur a beaucoup plus de facilité à s’étendre et à « métastaser » dans d’autres organes. Les chercheurs de Harvard considèrent donc maintenant que, bien que la tumeur principale diminue de volume grâce à ces médicaments, le cancer devient aussi beaucoup plus dangereux pour les patients ! (Cancer Cell, 10 juin 2012). Le Professeur Raghu Kalluri, qui a publié ces résultats dans la revue Cancer Cell, a déclaré : « Si vous ne prenez en compte que la croissance de la tumeur, les résultats étaient bon. Mais si vous prenez du recul et regardez l’ensemble, inhiber les vaisseaux sanguins de la tumeur ne permet pas de contenir la progression du cancer. En fait, le cancer s’étend. » Une étude encore plus surprenante mais moins récente a été publiée par le journal Clinical Oncology[12] et menée par trois fameux oncologues australiens, le Pr Graeme Morgan du Royal North Shore Hospital de Sydney, le Pr Robyn Ward[13] de l’Université de New South Wales-St. Vincent’s Hospital et le Dr Michael Barton, membre de la Collaboration for Cancer Outcomes Research and Evaluation du Liverpool Health Service à Sydney. Leur travail minutieux est basé sur l’analyse des résultats de toutes les études contrôlées en double aveugle menées en Australie et aux États-Unis, concernant la survie de 5 ans mise au crédit de la chimiothérapie chez les adultes durant la période de janvier 1990 à janvier 2004, soit un total de 72 964 patients en Australie et de 154 971 aux États-Unis, tous traités par chimiothérapie. Cette vaste étude démontre qu’on ne peut plus prétendre, comme de coutume, qu’il ne s’agit que de quelques patients, ce qui permet aux systèmes en place de les balayer avec mépris du revers de la main. Les auteurs ont délibérément opté pour une estimation optimiste des ORTHO 22 bénéfices, mais malgré cette précaution, leur publication prouve que la chimiothérapie ne contribue qu’à un peu plus de 2 % à la survie des patients après 5 ans, soit 2,3 % en Australie, et 2,1 % aux États-Unis. Enfin, une étude publiée dans la revue Nature Medicine en 2012, pourrait changer l’idée que l’on se fait de la chimiothérapie. Les chercheurs du Fred Hutchinson Cancer Research Center de Seattle auraient en effet découvert que celle-ci déclencherait chez des cellules saines la production d’une protéine alimentant les tumeurs. Alors que des chercheurs travaillaient sur la résistance à la chimiothérapie dans des cas de cancers métastasés du sein, de la prostate, du poumon et du colon, ils ont découvert par hasard que la chimiothérapie, non seulement ne guérit pas le cancer, mais active plutôt la croissance et l’étendue des cellules cancéreuses. La chimiothérapie, méthode standard de traitement du cancer aujourd’hui, oblige les cellules saines à libérer une protéine qui en réalité alimente les cellules cancéreuses et les fait prospérer et proliférer. Selon l’étude, la chimiothérapie induit la libération dans les cellules saines d’une protéine, WNT16B, qui aide à promouvoir la survie et la croissance des cellules cancéreuses. La chimiothérapie endommage aussi définitivement l’ADN des cellules saines, préjudice à long terme qui persiste longtemps après la fin du traitement par chimio. « Quand la protéine WNT16B est sécrétée, elle interagirait avec les cellules cancéreuses proches et les ferait grossir, se répandre et le plus important, résister à une thérapie ultérieure, » a expliqué le coauteur de l’étude Peter Nelson du Centre de Recherche Fred Hutchinson sur le cancer à Seattle, concernant cette découverte totalement inattendue. « Nos résultats indiquent que dans les cellules bénignes les réponses en retour peuvent contribuer directement à une dynamique de grossissement de la tumeur, » a ajouté l’équipe au complet selon ce qu’elle a observé. Ce qui revient à dire : Éviter la chimiothérapie augmente les chances de recouvrer la santé. ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 039 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Comment se fait-il qu’une thérapie qui a si peu contribué à la survie des patients au cours des 20 dernières années continue à obtenir un tel succès dans les statistiques des ventes. Il est vrai que les patients peu curieux ou simplement affolés n’ont aucun choix : on ne leur propose rien d’autre que « le protocole ». À quelle pression le cancérologue actuel est-il soumis pour choisir le traitement du patient ? Jadis, le bon médecin choisissait en son âme et conscience, selon le serment d’Hippocrate, le meilleur traitement pour son patient. Il engageait ainsi sa responsabilité personnelle après un entretien prolongé avec son malade. « Depuis les années 1990 — et singulièrement de façon de plus en plus autoritaire depuis le plan cancer de 2004 — la liberté de soigner du cancérologue a disparu en France et dans certains pays occidentaux. Au prétexte fallacieux de la qualité des soins, tous les dossiers de patients sont “discutés” en réunion multidisciplinaire où, de fait, l’essai thérapeutique en cours testant les drogues nouvelles est imposé par la “communauté”. Le praticien qui souhaite déroger à ce système doit s’expliquer et encourt tous les ennuis possibles, en particulier celui de voir le service auquel il participe perdre son autorisation de pratiquer la cancérologie. » Le Dr Nicole Delépine résume ainsi ce qui peut arriver quand on s’éloigne des stricts protocoles pour les adapter à la situation personnelle des malades. Seuls, 3 médecins sur 4 osent refuser la chimio pour eux-mêmes, en cas de cancer, en raison de son inefficacité sur la maladie et de ses effets dévastateurs sur la totalité de l’organisme humain. Mais ce détail est bien caché aux malades. Le Docteur Jacques Lacaze, diplômé de cancérologie et ardent défenseur des travaux du Dr Gernez sur le sujet, estime que la seule vraie solution est la prévention. « En effet, un cancer a une vie cachée de 8 ans en moyenne. Durant cette longue période, l’embryon de cancer est très vulnérable, un rien peut le faire capoter. TOUS les spécialistes admettent cette réalité, mais très peu d’entre eux préconisent une politique de prévention. Pourtant, elle est facile à mettre en œuvre. Nous 041 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي savons que la courbe d’incidence du cancer démarre vers 40 ans, donc qu’un futur cancer s’installe vers 32 ans. L’étude SUVIMAX a montré qu’une simple complémentation en vitamines et sels minéraux suffisait à faire baisser cette incidence de cancers d’environ 30 %. Cette étude a duré 8 ans. Aucune conséquence en politique de santé publique n’en a été tirée. Bien entendu, l’industrie pharmaceutique ne veut pas en entendre parler : on ne scie pas la branche sur laquelle on est assis. Le corps médical est sous la coupe des “grands patrons” qui font la pluie et le beau temps et qui sont grassement rémunérés par cette industrie (cherchez sur internet, vous verrez que la plupart de ces grands patrons émargent d’une façon ou d’une autre à un laboratoire). Et la majorité des médecins de base suivent sans broncher ! Et malheur à ceux qui pensent le contraire et qui contestent chimiothérapie ou vaccins ou antibiothérapie. […] Je dois ajouter, car cela correspond à ma pratique et à des études réelles faites par quelques services spécialisés, de nombreux produits qualifiés de complémentaires ou alternatifs sont efficaces, mais interdits et pourchassés par les autorités aux ordres de l’industrie pharmaceutique. » gernez.asso.fr Quelques livres du Professeur Joyeux : Changez d’alimentatio Tout savoir pour éviter Alzheimer et Parkinson Vaccins. Comment s’y retrouver [1] Transactions of the N.Y. Academy of Medical Sciences, vol 6, 1956. [2] Equinox Press, 1996. [3] Membre de la National Academy of Sciences, de l’Institute of Medicine et de l’American Academy of Arts and Sciences. [4] Cité par le Dr Allen Levin, dans son ouvrage The Healing of Cancer. [5] Abel U. « Chemotherapy of advanced epithelial cancer, a critical review ». Biomed Pharmacother. 1992 ; 46(10) : (439-52). www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE [6] « The Contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5-year Survival in Adult Malignancies », Clin Oncol (R Coll Radiol). 2005 Jun ; 17(4) : 294. [7] Le Pr Ward fait également partie du département du ministère de la Santé qui conseille le gouvernement australien sur l’effet des médicaments autorisés, semblable à la Food and Drug Administration américaine. [8] Propriété qu’a un agent chimique ou biologique d’altérer et éventuellement détruire des cellules. [9] Oncologic trogocytosis of an original stromal cells induces chemoresistance of ovarian tumours. Rafii A, Mirshahi P, Poupot M, Faussat AM, Simon A, Ducros E, Mery E, Couderc B, Lis R, Capdet J, Bergalet J, Querleu D, Dagonnet F, Fournié JJ, Marie JP, Pujade-Lauraine E, Favre G, Soria J, Mirshahi M. ORTHO 22 [10] « The Contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5-year Survival in Adult Malignancies », Clin Oncol (R Coll Radiol). 2005 Jun ; 17(4) : 294. [11] Le Pr Ward fait également partie du département du ministère de la Santé qui conseille le gouvernement australien sur l’effet des médicaments autorisés, semblable à la Food and Drug Administration américaine. [12] « The Contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5-year Survival in Adult Malignancies », Clin Oncol (R Coll Radiol). 2005 Jun ; 17(4) : 294. [13] Le Pr Ward fait également partie du département du ministère de la Santé qui conseille le gouvernement australien sur l’effet des médicaments autorisés, semblable à la Food and Drug Administration américaine. ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 040 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE ORTHO-DZ COURSE DIABETE ET NUTRITION - 1ère cause de cécité - 50% des amputations des membres inférieurs DIABETE ET NUTRITION La prise en charge nutritionnelle Une part importante de la prise en charge thérapeutique de la maladie. Pas de suivi correct répondant aux règles de bonne pratique clinique sans prescription adaptée et raisonnée de quelques règles nutritionnelles. Critères de diabète sucré Pr Ahmed GHOUINI Service de Physiologie Faculté de Médecine/ CHU Blida - ALGERIE DEFINITION DU DIABETE SUCRÉ Etat d’hyerglycémie chronique exposant à un risque de complications vasculaires DIABÈTE ET SANTÉ PUBLIQUE Le diabète représente un enjeu majeur de santé publique. Sa prévalence a augmenté de façon exponentielle au cours de ces 20 dernières années. DONNÉES ÉPIDÉMIOLOGIQUES Une véritable épidémie (OMS) 382 millions de diabétiques dans le monde 3 millions en Algérie Un taux de prévalence de 8,7% (TAHINA 2005) PREVISIONS- 2035 445 millions de diabétiques (Fédération Internationale du Diabète) RETOMBEES SUR LA SANTE - 3-6 x plus de risque de maladies cardiovasculaires - 25% des atteintes rénales / dialyse 042 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي Glycémie à jeun supérieure ou égale à 1,26 g/l (7 mmol/l), vérifiée à 2 reprises ; ou glycémie supérieure ou égale à 2,00 g/l (11,1 mmol/l) à jeun ou non ; ou encore glycémie à la 2ème heure de l’hyperglycémie provoquée orale(HGPO) supérieure ou égale à 2 g/l, et ce à deux reprises. En ce qui concerne le risque fœtal, il est clair que les valeurs glycémiques retenues ne peuvent être les mêmes ; la plupart des auteurs s’accordent pour considérer comme pathologique une glycémie à jeun > à 0,95 g/l au cours de la grossesse. L’HYPERGLYCEMIE CHRONIQUE SOUTENUE Explorée globalement par l’HbA1C, laquelle intègre à la fois l’élévation de la glycémie à jeun et les excursions glycémiques post-prandiales HbA1C > 6,5% dans le diabète HbA1C La glycation est un processus non enzymatique mais existence d’un processus de glycation enzymatique variable d’une personne à l’autre ↓existence de forts et de faibles “glyqueurs” L’HbA1c ne reflèterait donc pas toujours fidèlement la moyenne glycémique. Les dosages actuels ne mesurent pas exactement l’HbA1c. La méthode de dosage internationale de référence est la spectrométrie de masse avec des valeurs beaucoup plus basses que les valeurs actuelles. La définition du diabète réduit donc la maladie à un signe biologique: l’hyperglycémie, en ne retenant que les valeurs à risque de RETINOPATHIE. - prévention de la microangiopathie rétinienne : www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE - de 1,26 g/l avant les repas = HbA1c de 6,5 % (étude prospective randomisée de Kumamoto) L’HYPERGLYCEMIE A JEUN NON DIABETIQUE ET L’INTOLERANCE AUX HYDRATES DE CARBONE Pas la même signification physiologique L’HYPERGLYCEMIE A JEUN Glycémie = 1 g/l – 125 g/l (6-6,9 mmol/l) Témoigne d’une augmentation de la production hépatique de glucose secondaire à la néoglucogenèse, stimulée par l’augmentation des acides gras et par la carence insulinique relative. L’INTOLERANCE AUX HYDRATES DE CARBONE Glycémie post-prandiale = 1,40 – 1,99 g/l (7,8 – 11 mmol/l) L’hyperglycémie après charge en glucose reflèterait plutôt l’insulinorésistance musculaire et le défaut de freination de la glycogénolyse hépatique. RISQUES DES ETATS PRE-DIABETIQUES 1. risque important de survenue d’un diabète, estimé de 25 à 50 % sur 10 ans: importance du risque corrélé au degré de la surcharge 2. risque de macroangiopathie (risque relatif estimé à 1,3-1,5 surtout en association aux autres facteurs du syndrome métabolique) TYPES DE DIABETES Type 1 Type 2 DIABETE DE TYPE 1 Survient le plus souvent avant l’âge de 20 ans Représente 5 à 10 % des diabètes. DIABETE DE TYPE 2 Survient le plus souvent après 40-50 ans Représente environ 90 à 95 % des diabètes UN PROBLEME DE SANTE PUBLIQUE Car sa prévalence ↑ avec Vieillissement Développement de l’obésité Modification rapide du mode de vie (caractérisée par une urbanisation brutale allant de pair avec une sédentarisation) CARACTERISTIQUES DU DT1 Diabète juvénile Pathologie due a une carence absolue en insuline secondaire à la destruction des cellules Bêta des ilots de Langerhans du pancréas. ORTHO 22 Le diagnostic est facile : Le patient perd du poids, de la masse maigre et les glycémies montent. Il importe de faire le travail du pancréas Maladie auto-immune dans 90% des cas ↓ Destruction progressive des cellules β Quand > 70% des cellules β détruites ↓ DIABETE AUTO-ANTICORPS TEMOINS CIRCULANTS 1.-Les anticorps anti- îlots (Islet Cell Antibody, ICA), présents chez 50 à 80 % des patients au début de la maladie. 2.- Les anticorps anti-GAD (anti-décarboxylase de l’acide glutamique), présents chez 80 % des patients ayant un diabète de type 1. 3.- Les auto-anticorps anti-insuline, retrouvés surtout chez l’enfant. 4. Les anticorps anti-IA2 dirigés contre une tyrosine phosphatase membranaire: imminence de la maladie. FACTEURS GENETIQUES Diabète = maladie polygénique La région génétique de plus forte susceptibilité (appelée IDDM1) est située sur le bras court du chromosome 6, dans le CMH qui comprend les gènes HLA. Elle intervient pour 40% de l'ensemble du risque génétique. La région promotrice du gène de l'insuline (IDDM2) contribue pour 10% à ce risque. Les sujets hétérozygotes DR3/DR4 ont 50 fois plus de risques de développer un diabète que la population générale. Cependant, ces facteurs génétiques ne peuvent expliquer à eux seuls le déclenchement du processus auto-immun. Seuls 10% des cas de diabète de type 1 sont familiaux, et le taux de concordance entre jumeaux n’est « que » de 50%. FACTEURS ENVIRONNEMENTAUX SUSCEPTIBLES D’INITIER LE PROCESSUS AUTO-IMMUNE - infection virale : virus de la rubéole, CMV, virus ourlien, coxsackie ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 043 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE - facteurs diététiques : introduction précoce du lait de vache dans l'alimentation du nouveau-né - facteurs toxiques d’excrétion. MODALITE DE LA SECRETION D’INSULINE CARACTERISTIQUES DU DT2 Diabète de la maturité associe souvent Insulinorésistance et insulinopénie Le patient diabétique de type 2 prend du poids avec une hypertrophie du tissu sous-cutané et au fur et à mesure les glycémies s’élèvent Quand le poids baisse et les glycémies montent / \ pathologie intercurrente insulinoréquérance L’insulinorésistance est la principale caractéristique du pré-diabète, et, la déficience en sécrétion d’insuline est la cause physiopathologique du diabète de type 2. LE CONCEPT INCRETINE ET L’AXE INTESTINCERVEAU-PANCREAS EVOLUTION DE LA MALADIE DIABÉTIQUE L’histoire naturelle du diabète est caractérisée par une évolution progressive au cours de la quelle des sujets génétiquement prédisposés passent lentement, mais sûrement d’une régulation glycémique normale à un diabète de type 2 patent en traversant une étape intermédiaire caractérisée par une intolérance au glucose Au stade de l’obésité simple, sans désordre glycémique, la résistance à l’insuline est déjà présente, surtout chez le sujet ayant une accumulation préférentielle de tissu adipeux au niveau abdominal. C’est l’aggravation de l’insulinorésistance et l’apparition de troubles de la phase précoce de l’insulinosécrétion qui conditionnent le passage à l’intolérance au glucose. La poursuite de la diminution de la fonction bêta-langerhansienne et l’augmentation de la production hépatique du glucose expliquent la conversion de l’intolérance au glucose en diabète de type 2 après quelques mois ou années d’évolution si des mesures préventives ne sont pas mises en route. INSULINOPÉNIE L’insulinopénie se caractérise par un défaut d’insuline circulante. Cette déficience peut résulter d’un défaut de synthèse de novo ou 044 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي DPP-4 = dipeptidyl-peptidase-4 Enzyme ubiquiste inactive le GLP-1 ↓ 2 stratégies thérapeutiques / \ Inhibition de Mise au point de la DPP-4 par des peptides capables molécules spécifiques de résister à l’enzyme ANOMALIES DE SYNTHESE ET DE SECRETION DE L’INSULINE Certaines mutations sont à l’origine de l’inhibition des facteurs de régulation de la transcription du gène codant pour l’insuline et entraînent par conséquent l’apparition d’un diabète sucré monogénique de type MODY (Mature Onset Diabetes of the Young). ANOMALIES DE LA PULSATILITE Chez l’homme, l’insuline est secrétée de www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE manière pulsatile, toutes les 12-13 minutes. Chez des patients atteints de diabète de type 2, il a été observé des altérations (notamment une irrégularité) de ces oscillations. ANERGIE DES CELLULES Β Un défaut d’expression ou une mutation du transporteur membranaire du glucose (GLUT2) entraîne une absence de réponse sécrétoire insulinique aux variations de la glycémie. DESTRUCTION DES ILOTS PANCREATIQUES ENDOCRINES: GLUCO- ET LIPOTOXICITE Des concentrations élevées de glucose et d’acides gras non estérifiés de manière chronique peuvent entraîner le dysfonctionnement des cellules β INSULINORÉSISTANCE L’insulinorésistance se définit comme une limitation de l’action physiologique de l’insuline sur ses populations cellulaires cibles (foie, muscles, tissu adipeux et endothélium). Elle est liée à une altération de sa voie de signalisation et s’accompagne d’une hyperinsulinémie compensatrice. Cette insulinorésistance a plusieurs composantes, principalement métaboliques; Dans 80 % des cas, le diabète est lié à une surcharge pondérale (IMC > 25-26) voire une obésité (IMC > 30). ACTIONS MÉTABOLIQUES DE L’INSULINE ACIDES GRAS LIBRES ET UTILISATION MUSCULAIRE DU GLUCOSE Un excès d’acides gras libres contribuerait in vivo à la diminution de l’utilisation du glucose et au développement du diabète de type 2, en interférant avec l’action de l’insuline sur l’oxydation et le stockage du glucose. Un excès d’acides gras libres contribuerait in vivo à la diminution de l’utilisation du glucose et au développement du diabète de type 2, en interférant avec l’action de l’insuline sur l’oxydation et le stockage du glucose. Au niveau musculaire, une surcharge en acides gras entraîne une altération de la synthèse et de la translocation vers la membrane plasmique des transporteurs du glucose (GLUT4), indispensables à sa captation par le myocyte. ROLES DES SECRETIONS DU TISSU ADIPEUX Il existe une relation étroite entre l’adiponectinémie et la sensibilité à l’insuline. LE TNF-Α MODE D’ACTION DE L’INSULINE ORTHO 22 Le TNF-α freine la signalisation de l'insuline (phosphorylation anormale des résidus sérine d’IRS-1: insulin receptor substrate-1,empêchant ainsi l’interaction avec le récepteur de l’insuline). La cytokine s’oppose ainsi à l’action antilipolytique de l’insuline, et empêche son action favorable à l’entrée du glucose dans la cellule. Le TNF-α aura également une action indirecte sur la signalisation de l'insuline en augmentant la lipolyse adipocytaire et donc le taux sérique d’acides gras libres, responsables de la résistance à l'insuline dans de nombreux tissus. ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 045 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE ROLES DES FACTEURS ALIMENTAIRES, EXERCICE PHYSIQUE DANS LE DT2 Les deux principaux facteurs environnementaux qui favorisent le diabète chez des sujets génétiquement prédisposés sont le surpoids et la sédentarité. NATURE DES GLUCIDES ET DES LIPIDES DE L’ALIMENTATION Les aliments à fort index glycémique et pauvres en fibres pourraient être diabétogènes chez les sujets fortement prédisposés au diabète. Pour les lipides, les acides gras saturés pourraient favoriser le diabète en aggravant l’insulino-résistance ou en la favorisant. ROLE DE LA CARENCE EN MAGNESIUM Le magnésium représente un des micronutriments qui interfèrent avec l’action de l’insuline: plusieurs études établissent une corrélation inverse entre les apports magnésiens et le risque de diabète de type 2. OBJECTIFS DU TRAITEMENT OBJECTIFS GLYCEMIQUES Prévention de la macroangiopathie Il faut viser une HbA1c la plus proche possible de la normale, sans prendre le risque d’hypoglycémie sévère, surtout en cas de prévention cardiovasculaire secondaire. Prévention de la microangiopathie On peut distinguer un objectif idéal, avec des glycémies préprandiales < 1,10 g/l et une HbA1c < 6,5 %, et un objectif acceptable, avec des glycémies préprandiales inférieures à 1,20 g/l et une HbA1c inférieure à 7 % (normale : 4 à 5,6 %). Prévention de la macrosomie fœtale lors de la grossesse - Glycémies maternelles = 0,90 g/L avant les repas et 1,20 g/L 120 minutes après les repas - HbA1c normale Prévention du risque infectieux (sujets âgés) Glycémies avant les repas 1,80 g/L, HbA1c 9 % OBJECTIFS TENSIONNELS Pression artérielle 130/80 mmHg OBJECTIFS LIPIDIQUES Prévention de la macroangiopathie 046 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي Triglycérides < 1,50 g/L HDL-cholestérol HDL-cholestérol 0,40 g/l (homme) 0,50 g/l (femme) LDL-cholestérol < 1 g/l TRAITEMENT DU DIABETE DE TYPE 1 INSULINE : Les injections d’analogues de l’insuline suivent majoritairement un schéma dit « basal/bolus »/association d’insulines lentes ou semi-lentes à heures fixes pour maintenir le taux basal, à l’utilisation d’insulines rapides ou ultrarapides au moment des repas pour reproduire le pic d’insuline physiologique. ADAPTATION DE LA THERAPEUTIQUE Le schéma thérapeutique n’est pas applicable à tous, de même que le type d’insuline et la dose choisie. POMPE A INSULINE PORTABLE Perfusion par voie sous-cutanée de l’insuline rapide avec un débit de base continu, éventuellement modulé pour couvrir les besoins nocturnes, et des bolus à la demande avant les repas. Les analogues rapides (Humalog®, et Novo Rapid ®) sont actuellement les insulines les plus utilisées lors des traitements par pompe à insuline. TRAITEMENT DU DIABETIQUE DE TYPE 2 Les antidiabétiques oraux ADO Les ADO sont prescrits, en général, après un la mise en œuvre des règles hygiéno-diététiques durant 3 à 6 mois, sans succès. Il existe plusieurs classes d’ADO. Le traitement est adapté à chaque patient. LES INSULINOSÉCRÉTEURS Sulfamides hypoglycémiants ou sulfonyrulés et glinides (action sur la cellule β) gliclazide glimépiride Diamicron 80 et LP30 Amarel 1-4 mg prise) Rétablissement partiel du pic insulinique (monoréduction de la glucotoxicité LES BIGUANIDES Metformine www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Glucophage 500, 850, 1000 mg réduction de la production hépatique de glucose Action possible sur la sensibilité musculaire de l’insuline et la satiété (effet anorexigène) et perte de poids - Administration en sous-cutanée ALIMENTATION DU DIABETIQUE Prescription diététique 3 objectifs principaux adapté au sujet en surpoids ou obèse LES INHIBITEURS DES Α-GLUCOSIDASES IAG Acarbose Glucobay (50, 100 mg) Blocage partiel de la digestion des sucres complexes (polysaccharides et amidon) Limiter les périodes réduire les ration d’hyperglycémie facteurs équilibrée post-prandiale alimentaires et adaptée favorisant l’athérome Ces 3 objectifs modulés par la dimension psychosociale et hédonique de l’alimentation production accrue de méthane-ballonnement Approche réaliste à l’opposé du « strict sans sucre » LES THIAZOLIDINE-DIONE (TZD) Rosiglitazone - Pioglitazone Avandia Actos Liaison à un récepteur nucléaire agonistes des PPARγ (adipocytes) ↓ des taux d’acides gras circulants ↓ de la quantité de graisse abdominale LES INHIBITEURS DE LA DPP-4: GLIPTINES Sitagliptine - Saxagliptine Javuvia Onglyza ↑ du glucagon-like peptide GLP-1 ou incrétine et du glucose-dependant insulinotropic peptide GIP → ↑ sécrétion d’insuline LES ANALOGUES DU GLP-1 = INCRITINOMIMETIQUES Exénatide (Byetta 5 µg/dose) Liraglutide (Victoza 18 mg/3 ml) Lixisénatide (Lyxumia 10 µg/dose) Contrôle des glycémies post-prandiales ORTHO 22 DANS LE DIABETE DE TYPE 2 Les mesures diététiques sont indispensables aux 3 étapes de l’histoire naturelle de la maladie prédiabète diabète méconnu diabète connu ↓ 3 stades schématiques Exempt de complications, complications non invalidantes et complications invalidantes HISTORIQUE DES MESURES DIETETIQUES ET EVOLUTION DES CONCEPTS NUTRITIONNELS Il y a près de 100 ans : Régime de Prohibition Glucidique (par méconnaissance des mécanismes physiologiques de la maladie et l’absence de toute thérapeutique médicamenteuse efficace) 1921: Ère nouvelle : Découverte de l’insuline ↓ régimes progressivement élargis apport glucidique fixé entre 30-40% Depuis 1960 : Assouplissement des régimes des enfants Diabétiques ↓ ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 047 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE « régime libre » 1970-1980 Les précédentes recommandations pédiatriques sont reprises chez l’adulte avec des modulations → fibres alimentaires → index glycémique Résultat global: 55%-60% de glucides de l’apport calorique total 1985 : Découverte par les américains des propriétés bénéfiques antiathérogènes et antithrombogènes des graisses mono-insaturés MIS Teneur en glucides des régimes rediscutée et les mesures diététiques modulées en fonction de paramètres cliniques Le modèle nutritionnel méditerranéen préconisé comme base de la prescription diététique chez le diabétique = Consommation d’aliments à faible pouvoir hyperglycémiant, ration alimentaire enrichie en MIS et en fibres Cependant les régimes méditerranéens - ont trop évolué au cours du temps - sont trop variables , à travers le pourtour de la Méditerranée pour être préconisés tels quels ↓ s’inspirer des principes généraux : oui mais adapter et personnaliser La nutrition est un domaine où les recommandations sont soumises à une réévaluation permanente La diététique du diabétique sucré n’échappe pas à cette règle UTILITE VOIRE NECESSITE DES MESURES NUTRITIONNELLES Dans tous les types et à tous les stades DANS LE DIABETE DE TYPE 1 Mesures diététiques à entreprendre dès la découverte du diabète sucré avec mise en route immédiate d’une insulinothérapie ALIMENTATION DU DIABETIQUE DE TYPE 1: CELLE DE LA POPULATION GENERALE Alimentation équilibrée 048 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي ↓ \ Lipides Protéines 35% 15% AGS 5-10% AGPI 20-25% AGMI: le reste = Alimentation pauvre en graisses et en boissons sucrées, riche en glucides complexes et protéines. Les profils glycémiques nycthéméraux du diabétique de type 1 sont variables d’un jour à l’autre dans la mesure où ils sont la résultante de 2 phénomènes aléatoires * l’absorption des glucides * la résorption de l’insuline dans le tissu cellulaire sous cutané. Glucides 50% IG faible / BUT DES MESURES DIÉTÉTIQUES Essayer de réduire cette variabilité en proposant un programme nutritionnel où: - quantités de glucides doivent être relativement constantes pour un repas donné - dans lequel toute augmentation de la ration glucidique doit être compensée par un ajustement adéquat des doses d’insuline. et RAPPORT DOSE D’INSULINE/GLUCIDES En général la dose d’insuline est de 1 unité pour 10 g de glucides Pour le petit déjeuner il est souvent nécessaire de faire une dose plus élevée: 1,5 à 2 unités pour 10 g de glucides Car c’est le moment où l’insulinorésistance et la production hépatique de glucose sont à leur maximum. OBJECTIFS ET MISE EN PRATIQUE DES MESURES DIETETIQUES : Assurer un meilleur contrôle global des désordres glycémiques ↓ Réduire l’hyperglycémie chronique soutenue = réduction des complications diabétiques dues à l’hyperglycémie EFFETS DELETERES DE L’HYPERGLYCEMIE Glycation des protéines membranaires des capillaires et des protéines contenues dans le sous-endothélium artériel + www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE toxicité chronique sur les cellules endothéliales via le stress oxydatif EFFICACITE DES MESURES DIETETIQUES Chez le DT1 les mesures diététiques sont marginales pour lutter contre l’hyperglycémie chronique soutenue En revanche, dans le DT2 les mesures diététiques trouvent tout leur intérêt pour le contrôle de l’hyperglycémie qui est sous la dépendance de 3 perturbations métaboliques définies sous le triumvirat: insulinorésistance périphérique production excessive de glucose par le foie diminution de la sécrétion insulinique FACTEUR MAJEUR DE L’INSULINORÉSISTANCE L’augmentation de la masse grasse viscérale des patients DT2 qui sont pour la plupart obèses ou en surcharge pondérale RÉDUCTION DES APPORTS CALORIQUES Une perte de poids de 1 kg nécessite un déficit énergétique de 7700 kcalories ↓ Un régime qui réduirait l’apport quotidien de 500 kcalories par rapport aux dépenses devrait→ un déficit de 3500 kcalories par semaine = une perte de poids de 0,5 kg/semaine. ENQUÊTE ALIMENTAIRE Questionnaire de fréquence alimentaire réalisable en quelques minutes (laps de temps compatible avec une consultation de pratique médicale courante) Evaluation des comportements alimentaires spécifiques portant sur des aliments à forte densité énergétique: grignotage, entrées salées, desserts sucrés, boissons caloriques, repas festifs. Dans la majorité des cas, les apports énergétiques sont majorés de + de 400 Kcal/j (femmes) et de + de 500 kcal/j (hommes) La soustraction des ces équivalents caloriques permet de perdre 0,5 kg/semaine et correspond à la suppression des produits ou comportements alimentaires dont le relevé est effectué dans le questionnaire rapide = Supplément calorique de l’ordre de 1400 kcal par rapport à un repas normal Les sujets obèses n’ayant pas maigri font 1 ou 2 repas « festifs » hebdomadaires non signalés (en consultation) → apport suffisant pour annuler tous les efforts réalisés le reste du temps REDUIRE LES FLUCTUATIONS AIGUËS DE LA GLYCEMIE Chez le diabétique de type 1 les montées glycémiques post-prandiales sont imprévisibles sur la même journée et d’un jour à l’autre, il est difficile des déduire des règles générales pour contrôler les montées de glycémiques post-prandiales Cependant la quantité et la nature des glucides du petit déjeuner (phénomène de l’aube et de l’aube prolongé) et du dîner (absence d’activité physique la nuit) doivent être surveillées. DANS LE DT2, les moyens nutritionnels sont au nombre de 4 1 Agir sur la quantité de glucides à chaque repas ↓ 10-20% de G 45% pour les repas au petit déjeuner de midi et du soir 2 Agir sur la nature des hydrates de carbone (notion d’index glycémique) Pour le petit déjeuner: fruit et lait Pour le repas de midi : pain L’utilisation d’édulcorants est possible 3 Augmenter la teneur en fibres des aliments naturels = 20-30 g/j ↓ apport suffisant sans les inconvénients digestifs 4 Associer d’autres nutriments aux glucides alimentaires les protides (30-50 g) et les MIS atténuent la réponse glycémique post-prandiale quand ils sont mélangés à un repas glucidique APPORT ENERGETIQUE D’UN REPAS «FESTIF » ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 049 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE POUR MINIMISER LE RISQUE DE COMPLICATIONS CARDIOVASCULAIRES - moins de 7% de l’apport calorique en acides gras saturés - moins de 30% de l’apport calorique sous forme de lipides - apport en cholestérol < 200 mg/j 1 jaune d’œuf (20g) = 300 mg de cholestérol 100 g de viande = 70 g de cholestérol 100 g de cervelle = 2000 mg de cholestérol EQUIVALENCES LIPIDIQUES 10 g de beurre = 1 cuillère à café de beurre 10 g de margarine 20 g de beurre allégé 10 g d’huile = 1 cuillère à soupe d’huile 30 g de crème fraîche = 1 cuillère à soupe de c. f LES DESCENTES GLYCÉMIQUES EXCESSIVES Surtout les épisodes hypoglycémiques à distance des repas (fin de matinée ou fin d’après-midi) Introduire une collation glucidique et adaptation de la posologie de l’insulinosecrétagogue (sulfonylurées ou glinides) Prise en compte de la collation dans le décompte de l’apport calorique global Dans le DT1, en général l’apport glucidique de la collation est autour de 20 à 30 g de glucides *la collation du coucher n’est pas systématique sauf si la glycémie au coucher est <1,60 g/l MESURES DIETETIQUES CHEZ LE DIABETIQUE DE TYPE 2 EN SURCHARGE PONDERAL Régimes à restriction modérée (1200-1500 kcal) ↓ Perte de poids de l’ordre de 2-4 kg/mois (pour éviter la perte de masse maigre et la fatigue) ↓ Baisse glycémique progressive mais soutenue EXEMPLE DE REGIME A 1500 KCAL/J Petit déjeuner Café ou thé sans sucre Lait écrémé 051 1 bol 200 ml الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي Pain Matières grasses Déjeuner Crudité Huile pour vinaigrette Viande ou équivalent Légumes verts Féculents Fromage Pain Fruit Matières grasses 50 g 10 g 1 part 5g 100 g 200 g 150 g 30 g 50 g 150 g 5g Dîner Légumes verts Viande ou équivalent Yaourt Pain Fruit Matières grasses 250 g 100 g 1 50 g 150 g 5g EXEMPLES DE QUANTITE DES ALIMENTS APPORTANT 20 G DE GLUCIDES 40 g de pain = 1/6 de baguette = 3 biscottes 30 g de riz 30 g de pâtes 35 g d’haricots blancs, lentilles 200 g de carottes cuites 300 g d’haricots verts cuits 200 g de betteraves cuits 100 g de pommes de terre 100 g de bananes EXEMPLE D’EQUIVALENCE EN APPORT DE GLUCIDES 40 g de pain (deux tranches) = 8 cuillères à soupe de petits pois 2 petites pommes de terre 5 cuillères à soupe de riz, pâtes, légumes secs Les régimes à très basses calories (VLCD <800 kcal/j) avec 1,5g/kg/j de protéines (pour limiter la perte de masse maigre) ont une efficacité incertaine à long terme. MESURES DIETETIQUES CHEZ LE DIABETIQUE DE TYPE 2 EN POIDS NORMAL L’apport calorique doit être maintenu à son www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE niveau habituel Les recommandations sont plutôt d’ordre qualitatif privilégier la consommation de glucides à faible pouvoir hyperglycémiant l’utilisation d’édulcorants pourrait être intéressante APPORT ALIMENTAIRE POUR MINIMISER LE RISQUE DE COMPLICATIONS VASCULAIRES 25% MIS 10% 40% Glucides 55% Glucides Diabétique Diabétique avec obésité et/ou en poids normal ou avec dyslipidémie avec obésité gynoïde exempt de dyslipidémie activité physique forte MIS Effet antithrombogène car ils augmentent la fluidité des membranes plaquettaires Un apport de 20% acides gras MIS préserve le caractère onctueux de l’alimentation (un des 3 piliers de la palatabilité alimentaire) La somme des apports caloriques sous forme de glucides et de graisses MIS devrait être égale à 2/3 des calories totales. En pratique la formule intermédiaire la plus utilisée correspond à 45% de G et 20% de MIS. Huile d’olive 75% des acides gras sont des MIS le consommateur bénéficie d’un apport substantiel d’arômes (polyphénols PREVENTION DU DIABETE Les mesures hygiénodiététiques sont 2 fois plus efficaces que les mesures pharmacologiques Avec l’évolution de la maladie apparaissent des anomalies tensionnelles et lipidiques. Les mesures diététiques comme le traitement médicamenteux ont pour but de réduire l’insulinorésistance, de sauvegarder l’insulinosécrétion résiduelle et d’éviter le ORTHO 22 passage d’une étape donnée de la maladie à l’étape suivante. PREVENTION DU DIABETE Chez qui ? Les mesures hygiénodiététiques devraient être envisagées le plus tôt possible chez un individu de phénotype correspondant à: Obésité ou surcharge pondérale Intolérance au glucose Comment? Mesures diététiques visant une perte pondérale chez le sujets obèses, insulinorésistants et ayant une intolérance au glucose, associée à un programme d’activité physique (AP). Les 2 interventions additionnent leurs effets. L’ AP augmente la motivation des sujets vis-à-vis des mesures diététiques. SAVEURS ET AROMES DANS LE REGIME DU DIABETIQUE Les régimes quels qu’ils soient sont contraignants Pour être suivis à long terme, ils faut qu’ils soient acceptables sur le plan gustatif. Il faut rétablir un certain équilibre dans le triangle de la palatabilité onctueux (sensation en bouche) palatabilité Saveurs Arômes (plus de - salé 5000) - sucré - acide - amer Quand les réductions d’apports en sel, en sucres ou en graisses sont indispensables, les arômes viennent au secours du consommateur Onctueux: les graisses gardent une supériorité incontestable Arômes: largement répandus dans la nature (légumes et fruits); 358 arômes dans une fraise! sont des molécules de petites tailles et fortement volatiles donc perçues par les récepteurs olfactifs. Saveurs: sont perçues uniquement par la langue L’huile d’olive est riche en arômes car il n’est jamais purifié; obtenu par pression-filtration; le goût dépend du terroir d’origine. ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 050 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Les arômes sont aussi obtenus par la transformation de produits naturels par deux procédés: fermentation (Pasteur) et le brunissement (Maillard) a l’inconvénient d’apporter des calories et d’entraîner des hyperglycémies post-prandiales chez les diabétiques. FROMAGES Les édulcorants intenses (cyclamates, saccharine, aspartam, acésulfam, sucralose) peuvent être utilisés pour reproduire le goût sucré quand les apports en sucre doivent être limités. L’industrie alimentaire n’a pas que des défauts car elle fournit des entremets à goût sucré allégés , moins riches en calories et à pouvoir hyperglycémiant faible ou nul. Les arômes de fromage proviennent des réactions de fermentation dues à la présence de micro-organismes (levure, champignons). Les fromages stérilisés sont généralement dépourvus de goût. FABRICATION DES FROMAGES - coagulation du lait par une enzyme la présure. - processus d’affinage par des traitements physicochimiques (pression-cuisson) ou biologiques par introduction d’un microorganisme: Penicillum Roqueforti (au cœur de la pâte) pour le Roquefort et Penicillum Camemberti (dans la croûte)pour le camembert (en enlevant la croûte, on se prive de la plupart des arômes du camembert). COMMENT RESTAURER LE GOUT EN JOUANT SUR LES AROMES Plusieurs façons : En ajoutant des herbes odorantes: thym, laurier, ail, oignon, ciboulette, estragon, basilic, persil , fenouil En utilisant des huiles aromatiques (huile d’olive, noix) En consommant du fromage aromatique en petite quantité En utilisant des arômes grillés La grillade fournit 3 types d’arômes provenant - de la réaction de Maillard - de l’oxydation des acides gras polyinsaturés des graisses invisibles de la viande ou du poisson - de la combustion du bois La grillade ne doit pas être utilisée systématiquement, ni fréquemment à cause de la production de composés cycliques à potentiel cancérigène surtout quand les températures appliquées sont élevées. Le braisé est préféré au grillé. SAVEUR SUCRÉE ET HYPERGLYCÉMIE La saveur sucrée de l’alimentation est en général sous la dépendance du saccharose qui 052 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي EDULCORANTS ET DIABETE PRODUITS DITS SANS SUCRE En revanche se méfier des produits dits « sans sucre » où le pouvoir sucrant est apporté par des sucres-alcools (xylose, sorbitol) qui ont un pouvoir hyperglycémiant quasiment nul mais qui apportent autant de calories que le saccharose (3,2 kcal/g vs 4 kcal/g) Certaines confiseries (bonbons « dits » sans sucre) ou le chocolat sans sucre contiennent autant de calories que leurs équivalents traditionnels ACTIVITÉ PHYSIQUE Marche-vélo-natation 30 min, 3 jours/semaine au minimum ↓ ↓ des besoins en insuline ↓ des triglycérides, ↑ des récepteurs aux LDL Le tissu musculaire est quantitativement le tissu le plus important pour le métabolisme du glucose. En effet, les muscles oxydent et stockent environ 70% des glucides ingérés. COMPÉTITION ACIDES GRAS-GLUCOSE Le tissu musculaire est le siège d’une compétition de substrats énergétiques entre acides gras libres et glucose, qui se fait physiologiquement au détriment du glucose. EFFET DE L’EXERCICE SUR LA COMPETITION ENTRE SUBSTRATS ENERGETIQUES Ce déséquilibre compétitif est en fait corrigé au cours de l’exercice physique ou le glucose devient un carburant indispensable. Ce transfert vers la www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Consommation privilégiée de glucose se fait grâce à l’activation d’une enzyme, l’AMP kinase, véritable régulateur énergétique musculaire. EFFET « INSULINE LIKE » DE L’ACTIVITE PHYSIQUE L’activité physique, par l’intermédiaire de l’activation d’une enzyme l’AMP kinase provoque une translocation des protéines GLUT IV d’un pool distinct de celui mobilisé par l’insuline. AUGMENTATION DE LA SENSIBILITE MUSCULAIRE A L’INSULINE SECONDAIRE A L’AP peut également être due à ↑ une du débit sanguin musculaire une ↑ de la densité des capillaires musculaires (sujets entraînés) une ↑ de la masse musculaire elle-même (et en particulier du pourcentage de fibres musculaires au métabolisme gluco-oxydatif, insulinosensibles) Les activités physiques d’endurance favorisent en effet le développement des fibres musculaires de type I. APPRENDRE À PRESCRIRE L’ACTIVITÉ PHYSIQUE Les durées recommandées de l’effort - pour le jogging 30 minutes - pour le vélo 1 heure - pour la marche 2 heures au moins 5 jours par semaine PRECAUTIONS Lorsque le diabétique de type 2 a plus de 50 ans ou lorsqu’il est fumeur, ou encore s’il a une hypertension artérielle ou une hérédité cardiovasculaire, il convient de demander une épreuve d’effort, pour rechercher une ischémie myocardique silencieuse avant la reprise d’une activité physiques soutenue. L’activité elle-même doit être précédée d’une phase d’échauffement de 5 à 10 minutes et doit se terminer par une phase de récupération avec relâchement progressif de l’effort pendant 5 à 10 minutes. Adapter le traitement hypoglycémiant pour éviter le risque hypoglycémique . ORTHO 22 EFFICACITE DES MESURES HYGIENODIETETIQUES Le risque de conversion d’une intolérance au au diabète est diminué en moyenne de moitié par des mesures hygiéno-diététiques combinant un régime de restriction calorique et une activité physique. Ces résultats encourageants obtenus avec des pertes de poids modérées (de - 4 kg à – 6 kg) sont supérieurs à ceux observés lors d’essais conduits avec des médicaments comme l’acarbose ou la metformine. Activité physique peu intense ↓ diabétiques de type I risque d’hypoglycémie CONCLUSION Dans le DT 1, les mesures diététiques permettent surtout de réduire l’instabilité glycémique. Dans le DT 2, elles sont utiles à un stade précoce de la maladie pour retarder la conversion de l’intolérance au glucose en diabète patent. Ultérieurement elles sont destinées à contrôler les profils glycémiques et les facteurs de risque associés: dyslipidémie, HTA, troubles de l’hémostase. REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES - Burcelin. R, Bertolini. M. Caractéristiques physiologiques et pharmacologiques des agonistes des récepteurs au GLP-1 pour le traitement du diabète de type 2. Médecine des maladies Métaboliques. 2013- Vol 7-N°4. - GIN. H. Nutrition et Diabète: Diététique pratique. Encycl Méd Chir (Elsevier SAS), Akos, 3-0895, 2003, 3 p. - GRIMALDI. A. Traité de Diabétologie. Flammarion Médecine Sciences .2009. - Lestradet. Evolution de l’alimentation des diabétiques depuis la découverte de l’insuline. Cah. Nutr. Diét, 32, 4, 1997. - Lormeau.B, Valensi. P. L’alimentation du diabétique. Cah. Nutr. Diét., 32, 6, 1997. - Monnier. L, Colette. C. Diététique des états diabétiques. EMC (Elsevier Masson SAS, Paris) Endocrinologie-Nutrition, 10-366-B-10, 2010. ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 053 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE ORTHO-DZ COURSE ALLAITEMENT ET TRAVAIL « pathologiques », congé sans solde, mise en disponibilité… La longueur du congé de maternité a même un effet bénéfique sur la santé de l’enfant : chaque tranche de dix semaines de congé de maternité supplémentaire fait baisser le taux de mortalité infantile de 2,6 % et le taux de mortalité postnatale (entre 28 et 365 jours de vie) de 4,1 %. Ce qui s’explique justement entre autres par la prolongation de la période d’allaitement. Organiser la reprise Dr Zoubida TOUIMER AIT-ALI, Médecin spécialiste en anesthésie réanimation, Consultante en lactation IBCLC, Membre du comité Hôpitaux amis des bébés Algérie. Zoubida3@yahoo.com Une des principales raisons donnée pour l’arrêt précoce de l’allaitement est la reprise du travail. Une étude montre (Roe B. 1999) que la raison principale de l’arrêt de l’allaitement est la reprise du travail dans les 12 semaines après la naissance. En Algérie, Les femmes représentent 16,9% du total des occupés : 19,0% en milieu urbain et 13,8% en zone rurale. Le congé de maternité a une durée de 14 semaines. Retarder la reprise Tout ce qui peut être fait pour retarder la reprise du travail aura un effet positif sur la durée de l’allaitement : Prise de reliquats de vacances, prolongation de congé pour suite de couches 054 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي Quelques astuces : La première est que la mère peut continuer à allaiter complètement jusqu’à la reprise du travail sans se soucier du fait que bébé peut refuser le biberon (ou tout autre moyen adopté pour donner le lait en préservant la technique de succion au sein). Il est donc inutile de s’imposer l’épreuve de force qui est « d’habituer » le bébé à prendre le lait autrement qu’au sein. Le bébé a justement plus de chance d’accepter ces moyens en l’absence de la mère. La deuxième sera d’expliquer à la mère que l’allaitement à la demande pourra continuer dès les retrouvailles en fin de journée, durant le week-end et les vacances sans avoir peur de www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE perturber le comportement de l’enfant durant la garde. Tirer son lait Il est tout à fait possible de mener à bien l’allaitement sans avoir jamais à tirer son lait si la reprise du travail a lieu assez tard pour que le bébé soit suffisamment diversifié pour pouvoir se passer de lait durant la journée. A partir de 6 ou 7 mois c’est possible. Certaines femmes préfèrent néanmoins tirer leur lait ce qui évitera en effet les désagréments causés par les engorgements et contribuera à entretenir la lactation. - dans le compartiment pour surgelés d’un réfrigérateur, pendant deux semaines, - dans le compartiment 3 étoiles d’un combiné réfrigérateur-congélateur, pendant trois à quatre mois, - dans un congélateur séparé (-18°), pendant plus de six mois. Les récipients utilisés pour la conservation pourront être des biberons ou des ustensiles prévus à cet effet. Par la suite, dans la mesure du possible, la mère pourra tirer son lait sur le lieu du travail puis, le stocker dans un réfrigérateur et le transporter dans un sac isotherme pour le remettre à la personne qui garde l’enfant pour les jours de garde suivants. Comment s’y prendre ? Utiliser un tire-lait manuel de bonne qualité ou opter pour l’expression manuelle. Dans un premier temps, constituer un stock de lait quelques jours à quelques semaines avant la reprise du travail. Le lait maternel se conserve aisément : - à température ambiante (19 à 22°), pendant 10 heures, - à 15°, pendant 24 heures, - au réfrigérateur (0 à 4°), pendant 8 jours, ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 055 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Le lait peut être réchauffé à température ambiante, dans un chauffe-biberon, au bainmarie ou sous le robinet d’eau chaude. Pour préserver la technique de succion au sein, d’autres moyens que le biberon seront préférés tel que la tasse, la tasse à bec, le dispositif d’aide à la lactation au doigt… Chaque mère pourra trouver ses propres astuces pour que la séparation soit bien organisée. La condition principale pour mener à bien l’allaitement tout en travaillant est de savoir tout simplement que ….c’est possible ! Références. Roe B, Is there competition between breast-feeding and maternal employment ?, Demography 1999 ;36(2) : 157-71 Tanaka S, Parental leave and child health across OECD countries, Economic journal 2005 ; 115(501) : F7-F28 Office Nationale de statistiques Reprise du travail, poursuite de l'allaitement, Claude Susanne Didier-Jean. 2007. Tirer son lait, Revue Allaiter aujourd’hui No 53. 2002. Breastfeeding and human lacatation. Fourth Edition. Jan Riordan. 056 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE ORTHO-DZ COURSE ● Nutrition du sujet âgé ● ● ● ● ● Dr Farida BELFODIL Gériatre faken01@hotmail.fr Hôpital Charles Foix (APHP) PRÉVALENCE DE LA DÉNUTRITION ● ● ● ● Pathologie fréquente 30 à 70% des SA hospitalisés en MCO et SSR 15 à 38% en institution 4 à 10% à domicile PHYSIOPATHOLOGIE Lié au vieillissement : ● Sarcopenie ↓ de la masse maigre , ↓ de l’activité physique ● ↓ de la sensation de la soif/↓ de l'absorption digestive (villosités) ● détérioration du goût aggravé par les médicaments et la carence en ZInc,de l'odorat ● L'altération de la denture ou un mauvais état gingival. Douleur à la mastication) ORTHO 22 L'atrophie de la muqueuse gastrique une diminution desécrétion d'acide chlorhydrique, source de retard à l'évacuation gastrique.et la pullulation de bactéries consommatrices de folates. Lié au patient : les pathologies dégénératives, infectieuses ou inflammatoires multiples, intriquées ou en cascade Les hypercatabolismes (les cytokines ont un effet anorexigène Les maladies du tube digestif : les mycoses buccales et œsophagienne, les cancers digestifs des dysphagies, les régimes stricts sur diverticuloses La dépression APPORTS NUTRITIONNELS CONSEILLES CHEZ LA LA PERSONNE AGE Besoins en energie : 30kcal/j pour un homme de 60 kg Besoins en poteines : 1,1 à1,2gp/kgde pds corporel/j(1gchez l'adulte) ● Besoins en lipides : ● 9 à10g/j(1 cas d’huile végétale) ● Besoins en Vitamines ● Vit D : 10 à 15 µg /j (400-600 UI) Vit C : 120 mg/j Vit du groupe B : Vit B1 :1,2 mg/j,vitB2:1,6mg/j,VitB3-PP:14mg/j Vit B5: 5 mg/j ,Vit B6 : 2,2 mg/j Vit B8 : 60 mg/j Vit B9 : 400 mg/j ,Vit B12 : 3 mg/j, B9:400mg/j ● Besoins en minéraux ● Calcium 900mg/j(préférable 1200à 1500mg/j) ● phosphore : 450 mg /jour. Magnésium :6 m g/kg/j Fer : 9 à 12 mg/j ● Besoins en oligo-éléments Zinc :12 mg pour les hommes, et 9 mg pour les femmes,NaCl : 4 g/j,K : 3 g/j ● ● ● ● ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 057 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE DEPISTAGE ET EVALUATION DE L'ETAT NUTRITIONNEL ie).) recherche de situations à risque de dénutrition(voir tableauNo 1) ● Mesure du poids ● Évaluation de la perte de poids par rapport au poids anterieur ● Les ingestas et l’évaluation de l’Appétit ● Le calcul de l'indice de masse corporelle ● Dosages des Marqueurs biologiques(albumine,albumine,transferri ne,CRP) ● l’interrogatoire à l'aide d'une grille d'évaluation(echelle de pistage)(Mini MNA et MNA)(M ini N utritional A ssessment , qui repose sur un score sur 30 points.) ● L ' a n t h r o p o m é t r i e( les circonférences de membre (bras, mollet ou cuisse) évaluent la masse musculaire.L 'épaisseur des plis cutanés évalue la masse g rasse (réserve d'énerg ÉCHELLE DE DÉPISTAGE (MNA) ● 058 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE CRITERES DIAGNOSTIC DE LA DENUTRITION ● ● ● ● ● Critères:recommandations HAS 2007 Un ou plusieurs des critères suivants :1 seul suffit Perte de poids ≥ 5 % en 1 mois ou ≥ 10% en 6 mois IMC ≤ 21 Albuminémie < 35 g/l ● ● ● ● ● MNA-global < 17 Dénutrition sévère : un ou plusieurs des critères suivants : Perte de poids ≥ 10 % en 1 mois ou ≥ 15 % en 6 mois IMC < 18 Albuminé-mie < 30 g/L DIAGNOSTIC DU TYPE DE MALNUTRITION ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 059 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE DEPISTAGE ET EVALUATION DE L'ETAT NUTRITIONNEL ● Évolution du poids en fonction de l'age CONSEQUENCES Carences en protéines ● Oedemes,anasarque,hepato/splenomega lie ● Infections à répétition/defficience immunitaire ● Risque iatrogène/augmentation Fraction libre des Médicaments Escarres et défaut de cicatrisation Carences en vitamines ● VitB1:encephalopathies de gayet werniké,neuropathies peripherques ● B12 – Folates:anemies Megaloblastiques pancytopenie ● Vit D :Osteoporose chutes ,fractures (col) ● Vit C:Asthenie ● Vit K:trouble de la coagulation et risque hemorragique 061 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي Carences en ions et oligo-elements ● Carences en Fer:anemies microcytaires ● Hypokaliemie:signes ECG ● Hypocalcemie:osteoporose ,fractures ● Hyponatremie:syndrome confusionnel deshydratation ● Carence en Zinc : trouble du goût , anorexie socio-économiques ● Prolonge la durée d'hospitalisation ● Risque accru des infections nosocomiales ● Surconsommation de médicaments ● Perte d'autonomie et institutionnalisation www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE PNNS:PERSONNES AGÉES FRAGILES CONSEQUENCES DE LA DENUTRITION PERTE D'AUTONOMIE CHUTES DESHYDRATATION FRACTURES DUREE DE SEJOUR MORTALITE HOSPITALISATION ESCARRES INSTITUTIONNALISATION INFECTION DENUTRITION Fruit et légumes :Au moins 5/jour Fruits secs,pde-terre,céréales: à chaque repas selon l’appétit ● Lait et produits laitiers : 3 à 4 x/ jour ● Viande,poissons,oeufs: 2x/jour ● Matieres grasses Ajoutées : sans abuser ● Produits sucrés : sans abuser ● Boissons: 1là1,5l/jour ● Sel : pas de conseil specique Activité physique: Bouger chaque jour ● ● L'INTERET DU DOSAGE DE LA VIT C EN GERIATRIE ? STRATEGIES DE PRISE EN CHARGE ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● Prise en charge la plus précoce possible Définir un objectif Nutritionnel : 30à40kcal/j 1,2à1,5gde proteines/kg/j Corriger les facteurs de risque identifiés : Prise en charge des pathologies s/jacentes Réévaluation des medicaments Soins bucco-dentaitres ,traitement des mycoses Conseils dietetiques :adaptation textures (troubles de deglutition):AVC;Demences neurodegeneratives Lutter contre la sarcopenie/activité physique Surveillance:clinique(poids /IMC/ estimation des ingestas) para-clinique (Albumine,Pré-Albumine) Alimentation Enterale;echec à l'alimentation orale,troubles de la deglutition severes,Dénutrition severe apports alimentaires ↓↓↓ ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 060 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE ORTHO-DZ PAPER : EPIGENETIQUE, CANCERS ET NUTRITION Mohamed Smail AISSANI encadré Par Dr Nadia GUESSAIBIA Etudiant en médecine-Miliana-Ain Defla Medecin44sp@gmail.com Abréviations ADN ARN CpG DNMT DNMTi HAT HDAC HDACi acide désoxyribonucléique acide ribonucléique cytosine-guanine DNA méthyltrasférase DNMT inhibitor histone acétyltransférase histone déacétylase HDAC inhibitor Mots clés Français Epigénétique AND Protéine Histone Cancer Nutrition Gène Transcription Répression Gène suppresseur de tumeur Polyphénols Expression Acétylation Méthylation Anglais Epigenetics DNA Protein Histon cancer Nutrition Gen Transcription Repression Tumor Suppressor Polyphenols Expression Acetylation Methylation Allemand Arabe علم اإليبيجينوم DNA النووي الحمض Protein بروتين Histone هيستون Krebs مرض السرطان Ernährung تغذية Gen مورثة Transkription عملية الترجمة Unterdrückung كبح Tumorsuppressorgen الجينات الكابتة للورم Polyphenole بوليفينول expression تعبير Tamazight tafrutint ahistone axenzir uči aɣfer tuggza amsay Aselsuigmehun axenzir ifinolen awenni ملخص ِتقدرِدراساتِأخيرةِأنِمرضِالسرطانِالِينتجِفقطِمنِحدوثِطفراتِعلىِمستوىِالجيناتِوإنَّ َماِِهناكِعوامل ِتتمثلِهذهِاأللياتِفيماِيعرفِبتفاعالت.أخرىِيمكنِأنِتسببهِدونِحدوثِأيِتغيرِعلىِمستوىِالمورثاث ِِبعضِالعناصرِالغذائية.تلعبِالعواملِالبيئيةِمثلِِالغذاءِالدورِالرئيسيِفيِالتأثيرِعلىِهذهِالتفاعالت.اإليبيجينوم ِِِِِِ.أثبتتِفعااليتهاِللوقايةِوالعالجِضدِالسرطانِمنِخاللِتأثيرهاِعلىِاإليبيجينوم 062 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Résumé Des études récentes ont estimé que les cancers ne sont pas causés uniquement par des modifications génétiques, et que d'autres mécanismes jouent un rôle crucial dans la carcinogenèse. Ces mécanismes sont manifestés par des modifications épigénétiques qui sont, contrairement aux mutations, potentiellement réversibles. Les facteurs environnementaux comme l'alimentation sont bien connus pour influencer les modifications épigénétiques. Certains agents diététiques ont été montrés efficaces dans la prévention et le traitement du cancer en modifiant les phénomènes épigénétiques. Abstract Recent studies consider that cancers are not caused only by genetic modifications, and that other mechanisms play a critical role in carcinogenesis. These mechanisms are represented by epigenetic alterations which are, in contrast to mutations, potentially reversible. Environmental factors such as diet are well known to influence epigenetic modifications. Some dietary agents have been shown to be effective in cancer prevention and treatment by modifying epigenetic phenomena. INTRODUCTION L’épigénétique se définit comme l'étude des mécanismes modifiant de façon réversible l'expression des gènes. Ces mécanismes sont transmis lors de la division cellulaire et interviennent en absence de toute modification de la séquence du génome (1). Les phénomènes épigénétiques les plus étudiés incluent la méthylation de l'ADN et les modifications des protéines histones. Les nouvelles recherches ont prouvé que ces mécanismes sont directement liés à l'environnement et au mode de vie, y compris l'alimentation (2). A) METHYLATION DE L’ADN La méthylation de l’ADN est le phénomène épigénétique le plus étudié. C’est l’addition d’un groupement méthyl au cinquième carbone d’une cytosine en position 5’ des dinucléotides CpG. (Figure A) (3). Figure (A). L’ajout d’un groupement méthyl au cinquième carbone d’une cytosine.(3) ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 063 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Chez l’être humain, ce phénomène se fait principalement de façon symétrique sur les deux brins de l’ADN, sur les cytosines en position 5’ des dinucléotides CpG (4). La plus part de ces dinucléotides CpG sont méthylés, les autres non méthylés forment ce qu’on appelle les îlots CpG localisés dans les promoteurs des gènes, ce qui permet la fixation des facteurs de transcription et l’enzyme ARN polymérase et par la suite la transcription des gènes. Cependant, la méthylation à ce niveau peut réprimer le phénomène de transcription en inhibant la liaison des facteurs de transcription, donc le gène ne sera plus transcrit (Figure B). (5). Figure (B). Répression d’un gène par l'hyperméthylation des îlots CpG de son promoteur.(6) La réaction de méthylation est catalysée par une famille des protéines appelées DNA-méthyltransférases ’’DNMTs’’. Les DNMTs utilisent le Sadénosyl-méthionine comme donneur du groupement méthyl qui sera transformé en Sadénosylhomocystéine et la cytosine en 5méthylcytosine. Il existe plusieurs types de DNMTs mais les plus importants sont DNMT3a, DNMT3b, et DNMT1. Les enzymes DNMT3a et DNMT3b sont responsables de la méthylation lors de la différenciation c’est-à-dire une méthylation de novo. Une fois établi, le profil global de la méthylation de l’ADN doit être maintenu stable. Ce mécanisme est assuré par la DNMT1 (Figure C). (5). Figure (C). Méthylation de novo et maintien de la méthylation. (7). 064 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Cependant , la déméthylation de l’ADN est catalysée par l’enzyme ADN déméthylase. (Figure D). (8). Figure) D(. Réversibilité de la méthylation de l’ADN. (8). B) MODIFICATION POST-TRADUCTIONNELLES négativement, ce qui lui permet d’attirer les histones DES PROTEINES HISTONES qui sont très riches en acides aminés basiques L’ADN n’est pas à l’état libre dans les noyaux de nos (arginine, lysine et histidine). (9 ). cellules mais associé à de nombreuses protéines. La Des éléments importants dans le caractère ouvert ou chromatine est l’ensemble formé par l’ADN et les fermé de la chromatine, et dans son accessibilité à la protéines qui lui sont associées. On distingue transcription, sont représentés surtout par les l’hétérochromatine et l’euchromatine. Dans modifications post-traditionnelles des histones. l’hétérochromatine, l’ADN et les protéines sont Les queues amino-terminales des histones subissent densément compactés et organisés. Elle est des modifications posttraductionnelles diverses. Il transcriptionnellement inactive. Cependant, s’agit surtout de l’acétylation , la méthylation et la l’euchromatine est moins compactée, et pour sa phosphorylation. Ces modifications contrôlent majeure partie, également transcriptionnellement l’expression des gènes par l’altération de la charge inactive, mais de petits gènes actifs ioniques des histones ce qui va réduire l’attraction transcriptionnellement dans l’ADN à un moment entre l’ADN et les histones, menant à une structure donné sont localisés dans l’euchromatine. (3,9). chromatinienne plus ouverte donc plus accessible La liaison entre l’ADN et les protéines histones est pour la transcription (Figure E). (7). une liaison ionique car l’ADN est chargé Figure E. Les modifications postraductionnelles des histones modifient la structure de la chromatine. (10). ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 065 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE 1-ACETYLATION DES HISTONES Ce phénomène est maintenu par les enzymes histone acétyltransférases ’’HATs’’ et les enzymes histones déacetylases ’’HDACs’’. Les HATs transfèrent le groupement acétyle de l’acétyle coenzyme A vers une lysine. Cependant, les HDACs enlèvent ce groupement acétyle des histones pour le Figure F. Acétylation des protéines histones. (11) 2-MÉTHYLATION DES HISTONES La méthylation concerne la lysine et l’arginine des queues des histones, contrôlée par les enzymes histone methyltransférases ’’HMTs’’ et histones déméthylases ’’HDMs’’. Les histones méthyltransférases utilisent le ‘S-adénosylméthionine’ comme un donneur du groupement méthyl. Cependant, elles sont inhibées par le ‘Sadénosylhomocystéine’. (5). Contrairement à l’acétylation des histones qui neutralise leur charge positive , la méthylation de ces 066 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي transférer vers le Coenzyme A. L’acétylation des histones diminue leur charge positive ce qui conduit à une diminution de l’attraction entre l’ADN et ces protéines , menant à une structure chromatinienne plus ouverte et donc plus accessible à la machinerie transcriptionnelle. (Figure E et G).(11). Figure G. L’acétylation des histones réduit leur charge positive ce qui permet d’avoir une structure chromatinienne plus ouverte et plus accessible pour la transcription. (11) protéines ne modifie pas cette charge positive . En plus,elle peut activer ou réprimer la transcription .(12). C) EPIGENETIQUE ET CANCERS L’altération des modifications épigénétiques contribue au développement néoplasique par son implication dans l’initiation, promotion, l’invasion et même les métastases (1). Les gènes suppresseurs de tumeurs sont des gènes qui codent pour des protéines qui s’opposent au www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE développement néoplasique .L’hyperméthylation des promoteurs de ces gènes est une aberration épigénétique qui est observée durant la cancérogenèse. Cette hyperméthylation touche les promoteurs dirigeant la transcription de gènes impliqués dans les principales étapes de la croissance cellulaire, telles que la régulation du cycle cellulaire (P15, P16), l’apoptose (DAPK1) et la réparation de l’ADN (hMLH1). Figure(H) .(1). L’hypométhylation de l’ADN influence également le processus de l’oncogenèse en altérant l’instabilité du génome et en modifiant l’expression des oncogènes c’est-à-dire qu’elle provoque une hyper- expression des oncogènes qui sont des gènes codant pour des protéines qui favorisent la division cellulaire et les processus néoplasiques. (Figure H). (12). Figure (H). Mécanismes de l’oncogenèse par l’hyperméthylation des gènes suppresseurs de tumeurs, des gènes de réparation et par l’hypométhylation globale de l’ADN et des oncogènes. (12) L’altération de la méthylation de l’ADN n’est pas la D) AGENTS DIETETIQUES ET CANCERS seule modification épigénétique observée dans les Les phénomènes épigénétiques peuvent être cancers. En effet, l’hyperméthylation des gènes modifiés par les nutriments selon différents suppresseurs de tumeurs est souvent associée à mécanismes. Certains d’entre eux agissent au une déacétylation des histones au niveau des niveau du métabolisme qui produit le donneur du promoteurs des gènes suppresseurs de tumeurs. groupement méthyl ‘’ S-adénosyl-méthionine’’, Cette déacétylation réprime les gènes suppresseurs d’autres interviennent comme des inhibiteurs des de tumeurs selon les mécanismes expliqués en enzymes qui assurent la méthylation de l’ADN et les amont. (13). modifications des histones (5). ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 067 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE 1-ACIDE FOLIQUE (FOLATE OU VITAMINE B9) L’acide folique intervient dans la synthèse du ‘’ Sadénosyl- méthionine ‘’.En effet, le folate accepte un groupement méthyl à partir de la sérine, et ensuite fait un don de ce groupement méthyl à l’homocystéine qui sera convertie en méthionine, cette dernière est utilisée pour synthétiser le donneur du groupement méthyl’’ S-adénosyl-méthionine ‘’ (5). Une carence en acide folique conduit à une hypométhylation globale de l’ADN et à l’ instabilité génomique .Cette carence est associée avec un risque du cancer, du sein, de l’ovaire, du pancréas, du cerveau, des poumons et du col de l’utérus. Elle conduit également à une hyper-expression des oncogènes par hypométhylation de leurs promoteurs (3,12, 14 ). 2-CURCUMINE La curcumine, composant principale du curcuma, est bien reconnue pour ses propriétés préventives et thérapeutiques in-vitro et in-vivo contre certains types de tumeurs(15) .L’activité anti-tumorale de cette molécule peut être expliquée par son pouvoir inhibiteur de la DNMT1 ce qui peut permet la réexpression des gènes suppresseurs de tumeurs(3). 3- EPIGALLOCATECHINE-3-GALLATE ‘’EGCG’’ L’EGCG est le polyphénol majeur du thé vert. Ce polyphénol est reconnu pour ces propriétés antioxydantes .De nombreuses études ont démontré une relation positive entre l’EGCG et l’inhibition de certains cancers(16). Sur le plan épigénétique, il intervient selon différents mécanismes. En effet, des études ont prouvé que c’est un inhibiteur des DNMTs notamment la DNMT1(17) . Dans une étude in-vivo sur le cancer de l’œsophage, l’EGCG a reversé l’hyperméthylation de certains gènes suppresseurs de tumeurs dont le gène P16(5,16). 068 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي L’inhibition des HDACs dans des cellules cancéreuses est un autre mécanisme qui explique le rôle important de l’EGCG dans la prévention des cancers(3). Dans le cancer pancréatique chez des souris, cette molécule a inhibé la métastase invasive en inhibant l’activité de l’HDAC. Cette action permet de réguler l’expression d’un gène qui code pour une protéine anti-métastasique ‘’ Raf kinase inhibitor protein ‘’(18). Cette protéine est faiblement exprimée dans le cas de certaines métastases. 4-SELENIUM Le sélénium est un autre nutriment associé avec les modifications épigénétiques, ce qui suggère son efficacité préventive dans certains cancers(15). En effet, il a été démontré que cette molécule peut inhiber l’activité de la DNMT1 dans des cellules du côlon et même la réduction de l’expression de la DNMT ce qui réduit la capacité de la méthylation de l’ADN ce qui va inhiber la répression des gènes suppresseurs de tumeurs qui sont réprimés au cours du développement néoplasique (15,17). De plus , certains métabolites du sélénium comme le ‘’Se-methyl-L-selenocysteine’’peuvent inhiber l’enzyme HDAC dans le cancer du côlon. Cette inhibition est associée avec l’expression du gène suppresseur de tumeur P21 (15). 5-SULFORAPHANE Le sulforaphane est l’un des polyphénols présents dans les légumes crucifères comme le Brocoli et le chou-fleur . Il a été démontré qu’il a un puissant effet antiprolifératif dans le cancer de la prostate. Hsu et al, ont prouvé que son utilisation est suivie par une diminution de l’expression des DNMTs notamment la DNMT1 , DNMT3a et DNMT3b conduisant à une déméthylation du promoteur du www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE gène CCND2 qui un gène suppresseur de tumeurs impliqué dans la régulation du cycle cellulaire (5,18). Le gène suppresseur de tumeur P21 est souvent réprimé dans le cancer de la prostate. Le traitement de ces cellules cancéreuses par le sulforaphane conduit à une augmentation d’acétylation du promoteur de ce gène en inhibant l’enzyme HDAC ce qui permet la suppression de sa mise en silence(19). Dans une étude sur le cancer du côlon, cette molécule a pu supprimer l’expression de la DNMT1 et elle a permet d’augmenter l’expression de certains gènes qui régulent le cycle cellulaire ce qui réduit la prolifération des cellules tumorales(18). Dans une étude sur l’Homme, la consommation de 68g de Brocoli a entrainé l’inhibition de l’activité de l’HDAC après 3 heures de cet apport(15). 6- VITAMINE D Aujourd’hui, il est reconnu que le rôle de la vitamine D dans la régulation de l’expression des gènes est extrêmement important car elle présente une variété de fonctions biologiques autres que la régulation du métabolisme calcique. Même s’il est déjà suggéré que cette molécule interagit avec l’épigénome sur plusieurs niveaux, les mécanismes qui se cachent derrière l’effet de ce nutriment sur la méthylation de l’ADN nécessitent d’être plus clarifiés. Dans une étude in-vivo, on a pu démontrer que la prise de la vitamine D est associée avec une réduction de méthylation au niveau de certains gènes suppresseurs de tumeurs dans le cancer colorectal (5). 7)TABLEAU RÉCAPITULATIF Agent diététique Acide ellagique source Baies Acide folique Légumes verts foncés Allyl Mercapton Apigénine Ail Celeri , Persil HDACi (3) DNMTi (3) Curcumine Curcuma DNMTi (3) Cyanidine Raisin , Baies DNMTi (3) Epigallocatechin-3-gallate Thé vert DNMTi, HDACi (17,3) Galangine Sélenium Sulforaphane Propolis, racine de galanga Ail , poisson Légumes crucifères DNMTi (3) DNMTi ( 15, 17) DNMTi , HDACi (5,18, 19 ) Vitamine D Poissons Rôle inconnu (5) E) CONCLUSION L’altération des modifications épigénétiques représente un autre mécanismes qui joue un rôle important au cours de la carcinogenèse. La ORTHO 22 Mécanisme d’action DNMTi (3) Donneur du groupement méthyl(5,14) réversibilité de ces altérations par des agents diététiques ouvre de nouvelles approches préventives et thérapeutiques des cancers (16). . ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 069 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES 1) Kanwel R , Gupta K , Gupta s.(2015). Cancer Epigenetics: An Introduction. In Cancer Epigenetics (pp3-25). Springer New York. 2)Zirpoli H , Caputo M , Tecce MF. (2014). Nutrigenomics. In springer handbook of bio/neuroinformatics(pp501-515). Springer Berlin Heidelberg. 3) Goel A, Chaturvedi G. (2012). Diet-Induced Epigenetic Changes and Cancer Prevention : A Mantra for Healthy Living .In Nutrition, Diet and cancer (pp283-326). Springer Netherlands. 4) Horsthemke B. (2010). Epigenetics. In Vogel and Motulsky’s Human Genetics(pp299-318). Springer Berlin Heidelberg. 5) Kim KC , Choi S-w. (2015). 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MILA. ِACUPUNCTEURE ET MESOTHERAPEUTE ِشفاء ِّ مرضِالس ِّكريِهوِمرضِمزمنِبحيثِالِيمكنِال ِّ ِ:ملخص ِيطرةِعلىِمستوياتِالس ِّكرِفيِال ِّدمِمن ِّ ِّ ِولكنِيمكنِالس،منه ِلهذاِفتناولِطعامِصحيِومتوازنِيحافظِعلى ِّ ِ.غذيّة ِ ّخاللِالت ِ ِمماِيساعدِعلى ِّ ِ.نةِلنسبةِالس ِّكرِفيِال ِّدم ِّ مستوياتِمتواز ِِ.1ِةِالس ِّكريِمنِالِنّوع ِّ ريِوخاص ِّ بِعلىِمضاعفاتِالس ِّك ِّ ِ ّالتّغِل ِحةِسواءِكِنّاِمرضى ِّ للمحافظةِعلىِالص ِّ ِليمِمهم ِّ ِّ الغذاءِالس ِإ ِّن ِلهذاِأفادتِبعضِاألبحاثِإلىِإمكانيّةِالوقايةِمن ِ ِ.أوِال ِعرف ِّ ّاِيمكنِالمرضىِواألطباءِمنِالت ِ ِّ ِ،غذيّة مم ِ ّبالت ِ ِ1الس ِّكري ِّ .ةِالغذائيّةِإلدارةِالمرضِبشكلِأفضل ِ ِ ّعلىِأهمي ِ ّةِالتّر ِبي RESUME : Le diabète est une maladie chronique dont on ne guérit pas, mais la glycémie peut être controlée par la nutrition. De ce fait « manger sain et équilibré » reste une arme pour lutter contre les désordres glycémiques et donc agir sur les complications surtout pour le diabète de type 2. ORTHO 22 Bien que la bonne nutrition est nécessaire pour rester en bonne santé, qu’on soit diabétique ou non, des études récentes ont montré la possibilité de prévenir le diabète de type 2. Ceci encourrage l’éducation nutritionnelle des diabétiques et -beaucoup plus- les médecins pour mieux gérer la maladie. ABSTRACT : Diabetes is a chronic disease so not be cured, but can be controlling blood sugar levels through nutrition. To eat “healthy and equilibrate” remains a weapon against the disorders and therefore glycemic produces complications. Although -especially for the type2 of diabetesgood nutrition is needed to stay healthy without diabete .Some recent studies have shown the prevention possibility of the second type of diabetes that encourage education nutrition of diabetics to the doctors and patients for good management of the diabets. MOTS CLES : التربية الغذائية، إدارة، السكرى،التغذية diabete ; nutrition ; gerer la maladie ; education nutritionnelle. diabetes ; nutrition ; manager the disease ; education nutrition. SOMMAIRE Introduction. Concepts nutritionnels Les grands principes alimentaires. Index glycémique. Désordre glycémique et Conseils nutritionnels. Prevention de diabete de type 2. Prevention de l’accident cardiovasculaire. Besoins glucidiques en cas d’activités physiques. conclusion. ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 070 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE INTRODUCTION : Le mot diabète vient du grec diabêtês qui signifie « qui traverse ». Au 2e siècle avant J.-C., un médecin grec du nom d’Arétée de Cappadoce a observé que les personnes diabétiques urinaient excessivement (un état appelé polyurie), comme si l’eau « traversait » leur corps. Le nom complet du diabète est « diabète sucré ». Ce nom est une traduction du terme latin donné à la maladie par Thomas Willis, médecin personnel du roi Charles II d’Angleterre : diabetes mellitus. Ce dernier mot signifie « miel ». Thomas Willis l’a accolé à diabetes, car il était d’avis que l’urine d’une personne diabétique a une odeur de miel et de sucre(q) un sujet est considere comme diabetique sil est dans une situation suivante : a. glycemie a jeun superieur ou egale a1.26g /l . b. signes cliniques d hyperglycemie et decouverte au hasard dune glycemie superieure ou egale a 2g/l. c. glycemie apres une hgpo superieure ou egale a2g. intolerenc e auglucose : glycemie ajeun inferieura1.26et hgposteprandialeentre 1.40et1.99. hb1ac :superiruea 6.5 /pour cent . PLACE DE LA DIETETIQUE DANS LE TRAITEMENT DE DIABETE : Toutes les recommandations( association european for the study of diabetes easd,(ada association americainedediabete),reconnaissent que les mesureshygienodietetiques restent l une des bases fondamentales de la prise en chargedu diabètequilsoit de type 1 ou de type 2.cepandant les malades posent toujours la question pourquoi retarder la prise des medicaments concomitente avec la dietetique le faite que la dietetique reste primordiale dans laprise en charge des diabetique ? et si la nutrition est si interressante pour quoi on est obliger a prendre des medicaments ?.les mesures dietetiques en premierlieusont dans 072 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي toutes les etudes plus efficaces que lintervention pharmacologiques seuls pour : prevenir la conversion dune intolerence au glucose en diabete de type 2patent. et en second point la dominance dune prise de poid chez un diabete type 2 . en plus l obsevance des malades qui ne respectent pas les mesures hygieniques sont rarement equilibres en depit d unes cascades de prescriptionqui les conduisent a une tritherapies. le diabete est une maladie si compliquee que le recours aux medicaments est necessaire . les mesures nutitionnels meritent d’etres mises en œuvre par des recherches plus spesialises que par la simple observance dans la mesure ou la nutrition a fait sa preuve dans la prise en charge de l intolerence au glucose ;de plus cestun chois a donner au malade a condition de bien explique et etre une education nutritionnelle que regimes d exclusions. motscles :diabete ;complications ;nutrition ; poid ;intolerence au glucose. Evolution des conceptsnutritionnels depuis le debut duxx ciecle : Il a fallu du temps pour se rendre a l evidence :ladestruction des equilibres entre la nature et l homme a favoriseé lapparition de multiples pathologies et desordres memes sur l envirronnement ;cette civilisation encore mal maitrisee’ a payer lhomme sa sante . il ya presque 100 ans ; la prise en charge surtout le diabete dit juvenile était un regime de prohibition des glucides.)la decouverte de l insuline en 1921 a permis d elargire les regimes ailmentaires l apport alimentaire glucidique etant fixe a 30et40pour cent des calories totales . www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE en 1960,les pediatres preconiserent d assouplir les regimes des enfants diabetiquesdesignés sous le terme de regimelibre. en1970_1980, cest la decouverte des fibres alimmentaires et la quantification du pouvoir hyperglycemiant des glucides a l aide des index glycemiques. en 1985 les americains ont decouverts les proprietes antiatherogenes et antithrombogenes des grraisses mono_insatures. Nom Ghreline Leptine Insuline Pyy (Les dereglements des comportements alimentaires sont souvent le fait des pulsions.il existe plusieurs facteurs directs ou indirecte impliques dans la regulation des prises alimentaires.participent a celle-ci des substances hormonales ou autres comme la leptine ;la ghreline ,le pyy et linsuline. »page66(r) Molicules participant a la regulation des prises alimentaires liste non exhaustive : Molicules participant a la regulation des prises alimentaires liste non exhaustive : lieu de secretion estomac graisse tissu adipeux pancreas intestin :debut duodenum La secretion de ces divers elements ,entrelacs de circuits mettant en action le biologique ; le psycologique et le socioculturel ;peut se deregler de multiples façons cest pourquoi ilest si difficile de trouver des medicaments qui puissent limiter les prises alimentaires.)page 67.. Les decouvertes de pouvoir energetique des aliments a donner une aide spectaculaire au medecins et nutritionnistepour ameliorer la prise en charge des diabetiques(.r) Mihel Montignac est le premier nutritionniste au monde à avoir proposé d'utiliser le concept de l'index glycémique dans l'amaigrissement. Il y a deux études importantes qui ont analysé la prévention du diabeteont été menées sur des patients qui ne pouvaient pas contrôler leur taux de glucose dans le sang, qui peut être considéré comme le même que chez les patients présentant une résistance à l'insuline. Une étude menée en Finlande a montré que les changements en alimentation et en exercice physique diminuent le risque de développer le diabète de 58%. L'autre étude, menée aux Etats- ORTHO 22 PREVENTIONDU DIABETE DE TYPE 2 :POSSIBLE :;.. act ion. orexigene. anorexige ne. si taux eleve anorexigene. anorexigene. Unis et nommée "Etude du Programme de Prévention du Diabète" (EPPD), a montré une réduction similaire du risque de diabète grâce à un changement de comportement alimentaire et à un plus grand niveau d'activitivite physique. Le suivie de 84941infirmieres americainnessur une periode de 16ans amontrer pour les epidemiologistes de l universite de havard :que la surcharge ponderaleou l obesite sont les seuls predicteures de diabete ». Deux types de mesures dietetiques peuvent etre envisagerles premieres reposent sur la restriction caloriqueet la deusieme conciste amodifierla balance glucides lipides !a reduire les apports en acides gras satures(moins de 10/cent de l apport totale energetique)enrichire lesapports en acides gras desatures ;et augmenter al consommation des fruits etlegumes anssi que les fibresalimentaire.les resultats en terme de poid et de reduction du risque de developper undiabete sont mentionner sur le tableau : Intervention nutritionnelles realsees pour prevenir la conversion des etats d intolerence au glucose en diabete patent ed type 2 : ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 073 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Etude Typedinte rvention EUL REGIMES ETUDE DAQUING REGIME +EXERCISE ETUDE FINLANDAIS E Regime+e xercise ETUDE DPP Regime+ EXERCISE Regi me RELLEME NT SUIVIE PERTEDE POID REDUCTI ONDU RISQUERELATI FDE DEVELOPPERU N DIABETEDE TYPE2 RED UCTION CALORIQ UE 5/10 0 GL UCIDES 59 27 1 .1KG/M²DANSLEGROUP EENSURPOID -33 /100 10/1 58 27 1 .6KG/M²DANS LE GROUPEENSURPOID -38 /100 LIPIDES 00 Nd Nd 450 KCAL ND D UREE DE L ETUD E 3o /chez 47/100des sujets 27 .5 ANS 6 6 ans 4.2kga 1 an -58/ 5.6KG(PERTEMOYENNE) -58/ 3 ,2ans 2 ,8ans Lesvariationsde niveau calorique et de poids sont exprimes par rapport a l etat de base.pour l etude daqing,les diminutions de poid corporel sont estimees a partir de imc.nd :nonidentifier. En conclusion :les etudes sont tres encourragente le faite que la prevention de diabete 2est possible mais un execise physique reste tres important a coupler au regime alimentaire. Groupes alimentaires La connaissance des valeures energetiques des nutriments reste importante. voici un tableau qui decrive la valeure energetique de certaines aliments : Ce tableau montre la valeure nutritive de qulques aliments (:t) Valeur nutritive des groupes d’aliments selon le système d'échange de Diabète Québec Valeur nutritive Glucides Protéines Lipides Énergie (g) (g) (g) (calories) Féculents -1 tranche de pain -1/3 tasse (80 ml) de pâtes alimentaires cuites 15 2 -1/3 tasse (80 ml) de riz, orge, couscous (cuits) -1 petite pomme de terre Fruits -½ tasse (125 ml) d’ananas, de compote de pommes, de jus d’orange -½ banane 15 0 -15 gros raisins -1 petite pomme Légumes* -125 ml de légumes ou de jus de légumes* 5 2 -250 ml de légumes feuillus crus -125 ml de légumes feuillus cuits Lait de 12 à 15 8 074 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي 0 70 0 60 0 25 de 0 à 9 de 90 à 160 www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE -1 tasse (250 ml) de lait -1 tasse (250 ml) de boisson de soya enrichie non aromatisée -¾ tasse (175 ml) de yogourt nature Aliments avec sucre ajouté -1 barre de céréales -½ tasse (125 ml) de crème glacée -2 c. à table (30 ml) de sauce barbecue -1 c. à table (15 ml) de sirop d’érable Viandes et substituts -30 g (1 oz) de viande, volaille, poisson -2 c. à table (30 ml) de beurre d’arachide** -1 oeuf -½ tasse (125 ml) de haricots cuits*** Matières gr 15 Variable Variable Variable 0 8 3 60 0 5 45 0 0 20 asses 0 -1 c. à thé (5 ml) d’huile -1/6 d’avocat -1 c. à table (15 ml) de graines de tournesol -5 olives noires moyennes Aliments à faible valeur énergétique <5 Condiments, café, thé, poudre de lait au chocolat léger, bouillon, etc. Cest le regimemeditrrannen qui repends au normes de ces decouvertes car ce modele privilege la connsomation d aliment a faible pouvoir hyperglycemiant et assure une divercification en fibres etgraissesmonoinssaturees..,tout en limitants les apports en graisses saturees et en sucres rapides. sachant que ce regime a subit des modifications suite a la civilisation et mondialisation. .les grands principes nutritionnels z) a. Avoir une alimentation variee. b. Apport glucidique de 45à50pourcent de l apport caloriques totale. c. Limites les apports lipidiques en preferant les graisses monoinsatureesoupolyinsaturees a faible pouvoir atherogene. d. Diminuer la ration calorique du sujet en surpoids imcsuperieura 25. Se doner un objectif de reduction de poid et d edducation nutritionnelles. Comment assures une meilleures obsevance et control glycemique ? ORTHO 22 Dans le diabetique de type 1les mesures dietetiques sont marginnales pour luter contre l hyperglycemie chronique soutenue car il est essentiellement sous la depandance de l insuline. Dans le diabete de type 2 la nutrition est la base du control de l hyperglycemie( hba1c). Ce type est sous la depandance de trois perturbationsmetaboliquesappeles » triumvirat » : Insulinoresistance , Production excessive an niveau du foie de glucose ; Une dimunition de la secretion de l insuline. Ces patients sont obeses ou en surcharge ponderal,donc la question qui se pose par le malade :comment manger sain ?comment controler son poids ? Une perte de poids de quelques kilos sur uneperiode de quelques semaines ou mois peut entrainer une normalisation de la glycemie ou une reduction de hba1c.dans l’étudeUnity de ukpds,une baisse de2points en pourcentage de hba1ca été obsservee par un regime simple sur une periode de 3 mois(1361kcal).mais malleuresement l evolution de diabete de type 2chez certains malades qui ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 075 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE necessitentlerecours a l insulinotherapie conduit frequement a une prise de poids chez des sujets dejasobeses,une chute moyenne de hba1c de 1pourcent conduit aune prise de poids de 2kg(5). Ce qui incite les medecinsa renforcer les mesures dietetiques pour que la prise de poids reste modeste ;surtout que l administation de linsulinedepasse largement 1 unite par kilo et par jour(5). Donc la nutrition est un chois important DANS LA REGULATION ET MAI NTIEN DUN ETAT DE SANTE TRES EQUILI bre ..le regime doit rependre au besoin nutritionnel sans causer des perturbations alimentaires qui peuvent etre serieuses ;de ce fait leducation du malade sur l interet de savoir choisir son alimentation est necessaire :l index glycemique des aliments les plus utilises dans leur habitudes alimentaires doit etre eduquer au malade.ce tableau definit l index de quelques aliments . Index glycemique : IG bas (égal ou inférieur à 55) À consommer plus souvent* PAINS : - Grains entiers broyés à la meule - Grains lourds mélangés - Pumpernickel CÉRÉALES: - All BranMC - Bran Buds avec PsylliumMC - Son d’avoine PRODUITS CÉRÉALIERS : - Orge - Boulgour - Pâtes alimentaires - Riz étuvé AUTRES : - Patate douce - Pois chiches - Haricots rouges - Fèves au lard IG élevé (égal ou supérieur IG moyen (56-69) à 70) À consommer souvent À consommer moins souvent PAINS : - Blé entier - Seigle - Pita PAINS : - Pain blanc - Petit pain empereur - Bagel blanc CÉRÉALES : - GrapenutsMC - Shredded WheatMC - Gruau PRODUITS CÉRÉALIERS : - Riz basmati - Riz brun - Couscous AUTRES : - Pommes de terre blanches - Maïs soufflé - Soupe aux pois CÉRÉALES : - Flocons de son - Flocons de maïs - Rice KrispiesMC PRODUITS CÉRÉALIERS : - Riz à grains courts AUTRES : - Pommes de terre au four (Russet) - Bretzels - Craquelins Source : L’indice glycémique, Association canadienne du diabète 076 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE IG bas (égal ou inférieur à 55) IG moyen (56-69) IG élevé (égal ou supérieur à 70) À consommer plus souvent* À consommer souvent À consommer moins souvent PAINS : PAINS : PAINS : - Grains entiers broyés à la meule - Blé entier - Pain blanc - Grains lourds mélangés - Seigle - Petit pain empereur - Pumpernickel - Pita - Bagel blanc CÉRÉALES: CÉRÉALES : CÉRÉALES : MC MC - All Bran - Grapenuts - Flocons de son - Bran Buds avec PsylliumMC - Shredded WheatMC - Flocons de maïs - Son d’avoine - Gruau - Rice KrispiesMC PRODUITS CÉRÉALIERS : PRODUITS CÉRÉALIERS : - Orge - Riz basmati PRODUITS CÉRÉALIERS : - Boulgour - Riz brun - Riz à grains courts - Pâtes alimentaires - Couscous - Riz étuvé AUTRES : AUTRES : AUTRES : - Patate douce - Pommes de terre blanches - Pommes de terre au four (Russet) - Pois chiches - Maïs soufflé - Bretzels - Haricots rouges - Soupe aux pois - Craquelins - Fèves au lard Source : L’indice glycémique, Association canadienne du diabète Les consultations chez les dietetitiennes sont necessaires pour ameliorrer la prise en charge des diabetiques ;entre autre la maitrise du poid et la connaissance des valeures nutritionnels des differnts groupes des aliments pour mieux gerer les fluctuations glycemiques.(.t) Desordre glycemiqueet conseilles nutritionnels : hyperglycimies post prandiales chez lediabetique de type1 sontsouvent imprevisibles ;en effet la nature des glucides apportes peuvent intervenire dansla variation glycemiques.laglycemie de petit dejeuner est plus elevee par rapport au repas de midi et soir ;elle est sous la dependance de l exageration de la production hepatiquedeglucose en fin de nuit ;ce ci est commun pour les deux types de diabete. ORTHO 22 a. Le repas de diner est al origine de la montee glycemique meme si elle n est pas excessive ; lactivite physique reste unsecours. b. Donc la qualite des hydrates de carbone ingerer,et laquantite doivent etre bien surveiller. c. Pour le diabete de type 2 :lhyperglycemie est en generale en rapport avec une alimentation normaleavec trois repas dont la repartition est la suivante : d. 10à20por cent des glucide slematin ;40à45pour cent a midi et au soir. e. Agir sur la quantite des glucides ingeres a chaque repas . Agir sur la nature des hydrates de carbones :depuis les traveaux de jinkins( 9)il est bien de mentrer que des quantites identiques d ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 077 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE hydrates de carbonescontennues dans des aliments differentespeuventsconduireàdesrepenseshyperglyc emientes variables’(.l indexglycemique reste la methode de reference(30).les recommandations classiques pour limiter les hyperglycemies post prandiales privilegent les aliments avec index glycemiquefaibles.malgrs que la teneure en glucides des aliments peut etre influencer par la cuisson ; l’ébullition ; le broyage ; la reduction en puree ou en compote et de manniere generale tous les procedures de degradation mecanique ou thermique des aliments amylaces peuvent augmenter lindexglycemique). Augmenter la teneur en fibres alimentaires : l’apport totale devrait se situer autours de 20à30g par jour. il est preferable d’utiliser des aliments naturels.car les fibres de texture contenues dans les cerealescompletes ou les legumes secs ralentissent l hydrolyse des glucidesqui sont emprisonnes dans le reseau fibreux dont la destruction partielle est indispensable pour que les polysacharides soient attaques par les enzymes de tube digestif. Chez les diabetiques de type 1 ces episodes sont frequentesapres une activite physique ou a distance des repas :des collations sont aenvisager dontl apport glucidiques se situe autour de20à30g de glucides. APPORT ALIMENTAIRE POUR MINIMISER LE RISQUE DE COMPLICATION CARDIO_VASCULAIRES : Acides gras satures :7/100de l apport calorique. Lipides :30/100. Cholesterol :200mg/jour. Glucides :50à60/100de lapport calorique total. Acides gras monoinsatures :20/100de l apport total des calories. Acides gras polyinsaturesdelaserie 3 :2g /:jour :acidealphalinoleique,acideeicosapentaen oique contenue dans la chaire de poisson gras et les huiles qui en derivent. Proteienes :15/100 de lapport caloriques. Nacl :2gpar jour. Fibresnalimentaires :20à30g/jour. Fruits et legumes :aconsseiller. Acidesgras monoinsatures et polyinsatures sont aprivilegiers d origines vegetales et d ioriginesmarrines ;ce tableau recapitule les bons sources des omega9 et omega3 : EVITER LES HYPOGLYCEMIES A DISTANCE DES REPAS : Sources de gras Sources de bons gras monoinsaturés polyinsaturés (oméga-9) À consommer avec À privilégier modération Huile d’olive extra-vierge Huile de carthame Huile de canola Huile de tournesol Avocat Huile de pépins de raisin Margarine non hydrogénée Huile de germe de blé Noix et graines Huile de noix Beurre d’arachide naturel Huile de maïs Vinaigrette à base d’huile d’olive ou de Huile de sésame canola Augmenter l'apport en oméga-3 d'origine marine. Ces oméga-3 peuvent réduire le risque 078 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي Sources de gras saturés et ou trans À limiter Shortening Huile végétale hydrogénée Beurre Margarine dure Crème Fromage gras Viandes grasses de maladies cardiovasculaires (MCV) chez les diabétiques. Ils réduisent notamment les www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE triglycérides sanguins. Selon des études prospectives, il semble aussi que le poisson dans son ensemble réduirait le risque d’être atteint de diabète ou d’intolérance au glucose. On ne sait pas encore si cet effet est attribuable aux oméga3 ou à d’autres constituants du poisson. Il est donc préférable de privilégier la consommation de poisson à la prise de supplément d’huiles Heart Association(.t) L avoine est tres importante dans la prevention des risques cardio vasculaires. saveurs aromes dans les regimes du diabetique : herbes odorantes :cannelle ;clou de guirofle ;thym ;laurier ;ail ;oigon ;basilic ;percil ;fe noui Succédanés Acésulfamepotassium huils aromatiques :lhuiles d olive.reste.la meuilleure. Saveur sucree : se mefier desedulcorants . (dietetique etetat diabetique). Les édulcorants de synthèse se divisent en deux catégories( t): les édulcorants de première génération (saccharine, cyclamate, aspartame) et les édulcorants de deuxième génération (sucralose, acésulfame-potassium, neotame, alitameMis à part l’aspartame, les édulcorants artificiels commercialisés au pays (sucralose, cyclamate, saccharine, acésulfame-potassium) ne contiennent aucune calorie. L’aspartame contient 4 calories par gramme. Pouvoir sucrant** Usages Approuvé comme additif alimentaire pour une foule d’aliments transformés/non vendu comme édulcorant de table* DJA*** mg/kg 200X 15 Approuvée comme additif alimentaire pour une foule d’aliments 180X transformés 40 Approuvé comme édulcorant de table seulement* 30 à 50X 11 Approuvée comme édulcorant de table seulement* 300 à 500X 5 Approuvé comme additif alimentaire pour une foule d’aliments transformés 600X 9 (Sunett) Aspartame (NutraSweet, Egal/Equal, Canderel) Cyclamate (Sucaryl, Sweet’n Low, Sugar Twin) Saccharine (Hermesetas) Sucralose (Splenda) ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 079 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE *La mention « Approuvé comme édulcorant cyclamate ou de saccharine. La vente de de table seulement » signifie que cet ces édulcorants demeure permise (pour la édulcorant ne peut être utilisé comme saccharine, seulement en pharmacie). additif alimentaire au Canada. Aucun **Le pouvoir sucrant est établi en fonction produit transformé (yogourt, confiture, de celui du saccharose (sucre ordinaire) chocolat, etc.) ne devrait contenir de BESOIN EN GLUCIDES ET ACTIVITE PHYSIQUE(.t) des recommandations qui peuvent convenir à la plupart des diabétiques. Il se peut que, selon sexe, poids et médication, les recommandations doivent être adaptées. Type d’exercice Intensité faible ou moyenne Intensité moyenne Glycémie (mmol/l) Exemples avant l’exercice Se situe entre 4,4 Marche 1 km, cyclisme à basse et 5,4 vitesse (moins de ½ heure) Plus grand ou égal à 5,5 Se situe entre 4,4 et 5,4 Se situe entre 5,5 Tennis, natation, jogging, cyclisme, et 9,9 golf, jardinage, passer l’aspirateur Se situe pendant 1 heure entre 10, et 13,9 14 et plus Intensité élevée Se situe entre 4,4 et 5,4 Se situe entre 5,5 Football, hockey, racquetball, natation, cyclisme à haute vitesse, et 9,9 pelleter de la neige lourde pendant Se situe 1 heure ou 2 entre 10, et 13,9 14 et plus Besoin en glucides Collations sugrées 10 g à 15 g 1 portion de fruits ou de féculent Aucun changement - 30 g à 45 g de glucides avant l’exercice ½ sandwich au thon avec 1 tasse de lait et 2 portions de fruits Aucun changement nécessaire - Aucun changement nécessaire - Attendre que la glycémie ait diminué avant de faire de l’exercice 45 g de glucides à l’heure. Surveiller attentivement la glycémie. 30 g à 45 g de glucides, en fonction de la durée et de l’intensité de l’exercice 1 sandwich au poulet avec 1 tasse de lait ou 2 portions de fruits ½ sandwich à la dinde avec 1 tasse de lait et 2 portions de fruits 15 g de glucides par heure 1 portion de fruit ou de d’exercice féculent Attendre que la glycémie ait diminué avant de faire de l’exercice Source : Martineau Chantale Trousse d’enseignement destiné aux nutritonnistes. Programme clientèle Diabète Hopital Laval, CANADA, 2005 (1) 081 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE CONCLUSION : Le diabete est une maladie chronique qui necessite une prise encharge multidiciplinaire ;vue les complications .la dietetique reste une arme tres efficaces pour luter contre les complications voir les minimiser.une bonne connaissance des bases nutritionnels est le recoure de medecin et du malade pour la maitrise de la maladie .le poid reste le soucie des medecins por avoir une meilleure observance de la maladie ;il a été demontrer q une reduction modeste du poid 4kg en qulques jours peutentraines une reduction notable de la glycemie a jeun qui passe de 3g a 1.6g ;ces reductions ont etes obtenue dans une dizaines de jours et avec des regimes a base index glycemiques(400kcalpar jour. Lobjectif est d obtenir une reduction de poid de 2 et 4kg par mois Les etudes concernant la nutrition et le diabete a connue une tres grandes place dans la prise en charge de celui-ci . En algerie le diabete a connue une pri valence allarmente ;en 2008 l actualite algerie bladi dz a publier : (Actualité Algérie - Bladi-DZ) Algérie: Le diabète en évolution alarmante 2 500 000 personnes diabétiques en Algérie Le nombre des diabétiques en Algérie est passé d’un million de personnes en 1993, à plus de 2 500 000 personnes en 2007, soit 10% de la population. Ces statistiques établies par l’OMS, ont été révélées hier, par le président de la Fédération algérienne des associations des malades diabétiques (FAAD), et ce, lors de la célébration de la Journée nationale des personnes diabétiques, au Munatec de Blida. Placé sous le patronage du ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, cette rencontre a été organisée par la fédération algérienne des associations de diabétiques. ORTHO 22 Le diabète est considéré comme une maladie chronique, invalidante et coûteuse, qui s’accompagne souvent de graves complications. Citant les causes qui contribuent à l’évolution de cette maladie, le même président souligne que le terrorisme et l’état de stresse dans lequel vit une grande partie de la population, figurent parmi ces causes. Par ailleurs, l’orateur fait savoir que 25% des jeunes malades, sont des insulino-dépendants, alors que 10% des citoyens ignorent être atteints par cette maladie. Malgré la gravité de cette maladie, ainsi que la cherté des médicaments, 40% des malades diabétiques ne sont pas encore assurés et sont parfois totalement démunies. De ce fait, ces derniers ne savent pas s’ils doivent choisir entre manger ou alors acheter leurs médicaments. Toutefois, ils sont exposés à des complications très graves telles la gangrène ou la cécité. Le guide algerrien de diabetique de 2005 preconise l interet de la nutrition dans la prise en charge de diabetique et son role majeur dans le maintien de l equilibre glycemique.( Sante dz). REFERENCES : 1. Diabetologie louis monnier 2 editionelsevier masson.chapitre 6 :mesures hygienodietetiques et etats diabetiques c collet ;l.monier 2. Je maigris sain je mange bien dr l.chevallier.hibr edition 2012.page66et67(.r) 3. Medecine generale :masson chapitre :prise encharge et suivi despathologies chroniques page71(.z) 4. Sante dz.guidealgerrien de diabetique. 5. www.passeport santet(.t) 6. http://starsystem-fr.sanofi.ca/pages/ diabete#sthash.QYoeeQ5v.dpuf(q) ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 080 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE ORTHO-DZ PAPER - GRAISSE VISCERALE – UN FACTEUR DE RISQUE DES MALADIES DU SIECLE Stoffwechselerkrankungen kardiovaskuläre Erkrankungen Krebsarten ِملخص ِهناكِدراساتِوبائيةِعديدةِاثبتتِوجود ِعالقةِبينِالقفزةِالتيِيعرفهاِالعالمِفي ِِالقلبِوِالشرايينِو,نسبةِامراضِاأليض ِأمراضِالسرطانِمنِجهةِوالسمنةِمنِجهة Dr. Nassima BOUSSIOUD Abstract Numerous epidemiological studies have shown a close relationship between the surge that the world has known metabolic , cardiovascular, and cancer on the one hand and obesity on the other hand . This observation was the starting point of several scientific studies have uncovered a scientific and logical explanation of this coupling and the difference between android and gynoid obesity began making and related diseases each of the two forms , and finally c ' visceral fat is found in the android obesity is a risk factor for these diseases provoked . In this modest work we will talk of this visceral fat , how to discover it, the risk factors , mechanisms of action and support . Key words : Obesity Android obesity Gynoid obesity Visceral fat Waist circumference Body mass index Insulinoresistance Metabolic disease Cardiovascular disease Cancers Mots clés en allemand : Schlüsselwörter: Fettleibigkeit Android Fettleibigkeit gynoid Fettleibigkeit viszerale Fett Taillenumfang Body Mass Index Insulin-Resistenz 082 Résumé: De nombreuses études épidémiologiques ont permis de constater une étroite relation entre la flambée que le monde a connu des maladies metaboliques,cardiovasculaires ,et cancéreuses d'une part et l'obésité de l'autre part. Cette constatation était le point de départ de plusieurs études scientifiques qui ont permis de découvrir une explication scientifique et logique de ce couplage et on a commencé de faire la différence entre obésité androïde et gynoïde et les maladies liée a chacune des deux formes et finalement c'est la graisse viscérale qu'on trouve dans l'obésité androïde qui présente un facteur de risque pour ces maladies suscitées . Dans ce mode ste travail on va parler de cette graisse viscérale ,comment la découvrir,les facteurs de risque, les mécanismes d'action et la prise en charge. Mots clés Obésité Obésité androïde Obésité gynoide Graisse viscérale Tour de taille Indice de masse corporelle Insulinoresistance Maladies métaboliques Maladies cardiovasculaires cancers الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي ِ ِهذهِالمالحظةِالمهمةِكانتِنقطة.أخرى ِبدايةِلدراساتِوِأبحاثِعلميةِمتعددةِما ِسمحِبتقديمِتفسيرِعلميِوِمنطقيِلهذا ِِِففرقِبينِنوعينِمنِالسمنة.الترابط ِاندرويدِالمتمركزةِفيِالجزءِالعلويِمن ِالجسمِوِجينويدِِالمتمركزةِفيِالجزء ِِوِسمحِبكشف,ِالسفليِمنِالجسم ِالعالقةِبينِاألمِراضِالسالفةِالذكرِوتراكم ِِوِسنتحدثِفيِهذا.دهونِاألحشاء ِالعملِالمتواضعِعنِدهونِاألحشاءِ’ما ِعوامل,ِهيِ’كيفِنستطيعِاكتشافها ِ. طريقةِتأثيرهاِوكيفِنقاومها,ِظهورها ِِالكلماتِالمفتاح ِِسمنة-ِِسمنةِالجزءِالعلويِمنِالجسم-ِالسمنة ِ-ِِدهونِاألحشاء-الجزءِالسفليِمنِالجسم ِِعامل-ِِمؤشرِكتلةِالجسم-محيطِالخصر ِِأمراض-ِِأمراضِاأليض-ِِاألنسولين-مقاومة ِ ِأمراضِالسرطان-ِالشرايينِوِالقلب www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Introduction l'obésité est un phénomène en croissance dans le monde entier et elle représente un facteur de risque dans les maladies métaboliques ,cardiovasculaires et cancéreuses . Et si on arrive à prendre en charge a temps l'obésité on réussit a éviter beaucoup de complications et d'évolution vers ces maladies. Il existe deux types d'obesité: L'obesité gynoide : qui intéresse les femmes surtout (en forme de poire)et qui se développe au niveau du tissu adipeux sous cutané périphérique , elle ne représente pas un vrai risque pour les maladies metaboliques et et dont les complications vont plutôt vers de surcharge ponderale sur les articulations et les veinnes (comme l'arthrose et des signes d'insuffisance veineuse). L'obésité androïde: qui intéresse surtout les hommes et les femmes en ménopause ( en forme de pomme) qui se voit au niveau du visage, epaule et surtout le ventre ou elle donne naissance a une graisse viscérale ou abdominale en excés et c'est cette graisse qui est responsable d'une complication des complications vers une maladie métabolique, cardiovasculaire ou même cancéreuse. Dans cet article on va parler de cette graisse viscérale dangereuse pour notre santé , comment la IMC 20-24.9 25-29.9 30- 34.9 35- 39.9 40 et plus FACTEURS DE RISQUES Si le facteur génétique joue un rôle important de prédisposition pour certaines personnes il y a d'autres facteurs plus importants et sur lesquels on peut agir qui sont surtout l'apport alimentaire excessif hypercalorique et déséquilibré plutôt vers les lipides et sucres raffinés, et le mode de vie sédentaire sans activité physique . METHODES D'EVALUATION DE LA GRAISSE VISCERALE: IMC: Tout d'abord il faut toujours évaluer l'état du sujet en utilisant la méthode du calcul définie par OMS qui est l IMC ( indice de masse corporelle) : IMC = poids/taille2 EVALUATION normal surpoids Obésité moderée Obesite severe Obesité morbide TOUR DE TAILLE ( perimetre abdominal ) : Mesure du tour de taille par un mètre ruban : midistance entre le rebord de la dernière cote et le bord supérieur de l'épine iliaque Plusieurs sociétés savantes utilisent ce critère et les limites retenues sont: IDF (international diabetes federation) la plus utilisée en europe : Sup a 80cm chez la femme ORTHO 22 detecter, quels sont les facteurs , et comment prendre en charge. Définition : La graisse viscérale est la graisse qui entoure les organes vitaux situés au ventre, l'excès de celle-ci se définie comme un état d'obésité ( IMC sup 35) ou surpoids (IMC sup 25 et inf 30) avec accumulation des adipocytes ou de la masse graisseuse en intra peritoneale au de la des normes ( 4 a 6 kg dans l'état normal). Sup a 94cm chez l'homme NCEP –ATP III ( usa ) : Supérieur a 88 cm chez la femme Supérieur a 102 cm chez l'homme CRITERES DU PR JEAN PAUL DESPRES (Québec): TT supérieur a 90 cm TG supérieur 1.5 g/l ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 083 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Au delà de ces seuils un bilan biologique est demandé: Gly supérieur a 1.10 g/l TG supérieur a p 1.50 g/l HDL inferieur a 0.40 g/l Rapport TT/TH TH se mesure entre les deux point trochanters les plus larges Ce rapport ne doit pas depasser 0.8 chez la femme et 1 chez l'homme Le rapport TT/TH un repere moin fiable que le TT qui est l'indicateur le plus important et il n'est plus retenu comme repere pour l'obesité abdominale IMAGERIE ABDOMINALE IRM ET TDM ABDOMINAL: Intéressante pour la détection et la surveillance de l'évolution mais ne donne pas de précisions sur la mesure en kilogramme puisque cette technique mesure juste la surface occupée. L'IMPEDANCEMETRIE: Plus facile et plus pratique par rapport a l'IRM abdominale, il s'agit d'un courant électrique qui passe le corps par des électrodes et qui donne des mesures en fonction de la densité des tissu et leurs résistances au courant et ca donne des mesures pour masse maigre ,masse hydrique et masse graisseuse. Donc en pratique et devant tout cas d'obésité ou surpoids on doit calculer l'IMC , mesurer le TT et si possible utiliser une pèse personne a impedancemetrie ce qui nous permet d'évaluer l'etat de ce sujet . PHYSIOPATHOLOGIE DE L OBESITE ABDOMINALE: Le tissus graisseux en excès (en dehors de l'état physiologique) se comporte comme une glande apocrine . les adipocytes du tissu graisseux abdominal libèrent de acides gras libres qui peuvent arriver au foie par voie veineuse et agissent sur le pénétration du glucose au foie et donc une hyperproduction de glucose par le foie , augmentation de TG ,LDL ,VLDL 084 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي et diminution du HDL et donc hypersécrétion d'insuline réactionnelle et avec le temps un épuisement des cellules B du pancréas et en conséquence un diabète type II. Ces acides gras libres sont a l'origine de la stéatose hépatique non alcoolique qui peut être l'origine d'un cancer hépatique. La libération des hormones cytokines pro inflammatoires ( TNF alpha et interleukines 6) par les adipocytes donne un syndrome inflammatoire chronique . La TNF alpha va entrainer une insensibilité à l'insuline et une lipolyse et donc libération des acides gras libres dans la circulation. Interleukine 6 va agir en augmentant la production des proteines de la phase aigue de l'inflammation ( CRP et fibrinogène ) . Les cytokines et acides gras libres entrainent une hyperproduction de fibrinogène par le foie et PAI-I par le foie ainsi que par les adipocytes et par conséquence un état prothrombotique. Libération de l'angiotensine responsable d'une augmentation de la tension artérielle. Les Adipocytes en cas d'obésité vont augmenter de taille et de nombre( hypertrophie et hyperplasie) ce qui change leurs propriétés initiales et parmi ces changement la diminution de la sécrétion de l'adiponectine cette hormone qui a un effet anti inflammatoire et anti athérogène secrétée par les adipocytes physiologiques a l'état normal et qui a aussi a des propriétés inhibitrices de la croissance tumorale et une action régulatrice sur l'apoptose cellulaire. L'insulinoresistane provoquée par les adipocytes abdominales va bloquer les voix métaboliques ce qui va induire une croissance cellulaire et réduire l'apoptose cellulaire et donc un effet cancérigène . PRISE EN CHARGE : La prise en charge de l'obésité abdominale fait partie de la prise en charge de l'obésité en générale et si on arrive a bien réduire cette graisse viscérale on évitera des complications vers une maladie métabolique, cardiovasculaire ou cancéreuse et ça www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE sera bénéfique pour la personne et toute la société en diminuant la facture sanitaire. Et si on peut pas changer les facteurs génétiques on peut influencer sur les autres facteurs et donc surtout et principalement les habitudes alimentaires et l'activité physique , Une hypothèse qui a été prouvée par une étude au canada nommé l'etude SYNERGIE par une équipe pluridisciplinaire du professeur disprés au centre de recherche de l'institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec , l'etude a était faite sur 144 hommes qui présentent un surpoids ou obésité avec obésité abdominale et bilan lipidique perturbé étalée sur trois ans et ca aboutit a une perte de poids juste en proposant un suivi nutritionnel selon les désirs de chacun sans grand changement de leurs habitudes et en proposant une activité physique adaptée a chacun parmi eux. Et ils ont remarqué que a la fin de ces trois ans les gens ont diminué leur apports caloriques en générale de 600 calorie par jour et ont augmenté leurs activités de 2000 pas par jour Les bénéfices sont: Diminution de 4 kg au moyenne du poids Diminution du tour de taille de 5 cm . Diminution de 18% de la graisse viscérale Augmentation de la tolérance au glucose Augmentation de la sécrétion de l'adiponectine a 68%. Et ceci sans aucune prise medicale et juste en changeant des habitudes alimentaire et en augmentant l'activité physique progressivement. Donc et devant toute obésité abdominale il faut faire une enquête alimentaire , généralement ces patients ont des mauvaises habitudes alimentaire ,et donc il ORTHO 22 faut détecter ces habitudes et expliquer aux patient que manger sainement et faire une activité physique même modérée mais régulière est le meilleur chemin pour éliminer cette graisse en excès , et les rassurer qu'ils ont pas besoin de faire des régimes restrictifs frustrants mais plutôt s'intéresser a la qualité des calories et éviter les "calories vides" qui se stoquent en graisse. REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES : Call EE , thun MJ . obesity and cancer .oncogene 2004 Diabetes and metabolism ( paris ) volume 26 /2000 elsevier masson Evaluation scannographique du volume de graisse viscerale ,de la volumetrie et de la densité hepatique chez le patient obese operé JFR 2009 .pierre paul arrigoni, eric letessier, eric frampas, benoit dupas Faire diminuer la graisse viscerale .nutranews mai 2010 Insensibilité a l'insuline et obesité ,robert eckel et scott grundy . diabetes voice vol 51 mai 2006 Les cahiers de formation continue du pharmacien , obesité abdominale dr jean michel borys ,dr françois dievart . nm 19 decembre 2006 L'obesité abdominale une maladie metabolique sous la direction jean pierre després . john libbey eurotext paris 2007 Obesité de l'adulte (support de cours) college des enseignants de nutrition 2010-2011 université medicale virtuelle francophone Obesity and mortality from cancer in a prospectively studies cohort of US adults N Engl J Med 2003 Perspective infirmiere pratique Clinique : le tour de taille une mesure qui en dit long septembre/octobre 2010 Post U 2013 Patrick hillon Site de l OMS ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 085 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE VITAMINE C, travers le monde, à avoir rejoint ce courant. la molécule oubliée Comment expliquer le silence qui entoure les succès spectaculaires obtenus par la vitamine C là où la médecine conventionnelle échoue ? Des intérêts privés sont-ils menacés par l’incroyable efficacité bactéricide et virucide de la vitamine C à fortes doses ? Peut-on guérir d'une tuberculose multi-résistante en quelques semaines ? Aucun antibiotique de dernière génération ne le permet. Les laboratoires pharmaceutiques ont perdu la partie... En 2013, un scientifique américain, le Pr. William Jacobs, fait une découverte inattendue et très étonnante : la vitamine C tue toutes les formes de tuberculose (en laboratoire) : http://www.einstein.yu.edu/news/releases/907/studyfinds-vitamin-c-can-kill-drug-resistant-tb/ Elle est publiée dans la prestigieuse revue "Nature Communications" en mai 2013. Un docteur algérien, Ilyes Baghli, supervise un traitement à base de doses massives de vitamine C par voie intraveineuse sur une jeune tunisienne atteinte de tuberculose multi-résistante, ma fiancée. Cinq semaines de traitement plus tard, elle est guérie! Ce cas ne relève pas du miracle, mais s'ajoute aux nombreuses guérisons obtenues avec une molécule naturelle et non brevetable : la vitamine C. Les propriétés de cette molécule administrée à fortes doses demeurent méconnues de la majeure partie du corps médical. Pourtant, depuis 70 ans elle guérit des patients atteints d'hépatites, de polio, de pneumonie, de leucémie, de radiations,La liste est longue. Les médecins qui ont obtenu ces résultats ont revue en profondeur leur pratique médicale. Le grand scientifique Linus Pauling, double prix Nobel, de chimie et de la paix, s’est joint à ces médecins en consacrant presque 40 années de travaux et d’études autour de la vitamine C et des autres nutriments essentiels. Il a donné un nom à ce courant : la médecine orthomoléculaire. Celle-ci s’appuie sur la nutrition et des molécules naturelles connues de l’organisme pour soigner et prévenir les maladies du siècle. Ils sont aujourd’hui plusieurs milliers de médecins et scientifiques, à 086 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي Ce projet de documentaire s’inscrit dans une démarche citoyenne, universelle, et solidaire. Il abordera des faits tangibles relayés par d’éminents spécialistes aux quatre coins du monde. Ces découvertes essentielles, ces expériences restées sous silence, pourraient à terme modifier l’approche conventionnelle de la médecine. Réalisons ce film ensemble, soutenez-nous en vous inscrivant à notre lettre d’informations, et en contribuant au financement du film référence sur la vitamine C ! Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=jN9kg_NwZfk Site internet : www.vitaminec-film.org Monaam Kraiem auteur <vitc-soutien.jpg><succes.jpg><histoire-vraie800.jpg><ensemble-800.jpg><enquete800.jpg><enjeu.jpg><doses-800.jpg> www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Chers Collègues, Je suis sur le point de constituer un comité scientifique de l'Institut Européen des Antioxydants. L'objectif du comité scientifique est d’évaluer, expertiser ou réaliser les projets relevant du domaine scientifique décrochés ou montés par l'Institut Européen des Antioxydants. Êtes-vous d'accord de faire partie ? Bien à vous http://ie-antioxydants.com/…/upl…/2013/08/iea-logo-web-2.jpg Nos experts - Comité scientifique de l’IEA Dr. Smail MEZIANE Institut Européen des Antioxydants (IEA) 2 Avenue de la Forêt de Haye, TSA 40602 54 518 Vandoeuvre les Nancy Cedex smeziani@ie-antioxydants.com www.ie-antioxydants.com ☎ : +33 (0) 3 83 59 61 77 ☎ : +33 (0) 6 01 30 27 66 Le comité scientifique de l’IEA est composé de chercheurs relevant de l’ensemble des disciplines susceptibles de s’intéresser au thématiques traitées par l’Institut Européen des Antioxydants (IEA) et qui lui apportent leur garantie scientifique. Ce dernier est placé auprès du président de l’Institut, est consulté par lui sur les programmes de recherche et sur les aspects scientifiques des programmes de développement technologique exécutés par l’Institut Européen des Antioxydants (IEA). Le comité scientifique donne son avis sur la cohérence d’ensemble de ces programmes et sur les priorités à accorder aux différentes propositions. Il procède périodiquement à l’évaluation des résultats obtenus. Le comité scientifique se réunit sur convocation de son président, le cas échéant à la demande du président de l’IEA. Président du comité Scientifique de l’IEA : Pr. Stéphane DESOBRY : Professeur ENSAIA/ Directeur de l’Ecole Doctorale 410 RP2E – conservation des aliments Membres : Pr. Michel LINDER : Directeur du laboratoire d’Ingénierie des biomolécules (LIBio) – Physico-chimie des lipides ; nanovectorisation Pr. Joël SCHER : Professeur ENSAIA/ Président de l’Acia Technologie – Rhéologie de poudres alimentaires Pr. ARAB-TEHRANY Elmira : Professeur ENSAIA – nanoparticules molles (liposome,émulsion) biomatériaux Pr. Gilbert HENRY-CRUSSOL : Président de l’Institut Antoine Béchampe, Ex-Interne Harvard Forsyth Center Boston (USA). Membre de l’International Academy of Oral Medicine and Toxicology Pr. Atsuo Yanagisawa : Président de la société Internationale de Médecine Ortho moléculaire (ISOM) Professeur et médecin japonais. Président de la Japanese College of IV Therapy Pr. Joël PINCEMAIL : Chercheur CHU de Liège – Expert Stress, oxydant et antioxydants Dr. Sylvie BANON : Maitre de conférence /université de Lorraine – Poudres laitières Dr. Florentin MICHAUX : Maitre de conférence /université de Lorraine – Physico-chimie Dr. Jordane JASNIEWSKI : Maitre de conférence /université de Lorraine – Chimie et Physico-chimie des Aliments Dr. Lionel MUNIGLIA : Maitre de conférence /université de Lorraine – Fonctionalisation Dr. Jeremy PETIT : Maitre de conférence /université de Lorraine – Physicochimie et génie des procédés alimentaires Dr. Mounir TAREK : Directeur de recherche CNRS – Théorie, Modélisation et Simulations Dr. Ilyes Baghli : Président de la SANMO – Medecin Dr. Claire KEVERS : Responsable du Centre de développement de l’invitro (CEDVIT) – université de Liège Dr. Laura SANCHEZ-GONZALEZ : Maitre de conférences Université de Lorraine – Biomatériaux, Encapsulation Pr. Rachid SOULIMANI : Professeur Université de Lorraine – expertise in Phytochemistry, Organic Chemistry, Analytical Chemistry http://ie-antioxydants.com/iea-3/nos-experts/ ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 087 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Who is the IEA, Institut Européen des Antioxydants? The IEA is an analysis, expert and consulting antioxidants platform to respond to any request in the field of antioxidants from the cosmetic industry, food, food supplements and pharmacology. Relying on experts in the sector, the platform develops a standardized method and an operating model analytical data to define a scale of antioxidant power, objective and easy to use. Thus, IEA will make available professional analytical tool and a unique expertise in Europe. Our Team, Institut Européen des Antioxydants : Smail Meziane, Co-Director of IEA et co-founder With his doctorate in Biotechnology and Food Processes (INPL-ENSAIA) and his Masters in Food Engineering (University of Haute Alsace), Smail Meziane gives the support for the IEA. His qualities as a researcher in conjunction with the Faculty of Medicine of Nancy and Biomolecular Engineering Laboratory (LIBio) from the University of Lorraine allow him to be competent in the procedures applied by the IEA about antioxidants. His work force and his vision will be essential qualities for the development of the IEA. Stéphane DESOBRY Co-Director of IEA et co-founder Stéphane Desobry is professor in the Laboratory of Biomolecular Engineering (LIBio – ENSAIA – University of Lorraine). He specializes in the stabilization and preservation of food. This activity led him to study the antioxidant activity of many biomolecules of physic-chemical point of view. 088 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي He served as laboratory director and vice-president in charge of overseas university. He is now president of the center of excellence in Science and Technology Life FABELOR (Ministry of Agriculture, food and fisheries). This division includes the activities related to biological sciences in Lorraine in the sectors covered by the Ministry of Agriculture. FABELOR brings together 400 researchers in the fields of forestry, food, water and the environment. He is an expert with the ANR for evaluating national research projects and FP7-SME Expert in Brussels for the evaluation of European projects of the 7th Framework research and development program since 2011. Finally, he was winner of the national competition for the creation of innovative enterprises (category creation Development) in 2007 -. Genialis Enterprise (PME active in Bourges). He did a period of research postdoctoral in the USA (University of Minnesota), as part of a delegation sustained by OTAN in 1996. SOLUTIONS Today, there are many methods to determine the antioxidant activity of cosmetic preparations, pharmaceutical and food. The proposed by the Institut Européen des Antioxydants based on a comprehensive set of evaluation methods antioxidant potential. The IEA is the only organization to offer all existing methods – controlled and currently recognized (DPPH, TEAC / ABTS, ORAC, FRAP, TRAP, TOSC, …) – to put at the service of industry. Who is the IEA priority The industries sectors : 1. Cosmetic 2. Food 3. Nutraceutical 4. Pharmaceutical Our services : To characterize the products (active ingredients, plant extracts …) for better recovery, the IEA will www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE assist you in the valuation of your different 2. The finality of the IEA experts is to understand matrices (food and beverages, cosmetics and the relationship between the applied method biological samples) to develop innovative and the biological activity of bio-molecules preparations for various applications (food, used (emulsion, liposome, micelle …) cosmetic, pharmaceutical or nutracetical). With The activity of the IEA is to develop expertise in his experience, the team of the IEA has the characterization of potential antioxidant of developed its own analytical methods for: active ingredients or preparations for potential The dosage, characterization and applications as well as recommend antioxidant identification of the new molecules with molecules suitable for the formulation of a antioxidant activity by UV-visible product. There are many methods for spectroscopy (global polyphenols (Folin- determining the antioxidant activity of food, Ciocalteu), flavonoids (aluminum trichloride), pharmaceutical and cosmetic preparations. The specific polyphenolic markers (HPLC)). IEA offers a pool of assessment methods Structural determination (mass mastered antioxidant potential and currently spectrometry, RMN) recognized (DPPH, TEAC / ABTS, ORAC, FRAP, TRAP, TOSC, CL ) and on demand. To improve an existing product or develop a new product, the IEA team, with its experience in formulation (food, cosmetics, pharmaceutical and nutracetical) accompanies you throughout the development of the formulas, the first test laboratory until the industrialization phase. Our database includes the main active molecules used by professionals. We recommend molecules (antioxidants) to suit your formulation and accelerating development of a more efficient manner. 1. The tools developed in recent years allow us to give you the validation of the effectiveness and prediction of bioavailability of active molecules of the final formulation. ORTHO 22 In addition to the methods mentioned above, the IEA offers a unique index PAOT « Total Antioxidant Power » being standardized in Europe. The PAOT developed by the IEA, you will: Justify with a benchmark incontestable, the claims for processed products, Optimize your dose of antioxidants during product development (effectiveness, ingredient costs) Make a product quality control, Allow to objectively classify the different matrices by their antioxidant power, ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 089 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Mention allegations (Health, Nutrition) on your packaging. bloodstream, the IEA puts at your disposal various tools such as cellular model CACO -2 (EX VIVO). The tools developed in the IEA (in vitro, ex vivo), predict the performance and the absorption of the active principles (antioxidant) in vivo. The IEA’s mission is to support professionals in the food industry, nutracetical, pharmaceutical and cosmetics in providing advice in the field of antioxidants and development of arguments on the formulated products (bibliographic studies, publications, patents …). To communicate effectively, you must know the rules and analyze the strategies of its main competitors. Antioxidants communication is fixed by regulation and has a strict condition that must be obeyed. Our database and our regulatory syntheses scope (food, nutraceutical, pharmaceutical and cosmetic), allow you to take and understand the requirements and expectations of antioxidants in effect for your area activity. The IEA proposes you to valorize your product in front of your customers. If you want: Mentioning the allegations (Health, Nutrition) on your packaging Putting your products in priority at the market Evaluate and validate the effectiveness of your products If you want to know the bioavailability of your active principles (antioxidants) in your various matrices or understand their kinetic absorption across biological barriers to reach the 091 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 090 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Prof. (Dr.) Balvir S. Tomar M.B.B.S., M.D., M.C.H.(USA), M.I.A.P., M.A.H.T.(ENGLAND) F.I.A.P.(USA), F.A.A.P.(USA), F.I.C.A.(USA), F.A.C.U.(LONDON) Pediatric-Gastroenterology: Kings College Hospital School of Medicine University of London, London (England) Ped.Nutrition: Harvard University (USA) W.H.O. Fellow in Child Health in United States of America Common Wealth Medical Fellow in London (England) Professor and Head Department of Pediatric Gastroenterology & Hepatology President Society of Pediatric Gastroenterology, Hepatology, Transplant & Nutrition Director Institute of Pediatric Gastroenterology and Hepatology Director Institute of Organ Transplant Director Institute of Nutrition and Public Health (INPH) Chair Institute of Stem Cells and Regenerative Medicine Chancellor Nims University, Jaipur Member Medical Council of India 092 Prof (Dr.) Balvir S. Tomar – Chancellor Nims University a dynamic, versatile, charismatic and multidimensional personality is a Professor of Pediatric Gastroenterology, Hepatology & Nutrition, Director-Institute of Pediatric Gastroenterology, Hepatology & Nutrition, Director – Institute of Organ Transplant, Chair – Institute of Stem Cells and Regenerative Medicine and a teacher of immense caliver and repute. He was born in the holy city of Varanasi, India, in a renowned family of educationists & doctors which shaped thus predestined his future and purpose as a Medical professional. Prof (Dr.) Balvir S. Tomar had been facilitating strategic planning and initiatives such as: enhancing career development and producing opportunities for all faculty members; promoting faculty diversity creating the Office of Academic Integrity in the University. Prof (Dr.) Balvir S. Tomar has been widely admired for dynamic leadership qualities. He is doing philanthropic work by establishing research center of national repute in many areas, dedicated to nation for the service of society. He invented treatment therapy by the D-penicillamine for the deadly disease called “Indian Childhood Cirrhosis”. This had been a major research project published in “Advances in paediatrics”. Over the years, the duty of the Chancellor has multiplied dramatically. Prof (Dr.) Balvir S. Tomar remains focused on and rooted in academics, but the job entails much more. He is promptly not leaving any stone unturned in establishing Nims University and its research team at par with the world. الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Dr. Harland S. Winter USA Dr. Ron Shapiro USA Dr. Alejandro Flores USA Dr. Michael J. Wilsey USA Dr. Jose Dondis Panama Dr. I.F. Cameron USA Dr. Stuart Kaufman USA Dr. Nirav K. Desai USA Dr. Nanda Kerkar USA Dr. Sheerin Eyre Jamaica Dr. Anil Darbari USA Prof. Sander Florman USA Dr. Kathleen Schwarz USA Dr. Michael Stephens USA Dr. Eduardo Sagaro Cuba Dr. Rohit Kohli USA Dr. Shehzad Saeed USA Dr. Richard B. Colletti USA Dr. Vibha Sood USA Dr. Vivianne Anido Escobar Cuba Dr. Khyati Mehta USA Dr. Ronald J. Sokol USA Dr. Ryan Carvalho USA Dr. Simon S Rabinowitz USA ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ Dr. David Mack Canada www.orthomoleculaire.org 093 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Dr. Robert Mark Beattie UK Dr. Nikhil Thapar UK Dr. Christopher A Birt UK Dr. Jorge Amil Dias Portugal Dr. Claudio Romano Italy Dr. Nedim Hadzic UK Dr. Neil Shah UK Dr. Marianne Samyn UK Dr. Piotr Socha Polland Dr. Antonino Appignani Italy Prof. Richard ThompsonUK Prof. Catherine GeisslerUK Dr. Christian P. Braegger Switzerland Prof. Jan Taminiau Netherland Dr. Denes Molnar Hungary Dr. Anita Verma UK Dr. Maesha DeheragodaUK Prof. Dr. Irinel Popescu Romania Dr. M.A. Benninga Netherland Prof. Alexandra Papadopoulou 0Greece Dr. Babu Vadamalayan UK Dr. Paul J Ciclitira UK Dr. Madalina Mezel Romania Dr. SSA Elisa Magrini Italy 094 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org Dr. Ulrich Baumann Germany ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Dr. Berthold V. Koletzko Germany Dr. Sanja Kolacek Croatia Prof. Le Thi Huong Vietnam Dr. Nazir Ibrahim Syria Dr. Khalid A. Al-Madani Saudi Arabia Dr. Claus Petersen Germany Dr. Iva Hojsak Croatia Dr. Altinoy Kamilova Uzbekistan Dr. D.G. Harendra de Silva Sri Lanka Dr. Ahmed S. Alamri Saudi Arabia Prof. Milan Lukas Czech Republic Dr. Yvan Vandenplas Belgium Dr. Ashish S. Patel USA Dr. Shaman Rajindrajith Sri Lanka Dr. Majdi AlToukhi Saudi Arabia Prof. Jiri Bronsky Czech Republic Dr. Jorg Jahnel Austria Dr. Ender Pehlivanoglu Turkey Dr. Marion Margaret Singapore Dr. Juliet Sio-Aguilar Philippines Dr. Tena Niseteo Croatia Prof. Le Thi Hop Vietnam Dr. Ozlem Durmaz Turkey Dr. Mohd. EI Mouzan Saudi Arabia Dr. Elizabeth G. Martinez Philippines ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 095 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Dr. Ghaleb Zughayar Palestine Dr. Zulkifli Ismail Malaysia Prof. Osamu Yokosuka Japan Dr. Ana Katz Israel Prof. Jian She Wang China Dr. Yasir Waheed Pakistan Dr. Fawaz Alrefaee Kuwait Prof. Raanan Shamir Israel Prof. Majid Hajifaraji Iran Prof. M. Shahidullah Bangladesh Dr. Aisha Mehnaz Pakistan Dr. Ahlam Mustafa Kuwait Dr. Irit Poraz Israel Prof. Gholamreza Khatami Iran Dr. Mohammed Masudur Rahman Bangladesh Prof. Chinburen J. Mongolia Dr. Ihab Shehadeh Jordan Dr. Emanuel Lebenthal Israel Dr. Nasiri Toosi Iran Dr. Mohamad Iqbal Hossain Bangladesh Dr. Mureo Kasahara Japan Dr. Manuel Katz Israel Dr. Ali Jafarian Iran Dr. Mark Oliver Australia Prof Way-Seah Lee Malaysia 096 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Dr. Ajay Sharma Australia Dr. Khawaja Qamaruddin Sediqi Afghanistan Dr. Abdul Jalil Wardak Afghanistan Dr. Huniades Urbina Medina Venezuela Dr. Rosa Mayor Oxilia Paraguay Dr. Helga Verena Maffei Brazil Dr. Cecilia Zubiri Argentina Prof. Alaoui Rhimou Morocco Dr. Eduardo Weiss Hebel Chile Dr. Themis Silveira Brazil Dr. Isidoro Joaquin Kohn Argentina Prof. Abdellatif Bour Morocco Dr. Sergio Rubel Cohen Chile Dr. Marina Orsi Argentina Dr. Kenneth Kabagambe Uganda Prof. Rekia Belahsen Morocco Dr. Sylvia Cruchet Chile Dr. Laura Sole Argentina Dr. Etienne Nel South Africa Prof. KABBAJ Loubna Morocco Dr. Gilda Porta Paulo Brazil Dr. Adriana Fernandez Argentina Dr. Elmi Muller South Africa Dr. Baba Koumare Mali Dr. Juan F. Rivera Medina Peru ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 097 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Mr. Theobald Owusu Ghana Mr. Damasus Suglo Ghana Dr. Shereen Lotfy Nassef Egypt Dr. Berthier NSADI FWENE Congo Dr. Cecil Kwaku Dovia Ghana Dr. Eman Mohamed Salem Egypt Prof. Alain BOUGOUMA Burkina Faso Dr. Ilyes Baghli Algeria Acute Liver Failure - Diagnosis and Management Autoimmune pancreatitis Avoiding malnutrition in hospitalized children Bile acid transport and regulation Biliary atresia long term outcome Biomarkers of nutritional status Cholestasis Chronic Viral Hepatitis- B and C Chronic Viral Hepatitis- Vitamin A and E Clinical approach to metabolic liver disease Coeliac disease - ESPGHAN Consensus Congenital enteropathies Disorders of carbohydrate glycosylation Early nutrition and risk of obesity Endoscopy Eosinophilic gut disease GERD in children - ESPGHAN consensus - Yvon Vandenplaus Gut microbiota Hereditary pancreatitis Human hepatocyte transplantation IBD- Crohn's Modern management NASPGHAN IBD -Ulcerative colitis - NASPGHAN Immunosuppression and Medical Complications Intestinal failure and its medical management Intestinal failure associated liver disease Intestinal failure surgical treatment Intestinal Transplantation iPS derived hepatocytes limitations and future perspective LAL deficiency Liver Transplantation Management of acute pancreatitis Management of cholestasis to include experimental drugs and surgery Mesenchymal stromal cells for IBD/Ch GVHD Mitochondrial disorders of liver Motility disorders diagnosis and management NASH in children Nutrition and Pancreas Nutritional management of cholestasis Outcome of liver transplantation for PFIC Parentral nutrition hospital and home Portal Hypertension-Chronic liver disease Portal Hypertension-EHPVO Progressive familial Intrahepatic cholestasis syndromes Quality of life and longterm outcome Small molecules in liver disease Stem cell transplantation for intestinal regeneration Surgical complications Timing of listing for transplantation Transition to adulthood with liver disease and liver transplant Wilson's disease 098 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE du 13 octobre 2016 à 00:01 au 15 octobre 2016 à 23:59 (CDT) IVC ACADEMY SYMPOSIUM Hotel At Old Town Wichita USA ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 099 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE PROTOCOLE 1 SANMO Selon une démarche scientifique ayant combiné le protocole de RIORDAN utilisant la vitamine C, appliqué aux USA et au Japon et la méthode du Pr George BIRKMAYER appliqué en Autriche utilisant le NADH ! Suite à l'étude réalisée au Laboratoire de Biologie de l'Université de Tlemcen combinant le NADH et la vitamine C dans la protection d'une culture de cellules lymphocytaires vis à vis des pesticides. Suite aux dernières études présentant l'intérêt du sélénium combiné à la méthionine, la cystéine ou à des vitamines dans la prévention du cancer du sein et des ovaires réalisée aux USA. Suite à l'application du PROTOCOLE 1 de la SANMO combinant ces trois méthodes: 211 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي - Méga-dose de NADH: 160 mg par jour ! - Méga-dose de vitamine C: 5 grammes/jour pour la forme lypo-sphérique ou 75 grammes deux fois par semaine pour la forme injectable par voie intra-veineuse. - Une dose quotidienne de 200 ug de sélénométhionine, suite à l'absence d'effets secondaires pour ces trois produits thérapeutiques. Tout ce protocole est proposé durant 03 trois mois comme traitement d'attaque. Des cas de guérison totale sont enregistrés, avec preuves par IRM. Disponibilité de ces patients pour témoigner Ce protocole, dénommé PROTOCOLE 1 de la SANMO, dans le traitement du cancer et certaines maladies chroniques dégénératives telle que la maladie d'Alzheimer et la sclérose en plaque est proposé pour le bien des patients et de l'évolution de l'approche thérapeutique. Respectueusement. Dr Ilyes BAGHLI. Président de la SANMO. Membres du Conseil Scientifique de la SANMO ayant apporté leur approbation à ce protocole:Pr Thomas Edward LEVY - Pr Glibert Henri CRUSSOL - Pr Smail MEZIANI - Pr Mustapha OUMOUNA - Pr Chafika MEHDID - Pr Hafida MERZOUK - Pr George BIRKMAYER - www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE EVENTS CONEM Council for Nutritional and Environmental Medicine 2015-07-19 9:23 UTC+02:00, Geir Bjorklund <geir@vitalpress.no>: Dear Dr. Ilyes Baghli, On behalf of the Board of CONEM, I'm pleased to invite you to become a director of our association. We have great need of your experience in organizational development. I, therefore, sincere hope that you will accept this invitation. Most of the contact is by email. You do not need to travel anywhere to attend our board meetings. However, maybe we in the future can meet once a year in Algeria at one of SANMO’s congresses. I'm looking forward to hearing from you soon. Best regards, Geir Geir Bjørklund, Founder and President Council for Nutritional and Environmental Medicine Toften 24 8610 Mo i Rana, Norway Email: bjorklund@conem.org or geir@vitalpress.no URL: www.conem.org Subject: Invitation to become a board member of CONEM Dear Mr The President: Dr. Geir Bjorklund ! It is with honor and sense of responsablity that I accept your invitation to become a Director of CONEM. Thank you to tell me my responsibilities and tasks that I have to take! Welcome to the 23 'seminar of SANMO from 23 to 24 October 2015 in Algiers or to the following seminars in Algiers: 27-28 November 2015. 22-23 January 2016. 25-26 March 2016. 24-25 June 2016. Welcome! Respectfully. Dr Ilyes Baghli. President of the SANMO Member of the CONEM. http://www.conem.org/people/africa/ (member listing) http://www.conem.org/about-conem/branches/ (The Algerian Branch of CONEM, SANMO) NEW BRANCH OF CONEM IN ALGERIA APRIL 27, 2015 BY ADMIN LEAVE A COMMENT The number of members of the Council for Nutritional and Environmental Medicine (CONEM) is growing, and its representation is being surely spread. On the 13th March this year, CONEM was enriched by a new branch member – the Algerian Society for Nutrition and Orthomolecular Medicine (SANMO). This society was founded in 2009 by Ilyès Baghli, MD, who has recently been reelected to the presidency of this society. SANMO’s mission is education in and promotion of the science of nutrition and orthomolecular medicine, including those via TV and press conferences and publication of newsletters and books on orthomolecular medicine. Presently, there are over 120 members of SANMO in Algeria. Let us all congratulate and welcome SANMO as an Algerian branch of CONEM! CONEM Council for Nutritional and Environmental Medicine 0 ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 210 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE BIENVENUE A ICNM 2016 CONFERENCE ANNUELLE BARCELONE 1-3 Juillet 2016 Le Congrès International de Naturopathie ICNM est le plus grand événement fédérateur qui réuni les experts de Naturopathie et de différentes disciplines de la santé naturelle venus de plus de 50 pays. Ce grand Congrès mondial est à destination des professionnels de santé naturelle et d'un public averti qui souhaite apprendre, échanger et rencontrer les personnalités les plus en pointe de la médecine naturelle. ICNM est une organisation professionnelle mondiale formée d’experts en médecine naturopathique et de centres d'études dont la mission est de promouvoir la santé par l’éducation, l’échange, et le partage de connaissances à un niveau global. Le thème 2016 "Prévention Globale: Le rôle de la Naturopathie dans les Maladies Chroniques" : 500+ Professionnels de la Médecine Naturelle 160 Organisations Affiliées, Sociétés Savantes & Universités Partenaires 50 Pays représentés 40 Conférenciers, Chercheurs, Professeurs de Naturopathie mondialement reconnus 1 Famille Naturopathique ICNM Contact ICNM Executive Congress Chair/Président Ms AM NARBONI, B.A.Com, ND icnmcongress@gmail.com 212 http://fr.icnmnaturopathy.eu/ الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي ICNM Congress Secretariat Ms Indiara ROMERA secretariat@icnmnaturopathy.eu www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE 45th Annual International Orthomolecular Medicine Today Conference The Annual International Orthomolecular Medicine Today Conference is a continuing education event for MDs, PhDs, Pharmacists, NDs, RNs, and other health professionals. Leading physicians and researchers present five sessions on current advances in orthomolecular medicine. To complement the educational experience, the Conference features an exhibit area for North America’s leading manufacturers and suppliers of orthomolecular products and services. The Conference is presented by the International Society for Orthomolecular Medicine, which brings together orthomolecular associations established in 20 countries around the world. The orthomolecular research initially done on nutrition in relation to mental health has expanded over the years to all areas of health care from cardiovascular disease to cancer, from AIDS to Alzheimer’s. This work has been published since 1968 in the Journal of Orthomolecular Medicine. The ISOM and its affiliates sponsor professional and public education programs, including the Orthomolecular Medicine Today Conference, now in its 45th year. SESSION ONE – ORTHOMOLECULAR PSYCHIATRY – FRIDAY, APRIL 29 .Robert Whitaker (Massachusetts, USA) – Annual Abram Hoffer Memorial Lecture Anatomy of an Epidemic: The History and Science of a Failed Paradigm of Care Ron Hunninghake, MD and Anne Zauderer, DC (Kansas, USA) Optimal Kids: Improving Children’s Learning, Moods and Behaviour SESSION TWO – ORTHOMOLECULAR PSYCHIATRY – FRIDAY, APRIL 29 ORTHO 22 Felice Jacka, PhD (Melbourne, Australia) – Dr. Rogers Prize Lecture The Microbiome in Psychiatry: Diet as a Prevention and Treatment Strategy Across the Lifespan Bonnie Kaplan, PhD (Alberta, Canada) Why Treating Mental Illness with Minerals and Vitamins Makes Sense Judith Pentz, MD (New Mexico, USA) Searching for Wholeness in a Broken World: One Woman Psychiatrist’s Journey SESSION THREE–ORTHOMOLECULAR PSYCHIATRY– SATURDAY, APRIL 30 Michael Gerber, MD (Nevada, USA) 40 Years in Integrative and Orthomolecular Medicine Kazuhiko Kono, MD (Aichi, Japan) Orthomolecular Therapy for Dementia: The Kono Method Laurie Mischley, ND, MPH (Washington, USA) Positive Deviants with Parkinson’s Disease SESSION FOUR – GENERAL ORTHOMOLECULAR MEDICINE – SATURDAY, APRIL 30 Walter Lemmo, ND (British Columbia, Canada) Low-Dose Vitamin C IV and Promising Technologies Thomas Levy, MD, JD (Colorado, USA) – Annual Evan Shute Memorial Lecture : Controversies in Nutrition: Oral Pathogens as a Common Cause of Chronic Disease SESSION FIVE–ORTHOMOLECULAR ONCOLOGY– SUNDAY, MAY 1 International Society for Orthomolecular Medicine (ISOM) Annual Meeting Michael Gonzalez, PhD (San Juan, Puerto Rico) Mitochondria and Cancer: The Bioenergetic Theory of Carcinogenesis Jorge Miranda Massari, PharmD, RPh (San Juan, Puerto Rico) Improving Vitamin C in Cancer ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 213 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE 214 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE LAUREATS Drs ORTHO-DZ SANMO-ISOM DE FORMATION CONTINUE EN NUTRITION ET EN MEDECINE ORTHOMOLECULAIRE Abdelhamid BENCHARIF Amina LAGGOUN–BOURADA docmina25@yahoo.fr ahbencharif@hotmail.com Abdelkrim DJERRAD Assia GHEMATTI ncouf@hotmail.com Faiza ZOBIRI faizazobiri@yahoo.com Fatima LATRECHE hayetzitoun@gmail.com Leila MOUZALI mouzl66 @yahoo.fr Hocine AROUA Linda OULDSAADI aroua.hocin@gmail.com l.ouldsaadi@hotmail.fr Hayat ZITOUN dr.latrfat20@hotmail.com Mohamed MAROUF-ARIBI mar-bio-tp@live.fr Salima-Aicha EL-MANSALI Salima.elmansali@gmail.com Mohamed-Rachad BOUMOKOHLA sachad@live.fr Souad HAMADI souad_hmd@yahoo.fr Salima TOUATI merymanel@live.com Souad MAACHOU smaachou@hotmail.fr abdkadjerrad@gmail.com Ilyes BAGHLI Baya KEBIR Abdelkrim TAFAT-BOUZID tafatbouzid@hotmail.com kebir_baya@yahoo.fr Lotfi BENMANSOUR Nabila LADDI ilyesbaghli@gmail.com lotfi_benmansour2000@yahoo.fr laddinabila@yahoo.fr Karima BENHAGOUGA Lotfi RAHAL lotfira@gmail.com Nabila OUMEDJKANE Fatima-Zohra AMIA Samia BOUSBIA MESSIKH Tahar NAILI bousbiasamia@yahoo.fr nailidoc@yahoo.fr Samira OUMEDJKANE docbeesam23@hotmail.fr Tewfik BENHADJI-SERRADJ Siham ANNOUN Toufik HENTABLI danke25@live.fr Abdellah DIB Abdellahdib13@yahoo.fr Cherif HAMADOUCHE DRHAMADOUCHE1@hotmail.fr Hafeda GHORZI mesocom@hotmail.com noumedj14@yahoo.fr hafeda.g@gmail.com Abdellah KESSI Dahbia MAHIDDINE kessi.abdellah@yahoo.fr Mahiddine.dahbia@hotmail.com Hafida ZOUBIR Karima MALLOU jinjer@live.fr Lynda KACI-MEZIANI meziani_lynda@yahoo.fr Nacima CHILA cima12@hotmail.fr maazizou@yahoo.fr Aicha TAYAR tayarimene@yahoo.fr Djamel OULDSADSAOUD ossd2008@hotmail.fr Hakima AIT-HAMMI Khadidja AISSANI-IOUALEN dr.aissani@hotmail.fr Mahmoud AROUA Naima BEY-MOULAI arouamahmoud@yahoo.fr moulainaima@yahoo.fr ahakima2008@yahoo.fr Ali ASBAÏ ali.asbai@yahoo.fr Djamila-Leïla BENAZZA benadja97@yahoo.fr Halima GASMI-BENNOUR gasmi_halima@yahoo.fr Dounia KHOUALDIA Amel KORRICHI dina_kh14@yahoo.fr k_amel_1@gmail.com/ Amin GASMI gasmi.amin@yahoo.fr Larbi DJAKRIR Malika BENHAFSIBENBOUZID Nesrine SEDJELMACI benhafsi.malika@hotmail.fr sedjelmacinesrine@hotmail.fr larbi16d@hotmail.fr Hamza-Amanoullah MEKRI Latifa KHEMMAR Hmz42@yahoo.fr lati_hanouna@hotmail.fr7 Missoum FERHAT missoum.ferhat@hotmail.fr Noureddine BENYOUB benhadji_tewfik@yahoo.fr toufikhentabli@yahoo.fr medsissi@hotmail.fr Sidi-Mohamed MOSTEFA Toufik SAADOUN dr.mostefa.mi@gmail.com Toufiksaddoun55@yahoo.fr Slimane ADDAR Zahoua BRAÏ slimaneaddar@yahoo.fr zahoua.brai@yahoo.fr Smail BOUKKERAS Zineb-Nesrine BEKKARA benyoub468@yahoo.fr bek.nesrine@yahoo.fr Fadila-Djazia AITOUAZZOU aitouazzoufadila@gmail.com ORTHO 22 Leila HOCINE Hanifa BRAHIMI h.brahimi1@laposte.net linabio22@hotmail.fr Mohammed BILLAMI Sabah SALHIGUENANE Medbila@gmail.com s_guenane@hotmail.fr ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ Sofiane TAKHRIST taksof@hotmail.fr Zohra SIDENNAS zohrased@hotmail.fr www.orthomoleculaire.org 215 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE LAUREATS ORTHO-DZ SANMO-ISOM DE FORMATION CONTINUE EN NUTRITION ET EN MEDECINE ORTHOMOLECULAIRE ncouf@hotmail.com - L’ALOE VERA OU LA PLANTE MEDECIN – BUL. 9 ORTHO page 108.- Vol.2 ORTHO-DZ p.820-825 Abdelhamid BENCHARIF Médecin Alger. 16000 ALGERIA ahbencharif@hotmail.com LES PROBIOTIQUES / BUL. 6 ORTHO p. 61-72.- Vol.2 ORTHO-DZ p. 679-690 - Abdelkrim DJERRAD Médecin–El-Eulma Sétif19001 ALGERIA abdkadjerrad@gmail.com LE NAVET -BUL. 11 ORTHO p. 166.- Vol.2 ORTHO-DZp.906-909 Abdellah DIB Médecin–Tlemcen.13000 ALGERIA Abdellahdib13@yahoo.fr -LA FIGUE ET L’OLIVE-BUL. 7 ORTHO page 121.- Vol.2 ORTHO-DZ p.763 -BIEN ETRE AU TRAVAIL -BUL. 15 ORTHO p. 43-50-L’EAU C’EST LA VIE BUL. 7 ORTHO page 123.- Vol.2 ORTHO-DZ p.765-770 -LA CHICOREE SAUVAGE BUL. 7 ORTHO page 122.- Vol.2 ORTHO-DZ p. Vol.2 ORTHO-DZ p.764 - 216 Abdellah KESSI Médecin – Alger.16000 ALGERIA kessi.abdellah@yahoo.fr L’INSULINORESISTANCE. BUL. 2 ORTHO page 58.- Vol.1 ORTHO-DZ p.613- Dr. Allam ZERRAGHI Médecin généraliste allam_1969@yahoo.fr EVALUATION DE L’ETAT NUTRITIONNEL D’UNE POPULATION CARCERALE Bul. ORTHO 20 p.138-144 Amel KORRICHI Biologiste- Bordj Bou Arreridj.34000 ALGERIA k_amel_1@gmail.com/ LES VERTUS THERAPEUTIQUES DE L’ARMOISE BLANCHE -BUL. 16 ORTHO p.100-106- Vol.3 ORTHO-DZ p الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي Aicha DAHMANI Médecin à Alger lynda.dahmani@yahoo.fr LA CANNELLE : UNE EPICE POPULAIREMENT UTILISEE AUX SURPRENANTES VERTUS MECONNUES ! Bul. ORTHO 21 pp.160-167 Aicha TAYAR Médecin – Alger.16000 ALGERIA tayarimene@yahoo.fr -LES DESEQUILIBRES NUTRITIONNELS - MALADIES AUTO-IMMUNES ET APPORT DE LA MICRO-NUTRITION BUL. 2 ORTHO page 41.- Vol.1 ORTHO-DZ p.528-LES VITAMINES EN PREVENTION / BUL. 6 ORTHO pages 94-103.- Vol.2 ORTHODZ p. 712-721 Assia GHEMATTI Médecin – Ain-Taya ALGER 16019 ALGERIA Amina LAGGOUN–BOURADA Médecin – Alger.16000 ALGERIA docmina25@yahoo.fr L’EUCALYPTUS -BUL. 7 ORTHO page 132.- Vol.2 ORTHO-DZ p.774-775 - Amin GASMI Diététitien –Paris.-France -gasmi.amin@yahoo.fr -EFFET DE VINGT JOURS DE SUPPLEMENTATION EN VITAMINE C SUR LE RENDEMENT PHYSIQUE DES TAEKWONDISTES MASCULINS DE HAUT NIVEAU. -BUL. 10 ORTHO pages 79-89.- Vol.2 ORTHO-DZ p. 842-852 -IMPACT DE LA SUPPLEMENTATION EN CREATINE MONOHYDRATE SUR L’AMELIORATION DE LA QUALITE DE FORCE MAXIMALE CHEZ LES PRATIQUANTS DES SPORTS DE MUSCULATION -BUL. 4 ORTHO pages 105-113.- . Vol.1 ORTHO-DZ p.570 www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Djamila-Leïla BENAZZA Médecin- Sidi-Bel-Abbès.22000 ALGERIA benadja97@yahoo.fr STEVIA -BUL. 2 ORTHO page 63.- Vol.1 ORTHO-DZ p.626- Baya KEBIR Médecin- Sidi-Bel-Abbès. 22000 ALGERIA kebir_baya@yahoo.fr DIABETE-HISTOIRE -Bul. 18 Ortho page124-128 Dahbia MAHIDDINE-SOUCI Médecin- Alger.16000 ALGERIA Mahiddine.dahbia@hotmail.com -HUILE DE GRAINES DE LIN BUL. 3 ORTHO page 134-136.Vol.1 ORTHO-DZ p.521-LE KEFIR, LA BOISSON AUX MILLES VERTUS - BUL. 3 ORTHO page 137- Vol.1 ORTHO-DZ p.525 -OBESITE - BUL. 2 ORTHO page 54.- Vol.1 ORTHO-DZ p.513-VITAMINE C ET TRAITEMENT DU CANCER - BUL. 3 ORTHO page 91- Vol.1 ORTHO-DZ p.518- Djamel OULDSADSAOUD Médecin –Bouira.10000 ALGERIA ossd2008@hotmail.fr LE SECRET DE LA LONGEVITE BUL. 15 ORTHO p.59-61 - ORTHO 22 Dr. Dounia KHOUALDIA Medecin Généraliste Diabetologue Echographiste Nutrithérapeute Installée A Annaba Kh Dina <dina_kh14@yahoo.fr> Faiza ZOBIRI Médecin –Alger.16000 ALGERIA faizazobiri@yahoo.com L’AIL - BUL. 17 ORTHO p. 192195 - Fatima LATRECHE Médecin- Chlef.02000 ALGERIA dr.latrfat20@hotmail.com LA LEPTINE -BUL. 10 ORTHO pages 72-78.- Vol.2 ORTHO-DZ p. 835-841 - Hafida ZOUBIR Médein –Alger.16000 ALGERIA maazizou@yahoo.fr LE SON D’AVOINE -BUL. 10 ORTHO pages 113-117.- Vol.2 ORTHO-DZ p. 876-880 ORTHO 21/ FRAISE p.168-205 Fadila-Djazia AIT-OUAZZOU Médecin- Tizi-Ouzou.15000 ALGERIA aitouazzoufadila@gmail.com LA FIGUE: FRUIT BENI ET MILLENAIRE/ BUL. 6 ORTHO pages 136-140.- Vol.2 ORTHODZ p.754-758 - Hafeda GHORZI Biologiste –Tlemcen.13000 ALGERIA hafeda.g@gmail.com LA SUPPLEMENTATION DU REGIME HYPERLIDIQUE (CAFETERIA) EN L’HUILE DE LIN REDUIT LA PRISE DE POIDS ET AMELIORE LA GLYCEMIE ET LE PROFIL LIPIDIQUE CHEZ LES RATS FEMELLES WISTAR - BUL. 3 ORTHO page 92-98. - Vol.1 ORTHO-DZ p.544- Fatima-Zohra AMIA Pharmacienne –HadjoutTipaza.42001 ALGERIA danke25@live.fr HYPERCALCIMIE MEDICAMENTEUSE -BUL. 12 ORTHO p. 112- ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ Hakima AIT-HAMMI Biologiste –Tizi-Ouzou .15000 ALGERIA ahakima2008@yahoo.fr -ETUDE DE L’EFFET ANTIMICROBIEN DE LA PLANTE THYMUS VULGARIS SUR QUELQUES SOUCHES www.orthomoleculaire.org 217 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE BACTÉRIENNES & FONGIQUES - BUL. 17 ORTHO p. 177-191 Halima GASMI-BENNOUR Médecin –Souk-Ahras.41000 ALGERIA gasmi_halima@yahoo.fr A PROPOS D’UN CAS D’HYPOGLYCEMIE ET DESEQUILIBRE MICRONNTRITIONNEl-BUL. 4 ORTHO pages 102-104.- Hamza-Amanoullah MEKRI Médecin Koléa Tipaza .42003 ALGERIA Hmz42@yahoo.fr ASPECT NUTRITIONNEL DE L’ŒUF -BUL. 15 ORTHO p. 62-65Vol.3 ORTHO-DZ p. Hanifa BRAHIMI Médecin Alger.16000 ALGERIA h.brahimi1@laposte.net LES AMANDES- BUL. 13 ORTHO p.120-132 – Vol.3 ORTHO-DZ p. 218 Bul. 18 ORTHO p139-140. Vol.4 ORTHO-DZ p. Hayet Nadia ZITOUN Médecin Alger.16000 ALGERIA hayetzitoun@gmail.com LES FRUITS OUBLIES DU CAROUBIER - BUL. 9 ORTHO page 95.- Vol.2 ORTHO-DZ p.807-814 - Hocine AROUA Médecin Barika Batna. 05001 ALGERIA aroua.hocin@gmail.com -CURCUMA -BUL. 4 ORTHO pages 125-128.- Vol.1 ORTHODZ p.630 -Huile d’Olive BUL. 4 ORTHO pages 120-122.- Vol.1 ORTHODZ p.638-THÉ VERT - BUL. 3 ORTHO page 131-133. - Vol.1 ORTHODZ p.634-ANTIOXYDANTS -BUL. 6 ORTHO pages 120-123.- Vol.2 ORTHO-DZ p.738-741 - Karima BENHAGOUGA Médecin Alger.16000 ALGERIA mesocom@hotmail.com L’ APPROCHE HOLISTIQUE EN MEDECINE ANTI-AGE - GOODAGING ET LE BIEN ETRE الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي Karima MALLOU Médecin Alger.16000 ALGERIA jinjer@live.fr Le lait de Chamelle-BUL. 10 ORTHO pages 122-123.- Vol.2 ORTHO-DZ p. 885-886 - Khadidja AISSANI-IOUALALEN Médecin Alger.16000 ALGERIA dr.aissani@hotmail.fr -LE POLICOSANOL – BUL. 9 ORTHO page 121.- Vol.2 ORTHO-DZ p. 833-834 -LA MACROSOMIE FŒTALE : SYNDROME PLURIMETABO LIQUE ET EFFETS PROTECTEURS DES AGPI N3 - BUL. 3 ORTHO page 109114.- Vol.1 ORTHO-DZ p.178 Latifa KHEMMAR Biologiste Tlemcen.13000 ALGERIA lati_hanouna@hotmail.fr7 EFFET ANTI-OBESITE DE L’HUILE « Citullus Colocynthis » CHEZ LA PROGENITURE DE RATS OBESES. Bul. 5 ORTHO pages 11-116 Vol.1 ORTHO pages 554-559 Leila HOCINE Biologiste Tlemcen. 13000 ALGERIA linabio22@hotmail.fr ALTERATIONS METABOLIQUES CHEZ LA PROGENITURE DE RATES OBESES NOURRIES AU REGIME CAFETERIA - BUL. 3 ORTHO page 99-103.- Vol.1 ORTHO-DZ p.560- Leila MOUZALI Biochimiste Alger.16000 ALGERIA mouzl66 @yahoo.fr Le Chardon-Marie (Silybum marianum): Une plante aux multiples vertus – Bul. 18 ORTHO page132-138 - Vol.4 ORTHO-DZ p. Linda OULDSAADI Biologiste Béjaia.06000 ALGERIA l.ouldsaadi@hotmail.fr INTERET NUTRITIONNEL DES GRAINES DE LEGUMINEUSESBUL. 13 ORTHO p.133-135 Vol.3 ORTHO-DZ p. www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE -DIABETE DE TYPE 2 ET STATUT EN MAGNESIUM BUL. 18 ORTHO p.120 – Vol.4 ORTHO-DZ p. -PRISE EN CHARGE DIETETIQUE DES MALADIES METABOLIQUES BUL. 19 ORTHO p.94-400 Lotfi BENMANSOUR Médecin Oran.31000 ALGERIA lotfi_benmansour2000@yahoo.fr La MACA - BUL. 16 ORTHO p. 9396 – Vol.3 ORTHO-DZ p. Lotfi RAHAL Médecin Physiologiste et Nutritionniste -Blida. 09000 ALGERIA lotfira@gmail.com -ACTIVITE PHYSIQUE ET DIABETE– BUL. 9 ORTHO page 114.- Vol.2 ORTHO-DZ p. 828832 -LA PRISE EN CHARGE NUTRITIONNELLE DES STEATOPATHIES HEPATIQUES NON ALCOOLIQUE (METABOLIQUE) -BUL. 12 ORTHO p.117- Vol.3 ORTHO-DZ p. -L’OBESITE DE L’ADULTE: QUELLE PRISE EN CHARGE? BUL. ORTHO 11 page 150.Vol.2 ORTHO-DZ p. 887-888 --MAGNESIUM: MISE AU POINT DJAOGHLAF , RAHAL L , GHOUNIA A : BUL. 14 ORTHO p.149-161 – Vol.3 ORTHO-DZ p. -PHYSIO PATHOLOGIE DU DIABETE DE TYPE 2 DJOGHLAF. DEH*, RAHAL. L**, GHOUINI.A**:- BUL. 17 ORTHO p.165-176 -Vol.4 ORTHO-DZ p. ORTHO 22 SCREENING OF INSULIN RESISTANCE IN SUBJECTS AT RISK FOR TYPE 2 DIABETES – AHMED GHOUINI – LOTFI RAHAL – DJAMEL DJOGHLAF ORTHO 21 PP 137-139 DEPISTAGE DE L’INSULINORESISTANCE CHEZ LES SUJETS PRESENTANT UN RISQUE DE DIABETE DE TYPE 2 – AHMED GHOUINI – LOTFI RAHAL – DJAMEL DJOGHLAF ORTHO 21 PP 140-142 Lynda KACI-MEZIANI Médecin Alger.16000 ALGERIA meziani_lynda@yahoo.fr HISBISCUS / BUL. 6 ORTHO pages 133-135.- Vol.2 ORTHO-DZ p. Vol.2 ORTHO-DZ p. Vol.2 ORTHO-DZ p.751-753 – Mahmoud AROUA Médecin Alger 16000 ALGERIA arouamahmoud@yahoo.fr -BEAUTE ET SOINS DES CHEVEUX CHEZ IBN-SINA -BUL. 16 ORTHO p.110-115 -DE LA MEDECINE EN GENERAL ET DE LA DIETETIQUE EN PARTICULIER CHEZ ABU BAKR AL-RAZI - BUL. 7 ORTHO page 113.- Vol.2 ORTHO-DZ p.922-925 -LE CANCER DANS LA MEDECINE ARABE – BUL. 9 ORTHO page 128.- Vol.2 ORTHO-DZ p. 926-929 - IBN HAMADUSH AL-DJAZAIRI ET SON TRAITE MEDICAL : KASHF AL-RUMUZ -BUL. 10 ORTHO pages 124-138.- Vol.2 ORTHO-DZ p.930-944 -LES REGIMES ALIMENTAIRES DANS LA MEDECINE ARABE d’après le Poème de la Médecine d’Ibn Sina - BUL. 3 ORTHO page 115-120.- Vol.1 ORTHO-DZ p.492-REMEDES ET MESURES HYGIENO-DIETETIQUES POUR LE CŒUR A TRAVERS LES ŒUVRES D’IBN-SINA - BUL. 2 ORTHO page 21- Vol.1 ORTHODZ p.489 - Malika BENHAFSI-BENBOUZID Médecin Alger.16000 ALGERIA benhafsi.malika@hotmail.fr La Grenade – BUL. 2 ORTHO page 65.- Vol.1 ORTHO-DZ p. 619- Missoum FERHAT Médecin Alger.16000 ALGERIA missoum.ferhat@hotmail.fr LA TRUFFE -BUL. 8 ORTHO page 146.- Vol.2 ORTHO-DZ p. 782-785 - ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ Mohamed MAROUF-ARIBI Biologiste Blida.09000 ALGERIA ma0r-bio-tp@live.fr ASPECT TOXICOLOGIQUE DES ADDITIFS ALIMENTAIRES CAS DE L’ASPARTAME (E951) BUL. 8 ORTHO page 154.- Vol.2 ORTHO-DZ p.790-806 -INTOLERANCE AU GLUTEN – MALADIE COELIAQUE BUL. 10 ORTHO pages 95-112.- Vol.2 ORTHO-DZ p.858-875- LA SPIRULINE ; L’ALGUE BLEUE MIRACULEUSE, MERVEILLEUSE PETITE CYANOBACTERIE Bul. ORTHO 7 pp118-140 Vol.3 ORTHO-DZ p. Mohamed Smail AISSANI Etudiant en médecine-Miliana-Ain Defla Medecin44sp@gmail.com EPIGENETIQUE, CANCERS ET NUTRITION – ORTHO 22 pp. Mohammed BILLAMI Médecin Biologiste Tlemcen.13000 ALGERIA Medbila@gmail.com LE POLLEN / BUL. 6 ORTHO pages 124-132.- Vol.2 ORTHODZ p.742-750 - www.orthomoleculaire.org 219 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Mohamed-Rachad BOUMOKOHLA Diététitien Paris. FRANCE sachad@live.fr -HYGIENE DE VIE D’UNE GASTRECTOMIE -BUL. 12 ORTHO p.124- Vol.3 ORTHODZ p. -COMPORTEMENT ALIMENTAIRE ET HOPITAL BUL. 10 ORTHO pages 118121.- Vol.2 ORTHO-DZ p.881884 - Nabila LADDI Médecin Alger.16000 ALGERIA laddinabila@yahoo.fr BIENFAITS DU CITRON -BUL. 16 ORTHO p.107-109 - Vol.3 ORTHO-DZ p. Nabila OUMEDJKANE Médecin Alger.16000 ALGERIA noumedj14@yahoo.fr Baie de Goji Un trésor de la Nature -BUL. ORTHO 11 page 160.- Vol.2 ORTHO-DZ p. 889905 - 201 Nacima CHILA Médecin Physiologiste Blida.09000 ALGERIA cima12@hotmail.fr LE SON DE BLE:APPORT EN FIBRES ET BIENFAITS/ BUL. 6 ORTHO pages 115-119.- Vol.2 ORTHO-DZ p.733-737 - Naima BEY-MOULAI Médecin Alger.16000 ALGERIA moulainaima@yahoo.fr LES ALLERGIES BUL. 7 ORTHO p. 117.- Vol.2 ORTHO-DZ p. 759762 LA VITAMINE A - BUL. 6 ORTHO p. 104-111.- Vol.2 ORTHO-DZ p.722-729 - Nesrine SEDJELMACI Pharmacienne Toxicologue Tlemcen.13000 ALGERIA sedjelmacinesrine@hotmail.fr L’ALUMINIUM DANS LES EMBALLAGES ALIMENTAIRES ET LES USTENSILES DE CUISINE, QUEL RISQUE POUR LA SANTE ? - BUL. 12 ORTHO p.132 - Vol.3 ORTHO-DZ p. الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي Noureddine BENYOUB Ingénieur Agronome Tlemcen.13000 ALGERIA benyoub468@yahoo.fr NUTRITION - L’OBESITE, PATHOLOGIE DU SIECLE-BUL. 6 ORTHO pages 86-92.- Vol.2 ORTHO-DZ p. 704-710 - Sabah SALHI-GUENANE Médecin Alger.16000 ALGERIA s_guenane@hotmail.fr ALIMENTATION ET GROUPES SANGUINS - BUL. 2 ORTHO page 33 -. Vol.1 ORTHO-DZ p.507- Salima EL-MANSALI Médecin Alger.16000 ALGERIA Salima.elmansali@gmail.com LES BIENFAITS DE L’ALLAITEMENT MATERNEL BUL. 15 ORTHO p.51-58- Vol.3 ORTHO-DZ p. Salima TOUATI Médecin Alger. 16000 ALGERIA merymanel@live.com LE FIGUIER DE BARBARIE BUL. 7 ORTHO page 129.- Vol.2 ORTHO-DZ p.771-773 - Samia BOUSBIA MESSIKH Médecin Alger.16000 ALGERIA bousbiasamia@yahoo.fr PREVENTION DES MALFORMATIONS DU TUBE NEURAL PAR LA PRISE D’ACIDE FOLIQUE BUL. 9 ORTHO page 103.- Vol.2 ORTHO-DZ p. 815-819 – Sidi-Mohamed MOSTEFA Médecin Ghazaouet Tlemcen.13000 ALGERIA dr.mostefa.mi@gmail.com - DATTES ET MEDECINE-BUL. 4 ORTHO 114-118.- Vol.1 ORTHO-DZ p.597 - LE JÊUNE THERAPEU TIQUE BUL. 7 ORTHO page 134.- Vol.2 ORTHO-DZ p.776-781 -LES BIENFAITS DU MIEL BUL. 4 ORTHO pages 122-124.Vol.1 ORTHO-DZ p.608 - PRISE EN CHARGE DU DIABETE EN MEDECINE ORTHO MOLECULAIRE - BUL. 3 ORTHO page 123-130. - Vol.1 ORTHO-DZ p.582- www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE - UN LEGUME DANS LE TRAITEMENT DU DIABETE ET DE L’HYPERTENSION ARTERIELLE « L’AUBERGINE »- BUL. 3 ORTHO page 138-140.- Vol.1 ORTHO-DZ p.593-NUTRITION ET MALADIE ; NUTRITHERAPIE EN MEDECINE GENERALE ; DES BILANS DE SANTE INNOVANTS EN MEDECINE ORTHOMOLECULAIRE -BUL. 2 ORTHO page 23.- Vol.1 ORTHODZ p.580- Samira OUMEDJKANE Médecin Alger.16000 ALGERIA docbeesam23@hotmail.fr LA PROPOLIS -BUL. 8 ORTHO page 150.- Vol.2 ORTHO-DZ p.786-789 - Siham ANNOUN Médecin Alger.16000 ALGERIA medsissi@hotmail.fr VITAMINES E ET C : LE COCKTAIL ANTI ALZHEIMER BUL. 16 ORTHO p. 97-99 –Vol.3 ORTHO-DZ p. Slimane ADDAR Médecin Bouira.10000 ALGERIA slimaneaddar@yahoo.fr LA LUTTE ANTI-DOPPAGE -BUL. 6 ORTHO pages 112-114.- Vol.2 ORTHO-DZ p.730-732 - Sofiane TAKHRIST Médecin Chirurgien Médéa. 26000 ALGERIA taksof@hotmail.fr ALIMENTATION POSTOPERATOIRE PRECOCE EN CHIRURGIE ABDOMINALE BUL. 2 ORTHO page 70 - Vol.1 ORTHO-DZ p.611- Médecin Alger.16000 ALGERIA zahoua.brai@yahoo.fr LES PROTEINES ANIMALES BUL. 2 ORTHO page 53.- Vol.1 ORTHO-DZ p.652- Dr Ziloukha MERMOUL GENERALISTE A FERDJIOUA W MILA. ِACUPUNCTEURE ET MESOTHERAPEUTE Tewfik BENHADJI-SERRADJ Médecin El-Fehoul Remchi Tlemcen.13000 ALGERIA benhadji_tewfik@yahoo.fr BESOIN THEORIQUE EN CALORIES CHEZ UN ADULTE JEUNE -BUL. 6 ORTHO page 93.- Vol.2 ORTHO-DZ p.711 Diabète et Nutrition Ortho 22 pp Zineb-Nesrine BEKKARA Médecin- El-Bayadh.32000 ALGERIA bek.nesrine@yahoo.fr LE ROMARIN. - BUL. 2 ORTHO page 69.- Vol.1 ORTHO-DZ p.628- Souad HAMADI Médecin Alger.16000 ALGERIA souad_hmd@yahoo.fr LE MAGNESIUM : SOURCES, ROLES ET METABOLISMES BUL. 6 ORTHO pages 73-85.Vol.2 ORTHO-DZ p. 691-703 - Souad MAACHOU Médecin- Zerouala ORTHO 22 Sidi-Bel-Abbès.22068 ALGERIA smaachou@hotmail.fr LES BIENFAITS DE LA CHICOREE -BUL. 10 ORTHO pages 90-94.- Vol.2 ORTHO-DZ p. 853-857 - Toufik HENTABLI Médecin-Réeducateur Médéa.26000 ALGERIA toufikhentabli@yahoo.fr REEDUCATION FONCTIONNELLE ET BONNE HYDRATATION - BUL. 2 ORTHO page 60.- Vol.1 ORTHO-DZ p.579- Zohra SIDENNAS Médecin Mascara.29000 ALGERIA zohrased@hotmail.fr RHODIOLA ROSEA OU LA RACINE D’OR -BUL. 12 ORTHO p.129- Vol.3 ORTHO-DZ p. Zahoua BRAÏ ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 200 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE R. FORESTI and al. LIPIDES OBESITE ET FLORE INTESTINALE -BULLETIN 6 ORTHO pages 141-146.- Vol.2 ORTHO-DZ p.911-916 - 202 Ourida AIT ALI - ANAMNESE DU PATIENT EN TAMAZIGHT - BULLETIN 9 ORTHO page 123.- Vol.2 ORTHO-DZ p.945 - LES PLANTES EN FRANÇAIS ET TAMAZIGHT - BULLETIN 9 ORTHO page 124.- Vol.2 ORTHO-DZ p. 946-948- EPICES en Français-Arabe-TamazightBULLETIN 9 ORTHO page 127 Vol.2 ORTHO-DZ p. 949 - الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي - La grossesse, TADIST et l’accouchement, TALALIT traditionnels -BULLETIN 14 ORTHO p. 162-166MOTS SCIENTIFIQUES TRADUITS DU FRANÇAIS EN TAMAZIGHT ET L’INTEROGATOIRE MEDECIN /PATIENT SUR LES MALADIES RESPIRATOIRES.ANAMNESE DES MALADIES RESPIRATOIRES POUR UNE PERSONNE QUI TOUSSE -BULLETIN 18 ORTHO p. 143 -APPROCHES NUTRITIONNELLES DES TROUBLES PEDOPSYCHIATRIQUES CHEZ L'ENFANT AUTISTE: INTERETS D'EVALUER L'IMPACT DE LA NUTRITION SUR LES TROUBLES ENVAHISSANTS DU DEVELOPPEMENT. BULLETIN 2 ORTHO page 37.Vol.1 ORTHO-DZ p.654-ENQUETES SUR LES BOISSONS SUCREES ET LEURS EFFETS NEFASTES SUR L’ORGANISME- DANGERS LIES A LA SURCONSOMMATION DE SODAS - BULLETIN 3 ORTHO page 121-122. - Vol.1 ORTHODZ p.660- Sakina Cilya LATEB : www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Organisation SANMO Seminars for Training on Nutrition and Orthomolecular Medicine 1. 2. 3. 4. 5. A basic scientist program to harmonize the elements of scientific knowledge. An organization of operation of seminars to enable the members to find themselves on the basis of a scientific and technical program. An inter-active exchange between SANMO members and facilitators and trainers of international rank. A focus on the BASICS, courses, and CONFERENCES of the scientific sector. Attention to the partners invited by assistance of simultaneous online for a continuity in the experience of the partnership. Instant recovery of these elements on a support newsletter for the current period. BUREAU SANMO Président Dr. Ilyès BAGHLI Vice-Présidents Dr. Tahar NAILI Dr. Abdelkrim TAFAT BOUZID Smail BOUKERRAS Secrétaire Général Dr. Ali ASBAI Secrétaire Gl.-Adj. Dr. Larbi DJAKRIR Trésorier Dr. Toufik SAADOUN Très.-Adj. Dr. Chérif HAMADOUCHE C3S5 26-27 Déc. 2014 -LE STRESS OXYDATIF -BUL. 2 ORTHO page 61- Vol.1 ORTHO-DZ p.501- Dr. Ilyès BAGHLI Tel: 0550588607 https://www.facebook.com/ilyes.baghli Président de la SANMO: Société Algérienne de Nutrition et de Médecine Orthomoléculaire: www.orthomoleculaire.org www.sanmo.skyblog.com Membre de l'ISOM: Société Internationale de Médecine Orthomoléculaire dont le siège est à Toronto au Canada: http://www.orthomed.org/isom/isomsocieties.html Membre de la JCIT: Collège Japonais de Thérapie Intra-veineuse dont le siège est à Tokyo au Japon: http://www.iv-therapy.jp/bordmember.html Membre de la CONEM: Conseil de la Nutrition et de la Médecine Environnementale en Norvège: http://www.conem.org/people/baghlibio/ Directeur du Conseil International de Nutrition et de Médecine Environnementale: http://www.conem.org/about-conem/board-of-directors/ Dr. Brahim BABA In Memorium of Dr Brahim BABA 11/03/2008 ORTHO 22 Tahar NAILI – Vice-Président de la SANMO Médecin Bordj-Ménail Boumerdes.35001 ALGERIA nailidoc@yahoo.fr -CANADA PAYS DES DEFIS POUR LES MEDECINES COMPLEMENTAIRES - BUL. 3 ORTHO page 90 - Vol.1 ORTHO-DZ p. -CANCER, MIEUX COMPRENDRE POUR MIEUX AFFRONTER. BUL. 5 ORTHO pages 16-18.- Vol.1 ORTHO-DZ p.44 Président de la Branche Algérie de la CONEM: C3S2 30-31 Mai 2014 LE STRESS OXYDANT -REGGANE … UNE CICATRICE INDELEBILE BUL. 6 ORTHO pages 59-60.- Vol.2 ORTHODZ p.23-24 - Toufik SAADOUN Trésorier SANMO Médecin Sidi-Ghilès Cherchell-Tipaza. 42021 ALGERIA Toufiksaddoun55@yahoo.fr UNE ALGERIENNE NOMMEE TBIKHA BUL. 2 ORTHO page 24. Vol.1 ORTHO-DZ p.669- http://www.conem.org/2015/04/new-branch-of-conem-in-algeria/ Membre du conseil scientifique de l'Institut Européen des Anti-oxydants dont le siège est à l'Université de Lorraine en France: http://ie-antioxydants.com/iea-3/nos-experts/ ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 203 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Ali ASBAÏ Secrétaire Général SANMO Médecin – Douèra-Alger.16049 ALGERIA ali.asbai@yahoo.fr VITAMINE C - BUL. 2 ORTHO page 59 -. Vol.1 ORTHO-DZ p.504- Larbi DJAKRIR Secrétaire Général Adjoint SANMO Médecin du Travail Alger. 16000 ALGERIA larbi16d@hotmail.fr Environnement et Santé - BUL. 2 ORTHO page 28. - Vol.1 ORTHO-DZ p.645- Abdelkrim TAFAT-BOUZID Vice-Président SANMO Médecin–Boumerdès.35000 ALGERIA tafatbouzid@hotmail.com ENTEROCOLITE ALLERGIQUE, UN DIAGNOSTIC DIFFICILE. - BUL. 2 ORTHO page 57.- Vol.1 ORTHO-DZ p.641- CONSEIL SCIENTIFIQUE DE LA SANMO Dr. Ilyès BAGHLI Pr. Atsuo YANAGISAWA Pr. George BIRKMAYER Pr. Edward Thomas LEVY Pr. Hafidha MERZOUK Pr. Gilbert Henri CRUSSOL Pr. Mustapha OUMOUNA Pr. Smail MEZIANI Pr. Chafika MEHDID Dr. Heidi THOMASBERGER Pr Atsuo YANAGISAWA, Smail BOUKKERAS Vice Président SANMO Médecin Alger.16000 ALGERIA - L'OBESITE CHEZ L'ENFANT ET L'ADOLESCENT - BUL. 2 ORTHO PAGE 51 -. VOL.1 ORTHO-DZ P.567- - Président de l'ISOM: Société Internationale de Médecine Orthomoleculaire – et President de la Société japonnaise de médecine intra-veineuse -Chef de file au JAPON de la thérapie intraveineuse par la vitamine C . atsuo.YANAGISAWA@iv-therapy.jp C4S6 22-23 Janvier 2016 Cherif HAMADOUCHE Trésorier Adjoint SANMO Médecin- Hassi-Bahbah- Djelfa.17002 ALGERIA DRHAMADOUCHE1@hotmail.fr CENTRE MEDICO-PEDAGOGIQUE DE DJELFA – BUL. 2 ORTHO page 25- . Vol.1 ORTHO-DZ p.664- 204 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي (1) Technique of Intravenous Vitamin C (2) Vitamin C for anti-aging (3) Orthomolecular treatment for patients with HPV vaccine side effects (4) Radiation and Vitamin C THE MECHANISM OF RADIATIONINDUCED CELLULAR INJURIES EFFECTS OF VITAMIN C AND ANTIOXIDATIVE NUTRITION ON RADIATIONINDUCED GENE EXPRESSION IN FUKUSHIMA NUCLEAR PLANT WORKERS - A PILOT STUDY www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Directeur de l'Institut Birkmayer de Parkinson thérapie.. C3S6 23-24 Janv. 2015 - INTRAVENOUS VITAMINC FOR CANCER. - TREATMENT RIORDAN PROTOCOL UPTO-DATE. - ORTHOMOLECULAR NUTRIENT THERAPY FOR CANCER. - ORTHOMOLECULAR MICRONUTRIENTS THERAPY FOR CLINICAL PRACTICE. - VITAMIN C CAN PREVENT RADIATION DAMAGE ON HUMAN HEALTH. C2S6 24-25 Janv. 2014 1: RIORDAN PROTOCOL UP-TO-DATE 2: ORTHOMOLECULAR PREVENTION FROM ENVIRONMENTAL RADIATION EXPOSURE. 3: INTRAVENOUS GLUTATHIONE FOR PARKINSON'S DISEASE 4: USEFULNESS OF INTRAVENOUS LIPOIC ACID IN THE TREATMENT FOR DIABETIC NEUROPATHY, CANCER AND AUTOIMMUNE DISEASES. C1S6 C4S2 Jeu.14-Ven.15 Mai 2015 * 1.- NADH: MECANISME D'ACTION ET LES DIFFERENTES APPLICATIONS THERAPEUTIQUES. * 2.- LES APPLICATIONS THERAPEUTIQUES DU NADH DANS LE CANCER ET LE DIABETE. * 3.- LE NADH DANS LA MENOPAUSE ET L’ANDROPAUSE. C3S1 28-29 Mars 2014 LE NADH ET SES APPLICATIONS THERAPEUTIQUES - LE NADH EST UNE THERAPIE EFFICACE CONTRE LE CANCER C2S1 22-23 Mars 2015 LES MALADIES MITOCHONDRIALES C1S5 12-13 Oct. 2012 Pr. Hafida MERZOUK - Directrice du laboratoire PPABIONUT Physiologie, Physiopathologie et Biochimie de la Nutrition Faculté SNVTU, Université Abou Bekr Belkaid Tlemcen, ALGERIE hafidamerzouk_2@hotmail.com C4S1 13-14 Mars 2015 25-26 Janv. 2013 VITAMINE C INTRAVEINOUS THERAPY. LA VITAMINE C COMME NOUVEAU TRAITEMENT DANS LA CHIMIOTHERAPIE ANTI-CANCEREUSE ET EN PROTECTION CONTRE LES IRRADIATIONS NUCLEAIRES. 1.- BESOINS NUTRITIONNELS ET APPORTS RECOMMANDÉS 2. – EQUILIBRE ALIMENTAIRE 3.- EDUCATION AU QUOTIDIEN 4.- ALIMENTATION ENFANT C3S5 C2S6 COENZYME 1 (NADH) ET SES APPLICATIONS THERAPEUTIQUES Pr George BIRKMAYER, Univ.Prof. Dr.Dr. Joerg George Birkmayer President & CEO NADH Handels GmbH Schwarzspanierstreet 15 A – 1090 Vienna, AUSTRIA Tel: ++43-1-361699610 Fax:++43-1-361699611 info@birkmayer-nadh.com www.birkmayer-nadh.com Professeur en biochimie et Docteur en médecine, Membre de la New York Academy of Sciences, Membre de l'Association américaine de recherche sur le cancer et l'American Association of Clinical Chemistry, Professeur invité à l'Institute for Medical Research à l'Université de Pékin et Canton, un membre de l'Académie vénézuélienne des sciences. Président de l'Académie internationale de Tumor Marker Oncology (New York - USA), Directeur médical du Laboratoire central de l'hôpital protestant de Vienne et de l'Hôpital Privé Golden Cross, ORTHO 22 Thomas Edward LEVY, M.D., J.D. -Mississipi- USA televymd@yahoo.com 24-25 Janv. 2014 THE SCIENCE OF LIPOSOMES AND WHY THEY ARE ABLE TO BE SO EFFECTIVE, EVEN WHEN COMPARED TO INTRAVENOUS. C2S4 20-21 Sept. 2013 “REVIEW OF THE HISTORY AND EVOLUTION OF VITAMIN C THERAPY” Presentation of some basics on redox chemistry, and the role played by vitamin C in all disease. How vitamin C should best be used in treating toxins, infections, and chronic degenerative diseases like cancer and heart disease. "DEATH BY CALCIUM" Presentation of the concept that osteoporosis is actually scurvy of the bone, and that calcium supplementation is making all older individuals much sicker than they need be, while completely avoiding what could make their bones and bodies much healthier. ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ 26-27 Déc. 2014 LES POSSIBLITÉS ORTHOMOLÉCULAIRES DANS: * LE DIABÈTE SUCRÉ. * LE SYNDROME MÉTABOLIQUE. * L'OSTÉOPOROSE.* L'ARTHRITE RHUMATOÏDE. * LES INFECTIONS RÉCURRENTES. * LA DÉGÉNÉRESCENCE MACULAIRE. * LES AUTRES MALADIES DES YEUX. LE SYNDROME DU BURN-OUT - LA PREVENTION DE LA MALADIE D’ALZHEIMER LA SEROTONINE ET LA MELATONINE. MICRONUTRIMENTS DANS L'HORMONOTHERAPIE. - ENZYMES -LES PLOYPHENOLS - LE CHOCOLAT. C3S3 10-11 Oct. 2014 - LES ACIDES GRAS INSATURES. - MALADIE CARDIO-VASCULAIRE. - L'HOMOCYSTEINE. LE DIAGNOSTIC EN MICRONUTRIMENTS: * ANALYSE DES OLIGO-ELEMENTS: * LES MINERAUX ET VITAMINES: - TRACE ELEMENTS: CHROME, LE MANGANESE, LE CUIVRE, LE MOLYBDENE: - LES POSSIBILITES ORTHOMOLECULAIRES EN DERMATOLOGIE. C3S2 30-31 Mai 2014 - LES VITAMINES HYDROSOLULBES. L'ACIDE ALPHA-LIPOIQUE.LA CO-ENZYME Q10 . LES TRACES ELEMENTS: SELENIUM, FER, ZINC C3S1 28-29 Mars 2014 www.orthomoleculaire.org 205 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE NUTRITION ET LA MEDECINE ORTHOMOLECULAIRE C2S6 C2S5 24-25 Janv. 2014 LES APPLICATIONS THERAPEUTIQUES DE LA MEDECINE ORTHO MOLECULAIRE DANS L’HORMONOTHERAPIE ET L’ENZYMOTHERAPIE C2S4 20-21 Sept. 2013 THEMES : LE MILIEU INTERIEUR.L'EQUILIBRE ACIDO-BASIQUE.- LES ACIDES AMINES. - LE SYSTEME CYP450.- LES METAUX LOURDS ET LE MECANISME DE DETOXIFICATION.- LES INTERACTIONS DANS LA MICRONUTRITION. C2S3 28-29 Juin 2013 LE GLUTATHION.- LES BIENFAITS DU CHOCOLAT. - L'HOMOCYSTÉINE -- ET LA PRÉVENTION CARDIO-VASCULAIRE.-ANALYSE EN LABORATOIRE -- DES OLIGOÉLÉMENTS ET DES VITAMINES. -- TRACES ÉLÉMENTS: -- CHROME, MANGANÈSE, CUIVRE ET MOLYBDÈNE. --COMMENT PRESCRIRE UN RÉGIME NUTRITIONNEL C2S2 24-25 Mai 2013 LES VITAMINES HYDROSOLUBLES : B1, B2, B3, B6, B9 ET B12. -- LES TRACES ELEMENTS: SELENIUM, FER, ZINC. -- LES NUTRIMENTS ACCESSOIRES: LA BIOTINE, L'INOSITOL, L'ACIDE PARA-AMINOBENZOÏQUE C2S1 22-23 Mars 2015 COMPLEMENTS ALIMENTAIRES - VITAMINES BALANCE ENERGETIQUE - PREVENTION DES PATHOLOGIES PAR LES ALIMENTS RADICAUX LIBRES, STRESS OXYDATIF ET ANTIOXYDANTS C1S5 25-26 Oct. 2013 - LA VITAMINE C EN PRE, PER ET POSTOPERATOIRE. - VAINCRE LE STRESS ET LA DOULEUR 12-13 Oct. 2012 MICRONUTRITION ET DIABETE SUCRE – ALTERATIONS METABOLIQUES AU COURS DU DIABETE SUCRE – LE DIABETE SUCRE ET SES COMPLICATIONS – INDEX GLYCEMIQUE DES ALIMENTS PAR ORDRE ALPHABETIQUE C1S4 01-02Juin 2012 MILIEU INTERIEUR. - EQUILIBRE ACIDO-BASIQUE. - GLUTATHION C1S2-S3 26-28 Avril 2012 LES ACIDES GRAS POLYINSATURES PRIVILEGE DES AGPI OMEGA 3 RÔLE DES ACIDES GRAS POLYINSATURES n-3 ALIMENTAIRES DANS LE METABOLISME DES LIPOPROTEINES CHEZ LA RATE GESTANTE DIABETIQUE ET SA PROGENITURE. Pr GILBERT HENRI CRUSSOL Président de l'Institut Antoine BECHAMP au LAZAKA - REYNO DE NEVARRA – ESPAGNE crussol@me.com Le Dr Gilbert CRUSSOL est diplômé de la Faculté de Médecine de PARIS en OdontoStomatologie en 1964. Prof. Mustapha OUMOUNA M.Sc. • Il obtient une bourse d’études pour suivre PhD Immunologie-Microbiologie aux Etats Unis les cours du Massachussetts Responsable Section Biologie Institut of Technology ( MIT) et du Harvard Sciences and Technology Faculty Forsyth Center Yahya FARES University of Médéa •Il fait des recherches sur le Lathyrisme au 26000 Algeria Harvard Forsyth Center • Il participe en 1965 à Los Angeles à un Université de Heidelberg en Allemagne. Congrès de Recherche où il rencontre Linus email: oumouna@gmail.com Pauling. Double Prix Nobel, grand spécialiste Tel: +213 (0) 770200317 de la vitamine C C4S5 : 27-28 Nov. 2015 • Il rentre en France où il suit, sur les conseils IMMUNOPATHOLOGIE – HYPERSENSIBILITE du Professeur Jean ROGER, de nombreux C4S4 : 23-24 Octobre 2015 Cours Post Universitaires tant en France LES DEFICITS IMMUNITAIRES ET LES qu’aux USA et en Angleterre MALADIES AUTO-IMMUNES: DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL ET APROCHES • Il est nommé représentant pour l’Europe de THERAPEUTIQUES l’Academy of Orthomolecular Psychiatry et a côtoyé Mollie Schiftman Phd, David Hawkins, C4S3 : 11-12 Septembre 2015 Abram Hoffer, Hugh Riordan, Bill Lederer. LES CELLULES DE L'IMMUNITE SPECIFIQUE • Il ouvre et dirige un centre de Chelation à ET LEUR IMPLICATION DANS LES DEFICITS Paris où 30 patients sont en perfusion par jour IMMUNITAIRES PRIMITIFS CHEZ L'ENFANT. • Il est Conférencier d’une Association de Formation Continue où il donne plus de 70 C4S2 14-15 Mai 2015 cours de 2 jours à plus de 3000 praticiens * LE SYSTEME HLA ET SES IMPLICATIONS • Il obtient un diplôme de Criminalistique de la DANS LES MALADIES INFECTIEUSES, Faculté de Médecine de Paris MALADIES AUTO-IMMUNES ET LE • Conférencier International, il est invité à CANCER. donner des conférences aux Etats Unis, au C4S1 13-14 Mars 2015 Canada, au Japon, à l’ile de la Réunion, en INTRODUCTION À L'IMMUNOLOGIE: Algérie, en Belgique, en Suisse, en Italie, en IMMUNITÉ INNÉE ET IMMUNITÉ ACQUISE C3S6 23-24 Janv. 2015 Espagne, en Roumanie, en Ukraine, etc… LA SÉLECTION DES LYMPHOCYTES ET C3S3 10-11 Oct. 2014 LES DÉFICITS IMMUNITAIRES PRIMITIFS "CARENCES, CES INCONNUES" - "SANTÉ BUCCALE VERSUS SANTÉ GLOBALE" CHEZ L'ENFANT. C2S6 24-25 Janv. 2014 LES APPLICATIONS MEDICALES DE LA CHELATION ! 206 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي C3S4 21-22 Nov. 2014 LES HYPERSENSIBILITES ET LES DEFICITS IMMUNITAIRES CHEZ L'ENFANT www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE C3S3 10-11 Oct. 2014 GENÈSE ET DIFFÉRENCIATION DES CELLULES DU SYSTÈME IMMUNITAIRE SPÉCIFIQUE C3S2 30-31 Mai 2014 CAPTURE ET PRÉSENTATION D'ANTIGÈNE ET LA SÉLECTION THYMIQUE C3S1 28-29 Mars 2014 INTRODUCTION A L'IMMUNOLOGIE : IMMUNOLOGIE INNEE ET IMMUNOLOGIE ACQUISE C2S6 UNE NOUVELLE METHODOLOGIE EXCLUSIVE POUR LA DETERMINATION DU STATUT STRESS OXYDATIF DANS LES LIQUIDES ET LES TISSUS BIOLOGIQUES (SANG ET SES FRACTIONS, PEAU...)./ /PAOT®////SKIN TECHNOLOGIE //, CONFERENCE + WORKSHOP C2S6 24-25 Janv. 2014 C2S5 25-26 Oct. 2013 LES APPLICATIONS MEDICALES DE LA VOLTAMPEROMETRIE ! LA CARIOPROPHYLAXIE PRÉVENTIVE - ET LA FLUOROSE EN ALGÉRIE. C2S1 22-23 Mars 2015 LE PH SALIVAIRE ET LES CARIES DENTAIRES C1S6 25-26 Janv. 2013 MICRO-NUTRITION DANS LA PREVENTION DES MALADIES BUCCO-DENTAIRES LES ANTI-OXYDANTS 24-25 Janv. 2014 LES IMMUNO-MODULATIONS ET LES REPONSES IMMUNITAIRES SUITES AUX INFECTIONS VIRALES ET AUX ALLERGENES C2S5 25-26 Oct. 2013 LES IMMUNO-DEFICIENCES C2S4 20-21 Sept. 2013 C2S3 28-29 Juin 2013 Dr Heidi THOMASBERGER From Wien AUSTRIA IMMMUNO-DEFICIENCES - INTOLERANCE ET ALLERGIES ALIMENTAIRES hthomasberger@pzseidengasse.at C3S4 LES IMMUNO-DÉFICIENCES. C2S2 24-25 Mai 2013 LES HYPERSENSIBILITES. C1S6 25-26 Janv. 2013 COMPLEXE MAJEUR D'HISTOCOMPATIBILIE (CMH) ET LES MALADIES AUTO-IMMUNES. C1S5 12-13 Oct. 2012 IMMUNOLOGIE Pr. Chafika MEHDID-BABA Spécialiste en Odontologie - Conservatrice Odontologie CHU Béni-Messous - Maitre de Conférences en Odontologie Conservatrice Endodontie Département de Chirurgie Dentaire INESSM Alger fika.dent@hotmail.com C4S4 : 23-24 Octobre 2015 MALADIE CARIEUSE: LA PREVENTION MEILLEURE ARME POUR UNE BONNE SANTE DENTAIRE C4S1 13-14 Mars 2015 LE MILIEU BUCCAL ET LES TISSUS DENTAIRES : CARACTÉRISTIQUES ET ÉCHANGES Président de l'Institut Européen des Antioxydants (IEA) Responsable de la Licence d'Ingénierie de la Santé «Nutrition Humaine » Laboratoire d'Ingénierie des Biomolécules (LIBio) Faculté de Médecine - Université de Lorraine – 2 Avenue de la Forêt de Haye 54 500 Vandoeuvre les Nancy smail.meziani@univ-lorraine.fr C3S2 30-31 Mai 2014 ORTHO 22 C2S5 25-26 Oct. 2013 C1S6 25-26 Janv. 2013 - LES POSSIBLITÉS ORTHOMOLÉCULAIRES DANS LES MALADIES CHRONIQUES. - SÉROTONINE ET MÉLATONINE. - LE SYNDROME DU BURN-OUT. - LA VITAMINE C PAR VOIE IV DANS L'EXERCICE QUOTIDIEN AU CABINET MEDICAL. ENZYMES – INSULINOTHERAPIE MICRONUTRIMENTS DANS L’HORMONOTHERAPIE C1S5 12-13 Oct. 2012 CALCIUM, - SANTE GENERALE ET SANTE DENTAIRE DIABETE ET SYNDROME METABOLIQUE BURN-OUT -- MALADIES DES YEUX - LES INFECTIONS RECIDIVANTES – POLYARTHRITE RHUMATOÏDE OSTEOPOROSE - C3S1 C1S4 C3S4 Pr Smail MEZIANI 21-22 Nov. 2014 PROBIOTIQUES. - ÉQUILIBRE ACIDOBASIQUE. – GLUTATHION - INTERACTION ENTRE MICRONUTRIMENTS 21-22 Nov. 2014 28-29 Mars 2014 LES PATHOLOGIES DENTAIRES: PEUT-ON CONTROLER LES FACTEURS DE RISQUE C2S5 25-26 Oct. 2013 NUTRITION ET MALADIE CARIEUSE C2S4 20-21 Sept. 2013 C2S3 28-29 Juin 2013 01-02Juin 2012 ACIDES AMINES.- MAGNESIUM - CALCIUM. - SYSTEME GYP450- DETOXIFICATION.INTERACTION. C1S2-S3 26-28 Avril 2012 C1S1 27-28Oct. 2011 :LES ALLIAGES DENTAIRES AU MERCURE ENTRE POLEMIQUE ET CONTROVERSES ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 207 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Pr Michel NARCE Dr Monika FUCHS, 1010 Vienne (Autriche). Elisabethstrasse 22 -Phone+43 1 5858383 Mail :ordi@dr-m-fuchs.at C1S2-S3 26-28 Avril 2012 Les acides gras insaturés.- L'homocysteine.Les maladies cardio-vasculaires.- Le diagnostic en micro-nutriments:- * Analyse des oligo-éléments. * Les minéraux et les vitamines. * Les traces éléments: chrome, manganèse, cuivre, molybdène. Les possibilités orthomoléculaires en dermatologie. Son Altesse la Princesse Dr. Therese von SCHWARZENBERG, médecin neurologue, actuellement à Vienne en Autriche. C4S2 Jeu.14-Ven.15 Mai 2015 C2S2 24-25 Mai 2013 AGPI: ACIDES GRAS POLY-INSATURES ET OBESITE. --- LES VITAMINES A ET D EN CANCEROLOGIE. * LA GUERISON SPONTANEE. Pr Patrick CURMI C2S1 Dr. Risa YANAGISAWA C4S6 22-23 Janvier 2016 22-23 Mars 2015 "NANODIAMANTS FLUORESCENTS POUR LA BIOLOGIE ET LA MEDECINE. FABRICATION, PROPRIETES ET INTERETS" "Japanese College of Intravenous Therapy - Our work in Japan” Dr Sabine WIED-BAUMGARTNER de Linz (Autriche). C1S2-S3 26-28 Avril 2012 Vitamines B : B1 THIAMINE - B2 RIBOFLAVINE - B3 NIACINE - B5 ACIDE PANTOTHENIQUE - B6 PYRIDOXINE - B8 BIOTINE B9 ACIDE FOLIQUE - B12 COBALAMINE - ZINC – FER – MANGANESE– IODE – SELENIUMCHOLINE - ACIDE ALPHA-LIPOÏQUE – INOSITOL- KRYPTOPYRROLE Dr Florian GOETZINGER. C1S4 208 01-02Juin 2012 Mme Marion Catherine Sylvie KAPLAN Bio-Nutritionniste TOULON –France- C4S1 13-14 Mars 2015 Pr Nina MIKIROVA PhD Director of Research at the Riordan Clinic C4S3: 11-12 Septembre 2015 "RIORDAN INTRAVENOUS VITAMIN C FOR ADJUNCTIVE CANCER CARE: IVC AS CHEMOTHERAPEUTIC AND BIOLOGICAL RESPONSE MODIFYING AGENT". الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي - POURQUOI GROSSIT ON? - LA NOUVELLE PYRAMIDE ALIMENTAIRE TOUT LE MONDE NE PEUT PAS MANGER LA MÊME CHOSE: IMPORTANCE DU MICROBIOTE ET DU SYSTÈME HLA. ALIMENTATION SANS GLUTEN NI LAITAGES BOVINS: LA SOLUTION ALIMENTAIRE AUX MALADIES AUTO IMMUNES. www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Dr. Monique BEJAT Docteur en Médecine Thérapeute en Nutrition et Micronutrition. Présidente de l'Association Kousmine Française C4S4 : 23-24 Octobre 2015 LA PALEONUTRITION LA DYNAMIQUE KOUSMINE GEIR BJØRKLUND Independent Researcher - Founder and President of the Council for Nutritional and Environmental Medicine (CONEM) Mo i Rana, Norway & Constanta, Romania e-mail: bjorklund@conem.org - SELENIUM AS AN ANTIDOTE IN THE TREATMENT OF MERCURY INTOXICATION ORTHO 21 pp.148-158 - GEIR BJØRKLUND –PRESIDENT CONEM ORTHO 20 P149 - AUTISM RESEARCH ORTHO 20 P151-153 - THE ADJUVENT NUTRITIONAL INTERVENTION IN CANCER –ANICATRIAL ORTHO 20 P154-156 Pr. Henri JOYEUX C4S5 : 27-28 NOV. 2015 NUTRITION ET PREVENTION DES MALADIES DE CIVILISATION : DIABETE, OBESITE, CANCERS ET MALADIES AUTOIMMUNES DES RHUMATISMES A L’ALZHEIMER L’IMMUNITE DE ZERO A 100 ANS Pr Belkacem CHAFI Gynécologue à l'EHU d'Oran et membre de l'ANDRS C4S2 Christine BOUGUET-JOYEUX C4S5 : 27-28 NOV. 2015 LE CHOIX, LA PREPARATION ET LA CUISSON DES ALIMENTS PEDAGOGIE DE LA NUTRITION POUR LES ENFANTS DE 4 A 12 ANS MENOPAUSE ET ANDROPAUSE: COMMENT CHANGER SES HABITUDES ALIMENTAIRES ORTHO 22 Jeu.11-Ven.12 Mai 2015 * CANCER ET NUTRITION, RISQUES ET PREVENTION. * BESOINS NUTRITIONNELS EN FERTILITE. * BIEN VIVRE SA MENOPAUSE C3S4 21-22 Nov. 2014 Pr Ahmed GHOUINI - Professeur, Chef de service de Physiologie de la Faculté de Médecine CHU Blida C4S6 22-23 Janvier 2016 DIABETE ET NUTRITION C4S5 : 27-28 nov.2015 NUTRITION DE LA FEMME ENCEINTE ORTHO 21 pp109-119 NUTRITION DU SPORTIF ORTHO 21 PP120133 C4S4 : 23-24 Octobre 2015 ALIMENTS ET VALEUR SANTE ORTHO 20 PP 85-96 NUTRITION ET DIGESTION – ALIMENTS FONCTIONNELS ORTHO 20 PP 97C4S3 : RESSOURCES ALIMENTAIRES CHEZ L’HOMME Bulletin 19 ORTHO p.74-76 OBESITES ET REGIMES Bulletin 19 ORTHO p.77-94 -Dr Souhila KADIM Maître-assistante hospitalo-universitaire en Physiologie de la Faculté de Médecine d’Alger/CHU Hussein Dey- Hôpital N. HAMOUD C4S3: NUTRITION ET PREVENTION DES PATHOLOGIES Bulletin 19 ORTHO p.101105 COMPRENDRE ET MIEUX PREVENIR LES CANCERS EPIGENETIQUES. L'IMPACT DE L'ENVIRONNEMENT SUR LA SANTE DU COUPLE ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 209 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Dr Meriem SAKER Université Tlemcen C4S3 : LES BONNES CONDUITES ALIMENTAIRES Bulletin 19 ORTHO p.57-71 Dr Zoubida TOUIMER AIT ALI C4S6 22-23 Janvier 2016 ALLAITEMENT AU TRAVAIL C4S5 : 27-28 Nov. 2015 Le Manque de Lait : Mythe ou Réalité ? ORTHO 21 pp.134-136 C4S4 : 23-24 Octobre 2015 Pr Mustapha DAIDJ, Conférencier et Praticien Spécialiste Médiation des Cultures et des Civilisations C1S6 25-26 Janv. 2013 PENSER LA MEDECINE DU 21ème Siècle L'INITIATION D'UNE NUTRITION IDEALE PAR L'ALLAITEMENT MATERNEL Pr. Zakia ARRADA : Professeur en Pédiatrie - Chef de Service de Pédiatrie- CHU Hussein-Dey. Avec Dr. Brahim SADAOUI Assistant en Pédiatrie -CHU Hussein-Dey Et Mlle Nabila DJABALI Diététicienne Spécialisée dans les maladies métaboliques. C4S3 :"LA DIETETIQUE COMME TRAITEMENT DE CERTAINES MALADIES HEREDITAIRES DU METABOLISME." Bulletin 19 ORTHO p.106-118 Dr. Brahim SADAOUI THERAPIE NUTRITIONNELLE DANS CERTAINES MALADIES HEREDITAIRES DU METABOLISME Bulletin ORTHO 19 p.119128 Mahmoud TALEB APS 22 Juin 2015 Dr Sabrina RAHMANI C4S4 : 23-24 Octobre 2015 OEIL ET NUTRITION C3S3 10-11 Oct. 2014 QUELS IMPACTS DE L’EXPLOITATION DES GAZ DE SCHISTES SUR LA SANTÉ ? UNE INTERROGATION LÉGITIME Dr Farida BELFODIL Médecin gérontologue de Paris. faken01@hotmail.fr C5S1 26-27 Mars 2016 NUTRITION DU SUJET AGE 221 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي ORAN - Une oeuvre du peintre algérien Mahmoud Taleb est accrochée aux cimaises du Palais de Schwarzenberg, à Vienne (Autriche), transformé depuis peu en musée, a appris lundi l’APS de cet artiste établi à Oran. L’oeuvre, une fresque en deux pièces, intitulée "hymne à la vitamine C", a été offerte aux organisateurs d’un séminaire de la Société Algérienne de Nutrition et de Médecine Orthomoléculaire (Sanmo), tenu à Alger les 14 et 15 mai dernier, en présence notamment de la Princesse autrichienne Therese Von Shwarzenberg, médecin qui a intervenu sur le thème "La guérison spontanée". www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Les organisateurs de cette rencontre scientifique ont, à leur tour, offert cette fresque à cette invitée de marque, qui, une fois de retour à Vienne, n’a pas hésité à accrocher cette £uvre parmi les tableaux constituant le fonds de ce musée, a expliqué le même artiste. Par ailleurs, Mahmoud Taleb participe, depuis le 30 mai dernier, à une exposition de calligraphie arabe, tenue à Constantine dans le cadre de la manifestation "Constantine, capitale de la culture arabe 2015". Versé particulièrement dans l’abstrait, cet artiste-peintre a, à son actif, de nombreuses expositions mises sur pied tant au niveau national qu’à l’étranger. Ses travaux de calligraphie sont considérés parmi les meilleurs en Algérie et dans le monde arabe. NEXT ORTHO GUEST Agence Thématique de Recherche en Sciences et Technologie ATRST Dans le cadre des activités liées à l’année internatio nale de la lumière et des technologies utilisant la lumière décrétée par l’UNESCO pour l’année 2015, l’Agence Thématique de Recherche en Sciences et Technologie en partena riat avec la Direction Générale de la Recherche Scientifique et du Dévelop pement Technologique, organise une série de conférences à travers le territoire national, présen tées par le professeur Noureddine Melikechi; Professeur éminent de physique de l’université de Delaware, USA, et membre de la mission CURIOSITY de la NASA. Nous avons l’honneur de vous inviter à une de ces conférences, intitulée ‘Utiliser la lumière aujourd’hui pour mieux appréhender demain’, qui se tiendra à Alger au niveau de la bibliothèque du palais de la culture, le Samedi 12 Décembre 2015 à 10h30. ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ "Utiliser la lumière aujourd'hui pour mieux appréhender demain" Conférence du Pr Noureddine Melikechi au Palais de la culture le samedi 12 – 15 2015 à Alger. Rencontre entre le Pr Noureddine Melikechi et le Dr Ilyes Baghli, le samedi 12 décembre 2015 au Palais de la Culture à Alger. www.orthomoleculaire.org 220 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE Ilyès : Bienvenue dans notre Espace SANMO Ilyès BAGHLI Nom de code de Message du Pr . Noureddine MELIKECHI aux membres de la SANMO Bonjour ! Je m’appelle Noureddine MELIKECHI. J’aimerai vous dire que je suis honoré et privilègié de rencontrer, par le biais de votre Président, tous les membres de la SANMO. Je suis très très heureux de connaître votre Président et de savoir ce que vous faîtes. C’est excellent ! Et j’aimerai qu’on exploite – quand on aura le temps- ensemble Voir comment on peut faire progresser la science ici en Algérie et en particulier les histoires de cancer et des problèmes de cancer qui se trouvent ici. Je vous remercie et je vous dis Bon Courage -InCha Allahon se retrouve tous ensemble. 222 la mission: Lumière. Motif de la mission: Rencontre avec Pr Nouredine Melikechi. Résultats obtenus: - Accord de participation à un des prochains séminaires de la SANMO. - Partage par la NASA dans un délai de cent jours de toute découverte scientifique en rapport avec le diagnostic précoce du cancer par laser ou tout autre procédé médical, biologique ou thérapeutique. - Remise par la SANMO des livres Orttho DZ1, Ortho DZ2 et les bulletins Ortho. - La SANMO et la NASA sont désormais des partenaires. Parallèlement, un accord signé ce matin par la COP21 pour sauver la planète avec les 196 pays. Samedi 12 – 12 - 2015, date historique. riche en événements que celle que vient de vivre la SANMO par l'intermédiaire de son président notre ami le docteur Ilyes Baghli ce weekend à Alger en présence du docteur Noureddine Melikechi ambassadeur de la NASA sur la planète Mars. Ce qui pourrait enfin rapprocher la SANMO des activités de recherche entreprises au nom de la NASA par le docteur melikechi PhD, c'est le fait que ce prestigieux savant est en train de développer des axes de recherche ayant un rapport avec le développement de biomarqueurs pour la détection précoce du cancer. C'est à travers des formulations assez complexes, faisant intervenir des méthodes optiques et des modèles mathématiques qui permettront à moyen terme de déceler très tôt et de façon non invasive des signes prédictifs du cancer. Ceci aura pour conséquence le diagnostic précoce et un traitement par conséquent plus efficace. À ce propos la SANMO va etre associée à tous les resultats de recherche bio-medicales developées dans ce domaine par l'Université de Delaware aux USA. C'est une sorte de passation de conssignes et d'échange de compétences à travers une génération de chercheurs de haut niveau, patriotes, qui ont su préserver l'amour du pays dans leur coeur. Tahar Naili Ce fut une journée très الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE SOMMAIRE ORTHO 22 Pages 2. Photos C4S6 3. Edito 22 4-15 Vœux du 5 ème Anniversaire de la SANMO 16-17 Liste des participants aux activités de la SANMO en 2015 18 d’Ibn-Sina et Ibn Rochd = Linus PAULING et Abram HOFFER 19 Création Programme SANMO 20-21 Bilan Moral de la SANMO au 26/12/2016 22 PROTOCOLE DE RIORDAN A BASE DE MEGA-DOSES DE VITAMINE C DANS LE TRAITEMENT DES MALADIES CHRONIQUES DEGENERATIVES DONT LE CANCER. 23 PROGRAMME SANMO C4S6 DES 22-23 JANVIER 2016-01-25 24-25 PARTICIPANTS AU C4S6 ORTHO-PRESS 26 Pr. ZITOUNI et le rôle des Cliniques privées dans le dépistage des patients cancéreux El-Watan du 09.01-2016 27-29 LA MEDECINE ORTHO-MOLECULAIRE EST EN MESURE DE PREVENIR TOUTES LES MALADIES Dr. Nina MIKIROVA à Santé-MAGNov. 2015 : 30-31 VITAMIN C KILLS « UNTREATABLE » CANCER CELLS – NaturalHealth365 Dec.14, 2015 32-33 LEARN HOW VITAMINC THERAPY NEUTRALIZES TOXINS – NaturalHealth36533-35 ANTIBIOTIC RESISTANCE MAKES VITAMINC MORE IMPORTANT THAN EVER – NaturalHealth365 Nov.3, 201535-37 VITAMIN C DEFICIENCY WREAKS HAVOC ON THYROID FUNCTION Abby Campbell, August 5, 201537-38 VITAMIN C ERADICATES SUDDEN INFANT DEATH SYNDROME: Lori Alton, October 4, 2015 ORTHO 22 39-40 VITAMIN C KILLS TUMOR CELLS WITH HARD-TO-TREAT MUTATION Jocelyn Kaiser 5 Nov. 2015 Science magazine 41 VITAMIN B3 FOUND TO RESCUE MITOCHONDRIA DEFECTS IN ADULTS WITH MITOCHONDRIAL MYOPATHY Patricia INACIO Phd 42 COMMENT FAIRE MOURIR LE CANCER DE FAIM EN SUPPRIMANT CE SEUL INGREDIENT ! 14 Déc. 2015, Publié par Le Nouveau Paradigme 43 EFFECTS OF HIGH DOSES OF VITAMIN C ON CANCER PATIENTS IN SINGAPORE: NINE CASES. Raymond YC, Glenda CS, Meng LK. 44-62 HIGH-DOSE INTRAVENOUS VITAMIN C COMBINED WITH CYTOTOXIC CHEMOTHERAPY IN PATIENTS WITH ADVANCED CANCER: A PHASE I-II CLINICAL TRIAL : L. John Hoffer , Line Robitaille, Robert Zakarian, David Melnychuk, Petr Kavan, Jason Agulnik, Victor Cohen, David Small, Wilson H. Miller Jr. 63-74 PROTOCOL S1 CLINICAL TRIAL PROTOCOL LJ Hoffer, P Kavan, D Melnychuk, WH Miller, Lady Davis Institute for Medical Research, McGill University, and the Departments of Medicine and Oncology, Jewish General Hospital, Montreal 75-95 VITAMIN C IN HEALTH: SCIENTIFIC FOCUS ON ITS ANTI-CANCER EFFICACY. M. Waheed Roomi, Ph.D. - Neha Shanker, Ph.D.Aleksandra Niedzwiecki, Ph.D.- Matthias Rath, M.D- Dr. Rath Research Institute, CA, USA 96-108 MODULATION OF CYTOKINES IN CANCER PATIENTS BY INTRAVENOUS ASCORBATE THERAPY - Nina Mikirova, Neil Riordan, Joseph Casciari (Bio-Communication research institute, Riordan Clinic, Wichita, KS, USA) ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 223 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE ORTHO-GUEST PAPERS ORTHO-DIVERS - Pr. Atsuo YANAGISAWA 110 (1) Technique of Intravenous Vitamin C 118 (2) Vitamin C for anti-aging 119 (3) Orthomolecular treatment for patients with HPV vaccine side effects 121 (4) Radiation and Vitamin C 122 THE MECHANISM OF RADIATIONINDUCED CELLULAR INJURIES 124 EFFECTS OF VITAMIN C AND ANTIOXIDATIVE NUTRITION ON RADIATION-INDUCED GENE EXPRESSION IN FUKUSHIMA NUCLEAR PLANT WORKERS - A PILOT STUDY 126 Dr. Risa YANAGISAWA : Japanese College of Intravenous Therapy – Our Work in Japan ! 135 Le Dr. Henri JOYEUX cancérologue a déclaré : 85% des chimiothérapies sont contestables voire inutiles ! 186 Vitamine C, la molécule oubliée. 187-190 Institut Europeen Des Antioxydants : L’expertise Antioxydants en action 191-198 International Conference PGHTNCOM2016 199 IVC Acasemy Symposium Riordan Clinic 13-15 OCT. 2016 200 Protocole 1 SANMO 201CONEM – New Branch of CONEM in Algerie 202 3rd International Congress on Naturopathic Medicine- Barcelons SPAIN 1-3 Juillet 2016 203-204 45th Annual International Orthomolecular Medicine Today Conference Vancouver 29 Avril-1erMai 2016 ORTHO-DZ COURSES 205Hall of Drs ORTHO-DZ SANMO-ISOM 206-212 LAUREATS ORTOH-DZ SANMO-ISOM 213-214 BUREAU SANMO 214- 217 CONSEIL SCIENTIFIQUE SANMO 218-220 INTERVENANTS SANMO 221-222 NEXT ORTHO-GUEST 223-224 SOMMAIRE ORTHO-22 225 PROGRAMME SANMO C5S1 226-228 PHOTOS ORTHO-COURSES C4S6SANMO 22-23 JANV. 2016 ALGER 142-153 Pr. Ahmed GHOUINI: DIABETE ET NUTRITION 154-156 Dr. Zoubida TOUIMER AIT ALI : ALLAITEMENT AU TRAVAIL 157- 161 Dr. Farida BELFODIL : NUTRITION DU SUJET ÂGE ORTHO-DZ PAPERS 162-170 Mohamed Smail AISSANI: EPIGENETIQUE CANCERS ET NUTRITION 171-181 Dr. Ziloukha MERMOUL : NUTRITION ET DIABETE 182-185 Dr. Nassima BOUSSIOUD : GRAISSE VISCERALE – UN FACTEUR DE RISQUE DES MALADIES DU SIECLE. 224 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE ب الجزيئي ّ الجمع ّية الجزائر ّية لل ّتغ ّذي وال ّطTimetti tazairit n’teggoula N’toudjia N’tazerf-taxeclawt ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE SOCIETE ALGERIENNE DE NUTRITION ET DE MEDECINE ORTHOMOLECULAIRE Algerian Branch of CONEM Council for Nutritional and Environmental Medicine PROGRAMME SANMO C5S1 Séminaire 1 Cycle V Ven.25 - Sam.26 Mars 2016 Salle Hassiba Ben Bouali Egt Centre El-Hamma SOFITEL–172 Rue Hassiba Ben Bouali- ALGER – INSCRIPTION PAR E-MAIL : orthomoleculaire2@gmail.com www.orthomoleculaire.org Vendredi 25 Mars 2016 8h30-10h30 www.orthomoleculaire.skyblog.com 1 Vendredi 25 Mars 2016 14h00-15h30 www.sanmo.skyblog.com Samedi 26 Mars 2016 8h00-10h30 Pr Ahmed GHOUINI Chef de service de Physiologie de la Faculté de Médecine Blida : DYSLIPIDEMIE ET NUTRITION Pauses : eau+fruits 10h- 10h30 Vendredi 25 Mars 2016 10h30-12h00 Dr Farida BELFODIL Nutrition du sujet âgé Dr. Monique BEJAT Docteur en Médecine Thérapeute en Nutrition et Micronutrition. Présidente de l'Association Kousmine Française LA DETOXICATION HEPATIQUE ET LE CYCLE DE LA METHYLATION Pr. Mustapha OUMOUNA University of Médéa 26000 Algerie Les leçons apprises du fonctionnement du système immunitaire et son dysfonctionnement. Dr. Monique BEJAT DOSSIER D'INSCRIPTION : ORTHO 22 - 15h30-16h00 Pauses : eau+fruits Samedi 26 Mars 2016 16h00-17h30 10h- 10h30 Pauses : eau+fruits Dr. Zoubida TOUIMER AIT ALI Dr. Monique BEJAT LA NUTRITION CETOGENE ALLAITEMENT ET MEDICAMENTS Repas : 12h30-13h30 CONDITIONS D'INSCRIPTION ETRE MEDECIN / BIOLOGISTE / MICROBIOLOGISTE/ PHARMACIEN /AGRONOME /VETERINAIRE / BIOCHIMISTE/CHIMISTE/ DENTISTE / DIETETICIEN. CYCLE V MITOCHONDRIE ET NUTRITION ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ orthomoleculaire2@gmail.com LE STRESS OXYDATIF Samedi 26 Mars 2016 11h30-12h00 Vendredi 25 Mars 2016 16h00-17h30 Repas : 12h30-13h30 - COPIE DU DIPLOME - COPIE D’UNE PIECE D'IDENTITE – PHOTO D'IDENTITE – Copie Bordereau de Versement (10.000,00 DA Frais de participation au Séminaire + 2000,00 DA Frais d’adhésion 2015 à la SANMO) au Compte Bancaire N* 02100012018000009458 auprès de la SOCIETE GENERALE ALGERIE Birkhadem à l’ordre de : - Association Nationale de Nutrition et de Médecine OrthomoléculaireADRESSER LE DOSSIER PAR MAIL : Samedi 26 Mars 2016 14h00-15h30 Dr. Monique BEJAT 30-16h00 Pauses : eau+fruits Médecin gérontologue de Paris. www.youtube.com/SanmoTV C5S1 C5S2 C5S3 C5S4 C5S5 C5S6 25 - 26 Mars 2016 27 - 28 Mai 2016 29 - 30 Juil. 2016 30 Sept.-1 Oct. 2016 25 - 26 Nov. . 2016 27 - 28 Janv. www.orthomoleculaire.org 2017 225 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE PHOTOS ORTHO-COURSES C4S6-SANMO 22-23 JANV. 2016 ALGER 226 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE PHOTOS ORTHO-COURSES C4S6-SANMO 22-23 JANV. 2016 ALGER ORTHO 22 ِالجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئ www.orthomoleculaire.org 227 ALGERIAN SOCIETY FOR NUTRITION AND ORTHOMOLECULAR MEDICINE PHOTOS ORTHO-COURSES C4S6-SANMO 22-23 JANV. 2016 ALGER 228 الجمعيّة الجزائريّة للتّغذّي والطّبّ الجُزَيْئِي www.orthomoleculaire.org ORTHO 22
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