AGRESSION SEXUELLE

Transcription

AGRESSION SEXUELLE
1er SEPTEMBRE 2011
Article tiré de :
http://www.burnabynow.com/High+ranking+Burnaby+Mountie+accused+sexually+assaulting+f
ellow+officer/5340114/story.html
High-ranking Burnaby Mountie
accused of sexually assaulting
fellow officer
BY SAM COOPER, POSTMEDIA NEWS SEPTEMBER 1, 2011
The Burnaby RCMP main detachment at 6355 Deer Lake Ave. on Wednessday, August 31, 2011.
Photograph by: Glenn Baglo , PNG
The contents of this story include graphic details.
A high-ranking Burnaby RCMP officer allegedly used his power to sexually assault a
mentally vulnerable female subordinate and then coerced her into a relationship and
threatened her into silence.
According to a claim filed in B.C. Supreme Court on Aug. 26, Staff-Sgt. Travis Pearson previously a professional standards supervisor - directed Const. Susan Gastaldo to come to
his home in May 2009 in order to discuss her return to work after medical leave.
Without Gastaldo's consent he allegedly "forcibly inflicted harmful" sex including anal
intercourse, despite at least two demands that he stop.
During the next four months, Pearson allegedly gained "submission" from Gastaldo that "was
directly related to his authority over her and the command culture of the RCMP," according
to Gastaldo's suit.
Vancouver police were asked to complete an investigation in 2009 after Gastaldo
complained to the RCMP, but the VPD investigator concluded the evidence did not support
the complaint and no charges were laid.
According to Gastaldo's claim, the VPD detective failed to contact relevant medical experts
or adequately consider evidence about alleged inappropriate conduct by Pearson in
connection with two other female officers, and several municipal employees, including an
alleged relationship "which had elements in common with [Gastaldo's] complaint."
In an interview, Gastaldo's lawyer Walter Kosteckyj told The Province she had difficulty
coming forward, is under psychological care and likely won't be able to work again.
Gastaldo is pursuing the complaint because she believes she might be able to protect other
women from sexual harassment and could only get justice with a civil claim, Kosteckyj said.
"When you have police officers investigating police officers there is always issues that are
held up, and really this is the type of thing that needs to be investigated by a civilian arm,"
Kosteckyj said.
The federal attorney general and the B.C. solicitor general are also named as defendants in
the suit. The RCMP would not comment on Gastaldo's claim while it is before the court. No
statements of defence have been filed. The allegations have not been proven in court.
Gastaldo and Pearson both face a code-of-conduct hearing in September, and neither is
currently working, according to the RCMP.
According to Gastaldo's suit, she had suffered various mental illnesses since joining the
RCMP in 1998. Pearson allegedly gained access to her medical information using his
position of authority and leveraged vulnerabilities in her family situation to control her.
The "misconduct" was "dishonest, malicious and wilful," the suit says.
According to the suit, Pearson controlled and "sexually humiliated" Gastaldo, "inflicting
demeaning sex acts on her, including anal intercourse and sex in police vehicles and on the
dirt in a garbage area."
Pearson allegedly told her that if she told anyone about the sex or sexting messages
involved, "no one would believe her because he would tell them she was mentally unstable
... she would be transferred and it would only be a 'feather in his cap.'"
According to the suit, Gastaldo "did not report [Pearson's] conduct or end the sexual contact
because she feared no one would believe her, her husband would take her children from her
and [Pearson] would retaliate against her employment and career with the RCMP."
The relationship was discovered in August 2009 when Gastaldo's husband found a
Blackberry with "intimate communications" and the couple filed a complaint with the RCMP.
2 SEPTEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201109/02/01-4431079-proces-de-tania-pontbriand-apres-la-passion-le-desespoir.php
Procès de Tania Pontbriand: après
la passion, le désespoir
Tania Pontbriand, au palais de justice de Saint-Jérôme.
PHOTO: IVANOH DEMERS, LA PRESSE
Christiane Desjardins
La Presse
Après avoir séduit un élève de 15 ans au cours d'un petit voyage en camping, en mai
2002, l'enseignante Tania Pontbriand, alors âgée de 32 ans, l'aurait couvert de
cadeaux, lui répétant qu'il était spécial, et aurait multiplié les occasions pour se
retrouver seule avec lui. Ils se voyaient chaque jour, et avaient des relations sexuelles
à chaque fois, parfois plusieurs fois par jour.
«Ça se passait dans son bureau à l'école, chez elle quand son mari était parti jouer au golf
ou au hockey, chez moi dans ma chambre quand elle prétendait venir m'aider pour mes
devoirs, dans sa voiture, dans les bois derrière chez elle...», a énuméré l'ex-élève en
question, vendredi, alors qu'il témoignait au procès de Tania Pontbriand. Aujourd'hui âgée
de 40 ans, Mme Pontbriand est accusée d'agression sexuelle et contacts sexuels alors
qu'elle était en position d'autorité. Les événements qui lui sont reprochés se seraient
produits entre mai 2002 et avril 2004, alors qu'elle enseignait l'éducation physique à l'école
secondaire de Rosemère. Le garçon n'a porté plainte qu'en 2007.
Aujourd'hui dans la mi-vingtaine, le jeune homme s'est exprimé clairement et il a témoigné
avec aplomb. Il a raconté ses premiers contacts avec l'enseignante. Outre l'éducation
physique, Mme Pontbriand lui enseignait le leadership. Dans le cadre de ce cours, en
janvier 2002, elle a demandé aux élèves de décrire leur vie dans un récit. Celui du garçon
faisait 50pages et il a manifestement soufflé l'enseignante. Elle lui a attribué une note de
99%. De fil en aiguille, elle s'est rapprochée de lui. Lors d'un voyage de groupe en vélo, en
mai 2002, le garçon et l'enseignante se sont retrouvés seuls dans un camion, parce qu'une
moufette était apparue sur le terrain de camping. Ils ont passé la nuit à discuter dans le
camion. Mme Pontbriand aurait dit au jeune homme qu'ils étaient des âmes soeurs.
Une relation inappropriée
Deux semaines plus tard, Mme Pontbriand est partie seule en camping avec le garçon. La
mère de ce dernier avait donné son autorisation. C'est au cours de ce voyage que
l'enseignante aurait dépucelé l'élève. Ils couchaient dans la même tente. «On discutait. Elle
me regardait dans les yeux. Elle m'a dit: "Embrasse-moi". J'ai dit "Comment?" Elle m'a dit:
"Comme tu veux". Après, elle m'a dit de lui enlever son soutien-gorge. Je ne savais pas
comment. Je n'avais pas d'expérience», a-t-il expliqué, avant d'ajouter qu'ils avaient fait
l'amour deux fois.
Cette première expérience a été l'amorce d'une relation très torride qui allait durer deux
ans, selon le témoin. Mme Pontbriand, qui était en couple depuis huit ans avec un homme,
disait regretter son mariage. Elle a confié à l'adolescent ne pas vouloir faire l'amour avec
son mari, parce que son pénis était trop gros. L'enseignante déclarait son amour au
garçon, mais lui demandait de taire leur liaison. Pourtant, elle jouait manifestement avec le
feu. Elle allait le chercher chez lui le matin pour l'emmener à l'école. Elle prenait soin
auparavant de passer chez McDo pour lui acheter un déjeuner. Elle l'amenait au restaurant
le midi. Elle allait aussi le rejoindre dans la cafeteria de l'école. Les autres professeurs
trouvaient cette relation inappropriée.
Mme Pontbriand et le garçon s'écrivaient des lettres codées, qu'ils se transmettaient par le
casier de ce dernier. «Elle connaissait le numéro de mon cadenas», a-t-il dit.
Pour l'anniversaire du garçon, à ses 16 ans, l'enseignante lui a donné 16 cadeaux, plus un
17e pour la chance. Il y avait une tirelire en forme de cochon, sur lequel était écrit: «Hugs
for your friend Tania always.» À l'intérieur, il y avait un chèque. Elle lui a aussi donné un
sac à dos, une montre, un ourson en peluche, une tasse... Elle avait fait graver le nom du
garçon sur chaque objet.
Rupture
Au début, la mère du garçon était d'accord pour que son fils voie souvent son enseignante.
Mais à un certain moment, les notes du garçon ont commencé à baisser, et la mère a
voulu que la relation cesse. D'autant plus qu'elle avait trouvé les lettres codées qu'ils
s'échangeaient. La mère s'est plainte à l'école et a interdit à son fils de revoir Mme
Pontbriand en dehors de l'école ou de lui parler au téléphone. Le garçon et l'enseignante
ont pleuré. Mme Pontbriand a résolu le problème en achetant un téléphone portable au
garçon. Ils se donnaient des rendez-vous secrets et faisaient l'amour dans la voiture de
Mme Pontbriand, selon le jeune homme. Le garçon a pris sa propre mère en aversion à
cause de cela, et il est même allé demeurer chez un ami de la famille pendant un temps.
«Ma mère était devenue mon ennemie.»
Mme Pontbriand a mis fin à la relation au printemps 2004, alors que le garçon fréquentait
le cégep. Elle avait rencontré un autre homme, a-t-elle fini par lui avouer. Le garçon a
sombré dans le désespoir et la dépression. Il ne dormait plus, maigrissait et a abandonné
l'école. Il gardait néanmoins son secret pour protéger Mme Pontbriand, a-t-il dit.
Il a vu un psychologue et un psychiatre. Il a fini par se libérer de son secret. En février
2007, un ami l'a convaincu d'aller porter plainte.
De nombreuses pièces à conviction ont été déposées en preuve dans cette affaire,
notamment des photos, des cadeaux, des courriels que Mme Pontbriand aurait envoyés
au garçon. Le procès se poursuivra le 28 novembre, avec la suite de l'interrogatoire du
garçon.
3 SEPTEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201109/03/01-4431363-adolescentes-agressees-a-verdun-un-homme-arrete-etaccuse.php
Adolescentes agressées à Verdun:
un homme arrêté et accusé
PHOTOTHÈQUE LA PRESSE
Caroline Touzin
La Presse
Le présumé auteur d'une agression sauvage commise à l'endroit de trois
adolescentes dans l'arrondissement de Verdun, samedi dernier, a été arrêté et accusé
de voies de fait, menace de mort, agression sexuelle et séquestration.
Patrick Cowan, 36 ans, a brièvement comparu, hier, au palais de justice de Montréal. Le
jugeant dangereux, la Couronne s'est opposée à ce qu'il recouvre la liberté d'ici au procès.
Ce résidant de Verdun fait face à six chefs d'accusation au total. L'une des adolescentes
aurait été saisie de force, agressée sexuellement et menacée, si l'on se fie à l'acte
d'accusation.
Plus tôt cette semaine, la mère de l'une des victimes a raconté à LCN que les trois
adolescentes se trouvaient en bordure du fleuve Saint-Laurent, à la sortie d'un restaurant,
lorsqu'un homme s'est approché d'elles avec un chien. Elles ont flatté l'animal. L'homme
serait revenu plus tard, sans chien, accusant les jeunes filles de vol, a-t-elle expliqué à
l'émission Le vrai négociateur.
Effrayées, les jeunes filles auraient tenté de fuir. Or, il en aurait rattrapé une avant de la
lancer sur les roches au bord de l'eau. Une autre se serait lancée à l'eau d'elle-même pour
éviter qu'il la rattrape. La troisième aurait eu moins de chance. Il l'aurait clouée au sol, puis
lui aurait fait des attouchements en la menaçant de la tuer, toujours selon le récit de la
mère.
L'avocate de l'accusé, Me Elfride Duclervil, a demandé au juge d'ordonner que son client
soit évalué à l'infirmerie du centre de détention en fin de semaine. Vêtu d'un t-shirt blanc et
d'un jeans, l'accusé jetait fréquemment des regards vers le public, l'air nerveux.
Patrick Cowan a plusieurs antécédents judiciaires, notamment de voies de fait, de menace
et de vol. Il sera de retour en cour mardi pour tenter d'obtenir sa mise en liberté.
4 SEPTEMBRE 2011
Article tiré de : http://metromonctonnews.com/halifax-police-seek-sexual-assaultsuspect-september-4-2011/
Halifax Police seek Sexual Assault suspect ~September 4, 2011
Halifax Police seek Sexual Assault
suspect~ September 4, 2011
September 4, 2011
GO# 11-134619 – Sexual Assault – On September 4, 2011, two females reported to
police that while walking in the area of Queen and South Streets in Halifax on September
3, a male walking past them in the opposite direction grabbed one of the females by the
buttocks. The female immediately turned and yelled at the male. The male apologized
and kept walking.
The suspect was described as an arabic male, approximately 6′, slender build, short wavy
hair with a goatee.
5 SEMPTEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.therecord.com/print/article/589013
Sex assault suspect image
Suspect image. Police have released this composite image of a man sought in connection with
the sexual assault of a woman on Country Hill Drive in Kitchener on Saturday. Waterloo Regional
Police
Record staff
September 5, 2011
KITCHENER — Police have released a composite image of a man sought in connection
with the sexual assault of a woman on Country Hill Drive on Saturday morning.
The woman was walking on her street around 2:30 a.m. when a man started following
her. He walked behind her for some time before knocking her down and assaulting her
near her suburban home.
Police are asking for the public’s assistance in identifying the assailant. He’s described as
white, approximately six-feet tall, with a medium to heavy build and wearing a red tshirt, khaki shorts and white running shoes.
Anyone with information is asked to call Waterloo Regional Police’s major case unit at
519-653-7700.
6 SEMPTEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.starnews.ca/news/article_200c4d7e-d8a7-11e0-952b001a4bcf6878.html?TNNoMobile
Shadbolt changes plea to not guilty in
2009 sexual assault of a minor
Steven Shadbolt
Posted: Tuesday, September 6, 2011 10:38 am | Updated: 3:14 pm, Mon Jan 23, 2012.
Kelly Clemmer, editor-in-chief | 0 comments
Wainwright resident Steven Shadbolt appeared in Wainwright Provincial Court on
Thursday September 1, for the sentencing portion of sexual assault and sexual
interference charges to a 12-year old from the Provost area which occurred Feb. 2009 to
April 2009. Instead of being sentenced, Shadbolt changed his plea to not guilty.
Section 151.1 of the Canadian Criminal Code states that Sexual Interference: ―touches
directly or indirectly part of the body, or with an object, any part of the body of any
person under the age of 16.‖
Shadbolt appeared before Judge Peter Johnston at the Wainwright Provincial Court while
remanded in custody awaiting his next court appearance for a different sexual assault,
criminal harassment, forcible confinement and other charges from a August 15 incident
near Saskatoon.
Shadbolt’s defense counsel originally pled guilty to sexual assault from the Provost
incident during Shadbolt’s first appearance, July 8, 2010. During the trial date of
December 9, 2010, he also entered a plea of guilty.
There have been several court dates for sentencing set over since Dec. 9, 2010, until
September 1, 2011.
During the time between December and September he has been charged twice for
breaching the conditions of his release.
On September 1, Provincial Circuit Court Judge Peter Johnston accepted a not-guilty plea
after defense counsel requested the change of plea.
The court has now set aside time for a trial sometime in the future. When the matter goes
to trial has yet to be released.
Star News contacted the Wainwright RCMP about what a trial will do to the 15-year old
victim, who was 12 at the time of the assault.
―It has put the victim under a large amount of undue stress, after hearing the guilty plea,
and now a not-guilty plea,‖ said Sgt. Lane Newton, detachment commander. ―She now
has to go through the process of a trial.‖
7 SEPTEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-quotidien/le-quotidien-du-jour/201109/07/014432205-justin-mailloux-accuse-dagression-sur-9-enfants.php
Justin Mailloux accusé
d'agression sur 9 enfants
Isabelle Tremblay
Le Quotidien
(ROBERVAL) Le dossier de l'homme d'affaires bien connu de Normandin, Justin
Mailloux, a été remis au 11 octobre pour orientation. La Couronne a divulgué
l'ensemble de la preuve dans ce dossier hier au Palais de justice de Roberval.
«Je vais analyser les documents et je verrai ensuite à prendre position. Mon client est
convaincu de son innocence. Il est âgé de 78 ans», commente son avocat, Me Gilles
Boivin.
Mailloux est formellement accusé d'agressions sexuelles sur neuf enfants, dont cinq
garçons. Le septuagénaire aurait agi pendant plus de 20 ans et fait maintenant face à 18
chefs d'accusation. Il est question principalement d'attouchements et d'agressions
sexuelles, ainsi que d'attentat à la pudeur et grossière indécence.
Les événements se seraient produits entre1973 et 2010. La plupart des gestes qui lui sont
reprochés seraient survenus dans les années 70 et 80.
Rappelons que Justin Mailloux était commerçant de machineries agricoles. Il a aussi
oeuvré en tant qu'organisateur politique au niveau provincial. Pendant des années, il a
tenu un foyer d'accueil pour enfants en difficulté référés par la Direction de protection de la
jeunesse (DPJ).
Cousin du père du Doc
Justin Mailloux est un cousin du père du psychiatre Pierre Mailloux. En entrevue sur les
ondes de la station Radio X hier matin, le Dr Mailloux s'est dit surpris de toute cette
histoire.
«Je suis surpris, car je ne savais pas qu'il pouvait y en avoir dans la famille, mais j'ai
toujours dit qu'un pédophile peut être un monsieur tout le monde. La plupart du temps, on
ne peut pas le prédire», confiait le Dr Mailloux à l'animateur Carl Monette.
Le psychiatre Mailloux n'avait pas revu Justin Mailloux depuis une vingtaine d'années. «Je
l'ai rencontré au commerce à l'époque. Il est issu d'une très grande famille».
C'est le 14 août, alors qu'il était en route pour le Lac-Saint-Jean avec sa soeur et qu'il était
de passage à l'Étape, qu'il a appris par hasard que son petit cousin avait fait l'objet d'une
enquête pour des agressions sexuelles sur des enfants. «Ce fut la surprise la plus totale
pour des membres de la famille. À ce que l'on sache, Justin avait une vie stable. Il a une
femme et des enfants. Il n'y avait pas d'indicateur à l'effet qu'il aurait de tels gestes. De
plus, c'est un personnage public, très social, avec beaucoup d'entregent et qui ne vit pas
en retrait. Qui ne connaît pas Justin Mailloux au Lac-Saint-Jean», commentait le doc
Mailloux.
8 SEMPTEMBRE 2011
Article tiré de : http://tvanouvelles.ca/lcn/judiciaire/archives/2011/09/20110908133837.html
Tortionaire et agresseur sexuel :
Jacques Vachon aura-t-il un
nouveau procès?
Première publication 8 septembre 2011 à 13h38
TVA Nouvelles
La Cour d'appel a pris en délibéré la requête de Jacques Vachon, un sexagénaire condamné pour des
sévices sexuels et physiques en série sur cinq personnes, qui demande d'avoir un nouveau procès.
Mal défendu
Vachon fonde sa demande sur le fait que, selon lui, son avocat l'avait mal défendu à son procès, qui
se tenait à l'automne 2008, en ne lui permettant pas de témoigner. D'ailleurs, cet avocat a depuis été
radié du Barreau parce qu'il avait tendance à négliger les causes de ses clients qui le payaient mal.
Exceptionnellement, Vachon avait pu obtenir une réouverture de procès pour livrer son témoignage,
mais il n'avait guère impressionné le juge, qui avait maintenu le verdict de culpabilité.
La Couronne s'oppose
La Couronne, de son côté, s'est opposée à la tenue d'un nouveau procès contre Jacques Vachon.
Premièrement, pour éviter que les victimes aient à revivre les affres d'un témoignage et,
deuxièmement, parce qu'elle estime que la preuve est tellement écrasante qu'un nouveau procès ne
changerait rien à la condamnation de Vachon.
De 1977 à 2008, Vachon a littéralement fait vivre l'enfer à des conjointes et à la fille mineure d'une
d'entre elles, les agressant physiquement et sexuellement à de multiples reprises.
En cours de procédures, une de ses présumées victimes s'était suicidée après avoir témoigné contre
lui.
9 SEPTEMBRE 2011
Article tiré de :
http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/justice-et-faits-
divers/201109/09/01-4432861-affaire-jacques-vachon-le-travail-de-lavocat-denonce-en-courdappel.php
Affaire Jacques Vachon: le travail
de l'avocat dénoncé en Cour
d'appel
Jacques Vachon
PHOTOTHÈQUE LE SOLEIL
Richard Hénault
Le Soleil
(Québec) La Cour d'appel a pris en délibéré, jeudi, le pourvoi de Jacques Vachon,
l'individu qui demande la tenue d'un nouveau procès après avoir été condamné à 23
ans de pénitencier pour avoir infligé d'importants sévices physiques et sexuels à cinq
femmes.
L'avocat de l'homme de 66 ans de Saint-Just-de-Bretenières, Me Alain Dumas, a plaidé
que ce dernier n'a pas été représenté adéquatement par son avocat lors de son procès
tenu en octobre 2008.
Selon Me Dumas, le juge a commis une erreur en obligeant Vachon à être défendu par un
avocat en qui il n'avait pas confiance et en lui refusant la remise du procès pour lui
permettre de s'en trouver un nouveau. Reconnu coupable par un comité de discipline
d'avoir été négligent envers des clients, cet avocat a ensuite démissionné du Barreau.
Selon Me Dumas, la «preuve la plus éclatante» que l'avocat de Vachon n'avait pas préparé
son dossier a été faite lorsqu'il a reconnu avoir ignoré que le sexagénaire avait déjà été
acquitté de l'un des chefs d'accusation auxquels il faisait face.
«Ça n'a pas de sens, au Québec, d'être condamné à 23 ans d'incarcération sans avoir été
représenté par un avocat», a lancé Me Dumas aux trois juges de la Cour d'appel. À la suite
du verdict de culpabilité, Vachon s'est en effet retrouvé sans avocat pour les
représentations sur la peine, aucun avocat de pratique privée n'acceptant le mandat et
ceux de l'Aide juridique devant y renoncer parce que l'un d'eux avait déjà représenté une
victime de l'accusé. L'individu a alors été livré à lui-même pour rendre un témoignage qui
s'est révélé parfaitement inutile.
Vu l'incompétence et l'absence de préparation de cet avocat, qui a même pris des
décisions allant à l'encontre de son client, Vachon avait bien raison de ne pas avoir
confiance en lui, a soutenu Me Dumas.
En réplique, la procureure de la Couronne, Me Nadine Dubois, a indiqué qu'au premier jour
du procès, Vachon s'est dit prêt à plaider coupable si le ministère public acceptait de
suggérer qu'il écope d'une peine de sept ans pénitencier. «Qu'on refasse quatre ou cinq
fois ce procès et l'on aura le même résultat», a soutenu Me Dubois en rappelant aux juges
la preuve accablante contre Vachon. De plus, a-t-elle ajouté, Vachon n'a jamais réitéré son
absence de confiance envers son avocat, même lorsque celui-ci a annoncé qu'il n'avait
aucune défense à présenter au procès, privant ainsi son client de livrer sa version, tel qu'il
le souhaitait.
Lourd fardeau
Par ailleurs, d'ajouter la procureure, une répétition du procès représenterait un fardeau
extrêmement lourd pour toutes les victimes de l'agresseur. Ces arguments, selon Me
Dubois, devraient faire en sorte que la situation soit considérée comme si exceptionnelle
qu'un rejet de l'appel Vachon se révèle la décision la plus appropriée.
Le juge François Doyon a tenu à rappeler à la procureure que le droit pour un accusé de
récuser son avocat a été confirmé par la Cour suprême. «Au Canada, avant de condamner
quelqu'un à 23 ans de pénitencier, n'a-t-on pas l'obligation de s'assurer que son procès a
été équitable?» a demandé le juge Doyon sans attendre la réponse allant de soi.
Dans l'éventualité où la Cour d'appel rejette son pourvoi principal, Me Dumas a demandé
que la peine de Vachon soit réduite à 10 ans de pénitencier sans obligation d'en purger la
moitié.
10 SEMPTEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201109/09/01-4433029-le-mari-dune-proprietaire-de-garderie-soupconne-dabussexuel.php
Publié le 09 septembre 2011 à 11h07 | Mis à jour le 10 septembre 2011 à 09h06
Le mari d'une propriétaire de garderie
soupçonné d'abus sexuel
Caroline Touzin
La Presse
Le conjoint d'une propriétaire de garderie en milieu familial de Pierrefonds, soupçonné
d'avoir incité l'une des enfants à lui faire des attouchements sexuels, devra rester derrière
les barreaux jusqu'à son procès.
Kimberly Byron Moskalewski n'offrait pas de garanties suffisantes qu'il ne récidiverait pas s'il
était mis en liberté, a estimé le juge. De plus, sa libération aurait miné la confiance du public
dans l'administration de la justice, selon le magistrat.
Déjà accusé de possession, de production et de distribution de pornographie juvénile,
l'homme de 52 ans a fait l'objet d'une nouvelle accusation, celle d'incitation à des contacts
sexuels, vendredi, au palais de justice de Montréal.
La procureure de la Couronne, Carolyne Paquin, a fait cette annonce avant de commencer
l'enquête sur cautionnement. La fillette aurait été victime d'un crime sexuel entre 2006 et
2008, selon la dénonciation.
L'homme, programmeur informatique au Canadien National, a été arrêté le 8août dernier.
Les policiers ont saisi plusieurs ordinateurs à son domicile. En faisant une analyse sommaire
du contenu de l'un d'eux, ils ont trouvé des centaines de photos et de vidéos de
pornographie juvénile. L'analyse complète n'a pas encore été réalisée.
À la demande de la Couronne, Brigitte Guérard, enquêteuse au module de lutte contre
l'exploitation sexuelle des enfants de la police de Montréal, a témoigné longuement,
vendredi, des circonstances entourant l'arrestation de l'accusé.
De son côté, l'avocat de la défense, Robert Bellefeuille, a fait témoigner la soeur de l'accusé
et l'un de ses fils.
Un interdit de publication nous empêche toutefois de révéler la teneur de ces témoignages.
La conjointe de l'accusé est propriétaire depuis 1996 d'une garderie en milieu familial de
moins de six enfants dont elle a fermé les portes à la suite de l'arrestation de M.
Moskalewski. L'accusé retournera en cour le 26septembre pour la suite du processus
judiciaire.
Pas d'intervention du Ministère
Ce rebondissement survient peu après la publication, cette semaine dans La Presse, d'un
reportage qui montre qu'une dizaine de garderies en milieu familial, visitées au hasard à
Montréal, comportent des dangers immédiats pour les enfants.
Québec refuse d'inspecter les garderies en milieu familial qui accueillent six enfants ou
moins, même si l'État finance jusqu'à 75% du coût de leurs services. Seules celles qui
accueillent plus de six enfants sont assujetties aux règles fixées par l'État.
Malgré cette nouvelle histoire troublante, la ministre de la Famille, Yolande James, n'a pas
l'intention de modifier cette règle. «Même si on encadrait les garderies qui ont un seul
enfant, on ne serait pas à l'abri de cas malheureux comme celui qui se trouve devant la cour
actuellement», a dit son attachée de presse, Geneviève Hinse.
11 SEPTEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.globaltvbc.com/canada/three-yearold+kienan+hebert+found+safe+returned+by+suspect+police/6442479394/story.html
B.C. family thankful abducted boy
returned unharmed; search on for
abductor
Bill Graveland,
Sunday, September 11, 2011 10:57 PM
SPARWOOD, B.C. - With the resilience of a three year-old, Kienan Hebert is back to playing
with his brothers and sisters, happily running around as police continue their search for a
suspect who snatched the boy from his Sparwood, B.C., home and mysteriously returned
him there unharmed five days later.
His weeping parents appeared before the media Sunday to thank all who supported them
during the gruelling hours and days following their son's abduction last Wednesday, including
police and community volunteers.
But the boy's father, Paul Hebert, had a special thank you for "the person" who brought his
little boy home Sunday morning. Police allege that person was the abductor _ convicted sex
offender Randall Hopley.
"To the person who returned Kienan to our family I'd like to say thank you," Paul Hebert
sobbed. "It was the right thing to do. I thank God that Kienan was returned unharmed."
RCMP Cpl. Dan Moskaluk said medical personnel assessed the boy and found him unhurt,
in good spirits and happy to be reunited with his family.
Moskaluk's announcement generated a loud cheer from several of the volunteers who had
searched for Kienan and had packed the tiny tent where the news conference was taking
place.
Paul Hebert — who appeared almost stoic before the media over the five days since his child
vanished — had difficulty speaking.
"Thank you, thank you," he managed to say before breaking down in tears. His wife, Tammy,
sat beside him, tears running down her face.
Police received an anonymous call around 3 a.m. local time Sunday morning telling them
where to find the boy.
Moskaluk said the most troubling thing was that the caller told police they could find Kienan
in his own home.
"Taking the child undetected and then placing him back undetected certainly is a chilling
prospect," Moskaluk admitted.
The family wasn't home at the time and were staying with a neighbour. The house, which
had been surrounded by yellow police tape since the boy's disappearance, had been
thoroughly searched by investigators.
After the boy's return, the police tape was placed around the entire block. Later in the day
investigators were scouring the house once again for more forensic evidence.
No one saw Kienan taken some time last Wednesday morning and no one witness his
return.
"This young boy was returned by an abductor. In 26 years of policing I have never seen this,"
said an emotional Moskaluk. "The little guy appears to be in good health. Little guys like this
are very resilient.
"To the rest of the world 9-11 means New York. 9-11 to me means Kienan Hebert."
Moskaluk also had a message for Hopley.
"Randall, if you're listening, you need to reach out to the police," he said.
"We're not going to put any other children at risk. We want this to be completed."
Roadblocks were set up on the highways in and around Sparwood. RCMP officers stopped
hundreds of vehicles, checking in back seats and ordering drivers to pop their trunks to make
sure that Hopley was not catching a ride.
Word of Kienan's return spread quickly throughout Sparwood, a coal mining town of about
4,000 surrounded on all sides by mountains and trees. The community had mustered
hundreds of volunteers to search the area around the Hebert home.
"I'm rather ecstatic right now. When we heard the news first thing this morning we were
already up planning for today's operations. In this case, a little boy being brought back —
man, it's excellent," said search and rescue spokesman Jeff Smedley.
Sparwood's acting mayor Sharon Fraser paid the Hebert family a visit early Sunday morning.
"I've never heard of this happening. I've never heard of a child being abducted and then
returned right back to the home. So to me it's nothing short of a big miracle," said Fraser. "It
just scares the heck out of you period."
Former Sparwood mayor David Wilks, now the Conservative MP for the area, worked as an
RCMP officer in Sparwood before entering politics.
Wilks, who attends church with the Hebert's, said he remembers dealing with Hopley in his
policing days and admits the circumstances are disturbing.
"Is there another child next? He's still out there," shrugged Wilks.
"He has the uncanny ability to get into a house and back out with everyone in it and not only
take a child but deliver the child back," he added.
But Wilks had been optimistic that Kienan would be delivered home safely.
"I felt that he would not harm him but for whatever reason he wanted him to be with him."
The boy's father called his pastor shortly after Kienan was found Sunday morning.
Pastor Ron Rutley of the Sparwood Fellowship Baptist Church gave thanks for Kienan's safe
return in his Sunday morning sermon.
"It's just like a dream. Lord we thank you that Kienan is home safe. We pray for him right
now," said Rutley.
"Lord we come before you with bittersweet hearts. Sweet for you have heard our prayers and
answered them and bitter because we struggle to understand why those prayers had to be
uttered at all."
On Saturday, the boy's parents brushed away tears as Moskaluk confirmed that their son
was kidnapped from his home in this scenic close-knit mountain community. The boy has a
history of sleepwalking, and many were hoping he had perhaps just wandered away.
Clasping his wife's hand tightly under the table, Paul Hebert had a message for Kienan's
suspected captor saying they only wanted their son returned unharmed.
Police said a second abduction attempt happened at another home on the evening Hebert
went missing. A suspect tried unsuccessfully to lure another child out of the home.
Hopley, 46, was convicted of sexual assault in the mid-1980s and was given a two-year
federal prison sentence.
An incident in November 2007 led to charges of break and enter, unlawful confinement and
attempted abduction, and the indictment for the case indicated the victim was under 16 years
old.
B.C.'s Criminal Justice Branch has confirmed Hopley pleaded guilty to break and enter and
was sentenced to 18 months in jail, while the other charges were stayed.
Crown spokesman Neil MacKenzie said Hopley admitted at trial that he attempted to abduct
a 10-year-old boy, who was in foster care at the time. Hopley claimed he was acting on
behalf of the child's parents.
12 SEPTEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.pointdevuesainteagathe.com/Actualites/Faits-divers/201109-12/article-2746450/Nouvelles-accusations-d%26rsquo%3Bagression-sexuelle-contreDaniel-Labelle/1
Nouvelles accusations d’agression
sexuelle contre Daniel Labelle
Daniel Labelle, un pédophile récidiviste, a été arrêté le 6 septembre. Photo: Gracieuseté
Publié le 12 Septembre 2011
Brigitte Bertrand
Des accusations d‘agression sexuelle, d‘incitation à des contacts sexuels et de prostitution
de mineur ont, entre autres, été déposées contre Daniel Labelle, le 12 septembre dernier au
Palais de Justice de Saint-Jérôme.
Le Service de police de la Ville de Mont-Tremblant avait procédé le 6 septembre dernier à
son arrestation. Munis de plusieurs mandats de perquisition, les enquêteurs se sont
présentés à sa résidence de Mont-Tremblant où ils ont saisi des appareils électroniques, des
cassettes vidéo, 36,2 g de cannabis et du matériel destiné à la vente de stupéfiants. C‘est
suite à l‘analyse du matériel informatique saisi que les enquêteurs du Service de police de la
Ville de Mont-Tremblant ont réussi à retrouver de nouvelles victimes. Rencontrées par les
policiers, ces dernières ont décrit avoir subi des sévices sexuels de Daniel Labelle.
L‘individu récidiviste était sous le coup d‘une ordonnance de la cour l‘empêchant d‘être seul
en présence d‘enfants. Il avait déjà comparu le 7 septembre au palais de justice de SaintJérôme pour répondre à des accusations d‘agression sexuelle sur mineurs, bris de
conditions et possession de drogues dans le but d‘en faire le trafic. L‘enquête sur la caution
a été remise et le suspect est toujours derrière les barreaux.
Selon le Service de police, il est possible que Daniel Labelle ait fait d‘autres victimes. Si vous
croyez que des enfants de votre entourage peuvent avoir été victimes de cet homme,
communiquez avec votre service de police.
Le Service de police de la Ville de Mont-Tremblant tient à préciser que cette arrestation n‘est
pas reliée aux dossiers de tentatives d‘enlèvement survenues au courant de l‘été et que les
enquêteurs sont toujours à la recherche d‘un suspect et que cette enquête demeure
prioritaire.
13 SEPTEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.country95.fm/news/news-detail.asp?ID=4320
Coaldale Man Faces Sex Assault Charges
Tuesday, September 13, 2011
Posted at 3:51:56 PM
Source: Dori Modney -- Country 95 News
COALDALE: A Coaldale man has been released from custody, with conditions, after being charged with twocounts each of sexual assault and sexual interference.
26-year old Barry Vincent White is to appear in court September 29th. In the meantime, he is stay away from his
alleged victims and any locations where children under 14 may be present, including parks, schools and pools.
Early in September, Regional Police received a report that White had fondled two girls aged 10 and 12. The
incidents allegedly occurred between June and November of 2010.
The victims are members of a family acquainted with the accused.
14 SEPTEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/justice-et-faitsdivers/201109/14/01-4447649-un-homme-recherche-pour-agression-sexuelle.php
Un homme recherché pour
agression sexuelle
L'homme recherché a les yeux et les cheveux bruns, est âgé d'environ 35 ans, a le visage marqué par
l'acné, mesure environ 5'9'' et pèse 175 livres.
SÛRETÉ DU QUÉBEC
Matthieu Boivin
Le Soleil
(Québec) La police de Québec sollicite l'aide de la population afin de retrouver un
individu qui a agressé sexuellement une femme de 20 ans à la pointe d'une arme
blanche, le 25 août dernier, vers 15h, près du Patro de Charlesbourg, dans le secteur
de la 79e Rue et du boulevard Mathieu.
Mercredi après-midi, la police a distribué dans les médias le portrait-robot du suspect qui a
été établi à l'aide du témoignage de la victime.
L'homme en question a les yeux et les cheveux bruns, est âgé d'environ 35 ans, a le
visage marqué par l'acné, mesure environ 5'9'' et pèse 175 livres. Au moment de
l'agression, il portait un manteau imperméable court de couleur noire et des pantalons de
jogging.
Tout renseignement concernant cette personne peut être transmis à la police de Québec
au 9-1-1 pour une intervention immédiate, ou de façon confidentielle, au 418 641-2447.
15 SEPTEMBRE 2011
Article tiré de :
http://www.nunatsiaqonline.ca/stories/article/65674new_brunswick_man_charged_with_se
xual_assault_in_qikiqtarjuaq/
NEWS: Nunavut September 15, 2011 - 4:15 pm
New Brunswick man charged with
sexual assault in Qikiqtarjuaq
Woman receiving treatment at Qikiqtani General Hospital
NUNATSIAQ NEWS
(updated 9:30 a.m., Sept. 16)
A 37-year-old man from Miramichi, New Brunswick faces a charge of aggravated sexual
assault in connection with an incident alleged to have occurred just before 5:15 a.m. Sept. 14
in Qikiqtarjuaq, Nunavut RCMP said in a Sept. 15 news release.
A woman is now receiving treatment at Qikiqtani General Hospital for non-life-threatening
injuries, police said.
Cpl. Kevin Lewis of RCMP ―V‖ division said the New Brunswick man, who is now in police
custody, was a worker in the community.
Ashley Sherrard, 37, of Miramichi, N.B. has been charged with one count of aggravated
sexual assault, RCMP said in a Sept. 16 news release. He will appear before the Nunavut
Court of Justice for a bail hearing Sept. 16 in Iqaluit.
16 SEPTEMBRE 2011
Article tiré de : http://thechronicleherald.ca/front/21556-cross-burning-victim-chargedsexual-assault
Cross-burning victim charged with
sexual assault
September 16, 2011 - 4:16pm By STEVE BRUCE Court Reporter
One of the victims of a cross-burning in Hants County that made national headlines last year
now
stands
accused
of
sexual
assault.
Shayne Archie Howe, formerly of Poplar Grove but now of Lower Sackville, was arrested
Aug.
27
after
police
received
a
complaint
from
a
woman.
Howe, 32, was subsequently charged with sexual assault and assault causing bodily harm.
Police allege the offences were committed Aug. 20 in Lower Sackville. The woman's identity
is
banned
from
publication.
Howe spent two nights in custody before he appeared in Dartmouth provincial court, where
the Crown consented to his release on a $5,000 recognizance with a surety.
He must remain in Nova Scotia and reside at an address on Mandaville Drive in Lower
Sackville. He has to follow a 10 p.m. to 5 a.m. curfew, can't possess any weapons and is not
allowed to have any contact with the complainant or go within 100 metres of her home.
Howe
is
due
back
in
Dartmouth
court
on
Oct.
7.
According to court records, Howe has 15 criminal convictions, including one from 2005 for
robbery,
for
which
he
was
sentenced
to
two
years
in
prison.
He has three convictions each for break and enter and possession of stolen property and
has also been convicted of assault, theft, fraud, dangerous driving, property mischief,
breaching
probation
and
breaching
court
orders.
He was supposed to stand trial in Halifax provincial court last month on an allegation of
uttering threats against a woman, but the Crown offered no evidence so the charge was
dismissed.
Howe and his former common-law partner, Michelle Lyon, were jarred from their sleep just
after midnight on Feb. 21, 2010, to find a large wooden cross burning on the front lawn of
their home in Poplar Grove. They also heard someone yelling racial slurs. Howe is black and
Lyon
is
white.
Two distant cousins of Lyon from the area, brothers Nathan and Justin Rehberg, were
identified
as
suspects
and
arrested
within
days.
Last January, the Rehbergs were both sentenced to two months in jail for inciting hatred and
criminal harassment. They were also placed on probation for 30 months and ordered to
perform
50
hours
of
community
service.
The brothers have insisted all along that the cross-burning was not a racist act but merely
revenge against Howe and Lyon for spreading rumours about them having herpes.
Nathan Rehberg was back in the news last month, when he was picked up by police for
having a stolen all-terrain vehicle. After spending five days in custody, the 21-year-old
pleaded guilty to possession of stolen property and was given an additional 25 days in jail.
The Crown dropped a charge of breaching probation.
17 SEPTEMBRE 2011
Article tiré de :
http://www2.canada.com/calgaryherald/news/city/story.html?id=2bf3603b-44f6-4797-8dbb1980043ccbed
Man charged in 1970s sex assault
case
Sherri Zickefoose, Calgary Herald
Published: Saturday, September 17, 2011
A 70-year-old Red Deer man has been charged in a decades-old sex assault case.
RCMP say the former Riverglen School teacher is alleged to have had an inappropriate
sexual relationship with a 12-year-old student between 1975 and 1977.
Police launched an investigation in May 2010 after receiving a complaint.
The sexual contact allegedly continued until the victim was 15, according to police.
Warren Fertig, 70, of Red Deer, has been charged with sexual assault and sexual
intercourse with a minor.
Fertig was released on $50,000 cash bail.
He will appear in Red Deer provincial court on Nov. 3.
szickefoose@calgaryherald.com
© Calgary Herald 2011
18 SEPTEMBRE 2011
Article tiré de : http://beaconnews.ca/calgary/2011/09/counselor-charged-with-sexualassault/
Counselor charged with sexual assault
Kharl Prado | September 18, 2011 | 0 Comments
ABA Counseling Services counselor Michael Anthony has been charged for sexually
assaulting a client and has been released on a number of conditions while awaiting his first
court appearance on October 12.
Anthony practiced in a number of B.C. locations including Prince George, Dawson Creek,
Williams Lake and Fort St. John. The RCMP is yet to confirm that this was an isolated
incident and are encouraging individuals possessing related information to contact the Fort
St. John Serious Crime unit at 250-787-8140.
If you have information regarding this incident or any other incident and wish to remain
anonymous, call Crime Stoppers at 1-800-222-8477 or via the web at
www.crimestoppersnebc.ca at any time.
A cash reward of up to $2,000 is being offered in exchange for any information which can
lead to an arrest and charge.
19 SEPTEMBRE 2011
Article tiré de :
http://www.roberval.planeteradio.ca/article_imprimable.php?article=20110919065236
Jean-Yves Claveau accusé d'agression
sexuelle sur une mineure
Le 19 septembre 2011 - 06:52 | inforoberval@rncmedia.ca
Jean-Yves Claveau, un homme bien connu à Saint-Bruno, est accusé d'attouchements et
d'agression sexuelle sur une mineure.
Il aurait procédé à des attouchements sur une adolescente de 16 ans et l'aurait agressé
sexuellement de façon répétée entre le 20 février et le 24 avril 2011.
Jean-Yves Claveau est le fonctionnaire responsable des travaux publics à Saint-Bruno. Il
est aussi bien connu pour être le vice-président du Tournoi de hockey Bantam.
Il vient tout juste de réintégrer ses fonctions à la municipalité, puisqu'il avait été suspendu
par son employeur pour une raison qui n'a pas été dévoilée.
L'homme de 52 ans reviendra en cour le 27 octobre prochain. Son avocat, Me Stéphane
Ouellet, n'a pas voulu commenté.
20 SEPTEMBRE 2011
Article tiré de :
http://www.langleyadvance.com/news/parole+Paper+Rapist/5431002/story.html
No parole for Paper Bag Rapist
John Horace Oughton isn't expected to be release from prison
soon
BY MATTHEW CLAXTON, LANGLEY ADVANCE SEPTEMBER 20, 2011
The man dubbed the Paper Bag Rapist has again had his parole hearing cancelled.
John Horace Oughton, now in his early 60s, has been in prison classified as a dangerous
offender since the 1980s.
By law, he is granted a parole hearing every two years, but the hearings are often cancelled
at the last minute.
Oughton was convicted of 14 sex crimes committed over a period of eight years in Langley
and a number of other Lower Mainland communities.
Police suspected him of up to 150 assaults on women and young girls over an 11-year
period.
His nickname came from bags he wore as masks, or forced his victims to wear during
attacks.
mclaxton@langleyadvance.com
© Copyright (c) Langley Advance
21 SEPTEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201109/21/01-4449925-la-liberation-de-benoit-guay-revoquee.php
La libération de Benoît Guay
révoquée
Benoît Guay a été condamné à 8 ans de prison en 2007 pour avoir agressé huit adolescentes et jeunes femmes en 14 mois.
Caroline Touzin
La Presse
À sa sortie de prison, Benoît Guay, ancien policier qui a agressé sexuellement huit jeunes femmes,
s'est mis à fréquenter l'université avec l'approbation de son agente de libération conditionnelle.
Libéré l'hiver dernier, mais toujours considéré comme dangereux, il devait avertir son agente de toute
rencontre «non fortuite» avec une femme. Or, en juin, sans en parler à personne, il est allé prendre un
café avec une étudiante de 21 ans rencontrée à l'université.
Ce manque de transparence vient de lui coûter sa liberté. Mercredi, au cours d'une audience au Centre
fédéral de formation, à Laval, sa libération d'office a été révoquée. «Votre retour en collectivité représente
un risque inacceptable», ont tranché les commissaires.
Ressemblance avec les victimes
L'étudiante, mince jeune femme aux cheveux châtain clair, ressemble physiquement aux victimes de
Guay, ont relevé les commissaires. Ce manquement est «extrêmement grave» puisqu'il est en lien avec
ses crimes, ont-ils conclu.
En juin dernier, la jeune femme, qui avait été bénévole à la maison de transition où a vécu l'ancien policier
à sa sortie de prison, l'a croisé dans un corridor de l'université et l'a reconnu.
Ils ont bavardé un peu et ont décidé de poursuivre leur discussion devant un café le lendemain. Durant
deux heures, ce vendredi-là, Guay lui a parlé de son passé de «spécialiste de la filature» à la police de
Montréal en plus de lui décrire ses crimes.
Selon les conditions de sa libération d'office, l'ancien policier aurait dû parler de ce rendez-vous à son
agente de libération conditionnelle. La jeune femme, elle, s'en est vantée à un ami policier. Ce dernier,
inquiet, a alerté les autorités.
«J'ai baissé ma garde. Je me suis piégé moi-même», a dit Guay pour expliquer l'incident, mercredi. Cette
réponse a visiblement irrité la commissaire Anne-Marie Asselin, qui lui a reproché ses «phrases creuses».
«Si elle avait eu 60 ans, vous ne l'auriez pas invitée à prendre un café. C'est là que ça devient
dangereux», a dit la commissaire. Guay lui a répondu qu'il n'avait aucune mauvaise intention et qu'il aurait
fait la même invitation à une femme de 60 ans.
«C'est l'histoire de votre vie d'avoir une double vie. Vous avez leurré tout le monde autour de vous, vos
collègues policiers, votre conjointe», a ajouté la commissaire d'un ton désapprobateur.
L'ancien policier a été condamné à 8 ans de prison en 2007 pour avoir agressé huit adolescentes et
jeunes femmes en 14 mois. Il a menacé certaines d'entre elles avec son arme de service. Mettant à profit
ses connaissances acquises à titre de policier, il suivait ses victimes et les emmenait à l'écart pour les
agresser.
Motivé par l'université
«Ça ne se reproduira plus jamais», a assuré l'ancien policier aux commissaires. Il jure que la thérapie pour
délinquants sexuels qu'il a suivie à l'Institut Philippe-Pinel a porté ses fruits. Il leur a demandé de ne pas le
renvoyer en prison puisqu'il avait enfin trouvé sa place à l'université. «J'avais des notes exceptionnelles.
J'avais le sentiment de m'accomplir.»
L'ancien policier a eu sa leçon, a dit mercredi son agente de libération conditionnelle, qui estimait que la
révocation de la libération d'office n'était pas nécessaire. Les commissaires en ont décidé autrement, et
Guay devra rester en prison jusqu'en mai prochain.
En janvier dernier, alors qu'il avait purgé les deux tiers de sa peine, la CNLC l'avait libéré comme le prévoit
la loi. Convaincue que Guay avait toujours «un risque élevé de récidive dans des délits de semblable
matière, à savoir l'agression de jeunes filles», la CNLC lui avait imposé une série de conditions
particulières, dont celle concernant les rencontres «non fortuites» avec des femmes.
Sa peine se termine en octobre 2012. Toutefois, comme le tribunal l'a étiqueté «délinquant à contrôler», il
fera l'objet d'une surveillance des autorités jusqu'en 2022.
22 SEPTEMBRE 2011
Article tiré de :
http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faits-
divers/201109/22/01-4450347-un-pedophile-recidiviste-declare-delinquant-a-controler.php
Publié le 22 septembre 2011 à 15h49 | Mis à jour le 22 septembre 2011 à 15h49
Un pédophile récidiviste déclaré
«délinquant à contrôler»
Michael Allan Duncan a été arrêté à Barrie en octobre 2007 grâce à la présence d'esprit d'une mère de famille, dont il était le
colocataire. Celle-ci a découvert du matériel pornographique juvénile dans l'ordinateur de Duncan et a alerté la police.
PHOTOS.COM
Caroline Touzin
La Presse
Le pédophile Michael Allan Duncan est convaincu que ses plus récentes victimes, quatre fillettes
âgées de sept, neuf et dix ans, lui ont fait des avances.
«Je trouve cela assez troublant que vous ayez pensé que des enfants de cet âge-là aient pu vous faire
des avances», lui a dit la juge Isabelle Rheault au moment de rendre son verdict sur la peine, ce jeudi, au
palais de justice de Montréal.
L'homme de 52 ans a ainsi été condamné à purger sept ans de prison, en plus d'avoir été déclaré
«délinquant à contrôler». Cette mesure exceptionnelle prévue dans le Code criminel fait en sorte que le
pédophile fera l'objet d'une surveillance stricte pour une période de dix ans après sa sortie de prison.
Duncan a agressé sexuellement à plusieurs reprises quatre petites filles, alors qu'il travaillait comme
concierge dans un immeuble à logements du quartier Côte-des-Neiges. Il vivait alors sous une fausse
identité puisqu'il était déjà recherché pour des crimes similaires commis à Toronto. Il aurait fait une dizaine
de victimes en trente ans.
À Montréal, Duncan se faisait appeler Jack Armstrong. En tant que concierge, il avait les clés d'un
logement vide. C'est là qu'il a agressé les fillettes, les forçant notamment à lui faire des fellations.
Les agressions ont eu lieu entre septembre 2004 et juin 2005. Soupçonnant que les petites filles allaient
finir par le dénoncer, l'homme s'est évaporé dans la nature. Lorsque les fillettes ont porté plainte, les
enquêteurs de la police de Montréal se sont mis à la recherche de «Jack Armstrong», sans succès.
En fouillant son appartement laissé vacant, la police a trouvé des mégots de cigarettes. Cette découverte
lui a permis de prélever l'ADN de l'agresseur.
La police de Montréal a alors lancé un mandat d'arrêt contre le pédophile à l'identité inconnue qui se faisait
passer pour «Jack Armstrong».
C'est finalement la police de Barrie en Ontario qui lui a mis la main au collet en octobre 2007 grâce à la
présence d'esprit d'une mère de famille.
Après s'être enfui de Montréal, Duncan était devenu le colocataire de cette mère qui élevait seule ses
deux jeunes enfants. Un jour, elle a découvert du matériel pornographique juvénile dans son ordinateur.
Cette femme a immédiatement appelé la police, craignant pour la sécurité de ses enfants.
En prélevant les empreintes digitales de Duncan, la police de Barrie a permis à ses confrères de Toronto
et de Montréal de découvrir la véritable identité du prédateur sexuel.
En 2009, Duncan a ainsi été condamné à trois ans de prison pour des crimes sexuels commis auprès de
jeunes victimes à Toronto. Il a alors dû fournir un échantillon d'ADN. Cela a permis à la police de Montréal
de confirmer hors de tout doute qu'il s'agissait bien du même pédophile qui avait laissé de vieux mégots de
cigarettes dans son logement du quartier Côte-des-Neiges avant de disparaître.
En avril dernier, il a finalement plaidé coupable à quatre chefs d'agression sexuelle sur les quatre petites
Montréalaises. La procureure de la Couronne, Me Rachelle Pitre, avait alors présenté une requête pour
qu'il soit déclaré délinquant à contrôler. La poursuite réclamait une peine sévère de huit à dix ans de
prison.
Dans son rapport, la psychologue chargée d'évaluer l'accusé a souligné que Duncan blâmait jusqu'à un
certain point les victimes pour ce qui est arrivé. Il se disait toutefois prêt à recevoir de l'aide. Ce rapport n'a
pas été contesté par la défense, qui elle, réclamait sept ans moins le temps passé en détention préventive
(13 mois).
L'accusé, originaire de Kingston en Ontario, a une longue feuille de route criminelle. Sa première
condamnation pour avoir agressé sexuellement un enfant remonte à 1986.
23 SEPTEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201109/23/01-4450861-un-homme-arrete-pour-production-de-pornographiejuvenile.php
Un homme arrêté pour production
de pornographie juvénile
Éric Rivard fait face à huit chefs d'accusation de production, de distribution et de possession de
pornographie juvénile ainsi que d'agression sexuelle sur un enfant de moins de 16 ans et d'incitation à des
contacts sexuels.
PHOTO: SQ
Émilie Bilodeau
La Presse
L'équipe d'enquête sur l'exploitation sexuelle des enfants sur Internet de la Sûreté du
Québec a arrêté un homme de 33 ans pour des crimes reliés à la pornographie
juvénile.
Éric Rivard a comparu, aujourd'hui, au palais de justice de Salaberry-de-Valleyfield. Il fait
face à huit chefs d'accusation de production, de distribution et de possession de
pornographie juvénile ainsi que d'agression sexuelle sur un enfant de moins de 16 ans et
d'incitation à des contacts sexuels.
Ce sont les policiers de l'Ontario qui ont rapporté une conversation entre un suspect et Éric
Rivard à la Sûreté du Québec. Rivard y faisait état de contacts sexuels avec une fillette.
Une enquête en sol québécois a alors été déclenchée et l'homme a été arrêté à sa
résidence de la rue Bonaventure, à Châteauguay.
Les enquêteurs évaluent le matériel saisi au domicile du suspect. D'autres accusations
pourraient être portées.
24 SEPTEMBRE 2011
Article tiré de : http://news.saanj.net/ottawa-police-investigate-sexual-assault-in-sandyhill
Ottawa Police investigate Sexual
Assault in Sandy Hill
Saturday, September 24, 2011 - 14:07 Saanj News
Ottawa: The Ottawa Police Service Sexual Assault/Child Abuse Section is investigating a
report of a Sexual Assault that occurred on Friday, September 23, 2011 in the 100 block of S
weetland Avenue.
At approximately 4:00am, a 45 year old female was pulled to the ground and sexually
assaulted, sustaining minor injuries.
The male suspect is described as an English speaking black male, 30 to 40 years of age,
approximately 5‘4‖ (163 cm), with a chubby face, big round eyes, and short black hair. The
male was wearing a long sleeve white shirt, and black dress pants.
Anyone with information in regards to this incident is asked to call the Ottawa Police Service
Sexual Assault/Child Abuse Section at 613-236-1222, ext. 5944 or Crime Stoppers at 613233-8477 (TIPS) or toll free at 1-800-222-8477.
25 SEPTEMBRE 2011
Article tiré de :
http://www.globalnews.ca/sexual+assault+victim+files+7million+lawsuit+against+russell+wil
liams+opp/6442488999/story.html
Sexual assault victim files $7-million
lawsuit against Russell Williams, OPP
Sunday, September 25, 2011 5:46 PM
TORONTO - Reports that a woman bound and sexually assaulted by Russell Williams is
suing the convicted sex killer comes as no surprise to one of the former colonel's lawyers.
A lawsuit reportedly filed by Laurie Massicotte also targets Williams' estranged wife and
Ontario provincial police.
Michael Edelson, who represented Williams in an intense week-long criminal trial last year,
said the suit is "not unexpected."
But the lawyer declined to discuss the document, saying he hasn't seen it _ nor has his client
called about it.
"I can't comment on something I haven't seen," he said Sunday.
OPP Sgt. Pierre Chamberland said he didn't have any information about the suit and also
couldn't comment on its allegations.
Massicotte, who chose to reveal her identity and speak publicly about her ordeal, could not
be reached for comment on Sunday. Neither could her lawyer, J. David M. Ross.
The Toronto Star reported Sunday she is seeking for $7 million in damages, including pain,
suffering and emotional and mental distress as a result of the assault in September 2009.
The Star said the suit was filed in Ontario's Superior Court of Justice on Friday.
The newspaper says the legal documents allege that once police responded to her 911 call,
they left Massicotte tied up for hours while they documented and gathered evidence of the
assault.
The paper also says the statement of claim accuses police of withholding information on the
identity of Massicotte's attacker for nearly five months, even though Williams was her
neighbour at the time.
Massicotte, a mother of two, has blasted police for not alerting the public to previous sexual
assaults and a string of fetish break-ins in the community.
The allegations have not been proven in court and no statement of defence has been filed _
nor has the suit been served.
Another of Williams' victims, whose name cannot be disclosed under a publication ban, has
filed a $2.45-million suit against him and his wife.
Williams was convicted in October of first-degree murder in the sex slayings of Cpl. MarieFrance Comeau, 37, of Brighton, Ont., and Jessica Lloyd, 27, of Belleville, Ont.
The former commander of Canada's largest military airfield also pleaded guilty to 82 fetish
break-and-enters and thefts as well as two sexual assaults.
Williams methodically chronicled and catalogued his crimes, shooting videos and still photos
of himself in the act and amassing a huge collection of undergarments stolen from women
and girls. Dozens of gruesome photos were shown during his trial.
He is currently serving a life sentence in Kingston Penitentiary with no possibility of parole for
25 years.
The Canadian Forces stripped him of his rank of colonel after his conviction.
His wife has since filed for divorce.
26 SEPTEMBRE 2011
Article tiré de :
http://www.lapresse.ca/la-tribune/regions/201109/26/01-4451429-un-
warwickois-accuse-dagression-sexuelle.php
Un Warwickois accusé d'agression
sexuelle
ARCHIVES LA TRIBUNE
Yanick Poisson
La Tribune
(VICTORIAVILLE) Jocelyn Chabot, un homme de 56 ans de la région de Warwick, a été
arrêté et a comparu au palais de justice de Victoriaville, afin de faire face à 13 chefs
d'accusation en lien avec des gestes de nature sexuelle qu'il aurait posé à l'endroit de
cinq présumées victimes d'âge mineur. Les gestes qui lui ont été reprochés
remonteraient aux années 80 et 90.
L'accusé a comparu une première fois au palais de justice de Drummondville, en août
dernier, puis son dossier a été transféré à Victoriaville.
Il fait face à divers types d'accusation dont, agression sexuelle, attouchements sexuels,
ainsi qu'incitation à des contacts de nature sexuelle sur des mineurs. Son dossier
reviendra devant le tribunal le 9 janvier.
27 SEPTEMBRE 2011
Article tiré de :
http://www.calgaryherald.com/news/Victim+frail+lifeless+sexual+torture+trial+told/5465543/
story.html
Victim was 'frail, lifeless,'
sexual torture trial told
BY JAMIE KOMARNICKI, POSTMEDIA NEWS SEPTEMBER 27, 2011
Dustin Ward Paxton
Photograph by: Calgary Police Services
CALGARY — The man prosecutors say was sexually tortured and held captive by Dustin
Ward Paxton was a "frail, lifeless body" when he was dropped off at a Regina hospital, the
man's girlfriend testified Tuesday.
"He looked like he had been starved," said the woman, describing the emaciated man's
sunken cheeks, scrawny arms and legs, and trail of wounds — some fresh, others infected
— spotting his body.
Paxton is charged with sexual assault, unlawful confinement and aggravated assault against
a 27-year-old male roommate and business partner.
The victim cannot be identified.
The victim's former girlfriend, who remained friends with him after they had a child together,
described his deteriorated condition over the period of the alleged torture and captivity.
She said he was healthy and happy when he left Winnipeg to work with Paxton in Calgary.
Soon after, he stopped answering her phone calls. Paxton told her the man had suffered a
workplace accident and was in the hospital.
The woman, who also had a brief sexual relationship with Paxton, travelled to Calgary,
staying in the men's home.
In the Calgary hospital, her ex-boyfriend was "very underweight. His eye socket was sunk
in," she testified before Justice Sheila Martin.
He had also dropped down to 120 pounds.
When the man was released from hospital, Paxton became agitated and angry, the woman
testified.
He snapped at his roommate over everyday things, such as not properly putting away
groceries, she said. Paxton once became so angry, he told the man to go to his room.
"Mr. Paxton treated him like a piece of crap," said the woman.
She visited the pair once more in January 2010. Her ex-boyfriend "looked sick. He was tiny.
His skin was yellow."
She said she next saw him that spring after he was dropped off at a Regina hospital, when
he was unconscious and badly injured. At times he didn't recognize her, and sometimes
seemed not to know his own identity, she testified.
Earlier Tuesday, during opening statements, Crown prosecutor Joe Mercier said he'll present
evidence Paxton mentally and physically dominated his roommate to the point the healthy
man became "completely submissive" to him.
Paxton and the victim met in Winnipeg, then moved to Calgary to open a moving business.
At the time, the victim weighed more than 200 pounds. When he was dropped off at a
Regina hospital about 18 months later, the man was malnourished. He weighed 90 pounds,
was suffering from food deprivation and had wounds all over his body, Mercier said.
Mercier said the trial is set to hear evidence Paxton began to "mentally and then physically
dominate," the victim shortly after they opened their Calgary business.
The trial is scheduled for five weeks. The Crown expects to call approximately 50 witnesses,
including an expert in human captivity.
Paxton, wearing blue jeans and a collared shirt, stood in the prisoner's dock, answering "not
guilty," as the charges were read to the court.
Paxton, 31, also faces charges of assault with a weapon and uttering threats against
Abraham Chutta, a former employee at Paxton's moving business, in the same trial.
In June, he was found not guilty of sexually assaulting, assaulting and confining a then-17year-old girl with whom he had a brief relationship more than two years ago.
28 SEPTEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201109/28/01-4452217-pornographie-infantile-les-enfants-ne-se-souviennent-pasplaide-laccuse.php
Pornographie infantile: «les
enfants ne se souviennent pas»,
plaide l'accusé
Gabriel Cantin a plaidé coupable, entre autres, à des accusations de production et possession de
pornographie infantile, attouchements sexuels et incitation à attouchements sexuels.
PHOTO FOURNIE PAR LE SPVM
Christiane Desjardins
La Presse
Électronicien à la retraite, Gabriel Cantin téléchargeait des images de pornographie
infantile en quantité industrielle, se filmait lui-même en train d'agresser une fillette de
3 ans, filmait à leur insu les visiteuses qui se servaient de sa salle de bains et les
enfants de l'école en face de chez lui. Ensuite, il classait méticuleusement toutes ces
images. Mais l'homme de 72 ans assure qu'il est «humainement impossible de tout
regarder» et jure qu'il ne recommencera plus.
«Pensez-vous qu'à 72 ans je vais recommencer pour finir mes jours en prison?», a lancé
Cantin, mercredi, alors qu'il témoignait dans le cadre des plaidoiries sur sa peine. La
procureure de la Couronne Rachelle Pitre demande huit ans de pénitencier pour le
septuagénaire, qui a plaidé coupable de production et de distribution de pornographie
infantile, de voyeurisme et d'agression sexuelle. Le rapport de personnalité et l'évaluation
psychosexuelle de l'accusé démontrent qu'il minimise ses gestes, qu'il est prompt à se
déresponsabiliser et qu'il pourrait récidiver.
«Crimes sévères»
C'est à l'été 2010, alors que le septuagénaire gardait la fillette à la demande des parents,
que les agressions sont survenues. Une vidéo de six minutes montre Cantin en train de
frotter son pénis sur la vulve de l'enfant, pour ensuite tenter de l'introduire dans la bouche
de la petite. «Mets-la dans ta bouche», répète l'homme. «Non, j'aime pas ça», se défend
l'enfant. L'homme s'est livré au cunnilingus et à la masturbation sur cette toute petite fille.
Des gestes, que l'accusé a qualifiés de «crime sévère», mercredi, mais «qui ne seraient
jamais arrivés» s'il n'avait pas eu à changer la couche de la petite, prétend-il. Il estime que,
s'il y a traumatisme pour l'enfant, il viendra non pas de l'agression, mais de l'entourage de
la petite qui lui en fera prendre conscience plus tard. «C'est plus tard qu'elle va l'avoir,
quand ça va lui être conté.»
«Qu'on me prouve qu'une enfant de 3 ans se rappelle de son changement de couche», a
renchéri Cantin, qui soutient avoir entendu dire que, de 0 à 3 ans, «les enfants ne se
souviennent pas».
Dans l'assistance, les parents de l'enfant semblaient abasourdis. Bouillant de colère, le
père est sorti plusieurs fois avec fracas de la salle d'audience.
«Si ses yeux étaient des fusils, il me tirerait, jériboire!», s'est exclamé Cantin en parlant du
père. Il s'est plaint du fait que les parents de l'enfant le traitaient maintenant «comme une
ordure», alors qu'il les avait beaucoup aidés.
Un robot qui télécharge
En ce qui concerne la quantité phénoménale de matériel de pornographie infantile trouvée
chez lui, Cantin assure que ce n'est pas lui qui téléchargeait tout cela, mais un logiciel
capable de fonctionner même en son absence. Bien sûr, c'est lui qui faisait la mise en
route, a-t-il admis. Des notes écrites de sa main dans un cahier démontrent qu'il
téléchargeait ce genre de matériel depuis 1997. Il a été arrêté à l'automne 2010.
Une agente du SPVM, Brigitte Guérard, a indiqué qu'il s'agissait de la saisie de
pornographie infantile la plus importante que le SPVM ait jamais faite. L'homme possédait
46 432 images d'agressions sexuelles sur des enfants, parmi lesquelles celles
d'agressions commises sur une fillette par Richard Reber, un pédophile de l'ouest de
Montréal condamné à 10 ans de prison en 2010.
«Je ne le connaissais même pas», s'est défendu Cantin.
Quand Me Pitre lui a demandé pourquoi il avait téléchargé tout cela, Cantin n'a pas su quoi
répondre. Celui qui prétend que ces images ne l'excitent pas a mis cela sur le compte
d'une manie. «J'ai 200 cassots de Kraft Dinner dans mon salon. Pourquoi?», a-t-il rétorqué.
L'avocate de la défense, Audrey Amzallag, demande pour sa part quatre ans de prison,
dont on pourrait soustraire une fois et demie le temps passé en détention préventive. Elle
souligne que son client vit un emprisonnement difficile. C'est la première fois de sa vie qu'il
se retrouve en prison. Il côtoie des gens dangereux, dont un détenu qui a partagé sa
cellule avant d'être condamné à perpétuité et qui lui a dit qu'il lui «défoncerait le crâne».
Cantin dit être contraint de payer la cantine à des détenus pour assurer sa protection. La
juge Céline Lamontagne rendra sa décision le 26 octobre.
29 SEPTEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201109/29/01-4452456-un-pretre-accuse-davoir-agresse-une-enfant-de-choeur-alaval.php
Publié le 29 septembre 2011 à 08h33 | Mis à jour le 29 septembre 2011 à 08h33
Un prêtre accusé d'avoir agressé
une enfant de choeur à Laval
L'abbé Maxime Lacroix est soupçonné d'avoir agressé une enfant de choeur, il y a 20 ans.
Caroline Touzin
La Presse
Un autre prêtre québécois se retrouve devant la justice pour une affaire alléguée
d'agression sexuelle d'enfant.
L'abbé Maxime Lacroix est soupçonné d'avoir agressé une enfant de choeur, il y a 20 ans,
alors qu'il était curé de l'église Saint-Édouard, dans le quartier Fabreville, à Laval.
L'homme de 84 ans a été accusé d'agression sexuelle et de contacts sexuels sur un enfant
de moins de 14 ans au palais de justice de Laval. Il avait 64 ans au moment des faits qui lui
sont reprochés.
L'agression aurait eu lieu entre le 1er juin et le 30 septembre 1991, selon la dénonciation
judiciaire.
La famille de Nathalie (nom fictif) allait à l'église Saint-Édouard tous les dimanches. «Le
curé Lacroix était très gentil avec tout le monde. Jamais je n'aurais pensé qu'il aurait fait
cela à ma fille», a dit aux médias la mère de la victime, qui ressent toujours autant de
colère envers cet homme en qui elle avait totalement confiance.
Sa fille Nathalie, qui avait 8 ans à l'époque, servait la messe le dimanche. Le prêtre la
récompensait avec des bonbons et d'autres petits cadeaux. «Si j'avais su ce qu'il avait
derrière la tête...», dit la mère, les larmes aux yeux.
Un jour, il aurait demandé à l'enfant de se mettre nue pour ensuite l'agresser. La petite fille
en a tout de suite parlé à sa mère, qui affirme avoir demandé des comptes au prêtre le soir
même. «Il avait peur qu'on le dénonce et que sa vieille mère l'apprenne.»
À l'époque, les parents de Nathalie ont convenu avec la fillette de ne pas porter plainte à la
police. «J'étais juste une enfant. J'avais peur de me faire juger à l'école, de me faire dire
que je l'avais cherché. J'ai trouvé la force de le dénoncer avec les années en recevant
beaucoup d'aide de ma famille et de psychologues», explique Nathalie, âgée de 28 ans
aujourd'hui.
Inspirée par Nathalie Simard
Inspirée par des victimes de prêtres pédophiles qui ont dénoncé publiquement leur
agresseur ainsi que par l'histoire de la chanteuse Nathalie Simard, la jeune femme a porté
plainte à la police en décembre dernier. Les accusations ont été portées en juin.
«Pour moi, l'Église catholique, c'est fini. Je n'ai plus confiance», ajoute Nathalie, qui affirme
qu'elle est restée méfiante vis-à-vis des hommes. «Au travail, je ne suis pas à l'aise d'être
seule avec un homme dans une pièce.»
La jeune femme était nerveuse à l'idée de revoir le prêtre, hier, ce dernier ne s'est pas
présenté au tribunal en matinée, si bien que la juge a ordonné qu'un mandat d'arrêt soit
lancé contre lui.
Un avocat s'est finalement présenté en après-midi au nom du prêtre pour faire annuler ce
mandat. L'abbé Lacroix doit se présenter en cour le 24 novembre.
D'après nos recherches, l'abbé Lacroix a été le curé de l'église Saint-Édouard de 1974 à
1992. Il a ensuite emménagé dans une résidence de la paroisse Saint-Jean-Vianney, dans
le quartier Rosemont, à Montréal. Il vit aujourd'hui à la résidence Ignace-Bourget, une
maison pour prêtres âgés et malades du diocèse de Montréal.
Plusieurs cas de prêtres agresseurs d'enfants ont fait les manchettes au Québec dans les
dernières années. En juillet, au premier jour de son procès à Québec, le père rédemptoriste
Raymond-Marie Lavoie a plaidé coupable à des accusations d'agressions sexuelles. Cet
ancien surveillant de dortoir au séminaire Saint-Alphonse était accusé d'avoir agressé 13
élèves de 1973 à 1985.
Jean-Claude Bergeron, ancien supérieur provincial de la congrégation rédemptoriste, est
aussi accusé d'avoir commis des agressions contre plusieurs élèves dans les années 70 et
80.
30 SEPTEMBRE 2011
Article tiré de :
http://www.vancouversun.com/news/Elementary+teacher+surrenders+licence+after+sexual+as
sault/5485800/story.html
Elementary teacher surrenders
licence after sexual assault
BY JANET STEFFENHAGEN, POSTMEDIA NEWS SEPTEMBER 30, 2011
VANCOUVER — A former Coquitlam, B.C., teacher who pleaded guilty last year to sexual
assault in the U.S. has been stripped of his B.C. teaching licence.
Grant Hoyme, 38, admitted that in July 2009, while attending an educational program in
Oregon, he broke into a hotel with a plastic bag over his head and sexually assaulted the
female occupant. In September of that year, he returned to his job teaching Grades 4 and 5
at Cape Horn Elementary School.
As part of a plea agreement, Hoyme spent 30 days in jail, was placed on probation for five
years and was ordered to complete alcohol-abuse and sex-offender programs.
The B.C. College of Teachers says Hoyme surrendered his teaching certificate last June
after acknowledging that his conduct was unbecoming a teacher. A summary of the case
was recently placed on the college website.
Coquitlam superintendent Tom Grant declined to comment on Hoyme's work history, citing
privacy laws. He would only say that Hoyme no longer works for the district but refused to
indicate when his employment ended. Grant stressed that the district takes action in such
cases as soon as it becomes aware of them, placing employees on leave — with pay or
without — and investigating.
Hoyme did not respond to an email request for an interview but is listed as a program coordinator with Ashton College in Vancouver.
In another recent discipline agreement, Daniel Anderson Sunter promised to not re-apply for
a teaching certificate for at least 10 years after he admitted to professional misconduct with a
female student.
Sunter, who was teaching at two Saanich, B.C., high schools, exchanged emails with a 17year-old girl in 2008, which led to consensual sex in a hotel. A teaching assistant became
aware of the incident and reported it to authorities, which led to criminal charges against
Sunter for sexual exploitation.
The once-popular English teacher was sentenced last year to 14 days in jail.
© Copyright (c) The Vancouver Sun
1er OCTOBRE 2011
Article tiré de : http://www.thesudburystar.com/2011/10/01/child-porn-bust-a-jointpolice-effort
Hild-porn bust a joint police effort
By Rita Poliakov, QMI Agency
Saturday, October 1, 2011 6:12:24 EDT AM
A 57-year-old city man was charged by two police services this week for crimes involving a
child.
Steven O'Link of Greater Sudbury was arrested on Thursday in Sudbury by the Hamilton
Police Service's Child Abuse branch for sexual assault, sexual interference and invitation to
sexual touching involving a female under 18. Greater Sudbury Police's Cyber Crimes unit got
involved soon after when child pornography was found on the man's computer. Sudbury
police searched the man's residence on Friday and seized a computer and data storage
device.
O'Link now faces a charge of possessing child pornography and accessing child
pornography along with his three prior charges.
Det. Sgt. Tim Burtt of Sudbury's cyber crime unit said Hamilton police received information
about sexual abuse of a young person in July, which led them to Sudbury.
"They ended up getting the information in relation to the child pornography possession.
(We're in a) joint investigation with them," Burtt said, adding that child porn charges shouldn't
be taken lightly.
"It is something that is taken seriously by society and by the courts. There is a mandatory
period of incarceration when it comes to child porn," he said. "We've seen a series of child
porn cases in Sudbury where the people involved are actually hands-on offenders, meaning
they've abused a child somewhere along the investigation."
Burtt and his team are now involved in an investigation that could take months. His team
must now go through all the data on the seized computer and device, which could eventually
lead to more charges.
"The bigger the hard drive, the longer it takes us to go through it. As you can appreciate,
we've gone from a day and age where you had a one gigabyte (memory stick) to ... multiple
terabytes or more. When you start getting that much storage space, you start getting more
images and more data."
Officers will go through every file, and have already found some graphic image files and
sexually graphic videos related to child porn.
Finding child pornography is only half of Burtt's job. His team also tries to identify the children
in the images.
"We have successfully identified some youth in the Sudbury area and Northern Ontario. It is
a low percentage. It's an unfortunate thing to have to say. There are a large number of
children who have been abused who have not been identified," he said.
As part of the Ontario Provincial Strategy to Protect Children from Sexual Abuse and
Exploitation, Greater Sudbury Police are able to work with other police services in similar
investigations.
"It's huge. It's one of the biggest things," Burtt said of cooperating with other services.
"Obviously, the internet is a medium where it's very important to pass information. (Suspects)
do that now. That's how they trade pornography or videos."
To Burtt, it's essential that law enforcement can communicate with each other just as quickly.
"It's a quicker way of doing the investigation," he said.
O'Link will appear in bail court on Monday.
2 OCTOBRE 2011
Article tiré de : http://www.lemauricien.com/article/agression-sexuelle-mauricien-ameetmohabeer-se-donne-la-mort-en-angleterre
AGRESSION SEXUELLE: Le
Mauricien Ameet Mohabeer se
donne la mort en Angleterre
Selon la BBC, le procès intenté au Mauricien n'aura pas lieu
ARTICLE PARU DANS WEEK-END | 2 OCTOBRE, 2011 - 13:00
Le Mauricien Ameet Mohabeer, 28 ans, qui était employé comme Healthcare Assistant à
l'hôpital de Luton and Dunstable, dans le Bedfordshire en Angleterre, a été retrouvé
mort à son domicile dimanche dernier. En liberté sous caution, il était accusé de 17 chefs
d'accusation pour agression sexuelle sur 14 patients masculins. Ces derniers avaient
porté plainte contre lui alors qu'ils occupaient le Ward 17 de l'hôpital. Mohabeer, qui
travaillait dans ce ward, avait été arrêté, puis libéré sous caution. Il avait plaidé noncoupable lors de sa comparution en cour le 15 septembre dernier. L'information, qui a
été relayée par le site internet de la BBC, laisse aussi entendre qu'avec la mort d'Ameet
Mohabeer, aucun procès n'aura lieu…
Selon les informations disponibles, le procès intenté à Ameet Mohabeer dans le cadre de
14 agressions perpétrées sur des patients masculins âgés de l'hôpital allait avoir lieu dans
le courant de l'année prochaine. Les patients en question étaient tous admis au Ward 17
de l'hôpital, qui est consacré à ceux ayant souffert de crises cardiaques. Mohabeer était
affecté à ce département depuis 18 mois, lorsque les accusations d'agression sexuelle ont
commencé à pleuvoir en février de cette année.
Son corps a été découvert à son domicile de Butley Road, à Luton, dimanche dernier.
Pour la police de Luton, il ne s'agit pas d'un foul play. Ameet Mohabeer se serait donné
la mort. Cependant, une enquête spéciale, une inquest, a été ouverte dans le but de
déterminer les circonstances exactes de ce qui semblerait être un cas de suicide. Selon la
BBC, « police said the death was not being treated as suspicious ». La BBC cite aussi
une porte-parole de la police. Cette dernière devait préciser : « No further details can be
given until an inquest has been opened, which will be in the next few days. »
Des suites de la multiplication des dénonciations contre Mohabeer, une Helpline avait
été créée dans le but de permettre à d'autres éventuelles victimes de se faire connaître et
de parler aux enquêteurs en toute discrétion. Les responsables de l'hôpital de Luton and
Dunstable ont aussi contacté plusieurs patients en leur demandant d'aller de l'avant avec
les dénonciations contre Mohabeer. Depuis le 17 septembre 2009, la direction de
l'hôpital avait adressé du courrier à ses patients, en insistant qu'il était impérieux pour
eux de se faire connaître s'ils avait des raisons de croire qu'ils « may have been subject to
any behaviour that made them feel anxious or uncomfortable ».
En juillet dernier, le suspect Mohabeer avait été formellement accusé de 13 cas de «
sexual assault on male patients » de l'hôpital et quatre autre cas de « causing or inciting
a person with a mental disorder or learning disability to engage in sexual activity »,
soit 17 charges au total.
Du côté de l'hôpital, un responsable a fait ressortir que la nouvelle de la mort d'Ameet
Mohabeer est connue. « Staff at the hospital have been informed and we understand a
trial will not be taking place. »
Rapportant la nouvelle du décès de Mohabeer dans son édition électronique il y a
quelques jours, leHerald and Post de Luton cite une des victimes alléguées d'Ameet
Mohabeer : « La police est venue me voir lundi après-midi pour me dire qu'il s'était
suicidé la veille. Ils m'ont dit qu'ils voulaient m'annoncer la nouvelle avant qu'elle ne
soit aux informations. Mais ils ne m'ont rien dit d'autre à propos de ce qui s'était passé.
Quand j'ai été victime, on m'avait dit en premier lieu que j'avais imaginé des choses. On
ne m'avait alors pas pris au sérieux. Pourtant, ce n'est pas le genre de choses qu'on
imagine, n'est-ce pas ? Vous allez à l'hôpital pour vous faire soigner afin d'aller mieux,
et non pas pour vous faire agresser sexuellement… »
Le 15 septembre dernier, Mohabeer avait comparu au St Albans Crown Court de Luton.
Il avait une nouvelle fois plaidé non-coupable, tout comme il l'avait fait lors de sa
comparution initiale à laLuton's Magistrate Court en juillet dernier. Du côté de la police,
on attend désormais d'obtenir plus de détails quant aux circonstances de son décès. Les
recherches en vue de retrouver une éventuelle note de suicide se sont avérées vaines
pour le moment. Tout en ne préjugeant pas les résultats de l'enquête visant à faire la
lumière sur sa mort, la police n'écarte pas la possibilité que Mohabeer aurait mis fin à ses
jours car tenaillé par le remords, et sachant que ses chances d'être condamné étaient très
grandes…
3 OCTOBRE 2011
Article tiré de : http://beaconnews.ca/calgary/2011/10/man-charged-with-forcible-confinement-andsexual-assault/
Man charged with forcible
confinement and sexual assault
Jo Ann Lawrence | October 3, 2011 | 0 Comments
A 34-year old man from New Westminster is facing numerous charges after he allegedly held
a woman against her will and sexually assaulted her.
Emmanuel Alvin Cameron has been charged with sexual assault, forcible confinement,
assault and dangerous driving. The charges stem from allegations levelled against Cameron
by his alleged female victim who says Cameron held her against her will, pushed her to the
ground and forced her to have sex with him.
The victim described the chain of incidents that occurred through streets in Vancouver, New
Westminster, Pitt Meadows and Maple Ridge. The victim was finally able to jump out of
Cameron‘s SUV in Pitt Meadows.
Inspector David Fleugel of the Ridge Meadows RCMP said, ―The victim in this incident was
severely traumatized by the suspect, who she knows. We commend the victim for coming
forward and cooperating with our investigation. Suffice to say, she felt her life was in
jeopardy during the ordeal, and she was very thankful for Ridge Meadows RCMP to be in the
area, and for the actions police took. In addition to the serious sex assault and forcible
confinement, there appears to be several areas that Mr. Cameron was driving in a very
dangerous manner. This included him driving on the rim of one of the rear tires on his SUV,
and driving on the wrong side of the road. I encourage anyone who saw a dark coloured
Ford Explorer being driven recklessly on Friday night (September 30, 2011) or early morning
hours of Saturday October 1, 2011 to contact us.‖
Cameron was later arrested in New Westminster by New Westminster Police Department.
Cameron has been remanded in custody until his next appearance, which is set for Tuesday
October 4, 2011.
Anyone with any information on this case is asked to call Ridge Meadows RCMP at PH#
604-463-6251, or if you wish to remain anonymous call Crime Stoppers at 1 800 222-8477 or
leave a TIP online at www.bccrimestoppers.com. Crime Stoppers will pay a reward of up to
$2000.00 if your information leads to an arrest and conviction.
4 OCTOBRE 2011
Article tiré de :
http://www.vancouversun.com/news/Dangerous+offender+suspect+unsolved+case+deni
ed+parole/5501242/story.html
Dangerous B.C. sex offender
who is a suspect in unsolved
case denied parole
BY NEAL HALL, VANCOUVER SUN OCTOBER 4, 2011
VANCOUVER -- A dangerous sex offender who remains a suspect in an 18-year-old
unsolved Kamloops missing person case has been denied parole.
Daniel Robert Dow, 53, who has been serving a sentence since 1998, has a lengthy history
of extremely violent attacks on women and teenage girls.
He has been convicted of three rapes and was twice released on parole before, only to
attack again.
In a decision released today, two members of the National Parole Board denied full parole
and day parole to Dow, who is considered a moderate/high risk to commit further violent sex
crimes by mental health professionals who have assessed him in a prison.
The decision said Dow, declared a dangerous offender in 1999 and serving an indeterminate
sentence, is currently in a medium-security institution and should strive to take another sex
offender program and psychological counselling to deal with "childhood issues" so he can be
transferred to a minimum-security institution.
The parole board concluded that Dow needs to be gradually released into the community
under "very tight restrictions" on his movements for a considerable period of time.
Dangerous offenders released on parole are monitored for the rest of their lives.
The parole board also noted that Dow remains a person of interest in other unsolved crimes,
which were not specified.
One of those crimes is the unsolved disappearance of Sherri McLaughlin, 20, on Sept. 19,
1993. She mysteriously vanished while riding her bike to an ex-boyfriend's house in
Kamloops.
Police believe Dow's car hit McLaughlin's bike. Police found the young woman's damaged
bicycle and backpack by the side of the road, but never found her body. Police believe she
was abducted and killed.
At the time, Dow had been released on parole a year earlier.
Three years later, on March 30, 1996, Dow was nabbed after he broke into the home of a
Campbell River woman.
Armed with a knife, Dow burst into the house while the woman was putting her year-old baby
to bed. When she tried to intercept the knife as Dow pointed it towards her throat, her finger
was seriously sliced.
Unable to find more than coins in a piggy bank, Dow tied the woman's hands and decided to
kidnap her. He threatened to kill the woman and her child.
"I was drunk enough and desperate enough that I just felt like, you know, I could phone
somebody and, you know, they'd give me, like a thousand dollars, and I could drop her off
and, you know, that would be the end of it," Dow testified at his trial on charges of
kidnapping, assault with a weapon and break and enter.
Once he had the woman in his van, he choked her unconscious twice and struck her in the
face, breaking her nose. She managed to escape out the passenger side when he let go of
her neck.
For those crimes, Dow received concurrent sentences of four years, three years and five
years.
The Crown later successfully applied to have Dow declared a dangerous offender, based on
previous similar violent attacks on women.
On July 5, 1977, Dow, then 18, knocked at the door of an 18-year-old Prince George woman
on the pretext of using the phone. He raped her. He told police he had been drinking to
excess and went driving rather than return home to face his wife's wrath.
Less than two months later, Dow tried the same thing in Prince George, but the victim pulled
a knife on him and he escaped.
Later the same night, he knocked on the door of a 16-year-old girl on the pretext of knowing
a neighbour. He raped the girl.
Dow was sentenced to an eight-year prison term: three years for raping the 18-year-old and
five years consecutive for the rape of the 16-year-old.
After serving that sentence, he was released on parole May 26, 1981, but the next day he
raped an acquaintance.
His parole was then revoked and a seven-year sentence was added to his earlier sentences.
He was released on parole again on July 23, 1992, a year before McLaughlin disappeared in
Kamloops.
Dow now is serving his time in an unspecified Fraser Valley prison.
nhall@vancouversun.com
5 OCTOBRE 2011
Article tiré de :
http://www.montrealgazette.com/news/Local+charged+assault+case/5503954/story.htm
l
Local man charged in sex
assault case
BY SYLVER MCLAREN, POSTMEDIA NETWORK OCTOBER 5, 2011
A New Westminster man was arrested this weekend after allegedly holding a woman against
her will, forcing her to have sex with him and driving dangerously from Vancouver to Pitt
Meadows.
The victim finally escaped her assailant in Pitt Meadows, when she jumped free from an
SUV, said Ridge Meadows RCMP Insp. David Fleugel.
"The victim in this incident was severe-ly traumatized by the suspect, who she knows,"
Fleugel said, noting police commend the woman for coming forward and cooperating with an
investigation.
"Suffice to say, she felt her life was in jeopardy during the ordeal," he added.
Emmanuel Alvin Cameron, 34, was later arrested in New Westminster, and appeared in Port
Coquitlam provincial court Monday where he faced charges of sexual assault, forcible
confinement, assault and dangerous driving.
6 OCTOBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-nouvelliste/justice-et-faits-divers/201110/06/014454719-accuse-dagression-sexuelle-le-verdict-dun-ex-psychologue-connu-le-19-decembre.php
Accusé d'agression sexuelle: le
verdict d'un ex-psychologue
connu le 19 décembre
Nancy Massicotte
Le Nouvelliste
(Trois-Rivières) Le procès de Pierre Thibaudeau, cet ex-psychologue de Trois-Rivières
accusé d'agression sexuelle, d'attentat à la pudeur et de viol sur une cliente entre
1978 et 1984, a pris fin mercredi avec les plaidoiries des avocats.
Dans cette affaire, rappelons que la notion de consentement légal se retrouve au coeur du
litige et c'est d'ailleurs ce qui a été plaidé en grande partie par l'avocat de la défense, Me
Michel Lebrun, et par le procureur aux poursuites criminelles et pénales, Me Benoît
Larouche.
Selon ce dernier, la victime qui était alors âgée d'une vingtaine d'années, n'était pas en
mesure d'offrir un consentement libre et éclairé aux gestes sexuels commis par le
psychologue.
À titre de professionnel, M. Thibaudeau aurait dû prendre en considération la vulnérabilité
et la fragilité de sa patiente d'autant plus que celle-ci avait subi des abus sexuels dans sa
jeunesse.
Pour sa part, Me Lebrun soutient que sa prétendue vulnérabilité n'était pas suffisante pour
invalider le consentement puisqu'à cette époque, elle avait repris confiance en elle grâce à
la thérapie et était en mesure de s'affirmer.
Selon son client, la présumée victime s'était embarquée de plein gré dans une relation
clandestine, et ce, sans y être forcée ou menacée. Il y avait même des sentiments entre
eux, à un tel point qu'elle avait voulu avoir un enfant de lui.
En ce sens, l'ex-psychologue n'a jamais nié avoir eu des relations sexuelles avec sa
patiente. Il avait cependant précisé avoir mis un terme à la thérapie au début de leur liaison
pour éviter tout conflit.
Le juge Jacques Trudel devra également se pencher sur la crédibilité des témoignages
entendus lors du procès et tout particulièrement ceux de la victime et du prévenu.
Le verdict du juge sera connu le 19 décembre.
7 OCTOBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/la-voix-de-lest/actualites/201110/06/01-4455001-cest-une-journee-extraordinaire-pour-les-victimes-.php
« C'est une journée extraordinaire
pour les victimes »
Sébastien Richard, qui a défendu les victimes du Collège Notre-Dame, et Robert Cornellier, qui a créé le
comité de victimes d'abus subis au même collège, étaient partagés hier au sujet de cette entente à
l'amiable.
PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE
Chantal Vallée
La Voix de l'Est
(Montréal) Les victimes d'agressions sexuelles commises par des religieux ou des
laïcs qui oeuvraient au Collège Saint-Césaire ainsi qu'aux collèges Notre-Dame de
Montréal et de Pohénégamook dans le Bas-Saint-Laurent se partageront des
indemnités totalisant 18 millions de dollars.
Il s'agit d'un règlement à l'amiable intervenu dans le cadre du recours collectif entrepris par
les victimes de ces agressions qui se sont produites entre les années 1950 et 2001 et la
Congrégation de Sainte-Croix.
Cette entente est historique à bien des égards, affirme Alain Arsenault l'un des avocats des
victimes, lors d'une conférence de presse tenue à Montréal, hier.
«C'est la première fois qu'une congrégation religieuse au Québec et probablement au
Canada arrive à une entente hors cour pour des agressions sexuelles qui se sont passées
il y a fort longtemps», mentionne-t-il d'entrée de jeu.
Dix-huit millions de dollars, c'est le montant le plus important versé à des victimes
d'agressions sexuelles au Québec, souligne-t-il.
Les indemnités varieront de 10 000 $ à 250 000 $ par personne selon la nature de
l'agression - de l'attouchement par-dessus les vêtements à la relation sexuelle complète et en fonction de la gravité des séquelles qu'a gardées la victime - des cauchemars, à la
dépression ou aux tentatives de suicide par exemple.
Pour la première fois aussi, chaque victime recevra une lettre d'excuse personnalisée de la
congrégation religieuse «pour la souffrance causée par les enseignants et le personnel qui
détenaient un poste de confiance et d'autorité auprès des élèves», ce qui est plus explicite
que des lettres de regrets que certaines congrégations ont écrites par le passé. «Pour les
victimes, c'est souvent aussi significatif ou ça l'est davantage que de recevoir une
compensation», fait valoir Me Arsenault.
L'avocat souligne aussi qu'en convenant de ce règlement à l'amiable, la congrégation ne
tient pas compte du délai de prescription de trois ans en pareille matière. Il espère que ça
incitera d'autres congrégations religieuses à en faire autant. L'avocat en a profité pour
inviter le ministre de la Justice, Jean-Marc Fournier, à renoncer à ces délais de
prescriptions comme l'ont fait les neuf autres provinces canadiennes.
Le recours collectif contient aussi des dédommagements de 10 000 $ par famille des
victimes, ce qui est «?sans précédent?», selon l'avocat.
Bourse pour des organismes
Une bourse René Cornellier sera créée en mémoire de la première victime du Collège
Notre-Dame à avoir dénoncé les agressions dont il a été victime. La congrégation versera
5000 $ par année pendant 20 ans à des organismes caritatifs qui viennent en aide aux
enfants.
Actuellement, quelque 89 personnes font partie du recours collectif. Me Arsenault ignore
combien il y en aura à la fin du processus?: les victimes auront cinq mois à partir du
moment où l'entente aura été entérinée par un juge de la Cour supérieure vraisemblablement le 9 novembre prochain - pour se manifester. Les indemnités devraient
être versées dans un délai de 8 à 12 mois.
Selon Me Arsenault, une entente à l'amiable représente bien des avantages pour les
victimes qui éviteront ainsi de devoir raconter leur histoire devant un juge et être contreinterrogées par un avocat, ce qui est extrêmement éprouvant, dit-il.
En cas de litige entre les avocats des victimes et la congrégation religieuse sur le bienfondé d'une demande ou le montant des indemnités réclamées, il appartiendra à un juge
de la Cour d'appel à la retraite (adjudicateur) choisi par les deux parties de trancher. Sa
décision sera sans appel.
«?C'est une journée extraordinaire pour les victimes?», affirme Robert Cornellier qui a créé
le comité de victimes d'abus subis au Collège Notre-Dame, prenant le relais de son frère
René Jr. qui fut une victime des frères de Sainte-Croix et aujourd'hui décédé. «?Pour la
famille, ça a été un très long voyage qui a commencé en 2008 quand on a appris l'histoire
de mon frère. À l'époque, il voulait juste avoir des excuses, ce qu'on lui avait refusé?»,
rappelle-t-il.
«?On n'imaginait pas qu'il y avait autant de victimes. Une partie de la justice est faite.
L'autre partie, c'est de traduire les agresseurs au criminel?», dit-il.
8 OCTOBRE 2011
Article tiré de :
http://www.lapresse.ca/le-nouvelliste/justice-et-faits-divers/201110/07/01-
4455460-accuse-dagression-sexuelle-arret-des-procedures-pour-delais-deraisonnables.php
Accusé d'agression sexuelle: arrêt
des procédures pour délais
déraisonnables
Roger Lebrun, un ex-enseignant du Collège Shawinigan, faisait face à des accusations d'agression sexuelle sur un mineur.
PHOTO: ÉMILIE O'CONNOR
Nancy Massicotte
Le Nouvelliste
(Trois-Rivières) Roger Lebrun, cet ex-enseignant du Collège Shawinigan qui faisait face à des
accusations d'agression sexuelle sur un mineur en 1986, a poussé hier un immense soupir de
soulagement dans le box des accusés lorsque le juge Pierre Verdon a prononcé un arrêt des
procédures dans sa cause pour délais déraisonnables.
Le tribunal a en effet conclu que le délai encouru à juger l'accusé s'est avéré excessif, qu'il en a subi de
sérieux préjudices et que le recommencement du procès entraînerait d'autres délais. «Il bénéficie toujours
de la présomption d'innocence en regard de l'infraction reprochée, si sérieuse soit-elle. Le tribunal n'estime
pas que l'intérêt public doive ici l'emporter sur le respect des droits constitutionnels de l'accusé. Plus un
dossier est sérieux, plus la société est en droit de s'attendre à ce qu'il soit traité en priorité», a d'ailleurs
mentionné le juge Verdon.
Rappelons que Roger Lebrun a été formellement inculpé d'agression sexuelle sur un mineur en 1986. Son
procès a été tenu au mois de novembre devant le juge Richard Poudrier. Ce dernier était censé rendre un
jugement le 4 mars 2010 mais il a quitté son travail quelques jours plus tôt pour maladie, et ce, pour une
période indéterminée. Le jugement a donc été remis à maintes reprises.
En novembre 2010, le juge Poudrier est revenu au travail, sans toutefois siéger sur le banc. Il a rendu cinq
décisions mais pas celle de Lebrun. En avril 2011, il a de nouveau quitté pour un congé de maladie.
En juin 2011, le ministère public n'a eu d'autre choix que de demander au tribunal de dessaisir le juge
Poudrier de cette cause. Après avoir à maintes reprises sonné l'alarme sur le délai qui s'étirait, la défense,
assurée par Me Simon Ricard, a finalement présenté une requête en arrêt des procédures le 31 août
dernier.
Le juge a calculé que le délai entre la prise en délibéré et le moment où le juge Poudrier a été dessaisi du
dossier a totalisé 19 mois. Si l'on tient compte de la réelle période au cours de la laquelle le juge n'a pas
été en mesure d'assumer ses fonctions, il a donc disposé d'un délai de neuf mois pour rendre un
jugement.
Le juge Verdon a rappelé que le délai lié à la situation malheureuse que constitue la maladie d'un juge doit
être assimilé à un délai inhérent avec lequel il faut composer. Par contre, en ce qui concerne les neuf mois
pendant lesquels le juge Poudrier a été au travail, le tribunal ne peut le qualifier. «Aucune explication ne lui
a été exposée en regard de ce délai à première vue inhabituel.»
«L'issue de ce dossier était essentiellement liée à l'appréciation des témoignages contradictoires. Lors du
procès, seules la victime et une autre personne avaient témoigné pour la poursuite alors qu'en défense,
seul l'accusé s'était fait entendre. Aucune explication ne lui a non plus été suggérée pour l'amener à
comprendre pourquoi ce dossier n'avait pas été priorisé», a-t-il mentionné.
Le tribunal a d'ailleurs pris soin de préciser que «ni la défense, ni la poursuite n'ont indûment concouru à la
prolongation inhabituelle des délais.»
Sans toutefois y adhérer en totalité, le juge Verdon a aussi pris en considération les nombreux préjudices
subis par le prévenu comme le stress, l'anxiété, le classement carcéral de sécurité moyenne qui lui a été
attribué, les inconvénients reliés au transport de détenus entre la prison de Drummondville et le palais de
justice de Shawinigan, les nombreuses fouilles à nu et le fait qu'il ait été privé d'une libération
conditionnelle au tiers de sa peine.
On sait que Lebrun a écopé d'une peine de trois ans de pénitencier en décembre 2008 pour divers crimes
sexuels comme attouchements et incitation à des contacts sexuels. En décembre prochain, il pourra être
libéré d'office ayant purgé les deux tiers de sa peine.
À sa sortie du tribunal, Me Ricard s'est dit très content pour son client.
«Le système de justice a corrigé aujourd'hui un préjudice important subi par Roger Lebrun», a-t-il déclaré.
Pour sa part, Me Louis-Charles Bal à la Couronne, n'écarte pas complètement la possibilité d'aller en
appel, bien qu'il considère ce jugement comme étant bien fondé.
9 octobre 2011
Article tiré de :
http://www.montrealgazette.com/health/Crown+seeks+years+assaults/5535406/story.ht
ml
Crown seeks two years in HIV
assaults
Prosecutor: He played Russian roulette with the disease . . . and
lives of other people
BY JAMES WELDON, NORTH SHORE NEWS OCTOBER 12, 2011
Crown prosecutors are seeking two years in jail for a North Vancouver man who had
unprotected sex with multiple partners -- one of whom had a baby -- when he knew he was
HIV positive.
Adam Rollo, 29, was diagnosed with the virus that causes AIDS in 2003, but never sought
any treatment. Between 2008 and 2010, he had sexual relationships with two women, one of
whom gave birth in January last year, unknowingly putting her infant at risk.
When the truth finally came out in May 2010, Rollo was arrested. He later pled guilty to two
counts of aggravated sexual assault. Neither the women nor the child had contracted the
virus.
At a hearing in North Vancouver provincial court Monday, Crown attorney Nicole Gregoire
asked Judge Carol Baird Ellan to sentence Rollo to two years in jail plus two years'
probation. "He played Russian roulette with the disease . . . and the lives of other people,"
said Gregoire.
Rollo showed limited empathy for his victims, had anger management issues and exhibited
grossly irresponsible behaviour, she said. The sentence should serve to denounce what he
did and deter others.
According to an agreed statement of facts, Rollo started a relationship with the first victim in
October 2008. They had sex several times that month and once to twice monthly thereafter,
using a condom about half the time. When the woman asked Rollo directly if he had HIV, he
replied "not that I'm aware," or words to that effect, according to Gregoire.
The relationship was suspended toward the end of 2008, and Rollo started seeing the
second victim soon after. Their relationship continued for a few weeks, during which time
they had sex about 20 times.
Three months later, Rollo got back together again with the first victim, and in June 2009 she
announced she was pregnant. At the time, a doctor explained to both of them that HIV could
be passed to a child during birth and through breast feeding. Still, Rollo stayed silent. The
pair continued to have unprotected sex during the pregnancy. The woman gave birth to a
son in January 2010.
The truth finally came to light when a worker for the Ministry of Children and Family
Development, which had taken the baby into care temporarily following an assault by Rollo
on the mother, spoke with a nurse at Lions Gate Hospital. That conversation led to contact
with the physician who had diagnosed Rollo with HIV seven years before. The doctor
exposed his secret.
When confronted with the information, Rollo insisted it was a private matter, and noted he
had never had a second medical opinion, according to Gregoire. The victim reported him to
police, and in May 2010 he was arrested.
Soon after, the North Vancouver RCMP circulated Rollo's photo to media, asking anyone
who had had sexual contact with him to come forward. A friend showed the announcement
to victim No. 2, who got in touch with the detachment. Three other women also came forward
with accusations, according to investigators, but no charges resulted from those cases.
Neither of Rollo's victims chose to submit an impact statement, but one asked Gregoire to
"convey her sense of betrayal," she said. "(The victim) was shocked and felt quite a lot of
fear."
In arguing for the two-year sentence, Gregoire said the court would have to determine the
degree of risk the victims had been exposed to. This is not an easy task, as it would hinge on
several uncertain variables, including the number of copies of the virus in his system.
In 2003, Rollo had something on the order of 50 copies of the HIV pathogen in every millilitre
of his blood, a relatively low viral load. When he was finally tested again in 2010 -- after
seven years of effectively ignoring the issue -- that number had soared to 270,000 per ml.
Medical experts consulted by the Crown said it was impossible to determine exactly where
the figure would have been at any given time between those two points, as the virus doesn't
progress in a linear way.
According to a specialist in infectious disease, said Gregoire, the likelihood that a highly
infected man would pass the disease to a female partner through unprotected sex is around
one in 1,000 for each encounter. The odds rise each time the woman is exposed, so if they
had sex 10 times, there would be a 10-in-1,000 (one per cent) chance he would infect her at
some point. If they had sex 100 times, the chances would climb to 10 per cent and so on.
If, at the time, Rollo's viral load had been anywhere near what it was last year, "that would
have created a very significant danger," said Gregoire.
Gregoire asked that in addition to the jail term, Rollo be referred to a treatment program for
sex offenders.
The hearing was adjourned due to time restrictions. It will reconvene later this month, at
which time defence will submit its arguments.
jweldon@nsnews.com
10 octobre 2011
Article tiré de : http://www.torontosun.com/2011/10/10/ttc-sexual-assault-suspect-sought
TTC sexual assault suspect sought
By Jenny Yuen ,Toronto Sun
First posted: Monday, October 10, 2011 06:35 PM EDT | Updated: Monday, October 10,
2011 06:39 PM EDT
Toronto Police released this picture of a man sought for sexual assaults on the TTC
subway Oct. 4 and Dec. 9.
TORONTO - Police are looking for a man accused of sexually assaulting a woman on a TTC
subway.
Investigators from 22 Division released a surveillance photo of a man after a 21-year-old
woman was assaulted on a westbound train on the Bloor-Danforth line around 9 p.m. on Oct.
4.
The man boarded the train a few stops west of St. George station and sat beside the woman,
police said. After sexually assaulting her, he fled the train at Royal York station.
The suspect is described as white, 35 years old, 5-foot-11 with medium build and short black
hair.
He was last seen wearing blue jeans, a green jacket and a black and white striped shirt.
The public is asked to call police at 416-808-2200 or Crime Stoppers anonymously at 416222-TIPS (8477).
11 OCTOBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/la-tribune/faits-divers/201110/11/01-4456181agression-sexuelle-sur-sa-fillette-le-pere-plaide-encore-coupable.php
Publié le 11 octobre 2011 à 15h15 | Mis à jour le 11 octobre 2011 à 15h15
Agression sexuelle sur sa fillette:
le père plaide encore coupable
ARCHIVES LA TRIBUNE
Claude Plante
La Tribune
(Sherbrooke) Oui à des gestes à caractère sexuel sur sa fillette de 18 mois, mais
l'inceste c'était trop. Le jeune père de famille de 24 ans qui a déjà plaidé coupable à
des accusations d'agressions sexuelles sur son enfant a réglé ses comptes avec la
justice mardi après-midi à Sherbrooke.
Au palais de justice de la rue King Ouest, où devait se dérouler son procès, il a plutôt
admis certains gestes à la suite d'une entente entre la Couronne et la défense dans ce
dossier. On a remanié ces chefs d'accusation et retiré celui d'inceste qui suppose une
relation sexuelle avec pénétration, ce qu'il nie depuis le début de cette malheureuse affaire.
On a ainsi fondu en un seul chef ceux impliquant de la violence conjugale sur son exconjointe, modifié celui sur la «possession» de pornographie juvénile en un «d'accession»
à de la pornographie juvénile et on a maintenu celui d'incitation à des contacts sexuels
avec l'enfant. Pour certains chefs, on a aussi convenu de nouvelles dates.
En juillet dernier, l'homme, dont le nom ne peut être dévoilé pour protéger l'identité de la
victime, a été condamné par le juge Michel Beauchemin à 50 mois de détention pour les
quatre chefs auxquels il a plaidé coupable, soit l'agression sexuelle sur sa fille, les contacts
sexuels sur sa fille, l'agression sexuelle sur sa fille avec une tierce personne, en
l'occurrence sa conjointe, qui a déjà écopé de deux ans de prison ainsi qu'un vieux dossier
de vol.
On devait entreprendre mardi matin un procès pour les autres chefs d'accusation, dont
ceux d'inceste sur sa fillette et sur sa soeur et de possession de pornographie juvénile. La
différence entre l'agression sexuelle et l'inceste est l'acte de pénétration, ce que le père nie
avoir commis.
Le juge Beauchemin a donc condamné le mauvais père à un total de cinq ans de prison.
12 OCTOBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/justice-et-faitsdivers/201110/12/01-4456528-46-mois-de-prison-pour-marc-legrand.php
46 mois de prison pour Marc
Legrand
Pierre Asselin
Le Soleil
(Québec) Marc Legrand a pris le chemin du pénitencier, mercredi, condamné à 46
mois de pénitencier par le juge Gilles Charest, pour des crimes de nature sexuelle
commis entre 1980 et 1987 sur un garçon qui n'avait que 11 ans, au début de cette
période.
La Couronne avait demandé une peine de cinq à six ans de pénitencier alors que la
défense suggérait une peine de moins de 24 mois à purger dans la collectivité.
Marc Legrand, aujourd'hui âgé de 74 ans, était bien connu comme musicien et commerçant
à Québec. Il avait d'ailleurs profité de son statut pour mettre la famille de la victime en
confiance, parvenant à convaincre les parents de laisser le garçon se rendre à son domicile
de Sainte-Pétronille, sous prétexte d'y faire des travaux ménagers.
Ce fut le début d'un asservissement à tous les niveaux, et qui durera des années. Legrand
maintiendra le garçon sous son contrôle au moyen de cadeaux, d'argent, puis de drogue et
d'alcool, et aussi de menaces. Le juge en donne un exemple, à partir du témoignage de la
victime : «Le délinquant [Legrand] menace de retirer ses cadeaux au jeune garçon "s'il
n'est pas assez vicieux à soir". Il lui dit : "Tes parents ne devraient pas être fiers
d'apprendre que tu prends de l'alcool et de la drogue...peut-être que je devrais leur dire..."»
«Nous ne sommes pas ici en présence d'événements isolés; les actes posés par [Legrand]
sont répétitifs, bien organisés et planifiés, dans un contexte pervers et dans la
clandestinité... Il ne s'agit pas non plus de simples attouchements, mais d'actes intrusifs
posés afin de satisfaire des goûts sexuels pernicieux et déviants.»
Le juge conclut que «si la gravité objective des actes reprochés est à un niveau
relativement bas, sauf pour l'accusation de trafic de stupéfiants, le tribunal considère que la
gravité subjective de ces actes se situe à un niveau élevé, s'agissant ici carrément d'actes
d'exploitation sexuelle asservie».
Marc Legrand avait plaidé coupable aux accusations, évitant ainsi la tenue d'un long
procès, mais le juge souligne que l'accusé ne mesure pas pour autant la gravité de ses
actes et des conséquences qu'ils ont eus sur le jeune homme, aujourd'hui âgé de 42 ans.
Lors d'une entrevue avec une criminologue en février dernier, Legrand «n'admet toujours
pas l'ensemble des faits [...] en reportant la responsabilité sur la victime elle-même». Il ira
jusqu'à dire qu'il avait cédé aux avances du jeune garçon.
Dans son témoignage, la victime a raconté comment elle se sentait «diminuée», envahie
par la honte, en plus de souffrir d'une dépendance à l'alcool et à la drogue qui a pris racine
pendant ces années.
«J'étais dompté comme un bon petit chien», dira-t-il devant le juge, qui a repris ces propos
dans sa décision. Enfin, le juge rappelle que la jurisprudence a aujourd'hui établi que l'âge
avancé d'un délinquant ou son état de santé, à moins d'être grave, ne doivent pas occulter
la gravité des crimes commis. M. Legrand a quitté le tribunal encadré par les policiers.
La victime était présente pour le jugement, mais n'a fait aucune déclaration. La procureure
de la Couronne, Me Carmen Rioux, a simplement dit que l'homme éprouvait plusieurs
émotions. «Il y a du soulagement à l'idée que l'étape judiciaire est terminée, dit-elle, mais
aucune peine d'emprisonnement ne répare le tort causé à une personne.»
13 OCTOBRE 2011
Article tiré de : http://www.thespec.com/news/crime/article/608626--hamilton-priestcharged-with-sex-assault-resigns-post
Accusé d'agressions sexuelles sur deux
fillettes
Kathryne Lamontagne
Publié le: jeudi 13 octobre 2011, 18H28 | Mise à jour: jeudi 13 octobre 2011, 18H31
QUÉBEC - Un homme de 63 ans, de Charlesbourg, fait face à neuf chefs d‘accusation pour
avoir commis divers gestes à caractère sexuel sur deux fillettes au cours des vingt dernières
années.
Richard Mercier a comparu, hier matin, par l‘entremise de son avocat, au palais de justice de
Québec. L‘individu est accusé d‘agression sexuelle, de contacts sexuels, d‘incitation à des
contacts sexuels et de voyeurisme sur une première victime qui avait quatre ans au début
des faits, qui se seraient déroulés sur une période de 11 ans à compter de mars 2000.
Le sexagénaire est aussi accusé d‘attentat à la pudeur sur une autre fillette, qui avait cinq
ans lors du début des crimes, perpétrés dans ce cas-ci entre novembre 1981 et novembre
1982.
Mercier reviendra en cour le 25 novembre.
14 octobre 2011
Article tiré de :
http://www.lfpress.com/news/london/2011/10/14/18825771.html#/news/london/2011/10/14/pf18825766.html
Priest charged in sex assault
By DALE CARRUTHERS, The London Free Press
Last Updated: October 14, 2011 11:06am
A Catholic priest has been charged in an historical sexual assault involving two altar servers.
Ontario Provincial Police said the charges date back to 1978 when the priest was assigned
to St. Mary's parish in Maidstone.
Fr. Linus Bastien, 85, of Chatham, was charged with two counts of indecent assault and two
counts of gross indecency.
Bastien is scheduled to appear in a Windsor court Nov. 1.
15 OCTOBRE 2011
Article tiré de : http://www.winnipegsun.com/2011/10/14/girl-14-sexually-assaulted-at-party
Girl, 14, sexually assaulted at party
Winnipeg Sun
Updated: Saturday, October 15, 2011 12:32 PM CDT
A 14-year-old girl was sexually assaulted at a Pine Falls house party, police say.
The girl was not injured in the assault, which happened early in the morning at an outdoor
location.
So far, police efforts to locate the suspect have been unsuccessful. RCMP are circulating a
composite sketch of the suspect, and are asking members of the public whether they
recognize him.
The suspect is described as fair skinned, with blue eyes and blonde hair. He's about 19
years old, and 5-foot-6 with a slim build. The suspect was wearing a white Tap Out hat, dark
jeans and a black and grey shirt.
Anyone with information is asked to call Powerview RCMP at 204-367-2222. You can also
call your local police agency or Manitoba Crime Stoppers at 1-800-222-8477 (TIPS). Crime
Stoppers also accepts anonymous tips online at www.manitobacrimestoppers.com or by
text-message: send the word "TIPMAN" plus your message to Crimes (274637).
16 OCTOBRE 2011
Article tiré de : http://www2.canada.com/edmontonjournal/news/story.html?id=1ca1cfe4-fe46-4b45982d-7ff65d25fecf
Teenage boys charged with sex
assault
Edmonton Journal
Published: Sunday, October 16 2011
Court proceedings are about to begin concerning a disturbing sexual assault case that
occurred this summer in eastern Ontario.
Five teenage boys are facing charges in relation to an incident that took place in Belleville
Ont., about 180 kilometres east of Toronto, on Aug. 6.
Belleville police say a female was approached by a group of males and taken to a nearby
backyard where she was sexually assaulted. Police received a call for this at about 1: 35
a.m., local time, on that date.
The victim was taken to hospital and released.
Five out of six suspects have been arrested and charged. Three of them are to appear in
court Tuesday. Three of the charged are 17 years old, one is 15 and another is 14.
All those arrested have been charged with gang sex assault, aggravated sexual assault and
robbery. Four of them are also charged with breach of probation.
© Edmonton Journal 2011
17 OCTOBRE 2011
Article tiré de :
http://www.globalregina.com/pages/story.aspx?id=6442502731&ekfxmen_noscript=1&ekfxmensel=falsefal
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Langham man charged with sexual
assault
Global News : Monday, October 17, 2011 11:33 AM
Warman RCMP have charged a Langham man after an alleged sexual assault in the
Langham community.
Police say a 15 year old girl went to neighbor‘s house to babysit, while she was babysitting
she came in contact with the father.
It has been alleged that the victim was provided with some alcohol by the father and sexually
assaulted.
34 year old Joseph Sword of Langham is charged with sexual assault, sexual exploitation
and forcible confinement.
The victim‘s name is not being released because of her age.
© Global News. A division of Shaw Media Inc., 2012.
18 OCTOBRE 2011
Article tiré de : http://thechronicleherald.ca/metro/25828-police-seek-suspect-downtown-sexualassault
Police seek suspect in downtown
sexual assault
October 18, 2011 - 3:32pm By DAN ARSENAULT Crime Reporter
Halifax police are looking for a man who inappropriately touched a woman on an elevator
early Monday morning.
A 21-year-old victim told police she was walking south on Queen Street at 4 a.m. when she
noticed a man following her. The woman went into her apartment building on the same street
and he followed her into an elevator.
The woman did not select a floor but the man did. When he went to get out, he turned to the
woman and touched her.
The woman then got out on another floor and went to her apartment.
She called Halifax Regional Police about the incident at 5 p.m. that day.
The suspect is described as white, 25- to 30-years-old, five-foot-five, and has a medium build
and short blond or brown hair. He was wearing a green plaid shirt and jeans.
Police spokesman Const. Brian Palmeter said they hope to hear from anyone with
information about the incident.
―We‘re following up with a canvass of the building and also looking for video surveillance,‖ he
added.
He said the victim was wise for purposely not choosing a floor in the elevator, which would
have told the man which floor she lived on.
―She was aware enough,‖ he said.
Palmeter advises any person who thinks they are being followed to try and go into an open
business or other safe spot.
19 OCTOBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/justice-et-faitsdivers/201110/18/01-4458560-accuse-davoir-agresse-une-mineure-pendant-six-ans.php
Accusé d'avoir agressé une
mineure pendant six ans
L'accusé Francis Cossette, 46 ans
Matthieu Boivin
Le Soleil
(Québec) Un résidant de 46 ans de Saint-Georges de Beauce, Francis Cossette, est
accusé d'avoir agressé sexuellement une jeune fille d'âge mineur. La présumée
victime était âgée entre 9 et 15 ans lorsque Cossette l'aurait agressée à maintes
reprises au cours des six dernières années.
Le suspect a été arrêté lundi par des policiers de la police de Saint-Georges. Il a comparu
mardi, au palais de justice de Saint-Joseph de Beauce, pour être accusé d'un chef
d'agression sexuelle.
Selon ce que Le Soleil a appris, l'adolescente aurait porté plainte à la police de SaintGeorges, dimanche soir. Incapable d'endurer davantage les gestes à caractère sexuel que
lui aurait imposés le suspect, elle aurait communiqué avec un ami ce soir-là par l'entremise
d'un message texte, afin de l'informer de la situation. L'ami en question serait allé chercher
la jeune femme, pour ensuite l'emmener au poste de police.
Les faits allégués dans cette cause choqueraient autant par la fréquence des agressions
que par leur caractère dégoûtant, toujours selon ce qu'on a appris. La victime aurait aussi
été agressée à différents endroits.
Mardi, lors de la comparution de Cossette, l'avocate de la Couronne, Audrey Roy-Cloutier,
a demandé à ce que l'accusé subisse un examen psychiatrique de 30 jours à l'hôpital de
Saint-Georges de Beauce, afin d'évaluer sa responsabilité criminelle. Le juge Christian
Boulet lui a accordé sa demande. Me Roy-Cloutier a justifié cette exigence par le fait que
lors de l'interrogatoire réalisé par les enquêteurs de la police de Saint-Georges de Beauce,
Cossette aurait fait une déclaration incriminante selon laquelle il était possédé par les
démons au moment des agressions présumées.
La procureure de la Couronne a aussi ajouté que d'autres accusations risquent d'être
déposées contre le suspect dans cette affaire.
Cossette demeure détenu et reviendra devant le tribunal le 17 novembre pour le dépôt de
l'examen psychiatrique et pour son enquête sur remise en liberté. Jusqu'à nouvel ordre, il
ne pourra pas tenter de communiquer avec la présumée victime.
20 OCTOBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/justice-et-faitsdivers/201110/19/01-4458954-agression-sexuelle-peine-a-purger-dans-la-collectivite-pour-unex-entraineur-de-hockey.php
Agression sexuelle: peine à
purger dans la collectivité pour un
ex-entraîneur de hockey
PHOTOTHÈQUE LE SOLEIL
Steeve Paradis, collaboration spéciale
Le Soleil
(Baie-Comeau) Jean Cormier, cet ex-entraîneur de hockey de Baie-Comeau accusé de
deux chefs d'agression sexuelle, a changé de plaidoyer mercredi pour finalement
plaider coupable aux événements survenus entre août 2005 et mai 2007. L'homme de
46 ans s'en est tiré avec une peine de deux ans moins un jour à purger dans la
collectivité.
Comme la victime était mineure au moment des faits, une ordonnance de non-publication a
été imposée dans cette cause, interdisant de dévoiler tout fait qui permettrait de l'identifier.
La victime, présente au palais de justice de Baie-Comeau mercredi, a d'ailleurs été saluée
par le juge François Boisjoli, qui l'a remerciée pour son excellente collaboration avec les
autorités.
Cormier a également plaidé coupable à une autre accusation, soit celle de voies de fait
contre un jeune hockeyeur de 14 ans, à qui il a donné un violent coup de bâton sur les
jambières lors d'un entraînement sur glace en septembre 2009. Le jeune n'a pas été
blessé par le geste, mais il a tout de même porté plainte aux policiers. Pour cette
accusation, Jean Cormier a reçu une sentence de trois mois, là aussi dans la collectivité.
Pour les trois premiers mois de sa peine de 24 mois, Cormier devra demeurer à son
domicile 24 heures sur 24, sauf pour de courtes périodes. Il devra ensuite être à son
domicile entre 23h et 7h pour le reste de sa peine, qui sera suivie d'une probation de 24
mois. Il lui sera interdit de posséder une arme pendant 10 ans et il fera partie du registre
des délinquants sexuels durant 20 ans.
«Je suis désolé»
Personne bien connue dans le milieu, Jean Cormier était coordonnateur du programme
hockey-études de l'école secondaire Jean-Paul II de Baie-Comeau et entraîneur-chef de
l'équipe midget Espoir de l'institution. L'homme a aussi été entraîneur adjoint au sein du
Drakkar de Baie-Comeau de la Ligue de hockey junior majeur du Québec pendant deux
saisons, soit en 1997-1998 et en 2009-2010. Depuis qu'il a été accusé, Cormier a quitté la
région.
«Il paie le prix de sa faute. Il a perdu un bon emploi et un statut social, c'est une erreur qui
lui coûte très cher», a lancé le procureur de l'accusé, Me Jean-Claude Dufour, des propos
corroborés par le juge Boisjoli. «Votre immaturité, vous la payez chèrement aujourd'hui»,
a-t-il dit à Cormier.
Invité à s'exprimer, l'individu a simplement déclaré : «Je suis désolé» d'une voix presque
inaudible.
Même s'il l'a acceptée, le juge a toutefois exprimé des réserves sur la recommandation
commune des deux procureurs concernant la peine à purger dans la collectivité. C'est que
la loi est aujourd'hui modifiée pour imposer le pénitencier aux gens coupables de crime à
caractère sexuel, mais ce n'était pas le cas au moment des faits reprochés à Cormier. «Si
ça s'était passé aujourd'hui, ce serait la prison», a précisé le juge.
21 OCTOBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/la-tribune/faits-divers/201110/21/01-4459516-descas-dagressions-sexuelles-devant-la-cour.php
Des cas d'agressions sexuelles
devant la Cour
ARCHIVES LA TRIBUNE
Jean-Pierre Boisvert
La Tribune
(DRUMMONDVILLE) Un homme de Yamaska, André Roux, âgé de 53 ans, déjà reconnu coupable la
semaine dernière d'agressions sexuelles sur un enfant de moins de 14 ans, est revenu devant la
Cour, mardi à Drummondville, pour répondre à des accusations de même type sur un autre enfant
mineur.
Selon la dénonciation, cinq chefs d'accusation pèsent sur lui, soit voies de fait, deux pour agressions
sexuelles et deux pour incitation. Les faits reprochés auraient eu lieu à Saint-Zéphirin-de-Courval et à
Baie-du-Febvre entre septembre 2005 et septembre 2009.
Vendredi dernier, l'accusé avait été condamné pour trois chefs d'agressions sexuelles sur un enfant de
moins de 14 ans. Un rapport sexologique a été demandé et sera déposé le 6 décembre avant que sa
peine soit déterminée.
Enquête préliminaire
Par ailleurs, un autre cas d'agressions sexuelles a été dévoilé au palais de justice de Drummondville, soit
celui de Stéphane Pellerin. Le Drummondvillois de 42 ans, accusé d'agressions sexuelles, d'attouchement
et d'incitation sur une enfant âgée de moins de 14 ans, a subi son enquête préliminaire.
Il est cité à procès et sa prochaine comparution est prévue le 13 janvier prochain.
22 OCTOBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/justice-et-faitsdivers/201110/21/01-4459753-accuse-dagression-apres-avoir-seduit-une-ado-sur-facebook.php
Accusé d'agression après avoir
séduit une ado sur Facebook
Annie Mathieu et Pierre Asselin
Le Soleil
(Québec) Mathieu Duchesne-Roy, un individu de 23 ans accusé d'agression sexuelle, de contacts
sexuels et d'incitation à des contacts sexuels sur une personne de moins de 16 ans, a repris sa
liberté hier, après que la juge Marie-Claude Gilbert lui eut interdit d'utiliser tout appareil, ordinateur
ou téléphone, lui donnant accès à Internet. La mère de l'accusé a même dû s'engager à se défaire de
son ordinateur.
L'homme de 23 ans de Val-Bélair a été accusé au palais de justice de Québec, jeudi après-midi,
d'agression sexuelle sur une adolescente de 15 ans qu'il a réussi à séduire sur le site de réseautage
Facebook.
Il aurait convaincu sa victime de le rejoindre chez lui dans la nuit de mercredi à jeudi. C'est là qu'il l'aurait
agressée. L'adolescente a réussi à s'enfuir chez un ami qui a appelé la police.
Les agents ont arrêté le suspect à Val-Bélair à 2h15, dans un endroit situé à proximité de sa résidence.
Selon le Service de police de la Ville de Québec (SPVQ), Mathieu Duchesne-Roy aurait fait d'autres
victimes dans la dernière année, puisqu'il se servait des réseaux sociaux comme Facebook et MSN
Messenger pour appâter des jeunes femmes et leur réclamer des faveurs sexuelles.
Duchesne-Roy possède un compte Facebook sous son propre nom, mais il est impossible de savoir s'il
sévissait au moyen de celui-ci. Sur sa page personnelle, il possède quelque 400 «amis», dont plusieurs
jeunes femmes. Il se dit célibataire et intéressé par les femmes.
Mathieu Duchesne-Roy a aussi été accusé jeudi de possession de cannabis en vue d'en faire le trafic et
de bris de probation. Il avait été condamné en décembre 2008 pour voies de fait infligeant des lésions. Il
avait alors écopé d'une peine de 90 jours de prison et de trois années de probation.
23 OCTOBRE 2011
Article tiré de : http://www.globaltoronto.com/pages/story.aspx?id=6442506734
Door-to-door salesman in Ottawa
charged with sex assault
Sunday, October 23, 2011 12:11 PM
OTTAWA - A 20-year-old door-to-door salesman in Ottawa is facing several charges,
including sexual assault.
Police allege the young salesman gained entry to a woman's home and sexually assaulted
her once inside.
Ottawa police say they caught up with the suspect as he was trying to get into another house
to hide.
Ulas Ozbay, 20, is scheduled to appear in court on Sunday to answer to charges of sexual
assault, resist arrest, attempt break and enter and breach of probation.
© Global News. A division of Shaw Media Inc., 2012.
24 OCTOBRE 2011
Article tiré de : http://www.edmontonsun.com/2011/10/24/woman-jailed-over-sex-assault-on-teengirl
Woman jailed over sex assault on teen
girl
By Tony Blais ,Edmonton Sun
First posted: Monday, October 24, 2011 01:23 PM MDT | Updated: Monday, October 24,
2011 01:31 PM MDT
An Edmonton woman who had sex with a 14-year-old girl she was babysitting and plied
her with alcohol and drugs was sentenced to four years in prison on Monday.
And that sentence will be served on top of a three-year prison term the woman was
given three weeks ago for sexually assaulting a five-year-old girl she was babysitting.
Nicki Ann Gilbey, 30, was handed the four-year sentence after earlier pleading guilty to
sexual interference.
Court of Queen‘s Bench Justice Beverley Browne noted Gilbey had a relationship with
the ―extremely vulnerable‖ 14-year-old victim that went beyond her role as a babysitter,
which she said was a position of trust.
Browne also found the ―most serious incident‖ was a sex attack on the teen on Canada
Day 2009 which was ―fuelled by drugs and alcohol supplied by Miss Gilbey.‖
In a victim impact statement, the teen told court she felt ―betrayed and used‖ by Gilbey.
The judge also ordered Gilbey to submit a DNA sample for the national DNA databank in
Ottawa and placed her on the national sex offender registry for 20 years.
As well, Gilbey is not allowed to volunteer or be in a position of trust with anyone under
16 for 10 years.
Gilbey apologized for her actions prior to sentencing and defence lawyer Gary
Strangway said she was a victim of child abuse herself at the hands of a step-parent.
According to agreed facts, Gilbey became friends with the 14-year-old victim‘s
stepmother and would babysit the teen while the stepmom was working a night shift.
Crown prosecutor Tania Holland told court Gilbey and the teen became friends and
would often watch TV and play video games together and they then began dating.
Court also heard Gilbey and the teen drank booze and smoked pot together and Gilbey
began touching the teen on her private parts and trying to get her to reciprocate.
On Canada Day 2009, Gilbey went with the teen and two of the teen‘s girlfriends to the
legislature grounds and they all drank alcohol. Gilbey also provided the victim and one of
her friends with some prescription medication.
That night, Gilbey took the victim to her home and performed oral sex on her, said
Holland.
The next day, the victim was upset things had gone so far and she later told Gilbey the
relationship was over. The teen then told her father about it and police were called.
Meanwhile, Gilbey was sentenced to three years in prison on Oct. 7 after pleading guilty
to sexually assaulting a five-year-old girl and breaching an order that she not be in a
position of trust or authority with anyone under 18.
Court heard the offences happened on Aug. 10, 2010, after she had already been
charged by police with the sex crimes involving the 14-year-old victim.
Court heard Gilbey was babysitting the five-year-old girl and her 10-year-old sister while
their dad was working and their mom went shopping for about 90 minutes and that
Gilbey was a friend of the family.
Police were called after the two girls said Gilbey had shown them a movie featuring
―naked, naked‖ people dancing and the five year old revealed the babysitter had touched
her inappropriately.
25 OCTOBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/justice-et-faitsdivers/201110/24/01-4460680-agression-sur-une-ado-prison-ou-peine-dans-la-collectivite.php
Agression sur une ado: prison ou
peine dans la collectivité?
Richard Hénault
Le Soleil
(Québec) Une importante peine d'emprisonnement ou une peine de 12 mois purgée
dans la collectivité? C'est l'alternative qu'aura à trancher le juge Jean-François Dionne
dans le dossier de Jean-Claude Grenier, l'homme de 74 ans de Saint-Raymond qu'il a
déclaré coupable de s'être livré durant trois ans à de réguliers attouchements aux
seins d'une adolescente âgée de 12 à 15 ans.
Les événements remontent aux années 70. La fréquence des gestes de Grenier était
«terriblement régulière», a rappelé la procureure de la Couronne, Me Carmen Rioux, au
cours de sa plaidoirie en demandant au juge Dionne de ne pas banaliser ces
attouchements.
«Il faut montrer clairement qu'il est inacceptable de se divertir en touchant ad nauseam les
seins d'une enfant», a-t-elle plaidé en réclamant l'emprisonnement du septuagénaire pour
une durée qui n'excéderait pas deux ans.
Pour sa part, l'avocat de ce dernier, Me Carl Thibault, a invoqué les nombreux problèmes
de santé et le casier judiciaire vierge jusque-là de celui qui a toujours été un actif pour la
société. Selon l'avocat, Grenier ne représente aucun risque pour autrui, de sorte qu'il
pourrait très bien purger sa peine dans la collectivité.
Une telle peine, de rétorquer Me Rioux, ne changerait rien à la vie de Grenier, qui, déjà, ne
sort guère de chez lui. Après vérification, Me Thibault a conclu les plaidoiries en informant
le magistrat que l'individu serait en mesure de s'acquitter d'une amende pouvant s'ajouter à
une peine avec sursis.
Des séquelles
Avant les plaidoiries, la victime a décrit les conséquences que les gestes de Grenier ont
eues pour elle. Durant deux ou trois ans, au début de la trentaine, elle a dû consulter un
psychologue et un psychiatre. Encore aujourd'hui, a-t-elle ajouté, elle éprouve de la
difficulté à faire confiance aux hommes.
Pour leur part, Grenier et sa conjointe ont indiqué qu'en raison de leurs problèmes de
santé respectifs, ils ont besoin l'un de l'autre. Interrogé par son avocat, le septuagénaire a
énuméré les diverses occupations qu'il a eues avant de prendre sa retraite : hôtelier,
restaurateur, cuisinier et fonctionnaire. «Je n'avais pas le temps!» a-t-il répondu lorsque
Me Thibault lui a demandé s'il est exact qu'il n'a jamais eu de démêlés avec la justice.
Le juge Dionne prononcera sa sentence le 14 décembre.
26 OCTOBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/justice-et-faitsdivers/201110/26/01-4461342-une-presumee-victime-dagression-sexuelle-menacee-demort.php
Une présumée victime d'agression
sexuelle menacée de mort
La présumée victime fréquente l'École secondaire l'Odyssée, à Val-Bélair.
Matthieu Boivin
Le Soleil
(Québec) Que ce soit par Facebook ou en personne, une présumée victime
d'agression sexuelle de 15 ans est la cible de menaces et d'intimidation depuis
quelques jours. Cette jeune fille de Val-Bélair aurait été agressée la semaine dernière
par un jeune homme de 23 ans de Québec, Mathieu Duchesne-Roy, qui aurait
communiqué avec l'adolescente par les réseaux sociaux, pour ensuite s'en prendre à
elle chez lui.
Mardi midi, à l'École secondaire l'Odyssée, des policiers de Québec ont procédé à
l'arrestation de huit jeunes hommes, dont la majorité étaient d'âge mineur, car ils auraient
proféré des menaces de mort et auraient intimidé la présumée victime. La relationniste de
la police de Québec, Catherine Viel, confirme que la victime aurait été la cible de ces
menaces, car elle a porté plainte à la police contre Mathieu Duchesne-Roy. Il est depuis
sous le coup de trois chefs d'accusation et a pu reprendre sa liberté, moyennant le respect
de différentes conditions, dont celle de ne pas utiliser un ordinateur.
La directrice de cette école de 430 élèves de la première à la troisième secondaire,
Johanne Bissonnette, affirme que l'adolescente a été la cible de ces menaces quand elle
quittait l'école sur l'heure du dîner. La victime est allée prévenir Mme Bissonnette, qui a à
son tour contacté la policière de l'école. Selon Mme Bissonnette, les policiers sont arrivés
rapidement pour procéder à l'arrestation «spectaculaire» de ces huit individus. La directrice
explique que les jeunes arrêtés mardi ne fréquentent pas son école, à l'exception d'un
d'entre eux, qui est présentement suspendu.
L'un d'entre eux, Samuel Pelosse-Duchesne, 18 ans, a comparu au palais de justice de
Québec, mercredi, pour y être accusé d'avoir proféré des menaces à l'adolescente, de
l'avoir criminellement harcelée et d'avoir tenté d'entraver le cours de la justice en l'incitant à
retirer sa plainte.
Le jeune homme a pu recouvrer sa liberté en contractant un engagement de 1000 $ et son
père a dû en signer un autre du même montant. Pour la durée des procédures, PelosseDuchesne devra se trouver chez lui entre 22h et 7h. Le juge André Plante lui a également
interdit de communiquer avec la plaignante ainsi qu'avec sept autres témoins, de se rendre
chez la plaignante et à l'école l'Odyssée, de posséder cellulaire et téléavertisseur, de
consommer de la drogue et de posséder des armes. Il reviendra en cour le 25 novembre
pour la divulgation de la preuve dans son dossier.
Selon Mme Viel, deux autres adolescents ont été libérés avec promesse de comparaître,
alors que les cinq autres ont pu reprendre leur liberté sans aucune condition. Aucune
accusation ne sera retenue contre ces derniers, ajoute Mme Viel, car leur implication était
de moindre importance que les trois autres suspects.
Page Facebook
Par l'entremise d'une page Facebook intitulée «Supportons Mathieu Duchesne-Roy» et qui
a été créée il y a quelques jours, la présumée victime est aussi la cible de commentaires
peu élogieux. La presque totalité des gens - parmi lesquels on retrouve plusieurs femmes
et adolescentes - qui rédigent des commentaires sur cette page ne croient pas que
Duchesne-Roy pourrait avoir commis le geste qu'on lui reproche.
«Je sais pas c qui elle mais chapeau grosse conne!», a écrit un ado.
«GET A LIFE BIITCH :)!», a ajouté une autre jeune femme.
Le responsable de cette page a même censuré, aux alentours de midi, mercredi, le
commentaire d'une personne défavorable à la cause de Duchesne-Roy, en le retirant de la
page Facebook.
La police de Québec confirme être au courant de l'existence de cette page et affirme que
tout acte d'intimidation ne sera pas toléré.
«Une menace, que ce soit sur Internet ou en personne, c'est une menace. Si des
commentaires sont faits et qu'ils sont enquêtés, des accusations pourraient être
déposées», a indiqué Mme Viel.
Faire taire les rumeurs
En entrevue, mercredi matin, la directrice de l'école a affirmé que son personnel a dû
rencontrer des élèves de différents groupes, afin de faire taire les rumeurs qui couraient
sur la présumée victime. Mme Bissonnette avoue que des élèves de son école étaient
fâchés de savoir que leurs amis avaient été arrêtés.
«Dans le contexte, c'était important, dès ce matin, avant que ça s'amplifie, d'aller faire une
intervention pour recadrer l'information au service de la victime, a indiqué Mme
Bissonnette. Pour ne pas qu'elle vive plus de pression ou d'oppression à la suite de sa
dénonciation. «Une des premières qui étaient mécontentes que ses amis se soient fait
arrêter, quand on a dit qu'est-ce qui s'était passé, elle a dit : "Ah, ok."»
La directrice ajoute qu'année après année, les élèves sont rencontrés afin de leur expliquer
les dangers de se faire jouer de vilains tours par l'entremise de la Toile et des médias
sociaux. On souhaite ainsi les sensibiliser à la cyberintimidation et faire adopter des
comportements aux adolescentes pour éviter qu'elles se fassent prendre, comme
Duchesne-Roy l'aurait fait avec la présumée victime.
Ne pas hésiter à porter plainte
La médiatisation de l'histoire des menaces subies par cette adolescente de 15 ans pourrait
inciter des victimes d'agression sexuelle à ne pas porter plainte à la police contre leur
agresseur, affirme la porte-parole du Regroupement québécois des centres d'aide et de
lutte contre les agressions à caractère sexuel, Karine Tremblay.
«Elles pourraient penser que ces menaces pourraient leur arriver un jour, si elles brisent le
silence avec la police.»
Mme Tremblay invite donc les victimes à ne pas hésiter à porter plainte à la police et à aller
chercher l'aide dont elles ont besoin, notamment dans un de ces centres. Du côté de la
direction de l'École secondaire l'Odyssée, on assure que la victime aura droit à du soutien
psychologique. De plus,les parents de la victime ont été rencontrés, afin de leur expliquer
les mesures qui seront déployées pour leur fille.
27 octobre 2011
Article tiré de : http://blogues.lapresse.ca/therrien/2011/10/27/des-pedophiles-traquespar-j-e/
Des pédophiles traqués par J.E.
J.E. présente demain soir (vendredi), 19h, à TVA, une enquête choc sur des pédophiles pour
qui les réseaux sociaux représentent un terrain de jeu idéal.
Empruntant l‘identité d‘Hélodie, 13 ans, l‘équipe de l‘émission a réussi à appâter une
cinquantaine d‘hommes. De ce nombre, 10 ont accepté un rendez-vous avec la jeune fille.
Or, au moment de la rencontre, c‘est plutôt Michel Jean et son caméraman qui faisaient
irruption devant ces sinistres individus.
J‘ai vu deux extraits de l‘émission, qui m‘ont littéralement fait lever le coeur, et on ne montre
que l‘essentiel. Les pédophiles, traqués, ne savent comment réagir et paraissent
terriblement mal à l‘aise. Mais jamais autant que nous.
«Voyons donc, Monsieur, vous voyez ben que j‘suis un homme marié!» Ah bon…
Michel Jean rappelle au monsieur que se masturber devant sa webcam, en contact avec une
mineure, constitue un acte criminel. À l‘écran, les visages de ces cyberprédateurs sont
brouillés.
La diffusion du reportage devrait sensibiliser les parents à redoubler de prudence à l‘égard
de ce que font leurs enfants sur Internet.
28 OCTOBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201110/28/01-4462008-une-lourde-peine-reclamee-pour-le-predateur-sexuel-jacquesgroleau.php
Une lourde peine réclamée pour le
prédateur sexuel Jacques Groleau
Caroline Touzin
La Presse
Jacques Groleau est un prédateur sexuel méthodique. Il ciblait toujours une jeune femme qui entrait
chez elle seule, tard le soir. Il entrait avec elle dans sa tour de logements en se faisant passer pour
un résidant. Une fois dans l'ascenseur, il sortait une arme et la menaçait de la tuer si elle ne
collaborait pas. Il apportait un condom avec lui qu'il récupérait après avoir agressé sa victime.
L'homme de 50 ans au lourd passé judiciaire a fait cinq victimes en deux ans avant que la police ne lui
mette la main au collet. L'une d'elles a réussi à lui arracher son dentier en se débattant. Cela a permis aux
enquêteurs de récolter son ADN et de faire le lien avec d'autres agressions survenues dans le même
quartier, le Plateau Mont-Royal.
Au moment des plaidoiries sur la peine, hier, au palais de justice de Montréal, la poursuite et la défense
ont suggéré de lui imposer une lourde peine de 15 ans de pénitencier. Les deux parties ont aussi
recommandé qu'il soit déclaré «délinquant à contrôler» pour la période maximale de 10 ans après sa sortie
de prison.
«J'aurais préféré mourir cette nuit-là. Tout ce que je fais depuis, c'est survivre», a témoigné l'une de ses
victimes, hier, la voix étouffée par les sanglots. La jeune femme, qui avait 20 ans à l'époque, est la
première victime de Groleau. Au cours des deux années suivant son agression, alors que Groleau n'avait
pas encore été arrêté, elle avait l'impression de le voir partout. Au dépanneur. À l'épicerie. Au coin de la
rue.
Cette victime prend toujours des médicaments pour calmer son angoisse. Elle a quitté Montréal pour
retourner vivre dans sa région natale. «Je vis échec après échec. Je ne suis plus celle que j'étais avant»,
a-t-elle dit.
«Vous êtes très courageuse», lui a souligné la juge Hélène Morin, alors que l'accusé, assis dans le box,
sanglotait bruyamment.
Une autre de ses victimes, jeune Française arrivée à Montréal une semaine avant l'agression, a préféré
s'exprimer par écrit. «Savez-vous ce que c'est, d'être allongée de force, sans possibilité de vous échapper,
avec quelqu'un qui vous menace de viol ET de mort, pendant que votre esprit trop conscient sait qu'il n'y a
rien à faire et que vous n'avez qu'à attendre la mort d'une manière ou d'une autre? Je n'oublierai jamais ce
sentiment de m'être fait enterrer vivante et d'attendre la fin», a-t-elle écrit dans sa lettre déposée en
preuve.
Alors que Groleau était en train de l'agresser, la jeune femme a tenté le tout pour le tout et lui a planté les
doigts dans les yeux. Elle a ensuite réussi à lui arracher son dentier et à se défaire de son emprise.
Déstabilisé, l'accusé a déguerpi avant que la police n'arrive, laissant son dentier derrière lui.
Groleau a reconnu sa culpabilité à 15 chefs d'accusation d'agression armée, d'agression sexuelle, de
séquestration et d'introduction par effraction. Les agressions se sont produites entre novembre 2008 et
septembre 2010. Les victimes avaient de 20 à 36 ans.
La psychiatre France Proulx, chargée de l'évaluer, recommande qu'il soit déclaré «délinquant à contrôler».
Il ferait ainsi l'objet d'une surveillance stricte durant 10 ans après sa sortie de prison. «Il a tendance à
minimiser l'ampleur de ses délits», a fait valoir la procureure de la Couronne, Me Sylvie Lemieux. Groleau
a déjà purgé une peine de 15 ans dans les années 80 pour des délits de même nature.
De son côté, l'avocat de Groleau, Me Louis-Philippe Roy, a insisté sur l'enfance difficile de son client.
Victime de sévices sexuels à répétition dans son enfance, il a fait de la prostitution pour survivre à
l'adolescence. Selon la psychiatre, Groleau n'éprouve pas de désirs de viol lorsqu'il est à jeun, a rappelé
l'avocat. C'est lorsqu'il consomme de la cocaïne qu'il devient un prédateur.
«Je regrette ce que j'ai fait. Je mérite ce que je vais avoir», a témoigné l'accusé. Il sera fixé sur son sort le
15 novembre lorsque la juge Morin rendra son verdict sur la peine.
29 octobre 2011
Article tiré de : http://www2.canada.com/calgaryherald/news/city/story.html?id=f1f2789a-bc65-4c2db34e-c51b6b0ee14b
Public warned of released sex
offender
Stephane Massinon, Calgary Herald
Published: Saturday, October 29, 2011
Police have issued a warning about a high-risk sex offender who has been released from
prison and is in Calgary.
The man, Henri Jean Rusk, 52, has been diagnosed as a sexual sadist. He served a 60-day
sentence for breaching his conditions of release and will be monitored by the police high-risk
offender program.
Police say Rusk has a history of violent and sexual attacks against strangers or women he
befriends.
Police have released the warning in the interest of public safety. "We're attempting to work
with Mr. Rusk in order for him to successfully reintegrate because a successful reintegration
would mean one less victim out there, and that's what we're hoping to achieve," said Sgt.
Rich Veldhoen.
"If he starts reentering into his offence cycle, we hope to intervene before anyone gets hurt."
Rusk -- who has also gone by the names Frank John Bothorel, Francois Jean Edward
Bothoreal, Henri John Allard and Henri Jean Allard -- is on a three-year probation order.
He can be more violent when drunk or on drugs, say police.
In October 2010 Rusk was sentenced to a year in prison for touching a woman without her
consent.
At the time of his sentencing, he was rated as a high risk to reoffend. Rusk is described as
approximately six-feet tall, 200 pounds with grey hair, hazel eyes and facial hair.
30 octobre 2011
Article tiré de : http://www.lametropole.com/article/actualites/actualites/scouts-des-agressions-denfants-pass%C3%A9es-sous-silence
Dimanche, 30 octobre 2011
SCOUTS : DES AGRESSIONS
D'ENFANTS PASSÉES SOUS
SILENCE
Des responsables américains et canadiens des scouts ont passé sous silence les
agressions commises sur des enfants par l'un de leurs membres, et l'ont même
protégé à certaines occasions, selon ce qu'indiquent des rapports confidentiels.
LaMetropole.com / PC
Une enquête menée par le réseau anglophone de Radio-Canada et le quotidien américain The
Los Angeles Times a révélé comment le chef scout Rick Turley avait agressé sexuellement au
moins 15 enfants au cours de sa carrière de presque deux décennies. La plupart de ces victimes
ont rencontré Turley dans les associations scouts du Canada et des États-Unis, dès le début des
années 1970.
Des documents indiquent que les représentants des Boy Scouts of America n'avaient pas
contacté la police après que l'homme eut admis avoir agressé trois garçons en Californie, en
1979. "Il ne fallait pas diffuser ces informations dans la population", s'est remémoré Buford Hill
fils, un ancien organisateur du mouvement scout dans le comté californien d'Orange. "Il fallait
en prendre soin subtilement et s'assurer que ça ne se produise plus jamais." Mais les agressions
se sont reproduites.
Turley, un citoyen canadien, était ensuite rentré au pays pour collaborer avec Scouts Canada, où
il a poursuivi ses agressions pendant au moins une décennie. Aujourd'hui âgé de 58 ans, Turley
affirme avoir toujours été surpris de la facilité avec laquelle il s'en était sorti. "C'était facile",
s'est-il rappelé au cours d'une entrevue avec la CBC, ajoutant qu'il a ensuite appris à contrôler
ses instincts. L'homme a été condamné à cinq ans de prison en 1996, après avoir été trouvé
coupable de cinq accusations d'agression sexuelle sur un enfant. Libéré en 2000, il a été surpris
à nouveau en train d'approcher des garçons pré-adolescents et a été renvoyé derrière les
barreaux, avant de recouvrer sa liberté deux ans plus tard.
Les noms de plus de 5000 présumés agresseurs d'enfants ont été inscrits dans des registres
confidentiels, des documents conservés par Boy Scouts of America. Ils contiennent des aveux,
ainsi que des allégations non-confirmées. Ces documents ont émergé dans les dernières années
au cours de poursuites judiciaires contre les scouts.
31 OCTOBRE 2011
Article tiré de : http://tvanouvelles.ca/lcn/judiciaire/archives/2011/10/20111031151114.html
Enlèvement et agression d'une fillette
Stanley Tippett jugé délinquant
dangereux
Première publication 31 octobre 2011 à 15h11
Crédit photo : Agence QMI
Stanley Tippett
Agence QMI
Un homme qui avait enlevé et agressé sexuellement une fillette de 12 ans derrière une école
secondaire en 2008 a été déclaré délinquant dangereux, lundi.
Stanley Tippett, âgé de 35 ans, restera donc indéfiniment en prison.
Le procureur de la Couronne a fait valoir lors de l'audience que l'accusé avait le
comportement d'un prédateur lors de ses précédents crimes, faisant notamment référence à
une autre condamnation, pour harcèlement, en 2005 et à une tentative d'agression sexuelle
et de vol en 1992.
Il n'aurait pas pris conscience de ses crimes. «M. Tippett n'accepte pas le verdict de la cour,
a précisé le procureur. Il s'est présenté devant vous en n'ayant jamais reconnu ce qu'il avait
fait. Son déni est total.»
1er NOVEMBRE 2011
Article tiré de : http://tvanouvelles.ca/lcn/judiciaire/archives/2011/11/20111101212411.html
20 mois de prison pour un pédophile :
Agressé par son « Grand Frère »
Crédit photo : TVA Nouvelles
Charles Lafrance a été agressé par son «Grand Frère», Claude St-Jean, aujourd'hui reconnu coupable d'agression
sexuelle sur un mineur et qui écope de 20 mois de prison.
Charles Lafrance avait 9 ans quand son père est décédé. Il en avait toujours 9 quand son
«Grand Frère» l'a agressé sexuellement pour la première fois.
Plus de 30 ans plus tard, son agresseur a été reconnu coupable mardi matin et devra purger
une peine de 20 mois de pénitencier.
À l'époque Claude St-Jean avait 45 ans et se trouvait en rapport d'autorité avec Charles
Lafrance. La mère de Charles avait souhaité que son fils ait une présence masculine dans
sa vie rapidement après le décès prématuré de son père, pour éviter le traumatisme.
Aujourd'hui, Charles Lafrance a choisi de raconter son histoire à Denis Lévesque, sur les
ondes de LCN.
Il se souviendra toujours du premier jour de sa rencontre avec son Grand Frère. «Je suis allé
pour la 1re fois sur le boulevard Taschereau pour aller prendre un chocolat chaud avec lui et
là ça part... Il fait miroiter toutes sortes d'activités, de la motoneige et tout ça.»
Même s'il dit à sa mère qu'il est plus ou moins chaud à l'idée de retourner voir cet homme,
les rencontres se poursuivent. Une semaine ou deux après, Charles passait une fin de
semaine sur deux chez Claude et les attouchements ont commencé dès la première nuit.
Claude voulait qu'ils dorment en cuillère, faisait des attouchements à Charles, lui demandait
des fellations, et l'embrassait avec la langue. Ce, pendant trois années.
Terrorisé, Charles Lafrance n'a rien raconté. Claude lui avait bien précisé que leur histoire
était un secret «Ta mère n'a pas d'affaires à savoir ça», se rappelle très bien Charles.
Sa thérapie au Criphase
En thérapie de groupe pour les hommes qui ont été abusés, des années plus tard, Charles
Lafrance s'est rendu compte que sur les dix participants, neuf n'avaient jamais avoué qu'ils
avaient été attouchés au moment où les événements étaient survenus. Comme lui, tous en
ont parlé des années plus tard.
«Moi je n'en avais pas parlé à qui que ce soit. J'avais peur.»
À 13 ans, il en parle finalement
Une ancienne conjointe de Claude St-Jean avait à l'époque témoigné son inquiétude aux
Grands Frères, parce que disait-elle, ses enfants à aurait subi des attouchements venant de
cet homme.
Charles a donc passé un «test» chez les Grands Frères, où on voulait établir si cet homme
avait pu lui infliger un tel traitement.
Il a donc parlé pour la première fois, sous interrogatoire. «Après, c'est qu'on a immensément
honte»
«En sortant de là, ma mère m'a pris dans ses bras et m'a dit ‗'Charles si je pouvais t'enlever
toute la peine que tu as, je le ferais''» Elle se sentait coupable, raconte Charles Lafrance, qui
réalise aujourd'hui.
Drogue et années d'enfer
«J'ai
commencé
à
consommer
de
la
drogue
quasi
instantanément».
Charles Lafrance dit qu'à 13 ans il fumait un joint et qu'à 16 ans, il consommait déjà de la
coke. Il n'a réussi à se sortir de cette dépendance qu'il y a trois ans.
Il n'a jamais pu occuper un emploi stable, trop pris avec ses problèmes.
Aujourd'hui, la colère envers les Grands Frères est toujours vive.
De leur part, il n'a jamais reçu d'aide. Il a dû aller la chercher lui-même.
Un mois après son «interrogatoire», un homme était simplement venu l'évaluer en lui posant
une autre série de questions et avait jugé que Charles ne garderait pas de séquelles de
cette expérience et qu'il ne démontrait pas de signes «d'homosexualité». Et l'aide s'est
arrêtée à cette visite.
Des suites difficiles
Charles Lafrance a du mal à s'expliquer comment une sentence de 20 mois vaut le calvaire
qu'il a dû vivre.
«Moi je peux vous certifier que s'il avait eu 5 ans, je dormirais mieux.»
Mais au-delà de cela, c'est encore le fait que son agresseur a d'abord nié en bloc les
agressions qui le choque. Claude St-Jean a attendu plus d'un an et demi avant de
finalement avouer.
2 NOVEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201111/02/01-4463706-peine-decevante-pour-un-grand-frere-pedophile.php
Peine décevante pour un «grand
frère» pédophile
Charles Lafrance
PHOTO ANDRÉ PICHETTE, LA PRESSE
Vincent Larouche
La Presse
Un ancien bénévole de l'Association des Grands Frères et Grandes Soeurs de Montréal a pu
échapper à la justice pendant 30 ans même si les responsables de l'organisme savaient dès 1980
qu'il était pédophile et avait agressé un des enfants qu'on lui avait confié.
Claude St-Jean, 79 ans, de Saint-Mathias-sur-Richelieu, s'est présenté avec ses valises au palais de
justice de Valleyfield, hier. En juin dernier, il s'était avoué coupable d'agression sexuelle sur Charles
Lafrance, l'enfant à qui il avait été jumelé à la fin des années 70 à titre de «grand frère» bénévole.
Condamné à 20 mois de prison, il a finalement pris le chemin des cellules.
«On a beau me répéter que c'est une victoire, mais 20 mois, il me semble que c'est très peu pour ce qu'il a
fait à moi et à ma famille», a déploré Charles Lafrance, aujourd'hui âgé de 45 ans.
M. Lafrance avait 10 ans lorsque son père est mort, en 1977. Sa mère avait pris contact avec l'Association
des Grands Frères et Grandes Soeurs afin de lui trouver un nouveau modèle masculin. L'organisme l'avait
jumelé à Claude St-Jean.
Le bénévole a vite commencé à l'agresser sexuellement. La situation a duré des années. Selon M.
Lafrance, son «grand frère» lui demandait de ne pas en parler à sa mère puisqu'il s'agissait «d'histoires de
gars».
Aux alentours de 1979-1980, l'Association a été mise au courant des sévices sexuels. Elle a cessé
d'utiliser les services de St-Jean. Elle a même fait état de la situation dans des documents internes. Mais
aucune plainte n'a été déposée à la police.
«Inquiétant»
«Ils avaient été mis au courant, mais ça ne s'est jamais ramassé dans un poste de police quelconque.
C'est inquiétant», affirme Me Pierre-Olivier Gagnon, le procureur de la Couronne qui vient de faire
condamner St-Jean.
Charles Lafrance, lui, dit avoir ensuite vécu une véritable descente aux enfers. Il affirme avoir consommé
de la drogue dès l'âge de 13 ans, à partir du moment où les agressions sexuelles ont cessé. Il s'est révélé
incapable de finir son secondaire. Il consommait des drogues dures pour «geler ses émotions» et était
incapable d'occuper un emploi.
«J'ai 25 ans de consommation de cocaïne en arrière de la cravate, ça laisse des séquelles», dit-il.
Encore aujourd'hui, il est incapable de faire confiance à autrui, «ce qui rend quasi impossible toute forme
de relations interpersonnelles et amoureuses saines», selon une requête présentée en cour par ses
avocats.
En 2009, au terme d'une thérapie, il dit avoir compris que ses difficultés découlaient des agressions subies
dans son enfance. «Je n'avais jamais fait le lien avant», dit-il.
Un intervenant le convainc alors de porter plainte à la police contre son agresseur.
«À ma grande surprise, il était encore en vie, alors que je le croyais enterré depuis longtemps», dit-il.
Tout déboule ensuite. La Sûreté du Québec a pris le dossier en charge. Selon Me Gagnon, les agents ont
saisi à l'Association des Grands Frères un rapport faisant état du comportement de St-Jean. La Couronne
n'a pas eu à le déposer en preuve, puisque l'agresseur a avoué ses crimes et accepté de plaider coupable
après avoir été arrêté, même s'il disait avoir du mal à se souvenir des faits.
Charles Lafrance poursuit maintenant son agresseur et l'Association des Grands Frères et Grandes
Soeurs de Montréal. Il leur réclame 1 million de dollars en dommages.
La directrice de l'organisme, Ginette Sauvé, s'est limitée dans ses commentaires hier puisque la cause est
devant les tribunaux.
Elle affirme toutefois avoir fait des vérifications dans les archives de l'époque. Selon elle, le dossier avait
été envoyé à la Direction de la protection de la jeunesse. «C'étaient les instances auxquelles nous devions
nous rapporter à ce moment-là», explique-t-elle.
Mme Sauvé ne peut pas dire pourquoi aucune accusation n'a découlé de ce signalement à l'époque.
«Nous trouvons cette situation extrêmement regrettable et nous sommes de tout coeur avec la victime.
Nous allons collaborer avec toutes les instances concernées. Et je dois signaler que notre processus de
sélection des bénévoles est extrêmement rigoureux», assure-t-elle.
3 NOVEMBRE 2011
Article tiré de :
http://www.lapresse.ca/le-droit/actualites/justice-et-faits-
divers/201111/02/01-4463977-deux-hommes-arretes-et-accuses.php
Deux hommes arrêtés et accusés
ÉTIENNE RANGER, LEDROIT
Louis-Denis Ebacher
Le Droit
La victime de 20 ans qui dit avoir été enlevée, séquestrée et agressée par un groupe d'hommes dans
une maison en rangée de Gatineau, dans la nuit de lundi à mardi, aurait été remarquée par ses
ravisseurs dans un bar d'Ottawa dans les minutes précédant les événements.
C'est à sa sortie de l'établissement du centre-ville, lors de la fermeture des bars, peu après 2 h, que ses
ravisseurs s'en sont pris à elle, selon des informations obtenues par LeDroit. La victime se trouvait dans la
rue lorsqu'elle a été enlevée. Deux des présumés agresseurs sont les frères Abel Santana Solano, 32 ans,
et Alejandro-Wilky Santana-Espinosa, 27 ans. Tous les deux, bien connus dans le milieu policier, ont
comparu mercredi en fin d'après-midi au palais de justice de Gatineau.
Le duo est apparu en même temps dans le box des accusés en balayant des yeux la salle d'audience. La
Couronne a remis sa preuve, qui inclut l'interrogatoire de la victime et trois autres vidéos, à l'avocat de la
défense, Nicolas St-Cyr. La Couronne s'est objectée à la remise en liberté des deux prévenus, qui
reviendront devant le juge vendredi pour leur enquête sous cautionnement. Les deux hommes ont été
accusés d'enlèvement, de séquestration, d'agressions sexuelles et vol. Tous ces chefs d'accusation ont
été perpétrés sous la menace d'une arme à feu.
L'utilisation d'une arme à feu lors dans la perpétration d'un acte criminel est considérée comme un facteur
aggravant par le ministère public.
La jeune femme ne connaît pas personnellement ses agresseurs, a affirmé Pierre Lanthier, porte-parole
de la police de Gatineau.
Escouade tactique
La jeune victime a appelé au 9-1-1 mardi matin, vers 4 h 45, pour indiquer qu'elle s'était échappée du 61,
rue des Capucines, dans le secteur Hull. Elle affirmait avoir été enlevée dans la rue, à Ottawa, pour être
transportée de force à Gatineau.
Les policiers se sont rendus sur place avec un haut-parleur en demandant aux résidents du 61, des
Capucines, de sortir immédiatement avec les mains en l'air. Le 61, des Capucines est l'adresse de Abel
Santana Solano, selon le document de la cour. Le frère cadet réside à Ottawa.
L'escouade tactique de la police a encerclé la résidence en début de journée, craignant que des individus
dangereux s'y trouvent. À ce moment, les deux accusés et une femme - relâchée depuis - étaient déjà en
état d'arrestation. Les policiers, qui maintenaient leur périmètre de sécurité pour éviter d'éventuels tirs en
direction de civils, ont fait irruption dans la résidence en milieu d'après-midi pour finalement ne trouver
personne.
4 NOVEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.nsnews.com/news/Sailor+jailed+child+pornography/5655930/story.html
Sailor jailed for child pornography
By Jane Seyd, North Shore News November 4, 2011
A U.S. sailor caught with hundreds of images of child pornography while his ship was
docked in North Vancouver has been sent to jail for 18 months.
Henry Carlton Sheppard, 25, of Seattle, was arrested Sept. 6 after Canadian Border
Services officers boarded the vessel Global Sentinel and found the child pornography on
a laptop in Sheppard's cabin.
Officers examined an external hard drive and found 500 still photos and 50 videos, all
containing explicit images of girls between five and 10 having sex with adult men.
Sheppard told officers how he was able to access the pornography through a hidden
relay system of websites that allowed him to browse the images without being detected.
He said he first became interested in depictions of child pornography though Asian
comic books. Those depictions got him interested in 'looking for the real stuff,' he told
psychologists who interviewed him.
Sheppard was sentenced Oct. 27 in North Vancouver provincial court after pleading
guilty to possessing child pornography. In handing down her sentence, Judge Carol
Baird Ellan said she was concerned that Sheppard's interest in child porn was
apparently a "long-standing habit" and about his lack in insight into the harm associated
with it.
"Even accessing such images from the Internet creates a market for more," she told
Sheppard.
She added Sheppard was lucky he was caught in Canadian waters rather than in the
U.S., where sentences are harsher.
Crown counsel Gillian Parson noted Sheppard will likely be deported back to the U.S.
once he's served his time.
5 NOVEMBRE 2011
Article tiré de : http://blogs.windsorstar.com/2011/11/05/windsor-sluts-take-steps-against-sexualassault/
Windsor “sluts” take steps against
sexual assault
November 5, 2011. 8:03 pm • Section: News
Posted by: Dylan Kristy
Amy Lafreniere said even her four-year-old knows what no means. Lafreniere and her
three sons were among about 75 women, men and children who marched through the
downtown core Saturday evening for Windsor‘s first SlutWalk.
―The way I see it, you can go walking down the street in a snowsuit or your birthday suit,‖
Lafreniere said Saturday.
―Either way you shouldn‘t be touched inappropriately anyway, anytime, no matter what
time of day it is.‖
The protest is in response to Toronto police Const. Michael Sanguinetti who said
―women should avoid dressing like sluts in order not to be victimized,‖ at a York
University safety forum last January.
―That sparked a lot of outrage because it‘s spreading myths,‖ said Windsor SlutWalk
organizer Mag Wildwood.
―It‘s a crime of dominance and power, not a crime of passion and lust so you shouldn‘t
have to worry about what you‘re wearing when you‘re out.‖
The march has spread all over the world including Denver, Australia and New Delhi.
The local march started at the Art Gallery of Windsor and travelled east on Riverside
Drive before turning south on Ouellette Avenue and ending at Phog Lounge, 157,
University Ave. W.
Lafreniere‘s six-year-old son Branden Blackton held a sign reading ―What part of no
don‘t you understand‖ while others had signs reading ―my dress is not a yes.‖
―I wanted my children here so they grow up knowing that there are things in the world
you can‘t do and shouldn‘t do,‖ Lafreniere said.
For more information check out SlutWalk Windsor on Facebook.
6 NOVEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.thewhig.com/2011/11/06/man-20-jailed-for-downloadingsharing-child-porn
Man, 20, jailed for downloading,
sharing child porn
By Sue Yanagisawa, Kingston Whig-Standard
Sunday, November 6, 2011 10:51:35 EST PM
A 20-year-old Central Frontenac man, caught downloading and sharing child
pornography online, has been sentenced to 90 days of intermittent jail on weekends and
two years of probation for two years.
Zachary C. Badour pleaded guilty Wednesday in Kingston's Ontario Court of Justice to
one count of possessing child pornography and one count of making child pornography
available.
In recommending the 90-day jail sentence, assistant Crown attorney Megan Williams
noted that it was the minimum sentence legislatively mandated for distribution charges.
She also told Justice J. Peter Coulson that she was urging that minimum because of
Badour's relative youth, his guilty plea and the fact that his collection was small, as well
as the absence of any evidence he was involved in making pornography.
She also observed that he wasn't attempting to initiate a dialogue with the creators or
other collectors of child porn, as far as police investigators could tell.
Coulson imposed the minimum jail sentence but incorporated a recommendation from
defence lawyer Lawrence Silver, allowing Badour to serve it on weekends in order to
preserve his employment.
The judge also ordered Badour included on the Sex Offender Information Registry for 10
years and required him to complete any assessment, treatment or counselling arranged
by his probation supervisor, with particular attention to sexual behaviour and mental
health issues "if they are detected."
He declined, however, to make a special order suggested by Williams that would have
barred Badour from parks, swimming areas and other places that children under 16
could reasonably be expected to congregate. Badour has no prior involvement with the
law and Williams told the judge, in asking for the order, that she had no information
about his sexual preferences.
Coulson observed that the 20-year-old lives in a small community and, after reading a
stack of letters from people who know him and are aware of the charges, the judge said,
"frankly, in the community in which you live, I don't think that's required," he said.
Williams told the judge that Badour was 18 and living in Verona when Kingston Police
first detected his presence on-line.
She told the judge they were conducting a child pornography investigation through the
"peer-to-peer network" when they picked up his computer activity and detected 25
images being downloaded, six of which were confirmed as child pornography.
Investigators subsequently accessed Badour's shared files on LimeWire, according to
Williams, and over a period of three days in late April downloaded more than half a
dozen files containing child pornography.
That was the basis of the distribution charge, she explained to Coulson, since the
program Badour was using offered the option of saving to a private folder.
Police later tracked Badour's files back to the Internet Protocol address where the
offending downloads were made, which eventually took them to the Verona address
where he'd been living earlier in 2010.
Time had passed by then, however, and Williams told the judge that Badour had already
moved out by the time police found the address. The home's owner was renting his
basement to two other men.
Williams told the judge it was the owner of the property who matched his former tenant
to the requisite time period and provided officers with his identity, which led them to his
new address.
There, she said, police seized his computer and the prosecutor told Coulson their
analysts were able to match the contents of its hard drive and online history to his
LimeWire files and the child pornography downloads they'd already documented.
In addition, she said, they found 24 child pornography images and 25 child pornography
videos still stored in his computer.
The collection, she told the judge, included children of both genders, as young as five
and up to about 15 years old engaged in a variety of sex acts, including some where
they were evidently being compelled to perform.
Defence lawyer Lawrence Silver submitted a stack of letters to the court from various
people in Badour's community, including a counsellor and a church minister who have
worked with him.
"You see from the letters," he noted, "that my client has an extensive network of support
in the northern part of the county."
Silver also disclosed that Badour started going to church when he was 10 and has been
active there ever since, involved in various groups and singing in the choir. He told
Coulson that his client has a fine singing voice.
He also noted that Badour's mother attests that he's worked since he was in his early
teens and would like to go to university.
Coulson, in sentencing Badour, adopted the Crown's comments on the socially corrosive
nature of accessing, collecting and sharing child pornography. Even though readily
available on the Internet, Williams noted it's not a simple act of curiosity or a victimless
crime.
"At the root of all child pornography offences," Williams observed, "is hands-on sexual
abuse."
Coulson echoed her in addressing Badour, making the point that child pornography is
not entertainment.
"Every image," he said, "is a picture of a child who really was abused."
Badour assured him that it's over.
"I learned a very big lesson here and I won't be in (court) any time soon," he told the
judge.
7 NOVEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-droit/actualites/justice-et-faitsdivers/201111/07/01-4465426-agression-sexuelle-a-carleton-un-homme-de-18-ans-arrete.php
Agression sexuelle à Carleton: un
homme de 18 ans arrêté
PATRICK WOODBURY, LEDROIT
Jonathan Blouin
Le Droit
Un homme d'Ottawa a été arrêté en lien avec deux agressions sexuelles survenues sur le
campus de l'Université Carleton.
Dimanche soir, les agents de sécurité de l'université ont intercepté Oluwatimilehin Akindele, 18
ans, quelques minutes après qu'une étudiante de 19 ans ait été agressée sur le campus.
Le suspect a été remis entre les mains de la police d'Ottawa.
C'est la deuxième agression sexuelle en moins d'une semaine à l'Université Carleton.
Le 30 octobre dernier, une étudiante de 19 ans «aurait été touchée de façon inappropriée»,
vers 3h30, près des résidences Stormont et Dundas, alors qu'elle rentrait chez elle à pied.
Le service de sécurité de l'université avait ouvert une enquête, sans toutefois transférer le
dossier à la police.
L'établissement avait plutôt diffusé la description du suspect dans un courriel à ses étudiants.
L'homme de 18 ans devra faire face à des accusations d'agression sexuelle et de voies de fait,
lundi, au palais de justice d'Ottawa.
8 NOVEMBRE 2011
Article tiré de :
http://www.theprovince.com/news/Sexual+harassment+complaint+highlights+need+ref
orm+RCMP+psychologist/5677873/story.html
Sexual harassment complaint
highlights need for reform in
RCMP: psychologist
BY VIVIAN LUK, POSTMEDIA NEWS NOVEMBER 8, 2011
VANCOUVER — A prominent B.C. RCMP officer's allegations of having suffered years of
sexual harassment in the force has highlighted the need for a better complaints process,
says a police psychologist.
Catherine Galliford, a former Mountie spokesperson who was involved with the Air India
bombing probe and the arrest of serial killer Robert Pickton, told CBC News in an exclusive
interview that she faced sexual advances from senior officers during the 16 years she was
with the force. She went off duty sick in 2007 and said she is suffering from post-traumatic
stress disorder.
Galliford said she has filed an internal RCMP complaint, but police psychologist Mike
Webster said that may not be enough to induce change in a "man's world."
"(Sexual harassment) is as frequent in a municipal police department or fire services as it is
in the RCMP," he said. "The difference being, in a municipal police service or fire service, the
female victim has a union she can take her complaint forward, sit down with management,
they iron it out . . . and she can go back to work. In the RCMP, that doesn't exist."
Without an independent union to represent them, female officers who experience sexual
harassment have no one to turn to, said Webster. The masculine culture and command-andcontrol structure discourages them from speaking up.
"Usually, who are they going to complain to? They are going to complain to the guy who is
harassing them — their supervisors," Webster said. "Or they're going to complain to
somebody who has some influence over their career and they don't want to appear like
they're not one of the boys. They want to be tough."
Galliford told CBC that one of her bosses tried to have sex with her and she has been asked
by her bosses to sit on their knees. "It just got to the point that after I had about 16 years of
service, I broke. I completely broke," she said.
Webster said he believes training female officers to protect themselves is not a solution, but
unionizing can bring forth a more effective complaints process and enshrine officers' rights in
a collective agreement.
"The question should not be, how do we equip women to deal with this crap, it's how do we
get rid of this crap," he said. "And the way to get rid of this crap is by transformative change
in the RCMP and part of it includes unionizing."
The RCMP did not comment on Galliford, who told the CBC she will file a lawsuit against the
Mounties. It is the second case in recent months in which a female RCMP officer alleges she
was sexually harassed. In October, Const. Susan Gastaldo claimed her boss coerced her
into having sexual relations.
Sgt. Jennifer Pound, spokesperson for the Integrated Homicide Investigation Team, said the
claim that policing is "a man's world" is not true. She said she believes harassment incidents
in the RCMP are rare.
"I'm offended on behalf of my father, brother and husband who are dedicated police officers
and yet have managed to treat women with respect and equality," she wrote in an email. "For
someone to claim that the policing world is a man's world speaks to the lack of respect that
person has for women and the extremely important role women play within policing. We've
come a long way and that comment sets us back immensely."
In a written statement, RCMP Supt. Kevin DeBruyckere said harassment is not tolerated. He
noted that of 225 members off duty sick, 48 are off for psychological reasons related to
workplace conflict.
vluk@theprovince.com
9 NOVEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201111/09/01-4466197-abus-sexuels-par-des-freres-de-sainte-croix-le-reglement-misen-peril.php
Abus sexuels par des frères de
Sainte-Croix: le règlement mis en
péril
Le collège Notre-Dame
PHOTO: ANDRÉ PICHETTE, ARCHIVES LA PRESSE
Anabelle Nicoud
La Presse
Le règlement à l'amiable entre les victimes des sévices sexuels des frères de Sainte-Croix
et la congrégation montréalaise a été présenté mercredi matin à la Cour supérieure. Mais
l'audition a pris une tournure inattendue avec l'intervention du Fonds d'aide aux recours
collectifs, qui s'oppose à une clause du règlement. Au grand dam des avocats des deux
camps.
Au coeur du désaccord, la méthode de recouvrement des indemnités des victimes. L'entente
prévoit un recouvrement individuel. Cette méthode de recouvrement est la condition sine qua
non de l'entente; les deux parties le soulignent dans une clause. Or, le Fonds d'aide croit au
contraire que le recouvrement devrait être collectif.
La nuance a son importance, dans le cas où le total des indemnités versées aux victimes
n'atteint pas le plafond de 18 millions prévu par la congrégation de Sainte-Croix. Si le
recouvrement est collectif, ce solde devra alors être versé en quasi-totalité au Fonds. Dans un
recouvrement individuel, ce solde restera dans les caisses de la congrégation, et le Fonds
devrait se satisfaire de 10% du total des compensations offertes aux victimes, un maximum de
1,6 million.
«La méthode de recouvrement choisie n'est pas conforme à la loi ni au Code de procédure»,
plaide l'avocat du Fonds, Samy Elnemr.
Émoi
Cet argument a créé l'émoi, mercredi, au palais de justice.
«Ce que je comprends, c'est qu'un joueur s'est impliqué dans le débat et vient gâcher la
sauce», dit Sébastien Richard, ancien élève du collège Notre-Dame de Montréal, et qui se bat
depuis plusieurs années pour que les sévices qu'il y a subis soient reconnus.
Lors de sa plaidoirie, Me Elnemr a ainsi dû répondre à de nombreuses interventions du juge
Auclair, qui n'a pas caché son irritation.
«Pensez-vous que ce soit une saine administration de la justice, de faire tomber le
règlement?», a-t-il demandé au représentant du Fonds, soupçonné d'adopter cette position par
appât du gain plus que par souci de justice.
«Vous n'êtes pas le ministère du Revenu, quand même, le Fonds d'aide», a tonné le juge
Auclair. Ironiquement, il a qualifié de «bon travail» la position du Fonds. «Ils peuvent vous
amener 1,6 million et, au lieu de ça, vous préférez avoir zéro», a-t-il ajouté.
«Monstre à plusieurs têtes»
Les avocats des deux parties n'ont fait guère de mystère de leur incompréhension devant
l'institution étatique qui met en péril l'entente, obtenue au terme de huit mois de négociations et
de trois ans de processus.
«On a un bon exemple de monstre à plusieurs têtes, de Léviathan étatique», illustre Éric
Simard, représentant de la congrégation.
Selon Alain Arsenault, avocat des victimes, la position du Fonds est «incompréhensible». «On
a quelqu'un qui veut chercher la taxe la plus élevée sur la souffrance humaine», dit-il.
L'entente, rendue publique il y a plus d'un mois, prévoit une indemnisation allant de 10 000$ à
250 000$ pour les victimes qui ont fréquenté le collège Notre-Dame entre 1950 et 2001, le
collège Saint-Césaire, entre 1950 et 1991, et l'école Notre-Dame de Pohénégamook, entre
1959 et 1964. Un fonds d'indemnisation pour leurs parents est aussi prévu.
Pas moins de 215 victimes se sont déjà manifestées. Mais ce nombre pourrait encore
augmenter au cours des prochaines semaines.
Le juge Auclair a mis la cause en délibéré, mais il a promis une décision rapide.
10 NOVEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-nouvelliste/justice-et-faits-divers/201111/10/014466523-accuse-dagression-sexuelle-sur-un-jeune-autiste-il-est-cite-a-proces.php
Accusé d'agression sexuelle sur
un jeune autiste, il est cité à
procès
Michel Auger lors de son passage au palais de justice de Shawinigan jeudi matin.
PHOTO: ÉMILIE O'CONNOR
Le Nouvelliste
Michel Auger de Shawinigan a été cité, jeudi, à subir son procès pour des présumées
agressions sexuelles commises sur un jeune autiste en 2007.
Accompagné de son avocat, Me Carl Thibault, l'homme de 55 ans a en effet renoncé à la
tenue de son enquête préliminaire qui devait se tenir au palais de justice de Shawinigan.
Son dossier a été reporté au 27 janvier pour fixer la date de son procès.
En juin 2007 et août 2007, Auger se serait livré à des agressions sexuelles sur un autiste
alors que celui-ci était âgé de 14 ans. Ce n'est qu'un an plus tard qu'une plainte a été
portée à la police par la mère de la présumée victime. «Mon garçon souffre d'une
déficience intellectuelle et d'autisme. Environ un an après les événements, alors qu'il
prenait son bain, il m'a posé des questions pour ensuite me raconter ce qui s'était passé»,
a raconté la mère.
Elle soutient avoir porté plainte pour protéger non seulement son fils mais aussi pour éviter
qu'il n'y ait d'autres victimes.
«J'avais confiance en cet homme. Mon garçon aussi. Je n'arrive pas à croire qu'on puisse
faire ça à quelqu'un de différent, qui souffre d'une déficience», a-t-elle ajouté.
Elle a d'ailleurs pris soin de préciser que son fils est certes autiste mais qu'il se débrouille
bien dans la société et qu'il a une mémoire phénoménale. «Heureusement, il n'a pas de
séquelles. Il se replace et va bien aujourd'hui. J'ai pris soin de lui expliquer que ces
événements n'étaient pas corrects sans pour autant le traumatiser avec cette affaire et le
rendre coupable», a-t-elle mentionné.
Michel Auger, qui n'a pas d'antécédents judiciaires, a comparu formellement en octobre
2010. Il subira son procès en lien avec deux chefs d'agression sexuelle.
11 NOVEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-quotidien/justice-et-faitsdivers/justice/201111/11/01-4466781-la-liberation-de-charlish-seme-la-peur.php
La libération de Charlish sème la
peur
Isabelle Tremblay
Le Quotidien
(ROBERVAL) La libération du prédateur sexuel et multirécidiviste Richard Charlish
continue de semer l'inquiétude.
Originaire de Mashteuiatsh, l'homme de 46 ans quittera le pénitencier de La Macaza le
jeudi 17 novembre prochain, après avoir passé huit ans derrière les verrous.
Malgré un rapport de la Commission nationale des libérations conditionnelles émis au mois
de juillet dernier et qui lui était défavorable, le criminel sortira de l'établissement férédal
dans moins d'une semaine. «La Commission demeure convaincue que Charlish
commettra, s'il est remis en liberté, une infraction causant la mort ou un dommage grave à
une autre personne», peut-on lire dans le dernier rapport.
Richard Charlish a été déclaré délinquant à contrôler pendant une période de dix ans après
sa sortie de prison et devra se soumettre à plusieurs conditions. Il résidera dans un centre
correctionnel communautaire pour les six prochains mois et n'aura aucune permission de
sortie. Il devra s'abstenir de communiquer avec ses victimes et leurs proches. L'homme de
46 ans sera assujetti à une ordonnance de surveillance jusqu'en novembre 2021. Il devra
aviser son surveillant de libération conditionnelle de toute relation avec une femme, se
soumettre à des analyses d'urine et il lui sera interdit de consommer de l'alcool ou des
drogues.
Victime habitée par la peur
La femme que Richard Charlish a agressée en 2001 se dit rassurée, mais elle craint qu'il
s'en prenne de nouveau à elle et à d'autres femmes. L'Almatoise aurait souhaité qu'il porte
un bracelet de surveillance électronique. En novembre 2001, lors d'une visite à Montréal,
elle a été sauvagement agressée par l'homme, un récidiviste.
Charlish, qui était lourdement intoxiqué, a défoncé la porte de sa chambre en pleine nuit
alors qu'elle était seule et l'a violé et battu à plusieurs reprises. Au moment du crime,
Charlish était en libération conditionnelle à la suite d'une autre agression sexuelle. Il a
finalement été condamné à huit ans d'emprisonnement. Depuis 2008, la Commission
nationale des libérations conditionnelles aurait pu lui permettre de revenir en société, mais
elle a toujours refusé.
12 NOVEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201111/12/01-4467168-un-an-de-detention-pour-lado-qui-se-faisait-passer-pour-unmafieux.php
Un an de détention pour l'ado qui
se faisait passer pour un mafieux
Anabelle Nicoud
La Presse
Un adolescent qui se faisait passer pour un mafieux afin d'obtenir les faveurs sexuelles de
quatre de ses amies a reçu hier une peine d'un an de détention dans un centre de
jeunesse et à 12 mois de probation. Une peine «sévère», mais juste et appropriée pour
cette histoire hors du commun, selon le juge Denis Asselin, de la Cour du Québec.
À l'énoncé de la peine, l'imposant jeune homme de 17 ans, fils de bonne famille, a gardé la tête
basse. Dans la salle de la chambre de la jeunesse, ses parents, qui craignaient qu'un
placement en détention ne transforme leur fils en «décrocheur scolaire», se sont effondrés: la
défense espérait une peine à purger dans la communauté.
C'est que depuis deux ans, le jeune homme, soumis à un strict contrôle familial, est privé de
cellulaire et d'ordinateur. Inscrit dans un cégep privé, il se sent «comme en prison», et
ce, même s'il a pu voyager à l'étranger au cours des derniers mois pour des vacances en
famille ou pour un tournoi de hockey. Bref, il estime avoir payé sa dette.
Cette certitude a été sévèrement réfutée par le juge. «L'adolescent n'est pas pleinement
conscient des dommages graves qu'il a causés non seulement aux victimes, mais aussi à la
collectivité. Une peine de placement sous garde s'avère nécessaire pour l'amener à les
reconnaître», explique-t-il dans sa décision.
Le juge a également qualifié l'agression sexuelle avec violence d'infraction grave, comme le
recommandait la Couronne. En entendant la décision, les parents des victimes ont échangé des
sourires et laissé échappé quelques soupirs de soulagement.
L'histoire, enracinée dans un milieu huppé de Montréal, n'est pas commune. Pendant plusieurs
années, l'agresseur a fait croire à quatre de ses camarades d'un collège privé qu'il appartenait à
la mafia. Un mensonge presque sans conséquence, jusqu'à l'été 2009. Il a alors 15 ans, et
prétend que ses jours sont en danger. Seules les faveurs de ses amies, elles aussi âgées de 15
ans, peuvent lui sauver la peau.
Il met en place un plan «machiavélique» et parvient, par ses mensonges et ses menaces, à
extorquer aux jeunes filles des baisers et des photos pornographiques. Il tourne même deux
vidéos pornos avec l'une d'entre elles, Jessica*, alors âgée de 15 ans.
Le stratagème cesse quand le père de Jessica découvre une partie de l'histoire. Mais ce n'est
qu'à la rentrée que Jessica révèle à la direction de son école, puis à la police, l'ampleur des
agressions subies avec ses amies. Elle reste traumatisée, tout comme ses amies.
Mais l'adolescent, longtemps cantonné malgré lui au rôle du bon copain auprès des quatre
filles, a conservé un bon souvenir de son expérience sexuelle avec Jessica, qui l'a fait passer
de «loser» à «super hot», dit le juge. Il ne perçoit pas l'étendue du mal qu'il a infligé à des
jeunes filles crédules, naïves, qui lui accordaient leur confiance. Après une thérapie de
quelques mois, il estime, et ses parents aussi, qu'il n'a plus besoin d'aide.
«C'est donc dire que l'adolescent ne se responsabilise toujours pas et ce, malgré une opération
policière d'envergure, son arrestation, sa comparution pour répondre à 16 chefs d'accusation
tous punissables de 10 ans d'emprisonnement pour un adulte», estime le juge Asselin.
Le jeune homme devra donc passer 12 mois en détention, dont 8 mois dans un centre de
détention. Il sera ensuite soumis à une période de probation de 12 mois.
*L'identité des victimes et de l'agresseur est frappée d'un interdit de publication.
13 NOVEMBRE 2011
Article tiré de : http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/regional/archives/2011/11/20111113-133524.html
EXCLUSIF - Une victime craint pour
sa vie - Un prédateur sexuel
récidiviste libéré
Première publication 13 novembre 2011 à 13h35
Mise à jour : 13 novembre 2011 à 18h32
Crédit photo : TVA Nouvelles
Richard Charlish, accusé d'agression sexuelle et de viol, doit sortir de prison le 17
novembre prochain. Une femme de 51 ans laissée pour morte en 2001 craint que son
agresseur s'en prenne à nouveau à elle et à d'autres femmes.
TVA Nouvelles
Une femme qui a été agressée sexuellement et battue à plusieurs reprises en 2001,
craint à nouveau pour sa vie parce que son agresseur doit sortir du pénitencier jeudi.
Cette femme qui s'est confiée à TVA Nouvelles dans l'anonymat dit conserver plusieurs
blessures physiques et psychologiques à la suite de son agression. «J'ai été étranglée.
J'ai été battue. J'ai été mordue à plusieurs endroits du corps», se rappelle la victime.
L'image qui lui revient le plus souvent en tête est celle de son hémorragie, «une grosse
tache de sang», qui restait, après le départ de son agresseur.
En 2001, Richard Charlish aujourd'hui âgé de 46 ans, a agressé sexuellement sa victime
durant cinq heures. Condamné en 2003 à huit ans de pénitencier, il a maintenant purgé
sa peine, mais doit rester sous surveillance pour les dix prochaines années puisqu'il est
considéré comme un délinquant à contrôler. Il ne peut consommer ni drogue, ni alcool et
doit se plier à six autres règles, conditionnelles à sa libération.
Le rapport de la Commission nationale des libérations conditionnelles est d'avis que
Richard Charlish présente «une propension élevée à la violence et qu'ainsi [il présente]
pour la société un risque élevé de récidive violente et de nature sexuelle».
Ce rapport stipule aussi que Richard Charlish a présenté des «épisodes à caractère
psychotique, d'allure paranoïaque [et souffrait] d'hallucinations auditives.» Lorsqu'il a
agressé cette victime en 2001, il était déjà en libération conditionnelle suite à une autre
affaire d'agression sexuelle.
Jeudi, à sa sortie de prison, Richard Charlish sera dirigé en maison de transition dans la
région de Québec. Il devra y rester pour 180 jours, conformément à une autre des
recommandations de la Commission.
La victime, qui habite toujours au Saguenay-Lac-St-Jean, près du lieu où l'agression
s'était produite croit que les conditions imposées par la Commission sont insuffisantes.
Elle a aussi peur que son agresseur, toujours considéré dangereux, la retrouve et lui
inflige d'autres maux.
Elle croit que son agresseur devrait être soumis à un traitement psychiatrique, alors
qu'on lui impose seulement de suivre quelques séances avec un psychologue. «Je ne
vois pas le rapport que cette personne-là soit dans la société», dit-elle.
Richard Charlish avait commencé une thérapie en prison qui n'a pas fonctionné. Il n'a
donc jamais été proprement suivi. L'avocat de la victime, Me Marc Bellemare croit que
les recommandations de la Commission ne sont pas suffisantes pour protéger sa cliente
d'une récidive ou d'autres femmes d'être attaquées par cet individu, et ce, même s'il
s'est vu interdire toute approche de la victime. «La thérapie il ne l'a pas suivie à
l'intérieur des murs. Qu'est-ce qui nous dit qu'il va suivre la thérapie une fois que la
peine est complétée? On a des doutes.»
14 NOVEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.ottawasun.com/2011/11/14/sex-assaults-spark-carleton-u-protest
Sex assaults spark Carleton U protest
By Larissa Cahute ,Ottawa Sun
First posted: Monday, November 14, 2011 11:27 AM EST | Updated: Monday,
November 14, 2011 11:44 AM EST
After three sexual assaults in a matter of weeks, Carleton University students are
demanding better support services.
Students gathered at the Bronson and Sunnyside avenues entrance to the university
holding signs and passing out leaflets.
The Coalition for Carleton‘s Sexual Assault Centre was founded in 2007 and they‘re still
asking the administration to create a support centre solely dedicated to sexual assault
victims.
―There‘s been at least three reported assaults in the last three weeks, so it‘s clear we
need a centre — yet Carleton denies us,‖ said coalition cofounder Julie Lalonde.
―The man who actually assaulted a woman in the tunnels has not been found and in fact
the man who assaulted a woman in 2007 — assaulted her and left her for dead
essentially in the laboratories has never been found ... people have this heightened
sense of fear on campus, but also outrage.‖
In 2010 the Coalition created their own support line operating from 8 a.m. to midnight on
their own mobile phones.
―On campus we only have generic mental health support services, which are great, but
they‘re generic, so there‘s no specialization for sexual assault — there‘s extra-long wait
times particularly during exam time and over the holidays,‖ said Lalonde.
The services only operate from 8:30 a.m. to 4:30 p.m., and Lalonde said it‘s during the
after hours that their support line is busiest.
―For Carleton to advertise through e-mail and through posters that there were two sexual
assaults and then we found out there were actually three was really scary for a lot of
people,‖ said Lalonde.
Oluwatimilehin Akindele, 18, was charged with sexual assault and assault in relation to
two of the three assaults last week
15 NOVEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/justice-et-faitsdivers/201111/15/01-4468017-contacts-sexuels-un-benevole-echappera-a-la-prison.php
Contacts sexuels: un bénévole
échappera à la prison
Richard Hénault
Le Soleil
(Québec) S'il semble acquis que Claude Soucy échappera à l'emprisonnement, l'ancien bénévole au
Patro Roc-Amadour ne saura qu'en janvier la durée de la peine avec sursis qu'il pourra purger dans
la collectivité pour avoir eu des contacts sexuels avec trois femmes atteintes d'une légère déficience
intellectuelle.
L'avocate de l'homme de 67 ans de Boischatel, Me Martine Savard, a suggéré lundi à la juge MarieClaude Gilbert que sa peine soit d'une durée de neuf mois, alors que la procureure de la Couronne, Me
Carmen Rioux, a réclamé qu'elle soit plutôt de deux ans moins un jour.
Les délits pour lesquels Soucy a plaidé coupable ont été commis entre 2007 et 2009 contre des femmes
âgées entre 48 et 61 ans. Deux des victimes ont subi les touchers du bénévole en qui elles avaient
confiance dans les locaux du Patro. La troisième avait accepté que Soucy lui apporte son aide pour
transporter un appareil ménager chez elle. En plus de s'y livrer à des touchers déplacés, le sexagénaire a
tenté de violer la dame et il lui a demandé de le masturber.
Selon le rapport présentenciel de l'homme sans antécédents judiciaires, celui-ci fait preuve d'une empathie
déficiente pour ses victimes et minimise les faits, a dit Me Rioux. Aucune problématique sur le plan sexuel
n'est reconnue et le risque de récidive est considéré comme faible.
16 NOVEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/justice-et-faitsdivers/201111/16/01-4468330-un-an-de-prison-pour-voies-de-fait-et-agression-sexuelle.php
Un an de prison pour voies de fait
et agression sexuelle
Richard Hénault
Le Soleil
(Québec) La juge Marie-Claude Gilbert a condamné hier Jean-Robin Guimond à un an de prison pour
avoir agressé sexuellement son ex-conjointe et pour lui avoir infligé des voies de fait.
Les délits de l'individu de 34 ans d'Armagh ont été commis entre 2006 et 2008, lorsque la victime et lui
vivaient encore ensemble. Tout en se montrant de plus en plus agressif avec sa conjointe, Guimond s'était
mis à lui toucher les seins et les parties génitales à tout moment, même en présence d'autres personnes.
Au lit, certaines des pratiques sexuelles adoptées par l'homme s'apparentaient aux gestes propres à
l'exercice de son métier d'inséminateur de truies, avait décrit la victime durant son témoignage. À un
certain moment, il a sodomisé sa conjointe, qui refusait d'accéder à son exigence d'avoir une relation
sexuelle. Il appert qu'un enfant aurait été conçu lors de cette agression sexuelle.
Selon le rapport présentenciel, Guimond affiche un faible niveau de responsabilisation et de
reconnaissance des faits. Il ne fait preuve d'aucune empathie envers la victime, de sorte que le risque de
récidive est considéré comme élevé. Pour l'ensemble de ces raisons et considérant les graves séquelles
morales affectant la femme, la procureure de la Couronne, Me Nathalie Leroux, demandait qu'une peine
d'au moins un an soit infligée.
Marié depuis trois ans avec une nouvelle conjointe, l'individu ne possédait pas d'antécédents en semblable
matière, a souligné son avocate, Me Claudia Langdeau, en demandant à la juge Gilbert de s'en tenir à une
peine d'un an. L'individu a toutefois déjà été condamné pour avoir criminellement harcelé la même victime.
La juge Gilbert a aussi imposé une probation de trois ans à Guimond, période au cours de laquelle il lui
sera interdit de communiquer avec son ex-conjointe et de consommer drogue et alcool puisqu'il a commis
ses délits sous leur influence. Il a dû se soumettre à un prélèvement d'échantillons de substances
corporelles aux fins d'analyse génétique et la juge lui a enjoint de se conformer durant 10 ans à la Loi sur
l'enregistrement de renseignements sur les délinquants sexuels. Enfin, Guimond s'est vu interdire à
perpétuité de posséder des armes.
17 NOVEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-nouvelliste/justice-et-faits-divers/201111/17/014468960-yves-brousseau-arrete-pour-agression-sexuelle.php
Yves Brousseau arrêté pour
agression sexuelle
Paule Vermot-Desroches
Le Nouvelliste
(Shawinigan) La Sûreté du Québec a procédé tôt ce matin à l'arrestation d'Yves Brousseau, 54 ans
de Shawinigan, en lien avec des agressions sexuelles survenues à l'hôpital de Shawinigan entre
2008 et 2010.
À l'époque, M. Brousseau était employé de l'hôpital. La SQ a de bonnes raisons de croire qu'il aurait
agressé sexuellement deux patientes.
On se souviendra que l'ouverture de cette enquête avait ébranlé le personnel et la direction de l'hôpital. M.
Brousseau avait d'ailleurs été congédié de son poste en raison des soupcons qui pesaient sur lui.
L'homme doit comparaître cet après midi au palais de justice de Shawinigan.
La SQ estime qu'il est possible que Brousseau ait pu faire d'autres victimes. Elle demande donc à toute
personne possédant de l'information en ce sens de communiquer avec la Centrale d'information criminelle
au 1-800-659-4264.
18 NOVEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-nouvelliste/justice-et-faits-divers/201111/18/014469160-accuse-dagression-sexuelle-a-lhopital.php
Accusé d'agression sexuelle à
l'hôpital
Agrandir
Yves Brousseau est arrivé menottes aux poignets au palais de justice, mais a été remis en liberté après sa comparution.
PHOTO: SYLVAIN MAYER
Paule Vermot-Desroches
Le Nouvelliste
(Shawinigan) Au terme d'une enquête qui aura duré plus d'un an, la Sûreté du Québec a procédé à
l'arrestation d'Yves Brousseau, hier matin à Shawinigan. L'homme de 54 ans, qui travaillait au sein
du CSSS de l'Énergie, aurait présumément agressé sexuellement deux patientes de l'hôpital entre
2008 et 2010.
Brousseau a brièvement comparu hier, au palais de justice de Shawinigan, avant d'être remis en liberté. Il
fait face à quatre chefs d'accusation, tous d'agression sexuelle, sur deux femmes qui étaient des patientes
du CSSS de l'Énergie au moment des faits.
On se souviendra qu'en octobre 2010, la direction de l'établissement avait tenu un point de presse pour
confirmer qu'une enquête en ce sens était en cours et qu'un employé de l'établissement avait été congédié
immédiatement après qu'une plainte ait été déposée auprès de la commissaire aux plaintes de
l'établissement.
L'enquête pour vérifier les allégations des présumées victimes aura toutefois duré plus d'un
an. L'ouverture de cette enquête avait fortement ébranlé le personnel et la direction de l'hôpital.
Brousseau a été remis en liberté sous plusieurs conditions, dont celles de ne pas communiquer avec les
présumées victimes, de ne pas se présenter au CSSS de l'Énergie sauf pour y recevoir des soin et de ne
pas posséder d'arme.
Il s'est aussi engagé sur un montant de 2000 $ sans dépôt. La procureure aux poursuites criminelles et
pénales, Me Vicky Belleville, a expliqué qu'étant donné que l'homme ne possédait aucun antécédent
judiciaire et qu'il ne semblait pas présenter un risque de récidive, il pouvait être remis en liberté.
L'homme a quitté le palais de justice précipitamment, sans adresser la parole aux médias. Il doit revenir en
cour le 2 décembre prochain.
La SQ précise que l'enquête dans ce dossier demeure ouverte, et demande donc à toute personne
possédant de l'information permettant de croire qu'il y ait pu avoir d'autres victimes, de communiquer avec
la Centrale d'information criminelle au 1-800-659-4264.
Un soutien offert aux présumées victimes
Pour sa part, la direction du Centre de santé et services sociaux de l'Énergie assure avoir agi avec
diligence dans le dossier impliquant Yves Brousseau.
Tout d'abord, la direction rappelle qu'elle a congédié cet employé il y a plus d'un an. De plus, on a mis en
place des mesures afin de soutenir les personnes qui auraient été victimes d'actes répréhensibles.
«De par sa mission, le CSSS offre des mesures d'aide psychosociale et on les a mises à la disposition des
présumées victimes», confirme Lucie Lemire, conseillère en communications et en relations publiques au
CSSS de l'Énergie.
Mme Lemire refuse de donner davantage de commentaires concernant la cause du prévenu, étant donné
que le dossier est devant les tribunaux et qu'il fait l'objet d'un grief déposé par le syndicat représentant l'exemployé. Dans le communiqué émis par la direction, on apprend toutefois que la direction a instauré des
mesures visant à réduire le risque de survenance de ce genre d'incidents.
Le CSSS a également élaboré des mesures afin d'augmenter la vigilance du personnel. Questionnée à
savoir si un quelconque soutien avait été apporté aux ex-collègues de travail d'Yves Brousseau, Mme
Lemire s'est limitée à dire qu'il existe déjà un programme d'aide destiné au personnel.
Par le biais de son communiqué, le CSSS mentionne qu'il trouverait «regrettable que cet événement
puisse jeter une ombre sur le travail du personnel dévoué au sein de son établissement qui a à coeur
d'offrir une prestation de soins de qualité et sécuritaire à la clientèle».
Le CSSS souligne «qu'il assume ses responsabilités dans le traitement et la correction de tels types de
situation, toute faute grave ne pouvant être tolérée au sein de l'établissement de santé».
Au bureau du syndicat représentant Yves Brousseau, on a été avare de commentaire.
19 NOVEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/justice-et-faitsdivers/201111/18/01-4469564-lagresseur-au-purell-regrette-et-se-justifie.php
«L'agresseur au Purell»
regrette... et se justifie
Olivier Parent
Le Soleil
(Québec) Steve Germain, «l'agresseur au Purell», a dit regretter ses gestes, hier, lors
de ses représentations sur la peine, avant que la Couronne ne recommande au juge
Christian Boulet que lui soit infligée une sentence de 17 mois.
L'homme de 33 ans, détenu depuis la mi-avril, s'est reconnu coupable d'avoir agressé 17
femmes en leur aspergeant les fesses de désinfectant pour les mains, entre novembre
2010 et avril dernier.
«Je n'ai pas touché à personne. Mon but, c'était d'asperger le monde», a-t-il tenu à
préciser après avoir exprimé ses remords. Il a répété qu'il prenait des photos des fesses de
ses victimes pour «les montrer à des personnes à l'école», avouant du même souffle que
ses agissements pouvaient être considérés comme du voyeurisme. C'est pourquoi il a
exprimé son désir de se soumettre à une thérapie de 13 semaines, comme l'a proposé au
juge son avocate, Me Nathalie Lavoie, en suggérant que la thérapie soit suivie d'une
longue période de probation, puisque l'étudiant est incarcéré depuis sept mois.
Me Lavoie a énoncé parmi les facteurs atténuants que les agressions sexuelles commises
par l'individu étaient «minimes» en termes de gravité.
La procureure de la Couronne, Me Rachel Gagnon, a pour sa part insisté sur la répétition
des gestes pendant six mois, rappelant que l'accusé utilisait des stratagèmes pour les
commettre envers des femmes seules et isolées. Elle a également soutenu que les risques
de récidive ne pouvaient être écartés.
Le ministère public exige une peine de prison de deux ans moins un jour à laquelle serait
soustraite la période de détention provisoire de Steve Germain, ce qui totalise 17 mois. Le
juge Christian Boulet doit rendre sa décision le 15 décembre.
20 novembre 2011
Article tiré de : http://www.thespec.com/print/article/627933
York cop charged with sexual assault,
weapons offences
November 20, 2011
The Canadian Press
TORONTO A York region police officer has been charged with sexual assault and
weapons offences.
Constable Brent Rouillard, 38, was arrested by Toronto police on Saturday.
He is charged with two counts of sexual assault, careless storage of a restricted weapon
and careless storage of ammunition.
Rouillard has been on the York region police force since December 2006.
He was assigned to uniform patrol before transferring to the special services unit in
January.
He has been suspended with pay until the matter is resolved.
21 novembre 2011
Article tiré de :
http://www.theprovince.com/news/Convicted+scout+master+faces+fresh+charges+sexu
al+assault+fraud/5746528/story.html
Convicted scout master faces
fresh charges of sexual assault
and fraud
BY SEAN SULLIVAN, POSTMEDIA NEWS NOVEMBER 21, 2011
VANCOUVER — A disgraced former Scouts Canada leader charged with aiding and
abetting a person to commit suicide was remanded into custody on Monday after the
Crown brought new charges of sexual assault and fraud.
Eddie Kar Fai Au, 36, appeared in B.C. provincial court to face seven charges:
counselling a person to commit suicide, aiding and abetting a person to commit suicide,
assault causing bodily harm, assault with a weapon (rope and wooden club), sexual
assault, false pretence and fraud.
The latter three charges were sworn in after Au was arrested on Nov. 11.
A sweeping publication ban covers all evidence and information presented during
Monday's hearing.
Au was arrested after the alleged victim reported the incident to Vancouver police.
Police say the victim is not a scout or member of Scouts Canada.
In April, Au pleaded guilty to sexual exploitation and sexual assault of a 16-year-old boy
and a 20-year-old man for incidents that occurred when Au was a scout master in
Vancouver.
Au was sentenced to 18 months in prison after pleading guilty in February 2011, but was
released in April after receiving two-for-one credit for time served. He was placed on a
two-year probation with conditions.
Counselling and aiding a person to commit suicide carries a maximum jail term of 14
years, whether or not the suicide ensues. Au's next court appearance will be Dec. 6.
22 novembre 2011
Article tiré de : http://tvanouvelles.ca/lcn/judiciaire/archives/2011/11/20111122180719.html
Agression sexuelle : Le «bourreau
de l'Ouest» reste à Pinel
Première publication 22 novembre 2011 à 18h07
Par Jean-Philippe Arcand | Agence QMI
Interné à l'Institut Philippe-Pinel depuis qu'il a été jugé inapte à subir son procès, le
«bourreau de l'Ouest», cet homme accusé d'avoir soumis sa fille à un véritable enfer en
l'agressant sexuellement à répétition et jusqu'à lui faire un enfant, devra demeurer sous
la supervision des psychiatres jusqu'à nouvel ordre.
C'est ce qu'a décidé mardi la Commission d'examen des troubles mentaux (CETM), au
terme d'une audience tenue à l'institut. Elle a ainsi donné suite aux conclusions de la
psychiatre Kim Bédard-Charette, qui recommandait que l'homme de 45 ans soit gardé à
l'intérieur des murs de l'établissement.
Selon l'experte, ce dernier souffre d'un «trouble de persécution paranoïaque très
envahissant» dû à une «psychose non spécifiée», de même que des problèmes
d'anxiété qui expliqueraient d'ailleurs pourquoi il est souvent apparu très nerveux et
confus lors de ses présences devant le tribunal.
«Il sait qu'il y a des accusations contre lui, mais il est convaincu qu'il est victime d'un
complot de la part de sa fille et de son ex-femme», a expliqué la Dre Bédard-Charette
aux commissaires Dominique Audet, Joseph Anglade et Bernard Stanley-Ménard.
Elle a de plus raconté que l'accusé dit pouvoir communiquer par télépathie avec sa
conjointe, aussi accusée dans cette affaire. Il prétend également que des avocats et des
détectives privés travaillent pour lui à l'extérieur de Pinel. Il a aussi tendance à se mettre
des bouts de papier dans les oreilles, sans que l'on sache trop pourquoi.
«Je mettrais ma tête sur le billot que ses symptômes sont bien réels», a insisté la
psychiatre, ajoutant avoir constaté une «importante amélioration» de son état depuis
que la dose de sa médication a été augmentée.
Neuf ans d'enfer
Le bourreau, qu'on ne peut identifier, fait face à une douzaine de chefs d'accusation,
notamment pour agression sexuelle, inceste, séquestration et proxénétisme. Pendant
neuf longues années, soit de septembre 2001 à mars 2010, il n'aurait eu de cesse de
violer sa fille Hélène (nom fictif), en plus de la battre et de la forcer à se prostituer.
Celle-ci n'avait que 16 ans quand son calvaire a débuté.
Elle a finalement pu échapper aux griffes de son tortionnaire lorsqu'elle est parvenue,
alors qu'elle luttait avec son père, à se jeter par la fenêtre du deuxième étage de leur
résidence de Senneville.
Elle est ensuite allée se réfugier chez une voisine qui a alerté les policiers.
Hélène a toutefois vu son monde s'écrouler à nouveau en apprenant qu'une analyse
d'ADN avait confirmé que le père de son garçon né en 2004, qu'elle croyait avoir eu
avec un jeune homme qu'elle avait brièvement fréquenté, était en fait son propre père.
Le procès du bourreau s'est amorcé en juin dernier. Mais au moment où il devait
présenter sa défense, l'avocat de l'accusé, Me Yves Gratton, a demandé que son client
soit évalué pour déterminer s'il est apte ou non à subir un procès.
Il avait expliqué sa demande par le comportement pour le moins erratique de l'accusé et
son incapacité à communiquer adéquatement avec lui.
Théorie du complot
«Je ne suis pas malade. Je suis complètement innocent. C'est moi la victime. Je suis
victime d'un complot», a pour sa part répété l'accusé mardi matin.
Celui-ci semblait d'ailleurs plutôt détendu devant la Commission. On saura plus tard qu'il
avait pris des antipsychotiques environ 15 minutes avant l'audience.
Répondant avec assurance aux questions qui lui étaient posées, l'homme a indiqué que
si sa fille est déménagée chez lui en 2001, c'était uniquement «pour (lui) faire des
problèmes», mais qu'il ne s'en doutait pas à ce moment. Il jure du même souffle que son
ex-conjointe a tenté de le faire tuer pour une raison qu'il ignore.
Signe qu'il semble malgré tout conscient de sa situation, il n'a eu aucun problème à
décliner sans faute la liste des différentes accusations portées contre lui.
«Je vais être acquitté à 1000%», a-t-il soutenu sous le regard dubitatif de la
commissaire Audet, qui présidait l'audience.
Les trois commissaires n'ont délibéré que quelques minutes avant de rendre leur
décision. Le «bourreau de l'Ouest» demeurera donc détenu à l'Institut Philippe-Pinel
jusqu'à sa prochaine comparution devant la CETM.
Si, un jour, il devait être déclaré apte à subir son procès, ce dernier se poursuivrait
devant la Cour du Québec.
23 novembre 2011
Article tiré de : http://www.torontosun.com/2011/11/23/halloween-murder-suspectlinked-to-2005-sex-assault-bc-cops-say
Halloween murder suspect linked to
2005 sex assault, B.C. cops say
QMI Agency
First posted: Wednesday, November 23, 2011 07:33 PM EST | Updated: Wednesday,
November 23, 2011 08:03 PM EST
RCMP released this 2005 sketch of a suspect in an unsolved sex assault
in Kelowna, B.C., whose DNA has been linked to the Oct. 31 murder of Armstrong teen Taylor
Van Diest. (RCMP handout)
Police announced Wednesday DNA evidence collected as part of their investigation into
the grisly murder of an 18-year-old Okanagan, B.C., girl matches DNA on file from an
unsolved 2005 sex assault.
Taylor Van Diest was found badly beaten and unconscious in her zombie costume near railway
tracks in Armstrong, B.C., on Oct. 31. She was taken to a Kelowna hospital where she died from
her injuries.
In nearby Vernon, B.C., Wednesday, Cpl. Dan Moskaluk told reporters DNA collected during the
investigation matches that of an unknown male suspected of sexually assaulting a woman in
Kelowna in April 2005.
Investigators don't know the identity of the person whose DNA they have in connection with
these two crimes, but are asking anyone in the Okanagan who may recognize this person based
on a sketch from 2005 to help determine an identity.
On April 12, 2005, an employee of the Garden of Eden Escort Agency in Kelowna was sexually
assaulted inside the agency, which was and still is located in downtown Kelowna.
At the time, the suspect was described as a white male with a darker skin tone with dark,
possibly brown, eyes and short dark hair. He was between 5-foot-8 and 5-foot-10 and had a
stocky build, and was described in 2005 as not particularly fit or muscular. He had large distinct
sideburns and thick eyebrows and was thought to be about 19 to 20 years old, making him
about 25 or 26 now.
Officers believe the suspect is a resident of the Okanagan Valley who lived in the area in spring
2005 and on Oct. 31, when Van Diest was killed. It's possible this suspect lived outside the
region for some time between 2005 and 2011.
And police say he may have abruptly left the Okanagan shortly after the murder in Armstrong.
Police believe friends, family and acquaintances of this suspect may have "valuable information"
that will help them solve both Van Diest's murder and the 2005 sex assault, and are asking
residents of the Okanagan to think back to the days just before Van Diest's murder to see if they
remember any conflict or "personal upset" on those days.
"This may include financial pressures, relationship pressures, job loss or other serious life
stressor," police say.
After the homicide, the suspect may have had unexplained scratches visible on his face, neck or
arms, and his regular routine -- including appointments, work or school commitments -- may
have changed.
On Oct. 31, those who know the suspect "would have likely observed noticeable changes" to his
mood, including withdrawal or loss of interest in his typical activities and irritability, as well as
changes in his appetite, sleep patterns or personal grooming and an increase in his use of
alcohol or drugs.
Police also said the suspect may be financially dependent on others or collecting social
assistance.
On Nov. 9, police received a letter from Van Diest's purported killer, in which more violence
against women was threatened. Police were unable to determine whether the letter was in fact
from the teen's killer.
Police renewed their call Wednesday for the public to remain vigilant about their personal
safety in the Central and North Okanagan, and recommend people travel in groups and keep to
areas with good visibility.
24 novembre 2011
http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/regional/archives/2011/11/20111124-044208.html
Transport adapté à Québec :
Probable agression sexuelle d’une
passagère
Première publication 24 novembre 2011 à 04h42
Par Kathryne Lamontagne et Jean-François Racine | Agence QMI
Un chauffeur du Service de transport adapté de la capitale (STAC) a été accusé
mercredi d'avoir abusé d'une passagère atteinte de paralysie cérébrale lors d'un
transport effectué au printemps dernier, à Québec.
Jorge-Isaac Florez-Jimenez, 44 ans, fait face à une accusation d'agression sexuelle
pour avoir touché à plus d'une reprise une étudiante d'une vingtaine d'années, le 11
mars dernier. Ce jour-là, l'accusé devait mener la jeune femme, qui se déplace en
fauteuil roulant, de son lieu de stage, à Sainte-Foy, jusqu'à son centre de réadaptation,
où elle avait rendez-vous.
Selon le père de la victime, rencontré au palais de justice, mercredi, sa fille, aidée de
l'accusé, aurait pris place dans le véhicule où se trouvait alors un autre passager. «Ce
n'est pas la première fois qu'il allait la chercher. Ils se connaissent bien. Ça doit faire des
mois, voire des années, qu'ils se connaissent», a-t-il expliqué, avec un calme déroutant.
Le passager rendu à son point d'arrivée, l'accusé se serait retrouvé seul avec
l'étudiante. C'est à ce moment que les agressions auraient débuté. Elles se seraient
d'ailleurs répétées, à chaque fois que Florez-Jimenez se trouvait isolé avec la jeune
femme.
«Il a fait deux ou trois voyages dans la même journée et, à quelques reprises durant le
voyage, il en profitait. Il a commencé en lui disant qu'elle était belle aujourd'hui, puis il lui
donnait des grosses caresses. Après, ça a été les becs, les touchés partout», a raconté
le père de la victime.
Se retrouvant seul avec la victime une demi-heure avant l'heure de son rendez-vous au
centre de réadaptation, le chauffeur a immobilisé son véhicule dans un stationnement.
Vive d'esprit et craignant la suite, la jeune femme a simulé un appel et a fait semblant
que son entretien avait été devancé et qu'il fallait s'y rendre immédiatement.
«Il n'a pas eu le choix, il est allé la porter. Dès qu'elle est arrivée, elle m'a appelé. Et on
a contacté la police», a raconté le père. S'en est suivi une enquête, puis l'émission d'un
mandat d'arrestation contre Florez-Jimenez, le 12 août dernier.
Cauchemars
Malgré la mise en accusation du chauffeur, les conséquences demeurent lourdes pour
la jeune femme, aujourd'hui âgée de 21 ans.
«C'est difficile. Elle fait des cauchemars. Cet événement-là l'a profondément bousculée.
Ça s'est rendu assez loin, sa réaction face à ça. Tous les jours, elle en parle. Elle est
très nerveuse d'aller témoigner. Elle a peur de lui. Évidemment, le gars sait où elle
habite», a poursuivi le paternel.
L'homme déplore d'ailleurs la situation de vulnérabilité dont a profité l'accusé dans cette
histoire. «Moi, si quelqu'un m'attaque, je vais me défendre. Elle, elle est dans un fauteuil
roulant, attachée sur le plancher du véhicule.»
Sans antécédent, Florez-Jimenez pourra conserver sa liberté tout au long des
procédures judiciaires. Il reviendra devant le tribunal au début du mois de mars.
La responsabilité du fournisseur
Le Service de transport adapté de la capitale (STAC) affirme que le chauffeur avait
fourni un document qui démontrait que son dossier judiciaire était vierge.
Les vérifications nécessaires avant l'embauche du chauffeur ont été effectuées, assure
l'entreprise. Les gestes qui lui sont reprochés étaient donc difficiles à prévoir.
Le travailleur accusé était lié à un fournisseur de la STAC. Ce fournisseur est donc
responsable par contrat de dénicher du personnel compétent qui répond aux critères.
«Dès que nous l'avons su, en mars, nous avons demandé de le retirer de la route
immédiatement. On ne s'est pas cachés», a expliqué la porte-parole Carole Brousseau.
Une première
Ce service de transport effectue 660 000 déplacements par année.
«C'est un geste malheureux. Depuis huit ans, c'est la première fois que ça arrive. Nous
sommes très désolés de ça. Comme organisation, nous prenons toutes les mesures
nécessaires», a ajouté Mme Brousseau.
Il n'a pas été possible de savoir depuis combien de temps l'employé était en poste. La
STAC ignorait mercredi si un recours serait intenté contre le fournisseur de services.
25 NOVEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/justice-et-faitsdivers/201111/25/01-4471602-agression-sexuelle-duchesne-roy-reconnait-sa-culpabilite.php
Agression sexuelle: DuchesneRoy reconnaît sa culpabilité
Mathieu Duchesne-Roy
Pierre Asselin
Le Soleil
(Québec) Mathieu Duchesne-Roy, 23 ans, accusé d'avoir agressé sexuellement une
adolescente de 15 ans, a reconnu sa culpabilité vendredi, avant même la tenue de
son procès, au palais de justice de Québec.
«Mathieu Duchesne-Roy admet qu'il a eu une relation complète avec la victime en sachant
qu'elle était d'âge mineur et sans se soucier d'obtenir son consentement», a résumé la
procureure de la Couronne, Sarah-Julie Chicoine. Il n'aurait de toute façon pas pu invoquer
le consentement dans sa défense, puisque la victime était âgée de moins de 16 ans.
Le jeune homme avait fait connaissance de sa victime par l'entremise de Facebook. En
octobre dernier, il l'avait convaincue de venir le rencontrer à l'appartement qu'il partage
avec sa mère, et l'agression est survenue quelques minutes à peine après son arrivée.
Cette reconnaissance de culpabilité vient clarifier la situation pour ceux et celles qui
avaient appuyé le suspect en créant une page Facebook à sa défense.
Sur la page «Supportons Mathieu Duchesne-Roy», qui a depuis été fermée par Facebook,
de nombreux internautes - dont plusieurs femmes et adolescentes - avaient inscrit des
commentaires menaçants et injurieux à l'endroit de la victime. Plusieurs disaient ne pas
croire qu'il ait pu s'en prendre sexuellement à la victime, et ce, même si certains ne
l'avaient vu qu'une seule fois dans leur vie.
Facebook joint
En raison des nombreux commentaires publiés contre la victime, les enquêteurs dans le
dossier de la victime avaient même communiqué avec Facebook, par l'intermédiaire du
service de cybercriminalité de la Sûreté du Québec, afin de faire fermer la page.
L'adolescente de 15 ans avait également été la cible d'intimidation et de menaces de mort
à l'école qu'elle fréquente à Val-Bélair. Huit jeunes, dont six d'âge mineur, avaient alors été
arrêtés.
Autres accusations
Dans la foulée, Samuel Pelosse-Duchesne, 18 ans, a été accusé d'avoir proféré des
menaces à l'adolescente, de l'avoir criminellement harcelée et d'avoir tenté d'entraver le
cours de la justice en l'incitant à retirer sa plainte.
Quant à Mathieu Duchesne-Roy, il a aussi été reconnu coupable, vendredi, de possession
simple de stupéfiant et de non-respect des conditions, pour un dossier de voies de fait
avec lésion. Les policiers croient qu'il aurait pu faire d'autres victimes, mais jusqu'ici,
aucune autre accusation n'a été portée contre lui.
26 NOVEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-nouvelliste/justice-et-faits-divers/201111/25/014471843-le-predateur-sexuel-de-grand-mere-plaide-coupable.php
Le prédateur sexuel de GrandMère plaide coupable
David Bizier
PHOTO D'ARCHIVES : PIERRE-LUC BEAULIEU
Nancy Massicotte
Le Nouvelliste
(Shawinigan) David Bizier, 22 ans, a finalement plaidé coupable, hier matin au palais
de justice de Shawinigan, à plusieurs chefs d'agressions sexuelles armées et de vols
qualifiés commis dans le secteur Grand-Mère entre octobre 2010 et avril 2011.
L'individu, qui est originaire de Montréal mais qui demeurait dans la région depuis
quelques années, a en effet décidé de disposer de ses dossiers devant la justice. En
présence de son avocat, Me Luc Vaillancourt, il a admis avoir agressé sexuellement avec
un couteau quatre femmes le 24 octobre 2010, le 5 novembre 2010, le 17 novembre 2010
et le 13 avril 2011. Il a également enregistré un plaidoyer de culpabilité pour une tentative
d'agression sexuelle armée commise le 25 février 2011.
Tous ces crimes ont été perpétrés dans le secteur Grand-Mère. Une jeune femme avait
notamment été agressée sexuellement derrière un conteneur à déchets situé dans le
stationnement entre le Jean Coutu et le Tigre Géant.
Les cinq victimes sont âgées entre 17 et 53 ans. Il s'agit toutes d'inconnues, choisies au
hasard par l'agresseur. Bizier les abordait dans la rue ou dans un endroit public puis, armé
d'un couteau, les forçait à assouvir ses bas instincts. Les gestes qui sont reprochés vont
du simple baiser à la relation sexuelle complète.
De même, le prédateur sexuel s'est reconnu coupable d'avoir perpétré des vols qualifiés à
l'encontre de trois de ses cinq victimes, d'avoir commis un bris de probation et d'avoir
produit du cannabis.
Une fois les plaidoyers de culpabilité prononcés, le juge Richard Poudrier a immédiatement
ordonné la confection d'un rapport présentenciel. À la demande du procureur aux
poursuites criminelles et pénales, Me Louis-Charles Bal, il a également demandé à ce que
Bizier soit envoyé en évaluation à l'Institut Philippe-Pinel à Montréal pour une durée
maximum de 60 jours afin de déterminer s'il y a lieu de déposer une requête visant à le
faire déclarer délinquant à contrôler. «Cette évaluation qui est entre autres de nature
sexologique nous permettra de savoir s'il représente un risque pour la société», a précisé
Me Bal.
Si Bizier devait être déclaré délinquant sexuel à contrôler, il sera sous surveillance pendant
une période maximale de 10 ans suivant son incarcération. Dans son cas, il risque de se
voir imposer une sentence importante de pénitencier. Me Bal a toutefois refusé de dévoiler
le quantum qu'il demandera à ce stade-ci des procédures. Notons que la peine maximale
de prison pour agression sexuelle armée est de 15 ans.
Pour sa part, l'avocat de Bizier, Me Vaillancourt, a indiqué que les plaidoyers de culpabilité
enregistrés par son client n'avaient pas constitué une décision difficile à prendre. «Il a
toujours reconnu sa responsabilité et collaboré. Ce sont les procédures judiciaires et les
étapes à venir qui étaient plus complexes. Mon client est conscient de la gravité des gestes
posés. Il a d'ailleurs cherché de l'aide. Lorsqu'il a été transféré dans une prison de Québec,
il a suivi des thérapies en lien avec des problématiques de drogue, d'alcool et de
sexualité», a-t-il mentionné.
David Bizier sera ramené devant le tribunal le 19 janvier. Rappelons qu'il avait été arrêté
en mai 2011 à la suite d'une enquête menée par l'équipe d'enquête sur les crimes en série
de la Sûreté du Québec en collaboration avec la division des enquêtes régionales et les
enquêteurs du poste de Shawinigan. La Sûreté du Québec avait affirmé détenir une preuve
d'ADN le reliant aux cinq crimes.
27 NOVEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/la-tribune/faits-divers/201111/27/01-4472066-ledrummondvillois-robert-benoit-ecope-deux-ans.php
Le Drummondvillois Robert Benoit
écope deux ans
Robert Benoît
GHYSLAIN BERGERON
Jean-Pierre Boisvert
La Tribune
(Drummondville) Sept mois après s'être reconnu coupable d'accusations d'agressions
sexuelles sur quatre victimes adultes atteintes de déficience intellectuelle, Robert
Benoit, un homme d'affaires bien connu à Drummondville, a été condamné à deux ans
moins un jour d'emprisonnement par la juge Marie-José Ménard, vendredi, au palais
de justice.
Les actes reprochés se sont déroulés en 2009 sur une période de trois mois. Robert
Benoit, 57 ans, propriétaire de la Ferronnerie Benoit, et sa conjointe agissaient à titre de
famille d'accueil pour des adultes atteintes de déficience intellectuelle. Il a profité de
l'absence de sa conjointe pour commettre les gestes répréhensibles.
Dans un jugement d'une douzaine de pages qu'elle a lu devant une salle bondée, la juge
Ménard dit avoir pris en considération le fait qu'il s'est dénoncé lui-même, confirmant être
«l'auteur d'abus à l'égard de deux de ses victimes de qui il aurait été difficile d'obtenir une
version claire des événements», mais elle n'en a pas moins relevé des circonstances
aggravantes comme l'abus de confiance alors que l'accusé était en situation d'autorité face
à des personnes vulnérables.
La juge Ménard a exposé des faits pertinents pour chacune des accusations, précisant que
l'agresseur avait demandé à ses victimes de garder l'événement secret. Les victimes sont
âgées respectivement de 22, 40, 45 et 47 ans.
L'accusé s'est prêté à des démarches thérapeutiques. «Tant le psychologue que les
psychiatres concluent à un risque de récidive inexistant», a souligné la magistrate tout en
disant garder à l'esprit que «en raison des comportements inacceptables, la fermeture de
la ressource de l'accusé (famille d'accueil) a obligé les victimes à déménager... et à établir
de nouvelles habitudes dans un nouveau milieu d'accueil, une situation qui n'est pas
souhaitable».
Durant la lecture du jugement, l'accusé est resté impassible. Au prononcé de la sentence,
sa fille a éclaté en sanglots.
28 NOVEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/justice-et-faitsdivers/201111/27/01-4472167-une-victime-de-vachon-voit-son-incapacite-permanentereconnue.php
Une victime de Vachon voit son
incapacité permanente reconnue
Des évaluations psychologiques et psychiatriques de l'ex-conjointe de Jacques Vachon, représentée devant le Tribunal
administratif du Québec par Me Marc Bellemare, ont démontré que les agressions sexuelles et physiques et le harcèlement
répété du bourreau de Saint-Just-de-Bretenières étaient entièrement responsables de l'incapacité permanente de celle-ci.
LE SOLEIL,?PATRICE LAROCHE
Ian Bussières
Le Soleil
(Québec)
Le Tribunal administratif du Québec (TAQ) a donné raison lundi dernier
à une femme de 49 ans qui avait été pendant huit ans l'une des victimes des
sévices physiques et sexuels de Jacques Vachon en lui permettant de bénéficier
d'une rente mensuelle 20 fois plus élevée que celle qui lui avait été accordée au
départ.
«L'Indemnisation des victimes d'actes criminels (IVAC) essayait de mettre ça [ses
problèmes psychologiques] sur le compte d'autre chose, par exemple les deuils que j'ai
vécus, et disait qu'il n'y avait que 5 % de mes problèmes qui étaient dus à ce que m'a
fait subir Jacques Vachon», explique Renée [nom fictif] au Soleil.
En fait, l'IVAC avait refusé de lui donner droit aux indemnités dans une première
décision, alors que la deuxième établissait son taux d'incapacité permanente à 5 %, ce
qui lui permettait de toucher une rente mensuelle de 89 $.
«C'est très peu pour avoir été battue presque quotidiennement pendant huit ans»,
poursuit celle qui a ensuite fait appel à l'avocat Marc Bellemare pour la représenter
devant le TAQ.
Renée n'avait que 15 ans quand elle a fait la connaissance de Jacques Vachon, qui
subira bientôt un nouveau procès après avoir été condamné à 23 ans de prison pour
avoir infligé des sévices physiques et sexuels à cinq femmes pendant plus de 30 ans.
Elle a vécu avec lui pendant huit ans, subissant ses sévices, puis étant ensuite
harcelée par lui en 2006.
Dépressive et craintive
Cette relation l'a laissée dépressive, la poussant même à avoir des idées suicidaires.
En plus de problèmes de concentration et de mémoire, elle a toujours peur de son
agresseur, même après son arrestation en 2008. Elle craint qu'il sorte de prison et la
tue.
Une évaluation psychiatrique réalisée à la demande de Me Bellemare a révélé une
dépression majeure installée sur la base d'un syndrome de stress post-traumatique et,
encore en septembre, le psychiatre notait que Renée était très dépressive, presque
sidérée, et qu'elle avait de la difficulté à parler.
Les juges administratifs Claire E. Auger et Lise Bibeau se sont basées sur les
évaluations psychologiques et psychiatriques pour estimer que la preuve
prépondérante démontrait que ce sont les agressions sexuelles et physiques et le
harcèlement répété de son ex-conjoint qui sont responsables de sa situation actuelle et
pour établir à 100 % son pourcentage d'incapacité permanente, ce qui hausse sa rente
mensuelle à 1780 $.
La femme affirme que si elle ne règle pas tous ses problèmes, cette décision
compense toutefois un peu le choc qu'elle a subi en apprenant que son agresseur
subirait un autre procès. Me Bellemare signale pour sa part que des situations comme
celles de Renée sont malheureusement chose commune à l'IVAC.
«Parmi les trois grands régimes d'indemnisation du Québec, l'IVAC est vraiment le
pire. Il n'a pas changé depuis son implantation en 1972, ses délais sont très longs, il y
a peu d'équité entre l'IVAC et les citoyens et on fait très peu d'efforts pour réintégrer les
victimes dans la société. Dans notre cas, l'IVAC n'avait au départ pas appuyé sa
décision par une preuve psychiatrique au dossier. Elle avait fixé le pourcentage à 5 %
de façon tout à fait arbitraire», conclut l'avocat.
Incapable de tourner la page
Pour Renée, la décision de la Cour d'appel accordant un nouveau procès à son
agresseur Jacques Vachon a eu l'effet d'une douche froide. «Je suis littéralement
tombée à genoux quand je l'ai appris», confie la femme qui tente tant bien que mal de
s'affranchir de son terrible passé.
«Le pire dans tout ça, c'est justement que je ne suis pas capable de me débarrasser
des pensées du passé. Il faut que je les garde présentes tout le temps, car ça s'en va
vers un nouveau procès et que je devrai témoigner encore une fois. Je ne peux pas
passer à autre chose!» explique l'ex-conjointe du bourreau de Saint-Just-deBretenières.
Vachon s'est vu accorder un nouveau procès après que la Cour d'appel ait déterminé
que l'avocat qui le représentait, Me Germain Côté, était incompétent. Me Côté a
démissionné du Barreau en plus d'en être radié à vie.
Difficile à digérer
Renée a aussi très mal digéré la demande de remise en liberté de Vachon. «J'espère
qu'ils ne lui accorderont pas. Je suis toujours dans la peur et s'il est remis en liberté, j'ai
peur qu'il revienne pour me tuer. J'ai tellement hâte de pouvoir enfin enterrer ce passélà et de passer à autre chose», poursuit-elle.
Heureusement pour elle, Renée reçoit l'appui de ses proches, notamment de son
nouveau conjoint, qu'elle a épousé en 2001. Celui-ci s'explique également très mal la
décision de la Cour d'appel.
«J'ai suivi le procès et je trouve que ça a été très bien fait. J'aimerais que la Cour
d'appel explique mieux sa décision à la population parce que les victimes passent une
bonne partie de leur vie dans l'inquiétude», déclare-t-il. Selon l'avocat Marc Bellemare,
qui avait été ministre de la Justice en 2003 et 2004, son successeur Jean-Marc
Fournier devrait même s'opposer à cette décision de la Cour d'appel et la contester
jusqu'en Cour suprême.
«Il faut que M. Fournier fasse ça si vraiment il s'intéresse aux victimes. Car dans sa
décision, la Cour d'appel n'a pas du tout tenu compte des victimes et ça crée un
précédent dangereux. Il a 60 jours pour demander une permission d'en appeler en
Cour suprême, qu'est-ce qu'il attend pour le faire? Je suis très inquiet de son silence.»
29 NOVEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201111/29/01-4472623-un-cyberpredateur-de-20-ans-arrete-a-saint-jerome.php
Un cyberprédateur de 20 ans
arrêté à Saint-Jérôme
PHOTOTHÈQUE LA PRESSE
La Presse Canadienne
Saint-Jérôme
Un homme de 20 ans, Hugo Chaloux, soupçonné d'avoir exploité des jeunes d'âge
mineur par internet, devra faire face à 26 chefs d'accusation à la suite de sa
comparution, mardi, au palais de justice de Saint-Jérôme, dans les Laurentides.
Il est notamment accusé d'agression sexuelle, de contacts sexuels, d'incitation à des
contacts sexuels, d'extorsion et de leurre d'enfant.
Chaloux avait été arrêté lundi chez lui à Saint-Jérôme à l'issue d'une enquête amorcée le
17 novembre suite à une plainte déposée par un intervenant en milieu scolaire.
Les policiers auraient retracé jusqu'ici au moins cinq présumées victimes d'âge mineur.
D'autres présumées victimes pourraient s'ajouter suite à l'analyse du système informatique
de l'accusé.
30 NOVEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-quotidien/justice-et-faits-divers/201111/30/014473080-des-decennies-de-delits-sexuels.php
Des décennies de délits sexuels
PHOTOS.COM
Le Quotidien
(ROBERVAL) Un octogénaire accusé de 21 chefs à caractère sexuel connaîtra la date
de son procès le 19 décembre prochain. L'individu aurait commis des gestes
inappropriés sur plusieurs personnes, donc certaines de ses filles, pendant des
décennies.
Son avocat, Me Jean-Pierre Lévesque, prévoit plus d'une semaine de procès, compte tenu
du nombre élevé de plaignantes et de témoins qui devront être entendus dans le district
judiciaire de Roberval.
Les gestes reprochés se seraient produits dans diverses municipalités du Lac-Saint-Jean
et du Nord-du-Québec, entre 1963 et 1999.
L'individu aurait commis des agressions sexuelles et des actes de grossière indécence sur
certaines de ses filles. Il est aussi accusé d'attentat à la pudeur.
Deux enfants d'âge mineur au moment des délits seraient également au nombre des
victimes.
Il aurait touché, à des fins d'ordre sexuel, une partie de leur corps et les aurait invités,
engagés ou incités à le toucher.
1er DÉCEMBRE 2011
Article tiré de :
http://www.vancouversun.com/Female+Langley+elementary+school+teacher+facing+charges/
5797347/story.html
Female Langley elementary
school teacher facing sex
charges
BY MEDHA, VANCOUVER SUN DECEMBER 1, 2011
METRO VANCOUVER — A veteran Langley elementary school teacher has been charged
with sexual assault and sexual interference, the Langley RCMP revealed Thursday
afternoon.
Deborah Ralph, 57, allegedly sexually assaulted a boy while she was teaching at James
Kennedy elementary school between December 1998 and June 2001. Ralph was not the
boy's teacher at the time but had taught him previously, according to RCMP, who aren't
revealing how old the boy was at the time.
The victim contacted police on Nov. 8 and Ralph was arrested the next day. She has since
been released on conditions that prohibit her from contacting the victim, certain former
students and any person under the age of 16 years.
"These allegations are extremely serious in nature, and the Langley RCMP Serious Crime
Unit launched an investigation as soon as the matter was brought to our attention," said
Langley RCMP Supt. Derek Cooke.
Ralph had been teaching at Langley Fundamental elementary school since September 2010,
but was removed from her position Nov. 9 after the RCMP notified the Langley school board.
She taught at James Kennedy school from September 1987 to June 2010.
Investigators are continuing their efforts to determine if there are any further alleged victims.
Parents who suspect their child may have been victimized or anyone who may have more
information pertaining to the case is asked to contact the Langley RCMP at 604-532-3200.
2 DÉCEMBRE 2011
Article tiré de :
http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/justice-et-faits-
divers/201112/01/01-4473713-un-masseur-transferait-de-lenergie-par-relation-sexuelle.php
Un masseur transférait de
l'énergie... par relation sexuelle
Le suspect, Mario Lavoie
PHOTO FOURNIE PAR LA POLICE DE SAINT-GEORGES
Matthieu Boivin
Le Soleil
(Québec) La police de Saint-Georges de Beauce recherche de potentielles victimes de Mario Lavoie,
un résidant de 49 ans de cette localité qui aurait utilisé ses talents de «beau parleur» afin d'avoir des
relations sexuelles complètes avec des femmes qui fréquentaient son commerce de massage.
Selon le porte-parole de la police de Saint-Georges de Beauce, Mario Thiboutot, le suspect offrait, dans
son commerce, les services de massage, de lecture de l'âme et de balancement des chakras, notamment.
«Cet homme est vraiment ce qu'on peut appeler un beau parleur, a indiqué M. Thiboutot. Quand il recevait
les victimes à son travail, il les encensait à répétition, pour ensuite entreprendre des attouchements à leur
endroit et des relations sexuelles complètes avec elles. Il leur disait notamment qu'en ayant des relations
sexuelles, il leur transférait de l'énergie positive.»
Lavoie a été arrêté cette semaine pour être accusé de quatre chefs d'agression sexuelle sur quatre
victimes âgées entre 20 et 40 ans. Il demeure détenu jusqu'à sa prochaine comparution, lundi, au palais
de justice de Saint-Joseph-de-Beauce.
La période des faits reprochés s'étire entre 2006 et 2011. Certaines victimes ont été la cible de Lavoie
moins longtemps que d'autres. «Nos enquêteurs pensent que cet homme pourrait avoir fait d'autres
victimes», explique M. Thiboutot.
Au cours des dernières années, le commerce de Lavoie s'est établi à différents endroits à Saint-Georges,
que soit sur la 90e Rue, sur la 42e Rue Nord ou sur la 8e Rue. Il suffit d'appeler au 418 228-2371 ou au
418 227-4636 afin de communiquer des renseignements sur cet homme ou pour porter plainte.
3 DÉCEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.woodstocksentinelreview.com/2011/12/03/opp-charge-blandfordblenheim-man-with-sexual-assault
OPP charge Blandford-Blenheim
man with sexual assault
Sentinel-Review Staff
Saturday, December 3, 2011 4:03:27 EST PM
Woodstock - Oxford County OPP has charged an Oxford County man with sex offences
following a complaint from a 15-year-old female youth that she was inappropriately
touched by an adult acquaintance.
A 59-year-old Blandford-Blenheim Township man has been charged with two counts of
sexual assault and two counts of sexual interference in relation to two incidents in late
November 2011. The man's name is not being released to protect the identity of the
victim.
The subject was arrested without incident and appeared in Woodstock court.
4 DÉCEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.torontonews24.com/toronto-crime-news-releases/336woman-sexually-assaulted-on-via-train-man-wanted-security-camera-photographsreleased
Woman sexually assaulted on VIA
Train, Man wanted, Security
camera photographs released.
The Toronto Police Service would like to alert the public to a sexual assault investigation
and is requesting the public's help identifying a wanted man.
On Sunday, December 4, 2011, it is reported that:
- a woman was travelling westbound to Toronto on a VIA Train from London, Ontario, at
approximately 3:50 p.m.,
- during the trip, the woman was awakened by a man sexually assaulting her.
The suspect is described as white, 60-70, 5’10"-6’, 160 lbs., with a slim build, white
hair and a goatee. He was wearing a grey cardigan, black dress shoes and
carrying a backpack.
Security camera photographs of the suspect have been released.
Anyone with information is asked to contact police at 416-808-5204, Crime Stoppers
anonymously at 416-222-TIPS (8477), online at www.222tips.com, text TOR and your
message to CRIMES (274637), or Leave A Tip on Facebook.
5 DÉCEMBRE 2011
Article tiré de :
http://www.theprovince.com/news/Sexual+abuse+victim+refused+stay+silent+Took+un
cle+court+closure+highlight+violence+South+Asian/5815012/story.html
Sexual-abuse victim refused to
stay silent; Took uncle to court
in bid for closure and to
highlight violence in South
Asian families
BY SUSAN LAZARUK, THE PROVINCE DECEMBER 5, 2011
Victoria Waters knew the decision to go public about the years of sexual abuse she endured
at the hands of her guardian uncle was going to be difficult, especially since he was a
prominent businessman in the East Indian community in Chilliwack.
But she knew she would have to endure the public scrutiny of her life as a childhood victim of
sexual abuse to shine a light on her family's dark secret and move past the pain.
"You really have to leave your dignity at the door of the courtroom," said Waters, 54, who
lives in Nelson with her husband and two daughters. "I turned myself inside out."
How she was able to cope with her abusive past, and to show others they can do the same,
has earned Waters the Courage to Come Back Award in the social-adversity category. Her
story, sadly, isn't finished. Waters is still fighting to collect more than $400,000, which the
courts awarded her three years ago.
Despite B.C. Supreme Court Justice Nancy Morrison praising Waters' courage in bringing
her uncle Joginder Singh Bains and his wife Darshan to court, and finding him liable for
repeated assaults on Waters, the Bainses refuse to pay.
Waters was discouraged to learn it was up to her to pursue collection in the civil court
system.
"Victims shouldn't be left to try to collect from their abusers," she said.
Waters, who was given the name Victoria at birth by hospital nurses before receiving her
Sikh name, Karamjeet Kour Singh, lost her mother in a car accident when she was young.
She and a younger brother were sent by their father to live with Bains, a prominent Sikh
leader in the Fraser Valley, when she was nine. The abuse, which included beatings and oral
and anal sex, lasted until she left the home after graduating high school.
When, as a 12-year-old, she begged her aunt not to leave her alone with her uncle because
of his abuse, the aunt, aided by the girl's grandmother, responded by taking her to have a
contraceptive device fitted.
Waters said she made the decision to sue her uncle and aunt because she realized she
wasn't alone and hoped her example would inspire others to do the same. "My lawyer's been
contacted by South Asian women," she said. "He told me he still gets calls because of my
case."
Waters said she supports a proposal to pass the Uniform Civil Enforcement of Money
Judgments Act by the B.C. Law Reform Group, which calls the system for enforcing money
judgments in B.C. "archaic, fragmentary and inefficient." She also has publicly spoken about
her case.
Her daughter, Kaitlind Waters, who nominated her mother for the award, said, "[My mother is
a] woman who courageously stood up to her family in the name of justice . . . and who has
devoted her time, energy and heart and soul to being the voice of others who have suffered
from childhood sexual abuse.
"This subject is not only taboo in her South Asian background, it is a difficult subject for most
victims to talk about," she added.
When Waters spoke at a forum on the issue of violence against women in the South Asian
community, despite several Sikh elders from trying to stop her, she received a standing
ovation. There was a long lineup of women who wanted to share their stories with her
afterwards.
"As my mother took the patience and time to chat with them privately, I could see the look on
their faces of relief," said Kaitlind.
Waters said she needs to collect on the judgment to have closure because winning a public
case against her uncle and aunt wasn't enough.
"The only thing that hurts them is the money," she said.
6 DÉCEMBRE 2011
Article tiré de :
http://www.theprovince.com/news/Female+plumbing+apprentice+awarded+after+super
visor+assault/5821152/story.html
Female plumbing apprentice
awarded $86,000 after
supervisor sex assault
BY KEITH FRASER, POSTMEDIA NEWS DECEMBER 6, 2011
VANCOUVER — A female plumbing apprentice on Vancouver Island has been awarded
$86,000 in damages after a judge found she'd been sexually assaulted by her male
supervisor.
Joy Corfield was sexually assaulted by Phil Shaw nine times in six months while she was
apprenticing at Baker Industries in 2005 in Duncan, B.C., said a B.C. Supreme Court civil
case ruling released Tuesday.
"Mr. Shaw repeatedly groped Ms. Corfield and some of the assaults involved the use of
force," said B.C. Supreme Court Justice Bruce Butler.
"His sexual advances were quite aggressive and she was forcibly restrained on three
occasions. He ignored her persistent pleas for him to leave her alone."
The incidents happened while Corfield was assigned to work with Shaw, who was
responsible for handing out the job assignments for the small family plumbing firm, court
heard.
The assaults occurred at various locations, including several job sites at homes and
construction sites.
Corfield did not tell any of her friends, family or co-workers about the assaults, in part out of
concern that as one of only a few young women working in a male-dominated industry, she
could lose her job.
She also didn't report the assaults to police.
But shortly after a Christmas party, she told her boss and Shaw's father, Ian Baker, of the
assaults. She quit shortly afterwards.
At trial the defendants challenged Corfield's credibility, but the judge found her to be a "very
credible" witness.
By contrast, the judge found that Shaw's denial of the assaults to be unconvincing.
After she quit the job, Corfield alleged she suffered anxiety, depression, loss of self-esteem,
inability to concentrate, sleep disturbance and anger.
The judge found that Corfield was mildly anxious, moderately depressed and her condition
was amenable to treatment.
"While I accept she has suffered ongoing emotional and psychological trauma, she has been
able to function reasonably well in both her personal and working life."
Corfield argued that Baker was also liable but the judge dismissed that argument. Her claim
that the plumbing firm was vicariously liable was also rejected.
The judge ordered Shaw to pay Corfield $60,000 for pain and suffering, $22,500 for past
income loss, $3,000 for cost of future care and $1,273 for special damages.
Shaw has received no criminal penalty since no prosecution was launched by Corfield.
"However, Mr. Shaw did not and will not profit in any way from his actions," said the judge.
"More likely he will always regret those actions. This is particularly the case given the
publication of these reasons for judgment."
7 DÉCEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/sante/201112/07/014475331-allegations-dagressions-sexuelles-dans-une-residence-pour-aines.php
Allégations d'agressions sexuelles
dans une résidence pour aînés
Yvette Dugal estime qu'il est important que les personnes âgées qui habitent en résidence privée pour aînés soient alertes.
PHOTO: FRANÇOIS ROY, ARCHIVES LA PRESSE
Ariane Lacoursière
La Presse
Jacques Drolet, 83 ans, est accusé d'avoir agressé sexuellement trois aînées entre
septembre 2008 et janvier 2010 à la Villa Ste-Foy, la résidence pour personnes âgées
qu'il habitait à Québec. L'une de ces présumées victimes, Yvette Dugal, dit avoir été
agressée le 15 décembre 2009. Elle a alors dénoncé l'agression à la direction de
l'établissement. Mais un mois plus tard, M. Drolet aurait fait une autre victime.
Selon Mme Dugal, 84 ans, M. Drolet l'aurait abordée dès son arrivée à la résidence. «Il
était toujours bien habillé. Il semblait être le roi de la place. Chaque fois que je prenais
l'ascenseur, il était là et il me parlait. C'était un homme charmant. Il chantait la messe»,
raconte Mme Dugal. Désireuse de se faire des amis dans sa nouvelle résidence, Mme
Dugal discutait avec l'homme. Le 15 décembre 2009, elle l'aurait invité à aller dans sa
chambre pour observer le panorama de la ville. «J'ai été trop naïve», dit aujourd'hui Mme
Dugal.
En se rendant à sa chambre, Mme Dugal aurait remarqué que M. Drolet, habituellement si
bavard, ne parlait plus. L'agression sexuelle aurait eu lieu à l'intérieur de la chambre. «Il
m'a sauté dans le dos comme un félin, raconte la dame, qui se déplace à l'aide d'un
déambulateur. Je ne pouvais pas me défaire.»
Ébranlée par les événements, Mme Dugal ne savait pas quoi faire. «J'avais honte», dit-elle.
Dans les jours suivants, elle aurait porté plainte à la direction de son établissement. Selon
Mme Dugal, très peu de mesures ont été prises pour l'empêcher d'être en contact avec M.
Drolet. «Je mangeais seule, à une table à part. Mais mon agresseur continuait de
m'intimider. Il me suivait. Il me regardait de trop près, dit-elle. J'en parlais. Mais la direction
me disait de me faire une carapace et d'arrêter d'en parler aux autres.»
Au jour de l'An, Mme Dugal a craqué. Elle a parlé à son fils. Ce dernier l'a incitée à porter
plainte à la police, ce qu'elle a fait le 25 janvier 2010. Entre-temps, une autre personne de
78 ans aurait subi une agression sexuelle commise par M. Drolet le 21 janvier 2010, après
que Mme Dugal eut averti la direction.
Mme Dugal a porté plainte au commissaire aux plaintes de sa région. Dans la lettre de
conclusions datée du 28 septembre 2010, le commissaire Denys Bernier écrit que le
directeur de la Villa Ste-Foy, Jacques Croteau, n'a pas agi correctement.
Rencontres avec le suspect
M. Croteau a rencontré le présumé agresseur le 17 décembre 2009 et le 16 février 2010
pour lui dire de rester loin de Mme Dugal. Mais le commissaire estime que ces rencontres
«ne semblent pas tenir compte qu'une agression physique à caractère sexuel est un acte
criminel qui exige des gestes en conséquence» et qu'une «simple remontrance» ne reflète
pas «la gravité des gestes». M. Bernier estime que Mme Dugal «n'a pas reçu de la part du
directeur de la Villa Ste-Foy l'aide et l'accompagnement qu'elle aurait dû recevoir».
Ce n'est finalement qu'en mai 2010 que M. Drolet aurait quitté la résidence. Des
accusations ont été déposées contre lui au palais de justice de Québec. L'homme aura son
procès en mars. En plus des cas survenus en 2009 et en 2010, une autre résidante a porté
plainte pour agression sexuelle et introduction par effraction pour des événements
survenus entre le 1er septembre et le 1er octobre 2008 à la Villa Ste-Foy.
Le directeur se défend
Le directeur Jacques Croteau travaille depuis 22 ans auprès des personnes âgées et dit
que c'est la première fois qu'un événement du genre se produit. Il explique que la situation
est «délicate» et qu'il «ne veut pas trop commenter» l'affaire. Mais il estime «avoir fait les
choses convenablement». «Si vous aviez connu cet homme, ça vous aurait surpris, dit-il.
On a fait ce qu'il fallait.» M. Croteau explique qu'il était difficile de savoir qui avait raison
dans la situation qui lui a été exposée. «Quand c'est une personne contre une autre, il faut
faire attention avant d'accuser» quelqu'un, dit-il, tout en martelant «avoir bien agi làdedans».
Mme Dugal estime quant à elle qu'il est important que les personnes âgées qui habitent en
résidence privée pour aînés soient alertes. «On ne pense pas qu'il peut y avoir des
agresseurs dans ces résidences. Mais c'est possible. Il faut faire attention», dit-elle.
Surtout, elle estime qu'il faut croire les aînés qui signalent avoir été agressés.
8 DÉCEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/national/201112/08/014476084-scouts-canada-sexcuse-des-cas-dabus-qui-auraient-pu-survenir.php
Scouts Canada s'excuse des cas
d'abus qui auraient pu survenir
Des scouts défilent lors de la parade de la fête du Canada à Montréal.
PHOTO: PATRICK SANFAÇON, ARCHIVES LA PRESSE
La Presse Canadienne
Toronto
Dans une vidéo à caractère solennel diffusée en ligne jeudi sur YouTube, Scouts
Canada a offert des excuses publiques à tous ses anciens membres qui auraient pu
«souffrir» par le passé entre les mains de leaders volontaires.
L'organisation a aussi annoncé un examen par une tierce partie de ses documents en lien
avec des cas d'abus.
Dans la séquence, le commissaire en chef Steve Kent explique que les efforts pour
empêcher de tels crimes n'ont pas toujours été couronnés de succès, et qu'il s'en excuse.
Le discours de M. Kent survient quelques semaines après qu'un reportage de l'émission
«Fifth Estate» du réseau CBC eut allégué que Scouts Canada avait maintenu une liste de
pédophiles suspectés remontant au milieu des années 1980 et ne l'avait pas partagé avec
les autorités.
Scouts Canada a nié les allégations à répétition, affirmant que toutes les informations
concernant de présumés pédophiles avaient été partagées avec la police.
M. Kent a réitéré cette position jeudi et ajouté que l'organisation voulait que le public ait
«parfaitement confiance» et sache que toutes les données liées à des cas d'abus avaient
été transmises aux autorités.
Il a aussi précisé qu'il s'agissait de la raison pour laquelle il avait demandé l'expertise de la
firme KPMG pour effectuer une vérification neutre de l'ensemble des suspensions ou des
renvois au sein de Scouts Canada dans les cas d'abus. Les résultats de l'examen seront
rendus publics au cours de la prochaine année.
Le réseau anglais de Radio-Canada a également rapporté que Scouts Canada avait signé
plus d'une dizaine d'ententes à l'amiable avec des victimes présumées d'agression
sexuelle. Le réseau télévisé a expliqué que les ententes empêchaient les plaignants de
divulguer les termes d'une entente financière ou de même mentionner qu'une telle entente
existait.
Le radiodiffuseur public a cité des enregistrements juridiques dans son reportage et
mentionné que Scouts Canada avait refusé de donner des détails à propos des ententes.
Si le commissaire Kent n'a pas donné plus d'informations concernant ces ententes jeudi, il
a déclaré que les examens approfondis déclenchés par le reportage de la CBC avaient
amené Scouts Canada à se pencher sur ses politiques de protection des enfants et à
réfléchir à propos «des incidents de mauvaises conduites déjà survenus».
9 décembre 2011
Article tiré de :
http://www.thestarphoenix.com/news/Fugitive+admits+guilt+assault+child+porn+charges/583
9500/story.html
Fugitive admits guilt in sex
assault, child porn charges
BY HANNAH SPRAY, POSTMEDIA NEWS DECEMBER 9, 2011
SASKATOON — A man who fled to the United States in 2006 to escape sexual assault and
child pornography charges pleaded guilty in a Saskatoon courtroom this week.
Lonny Ritzo, 65, was located and arrested in North Dakota in 2009 and extradited back to
Canada earlier this year.
He pleaded guilty Tuesday in Saskatoon provincial court to charges including sexually
assaulting an 11-year-old boy in Saskatoon in 2001-02, assaulting a teen in North Battleford,
Sask., in 2006 and possessing child pornography — a charge that stemmed from a 2006
search of his North Battleford home. He left Canada shortly after .
The Crown and defence proposed a joint sentence submission of three years in jail — minus
a credit of two years for the time he has spent incarcerated since his arrest on Dec. 22, 2009
— which Judge Barry Singer accepted. That leaves one year left for Ritzo to serve, after
which he'll be deported to the U.S., his home country.
There, he intends to attempt to re-start his career in the TV and radio industry; he previously
did voice-overs on commercials in Canada, said defence lawyer Chris Lavier.
Court heard that Ritzo befriended an 11-year-old boy — whose identity is protected by a
publication ban — in Saskatoon in 2001 by buying him chips and pop and taking him on trips
to movies and places such as McDonald's. Ritzo invited the boy to his apartment and had
him perform numerous acts, including masturbating in front of Ritzo and masturbating Ritzo.
Crown prosecutor Debby Black said the victim — who came forward with the allegations six
years later — developed drug addictions and violent tendencies after the abuse. She quoted
the victim saying, "(Ritzo) f—-d up my life completely," and added the victim was no stranger
to the court system during his teenage years.
The North Battleford assault charge stemmed from an incident in April 2006 when police
were contacted by a woman who said she had been flagged down in her car by a teenage
boy who said he needed her help. He was crying and had no shoes and no shirt. He reported
to police that he had gone into Ritzo's home and Ritzo had poured himself and the boy a
drink. When the boy noticed Ritzo wasn't touching his drink, he stopped drinking his and
Ritzo started acting "weird," running his fingers through the boy's hair and "tickling" him.
When he objected and tried to leave, Ritzo grabbed him and hit him, which led to the assault
charge.
Shortly after, on May 5, 2006, following a lengthy investigation into multiple complaints from
Ritzo's neighbours and employees at a swimming pool about Ritzo's inappropriate behaviour
with children, RCMP executed a search warrant at his home. They found 13,700 separate
photos of children and child pornography, many of which appeared to have been
downloaded from the Internet.
Ritzo fled the province and a Canada-wide warrant was issued for his arrest on the
Saskatoon sexual assault charge in 2008. He was arrested in Grafton, North Dakota, about
80 kilometres south of the Canadian border, on Dec. 22, 2009, according to an article in the
Grand Forks Herald. He was held in the Grand Forks County jail until an extradition hearing
earlier this year.
Ritzo was handed over to RCMP officials in March and arrived in Canada in April.
Ritzo's sentence includes an order to register with the national sex offender registry and a
prohibition from being in any public park or area where children under the age of 16
congregate.
hspray@thestarphoenix.com
10 DÉCEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/justice-et-faitsdivers/201112/09/01-4476509-accuse-de-crimes-sexuels-sur-une-jeune-ado-de-14-ans.php
Accusé de crimes sexuels sur une
jeune ado de 14 ans
Steeve Paradis, collaboration spéciale
Le Soleil
(Baie-Comeau) Philippe Julien, un homme de 37 ans domicilié à Saint-Hyacinthe, a
comparu jeudi au palais de justice de l'endroit pour répondre à des accusations
d'agression sexuelle, de contact sexuel et d'incitation à des contacts sexuels sur une
adolescente de 14 ans de la Côte-Nord.
L'individu a été arrêté à la suite du travail du Module d'enquêtes régionales de la CôteNord et de l'Équipe d'exploitation sexuelle des enfants sur Internet de la Sûreté du Québec
(SQ).
Selon la SQ, l'accusé aurait abordé sa victime sur le Web avant de la rencontrer en
personne à quelques reprises. C'est à ces occasions qu'il l'aurait agressée.
L'équipement informatique de Julien a été saisi et d'autres accusations pourraient en
découler à la suite de l'analyse du matériel.
11 DÉCEMBRE 2011
Article tiré de :
http://www.mychilliwacknews.com/blog/view/22195/1/abbotsford+man+guilty+of+sexual+as
sault?id=1064&st=370
Abbotsford Man Guilty Of
Sexual Assault
By mychilliwacknews.com
Abbotsford, B.C. - An Abbotsford man was found guilty on Wednesday in Chilliwack
Supreme Court of sexual offences involving two girls aged 12 and 13.
33 year-old Shaun Michael Sloat is scheduled to be sentenced Feb. 13 on two counts of
sexual assault and one count of sexual interference, occurring in November 2007. Sloat
was charged in August 2009 after an extensive investigation by the Abbotsford Police
Department
Const. Ian MacDonald says the matter was brought to the APD‘s attention in February
2009, when a youth worker reported that an older man was befriending some young girls
to whom she was providing support. MacDonald says police then conducted an
extensive investigation, and allegations began to emerge that there had been sexual
contact between the man and girls aged 12 to 14. The abuse had apparently taken
place at the man‘s house, where he invited the teens to hang out.
MacDonald says the difficulty was in finding victims who were willing to talk to police.
Some did not trust authority figures, while others viewed the man as a friend and did not
want to ―rat him out.‖
Two victims were willing to testify, and did so during Sloat‘s trial. Crown prosecutor
Sylvia Domaradzki praised the two girls – now ages 15 and 17 – for their strength and
courage.
―They did very well (at the trial). I‘m very proud of them,‖ she says.In addition to the
sexual offences, Sloat was initially charged with two counts of administering a noxious
substance, but they were stayed because there was not enough evidence to call an
expert to testify, Domaradzki said.Sloat is not currently in custody. According to the
provincial court database, he has an extensive criminal record in Abbotsford, including
previous convictions for assault, possession of a controlled substance, uttering threats,
possession of stolen property and theft.
12 DÉCEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.torontosun.com/2011/12/12/sleeping-ttc-rider-sexuallyassaults-again-cops-say
'Sleeping' TTC rider sexually assaults
again, cops say
By Sharon Lem ,Toronto Sun
First posted: Monday, December 12, 2011 10:42 AM EST | Updated: Monday, December
12, 2011 01:02 PM EST
T
oronto Police released this picture of a man sought for sexual assaults on the TTC
subway Oct. 4 and Dec. 9.
TORONTO - A man who sexually assaulted a women while pretending to be asleep has
struck again, Toronto Police said Monday.
The man was travelling westbound on the Bloor-Danforth subway line on Tuesday, Oct.
4, at 9 p.m. when he sat beside a woman, pretended to be asleep and sexually
assaulted her.
On Friday, Dec. 9, 2011 at 9 a.m., police said the same man boarded a TTC subway
train travelling eastbound on the Bloor-Danforth line and sat in an empty seat beside a
woman. The man again pretended to be asleep and assaulted her.
Police say he places his bag on his lap before touching the women‘s thighs.
They suspect there may be more women who have not reported the incidents.
The man was captured on a security camera. He is described as white, 35, 5-foot-11
with a medium build and short black hair.
Anyone with information is asked to contact police at 416-808-2200 or Crime Stoppers
anonymously at 416-222-TIPS (8477), online at www.222tips.com or text TOR and your
message to CRIMES (274637) or on Facebook at www.facebook.com/torontopolice.
13 DÉCEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.deltaoptimist.com/life/Ladner+teacher+charged+with+assault+court+later+this+month/5852
689/story.html
Ladner teacher charged with
sex assault in court later this
month
BY JESSICA KERR, THE DELTA OPTIMIST DECEMBER 13, 2011
The Ladner teacher facing sexual assault charges will appear in court later this month.
Robin Wait, 43, a teacher at Delta Secondary School, is facing two charges of sexual assault
and two charges of sexual interference of a person under 16 stemming from two separate
alleged incidents.
Police were called to the Ladner high school on Nov. 4 after a young girl reported that she
had been assaulted by an unknown adult near the school gym.
After launching an investigation into the allegations, police arrested Wait on Nov. 6.
During the investigation, a second alleged incident that occurred in May, which prompted the
second set of charges, came to light.
Wait, who taught English at the school and coached boys basketball, was released on bail
and is currently suspended with pay.
Wait was scheduled to appear in Surrey Provincial Court on Monday. The matter was
adjourned until Dec. 19. He has yet to enter a plea.
14 DÉCEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201112/14/01-4477918-un-pretre-de-terre-neuve-accuse-dagressions-sexuelles.php
Un prêtre de Terre-Neuve accusé
d'agressions sexuelles
PHOTOS.COM
La Presse Canadienne
Corner Brook
Un prêtre catholique fait face à 38 chefs d'accusation de nature sexuelle à TerreNeuve-et-Labrador.
George Smith a comparu en cour provinciale à Corner Brook, dans l'ouest de l'île, en
lien avec des incidents qui seraient survenus entre 1969 et 1989.
M. Smith fait notamment face à des accusations de grossière indécence, d'agression
sexuelle et d'attentat à la pudeur. Il a été libéré sous conditions.
La Gendarmerie royale du Canada (GRC) affirme que les accusations résultent d'une
enquête d'une durée de 16 mois au terme de laquelle M. Smith s'est lui-même rendu
aux policiers, mercredi.
L'accusé, qui avait été suspendu l'année dernière de ses fonctions d'administrateur
d'une église de Kinkora, à l'Île-du-Prince-Édouard, est aujourd'hui à la retraite.
Il doit comparaître le 23 février pour enregistrer son plaidoyer.
La GRC n'a pas voulu dévoiler l'âge des victimes présumées afin de protéger leur
identité.
L'évêque Peter Hundt, du diocèse de Corner Brook, a indiqué que M. Smith a oeuvré
dans la région pendant plus de 20 ans. Il a affirmé que le diocèse collabore avec les
autorités et demande à la population de transmettre toute information pertinente aux
policiers.
Il a aussi confié que les allégations de conduite inappropriée de la part d'un prêtre
constituent toujours un sujet «très sérieux», qui font «ressurgir beaucoup d'émotions».
En mai 2010, M. Smith a été suspendu à l'église Saint-Malachy à Kinkora, après que
l'évêque du diocèse eut reçu un appel de Corner Brook concernant les allégations
d'agressions.
15 DÉCEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.deltaoptimist.com/life/Former+Delta+municipal+staffer+faces+another+related+charge/5866405/st
ory.html
Former Delta municipal staffer
faces another sex-related
charge
BY JESSICA KERR, THE DELTA OPTIMIST DECEMBER 15, 2011
Kip Gaudry, 60, is currently serving an 18-month sentence for possession of child pornography.
Photograph by: Delta Optimist , File photo
The former Delta municipal staffer currently serving time in prison for child porn charges was
back in court in Vancouver Wednesday morning to face a sex-related charge dating back
almost 40 years.
Kip Gaudry, 60, is currently serving an 18-month sentence for possession of child
pornography.
He appeared in a Vancouver courtroom via video-link to face a charge of indecent assault.
The alleged incident, which came to light last fall, took place in Winnipeg in the summer of
1973 and involved an underage girl.
The case was adjourned until Jan. 11 when Gaudry is expected to enter a guilty plea.
Gaudry was hired by Delta in 2001 and was named head of the engineering department just
a few months before he was charged in 2009.
Before that he served as director of community planning.
He was suspended without pay in March 2009 before resigning a few days later.
Officers searched both his home in North Delta and his office at municipal hall, seizing
computers and other technical equipment. Investigators found more than 10,000 still images
and 364 videos on the computers.
Gaudry has a history of sexual offences involving minors.
In 1995, he pleaded guilty to nine charges of sexual assault involving teenaged girls while
district administrator for the community of Houston in west-central B.C.
The assaults took place between 1986 and 1994. He was sentenced to three-and-a-half
years in prison by a Prince George judge.
16 DÉCEMBRE 2011
Article tiré de :
http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faits-
divers/201112/16/01-4478713-un-ex-professeur-laique-reconnait-sa-culpabilite-pour-desagressions-sexuelles.php
Un ex-professeur laïque reconnaît
sa culpabilité pour des agressions
sexuelles
PHOTOS.COM
La Presse Canadienne
Québec
Stéphane Guillemette, un ex-professeur laïque à l'ancien séminaire Saint-Alphonse, de
Sainte-Anne-de-Beaupré, a reconnu sa culpabilité, vendredi, au palais de justice de
Québec, pour des agressions sexuelles d'élèves de cette institution d'enseignement.
Les victimes, des garçons, avaient entre 11 et 16 ans au moment où les événements se
sont produits. Certains remontent à la fin des années 1990 et au début des années 2000.
Guillemette, âgé de 45 ans, a aussi reconnu sa culpabilité pour manipulation négligente
d'une arme à feu, un 9 mm, dont un coup de feu était parti accidentellement au-dessus de
l'épaule d'un élève.
Stéphane Guillemette va revenir devant le tribunal en mars pour les observations sur la
peine.
Deux prêtres du même collège, les pères rédemptoristes Raymond-Marie Lavoie et JeanClaude Bergeron, ont aussi été accusés pour une série d'agressions sexuelles de mineurs.
17 DÉCEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/justice-et-faitsdivers/201112/16/01-4478772-ancien-seminaire-saint-alphonse-un-ex-prof-accuse-dagressionssexuelles-plaide-coupable.php
Ancien Séminaire Saint-Alphonse:
un ex-prof accusé d'agressions
sexuelles plaide coupable
Pierre Asselin
Le Soleil
(Québec) Stéphane Guillemette, professeur et responsable de dortoir à l'ancien
Séminaire Saint-Alphonse, de 1997 jusqu'à 2002, a plaidé coupable hier à une dizaine
de chefs d'accusations d'agressions se xuelles sur trois garçons qui fréquentaient
l'institution. Il s'agit du deuxième procès pour ce laïc, déjà condamné à 18 mois de
prison pour des gestes semblables commis sur une autre victime.
Il s'agit d'un autre triste chapitre de l'histoire de cette école de Sainte-Anne-de-Beaupré, où
a sévi le père Raymond-Marie Lavoie, rédemptoriste, qui a été reconnu coupable de
multiples agressions sexuelles sur 13 garçons survenues dans les années 70 et 80.
En septembre, le père Jean-Claude Bergeron, ancien professeur, gardien de dortoir et
même supérieur provincial des Rédemptoristes en 1987, a lui aussi été accusé de délits
sexuels sur un total de six anciens élèves.
Par ailleurs une dizaine de religieux, incluant Lavoie et Bergeron, sont identifiés dans un
recours collectif intenté par des victimes contre l'institution et les Rédemptoristes.
Stéphane Guillemette, lui, est un laïc et les gestes dont il s'est reconnu coupable se sont
déroulés plusieurs années après la période couverte par le recours collectif, alors que
l'institution était connue sous le nom de Séminaire Saint-Alphonse, qui a depuis cessé ses
activités.
En septembre 2010, un juge le condamnait à 18 mois de prison pour agressions sexuelles
sur un élève. La victime avait alors accepté de parler aux médias pour encourager d'autres
victimes potentielles à se manifester.
Films pornos
Au tribunal, hier, on a appris que Stéphane Guillemette commençait par montrer des films
pornographiques à ses jeunes victimes avant de se livrer à des gestes sexuels sur eux, et
de les inciter à en faire autant sur lui. Les agressions se sont répétées à de nombreuses
reprises et dans un cas elles ont duré au moins cinq ans.
L'enseignant a perdu son emploi en 2002 après qu'il eut provoqué une explosion en
réalisant une expérience avec de la poudre noire. Un étudiant avait alors été gravement
blessé. Il a aussi reconnu sa culpabilité, hier, à un chef d'accusation d'avoir manipulé des
substances explosives.
Nathalie Leroux, procureure de la Couronne, a rappelé qu'elle avait demandé 24 mois de
prison en 2010.
Étant donné que cette fois il y a plus de victimes, qu'il y a eu masturbation, fellation et
sodomie, la Couronne entend demander une peine plus lourde et les victimes ont aussi
l'intention de se faire entendre à l'étape des représentations sur sentence.
18 DÉCEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.thestar.com/news/gta/crime/article/1104053--policeinvestigate-alleged-sexual-assault-in-downtown-toronto
Police investigate alleged sexual
assault in downtown Toronto
Published on Sunday December 18, 2011
The Canadian Press
Toronto police are on the hunt for a suspect in an alleged sexual assault.
Police say a 24-year-old woman reported she was sexually assaulted by a man at
Queen St. W. and Ossington Ave. just before 3 a.m. Saturday.
It‘s alleged the man also followed her and demanded money.
The suspect is described as black, about 27, 5 feet 9 inches tall with a chin strap beard.
19 DÉCEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.thestar.com/news/gta/article/1104497--woman-banned-fromteaching-after-sex-with-teen-student
Woman banned from teaching after
sex with teen student
Published on Monday December 19, 2011
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Paola Queen, former family studies teacher at Nelson A. Boylen Collegiate in Toronto
Kristin
Rushowy
Education Reporter
A former Toronto teacher who had sex with a teen student — and later bore his child —
is now his common-law spouse and they have had a second child, say documents from
an Ontario College of Teachers disciplinary hearing that banned Paola Queen from
teaching again.
Queen pleaded no contest to professional misconduct, committing dishonourable acts,
and ―also acknowledges that she engaged in sexual abuse of a student‖ while she was a
high school teacher, says the decision.
She admitted to having an ―inappropriate consensual personal relationship with the
student‖ starting in March 2006, which continued into the summer and the following
school year.
The student then left Nelson A. Boylen Collegiate, and the relationship continued. Their
first child, a girl, was born in May 2007.
―As a teacher, the member was in a position of trust and authority over the student,‖
reads the decision from the June hearing. ―The fact that the relationship was consensual
does not negate the fact that such behaviour constitutes professional misconduct and
sexual abuse of a student.‖
The college has revoked her teaching certificate.
Queen and her student lover have both since changed their last names to a common
surname.
During the hearing, the student testified that he wished their new name not be made
public by the college.
―He indicated that the change of name was to protect the children and therefore he was
very concerned‖ about publication, and was ―less concerned‖ about publication of the
former name.
However, ―he spoke against publication of either name as he did not want his daughter‘s
self-esteem affected by allegations from others that she was a child of sexual abuse,‖
the decision reads. ―He wanted the opportunity to tell her at an appropriate age that she
was the product of a loving relationship, not abuse.‖
The disciplinary panel decided to publish the name Queen had at the time of the
misconduct.
―Revocation (of her teaching certificate) is the appropriate penalty for misconduct of this
severity,‖ the decision read.
Contacted on through lawyer Gary Hopkinson on Monday night, Queen declined to
comment, but asked Hopkinson to respond to the Ontario College of Teachers ruling.
―My client and her husband are trying to put this behind them and concentrating on
raising their two beautiful children,‖ said Hopkinson, who represented Queen for the
college proceedings.
Queen, a former child protection worker, had taught the student Spanish, parenting, art,
and food and nutrition. She was also a coach for the senior boys‘ soccer team, of which
he was a member. Family members knew of their relationship.
Police charged her with sexual exploitation after stopping the couple on their way home
from a child birthing class.
Queen‘s lawyer at the time said police had ―jumped the gun,‖ that no exploitation had
taken place and that the student was not victimized. The charges were later dropped.
There was also an issue of confirming the boy‘s age because he was born outside
Canada, sources told the Star’s Betsy Powell at the time charges were laid.
Under Toronto District School Board rules, no employee of the board may have sexual
relations with a student.
Queen was suspended by the board in March 2007 and resigned at the end of that year.
With a file from Wendy Gillis
20 DÉCEMBRE 2011
Article tiré de :
http://www.canada.com/vancouversun/news/westcoastnews/story.html?id=7959b073-c5ca489e-b745-ad1aa3bd23f9&k=79229
Gangster sentenced in absentia for
role in dealing date rape drug
If missing West Vancouver gangster Omid Bayani turns up, he will probably be
heading straight to an Ontario jail cell.
By Vancouver Sun December 20, 2011 Be the first to post a comment
If missing West Vancouver gangster Omid Bayani turns up, he will probably be heading
straight to an Ontario jail cell.
Bayani has been sentenced in absentia by an Ontario Superior Court judge to seven
years for his role in trafficking the date rape drug GHB along with members of the Hells
Angels.
Bayani, 36, was reported missing to West Vancouver police in September, two days
before his sentencing was scheduled to go ahead.
West Vancouver police Det. Tom Wolff von Gudenberg said at the time that Bayani, who
is linked to the United Nations gang, was on his way to the gym when he vanished,
leaving his family extremely worried.
Bayani's first sentencing hearing was adjourned because of his disappearance, which
his lawyer attributed to possible "foul play." At a second sentencing hearing, Judge
Robert Clark issued a warrant for Bayani's arrest, noting the lawyer "had no further
intelligence concerning the whereabouts of his client."
Both Bayani and Haney Hells Angel co-accused Vincenzo (Jimmy) Sansalone were
convicted of conspiring to traffic GHB in July 2011 in connection with the largest seizure
ever of the 'date rape' drug in Canadian history.
The investigation dates back to the fall of 2005 when Bayani sold 600 litres of GHB to
Mehr-dad Bahman, a prospect with the Toronto chapter of the Hells Angels. Bayani was
not paid at the time. A police agent later told authorities that Bahman had a large
quantity of GHB stored in a garage in Toronto, which police seized in a raid in February
2006.
"To maintain the integrity of their ongoing investigation, the officers made it appear as
though the garage had been burgled. As a result of the seizure, Bahman was unable to
pay Bayani and a dispute arose in connection with the outstanding debt; that dispute
lasted many months," Clark noted in his reasons for sentencing, a copy of which was
obtained by The Vancouver Sun.
In June 2006, at the direction of a vice-president of the Toronto Hells Angels, the agent
came to Vancouver with Bah-man and Zavisa Drecic, a full-patch member of the Woodbridge, Ont., chapter to mediate the dispute with Bayani.
Sansalone met them at the airport and took them to the Haney clubhouse. The next day,
Drecic and the agent met Bayani at a restaurant in down-town Vancouver and
hammered out a repayment plan for the GHB debt.
Sansalone was sentenced to six years for his part in the conspiracy.
Bayani, 36, was a major player who deserved a stiffer sentence because "there was an
under-current of violence in the after-math of the drug transaction," Clark said.
He said the nature of the drug itself was an aggravating feature that had to be taken into
account.
"This drug is particularly pernicious. Albeit it has uses other than as a 'date rape' vehicle,
it is meant, for the most part, to be given to innocent, unsuspecting third parties, mainly
women, so as to render them unable to effectively resist men who seek to take sexual
advantage of them," Clark said.
"It is one thing for a person to sell a willing buyer an illegal drug when the buyer knows
what he is buying and the risks associated with taking it. It is quite another to sell
someone a drug that the vendor knows is going to be administered to an unsuspecting
third party."
He noted that Bahman had already sold 250 litres of GHB by the time the police seized
the rest.
kbolan@vancouversun.com Read Kim Bolan's blog at vancouversun. com/therealscoop
21 DÉCEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201112/20/01-4479784-une-ado-se-serait-offerte-en-pature-pour-coincer-un-presumeagresseur.php
Une ado se serait offerte en
pâture pour coincer un présumé
agresseur
PHOTOS.COM
Christiane Desjardins
La Presse
Ayant appris que son amie de 15 ans avait eu des contacts sexuels non souhaités,
mais rétribués avec un prétendu photographe rencontré par l'intermédiaire de
l'internet, une adolescente de 16 ans se serait offerte en pâture, dans le but de vérifier
si son amie disait vrai et de coincer l'individu.
Or, ne s'improvise pas enquêteur qui veut.
«Je voulais appeler la police, mais j'ai eu trop peur. J'ai rentré dans l'auto, et il m'a
emmenée dans le stationnement du parc Jarry. Il a baissé son pantalon et m'a demandé
de le sucer. Je ne savais plus quoi faire, je l'ai fait», a raconté la jeune fille, hier, à l'enquête
préliminaire de Marc-Antoine Auger, à Montréal. Elle avait 16 ans au moment des faits
allégués.
Après les témoignages des deux présumées victimes, hier en Cour du Québec, l'homme
de 45 ans a été inculpé de chefs relatifs à l'utilisation d'un ordinateur pour commettre un
crime et d'agressions sexuelles sur des mineures. Les faits se seraient déroulés entre les 8
et 29 avril 2010, à Montréal. M. Auger, un père de famille qui était président de la ligue de
soccer Les Cavaliers de Sainte-Sophie et qui était bien en vue dans sa communauté au
moment des événements, a démissionné après sa mise en accusation, en mai 2010.
Selon les témoignages entendus hier, tout a commencé quand, au printemps 2010, la
jeune fille de 15 ans a publié une annonce contenant des photos d'elle sur le site de petites
annonces Kijiji, signalant qu'elle cherchait des contrats de mannequin. La jeune fille a
répondu au courriel d'un homme qui disait avoir du travail pour elle. Elle a indiqué qu'elle
ne voulait pas poser nue. L'homme aurait fait valoir qu'il avait d'autres contrats, et elle a
accepté de le rencontrer, dans un Tim Hortons. Sur place, il y avait beaucoup de gens, et
l'homme l'aurait plutôt invitée à aller discuter dans sa voiture. Elle a accepté. L'homme
aurait vite aiguillé la conversation sur le sexe. «Il m'a dit qu'il avait des contrats payants,
après il a parlé de vêtements pour les fantasmes. Là, ça commençait à moins m'intéresser.
J'ai dit: "Je ne pense pas que ma mère voudrait." Il m'a répondu: "Ta mère n'est pas
obligée de tout savoir."»
La jeune fille affirme qu'au moment où elle allait sortir de l'auto, l'homme, qu'elle identifie
comme étant Marc-Antoine Auger, a verrouillé les portières.
«J'ai commencé à avoir peur. Je me suis dit: "je vais rester calme."» L'homme s'est rendu
dans le stationnement de la gare de Roxboro, qui était plus tranquille. Il aurait offert à la
jeune fille de le masturber trois fois par semaine, en échange d'une rémunération. Toujours
selon le témoignage de la jeune fille, l'homme s'est masturbé devant elle dans la voiture et
lui a fait des attouchements, avant de la reconduire et de glisser une cinquantaine de
dollars dans la poche de son manteau. La jeune fille soutient avoir eu très peur. Elle aurait
collaboré par crainte des réactions de l'individu.
Un test
À son retour, la jeune fille a parlé de sa mauvaise expérience à une de ses amies, qui a
décidé de vérifier par elle-même.
«Je voulais juste avoir des preuves, savoir si elle disait la vérité, car des fois, elle racontait
des choses pour attirer l'attention», a raconté l'amie, hier. Celle-ci a communiqué avec
l'homme qui se faisait appeler Marc Gariépy sur Facebook. Elle l'a rencontré le 29 avril,
près de l'école qu'elle fréquentait. Elle est montée dans la voiture de l'individu, qu'elle
identifie aussi comme M. Auger. Ils se sont rendus dans le stationnement du parc Jarry. À
la demande de l'homme, elle lui a fait une fellation. «J'étais figée, je me sentais vraiment
mal», a-t-elle répondu en pleurant, hier, à la procureure de la Couronne, Rachelle Pitre. Au
terme de la rencontre, elle se souvient que M. Auger lui a donné 50$ avant de la conduire
à l'école.
Les deux adolescentes ont porté plainte peu après. M. Auger a été arrêté et a comparu le
19 mai 2010. Hier, Me Joëlle Roy, qui représente l'accusé, a questionné les jeunes filles
sur les intentions qu'elles avaient quand elles sont allées rencontrer l'homme qu'elles ne
connaissaient pas. Les deux ont assuré qu'elles ne l'avaient pas fait pour l'argent, même si
celle de 16 ans s'était plainte de son «manque d'argent» la veille de la rencontre.
M. Auger retournera devant le tribunal le 23 janvier pour connaître la date de son procès.
22 DÉCEMBRE 2011
Article tiré de : http://tvanouvelles.ca/lcn/judiciaire/archives/2011/12/20111222134716.html
Agression sexuelle : Le bourreau
d'une adolescente libre comme l'air
Première publication 22 décembre 2011 à 13h47
Crédit photo : Archives Agence QMI
Par David Penven | Agence QMI
L'homme qui avait fait vivre des heures d'enfer à une adolescente de 14 ans en la
violant à répétition avant de tenter de la noyer dans le Saint-Laurent, en novembre 2003,
va bientôt se retrouver à l'air libre.
Frédéric Dompierre va en effet quitter, au cours des prochaines semaines, la maison de
transition dans laquelle il vivait depuis sa sortie de prison, à l'été 2010.
Ainsi en a décidé la Commission nationale des libérations conditionnelles (CNLC) le 14
décembre. De plus, la condition stipulant qu'il ne doit pas se retrouve seul en présence
d'une personne mineure a été modifiée. La CNLC a justifié sa décision en expliquant
que l'agresseur s'était dernièrement «repris en main».
«Vous avez trouvé récemment une formation emploi, vous avez obtenu votre attestation
d'études secondaires et vous vous êtes investi dans des travaux compensatoires afin de
vous acquitter de contraventions non payées. Vous avez aussi poursuivi une activité de
bénévolat à l'église où vous avez effectué ces mêmes travaux compensatoires», peut-on
lire dans la décision de la Commission. La CNLC a retiré la condition spéciale
d'assignation à résidence, car elle estime que le risque de récidive de Dompierre est
négligeable.
La condition spéciale de ne plus se retrouver en présence d'une personne mineure sans
la présence d'un adulte responsable a été modifiée afin de permettre à Dompierre «de
poursuivre [ses] études professionnelles sans entrave», précise la CNLC dans sa
décision. Dompierre pourra ainsi côtoyer des mineures d'au moins 16 ans.
Dompierre, aujourd'hui âgé de 26 ans, devra cependant aviser les autorités de toute
nouvelle relation affective avec une personne de sexe féminin.
Les commissaires ont pris ces décisions parce que l'agresseur aurait terminé avec
succès un programme de l'Université de Montréal destiné aux délinquants sexuels. Un
revirement de situation puisque, lorsqu'il était incarcéré, Dompierre avait cessé de
participer à des programmes similaires de réhabilitation.
Dompierre continuera à être suivi par un psychologue concernant sa «dynamique
sexuelle», ainsi que différents aspects de sa vie.
Crime sordide
Frédéric Dompierre, qui était âgé de 18 ans au moment de l'agression de l'adolescente
en 2003, avait été condamné en 2005 à 11 ans de prison. Comme il se trouvait déjà
derrière les barreaux depuis deux ans, sa sentence avait été réduite à sept ans. À
l'époque, le temps passé derrière les barreaux avant une condamnation comptait
double.
Dompierre et son complice, Steve Lapointe, connaissaient leur victime, une adolescente
originaire de Candiac. Celle-ci avait été déshabillée, violée, battue et frappée au front
avec une pierre. Son calvaire aurait duré plusieurs heures. Ses agresseurs avaient aussi
essayé de la noyer avant qu'elle parvienne à se réfugier sur un îlot. Revenue sur la rive,
elle avait été battue de nouveau et était retournée sur l'îlot pour échapper à ses
agresseurs.
Une fois que ceux-ci étaient partis, l'adolescente avait marché nue et frigorifiée jusqu'à
une résidence de Sainte-Catherine pour demander du secours.
23 DÉCEMBRE 2011
Article tiré de : http://thechronicleherald.ca/metro/45841-officer-pleads-not-guiltysexual-assault
Officer pleads not guilty to sexual
assault
December 23, 2011 - 3:55pm By STEVE BRUCE Court Reporter
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A Halifax Regional Police officer will stand trial next June on a charge of sexual assault.
A lawyer entered a not guilty plea in Halifax provincial court this week on behalf of
Const. Andrew Glen Morris, 44.
The officer‘s trial is set for June 26 and 27.
Morris was off duty when he was arrested Sept. 9 at a bar on Grafton Street in
downtown Halifax after a female patron complained that someone had reached under
her skirt and grabbed her buttocks.
The charge was laid after an investigation led by RCMP.
Morris was a police officer in Calgary before joining the Halifax force three years ago.
The patrol officer was suspended with pay after he was charged but has since returned
to work at a desk job.
(sbruce@herald.ca)
24 DÉCEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.winnipegfreepress.com/opinion/westview/perversion-doesnt-recognize-holidays-136178678.html?viewAllComments=y
Winnipeg Free Press - PRINT EDITION
Perversion doesn't recognize holidays
By: Robert Marshall
Posted: 12/24/2011 1:00 AM | Comments: 1 (including replies)
Former NHLer Sheldon Kennedy was spot-on last week when he testified before a U.S.
Senate committee about child sexual abuse.
"The abusers, the perpetrators, the pedophiles -- they like our ignorance as a society.
They like our indifference."
Kennedy is an expert because he was, after all, a victim of his junior hockey coach,
Graham James, who spent three years in the slammer for the sexual abuse that
Kennedy has spent his life dealing with.
Two weeks ago, James pleaded guilty to other charges of abuse involving other players
and will be sentenced in the new year.
As a Canadian victim, Kennedy didn't mince words as he cited the need for tough
legislation and minimum sentences.
And it's coming, in the federal omnibus crime bill, in legislation critics increasingly
malign, misrepresent and misinterpret.
It's not necessarily the high-profile cases of Kennedy or fellow NHLer Theo Fleury -whom James also victimized -- that catalyzed the much-needed changes in the new
chapter of law.
Six years ago, the then-Conservative Opposition grilled then-Liberal justice minister Irwin
Cotler on a case that unfolded right under Parliament's nose. It centred on a 32-year-old
Texan kiddie-pornographer who had travelled all the way from the Lone Star State to
Ottawa after luring a youngster -- a 14-year-old boy -- for the sole purpose of having sex
and making child porn.
The judge, the plea deal, the law -- take your pick -- all let us down. The perv was caught
but slithered out of Canada after completing his sentence. And the sentence wasn't what
it should have been. It wasn't even a month or a week. Nope. It was a single day.
Ironically, a press release from the House of Commons stated "this sexual predator will
face tougher charges and penalties in Texas now that he has been deported."
Past Conservative criticism has been pointed. "Canada has become a destination for
sex tourists who prey on our children by exploiting weak Liberal laws. We have
repeatedly warned (Cotler) of the threat to our children."
Cotler said such commentary was "fear-mongering."
The Conservatives pointed to other cases to augment their position. One involved
dozens of crimes. Another told of a man being implicated in more than 200 offences
involving a child victim.
Eleni Bakopanos, former parliamentary secretary to the minister of justice, weakly
replied to some of that criticism with a familiar ring as she wondered how children will be
protected by "bringing out the most heinous cases, thus assuring there is fear-mongering
in our society."
Most heinous? Fear-mongering? Interesting comments given that crimes like child
pornography are way up -- 123 per cent since those words were spoken.
For those worried about the cost of locking these perverts away, think about the cost in
Shaun Deacon's wake of abuse. Corrections officials say he's "the most difficult and
litigious pedophile" they have ever encountered.
In the 1980s, he got seven years for assaulting four children between the ages of five
and 13. That deal included the additional abduction and assault of one of the victims
while he was out on bail. In the 1990s, he attacked an eight-year-old in the bathroom of
a Dairy Queen. He got paroled and was caught in his halfway house with a 10-year-old.
Back to jail for two years.
One expert stated if Deacon was "in the community unsupervised for half an hour, he'd
reoffend."
So on release, the serial pedophile was slapped with a 10-year supervision order that
required his being followed and watched 24/7. That's a pretty pricey option for the
taxpayer.
He promised to stay away from Chuck E. Cheese restaurants and offered his guarantee
of safe-showering (because, in his words, "lots of my offences happened around
showering and bathing of young boys.").
Despite his pledge, Deacon's been bounced back into jail a couple of times since and as
recently as two months ago he was still taking up the court's time complaining about the
conditions imposed on him.
The omnibus legislation will set new mandatory minimum penalties for existing offences
related to child sexual abuse. Penalties will be boosted for a host of abuse-based
crimes, some of which currently call for a measly 14-day minimum. Sexual assault with a
weapon of a person under 16 will bring a five-year minimum. Internet luring will net some
offenders a one-year stay.
Perversion doesn't recognize holidays. Abused children will face more abuse over this
holiday season.
Those kids don't want much for Christmas. Maybe a silent night, a respite from their
darkness. They just want it to end. They need protection and security from what only
some, like Sheldon Kennedy, can imagine.
Robert Marshall is a former
Winnipeg police detective.
rm112800@hotmail.com
Republished from the Winnipeg Free Press print edition December 24, 2011 I6
25 DÉCEMBRE 2011
Article tiré de : http://fdpu1004.centerblog.net/rub-faits-divers-agression--9.html
Agression sexuelle Le bourreau d'une
adolescente libre comme l'air
Crédit photo : Archives Agence QMI
Par David Penven | Agence QMI
L'homme qui avait fait vivre des heures d'enfer à une adolescente de 14 ans en la
violant à répétition avant de tenter de la noyer dans le Saint-Laurent, en novembre 2003,
va bientôt se retrouver à l'air libre.
Frédéric Dompierre va en effet quitter, au cours des prochaines semaines, la maison de
transition dans laquelle il vivait depuis sa sortie de prison, à l'été 2010.
Ainsi en a décidé la Commission nationale des libérations conditionnelles (CNLC) le 14
décembre. De plus, la condition stipulant qu'il ne doit pas se retrouve seul en présence
d'une personne mineure a été modifiée. La CNLC a justifié sa décision en expliquant
que l'agresseur s'était dernièrement «repris en main».
«Vous avez trouvé récemment une formation emploi, vous avez obtenu votre attestation
d'études secondaires et vous vous êtes investi dans des travaux compensatoires afin de
vous acquitter de contraventions non payées. Vous avez aussi poursuivi une activité de
bénévolat à l'église où vous avez effectué ces mêmes travaux compensatoires», peut-on
lire dans la décision de la Commission. La CNLC a retiré la condition spéciale
d'assignation à résidence, car elle estime que le risque de récidive de Dompierre est
négligeable.
La condition spéciale de ne plus se retrouver en présence d'une personne mineure sans
la présence d'un adulte responsable a été modifiée afin de permettre à Dompierre «de
poursuivre [ses] études professionnelles sans entrave», précise la CNLC dans sa
décision. Dompierre pourra ainsi côtoyer des mineures d'au moins 16 ans.
Dompierre, aujourd'hui âgé de 26 ans, devra cependant aviser les autorités de toute
nouvelle relation affective avec une personne de sexe féminin.
Les commissaires ont pris ces décisions parce que l'agresseur aurait terminé avec
succès un programme de l'Université de Montréal destiné aux délinquants sexuels. Un
revirement de situation puisque, lorsqu'il était incarcéré, Dompierre avait cessé de
participer à des programmes similaires de réhabilitation.
Dompierre continuera à être suivi par un psychologue concernant sa «dynamique
sexuelle», ainsi que différents aspects de sa vie.
Crime sordide
Frédéric Dompierre, qui était âgé de 18 ans au moment de l'agression de l'adolescente
en 2003, avait été condamné en 2005 à 11 ans de prison. Comme il se trouvait déjà
derrière les barreaux depuis deux ans, sa sentence avait été réduite à sept ans. À
l'époque, le temps passé derrière les barreaux avant une condamnation comptait
double.
Dompierre et son complice, Steve Lapointe, connaissaient leur victime, une adolescente
originaire de Candiac. Celle-ci avait été déshabillée, violée, battue et frappée au front
avec une pierre. Son calvaire aurait duré plusieurs heures. Ses agresseurs avaient aussi
essayé de la noyer avant qu'elle parvienne à se réfugier sur un îlot. Revenue sur la rive,
elle avait été battue de nouveau et était retournée sur l'îlot pour échapper à ses
agresseurs.
Une fois que ceux-ci étaient partis, l'adolescente avait marché nue et frigorifiée jusqu'à
une résidence de Sainte-Catherine pour demander du secours.
26 décembre 2011
Article tiré de : http://m.torontosun.com/2011/12/26/girl-4-may-be-victim-of-botchedabduction
Girl abducted from home, sexually
assaulted
Ian Robertson
Monday, December 26, 2011, 10:50 PM
A four-year-old American girl abducted from a family member‘s North York home and
sexually assaulted one day after Christmas was released from hospital Tuesday.
Toronto Police sex crimes unit Det. Dan Luff said the child is now being cared for by her
family.
Relatives began frantically searching outside the Charleswood Dr. home before dawn
Monday, after realizing the little girl was missing.
They found her within a short time, and spotted a man running away.
First thought to have wandered away from the house, police confirmed later Monday that
she was abducted and sexually assaulted, but Luff declined to reveal specifics.
As for how someone got into the house between 3 a.m. and 3:30 a.m., ―it was technically
a break-and-enter,‖ he said, without elaborating.
―He was seen by family members in the area,‖ Luff said of the suspect.
The detective would also not say if there have been any similar occurrences in the
Bathurst St.-Wilson Ave. residential neighbourhhood, which is north of Hwy. 401, near a
strip mall.
Officers are continuing to canvas the area for clues and tips, Luff said. They also ―left
notes‖ for anyone not at home to call 9-1-1.
The wanted man was described as white, about 19 or 20, with an average build, 5-foot-6
to 5-foot-10 and was wearing a blue jacket or sweatshirt, dark sweatpants or jeans plus
a striped, bluish toque.
Anyone with information should contact Toronto Police 32 Division at 416-808-3200,
Crime Stoppers anonymously at 416-222-TIPS (8477), online at www.222tips.com, text
TOR and your message to CRIMES (274637), or Leave A Tip on Facebook.
27 DÉCEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.thestar.com/news/gta/article/1107492--4-year-old-sexualassault-victim-released-from-hospital
4-year-old sexual assault victim
released from hospital
Published on Tuesday December 27, 2011
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Josh
Staff Reporter
Tapper
A 4-year-old girl abducted from a north Toronto home and sexually assaulted was
released from hospital on Tuesday.
The girl, who was visiting with family from Connecticut, was abducted early Monday
morning from her grandparents‘ home on Charleswood Dr., near Bathurst St. and Wilson
Ave.
While police released few details on the kidnapping or assault, a woman who identified
herself as the girl‘s grandmother said the ordeal ―had a happy ending,‖ referring to her
granddaughter‘s discharge from hospital.
―By the grace of God,‖ she said, standing inside her doorway Tuesday morning.
As a cold rain drizzled outside, neighbours visited the house, which belongs to an
orthodox Jewish family.
Police said a man grabbed the girl between 3 a.m. and 3:30 a.m. Monday. Family
discovered the girl a short distance from the house ―within minutes of the abduction and
saw a man fleeing the scene,‖ police said.
Police did not confirm a sexual assault occurred until Monday evening.
The suspect is described as a white man, 19 or 20 years old, with an average build,
between 5-foot-6 and 5-foot-10. He was last seen wearing a blue jacket or sweatshirt,
dark sweatpants or jeans and striped, bluish toque.
Det. Dan Luff of the sex crimes unit said police continue to canvas the neighbourhood
for information on the suspect or break-in. It remains unknown whether the suspect is
from the area.
―We‘re following up with leads,‖ Luff said. ―We‘ve had a few people come forward.‖
28 DÉCEMBRE 2012
Article tiré de :
http://www.vancouversun.com/news/Abbotsford+police+seek+tips+assault/5919288/sto
ry.html
Abbotsford police seek tips on
sex assault
VANCOUVER SUN DECEMBER 28, 2011
Abbotsford police are hoping the public can help them catch a man who robbed and sexually
assaulted an 18-year-old woman outside John Maclure elementary school two Sundays ago
at 8:15 p.m.
Police say the woman was walking through a field on the east side of the school on Dec. 18,
when she noticed a man standing in the darkness. She tried to walk away from him, but he
quickly grabbed her. The suspect was described as a 20-something Indo-Canadian man with
a thin build, short hair. He was wearing a black baseball cap, a black jacket and blue jeans.
When she screamed the man told her he had a weapon and demanded money.
The man got the money, but then groped the woman and tried to force her into a sexual act.
The woman was able to fight free and run to safety.
Abbotsford police are asking anyone with information about the suspect or the incident to
contact them at 604-859-5225, or anonymously leave a tip with Crime Stoppers at 1-800222-8477.
© Copyright (c) The Vancouver Sun
29 DÉCEMBRE 2012
Article tiré de :
http://www.montrealgazette.com/news/assault+suspect+sought/5922744/story.html
Sex assault suspect sought
BY ROCHELLE BAKER, THE TIMES DECEMBER 29, 2011
An 18-year-old Abbotsford woman was sexually assaulted and robbed while walking near
John Maclure Elementary School Sunday, Dec. 18.
The woman was walking through a field east of the school located in the 2900 block of Oriole
Crescent around 8: 15 p.m. when she noticed a man standing in the darkness, said Const.
Ian MacDonald.
She attempted to walk in the opposite direction and away from the man but was grabbed by
the suspect.
When she screamed, the man told her he had a weapon and demanded money.
The suspect took the victim's cash and other possessions but also groped her and tried to
force her into a sexual act.
The teenager managed to fight free of the suspect and run to safety.
Patrol officers and a K9 unit weren't able to track down the man.
Police are concerned about the attacker, who appears to be both a sexual predator and in
desperate need of cash.
"From a public safety standpoint, as many of the flags that can go up are up," said
MacDonald.
Investigators have released a composite sketch of the suspect. He is described as an IndoCanadian man in his 20s with a thin build, short hair, wearing a black baseball cap, a black
jacket and blue jeans.
Anyone with information about the suspect or the incident should contact the Abbotsford
Police Department at 604-859-5225 or Crime Stoppers at 1-800-222-8477.
30 DÉCEMBRE 2012
Article tiré de : http://www.wellandtribune.ca/2011/12/30/man-gets-12-years-for-violentsex-assault
Man gets 12 years for violent sex
assault
By Karena Walter, The Standard
Friday, December 30, 2011 8:02:06 EST PM
Welland - ST. CATHARINES - Claiming he was misunderstood and "misjudged," a St.
Catharines man was sentenced to 12 years in jail Friday for sexually assaulting a female
stranger trying to catch a taxi in downtown St. Catharines.
"I have trouble communicating and grasping what's said in the courtroom," Kevin
Michaud, 36, said moments before Judge Linda Walters read his sentence. "I don't
blame anybody for misjudging."
He told Walters he has a mental illness and tried to write out what he wanted to say, but
couldn't because his "brain is punch drunk."
"I don't blame you for your ruling. I take responsibility for what happened between me
and (the victim), but what she says happened didn't happen."
With time already served credited on a two-for-one basis, Michaud will still serve another
seven years and eight months in custody.
He was found guilty on Oct. 3 of sexual assault, kidnapping, choking to overcome
resistance, confinement and uttering death threats against an 18-year-old university
student.
The woman was trying to catch a cab on St. Paul St. near James St. on Nov. 5, 2009,
after leaving a friend's apartment when Michaud grabbed her. He put his fingers down
her throat and dragged her down an alley to an area behind the restaurants and stores
on St. Paul St.
The court heard Michaud forced the woman to perform a number of sex acts over 2 1/2
hours, threatening to kill her despite her pleas to stop.
Around 5:30 a.m., he made her walk towards his house. They got as far as Geneva St.
when a passing motorist saw a woman with one shoe screaming for help and called
police.
Walters said Michaud had some psychiatric problems that started in 2005, but experts
determined that at the time of the offence, he was not suffering from mental illness.
She said he continues to deny his culpability in what was a violent, unprovoked attack.
"(She) was a vulnerable young lady," Walters said. "The effect on the victim has been
profound."
Michaud does not have a prior criminal record, is unemployed and has four children he
doesn't see.
Walters said she would make a recommendation that Michaud receive the appropriate
medical care he needs.
The Crown had asked for a 15-year sentence while the defence asked for 10 years
minus a two-for-one credit for time already served.
Michaud told the court he will appeal his conviction.
"I just need help. I need somebody to translate what I'm trying to say," he said Friday.
Michaud told Walters he never got to give his "whole statement."
But during his trial this summer, Michaud did take the stand in his own defence,
delivering rambling testimony for two days.
On June 15, Michaud told the court he may have "misconstrued the woman's feeling for
him." He testified the woman panicked when he put his arm around her and she asked
where he was taking her. He said he thought she was being flirtatious when she asked,
"Are you going to rape me?" and he answered, "Maaaybe."
He also described in graphic detail the sexual acts that followed. He acted them out for
the judge and had to be told to get back in the witness box.
Michaud testified the woman wanted to go home, but he didn't want to go to jail. He
decided to take her to his house, where he thought they might have sex again. He
testified he thought he was playing around when he told her, "If you don't listen, then I'm
going to ... kill you."
Walking towards Geneva St., a police car passed and Michaud said the woman was
terrified, jumping and yelling for help. He said he held her arms down and put his hand
up to her mouth.
When a white van approached, she fell into a dead weight and he ran away.
He said he felt bad for the woman during the ordeal. "I'm not forcibly confining her, but in
her mind, she's not allowed to go anywhere."
31 DÉCEMBRE 2011
Article tiré de : http://www.cbc.ca/news/canada/manitoba/story/2011/12/31/mbscouts-leader-more-charges-1231.html?cmp=rss
Former Scout leader faces more
sexual assault charges
Winnipeg man faces four new charges
CBC News
Posted: Dec 31, 2011 1:49 PM CST
Winnipeg police have laid additional sexual assault charges against a 39-year-old Winnipeg
man who led an outdoor program for Scouts Canada.
Stuart Garrett Young was first charged in August with the sexual exploitation and assault of a
teenage boy from Winnipeg.
Police said he committed the alleged offences between May 2009 and May 2011.
Young had a court date in October to address the first charges, but turned himself in
Thursday due to the continuing investigation, which police say uncovered two more alleged
victims.
He is in custody at the Winnipeg Remand Centre.
Police have added two more sexual assault charges and one charge of sexual exploitation in
connection to the new victims. Young was also charged with voyeurism and failing to comply
with the conditions of an undertaking.
Young had been a volunteer with Scouts Canada for 14 years at the time he was originally
charged. He was working on an outdoor program for kids between the ages of 14 and 17.
Police believe he met the alleged victims through the activities, but say the alleged assaults
did not happen during any Scouts events.
He has since been suspended from Scouts Canada.
1er JANVIER 2012
Article tiré de : http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/faitsdivers/archives/2012/01/20120101085008.html
Accusé d'agression sexuelle : Fugitif
américain arrêté à Québec
Première publication 1 janvier 2012 à 08h50
Mise à jour : 1 janvier 2012 à 12h56
Crédit photo : San Bernardino County Sheriff
Umar Love et sa conjointe Suzann Elizabeth Angel.
TVA Nouvelles - Agence QMI
Un Américain activement recherché par les autorités de la Californie pour agressions
sexuelles sur des adolescentes a été arrêté, samedi, à Québec.
Umar Love, un professeur d'arts martiaux de 30 ans, est accusé d'avoir agressé
certaines de ses élèves dont l'âge varie entre 14 et 16 ans.
C'est dans un hôtel du boulevard Wilfrid-Hamel à Québec que les policiers lui ont mis la
main au collet dans la nuit de vendredi à samedi. Selon le site Zone911.com, plusieurs
policiers ont été déployés pour cette opération.
Umar Love était en compagnie de sa conjointe, Suzann Elizabeth Angel, 24 ans, et n'a
offert aucune résistance. Il n'était pas armé.
Il a été confié aux agents de Citoyenneté et Immigration Canada, qui a assuré son
transfert aux autorités américaines, a indiqué le lieutenant Pascal Roy, de la police de
Québec.
Selon le San Bernardino County Sun, Love était soupçonné d'avoir posé des gestes à
caractère sexuel sur six adolescentes. Les victimes ont confié aux policiers que la
plupart des gestes répréhensibles ont été commis à l'école d'arts martiaux du suspect,
Evolved Martial Arts, à Apple Valley.
Il a été arrêté le 14 décembre, deux jours après qu'une première présumée victime l'eut
dénoncé. Il a ensuite été libéré sous caution.
Le 22 décembre, les policiers se sont rendus à son domicile afin d'y exécuter un mandat
de perquisition, mais Love n'y était pas. Quelques jours plus tard, un avis de recherche a
été publié à son endroit. La police de Québec n'a pas révélé comment elle a su que
Love se trouvait dans cet hôtel du boulevard Wilfrid-Hamel. La façon dont il est entré au
Canada n'a pas été divulguée non plus.
Umar Love était également connu dans le milieu des arts martiaux mixtes, aux ÉtatsUnis, ayant lui-même disputé quelques combats en plus d'être l'entraîneur de pugilistes.
2 JANVIER 2012
Article tiré de :
http://www.vancouversun.com/news/Chronic+offender+arrested+Vancouver+police/59
36553/story.html
Chronic offender arrested by
Vancouver police
BY MEDHA, VANCOUVER SUN JANUARY 2, 2012
A 51-year-old man released recently from federal custody after two years in prison was
arrested again over the weekend on charges of assault.
On Saturday, a woman called the Vancouver police with reports that Tracy Lloyd Caza had
assaulted and threatened her earlier that morning.
After investigation, officers later that day located and arrested Caza, who has now been
charged with a count each of assault, sexual assault and uttering threats.
He was brought before Justice of the Peace who released him from custody on conditions
and he is now scheduled to appear in court on Jan. 6, said Vancouver police media relations
officer Lindsey Houghton.
Earlier in December, police had issued a public warning when Caza was released from
federal custody after serving a two year sentence for robbery.
Caza had a lengthy criminal history involving violence and was extremely likely to re-offend,
it stated. He had 78 criminal convictions dating back 20 years and was known particularly to
target elderly people residing in residential care homes, hospitals and private residences,
committing thefts and fraud after he made friends with them, the police said.
His prior offences include assault causing bodily harm, assault, robbery, uttering threats,
fraud, theft, personation, break and enter, possession of stolen property and escape lawful
custody.
Police said they would not be speaking to the current charges as the matter is currently
before the courts.
© Copyright (c) The Vancouver Sun
3 JANVIER 2012
Article tiré de :
http://www.theprovince.com/news/sexually+assaulted+year+girl+gets+years+possible+
deportation/5941476/story.html
Man who sexually assaulted 12year-old girl gets 10 years,
possible deportation
BY JENNIFER SALTMAN, POSTMEDIA NEWS JANUARY 3, 2012
Antonio Eduardo Daponte, 46, was sentenced in B.C. Supreme Court in New Westminster Tuesday for break and enter
with intent to commit an indictable offence and aggravated sexual assault.
A man who climbed through a 12-year-old girl's bedroom window and sexually assaulted her two years
ago will serve another five years and seven months in prison.
Antonio Eduardo Daponte, 46, was sentenced in B.C. Supreme Court in New Westminster, Tuesday
for break and enter with intent to commit an indictable offence and aggravated sexual assault.
On May 4, 2009, Daponte sexually assaulted the girl, who was sleeping her home in nearby
Coquitlam, B.C., threatened her with a knife and put a pillow over her face. The attack ended when the
girl screamed and fought back, waking her parents. Her hand was cut by Daponte's knife.
Daponte has a criminal record that spans 21 years and includes mostly property offences, drug
offences and breaches of court orders.
On Tuesday, Justice Bruce Greyell sentenced Daponte to 10 years in prison, reduced by four years,
five months of credit for time already spent in custody. Daponte will also be listed on the Sex Offender
Information Registry for life and subject to a firearms prohibition.
Because of his extensive criminal history, and despite being a permanent resident of Canada for most
of his life, Daponte is facing deportation to Portugal. © Copyright (c) The Province
4 JANVIER 2012
Article tiré de :
http://www.montrealgazette.com/news/Disgraced+bishop+freed+from+jail+child+porn
+conviction/5945735/story.html
Disgraced bishop to be freed
from jail on child porn
conviction
BY ANDREW SEYMOUR, POSTMEDIA NEWS JANUARY 4, 2012
Former Catholic bishop Raymond Lahey, right, is pictured leaving on Wednesday the Ottawa court house
with lawyer Solomon Friedman.
Photograph by: Pat McGrath , Ottawa Cityizen
OTTAWA — A disgraced Catholic bishop with an addiction to Internet pornography won't
spend another day in jail for possessing child pornography that included naked young boys
wearing rosary beads and crucifixes — a sentence that was met with disbelief Wednesday in
the bishop's former Nova Scotia diocese.
Ontario Court Justice Kent Kirkland sentenced Raymond Lahey to 15 months in jail
Wednesday, time that he will be credited with already having served.
In May, Lahey, 71, pleaded guilty to possession of child pornography for the purpose of
importation.
Lahey had once negotiated a $13-million settlement for victims of child sex abuse by priests
as the bishop of Antigonish, N.S.,
Meanwhile, some parishioners in Lahey's former diocese reacted to the verdict with disbelief.
Ashley Fleury, 25, said the outcome doesn't seem fair.
"It seems like they're being a little lenient (towards) him because of his title," she told
Postmedia News.
Fleury said the scandal has been "really shocking" because she knew Lahey from parish
events he attended around town several years ago.
Back then, his public image was stellar: Lahey was well-respected and well-liked by the
community, she recalled.
But now, he's fallen from grace.
It's "disgusting," she said, that Lahey entered into a vow of celibacy but didn't live by it.
"I wished that the church shouldn't have to pay for all his crap," Fleury said.
For Alex Cameron, 49, the scandal was a burden on the community.
"I'm just glad it's all over with," said Cameron, a parishioner at St. Ninian parish.
In a statement, Antigonish Bishop Joseph Dunn expressed "regret that so many people have
been disturbed and upset by these sad events."
Dunn said the diocese "continues to take steps to create a safe environment for all members
of the church, particularly with respect to young people" through the diocesan Responsible
Ministry Protocol.
"The diocese is committed to establishing safe and supportive communities for our young
people and vulnerable adults," Dunn said.
"When (church leaders) commit serious moral failures, this can have a significant impact on
the faith community," he said. "This is especially so when it involves the crime of child
pornography."
In 2009, Lahey had been returning from a trip abroad when customs agents checked his
laptop computer and found images which included young boys and teens engaged in sex
acts, including bondage and torture.
Police discovered 588 child pornography images along with 63 videos and several stories
with themes of slavery.
The child pornography made up only a small percentage of the approximately 155,000
pictures of pornography he had on the computer.
Lahey voluntarily surrendered himself into custody to begin serving what the law says must
be a minimum mandatory sentence of one year in jail.
However, Kirkland ruled at Lahey's last court appearance before Christmas that the contrite
Lahey should be eligible for two-for-one credit for the eight months he already spent behind
bars.
With 16 months credit, Lahey's sentence was complete, Kirkland found.
Crown prosecutors asked for a sentence of 18 to 22 months.
During an earlier court appearance, Lahey told Kirkland he had an "indiscriminate" addiction
to online pornography but didn't seek help because of his high-ranking position in the church.
Lahey said he secretly wanted to be found out, so it was a "blessing in disguise" when
customs agents stopped him at the Ottawa airport in September 2009. A psychiatrist who
examined Lahey testified he was interested in gay sado-masochistic sex.
Lahey wasn't a risk to reoffend against a child, Dr. John Bradford testified.
Bradford was confident he is not a pedophile. Bradford added Lahey, who has been involved
in a 10-year romantic relationship with another man after a number of one-night stands,
imagines himself in a "submissive role" in his sado-masochistic sex fantasies.
Ottawa Citizen, with files from Sheila Dabu Nonato, Postmedia News
aseymour@ottawacitizen.com
snonato@postmedia.com
© Copyright (c) The Ottawa Citizen
5 JANVIER 2012
Article tiré de :
http://www.montrealgazette.com/Substitute+teacher+alleged+touching+really+inapprop
riate+year+said/5951743/story.html
Substitute teacher's alleged
touching 'really inappropriate,'
8-year-old said
BY JENNIFER SALTMAN, THE PROVINCE JANUARY 5, 2012
The case of Aleksandr Plehanov, a substitute teacher who is facing sexual assault charges, began this
week in Port Coquitlam Provincial Court.
Photograph by: Coquitlam NOW , file photo
As a group of students were gathered around the substitute teacher's desk, playing with his
iPhone, one of the kids felt an unwelcome touch, a court has heard.
The hand rubbed the eight-year-old's buttocks for a few seconds and then moved to the front
of her body, rubbing around her pelvic area.
"It made me feel really weird and it was really inappropriate," the girl told police in an
interview video that was played in Port Coquitlam Provincial Court on Wednesday at the trial
of Aleksandr Vladimirovich Plehanov.
The girl, who can't be identified due to a publication ban, said she moved away from the man
who was touching her - the substitute teacher, Plehanov or "Mr. P." - but he asked her which
games to download on his phone.
She answered, but he said he couldn't hear her and she moved next to him again.
Plehanov touched her on the bottom again, she said.
"He was doing the same thing, rubbing my bum gently," the girl, now 10 years old, said.
She said she moved away from Plehanov's desk again and told her friends what had
happened. Another girl, a seven-year-old, said Plehanov had touched her as well.
The class broke off for a science lesson, but before she left, the girl said Plehanov offered to
help her with her math homework and offered to let her play with his iPhone.
However, the school day ended and the girl didn't see Plehanov again.
The girl's testimony is expected to continue Thursday.
Four other girls - two from the same school as the girl who testified Wednesday - also came
forward with allegations involving Plehanov touching parts of their body.
The alleged victims were all in Grades 2 and 3, were seven or eight years old at the time of
the incidents and came from three different schools. The incidents date to January 2008.
The Crown has alleged that Plehanov was warned on numerous occasions before the March
2010 incidents about touching children in elementary schools at which he taught within
School District 43.
According to the B.C. College of Teachers' website, Plehanov's teaching certificate has been
suspended since May 2010 because of disciplinary proceedings and he is currently ineligible
to teach in B.C.
Plehanov is facing 11 charges in total - five of sexual assault, five of sexual interference and
one of criminal harassment.
The harassment charge arises out of allegations that Plehanov twice went to the home of
one of the alleged victims when he knew police were investigating his activities.
However, defence lawyer Lisa Helps pointed out Wednesday that Plehanov wasn't subject to
any bail conditions that limited where he could be at the time of the alleged incidents in June
2010, only that he not have contact with the alleged victims.
6 JANVIER 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-droit/actualites/justice-et-faitsdivers/gatineau/201201/05/01-4483271-huis-clos-refuse-a-un-agresseur-denfants.php
Huis clos refusé à un agresseur
d'enfants
Cette photo de Paul Perrier a été prise en 1988.
PHOTO DE COURTOISIE
Louis-Denis Ebacher
Le Droit
Un procès pour des agressions sexuelles présumément commises sur des enfants
dans les années 1970 et 2000, à Gatineau, s'est ouvert hier, avec une tentative de
l'accusé d'obtenir un huis clos afin d'éviter que son nom ne circule davantage.
Paul Perrier, 61 ans de Gatineau, n'a pas obtenu ce qu'il voulait. La juge Rosemarie Millar,
de la Cour du Québec, a retenu la nature publique du procès et a rejeté sa requête de
dernière minute. La seule ordonnance de non-publication maintenue est celle qui interdit de
nommer les victimes, ou de diffuser ce qui peut permettre de les reconnaître.
La juge a affirmé que des mesures peuvent être prises à la détention afin de protéger
l'accusé d'éventuelles vengeances de la part des autres détenus.
Placé derrière les barreaux de façon préventive depuis le printemps dernier, l'homme fait
face à plusieurs chefs d'agressions sexuelles sur des enfants. Il a d'abord plaidé coupable,
dès l'ouverture du procès, à des chefs d'agressions sur une fillette de 6 ans et un garçon
âgé de 7 à 13 ans, entre le 30 août 2003 et le 25 décembre 2009.
Dans les années 1970
Les histoires d'agression de Paul Perrier auraient cependant commencé il y a 40 ans, avec
d'autres victimes. En juin dernier, Mario (nom fictif), confiait au Droit qu'il voulait que justice
soit rendue pour les agressions qu'il avait subies, alors qu'il était âgé de 7 à 14 ans. Une
autre victime, une femme, a aussi porté plainte. Elle a entamé son témoignage, hier en fin
de journée.
7 JANVIER 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201201/06/01-4483657-recours-collectif-contre-les-freres-de-sainte-croix-18-millions-etdes-questions.php
Recours collectif contre les frères
de Sainte-Croix: 18 millions... et
des questions
La congrégation de Sainte-Croix a accepté, en octobre dernier, de verser 18 millions de dollars aux élèves qui ont été victimes
d'agression au collège Notre-Dame de Montréal, au collège Saint-Césaire et à l'école Notre-Dame de Pohénégamook, sans délai
de prescription.
PHOTO: ALAIN ROBERGE, LA PRESSE
Anabelle Nicoud
La Presse
(Montréal) «Mon film tourne en boucle.» Robert (nom fictif) n'a pas oublié le viol dont
il a été victime à l'âge de 10 ans ni le traumatisme de cette agression. Son agresseur,
frère de Sainte-Croix, a continué à sévir pendant deux décennies dans les
établissements scolaires de la congrégation.
Cinquante ans plus tard, Robert a retrouvé des dizaines de victimes de certains frères,
dans le cadre du recours collectif intenté contre la congrégation de Sainte-Croix. Malgré les
indemnisations, il reste persuadé que justice n'a pas été rendue. La congrégation a
reconnu les agressions subies par les enfants dans trois de ses établissements, mais elle
n'a jamais entrepris d'action contre les agresseurs, dont certains sont toujours vivants.
La congrégation de Sainte-Croix a accepté, en octobre dernier, de verser 18 millions de
dollars aux élèves qui ont été victimes d'agression au collège Notre-Dame de Montréal, au
collège Saint-Césaire et à l'école Notre-Dame de Pohénégamook, sans délai de
prescription. Parallèlement à cette démarche, une enquête policière était toujours en cours
sur au moins deux religieux. Mais aucune n'a débouché sur des accusations criminelles.
On comprend que c'est plus efficace d'enquêter sur des crimes commis il y a 24 heures
plutôt que sur des crimes commis il y a 24 ans. Néanmoins, le recours collectif court
jusqu'en 2001 pour le collège Notre-Dame. Il y aurait eu des gestes commis jusqu'à ce
moment-là. Ce n'est pas de l'histoire ancienne, pour nous», dit Carlo Tarini, président de
l'Association des victimes de prêtres.
La congrégation continue à protéger les agresseurs. Ils peuvent rester entre eux, sortir.
Pour moi, il n'y a pas de justice, actuellement», regrette Robert.
Pourtant, les hautes instances de la congrégation ont toujours su que des pédophiles
sévissaient dans leurs rangs. En font foi de nombreux documents internes transmis il y a
trois ans aux médias, notamment à Sue Montgomery, journaliste à The Gazette.
Ça démontre la culture du silence et le fait que [les sévices] étaient aussi banals que
l'adoption de l'ordre du jour dans un conseil d'administration», dit Sébastien Richard,
ancien élève du collège Notre-Dame et qui affirme avoir été victime du frère Claude
Hurtubise. En 2004, M. Hurtubise a été jugé pour attentat à la pudeur, mais il a finalement
été acquitté pour doute raisonnable.
Wilson Kennedy a passé 21 ans dans la congrégation. C'est lui qui a publiquement révélé
la culture du secret des frères de Sainte-Croix à The Gazette. Cela lui a valu deux mises en
demeure par l'avocat de la congrégation, qui l'a accusé de mentir pour nuire à son
ancienne communauté.
Au début de cette histoire, j'étais le menteur. J'ai eu des mises en demeure, et je n'ai
jamais eu d'excuses», déplore-t-il.
Il estime que les excuses officielles présentées aux victimes par le père Jean-Pierre
Aumont sonnent faux. Les agressions sexuelles et les actes de pédophilie étaient, selon lui,
un secret de Polichinelle dans la communauté.
Enfant, Wilson Kennedy a lui-même été agressé par un prêtre, mais il a cru que la vie
religieuse lui permettrait de trouver la paix.
C'est plutôt l'inverse qui s'est produit, dit-il. Il a même été agressé par un de ses
coreligionnaires. Avant de quitter la congrégation, il a essayé d'en faire réagir les autorités.
En vain.
On a essayé de me faire croire que ce n'était pas important, dit-il. On ne voulait pas voir
nos péchés. On préférait payer.»
Ironiquement, c'est le refus des frères de Sainte-Croix de présenter une lettre d'excuses à
la famille de René Cornellier, ancien élève de Notre-Dame mort en 1994 après avoir luimême tenté d'en obtenir, qui a donné naissance aux démarches pour le recours collectif.
Il aura fallu attendre la fin de l'année 2010 et de nouvelles révélations à l'émission Enquête
pour que la congrégation accepte de négocier un règlement à l'amiable.
En réponse à La Presse, le supérieur provincial de la congrégation, Jean-Pierre Aumont,
écrit que les «religieux condamnent vigoureusement toute forme d'inconduite commise par
des personnes en situation d'autorité». «Des préjudices ont été causés, et nous avons pris
les dispositions pour les réparer», conclut-il.
8 janvier 2012
Article tiré de :
http://video.stthomastimesjournal.com/video/news/canada/1225519501001/sexattacker-stabs-woman/1374935029001/page/4
Sex attacker stabs woman
Cops are on the hunt for a man who stabbed a woman during an attemped sexual assalut
in west Ottawa lat Saturday.
FROM OTTAWA SUN
9 JANVIER 2012
Article tiré de : http://cnews.canoe.ca/CNEWS/Crime/2012/01/09/pf-19218046.html
Ottawa woman stabbed in
attempted sex assault
By DANIELLE BELL, QMI Agency
OTTAWA -- Police are hunting a violent pervert who stabbed a young woman
during an attempted sexual assault late Saturday.
The 18-year-old victim was waiting for a bus shortly after 10 p.m. when a man approached and led
her into a nearby wooded area, police said.
The man tried to sexually assault her then stabbed her, but the woman was able to call for help.
She was taken to hospital with what police said were non-life threatening injuries.
However, paramedics described the injuries as potentially life-threatening and said the woman, who
suffered at least a puncture wound and laceration, was seriously hurt.
Transit users -- who describe the area where the attack occurred as secluded -- were unnerved
yesterday by news of the assault. Although four bus stops are in the vicinity, which is flanked by
nearby homes, surrounding woods add to the isolation of the area.
Two police cruisers were parked in a wooded area several hundred metres from the bus stop on
Sunday.
The bus stops are fairly busy, say users, but transit crowds thin at night.
Kymberley Gauvreau regularly takes the bus and wondered what had happened when she saw
several cruisers in the area as she got a ride home Saturday.
"It's crazy. It makes me scared," said Gauvreau on Sunday, as she waited to catch the bus. "I don't
want to bus home now. It's ridiculous."
Gauvreau has never heard of a similar attack in the otherwise quiet area, but said she won't bus
alone.
Her friend, Rebecca Saikaley, regularly takes the bus with her.
"To know my friend lives in an area that's in danger, I feel kind of bad," said Saikaley.
Transit officials said Sunday they'll investigate the attack in conjunction with police, but were unable to
say whether surveillance cameras were in the area.
"Safety and security is always a priority," said spokesman Michael Fitzpatrick. "(I'm) not aware of
details of that particular stop."
The police sexual assault and child abuse unit is leading the investigation.
The suspect is described as a white, 18 to 20 years old, between 5-foot-7 and 5-foot-9, with brown
eyes and was dressed in black.
Anyone with information should call police at 613-236-1222 ext. 5944 or Crime Stoppers at 613-2338477.
10 JANVIER 2012
Article tiré de :
http://www.lapresse.ca/le-nouvelliste/justice-et-faits-divers/201201/10/01-
4484315-stephane-abran-cite-a-subir-son-proces.php
Stéphane Abran cité à subir son
procès
Sur la photo, on voit Stéphane Abran lors de son passage au palais de justice en compagnie de son
avocate, Me Susan Corriveau.
PHOTO: ÉMILIE O'CONNOR
Nancy Massicotte
Le Nouvelliste
Stéphane Abran, le président du Syndicat des enseignants et enseignantes de la
Riveraine, a été cité lundi matin à subir son procès pour agression sexuelle sur un
mineur.
Au terme d'une enquête préliminaire tenue au palais de justice de Trois-Rivières, le juge
Jacques Trudel a en effet renvoyé l'homme de 48 ans à subir un procès pour six chefs
d'accusation d'agressions sexuelles, d'attouchements sexuels et d'incitations à des
contacts sexuels. La cause a été reportée pro forma au 6 mars.
En vertu d'une ordonnance de non-publication, il nous est interdit de dévoiler le contenu de
la preuve présentée. On peut cependant préciser que l'enquête préliminaire a donné
l'occasion, lundi, à la présumée victime, un mineur de 13 ans, de relater sa version des
faits devant la cour par le biais d'un télétémoignage.
L'adolescent ne serait toutefois pas un élève de l'école secondaire Jean-Nicolet où Abran
enseignait à temps plein depuis 1997-1998. Selon l'acte d'accusation, les faits qui lui sont
reprochés seraient survenus entre le 1er mars 2010 et le 20 août 2010 à Notre-Dame-duMont-Carmel et à Saint-Maurice.
Abran est enseignant permanent en sciences humaines à l'école secondaire Jean-Nicolet
depuis 1997-1998. Depuis 2010, il est libéré de ses fonctions d'enseignant, ayant été élu
président du syndicat des enseignants.
Ce n'est pas la première fois que Stéphane Abran fait face à la justice pour des prétendus
abus sexuels sur des mineurs. En 2000, on l'avait accusé d'avoir agressé sexuellement
deux garçons dont il s'était occupé à la fin des années 80 et au début des années 90. Il
avait cependant été acquitté puisque la preuve s'était avérée insuffisante pour conclure à
une culpabilité hors de tout doute raisonnable.
11 JANVIER 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-nouvelliste/justice-et-faits-divers/201201/11/014484688-sept-ans-et-demi-de-prison-pour-daniel-duguay.php
Sept ans et demi de prison pour
Daniel Duguay

PHOTO: FRANÇOIS GERVAIS
Nancy Massicotte
Le Nouvelliste
(Trois-Rivières) Une sentence de sept ans et demi de pénitencier a été imposée hier, à
Daniel Duguay, 49 ans, pour avoir agressé sexuellement quatre personnes, dont un
mineur pendant une dizaine d'années.
Vu la gravité des gestes posés et le risque de récidive, il a également été déclaré
délinquant sexuel à contrôler, de sorte qu'il sera sous stricte surveillance pendant dix ans
suivant sa libération. «Il est inquiétant pour le tribunal de constater la déresponsabilisation
dont vous faites preuve. Vous entretenez une sorte de pensée magique qui vous laisse
croire par exemple que la prise d'ativan contrôle votre libido, à moins que ça ne soit une
forme de manipulation de votre part», a indiqué le juge Jacques Trudel en s'adressant au
prévenu hier matin.
Rappelons que Daniel Duguay a plaidé coupable le 8 octobre 2010 à quatre chefs
d'agression sexuelle, un chef d'incitation à des contacts sexuels, un chef d'entrave au
travail des policiers, deux autres chefs pour avoir contrevenu à des interdictions de la cour
en communiquant avec une victime afin d'influencer son témoignage à la cour , quatre bris
de condition et un bris de probation.
Parmi ses victimes, on compte un garçon qui a été abusé sexuellement de 1994 à 2004. Il
était alors âgé entre 4 et 14 ans. À plus d'une quinzaine de reprises, Duguay se serait livré
à des gestes de fellation et de masturbation à son encontre. Il aurait également tenté de le
sodomiser. Les autres victimes de Duguay sont des jeunes filles âgées entre 16 et 21 ans.
Il a notamment abusé de l'une d'elles alors qu'elle était sévèrement intoxiquée par l'alcool.
Notons par ailleurs que Duguay a des antécédents de même nature. En 1994, il a écopé
d'une sentence suspendue et d'une probation de trois ans. Il a notamment suivi une
thérapie pour sa problématique sexuelle. Or, il est clair que celle-ci n'a eu aucun véritable
impact puisqu'au cours de la même année, il a recommencé à sévir sur un autre garçon.
Les crimes se sont poursuivis pendant plusieurs années en dépit du suicide de sa première
victime.
La Couronne, représentée par Me Catherine Lacoursière, réclamait au tribunal une peine
de 15 ans de pénitencier, soit la peine maximale de dix ans pour les agressions sexuelles
et des sentences consécutives pour les autres délits. Elle demandait également que
Duguay soit déclaré délinquant à contrôler pour dix ans.
La défense, assurée par Me Maurice Biron, avait pour sa part suggéré que la peine soit
l'équivalent du temps déjà effectué derrière les barreaux. Précisons que Duguay est
détenu depuis octobre 2009 mais puisqu'à cette date, le temps préventif comptait en
double, il a purgé à ce jour l'équivalent de quatre ans et demi de prison.
Le juge Trudel a plutôt condamné Duguay à un total de sept ans et demi de pénitencier.
Compte tenu de la période de détention provisoire, il lui reste donc trois ans à faire. Une
fois libéré, il lui sera interdit de se trouver dans des lieux publics et d'occuper un emploi le
mettant en présence de mineurs de moins de 16 ans. Il ne peut également utiliser un
ordinateur pour communiquer avec eux et ce, pour une période de dix ans. À cela, il faut
ajouter la surveillance dont il fera l'objet à titre de délinquant à contrôler. Enfin, il ne pourra
posséder d'arme durant toute sa vie.
À la sortie de la salle d'audiences, Me Lacoursière s'est dite satisfaite par la sentence du
juge Trudel. «Elle représente bien ce qui devrait être rendu en semblable matière», a-t-elle
mentionné.
L'une des victimes de Daniel Duguay, qui a été abusée pendant huit mois, était pour sa
part un peu déçue. «Je trouve que la sentence n'est pas assez longue pour tout le tort qu'il
a causé. Je m'attendais à plus. Par contre, je suis satisfaite de savoir qu'il sera délinquant
à contrôler pendant dix ans», a-t-elle déclaré.
Malgré tout, elle invite les victimes d'abus sexuels à dénoncer leur agresseur. «J'ai
personnellement gardé le silence pendant trop longtemps. J'aurais dû le dénoncer plus tôt.
Cela m'aurait aidé à trouver la paix», a-t-elle ajouté.
Enfin, du côté de la défense, Me Alexandre Biron, l'associé de Me Maurice Biron, estime
que la peine est très importante dans les circonstances. «Le maximum pour une agression
sexuelle est de dix ans de prison. On doit rencontrer notre client pour connaître son désir
en lien avec cette sentence et évaluer la possibilité d'aller en appel ou non», a-t-il conclu.
12 JANVIER 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-quotidien/le-quotidien-du-jour/201201/12/014485266-accusations-criminelles-contre-un-pretre.php
Accusations criminelles contre un
prêtre
Evêché de Chicoutimi
PHOTO ARCHIVES
CATHERINE DELISLE
Le Quotidien
(CHICOUTIMI) Des accusations criminelles d'agressions sexuelles viennent d'être déposées contre
Paul-André Harvey, un prêtre du diocèse de Chicoutimi. Retraité depuis 2002, il a oeuvré en paroisse
au cours de son ministère.
Mgr André Rivest tiendra un point de presse à ce sujet, dès aujourd'hui, à compter de 16 heures. Comme
il ne peut intervenir à l'intérieur du processus judiciaire, c'est la seule fois où il prendra la parole.
Dans un communiqué remis à la presse, l'abbé Jacques Bouchard explique que l'Église du diocèse de
Chicoutimi tient à rappeler son engagement à protéger les enfants de toutes formes d'abus sexuels de la
part de prêtres, de diacres permanents ou d'agents de pastorale.
Ce sont les autorités policières qui ont informé l'Évêché que des allégations sérieuses pesaient à
l'encontre de M. Harvey. Dans un souci de transparence et de vérité, l'abbé Bouchard précise qu'une
collaboration pleine et entière a été offerte aux enquêteurs. Une collaboration qui se poursuivra avec les
autorités judiciaires.
L'Évêque du diocèse mentionne que des mesures ont été prises pour protéger les personnes en contact
avec le prêtre. Ainsi donc, il a cessé d'exercer tout ministère jusqu'à ce que la Cour du Québec ait décidé
de l'affaire. Il n'entrera pas en contact avec les personnes plaignantes et il ne se retrouvera pas en
présence d'une personne mineures. M. Harvey s'est engagé en ce sens jusqu'à ce qu'une décision finale
soit rendue par le tribunal sur les accusations qui pèsent contre lui.
Enfin, Mgr Rivest rappelle sa vive réprobation de toute forme d'abus des enfants.
13 JANVIER 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-quotidien/actualites/201201/13/01-4485447-unpretre-accuse-dabus-sexuels.php
Un prêtre accusé d'abus sexuels
Cette photo de l'abbé PauL-André Harvey a été prise à l'époque des événements qui lui sont reprochés.
REPRODUCTION ROCKET LAVOIE
Serge Lemelin
Le Quotidien
(CHICOUTIMI) Cinq accusations de nature sexuelle ont été portées hier contre un
prêtre à la retraite du diocèse de Chicoutimi pour des événements présumément
survenus entre le 29 avril 1966 et le 28 février 1969.
L'abbé Paul-André Harvey, 75 ans, aurait attenté à la pudeur et posé des gestes de
grossière indécence, selon les termes du Code criminel de l'époque, envers trois fillettes
âgées entre 7 et 8 ans, dans différentes paroisses de Kénogami.
Les plaignantes se seraient tues pendant plus de quatre décennies avant de porter plainte
contre le prêtre qui a pris sa retraite en 2002.
Le prêtre a été arrêté, hier après-midi, à sa résidence de La Baie, par mandat d'arrestation
visé, ce qui signifie qu'il a été laissé en liberté sous conditions d'ici sa comparution au
Palais de justice de Chicoutimi, le 7 février prochain. Il pourra alors désigner un avocat
pour sa comparution sans se présenter avant qu'une étape décisive soit franchie devant le
tribunal.
L'enquête a été initiée cet été par la Sécurité publique de Saguenay et un enquêteur a
rencontré les autorités de l'Évêché de Chicoutimi, dès le 20 septembre, pour les informer
des allégations sérieuses qui pesaient contre le prêtre. Les autorités ecclésiastiques ont
offert leur entière collaboration à la SPS en vertu de leur politique de transparence en
matière d'accusations de nature sexuelle contre ses prêtres, ses diacres ou les laïcs à son
emploi.
Le vicaire Émilien Dumais, responsable délégué de l'évêque pour les questions d'agression
sexuelle, a immédiatement pris des « mesures de prudence « par respect pour les
plaignantes et le processus judiciaire et il a rencontré l'abbé pour l'informer de sa
suspension durant le déroulement des procédures.
Appelé par un journaliste à décrire la réaction de l'accusé, le vicaire a indiqué qu'il lui a
semblé bouleversé et peiné, se demandant «comment il allait survivre à cela».
14 JANVIER 2012
Article tiré de : http://www.radio-canada.ca/regions/alberta/2012/01/14/001infirmiers-calgary-agression.shtml
Un infirmier de Calgary accusé
d'agressions sexuelles sur
deux enfants
Mise à jour le samedi 14 janvier 2012 à 15 h 48 HNE
Un infirmier de l'Hôpital pour enfants de l'Alberta, à Calgary, a été accusé d'avoir agressé
sexuellement deux patients de 11 et 13 ans.
Drew Legary, 42 ans, a été arrêté vendredi. Il fait face à quatre chefs d'accusation, soit deux
de contacts sexuels avec un enfant de moins de 16 ans et de deux d'agression sexuelle.
L'enfant de 13 ans a porté plainte contre M. Legary en septembre 2011. L'enquête a permis
de découvrir une seconde victime, qui aurait été agressée en août 2010. Les deux incidents
se seraient produits alors que les enfants devaient recevoir des soins de l'infirmier.
Le père du garçon de 13 ans s'est dit bouleversé d'apprendre l'existence d'une deuxième
victime. « Ce que je ne savais pas, c'est que c'est arrivé à un autre enfant, c'est ma plus
grande souffrance en ce moment », a-t-il affirmé.
Selon lui, son fils a été marqué pour la vie. « Je me suis senti trahi parce que j'ai fait
confiance à l'hôpital, j'ai fait confiance à l'infirmier qui avait construit une relation pendant
deux jours avec mon fils et moi », s'est désolé le père.
L'enquête a révélé qu'il n'y avait pas d'autres victimes potentielles, a indiqué le détective
Stephen Johnston de la police de Calgary.
Drew Legary a été suspendu depuis que l'hôpital a été informé des allégations, selon
Services de santé Alberta.
15 JANVIER 2012
Article tiré de : http://vancouver.24hrs.ca/News/local/2012/01/15/pf-19247676.html
Star lends support to child
abuse victims
By STEPHANIE IP, 24 HOURS
The region‘s first dedicated facility for child abuse victims is
getting a big dose of celebrity support.
Sophie Tweed-Simmons, daughter of KISS rocker Gene
Simmons and former Playboy model Shannon Tweed, was in
Surrey on Sunday to open Sophie‘s Place, a centre where
abuse victims can safely seek help.
―I grew up being loved and respected and I just thought that
every kid should have that feeling,‖ the Gene Simmons Family
Jewels star said of lending her name and support to the facility.
Sophie Tweed-Simmons speaks at a press
―Kids are really targeted for abuse and … they can‘t defend
conference regarding an innovative
themselves. They need someone to defend them so they come
advocacy program at the Centre for Child
here and we can do that for them.‖
Development in Surrey Sunday. (CARMINE
MARINELLI, 24 HOURS)
The protection centre, located on 140th Street within the
existing Centre for Child Development building, opens in February. It will be a one-stop resource for sexual,
mental, emotional and physical abuse victims under the age of 12, bringing together police, ministry
services, and medical and trauma professionals to work in a family- friendly environment.
In some situations, young victims are sometimes required to recount painful memories multiple times before
cases are forwarded to the Crown. The centre will be a welcoming venue where victims can instead give
their statement once on camera and be supported by integrated services, say
officials.
Sophie‘s Place is the first program of its kind in the region and one of only a handful across Canada.
―When we have a child that has been in abuse, whether it‘s mentally, emotionally, physically or sexually, it‘s
really important that child really receives the help and support that they need,‖ Mayor Dianne Watts said,
adding that more than 60 community members spent vacation time renovating sections of the centre. ―This
is a facility that the region desperately needs and we need it now.‖
Accompanied by her boyfriend, her parents, Mayor Watts and a film crew for the family‘s reality show, the
19-year-old toured the facility she helped plan.
KISS bassist and proud father Gene mostly remained in the background but chimed in to show his support
for Sophie.
―It‘s so hard for young people to get grown-ups to listen to them and when Sophie speaks, maybe people
her age and younger will listen and will understand that this isn‘t about grown-ups trying to do big corporate
things,‖ Gene said. ―All of us could take a good listen from our kids. We‘re certainly learning a lot from ours.‖
16 JANVIER 2012
Article tiré de : http://www.torontosun.com/2012/01/16/woman-testifies-against-calgarycop-she-says-raped-her
Woman testifies against Calgary cop
she says raped her
BY KEVIN MARTIN ,CALGARY SUN
―I just remember falling back onto the bed,‖ the complainant told Crown prosecutor Robert
Beck.
―He grabbed both my arms and he pinned me with his one hand,‖ the woman said.
―He was sitting on top of me like he was straddling me and then he grabbed both of my
wrists and put them up (above) my head.‖
The woman said she repeatedly asked Oglesby to stop, but he continued to silently attack
her, never speaking during the entire assault.
―I was asking him to stop ... ‗what the hell are you doing? Stop.‘‖ she said.
She said Oglesby used his free hand to first push up her t-shirt and bra, and then to reach
down her pants.
―I‘m pretty sure I was bawling at that point, tears, saying stop,‖ the woman said.
But Oglesby persisted, removing her sweat pants before forcing her to have sexual
intercourse.
She said she and Oglesby had been drinking champagne together that night and had split a
whole bottle.
After the assault, she testified she left before meeting friends for drinks downtown.
She said she was reluctant to report the incident to police — not complaining for months —
because Oglesby was a member of the Calgary Police Service who had told her
complainants were often laughed at.
―I was extremely intimidated and bullied,‖ she said.
―He (told) me the cops they all stick together.
―It‘s a very intimidating world ... after trying to get over the rape, I buried it and I don‘t think I
intended to take action.‖
Under cross-examination by defence counsel Willie deWit, the woman admitted telling
Oglesby he was an amazing person, two years after the alleged attack, in a conversation
surreptitiously taped by the officer.
Oglesby was a six-year member of the Calgary Police Service and a beat cop when he was
charged in May, 2010, and was shifted to administrative duties.
He was charged following a lengthy investigation and subsequent review by the Crown‘s
office in Edmonton.
DeWit will determine Tuesday morning whether to call any defence evidence.
kevin.martin@sunmedia.ca
On Twitter: @KMartinCourts
17 JANVIER 2012
Article tiré de :
http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/les-
patrouilleurs/201201/17/01-4486751-un-accuse-de-crimes-sexuels-voulait-aller-vivre-chez-unagresseur-recidiviste.php
Un accusé de crimes sexuels
voulait aller vivre chez un
agresseur récidiviste
Kimberly Byron Moskalewski, accusé de crimes sexuels contre une fillette, a indiqué au juge Claude Champagne qu'il désirait
habiter chez un homme reconnu coupable d'agression sexuelle à trois reprises durant la durée procédures entourant son procès.
David Santerre
La Presse
Kimberly Byron Moskalewski, accusé de crimes sexuels à l'égard d'une fillette, a
causé une petite commotion la semaine dernière dans la salle de cour où il réclamait
sa remise en liberté provisoire en attente de son procès.
L'adresse qu'il avait choisie de fournir au juge comme endroit de résidence pendant les
procédures était celle d'un... agresseur sexuel récidiviste!
Ce programmeur informatique du Canadien National avait été accusé en septembre de
possession, distribution, et même de production de matériel pornographique mettant en
scène des enfants. Il était aussi accusé d'avoir incité une enfant à des contacts sexuels.
L'homme habitait alors une résidence de Pierrefonds où sa conjointe opérait une garderie
en milieu familial. De nombreux ordinateurs ont été saisis chez l'homme.
Il est impossible de relater la teneur exacte de la preuve qui est, comme c'est souvent le
cas en début de procédures judiciaires, frappée d'un interdit de publication.
Même s'il est sans antécédent judiciaire, Moskalewski avait échoué au lendemain de sa
mise en accusation dans sa tentative de recouvrer sa liberté en attente de son procès. Le
juge Salvatore Mascia de la cour du Québec, avait estimé que sa remise en liberté minerait
la confiance du public en l'administration de la justice.
La semaine dernière, l'homme s'est présenté devant le juge Claude Champagne de la cour
supérieure pour demander une révision de la décision Mascia.
Un accusé qui souhaite être remis en liberté doit généralement fournir à la Justice une
adresse recommandable où il s'engage à demeurer pour la durée des procédures, où il ne
risque pas d'être tenté de briser ses conditions. Et idéalement être épaulé par des proches
venant témoigner en sa faveur.
Dans le cas présent, le révérend d'une église anglicane de Westmount s'est présenté à la
Cour en soutane pour livrer un témoignage favorable à Moskalewski.
Mais la vraie surprise, elle est venue quand la procureur aux poursuites criminelles et
pénales Me Carolyne Paquin a annoncé au juge Champagne que l'adresse où souhaitait
résider l'accusé, qui ne peut retourner chez lui, est celle d'un homme de 72 ans condamné
en décembre dernier à 18 mois de prison pour agression sexuelle. De plus, il s'agissait de
sa troisième condamnation du genre depuis 2007.
Cette annonce a semblé prendre par surprise le juge Champagne, mais surtout l'avocat de
Moskalewski, Me Robert Bellefeuille.
Me Bellefeuille dit avoir lui même fourni l'adresse à Me Paquin et l'enquêteur chargé du
dossier avant l'audience, et qu'il ne savait pas qu'elle était celle d'un agresseur. C'est
l'enquêteur qui a fait cette trouvaille.
Il semble que Moskalewski aurait connu l'homme de 72 ans en détention et que celui-ci lui
aurait suggéré d'aller habiter chez lui, dans le secteur de Verdun.
Fière de son annonce, Me Paquin aurait bien aimé que cette information signifie un
nouveau refus de libération à Moskalewski. Mais le juge Champagne a consenti à ce que la
cause soit reportée au 25 janvier, afin que l'accusé puisse trouver une autre adresse où il
pourrait résider, advenant sa libération.
18 JANVIER 2012
Article tiré de : http://tvanouvelles.ca/lcn/judiciaire/archives/2012/01/20120118202333.html
Attouchements sexuels : Soucy
écope de 18 mois
Crédit photo : Agence QMI
Par Kathryne Lamontagne | Agence QMI
Claude Soucy, âgé de 67 ans, qui était jadis bénévole au patro Roc-Amadour, dans le
quartier Limoilou à Québec, a écopé mercredi de 18 mois de prison dans la collectivité, pour
avoir posé des gestes à caractère sexuel sur trois femmes déficientes intellectuelles.
La juge Marie-Claude Gilbert a donc assigné à résidence le sexagénaire, 24 heures sur 24,
pour la première moitié de sa peine. Il devra se soumettre à un couvre-feu lors de la
seconde. De plus, il lui sera interdit d'occuper une fonction le plaçant dans une position
d'autorité ou de confiance envers des personnes vulnérables.
Soucy avait plaidé coupable, en juin, à quatre chefs d'accusation d'attouchement sexuel,
d'incitation à des contacts sexuels et d'agression sexuelle. Les événements reprochés sont
survenus de 2007 à 2009, alors que les victimes, des bénéficiaires du patro Roc-Amadour,
avaient entre 45 et 59 ans.
À cette époque, l'accusé, qui était sans antécédent judiciaire alors, se rendait régulièrement
au centre communautaire pour y faire du bénévolat. L'homme, qui se déplace en fauteuil
roulant, avait touché à quelques reprises les seins et les fesses de ses victimes, en plus
d'avoir tenté une pénétration auprès de l'une d'elles, alors qu'il l'aidait, chez elle.
À la fin de sa peine, Claude Soucy sera soumis à une probation de deux ans, avec suivi, où
il devra entreprendre une thérapie. Il sera de plus inscrit pour une période de dix ans dans le
Registre des délinquants sexuels.
19 JANVIER 2012
Article tiré de : http://www.winnipegfreepress.com/local/crown-seeks-5-years-for-rapeconviction-137654903.html?viewAllComments=y
Winnipeg Free Press - PRINT EDITION
Crown seeks 5 years for rape
conviction
By: Mike McIntyre
Posted: 01/19/2012 1:00 AM | Comments: 1 (including replies)
MANITOBA justice officials are seeking a five-year sentence for a community leader
convicted of rape.
Hilaire Ndyat, 43, was found guilty at trial last year of attacking a woman while she was
unconscious in March 2008. Ndyat is the founder and executive director of the Winnipeg
Afro-Aboriginal Cross-cultural Association, where he helps new immigrants adjust to life in
the city. He is also a member of several other cultural organizations in the inner city.
Ndyat testified in his own defence, claiming the victim "forced" him to have sex and "stole"
his sperm by secretly removing his condom because she wanted a mixed-race baby.
"I thought she wanted a black man's sperm as she mentioned earlier during the conversation
that she'd like to have a mixed child, (she was) using me as a sperm donor by stealing
sperm from me," he wrote in a 2008 statement to police presented during the trial.
Queen's Bench Justice Gerald Chartier rejected Ndyat's story, saying it was "simply not
believable."
Ndyat returned to court on Wednesday for sentencing. Crown attorney Jocelyne Ritchot said
this is defined as a "major sexual assault" and warrants a lengthy term of imprisonment. She
told court Ndyat may have drugged the victim before attacking her. The woman testified at
trial that Ndyat gave her a beer to drink that was already open, and she soon passed out
only to awake and find him sexually assaulting her.
Lawyer Brad King is seeking a two-year sentence for his client, who has no prior criminal
record. He submitted numerous letters of support for Ndyat on Thursday in which dozens of
people praised him. One letter was signed "For The Community" and included 118
signatures.
Ndyat's wife also pleaded for mercy, describing him as a loving father of two young children
who needs to return to the family as quickly as possible. Chartier has adjourned his
sentencing decision until Feb. 14.
www.mikeoncrime.com
20 JANVIER 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-nouvelliste/justice-et-faits-divers/201201/20/014487640-le-violeur-de-grand-mere-un-delinquant-a-controler.php
Le violeur de Grand-Mère: un
délinquant à contrôler?
David Bizier
PHOTO: ARCHIVES, SYLVAIN MAYER
Nancy Massicotte
Le Nouvelliste
(Shawinigan) David Bizier, cet individu qui a agressé sexuellement plusieurs femmes
dans le secteur Grand-Mère, devra encore patienter avant de connaître la sentence qui
lui sera imposée.
C'est que la couronne, représentée par Me Louis-Charles Bal, veut déposer une requête
visant à le faire déclarer délinquant à contrôler. L'évaluation sexologique de Bizier, qui a
été réalisée au Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke, révélerait en effet que le
risque de récidive est important quant à un éventuel comportement sexuel agressif. Si
Bizier devait être déclaré délinquant sexuel à contrôler, il sera sous surveillance pendant
une période maximale de 10 ans suivant son incarcération.
Dans son cas, il risque en plus de se voir imposer une sentence importante de pénitencier.
La cause a donc été reportée au 24 février. D'ici à cette date, la défense devra décider si
elle demande ou non une contre-expertise.
Lors de son dernier passage à la cour, David Bizier, 22 ans, avait plaidé coupable à
plusieurs chefs d'agressions sexuelles armées et de vols qualifiés commis dans le secteur
Grand-Mère entre octobre 2010 et avril 2011.
L'individu, qui est originaire de Montréal mais qui demeurait dans la région depuis quelques
années, a agressé sexuellement avec un couteau quatre femmes et tenté d'en agresser
une cinquième. Les cinq victimes sont âgées entre 17 et 53 ans. Il s'agit toutes
d'inconnues, choisies au hasard par l'agresseur.
De même, le prédateur sexuel a admis avoir perpétré des vols qualifiés à l'encontre de trois
de ses cinq victimes, d'avoir commis un bris de probation et d'avoir produit du cannabis. Il
avait été arrêté en mai 2011 à la suite d'une enquête menée par l'équipe d'enquête sur les
crimes en série de la Sûreté du Québec en collaboration avec la division des enquêtes
régionales et les enquêteurs du poste de Shawinigan.
21 JANVIER 2012
Article tiré de : http://thechronicleherald.ca/opinion/54396-justice-denied-macintoshcase-disturbing
Justice denied: MacIntosh case
disturbing
January 21, 2012 - 5:35am BY JONATHAN ROSENTHAL
Ernest Fenwick MacIntosh, 67, arrives for his bail hearing at the Law Courts in August 2010.
(ERIC WYNNE / Staff)
In 2010, Ernest Fenwick Mac-Intosh, a self-admitted and previously convicted sex offender,
was convicted in a Nova Scotia court of multiple child sexual abuse offences that took place
in the 1970s. The charges had been split into two groups of victims and separate trials
ensued.
To the dismay of the alleged victims, on Dec. 8, 2011, the Nova Scotia Court of Appeal
judicially stayed all charges against MacIntosh on the basis that his right to a trial within a
reasonable period of time had been infringed.
Had the state actors done their jobs, there would have been no issue about MacIntosh‘s right
to be tried within a reasonable period of time. He would have been tried, convicted and
sentenced on the merits.
In January and February 1995, the first two victims in this case made complaints to the
police, and in December of 1995, charges were laid against MacIntosh. A warrant was
issued for his arrest in February of 1996. The police were well aware that MacIntosh had
long left Nova Scotia and was residing in India.
Between August 1996 and September 1997, the authorities took no action. It was not until
September 1997 that the Crown attorney‘s office began the process of seeking MacIntosh‘s
extradition. Further, in 1997, MacIntosh‘s passport was denied renewal because of the
outstanding charges. In April 1998, Mac-Intosh engaged counsel, who on his behalf
successfully addressed this issue and started a vigorous campaign of requesting disclosure
in order to prepare a defence against the charges.
Despite MacIntosh knowing there was a warrant for his arrest, he chose to stay in India, thus
avoiding the charges facing him Canada.
Shockingly, it would take another nine years for the formal request for extradition to be
forwarded to the government of India. MacIntosh was arrested in India in April of 2007 and
returned to Canada within two months. He remained in custody until April of 2008 and by
January 2011, both his trials were completed. He had applied unsuccessfully to have his
charges permanently stayed for a denial of his right to be tried within a reasonable period.
MacIntosh appealed to the Nova Scotia Court of Appeal, which heard his case on June 8,
2011. On Dec. 8, its decision was released, judicially staying the prosecution of MacIntosh
on the basis that his right to a trial within a reasonable period of time had been breached.
Both the trial judge and the Appeal Court considered MacIntosh‘s application on the basis of
a violation of his rights by analyzing the delay in two broad categories: the laying of the
charges until extradition (1995-2007) and extradition to trial (2007-2010). There is no doubt
the overall delay from the time the charge was laid was substantial and warranted an inquiry
into the reasons for the delay and the apportionment of responsibility.
The trial judge had found that MacIntosh was aware of the charges he faced in Canada, yet
chose to remain in India. He thereby evaded the Canadian judicial process and could not
seek to have this time counted as against the Crown. The Appeal Court disagreed, holding
that the Crown has a duty to bring an accused person to court and that an accused person
has no duty to bring him or herself to court.
There can be no plausible explanation for these significant delays. When MacIntosh told
authorities he would not return, they ought to have immediately initiated the extradition
process and forced him back to Canada. However, it is a trite proposition of law that an
accused has no duty to bring himself to court.
MacIntosh was finally returned to Canada in June of 2007. By this time, the investigation into
all the charges had been complete for years. However, again for undisclosed reasons, videoand audio-taped statements by the complainants as well as the affidavit of one of the
complain-ants were not made available to the defence until May of 2008. These important
materials had been in the Crown‘s possession since at least August 2002. It is clear the
Crown‘s failure to disclose them froze this case in its tracks and the Crown bears ultimate
responsibility for this delay.
However, the Crown‘s inexcusable conduct does not necessarily rationalize a stay. Rather,
the court must still engage in the balancing process by weighing the prejudice suffered by an
accused against the societal interest in bringing an accused to stand trial on its merits.
The seriousness of the charges is an important aspect of this balancing process. The fact
that MacIntosh is a convicted sex offender ought to have been considered.
One hopes the attorney general of Nova Scotia will seek leave to appeal this case to the
Supreme Court of Canada.
The right to a trial within a reasonable period of time is not a new concept. Every prosecutor
in this country knows the clock starts ticking once a charge is laid. The delays by the
prosecutors in this case were inexcusable and entirely avoidable.
Had the prosecutors done their job, MacIntosh would be rightly in jail. More important, the
courageous victims who had the strength to come forward after years of suffering in silence
may have been comforted by bearing witness to some semblance of justice. Sadly, justice
has been denied.
Jonathan Rosenthal is a criminal defence counsel and a professor adjunct at Osgoode Hall
Law School. He acts as legal spokesperson for Beyond Borders ECPAT Canada.
22 JANVIER 2012
Article tiré de : http://www2.canada.com/theprovince/news/story.html?id=554f25ff-cf33-449e-bcd94f86dbf25f88
Three years for child-porn pictures
and sexual assault
Keith Fraser, The Province
Published: Sunday, January 22, 2012
A Vancouver man who had nearly 27,000 images of child pornography on his computer and
who sexually assaulted a 14-year-old boy has been sentenced to three years, three months
in jail.
In December, Warren Robert Allen, 53, pleaded guilty to one count of possession of child
porn for the purpose of distribution and one count of sexual assault.
Allen was arrested in May 2010 during a police crackdown on child pornography that
resulted in more than 200 charges being laid and 57 arrests in Canada and overseas. Police
found 840,000 images on a computer in Allen's Vancouver apartment. A review of just
200,000 of those images revealed 27,000 images of child porn.
© The Province 2012
23 JANVIER 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/justice-et-faitsdivers/201201/22/01-4488339-lex-entraineur-des-pee-wees-de-kharkov-accusedattouchements-sexuels.php
L'ex-entraîneur des pee-wees de
Kharkov accusé d'attouchements
sexuels
Ivan Pravilov est venu à Québec en 1992 pour le tournoi pee-wee. La marraine québécoise de la formation avait déposé une
plainte contre l'entraîneur pour escroquerie et contacts sexuels sur les jeunes, mais il n'avait jamais été accusé.
PHOTOTHÈQUE LE SOLEIL, JEAN-MARIE VILLENEUVE
Ian Bussières
Le Soleil
(Québec) Ivan Pravilov, l'ancien entraîneur de l'équipe de hockey pee-wee
ukrainienne de Kharkov, grande championne du tournoi de Québec en 1992, se
retrouve aujourd'hui dans de beaux draps, alors qu'il est accusé à Philadelphie
d'attouchements sexuels sur un joueur de 14 ans inscrit à son école de hockey.
Pravilov s'était fait remarquer en 1992 quand il s'était amené à Québec avec une
équipe talentueuse, mais évoluant avec très peu de moyens, alors que les jeunes
joueurs portaient des gants troués, des patins usés, des chandails et des bas percés.
Plus tard, il avait fait l'objet d'une enquête de la Gendarmerie royale du Canada à la
suite d'une plainte déposée par quatre familles d'accueil où logeaient ses joueurs. La
marraine québécoise de la formation de Kharkov avait alors affirmé qu'il avait tenté de
vendre de l'équipement pour payer une mystérieuse dette et qu'il aurait eu des
contacts inconvenants avec ses joueurs, notamment des caresses, des baisers dans le
cou et des attouchements aux cuisses.
Pravilov avait alors nié toutes les allégations d'escroquerie et de contacts sexuels sur
ses jeunes protégés, et n'avait en fin de compte jamais été accusé. Deux animateurs
de la station radiophonique CJRP, Simon Bédard et Jean-François Bertrand, lui avaient
même présenté publiquement des excuses et une compensation financière après avoir
divulgué en ondes le témoignage de la marraine de l'équipe.
Accusations criminelles
Près de 20 ans plus tard, les accusations auxquelles fait face Pravilov sont maintenant
bien réelles. Selon Associated Press, l'entraîneur de 48 ans aurait amené chez lui deux
jeunes joueurs qui devaient participer à l'école de hockey qu'il offre ce mois-ci dans
l'est des États-Unis. Les deux adolescents résidaient dans une famille d'accueil du
Delaware.
L'un des parents aurait rapporté à la police que l'entraîneur se serait livré à des
attouchements de nature sexuelle sur l'un des deux adolescents alors qu'il dormait
près de son coéquipier. L'autre jeune hockeyeur aurait pour sa part été menacé et giflé
par Pravilov pour avoir rapporté à sa famille d'accueil l'incident, survenu le 3 janvier,
qui a ensuite été rapporté à la police par l'un des hôtes.
L'histoire survenait moins d'un mois après qu'un des ex-protégés de Pravilov
maintenant âgé de 33 ans, Maxim Starchenko, eut lancé le livre Behind the Iron
Curtain: Tears in the Perfect Hockey Gulag, où il accuse son ancien entraîneur d'avoir
abusé régulièrement de ses jeunes joueurs tant physiquement que mentalement et
sexuellement.
Celui que plusieurs joueurs de la LNH et des circuits collégiaux américains, comme
l'ancien centre du Canadien de Montréal Dainius Zubrus, considèrent comme un
mentor demeurera détenu jusqu'à vendredi. Il subira alors son enquête sur remise en
liberté et fait face à une peine de six à huit ans de prison s'il est reconnu coupable.
24 JANVIER 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-nouvelliste/justice-et-faits-divers/201201/24/014488746-quatre-mois-de-prison-pour-une-agression-sexuelle.php
Quatre mois de prison pour une
agression sexuelle
Jean-Marc Champagne a pris le chemin de la prison, hier après-midi, après avoir été déclaré coupable d'agression sexuelle.
PHOTO: FRANÇOIS GERVAIS
Paule Vermot-Desroches
Le Nouvelliste
(Trois-Rivières) Jean-Marc Champagne, un individu de 69 ans de Trois-Rivières, devra
passer les quatre prochains mois derrière les barreaux, alors qu'il a été déclaré
coupable d'une agression sexuelle sur une femme d'âge adulte, agression qui serait
survenue le 3 mai 2009.
Selon la preuve, l'accusé aurait forcé la dame à lui faire une fellation, alors qu'elle n'avait
pas donné son consentement. C'est du moins ce qu'a retenu la juge Guylaine Tremblay de
la Cour du Québec, au terme des procédures judiciaires qui se sont conclues hier aprèsmidi, au palais de justice de Trois-Rivières.
La victime, qu'on ne peut identifier, est restée traumatisée des événements, a fait savoir la
juge, lors du prononcé de la sentence. Par ailleurs, d'autres facteurs aggravants sont venus
appuyer sa décision, notamment le fait que l'homme possédait un antécédent d'agression
sexuelle sur une personne d'âge mineur, des événements qui se sont produits il y a de
nombreuses années mais pour lesquels Champagne avait été reconnu coupable dans les
années 2000. Il avait écopé d'une peine de 2 ans moins un jour dans la collectivité.
La juge a reconnu que l'événement du 3 mai 2009 était survenu dans un contexte où
l'accusé subissait un ajustement de sa médication et qu'il s'agissait aussi d'un événement
unique, mais a tout de même rappelé que ce dernier avait minimisé la portée de son geste,
alors qu'il était inconcevable pour lui que la victime ne consente pas à l'acte sexuel
reproché.
L'homme a donc été condamné à purger 4 mois de prison. Il sera par ailleurs inscrit au
registre des délinquants sexuels pour une période de 20 ans. Après sa libération, JeanMarc Champagne devra se soumettre à une période de probation de 2 ans, avec suivi
pendant 18 mois.
Il lui est par ailleurs interdit de communiquer avec la victime, de posséder des armes à feu
pendant 10 ans, des armes prohibées à perpétuité et il devra se sou-mettre à toute
thérapie recommandée par son agent de probation.
25 JANVIER 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201201/25/01-4489189-accuse-davoir-eu-des-contacts-sexuels-avec-sa-belle-fillemineure-et-deficiente.php
Accusé d'avoir eu des contacts
sexuels avec sa belle-fille mineure
et déficiente
Daphné Cameron
La Presse
Le procès d'un homme accusé d'avoir agressé sexuellement la fille de sa conjointe,
une adolescente de 15 ans atteinte de déficience intellectuelle, s'est conclu hier au
palais de justice de Montréal avec les plaidoiries des avocats.
Le juge devra maintenant décider s'il croit l'accusé, qui a été incapable d'expliquer
comment il se fait qu'on a détecté son sperme et l'ADN de la victime dans deux petites
culottes trouvées dans la chambre de celle-ci.
Selon l'avocate de la défense, Me Sylvie Bordelais, rien dans la preuve soumise par le
ministère public ne démontre «hors de tout doute raisonnable» la culpabilité de son client.
Elle a expliqué que les deux culottes étaient de grande taille alors que l'adolescente est
menue. Par ailleurs, les examens médicaux menés quatre jours plus tard ont révélé qu'elle
n'avait pas de lésions à l'anus ni au vagin et que son hymen était intact. Elle a aussi
souligné que la victime avait reçu son premier cours d'éducation sexuelle quelques jours
avant les faits reprochés.
La procureure de la Couronne, Rachelle Pitre, a pour sa part exhorté le juge de se fier au
témoignage rendu par l'adolescente quelques jours après les faits. «C'était frais dans sa
mémoire d'enfant. Elle a livré un témoignage empreint d'innocence, de naïveté et de
candeur sans questions suggestives de l'enquêteur» en décrivant très crûment les sévices
que lui aurait fait subir l'agresseur. L'accusé a des antécédents judiciaires en matière
sexuelle et a déjà purgé une peine de prison. Le jugement sera rendu le 22 février.
26 JANVIER 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201201/26/01-4489535-un-recidiviste-savoue-coupable-dagression-sexuelle.php
Un récidiviste s'avoue coupable
d'agression sexuelle
Daphné Cameron
La Presse
Un agresseur sexuel récidiviste a plaidé coupable hier à une accusation d'agression
sexuelle causant des lésions sur la personne d'une femme atteinte de sclérose en
plaques.
Étant donné ses antécédents judiciaires et la nature du crime, la Couronne a demandé une
évaluation pour déterminer s'il doit être déclaré «délinquant dangereux» ou «délinquant à
contrôler».
En mars dernier, Pierre Lavoie, 55 ans, a visité le logement de la victime en prétextant
qu'un ami cherchait un appartement. Selon les faits allégués par le ministère public, Lavoie
a bondi sur la victime et l'a étendue au sol. Il a tenté d'étouffer ses cris en pressant sa main
sur et dans sa bouche, si fortement que la victime s'est mise à saigner abondamment.
Lavoie l'a pénétrée avec les doigts et a exigé une fellation. La victime criait tellement qu'il a
tenté de l'étrangler. Lavoie s'est rendu à la police peu après.
À la demande de la Couronne, représentée par Me Rachelle Pitre, des spécialistes
détermineront si Lavoie doit être inscrit sur la liste des «délinquants dangereux» ou des
«délinquants à contrôler», ce qui entraîne une surveillance accrue par les autorités une fois
que le coupable est mis en liberté. Pierre Lavoie a déjà purgé plusieurs peines de prison
pour des crimes de nature sexuelle. Il a été condamné à 12 mois de prison pour viol en
1981, à 2 ans en 1985 pour agression sexuelle armée, à 6 ans en 1991 pour introduction
par effraction et agression sexuelle armée. Sa dernière cause remonte à 1995, lorsqu'il a
écopé de huit ans de prison pour agression sexuelle et contacts sexuels.
27 JANVIER 2012
Article tiré de : http://www.richmondnews.com/news/Defusing+abuse+victims+dark+secrets/6060494/story.html
Defusing abuse victims' dark
secrets
Help is out there for those who want to talk
BY ALAN CAMPBELL, RICHMOND NEWS JANUARY 27, 2012
They live, work and play among us; hiding in plain sight; a walking, breathing time bomb.
Lurking deep in a vault in their head is an explosive dark secret.
Induced by trauma, it's now securely locked away from harm and the unforgiving light of
reality.
To most of us, the hosts are regular people - our neighbours, friends, colleagues, going
about their business, taking kids to school, working, shopping for groceries.
What the eye doesn't see is a human being, creaking under the weight of shouldering a
hidden package of sexual abuse suffered as a child.
It's a parcel in their mind ready to ignite at any moment, given the correct detonator and the
perfect storm of ingredients.
"It can be the birth of a child, having your own child abused, getting married, a relationship
breaking down," said Leigh Malone, a Richmond-based therapist with Family Services of
Greater Vancouver.
"Or it could be a series of adverse events in their life, and they are having difficulty holding
down a job.
"And sometimes they could be trying to get clean from an addiction and the past all comes
pouring out.
"It's usually something that's happened to them in their adult life that (triggers them coming
forward)."
Knowing the circumstances that led to an abuse victim - whether it be a child or adult entering Malone's life as a therapist is a vital part of how she can begin to help the person
heal.
"We always enquire into how (the abuse) came to light, we always ask what prompted them
to come forward," said Malone, who has 15 years experience in the field and now works
under the umbrella of the TASA (Trauma And Sexual Abuse) program.
"How the person has been handled or not handled up to that point is a very important part.
"We need to make sure that the basics have been done before we begin the therapy."
If a new client is a child, then the police-based victim services will usually have been the first
port of call for the victim.
Quite often, however, Malone is very much on the front line if the victim, who's now an adult,
wants to talk about a traumatic event that took place decades ago.
"It's not uncommon that this kind of referral comes our way. It's not until something triggers it
in later life that it all comes to the surface," Malone said.
"We would work with the client to explore how she's been affected and work to undo that. A
typical way to look at therapy is that a person has been traumatized and we're treating that
trauma."
Treating that trauma usually falls into a three-stage model explained Malone.
"People find that they just come in and talk about the trauma. But we find that's not always
the thing to do," she said.
"We first help them re-establish a sense of safety in their lives. We do this for a while before
they even start to talk about the abuse.
"Second, we can then deal with the trauma because, having improved the sense of safety,
they're now in a stronger position emotionally to talk about it."
The final chapter looks at integrating the client back into their lives in a different way than
before.
"It's a life that has probably changed so much and has been disrupted so much by the
trauma," added Malone, who has sometimes dealt with children as young as three.
"We do see three and four-year-olds, but that work is more with the parent in helping them to
support the child."
As far as what form the therapy takes, it totally depends on the client and what trauma they
have experienced, explained Malone.
"We know that one size does not fit all," she said.
"There is cognitive behavioural therapy: What we feel is determined by what we think. This
will drive our behaviour.
"And sensory motor psychotherapy looks at how your traumatic experiences are held within
your body and memory."
There are many methods employed by therapists to help smooth the painful path tread by
sexual abuse victims.
Whatever they are, it's night and day compared to 40 years ago when a seven-year-old
Margaret - the adult featured in Wednesday's News, who suffered sexual abuse at the hands
of an alcoholic babysitter - first told her parents of her pain.
"All that time ago, there would have been very little (support)," Malone said.
"At least she was believed, it seems, by her parents. That's not always the case.
"Many years ago, however, we went from offering a little help to quite a bit. More recently,
there has been even more growth in the support."
People who want to talk to someone about abuse, suffered as a child or in later life, can refer
themselves for the initial interview, said Malone.
"Initially, we'll decide if this is a good fit for them," she said.
"They then go on a short wait list, although sometimes it can take a matter of months. After
that, I can see them for once a week for up to a year.
"We work on whatever is pressing for them. We kind of take their lead."
Also on the front line of helping to heal the deep wounds inflicted by abuse are communitybased specialists who deal with domestic violence (sexual, physical, elder), often before it's
even reported to the police.
They, said Malone, understand the impact of abuse and help people navigate the justice
system, should they want to bring matters to court.
"They can help people make decisions and actually accompany them to the police and be
with them right through to court if it goes that far," Malone said.
- If you, or someone you know, have been the victim of abuse, the Richmond Family
Violence Prevention Network is a group of organizations able to help. Call Victim Services at
604-270-6229. In an emergency, call 911.
- If you want to contact Family Services of Greater Vancouver's Richmond office, it's at 2507000 Minoru Blvd. Or call 6042797100.
acampbell@richmond-news.com
28 JANVIER 2012
Article tiré de :
http://www.vancouversun.com/RCMP+investigate+attempted+sexual+assault+Surrey/6
067862/story.html
RCMP investigate attempted
sexual assault in Surrey
BY EVAN DUGGAN, VANCOUVER SUN JANUARY 28, 2012
Police in Surrey are looking for a man in his mid-twenties after he tried to sexually assault a
woman in a parking lot at Central City mall.
The attack happened last night at around 5:30 p.m. A 42-year-old woman was leaving her
place of work when she was grabbed on her way to her car in the upper lot at the south end
of the mall, Surrey RCMP said in a release.
When she got to her car, a man approached from behind, wrapped his arms around her
chest and covered her mouth with his hand.
He pushed her face first into the open car and tried to pull off her clothes, but she broke free
and screamed for help, causing the man to run away, police said.
The suspect is described as in his mid-to-late twenties, white, 5-feet-8, average build, and
unshaven. He was wearing blue jeans, running shoes and a green hoodie with a logo on the
back that read ―Canada.‖
He had no visible marks, scars or tattoos.
Police said the woman did not need medical attention.
Police are asking for the public‘s help to identify the man. Anyone with information about the
attack is asked to call Surrey RCMP at 604-599-0502 or CrimeStoppers at 1-800-222-TIPS
eduggan@vancouversun.com
29 JANVIER 2012
Article tiré de :
http://www.vancouversun.com/news/Three+Kelowna+arrested+club+drug+trafficking/6
069698/story.html
Three Kelowna men arrested
for „club-drug‟ trafficking
BY LARRY PYNN, VANCOUVER SUN JANUARY 29, 2012
Kelowna RCMP said Friday they have arrested three males in connection with trafficking of so-called
―club drugs‖ that tend to be used by teens and young adults at bars, nightclubs, concerts, and parties.
After executing a search warrant on a residence in Kelowna, police seized about 20 litres of GHB
(gamma hydroxybutyrate, also known as the date-rape drug), ecstasy (MDMA), as well as ―magic
mushrooms‖ (psilocybin), police said.
GHB, a depressant of the central nervous system, can be odourless, colourless, and tasteless and is
frequently combined with alcohol and other beverages.
Police will be recommending charges of possession of a controlled substance for the purpose of
trafficking against all three men.
lpynn@vancouversun.com
© Copyright (c) The Vancouver Sun
30 JANVIER 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-nouvelliste/justice-et-faits-divers/201201/30/014490829-agression-sexuelle-yves-couture-plaide-coupable.php
Agression sexuelle: Yves Couture
plaide coupable
PHOTOS.COM
Marie-Eve Lafontaine
Le Nouvelliste
Yves Couture, 44 ans, de Saint-François-du-Lac, a plaidé coupable, vendredi, au
palais de justice de Sorel, d'avoir agressé sexuellement une personne d'âge mineur.
Les faits reprochés se sont déroulés entre 2003 et 2005. La victime était alors âgée de 10 à
12 ans. Une autre jeune fille avait également porté plainte contre Couture pour contacts
sexuels et incitation à des contacts sexuels. Mais il a été acquitté relativement à ces
accusations. Le dossier a été remis au 28 mars.
31 JANVIER 2012
Article tiré de : http://www.journaldemontreal.com/2012/01/31/lentraineur-denismorasse-declare-coupable-dagression-sexuelle
Agression sexuelle : L’entraîneur
Denis Morasse déclaré coupable
d’agression sexuelle
Publié le: mardi 31 janvier 2012, 13H22 | Mise à jour: mardi 31 janvier 2012, 13H31
© AGENCE QMI / SIMON CHALOUS
Denis Morasse, qui était aussi entraîneur de l‘équipe de soccer de l‘établissement privé, n‘a jamais nié les
gestes dont il était accusé.
LONGUEUIL – L’ancien professeur d’éducation physique du Collège Français, Denis
Morasse, a été reconnu coupable mardi, au palais de justice de Longueuil, de sept
chefs d’accusations de nature sexuelle, dont contact sexuel et incitation à des
contacts sexuels sur des mineurs.
Denis Morasse, qui était aussi entraîneur de l‘équipe de soccer de l‘établissement privé, n‘a
jamais nié les gestes dont il était accusé, comme mettre de la glace dans les maillots de ses
élèves ou se baigner nu en leur présence dans le spa de sa résidence. À ses yeux, ces
gestes, qu‘il considérait comme des jeux, étaient sans conséquence.
Le juge de la cour du Québec Pierre Bélisle a considéré que ces gestes portaient atteinte à
l‘intégrité sexuelle de six anciens élèves du professeur d‘éducation physique. «La nature des
attouchements est suffisante pour conclure à une connotation sexuelle ou une violation de
l‘intégrité sexuelle des plaignants», peut-on lire dans le jugement qui fait 19 pages.
Le juge Bélisle a souligné lors du verdict que les gestes posés par Morasse, même s‘ils
semblaient anodins à ses yeux, étaient immatures et inappropriés pour un homme de son
âge. Il avait 51 ans au moment des faits.
Le juge Bélisle a fortement suggéré à Morasse de se soumettre à une évaluation
sexologique et a prévenu qu‘il pourrait tenir compte de manière négative dans son jugement
d‘un refus de sa part de se soumettre à l‘évaluation. «Je veux savoir s‘il y a un problème», at-il mentionné.
Denis Morasse n‘a pas réagi au moment de recevoir le verdict du juge Bélisle. Son avocat,
Me Marco Labrie, a quant à lui manifesté au juge son insatisfaction. Morasse devrait recevoir
sa sentence le 7 mai prochain.
1er FÉVRIER 2012
Article tiré de : http://www.journaldemontreal.com/2012/02/01/arrete-a-63-ans-pouragression-sexuelle
Arrêté à 63 ans pour agression
sexuelle
MARIE-HÉLÈNE PAQUIN / AGENCE QMI
Publié le: mercredi 01 février 2012, 10H03 | Mise à jour: mercredi 01 février 2012, 13H13
AMOS – La Sûreté du Québec a arrêté un homme de 63 ans mardi à Amos, en
Abitibi-Témiscamingue, en lien avec des agressions sexuelles.
Le module d'enquête régional (MER) de la Sûreté du Québec a mis la main au collet de
Conrad
Brunet.
Son arrestation a secoué la communauté d'Amos, M. Brunet étant un homme d'affaires
très connu dans la région. Il a également été président de la dernière campagne
d'Opération Nez rouge.
Selon Éric Létourneau, porte-parole de la SQ, le MER a lancé un mandat d'arrestation
contre le sexagénaire pour des événements qui se seraient déroulés dans les années
1980. La victime a dénoncé son agresseur, qui fait maintenant face à des chefs
d'accusation en matière d'agression sexuelle.
Conrad Brunet a été arrêté, puis interrogé. Mercredi matin, il n'avait toujours pas
comparu au palais de justice d'Amos. «Ça pourrait se faire dans les prochains jours», a
affirmé le sergent Létourneau.
2 FÉVRIER 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201202/02/01-4491922-pornographie-infantile-vaste-coup-de-filet-en-ontario.php
Pornographie infantile: vaste coup
de filet en Ontario
La police provinciale de l'Ontario a annoncé, jeudi, que 76 perquisitions ont mené à l'inculpation d'une soixantaine de personnes,
dont trois mineurs. La plupart d'entre elles ont été arrêtées.
PHOTO: PAWEL DWULIT, PC
Agence France-Presse
Ottawa
La police de la province de l'Ontario a annoncé jeudi avoir mené depuis le début
de la semaine une vaste opération contre la pornographie infantile ayant
débouché sur des dizaines d'arrestations.
Le coordinateur de la lutte contre la pornographie infantile et l'exploitation sexuelle des
enfants à la police de l'Ontario, le détective Frank Goldschmidt, a indiqué que 76
perquisitions avaient mené à l'inculpation d'une soixantaine de personnes, dont trois
mineurs. La plupart d'entre elles ont été arrêtées.
Quelque 213 chefs d'inculpation ont été retenus contre ces suspects pour différents
délits allant de l'agression sexuelle à la production et la distribution de pornographie
infantile, a-t-il précisé lors d'une conférence de presse télévisée.
Une liste de leurs noms et des localités où elles résident a été publiée sur le site
internet de la police provinciale.
Vingt-deux victimes ont été identifiées lors de ces perquisitions qui ont conduit aussi à
la saisie de drogue et d'armes, a précisé M. Goldschmidt.
Il ne semble pas s'agir d'un réseau organisé, mais de nombreuses personnes agissant
indépendamment.
D'autres arrestations étaient attendues et d'autres enfants victimes pourraient être
identifiés à la suite de cette opération, y compris à l'étranger, a encore indiqué la
police.
Celle-ci cite ses statistiques qui donnent une idée de l'ampleur du phénomène: d'août
2006 au 1er février 2012, l'unité ontarienne de lutte contre la pornographie infantile a
mené 16 131 enquêtes ayant débouché sur l'inculpation de 1867 personnes.
3 FÉVRIER 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-droit/actualites/justice-et-faits-divers/palais-dejustice/201202/03/01-4492337-enquete-preliminaire-a-huis-clos.php
Enquête préliminaire à huis clos
Un huis clos a été demandé au début de l'enquête préliminaire pour enlèvement
et agression sexuelle qui impliquerait deux frères au 61, rue des Capucines,
dans le Manoir des Trembles, cet automne.
ÉTIENNE RANGER, ARCHIVES LEDROIT
Louis-Denis Ebacher
Le Droit
Un huis clos a été demandé au début de l'enquête préliminaire pour enlèvement et
agression sexuelle qui impliquerait deux frères au 61, rue des Capucines, dans le
Manoir des Trembles, cet automne.
Deux des présumés agresseurs sont les frères Abel Santana Solano, 32 ans, et
Alejandro-Wilky Santana-Espinosa, 27 ans. Tous les deux sont bien connus dans le
milieu policier. Le plus jeune a déjà fait de la prison pour avoir provoqué un accident
mortel.
Le juge Serge Laurin a accepté la demande et la Couronne et de la défense de ne
permettre ni la publication de l'identité de la victime alléguée du 1er novembre, ni le
contenu de l'enquête préliminaire La défense a fait la demande afin d'éviter que des
informations nécessaires ne circulent avant la tenue d'un éventuel procès.
La cause a fait parler d'elle, cet automne. Le 1er novembre dernier, l'escouade
tactique de la police de Gatineau entourait le 61, rue des Capucines dans le but de
capturer de potentiels agresseurs qui s'en étaient pris à leur victime, au lendemain
d'une soirée dans un bar d'Ottawa.
4 février 2012
Article tiré de :
http://www.vancouversun.com/news/Abbotsford+police+search+sexual+assault+suspects/6103
478/story.html
Abbotsford police search for
sexual assault suspects
BY MIKE HAGER, VANCOUVER SUN FEBRUARY 4, 2012
Thursday evening a 19-year-old Abbotsford woman was sexually assaulted by two men in a
white pickup truck while walking for a bus near the downtown intersection of Pauline and
Laurel Streets.
At 7 p.m. the men circled her twice in the truck, then grabbed her and shoved her into the
back seat. They drove a short distance away then parked and both sexually assaulted her,
after which they pushed her out of the car into a parking lot in the 34000 block of Gladys
Avenue and drove away.
Severely traumatized, the victim made her way home, but didn't tell anyone about the
assaults until the next day.
The victim heard both men communicating in Punjabi according to police.
Abbotsford police are asking anyone with any information about the assaults or the suspects
to call them at 604-859-5225 or anonymously through Crime Stoppers at 1-800-222-8477.
Police are now looking for two suspects matching the following descriptions:
Driver – South Asian man in his late 20s. He has a thin build, is 5‘10‖ (1.7 m), is clean
shaven with short black hair and was wearing a dark jacket and blue T-shirt.
Passenger – South Asian man in his late 20s to early 30s. He has a heavy build, is about six
feet tall (1.82 m), has short, dark hair with a full beard was wearing a yellow shirt, grey
hoodie and tear-away track pants.
Mhager@postmedia.com
5 FÉVRIER 2012
Article tiré de : http://metronews.ca/news/ottawa/37569/new-bill-might-sentence-potgrowers-harsher-than-pedophiles/
New bill might sentence pot
growers harsher than
pedophiles
By THE CANADIAN PRESS
Media reports that some pot growers will face harsher mandatory-minimum sentences
than child rapists under the Conservative government‘s new crime bill were enough to
catch the attention of Prime Minister Stephen Harper.
A document obtained by The Canadian Press shows Harper was briefed last Oct. 11 on
mandatory jail terms for drug trafficking and sex crimes against minors.
The briefing note states it was prepared ―in light of recent criticism in the media.‖
The government‘s omnibus crime bill has drawn criticism for its heavy-handed treatment
of people charged for growing as few as six pot plants.
Media reports last fall exposed that some mandatory pot sentences in the proposed
legislation are longer than the minimums for sexual assault on a child.
The briefing note to the prime minister, which was largely blacked out, ends by stating
that ―additional analysis‖ would be needed if the mandatory minimums were to be
amended in the government bill – which has now gone to the Senate unchanged.
6 FÉVRIER 2012
Article tiré de : http://www.journaldemontreal.com/2012/02/06/accuse-dagressionsexuelle
Accusé d’agression sexuelle
AGENCE QMI
Publié le: lundi 06 février 2012, 12H45 | Mise à jour: lundi 06 février 2012, 13H01
TOM BRAID/EDMONTON SUN QMI AGENCY
VICTORIA – La Police militaire des Forces canadiennes a accusé d’agression
sexuelle un membre du Cadre des instructeurs de cadets.
Le Service national des enquêtes des Forces canadiennes (SNEFC), l'organisme
d'enquête de la Police militaire des Forces canadiennes, a accusé le capitaine Daniel
Moriarity de diverses infractions sexuelles pour avoir eu une relation inappropriée avec
un cadet mineur et en avoir agressé sexuellement un autre.
L‘homme fait face à plusieurs chefs d‘accusation en vertu de la Loi sur la défense
nationale et du Code criminel, pour exploitation sexuelle, agression sexuelle, contacts
sexuels et comportement déshonorant.
« Les personnes qui occupent un poste de leadership au sein des Forces canadiennes
doivent se comporter de façon professionnelle en tout temps, et ce genre de
comportement est pris très au sérieux par la Police militaire », a indiqué le lieutenantcolonel Robert Delaney, commandant du SNEFC.
Les évènements se seraient déroulés entre 2008 et 2011 en Colombie-Britannique, au
Manège militaire Lieutenant-général E. C. Ashton, à Victoria, et au Centre d'instruction
des cadets Vernon.
Suite à son arrestation, le capitaine Moriarity s‘est vu imposer l'interdiction d'avoir tout
contact avec les cadets ou d'assister à une activité pour les cadets.
L'affaire doit maintenant être jugée par un tribunal militaire.
7 FÉVRIER 2012
Article tiré de : http://www.journaldemontreal.com/2012/02/07/soupconne-dagressionsexuelle
Courtier immobilier Soupçonné
d’agression sexuelle
MAXIME DELAND / AGENCE QMI
Publié le: mardi 07 février 2012, 13H00 | Mise à jour: mardi 07 février 2012, 17H50
PHOTOS KARL TREMBLAY
LAVAL – La police de Laval a lancé un appel au public afin de retrouver des
victimes potentielles d'un courtier immobilier de la Rive-Nord de Montréal, arrêté à
la fin janvier pour une agression sexuelle qu'il aurait commise dans le cadre de
son travail.
André Diotte, 39 ans, a été appréhendé par les policiers de Laval le 31 janvier.
Il est soupçonné d'avoir agressé sexuellement une de ses clientes, âgée de 30 ans.
Le crime aurait eu lieu le 1er décembre, à l'intérieur de la résidence de la victime.
8 février 2012
Article tiré de : http://tvanouvelles.ca/lcn/judiciaire/archives/2012/02/20120208075640.html
Agression d'une étudiante : Quatre
ans de prison pour Luckenson
Première publication 8 février 2012 à 07h56
Par Michaël Nguyen | Journal de Montréal
Pour avoir sexuellement agressé une étudiante à la pointe d'une lame rétractable, au beau
milieu de l'Université de Montréal et en plein jour, un homme de 28 ans passera les quatre
prochaines années derrière les barreaux.
Bernard Blanc Luckenson, un homme au lourd passé psychiatrique, comparaissait hier afin
de recevoir sa sentence pour son crime, commis en février 2009.
Après avoir suivi une parfaite inconnue à proximité de la bibliothèque de l'université,
Luckenson avait sauvagement agressé une étudiante, alors âgée de 21 ans, qui en gardera
de graves séquelles psychologiques.
L'accusé faisait face à des accusations d'agression sexuelle et d'agression armée, ainsi que
de vol qualifié et d'utilisation d'une fausse arme pour deux braquages dans des commerces.
Devant la juge de la Cour du Québec Silvie Kovacevich, il a plaidé coupable à tous les chefs
d'accusation.
Luckenson a été condamné à quatre ans et demi de prison. Il sera également inscrit pendant
20 ans au registre des délinquants sexuels et devra fournir un échantillon d'ADN.
Il ne pourra plus non plus posséder d'armes ou des munitions, à vie. En comptant la
détention préventive, il lui reste quatre ans à purger.
Une attaque en plein jour
L'ag resseur s'en était pris à l'étudiante sur le campus de l'Université de Montréal en pleine
jour née. Il était 11 heures du matin. La jeune femme se di-rig eait vers la bibliothèque quand
l'agresseur l'a abordée.
L'étudiante a ignoré Luckenson, mais ce dernier l'a alors attrapée et projetée au sol avant de
l'agresser sexuellement à la pointe de sa lame rétractable de type Exacto.
«Je vais te tuer si tu cries», a menacé l'accusé, qui a quitté les lieux immédiatement après
son crime sordide.
Depuis, la victime a gardé de graves séquelles psychologiques de l'événement. Dans une
lettre déposée au tribunal, elle affirme souffrir d'insomnie, en plus de faire des cauchemars
quand elle réussit à dormir.
9 FÉVRIER 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201202/09/01-4494414-comparution-de-cinq-hommes-accuses-de-traite-depersonnes.php
Comparution de cinq hommes
accusés de traite de personnes
La Presse Canadienne
Cinq individus ont comparu au palais de justice de Montréal jeudi pour répondre à des
accusations relatives à la traite de personnes ainsi que de prostitution juvénile.
Le Service de police de la ville de Montréal (SPVM) était toujours à la recherche d'un
sixième individu dans ce dossier, qui fait l'objet d'un mandat d'arrestation.
En février 2011, deux jeunes filles mineures avaient rencontré deux des suspects, qui les
ont obligées à s'adonner à des activités de prostitution, jusqu'à ce que les victimes
parviennent à s'enfuir de l'emprise des présumés proxénètes, une semaine plus tard.
Le SPVM a ainsi procédé mercredi à l'arrestation de Abdul Karim Nassereddine et de
Naib Ali Soilihi, âgés de 20 ans, de Mohammed Rami Taha, 19 ans, ainsi que d'un autre
suspect qui ne peut être identifié puisqu'il était d'âge mineur au moment des faits.
Un autre individu d'âge mineur en lien avec cette affaire avait été arrêté le 12 janvier
dernier.
Ces individus feront face à des accusations de proxénétisme juvénile, traite de personne
mineure, agression sexuelle, contact et incitation à des contacts sexuels, prostitution
juvénile, agression armée et menaces de mort.
Mehdi Mohamed Hamza Mezri, âgé 21 ans, manque toujours à l'appel.
10 FÉVRIER 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201202/10/01-4494782-la-cour-supreme-annule-lacquittement-dun-homme-accusedagression-sexuelle.php
La Cour suprême annule
l'acquittement d'un homme accusé
d'agression sexuelle
La juge en chef de la Cour suprême Beverley McLachlin.
PHOTO PC
Steve Rennie
La Presse Canadienne
Ottawa
La Cour suprême du Canada a annulé vendredi l'acquittement d'un homme accusé
en Ontario d'avoir agressé sexuellement une femme atteinte de déficience
intellectuelle, et a ordonné la tenue d'un nouveau procès.
Le pourvoi en Cour suprême reposait sur l'aptitude à témoigner de la victime
présumée, une femme maintenant âgée de 26 ans mais qui a l'âge mental d'un enfant
de trois à six ans.
Le juge qui a présidé le procès en première instance a soutenu que la victime n'avait
pas la compétence requise pour être appelée comme témoin à charge contre
l'accusé.
Cette décision a ensuite été confirmée par la Cour d'appel de l'Ontario.
Mais dans une décision partagée (6-3), la Cour suprême estime que des témoins qui
présentent des déficiences intellectuelles peuvent être appelés à la barre des témoins
s'ils comprennent les questions qui leur sont posées et qu'ils arrivent à y répondre, et
ce, après avoir juré ou promis de dire la vérité.
La juge en chef Beverley McLachlin a écrit dans le jugement majoritaire que
«l'agression sexuelle est un fléau», et que «trop souvent, ses victimes sont les
personnes les plus vulnérables de notre société - les enfants et les personnes ayant
une déficience intellectuelle».
«Or, les règles de preuve et la procédure en matière criminelle, qui sont fondées sur
la norme du témoin moyen, peuvent compliquer la tâche de ces victimes qui sont
appelées à témoigner dans des cours de justice. Le droit est confronté au défi de
permettre que la vérité soit révélée tout en protégeant le droit de l'accusé à un procès
équitable et en évitant toute possibilité de déclarations de culpabilité injustifiées», fait
valoir la juge McLachlin.
Les juges qui se sont opposés à cette décision estiment pour leur part qu'advenant
qu'une personne soit «à ce point déficiente qu'elle ne comprend pas le caractère
sérieux de la situation et l'importance de répondre de façon prudente et correcte (...),
le droit de l'accusé à un procès équitable subit une atteinte injustifiée».
La victime présumée aurait été agressée sexuellement de façon répétée par le
conjoint de sa mère à partir de l'âge de 19 ans, et ce, pendant quatre ans.
Elle a parlé à son éducatrice d'un «jeu» auquel elle jouait avec l'ancien conjoint de sa
mère - un «jeu» qui impliquait des attouchements. Elle avait par la suite répété les
mêmes affirmations aux policiers, signalant que l'homme avait touché ses seins, ses
organes génitaux et ses fesses sous son pyjama. Elle a également déclaré que le tout
était survenu à plusieurs reprises.
11 FÉVRIER 2012
Article tiré de :
http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/faitsdivers/archives/2012/02/20120211-084138.html
Calvaire pour deux jeunes filles :
Trois présumés proxénètes libérés
Première publication 11 février 2012 à 08h41
Crédit photo : Courtoisie SPVM
Par Michaël Nguyen | Journal de Montréal
Au terme de leur enquête sur cautionnement, trois individus accusés d'avoir forcé deux
filles mineures en fugue à se prostituer ont pu recouvrer leur liberté hier, en attendant la
suite des procédures judiciaires.
Mohammed Rami Taha, 19 ans, Naib Ali Soilihi et Abdul Karim Nassereddine, tous deux
âgés de 20 ans, font face à la justice pour de graves accusations de nature sexuelle
contre deux mineures.
Proxénétisme juvénile, traite de personne mineure, agression sexuelle, contact et
incitation à des contacts sexuels, prostitution juvénile, agression armée, menaces de
mort. Malgré toutes ces accusations, ils ont été libérés moyennant une caution de 2
000$ chacun, un couvre-feu de 21h à 5h et l'interdiction de communiquer avec leurs
présumées victimes.
Le calvaire commence
Le 18 février 2011, les deux filles mineures auraient fugué d'un centre de la Direction de
la protection de la jeunesse, à Laval, a témoigné un enquêteur de la police de Montréal.
Elles ont alors été «cueillies» par une personne mineure, dont nous ne pouvons révéler
l'identité, de même que celle des deux jeunes filles.
C'est deux jours plus tard que le calvaire des victimes aurait commencé. Le jeune
homme les aurait amenées à une résidence de la rue Viau, à Montréal. Sous la menace
et l'agressivité du jeune homme, les victimes auraient été forcées d'avoir des relations
sexuelles, moyennant rétribution, avec deux des accusés qui ont comparu hier.
Soilihi était présent, il savait que les jeunes filles étaient mineures, mais il n'aurait pas eu
de relation sexuelle avec ce jour-là, a expliqué l'enquêteur.
Toujours sous le contrôle du jeune homme, les victimes auraient alors été amenées
dans un motel de l'est de Montréal. Taha et Nassereddine ont loué une chambre où le
calvaire des deux adolescentes a continué, a poursuivi l'enquêteur. Nassereddine aurait
eu des relations sexuelles, mais aurait refusé de payer, sous prétexte qu'il avait payé
pour la chambre.
Le lendemain, les jeunes filles ont alors été transportées à Saint- Léonard, pour avoir
des relations sexuelles avec un autre mineur. Ce dernier, quand il a appris que les filles
étaient mineures et en fugue, aurait expulsé tout le monde de chez lui.
Les filles ont alors été ramenées à la résidence sur la rue Viau, où elles ont réussi à
s'enfuir de leurs bourreaux.
Peu d'antécédents
La mère de Nassereddine est venue témoigner en faveur de son fils, qui n'a pas
d'antécédents criminels. Elle a expliqué au juge que son fils travaillait dans le restaurant
familial depuis quatre ans, et qu'il était une bonne personne.
Taha n'a pas non plus de casier judiciaire, bien qu'il ait une cause pendante de
fabrication de monnaie contrefaite et de bris de conditions. Soilihi, pour ça part, avait été
déclaré coupable de voies de fait à Repentigny.
L'avocat de Nassereddine, Me Marion Burelle, a plaidé que la cause datait d'il y a un an,
et que rien dans la preuve jusqu'à maintenant ne démontre la contrainte où la rétribution
d'argent.
Une des présumées victimes aurait d'ailleurs changé sa version tandis que l'autre serait
présentement en fugue.
12 février 2012
Article tiré de : http://www.torontosun.com/2012/02/12/mounties-seize-date-rapedrug-chemical
Mounties seize date rape chemical
BY TOM GODFREY ,TORONTO SUN
FIRST POSTED: SUNDAY, FEBRUARY 12, 2012 01:57 PM EST |
UPDATED: SUNDAY, FEBRUARY 12, 2012 05:52 PM EST
The RCMP made one of the largest Canadian seizures of a controlled chemical used to
make the notorious date rape drug, GHB.
The RCMP arrested three Markham residents following one the largest Canadian
seizures of a controlled chemical used to make the notorious date rape drug, GHB.
The Mounties said the 2,900 litres of Gamma-butyrolactone (GBL) could produce up to
4.8 million doses of the noxious rape drug and is worth about $48 million on the street.
―Thousands of women can be potential victims of this drug,‖ one officer said of the drug.
GHB gained notoriety after predators put it in womens‘ drinks and sexually assaulted
their victims.
Members of the force‘s GTA Drug Squad made the seizure late Friday after following a
vehicle for more than an hour during rush-hour traffic.
Undercover officers tailed a truck as a driver allegedly picked up more than 100 small
drums of the chemical from a Malton warehouse and drove it to a Markham address.
RCMP Supt. Rick Penney said GBL is a controlled substance and the load was allegedly
smuggled from China by a ―rogue broker‖ without proper permits.
―These rogue brokers use fake names, companies or addresses to try and get the
product into Canada,‖ Penney said.
The Mounties said Canada is a source country for Ecstasy and other drugs, which are
are ―cooked‖ here and distributed across Canada — or to the US. and Europe.
―Its not uncommon for us to get tonnes of product,‖ said Sgt. Brent Hill, of the Chemical
Diversion Unit. ―Very little of product stays here. Most is exported due to the high
demand.‖
Officers alleged the GBL was being moved to an organized crime lab to be ―cooked‖ with
other chemicals to make drug cocktails, including Ecstasy.
Hill said GHB is sold to young people at GTA clubs in small vials for about $10 each.
The clear liquid is poured into a drink and consumed to obtain a high.
―This is a very significant seizure,‖ he said. ―This is a lot of this chemical to remove from
our streets.‖
Kam Cheong Leung, 55, Winnie Wai-Heung, 47, and Shu Rong Xu, 45, have been
charged with three offences each including importing a controlled substance into
Canada and conspiracy to import a controlled substance.
13 FÉVRIER 2012
Article tiré de :
http://www.montrealgazette.com/news/deported+Zimbabwe+after+assault+Abbotsford
+trade+worker/6146837/story.html
Man deported to Zimbabwe
after assault on Abbotsford sex
trade worker
BY ROCHELLE BAKER, ABBOTSFORD TIMES FEBRUARY 13, 2012
Wilson Chibesa, 24, (above) was deported to Zimbabwe after being convicted of an attack on a sex worker in
Abbotsford.
Photograph by: Facebook photo , for the TIMES
A Zimbabwean man in Canada on a student visa has been deported after being convicted of
attacking an Abbotsford sex trade worker in 2010.
Wilson Mulenga Chibesa met the 44-year-old woman at an apartment in the 33500 block of
South Fraser Way on Sept. 24, 2010, said Abbotsford Police Const. Ian MacDonald.
Chibesa offered money to the woman in exchange for sexual services.
However, when the woman asked to be paid, Chibesa knocked her to the ground, shoved his
hand down her throat and scratched at her esophagus with his fingers to keep her from
screaming.
"The victim was kept in hospital to ensure her throat didn't swell and her airway would remain
open," said MacDonald.
The victim contacted police who investigated and recommended charges against the
student.
Chibesa, 24, who pleaded guilty to assault causing bodily harm and two counts of drug
possession, was sentenced to jail and probation on June 24, 2011.
After exhausting all avenues of appeal, he was deported to Zimbabwe on January 30, said
MacDonald.
The victim was brave to alert police about the incident, as not all attacks on sex trade
workers are reported, he said.
"We acknowledge we don't get reports for every occurrence," MacDonald said.
"It was an act of courage on her part, and we encourage others to do it too, to safeguard
themselves and others.
"By speaking out and working with police, she not only ensured Chibesa was held
accountable for this incident, she prevented the possibility of any other victims in Canada."
14 FÉVRIER 2012
Article tiré de :
http://www.montrealgazette.com/news/Probation+teen+pornographer+joke/6149259/st
ory.html
Probation for teen
pornographer 'a joke': Dad
A teenager who recorded an alleged assault must write an essay
on the ills of social networking
BY JENNIFER SALTMAN, THE PROVINCE FEBRUARY 14, 2012
The father of a girl who was allegedly sexually assaulted at a Pitt Meadows rave said the
sentence for a teen who videotaped and photographed the incident is "a joke" and called for
changes to the Youth Criminal Justice Act.
The youth, who cannot be identified under the act, entered a guilty plea in December to
producing child pornography. He was sentenced to probation Friday in B.C. Provincial Court
in Port Coquitlam.
"The sentence today completely falls within the Youth Criminal Justice Act. Obviously for us
it's a disappointment," said the father, who cannot be named because it will identify his
daughter. "This is really a slap on the wrist."
At the Sept. 10, 2010 rave the victim, who was 16 at the time, was allegedly sexually
assaulted while a group of people watched. The young man admitted to photographing and
recording the incident on his BlackBerry.
Although he did not post it on Facebook, he passed the material on to friends who did.
Judge Pedro de Couto emphasized in his decision the harm that was done to the victim and
he said only time will tell if she and her family will heal.
"Much as [the youth] may want to turn back time and take back what he has done . . . he
cannot," de Couto said.
De Couto said the young man has "matured significantly" since the incident and is
remorseful for his actions, the potential consequences of which he did not appreciate at the
time.
The teen was sentenced to 12 months of probation, during which he must write an essay of
at least 1,500 words and a letter of apology. The essay must address the benefits and
dangers of social networking, particularly what can happen if it is not used thoughtfully and
carefully and how quickly reputations can be ruined. The youth must also write about what
an offender can do to minimize the harm he has caused.
"I expect a real essay," de Couto said.
The victim's father said he would prefer a verbal apology from the youth.
"To me, that would have gone a long way but there was no effort put in toward that," he said.
"That would have been worth more to us as a family than a letter."
The father said the government should review and update the Youth Criminal Justice Act.
"It needs to be brought up to speed for the social networking and all the problems associated
with that. Currently, today, social networking is a lawless society."
Two trials are pending in connection with this same case. Colton Ashton McMorris, 19, of
Maple Ridge is charged with sexual assault and goes to trial on Feb. 27. Dennis John Allen
Warrington, 20, of Langley is charged with production and distribution of child porn and goes
to trial Sept. 24.
15 FÉVRIER 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-droit/actualites/justice-et-faitsdivers/201202/15/01-4496263-employe-de-camp-de-vacances-accuse-dagression-sexuelle.php
Employé de camp de vacances
accusé d'agression sexuelle
LOUIS-DENIS ÉBACHER, LEDROIT
Louis-Denis Ebacher
Le Droit
(Campbell's Bay) Le procès d'un coordonateur de Camp de vacances de
Mansfield-et-Pontefract se poursuit mercredi au palais de justice de Campbell's
Bay.
Jean-Sébastien Vachon a entendu sa troisième victime alléguée, une ancienne
monitrice, mercredi. L'avocat de l'accusé, Wayne Lora, l'a confrontée à ses trous de
mémoire et le fait qu'elle avait «accepté» des relations sexuelles à une trentaine de
reprises, autour de 2007.
Le Camp Arboribourgh a été fermé depuis.
Les agressions présumées ont eu lieu en différents endroits, selon la Couronne.
Le procès de Jean-Sébastien Vachon sera plus long que les trois jours prévus et se
poursuivra plus tard cette année.
16 février 2012
Article tiré de :
http://www.montrealgazette.com/news/Rave+suspect+charged+again/6161438/story.html
Rave suspect charged again
A man who will go to trial in September to face charges of
producing and distributing child pornography, will be in court on
Feb. 27 for 'failing to abstain.'
BY SYLVER MCLAREN, THE TIMES FEBRUARY 16, 2012
A suspect in the 2010 Pitt Meadows rave case was in court again this week, this time for
breaching the conditions of his bail.
Dennis John Allen Warrington, who is charged with distributing pornography in
connection with an alleged rape at a rave at a Harris Road property during September
2010, appeared in Port Coquitlam provincial court on Monday to face a new charge of
breaching an undertaking or recognizance.
He was arrested on this newest charge on Feb. 6, accused of failing to abstain from
alcohol or drugs, and according to court records his arraignment hearing for that charge
has been set for Feb. 27.
Warrington is also due in court that same day to face another failure to comply charge
dating back to Nov. 12.
Warrington was released on $2,500 cash bail on Feb. 8, according to the court registry.
Warrington, identified by police as a Langley resident but who grew up in this
community, was 19 when he was charged with producing and distributing child
pornography in connection with the rave.
On that charge, he is set to appear in court again on June 14, with his trial set to run
from Sept. 24 to Oct. 5.
Also charged in connection to the same alleged attack, is Colton Ashton McMorris, an
18-year-old from Maple Ridge. He's charged with sexual assault and he is set to go to
trial on Feb. 27.
A third person, who is from Maple Ridge but cannot be named because he is a juvenile,
pleaded guilty to a lesser charge of making or publishing obscene matter. The teen was
sentenced Friday, Feb. 10 to 12 months probation.
smclaren@mrtimes.com
17 FÉVRIER 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/national/201202/17/014497203-scouts-de-possibles-agressions-non-signalees.php
Scouts: de possibles agressions
non signalées
Des scouts défilent lors d'une parade à Montréal.
PHOTO: PATRICK SANFAÇON, ARCHIVES LA PRESSE
La Presse Canadienne
Moins de trois mois après que la direction de Scouts Canada eut clamé avoir
transmis à la police toute information sur de présumés pédophiles, l'organisation
reconnaissait vendredi que certaines allégations d'agressions sexuelles
commises dans ses rangs dans le passé n'ont jamais été signalées aux autorités.
Cet aveu survient alors que se poursuit une évaluation indépendante des dossiers de
Scouts Canada concernant des cas d'agressions. Certains de ces documents
n'indiquent pas clairement si des plaintes ont été acheminées aux policiers.
«J'ai honte que ces choses se soient produites au sein de notre organisation... mais je
suis préoccupé et déterminé à prendre les bonnes actions», a indiqué le commissaire
en chef de Scouts Canada, Steve Kent, lors d'une entrevue à La Presse Canadienne.
Ces cas, qui ont été déterrés grâce à la vérification menée par la firme KPMG, sont
désormais transmis aux autorités dès leur découverte, a assuré M. Kent.
Les révélations font suite à un mea culpa public présenté par Scouts Canada, en
décembre, alors que M. Kent s'excusait auprès de quiconque aurait «subi un
préjudice» de la part de chefs scouts bénévoles.
Dans une vidéo mise en ligne sur le site YouTube, le commissaire en chef affirmait que
toute information concernant la présence de présumés pédophiles dans les rangs de
Scouts Canada avait été transmise aux policiers. Il avait annoncé l'ouverture d'une
vérification externe afin de démontrer à la population que toutes les allégations
d'agressions sexuelles avaient été gérées avec sérieux.
Un reportage de l'émission The Fifth Estate, à la télévision anglaise de Radio-Canada,
rapportait que Scouts Canada détenait une liste de présumés pédophiles, un
document datant du milieu des années 1980 et qui n'avait jamais été transmis aux
policiers. Scouts Canada a nié à plusieurs reprises avoir possédé une telle liste.
«La déclaration que j'ai faite en décembre était totalement vraie. Elle se basait sur la
connaissance des faits que j'avais», a précisé M. Kent.
«Je suis surpris par ce qui a été découvert. Je suis aussi profondément désolé, et bien
que je ne puisse en être tenu directement responsable, je vous assure que je prends
mes responsabilités pour assumer le passé», a soutenu M. Kent.
S'il n'a pas précisé combien de dossiers ont pu ne pas avoir été transmis à la police, le
commissaire en chef a noté que certains dossiers transférés aux policiers dataient d'il
y a 65 ans.
«La réalité, c'est qu'il y a de mauvaises personnes dans le monde et que certains de
ses incidents... se sont produits à une autre époque. Peut-être étions-nous plus naïfs à
ce moment.»
Les conclusions détaillées de la vérification externe de la firme KPMG seront rendues
publiques plus tard cette année. Scouts Canada a également mandaté un comité
d'experts pour examiner ses politiques et proposer des recommandations.
L'organisation révise également ses méthodes de recrutement de bénévoles et se
penche sur des façons pour améliorer la formation des bénévoles et des employés.
«Pour des millions de Canadiens, s'enrôler dans le mouvement scout a véritablement
été le début d'une belle expérience et je peux assurer aux parents, aux communautés
ainsi qu'aux jeunes et aux enfants de ce pays que le scoutisme continue d'être une
activité formidable.»
18 FÉVRIER 2012
Article tiré de : http://thechronicleherald.ca/canada/64460-scouts-sex-abuse-allegationsbeing-turned-over-police
Scouts: Sex abuse allegations
being turned over to police
February 18, 2012 - 5:32am BY DIANA MEHTA THE CANADIAN PRESS
Review finds cases that may not have been reported
A frame-grab from a video appology by Scouts Canada Chief Commissionner Steve
Kent posted on YouTube, date Dec. 8, 2011, is shown. Less than three months after
Scouts Canada insisted police had been told everything it knew about suspected
pedophiles in its midst, the group now warns there may be allegations of sex abuse in its
past that were never reported to authorities. (CP)
TORONTO — Less than three months after Scouts Canada insisted police had been
told everything it knew about suspected pedophiles in its midst, the group now warns
there may be allegations of sex abuse in its past that were never reported to authorities.
The admission comes as a result of an ongoing third-party review of Scouts Canada
records relating to abuse, some of which don‘t make it clear whether police were ever
notified of the allegations.
"I‘m ashamed these things happened in our organization . . . but I‘m definitely concerned
and as motivated as anyone to do things right at this point," Chief Commissioner Steve
Kent said Friday in an interview with The Canadian Press.
Those cases — unearthed in the review being conducted by KPMG‘s forensic group —
are now being turned over to police as they‘re being found, Kent said.
"If there are records that they‘re uncovering as result of their investigation and we can‘t
confirm that they‘ve been shared with police authorities in the past, then we‘re
immediately referring that information to the police."
The development follows a public apology by Scouts Canada in December, when Kent
apologized to anyone who may have "suffered harm" at the hands of volunteer leaders.
In a solemn video posted on the organization‘s website, he also said at the time that any
information on suspected pedophiles was shared with police. He announced the thirdparty review to give the public "complete confidence" that every record of abuse was
handled properly. A report last year on CBC‘s investigative news show The Fifth Estate
alleged Scouts Canada maintained a list of suspected pedophiles dating back at least to
the mid-1980s and did not share it with authorities — an allegation the organization
repeatedly denied.
"The statement I made in December was absolutely true, based on any cases that I had
awareness of," Kent said.
"I‘m surprised at some of what‘s being discovered. I‘m also very sorry and while I can‘t
be held directly responsible, I assure you that I do take responsibility for confronting our
past completely."
While Kent wouldn‘t say how many cases were suspected of never being flagged for
police, he said most of those files involved allegations that happened years ago, some
even going back six decades. "We‘re talking about, for the most part, cases that I would
consider historic," he said.
"The reality is that there are bad people out there in the world and some of these
incidents . . . took place in a different time. We were perhaps more naive back then."
Some files currently being turned over to authorities may have indeed gone to police in
the past, but Kent said the records don‘t note such involvement, so the organization is
"erring on the side of extreme caution."
In addition to the KPMG review, which will be made public once it‘s completed later this
year, Scouts Canada has also engaged a panel of experts to review its policies and
procedures and make recommendations.
The organization is also reviewing its own screening processes for volunteer leaders and
looking at how it can improve training for staff and volunteers, said Kent.
"For millions of Canadians, scouting really has been the start of something great, and I
can assure parents, community leaders and the children and youth of this country that
scouting continues to be an amazing place," he said.
"I‘m confident that we‘re providing an extremely safe and healthy environment."
Current legislation in Canada obliges anyone who suspects child abuse to report it to
police and the child welfare body in the relevant province or territory.
Sanctions, including fines of up to $1,000, exist for those who fail to flag any such
suspicions, said Michael Saini, a University of Toronto assistant professor with an
expertise in child welfare.
"Each province has its own mandate for child maltreatment and neglect," Saini said.
19 FÉVRIER 2012
Article tiré de :
http://www.vancouversun.com/news/Hospitalized+year+Langley+girl+have+ingested+
date+rape+drug+with+photos/6179933/story.html
Hospitalized 7-year-old Langley
girl may have ingested date rape
drug GHB (with photos)
BY GORDON HOEKSTRA, VANCOUVER SUN
A seven-year-old Langley girl arrives at Surrey Hospital alongside her mother and the RCMP on Saturday,
February 18, 2012.
Photograph by: Shane MacKichan , Special to the Sun
The RCMP is investigating whether a seven-year-old girl may have ingested gamma
hydroxybutyrate, a date-rape drug, after drinking from a water bottle in her Langley
home.
The child ended up unconscious at her home near 55th Avenue and 208th Street at
about 9 p.m. Saturday, but is expected to make a full recovery, say police.
―The substance may have been contained in a water bottle in the residence that the child
may have innocently drank,‖ Langley RCMP Cpl. Holly Marks said Sunday.
―I can‘t begin to speak as to why it would have been there,‖ said Marks, adding that lab
testing will have to confirm whether the substance is gamma hydroxybutyrate, commonly
referred to as GHB.
The incident has been referred to the RCMP‘s serious crime unit, which will determine
whether charges will be recommended, said Marks.
Charges will depend on what the lab results show, she said.
However, if the investigation uncovers other reasons for the child becoming
unconscious, police investigators will follow up on those reasons, added Marks.
GHB is a natural substance that is present in the body in very small amounts, but it is
also manufactured as a synthetic chemical in illegal labs, according to information from
Health Canada.
GHB is odourless and tasteless, so can be slipped into drinks without detection.
Its sedative effects have been used to prevent victims from resisting sexual assaults,
which is why it is referred to as a date-rape drug.
GHB is also used as a recreational drug because, in small doses, it loosens inhibitions,
much like alcohol. Overdoses shut down the body‘s respiratory system.
RCMP said the child‘s mother called 911 Saturday evening when she discovered her
unconscious.
The girl was taken to Surrey Memorial Hospital but regained consciousness that night.
As of Sunday afternoon, she was still in hospital, said Marks.
The Ministry of Children and Family Development is also looking into the incident, said
police.
In 2007, a 22-year-old University of Victoria student died after accidentally overdosing on
GHB.
She had taken a swig of what she thought was water from a clear Gatorade bottle that
contained liquid GHB.
20 FÉVRIER 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201202/20/01-4497937-longueuil-la-police-recherche-des-victimes-potentielles-dunagresseur.php
Longueuil: la police recherche des
victimes potentielles d'un
agresseur
PHOTO: DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE
David Santerre
La Presse
(Longueuil) La police de Longueuil cherche à savoir si le directeur d'une obscure
école de spiritualité qui aurait usé de sa position pour commettre des agressions
sexuelles, contre deux enfants notamment, aurait pu faire plus de victimes.
André Rousseau, 65 ans, a été arrêté le 24 novembre dernier par la police de
l'agglomération de la Rive-Sud. Il a été détenu puis accusé d'agressions sexuelles, de
contacts et d'incitations à des contacts sexuels sur trois victimes.
Le choix des victimes présumées laisse croire aux enquêteurs qu'il n'y a pas de
victimes type.
Il y a eu une jeune fille de 13-14 ans, un garçon de 10-11 ans, et une femme de 36
ans. Rousseau aurait fait sa première victime à Saguenay, où il opérait dans le passé
une école nommée Centre d'études gnostiques, sur la rue des Saguenéens, dans le
secteur Chicoutimi.
À Longueuil plus récemment, son établissement s'appelait selon la police l'école
spirituelle Gnose. Elle était située selon nos sources au domicile d'André Rousseau,
boulevard Jacques-Cartier est.
Rousseau utilisait selon le porte-parole de la police de Longueuil, l'agent Patrick
Barrière, son statut d'enseignant pour approcher ses victimes. Cette façon de faire
laisse justement croire à la police que l'homme pourrait avoir fait d'autres victimes, que
ce soit à Longueuil ou ailleurs au Québec.
Après avoir été mis en accusation, Rousseau, qui est justement revenu en cour
vendredi dernier, a été libéré moyennant diverses conditions en attente de son procès.
La police de Longueuil invite toute personne qui pourrait avoir été victime d'André
Rousseau à contacter ses enquêteurs en composant le 450-463-7211.
21 FÉVRIER 2012
Article tiré de : http://www.journaldemontreal.com/2012/02/21/accuse-dagressionsexuelle-sur-mineur
Prêtre Ontarien : Accusé
d’agression sexuelle sur mineur
ELLIOT FERGUSON / AGENCE QMI
Publié le: mardi 21 février 2012, 20H04 | Mise à jour: mardi 21 février 2012, 20H07
PHOTOS KARL TREMBLAY
KINGSTON, Ontario – La Police provinciale de l’Ontario a porté lundi des
accusations contre un prêtre catholique en lien avec l’agression sexuelle
présumée d’un adolescent survenue au cours de l’été 2004.
René Paul-Émile Labelle, 62 ans, de Seeleys Bay, a été accusé d'agression sexuelle,
d'exploitation sexuelle et d'incitation à l'exploitation sexuelle.
Labelle est une figure connue au sein de l‘Église catholique romaine en Ontario. Il avait
été ordonné prêtre par l'archidiocèse de Kingston en 1977.
Celui qui travaillait comme aumônier prêtre à l‘école secondaire Holy Cross de Kingston,
a volontairement démissionné de la paroisse de Saint-Barnabé à la fin du mois de
janvier, en raison de son implication présumée dans des «activités inappropriées».
22 FÉVRIER 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/sports/hockey/201202/22/01-4498558-lacouronne-reclame-six-ans-de-prison-pour-graham-james.php
La Couronne réclame six ans de
prison pour Graham James
Un croquis de l'ex-entraîneur de hockey junior Graham James réalisé durant l'audience sur la détermination
de sa peine, mercredi, à Winnipeg.
PHOTO: PC
Chinta Puxley
La Presse Canadienne
Winnipeg
La Couronne demande une peine d'emprisonnement de six ans pour l'exentraîneur de hockey junior Graham James, relativement à des agressions
sexuelles commises à l'encontre de deux de ses anciens joueurs.
Me Colleen McDuff soutient que le juge devrait tenir compte de l'impact qu'a eu sur ses
victimes ce pédophile, déjà condamné pour d'autres agressions sexuelles par le
passé.
L'ancien joueur étoile de la Ligue nationale de hockey (LNH) Theoren Fleury,
aujourd'hui à la retraite, avait raconté en cour à Winnipeg comment sa vie avait été
pratiquement anéantie par ces agressions.
James se trouve au Manitoba pour l'audience sur la détermination de sa peine,
mercredi, après avoir plaidé coupable en décembre dernier à de nouvelles infractions
de nature sexuelle contre deux autres de ses anciens joueurs, l'ex-vedette des Flames
de Calgary Theoren Fleury et Todd Holt.
Les deux hommes avaient expliqué que ces événements avaient nui à leurs relations,
les avaient incités à boire, en plus de les priver de sommeil pendant plusieurs années.
Le rapport d'un psychiatre souligne que James est indifférent et distant, précisant qu'il
«réagit rarement aux gestes et aux sentiments des autres».
La Couronne a soutenu mercredi que l'ex-entraîneur avait dorloté les hockeyeurs
avant de les agresser sexuellement, les menaçant par la suite de détruire leur carrière
de sportif.
Me McDuff a ajouté que les jeunes sportifs se tournaient vers James parce qu'il était
très respecté dans le monde du sport. Les plaignants croyaient aussi que James avait
le pouvoir de démarrer leur carrière ou de la briser, ce que l'ex-entraîneur leur a
également déclaré.
Au total, James a fait face à neuf accusations d'agressions sexuelles, qui auraient été
commises entre 1979 et 1994.
Un autre ex-joueur de la LNH, Sheldon Kennedy, a de son côté qualifié d'étrange le fait
de revoir Graham James, son agresseur, quelque 14 ans après les faits.
Les deux hommes se sont croisés au tribunal mercredi matin, à l'extérieur d'une salle
d'audience de Winnipeg. Sheldon Kennedy a regardé directement James en le
croisant, mais ce dernier a évité tout contact visuel avec lui.
L'ex-entraîneur a déjà été condamné pour des agressions commises sur d'autres
joueurs, incluant Sheldon Kennedy, pour lesquelles il a purgé environ dix-huit mois sur
une peine d'emprisonnement de trois ans et demi. James avait été relâché en 2000.
Sheldon Kennedy est à Winnipeg en appui à un autre joueur, Greg Gilhooly, qui a lui
aussi déclaré avoir été agressé par James. Les accusations dans cette affaire ont été
suspendues.
L'ancien hockeyeur avait indiqué qu'il serait tout de même en cour mercredi, où il fera
face à James pour la première fois en 30 ans. De son propre aveu, il trouvait important
de se prouver à lui-même que cet individu n'a plus aucun pouvoir sur lui.
Theoren Fleury est le dernier en lice à avoir déposé des accusations contre James, en
lien avec des événements remontant à plusieurs années. L'ancien joueur étoile des
Flames de Calgary se trouvait à Vancouver mercredi, mais il s'est tout de même
exprimé sur le dossier lors d'une conférence de presse.
Il a dit espérer que le juge prendrait la bonne décision après avoir entendu «toutes ces
informations», ajoutant toutefois qu'il était possible qu'une entente ait déjà été conclue
dans cette affaire.
Au moment où James a plaidé coupable, Theoren Fleury avait déclaré souhaiter que
l'homme écope d'une peine d'emprisonnement de 27 ans - soit le nombre d'années
que l'ex-hockeyeur a mis avant de dénoncer publiquement son agresseur.
«Tout cela est derrière moi et je sors vainqueur devant cette violence sexuelle que j'ai
subie, avait-t-il confié à La Presse Canadienne, plus tôt cette semaine.
«Mon seul et unique objectif dans la vie - et pour le reste de mes jours - est d'offrir mon
appui aux autres victimes qui se sont manifestées, ou qui le feront, et qui sont sur le
chemin de la guérison.»
Par ailleurs, Sheldon Kennedy avait déclaré mardi, devant le comité sénatorial chargé
d'étudier l'imposant projet de loi du Parti conservateur pour s'attaquer à la criminalité,
que James écoperait probablement d'une peine avec sursis.
Il est apparu devant ce comité pour exprimer son soutien au projet de loi C-10 qui vise,
entre autres, à établir des peines minimales obligatoires pour les crimes de nature
sexuelle sur mineurs.
«Vous savez, Graham James va encore une fois s'en tirer. Et ce n'est pas correct.»
Greg Gilhooly a indiqué qu'il se préparait à cette possibilité.
«Sous plusieurs aspects, Graham n'est pas différent de Clifford Olson (tueur en série
s'en étant pris à des enfants). À cette exception près que Graham a décidé de ne pas
tuer ses victimes après les avoir traitées comme il l'a fait», a-t-il soutenu.
«Graham est un pédophile en série, qui choisissait sa victime, puis qui passait à une
autre, puis une autre, et une autre encore, a-t-il ajouté. Si notre système judiciaire croit
que la peine qu'il a reçue la première fois est suffisante, alors je dis que ce système
est pourri.»
23 FÉVRIER 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201202/23/01-4498919-un-recidiviste-agresse-une-adolescente.php
Un récidiviste agresse une
adolescente
Christiane Desjardins
La Presse
Condamné à 12 ans de prison en 2000 pour une sordide agression sexuelle,
Patrick Charlemagne a récidivé après avoir obtenu une liberté conditionnelle.
Cette fois, l'homme de 39 ans a jeté son dévolu sur une adolescente de 15 ans
atteinte de déficience intellectuelle.
La victime était la fille d'une femme de son entourage. M. Charlemagne a profité de
l'absence de la mère pour se livrer aux gestes qui lui ont été reprochés. Les faits ont
été découverts quand l'adolescente a raconté sa mésaventure à l'école. Elle allait avoir
un bébé, a-t-elle dit, car Patrick avait fait ce qu'il fallait.
Une plainte a été portée à la police et M. Charlemagne a été accusé. Il a eu son procès
récemment pour cette agression survenue entre les 8 et 10 janvier 2010. Selon les
explications données lors du procès, il y a eu pénétration anale et vaginale de l'enfant.
L'homme a aussi contraint l'enfant à lui faire une fellation. Une petite culotte de la jeune
fille, contenant du sperme de l'agresseur, a été trouvée dans la chambre de la victime.
Hier, le juge Pierre Labelle a déclaré Patrick Charlemagne coupable d'attouchements
sexuels, d'incitation à des contacts sexuels et de voie de fait armée. Dans ce dernier
cas, il s'agit de voie de fait avec une ceinture, en lien avec des événements qui se sont
produits entre janvier 2009 et janvier 2010. L'adolescente a été frappée.
M. Charlemagne, qui est détenu, n'a pas bronché quand le juge a rendu sa décision,
hier. La procureure de la Couronne Rachelle Pitre a demandé une évaluation pour
l'accusé, car elle envisage de le faire déclarer «délinquant à contrôler». Me Pitre est
d'avis que M. Charlemagne est incapable de maîtriser ses pulsions. M. Charlemagne
doit retourner devant le tribunal le 23 avril pour la suite du processus.
24 FÉVRIER 2012
Article tiré de :
http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/faitsdivers/archives/2012/02/20120224-135116.html
Pornographie juvénile :Un militaire
arrêté
Première publication 24 février 2012 à 13h51
Crédit photo : Archives Agence QMI
Par Danielle Bell | Agence QMI
Un sergent des Forces canadiennes a été arrêté et devra répondre à six chefs
d'accusation de pornographie juvénile.
Gregory Kusec, âgé de 42 ans, qui travaille dans les opérations d'information au sein de
la Force expéditionnaire du Canada, a été arrêté à Ottawa mercredi. Selon les policiers
qui ont perquisitionné dans sa demeure, l'ordinateur personnel de Kusec contenait des
images d'agression sexuelle sur des mineurs.
«Les Forces canadiennes prennent cette situation très au sérieux et collaborent
pleinement à l'enquête», a dit Karina Holder, des affaires publiques de la police militaire
des Forces canadiennes.
«Ce genre d'incident est très inhabituel», a-t-elle ajouté.
Selon les autorités militaires, les ordinateurs du gouvernement n'ont pas été utilisés
dans cette affaire.
Cette arrestation est survenue dans le cadre d'une enquête sur le web, menée par
plusieurs forces policières, qui poursuit son cours.
25 FÉVRIER 2012
Article tiré de :
http://www.vancouversun.com/news/Convicted+American+pedophile+Steven+Dyer+worked+pl
ayground+designer/6207575/story.html
Convicted American pedophile
Steven Dyer worked as
playground designer in B.C.
Fugitive U.S. pedophile could lose properties he owned in
Chilliwack, Vancouver
BY KIM BOLAN, VANCOUVER SUN FEBRUARY 25, 2012
Steven Dyer, a convicted American child molester, had been living in the Lower Mainland since at least
2004. He has been sent back to the U.S.
When convicted American pedophile Steven Dyer was hiding out in B.C., he used the name
Brian Woolworth and worked as a playground designer, The Vancouver Sun has learned.
And Dyer, 44, used his fraudulent identity to buy a $402,000 Vancouver condo in 2010 and a
Chilliwack townhouse for $348,000 in 2008, according to property records obtained by The
Sun.
Both units were still listed Friday in the B.C. Land Title Registry as being owned by
―Woolworth,‖ even though the purchaser — Dyer — has been handed over to U.S.
authorities on his outstanding child molestation convictions.
Dyer‘s first property purchase in B.C. appears to be the Chilliwack townhouse in the 5800block of Cowichan Street. He then bought a Beatty Street one-bedroom condo in a
Vancouver heritage building in March 2010.
On the first land title, he lists his profession as ―sales,‖ while on the later document he
describes himself as a ―playground designer.‖
Dyer, a Berkeley graduate, was charged in January 2001 with 13 counts of sexually
assaulting two boys in Scottsdale, Ariz. over a two-year period.
Court documents said he groomed his young victims by befriending them and taking them on
camping trips. He was also a volunteer with Big Brothers.
While out on a $100,000 bond, Dyer fled Arizona but he was convicted in absentia on all
counts in April 2002, and is expected to face a sentence of 169 years.
He has been living in B.C. under an assumed identity since at least 2004.
Earlier this week, the Canada Border Services Agency announced they had arrested Dyer at
Montreal‘s Pierre Elliott Trudeau International Airport. The Vancouver resident had been on
vacation in Venezuela for a couple of months.
Now both the Vancouver police department and the RCMP is investigating Dyer‘s
movements and activities in this province to see if he has more victims.
RCMP Sgt. Duncan Pound said Friday that part of the investigation will include reviewing
Dyer‘s property purchases in Vancouver and Chilliwack to see if the purchases constitute
crimes.
―We are aware of the information and we are now looking into it,‖ Pound said Friday. ―We
have people assigned to investigate this.‖
Vancouver lawyer Ravi Hira said Friday that several Criminal Code provisions could apply to
real estate transactions where someone has deliberately used fraudulent identification to
make the purchases.
There are fraud and forgery offences that may apply, he said.
And, if a person is convicted of Criminal Code offences related to a property, that property
can be subjected to forfeiture under criminal proceeds of crime legislation.
Now that Dyer is back in the U.S., it is unlikely he will be extradited to Canada to face any
charges here.
However, there could be applicable provisions under the Civil Forfeiture Act that would allow
B.C. officials to go after the two properties, Hira said.
The act specifically says that the Civil Forfeiture director ―may apply to the court for an order
forfeiting to the government property that is an instrument of unlawful activity,‖ Hira noted.
Hira said Dyer could apply for relief from forfeiture by saying: ―Listen, I paid for the property.‖
―But, in theory, they could get him,‖ Hira said.
26 FÉVRIER 2012
Article tiré de : http://www.stcatharinesstandard.ca/2012/02/24/man-jailed-in-casinosex-assault
Court: Man jailed in casino sex
assault
Sunday, February 26, 2012 9:48:33 EST AM
NIAGARA FALLS - An Etobicoke man who was caught on surveillance cameras rubbing
his genitals on a woman‘s back while she played the slots at a Niagara Falls casino will
spend the next 40 days behind bars.
Faiz Atefy will also have to register his name on the national sex offenders registry every
year for the rest of his life.
The 53-year-old man appeared in St. Catharines court on Friday for sentencing on
charges of sexual assault and breach of probation.
In July 2011, court was told, Atefy approached a woman playing at a machine at Niagara
Fallsview Casino, took his penis out of his pants and rubbed his genitals on the woman‘s
back.
The casino‘s security cameras captured the assault.
―His conduct must be denounced,‖ assistant Crown attorney Andrew Brown told Judge
Joseph Nadel.
―The victim deserved better. She had no reason to expect she‘d be assaulted in that
way.‖
Atefy was on probation for an unrelated charge of sexual assault at the time of the
offence.
―This incident occurred when the offender ought to have been on his best behaviour.‖
The previous charge, Brown said, stemmed from an incident in 2010 when Atefy
approached a woman in a public place and grabbed her breasts.
Atefy received a conditional discharge in that case, which meant he was on probation
with conditions.
In both cases, court was told, alcohol played a role in the man‘s actions.
In a pre-sentence report submitted in court, the defendant was described as a ―wellrespected member of his mosque‖ who does not have any issues with alcohol abuse.
―The use of alcohol in his land is prohibited and I find that ironic at best,‖ the judge said.
Lawyer Mark Evans said his client hasn‘t touched alcohol since his arrest.
Nadel also ordered Atefy to stay at least 100 metres away from Niagara Fallsview
Casino.
Niagara Casinos spokesman Greg Medulun said ―there is nothing more important‖ than
the safety and security of casino guests.
―In this situation, our expert surveillance and security teams helped to identify the
assailant. The casino enforcement unit was immediately notified and the perpetrator was
apprehended, subsequently charged and prosecuted,‖ he said. ―The casino is the last
place anyone should ever consider committing a crime.‖
27 FÉVRIER 2012
Article tiré de : http://www.journaldequebec.com/2012/02/27/abdessadek-demeuredetenu
AGRESSION SEXUELLE À
L’UNIVERSITÉ LAVAL
Abdessadek demeure détenu
KATHRYNE LAMONTAGNE @
PUBLIÉ LE: LUNDI 27 FÉVRIER 2012, 18H03 | MISE À JOUR: LUNDI 27 FÉVRIER 2012, 18H06
Accusé d’avoir agressé sexuellement une adolescente de 17 ans sur les terrains
de l’Université Laval, Mustapha Abdessadek demeurera derrière les barreaux
pendant toute la durée des procédures judiciaires.
C‘est du moins ce qu‘a tranché le juge Narcisse Proulx, lundi, lors de l‘enquête sur
cautionnement de l‘accusé de 26 ans, domicilié à Rimouski. Selon les faits relatés par la
procureure de la Couronne au dossier, Me Carmen Rioux, Abdessadek aurait abordé sa
victime, le 21 novembre 2009, vers 21 h 15, alors qu‘elle marchait vers le PEPS.
Il lui aurait alors attrapé le bras, avant de l‘entraîner vers un petit boisé situé à proximité.
Alors qu‘elle tentait de se débattre, il l‘aurait poussée au sol et aurait tenté d‘avoir une
relation sexuelle avec elle. La victime, qui ne collaborait pas, aurait réussi à prendre la
fuite.
C‘est un test d‘ADN effectué sur les vêtements de la victime qui aurait permis aux
autorités de procéder à l‘arrestation du suspect. L‘individu purge actuellement une peine
discontinue de 90 jours de prison depuis le 16 décembre après avoir été reconnu
coupable d‘agression sexuelle, à Rimouski en juin 2011. Il avait dû fournir un échantillon
d‘ADN à la suite de cette condamnation.
28 FÉVRIER 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-quotidien/le-quotidien-du-jour/201202/28/014500742-proces-en-octobre-pour-le-policier-simard.php
Procès en octobre pour le policier
Simard
Le policier saguenéen André Simard
PHOTO ARCHIVES
STEPHANE BEGIN
Le Quotidien
(CHICOUTIMI) Le policier saguenéen André Simard subira son procès pour huit
agressions sexuelles et trafic de stupéfiants. Le procès se déroulera du 22 au 29
octobre.
Devant la juge de la Cour du Québec, Johanne Roy, l'avocate de la Couronne de Québec,
Me Valérie Lahaie et l'avocat de la défense, Me Pierre Dupras ont convenu, hier matin de
retenir de cinq à six jours d'audience pour la tenue du procès. La preuve et les
témoignages pourraient être entendus sur une séquence de six jours consécutifs.
L'homme de 39 ans avait déjà été cité à procès en novembre dernier à la suite d'une
enquête préliminaire, qui a eu lieu sous une ordonnance de non-publication pour protéger
la tenue d'un procès équitable.
André Simard a été appréhendé par les agents de la Sûreté du Québec au mois d'octobre
2010 à la suite de plaintes de jeunes femmes qui disaient avoir été agressées
sexuellement par le policier.
Au terme de l'enquête policière, ce sont finalement huit chefs d'agression sexuelle qui ont
été retenues contre l'individu, dont les présumées victimes sont âgées de 19 à 33 ans.
Au surplus, André Simard a aussi été accusé de trafic de haschisch pour la période portant
du 1er juin 2009 au 18 octobre 2010, la même période où auraient eu lieu les agressions.
29 FÉVRIER 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-droit/actualites/justice-et-faitsdivers/201202/29/01-4501028-porno-juvenile-pierre-clement-rioux-accuse.php
Porno juvénile: Pierre-Clément
Rioux accusé
Les policiers de l'Ontario ont ouvert 8289 enquêtes en relations avec de la pornographie juvénile depuis
septembre 2006, soit depuis la mise en branle d'une stratégie provinciale des différents corps policiers. De
ce nombre, il y a eu 1135 arrestations, et le dépôt de 3405 chefs d'accusation.
ARCHIVES, LEDROIT
Jean-François Dugas
Le Droit
Pierre-Clément Rioux a été formellement accusé de production, de possession et de
distribution de pornographie juvénile mercredi matin au palais de justice de Gatineau.
Arrêté à son domicile du boulevard La Vérendrye Est mardi matin, le Gatinois de 29 ans a
comparu brièvement devant le juge. Il a été libéré sans caution, mais il devra suivre des
conditions précises d'ici sa prochaine comparution le 28 mai.
Lors de sa perquisition mardi matin, la Sûreté du Québec a aussi saisi du matériel
informatique chez l'accusé.
Trois autres hommes ont été arrêtés en province hier. Ils feraient tous partie de l'important
réseau international d'échanges de pornographie juvénile de Robert Mikelsons.
Ce dernier a été arrêté en décembre 2010 par la police d'Amsterdam. Il fut accusé
d'agression sexuelle contre 67 enfants, la plupart âgés de moins de quatre ans, dont 52
garçons.
1 MARS 2012
Article tiré de :
http://www.burnabynow.com/arrested+charged+four+Burnaby+sexual+assaults+dating
+back+1994/6216062/story.html
Man arrested and charged in
four Burnaby sexual assaults
dating back to 1994
BY ALFIE LAU, BURNABY NOW
At a press conference at Burnaby RCMP's main detachment Monday morning, the Burnaby
RCMP and Vancouver Police Department announced they have arrested and charged a man
they believe is responsible for four sexual assaults that occurred in Burnaby and date back to
1994.
Shalendra Kumar Sharma, 43, of Surrey, is facing 12 total charges, including four counts of
sexually assaulting four different women from 1994 to 2011, four counts of confining the
women, one count of kidnapping, two counts of assault and one count of uttering threats.
Sharma was taken into custody on Feb. 17 and is due back in court March 2.
Chief Supt. Dave Critchley of the Burnaby RCMP announced the arrest, but provided very
few details about the assaults.
All of the women involved appear to be sex-trade workers from Vancouver's Downtown
Eastside.
Critchley said all four of the assaults took place in Burnaby, with the two most recent, on
Dec. 4 and Dec. 18, 2011, occurring in South Burnaby.
When apprised of the Dec. 4 incident, Critchley said the Burnaby RCMP made the case a
top priority.
As soon as the Burnaby RCMP became aware of the sexual assault and robbery against a
woman who had been taken to a South Burnaby location from Vancouver's Downtown
Eastside, the RCMP's Lower Mainland district regional duty officer called and spoke to the
Vancouver Police Department's duty officer to discuss the evidence and strategies to locate
the suspect.
"I received daily updates and it was crucial and critical that we shared information
immediately at a senior level," said Critchley. "We put the resources in place to solve this as
quickly as possible."
The investigation took another turn when a second assault occurred in South Burnaby on
Dec. 18 and police started to put the pieces together linking the two cases. More than 50
investigators worked on the case.
Critchley credited a tenacious Vancouver police sex crimes analyst who not only linked those
two assaults, but also put together enough pieces for Sharma to be charged in the 1994 and
1997 incidents.
Critchley said Sharma is a labourer at a local manufacturing firm and is a Canadian citizen.
"Both police agencies recognized the danger to women - particularly those in the high-risk
category he appeared to be targeting, and we took immediate action to get safety messaging
out to the women," said Critchley.
The Vancouver Police Department also had a liaison person go out to her sex-trade contacts
on the Downtown Eastside and hand out 55 emergency cellphones and notebooks and pens.
If anybody saw anything suspicious, they were to call or write down the information and pass
it along to police.
Critchley said Sharma was not known to police and they are not releasing his photo because
they are continuing to work on the case and reviewing a number of existing files and trying to
locate and identify any other possible victims.
"We believe Mr. Sharma may have been involved in other offences," said Critchley. "We are
reviewing files ... and are interested in locating potential victims going back to 1994."
Critchley said the two women assaulted in December showed tremendous courage in
coming forward and it was one piece of evidence provided by one of the women that allowed
police to link the files together.
"We particularly want to commend the strength of the women he is accused of attacking this
past December," said Critchley. "We wouldn't be at this point without them."
Critchley also fielded questions from media members asking if any of Sharma's cases are
linked to the Robert Pickton cases and whether any of the cases are linked to women who
are still missing from the Downtown Eastside.
Critchley said at the present time, there are no links between Sharma's cases and Pickton,
nor are there any indications Sharma is connected with any women missing from the
Downtown Eastside.
Police did release photos of four cars they believe Sharma owned or is associated with,
including: a 2007 red Ford Escape for the period October 2006 to present; a 2003 blue Ford
Explorer for the period January 2004 to February 2010; a 1997 red Ford Explorer for the
period March 1999 to October 2006; and a 1991 red Pontiac Sunbird for the period January
1994 to May 1997.
Police are appealing to anyone who may have witnessed or been the subject of an assault,
sexual assault or theft associated to one of the four vehicles from 1994 to the present day.
Any individual who feels they may have been victimized by someone driving this vehicle, or
who may have witnessed a crime associated with this vehicle is urged to contact their police
of jurisdiction or CrimeStoppers at 1-800-222-TIPS (8477) if they wish to remain anonymous.
© Copyright (c) Burnaby Now
2 MARS 2012
Article tiré de :
http://www.vancouversun.com/news/Police+search+convicted+offender/6238009/story.
html
Police search for convicted sex
offender
By ANDREA WOO, VANCOUVER SUN
Police in Ridge Meadows are appealing to the public for help in locating a convicted
sexual offender who has recently been non-compliant with court orders.
Sean Phillip Cooke, 32, had previously been convicted of sexual assault and invitation to
sexual touching, said Cpl. Alanna Dunlop in a news release issued Thursday. He was
recently non-compliant with conditions related to an alleged violent offence in November
that included assault, break and enter, assault with a weapon and assault causing bodily
harm.
Police know Cooke is avoiding police as he is aware warrants have been issued for the
breaches, Dunlop said.
Anyone who has information about Cooke is asked to contact Ridge Meadows RCMP or
the nearest police service.
3 MARS 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201203/03/01-4502117-agressions-sexuelles-pas-assez-trouble-pour-etre-acquitte.php
Agressions sexuelles: pas assez
troublé pour être acquitté
PHOTOTHÈQUE LE SOLEIL
Christiane Desjardins
La Presse
Un homme de 29 ans s'est peut-être servi de son passé psychiatrique pour faire
croire qu'il était dérangé mentalement quand il a fait des attouchements à quatre
femmes au métro McGill, l'année dernière. La juge Lori-Renée Weitzman ne l'a pas
cru et l'a déclaré coupable de quatre agressions sexuelles, hier, au palais de
justice de Montréal.
Les faits sont survenus entre le 22 mai et le 3 juillet 2011, lors de quatre incidents
distincts, mais toujours à l'heure du midi. Olivier Omande Rommbongo a suivi des
femmes à la station de métro McGill et leur a fait des attouchements soit aux seins,
soit aux parties génitales. Dans le dernier cas, le 3 juillet 2011, il a tenté de soulever la
jupe d'une femme, qui s'est défendue en lui lançant son sac à main. M. Rommbogo a
été arrêté le même jour. Les victimes avaient entre 19 et 43 ans.
M. Rommbogo était déjà suivi en psychiatrie et soutenait qu'il entendait des voix. Jos,
un ami, lui parlait dans sa tête. Mais il n'était pas certain que Jos lui avait dit de toucher
les femmes. L'accusé a admis les faits reprochés, même s'il en avait oublié des pans.
La procureure de la Couronne, Rachelle Pitre, et l'avocate de la défense, Audrey
Azmallag, ont demandé des expertises psychiatriques. Mais voilà, les deux psychiatres
sont arrivés à des conclusions différentes.
Divergence d'opinions
L'experte de la défense, la Dre Ginette Lavoie, a conclu que monsieur ne pouvait
différencier le bien du mal lors des événements. L'homme souffrirait de schizophrénie
paranoïde avec hallucinations auditives. D'ailleurs, en décembre 2010, il avait mis le
feu dans son logement à cause des voix, et il avait été déclaré non criminellement
responsable.
L'expert de la Couronne, le Dr Jacques Talbot, admet que l'accusé a une maladie
psychiatrique, mais que celle-ci ne l'empêchait pas de savoir ce qu'il faisait, selon lui.
L'accusé n'était pas désorganisé; d'ailleurs, il a fui après les agressions. Par ailleurs, il
avait été vu à l'hôpital à cette époque et son moral était bon. Le Dr Talbot note
cependant que l'accusé a un sérieux problème de consommation. De son propre aveu,
il fumait au moins un ou deux joints par jour. Le psychiatre croit possible que l'accusé
ait utilisé des symptômes connus pour tenter de diminuer sa responsabilité criminelle.
L'accusé reviendra devant le tribunal le 24 avril pour la suite des procédures. D'ici là, il
devra se soumettre à une évaluation psychosexuelle afin d'éclairer la cour à son sujet.
4 MARS 2012
Article tiré de : http://981freefm.ca/london-ontario-news/man-arrested-for-sexualassault-at-london-hotel/
Man Arrested For Sexual Assault At
London Hotel
By 98.1 Free FM | March 4, 2012 at 10:14 am |
A man charged with sexual assault involving minors was found in a London hotel room
with a pair of young boys.
Niagara Regional police began investigating after allegations surfaced Thursday leading
them to a man already wanted on a number of warrants across the country.
The warrants reportedly include sexual offences involving young people and numerous
fraud-related offences.
London Police, who were assisting officers in Niagara, say the suspect was at the Super
8 on Wellington Road with two teen boys at the time of his arrest Friday, but he isn‘t
believed to have harmed the pair.
Police allege the man approached young people by promising to find them jobs.
Eugene Soucy is charged with several sexual offences, including two counts of sexual
assault and two counts of attempting to obtain sexual services from a child.
He will make his first court appearance via video-link Wednesday.
5 MARS 2012
Article tiré de : http://www.capebretonpost.com/News/Local/2012-03-05/article2916233/Former-teacher-guilty-of-sexual-assault/1
Former teacher guilty of sexual
assault
Former school teacher Michel Vienneau, 44, leaves a Sydney courtroom on Monday after being found guilty of unlawful
confinement and sexual assault. Steve Wadden - Cape Breton Post
Published on March 5, 2012
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SYDNEY — A former teacher who admitted to being a sex addict was convicted
Monday on two charges involving a drug addict who admitted to being a part-time
prostitute in order to secure cash to feed her habit.
Topics :
Sydney , Glace Bay
Michel Joseph Aubin Vienneau, 44, was convicted of unlawful confinement and sexual
assault. He had previously pleaded guilty to a charge of assault stemming from the same
incident.
Vienneau, formerly of Sydney but now living in Glace Bay, continues his release on
conditions pending the outcome of his sentencing hearing, which is scheduled for April 23.
He formerly worked as a teacher at Etoile de l‘Acadie in Sydney.
In addition, Vienneau is also charged with two counts of breaching court orders and a single
count of obstruction involving the same victim. The offences allegedly occurred after he was
released on conditions on the sexual assault and unlawful confinement. It is alleged that
Vienneau made contact with the woman when he was ordered not to have any contact. He is
scheduled to be arraigned on those charges April 4.
In his ruling, Judge David Ryan said Vienneau‘s testimony at trial and his statement to police
were riddled with inconsistencies.
―I didn‘t believe most of it,‖ said the judge, adding he found the victim gave her testimony in a
straightforward manner with no hint of embellishment.
Ryan said he concluded that Vienneau had unlawfully confined the woman at the school
during an encounter in October 2010, and that he also attempted to have sexual intercourse
with the victim, whose name is prohibited from publication.
In pleading guilty to the assault, the science and math teacher admitted to pushing the
woman away from a shelf inside the school.
Prosecutor Shane Russell called three witnesses, while defence lawyer Doug MacKinlay
called only his client.
During the trial, held in December, the court was told the 33-year-old woman and Vienneau
had sexual encounters in the past during which the woman was paid $30 or $40. The woman
testified she had a drug habit and prostitution was a way to pay for drugs.
The pair agreed to meet on Oct. 23, 2010, and Vienneau picked her up at her home and
drove to the nearby French school.
The woman told the court they argued on the way to the school, because Vienneau said he
didn‘t have any money and she was adamant there would be no exchange of services
without being paid.
Vienneau denied not paying the woman, explaining she became angry with him and
demanded more than $30.
The encounter occurred in a room on the second floor of the school. Vienneau said they both
took off their pants, but that prior to intercourse, he stopped and told the woman he was not
prepared to have sex with her.
The woman said Vienneau forced her into the school and that he removed her pants. She
said she kicked him away prior to intercourse and was able to escape the room. Once in the
hallway, she pulled a fire alarm in a bid to draw attention to the school.
Police and fire officials arrived and the woman, who Vienneau had driven home, returned to
the school and spoke to a police officer.
She later turned over a voicemail message from Vienneau warning her not to get police
involved because he would tell them she threatened to have him beaten up.
―I hope you don‘t go to police because I will have my own story,‖ Vienneau said in the
voicemail recording.
6 MARS 2012
Article tiré de :
http://www.chilliwacktimes.com/news/Chilliwack+gets+months+plus+assaults/626035
5/story.html
Chilliwack man gets 18 months
for 500-plus sex assaults
Despite previous conviction on a similar crime, judge swayed by
desire to change
BY TYLER OLSEN, CHILLIWACK TIMES MARCH 6, 2012
A Chilliwack man was handed an 18-month jail sentence Friday for sexually assaulting three
children.
The man (who cannot be named because of a publication ban on any information that could
identify his child victims, who include his nephew and former step-son) had earlier pleaded
guilty to three charges of sexual assault, along with charges of pointing a firearm and
operating a vehicle without necessary consideration.
In February, the court heard that over a period of more than seven years, the man repeatedly
assaulted three different children. One victim estimated that he was abused upwards of 500
times.
The court also heard that the man had been convicted in 1990 for sexually assaulting a 14year-old boy while he coached hockey.
While the man's defence lawyer, Ondine Snowdon, had been seeking a conditional sentence
to be served in the community, Judge Roy Dickey ruled that jail time was required and
sentenced the man to the upper range of the 12-to-18-month Crown counsel had been
seeking.
"It is extremely aggravating that [the man] has a prior record, even though dated, for a similar
type of offence where he was in a position of trust," Dickey told the court Friday. "I also find
aggravating the age of the victims, the period of time over which the offences occurred and
that there are three victims."
Citing a pre-sentence report that determined the man to be a medium-to-high risk to
reoffend, Dickey said that a conditional sentence was out of the question because the man
could still pose a danger to the community.
Dickey said the man "has now had four young victims. . . . They all occurred while he was in
a position of trust.
"Under these circumstances I am not satisfied that [the man] can serve a sentence in the
community without posing a risk to the community."
Even if that weren't the case, Dickey said, "I would also have found that the principles of
denunciation and deterrence require a sentence of natural incarceration."
Were it not for the man's early guilty plea, remorse and desire to change, Dickey said the
man would be facing a federal sentence of more than two years in jail.
The man was also sentenced to three years of probation, during which he will be prohibited
from being around children or at public spaces where children may be present.
He was also sentenced to probation for driving without due care and pointing a pellet gun at
his sister.
7 MARS 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-nouvelliste/justice-et-faits-divers/201203/07/014503250-stephane-abran-subira-son-proces-le-30-octobre.php
Stéphane Abran subira son procès
le 30 octobre
PHOTO: ÉMILIE O'CONNOR
Nancy Massicotte
Le Nouvelliste
(Trois-Rivières) C'est le 30 octobre prochain que Stéphane Abran, président du
Syndicat des enseignants et enseignantes de la Riveraine, subira son procès pour
agression sexuelle sur un mineur devant un juge de la Cour du Québec.
La date du 1er novembre a également été retenue dans l'éventualité où le procès durerait
plus qu'une journée.
On sait qu'au terme d'une enquête préliminaire tenue au palais de justice de Trois-Rivières,
Stéphane Abran, 48 ans, a été cité à subir un procès pour six chefs d'accusation
d'agressions sexuelles, d'attouchements sexuels et d'incitations à des contacts sexuels.
La présumée victime dans cette affaire serait un mineur de 13 ans. L'adolescent ne serait
toutefois pas un élève de l'école secondaire Jean-Nicolet où Abran enseignait à temps
plein depuis 1997-1998. Selon l'acte d'accusation, les faits qui lui sont reprochés seraient
survenus entre le 1er mars 2010 et le 20 août 2010 à Notre-Dame-du-Mont-Carmel et à
Saint-Maurice.
Abran est enseignant permanent en sciences humaines à l'école secondaire Jean-Nicolet
depuis l'année scolaire 1997-1998. Depuis 2010, il est libéré de ses fonctions d'enseignant,
ayant été élu président du syndicat des enseignants.
En 2000, on l'avait également accusé d'avoir agressé sexuellement deux garçons dont il
s'était occupé à la fin des années 80 et au début des années 90. Il avait cependant été
acquitté puisque la preuve s'était avérée insuffisante pour conclure à une culpabilité hors
de tout doute raisonnable.
8 MARS 2012
Article tiré de :
http://www.montrealgazette.com/news/Pastor+charged+with+teenage+assault/6269370/story.
html
Pastor charged with teenage sex
assault
BY ROCHELLE BAKER, TIMES MARCH 8, 2012
An Abbotsford pastor and missionary has been charged with sexual assault in connection to
a teenage boy.
Patrick Marini, 69, is charged with sexual assault and sexual interference in connection to an
incident on Feb. 11 involving a 15-year-old boy.
The boy's mother contacted Abbotsford Police on Feb. 16 about the incident, allegedly
involving the family's longtime friend, said Const. Ian MacDonald.
In an online Google profile, Marini describes some of his missionary expeditions, and having
acted as a pastor for a number of religious organizations, including the Resurrection Life
Ministries in Abbotsford.
Marini was educated at the Canada Christian College and Seminary and has lived in Ottawa
and Saskatchewan, according to his profile.
Marini has no previous criminal record.
9 MARS 2012
Article tiré de : http://tvanouvelles.ca/lcn/judiciaire/archives/2012/03/20120309213410.html
Agressions sexuelles sur
mineures : Jacques Desjardins
reconnu coupable
Première publication 9 mars 2012 à 21h34
Par Pierre Michaud et Alexandre d'Astous | Agence QMI
L'ex-commissaire industriel de Rimouski et d'Amqui, Jacques Desjardins a été trouvé
coupable d'agression sexuelle sur deux mineures, vendredi après-midi, au palais de justice
de Rimouski.
Le juge Richard Côté a indiqué en expliquant son verdict qu'il n'avait jamais cru les versions
présentées par l'accusé dans ses témoignages. Jacques Desjardins, âgé de 55 ans, est
accusé d'avoir porté des gestes à caractère sexuel sur deux jeunes filles âgées de 10 à 16
ans, entre juin 2002 et décembre 2008.
Les témoignages entendus lors du premier procès de deux semaines touchant une première
présumée victime ont été acceptés dans le deuxième procès. Bien que les gestes reprochés
à l'accusé soient différents - on parle de fellation dans le premier cas et d'attouchements
dans le second -, ils se seraient produits à la même époque et dans des circonstances
similaires.
Les représentations sur sentence sont prévues pour le 29 juin. Jacques Desjardins, qui a été
bénévole pour le Club de patinage artistique de Rimouski et président des Tennis de
Rimouski, subira deux autres procès pour des accusations similaires portées par deux
autres jeunes femmes, les 4 et 5 juin, ainsi que du 3 au 6 juillet.
10 MARS 2012
Article tiré de : http://www.guelphmercury.com/mobile/NEWS/article/685001
Guelph theatre personality
charged with numerous
counts of sexual assault
March 10, 2012 00:03:00
GUELPH — A well-known Guelph-area theatre personality has been charged with 14
sex-related offences involving a girl.
A Guelph Police investigation began recently into an allegation of an inappropriate
sexual relationship between a man in his mid-30s and a young female.
Jeffrey Dakin, 38, vice-president of the board of directors at Guelph Little Theatre, and
director of recent stage productions such as To Kill a Mockingbird and Alicia in
Wonderland, was arrested Thursday evening.
He is charged with four counts of sexual assault, four counts of sexual interference, five
counts of invitation to sexual touching and one count of luring.
A bail hearing resumes 10:30 a.m. Monday in Ontario Court of Justice on Wyndham
Street. The hearing began Friday afternoon for the slim man with short, brown hair, who
wore a red shirt and black pants.
Dakin, who was remanded, sat passively in the prisoner‘s dock throughout Friday‘s
proceedings.
Guelph Police Sgt. Doug Pflug said investigators learned earlier this month the suspect
and complainant ―came to know each other‖ three years ago.
Pflug would not provide many details about the alleged victim — including her age, other
than to describe her as ―a young female.‖ A charge of sexual interference, however, is
only laid if the victim is under 14 years old at the time of the allegations.
Police took the unusual step of delaying the release of a press release about the case
until after the charges had been sworn in court, so the release could include Dakin‘s
name.
―If anyone does have any information with respect to this allegation or any other we
thought it was more prudent ... to wait until we were able to put his name out there,‖
Pflug said, adding because Dakin has been affiliated with theatre groups in different
areas ―we wanted people to know the charges had been laid ... in case anyone is aware
of other cases we should be looking into.‖
A police news release Friday said Dakin has also been a volunteer at the Elmira Theatre
Company, and had been a member of various theatre groups in southwestern Ontario.
The board of directors at Guelph Little Theatre was reeling after learning the news
Friday.
―I‘m thunderstruck,‖ said Julia Lonke, who does costumes for many performances
launched by the amateur theatre company and holds a fundraising position on the board.
―It‘s shocking. Very shocking.‖
Gerry Butts, GLT president, said Dakin had been involved with the group for many years
but became more active in the last few, directing, acting, and taking positions on the
executive. As vice president, Dakin was being groomed to assume the president‘s role
next year.
Dakin is also acting in a play Butts is directing, Picasso at the Lapin Agile. The play has
made it to the finals of the Western Ontario Drama League Festival, and is to be
adjudicated next Friday.
―I don‘t know if we can put on the play without him,‖ Butts said. ―This is all so
unexpected. I just don‘t know what to say. This certainly puts us in limbo.‖
Anyone with information in relation to the allegations against Dakin is asked to call Det.
Const. Cory Sherratt of the Guelph Police sexual assault child abuse unit at 519-8241212, ext. 203. Anonymous tips can be left at Crime Stoppers at 1-800-222-8477 or
online at www.crimestoppers-wellington.com.
11 MARS 2012
Article tiré de : http://www.capebretonpost.com/News/Local/2012-03-11/article2924462/Sydney-man-facing-sex-assault,-break-and-enter-charges/1
Sydney man facing sex assault,
break and enter charges
Published on March 11, 2012
Staff ~ The Cape Breton Post
SYDNEY — A Sydney man is facing charges of sexual assault, break and enter
and breach of probation following a Cape Breton Regional Police investigation.
Topics :
Cape Breton Business College , Cape Breton Correctional Centre , Sydney
Christopher Charles French, 23, was arrested Saturday and has been remanded to the
Cape Breton Correctional Centre until Monday when he will appear in Sydney provincial
court to answer to the charges.
Staff Sgt. Stephen MacKinnon said the charges stem from the force‘s major crime unit
investigation of a residential break and enter reported to police on March 8.
MacKinnon said police are treating this as an ―isolated incident‖ and encourage the
public to come forward if they have any information involving the case.
French was sentenced to four months in jail last year for his involvement in a break-in at
the Cape Breton Business College and two car crashes that all happened on the same
night in May 2011.
He pleaded guilty to two counts of leaving the scene of an accident and single counts of
break and enter and breaching a court order.
In addition to the sentence, French was to complete a one-year probation period after
his release. He also had his driver‘s licence suspended for one year, and was ordered to
pay restitution of $359.99
12 MARS 2012
Article tiré de :
http://www.montrealgazette.com/Pastor+faces+assault+charges/6289479/story.html
Pastor faces sex assault charges
Police suspect cleric's long career could mean more alleged
victims.
BY JENNIFER SALTMAN, THE PROVINCE MARCH 12, 2012
An pastor and missionary who has ties to Maple Ridge has been charged in connection with
the alleged sexual assault of a 15-year-old boy.
Patrick Marini, 69, had a court appearance in B.C. Provincial Court in Abbotsford March 5 for
one charge of sexual interference and one charge of sexual assault.
Abbotsford police spokesman Const. Ian MacDonald said charges were recommended after
a woman called Abbotsford police on Feb. 16 to report that her son had been involved in an
"interaction" with Marini at the pastor's Abbotsford home on Feb. 11.
He is listed in a 2009 report on opencharity.ca as being the president of Surrey's Praise
Ministries of Canada. Praise conducts weekly Bible studies in Yarrow and Bible study groups
in Maple Ridge.
A message that was left for Marini at Praise Ministries wasn't returned.
Marini has no criminal record. In an online profile, Marini says he was educated at the
Canada Christian College and Seminary and has lived in Ottawa and Saskatchewan. Marini
describes some of his missionary expeditions, and his work as a pastor for a number of
religious organizations.
Marini was also a director for Resurrection Life Ministry in Abbotsford, but according to Jerry
Ross, he hasn't been affiliated with the church for at least a year.
Ross met Marini for the first time earlier this year and said that as far as he knows, Marini
hasn't been involved with any local parishes recently. He suffered a stroke in the past few
months and is "not a well man."
Because of Marini's past affiliations with a number of religious organizations, police suspect
there could be more alleged victims. Anyone with information is asked to call 604-859-5225.
Marini's next court appearance is scheduled for March 26.
13 MARS 2012
Article tiré de :
http://www.canada.com/news/Women+resort+survival+lack+shelter+spaces+report/6296262/s
tory.html
Women resort to 'survival sex' due
to lack of shelter spaces: report
BY GABRIELLE TIEMAN, FOR POSTMEDIA NEWS MARCH 13, 2012 COMMENTS (9)
A new report on women and poverty in Canada paints a dire picture of this country's "hidden"
homeless in which a lack of beds at shelters forces women to resort to "survival sex" just to
find a place to sleep.
The report, released Tuesday by the YWCA, calls for an increase in the number of womenonly shelters and support programs around the country.
"There hasn't been much action in building permanent housing for women and alleviating the
ordeals and abuse they go through," said Paulette Senior, CEO of YWCA Canada.
Women face a severe housing shortage in Northern Canada and across the country the
number of homeless women continues to rise, said the report, entitled, "'When There's No
Place like Home' A Snapshot of Women's Homelessness in Canada."
Government money given to women to support themselves barely covers the cost of monthly
rent, often forcing them onto the streets in order to save money for other necessities, says
the report.
The rent allotments within social assistance generally do not meet the actual cost of rent, the
report said, leaving many women to choose between either paying for a place to live or
covering essentials, such as food and medication.
Further, a shortage of beds at shelters has resulted in more women being turned away and
pushed back to the streets.
As a result of the lack of shelter space, women are increasingly forced to use "survival sex"
— a type of prostitution and hidden homelessness where women trade sexual favours for a
place to sleep for the night. Along with survival sex, many women couch surf between
friends' and families' homes — generally with those who exploit and abuse them — in order
to avoid the streets. These trends increase rates of sexual assault, and overall health and
psychological issues, the report's authors conclude.
But those women who do manage to pay rent make more trips to the food bank, the report
found. Between 2001 to 2011, food banks across Canada said 47 per cent of visitors were
women, girls and their children.
Accordingly, the report calls for more shelters solely for women and the creation of more
outreach programs to help women before they are forced to turn to the streets.
Caitlin Tumey, a client-care worker at Ottawa shelters, said that being downtown is the worst
place for feeding addictions.
"They all do not want to be there but that is the choice they have been faced with," said
Tumey.
Eric Desjardins, a front-line worker at Ottawa shelters, said there is a need for more beds,
but a greater need for more people to mediate between those in need and the programs
offered.
"There is a need for more beds but therapies and programs should take priority," said
Desjardins.
"The real need is for more case workers," he added. "They are the ones who refer people to
appropriate services and programs. They are continually short staffed and many go without
the proper attention."
14 MARS 2012
Article tiré de :
http://www.theprovince.com/news/Sexual+harassment+complaint+over+images+naked+wome
n+training+session+gets+ahead/6303049/story.html
Sexual harassment complaint
over images of naked women in
training session gets go-ahead
BY SAM COOPER, THE PROVINCE MARCH 14, 2012
A sexual harassment complaint from a female student who says a government-affiliated firesafety instructor showed pornographic photos of nude women will proceed.
In a B.C. Human Rights Tribunal ruling, the woman‘s complaint against the Ministry of
Forests was dismissed. But her complaint against instructor Trevor Bergstrom will move into
mediation with the goal of avoiding a full hearing, the ruling says.
The woman, Lindsay Pitcher, alleges that Bergstrom showed a series of ―Hustler Magazine‖
type images of naked women, at a government-sanctioned training session in Squamish for
forestry companies, in June 2009.
Bergstrom encouraged audience comments and offered his own remarks, ―such as that a
picture of two nude women touching each other illustrated the ‗buddy system,‘‖ Pitcher
alleged.
According to the ruling, Bergstrom said he had recognized that as the only woman in the
crowd Pitcher might be offended, and another man was enlisted to warn her racy material
would be shown.
She did not object, according to Bergstrom, but complained after seeing the images.
Pitcher claimed the display left her ―shocked, embarrassed, humiliated, upset, and anxious.‖
After she confronted Bergstrom, a number of male colleagues told her the sexualized
material was the ―norm for the forest industry,‖ and she ―should have thicker skin,‖ according
to Pitcher.
The ruling says Bergstrom said he scanned the ―training‖ images from Playboy magazine to
―relax‖ session members before a test, and they were not ―XXX‖ pornography, and he
believed Pitcher consented to view the images after being warned.
After Pitcher complained to the ministry, Bergstrom was removed from a list of approved
instructors in July 2009. Bergstrom applied for ―reinstatement‖ in November 2009, promising
he would not use ―inappropriate supplemental training materials‖ in the future. He was
restored as an approved trainer by the ministry Jan. 13, 2010, and Pitcher filed her human
rights complaint three days later, according to the ruling.
Bergstrom and the ministry denied they discriminated against Pitcher and asked for Pitcher‘s
complaint to be dismissed.
In a ruling issued Monday, tribunal member Murray Geiger-Adams said Pitcher ―was a
female student, put on the spot in a large group of men to approve, through an intermediary,
sexualized materials she had not seen.‖
The ruling suggested that Pitcher, who represented herself, did not offer evidence that the
ministry was legally responsible for the material in Bergstrom‘s training seminar.
In a statement, Ministry of Forests spokesman Brennan Clarke said ―the contractor in
question was not and has never been employed by the ministry.‖
15 MARS 2012
Article tiré de :
http://www.theprovince.com/news/Voyeur+jailed+filming+himself+having+with+women+Vanc
ouver+hotel/6312555/story.html
Voyeur jailed for filming
himself having sex with women
in Vancouver hotel
BY KEITH FRASER, THE PROVINCE MARCH 16, 2012
A Vancouver man who pleaded guilty to two counts of voyeurism after using a hidden
camera to film himself having sex with unsuspecting women has been sentenced to nine
months in jail.
Timothy Roy Beith, 60, filmed himself having sex with the two homeless, drug-addicted
women in his room at the Continental Hotel on Vancouver's east side, from February 2009 to
December 2010.
In imposing sentence on him, B.C. Supreme Court Madam Justice Catherine Bruce noted
that the accused‘s crimes were planned and deliberate and that he had preyed on vulnerable
women in the Downtown Eastside.
―Mr. Beith‘s actions must be condemned in the strongest possible terms because he chose
the weakest members of the community for his victims,‖ said the judge Thursday.
Beith, who took great care in hiding his camera in the hotel room where he lived, spliced in
scenes from commercial pornography into the several dozen videos that he created.
He used the videos for his own sexual gratification and did not distribute them.
When police executed a search warrant in his room in April 2011, they found him watching a
pornographic video of himself having sex with one of the women, neither of whom can be
identified due to a publication ban.
The judge noted that an aggravating factor was that Beith had a lengthy criminal record,
including a conviction in 2004 for one count of sexual assault involving three women.
He provided the victims with drugs or alcohol until they passed out and then had sex with
them. He also secretly videotaped the assaults.
After pleading guilty to sexual assault, Beith received a 30-month jail term. When he was
released on parole he breached his parole conditions.
The judge said there were few mitigating circumstances for Beith and noted that he felt no
remorse, and in fact believed the victims were using him.
An assessment of him found that while he had no major mental illnesses, he did possess
some psychopathic traits and was a high-risk to re-offend.
The judge imposed a nine-month jail term but reduced the sentence to five months after
giving credit for pre-sentence custody.
Beith also received three years‘ probation.
The Crown had called for a two- to three-year jail term while the defence argued that a
conditional sentence was appropriate.
The bald and bearded man, wearing red prison-issued clothing, sat quietly in the prisoner‘s
dock during sentencing. He had little reaction to the sentence.
One of the two victims sat in the Vancouver courtroom, at the back of the public gallery.
Outside court, she hugged the Crown counsel before leaving the courthouse.
kfraser@theprovince.com
16 MARS 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/la-tribune/faits-divers/201203/16/01-4506202agressions-sexuelles-sept-chefs-deposes-contre-un-homme-de-59-ans.php
Agressions sexuelles: sept chefs
déposés contre un homme de 59
ans
ARCHIVES LA TRIBUNE
Nelson Fecteau
La Tribune
(Thetford Mines) Un résidant de Thetford Mines, Roger Grégoire, 59 ans, a
comparu plus tôt cette semaine au palais de justice de Thetford Mines sous sept
chefs d'accusations à caractère sexuel.
L'individu en question aurait commis des agressions à caractère sexuel,
particulièrement des attouchements, sur des jeunes filles d'âge mineur entre 1986 et
2008.
Après son arrestation par les enquêteurs de la Sûreté municipale, Grégoire a été
conduit au palais de justice pour y répondre à un chef d'accusation d'incitation à des
contacts sexuels, trois chefs d'accusation de contact sexuel et trois chefs d'accusation
d'agression sexuelle.
À la suite de sa comparution, Roger Grégoire a été libéré sous engagement.
17 MARS 2012
Article tiré de :
http://www.ottawacitizen.com/news/Attempted+sexual+assault+near+Byron+Woodroffe/6318
826/story.html
Attempted sexual assault near
Byron and Woodroffe
BY MEGHAN HURLEY, THE OTTAWA CITIZEN MARCH 17, 2012
Ottawa police are investigating after a man pushed an elderly woman into the back of her car
Friday night and tried to sexually assault her.
Police say the woman in her 70s got out of her vehicle around 10 p.m. and walked across a
parking lot near Woodroffe and Byron avenues when she was confronted by a middle-aged
man.
The man pushed her back into her car, struck her and tried to sexually assault the woman.
The woman resisted her attacker, who fled the area on foot, police said.
The suspect is described as a white man, between 50 and 60 years old, 5-9 with a medium
build, with wavy silver hair combed forward and no facial hair.
The man was last seen wearing a navy blue windbreaker, jeans and white running shoes.
Anyone with information can call the Ottawa police sexual assault section at 613-236-1222,
ext. 5944.
18 MARS 2012
Article tiré de :
http://www.ottawacitizen.com/news/faces+sexual+assault+abduction+charges/6320268/
story.html
Man faces sexual assault,
abduction charges
OTTAWA CITIZEN MARCH 18, 2012
A 66-year-old man who police allege tried to lure a 15-year-old boy over the Internet into
meeting with him in person is facing sexual assault and abduction charges. Officers arrested
Marcel Vincent on Friday. He faces several charges, including sexual assault, invitation to
sexual touching, sexual interference, luring via a computer and abduction of a person under
16 years of age.
Police started the investigation after the boy's parents complained. Investigators ask anyone
with information about this case to call 613236-1222 ext. 5944.
19 MARS 2012
Article tiré de :
http://www.edmontonjournal.com/Delay+sentencing+hearing+prompts+judge+release+
convicted+doctor/6325272/story.html
Delay in sentencing hearing
prompts judge to release
convicted doctor
BY RYAN CORMIER, EDMONTONJOURNAL.COM MARCH 19, 2012
Inside an isolated cabin on the grounds of a retreat centre near Hinton. This photo was entered into evidence in
the trial of Javier Mauricio Castillo Cortes on Jan. 9, 2012.
Photograph by: Supplied, evidence photo , edmontonjournal.com
EDMONTON - A former pediatric doctor at the Stollery Children‘s Hospital, convicted of
sexual interference involving two boys, was ordered released from custody Monday because
of a delay in his sentencing hearing.
The hearing for Javier Mauricio Castillo Cortes, 33, was scheduled to last a day, but was
adjourned after less than an hour because a pre-sentence psychological report was not
completed in time.
Castillo Cortes had been held in the Edmonton Remand Centre since his Jan. 17 conviction
on two counts of sexual interference and one count of inviting sexual touching.
The Court of Queen‘s Bench judge in the case, Marsha Erb, is from Calgary and only sits in
Edmonton for a few weeks a year. Thus, the delay in Castillo Cortes‘s sentencing could be
as long as six months.
―He‘s got to be released,‖ Erb told court. ―I cannot hold this man in jail for six months
unsentenced.‖
Crown prosecutor Marisa Anderson opposed the release, but was overruled by Erb.
Castillo Cortes had previously posted $2,000 bail to remain out of custody before and during
his trial. That will now be increased to $5,000.
Castillo Cortes‘s lawyer, Brian Beresh, told court his client surrendered both his Canadian
and Colombian passports the first time he was on bail. Castillo Cortes is previously from
Colombia.
Castillo Cortes must remain in Alberta, stay away from people involved in his case and avoid
public parks.
The news delighted family and friends of Castillo Cortes, who all smiled as they left the
courtroom.
He knew the families of both boys he was convicted of abusing. Both were under 10 years
old at the time and both have since moved out of the country. Neither victim was a patient at
the Stollery and had no connection to the hospital or his previous work as a doctor.
Castillo Cortes withdrew from the Alberta College of Physicians and Surgeons in the late
summer of 2009.
In January, Det. Francine McVeigh of the Edmonton Police Service, who interviewed both
victims, said the convictions against Castillo Cortes were important because he could never
be in a position of trust as a doctor.
―The most important thing is he now has a designation as a child sex offender, which
ensures he‘ll never be in a position to treat children or abuse them,‖ she said after the
verdict.
Upon his conviction, Erb had ordered Castillo Cortes into custody to avoid any chance he
might flee the country.
20 MARS 2012
Article tiré de :
http://www.lapresse.ca/sports/hockey/201203/20/01-4507337-graham-
james-condamne-a-deux-ans-de-prison.php
Graham James condamné à deux
ans de prison
L'ex-entraîneur de hockey Graham James portait une cagoule rouge à son arrivée au palais de justice de Winnipeg, mardi matin.
PHOTO: PC
Chinta Puxley
La Presse Canadienne
Winnipeg
L'ancien entraîneur de hockey junior Graham James, qui a reconnu sa culpabilité
relativement à des agressions sexuelles répétées de mineurs, a été condamné à deux
ans de prison, mardi matin, à Winnipeg.
Celui qui a piloté plusieurs équipes de calibre junior s'était reconnu coupable, en décembre
dernier, d'avoir commis des agressions sexuelles répétées contre les jeunes joueurs
Theoren Fleury et Todd Holt alors qu'ils évoluaient dans la Ligue de l'Ouest pendant les
années 1980 et 1990.
Pour la juge Catherine Carlson, il est clair que James «exerçait une emprise complète» sur
ses deux jeunes victimes, parce qu'il menaçait de mettre fin à leur carrière de hockeyeur si
jamais les garçons parlaient.
Theoren Fleury et Todd Holt, deux cousins, soutiennent ainsi qu'ils ont été agressés
sexuellement des centaines de fois par James.
«Les victimes de M. James sont nombreuses, a dit la juge Carlson. Il a eu un
comportement de prédateur pour que ses victimes en viennent à dépendre de lui.»
La juge lui a interdit d'entrer en contact avec ses deux victimes.
M. Holt, qui est maintenant âgé de 39 ans, n'a pas perdu de temps à faire connaître son
mécontentement. «La sentence d'aujourd'hui est une vraie farce nationale parce que nous
savons que les agressions d'enfants atteignent maintenant des proportions endémiques
dans ce pays, a-t-il dit lors d'une conférence de presse à Cochrane, en Alberta.
«Graham James retourne, mort de rire, à la vie qu'il a toujours vécue, et il sait que la justice
pour lui n'est qu'une anomalie sur le radar.» La Couronne demandait une peine
d'emprisonnement de six ans, alors que la défense a plaidé pour une peine de 18 mois
avec sursis - excluant du même coup tout séjour en prison.
Selon la Couronne, James a abusé de la confiance de ses joueurs lorsqu'il était entraîneur,
et il y a un risque de récidive. La défense, elle, a soutenu que James est devenu l'homme
le plus détesté du hockey, et qu'il a déjà été assez puni.
La juge Carlson a mis près de 90 minutes à expliquer les motifs de sa décision. Le dossier
était complexe, a-t-elle dit, mais la seule imposition d'une période de probation n'aurait pas
été suffisante. Elle a rappelé l'intérêt public généré par l'affaire et a dit comprendre la colère
de la population.
«Aucune sentence imposée par ce tribunal ne pourrait rendre à MM. Holt et Fleury ce qui
leur a été pris par M. James», a expliqué la juge Carlson. Le fait que les deux victimes
aient été âgées de moins de 18 ans et que James se soit trouvé en position d'autorité sur
elles représentent aussi des facteurs aggravants, selon la magistrate.
«Ces agressions ont été dégradantes et humiliantes pour ces adolescents, a dit Mme
Carlson. Les gestes posés par M. James ont eu un impact important et à long terme sur les
victimes.»
Mais la juge a aussi indiqué que James avait exprimé des remords, qu'il avait présenté ses
excuses aux victimes et qu'il avait subi une grande humiliation, ce qui milite en faveur d'une
certaine clémence.
James était arrivé au palais de justice de Winnipeg mardi matin portant une cagoule rouge,
et se frayant difficilement un chemin à travers les photographes.
L'ex-joueur de la Ligue nationale de hockey Sheldon Kennedy, lui aussi victime de James
et qui a incité plusieurs autres à se manifester, était au palais de justice pour voir son
agresseur connaître sa peine dans cette nouvelle affaire.
«Ce n'est évidemment pas la sentence que nous attendions, a-t-il déclaré. Mais au moins, il
retourne en prison.»
Une autre des victimes présumées de James, Greg Gilhooly, a estimé qu'il est
«impensable qu'un type comme Graham écope de deux ans pour ce qu'il a fait».
«Mais en même temps, il s'en va en prison, a-t-il dit. Il sera en prison ce soir. Il s'en va au
pénitencier, et c'est une bonne chose (...) Est-ce que ça change ma vie quotidienne? Non.
Mais est-ce que ça me fait sourire? Absolument.»
Lundi, la juge Carlson avait refusé que les caméras de télévision soient admises à
l'intérieur de la salle d'audience pour le prononcé de la peine.
21 MARS 2012
Article tiré de :
http://www.calgaryherald.com/news/alberta/Canmore+jailed+years+confining+kissing+
young+girl+washroom/6338733/story.html
Canmore man jailed two years
for confining and kissing young
girl in washroom
BY TANYA FOUBERT, FOR THE CALGARY HERALD MARCH 21, 2012
CANMORE — A Canmore man was sentenced to two years in a federal prison after
pleading guilty to confining and kissing an eight-year-old girl in a public washroom.
Jorge Betancourt appeared in front of provincial court Judge Les Grieve on Wednesday by
closed-circuit television to make his guilty plea after his defence counsel withdrew from the
case.
―I know what I did, I‘m guilty,‖ Betancourt said. ―I want to plead guilty fast, I am willing to take
the consequence.‖
Grieve said the offences were extremely serious and sentenced the 39-year-old to two years
for charges of unlawful confinement and invitation of sexual touching of a minor and two
concurrent six-month sentences for charges of unlawful harassment and failing to comply
with release conditions.
―I can only imagine the scare that went through the mind of (the mother) whose child had
disappeared into the washroom with this person,‖ said the judge.
Assistant chief Crown prosecutor Cameron Jose said on Feb. 15, RCMP responded to the
Canmore Public Library when the eight-year-old girl, who was visiting the town on vacation,
was assaulted.
Jose said the young girl noticed the accused staring at her and went to find her mother in the
washrooms, but went into the men‘s washroom by mistake.
He said Betancourt followed her in, blocking the exit, and told her to kiss him.
―In speaking with the girl, she said he had also kissed her without her consent,‖ said the
prosecutor, adding the girl managed to flee from the washroom for help and witnesses
identified Betancourt to police.
However, he had fled the library by that time and then caught a Greyhound bus to Whistler,
B.C., where he was apprehended the next day.
―This is an allegation of sexual touching of an eight-year-old,‖ Jose said. ―We consider that to
be very serious. . . . The Crown‘s position on this is we should be looking at a range of 18
months to two years (in custody).‖
The charge of unlawful harassment, said Jose, stemmed from a series of incidents in Banff
between April 2009 and April 2011 when Betancourt followed a woman and sent her
unwanted gifts, making her fear for her safety.
Tanya Foubert is a reporter for the Rocky Mountain Outlook.
© Copyright (c) The Calgary Herald
22 MARS 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-droit/actualites/justice-et-faitsdivers/201203/22/01-4508258-septuagenaire-accuse-dagression-sexuelle.php
Septuagénaire accusé d'agression
sexuelle
PATRICK WOODBURY, LEDROIT
Jonathan Blouin
Le Droit
Un homme de 71 ans a été arrêté en lien avec une agression sexuelle et un vol
survenus dans l'ouest d'Ottawa, au cours des derniers jours.
William Studholme doit comparaître plus tard aujourd'hui au palais de justice d'Ottawa.
Le 16 mars dernier, il aurait agressé une personne dans le pâté de maisons 100 de
l'avenue Woodroffe. Quelques jours plus tard, il aurait tenté de voler une femme de 20
ans, sur la même avenue.
C'est à ce moment que la police d'Ottawa a pu lui mettre la main au collet et faire le
lien avec le premier incident. Le septuagénaire sera accusé d'agression sexuelle, de
vol et de séquestration.
Toute personne ayant des renseignements utiles à l'enquête est priée de communiquer
avec la police au 613-236-1222, poste 5944.
23 MARS 2012
Article tiré de :http://www.lapresse.ca/le-droit/actualites/justice-et-faitsdivers/201203/23/01-4508615-agression-sexuelle-dans-un-stationnement.php
Agression sexuelle dans un
stationnement
PATRICK WOODBURY, LEDROIT
Jonathan Blouin
Le Droit
La police d'Ottawa est à la recherche d'un homme qui aurait agressé une femme
dans la quarantaine, le 19 mars dernier, dans l'est de la ville.
L'incident se serait produit vers 8h45, dans un stationnement à étages de la place
Blair. La dame marchait de son auto vers l'ascenseur lorsqu'elle a été agrippée et
traînée dans un coin par le suspect. Celui-ci l'aurait touché de manière inappropriée
avant de prendre la fuite.
Selon la police, il s'agit d'un homme de race blanche, mesurant environ cinq pieds
onze pouces et pesant près de 235 livres. Il était vêtu d'un chandail foncé et de
pantalon pâle de type cargo.
Toute personne détenant des renseignements en lien avec cette affaire est priée de
communiquer avec la police au 613-236-1222, poste 5944.
24 MARS 2012
Article tiré de :
http://www.vancouversun.com/news/Putting+price+childhood/6354173/story.html
Putting a price on childhood
Canadian sex tourists are among those exploiting Cambodia's
most vulnerable
BY DAPHNE BRAMHAM, VANCOUVER SUN COLUMNIST MARCH 24, 2012
More U.S. bombs dropped on Cambodia during the Vietnam War than fell on Europe during
the Second World War. Genocide and civil war followed.
The terrible legacy is that Cambodia is one of poorest, most corrupt countries in the world
with the second highest number of landmines.
There is no social safety net. No welfare. No health care. No free schooling.
A third of Cambodians survive on less than $1 a day. The average factory worker earns $61
a month. Police are not only poorly paid, their meagre wages also have to cover the cost of
uniforms, guns and ammunition.
Judges are frequently bribed.
Cambodia is brimming with children. More than half of Cambodia's 14.7 million citizens are
18 or younger.
With all of its problems, Cambodia is a choice destination for so-called sex tourists.
British Columbians Donald Bakker and Kenneth Klassen - two of only five Canadians
convicted under the Criminal Code's Section 7 "sex tourism" provisions - came here. So did
Chris Neil, of Maple Ridge, who was on Interpol's most wanted list before being convicted in
Bangkok for sexually abusing two underaged boys.
It's impossible to know how many Canadian sex tourists have visited Cambodia and escaped
detection, just no one knows how many from other countries have come and abused
children.
The only statistic that even hints at how many Canadian sexual predators are abroad is from
Canada's Foreign Affairs Department. In response to a request under the Access to
Information Act, it says that 73 Canadians were arrested or detained abroad for abusing or
molesting children or for possessing child pornography and sought consular assistance
between 2009 and 2011.
Canada has no diplomatic office here. So any Canadians arrested would have sought help
from the Australian embassy.
The number of tourists to Cambodia - both good and bad - grows every year. Inbound
tourists increased 12 per cent in 2010 to 2.5 million. That number increased a further 26 per
cent in the first half of 2011.
What sets Cambodia apart among so-called sex-tourist destinations is the age of the
children, according to charitable organizations that rescue and counsel the survivors.
Children as young as three have been, and continue to be, rescued; the youngest are almost
always procured for foreigners.
Because raping children is normalized here, some experts say it creates situational or
opportunistic pedophiles - men who might not dream of having sex with a child at home, but
will try it here.
The Cambodian government has never updated its 2006 estimate of 30,000 children being
commercially sexually exploited.
It's also never estimated how many children have been trafficked into or out of Cambodia
bound for brothels or other forced labour.
But last June, the United Nations committee on the rights of the child special report on
Cambodia expressed "deep concern" that thousands of children are exploited in prostitution that's child rape. It also noted, "an alarming proportion of children are exposed to sexual
violence and pornography."
Among the committee's other concerns are that: perpetrators of child sexual abuse and
exploitation are rarely prosecuted because of the widespread practice of out-of-court
settlements and compensation paid to victims' families; limited action is taken against sex
offenders and operators of brothels and other sex establishments where under-aged girls are
sexually exploited; and, that rehabilitation services and shelters for victims of sexual
exploitation are almost all in the capital and almost all are run by non-governmental
organizations.
In the first nine months of 2011, 118 cases involving trafficking and children were heard in
Phnom Penh municipal court.
More were heard in other tourist-friendly places such as Siem Reap, near the famous Angkor
Wat, and the beach resort villages in and around Sihanoukville.
Part of what's pushing travelling sex offenders into Cambodia is neighbouring Thailand's
increased enforcement of child sexual abuse laws, according to western diplomatic sources
and non-governmental groups such as World Vision and ECPAT International (End Child
Prostitution, Child Pornography and Trafficking of Children for Sexual Purposes).
And with six million Cambodians under the age of 18 - and 1.6 million under the age of five there's a boundless supply of victims.
ONLINE AND UNDERGROUND
Things have changed since 2003 when Donald Bakker arrived from Vancouver and found his
victims in the notorious pedophile paradise called Svay Pak, 11 kilometres from downtown
Phnom Penh.
Little girls and boys are no longer openly marketed on Svay Pak's main street.
The trade has largely gone underground and online.
It's likely because of the Internet that Burnaby art dealer Kenneth Klassen stepped off a
plane a decade ago and within 48 hours had procured, assaulted and videotaped eight girls,
the youngest of whom was eight.
Klassen, 59, pleaded guilty in 2010 only after his attempt to have Canada's sex tourism law
declared unconstitutional failed. The court upheld the law that says any Canadian committing
sexual offences against children outside Canada is deemed to have committed that offence
in Canada. In sentencing Klassen to 11 years in jail - less than a year each for abusing six
Colombian girls and eight Cambodian girls - B.C. Supreme Court Justice Austin Cullen
described what Klassen had done as "a gross violation of the natural imperative to protect
children."
It was the longest sentence given for that offence.
Canada's first sex tourist - Bakker - received seven years in prison; two years for a
horrifically violent assault on a Vancouver woman and five for abusing seven Cambodian
girls, the youngest of whom was only seven. Bakker gets out of jail in June.
Compare that with the sentence given ex-marine Michael Pepe, who abused seven
Cambodian girls. In a Californian court around the same time as Klassen was sentenced,
Pepe was given 110 years in prison. He was 55 at the time. It's a ridiculous sentence even
for a young man, but it makes the point that Americans view sex tourism as an intolerable
crime.
And while Canada's sex tourism law is well-crafted, Klassen was the last person charged
under it.
Another British Columbian, Orville Mader, was arrested at Vancouver airport in 2007 after a
worldwide manhunt. Mader had fled home from Thailand carrying only his laptop to avoid
arrest on charges of sexually abusing a sevenyear-old boy.
A judge set Mader free on bail, but placed restrictions on him, while police investigated and
Crown prosecutors determined whether to lay sex tourism charges. Mader was restricted
from using the Internet, being in contact with children or going anywhere they might
congregate. His passport was taken away and he was to report regularly to Surrey police.
While he lived under those restrictions, Mader was convicted in absentia in Thailand. But in
November 2010, police and B.C. prosecutors allowed Mader's conditions to lapse. The
Crown had decided that the evidence didn't meet Canadian standards.
Mader was free. Whether he got his passport back, Canadian officials won't say, citing
privacy laws.
Then there's the case of Ernest Fenwick MacIntosh. Last year, the 67-year-old from Cape
Breton had his conviction on 17 charges of gross indecency and indecent assault of six
Canadian boys overturned because it had taken so long to get to court. Their allegations
dated back to the 1970s and by the time the victims came forward in 1995, MacIntosh was in
India.
Twice, the Canadian passport office failed to revoke his passport. Finally, in 2006, Canada
requested MacIntosh's extradition from India. That was the same year the Toronto Star
reported that two Indian men had alleged MacIntosh assaulted them while they were boys
living in an orphanage.
"I think there's a need for a more aggressive stand with respect to the acquisition and
analysis of intelligence and a better co-ordinated approach to [sex tourism]," Insp. Sergio
Pasin of the Canadian Police Centre for Missing and Exploited Children said in a phone
interview.
Pasin is in the process of formulating a national strategy that is likely to focus mainly on men
who access child pornography online.
"In my view, these are the individuals you really need to look at because they're grooming
and luring and then they transition from the online offender or have the potential for
transitioning from the online offender to the handson offender. So then the next phase you
have to look at is whether they have the potential to travel and have they travelled in the
past? Where have they gone? And so on."
INTERNATIONAL ACTION
Pushed by faith-based and non-governmental organizations as well as celebrities such as
Angelina Jolie and the formidable Somaly Mam, who was a child sex slave in Cambodia,
other Western governments such as the United States, Australia and Britain have made
greater efforts to prosecute sex tourists and protect children abroad.
The United States passed its sex tourism law in 1994, which was amended and renamed the
Protect Act in 2002 when it also began Operation Predator which links American police
agencies to U.S. border security, and allows them to partner with foreign governments in
both overt and covert child pornography and sex tourism investigations.
Among the recent investigations, one involved setting up a website for sex tourists that had
Canada as its destination. The two-year project, which ended in March 2011, resulted in the
conviction of two Germans and two Americans.
Operation Twisted Traveller, which was conducted in Cambodia over two years in
collaboration with a Frenchbased, non-profit organization - Action Pour Les Enfants resulted in the arrests of three Americans who had previous convictions in the United States
for sexually abusing children. The three were arrested in 2009.
One pleaded guilty; the other two are in jail awaiting trial in Los Angeles.
Earlier this month, Britain closed what was described by the international child protection
group ECPAT as "the three-day loophole," which allowed registered sex offenders to leave
the country for up to three days without notifying police. Now, they must notify authorities of
all foreign travel plans.
Earlier this year, the Australian Agency for International Development (AusAID) began
Project Childhood, a $7.5-million, three-year program involving the UN Office of Drugs and
Crime, Interpol and World Vision. Working with police and courts to increase enforcement
and with community leaders to educate children and their families, the project aims to reduce
sexual exploitation of children in tourism in the Mekong Delta region including Cambodia,
Vietnam, Thailand and Laos.
Pushed by western countries and NGOs - and because of a growing fear that "good" tourists
are now avoiding it - Thailand has increased enforcement of its child exploitation laws. But
that increased enforcement has resulted in sexual predators seeking out countries such as
Cambodia where the commitment to prosecuting and jailing child sex offenders is far from
certain.
Last year, three foreign pedophiles were granted royal pardons at the government's request.
Among those pardoned was Alexander Trofimov.
Also known as Stanislav Molodyakov, Trofimov is wanted by Interpol for having allegedly
raped six girls under the age of 10 before he fled Russia for Sihanoukville, Cambodia's
coastal resort town.
There, the 44-year-old executive director of Koh Puos Investment Group negotiated a deal to
build a $300-million resort.
But while he was doing that, Trofimov also sexually abused 15 under-aged girls, including a
mute 13-year-old.
Trofimov's sentence was initially 15 years, but that was reduced to eight years in 2010.
Then, in May 2011, Trofimov was pardoned after having served half of the reduced
sentence.
Freed in Cambodia, he remains on Interpol's mostwanted list. The Cambodian government
has not responded to a request from 14 international children's rights organizations to deport
him to Russia.
LIFELONG SENTENCE
Pedophiles most often escape arrest. Others may do their time, get pardons and disappear
to other countries where they'll likely re-offend.
But the victims are never free. "They'll always have scars," says Sue Taylor, who has
counselled dozens of survivors since coming to Cambodia in 2005. Among the survivors are
Donald Bakker's victims.
The girls refused a request to be interviewed.
"They want to put it behind them. They don't want to be reminded of the past and they don't
want to be labelled as one of Bakker's girls," says Taylor, who works for Hagar International,
an Australia-based NGO.
Even though the abuse occurred more than a decade ago, all but one of the girls is still a
minor. That's how young they were when Bakker raped them in tiny rooms in a filthy brothel
in Svay Pak, a dusty village outside Phnom Penh that's a notorious pedophile paradise.
As part of their recovery, the girls have all completed school. One or more of them may
qualify for
university
scholarships;
others
have
completed
training programs
in
administration, child care and hairdressing.
By the end of 2011, all had moved back to Svay Pak to live with their families or foster
families even though, as Taylor says, their families were complicit in selling them into Svay
Pak brothels.
"Our choice would not be to have them there. But we have to believe that with what they've
learned about empowerment and resilience, they will be able to make the right decisions."
Taylor hopes these young women have learned enough to have fulfilling lives, jobs and
relationships. She hopes that if they choose to have families, they will be good mothers and
wives.
But, she says, "I worry that they're naive and that they're really not out of danger. If they hit
hard times, I don't know if they'd go back [to a brothel]. I used to be so idealistic. Now, I
realize that you have to let them go, just as you have to let your own children go and you
hope that they remember some of the things you taught them."
What makes it all the more troubling, says Taylor, is that images of one of the girls recently
showed up on a pornographic website. She's also seen images of other sexually exploited
children on kiddie porn videos sold for a couple of bucks along the roadside in Phnom Penh.
"It's just sick that this can go on and on," she says.
"How can the survivors really ever escape?"
STOLEN INNOCENCE
How foreign sex tourists exploit Cambodia's children
DAY 1, TODAY: The commercial sexual exploitation of children
DAY 2, March 26: Inside the notorious village of Svay Pak, Cambodia
DAY 3, March 27: Brian McConaghy: One man, making a difference
DAY 4, March 28: The boys
of Cambodia DAY 5, March 29: Problems with politics and the law
DAY 6, March 30: Where we go from here
dbramham@vancouversun.com
25 MARS 2012
Article tiré de :
http://www.calgaryherald.com/news/Suspect+assault+deemed+likely+reoffend+board+hearing
/6355912/story.html
Suspect in sex assault was
deemed 'likely to reoffend' at
board hearing
Deportation on hold while cases pending
BY STEPHANE MASSINON, CALGARY HERALD MARCH 25, 2012
The man who was charged with sexually assaulting a developmentally disabled woman on
Wednesday was deemed "likely to reoffend" when he was ordered deported from Canada
last month.
Lousy Khalil, 34, has been fighting his February 2011 deportation - he was ordered out of the
country on the grounds of serious criminality after two sexual assault convictions on
strangers he met on the bus - back to Lebanon.
He appealed the deportation and the Immigration and Refugee Board tossed out the appeal
last month. In its removal order, the board said Khalil had not sought any professional help.
"These offences are serious and without any credible promise of change, I find the appellant
is likely to reoffend," wrote IRB member Lynne Cunningham in her decision dated February
18, 2012.
But he has not been deported because he has two unrelated sexual assault cases pending
before the courts and those take precedent.
In the most recent case, Calgary police say he befriended the vulnerable victim at a
restaurant on Wednesday evening, lured her to a northeast home and sexually assaulted
her.
Khalil was previously convicted and jailed after following two women off public transit buses
in two separate occasions in 2007, grabbing them and trying to forcefully remove their pants.
He was scared off in both instances.
During his immigration hearings, Khalil offered up a bizarre story to explain the two sexual
assaults.
He told the immigration board his acquaintances had surreptitiously slipped some pills into a
Tim Hortons cake he'd eaten and blamed that for the attacks.
"The appellant's version of events sounded nonsensical, especially because he stated that it
happened to him twice in the same way," wrote Cunningham.
Khalil also said he continued to spend time with the people he claimed had drugged him and
bought a stolen computer from them.
"He accepts little responsi-bility for his crimes, instead relying on a nonsensical story about
eating cake with pills in it. He testified that not only did this happen to him once, but also that
it occurred a second time and in both instances he sexually assaulted unsuspecting victims.
He stated that he could not remember the offences, but he remembered everything up to the
point of the sexual assault," reads the decision.
"Furthermore, instead of avoiding these friends who allegedly surreptitiously gave him the
pills, he went to a hotel to buy a $500 computer for $100 from them. Once again, he found
himself in trouble with the law. In short, I did not find the appellant credible."
In his favour, she found that Khalil was a hard worker at his seasonal construction job and he
also has family in Canada and support from his mosque, though she wondered if they were
aware of his criminal convictions.
Khalil has been in Canada since 2006 when he was sponsored by his then-wife, who is also
his cousin, to come to the country.
He is now in custody after his first appearance in court for Wednesday's alleged sexual
assault.
smassinon@calgaryherald.com
26 MARS 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201203/26/01-4509529-abus-sexuels-des-clercs-st-viateur-le-recours-collectif-estautorise.php
Abus sexuels des Clercs StViateur: le recours collectif est
autorisé
PHOTO: ARCHIVES LA PRESSE
Anabelle Nicoud
La Presse
La Cour supérieure de Montréal vient d'autoriser un recours collectif pour les victimes
d'agressions sexuelles de l'Institut Raymond-Dewar.
Le recours autorisé s'étend entre 1940 et 1982, alors que l'Institut montréalais, placé sous
la gestion de la congrégation des Clercs Saint-Viateur, accueillait des enfants sourds et
muets.
L'établissement était alors connu comme l'Institut des sourds de Montréal.
«C'est une première étape, oui, mais une étape marquante», dit Carlo Tarini, directeur de
l'Association des victimes de prêtres. Selon lui, il s'agit du plus important cas d'abus
sexuels d'enfants sourds en Amérique du Nord.
34 agresseurs ont été identifiés, parmi lesquels 28 religieux et 6 laïcs, et une quinzaine
d'anciens pensionnaires, et victimes d'agressions sexuelles, se sont d'ores et déjà
manifestées.
Dans sa décision, la juge Eva Petras note que les enfants confiés à l'Institut étaient
particulièrement vulnérables, et n'avaient pas les moyens d'alerter leur entourage des actes
dont ils étaient victimes.
La requête a été initiée il y a un an et demi par Serge D'Arcy, un pensionnaire de l'Institut,
entre 1964 et 1972. Il avait 9 ans quand il a commencé à être violé par huit hommes: des
religieux, mais aussi deux employés, dont un professeur.
À l'époque, il avait dénoncé ses agressions au psychologue de l'Institut. En vain.
Sa vie a été hantée par le souvenir de ces viols.
Selon lui, plus d'une centaine d'enfants ont vécu la même histoire, alors qu'ils étaient
pensionnaires, ou non, de l'Institut du 7400 boulevard Saint-Laurent.
La Congrégation St-Viateur pourrait devoir verser des indemnités de 100 000 $ à chaque
victime.
27 MARS 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201203/27/01-4509829-proces-de-tania-pontbriand-un-reve-devenu-triste-realite.php
Procès de Tania Pontbriand: un
rêve devenu triste réalité
Tania Pontbriand est accusée d'agression sexuelle et de contacts sexuels alors qu'elle était en position d'autorité.
PHOTO: IVANOH DEMERS, LA PRESSE
Christiane Desjardins
La Presse
Même dans ses rêves les plus fous, un adolescent de 15 ans n'avait jamais pensé
entretenir un jour une relation torride avec une enseignante de son école, «la
plus hot», mariée et qui avait deux fois son âge. Si l'on se fie au témoignage du
jeune homme qui a témoigné mardi au procès de Tania Pontbriand, c'est pourtant
ce qui lui est arrivé.
Mme Pontbriand est accusée d'agression sexuelle et de contacts sexuels alors qu'elle
était en position d'autorité. Les faits reprochés se seraient produits entre 2002 et 2004,
alors qu'elle enseignait l'éducation physique à l'école secondaire Rosemère, que
fréquentait le plaignant. Le garçon avait 15 ans au début de la relation,
Mme Pontbriand en avait 32. Il est aujourd'hui un étudiant dans la mi-vingtaine.
Le jeune homme a repris le témoignage qu'il avait commencé à rendre en septembre
dernier, puisque le procès se déroule par à-coups. Selon ses explications, il a eu de
200 à 300 relations sexuelles avec son enseignante. Au début, celle-ci lui a déclaré
son amour et a soutenu qu'ils étaient des âmes soeurs. Ils se voyaient en cachette.
Selon le témoignage du garçon, ils ont eu des relations sexuelles chez elle, chez lui, à
l'école, dans la voiture de madame, dans le bois, en camping... Ils se sont presque fait
surprendre à plusieurs reprises, mais ils ont toujours réussi à s'en tirer, finalement.
Mme Pontbriand a mis fin à la relation au bout de deux ans, après avoir rencontré un
autre homme. Le jeune homme, qui vivait alors en appartement à Montréal et était en
première année de cégep, dit en avoir été très perturbé. Il a gardé le silence pour ne
pas faire de tort à Mme Pontbriand. En 2007, il s'est décidé à porter plainte.
La défense a amorcé son contre-interrogatoire en après-midi, mardi. Me Isabelle
Patoine a interrogé le garçon sur un travail sur soi de 50 pages que le garçon avait
réalisé en une douzaine d'heures en 9e année. Mme Pontbriand lui avait accordé une
note de 99% pour ce travail. Plus tard, au cours de leur relation, elle aurait ajouté des
notes à double sens dans les marges du document. Le procès se poursuit aujourd'hui
à Saint-Jérôme.
28 MARS 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201203/29/01-4510435-sexe-chez-le-dentiste-du-cannibalisme-dit-la-plaignante.php
Sexe au cabinet: une «relation
d'affaires», soutient le dentiste
PHOTOTHÈQUE LA PRESSE
Christiane Desjardins
La Presse
Un dentiste peut-il mettre son pénis dans la bouche engourdie d'une patiente et
invoquer la «relation d'affaires»?
C'est l'explication que le dentiste Mirhan Dadourian a donnée à son ordre professionnel, il y
a un an, lorsqu'il a plaidé coupable à une infraction déontologique d'inconduite sexuelle.
Son geste lui a valu une radiation de trois mois et 1000$ d'amende. L'homme de 64 ans
doit maintenant répondre de ses actes en Cour du Québec, puisqu'il a été accusé
d'agression sexuelle dans la foulée de cette affaire. Son procès doit s'ouvrir aujourd'hui, à
Montréal.
>>> Un extrait de la lettre au conseil de discipline de l'Ordre des dentistes du Québec
Les faits reprochés se sont produits le 1er octobre 2008, au cabinet du Dr Dadourian, à
l'endroit d'une patiente d'origine africaine. Le Dr Dadourian soutient que c'est cette patiente
venue le consulter pour deux caries qui l'a provoqué sexuellement en tenant des propos
salaces à propos de la circoncision et de la grosseur des pénis. Cela aurait incité monsieur
à demander une fellation, qu'il affirme avoir rétribuée en argent comptant. C'est du moins
ce qu'il a soutenu devant le conseil de discipline de l'Ordre des dentistes du Québec.
Au terme des plaidoiries sur la sanction, le Dr Dadourian a demandé la clémence. Il
espérait un mois de radiation au lieu de la sanction minimale de trois mois. Il a demandé au
conseil de tenir compte du fait que sa conjointe n'était pas au courant de son incartade et
que son couple serait en péril si elle l'apprenait.
Dans sa décision, le conseil a répondu que si la relation conjugale de monsieur était à
risque, «elle aurait dû l'inciter à la réflexion avant l'action».
Le conseil a signalé que le Dr Dadourian avait plaidé coupable du bout des lèvres, car il
banalisait l'événement en le réduisant à une «relation d'affaires avec consentement
mutuel».
D'ailleurs, le consentement ne devait pas être aussi mutuel que le Dr Dadourian le prétend,
puisque la patiente a porté plainte à l'Ordre des dentistes et à la police. Le dentiste a repris
son droit de pratique le 19 juillet dernier, après trois mois de radiation.
29 MARS 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-droit/actualites/justice-et-faitsdivers/201203/29/01-4510598-policier-accuse-dagression-sexuelle-ordonnance-de-nonpublication.php
Policier accusé d'agression
sexuelle: Ordonnance de nonpublication
PHOTO: ÉTIENNE RANGER, ARCHIVES LE DROIT
Louis-Denis Ebacher
Le Droit
Une ordonnance de non-publication a été prononcée dès le début de l'enquête
préliminaire de l'ex-policier de Gatineau Jeffrey Greetham, accusé d'agression
sexuelle sur une jeune femme.
Les faits remontent à 2010, mais il est impossible de divulguer le contenu de l'enquête
préliminaire qui se déroule depuis jeudi matin, au palais de justice de Gatineau. Ils auraient
eu lieu entre le 21 avril et le 1er mai 2010 et impliquent une femme qui avait 20 ans à
l'époque.
M. Greetham a été congédié le 9 février 2011 à la suite d'une enquête disciplinaire sur les
allégations de nature criminelle.
Un juge de l'extérieur, Michel Babin, entend la cause.
30 MARS 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-nouvelliste/justice-et-faits-divers/201203/30/014510808-abus-sexuels-stephane-robert-nie-tout.php
Abus sexuels: Stéphane Robert
nie tout
Stéphane Robert lors de son passage au palais de justice de Trois-Rivières.
PHOTO: ÉMILIE O'CONNOR
Nancy Massicotte
Le Nouvelliste
(Trois-Rivières) Dans le cadre de son procès pour agression sexuelle, Stéphane
Robert, 45 ans de Trois-Rivières, soutient n'avoir jamais abusé sexuellement d'une
jeune fille pendant une dizaine d'années, ni même de l'avoir violentée.
«Il ne s'est jamais passé d'événements de nature sexuelle. Je n'ai pas fait les choses
qu'elle a dites», a-t-il déclaré hier après-midi tandis qu'il était interrogé par son avocat, Me
Alexandre Biron. Après avoir longuement parlé des multiples déménagements et
changements d'emploi qui ont marqué sa vie, Stéphane Robert a indiqué ne pas
comprendre pourquoi la jeune femme, aujourd'hui âgée d'une vingtaine d'années, avait
porté plainte contre lui en 2007. «Cette enfant voulait toujours être avec moi. Elle n'était
pas dans l'obligation de rester avec nous. Je ne comprends pas. Malgré des petites
chicanes, la relation était bonne», a-t-il précisé.
Il avait même apporté, hier, des photos de la présumée victime habillée légèrement, dont
l'une d'elles la montrant en maillot de bain. Il a expliqué que son but était seulement
d'illustrer l'absence de sévices physiques sur son corps. «Ce n'est pas qu'elle aimait se
montrer mais elle s'habillait comme les jeunes, c'est-à-dire qu'elle portait souvent des gilets
bedaine et des pantalons taille basse», a-t-il précisé.
Rappelons que Stéphane Robert aurait agressé sexuellement une jeune fille plus d'une
trentaine de fois alors que celle-ci était âgée de 5 à 15 ans. Les faits qui lui sont reprochés
seraient survenus entre 1995 et 2004. Il se serait livré principalement à des attouchements
sur les parties génitales de l'enfant mais à une occasion, il aurait également introduit le
vibrateur de sa conjointe dans le vagin de la présumée victime, âgée seulement de 12 ans.
Des accusations de voies de fait ont également été portées contre lui pour des sévices
physiques.
Lors de l'ouverture du procès devant le juge Pierre L.-Rousseau le 13 mars dernier, on
avait d'ailleurs pu entendre la présumée victime témoigner avec beaucoup d'émotions des
sévices qu'elle aurait subis pendant sa jeunesse, lorsqu'elle était placée en présence du
prévenu. Elle avait notamment déclaré: «J'ai été abusée à de nombreuses reprises. Ça
peut paraître vulgaire de dire cela de cette façon mais c'était mon mode de vie.»
Une plainte avait finalement été portée en octobre 2007 à la police de Trois-Rivières.
L'enquête avait par la suite conduit au dépôt d'accusations.
Hier, la procureure aux poursuites criminelles et pénales, Me Martine Tessier, a d'ailleurs
confronté le prévenu sur sa déclaration faite aux policiers. Dans celle-ci, particulièrement
incriminante, il avouait avoir abusé de la jeune fille pendant dix ans.
En guise de défense, il a rétorqué qu'il avait signé cette déclaration sous le coup de
l'émotion parce qu'il était dévasté par la plainte. «Les policiers m'ont dit que si je signais
cette déclaration, ça serait mieux pour la plaignante. J'ai donc signé ce que les policiers
avaient écrit. Je pleurais beaucoup», a-t-il répondu.
Hier, on a également pu entendre les témoignages de la soeur du prévenu, d'un ancien
colocataire et de sa nouvelle conjointe. Tous ont déclaré sous serment ne rien avoir
remarqué de spécial tant sur le corps de la présumée victime que dans sa relation avec
Stéphane Robert. Le procès devrait se poursuivre le 20 avril.
31 MARS 2012
Article tiré de :
http://www.thestarphoenix.com/news/guilty+sexual+assault+underage+girl/6389938/sto
ry.html
Man guilty of sexual assault on
underage girl
BY LORI COOLICAN, THE STARPHOENIX MARCH 31, 2012
Testifying at his trial in Court of Queen's Bench last month, Jason Curtis Berger flatly denied
the allegations of a teen who said he had sex with her three times when she was 13 and 14
years old while visiting relatives on an acreage west of Saskatoon.
Berger, 26, is now facing time behind bars after a judge convicted him Friday of sexual
assault.
"I believe the complainant," Justice Neil Gabrielson said in announcing the guilty verdict.
"She impressed me as an intelligent and credible witness. She was able to relate in
considerable detail the particulars of each of the three incidents. She was subject to a full
day of rigorous cross-examination and yet maintained her composure and her position that
the accused had sexual relations with her."
The complainant, whose identity is subject to a publication ban, admitted she had a "crush"
on Berger at the time of the incidents. Because she was under 16 years of age, she was
legally incapable of consenting to have sex with him, Gabrielson noted.
The girl said she had been drinking when Berger led her away from a group of people who
were sitting around a bonfire on a July night in 2008, suggesting they go for a walk together.
She said he took her to a van parked nearby, where he had sex with her before they
returned to the fire.
Although Berger denied ever leaving the fire pit with the girl that night, two other witnesses
confirmed that he had, telling court the girl was crying when she and Berger got back to the
group. One of those witnesses also testified that Berger had tried to influence the testimony
he gave in court, the judge noted.
The girl said Berger had sex with her a second time on the night of the bonfire, in a
basement bathroom at the acreage.
He denied having been in the basement at all that night, but a witness confirmed having
seen Berger follow the girl into the bathroom. The identity of the witness can't be published
under the Youth Criminal Justice Act.
"She confirmed that they were gone for a long time and that when the complainant came
back she was crying," Gabrielson said.
The third incident happened months later, while the girl was again visiting the acreage and
staying overnight on a couch in the basement.
She said Berger slept on the floor next to the couch and during the night he pulled her down
beside him and had sex with her.
In that case, the same witness told court she heard movement in the area of the couch as
she went past on her way to the bathroom that night and that both Berger and the
complainant were awake and had spoken to her.
The complainant disclosed the incidents while meeting with social workers because of
problems she was having at school in April 2009, court heard.
Crown prosecutor Buffy Rodgers told Gabrielson she intends to argue for a penitentiary term
- meaning at least two years in custody - when Berger returns to court for sentencing on May
25.
lcoolican@thestarphoenix.com
1 AVRIL 2012
Article tiré de : http://www.lfpress.com/news/london/2012/04/01/19578906.html
Recruit charged with sexual
assault
By CRAIG GLOVER, THE LONDON FREE PRESS
Last Updated: April 1, 2012 5:56pm
Elgin County OPP have arrested and charged a recruit following an investigation into an
incident at the Ontario Police College in Aylmer around 1 a.m. on Saturday morning.
Police have arrested Thomas Rekem, 25, of Mississauga in connection with the assault
of a fellow recruit. Rekem has been charged with sexual assault, forcible confinement
and criminal harassment.
"The incident was brought to our attention by the victim," said Elgin County OPP
Constable Troy Carlson. "We aren't aware of any other related incidents, but we are
investigating."
Rekem was held in custody pending a show cause hearing on Sunday.
2 AVRIL 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/la-voix-de-lest/actualites/201204/01/01-4511484le-plus-vieux-mensonge-du-monde.php
Le plus vieux mensonge du
monde
Marilou est une jeune femme de 20 ans qui songe fortement au suicide. Ayant eu une
enfance pas du tout rêvée, placée en famille d'accueil en bas âge, Marilou se sent
seule à l'intérieur.
Voici l'histoire de Marilou.
Marilou avait 14 ans, est arrivé le prince charmant, qui l'a couverte de cadeaux et de
compliments. Enfin, elle avait de l'attention, de la reconnaissance, des marques d'affection.
Marilou se sentait revivre.
La lune de miel terminée, une fois qu'elle a été bien accrochée, son prince charmant (un
proxénète que l'on appellera PIMP pour la compréhension de l'histoire) l'a fait chanter. Il lui
a fait sentir qu'elle lui devait quelque chose et graduellement, il a fait tomber ses
résistances afin de la manipuler, bref, il a fait d'elle SA CHOSE. Elle a subi le rituel du
GANG BANG (agression sexuelle collective) afin de brouiller ses repères de respect,
d'égalité et de sexualité saine. Marilou s'est sentie perdue.
À 14 ans, Marilou s'est retrouvée sous l'emprise d'un gang de rue et s'est fait prostituer par
celui-ci. (Comprendre ici qu'elle s'est fait exploiter sexuellement)
Mais attention, grâce à la cour d'appel de l'Ontario, la grand-mère de Marilou se réjouit du
fait qu'à partir de maintenant, Marilou pourra ouvrir sa propre maison de débauche. Elle ne
se fera plus battre, violer et exploiter. C'est elle qui va gérer tout ça. Elle aura simplement à
demander son 4 % à son PIMP en lui expliquant qu'elle aimerait se partir en affaires avec
une gang de filles...
Pensez-vous vraiment que Marilou va pouvoir faire ça?
Quand 92 % des femmes ayant un vécu en lien avec la prostitution affirment que si elles le
pouvaient, elles en sortiraient;
Quand on sait que l'âge d'entrée moyen dans la prostitution est de 14 ans;
Quand on sait que le taux de mortalité des femmes prostituées au Canada est 40 fois
supérieur au reste de la population;
On devrait se questionner.
Que l'on parle de prostitution, de maison close ou de débauche, de bar de danseuses ou
de salon de massage ou encore d'escortes ou autres, on parle d'EXPLOITATION
SEXUELLE POINT. On parle d'une industrie du SEXE qui fait du gros argent à qui on vient
de donner le feu vert en prétextant qu'on le fait pour la sécurité des femmes prostituées.
Pourquoi ne pas donner à Marilou l'opportunité, les ressources et les outils nécessaires
pour se sortir de cette situation plutôt que de donner l'impression à toute la population que
la prostitution c'est un métier comme les autres?
En tant qu'homme/femme/société, on se doit de prendre position contre ce jugement;
En tant que femme/homme/société, on doit cesser de dire que la prostitution est le plus
vieux métier du monde, mais bien le plus vieux MENSONGE du monde.
Sophie Labrie
Pour le CALACS de Granby
Centre d'aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel
3 AVRIL 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201204/03/01-4512154-un-homme-est-condamne-pour-un-meurtre-commis-a-15-ans-ily-a-27-ans.php
Un homme est condamné pour un
meurtre commis à 15 ans, il y a 27
ans
La Presse Canadienne
Sarnia, Ontario
Un homme a été reconnu coupable du meurtre d'une femme de 70 ans commis en
1983 à Petrolia, en Ontario - à une époque où il n'était âgé que de 15 ans.
L'homme de 44 ans a été reconnu coupable lundi de meurtre prémédité et d'agression
sexuelle grave, en lien avec le décès de Velma Thomson.
L'homme ne peut être identifié en raison de son âge au moment du crime, mais la
Couronne réclame néanmoins une peine pour adulte.
Un des avocats de la défense, David Stoesser, a expliqué que les peines pour jeunes
prévoient une incarcération obligatoire de six ans, suivie d'une liberté surveillée de quatre
ans.
Les arguments des avocats seront entendus le 11 mai, date à laquelle la date de l'audience
sur la peine sera déterminée.
La police avait arrêté l'homme à Owen Sound en juin 2008. Adolescent, il habitait dans la
région de Sarnia, près de la résidence de Mme Thomson.
La preuve de la Couronne s'appuyait sur des empreintes digitales et des traces d'ADN
4 AVRIL 2012
Article tiré de :
http://www.ottawacitizen.com/news/chased+down+brother+Jason+Spezza+convicted+a
ssault/6411187/story.html
Man chased down by brother of
Jason Spezza convicted of sex
assault
BY MARIANA IONOVA, POSTMEDIA NEWS APRIL 4, 2012
.Photograph by: Greg Pender , The StarPhoenix
OTTAWA — A man accused of attacking a female friend before being chased down by a car
carrying the younger brother of Ottawa Senators star Jason Spezza and a friend, was found
guilty Wednesday of sexual assault, confinement and uttering a death threat.
Ontario Superior Court Justice Robert Beaudoin rejected the evidence presented by Sherlon
Satkunarajah, 23, saying the accused's contradictory testimony and his "lack of candour"
made his story difficult to believe.
Satkunarajah was accused of groping the victim and forcibly confining her in his car while the
two were driving from Ottawa to Brockville, Ont., after an evening of heavy drinking on Sept.
18, 2009.
The court heard he had asked her to perform oral sex on him and, when she refused, he
threatened to kill her and "leave her in the fields."
The woman managed to break free, leaped out of the moving vehicle and ran to the middle
of the road screaming for help. She caught the attention of a black Porsche carrying Matthew
Spezza and driven by his friend Ryan O'Connor, who stopped to take the woman in. The two
Good Samaritans then embarked on a high-speed chase of the woman's assailant, which
reached speeds of 160 kilometres per hour.
Satkunarajah had denied the sexual assault had taken place, claiming the two were lost on a
dark road when the woman got out of the car and ran onto the road. He said he yelled after
her, telling her to get off the road or she "would get killed."
But, in his testimony, Spezza said he had heard a male voice threatening to kill the victim
and leave her in a field.
Beaudoin said the similarity between Spezza's testimony and the victim's account was too
remarkable to ignore and worked to discredit Satkunarajah.
"His story about being lost is particularly hard to believe," he told the court.
The judge also rejected Satkunarajah's claim that the victim had called 911 to get directions.
"The first few minutes of the 911 call reveal a frightened woman seeking help, not asking for
directions."
Satkunarajah, who had pleaded guilty to charges related to impaired driving, was also found
guilty of dangerous driving.
Court will resume on May 4, when a sentencing date will be set.
In the meantime, Satkunarajah will remain out on bail with the condition that he turn any
travel documents over to authorities.
© Copyright (c) The Ottawa Citizen
5 AVRIL 2012
Article tiré de :
http://www.lapresse.ca/la-voix-de-lest/actualites/201204/04/01-4512603-
sevices-sexuels-sur-ses-enfants-droit-de-visite-refuse-a-laccusee.php
Sévices sexuels sur ses enfants :
droit de visite refusé à l'accusée
En liberté sous conditions, la femme de 34 ans de la région de Brome-Missisquoi n'a pas réagi à la décision de la cour.
PHOTO LA VOIX DE L'EST
Pascal Faucher
La Voix de l'Est
(Cowansville) Au terme du laborieux témoignage d'une mère accusée d'avoir violé ses
enfants, le tribunal n'a eu aucune hésitation, hier, à lui refuser un droit de visite.
«Vous dites ne pas vous souvenir des événements, mais ça ne veut pas dire qu'ils ne se
sont pas produits, a déclaré la juge Johanne Denis, de la chambre de la jeunesse au palais
de justice de Cowansville. Comment pouviez-vous ignorer complètement ce qui se passait
sous votre toit? J'ai pas mal de difficulté avec ça.»
La magistrate a aussi enjoint aux services sociaux de prendre en charge les trois enfants
de 8 à 13 ans de la présumée marâtre - que l'on ne peut nommer afin de ne pas identifier
les victimes - afin de leur assurer un suivi psychologique adéquat.
La mère, a ajouté la juge Denis, pourra éventuellement avoir des contacts avec ses enfants
de façon graduelle et «à des fins thérapeutiques» pour eux, les en éloigner pour de bon
n'étant pas non plus souhaitable.
Confidences troublantes
En liberté sous conditions, la femme de 34 ans de la région de Brome-Missisquoi n'a pas
réagi à la décision de la cour. Pas plus qu'elle n'avait réagi à l'écoute des témoignages de
ses enfants présentés sur vidéo lors de l'audience précédente.
Les confidences de ceux-ci, deux filles et un garçon, avaient de quoi glacer le sang. Depuis
2010, ils auraient été forcés de participer à des jeux sexuels avec leur mère et son
nouveau conjoint. L'aînée aurait eu plusieurs relations complètes avec son ex-beau-père et
sa mère, en plus d'avoir eu à filmer les ébats du couple. Des amphétamines auraient aussi
été administrées aux enfants, parfois à leur insu. La mère et son ex-conjoint sont accusés
d'agressions sexuelles au criminel. Tous deux nient les faits allégués.
6 AVRIL 2012
Article tiré de :
http://www.vancouversun.com/news/Police+search+high+risk+offender/6421453/story.
html
Police search for high-risk sex
offender
Canada-wide search ongoing for James Patrick Benson
BY ALEESHA HARRIS, VANCOUVER SUN APRIL 6, 2012
Benson is described as a 5-foot 8-inch Caucasian male weighing approximately 200
pounds with short brown hair and brown eyes. He wears prescription glasses and has
scars on his left forearm and left calf. Benson also has multiple tattoos including one
on his left forearm reading ―MORBID‖ in tribal letters, ―01-17-07? on the inside of his
left wrist, ―LOST SOUL‖ on his upper chest, a flame design on his left thigh, and tribal
art on his upper right arm, police say.
Photograph by: Handout , VPD
VANCOUVER -- Vancouver Police are asking for the public‘s help in locating 32-year-old
James Patrick Benson, a high-risk sex offender who is wanted Canada-wide.
Benson was reportedly staying at a halfway house in Vancouver while serving a Long Term
Supervision Order, but fled late Thursday night.
Police say Benson‘s criminal history dates back more than a decade and includes multiple
convictions for offences including sexual assault, attempted murder, extortion as well as
various property and weapons offences committed near Calgary.
Benson is described as a 5-foot 8-inch Caucasian male weighing approximately 200 pounds
with short brown hair and brown eyes. He wears prescription glasses and has scars on his
left forearm and left calf. Benson also has multiple tattoos including one on his left forearm
reading ―MORBID‖ in tribal letters, ―01-17-07″ on the inside of his left wrist, ―LOST SOUL‖ on
his upper chest, a flame design on his left thigh, and tribal art on his upper right arm, police
say.
Benson, who last breached his release conditions at the end of February 2011, was found
about a week later at a friend‘s house in Port Mellon on the Sunshine Coast, according to a
police report.
Police are asking anyone with information or who sees Benson to call 9-1-1 immediately.
© Copyright (c) The Vancouver Sun
7 AVRIL 2012
Article tiré de :
http://www.theprovince.com/news/Police+warning+after+sexual+assault+Vancouver+
West+49th/6422092/story.html
Police warning after sexual
assault on Vancouver‟s West
49th
BY STAFF REPORTER, THE PROVINCE APRIL 7, 2012
VANCOUVER — Police are issuing a public warning after a woman was sexually assaulted
while walking early Friday morning in Vancouver.
At about 6:40 a.m., a woman in her late 50s was walking in the 200-block West 49th Avenue,
police say, when a man suddenly grabbed her, dragged her into some nearby bushes and
sexually assaulted her.
The man ran off after a short time and the victim, who was not physically injured in the
attack, called police after making her way home.
Police have not located the suspect, described as a white male, five-foot-10, in his 30s or
40s. He was wearing a black hat, black jacket and white pants.
Police are asking anyone who saw anything suspicious in the area around the time of the
incident to call the Vancouver police sex-crimes unit at 604-717-2589 or Crime Stoppers, 1800-222-8477.
© Copyright (c) The Province
8 AVRIL 2012
Article tiré de : http://blogues.lapresse.ca/boisvert/2012/04/08/agressions-sexuelles-laproposition-aussant/
Agressions sexuelles: la
proposition Aussant
Jean-Martin Aussant, chef d‘Option Nationale, a trouvé une oreille sympathique à sa
suggestion, jeudi.
L‘ex-député péquiste suggère d‘abolir la prescription de trois ans imposée aux victimes
d‘agression sexuelle pour poursuivre au civil leur agresseur.
En droit criminel au Canada, il n‘existe aucune prescription: même 50 ans plus tard, si la
preuve est suffisante, une personne peut être poursuivie pour un crime.
Mais en matière civile, quand une personne réclame des dommages pour une faute, il y a
prescription, et elle varie selon les délits.
En matière d‘agression sexuelle, elle est de trois ans au Québec suivant le Code civil. On
accepte cependant qu‘elle ne commence à courir qu‘au moment où la victime prend
conscience des événements, parfois des années plus tard.
Ailleurs, les règles varient.
Mais on sait depuis longtemps que pour toutes sortes de raisons, les victimes d‘agression
sexuelle hésitent à porter plainte, ou ne réalisent pleinement les événements, ou ne
décident de porter plainte qu‘avec des années de retard.
Il y a donc lieu d‘être plus souple en la matière.
Est-ce que cela ouvre la porte à des abus? Il y a moyen de les contrer, car après tout, plus
le temps passe, plus la preuve est difficile à faire.
Mais historiquement, les abus judiciaires au civil ont surtout été subis par les victimes, pas
par les faux accusés.
Ça ne veut pas dire qu‘il faut amoindrir les critères de preuve. Mais simplement que la règle
rigide des trois ans ne devrait effectivement pas plus s‘appliquer en pareils cas.
Et pour une rare fois, le gouvernement, par la bouche du ministre de la Justice Jean-Marc
Fournier, se dit totalement ouvert à la suggestion de l‘opposition. Il en avait d‘ailleurs déjà
parlé par le passé.
On attend donc, après Pâques, sa version de cette suggestion du député Aussant.
(ce blogue ne sera pas modéré pour cause de congé, svp ne pas envoyer de commentaire)
9 AVRIL 2012
Article tiré de :
http://www.theprovince.com/news/Police+arrest+high+risk+offender+after+skipped+halfway
+house/6429490/story.html
Police arrest high-risk sex
offender after he skipped out on
halfway house
THE PROVINCE APRIL 9, 2012
James Patrick Benson
Photograph by: Submitted Photo , The Province
A high-risk sex offender wanted on a Canada-wide warrant was arrested early Sunday in the
Downtown Eastside, two days after Vancouver police issued a public warning that he was at
large.
James Patrick Benson, 32, was taken into custody without incident in the 200-block East
Hastings Street, Vancouver police spokesman Const. Lindsey Houghton said in a news
release.
Benson breached conditions of his parole when he walked away from a halfway house
Friday, his second such disappearance in a little over a year.
In February 2011, police issued an almost identical warning after Benson skipped out on a
halfway house.
Benson's criminal record includes convictions for violent sexual assault, attempted murder
and weapons and extortion charges.
In 1996, Benson raped a woman at knifepoint and threat of death, then slit her throat and
only stopped the attack after she played dead.
According to records, Benson lived in 35 foster homes and suffered sexual abuse while
growing up. A 1,200-page, child-welfare report includes cruelty to animals, fire-setting at age
six and having ADHD. He's considered a long-term offender and had been ordered to live
under a "long-term supervision order" at a halfway house after his release.
© Copyright (c) The Province
10 AVRIL 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/justice-et-faitsdivers/201204/10/01-4513958-quebec-quadruple-leffectif-pour-lutter-contre-lacyberpedophilie.php
Québec quadruple l'effectif pour
lutter contre la cyberpédophilie
Le ministre de la Sécurité publique, Robert Dutil, et le directeur général de la Sûreté du Québec, Richard Deschesnes, ont
annoncé leur plan de riposte à la cyberpédophilie.
LE SOLEIL, JEAN-MARIE VILLENEUVE
Jean-François Néron
Le Soleil
(Québec) La Sûreté du Québec (SQ) quadruple presque son effectif pour lutter contre
le phénomène croissant de la cyberpédophilie. Ainsi, le module d'enquête sur
l'exploitation sexuelle des enfants sur Internet (ESEI) passera de 9 à 34 personnes.
«C'est une préoccupation constante depuis quelques années. Derrière chaque image, il y a
une victime. Derrière chaque visionnement d'image, il y a une nouvelle exploitation
[d'enfant].»
Cette préoccupation du ministre de la Sécurité publique, Robert Dutil, se traduit par
l'embauche de 21 nouveaux policiers et de quatre employés civils pour lutter
«spécifiquement» contre la cyberpédophilie. Cet ajout d'effectif coûtera 3 millions$
additionnels par année.
L'annonce faite mardi s'inscrit, dit-il, dans une stratégie globale, visant à intensifier la lutte
contre ce qu'il qualifie de «crime odieux».
D'ailleurs, le gouvernement du Québec travaille sur un projet de loi pour protéger les
enfants contre la cyberpornographie juvénile. Cependant, le ministre n'a pas voulu
s'avancer sur les dispositions de ce projet de loi, indiquant seulement que le but est
d'améliorer la loi en vigueur.
Enquêtes en hausse
En janvier, le directeur général de la SQ, Richard Deschênes, confiait en entrevue
au Soleil qu'il songeait à ajouter des ressources pour lutter plus efficacement contre ce
«fléau». Mardi, le dg a confirmé que le phénomène est «grandissant», quoique difficile à
quantifier.
En 2011, la SQ a reçu 400 plaintes concernant des délits en lien avec la cyberpédophilie. Il
y a quelques années, ce nombre s'élevait à une centaine.
Le capitaine Frédéric Gaudreau travaille au bureau des enquêtes en cybercriminalité
depuis maintenant huit ans. Il est à même de constater la hausse. «Plus il y a d'internautes,
plus il y a de victimes potentielles. Quand on ouvre une nouvelle autoroute, il risque d'y
avoir plus d'accidents», illustre-t-il.
À elle seule, l'augmentation fulgurante du nombre d'enquêtes depuis le début de l'année
tend à justifier la nécessité d'embaucher du nouveau personnel. Au cours des trois
premiers mois de 2012 seulement, déjà 36 dossiers ont été ouverts. En 2011, il y en a eu
83 pour l'année entière.
Des 25 personnes qui joindront le module de l'ESEI, cinq enquêteurs seront postés au
quartier général du boulevard Pierre-Bertrand pour les dossiers touchant la capitale et l'Estdu-Québec. Auparavant, toutes les activités en matière de cyberpédophilie étaient
centralisées à Montréal.
Unité spécialisée
La lutte contre la cybercriminalité remonte déjà à plusieurs années. Cependant, ce n'est
qu'il y a un an et demi que la SQ dégageait 9 des 48 membres de l'unité de cybercriminalité
pour créer un module spécifique de lutte contre la cyberpédophilie. C'est à ce module que
se joindront les 25 nouvelles personnes embauchées.
Au Québec, 104 personnes luttent contre la cybercriminalité, si l'on tient compte de l'effectif
des corps policiers de Montréal, de Québec, de Gatineau, de Laval et de Longueuil. Au
sens large, la cybercriminalité inclut tout type de crime commis à l'aide d'un ordinateur,
comme des menaces, de l'intimidation ou de la fraude.
Enquêtes complexes
Le personnel embauché permettra d'alléger les enquêtes souvent longues et complexes
menées dans le cyberespace. Il y a d'abord la détection du crime, appelée cybervigie ou
cyberpatrouille. Vient ensuite le travail de collecte de la preuve qui mènera à l'arrestation
d'un suspect. Enfin, les policiers doivent extraire les données des ordinateurs saisis. De
plus, les policiers doivent se soumettre à un cadre juridique.
Par conséquent, impossible d'agir comme le font les citoyens qui s'improvisent justiciers. Il
n'y a qu'à penser à Dany Lacerte, cet homme de Québec qui, l'an passé, avait piégé des
cyberprédateurs. Il les rencontrait après s'être fait passer pour une fille d'âge mineur.
Formation et prévention
La stratégie de lutte contre la cyberpédophilie envisagée comporte aussi des volets de
formation des policiers, de prévention auprès des jeunes et de sensibilisation des parents.
Les cyberprédateurs utilisent le leurre informatique pour rencontrer des personnes
mineures. Ils cachent leur véritable identité et demandent des rencontres. C'est là que
peuvent survenir des abus. Par contrainte ou innocence, d'autres jeunes se dévêtissent
devant leur webcam.
«C'est sûr que si l'ordinateur familial reste dans une pièce fermée dans la maison, il y a
plus de risques que surviennent des choses du genre», raconte Guy Lapointe, de la SQ,
pour faire comprendre le rôle crucial de la prévention.
D'autre part, la SQ a formé au cours des derniers mois 258 enquêteurs de son organisation
et de corps policiers municipaux.
9-1-1 Web
La porte-parole de la Coalition avenir Québec en matière de sécurité publique, Sylvie Roy,
croit qu'une lutte efficace contre la cyberpédophilie passe par l'adoption d'une loi sur la
dénonciation obligatoire de la pornographie juvénile.
«Au Manitoba, il y a une augmentation de 126 % du nombre de dénonciations. Si quelqu'un
voit un collègue ou un membre de sa famille accéder à ce genre de matériel, il doit
dénoncer. Je crois que c'est encore banalisé.»
Elle réclame la mise en service d'un 9-1-1 Web pour dénoncer ces crimes de leurre.
«Quand les jeunes cherchent quelque chose, ils vont sur le Web. Actuellement, le site de la
SQ invite les gens à dénoncer des choses en les référant à Cyberaide.ca, un organisme
bénévole. S'il y a quelque chose qu'il ne faut pas sous-contracter, c'est bien son service de
police», clame la députée.
Celle-ci souhaite aussi que Québec forme des procureurs de la Couronne spécialisés pour
mieux administrer la preuve souvent complexe qui est soumise.
11 AVRIL 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201204/11/01-4514414-un-homme-transmet-le-vih-a-son-partenaire-en-lui-cachant-sonetat.php
Un homme transmet le VIH à son
partenaire en lui cachant son état
La victime a contracté le virus en juillet 2005, après avoir rencontré James Wilcox au sauna Oasis, au coeur du Village gai.
ARCHIVES LA PRESSE
Caroline Touzin
La Presse
James Wilcox a été malhonnête en cachant qu'il était porteur du VIH à un partenaire
rencontré dans un sauna gai de Montréal. Il devrait être condamné à deux ans de
pénitencier, a plaidé la poursuite, mercredi, au moment des plaidoiries sur la peine.
L'Américain de 48 ans a été reconnu coupable en août dernier d'agression sexuelle grave.
Le juge Louis A. Legault n'a pas retenu la défense de l'accusé, qui soutenait que, dans les
saunas gais, les rapports sexuels non protégés entre inconnus sont une pratique courante.
Du coup, ceux qui les fréquentent consentent de manière «implicite» ou «tacite» à courir le
risque de contracter le VIH, selon la thèse de la défense.
Si le risque de contracter le sida laisse indifférents certains hommes qui fréquentent les
saunas, ce n'était certainement pas le cas de la victime de Wilcox, a tranché le juge Legault
en août dernier. Si elle avait su, la victime n'aurait jamais eu de relations sexuelles non
protégées avec l'accusé, selon le magistrat.
Wilcox démontre une certaine empathie pour sa victime, selon le rapport de l'expert chargé
d'évaluer l'accusé. Il ne reconnaît toutefois pas sa responsabilité criminelle dans ce qui est
arrivé, a plaidé la procureure de la Couronne, Me Sophie Lamarre, en se basant sur ce
rapport. Ce rapport d'expert est assez positif, a d'ailleurs reconnu la poursuite. Le risque de
récidive de Wilcox est faible. Il n'avait pas d'antécédent judiciaire.
De son côté, la défense a suggéré une peine à purger dans la communauté. Wilcox a été
capitaine dans la réserve de l'armée américaine durant 12 ans. «Cela démontre son sens
de la loyauté», a expliqué son avocat, Me Jeffrey Boro.
Son client ne fréquente plus les saunas gais. Il est en couple depuis deux ans avec le
même homme, a souligné l'avocat. À l'époque, il venait passer quelques mois de vacances
par année au Canada. Il a toujours le statut de visiteur. Actuellement propriétaire d'une
petite entreprise d'informatique, il pourrait bien être expulsé vers les États-Unis après avoir
purgé sa peine. La défense a interjeté appel du verdict de culpabilité.
La victime a contracté le virus en juillet 2005, après avoir rencontré Wilcox au sauna Oasis,
au coeur du Village gai. Le soir de leur rencontre, ils ont eu une relation protégée au sauna.
La victime, qui a terminé la soirée chez l'accusé, dit avoir été ensuite sodomisée sans
condom alors qu'elle n'y consentait pas.
L'accusé se savait porteur du VIH depuis 2003. Or, il n'en a pas averti son partenaire. Il
appelait cela son «sale petit secret» (dirty little secret). Plusieurs mois après leur relation
non protégée, en mai 2006, la victime a appris qu'elle avait contracté le virus.
Le juge Legault rendra sa sentence le 5 juin.
12 AVRIL 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/justice-et-faitsdivers/201204/12/01-4514526-coupable-dagression-sexuelle-sur-une-ado-mesentente-sur-lapeine-a-imposer-a-carl-boucher.php
Coupable d'agression sexuelle sur
une ado: mésentente sur la peine
à imposer à Carl Boucher
Pierre-Olivier Fortin
Le Soleil
(Québec) Un monde sépare la Couronne et la défense à l'égard de la peine à imposer à
Carl Boucher, coupable d'agression sexuelle sur une adolescente de 15 ans, présenté
d'un côté comme un homme constamment battu par ses codétenus, qui regrette ce
qu'on lui reproche et qui ne présente plus de risques, et, de l'autre, comme un
individu au lourd passé criminel et violent de qui on doit protéger la société.
Le ministère public représenté par Me Valérie Lahaie demande ainsi une peine de cinq ans
de pénitencier, alors que la défense et Me Stéphane Beaudoin concluent que les neuf mois
passés en détention préventive suffisent.
Les faits reprochés remontent au 30 avril 2011, alors que Boucher, qui avait 41 ans, a
conduit sa victime - qu'il connaissait - pour une journée de travail pour le compte de sa
petite entreprise de travaux extérieurs. L'accusé lui a offert de la drogue et de l'alcool après
quoi, arrivés chez lui, il y a eu, entre autres, des relations sexuelles complètes. Il est aussi
accusé de contacts sexuels et d'incitation à des contacts sexuels.
La jeune victime s'est sentie figée et a eu peur. Elle a par la suite subi un choc posttraumatique et a dû consulter des professionnels. Elle a longtemps craint que son
agresseur ne finisse par se venger. Bien qu'il admette que ces gestes «n'auraient jamais
dû se produire», Boucher maintient qu'il était «certain» que l'adolescente avait au moins 16
ans et que «rien ne [l'a] laissé croire qu'elle n'était pas consentante».
Il a longuement expliqué, hier, que ses codétenus s'en étaient pris à lui à maintes reprises
en raison des accusations de nature sexuelle qui pèsent contre lui et qui sont très mal vues
entre les murs.
Il a dit qu'il est souvent placé en isolement en conséquence de son implication dans des
bagarres. Ces neuf derniers mois en tôle, il les a donc trouvés «pas mal tough», a-t-il
expliqué au juge Louis Dionne, beaucoup plus que les neuf années de pénitencier qu'il a
purgées du milieu des années 90 au milieu des années 2000. Sur sa feuille de route
criminelle figurent des accusations d'agression sexuelle - contre son ex-conjointe en 1993 , de voies de fait, de complot, de fraude, de trafic de drogues, d'introduction par effraction
et de vol qualifié.
En défense, Me Beaudoin soutient que le dossier criminel de son client est «peu
significatif» pour le présent dossier, puisque la nature des chefs est très différente. Selon
lui, Carl Boucher regrette ses gestes, qui ne sont pas susceptibles de se reproduire. Il
ajoute que l'accusé a repris sa vie en main en fondant une entreprise, par exemple, et qu'il
est déjà sur le chemin de la réhabilitation.
Facteurs aggravants
Me Lahaie mentionne de son côté plusieurs facteurs aggravants comme le jeune âge de la
victime, une forme de préméditation dans l'offre de drogue et d'alcool, la nature des gestes
sexuels et la situation d'autorité. Pour elle, ce que l'accusé subit en prison n'est qu'une
conséquence des nombreux manquements disciplinaires à son dossier. «Ce n'est pas un
individu qui respecte les lois et les règles. Il paie ses employés «en dessous de la table».
[...] Il dit qu'il n'est pas violent, alors qu'il a des antécédents violents.»
«C'est loin d'être une affaire simple et évidente», a conclu le juge Dionne, qui se donne
jusqu'au 27 avril pour y «réfléchir» et prononcer la peine.
13 AVRIL 2012
Article tiré de :
http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faits-
divers/201204/13/01-4515114-agression-sexuelle-une-mere-prefere-la-prison-plutot-que-detemoigner.php
Agression sexuelle: une mère
préfère la prison plutôt que de
témoigner
Caroline Touzin
La Presse
La mère d'une jeune femme qui dit avoir été agressée sexuellement par son beau-père
au début de l'adolescence est prête à tout pour éviter de témoigner au procès de son
conjoint. Elle préfère être incarcérée plutôt que de révéler les aveux que lui aurait faits
l'homme avec qui elle partage toujours sa vie. Malgré une citation à comparaître livrée
en mains propres par un policier, qui l'obligeait à se présenter au tribunal, la mère
brillait par son absence, hier.
Par conséquent, à la suggestion de la poursuite, la juge a lancé un mandat d'arrêt contre la
mère. Elle est un témoin crucial en raison des aveux recueillis, a expliqué la juge
Geneviève Graton, hier, au palais de justice de Montréal.
La plaignante, aujourd'hui âgée de 28 ans, affirme que son beau-père est entré dans sa
chambre un soir du mois d'août 1997 pour lui faire des attouchements. Elle avait 13 ans. Le
lendemain, il lui aurait écrit une lettre dans laquelle il exprimait ses regrets et lui demandait
de ne rien dire à sa mère. L'adolescente s'était réfugiée chez sa soeur qui s'est empressée
de téléphoner au beau-père. «Moi, ça pouvait passer, mais ma petite soeur, ça ne passera
pas», lui a-t-elle dit. Plus tard ce jour-là, l'adolescente de 13 ans est allée récupérer des
vêtements chez sa mère et son beau-père. Ils pleuraient tous les deux, assis à la table de
la cuisine. Elle a entendu son beau-père dire qu'il n'«aurait jamais dû faire ça», a-t-elle dit,
hier, au procès. Dans la semaine suivante, sa mère l'a implorée de ne pas porter plainte à
la police. «Pour ma mère, c'était banal, pardonnable», a-t-elle raconté. La jeune femme a
porté plainte 12 ans plus tard, en 2009. «Mon beau-père travaille dans un hôpital pour
enfants. J'ai pensé à mes propres enfants. J'avais peur qu'il fasse d'autres victimes», a-telle ajouté.
Contre-interrogée par la défense, la jeune femme a admis avoir envoyé une mise en
demeure à sa mère et à son beau-père leur demandant de lui verser 175 000$, sinon elle
porterait plainte à la police.
À son tour de témoigner, la lieutenante-détective Caroline Cournoyer, de la police de
Montréal, a raconté sa première rencontre avec la mère de la victime. La mère lui a confié
qu'elle avait reçu des aveux mais qu'elle avait pardonné à son conjoint, «un homme d'une
grande bonté». Elle a également dit préférer avoir un dossier criminel plutôt que de
témoigner.
14 AVRIL 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/justice-et-faitsdivers/201204/13/01-4515288-coupable-dagressions-sexuelles-henri-champagne-veut-portersa-peine-en-appel.php
Coupable d'agressions sexuelles,
Henri Champagne veut porter sa
peine en appel
Henri Champagne a été accusé de plusieurs agressions sexuelles sur une jeune fille dans les années 90.
PHOTOTHÈQUE LE SOLEIL
Matthieu Boivin
Le Soleil
(Québec) Le délinquant sexuel Henri Champagne souhaite en appeler de la peine de
sept ans d'emprisonnement que le juge Hubert Couture lui a imposée en mars dernier,
au palais de justice de Saint-Joseph-de-Beauce, pour avoir agressé sexuellement à de
multiples reprises une jeune fille âgée d'une douzaine d'années, à la fin des années
90.
Champagne souhaite aussi être relevé de la reconnaissance de culpabilité qu'il a
enregistrée dans cette affaire, le 1er novembre dernier.
L'avocat de Champagne, Me Réjean Lavoie, affirme que des faits retenus en preuve contre
son client le jour de l'imposition de la peine, en mars dernier, ne se sont jamais produits. Il
fait notamment référence aux relations sexuelles anales que Champagne aurait imposées
à la victime, alors que cet élément n'aurait jamais été présenté en preuve au cours des
procédures judiciaires par l'avocate de la Couronne, Me Audrey Roy-Cloutier.
«C'est clair qu'une agression sexuelle anale, c'est un geste grave et que ça représente un
facteur aggravant pour mon client, indique Me Lavoie. Cet élément a été présenté en
preuve, mais n'est pas arrivé dans la réalité. Ça grossit tellement l'affaire.»
Me Lavoie affirme aussi qu'en substance, la peine est démesurée. Il ajoute que
Champagne a été mal représenté par son avocate de l'aide juridique, Me Caroline
Rouleau, lors des différentes étapes judiciaires. Me Lavoie avance que Me Rouleau aurait
dû notamment intervenir auprès du juge Couture, quand le point des relations sexuelles
anales a été apporté par la Couronne.
De plus, il estime que Me Rouleau a erré en recommandant à Champagne de plaider
coupable, le 1er novembre 2011, alors que le délinquant avait toujours nié les gestes qui lui
étaient reprochés.
Dans ce contexte, il croit que son client devrait aussi être relevé de sa reconnaissance de
culpabilité. «Mon client doit être jugé pour ce qu'il a fait, et non pour ce qu'on a prétendu
qu'il avait fait», explique-t-il.
Me Lavoie présentera sa demande pour avoir la permission d'en appeler à la Cour d'appel,
lundi.
15 AVRIL 2012
Article tiré de :
http://www.montrealgazette.com/news/Bowen+Island+jailed+sexual+abuse/6462142/story.ht
ml
Bowen Island man jailed for
sexual abuse
BY JANE SEYD, NORTH SHORE NEWS APRIL 15, 2012
A 41-year-old Bowen Island man who sexually abused both his stepdaughter and another
11-year-old girl has been sent to jail for two and a half years.
The abuse came to light last summer, after the man sexually touched the 11-yearold girl - a
friend of the family - as she was sitting next to him in a van.
At the time, a group of adults and children were travelling back to the man's home from a
party when he started touching her in a sexual manner. The girl struggled away from him and
tried to get the attention of her mother, who was also in the van.
When they reached their destination, the girl ran trembling and crying to tell her mother what
had happened.
On the same night, the man went into his stepdaughter's room and began to sexually assault
her, telling her not to tell anyone.
The next morning, on a drive back to the ferry, the mother of the first victim told the man's
common-law wife what had happened in the van.
The wife went home and confronted the man, telling him to get out of the house.
Eventually her daughter disclosed that he had been sexually abusing her for six to eight
months and that she had fought and kicked him to defend herself.
The man - who cannot be named to protect the identity of his victims - eventually admitted to
his crimes.
A pre-sentence report indicated the man had shown remorse and took responsibility for his
actions.
A psychologist noted the man was preoccupied with sex and had a "confused sense of
sexual boundaries," likely stemming from being sexually abused as a child himself.
The psychologist deemed the man a moderate risk for future offences if he had unsupervised
access to young girls.
Judge William Rodgers of the North Vancouver provincial court sentenced the man to jail. He
also banned the man from being in areas frequented by young people for seven years and
placed his name on the sexual offender registry.
jseyd@nsnews.com
© Copyright (c) North Shore News
16 AVRIL 2012
Article tiré de :
http://www.windsorstar.com/news/Windsor+area+found+guilty+assault+daughter/6468
134/story.html
Windsor area man found guilty
of sex assault on daughter
BY CRAIG PEARSON, THE WINDSOR STAR APRIL 16, 2012
WINDSOR, Ont. -- A 46-year-old man was found guilty Monday of repeated sexual assaults
on his daughter over four or five years, starting when she was 10 or 11.
Superior Court Justice Mary Jo Nolan dismissed as unreliable the accused‘s testimony that
nothing happened. She found him guilty on six of 11 charges related to sexual assault,
sexual touching and invitation to sexual touching. Nolan, however, could not determine
beyond a reasonable doubt that the accused took pictures and videotape of his daughter
nude and in sexual situations, as was alleged.
The abuse occurred between about 2001 to 2005 in various rooms of the home and at
different times.
―I find that (the complainant‘s) evidence is to be believed, as is the (complainant‘s mother),‖
Nolan said in her ruling. ―(The complainant) came across as a straightforward and honest
witness, despite her obvious distress.
―I perceive that she was doing her best to answer honestly.‖
Defence lawyer Ken Marley had suggested during the trial that the complainant accused her
father of sexual assault because she did not like his excessive drinking — the accused has
now been sober for three years — and wanted him out of the house.
Marley had also noted that the complainant twice denied to police that anything sexual had
happened between her and her father, before telling them it did.
An anonymous tip first alerted police to the case. Officers phoned the victim and requested
that she and her mother attend the station for an interview, before she finally admitted what
she had gone through.
Nolan — who imposed a publication ban on identifying the victim — recapped some of the
testimony from the trial, including that the accused told his daughter that she would be in
trouble if she ever told anyone about the abuse.
Though the victim acknowledged that no physical force was used, she said her father
touched her, told her to touch his penis and masturbated in front of her.
Nolan disagreed with assistant Crown attorney Scott Pratt‘s argument that the accused
should be remanded in jail. He remains free on bail. A date for sentencing will be set May 4.
© Copyright (c) The Windsor Star
17 AVRIL 2012
Article tiré de :
http://www.edmontonjournal.com/news/Father+pleads+guilty+first+numerous+charges/64746
14/story.html
Father pleads guilty to first of
numerous sex charges
BY RYAN CORMIER, EDMONTONJOURNAL.COM APRIL 17, 2012
EDMONTON - A father has pleaded guilty to sexually abusing his seven-year-old daughter in
a case that began with sexual images found on a computer in Italy and ended in an
Edmonton family home.
The 38-year-old, who cannot be named to protect his daughter‘s identity, pleaded guilty in
provincial court on Tuesday to unlawful sexual touching of a person under 16.
Family members in the court gallery cried as the man was led into court in prison-blue
overalls.
Court heard that images were found showing the man performing sexual acts on his young
daughter in various rooms of the family home, said Crown prosecutor Diane Hollinshead
Investigators in Italy found the images on a computer during a child pornography
investigation. Believing the images had come from an Edmonton address, police contacted
investigators with the Internet child exploitation unit of the Alberta Law Enforcement
Response Team on Sept. 23, 2011.
Police went to the Edmonton home and found a mother and her three children, investigators
said at the time. The middle child was identified as the victim in the images.
The father was arrested that day when he returned home, police said.
―For us, it‘s very rare that we have an opportunity to not only potentially rescue a child, but to
identify and potentially stop someone from producing child pornography,‖ Det. Kevin Fald
said when the charges were announced on Sept. 27, 2011.
Police executed a search warrant at the home and seized computers and electronic storage
devices.
The father faces numerous other charges, including sexual assault, possession of child
pornography, distribution of child pornography and incest. Those charges are scheduled to
be addressed on May 1.
Hollinshead told court she will be seek a ―double-digit sentence.‖
rcormier@edmontonjournal.com
© Copyright (c) The Edmonton Journal
18 AVRIL 2012
Article tiré de :
http://www.calgaryherald.com/news/alberta/Lethbridge+teen+accused+incest/6481010/
story.html
Lethbridge teen accused of
incest
Sex assault among four charges laid against 15-year-old in
alleged attacks on younger sister
BY BRYCE FORBES, CALGARY HERALD APRIL 18, 2012
A Lethbridge teenager has been charged with incest after allegedly sexual assaulting his
younger sister repeatedly.
Lethbridge Regional Police said earlier this month, they received a report the boy had
sexually assaulted a young female on multiple occasions. An investigation was launched and
officers later concluded the 15-year-old boy had repeatedly sexually assaulted his sister, who
was 10 and 11 years old, between 2010 and 2012.
The boy, who cannot be identified under the Youth Criminal Justice Act, is charged with
sexual assault, sexual interference, incest and invitation to sexual touching.
He has been conditionally released from custody and no longer lives with the victim.
He is scheduled to appear in youth court on April 25.
© Copyright (c) The Calgary Herald
19 AVRIL 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201204/19/01-4516994-une-baignade-forcee-pour-cacher-les-traces-dadn.php
Une baignade forcée pour cacher
les traces d'ADN
Caroline Touzin
La Presse
Le prédateur sexuel Stéphane Duperron, qui a fait une douzaine de victimes aux
quatre coins du Québec depuis la fin des années 80, croyait bien avoir trouvé le
moyen de récidiver sans se faire arrêter.
Après avoir violé une jeune femme choisie au hasard dans le quartier Rosemont,
l'homme de 45 ans l'a forcée à se laver dans la première piscine croisée sur leur
chemin pour tenter d'effacer toute trace d'ADN.
Un «fantasme»
Dans la soirée du 2 juin 2010, Duperron est caché derrière un buisson en bordure d'un
sentier du bois des Pères, près de l'hôpital Maisonneuve-Rosemont. Il cherche une
proie.
Valérie *, 20 ans, emprunte souvent ce sentier pour rentrer chez elle. Ce soir-là, elle
écoute de la musique dans son iPod quand l'accusé sort du buisson et la cloue au sol.
Il lui dit de se taire, sinon il la tuera. Après l'avoir frappée à une joue et à une épaule, il
lui ordonne de se déshabiller. Comme elle refuse, il la menace de nouveau: «C'est moi
qui décide. Écoute-moi, sinon je vais te tuer.»
Duperron remonte le chandail de la jeune femme sur sa tête pour l'empêcher de voir
son visage. Il lui embrasse les seins, la force à lui faire une fellation pour ensuite la
violer à deux reprises sans condom. Il lui dit qu'il n'a pas pu résister en la voyant dans
les bois; elle correspond à un «fantasme».
Avant de la laisser partir, Duperron lui annonce qu'ils doivent absolument trouver de
l'eau pour qu'elle se lave. Ils finissent par croiser une piscine dans laquelle elle se
mouille jusqu'à la taille. Il la libère ensuite en lui disant qu'il regrette ce qui vient de se
passer.
La jeune femme rentre chez elle et appelle la police. Les enquêteurs tenteront de
trouver l'ADN de l'agresseur sur son corps et ses vêtements, mais ils savent qu'ils ont
bien peu de chances de récolter cette preuve à la suite de la baignade forcée.
Par chance, comme la victime a seulement eu de l'eau jusqu'à la taille, la police
parviendra à récolter un échantillon de salive sur ses seins. Comme Duperron était
déjà fiché dans la banque d'ADN de la police, il a été rapidement arrêté. Par la suite, la
victime n'a pas été en mesure de l'identifier. Sans l'ADN, il n'aurait donc jamais été
retrouvé.
Évaluation demandée
Plus tôt ce mois-ci, Duperron a reconnu sa culpabilité à deux accusations d'agression
sexuelle et de menace de mort. La procureure de la Couronne, Louise Blais, a
demandé qu'il soit évalué à l'Institut Philippe-Pinel pour le faire déclarer délinquant à
contrôler ou délinquant dangereux.
Duperron était en liberté conditionnelle et vivait en maison de transition lorsqu'il a
agressé Valérie. Il a de nombreux antécédents judiciaires. En 1997, il avait fait les
manchettes après s'être évadé d'un fourgon cellulaire à Sorel. Durant sa courte fuite de
10 jours, il avait agressé cinq femmes à Granby, Drummondville, Victoriaville et Hull. Il
avait finalement été arrêté lors d'une chasse à l'homme sur l'autoroute 20 à bord d'une
voiture volée.
* Le nom de la victime a été changé pour protéger son identité.
20 AVRIL 2012
Article tiré de :
http://www.canada.com/Blatchford+Shortly+after+Tori+death+Rafferty+busy+juggling
+calendar/6494664/story.html
Blatchford: Shortly after Tori's
death, Rafferty busy juggling sex
calendar
BY CHRISTIE BLATCHFORD, POSTMEDIA NEWS APRIL 20, 2012
London, Ont. - The death of the cheerful little girl named Victoria (Tori) Stafford appears to
have had virtually no impact upon Michael Rafferty and to have been an utterly
unremarkable event in his frenetic sexual calendar.
Certainly, as Rafferty was before Tori's kidnapping and death - carousing like a rabbit, living
off the avails of one young woman and using her money to buy presents for others, juggling
more than a dozen women like balls in the air, constantly working his BlackBerry to make the
next connection that might satisfy what was clearly an omnivorous appetite - so was he after
it.
Now 31, Rafferty is pleading not guilty to kidnapping, sexual assault causing bodily harm and
first-degree murder in Tori's April 8, 2009 death.
But through his lawyer, Dirk Derstine, Rafferty has admitted being in his car when TerriLynne McClintic arrived with the little girl (Derstine said Rafferty ``thought nothing of it'') and
to helping McClintic, then one of his girlfriends, ``clean up.''
In his cross-examination of McClintic here last month, Derstine maintained that Rafferty
turned down McClintic's crass offer to have the child sexually, was sent away from the car for
a time and was ``horrified'' when he returned to find Tori dead on the ground.
But as he bombarded some of his latest online conquests in the hours before Tori was led
away by McClintic as she headed home from school in nearby Woodstock, Ont. - he even
made one call in mid-kidnapping, this to a potential date at 4:28 p.m. that day, perhaps when
he was buying painkillers from his drug dealer in Guelph - so did he work the BlackBerry in
the immediate aftermath of the little girl's death.
McClintic's account of Tori's slaying - for three years she said Rafferty killed her, but this year
changed her story to claim she had bludgeoned her herself - is imprecise as to times.
But she testified when the trio arrived at the country lane just south of Mount Forest, Ont., it
was still light out, perhaps, she guessed, about 5:30 p.m.
By the time she and Rafferty left the area, Tori's body by then hidden under a farmer's rock
pile, she said it was dark.
Within a few hours, Rafferty's cellphone records show, he was frantically texting one young
woman about a rendezvous the very next day.
That woman, 23-year-old Elysia Haid, told Ontario Superior Court Judge Thomas Heeney
and the jury on Friday that she arrived at the Woodstock home Rafferty shared with his
mother about 10 a.m. on April 9.
After what passed for what is apparently the modern version of a courtship - a bit of a drive,
a fast-food lunch - they were back at his house.
As Haid put it, in that matter-of-fact manner to which the court has become accustomed,
``We watched some TV, we had sex and then I left.''
She was out of his house between 3 and 4 p.m., she estimated, well less than 24 hours after
Tori's battered remains, encased in garbage bags, were dumped under the rocks.
Rafferty had met Haid, she said, just once, days earlier after they had first made contact on
the now-infamous Plenty of Fish dating website.
It was one of a series of revelations as, with the prosecution case winding to a close, the last
of a parade of young women took the witness stand.
The shocker was that Rafferty essentially pimped out one girlfriend and proceeded to drain
her of more than $16,000 in the following six months.
This came from Charity Spitzig, now just 26 and a mother of five (one child passed away).
She connected with Rafferty on Plenty of Fish in April of 2008, she said, met him right away
and began what she considered to be a ``pretty promising'' relationship that was ``exclusive,
you could say.''
She lived in London, Ont., he in Woodstock. Rafferty told her he was in school, taking dance
courses and working in the home-renovation business - this was but one version of what he
regularly told the women he met - so she wasn't surprised they saw one another only two or
three times a week.
She told prosecutor Kevin Gowdey that, as a serious relationship, she was prepared to
``invest'' in it, and when asked if she loaned money to Rafferty, replied, ``We discussed ways
for finances to be made easier, me getting into the escort business, which I did, and any
monies from there went directly to him.''
Bank records show that in the six months from December 2008 to May 2009, Spitzig
transferred $16,835 to Rafferty.
This, at last, went some distance to explain how Rafferty was able to spread his minimal
largesse - he bought a couple of girlfriends clothes, but most were lucky to have coffee or a
drive before sex - around. The only concrete evidence of him ever having a job came from
the owner of a landscape company, where he worked for about a year ending in the fall of
2006, and testimony from a couple of witnesses who said that he worked for a time at a
slaughterhouse.
Yet he appeared to have money enough for drugs, gas for his 2003 Honda Civic, a whopping
BlackBerry bill, coffee dates galore and the various shoes that littered the back of his car.
Now, the jurors know where he got the money: He was living off the avails of prostitution.
(Heeney cautioned the jurors that though they may find Rafferty's behaviour, ``particularly
after April 8 has some relevance,'' whether he ``was a philandering cad or worse,'' they can't
conclude that as a bad character he is more likely to be guilty.)
In fact, court heard Friday, on the kidnapping/murder day that appears to have left so small
an imprint on Rafferty, he asked Spitzig twice for money.
That morning, she transferred $400 to his account - for a car payment, she thought, but it
appears to be these funds he used later that day to buy drugs at his dealer's.
He instant-messaged her early that afternoon for more - this time, he said, for gas. She
transferred another $100 to his account.
At 5 p.m., Rafferty was captured on video at a Guelph gas station, taking money
(presumably Spitzig's) out of an ATM. A few minutes later, McClintic was in the adjacent
Home Depot, captured on video buying, in cash, the murder weapon (a hammer) and the
garbage bags that served as a little girl's shroud.
By 7:52 that evening, Tori barely cold in her grave, Rafferty was texting Patrycja Demides for
the first of 10 times that night (they were arguing, she testified, and in mid-breakup); by 10:29
p.m., Rafferty was texting Haid to firm up their rendezvous the next day; at 11:31 p.m., he
was texting Celina Horvath. (She declined to meet him in person, wise, it turns out, beyond
her then 18 years.)
Horrified, Derstine proclaimed his client was to see that child dead. Really? All the evidence
suggests that April 8, 2009 was just another ordinary Michael Rafferty day.
21 AVRIL 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-nouvelliste/justice-et-faits-divers/201204/20/014517571-alain-saint-pierre-coupable-dagression-sexuelle-sur-une-mineure.php
Alain Saint-Pierre coupable
d'agression sexuelle sur une
mineure
Alain St-Pierre
PHOTO: SYLVAIN MAYER
Nancy Massicotte
Le Nouvelliste
(Shawinigan) Un verdict de culpabilité a été prononcé, hier après-midi, contre Alain
Saint-Pierre, un ancien éducateur en service de garde de la Commission scolaire de
l'Énergie qui était accusé d'agression sexuelle sur une fille de 13 ans.
Au terme d'un procès de trois jours, le juge Richard Poudrier a en effet conclu que le
prévenu devait être déclaré coupable d'agression sexuelle pour les gestes commis contre
la victime entre le 1er septembre et le 31 octobre 2009. Il a toutefois prononcé un arrêt des
procédures sur l'accusation d'attouchements sexuels.
Il importe de préciser que les accusations, bien que distinctes, portaient sur un seul et
même geste à caractère sexuel, soit un toucher au sein. Celui-ci a toutefois été commis
dans un contexte particulier.
En effet, dans cette cause, la présumée victime, qui était âgée de 13 ans au moment des
faits, a soutenu qu'Alain Saint-Pierre l'avait embrassée à quelques reprises à la garderie. Il
lui avait également soufflé dans le cou, murmuré à l'oreille qu'il aimerait faire l'amour avec
elle et l'avait complimentée plus d'une fois. C'est toutefois le toucher au sein qui a poussé
l'adolescente à porter plainte.
Saint-Pierre avait d'ailleurs été arrêté sur son lieu de travail et formellement accusé dans
les jours suivants.
Lors du procès, l'ex-éducateur avait admis avoir souvent donné de l'affection aux jeunes
enfants au même titre que les autres intervenants, que ce soit par des câlins ou des
compliments. Selon lui, ces gestes étaient effectués seulement lorsque l'enfant en faisait la
demande mais il avait nié tout geste à caractère sexuel. Il prétendait même que c'était la
jeune fille qui était toujours collée sur lui.
Or, le juge a complètement rejeté la version de l'accusé. «Il n'a jamais fait de négation
franche lors de son témoignage. Le tribunal l'a senti très mal à l'aise. Il parlait au
conditionnel, disant qu'il n'aurait pas fait ceci ou cela. Son témoignage en est un de retenue
et d'imprécisions», a indiqué le juge Poudrier.
Selon lui, l'accusé n'a jamais été en mesure de soulever un doute raisonnable sur son
innocence. Le juge n'a pas non plus pris en considération les témoignages de sa conjointe
et d'une autre éducatrice du service de garde compte tenu des imprécisions qu'il y a
relevées. Par contre, le témoignage de la victime lui est apparu très crédible.
C'est pourquoi il a rendu un verdict de culpabilité à l'encontre d'Alain Saint-Pierre sur le
chef d'agression sexuelle et prononcé l'arrêt conditionnel des procédures sur le chef
d'attouchements. La procureure de la Couronne, Me Vicky Belleville, a tenté de faire
modifier cette décision afin qu'il soit plutôt déclaré coupable sur le chef d'attouchements
mais en vain. Le juge a refusé.
À sa sortie du tribunal, elle a d'ailleurs expliqué que l'accusation d'attouchements était plus
grave dans le Code criminel que celle d'agression. «Un individu condamné pour
attouchements sexuels est passible d'une peine minimale de 45 jours de prison et d'une
peine maximale de 10 ans. En ce qui concerne l'agression sexuelle, il n'y a pas de peine
minimale, bien que le maximum soit le même», a-t-elle expliqué.
Pour sa part, l'avocate de la défense, Me Jocelyne Duplessis, s'est refusée à tout
commentaire.
Les plaidoiries sur sentence auront lieu le 11 mai.
22 AVRIL 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-quotidien/actualites/201204/20/01-4517583drogue-du-viol-augmentation-des-agressions.php
Drogue du viol: augmentation des
agressions
Les femmes de 35 ans et plus sont davantage touchées par la récente vague d'agressions sexuelles à l'aide des drogues du viol.
PHOTO ROCKET LAVOIE
Myriam Gauthier
Le Quotidien
(Chicoutimi) Les cas d'agressions sexuelles commises à l'aide des drogues du viol
ont augmenté à Saguenay dans la dernière année. La plupart des femmes agressées
avaient plus de 35 ans.
Les intervenantes du Centre d'aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel
(CALACS) de Saguenay, la Maison Isa, ont enregistré depuis un an 10 demandes d'aides
dans des cas de drogue du viol. Dans les dernières années, la maison d'aide recevait
plutôt une ou deux demandes chaque année.
«Cela fait 20 ans que je fais des relations d'aide, et c'est la première fois que je vois autant
de cas de drogues du viol, constate l'intervenante Carole Tremblay, de la Maison Isa. On
ignore pourquoi. C'est un phénomène très difficile à cerner. On constate une importante
augmentation, mais ces données ne représentent pas nécessairement la réalité, car ce ne
sont pas toutes les femmes qui demandent de l'aide après une agression.»
Mme Tremblay n'est pas en mesure de cibler un secteur particulier de Saguenay. Bien sûr,
les événements se produisent surtout dans les bars. Une femme peut aussi être intoxiquée
par des drogues du viol lors d'une fête privée. Dans la majorité des cas, la victime connaît
son agresseur.
Dans la région, les femmes qui ont été victimes de ce genre d'agression sexuelle dans la
dernière année sont âgées de plus de 35 ans.
«Aucune femme n'est à l'abri, précise Carole Tremblay. On ne sait pas pourquoi les
femmes de 35 ans et plus sont davantage touchées par ce crime. Peut-être qu'elles sont
moins sur leurs gardes, car elles croient que les jeunes femmes sont plus souvent ciblées.
Sous toutes réserves, j'ai aussi entendu dernièrement que la dernière MODE chez
certaines jeunes est de trouver une femme ''expérimentée''...»
Lac-Saint-Jean
Les intervenantes du CALACS Entre Elles, du Lac-Saint-Jean, n'ont pas observé une telle
hausse dans leur secteur. «Les agressions sexuelles à l'aide de drogues du viol sont une
réalité que nous connaissons aussi, explique une des intervenantes du centre, Jocelyne
Gagné. Depuis les cinq dernières années, je n'ai pas cependant pas observé
d'augmentation.»
Le constat est le même du côté de la maison mère des CALACS, qui n'a pas observé
d'augmentation particulière ailleurs au Québec. «Nous faisons cependant de plus en plus
de sensibilisation, ce qui fait que l'on peut déduire que le nombre de cas augmente, même
si cela ne se reflète pas dans nos données», souligne la porte-parole des CALACS, Karine
Tremblay. Les agressions sexuelles avec intoxication involontaire représentent 2 à 3% des
demandes d'aides reçues.
Les femmes qui souhaitent obtenir de l'aide à la suite d'une agression sexuelle peuvent le
faire en composant le 418-545-6444 (Maison Isa) ou le 418-275-1004 (Entre Elles).
23 AVRIL 2012
Article tiré de :
http://www.calgaryherald.com/news/calgary/High+River+woman+recounts+alleged+ra
pe+beating+hands+husband/6504871/story.html
High River woman recounts
alleged rape and beating at
hands of ex-husband
Woman says ex burst into her home and dragged her into bedroom
where assault began
BY DARYL SLADE, CALGARY HERALD APRIL 23, 2012
A High River woman says her ex-common-law husband and father of her three youngest
children burst into her home unexpectedly two years ago when she was letting her puppy
out, dragged her into her bedroom, repeatedly punched and raped her.
The woman testified on Monday that she had broken off the relationship about three months
before the incident on the late evening of April 19, 2010, and had an emergency protection
order to prevent the 37-year-old man from coming to her home.
She said she received numerous text messages and phone calls from the accused all
through that day, as she usually did, and she ignored some and answered some.
However, the 30-year-old woman said he began to get angrier in his tone about 8 p.m., so
she ceased all correspondence with him.
―When I was at the threshold, he plunged into the house, grabbed the dog and threw it,‖ the
woman told Crown prosecutor Sarah Stewart. ―I was in his grasp, then he let go of me with
one hand, so he could shut the door and lock it.
―I was dragged downstairs by my hair and told to take my clothes off. So I did. He was
screaming at me the whole time. He told me to lay down on the bed.‖
The witness said he began to sexually assault her, while she was yelling: ―no, don‘t, please
stop.‖
She said she resisted and squirmed and pulled on his goatee, prompting him to repeatedly
punch her in the face and body with a closed fist.
―After the first punch, it didn‘t stop,‖ she said. ―His fist was constantly punching me. At that
time, he took both hands around my throat.‖
At some point, he took her upstairs with her and hid all of her phones, then went back
downstairs and continued the assault.
The man, who cannot be named in order to protect the identity of the complainant, has
pleaded not guilty to all six charges: aggravated assault, aggravated sexual assault, unlawful
confinement, choking with intent, break and enter to commit aggravated sexual assault.
He also faced a charge of disobeying an emergency protection order, but Stewart dropped
the charge halfway through the opening day of trial.
When the man finished the sexual attack, the woman told court, he was going frantic and
panicked.
―I don‘t know what was going through his head, but he was concerned about me calling the
cops,‖ she said.
―He kept on saying, ‗wipe off your . . . face,‖ she said. ―I said to him, ‗you did this, you should
see it.‘‖
The woman said when he finally left the home, she couldn‘t find a phone, so she took
pictures of herself and her numerous bruises and posted them on Facebook.
She quickly got a response and her father picked her up and took her to hospital in High
River. She then went with her mother to the Sheldon Chumir Centre in Calgary.
Under cross-examination by defence lawyer Jim Lutz, she denied she told another woman
acquaintance, whom she knew because their children went to the same school, that if the
accused left the relationship, she would destroy him.
She also acknowledged that she went to her ex-husband‘s home twice to drop off his
belongings outside, in the face of the emergency protection order, but said she did that on
the advice of a lawyer as the father had visitation rights on their three children.
The woman said she turned over to police after the incident all of the text and email
messages on her phone.
The trial before Court of Queen‘s Bench Justice Karen Horner continues
24 AVRIL 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-droit/actualites/justice-et-faitsdivers/201204/24/01-4518548-un-agresseur-des-annees-60-refait-surface-en-2012.php
Un agresseur des années 60 refait
surface en 2012
LeDroit
LEDROIT
Louis-Denis Ebacher
Le Droit
De vieilles histoires d'agressions sexuelles commises dans les environs de Hamilton
doivent aujourd'hui préoccuper les résidents de la région de la capitale fédérale, selon
les services policiers.
Les policiers de Hamilton et d'Ottawa demandent à la population d'ouvrir l'oeil quant à un
suspect recherché pour des agressions sexuelles commises dans les années 60 et 70 sur
des jeunes garçons alors âgés de moins de 16 ans.
Selon les autorités, Roger Marcotte, 62 ans, se trouverait dans les environs d'Ottawa
depuis quelques temps. La police de Hamilton dit avoir reçu des plaintes relativement à des
gestes posés il y a plus de 40 ans. Selon l'enquête, Roger Marcotte développait à l'époque
des relations amicales avec des jeunes de son quartier, puis pendant des années, aurait
abusé de jeunes garçons alors qu'il résidait sur la rue St-Bernard, à Hamilton.
Les enquêteurs au dossier croient que d'autres victimes et d'autres témoins ne se sont
toujours pas manifestés. M. Marcotte voyagerait constamment d'un bout à l'autre du pays.
Il mesure cinq pieds et huit pouces, est mince, porte les cheveux courts, poivre et sel. Il
s'exprime en français et porte des lunettes de prescription.
Il est accusé de huit chefs de grossière indécence et d'agressions sexuelles. Toute
information doit être acheminée auprès de la détective Andrea Richard, au 905-546-2990,
ou à Échec au crime, au 1-800-222-8477.
25 AVRIL 2012
Article tiré de :
http://www.lapresse.ca/le-nouvelliste/justice-et-faits-divers/201204/25/01-
4518665-wemotaci-deux-anciens-dirigeants-au-banc-des-accuses.php
Wemotaci: deux anciens
dirigeants au banc des accusés
PHOTO: STÉPHANE LESSARD
Vincent Gauthier
Le Nouvelliste
(Trois-Rivières) Deux anciens hauts dirigeants du conseil de bande de Wemotaci
se retrouvent dans l'eau chaude après que des accusations à caractère sexuel
eurent été déposées contre eux en lien avec des histoires qui se seraient
déroulées il y a une quarantaine d'années.
Parmi les accusés, on retrouve Marcel Boivin, qui a longtemps été chef du conseil de
bande de Wemotaci. M. Boivin a aussi déjà occupé le poste de négociateur en chef de
la nation atikamewk. En 2010, il avait également été candidat aux élections du Conseil
de la nation atikamekw.
L'autre accusé, Jean-Paul Néashish, a pour sa part été conseiller au conseil de bande
de Wemotaci. Il a également déjà agi comme négociateur en chef intérimaire du
Conseil de la nation atikamekw.
Les deux hommes ont été arrêtés en février dernier par la Sûreté du Québec et un
procès doit se tenir au cours des prochaines semaines.
Selon TVA, Marcel Boivin est accusé d'agression sexuelle pour des événements
commis en 1984. Quant à Jean-Paul Néashish, il fait face à des accusations d'attentat
à la pudeur sur une mineure et grossière indécence, en lien avec des gestes posés
entre le 1er avril 1970 et le 31 mars 1973.
Ce n'est pas la première fois qu'une personne bien en vue fait face à de telles
accusations dans la communauté de Wemotaci.
En 2004, le père Raynald Couture avait écopé de 15 mois de prison pour agression
sexuelle et sodomie en lien avec des gestes qu'il avait posés à l'endroit d'un
adolescent atikamekw entre 1985 et 1987.
26 AVRIL 2012
Article tiré de : http://fr.canoe.ca/infos/societe/archives/2012/04/20120426175600.html#.T56s1XZ7Ycc.email
Agression sur deux femmes : Il aurait
agi sous l’influence de Lucifer
Agence QMI
Henri Prévost
26/04/2012 17h56
L’accusé, Jean-Simon Morin.
© Agence QMI
SAINT-JÉRÔME – Accusé d'avoir agressé deux femmes, dont une adolescente, un homme
de 41 ans, de Saint-Jérôme, expliquerait ces gestes par le fait qu'il est possédé du démon.
L'accusé, Jean-Simon Morin, a été arrêté le 19 avril à la suite d'une enquête de la police
municipale sur ces crimes survenus depuis le début de l'année.
Il a été accusé d'agression sexuelle sur une victime âgée de 25 ans, tandis que les trois
autres délits qui lui sont reprochés visaient une jeune de 15 ans, soit leurre informatique,
incitation des contacts sexuels et corruption d'enfant.
Victimes vulnérables, histoires farfelues
Peu d'informations ont jusqu'à présent été rendues publiques au sujet de cette affaire que
les policiers qualifient de «très particulière». Selon ce qu'on a appris, l'accusé, qui se fait
aussi appeler Jessy Morin, aurait profité de victimes vulnérables pour assouvir ses besoins
sexuels en invoquant des histoires farfelues.
Il se serait notamment présenté comme un policier, mais, surtout, comme un disciple de
Lucifer. Il porte d'ailleurs des marques sur le corps qu'il imputerait au prince des ténèbres.
Sur une de ses pages Facebook, où il s'identifie cette fois sous le nom Carlos Avilas, sa
photo de profil montre une scène de funérailles portant la mention «Bon repos Carlos 19702010».
Visiblement amateur de musique, une autre page Facebook le présente comme un
animateur de la station radiophonique web Les étoiles du country.
Incarcéré depuis son arrestation, Jean-Simon Morin reviendra en cour mardi pour sa
demande de libération sur caution. Son avocate, Dominique Émond, a vainement tenté de le
faire soumettre à un examen psychiatrique.
Pas d'évaluation psychiatrique
Chose rare, la couronne, représentée par Me Caroline Lafleur, s'opposait à cette mesure,
compte tenu de sa propre évaluation du dossier.
Elle a en outre fait témoigner un policier qui a expliqué qu'au terme d'un interrogatoire de
plus de cinq heures, observé à distance par deux psychologues travaillant pour la Sûreté du
Québec ainsi qu'un «profileur» de la SQ, ceux-ci en sont venus à la conclusion que l'accusé
ne présentait pas de symptômes de maladie mentale. On le considère plutôt comme un
manipulateur et un menteur pathologique.
Me Émond a invoqué le fait que ces spécialistes travaillent pour la police et qu'on pourrait
ainsi mettre en doute leur impartialité. C'est pourquoi elle souhaitait une expertise
indépendante par un psychiatre, échelonnée sur une plus longue période.
Tout en reconnaissant que les faits dans cette affaire amènent «à se poser des questions»,
le juge Michel Belhumeur a toutefois indiqué ne pas avoir de preuve suffisante que l'accusé
est «inapte à comprendre ce qui se passe». La défense pourra néanmoins réitérer sa
demande plus tard dans le processus judiciaire.
27 AVRIL 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201204/27/01-4519557-prise-dotages-peine-additionnelle-de-10-ans-pour-undelinquant-sexuel.php
Prise d'otages: peine additionnelle
de 10 ans pour un délinquant
sexuel
Vincent Larouche
La Presse
Le délinquant sexuel récidiviste Alain Ducap, qui avait relancé le débat sur la sécurité
à l'Institut Philippe-Pinel en prenant trois employés en otages il y a un an, vient d'être
condamné à une peine additionnelle de 10 ans de prison.
Ducap, 52 ans, a plaidé coupable à une multitude d'accusations liées à cet épisode de
séquestration qui avait poussé plus d'une dizaine d'employés à partir en congé de maladie,
en avril 2011.
En utilisant une imitation d'arme à feu et un couteau artisanal, Ducap avait réussi à ligoter
un médecin, un criminologue et une infirmière sur qui il disait fantasmer depuis longtemps.
Pendant qu'il menaçait de s'en prendre à cette dernière, d'autres employés s'étaient rués
sur lui et avaient réussi non sans mal à le maîtriser.
L'événement, et les nombreux signes laissant présager un risque de récidive chez Ducap,
avait poussé la Commission de la santé et de la sécurité du travail à intervenir et le
syndicat des employés à dénoncer le manque de sécurité à l'Institut Philippe-Pinel.
Ducap avait déjà été déclaré délinquant dangereux en 2003 et purgeait une peine de prison
à durée indéterminée lorsqu'il a été admis au programme pour délinquants sexuels de
l'Institut.
Unité spéciale de détention
Sa nouvelle peine repoussera de 10 ans le moment où il pourra demander une nouvelle
évaluation de son cas dans le but d'être libéré conditionnellement.
Il est incarcéré au seul pénitencier «super maximum» du Canada, l'Unité spéciale de
détention de Sainte-Anne-des-Plaines.
Agressé par son père pendant son enfance, Ducap a multiplié les condamnations:
agressions sexuelles avec ou sans arme, tentative de meurtre, séquestrations, vols
qualifiés.
Un rapport rédigé pendant son procès conclut que Ducap est un déviant sexuel dangereux
en raison du «sentiment de haine et de vengeance» qu'il semble entretenir à l'endroit de la
société en général et des femmes en particulier.
Avant de créer une commotion à Pinel, il avait déjà pris en otage un agent de libération
conditionnelle, menacé une infirmière en milieu carcéral et caché des lames de couteau au
palais de justice de Montréal.
28 AVRIL 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/justice-et-faitsdivers/201204/27/01-4519874-agression-sexuelle-sur-une-mineure-trois-ans-et-demi-deprison-pour-un-quadragenaire.php
Agression sexuelle sur une
mineure: trois ans et demi de
prison pour un quadragénaire
Olivier Parent
Le Soleil
(Québec) Carl Boucher, un individu de 42 ans au lourd passé criminel, s'est vu infliger
trois ans et demi d'emprisonnement pour avoir agressé sexuellement une adolescente
de 15 ans, à qui il avait auparavant offert de la drogue et de l'alcool.
Boucher passera les 31 prochains mois derrière les barreaux, le juge Louis Dionne ayant
soustrait sa détention provisoire de près de 11 mois à la peine globale imposée. Le
quarantenaire est aussi coupable de contacts sexuels et d'incitation à des contacts sexuels.
Les faits reprochés remontent au 30 avril 2011, alors que l'homme avait invité sa victime qu'il connaissait - à une journée de travail pour le compte de sa petite entreprise de travaux
extérieurs. Plus tard, il avait offert à l'adolescente de la drogue et de l'alcool avant qu'ils se
rendent chez lui, où il y avait eu, entre autres, des relations sexuelles complètes.
La jeune victime s'était alors sentie figée et avait eu peur. Elle a par la suite subi un choc
post-traumatique et craint que son agresseur finisse par se venger. Elle consulte toujours
des professionnels.
En prononçant sa peine, le juge Dionne a conclu qu'il y avait eu «une forme d'abus de
confiance», puisque l'accusé connaissait les faiblesses de sa victime. Celle-ci s'était sentie
trahie, alors que l'homme l'aidait dans ses problèmes personnels «comme s'il était [son]
père», a-t-il mentionné.
Le magistrat a souligné au passage des propos de Boucher, selon lesquels il «aime les
jeunes filles, parce qu'elles ont la peau douce et qu'elles ont pas de maladie comme celles
de 30 ans».
Il a aussi insisté sur les nombreuses occasions où l'accusé a rejeté le blâme sur
l'adolescente, en prétendant qu'il aurait cessé si elle avait montré son désaccord, pour
finalement avouer sa responsabilité et exprimer des regrets. Le jugement rappelle par
ailleurs la longue feuille de route criminelle de l'individu, notamment accusé d'agression
sexuelle contre son ex-conjointe, en 1993.
La Couronne représentée par Me Valérie Lahaie demandait une peine de cinq ans de
pénitencier. Le procureur de la défense, Me Stéphane Beaudoin, avait quant à lui soumis
au juge que les mois passés en détention provisoire étaient suffisants et que l'inculpé était
déjà sur le chemin de la réhabilitation.
Le juge a toutefois rejeté cette thèse et n'a pas plus considéré le fait que Boucher aurait été
constamment battu par ses codétenus, en raison des accusations de nature sexuelle pour
lesquelles il est condamné.
En plus de sa peine à purger, Carl Boucher sera inscrit au registre des délinquants sexuels
pour une période de 20 ans. Il lui sera également interdit de communiquer avec sa victime
maintenant âgée de 16 ans.
29 AVRIL 2012
Article tiré de : http://thechronicleherald.ca/metro/91323-judge-gives-pedophile-5-yearsentence
Judge gives pedophile 5-year
sentence
April 29, 2012 - 10:27am BY STEVE BRUCE COURT REPORTER
James Ping Wong was sentenced Friday to five years in prison. He had pleaded guilty earlier
to 10 charges - sexual interference with a minor, luring a child, break and enter, two counts
of possession of child pornography and five counts of breaching his bail conditions.
(Contributed)
James Ping Wong seemed to have it all in the summer of 2010.
Wong and his wife of almost 10 years had a year-old daughter and a nice home in Cole
Harbour, and he held a good job with a multinational company.
But his life came crashing down that August, when he was charged with groping a 13-yearold girl he had hired to help him with his daughter in the evenings, while his wife was at work.
Further investigation led police to arrest him again in February 2011 for having about 100
images of child pornography on a computer they had seized for analysis the previous
summer.
After spending about three weeks in jail, Wong convinced a judge to free him on bail. His
criminal activity only escalated and he ended up back behind bars again last June for
numerous breaches of his release conditions.
And police weren‘t done yet. An examination of three computers found in his possession
revealed that they had been stolen from a neighbour‘s house in December 2010 and that
Wong had used them to rebuild his collection of child pornography.
The 45-year-old man was sentenced Friday to five years in prison. He had pleaded guilty
earlier to 10 charges - sexual interference with a minor, luring a child, break and enter, two
counts of possession of child pornography and five counts of breaching his bail conditions.
―When you step back and look at the sequence of events from August 2010 through to June
2011, I would suggest that you almost marvel at the way in which Mr. Wong‘s life seems to
have gone so completely off the rails,‖ Crown attorney Paul Carver said in Dartmouth
provincial court.
The man was so determined to have sex with the 13-year-old that he used his own daughter
as a prop to get her in a vulnerable situation, Carver told the court.
Wong joked to the girl that he was a pervert but said he was not dangerous and wouldn‘t
touch her or go near her. He said he would only look at her out of the corner of his eye.
What the girl didn‘t know was that Wong was a convicted sex offender, having received a
one-year jail sentence in 1992 for a sexual assault with a weapon involving a 17-year-old girl.
The 13-year-old babysat for Wong for just two evenings. She turned down offers of alcohol
and a shopping trip to a lingerie store. He grabbed her bum and breasts and tried to tickle
her crotch. He put a hand down the back of her pants while she was drying his daughter after
a
bath.
The girl e-mailed her sister-in-law to tell her what had happened. That woman contacted
police.
In subsequent text messages, Wong begged the girl not to report him and said he had
considered committing suicide.
Wong tearfully confessed to his wife and admitted to his in-laws that he was pedophile.
In a victim impact statement, the girl, now 15, said Wong‘s actions robbed her of her
childhood innocence.
Judge Jim Burrill praised the girl for having ―the nerve to stand up to the pedophile that sits
before the court today.‖
―She‘s a hero in the sense that she has reduced the risk … that Mr. Wong would harm
another child or anyone else in the community,‖ Burrill said.
―He has been found out.‖
Wong compiled an extensive criminal record as a young man, with numerous convictions for
break and enter and others for fraud, forgery, possession of a stolen credit card, assault with
a weapon and breaching probation.
He stayed out of trouble for 10 years before committing the crimes against the babysitter.
Wong refused to undergo a sexual offender assessment before sentencing. A psychiatrist
who reviewed his file made a provisional diagnosis of pedophilia, hebephilia (a preference for
individuals in the early years of puberty) and antisocial personality disorder with
psychopathic traits.
The doctor concluded Wong is a moderate to high risk to commit further violent or sexual
offences.
Carver showed the judge samples of the child pornography found on Wong‘s computers and
pointed out that in several images the children were smiling while being abused.
The prosecutor noted that Wong told his wife that the babysitter smiled when he touched her,
an assertion denied by the girl.
―When you have smiling children engaged in sexual activity, it would seem to Mr. Wong that
everything‘s OK, and that‘s what makes him truly dangerous and truly a risk to the
community,‖ Carver said.
Defence lawyer Ken Greer said abuse of alcohol and marijuana and depression issues
reduced his client‘s ability to resist his underlying temptations.
―This is an individual who is not without hope,‖ Greer said. ―There is a person here who
certainly understands there is a problem and that he needs treatment.‖
Greer asked the court to give Wong extra credit for his more than 11 months of remand time
because of the abuse he was subjected to at the Dartmouth jail. Wong had feces and urine
thrown at him and was pushed and shoved and threatened to the point that he was
segregated for his own protection.
―I‘ll forever deeply regret inflicting so much pain on everyone,‖ Wong told the court.
―Although my actions were inexcusable and unexplainable, please realize that I am truly
sorry. Not a day goes by that I don‘t think how stupid and wrong I was.
―There‘s no punishment that you can hand me right now that will be any worse than the
suffering I‘ve brought on myself. I‘ve lost my beautiful wife, my wonderful baby girl, my
family, my friends, my house, my job, my dog. I‘ve lost everything in my life.‖
The Crown recommended that Wong be sentenced to six years and one month on top of his
remand time, while the defence suggested a prison term of between 3½ and four years.
The judge ruled that a five-year sentence was appropriate. He ordered Wong to provide his
DNA to a national databank and to register as a sex offender for the rest of his life. Wong
also won‘t be allowed to possess firearms and must stay away from parks, playgrounds,
schools and other places frequented by children.
―While he expressed remorse for his victim and the harm that he caused his family, I got the
distinct sense that he was most sorry for his own personal loss,‖ Burrill said of Wong.
―This court hopes that the message that goes from this courtroom loud and clear today is
that if you treat a child as an object for your sexual gratification, you will risk severe sanctions
from this court.
―Regardless of what sentence I impose here today, the accused will one day be released into
the community. It‘s the hope of this court that when he is, that the risk of (reoffending) has
been reduced through the sanctions imposed and the treatment that he will be offered in the
federal institution.‖
30 AVRIL 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-droit/actualites/justice-et-faitsdivers/201204/30/01-4520314-agressions-sexuelles-la-police-dottawa-sur-un-pied-dalerte.php
Agressions sexuelles: La police
d'Ottawa sur un pied d'alerte
LeDroit
LEDROIT
Guillaume St-Pierre
Le Droit
Les policiers d'Ottawa sont sur un pied d'alerte, alors qu'une vague d'agressions
sexuelles frappe actuellement l'ouest et le sud du centre-ville. Dans les deux dernières
semaines, huit incidents ont été rapportés par la police.
Un suspect a frappé trois fois vendredi dernier, à une moins d'une heure d'intervalle.
Vers 7h40, un homme a approché une femme de 19 ans qui marchait sur l'avenue Dorion
avant de lui baisser le pantalon. Quelques minutes plus tard, un peu plus loin, sur l'avenue
Industrial, une femme de 41 ans a subi les mêmes sévices. Plus tôt dans la journée,
toujours dans le même quartier, une femme de 22 ans aurait été suivie d'une station
d'autobus d'OC Transpo jusqu'à son lieu de travail, l'école publique Riverview, sur l'avenue
Knox.
Aucune agression n'a été commise, mais la police croit que les trois incidents sont reliés.
Le suspect aurait été décrit comme un homme dans la vingtaine, mesurant 5' 6, ayant les
cheveux courts et noirs.
La même description a été rendue aux policiers le 14 avril dernier à la suite de deux
événements distincts qui se sont produits près de l'intersection de la rue Albert et Bronson.
L'homme aurait approché les femmes vers 6 h du matin pour les déculotter et les agresser
sexuellement.
Deux jours plus tard, un agresseur frappait encore trois fois entre 6h20 et 6h45 du matin
selon le même modus operandi, aux coins des rues O'Connor et Lisgar, Preston et SaintAnthony, et Loretta et Young.
Finalement, le 25 avril, une femme de 20 ans a été saisie par l'arrière, alors qu'elle
marchait sur la rue Lebreton en direction nord, vers 2h20 du matin. Après s'être débattue,
la jeune femme a réussi à prendre la fuite vers la rue Somerset. Le suspect a été décrit
comme étant un homme mesurant 1,75 mètre, et portant un manteau matelassé de couleur
sombre et une casquette de baseball.
Quiconque possède des informations au sujet de ces agressions peut les communiquer
auprès d'Échec au crime, au 613-233-8477 (TIPS).
1er MAI 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-droit/actualites/justice-et-faitsdivers/201205/01/01-4520759-meurtre-de-victoria-stafford-laccuse-netemoignera-pas.php
Meurtre de Victoria Stafford:
l'accusé ne témoignera pas
Michael Rafferty
PHOTO: PC
La Presse Canadienne
London
L'homme accusé du meurtre prémédité de la petite Victoria Stafford ne témoignera
pas à son procès. L'avocat qui représente Michael Rafferty a conclu mardi la
présentation de ses arguments en appelant un dernier témoin à la barre.
La femme qui a brièvement témoigné pour la défense est l'une des dernières personnes à
avoir vu Victoria Stafford vivante.
Son identité est protégée par une ordonnance de non-publication du tribunal.
Le 8 avril 2009, en allant chercher sa petite-fille, la dame a dit avoir aperçu la fillette âgée
de huit ans près de l'école primaire qu'elle fréquentait à Woodstock, en Ontario.
Elle a soutenu avoir vu une femme, dont la description correspond à celle de l'ancienne
petite amie de Michael Rafferty, Terri-Lynn McClintic, entrer dans l'école et en ressortir un
peu plus tard avec Victoria Stafford, tel que l'ont montré les images captées par une
caméra de surveillance.
Celle que la dame a identifiée comme étant Terri-Lynn McClintic avait un air «sérieux».
«(Elle) semblait être en mission, a-t-elle déclaré. La petite fille qui l'accompagnait était
heureuse, elle sautillait et bavardait (...) J'ai pris pour acquis que la personne à qui elle
s'adressait pouvait être sa mère.»
Terri-Lynn McClintic a plaidé coupable du meurtre prémédité de la fillette, et a déjà été
condamnée à l'emprisonnement à perpétuité.
Au procès de Michael Rafferty, elle a déclaré que ce dernier l'avait fortement incitée à
enlever une jeune fille. Son choix s'est arrêté sur Victoria Stafford car la fillette était seule à
l'extérieur de l'école, a-t-elle expliqué.
Michael Rafferty, âgé de 31 ans, a plaidé non coupable à des accusations de meurtre
prémédité, d'agression sexuelle ayant causé des blessures et d'enlèvement.
La Couronne a terminé, la semaine dernière, l'exposé de sa preuve et les comparutions de
ses témoins, au palais de justice de London. Depuis le début des audiences, le 5 mars, le
jury a entendu 61 témoins et a examiné 186 pièces à conviction.
Les restes de Victoria Stafford ont été retrouvés 103 jours après sa disparition près de
Mount Forest, en Ontario, à plusieurs dizaines de kilomètres de sa résidence de
Woodstock.
2 MAI 2012
Article tiré de : http://fr.canoe.ca/infos/societe/archives/2012/05/20120502-204724.html
Père incestueux écope de cinq ans de
prison
Agence QMI
Jean-Philippe Morin
02/05/2012 20h47
Au terme d’un long procès, M. Piette a été
reconnu coupable aux trois chefs d’accusation
portés contre lui le 13 avril dernier 2011.
© Jean-Philippe Morin / Agence QMI
SOREL-TRACY – Roger Piette, 72 ans, de Saint-Roch-de-Richelieu, a écopé de cinq ans de
prison mercredi dernier, au palais de justice de Sorel-Tracy, à la suite de nombreuses
agressions sexuelles entre1972 et 1979 sur sa fille et qui ont débuté alors qu'elle n'avait que
six ans.
Au terme d'un long procès, M. Piette a été reconnu coupable aux trois chefs d'accusation
portés contre lui le 13 avril dernier 2011. Deux ans plus tôt, il avait déposé un plaidoyer de
non-culpabilité pour les trois chefs, soit attentat à la pudeur, inceste et viol.
Aujourd'hui dans la quarantaine, sa fille a voulu briser le silence. Malgré que les faits se
soient déroulés dans les années 70, elle a voulu lever le voile et se battre pour qu'une
condamnation tombe une fois pour de bon.
«Je me suis battue pendant cinq ans pour ça, a-t-elle dit. C'est un gros poids qui s'enlève de
mes épaules.
Heureusement que j'ai eu mon conjoint pour m'assister, je n'y serais jamais arrivée seule.»
Le courage de Nathalie Simard
C'est le courage de la chanteuse Nathalie Simard qui a inspiré Mme Piette de dénoncer.
Nathalie Simard a dénoncé Guy Cloutier, une personnalité publique connue, et ce dernier a
écopé d'une peine de prison pour viol.
«C'est grâce à elle si j'ai eu le courage de poser ce geste, a-t-elle soutenu. Je l'ai rencontrée
lors d'une thérapie à Saint-Lambert. C'est vraiment une inspiration pour moi et toutes les
victimes d'abus sexuels. Ça m'a aidé à ne pas lâcher et à continuer ma bataille.»
Ces abus entre 1972 et 1979 lui trottaient dans la tête en tout temps. Après de nombreuses
thérapies, elle décide de porter plainte en 2007. Cette décision ne fut pas facile, au contraire.
Elle dit qu'aujourd'hui, les liens sont brisés entre elle et sa famille. Depuis le dépôt de la
plainte, elle n'a plus de contact avec sa mère, ni même son fils.
La procureure de la Couronne, Marie-Josée Bergeron, demandait six à sept ans
d'emprisonnement, alors que l'avocate de M. Piette, Annie Francoeur, demandait deux ans.
Parmi les facteurs aggravants pour déterminer la peine, le juge Éric Simard a entre autres
soulevé l'abus d'autorité, le bas âge de la victime au moment des faits, la longue période des
abus et les préjudices causés à la victime.
Parmi les facteurs atténuants, il a mentionné l'absence d'antécédents judiciaires, la nonrécidive depuis 30 ans, le suivi thérapeutique par un sexologue et le faible risque de récidive.
En plus de cette peine de cinq ans, M. Piette sera enregistré sur la liste des délinquants
sexuels à vie, ne pourra se procurer une arme à feu et se verra prélever un échantillon
d'ADN.
3 MAI 2012
Article tiré de : http://fr.canoe.ca/infos/societe/archives/2012/05/20120503-144453.html
Dans un complexe fuinéraire arrêté
pour une agression sexuelle
Agence QMI
Henri Prévost
03/05/2012 14h44
Marion Servant
© Courtoisie
SAINT-JÉRÔME – Un résidant de Saint-Jérôme a comparu en cour jeudi sous des
accusations d'agression sexuelle armée, de port de déguisement et de possession de
cannabis.
Il a été arrêté mercredi relativement à l'agression sexuelle survenue l'été dernier au
complexe funéraire Les Sentiers commémoratifs de la Rivière-du-Nord, à Prévost.
Les enquêteurs de la Sûreté du Québec ont appréhendé Marion Servant à son domicile. Il
semble qu'une information provenant d'un citoyen ait récemment permis de faire avancer
l'enquête de façon significative.
Il faut dire que la SQ avait diffusé en novembre un extrait d'une bande vidéo captée par la
caméra de surveillance de l'établissement, où l'on apercevait clairement l'agresseur.
L'homme âgé de 47 ans reste détenu en attendant la suite des procédures.
Le crime s'était produit le 21 août en plein après-midi. Une employée de 21 ans était alors
seule dans le bâtiment du complexe funéraire, qui longe la rivière du Nord et le parc du P'tit
train du Nord, près de la route 117.
À la pointe du couteau, l'agresseur l'a forcée à se dévêtir et l'a agressée avant de prendre la
fuite à peine trois minutes plus tard, non sans causer un violent choc nerveux à la victime.
4 MAI 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/la-tribune/faits-divers/201205/04/01-4521936michel-peloquin-declare-delinquant-dangereux.php
Michel Péloquin déclaré
délinquant dangereux
Yanick Poisson
La Tribune
(DRUMMONDVILLE) Il coulera pas mal d'eau sous les ponts avant que Michel
Péloquin revoie la lumière du jour. Le multirécidiviste a été déclaré délinquant
dangereux par la juge Marie-Josée Ménard et a reçu une peine de détention en
pénitencier d'une durée indéterminée.
Le Drummondvillois de 52 ans a été condamné à plus d'une dizaine de reprises depuis sa
première infraction remontant au 5 décembre 1983.
À l'origine, il a été reconnu coupable de voies de fait et de menaces, puis de vol et de
tentatives de fraude. Au fil des ans, il y a eu escalade de violence et ses derniers crimes
ont été de nature sexuelle.
En 1994, il a reçu six ans de prison pour agression sexuelle et séquestration puis, en 2003,
2004 et 2010, il a de nouveau été condamné pour des attouchements et des agressions
sexuelles. Chaque fois ses victimes sont des personnes présentant des troubles mentaux,
des enfants, ou des gens intoxiqués.
5 MAI 2012
Article tiré de : http://metronews.ca/news/halifax/187866/police-investigate-allegedsexual-assault/
Police investigate alleged sexual
assault
By StaffThe Canadian Press
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SYDNEY, N.S. – Cape Breton police are investigating an alleged sexual assault of a
young woman.
Police say they received a complaint late Friday that a sexual assault had occurred at
the Mira Road Fire Hall near Sydney.
Officers went to the fire hall and a 28-year-old man has been arrested.
Police say a 17-year-old woman was transported to the Cape Breton Regional Hospital.
Members of the forensic identification unit assisted with the investigation.
6 MAI 2012
Article tiré de : http://www.torontonews24.com/toronto-crime-news-releases/1282-manfaces-three-charges-in-sexual-assault-investigation-rafael-silva-24
Man faces three charges in sexual
assault investigation, Rafael Silva,
24
On Sunday, May 6, 2012, police arrested a man in connection with a sexual assault
investigation.
It is alleged that:
− on Sunday, May 6, 2012, at 1:42 a.m., a 21-year-old woman was in the Leslie
Street/Eglinton Avenue East area
- she was driven by a man to a home in the Bloor Street West/Lansdowne Avenue area
- she was then sexually assaulted by the man
Rafael Silva, 24, of Toronto, has been charged with:
1) Kidnapping
2) Forcible Confinement
3) Sexual Assault
He was scheduled to appear in court at Old City Hall, on Monday, May 7, 2012, room 101, at
10 a.m.
7 MAI 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-droit/actualites/justice-et-faitsdivers/201205/07/01-4522817-agression-dune-femme-un-policier-plaide-non-coupable.php
Agression d'une femme: un
policier plaide non coupable
Un policier d'Ottawa a plaidé non coupable d'agression sexuelle enversune femme de 27 ans qui allègue avoir été brutalisée dans
le bloc cellulaire en septembre 2008.
PATRICK WOODBURY, LEDROIT
Louis-Denis Ebacher
Le Droit
Un policier d'Ottawa a plaidé non coupable d'agression sexuelle envers une femme
qui allègue avoir été brutalisée dans le bloc cellulaire en septembre 2008.
Le sergent Steven Desjourdy, qui a déjà occupé les fonctions de porte-parole du service de
police, a déposé son plaidoyer de non-culpabilité hier matin au palais de justice d'Ottawa.
L'Unité des enquêtes spéciales a déposé ces accusations il y a un an. La femme de 27 ans
affirme avoir été gardée au sol par quatre policiers après son arrestation au centre-ville.
Une vidéo montre le sergent Desjourdy découper le chandail et le soutien-gorge de la
femme pendant l'intervention musclée.
8 MAI 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-nouvelliste/justice-et-faits-divers/201205/08/014523054-eric-lafrance-accuse-dagressions-sexuelles.php
Éric Lafrance accusé d'agressions
sexuelles
Éric Lafrance a pu reprendre sa liberté, mais sous conditions dont celle de ne pas contacter les trois femmes.
PHOTO: ÉMILIE O'CONNOR
Nancy Massicotte
Le Nouvelliste
(Trois-Rivières) C'est le 12 septembre prochain qu'Éric Lafrance, 37 ans de TroisRivières, subira son enquête préliminaire pour des agressions sexuelles commises
sur trois femmes, dont une mineure.
Entre le 1er janvier 2000 et le 25 novembre 2001, il aurait agressé sexuellement une
femme et ce, à plusieurs reprises. On lui reproche également de s'être livré à des voies de
fait et d'avoir proféré des menaces à l'encontre de celle-ci.
La Couronne, représentée par Me Catherine Roberge, a également porté des accusations
d'attouchements sexuels et d'agression sexuelle en lien avec des événements survenus en
juillet 2007 contre une mineure.
Enfin, Lafrance est accusé d'agression sexuelle sur une troisième victime entre juillet et
octobre 2008. Il s'agirait d'une amie de la première présumée victime.
Le prévenu, qui a des antécédents judiciaires pour conduite dangereuse, voies de fait et
harcèlement entre autres, a été arrêté par les policiers de Trois-Rivières au terme d'une
grosseenquête. Il a comparu la semaine passée.
Il a cependant pu reprendre sa liberté, mais sous conditions dont celle de ne pas contacter
les trois femmes.
Hier, son avocat Me Bertrand Jacob a demandé une date pour la tenue de
l'enquêtepréliminaire.
Après discussions avec la couronne et la juge Dominique Slater, il a été convenu de la fixer
au 12 septembre.
9 MAI 2012
Article tiré de : http://m.radio-canada.ca/regions/Montreal/2012/05/09/004-pornojuvenileterrebonne-gaudette.shtml
Pornographie juvénile: Un homme
de 45 ans de Terrebonne arrêté
Radio-Canada. ca
La Sûreté du Québec (SQ) a arrêté un homme de 45 ans de Terrebonne qui aurait
envoyé plusieurs milliers d'images et de vidéo de pornographie juvénile dans
l'Internet. François Gaudette a comparu au palais de justice de Saint-Jérôme, mardi
après-midi, où il a été accusé de possession, distribution et de production de
pornographie juvénile.
L'équipe d'enquête sur l'exploitation sexuelle des enfants sur Internet de la SQ a repéré M.
Gaudette, sur la toile, en janvier 2012. Les spécialistes de la cybersurveillance ont amorcé
leur enquête à ce moment.
Les policiers de la SQ ont arrêté M. Gaudette à son domicile où ils ont également saisi du
matériel informatique. L'analyse de ce matériel informatique pourrait mener à d'autres
accusations, estime la SQ.
L'Équipe d'enquête sur l'exploitation sexuelle des enfants sur Internet de la Sûreté du
Québec fait partie du Service des enquêtes sur l'intégrité de la personne qui est composée
de policiers de la SQ et de la Gendarmerie royale du Canada (GRC).
Les policiers invitent la population à transmettre toute information au sujet de l'exploitation
sexuelle des jeunes à cette adresse : cyberaide.ca.
10 MAI 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/societe/201205/10/01-4523851le-petit-blanchon-un-toit-pour-les-tout-petits-abuses-et-traumatises.php
Le Petit Blanchon: un toit pour
les tout-petits abusés et
traumatisés
À la maison Le Petit Blanchon, les tout-petits seront pris en main par des éducateurs spécialisés, des psychologues, des
ergothérapeutes. Ci-dessus: la salle des toutous.
LE PETIT BLANCHON
Pierre Pelchat
Le Soleil
(Québec) Des tout-petits abusés sexuellement, battus, abandonnés ont maintenant un
nouveau toit à Québec. La maison Le Petit Blanchon accueillera la semaine prochaine
ses premiers enfants âgés de trois à huit ans.
«Ce sont des enfants qui sont en crise continuellement compte tenu de leurs traumatismes.
Ils ne peuvent être en famille d'accueil. Ils ont besoin presque d'être aux soins intensifs. Le
Petit Blanchon, c'est presque une unité de soins intensifs», a indiqué, mercredi, Jacques
Laforest, directeur général du Centre jeunesse de Québec.
«C'est une petite portion d'enfants qui ont des sévices très jeunes. Certains ont été abusés
sexuellement entre zéro et trois mois, des abus complets», a-t-il ajouté.
À la maison Le Petit Blanchon, les tout-petits seront pris en main par des éducateurs
spécialisés, des psychologues, des ergothérapeutes. «C'est un endroit aménagé pour leurs
conditions, pour travailler avec eux. C'est un outil de plus pour aider ces enfants», a dit
M. Laforest.
Capacité de six enfants
La maison pourra loger six enfants à la fois. La durée d'un séjour peut aller jusqu'à deux
ans. Par la suite, l'enfant pourra être adopté ou placé dans une famille d'accueil.
Chaque année, le Centre jeunesse de Québec doit composer avec une dizaine de toutpetits maltraités et abusés.
«Ce n'est pas qu'au Québec. On voit ça partout dans le monde. Souvent, les parents ont
de très gros problèmes. Malheureusement, il y en aura toujours. On s'est beaucoup
amélioré. On est beaucoup plus sensible aujourd'hui à la cause des enfants», a dit
M. Laforest.
La maison Le Petit Blanchon a été rendue possible grâce aux contributions versées à la
fondation du même nom mise sur pied par l'homme d'affaires Guy Boutin. La Fondation du
Centre jeunesse et l'établissement sont les deux autres partenaires institutionnels du projet.
11 MAI 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201205/11/01-4524264-agression-sexuelle-un-dentiste-dit-avoir-ete-piege.php
Agression sexuelle: un dentiste dit
avoir été piégé
Caroline Touzin
La Presse
Le dentiste accusé d'avoir agressé sexuellement une patiente dit avoir été «piégé». Il
se décrit comme la victime dans cette affaire.
«En réalité, c'est elle qui m'a agressé», a indiqué le Dr Mihran Dadourian à la policière qui
l'a longuement interrogé en juillet 2009.
La poursuite a commencé à faire entendre cet interrogatoire d'une durée de six heures,
hier, dans le cadre d'un voir-dire au procès du dentiste de 65 ans, au palais de justice de
Montréal. Le juge Salvatore Mascia devra ensuite déterminer son admissibilité en preuve.
Le dentiste est soupçonné d'avoir forcé une patiente à lui faire une fellation alors qu'elle
avait la bouche gelée.
Au début de l'interrogatoire, le Dr Dadourian s'inquiète beaucoup pour sa réputation. Il
insiste sur le fait que la relation avec sa patiente était une «relation d'affaires, de
consentement» et que sa femme ne doit pas être mise au courant.
Le dentiste fond en larmes à plusieurs reprises durant l'interrogatoire lorsqu'il est question
des conséquences qu'aura l'accusation criminelle sur sa vie personnelle et professionnelle.
«Je n'ai jamais agressé une patiente. En plus, une pauvre réfugiée», insiste-t-il en faisant
référence à la plaignante, qui est d'origine africaine.
Cette femme est allée le consulter le 1er octobre 2008 pour une importante rage de dents.
À 39 ans, c'était la première fois de sa vie qu'elle consultait un dentiste. La femme, dont
nous devons taire l'identité, a témoigné plus tôt au procès. Selon elle, ce n'était pas du tout
une relation sexuelle consentante.
De son côté, le Dr Dadourian raconte que, après qu'il eut anesthésié la bouche de la
plaignante, elle s'est mise à lui parler de circoncision en faisant allusion à son pays
d'origine. Puis, elle a carrément sorti son membre de son pantalon pour l'examiner, selon la
version du dentiste. Il s'est senti «agressé».
L'enquêteuse de la police de Montréal lui fait alors remarquer qu'il n'a pas résisté. «Elle a
touché le bon bouton, admet-il. D'accord, ce n'est pas une agression. Mais moi, je ne l'ai
pas agressée.»
Le dentiste dit qu'il a donné 40$ à sa cliente en échange de la fellation.
«Elle a pris l'argent. Ce n'est pas une agression. C'est de la prostitution», dit-il à
l'enquêteuse Hélène Fiset.
La patiente a porté plainte à la police une dizaine de jours après les faits, puis à l'Ordre des
dentistes. En mars 2011, le Dr Dadourian a plaidé coupable à une infraction d'inconduite
sexuelle devant son ordre professionnel. Il a été radié pour trois mois et a écopé d'une
amende de 1000$.
Le procès se poursuit aujourd'hui avec l'audition de la suite de l'interrogatoire. L'accusé, qui
est accompagné de sa femme, est défendu par Me Pierre Poupart. C'est Me Anne Aubé
qui représente la Couronne.
12 MAI 2012
Article tiré de :
http://www.vancouversun.com/news/Williams+Lake+RCMP+arrest+year+assault+susp
ect/6609864/story.html
Williams Lake RCMP arrest 14year-old sex assault suspect
Vancouver Sun MAY 12, 2012
The Williams Lake RCMP arrested a 14-year-old male suspected to have sexually assaulted
and inappropriately touched several victims.
Photograph by: North Shore News , file photo
The Williams Lake RCMP arrested a 14-year-old male suspected to have sexually assaulted
and inappropriately touched several victims, the RCMP said in a release.
Being a youth, police has not released his name.
He was released later to his guardian on strict conditions and is being monitored by the
police.
The RCMP recieved several complaints in April from female victims who were confronted
and attacked while out in public places.
―This investigation struck to the core of public safety and was made a priority for the
investigational team,‖ said Staff Sergeant Ken Brissard of the Williams Lake RCMP in the
release.
The investigation is still ongoing.
The youth will later appear in court to face charges of sexual assault.
© Copyright (c) The Vancouver Sun
13 MAI 2012
Article tiré de :
http://www.windsorstar.com/news/Chatham+Kent+police+seek+victims+child+luring/6
614559/story.html
Chatham-Kent police seek
victims of child luring
BY TREVOR WILHELM, THE WINDSOR STAR MAY 13, 2012
CHATHAM-KENT, Ont. -- Police want to know if other victims are out there after arresting an
Essex County man for luring a young girl over the Internet for sex.
The investigation, which involved police from Chatham, Guelph, Waterloo and the OPP,
began March 20. The Chatham-Kent police Internet Child Exploitation (ICE) Unit got a tip
that an Ilderton man was trying to lure a 14-year-old girl.
Police executed a search warrant Friday afternoon at a Woodlily Lane address in Ilderton
where the man lives.
Thomas Patrick Russell, 27, is charged with one count of luring, one count of invitation to
sexual touching and three charges of committing an indecent act. He was released from
custody until a future court date.
Chatham-Kent police ask anyone with information about Russell, his alias ―Jim Edwards‖ or
any other victims to call the major crime unit at 519-436-6616. You can also make an
anonymous call to Crime Stoppers.
© Copyright (c) The Windsor Star
14 MAI 2012
Article tiré de :
http://www.theprovince.com/news/says+convicted+offender+player+Josh+Boden+dang
erous+women/6616228/story.html
Mom says convicted sex offender,
ex-CFL player Josh Boden
dangerous to women
By Suzanne Fournier, The Province
Josh Boden was a happy, beautiful little boy before he entered professional sports and was introduced to steroids,
money, cars and available women, his mother says.
Photograph by: Submitted Photo , The Province
Several women fear that convicted sex-offender and former CFL player Josh Boden may get
out of jail this Wednesday.
One of them is his own mother. Karen Boden, 54, told The Province that she is so afraid of
Boden's violence that she has sought protective custody and even altered her appearance
so her son can't easily recognize her.
Karen is speaking out because she says Boden needs help, and because she wants to give
his three-year-old son a chance at a better life.
"This is my grandson, and just like Josh was, he's a beautiful little boy and a happy child, and
I want him to have a better life than his dad," said Karen, as she gazed at photos of her
grandson and of Boden as a child.
"As long as Josh is out of jail and near his son, I can't risk seeing my grandson," said Karen.
Karen said she still loves her son, but blames his tendency toward violence on taking
steroids, sports-related concussions and the fact Boden was introduced to drugs and alcohol
at age 11.
A promising young athlete, Boden was scouted as a teen and spent three years with the B.C.
Lions. He was cut after playing only the 2007 season.
Boden, now 25, was convicted of two sex assaults last December, but won't be sentenced
until July. Out on bail on other charges April 13, Boden incurred fresh charges of assaulting
two men and uttering death threats to another and is being held in custody.
Karen said she blames others in the sport for introducing Boden to the seductive world of
steroids, money, cars and lots of "available" women.
In 2008, Boden was charged with assaulting his former girlfriend, Kimberley Hallgarth, a
young mother and tanning-salon owner.
At trial, Hallgarth wavered on the stand and Boden was acquitted.
A few weeks later, Boden was facing firearms charges (he was later acquitted of those) and
was cut by the Hamilton Tiger-Cats.
Karen Boden said that her son has always blamed Hallgarth for "ruining" his football career,
but she noted, "Josh threw away his own career opportunities."
In March 2009, Hallgarth was brutally murdered in her home.
Well-loved by a circle of friends and family, Hallgarth left a young daughter, Hailey, who is
being raised by her father and paternal grandmother in the U.S.
Police have yet to make an arrest, although Sgt. Jennifer Pound, spokeswoman for the
Integrated Homicide Investigation Team, stressed that the homicide is "an active and open
investigation."
Pound confirmed Boden is a "per-son of interest" in the Hallgarth investigation, but said that
term could refer to either a witness or a suspect, or just someone police want to interview
about the crime.
By September 2009, Boden was out on bail again and the Vancouver police warned he was
a "safety risk to the community."
In the summer and fall of 2009, Boden aggressively trailed and groped women, even while
under police surveillance. Two sexual-assault convictions followed, and other charges are
pending.
Then he taunted and fought police in a violent takedown on Sept. 7, 2009.
"The justice system has to know that Josh should not be released on bail. He should not be
back on the streets until he deals with his anger, gets therapy and gets off drugs and
alcohol," said his mother.
"Many, many women are just not safe from him."
Boden's rap sheet of convictions and charges runs to dozens of pages, alleging more sexual
assaults and assaults, one on a woman, that have not yet made it to trial.
Karen has filed a complaint with the Commission for Public Com-plaints Against the RCMP
(CPC), saying she still needs protection.
Another woman, the mother of one of Josh's longtime "girlfriends," says her family "lives in
fear" every time he gets out of jail, and she calls him a "walking time bomb."
The woman has asked that her real name be withheld. The Province is calling her Janet
Nelson. She sympathizes fully with Karen Boden, although the two women have never met.
"My heart goes out to her. I fully sup-port her efforts to have a relationship with her own
grandson, and to be a positive influence in his life," said Nelson. "The fact that Josh's own
mother is afraid of him just says it all."
Late last week, B.C. Criminal Justice branch spokesman Neil MacK-enzie said he doesn't
know if Boden's lawyer will reapply for bail Wednesday, but said the Crown now has decided
to ask that Boden's bail on the sex-assault convictions be revoked entirely.
The Crown also will argue that he should be kept in custody on the most recent charges as
well, the new April 13 assaults alleged to have occurred while Boden was out on bail
awaiting July sentencing for the sex-assault convictions, MacKenzie said.
It will be up to a provincial court judge to decide whether Boden will now stay in custody.
sfournier@theprovince.com
twitter.com/suzannefournier
© Copyright (c) The Province
15 MAI 2012
Article tiré de : http://metronews.ca/news/kitchener/225095/pedophile-jailed-indefinitelyfor-lengthy-record-of-abuse/
Pedophile jailed indefinitely for
lengthy record of abuse
By Staff Metroland News Service
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A second judge has declared a Kitchener man a dangerous offender who should be jailed
indefinitely to protect children.
Thomas Middeljans, 47, has a record of sex crimes involving boys that goes back to when he
was still just a teenager himself.
―Mr. Middeljans is essentially untreated,‖ Justice Donald Gordon ruled Monday. ―If released
now, it is a virtual certainty that Mr. Middeljans will reoffend.‖
Diagnosed as a homosexual pedophile, Middeljans was first declared a dangerous offender
in 2000 after raping an 11-year-old boy he lured away from a video arcade in downtown
Kitchener.
That finding was overturned seven years later, however, when the Ontario Court of Appeal
ruled the judge hadn‘t considered a less restrictive long-term offender designation.
People declared long-term offenders are subject to 10 years of community supervision after
serving fixed prison sentences for their crimes.
Dangerous offenders are held in custody indefinitely because of the high risks they pose
after a pattern of similar crimes.
At the time of the first decision, designating repeat criminals long-term offenders was a
relatively new alternative to dangerous offender findings.
The successful appeal sent the Middeljans case back to court for another hearing, which
took place late last year.
The key issue was whether Middeljans could be supervised and managed in the community
to reduce his risk of abusing more boys to an acceptable level.
Two psychiatrists offered little hope, especially given Middeljans‘ track record of not seeking
or continuing treatment, including drugs to reduce his sex drive.
Gordon said he seems to have learned the right things to say, but lacks sincerity and the
commitment to get help to control his deviant urges.
―In my view, Mr. Middeljans is simply attempting to manipulate the process in order to gain
his release,‖ he told Superior Court in Kitchener.
Gordon cited an apology he gave in court as far back as 1986, before going on to abuse
several more boys.
―I am now aware, fully aware, of my problem,‖ Middeljans said after pleading guilty to
assaulting two boys he met at a Kitchener library. ―I don‘t want it to happen again. I have hurt
and messed up too many lives.‖
An average looking man with a goatee and a moustache, Middeljans showed no emotion as
he listened to the decision with his arms and legs crossed.
He has been in custody since a 1996 conviction, his eighth sexual offence involving boys
seven to 13 years of age.
Gordon also cited that as a factor in his decision, saying Middeljans has become
―institutionalized‖ after spending most of his adult life in custody and has few outside
suspports.
―He has adapted to a lifestyle that will become difficult to change,‖ he said.
It will now be up to the National Parole Board to decide if it is ever safe to release
Middeljans.
16 MAI 2012
Article tiré de :
http://www.winnipegfreepress.com/local/pedophile-incarcerated-again-
151667535.html
Pedophile incarcerated again
Alleged pot smoking broke court order
By: Mike McIntyre
Posted: 1:00 AM
He has spent more than three years living in the community under stringent conditions meant
to keep him from children -- but now a high-risk convicted pedophile is back in custody.
Rolf Uwe Guenther, 46, was arrested this week for allegedly breaking terms of his rare 10year "long-term offender" designation. Guenther is accused of smoking marijuana, which has
triggered his crimes in the past.
Guenther's case was adjourned until June 11, where it's expected he will apply for bail.
Guenther is expected to contest the charge on the basis he had a medical reason for getting
high.
Guenther last made headlines in 2007 when experts told a Winnipeg court he was likely to
target more child victims unless he underwent a radical medical procedure to curb his urges.
He was sentenced to two more years behind bars, in addition to the equivalent of 51/2 years
of pretrial custody, for attacks against young boys in his Elmwood neighbourhood. He
already had two prior sex-assault convictions and was on probation when he lured the
victims, aged 8 to 12, into his home with the promise of alcohol, cigarettes and drugs. He
showed them images of child pornography to "groom" them before sexually assaulting them.
Guenther was released from prison in 2009 and had not faced any new allegations until now.
Police and probation officials keep close tabs on him under terms of the long-term order.
Guenther can be put behind bars indefinitely for any breach. He must stay away from
children and the Internet, continue counselling and treatment and abstain from alcohol and
drugs.
"He knows the consequences. Any further offences would likely result in a dangerousoffender designation and keep him in custody for the rest of his life," provincial court Judge
John Guy warned Guenther in 2007.
It's not known if the Crown will file such an application based on the alleged breach. A doctor
told court five years ago Guenther remained a significant risk to reoffend.
"This is a lifelong preference. There's no evidence it's mutable. It really becomes an issue of
management," said Dr. Phil Klassen.
He suggested the public might only be protected if Guenther were chemically castrated. The
procedure involves controlling sexual urges through medication. However, it is voluntary and
can't be ordered by the courts.
17 MAI 2012
Article tiré de :
http://www.theprovince.com/news/Crown+seeking+long+term+offender+status+notorious+Ka
mloops+pedophile/6640331/story.html
Crown seeking long-term
offender status for notorious
Kamloops pedophile David Caza
BY JENNIFER SALTMAN, THE PROVINCE MAY 17, 2012
A 2005 photo of notorious pedophile David James Caza, 48. Following his recent conviction
of possessing and transmitting child pornography, the Crown has applied for Caza to
undergo psychiatric testing as part of an evaluation for long-term offender designation. Caza
has a lengthy criminal record with more than 40 convictions since 1981
A notorious pedophile who was recently convicted of possessing and transmitting child
pornography will be evaluated for long-term offender designation.
David James Caza, 48, appeared in B.C. Supreme Court in Kamloops Thursday, where
according to court records the Crown applied for Caza to undergo psychiatric testing prior to
sentencing.
Caza has been in custody since he was arrested at his home in Kamloops in January 2010
after the B.C. RCMP Internet Child Exploitation unit received a tip from Toronto police during
an international child-porn investigation.
Caza‘s computer equipment contained more than 50,000 digital images and 3,400 videos of
child pornography. CDs and DVDS with child porn images were also seized.
Caza argued at trial that there was no evidence he was in possession and control of the
images, but B.C. Supreme Court Justice Robert Powers ruled earlier this month that the
circumstantial evidence against Caza was ―simply overwhelming.‖
The judge also found Caza guilty of breaching a recognizance that he not make, distribute,
collect or store visual representations of persons who appear to be under 16.
Caza‘s lengthy criminal record — more than 40 convictions since 1981 — includes jail terms
for anal intercourse in 1990, sexual assault in 1993, sexual assault and possessing and
making child pornography in 1996 and sexual interference in 2000. A conviction for
possession of child porn in 2001 resulted in a six-month jail term. He has a history of
breaching court orders and been subject to a number of peace bonds.
Caza moved to Kamloops in 2005, after he was run out of Merritt by angry parents.
If Caza is designated a long-term offender, he could be subject to a term of supervision of up
to 10 years after he has served his sentence.
18 MAI 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-quotidien/justice-et-faitsdivers/201205/18/01-4526503-troisieme-accusation-contre-gilles-poitras.php
Troisième accusation contre Gilles
Poitras
Le Palais de justice de Chicoutimi
ARCHIVES LE QUOTIDIEN, ROCKET LAVOIE
Serge Lemelin
Le Quotidien
(CHICOUTIMI) Une troisième accusation d'agression sexuelle a été portée contre le
Ferboillien Gilles Poitras qui publiait des offres d'emploi à son domicile.
La troisième plaignante à s'adresser à la police avait eu connaissance des deux premières
accusations, ce qui l'aurait motivé à raconter son expérience qui remonte à l'été 2010.
Après examen de sa dénonciation, le Directeur des poursuites criminelles et pénales a
porté une accusation additionnelle à l'homme de 58 ans qui est détenu préventivement en
attente de procès.
Poitras reviendra le 25 mai prochain au Palais de justice de Chicoutimi pour indiquer son
intention concernant la suite des procédures.
Le mois dernier, une première candidate intéressée par une offre d'emploi publiée dans la
section des petites annonces d'un journal s'est présentée au domicile de l'annonceur pour
prendre des informations. Elle aurait été accueillie par l'homme en robe de chambre. Il
l'aurait défaite pour montrer ses organes génitaux. La femme a quitté et signalé
l'événement. Quelques jours plus tard, une deuxième candidate s'est présentée et aurait
été accueillie par des attouchements contre son gré.
19 MAI 2012
Article tiré de : http://www.theglobeandmail.com/news/national/niagara-bishop-whodisappeared-amid-abuse-case-found-in-montreal/article4186934/
Niagara bishop who disappeared
amid abuse case found in
Montreal
ISHANI NATH
The Globe and Mail
Published Saturday, May. 19 2012, 10:38 AM EDT
Last updated Monday, Jun. 18 2012, 10:26 AM EDT
The ornate downtown cathedral was preparing for the inauguration of Montreal‘s new
Archbishop, but the private investigators waiting outside weren‘t there for the ceremony.
They were waiting to serve court papers to the former leader of St. Catharines‘ Roman
Catholic church, a man who resigned and disappeared two years ago amid a growing sexabuse scandal in his diocese.
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
Man sues former priest, ex-bishop in abuse case
The investigators had to time it perfectly. ―Once he was on hallowed ground, we could not
serve him,‖ said Rob Talach, one of the lawyers pursuing Bishop James Wingle in a civil
lawsuit, explaining that in Quebec, no one can be served court documents on religious
property or during a religious holiday.
Mr. Talach works for Ledroit Beckett Litigation Lawyers in London, Ont. The law firm hired
the private investigators to help track down the bishop. Based on internet photos and public
sources, they determined that he was either in Ottawa or Montreal. It wasn‘t until they came
across this photograph of Bishop Wingle walking in a religious procession in Montreal that
they planned the stakeout.
The now 65-year-old bishop, with white hair and a matching white clerical collar, showed up
at Montreal‘s Mary Queen of the World Cathedral at 6:50 p.m. on April 27, and before he
could enter he was served with a notice of the civil lawsuit related to the sexual abuse of
altar boys by former priest Donald Grecco.
Mr. Grecco, who served in Welland, Ont., and Cayuga, Ont., pleaded guilty in March of 2010
to sexually abusing three altar boys between 1978 and 1986. The incidents were brought to
the Niagara region Roman Catholic church in the 1990s and early 2000s, during Bishop
Wingle‘s leadership, but the victims allege that the diocese did not take appropriate action.
Michael Blum, one of Mr. Grecco‘s other victims, went to the diocese in 2005, but said in an
interview that ―they did nothing, they turned a blind eye.‖ He then took his case to the police.
―This effort to hear from Bishop Wingle was to find out exactly what happened.‖ said Mr.
Talach, the lawyer representing the 48-year-old Ontario man identified in court documents by
his initials who is suing Bishop Wingle. ―We want to know what he did or didn‘t do when he
learned of Grecco.‖
The victim behind the lawsuit was molested by Mr. Grecco, his local parish priest of the
Diocese, when he was 15 years old.
Shortly after Mr. Grecco pleaded guilty in 2010, Bishop Wingle resigned from the Southern
Ontario diocese. Bishop Wingle, originally from Eganville, Ont., said he was ―no longer able
to maintain the necessary stamina‖ required to fulfill his duties.
―If my shortcomings and limitations have caused any disappointment,‖ he wrote in his
resignation letter, ―I ask for God‘s mercy and your understanding.‖
And with that, Bishop Wingle disappeared from the community.
Bishop Wingle and Roman Catholic officials in Montreal and St. Catharines did not return
requests for comment.
20 MAI 2012
Article tiré de : http://www.cbc.ca/news/canada/toronto/story/2012/05/20/torontopolice-sex-assault-bloor-lansdowne-investigation.html
Police say suspect scratched
during sexual assault
CBC News
Toronto police say a man was scratched in the face by a woman he attacked overnight.
A woman was walking north on Lansdowne Avenue from Bloor Street West at 3 a.m., when
she was approached from behind and sexually assaulted.
The suspect fled the scene on foot, but police believe he ―sustained scratches to his face‖
during the assault.
He is believed to be about 30 years old, five foot seven inches tall, with a stocky, athletic
build. He had blond, or light red facial hair and was wearing a blue hooded sweatshirt and
shorts.
Anyone with information is asked to call investigators at 416-808-7474, or Crime Stoppers at
416-222-8477.
21 MAI 2012
Article tiré de : http://www2.canada.com/story.html?id=6658017
Senior Edmonton Mountie hosted
private office parties, made
passes at female colleagues,
investigation finds
Gary Dimmock, Postmedia News
Published: Monday, May 21, 2012
OTTAWA - An internal RCMP investigation into a series of sex and drinking escapades in a
staff sergeant's office revealed a pattern of sexual harassment so disturbing that senior
Ottawa Mounties say it will take "considerable effort to rebuild the damaged trust of our
organization."
The investigation, which has not been made public until now, reviewed seven reports about
the misconduct of Staff Sgt. Don Ray, the officer in charge of the polygraph unit at Alberta's
RCMP headquarters in Edmonton.
A senior Mountie in Edmonton has been slapped down by the force for years of sexual
harassment.
Gord Waldner
Internal Affairs investigators discovered Sgt. Ray was hosting after-hours parties in his office
and kept a bar fridge stocked with Budweiser and Appleton Jamaica Rum. Sgt. Ray would
encourage female subordinates to drink and make sexual advances when alone with them,
the investigation found.
In April 2009, close to the end of one work day, Sgt. Ray invited his staff to a private office
party at which he invited them to sit down and have a drink.
One of his female subordinates consumed four beers over two hours, and once the others
left, Sgt. Ray unzipped his pants, exposed himself and told her to touch his penis, according
to RCMP files. She refused.
"S/Sgt. Ray then wanted to have sexual intercourse with Ms. A, which she refused. S/Sgt.
Ray insisted but Ms. A. maintained her refusal. They then both left the building without
further sexual contact," a senior disciplinary officer wrote in his findings in February.
The investigation said Sgt. Ray exhibited a "serial" pattern of "disgraceful" conduct.
Sgt. Ray's behaviour is the latest in a series of complaints of sexual harassment and
discrimination levelled against the RCMP across the country.
A high-profile RCMP veteran, Cpl. Catherine Galliford, ignited the controversy last fall by
speaking publicly about her internal allegations of sexual harassment and abuse by former
male colleagues.
The complaints prompted an investigation by the RCMP Public Complaints Commission,
which has asked for public input into how the Mounties dealt with the allegations. The
watchdog's probe is examining whether the RCMP followed laws and policies when
investigating claims of workplace harassment. It is also considering whether existing force
guidelines for dealing with such allegations are adequate.
Sgt. Ray admitted to all allegations, expressed remorse and apologized in writing. The
RCMP docked him 10 days pay, demoted him by one rank to sergeant, and recommended
that he be transferred.
"It goes without saying that should similar misconduct occur, dismissal would be a very likely
option for a future board to consider," the disciplinary panel said.
Sgt. Ray also had "inappropriate and unprofessional" interactions with prospective female
employees.
He sent them "disgraceful" emails, took them out for drinks during the hiring process and
once falsified security clearance forms for one woman, exaggerating the number of years
she'd known one of her character references.
The discipline board said Sgt. Ray's conduct was "disgraceful because (it) compromised the
integrity of the RCMP's hiring process."
Sgt. Ray's "disturbing pattern of activity" dates back to 2006, when he would book a
polygraph suite for lunchtime sex with a female subordinate.
"It is highly disrespectful to employees who legitimately use the polygraph suite," the
discipline board noted.
He would also sign out unmarked police cars for his sexual encounters, and was branded as
"disgraceful" by superiors for having sex in a public parking lot with another female
subordinate after a colleague's transfer party.
Sgt. Ray was known for making inappropriate comments in the office, including one time he
made public remarks about a female employee's sex life.
The discipline board called the victim-impact statements troubling. Some victims said that it
will take time for them to heal. Some said they had lost faith in the RCMP.
"The gravity of the misconduct was such that little room was left for discussion of aggravating
factors, but chief among them were the member's years of service and his rank," their report
said.
"Staff Sergeant Ray should have known better. Our organization relies upon its senior NCOs
to set a good example for younger members, and Staff Sergeant Ray's misconduct has had
the opposite effect."
22 MAI 2012 :
Article tiré de :
http://www.windsorstar.com/news/Pedophile+daycare+worker+jailed/6656894/story.html
Pedophile daycare worker jailed
POSTMEDIA NEWS MAY 22, 2012
A Dutch court sentenced a former daycare worker who sexually assaulted 67 children and
produced child pornography to 18 years in prison Monday.
Describing the actions of the 28-year-old man named only as Robert M. as "shocking," judge
Frans Bauduin said, "Society must be protected."
M., a Dutch citizen of Latvian origin who had admitted the offences, threw the contents of a
glass of water at the judge after being told there were no extenuating circumstances.
His partner, a 39-year-old Dutchman, was sentenced to six years for possession of child
pornography and facilitating the commission of the crimes.
© Copyright (c) The Windsor Star
23 MAI 2012
Article tiré de :
http://www.lapresse.ca/le-quotidien/justice-et-faits-divers/201205/23/014527765-labbe-harvey-fait-face-a-35-nouvelles-accusations.php
L'abbé Harvey fait face à 35
nouvelles accusations
Cette photo de l'abbé PauL-André Harvey a été prise à l'époque des événements qui lui sont reprochés.
REPRODUCTION ROCKET LAVOIE
Stéphane Bégin
Le Quotidien
(CHICOUTIMI) Le prêtre à la retraite, Paul-André Harvey, a été de nouveau arrêté par
les policiers de la Sécurité publique de Saguenay (SPS) concernant de nouveaux
chefs d'accusation en lien avec des attouchements et des agressions sexuels. Il ne
serait plus question de trois jeunes plaignantes, mais bien de 35 victimes entre les
années 1963 et 1995.
L'homme de 75 ans avait été appréhendé une première fois en janvier dernier pour des
accusations d'attentat à la pudeur sur des fillettes âgées de sept et huit ans (au moment où
les événements étaient survenus) de diverses paroisses de Kénogami. Les faits reprochés
à M. Harvey touchaient trois enfants et se seraient produits entre le 29 avril 1966 et le 28
février 1969.
Hier, les policiers lui ont fait valoir que de nouvelles plaintes avaient été déposées aux
enquêteurs. Ceux-ci ont pu déterminer que les crimes allégués auraient eu lieu entre 1963
et 1995. M. Harvey aurait commis les actes alors qu'il était en fonction dans plusieurs
paroisses du Saguenay-Lac-Saint-Jean. Les présumées victimes étaient toutes âgées de 6
à 19 ans et étaient toutes de sexe féminin.
À la suite de la nouvelle arrestation, le suspect a été remis en liberté et devrait se
présenter aujourd'hui au Palais de justice de Chicoutimi pour répondre des nouvelles
accusations déposées contre lui et aussi faire face aux premières accusations remises à la
Cour du Québec.
L'accusé ne sera toutefois pas présent. Il sera plutôt représenté par son nouvel avocat, Me
Luc Tourangeau, qui prend la relève de Me Michel Boudreault, devenu juge à la Cour du
Québec.
En plus des paroisses de Kénogami, Paul-André Harvey a été prêtre au Lac-Saint-Jean, à
Saint-David de Falardeau et à La Baie.
Au moment où l'enquête a été lancée, les membres de l'Évêché de Chicoutimi ont été
informés de la situation. Immédiatement, Mgr André Rivest avait procédé à la suspension
des privilèges du prêtre retraité en lui interdisant d'exercer son ministère en public et d'être
en contact avec des mineurs.
Les gens de l'Évêché avaient qualifié ce jour de très triste, surtout que l'Église prend très
au sérieux ces histoires. Mgr Rivest avait fait part de sa désapprobation de toute forme
d'abus des enfants.
Les enquêteurs de la Sécurité publique de Saguenay avisent que toute personne touchée
par cette affaire peut communiquer avec eux en appelant au 418 699-6000.
24 MAI 2012
Article tiré de :
http://www.24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/actualites/archives/2012/05/20120524205155.html
Agression sexuelle sur une fillette :
Bryan Hamilton déclaré non coupable
Kathleen Frenette
QUÉBEC – Bryan Hamilton, accusé d'agression sexuelle sur une fillette de sept ans entre
janvier 2007 et septembre 2008, a été déclaré non coupable au terme de son procès. La
juge Marie-Claude Gilbert a rendu son verdict jeudi, soulageant l'ancien conseiller
publicitaire de CHOI Radio X, qui a immédiatement remercié la présidente du tribunal.
Dans un jugement écrit, la juge a souligné que la jeune fille, aujourd'hui âgée de onze ans,
avait «livré un témoignage crédible» et que «dans son attitude générale, elle a paru franche
et sincère».
En contrepartie, elle a noté que l'accusé témoignait «avec éloquence et nervosité» et que
son témoignage consistait en une dénégation générale des faits reprochés.
La juge Gilbert a aussi mentionné que le contre-interrogatoire n'avait pas ébranlé sa
crédibilité, même si certaines contradictions ont pu être relevées. Considérant l'ensemble de
la preuve, le témoignage de Hamilton a donc réussi à soulever un doute raisonnable.
25 MAI 2012 :
Article tiré de :
http://www.edmontonjournal.com/news/Prosecutor+wants+lengthy+prison+terms+sexually+ab
used+kids/6681118/story.html
Prosecutor wants lengthy
prison terms for man who
sexually abused kids
BY RYAN CORMIER, EDMONTONJOURNAL.COM MAY 25, 2012
EDMONTON - A serial predator convicted of more than a decade of sexual abuse against
his own children and others should serve 20 years in prison for his crimes, court heard
Friday.
The 41-year-old, who cannot be named to protect the identity of his victims, has been
convicted of 26 charges, including sexual touching, child pornography, unlawful confinement,
incest and bestiality. From 1999 to 2010, the man‘s victims included his son, his daughter,
the daughter of a girlfriend and two daughters of a fiancée. Four of five victims were minors.
Crown prosecutor Diane Hollinshead said the man‘s crimes were planned and did not stop
until he moved onto another relationship or a victim severed ties with him.
―He has a total lack of understanding of his conduct. He has a lack of empathy and remorse
over 10 years of abuse,‖ Hollinshead told court. ―This is about as serious an offender as you
can get. The impact on his family has been devastating.‖
As the man‘s family watched from the court gallery, Hollinshead asked the court to impose a
sentence of 18 to 20 years.
Defence lawyer Mark Facundo argued for a sentence of nine to 10 years.
―These facts are admittedly terrible facts,‖ he said. ―No matter how abhorrent these facts are,
we are not here for revenge.‖
The man‘s daughter, now 18, told police of sexual abuse that started when she was six years
old, though she didn‘t recognize it as abuse until she was 11.
When the girl was 11, her father ordered her and her 10-year-old brother to have sex. Her
father had sexual intercourse with her. There were numerous instances of abuse.
The man‘s son, now 17, said his father often asked him to participate in sexual activity with
himself and women over the years. The teen declined.
The siblings were afraid to tell anyone of their father‘s crimes and both attempted suicide as
a direct result of the abuse.
In victim impact statements submitted to court, the man‘s son called him ―sick and perverted‖
and said he would never again refer to him as ‗Dad.‘
The children‘s mother said she struggles with self-blame and questions how a father is
capable of such acts.
―He has taken their innocence and they can never get that back,‖ she wrote. ―I hope this
weighs on your mind everyday. I hope you rot in Hell forever.‖
From 2003 to 2008, the man was in a relationship with a woman who had a young daughter.
When they were alone, the accused sexually touched the girl. More recently, the man
abused two daughters of a woman he was engaged to in 2009 and 2010.
Police began investigating the man shortly after that relationship ended. They searched the
man‘s home and found 10,455 images and 8,355 videos of child pornography.
A sentencing decision in the case has been scheduled for June 27.
rcormier@edmontonjournal.com
© Copyright (c) The Edmonton Journal
26 MAI 2012
Article tiré de :
http://www.edmontonjournal.com/news/Mountie+puny+penalty+insults+women/6683527/sto
ry.html
Mountie's puny penalty insults
women
BY TRACEY L. ANDERSON, EDMONTON JOURNAL MAY 26, 2012
Re: "City RCMP officer transferred, demoted for sexual misconduct," the Journal, May 23.
Former Edmonton Mountie Don Ray has been handed an outrageously lenient penalty. He
has been demoted only a single rank to sergeant, docked a measly 10 days pay and
transferred to British Columbia, where he can slink off to hide.
For him this is a slap on the wrist; for women it's a slap in the face.
In deciding how to punish Ray, the RCMP says it was swayed by several factors, including
his many years of service to the force. I do not understand how the service of one man can
carry more weight than the collective years of service of the women he victimized.
This punishment basically says Ray's right to keep his job trumps women's rights to a safe
workplace and protection from such behaviour. What a terrible feeling for the women who
have to work in that environment now, knowing how little they are valued by their employer.
That feeling will extend to other female Mounties in Edmonton not subjected to Ray's
behaviour. They will feel vulnerable to similar actions from other male officers. And those
officers may see Ray's light punishment as a message that it's OK to treat female employees
the same way without serious consequences.
Worse is the potential effect on women outside the force. Knowing that internal sexual
misconduct is not harshly punished by law enforcement sends the signal such offences are
not taken seriously by the RCMP. If female Mounties can't count on the organization for
protection, how can other women believe the force will protect them?
Without that trust, women may choose not to report sexual crimes.
RCMP brass should reconsider their decision and punish Ray more harshly, at the very least
dismissing him from his job and cutting his pension. Tracey L. Anderson, Edmonton
27 MAI 2012
Article tiré de :
http://www.brocknews.ca/index.php?option=com_content&view=article&id=10949:14-yearold-arrested-for-sexual-assault&catid=180:local-news-smiths-falls&Itemid=233
14 Year Old Arrested For Sexual
Assault
Smiths Falls - On May 27, 2012, a 14 year old Smiths Falls male youth was arrested and
charged with Sexual Assault and Assault.
It is alleged that on May 27, 2012 police began investigating the accused regarding a sexual
assault on the 13 year old male victim. Police learned that sometime between May 1st and
May 27th, 2012 on two separate occasions the accused behaved in an inappropriate sexual
manner with the victim. Police also learned that on May 25th the accused assaulted the
victim by punching him in the groin numerous times.
The accused was released on a Promise to Appear. The allegations have not been proven in
court.
The Smiths Falls Police Service is urging anyone with further information regarding this
incident, or similar incidents, to contact our service at 613-283-0357. Information may be
provided anonymously by calling Crime Stoppers at 1-800-222-TIPS (8477).
28 MAI 2012
Article tiré de :
http://www.journaldemontreal.com/2012/05/28/une-longue-peine-de-
penitencier-reclamee
Pédophilie – Ex-chef scout : Une
longue peine de pénitencier
réclamée
MICHAEL NGUYEN @
JOURNAL DE MONTRÉAL, PUBLIÉ LE: LUNDI 28 MAI 2012, 22H35 | MISE À JOUR: LUNDI 28
MAI 2012, 22H37
Suivre des thérapies et reconnaître sa pédophilie n’aura pas donné les résultats
escomptés pour un ex-chef scout. L’homme de 63 ans pourrait maintenant écoper
d’un long séjour au pénitencier pour avoir abusé de jeunes garçons sur trois
décennies.
Déjà condamné à de multiples reprises pour des crimes à caractère pédophile, Théodore
Genest avait suivi plusieurs thérapies dans les années 80. Mais ça ne l‘aura pas empêché
de récidiver la décennie suivante.
De 1996 à 2001, l‘homme de 63 ans a ainsi abusé d‘un jeune garçon âgé d‘à peine 12 ans,
sous prétexte qu‘il voulait l‘aider à se prendre en main.
« Malgré les peines de pénitencier, il a recommencé », a commenté Me Marc-André
Péloquin, avocat de la Couronne lors de représentations sur sentence de l‘accusé, hier, au
palais de justice de Montréal.
En plus de cette affaire, Genest a aussi plaidé coupable à des chefs de grossière indécence
et d‘attentat à la pudeur, alors qu‘il était chef scout à Québec, il y a plus de 30 ans.
Entre 1978 et 1980, le pédophile invitait de jeunes garçons chez lui après les réunions de
groupe. Il commandait de la pizza, leur montrait des films pornographiques et les invitait à «
se mettre à l‘aise » en se masturbant.
Un plaignant dans cette affaire survenue entre 1978 et 1980 alors qu‘il avait 13 ans, a dit
avoir assisté à une dizaine de projections et avoir été lui-même la cible du pédophile.
Et puis de 1974 à 1979, un autre enfant a, lui aussi, subi les bas instincts de l‘accusé dès
l‘âge de cinq ans.
Dans la douche, dans la voiture ou dans un champ, l‘accusé aura profité du temps qu‘il
l‘avait sous sa garde pour profiter de lui.
Pour ces trois affaires, la Couronne a réclamé une peine globale de huit ans de pénitencier,
tandis que Me Sandra Brouillette de la défense en a réclamé sept, soulignant un rapport
d‘expert estimant que Genest représentait un risque de récidive « faible à modéré ».
Genest est d‘ailleurs en processus d‘appel pour le verdict concernant le dernier crime.
Le juge Michel Bellehumeur rendra son verdict le 27 septembre prochain.
29 MAI 2012
Article tiré de : http://thechronicleherald.ca/metro/101669-pedophile-committed-to-standtrial-on-new-charges
Pedophile committed to stand trial
on new charges
May 29, 2012 - 5:39pm BY STEVE BRUCE COURT REPORTER
A convicted pedophile from Halifax has been ordered to stand trial on allegations that he
molested a girl in the 1980s.
A preliminary inquiry was held Tuesday in Halifax provincial court for Myles Nelson Payne,
49.
The only person to testify during the full-day hearing was the complainant, who‘s now in her
30s.
She alleges that she was sexually abused between January 1982 and June 1989.
After hearing the evidence, Judge Marc Chisholm ordered Payne to stand trial in Nova
Scotia Supreme Court on charges of indecent assault and sexual assault.
He will appear in Supreme Court in Halifax on June 7 to begin the process of setting dates
for his trial by judge alone.
Payne was released from prison on statutory parole in March 2011, after serving two-thirds
of a 59-month sentence for crimes against four children. He‘s living at a halfway house on
College Street in Halifax under strict supervision.
Police arrested Payne last May after three women alleged that they had been molested by
him when they were children. He was released on an undertaking to have no contact with the
women.
Payne is scheduled to have another preliminary inquiry Wednesday on charges of sexually
assaulting the other two girls. Those offences are alleged to have been committed between
1993 and 1998.
The Parole Board of Canada, in a decision released last year, said Payne had completed a
sex-offender program twice while in prison but was still considered a high risk to reoffend.
Payne‘s record of sex offences goes back more than 30 years.
He was sentenced in October 1981 to 90 days in a provincial jail for indecently assaulting
two young girls.
In December 1999, he got a one-year conditional sentence for sexually assaulting a woman.
In July 2005, he received two years in prison and three years‘ probation for sexually
assaulting a 10-year-old girl he was babysitting.
The board said Payne is unable to control his emotions around children, prefers their
company to adults and continues to blame his young victims.
30 MAI 2012:
Article tiré de :
http://www.timescolonist.com/news/Pimp+sold+girl+gets+three+years/6700413/story.html
Pimp who sold girl, 15, for sex
gets three years
BY LOUISE DICKSON, TIMES COLONIST MAY 30, 2012
A young man with a tragic upbringing has been sentenced to three years in prison for turning
a 15-year-old girl into a prostitute.
On Tuesday, Stephen Anthony Charlie, 23, pleaded guilty in Western Communities
provincial court to procuring the girl to have illicit sexual intercourse, and for his own gain,
exercising control over the girl to aid her to engage in prostitution.
The offences took place between October 2010 and July 2011. Charlie also pleaded guilty to
extortion.
Judge Anthony Palmer sentenced Charlie to three years for procuring, three years for aiding
the girl to engage in prostitution and two years for extortion. The sentences are to be served
concurrently.
Palmer ordered Charlie to provide a sample of his DNA and imposed a lifetime weapons'
prohibition. Charlie must not contact his victim during his sentence.
Crown prosecutor Laureen Nowlan-Card told the court the 15-year-old victim was a high-risk,
vulnerable teen in October 2010 when she met Charlie. She had been living with a much
older man who was charged with repeated assaults against her. She was addicted to drugs
and alcohol, had no job, no money and nowhere to stay. Charlie became romantically
involved with the girl and told her he could help her make money.
"She began, under his instruction, to pimp herself out, putting ads on the Internet. Any
money she made went to Mr.
Charlie. They lived in hotel rooms, which she paid for, and Mr. Charlie made appointments
for her," said Nowlan-Card.
During her first week as a prostitute, Charlie took all her money, about $800, said NowlanCard. In November 2010, police saw her ads on the Internet and began an undercover
operation.
In May 2011, Charlie was arrested on an assault charge and held at the Vancouver Island
Regional Correctional Centre.
Police, who believed Charlie was procuring a minor, obtained a search warrant to listen to
his recorded phonecalls from jail.
"We learned from those, Mr. Charlie was instructing her how to prostitute herself, where to
rent from, how much to ask, how to arrange the dates to get more money," said NowlanCard.
Charlie also threatened to harm her and give her "raccoon eyes." He told her to bring money
for his bail and his jail canteen. She promised to line up jobs and give him the money, said
the prosecutor.
In November, when Charlie was released on bail, the girl asked him for the $800 he owed
her. Charlie assaulted her, hitting her face into the dashboard, said Nowlan-Card. He
accused her of doing tricks on the side and said he would kill her if she didn't give him
another $800.
The girl called a friend and asked for $800. The friend agreed to give her the money, but
called police. The drop-off was intercepted and Charlie was arrested.
On Tuesday, Charlie also pleaded guilty to a separate charge of assault causing bodily harm
and received a four-month concurrent sentence. His defence lawyer, Roger Batchelor, said
his client had a very difficult upbringing and probably suffers from fetal alcohol syndrome.
Charlie grew up in shelters and relying on food banks.
Relatives were victims of residential schools, who attempted suicide and drank until they
blacked out. Charlie began drinking at age nine and was put into foster care at 11. He sank
into a deep depression at 14, said Batchelor. By 19, he used cocaine daily.
ldickson@timescolonist.com
31 MAI 2012
Article tiré de :
http://www.vancouversun.com/news/Canadian+tourist+Donald+Bakker+released+from+jail+to
day/6707073/story.html
Canadian sex tourist Donald
Bakker released from jail today:
Man served seven years in
prison for sexually assaulting
seven girls
BY DAPHNE BRAMHAM, VANCOUVER SUN MAY 31, 2012
Canada's first convicted sex tourist, Donald Bakker, in 2012.
Photograph by: Handout , Special to the Vancouver Sun
Canada's first convicted sex tourist, Donald Bakker, was released from jail Thursday and
Vancouver police warned he is at high-risk to re-offend.
Const. Lindsey Houghton said the Correctional Service of Canada has assessed Don Michel
Bakker, 48, "as a high risk to re-offend sexually."
And he said Bakker is expected to remain in the City of Vancouver and "poses a risk of
significant harm to the safety of female children under the age of 18 and female sex trade
workers."
Bakker, 48, was given a 10-year sentence in 2005 after pleading guilty to two counts of
sexual assault causing bodily harm, sexual assault and seven counts of invitation to sexual
touching. That sentence was reduced to seven years because of the pre-trial time served in
custody.
Bakker's victims included three Vancouver women and seven girls aged seven to 12 in
Cambodia.
The former hotel worker was released with a long list of conditions. He is forbidden from
having contact with anyone under 18 and prohibited from going to parks, swimming areas,
day-care centres, schools or schoolyards, playgrounds, camping ground trailer parks or any
other areas where children may be present.
Bakker is forbidden from having contact with sex-trade workers, possessing pornography
and owning any electronic devices that are capable of accessing the internet.
He can't own or possess any cameras, video equipment or any device capable of capturing
and recording images and/or audio.
Bakker must not leave his residence between 11 p.m. and 6 a.m. except for purposes of
employment.
Police request that anyone who witnesses Bakker in violation of any of those conditions to
call 911.
In addition to having asked for those conditions of release, Crown prosecutor Brendan
McCabe is asking that Bakker be placed on a peace bond that includes limits on what he can
do.
That request will be heard July 4 in Provincial Court in Vancouver.
- with files from Kim Bolan
1er JUIN 2012
Article tiré de :
http://www.thestarphoenix.com/technology/admits+assault+after+wife+reports/6712075/story
.html
Man admits to U of S assault after
wife reports him
By Hannah Spray, The StarPhoenix
The man who tried to sexually assault two women near the University of Saskatchewan was
identified by his wife, who recognized the image sent out in an email alert to all students.
Josiah Jerome Blackplume, 22, pleaded guilty Thursday in Saskatoon provincial court to
charges related to the two incidents. The Crown and defence jointly recommended a fouryear prison sentence.
He was identified after the second assault, on May 23, when he lured a woman to a
university parking lot at about 1 p.m., saying he would help her get a job by giving her his
sister's business card, said Crown prosecutor Paul Goldstein.
When they got to the parking lot, Blackplume grabbed the woman with one hand while using
his other hand to take off his pants. He then tried to have sex with her, telling her to put her
hands on a truck to support herself.
The victim told police afterward that Blackplume said, "If you don't let me do it, I'll kill you."
She successfully resisted him and he ran away.
After she reported the incident, U of S security identified a video of the suspect and sent out
a still image of him in an email to students. Blackplume's wife, who is a student at the
university, received the email and recognized her husband, said Goldstein. She phoned
police to report him.
She said she attends classes during the day and her husband would often accompany her,
driving from their home near North Battleford. She said she didn't know what he did while
she was in class.
The couple met in December and were married three months later, so she has only known
him for about five months.
Later, police also received a call from North Battleford RCMP that they had found
Blackplume at the North Saskatchewan River, attempting to commit suicide.
When police interviewed Blackplume, he admitted his involvement in a previous incident on
May 10, when a jogger on the Meewasin Trail was robbed near the train bridge at around
noon.
The victim in that incident told police she was jogging northbound on the east side of the
river when a man asked her for the time. She said she didn't have a watch and jogged a bit
farther down the trail.
She stopped at the end of her run, just a short distance away, and a man grabbed her from
behind and held a weapon to her side. He said if she came with him and was quiet, she
would live.
The woman remembered information from a seminar she had taken on assaults and became
compliant, telling the man she would do what he wanted. He forced her a ways down the
trail, saying he wanted "to go have a quickie."
When the woman saw her opportunity, she fought him off and managed to get free. She said
the man turned toward her and she got a clear view of his face. He demanded her iPod,
which she gave him, and he fled.
Blackplume threw away the iPod shortly after, he told police, in an attempt to rid himself of
the urge to have sex.
Defence lawyer Deb Hopkins said Blackplume has schizophrenia and endured "horrific"
sexual abuse as a child. He realizes he has uncontrollable urges that have very serious
effects on the community, she said. He is in protective custody due to his threats of suicide.
Hopkins said Blackplume - who sat through his sentencing hearing with his head in his
hands - is sorry about what happened and needs to get help. She asked Judge Rosemary
Weisgerber to recommend Blackplume serve his sentence at the Regional Psychiatric
Centre.
Weisgerber reserved her decision on the sentence until today.
2 JUIN 2012
Article tiré de :
http://www.canada.com/stands+accused+molesting+children/6719713/story.html
Man, 82, stands accused of
molesting children
NEWS SERVICES JUNE 2, 2012
An 82-year-old Toronto man is charged with sexual assault in a series of incidents involving
young children in his care.
Police say the accused baby-sat for a number of children in his home in the past decade.
They allege two of the children - a boy and a girl, both four years old at the time - were
sexually assaulted in separate incidents. In the boy's case, the incidents are alleged to have
occurred between 2002 and 2003.
Fermin Caracas is also charged with sexual interference and invitation to sexual touching.
Police are asking the public to report any similar incidents.
3 JUIN 2012
Article tiré de :
http://www.calgaryherald.com/Police+hunt+suspect+daylight+break+enter+attempted+assault/
6721615/story.html
“Police hunt suspect in daylight
break and enter, attempted sex
assault”
Police are hunting the man responsible for a house break and enter and attempted sexual
assault.
The culprit broke into a house in the 2000 block of 38th Street S.E. about 4:45 p.m.
Saturday.
Police say he woke up a woman inside, exposed himself and then attempted to grab her.
―She screamed and ran from the room,‖ said duty inspector Mike Worden.
A child was home at the time.
The offender fled and the victims ran to a neighbours‘ house.
The woman in her 20s was not injured.
―The crime itself is quite uncommon,‖ Worden said
Police describe the offender as a pale Asian man, about 20 to 25 years old, 5‘8‖ to 5‘9‖ tall,
with a medium build and roundish face.
He was wearing dark blue jeans, a plain, black hoodie, a dark shirt and smelled heavily of
men‘s cologne.
Investigators encourage anyone with information to call Crime Stoppers anonymously at 1800-222-8477.
4 JUIN 2012
Article tiré de :
http://www.vancouversun.com/news/arrested+Regina+pleads+guilty+2009+assaults+Squamish
+Ladysmith/6728962/story.html
Man arrested in Regina pleads
guilty to 2009 sex assaults in
Squamish and Ladysmith”
VANCOUVER -- A man arrested in Regina for a B.C. crime spree pleaded guilty today to
committing robberies and sex assaults in Squamish and Ladysmith three years ago.
Shaun Richard Funk, 38, pleaded guilty to a sex assault in Squamish, which occurred in the
early morning hours of Aug. 28th, 2009, where a 39-year-old woman was held against her
will, sexually assaulted in the woods and taken to Vancouver, where she was sexually
assaulted again.
Funk withdrew cash from the victim's bank account by an ATM before he drove her to north
Burnaby, where he fled on foot.
He also pleaded guilty to unlawful confinement in relation to the Squamish incident.
He also entered a guilty plea to the sexual assault of a woman in her 50s in Ladysmith,
located on Vancouver Island, on Sept. 26th, 2009.
Funk broke into the woman's home at 3:30 a.m. and the woman awoke to find Funk in her
bedroom.
He also entered guilty pleas to robbing a North Vancouver woman on Aug. 7, 2009, and a
robbery in Nanaimo on Oct. 17, 2009.
The Crown plans to apply for a psychiatric assessment to support its application for a
dangerous offender designation at a hearing set for June 11.
There also may be some outstanding Manitoba crimes that may be transferred to B.C. for a
possible guilty plea, but that may take some time, the Crown said.
After his B.C. crime spree, Funk fled to Regina, where he was arrested in 2009.
Police earlier described Funk as a "drifter" originally from Manitoba who was known to stay
at campgrounds, had a cocaine habit and was known to attend bars and restaurants, where
he would run a tab for food and drinks, then attempt to leave without paying.
5 JUIN 2012
Article tiré de :
http://www.montrealgazette.com/news/Longtime+offender+Robert+Laram%C3%A9e+escapes+
crime+charges/6729692/story.html
Longtime offender Robert
Laramée escapes new sex-crime
charges
Judge in doubt; defendant guilty only of assault, confinement
BY PAUL CHERRY, GAZETTE CRIME REPORTER JUNE 5, 2012
Robert Laramée is helped to his feet after being hit by a woman at the Montreal courthouse during a break in
proceedings Monday. Laramée, convicted in 2001 of assaulting a 5-year-old girl, was attacked by Dolores Soucy,
the mother of a 10-year-old girl who disappeared two years earlier.
Photograph by: PHIL CARPENTER THE GAZETTE , The Gazette
MONTREAL - A man with a history of sex-related offences has been ordered to undergo an
evaluation by a psychologist after he was found guilty of forcibly confining and assaulting a
woman during a brief, but violent, relationship.
Robert Laramée, 48, was also acquitted Monday of two charges that he sexually assaulted
the same woman - but it wasn't because Quebec Court Judge Pierre Labelle believed the
defendant when he testified months ago.
"First, as I said when (Laramée) testified in March 2012, I was not impressed with his
testimony and, after having reflected on it, he impresses me even less. Throughout his
testimony, he tried to minimize his role in this story," Labelle said while delivering his verdict
at the Montreal courthouse.
The plaintiff in the case testified, in 2011, that after meeting Laramée at a Christmas party in
2006 they started dating early in 2007. She told the court Laramée began displaying strange
behaviour just weeks after they began seeing each other. She said he suddenly started
suffocating her during sex and told her it turned him on. She alleged Laramée even once
placed a pillow over her face during sex even though she made it clear she didn't enjoy
being suffocated.
She described Laramée as a "jealous, possessive and controlling" man who constantly
demanded sex from her. The relationship ended when he held the woman against her will for
more than a day in 2007. The woman was only able to leave after convincing Laramée she
would need birth control if he wanted to continue the marathon of sex he demanded of her
that weekend. Laramée agreed to let her go but then followed the woman to a pharmacy
where she called police.
"Why would (the plaintiff) have to flee from (Laramée) and go to a pharmacy to call the police
if every-thing was normal between them?" Labelle asked while summarizing the reasons why
he accepted the plaintiff 's version of events over Laramée's. The judge noted that the case
rests entirely on the plaintiff 's testimony. Labelle noted that while he found her testimony
credible, she answered many questions with "I don't remember any more." This, Labelle
said, left some doubt when he had to consider the sexual assault charges.
The case was strikingly similar to one in 2001 where Laramée was convicted of assaulting a
woman who also told police he sometimes strangled her, especially when she turned down
his frequent demands for sex. Also in 2001, Laramée was involved in a case where he
ended up being convicted of sexually assaulting a 5-year-old girl, molesting a 7-year-old and
assaulting a teenage girl. While being interrogated in 2001, Laramée told police he had
sexual impulses he could not control. He was sentenced to the equivalent of a four-year
prison term and three years' probation for the crimes he was convicted of in 2001. He began
seeing the woman in the current case as his probation was nearing its end.
Labelle ordered that a psycho-logical assessment of Laramée be prepared before he hears
sentencing arguments at a later date.
During a break in the case Mon-day morning, Laramée, who is out on bail, was confronted
by Dolores Soucy, the mother of Jolène Riendeau - a 10-year-old girl who disappeared from
Point St. Charles in 1999 - as he walked through the third-floor hallway of the court-house.
Jolene's remains were discovered in September 2010, under a span that is part of the
approach to the Champlain Bridge, in a murder case that remains unsolved. Soucy pounced
on Laramée and knocked him to the floor. She shouted at Laramée so loudly her screams
could be heard inside Labelle's courtroom and provoked a visible reaction from the judge.
Court-house constables had to pull Soucy away from Laramée, who appeared shaken.
6 JUIN 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/la-voix-de-lest/actualites/201206/05/01-4532085accuse-dattouchement-sur-des-mineures-une-charge-supplementaire-contre-eric-dubois.php
Accusé d'attouchement sur des
mineures : une charge
supplémentaire contre Éric Dubois
Éric Dubois (photographié ici en août 2011) fait maintenant face à quatre chefs d'accusation pour des
crimes à caractère sexuel.
PHOTO ARCHIVES LA VOIX DE L'EST
Pascal Faucher
La Voix de l'Est
(Granby) La Couronne a annoncé hier qu'une accusation supplémentaire d'agression
sexuelle a été déposée contre l'ex-promoteur de spectacle et commerçant Éric
Dubois.
L'homme de 35 ans de Shefford fait maintenant face à deux chefs d'attouchements, un
d'incitation à des contacts sexuels et un d'agression sexuelle, le tout concernant
deux présumées victimes âgées de 16 et 17 ans au moment des faits reprochés. Les
crimes auraient eu lieu en 2000 à Granby et en 2010 à Shefford, alors que l'accusé était en
position d'autorité.
Les plaignantes sont aujourd'hui adultes. L'accusé, qui n'a pas d'antécédent criminel,
demeure en liberté durant les procédures judiciaires.
Son enquête préliminaire s'est amorcée hier au palais de justice de Granby. Deux jours
sont réservés pour entendre cinq témoins, dont les présumées victimes. Comme à
l'accoutumée, les médias ne peuvent rapporter le contenu des témoignages livrés lors de
cette étape. La Couronne est représentée par Me Karyne Goulet tandis que Me Gerson
Foisy jr assure la défense.
7 JUIN 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/justice-et-faitsdivers/201206/07/01-4532774-pierre-defoy-coupable-dans-une-deuxieme-cause-dagressionsexuelle.php
Pierre Defoy coupable dans une
deuxième cause d'agression
sexuelle
Les parties devront revenir devant le juge dans quelques mois pour les représentations sur la peine. Me
Valérie Lahaie, procureure de la Couronne, a toutefois fait savoir au juge qu'elle envisagerait d'ici là la
possibilité de demander que Pierre Defoy soit déclaré «délinquant dangereux».
PHOTOTHÈQUE LE SOLEIL, PATRICE LAROCHE
Pierre Asselin
Le Soleil
(Québec) Pierre Defoy, qui purge déjà une peine de 20 ans pour avoir enlevé et
agressé un enfant en 2008, a été déclaré coupable jeudi d'une autre agression
sexuelle, survenue en 1990, sur un enfant de huit ans.
Le juge Conrad Chapdelaine, en rendant son verdict, a estimé que la version présentée
par l'accusé, qui niait les faits, devait être écartée. Il a qualifié le témoignage de partial et
se montre sélectif dans ses souvenirs. Il se rappelle ainsi plusieurs détails sur les autres
enfants du voisinage à l'époque, sauf lorsqu'il s'agit de la victime.
Plusieurs de ses affirmations ont aussi été contredites par des témoins, dont son exfemme.
Selon l'accusation, Defoy aurait emmené le garçon dans une chambre de la maison qu'il
habitait alors à Lévis. Il aurait alors agressé l'enfant, à qui il avait dit de se tenir debout en
s'appuyant sur le lit.
Aux yeux du juge, la victime a rendu un témoignage crédible, «sans arrogance ou esprit
revanchard. Il était soucieux de bien renseigner, ses propos étaient réfléchis et
vraisemblables. Décrire des événements aussi douloureux, qui sont survenus il y a plus de
20 ans, est un exercice difficile dont il s'est bien acquitté, sans animosité.»
L'accusé n'a montré aucune émotion, pas plus pendant le rappel des faits qu'au moment
du verdict. En plus des deux agressions dont il a été reconnu coupable, Defoy, aujourd'hui
âgé de 54 ans, fait encore face à deux chefs d'accusation pour un autre dossier
d'enlèvement et de séquestration d'un garçon du même âge, des faits qui se seraient
produits en 2005. Là encore, il nie sa culpabilité.
Les parties devront revenir devant le juge dans quelques mois pour les représentations sur
la peine. Me Valérie Lahaie, procureure de la Couronne, a toutefois fait savoir au juge
qu'elle envisagerait d'ici là la possibilité de demander que l'homme soit déclaré «délinquant
dangereux».
Au terme de son premier procès, Pierre Defoy avait été déclaré «délinquant sexuel à
contrôler» par le juge Richard Grenier, en raison de la violence des gestes qu'il a commis,
qui étaient selon lui «d'un sadisme hors de l'ordinaire».
Defoy sera théoriquement admissible à une libération après avoir purgé 10 ans de sa
peine. S'il est déclaré délinquant dangereux, il pourrait être gardé en institution au-delà de
cette échéance.
8 JUIN 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-nouvelliste/justice-et-faits-divers/201206/08/014532864-plus-de-neuf-ans-de-prison-pour-david-bizier.php
Plus de neuf ans de prison pour
David Bizier
David Bizier a également été inscrit sur le Registre national des délinquants sexuels à perpétuité et ne
pourra posséder des armes jusqu'à la fin de ses jours.
PHOTO: SYLVAIN MAYER
Nancy Massicotte
Le Nouvelliste
(Shawinigan) Pour avoir agressé sexuellement cinq femmes dans le secteur GrandMère, David Bizier a écopé, hier, d'une peine de neuf ans et un mois de pénitencier.
Comme il a déjà purgé un an et un mois de prison depuis son incarcération, il lui reste
donc une peine de huit ans à faire.
Le juge Richard Poudrier a ainsi entériné, hier, une suggestion commune faite par le
procureur aux poursuites criminelles et pénales, Me Louis-Charles Bal, et l'avocat de la
défense, Me Luc Vaillancourt, la qualifiant de juste et raisonnable dans les circonstances.
Toutefois, la sentence de Bizier, qui est déjà très lourde, va beaucoup plus loin. Le tribunal
a en effet accédé à la requête de la Couronne en le déclarant délinquant sexuel à contrôler
pour les dix prochains années.
Ainsi, une fois sa peine terminée, Bizier devra se soumettre à des mesures contraignantes
de surveillance pour limiter le risque de récidive et assurer la sécurité de la population. Il
importe en effet de préciser qu'en vertu d'un rapport psychiatrique, Bizier souffre d'une
personnalité psychopatique.
Son risque de récidive est donc considéré comme élevé, d'autant plus qu'il n'a fait preuve
d'aucun remord ou empathie envers les victimes, bien que son avocat affirme le contraire.
Bizier a également été inscrit sur le Registre national des délinquants sexuels à perpétuité
et ne pourra posséder des armes jusqu'à la fin de ses jours.
On sait que David Bizier est cet individu de 23 ans qui a agressé sexuellement quatre
femmes avec une arme et tenté d'en agresser une cinquième, toujours avec un couteau,
entre octobre 2010 et avril 2011 dans le secteur Grand-Mère.
Les faits qui lui sont reprochés vont du toucher et/ou baiser jusqu'à la fellation et la
pénétration complète tout dépendant des victimes. Il a également perpétré des vols
qualifiés sur trois d'entre elles en s'emparant de leur argent, téléphone cellulaire ou
appareil MP3. Notons enfin qu'il est aussi coupable d'un bris de probation et de production
de cannabis.
L'individu, qui est originaire de
quelques années, choisissait ses
agrippait et les forçait à le suivre
bas instincts. Il s'agissait toutes
moment des crimes.
Montréal mais qui demeurait dans la région depuis
victimes au hasard sur la rue. Armé d'un couteau, il les
dans un endroit à l'abri des regards afin d'assouvir ses
d'inconnues qui étaient âgées entre 17 et 53 ans au
À leur sortie de la cour, les victimes affichaient d'ailleurs un large sourire de satisfaction
hier. «C'est une victoire pour la justice et pour le droit des femmes de se promener en
sécurité dans les rues de notre ville. Justice a été rendue!», s'est exclamé Me Bal.
Plus tôt, l'une des victimes avait tenu à s'adresser directement à son agresseur dans la
salle d'audiences pour lui faire part des conséquences particulièrement négatives que cette
agression sexuelle avait eu dans sa vie. Elle a même pris la peine de s'asseoir devant le
box des accusé pour bien regarder Bizier dans les yeux.
«J'ai été profondément ébranlée dans ma conviction d'être protégée. Rien n'est sûr dans la
vie. David Bizier a détruit cinq années de dur labeur pour atteindre ce sentiment de
sécurité», a-t-elle notamment déclaré.
Plus loin, elle a ajouté : «Cet individu mérite de pleurer et de payer pour les douleurs et le
mal qu'il m'a fait à moi et aux autres. Il m'a tout pris, même mon argent.»
Elle dit avoir été contrainte à un assouvissement mais également à la peur de mourir. «Il
m'a violée et m'a légué des souffrances que je ressens en permanence», a-t-elle raconté.
Depuis, elle se sent insécure, petite, seule, vulnérable, craintive. Elle souffre d'isolement,
de rage et de violence. Pendant trois semaines, elle a eu peur d'aller tout simplement
chercher son courrier.
À ces blessures psychologiques, il faut ajouter des blessures physiques comme des
lésions sur les parties génitales et la bouche. Et puisque l'agresseur n'a pas utilisé de
préservatif, elle a dû sesoumettre à une trithérapie contre le VIH par mesures de
prévention.
9 JUIN 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/la-voix-de-lest/actualites/201206/08/01-4533282sentence-houleuse-pour-normand-lussier.php
Sentence houleuse pour Normand
Lussier
Normand Lussier est resté de glace en écoutant les témoignages de ses victimes.
PHOTO LA VOIX DE L'EST
Pascal Faucher
La Voix de l'Est
(Saint-Hyacinthe) «J'espère juste qu'il se pendra dans sa cellule.»
Les accusations ont fusé et les larmes ont coulé, hier matin, alors que Normand Lussier,
coupable d'agression sexuelle sur quatre mineures commises au tournant des années
1980, a reçu sa sentence au palais de justice de Saint-Hyacinthe. Il a récolté quatre ans de
prison.
L'une de ses victimes, aujourd'hui âgée de la quarantaine, s'est exprimée en termes crus
devant la cour. Avant de souhaiter la mort de celui qui lui a «déformé le principe d'amour»
alors qu'elle n'avait que 11 ans, elle a indiqué qu'elle le tenait responsable de la vie rebelle
qu'elle a connue par la suite. Une vie où elle a fait de la prison pour meurtre, a-t-elle
précisé.
«Rouvre les yeux et écoute quand on te parle!», a-t-elle tonné en direction de l'accusé.
Puis, après avoir félicité toutes les femmes qui osent dénoncer leur agresseur, elle a ajouté
qu'elle «espère qu'il ne sortira pas sur un tiers ou un sixième (de sa peine), qu'il le fasse
son crisse de chiffre».
Innocence brisée
Une autre victime a témoigné de façon plus posée, mais tout aussi poignante. Elle aussi a
été incitée à des contacts et agressée par le résidant d'Acton Vale de 61 ans, qui était son
voisin. Comme pour les autres plaignantes, il était en position d'autorité face à elle.
10 JUIN 2012
Article tiré de : http://www.journaldequebec.com/2012/06/10/acupuncteur-radie
« Gestes à caractère sexuel :
Acuponcteur radié »
JEAN-FRANÇOIS RACINE @
JOURNAL DE QUÉBEC, PUBLIÉ LE: DIMANCHE 10 JUIN 2012, 20H48 | MISE À JOUR: DIMANCHE 10
JUIN 2012, 20H50
Un acupuncteur de Québec a été radié provisoirement pour des gestes abusifs à
caractère sexuel sur trois patientes.
Bending Zhou, qui exerce sa profession sur la 1re Avenue, à Charlesbourg, ainsi que sur
l‘avenue Lavigerie, à Sainte-Foy, a été radié le 17 mai de l‘Ordre des acupuncteurs du
Québec jusqu‘à la décision finale sur la plainte déposée contre lui.
M. Zhou aurait posé ces gestes entre le 25 mai 2011 et le 5 janvier 2012. Il aurait également
tenu des propos abusifs à caractère sexuel à plusieurs occasions.
À cette même période, il n‘aurait pas respecté la dignité de deux patientes en demeurant
dans la salle de traitement au moment où celles-ci se déshabillaient.
Entrave
Le 19 janvier 2012, il aurait fait entrave à l‘enquête du syndic en le trompant par de fausses
déclarations.
On lui reproche finalement d‘avoir vendu des médicaments chinois sans aviser une patiente
du profit réalisé lors de cette vente. Bendind Zhou n‘aurait pas exercé sa profession dans les
normes généralement reconnues et il n‘aurait pas respecté les règles en matière de tenue
de dossier. Le Conseil de discipline a signifié sa décision à l‘acupuncteur le 22 mai dernier.
Il ne s‘agit pas du premier cas du genre au sein de cet ordre professionnel. L‘automne
dernier, Olivier Meunier a été accusé d‘avoir eu des relations sexuelles répétées avec des
patientes, de s‘être adonné à des violences physiques et psychologiques sur elles, en plus
d‘avoir produit des faux reçus. L‘acupuncteur de Longueuil a provisoirement perdu le droit de
pratiquer.
Sexe et religion
Pas moins de 26 actes sont reprochés à Olivier Meunier, qui pratiquait à l‘époque des faits
allégués dans une clinique de la Rive-Sud.
Deux patientes sont impliquées dans cette affaire. L‘acupuncteur aurait eu une douzaine de
relations sexuelles avec elles.
À Joliette, l‘acupuncteur Emmanuel Francœur a aussi fait face à 10 chefs d‘accusation
devant le comité de discipline en 2010.
Il aurait notamment tenté de recruter des patientes dans le mouvement religieux qu‘il dirige,
la Mission de l‘Esprit-Saint. Ses adeptes croient que la Terre est plate et que le soleil est le
reflet du feu de l‘enfer. Ils considèrent le monde extérieur comme une menace.
11 JUIN 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-droit/actualites/justice-et-faitsdivers/201206/11/01-4533786-quinze-ans-et-accusees-de-trafic-humain.php
Quinze ans et accusées de trafic
humain
PATRICK WOODBURY, LEDROIT
Louis-Denis Ebacher
Le Droit
La police d'Ottawa a levé le voile sur une dérangeante histoire de trafic humain dont
les principales suspectes sont des adolescentes de 15 ans. Il s'agit d'une première au
Canada, selon le corps policier.
Les policiers d'Ottawa ont confirmé hier qu'ils avaient procédé à l'arrestation de deux
adolescentes, les 8 et 9 juin derniers. Selon le sergent d'état-major John McGetrick, cette
affaire est du jamais vu, car elle n'implique pas des adultes ou des hommes proxénètes,
mais bien des adolescentes de 15 ans.
« En parlant avec la Gendarmerie royale du Canada (GRC), nous avons conclu qu'il
s'agissait d'une première canadienne », a-t-il indiqué.
Selon l'enquête, des adolescentes de 15 ans auraient fait la traite de personnes à Ottawa
en forçant d'autres jeunes filles à se prostituer, sous la menace et la violence. Les
adolescentes auraient séquestré leurs victimes pendant de longues heures. Les victimes
sont âgées de 13 à 17 ans.
Au moins une victime aurait été droguée contre son gré pendant son enlèvement. « Tout
cela est très choquant », avoue le policier McGetrick.
Une troisième adolescente, âgée de 17 ans, est toujours recherchée dans cette affaire. La
police ne peut divulguer les identités des suspectes, car elles sont mineures. Selon la
police, il ne s'agit pas de conjointes de jeunes hommes criminalisés qui les font « travailler
» pour eux. Les trois ados auraient agi de leur propre initiative.
Au moins trois incidents
Trois incidents distincts se sont produits ces dernières semaines. Les victimes ont été
prises au piège les 18 et 19 mai, ainsi que le 3 juin dernier.
« Les adolescentes leurraient leurs victimes, explique John McGetrick. Elles leur donnaient
rendez-vous en prétextant vouloir socialiser, leur disaient que c'était juste pour passer le
temps, pour le plaisir. Elles attiraient leurs proies dans une résidence située dans le pâté
de maisons du 2400, chemin Walkley (dans l'est de la ville), puis les faisaient prisonnières
et les forçaient à se prostituer en d'autres endroits. »
Le groupe de présumées proxénètes travaillait en équipe en utilisant la violence et la
séquestration comme arme principale. « Les événements se produisaient très rapidement.
» La police n'a pas voulu relier cette affaire à un quelconque gang de rue.
Les deux adolescentes font face à des accusations de traite de personnes, de vol, de
proxénétisme, de séquestration, d'agression sexuelle, de voies de fait, de profération de
menaces et d'enlèvement.
« Les victimes sont physiquement indemnes, précise le sergent d'état-major. Mais à
l'intérieur... Ce sont des personnes qui ont subi un traumatisme les marquant pour la vie. »
Le secteur Hull a été touché par une autre histoire de traite de personnes, en juillet 2008.
Un couple a d'ailleurs été reconnu coupable.
Toute personne ayant des renseignements pertinents sur les événements est priée de
communiquer avec l'Unité des agressions sexuelles et de la violence faite aux enfants du
Service de police d'Ottawa en composant le 613-236-1222 poste 5944.
12 JUIN 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201206/12/01-4534236-adolescentes-de-15-ans-dottawa-accusees-de-trafic-humainpour-prostitution.php
Adolescentes de 15 ans d'Ottawa
accusées de trafic humain pour
prostitution
ARCHIVES, LEDROIT
Steve Rennie
La Presse Canadienne
Ottawa
La police d'Ottawa est toujours à la recherche d'une adolescente de 17 ans
soupçonnée de trafic de jeunes filles à des fins de prostitution.
Les enquêteurs au dossier en profitent pour rappeler que le caractère consternant de cette
affaire devrait servir d'avertissement sur les dangers que peuvent représenter les médias
sociaux.
Les deux adolescentes de 15 ans, incarcérées depuis leur arrestation le week-end dernier,
ont été accusées d'avoir leurré des jeunes filles sur des sites de réseaux sociaux, pour
ensuite les livrer à des hommes à des fins de prostitution.
L'une des accusées a comparu mardi, tandis que l'audience de la seconde doit avoir lieu ce
mercredi.
La troisième adolescente est activement recherchée par les policiers.
Le sergent John McGetrick a invité les victimes de cette affaire à porter plainte auprès des
policiers.
«Si quiconque a passé par une expérience semblable, s'il-vous-plaît, contactez-nous», a-t-il
mentionné en point de presse, mardi.
Selon les autorités, les jeunes accusées sont soupçonnées d'avoir leurré, à trois occasions
distinctes, trois adolescentes âgées entre 13 et 17 ans dans une résidence sous de faux
prétextes. De là, les présumées victimes étaient transportées vers un autre endroit à des
fins de prostitution.
M. McGetrick a affirmé que les victimes et les suspects avaient établi des liens en ligne,
mais qu'elles avaient pu se connaître «vaguement» auparavant.
Le sergent a voulu inciter les parents à porter une grande attention à ce que font leurs
enfants sur Facebook, Twitter et d'autres sites populaires de réseautage.
«Vérifiez avec qui vos enfants échangent en ligne», a-t-il avisé.
«S'ils vont rencontrer quelqu'un que vous ne connaissez pas, demandez-leur: »Comment
l'as-tu rencontré? L'as-tu rencontré sur Internet? Qu'est-ce qu'il a dit?», a dit le sergent.
«En tant que père, j'accéderais aux comptes de mes enfants et je les consulterais. S'ils
n'aiment pas ça, c'est bien malheureux», a-t-il ajouté.
En plus des accusations de traite de personnes à des fins d'exploitation sexuelle, les deux
jeunes de 15 ans font face à des accusations de proxénétisme, d'agression sexuelle, de
vol, de voies de fait, d'enlèvement et d'avoir proféré des menaces. L'une d'entre elles est
aussi accusée d'avoir administré un produit nocif.
L'identité des accusées et de leurs victimes est protégée en vertu de la Loi sur le système
de justice pénale pour les adolescents.
Plusieurs détails ne peuvent être dévoilés pour ne pas nuire à l'enquête.
Le sergent McGetrick a néanmoins souligné qu'une affaire de ce genre était pratiquement
du jamais vu dans l'histoire canadienne.
«Nos employés sont appelés à travailler tous les jours sur des enquêtes troublantes, mais
celle-là est choquante. L'âge si jeune des victimes et des accusées, c'est terrible», a-t-il
lancé.
La police d'Ottawa a contacté la Gendarmerie royale du Canada dans cette affaire, a aussi
mentionné le sergent McGetrick.
«Ils ont mené une recherche rapide dans leur base de données sur le trafic humain, et
n'ont rien trouvé qui puisse se rapprocher d'un événement de ce genre.»
Rien n'indique a priori que les jeunes accusées étaient liées à un réseau de proxénètes ou
une organisation criminelle bien structurée.
Le ministre de la Sécurité publique, Vic Toews, a affirmé qu'il reviendrait aux avocats de la
Couronne de déterminer s'il y aura requête pour traduire les suspects en fonction de peines
pour adultes.
«Je ne prendrai pas cette décision, a dit le ministre. Ce que nous avons fait est de
renforcer la loi en termes de trafic humain.»
13 JUIN 2012
Article tiré de :
http://www.citytv.com/toronto/citynews/news/local/article/210122-toronto-man-accused-of-forcing-15-year-old-girl-into-prostitution
Toronto man accused of forcing
15-year-old girl into prostitution
06/13/2012 | Shawne McKeown, CityNews.ca
A Toronto man is facing a slew of charges, including human trafficking, sexual assault
and forcible confinement, for allegedly forcing a 15-year-old girl into prostitution.
Police arrested the 39-year-old man on Tuesday after officers received a call about an
alleged sexual assault in the Broadview Avenue and Danforth area the same day.
Cheng Ping Liu is facing a total of 13 charges. He‘s scheduled to appear in court
Wednesday morning.
The Toronto arrest comes days after a shocking case of alleged human trafficking in
Ottawa. Two 15-year-old girls were charged last week for allegedly luring other teen girls
into prostitution.
Police in the nation‘s capital are still looking for a third suspect, a 17-year-old girl.
14 JUIN 2012
Article tiré de :
http://www.montrealgazette.com/news/Quebec+writer+appears+court+assault+charges/67828
91/story.html
Quebec writer appears in court
on sex-assault charges
Maxime Roussy faces charges involving a young teenage girl
BY PAUL CHERRY, THE GAZETTE JUNE 14, 2012
Maxime Roussy (right), a popular author of books for young teens, appeared in court Thursday.
Photograph by: Tijana Martin , The Gazette
MONTREAL – Quebec author Maxime Roussy made his first appearance at the Montreal
courthouse Thursday on charges, dating back more than a year, alleging he sexually
assaulted one of his young fans.
Roussy, whose French-language books are very popular with young teens in Quebec, made
a brief appearance before Quebec Court Judge Gilles Cadieux. His lawyer informed the
judge the defence intends to file motions concerning the case in a higher court, Quebec
Superior Court, and the case was delayed to Sept. 10.
In May, Roussy failed to show up for the start of his preliminary inquiry after he visited a
hospital the night before the hearing. He sought medical treatment but the nature of his
ailment was only disclosed to Cadieux in May and the judge cleared the courtroom of
everyone but the lawyers involved.
The charges Roussy faces involve a young teenage girl. He is accused of luring a child
through the use of a computer, of sexual assault, sexual interference, invitation to sexual
touching and sexual assault with a weapon. The charges cover a period that began in 2006
and ended on July 4, 2010.
Roussy was originally arrested in April 2011 in the case but was allowed to appear before a
judge in Saguenay because it is near his home. The alleged crimes occurred in Montreal and
Quebec City.
15 JUIN 2012
Article
tiré
de :
http://www.journaldemontreal.com/2012/06/15/trois-presumespedophiles-quebecois-ont-ete-arretes-et-accuses
Trois présumés pédophiles
québécois ont été arrêtés et
accusés
ELIZABETH LAPLANTE / AGENCE QMI
Publié le: vendredi 15 juin 2012, 16H40 | Mise à jour: vendredi 15 juin 2012, 16H52
PHOTO: CAPTURES D'ÉCRAN / TVA NOUVELLES
Trois présumés pédophiles ont été arrêtés et devaient comparaître vendredi pour faire
face à des accusations de possession, distribution et production de pornographie
juvénile.
Les accusés, Gervais Côté, âgé de 53 ans et originaire de Baie-Comeau, Daniel Giard, 54
ans, de Granby et Luc Lavallée, 63 ans, de Longueuil, faisaient l‘objet d‘une enquête
entamée en janvier dernier par la Sûreté du Québec (SQ).
« Ce sont nos experts en cybersurveillance qui se sont aperçus qu‘ils [les suspects]
échangeaient du matériel pornographique ou le rendaient disponible, a indiqué le sergent
Ronald McInnis de la SQ. On parle de photos et de vidéos », a-t-il précisé.
Pour l‘instant, la SQ ne confirme aucun lien entre les trois suspects.
Des ordinateurs ainsi que du matériel périphérique de stockage tel que des CD, des DVD et
des disques durs ont également été saisis, vendredi, aux domiciles respectifs des accusés.
« L‘analyse de ça [les items saisis] va peut-être permettre d‘arrêter d‘autres personnes et de
porter d‘autres accusations », a dit M. McInnis. L‘enquête est toujours en cours dans ce
dossier.
16 JUIN 2012
Article tiré de :
http://www.thestarphoenix.com/news/Judge+ponders+sentence+child+porn+purveyor/679247
8/story.html
Judge ponders sentence for child
porn purveyor
Crown seeks seven-year prison term
By Lori Coolican, The StarPhoenix
A 22-year-old man who collected and actively shared a massive collection of extreme child
pornography hugged his weeping fiancee before he was taken into custody at a Saskatoon
courthouse.
Shane Dale Pattison will find out the length of his sentence for 53 child pornrelated charges
in September. Queen's Bench Justice Mona Dovell reserved her decision after hearing final
sentencing submissions Friday.
Crown prosecutor Mike Segu urged Dovell to impose a total sentence of seven years, citing
the sheer volume and depravity of the material Pattison exchanged with more than 430
people in 2009 and 2010, using multiple free file-sharing programs and false Facebook
profiles.
Fifty of the 53 charges to which he pleaded guilty carry mandatory minimum sentences of
one year in custody - which would add up to 50 years if imposed consecutively, Segu noted.
Defence lawyer Brian Pfefferle argued for a much lighter sentence, ranging from two years
less a day in provincial jail to three years in a penitentiary, followed by probation.
Police found more than 4,500 images and videos, primarily showing horrifying sexual abuse
and torture of small children, on computers seized from the home Pattison shared with his
parents in the small town of Marshall near Lloydminster. At the time of the seizure, he was in
the process of downloading about 12,000 new files and 77 people were in the midst of
uploading material from him, court heard.
Police also found records of online chats and emails in which he falsely bragged about
sexually torturing, mutilating and murdering more than one small child. In a series of
communications with an Idaho man, Pattison said he was trying to get his fiancee pregnant
and he intended to begin using the infant "for a sex toy" as soon as it was born.
The couple succeeded in having a baby boy, who is now eight months old. The infant was
subsequently apprehended by Social Services and placed in the care of Pattison's mother,
who is authorized to supervise his contact with the child, court heard. Segu noted Pattison
has been living in the same home on house arrest while awaiting the outcome of his criminal
charges.
In a statement to police after his arrest in November 2010, Pattison said he had previously
invited his fiancee to watch child porn with him, but she declined.
Investigators also found chilling evidence showing Pattison had been actively seeking
babysitting jobs in Lloydminster and Edmonton through web-based classified ads on Kijiji,
Craigslist and SOSsitter.
Pattison told police that he first started viewing child porn when he was 14 years old and that
he prefers kids between the ages of five and eight, Segu noted.
About 200 of his online contacts are now under investigation by police in numerous
jurisdictions.
The Idaho man, Robert William Hull, 35, was abusing a four-year-old female relative to
create child porn using a cellphone camera. He was caught as a result of the Saskatchewan
investigation and is now serving 15 years in an American prison. Two other little girls in the
state of Georgia and one child in British Columbia were also rescued as a result of the
investigation into Pattison's activities.
Reading from a prepared statement to Dovell before court adjourned, Pattison offered an
apology to everyone affected by his actions. He said the birth of his son was "eye-opening"
and helped him realize the seriousness of his crimes.
lcoolican @thestarphoenix.com
17 JUIN 2012
Article tiré de : http://www.calgarysun.com/2012/06/17/sex-attack-random-say-calgarycops
Sex attack random, say Calgary
cops
BY KATIE SCHNEIDER ,CALGARY SUN
FIRST POSTED: SUNDAY, JUNE 17, 2012 05:00 PM MDT
As cops hunt for a sex attacker who preyed on a woman on a dark Calgary pathway, they‘re
reminding the public to be careful when walking alone.
Police said a 26-year-old woman was walking home from work on a pathway parallel to
Blackfoot Tr. near Deerfoot Tr. S.E. about 2 a.m. Sunday, when a man approached her and
forcibly sexually assaulted her before fleeing the area.
The fact the attack was random is a concern to police who remind people to take precautions
when walking alone after dark or avoid doing so altogether, said Insp. Paul Malchow.
―It‘s an unfortunate thing that happened,‖ he said.
―Stranger attacks can be rare, that‘s why it‘s a concern for us and that‘s why we are advising
the public and we want people to be careful, especially in remote areas at night.‖
The woman wasn‘t injured, said Malchow.
―Physically she is fine, but psychologically, I don‘t know,‖ he said.
―It‘s quite traumatic for anybody.‖
The suspect is described as white, bald or with very short hair, and wore a grey shirt, dark
pants, and had a skinny build.
The Sex Crimes Unit is now investigating.
Malchow said it‘s unclear how the man came to be on the pathway or how he approached
the woman.
―It‘s unclear how he got there,‖ he said.
Anyone who witnessed the incident or has information are encouraged to call police at 403266-1234 or Crime Stoppers at 1-800-222-8477
18 JUIN 2012
Article tiré de :
http://www.calgaryherald.com/news/Police+random+assault+concerning/6798242/story.html
Police say random sex assault
'concerning'
BY MEGHAN POTKINS, CALGARY HERALD JUNE 18, 2012
Police are calling a random attack that occurred on a path-way east of the downtown early
Sunday "concerning."
Shortly before 2 a.m. Sun-day, a 26-year-old woman was walking from her downtown
workplace along a pathway that parallels Deerfoot Trail S.E., near Blackfoot Trail, when she
was attacked and forcefully sexually assaulted by a man. The offender then fled the scene
and the woman was taken to hospital.
"We believe this is a bona fide and random stranger sexual assault," said duty inspector Paul
Malchow. "It's a random attack and it's concerning."
Police have released a description of the woman's attacker in a bid for more information from
the public.
The offender is described as a slim, white male, bald, or with very short hair, wearing a grey
shirt and dark pants.
It's unclear whether the attacker approached on foot or with some kind of vehicle, Malchow
said.
Police are reminding the public to take care when walking alone on pathways.
"Just be vigilant especially when you're walking alone at night," he added.
Walking along the same pathway near Blackfoot Trail late Sunday afternoon, Lacey Fisher
said she was shocked to hear an assault had taken place there just hours earlier.
"It does scare me because I do walk down here," said the 19-year-old, who was out walking
with her dogs and a friend.
"I'd never come here by myself at night."
At the nearby Blackfoot Truck Stop restaurant, an employee said she was shocked that an
attack had occurred in the area.
"Normally, it's pretty quiet and pretty lit up," Tanya Brown said. "I'm not scared to walk
around here. There's usually people around here."
Investigators are also looking into an unrelated assault that occurred Sunday morning.
Police were called to the 3300 block of Rideau Place S.W. at 6: 42 a.m. after a 22-year-old
woman reported that she had been sexually assaulted.
The woman was taken to hospital with minor injuries.
Members of the sex crimes unit have located the potential scene where the assault occurred
in a nearby apartment complex and continue to investigate.
19 JUIN 2012
Article tiré de :
http://www.ottawacitizen.com/news/Teen+guilty+assault+girl+park/6801544/story.html
Teen boy guilty of sex assault on
girl, 11, in park
BY CHLOÉ FEDIO, THE OTTAWA CITIZEN JUNE 19, 2012
OTTAWA — A 15-year-old Ottawa boy was found guilty of coaxing a young girl into a westend park with the promise of candy and sexually assaulting her last spring.
The teen, who can only be identified at J.D. due to provisions in the Youth Criminal Justice
Act, was also found guilty of attempting to lure an eight-year-old girl into the same wooded
area on a separate occasion by offering to take her to an ice cream store.
The teen pleaded not guilty and testified in his own defence during the trial this spring.
Justice Catherine Kehoe released a decision on Monday morning.
―I have reviewed J.D.‘s evidence and I do reject it as not credible,‖ Kehoe ruled in a 19-page
decision.
During the trial, court heard testimony from a young girl who identified the accused after she
was sexually assaulted at Bellevue Manor Park on April 25, 2011.
The girl, who was 11 at the time of the assault, said the teen told her to ―look up at his face‖
while he while lying on top of her, his stomach pressed against hers. She was lying on her
back when he touched her vagina, she testified.
At the time of the crimes, J.D. was 14 years old.
The judge also ruled that there ―was no reason to doubt‖ the younger girl‘s identification of
J.D. as the teen who tried to lure her into the woods.
The judge noted in her decision that the teen, whose hair was short and slicked back in the
spring of 2011, grew his hair long after he was arrested. During the trial, she noted that his
shaggy, black hair hid his face when witnesses were on the stand.
―The accused had his hair combed completely forward covering his forehead, eyes and the
bridge of his nose. He sat in the prisoner‘s box all day pulling his hair forward, down over his
face with his hands as though he was concealing his face from the witness,‖ Kehoe wrote.
The teen was found guilty of sexual interference, sexual assault, abducting a person under
the age of 14 and attempting to abduct a person under the age of 14.
The teen has been in custody since his arrest. He will be sentenced on August 20
20 JUIN 2012
Article tiré de :
http://www.edmontonjournal.com/news/Arrest+warrant+issued+alleged+child+abuser+skips+c
ourt/6813382/story.html
Arrest warrant issued as alleged
child abuser skips court
BY RYAN CORMIER, EDMONTONJOURNAL.COM
EDMONTON - After he twice failed to show up in court, an arrest warrant has been issued
for a man alleged to have sexually abused several girls at an unlicensed Edmonton day
home.
Walter Edmund Nash, 61, did not appear at the start of his preliminary hearing Tuesday
morning and again failed to show Wednesday. He is out on bail on condition that he attend
all required court appearances.
―For this case to move forward, Mr. Nash has to show up and meet his obligations,‖ said
Crown prosecutor Mark Huyser-Wierenga.
Court heard that Nash had contacted his brother early Tuesday morning, but no one has
heard from him since.
Allegations of abuse at the day home, run by Nash and his wife, first surfaced in 2002.
Alberta Children and Youth Services revoked the day home‘s licence after the first allegation.
The couple continued to run an unlicensed home until the most recent allegations came to
light in December 2010. More allegations and charges followed in July 2011.
The case involves at least four alleged victims from the ages of three to seven.
Nash currently faces 24 criminal charges, including sexual assault, sexual interference and
invitation to sexual touching.
21 JUIN 2012
Article tiré de :
http://www.montrealgazette.com/news/offender+wanted+live+with+pedophile/6815747/story
.html
Sex offender wanted to live with
pedophile
Request revealed at sentencing hearing
BY PAUL CHERRY, THE GAZETTE JUNE 21, 2012
A Pierrefonds sex offender who secretly photographed a naked young girl with his computer
once tried to persuade a court to grant him bail and allow him to live with a pedophile.
Kimberley Byron Moskalewski, 53, pleaded guilty in February to four charges involving child
pornography. At his sentencing hearing Wednesday, the court learned that, in January, he
petitioned a judge to release him on bail and allow him to live with pedophile Pierre Poirier,
73. The judge denied him bail.
Moskalewski testified he first met Poirier at the Rivière des Prairies Detention Centre where
both men were awaiting trial in different cases and he didn't know his potential roommate
was a convicted sex offender.
Reading from a presentencing report, defence lawyer Robert Belle-feuille said that a
sexologist and a parole officer "were baffled and pre-occupied" by the fact Moskalewski said
he intended to live with Poirier.
Poirier is serving an 18-month prison term for sexually assaulting a minor.
"When I was there, you become friends with people but they don't necessarily tell you what
they do," Moskalewski told Quebec Court Judge Claude Parent. "I would not have given
(Poirier's) address if I knew. I did not know what he was in for. He thought he was getting
out."
The issue came up while Moskalewski described the time he has served behind bars since
his arrest in August. He said he has suffered from migraine headaches since the age of 5
and frequently needs to take a specific prescribed medication, 292s, to relieve the pain. He
told Parent that obtaining the specific prescription was difficult at the detention centre in
Rivière des Prairies and again when he was transferred in April to the Montreal Detention
Centre.
"There were days when I couldn't eat, I couldn't get out of my bed and get out (of my cell)
and days when I had to bang my head against the wall (to relieve my headaches),"
Moskalewski said.
Bellefeuille intends to argue, when the sentence hearing resumes on Sept. 7, that
Moskalewski's medical condition should be a mitigating factor that reduces a potential prison
term.
Earlier in the day, Montreal police Det.-Sgt. Brigitte Guerard testified about the crimes
Moskalewski pleaded guilty to. The most disturbing evidence involved a girl, under the age of
14, who was photographed and videotaped by Moskalewski, a computer expert, without her
knowledge while she undressed. A publication ban prohibits the re-lease of any information
that would identify the victim.
Guerard said the Montreal police Child Sexual Exploitation Unit began its investigation last
year after another person, who also cannot be identified, accessed Moskalewski's computer,
found disturbing messages on his Facebook page and called the police. The same person
also printed off screen captures, images of what appears on a computer screen at any given
time, that showed messages Moskalew-ski posted on other social networks. In the
messages, Moskalewski appeared to invite adult men to lure and seduce the young girl he
had secretly photographed.
"Where have all the good lurers gone?" Moskalewski asked in one message.
Guerard said another witness told police she was aware Moskalewski created the fake
persona of a 14-year-old girl named Stacey, from Manitoba, so he could visit chat rooms on
the Internet and correspond with young female teens and solicit their opinions on topics
involving sex.
The police detective also said that when they executed a search war-rant at Moskalewski's
home they seized computer equipment and found more than 5,500 photographs of child
pornography, including images depicting toddlers who were tied up and sexually abused,
and 290 videos of child pornography.
The items were seized in a home where Moskalewski's wife ran a home daycare, which has
since closed. Moskalewski was also charged with inviting a girl, who at-tended the daycare,
to touch him in a sexual manner. He was acquitted in that case on June 7.
22 JUIN 2012
Article tiré de : http://www.radio-canada.ca/regions/alberta/2012/06/22/005-pediatreagression-cortes.shtml
Pédophilie : 2 ans de prison pour un
pédiatre d'Edmonton
Mise à jour le vendredi 22 juin 2012 à 19 h 01 HAE
Un portrait de Javier Mauricio Castillo Cortes, accusé d'avoir agressé sexuellement deux garçons.
Javier Mauricio Castillo Cortes, ancien médecin résident en neuropédiatrie à l'Hôpital
pour enfants Stollery d'Edmonton, obtient une peine de deux ans moins un jour de
prison et un an de probation pour avoir agressé sexuellement deux garçons.
Le pédiatre de 32 ans faisait face à 10 chefs d'accusation pour agressions sexuelles sur
deux garçons âgés de moins de 14 ans entre juillet 2008 et août 2009. Il avait plaidé non
coupable à ces chefs d'accusation en janvier 2012.
Les deux garçons n'étaient pas des patients du médecin et n'avaient aucun lien avec ses
activités professionnelles. Ils étaient âgés de sept et huit ans, lors des agressions.
M. Cortes purgera deux ans moins un jour, moins 64 jours pour le temps déjà passé
en détention.
Le pédiatre pourra entrer en contact avec des enfants après avoir purgé sa peine parce
qu'il n'a pas été reconnu comme prédateur sexuel par la cour.
La couronne avait demandé une peine de deux ans et demi à trois ans de prison.
23 JUIN 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201206/23/01-4537856-cruels-sevices-dune-mere-2e-proces-encore-coupable.php
Cruels sévices d'une mère: 2e
procès, encore coupable
PHOTOTHÈQUE LE SOLEIL
Christiane Desjardins
La Presse
À sept ans d'intervalle, les procès d'une femme accusée de cruels sévices physiques,
psychologiques et sexuels envers ses trois enfants se sont soldés par le même verdict:
coupable.
La femme de 63 ans, que nous nommerons seulement par ses initiales (V.G.) pour
protéger l'identité des victimes, n'a pas bronché, hier, quand la juge Nathalie Fafard l'a
déclarée coupable de la majorité des 38 chefs d'accusation portés contre elle. Les enfants
de l'accusée, tous dans la trentaine aujourd'hui, étaient dans la salle d'audience en
compagnie de leur père et semblaient soulagés du dénouement. Ce deuxième procès, qui
s'est tenu au palais de justice de Montréal, avait été ordonné par la Cour d'appel, qui avait
trouvé des erreurs de droit dans le premier procès.
Les événements se sont produits de 1977 à 1995. V. G. se plaisait à humilier ses enfants,
à les punir et à les faire souffrir. Coups de poing, de pied, de marteau, de bâton, repas
avariés, enfants agenouillés pour un tout et pour un rien, parfois sur du gros sel,
étouffement, crises d'hystérie, contrôle absolu, même sur les besoins naturels de ses
enfants... La vie était infernale avec V. G., selon le récit des trois enfants. La femme avait
des lubies. Il lui est même arrivé de laver le vagin de sa fille avec une brosse à dents, et de
«désinfecter» ses parties intimes avec de l'alcool à friction. Elle agissait de même avec ses
deux fils, notamment en leur étirant inutilement le pénis, et en les ridiculisant.
Garde d'enfants
Le père était plutôt effacé. Il a quitté le domicile familial en 1991. Les enfants, eux, sont
partis au milieu des années 90, et sont retournés vivre avec lui. Ils ne veulent plus rien
savoir de leur mère. Ils se sont décidés à porter plainte en 2002, en apprenant que V. G.
avait commencé à garder des enfants. Ils craignaient qu'elle décharge sa violence sur eux.
La juge Nathalie Fafard a cru les enfants, et pas la mère, qui alléguait un coup monté
contre elle. La femme s'est présentée comme une mère protectrice qui avait donné à ses
enfants le meilleur d'elle-même. Mais ce témoignage n'a pas bien impressionné la juge.
«Elle tente de contenir un sanglot feint en essuyant ses yeux sans larmes et revient au
calme au bout de quelques minutes. Cet accès d'émotivité est injustifié et malhabilement
mis en scène», a souligné la magistrate. Plus loin, la juge a signalé que «les événements
s'inscrivent clairement dans une dynamique de maltraitance à tous les niveaux aussi bien
physique, psychologique que sexuelle». V. G. a été déclarée coupable de menaces, voies
de fait, voies de fait armées, voies de fait causant des lésions, agression sexuelle et
agression sexuelle armée.
Les plaidoiries sur la peine se tiendront le 14 novembre. Un rapport précédant la peine
avait été établi sur l'accusée au terme du premier procès, il y a sept ans. Il sera rafraîchi
pour éclairer la Cour au sujet de V. G. Lors du premier procès, V. G. avait été condamnée
à une peine de deux ans moins un jour à purger dans la collectivité, ce qui avait déçu les
victimes. On verra ce que la Cour décidera cette fois-ci. C'est Me Caroline Dulong qui
occupe pour la Couronne tandis que Me Patrick Davis représente V. G.
24 JUIN 2012
http://www.theprovince.com/news/sentenced+unfathomable+gang+rape+woman+during+hom
e+invasion/6833514/story.html
Man sentenced for 'unfathomable'
gang-rape of woman during B.C.
home invasion
By Susan Lazaruk, Postmedia News
VANCOUVER — A brother of the man acquitted in the swarming death of Aaron Webster
has been sentenced to 12 years in prison for his role in an "unfathomable" gang-rape of a
young woman during a violent home invasion in Burnaby, B.C.
Justin Derek Rao, who was 18 at the time of the 2008 crime, has five years and 10 months
left to serve because he's been in custody since early 2009, for which he was credited
double time.
Inmates in federal prison become eligible for parole after serving one-third of a sentence.
Crown prosecutor Dawn Boblin recommended the judge sentence Rao to as long as 18
years in jail, while defence lawyer David Tarnow called for a sentence no longer than eight
years.
Rao's co-accused, Jason MacFadden, 19 at the time of the crime, was sentenced to 10
years after he pleaded guilty on Day 1 of the trial to charges of sexual assault and breakand-enter. He has three years and four months left on his sentence after subtracting time
served but would also be eligible for release before that.
MacFadden's lawyer had asked for no more than seven years in jail for his client.
B.C. Supreme Court Justice Mary Humphries in her reasons for judgment on Friday took into
account Rao's and MacFadden's ages, acknowledging their lawyers worried that federal time
would interfere with their prospects for rehabilitation.
But she said, "The circumstances here are . . . unfathomable. These two offenders entered a
house in their own neighbourhood, without any attempt at disguise, and terrorized all the
occupants," sexually assaulting and forcing a 24-year-old woman to perform a sex act while
holding her male relatives at knifepoint.
Her younger sister, 18, was threatened but not sexually assaulted, court heard.
"In these circumstances, while I must have rehabilitation in mind, denunciation and
deterrence are paramount," she ruled.
The 24-year-old victim, a foreign exchange student, testified only briefly in person at trial
before breaking down and being unable to continue. Her uncle, the judge said, "was still
wracked with guilt for having failed to protect his nieces."
Rao was found guilty of being among a group of four young men, all strangers to the victims,
who broke into a home on Clinton Street on Dec. 7, 2008. The other two weren't charged.
Rao, whose brother Danny was found not guilty in the 2001 fatal beating of Webster in a part
of Stanley Park frequented by gay men seeking anonymous sex, was the leader of the group
who sexually assaulted the woman, said Crown counsel Dawn Boblin.
Rao was also convicted of robbery for the theft of laptops, cellphones and money from the
home, and forcible confinement.
At trial, Justin's other brother, Daniel Vicky Rao, testified that he, not Justin, had committed
the sexual assault, but the judge rejected his testimony.
Neither Rao nor MacFadden had a prior criminal record, and many members of both men's
families attended the sentencing proceedings, the judge noted.
MacFadden had presented court with evidence that he's participated in many rehabilitation
programs in jail and has a "determination to rebuild his life through a dedication to Christ."
He also submitted letters of support from family and people who worked with him in jail,
where he finished high school. He also has a spot waiting for him when he gets out of jail in a
program called Teen Challenge.
The judge noted his age, guilty plea and "what appears to be genuine remorse" were in his
favour.
There was no pre-sentence report for Rao, but his father and a longtime neighbour told court
"how helpful, considerate and polite" his son is and court was told he also completed a
number of programs and has letters of support.
"Mr. Rao also expresses remorse," said Humphries. But "his defence advanced at trial —
that his brother did it — detracts somewhat from a true expression of remorse."
Tarnow said a decision hasn't been made on an appeal.
25 JUIN 2012
Article tiré de :
http://www.edmontonjournal.com/news/RCMP+warn+public+about+violent+offender/683730
8/story.html
RCMP warn public about
violent sex offender
BY MARIAM IBRAHIM, EDMONTONJOURNAL.COM JUNE 25, 2012
EDMONTON - RCMP are warning the public in the Fort Saskatchewan and Edmonton areas
of a violent sex offender who was released Monday from prison.
Chadwick McCoy, 39, was scheduled to be released from the Regional Psychiatric Centre in
Saskatoon after serving more than seven years for several crimes, including robbery, sexual
assault and uttering threats, RCMP said in a news release. McCoy will be living in the Fort
Saskatchewan area.
He has a history of violence toward females, including elderly women, RCMP said. He also
poses a risk of sexual offending against females over the age of 16. He has been convicted
of numerous violent crimes, including assault with a weapon, attempted robbery, robbery,
sexual assault and committing an indecent act.
Police issued the warning after ―careful deliberation and consideration of all related issues,
including privacy concerns,‖ in an effort to uphold public interest.
―The RCMP believes that there is a risk of significant harm to the health of safety of the
public, and in particular, females of all ages,‖ the news release says.
McCoy is as a white male, about five-foot-seven, 165 pounds with brown eyes and blond
hair.
26 JUIN 2012
Article tiré de :
http://www.vancouversun.com/news/convicted+counts+assault+trial+loses+appeal/6844010/st
ory.html
B.C. man convicted of 7 counts in
HIV sex assault trial loses appeal
THE CANADIAN PRESS June 26, 2012
VANCOUVER — An HIV-positive man found guilty of having unprotected sex with five
women in B.C. has lost an appeal of his convictions.
Adrian Sylver Nduwayo was convicted of seven counts of aggravated sexual assault and
aggravated assault because he didn't tell the women he had the disease.
Three of the women ended up contracting HIV.
Nduwayo appealed two of the convictions, claiming the trial judge misread expert evidence
or gave other evidence too much weight.
However, the B.C. Court of Appeal has ruled the judge did not make any major mistakes and
the final verdicts were reasonable.
Nduwayo was convicted in B.C. Supreme Court in 2010 and sentenced on the various
charges to terms ranging up to six years.
© Copyright (c) The Vancouver Sun
27 JUIN 2012
Article tiré de :
http://www.calgaryherald.com/news/alberta/Sexual+predator+gets+years+prison+decade+abu
se/6851708/story.html
Sexual predator gets 18 years in
prison for decade of abuse
BY RYAN CORMIER, EDMONTON JOURNAL JUNE 27, 2012
EDMONTON - A serial predator who sexually abused his own children and others for more
than a decade has been sentenced to 18 years in prison.
The 41-year-old, who cannot be named to protect the identities of his victims, was convicted
of 26 charges, including sexual touching, possession of child pornography, unlawful
confinement, incest and bestiality. From 1999 to 2010, the man‘s victims included his son,
his daughter, the daughter of a girlfriend and two daughters of a fiancée. Four of the victims
were minors.
Court of Queen‘s Bench Justice Donald Manderscheid called the man‘s crimes ―highly
predatory conduct.‖
Manderscheid noted that the man had multiple victims, committed major sexual assaults
against his young victims and broke his trust as a parent.
―This was an escalating pattern of abuse and domination,‖ the judge said.
Crown prosecutor Diane Hollinshead had previously told court the man only left a victim
alone once they severed all ties with him.
―He has a total lack of understanding of his conduct. He has a lack of empathy and remorse
over 10 years of abuse. This is about as serious an offender as you can get. The impact on
his family has been devastating.‖
In the prisoner‘s box, the man showed little reaction to the sentence. As he left, he looked at
his family gathered in the courtroom, but they did not acknowledge him.
In a previous appearance, when his family was not in court, the man apologized for his
crimes. ―I am deeply, profoundly sorry for my actions on so many levels that I can‘t explain.‖
The man‘s daughter, now 18, told police the sexual abuse started when she was six years
old, though she didn‘t recognize it as abuse until she was 11. The man‘s son, now 17, said
his father often asked him to participate in sexual activity with himself and women.
In victim impact statements submitted to court, the man‘s son called him ―sick and perverted‖
and said he would never again refer to him as ―Dad.‖
The children‘s mother said she struggles with self-blame and questions how a father could
be capable of such acts. ―He has taken their innocence and they can never get that back,‖
she wrote. ―I hope this weighs on your mind every day. I hope you rot in Hell forever.‖
From 2003 to 2008, the man abused the young daughter of a woman he lived with. More
recently, the man abused two daughters of a woman he was engaged to in 2009 and 2010.
28 JUIN 2012
Article tiré de :
http://www.windsorstar.com/news/Accused+denies+sexual+touching/6852608/story.html
Accused denies sexual touching:
Friend of daughter alleges
fondling, masturbation
BY SARAH SACHELI, THE WINDSOR STAR JUNE 28, 2012
A former Kingsville man accused of sexually assaulting his daughter's best friend repeatedly
denied under oath Wednesday to ever touching the girl in a sexual way.
The 45-year-old married man, who lost his job as a supply teacher with the Lambton Kent
District School Board because of the accusations, painted his accuser as a troubled girl who
lacked attention from her own parents. He said he was "cordial" to the girl, but avoided any
physical contact with her because it was "inappropriate."
The man said he never touched the girl during her five-year friendship with his daughter,
except for one occasion in 2011. As he sat on his daughter's bed, the girl plopped her feet on
his lap and asked him to massage them, as she'd seen him do many times with his own
daughter. He acquiesced, but said he felt "very uncomfortable" and he stopped after 15
seconds.
"I left the room. I made a mental note not to ever put myself in that situation again."
The man is charged with two counts of sexual assault and two counts of sexual interference
for two alleged instances. The first, the girl alleges, involved him rubbing her legs and
touching her buttocks while they watched the fireworks on the Windsor riverfront in June
2011. The man denied it happened, saying that sharing a small blanket with the girl, his
daughter and a son, there would be no way for the incident to occur as the girl described.
The girl said the second alleged incident occurred during a sleepover in July 2011. The girl
said she awoke to the man fondling her, placing her hand on his penis and ejaculating onto
it.
The girl said she pretended to be asleep and kept that pretense up the next morning. She
complained to police right away and the man was arrested later that same day.
The boxer shorts court heard the girl wore during the second alleged incident was tested for
the man's DNA. Again, Wednesday, court heard expert testimony that his semen was found
on the shorts. The possibility that the semen belonged to someone else is one in 4.3
quadrillion.
But under cross-examination by defence lawyer Ken Marley, forensic biologist Alison Morris
could not rule out the possibility that the semen could have been transferred from another
article of clothing or a surface that had the man's ejaculate on it.
Asked by assistant Crown attorney Bruce Coates if the semen could have been deposited in
exactly the way the girl described, Morris said, "I can't rule that out."
The trial will continue for a third day in October.
29 JUIN 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201206/29/01-4539604-dangereux-agresseur-arrete-apres-sa-liberation.php
Dangereux agresseur arrêté après
sa libération
Christiane Desjardins
La Presse
Richard Charlish, un violent agresseur sexuel qui était en liberté surveillée depuis
novembre, a été arrêté récemment à Montréal, et accusé de divers bris de conditions.
L'homme de 47 ans a été libéré du pénitencier en novembre dernier, après avoir purgé
l'entièreté de la peine de huit ans qui lui avait été imposée pour une violente agression
survenue en 2001. La victime, une résidente d'Alma, avait été agressée et battue pendant
cinq heures. À l'époque, M. Charlish, originaire de Mashteuiatsh, était en libération
conditionnelle dans la foulée d'une autre affaire d'agression sexuelle.
En novembre dernier, les autorités carcérales n'ont eu d'autre choix que de libérer M.
Charlish, puisqu'il avait purgé toute sa peine. Mais comme il avait été déclaré délinquant à
contrôler, sa libération était surveillée et encadrée de conditions. L'homme aurait brisé
plusieurs des ces conditions le 31 mars dernier. Les autorités ont évalué son dossier et ont
décidé de l'accuser d'avoir brisé les conditions suivantes : ne pas consommer de l'alcool et
des médicaments, ne pas fréquenter un débit de boisson, informer son surveillant s'il
fréquente une femme, et retourner le soir à l'établissement communautaire où il est tenu de
dormir.
L'homme a comparu cette semaine à Montréal. Son enquête sous cautionnement a été
fixée pour la forme au 3 juillet.
30 JUIN 2012
Article tiré de :
http://www.leaderpost.com/news/Police+release+sketch+suspect/6865635/story.html
Police release sketch of suspect
LEADER-POST JUNE 30, 2012
Police on Friday released a sketch of the man who allegedly sexually assaulted a woman
near Regina last week.
According to police, the woman was walking along Retallack Street between 3rd and 4th
Avenue early Thursday morning when she was grabbed from behind by an adult man.
She was forced into the passenger side of a white pickup truck and held inside the truck
against her will.
The woman was driven to the north industrial area just outside the city limits, near the
Highway 11 overpass.
The truck turned off Highway 6 on to a service road and then parked facing north towards
oncoming traffic on the west shoulder of the grid road.
Police said the victim was sexually assaulted while the vehicle was parked.
The Caucasian man is described as approximately 50 years old with grey, thinning hair and
unshaven or scruffy facial hair.
It is estimated he is between 5-foot-9 and 6-foot-0 and has a medium build. At the time of the
assault, he was wearing pants with oil stains and a plaid shirt.
The white truck he was driving was an older style vehicle - possibly mid-1980s - with a
regular cab.
A large silver, rust-stained tool box was in the truck bed and black and white fuzzy dice were
hanging from the rear view mirror. The truck's interior was dirty and had several empty bags
or food wrappers from fast food restaurants.
The interior of the man's vehicle also had floor mats with a Mudflap Girl image.
Anyone with information about the sexual assault is asked to contact the RCMP at 780-5560
or call Saskatchewan Crime Stoppers at 1-800-222-8477
1er JUILLET 2012
Article tiré de :
http://www.theprovince.com/news/Teen+sexually+assaulted/6868983/story.html
Teen sexually assaulted
THE PROVINCE JULY 1, 2012
The North Vancouver RCMP are warning the public about a suspected sexual predator
following an assault on a teenage girl Thursday afternoon.
According to police, the attack occurred in the 4000-block Capilano Road. At approximately
12: 30 p.m., a lone male knocked on the door of a detached residential home, advising the
lone female that he was there to do contract work of which her parents were aware. Once
the teenage victim granted the suspect access, he proceeded to sexually assault her.
The perpetrator is not known to the victim or the family.
The North Van detachment's serious crime unit is investigating the incident. A full description
and composite drawing will be released as soon as available.
Anyone with pertinent information is asked to call the North Van RCMP at 604-985-1311 or
Crime Stoppers at 1-800-222-8477 (TIPS).
2 JUILLET 2011
Article tiré de :
http://www.vancouversun.com/news/Supreme+Court+declares+abusive+monster+danger
ous+offender/6857898/story.html
B.C. Supreme Court declares abusive
“monster” a dangerous offender
By Christopher Reynolds, Vancouver Sun July 2, 2012
A Svengali-like criminal who presented himself as a ―Prince Charming‖ before defrauding
and sexually abusing his female victims was declared a dangerous offender this week by a
B.C. Supreme Court judge. In a ruling Wednesday, Justice Ian Bruce Josephson handed
Kolten Mastronardi an indefinite prison sentence, citing his high risk to reoffend violently and
apparent immunity to treatment.
A Svengali-like criminal who presented himself as a ―Prince Charming‖ before defrauding
and sexually abusing his female victims has been declared a dangerous offender by a B.C.
Supreme Court judge.
In a ruling Wednesday, Justice Ian Bruce Josephson handed Kolten Mastronardi an
indefinite prison sentence, citing his high risk to reoffend violently and apparent immunity to
treatment.
― ... I think you are a time bomb,‖ Justice Josephson wrote in his decision, quoting an Ontario
Superior Court judge. ―You are a sexual predator. ... You are a dangerous person.‖
Mastronardi, 38, created an elaborate portrayal of himself as a wealthy, well-educated
member of a Sicilian mafia family to ensnare women in controlling, abusive relationships.
He came off as ―polite, courteous, loving, engaging,‖ before revealing his dark side of
―manipulation, isolation and, in some cases, violence,‖ Josephson stated.
In 2006, Mastronardi was convicted on 12 counts, including fraud, sexual assault and
extortion, related to six female victims. He extorted sex from a young Singaporean student
by convincing her she would be deported if she did not comply with his demands. He broke
another woman‘s nose and sexually assaulted her with a knife handle because he claimed
―the family‖ ordered it.
Other vulnerable victims, whom he met online through dating sites like Lavalife, were
desperate enough to hand over thousands of dollars. Some tattooed his name on their
bodies and endured months of severe physical and sexual abuse.
Mastronardi‘s 2006 conviction in B.C. followed another in Ontario in 2003 that saw him
sentenced to two years in prison on numerous sexual assault and fraud charges.
Mastronardi‘s offences in that case included chasing a woman with a blowtorch, ripping out a
toenail and pulling victims around by their hair and breasts.
―He presented as an ideal male partner when in fact a monster lay in waiting to abuse his
victims physically, emotionally and financially,‖ Josephson stated.
3 JUILLET 2012
Article tiré de :
http://www.timescolonist.com/news/Indefinite+sentence+offender+monster/6875229/stor
y.html
Indefinite sentence for sexoffender 'monster'
BY CHRISTOPHER REYNOLDS, VANCOUVER SUN JULY 3, 2012 2:07 AM
A Svengali-like criminal who presented himself as a "Prince Charming" before defrauding
and sexually abusing his female victims has been declared a dangerous offender by a B.C.
Supreme Court judge.
In a ruling last week, Justice Ian Bruce Josephson handed Kolten Mastronardi an indefinite
prison sentence, citing his high risk to reoffend violently and apparent immunity to treatment.
"I think you are a time bomb," Justice Josephson wrote in his decision, quoting an Ontario
Superior Court judge. "You are a sexual predator. - You are a dangerous person."
Mastronardi, 38, created an elaborate portrayal of himself as a wealthy, well-educated
member of a Sicilian mafia family to ensnare women in controlling, abusive relationships.
He came off as "polite, courteous, loving, engaging," before revealing his dark side of
"manipulation, isolation and, in some cases, violence," Josephson stated.
In 2006, Mastronardi was convicted on 12 counts, including fraud, sexual assault and
extortion, related to six female victims whose lives he shattered between November 2004
and August 2005.
He extorted sex from a young Singaporean student by convincing her she would be deported
if she did not comply with his demands. He broke another woman's nose and sexually
assaulted her with a knife handle because he claimed "the family" ordered it.
Other vulnerable victims, whom he met online through dating sites like Lavalife, were
desperate enough to hand over thousands of dollars from their savings, RRSPs and bank
accounts. Some tattooed his name on their bodies and endured months of severe physical
and sexual abuse.
Mastronardi's 2006 conviction in B.C. followed another in Ontario in 2003 that saw him
sentenced to two years in prison on numerous sexual assault and fraud charges.
Mastronardi's offences in that case included chasing a woman with a blowtorch, ripping out a
toenail and pulling victims around by their hair and breasts.
"That, sir, is the act of an absolute coward, a despicable coward," Ontario Superior Court
Justice Gordon Thomson wrote in 2004. "That is what you are."
Born and raised in Ontario as Gordon Stanley, Mastronardi legally changed his name and
began his criminal behaviour in 1998. After his release, he fled to British Columbia in
violation of his parole and married a soontobe victim months later.
"She was a vulnerable person whom Mr. Mastronardi soon exploited with his usual pattern of
lies, deceit and abuse," Josephson stated.
The judge wrote in his conclusion that Mastronardi even tried to continue his offending
behaviour behind bars, mailing letters to jailed women to seduce them.
"He presented as an ideal male partner when in fact a monster lay in waiting to abuse his
victims physically, emotionally and financially," Josephson stated.
"No part of his fantasy world was true."
4 JUILLET 2012
Article tiré de : http://www.courrierlaval.com/Actualites/Faits-divers/2012-0704/article-3022779/Le-Lavallois-Patrick-Dagher-accuse-d%26rsquoagression-sexuellesur-mineurs/1
Le Lavallois Patrick Dagher
accusé d’agression sexuelle sur
mineurs
Le Lavallois Patrick Dagher a comparu au palais de justice de St-Jérôme sous des accusations d’agression
sexuelle, contacts sexuels et incitation à des contacts sexuels sur des personnes mineures.(Photo : Courtoisie)
Il offrait ses services pour garder des enfants
Les policiers du Service de police intermunicipal de Terrebonne/Sainte-Anne-desPlaines/Bois-des-Filion ont procédé à l‘arrestation de Patrick Dagher, 23 ans, de Laval, le 8
juin dernier.
Dagher, qui offrait ses services comme gardien d‘enfants sur des sites internet spécialisés,
est soupçonné d‘avoir posé des gestes à caractère sexuel sur des personnes mineures. Les
gestes qui lui sont reprochés ont été commis après que le suspect eu effectivement gardé
des enfants. Il lui était alors déjà interdit de se trouver en présence de personnes âgées de
moins de 16 ans.
Patrick Dagher «a comparu au palais de justice de St-Jérôme sous des accusations
d‘agression sexuelle, contacts sexuels et incitation à des contacts sexuels sur des
personnes mineures. Il demeure toujours détenu en attente de son procès», mentionne le
capitaine Sylvain Théorêt par voie de communiqué.
Dans la poursuite de son enquête, le service de police tente d‘ailleurs de localiser d‘autres
personnes mineures pouvant avoir été victimes de Dagher. Toute personne désirant se
manifester relativement à ce dossier est priée de communiquer avec le service de police en
composant le 450 471-4121. Le numéro de dossier est le TRB-120607-007.
5 JUILLET 2012
Article tiré de :
http://www.theprovince.com/news/Touching+kids+sexual+defence+argues/6886943/story.htm
l
Touching kids was not sexual,
defence argues
Judge not expected to rule until fall
BY ELAINE O'CONNOR, THE PROVINCE JULY 5, 2012 4:02 AM
The evidence of five young girls who allege a substitute teacher touched them lacks
"reliability and credibility," the teacher's defence counsel said Wednesday in Port Coquitlam
Provincial Court.
"The frailty of the children's evidence cannot be removed by similar fact," Lisa Phelps said,
asking for an acquittal of her client, Aleksandr Plehanov, during her closing arguments
before Judge David St. Pierre.
"It is my submission that there are . . . reliability issues for each of the children," she said,
citing instances where two of the girls had spoken before disclosing their statements to
police, and the potential influence of their parents.
Plehanov is charged with five counts each of sexual assault and sexual interference
involving five female students, plus one charge of criminal harassment stemming from a visit
to one of their houses. He has denied the allegations.
Phelps asked the judge to acquit Plehanov of all sex-related charges plus the harassment.
Phelps argued that even if the court decided touching took place, the Crown failed to prove
the motive was overtly sexual, and therefore in her view, a finding of sexual assault could not
be made.
She suggested the touching was "ambiguous," a result of poor classroom management
where "the children were hanging off of Mr. P as much as Mr. P was touching the children."
"What we have here are a number of touches that, when viewed objectively, do not have a
carnal or sexual context," she said.
Earlier in the day, Crown counsel Wendy van Tongeren Harvey wrapped up her arguments
asking the court to consider the similar facts of the testimonies of the children to bolster their
evidence and show a propensity of the accused toward such behaviour.
She pointed to several similarities: the age and sex of the victims, that incidents occurred in
the classroom during instructional time, that the children were distracted with electronics or
games, that little was said during the incidents, that touching included contact with the
buttocks and shoulders, under shirts or while sitting on his lap, and even the fact that they
were all brunettes, as demonstrating a pattern refuting the idea it was accidental touching.
The Crown stressed that although a few of the girls had known each other or heard generally
what had happened, not all of them had.
"It is improbable that two or more people would claim that the accused did some action to
each of them," van Tongeren Harvey said.
The Crown closed its case on June 21, after calling more than 30 witnesses. Plehanov's
teaching certificate has been suspended since May 2010.
The judge reserved his decision until late September or early November.
6 JUILLET 2012
Article tiré de : http://www.newswire.ca/fr/story/1004345/reglement-entre-les-victimes-dagressions-sexuelles-et-la-congregation-de-sainte-croix
Règlement entre les victimes
d'agressions sexuelles et la
Congrégation de Sainte-Croix
Demande de prorogation de délai à la Cour supérieure
MONTRÉAL, le 6 juill. 2012 /CNW Telbec/ - La mise en œuvre de l'entente de règlement
entre les victimes d'agressions sexuelles et la Congrégation de Sainte-Croix se poursuit. Par
ailleurs, une requête a été déposée à la Cour supérieure, le 4 juillet dernier, afin d'obtenir
une prolongation de six mois du délai prévu pour mener à bien l'ensemble du processus
d'indemnisation, qui serait ainsi complété le 28 février 2013.
Cet ajustement au calendrier du processus d'indemnisation a été rendu nécessaire en raison
du rythme lent de dépôt des réclamations. La majeure partie d'entre-elles ont en effet été
déposées, notamment par l'entremise des représentants des victimes, à la fin de la période
prévue à l'entente; voire, dans plusieurs cas, dans les jours précédant la date butoir du 4 juin
2012.
Il avait été prévu que le processus d'indemnisation soit complété dans les 90 jours suivants
cette date, un objectif qui s'avère maintenant peu réaliste, ne serait-ce qu'en raison des
démarches requises pour valider chacune des réclamations, dans plusieurs cas auprès de
services d'archives détenus par des tierces parties.
La Congrégation de Sainte-Croix s'est engagée, de même que les représentants des
victimes, à tout mettre en œuvre pour finaliser le processus d'indemnisation dans un délai
raisonnable et elle poursuit ses efforts en ce sens. Bien qu'elle déplore que ce délai soit
requis, elle veut s'assurer que toutes les réclamations soient analysées et traitées de
manière rigoureuse et équitable pour l'ensemble des victimes.
Rappelons que la Congrégation de Sainte-Croix s'était engagée dans une conférence de
règlement à l'amiable et a conclu une entente avec les représentants des étudiants ayant
fréquenté le Collège Notre-Dame entre 1950 et 2001, le Collège Saint-Césaire entre 1950
et 1991 et l'école Notre-Dame de Pohénégamook entre 1959 et 1964, qui avaient subi des
sévices sexuels d'un membre de la Congrégation de Sainte-Croix ou d'un laïc alors qu'ils
fréquentaient l'une de ces institutions d'enseignement.
Les compensations seront versées aux victimes et à leurs parents lorsque les réclamations
auront été traitées et liquidées de manière finale dans le cadre du règlement.
7 JUILLET 2012
Article tiré de :
http://www.windsorstar.com/news/charged+with+online+child+luring/6898275/story.ht
ml
Man charged with online child
luring
POSTMEDIA NEWS JULY 7, 2012
A 29-year-old Ontario man has been charged with luring offences after an Internet child
exploitation investigation that began in May.
York Regional Police allege someone on the website Craigslist who went by the usernames
kinky-man and ask me if you want to made luring attempts online.
Police are asking anyone under 16 who has had contact with those usernames to contact
them.
Parios Moschopoulos is facing luring-related charges after a search of a home in Richmond
Hill on Thursday.
Moschopoulos faces several charges, including luring to facilitate sexual assault, luring to
facilitate sexual interference, luring to facilitate invitation to sexual touching, luring to facilitate
making child pornography and luring to facilitate possession of child pornography.
© Copyright (c) The Windsor Star
8 JUILLET 2012
Article tiré de :
http://www.timescolonist.com/news/Ontario+assault+suspect+arrested+Penticton/690118
1/story.html
Ontario sex assault suspect
arrested in Penticton: Fugitive
on the lam nearly a decade
THE PROVINCE JULY 8, 2012
A violent sex-assault suspect has been arrested after he moved from Toronto to the B.C.
Interior and lived under an assumed name for nearly a decade.
Edward Melvin Ellis, originally from Toronto, was arrested Thursday night in Penticton on a
Canada-wide arrest warrant dating back to 1999.
"Ellis had been living in the Penticton area under an assumed identity for approximately nine
years," said RCMP spokesman Cpl. Dan Moskaluk in a statement late Friday.
The 51-year-old is wanted in Toronto for forcible confinement, sexual assault and assault
causing bodily harm in relation to a 1999 incident.
Penticton RCMP were tipped off in April by the Toronto Police Service's fugitive squad that
Ellis might be in the area.
Late Thursday, police with a dog squad went to a home on Poplar Grove Road and arrested
a suspect.
"A co-operative Ellis conceded to police that he had been looking over his shoulder since
1999, wondering if and when police would catch up," said Moskaluk.
"Time and time again we urge people that no matter how long it has been, it's never too late
to provide information about any crime, especially serious crimes of violence," he said.
Ellis appeared in court Friday and arrangements are being made to return him to Toronto to
face charges.
© Copyright (c) The Victoria Times Colonist
9 JUILLET 2012
Article tiré de : http://www.journaldemontreal.com/2012/07/09/un-prof-de-karate-estaccuse-dagression-sexuelle
Un prof de karaté est accusé
d'agression sexuelle
AGENCE QMI
Publié le: lundi 09 juillet 2012, 13H24 | Mise à jour: lundi 09 juillet 2012, 13H31
Un professeur de karaté qui a déjà enseigné dans la région de Lévis a comparu au
palais de justice de Québec lundi matin pour répondre à des accusations
d'agression sexuelle.
Il aurait agressé une de ses élèves de 13 ans. Les évènements remonteraient au milieu
des années 80.
Henri Caron aurait agressé sexuellement une élève dans une résidence privée après
une compétition de karaté.
La femme, aujourd'hui âgée de 39 ans, est venue raconter sa version des faits en cour.
Après quelques questions de son avocat, l'accusé a admis avoir commis des gestes à
caractère sexuel, mais pas ceux dévoilés par la présumée victime.
Il a cessé d'enseigner il y a quelques années seulement, ayant quitté la rive sud de
Québec pour être professeur de karaté à Trois-Rivières en 2003.
Le juge rendra sa décision le 24 août prochain.
10 JUILLET 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-nouvelliste/justice-et-faitsdivers/201207/10/01-4542241-sordide-histoire-dinceste.php
Sordide histoire d'inceste
Une affligeante histoire d'inceste échelonnée sur une trentaine d'années a été mise à jour, hier, au palais de
justice de Trois-Rivières.
PHOTO: ÉMILIE O'CONNOR
Nancy Massicotte
Le Nouvelliste
(Trois-Rivières) Une affligeante histoire d'inceste échelonnée sur une trentaine
d'années a été mise à jour, hier, au palais de justice de Trois-Rivières.
Un père de famille, domicilié à Trois-Rivières, subit en effet son procès actuellement pour
avoir abusé sexuellement de sa fille de 1979 à 2008. L'individu, qui est âgé de 66 ans, fait
face à des accusations d'attentat à la pudeur et de grossière indécence entre janvier 1979
et novembre 1982. Il est également accusé d'agressions sexuelles entre janvier 1983 et
novembre 1986, d'inceste entre 1982 et 2008 et enfin, d'harcèlement entre août 2008 et
octobre 2008.
Le procès a commencé, hier, avec le témoignage de la présumée victime, une ingénieure
présentement âgée de 43 ans. La dame est présentement en arrêt de travail. Selon ce
qu'elle a indiqué, elle avait 11 ans lorsque les premiers attouchements sont survenus. Elle
a même avoué avoir éprouvé du plaisir à cette occasion. Les abus se seraient par la suite
poursuivis à toutes les fins de semaine. Il faut dire que ses parents étaient divorcés, de
sorte qu'elle vivait seule avec son père et son frère à la maison. À l'âge de 14 ans, elle
aurait eu une première relation sexuelle complète avec son père et ce, à sa propre
demande. «Je voulais qu'il le fasse pis il l'a fait. Étrangement, je n'ai éprouvé aucune
douleur», a-t-elle confié, lorsque interrogée par la procureure aux poursuites criminelles et
pénales, Me Catherine Roberge.
À raison de trois ou quatre fois par semaine au fil des années suivantes, le père et la fille
auraient ensuite eu des relations sexuelles vaginales et même anales. Elle aurait tenté à
quelques reprises de lui dire qu'elle ne voulait plus faire ça mais ce dernier l'insultait au
point qu'elle finissait par céder à ses caprices. Elle soutient avoir obtenu ses seuls
moments de repos le dimanche. «C'est le Jour du Seigneur et à cette époque, je priais
beaucoup. Malgré tout, il s'essayait», a-t-elle précisé.
Sa vie sentimentale n'aurait pas été facile dans les circonstances puisque toujours selon
elle, son père était jaloux de ses copains. «À 16 ans, je lui ai dit que j'avais assez donné
pour la maison et la sexualité. Je voulais avoir ma propre vie mais il était en colère. Je me
suis résignée», a-t-elle mentionné.
Il a fallu qu'elle tombe enceinte et quitte la maison familiale au début de la vingtaine afin de
s'installer avec son conjoint pour que les relations sexuelles diminuent en fréquence sans
pour autant cesser. «J'essayais d'avoir une vie normale avec mon chum, de me bâtir une
famille, d'avoir un travail. J'essayais de vivre par-dessus tout ça mais je n'aurais pas dû. Je
faisais tellement confiance à mon père. Je croyais qu'il voulait mon bien. Il aurait dû
arrêter», a-t-elle ajouté.
En effet, il semble que la relation qu'elle avait avec son père était pour le moins fusionnelle
car même à l'âge adulte, il était très présent dans sa vie personnelle et familiale. Leurs
contacts étaient réguliers au point qu'ils ont fini par déranger son conjoint de l'époque.
C'est finalement en 2008, alors qu'elle avait 39 ans et qu'elle venait de rencontrer celui qui
est devenu son actuel mari, qu'elle a mis fin aux relations sexuelles avec son père. Elle
espérait alors pouvoir entretenir une véritable relation père-fille mais en vain.
Son père aurait plutôt commencé à la harceler presque quotidiennement, que ce soit par
téléphone, par courriels ou encore en passant régulièrement devant son domicile. Il se
serait même pointé à la garderie et l'école de ses enfants. En septembre 2008, il aurait
tenté de foncer sur elle et son nouveau conjoint avec son véhicule.
Elle a par la suite déménagé dans une autre ville et entrepris un processus thérapeutique.
«J'avais tout avoué à mon mari sur les abus dont j'avais été victime. C'était la première fois
que ça arrivait. J'ai cru que c'était suffisant mais ce n'était pas le cas», a-t-elle mentionné.
En 2009, elle a donc porté une plainte à la police. «Je ne peux plus descendre aussi bas
sans remonter. J'ai pensé qu'en passant par le processus judiciaire, je pourrais réussir à
me libérer, à me vider. Je ne veux plus de cachette. Tout le monde le sait. Ma vie c'est
ça», a-t-elle conclu.
Le procès du prévenu, dont on doit taire le nom pour protéger celle de sa fille, va se
poursuivre aujourd'hui.
11 JUILLET 2012
Article tiré de :
http://www.windsorstar.com/news/arrested+York+assaults/6914812/story.html
Man arrested in York sex
assaults
POSTMEDIA NEWS JULY 11, 2012
A 20-year-old man faced charges Tuesday in a string of sexual assaults at York University
as school officials once again reassured students the Toronto campus is safe.
Police made the arrest Monday evening, four days after the first incidents allegedly took
place in a central area considered a meeting spot for students.
Police said four women reported being sexually assaulted Thursday afternoon.
Oshane Leach is charged with three counts of sexual assault, two counts of criminal
harassment and two counts of assault.
© Copyright (c) The Windsor Star
12 JUILLET 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201207/12/01-4542945-moins-de-signalements-dagressions-sexuelles-amontreal.php
Moins de signalements
d'agressions sexuelles à Montréal
Émilie Bilodeau
La Presse
Les plaintes pour des crimes à caractère sexuel ont diminué de 25% en cinq ans sur le
territoire de Montréal. En 2011, le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) a
comptabilisé 1090 crimes sexuels, comparativement à 1449 en 2007, selon des
documents obtenus en vertu de la Loi sur l'accès à l'information.
Les plaintes pour agressions sexuelles simples ou armées sont celles qui ont le plus
diminué au fil des années. Ainsi, les agressions sexuelles simples (attouchements sexuels
ou relations sexuelles sans consentement) sont passées de 1208 à 848 entre 2007 et
2011, tandis que les agressions armées sont passées de 36 à 18 pendant la même
période.
Le nombre de plaintes concernant des agressions sexuelles graves - à la suite desquelles
la victime est blessée ou défigurée - est demeuré plutôt stable au cours des dernières
années. En 2007, deux cas seulement ont été recensés par le SPVM, mais en moyenne,
depuis cinq ans, on en notait quatre ou cinq par année. En 2011, cinq agressions sexuelles
graves ont été dénoncées à Montréal.
Une victime sur dix porte plainte
De son côté, le Centre pour les victimes d'agression sexuelle de Montréal (CVASM) ne
constate pas de baisse du nombre de personnes qui font appel à ses services. «On est
toujours bien occupés. Ces chiffres sont les plaintes qui ont été rapportées aux policiers,
mais ici, nous travaillons beaucoup avec des personnes qui ne veulent pas porter plainte,
souvent parce qu'elles ont peur», explique Deborah Trent, directrice du CVASM.
Mme Trent rappelle que les statistiques du ministère de la Sécurité publique révèlent que
seulement une victime d'agression sexuelle sur dix porte plainte auprès des policiers.
«Certaines victimes ont peur et se demandent si on les croira lorsqu'elles vont raconter
leur histoire. C'est aussi trop difficile pour certaines victimes de devoir revivre ce qui s'est
passé et d'en reparler. Les gens ont envie de passer à autre chose. Porter plainte, ce n'est
jamais une décision qui est prise à la légère», ajoute Mme Trent.
Elle souligne également que dans de 75 à 80% des cas, les victimes connaissaient leur
agresseur. Celles-ci peuvent donc craindre de dénoncer un proche.
Le CVASM, qui offre de l'écoute et dirige les victimes vers différentes ressources, ne force
jamais les victimes à porter plainte contre leur agresseur. «La victime, c'est elle qui va
devoir passer à travers tout le processus. On ne peut pas se substituer à elle», explique
Mme Trent.
- Avec la collaboration de William Leclerc
______________________________________
Quelques chiffres
> Près de 90% des agressions sexuelles ne sont pas déclarées à la police.
> 1 femme sur 3 a été victime d'au moins une agression sexuelle depuis l'âge de 16 ans.
> 1 homme sur 6 sera victime d'une agression sexuelle au cours de sa vie.
> Les deux tiers des victimes ont moins de 18 ans.
> 82% des victimes d'agression sexuelle sont des femmes.
> 1 femme sur 7 est agressée sexuellement au moins une fois par son conjoint.
> Près de 8 victimes sur 10 connaissent leur agresseur.
Source: ministère de la Sécurité publique
13 JUILLET 2012
Article tiré de :
http://www.ottawacitizen.com/news/abuse+victim+says+stepfather+stole+childhood/693221
2/story.html
Sex abuse victim says stepfather
stole her childhood
BY ANDREW SEYMOUR, THE OTTAWA CITIZEN JULY 13, 2012
OTTAWA — A young woman who was subjected to dehumanizing virginity checks and
other sexual and physical abuse on a near nightly basis for seven years by her stepfather
described for a judge Friday how he was a ―monster‖ who turned her mother and brother
against her and left her on the verge of suicide.
―I started to look up to him as a father, a father who only saw me as a toy to play with and
dispose at will,‖ the now 21-year-old woman told Ontario Superior Court Justice Robert
Smith during a sentencing hearing for her molester.
The sexual abuse progressed from kissing and fondling to full penetration and continued for
nearly her entire teenage years from age 13 until she was 19.
―By doing all these horrible tortures, he has shattered my heart, my confidence, my ability to
trust people, and most importantly, my soul,‖ she said. ―He took away my future by killing my
childhood as well as a part of me.‖
The stepfather became so controlling he routinely ―inspected‖ her genitals to make sure the
schoolgirl was still a virgin, and then penetrated her himself. He eventually enlisted the help
of her younger brother to watch her at high school to see if she had any contact with boys
and beat her with a broomstick as punishment.
The young woman said her stepfather used her fear of being separated from her mother to
keep her quiet, but then convinced her mother and brother that she was worthless and her
death would make them happier.
Both her mother and brother testified in her stepfather‘s defence, accusing her of making up
the story of sexual abuse. They sat on the other side of the courtroom Friday as the young
woman read her victim impact statement.
―I always see the little girl who is trapped inside me, trying to break free of the shame, guilt
and especially fear; the fear of being hurt again,‖ said the woman.
A Crown prosecutor asked for up to a decade in prison for the 47-year-old stepfather, who
steadfastly denies any sexual abuse occurred. The victim was ―isolated, trapped and unable
to defend herself,‖ argued Lisa Miles.
―It was callous, gratuitous acts for his own sexual gratification,‖ said Miles. ―It was about
power and control and domination over his stepdaughter because he could and there was no
one there to stop him.‖
A psychiatrist concluded the man isn‘t a pedophile and doesn‘t have any sexual disorders,
although he didn‘t complete invasive testing that involved viewing pornographic images of
adult males and young girls.
The stepfather‘s lawyer, Israel Gencher, said viewing those images was ―akin to torture.‖
Gencher asked for a three to four year sentence, arguing the stepfather was a low risk to
reoffend, had never committed a crime before and can return to work as a chef when he is
released.
The stepfather is expected to be sentenced Sept. 7.
aseymour@ottawacitizen.com
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14 JUILLET 2012
Article tiré de : http://www.thetelegram.com/News/Local/2012-07-14/article3031226/Judge-repulsed-by-child-porn-case/1
Judge repulsed by child porn case
Craig St. John. — Telegram file photo.
He was found with tens of thousands of child pornography photos and videos. The collection
included adults raping babies and toddlers, forcing them to have anal and oral sex.
But Craig St. John didn‘t just look at the images. He shared them with people around the
world and encouraged other people, including a 14-year-old boy, to do the same.
―The nature of the collection is extremely disturbing,‖ Judge Mike Madden said, reading from
his written sentencing decision in provincial court in St. John‘s Friday.
The judge sentenced St. John to three years in jail, with 30 days‘ credit for time already
spent in custody.
The 30-year-old pleaded guilty to four charges — two counts of possessing child
pornography and one count each of distributing child porn and Internet luring.
The RNC first became aware of what St. John was doing in October 2010, when they were
contacted by the RCMP in Saskatchewan. An officer from that force had started tracking
someone online who was distributing child porn through a file-sharing website. Tracking the
computer led police to St. John‘s home.
RNC officers searched his house on June 1, 2011, and seized a laptop that contained
12,842 different images and a further 1,187 videos of child porn.
There were also extensive transcripts of Skype conversations St. John had with other users
involving child porn. On a regular basis, he logged onto Skype and transmitted child porn to
other Skype users.
St. John would offer to send the porn if the other user appeared on webcam. He would
encourage the other user to undress and masturbate in exchange for child porn.
While that case was under investigation, he managed to get himself another computer and
continued distributing child porn.
On many occasions, he would stalk websites catering to sexually confused teenagers —
offering to send them porn in exchange for performing sexual acts for the camera.
In October 2011, St. John had an online conversation with a 14-year-old boy in the U.K. and
sent the boy child pornography in exchange for watching him masturbate via a webcam.
The teen eventually turned the porn over to police, saying it disturbed him.
―This is the use of child pornography for seduction purposes,‖ the judge said. ―That is not
without a psychological impact on the 14-year-old.‖
Police in London, England, tracked St. John and contacted the RNC.
On Oct. 28, 2011, the RNC searched St. John‘s house in the Goulds again and seized a
laptop, which had 338 other images of child porn and one video. Officers again found Skype
transcripts of conversations similar to those found on the first computer.
The transcripts revealed that St. John had been boasting about forcibly abducting children
and explaining to users how he recruits younger and younger victims.
St. John was then taken into custody and has been behind bars ever since.
During a sentencing hearing last month, Crown prosecutor Lloyd Strickland had asked for a
3 1/2-year prison term, pointing out that child porn had become like a drug to St. John, who
had rebuilt his collection of child porn twice.
Defence lawyer Randy Piercey said 2 1/2 years was more appropriate.
In making his decision, Madden took St. John‘s background into consideration.
St. John is engaged to a woman, who continues to support him.
He reported he was sexually molested between the ages of five and 10 years old and has
attempted suicide three times — the latest just after he was charged.
St. John obtained two certificates from College of the North Atlantic and had been employed
before his arrest.
He has sought counselling since being charged and was co-operative with police in their
investigation. Madden noted that St. John never attempted to meet with the boys he
contacted on the Internet.
However, the judge could not ignore the many aggravating factors — the multiple offences
all involving the exploitation of children, the duration of the offences, the size of his child porn
collection, the nature of the material and his lack of empathy.
―You had no more compassion or understanding of the impact you were having on those you
were hunting on the Internet than those who you claim abused you as a child,‖ Madden said.
The judge said St. John helped keep the market for child porn alive.
―These criminals who sexually assault children and record their activities seek, need an
audience,‖ Madden said.
―Mr. St. John provided that audience by viewing images himself. Mr. St. John increased that
audience through distribution.‖
Despite his personal revulsion for St. John‘s behaviour, Madden said he had to adhere to the
principles of sentencing and keep the sentence in line with previous similar cases.
As part of the sentence, St. John must submit a DNA sample, and his name will be listed on
the national Sex Offender Registry for 20 years.
He‘s also banned from being near playgrounds, schools, daycares or anywhere else where
there might be children. He can‘t have a job in which he is in a position of trust or authority
over children and is not permitted to use a computer to communicate with anyone younger
than 16.
St. John showed no reaction to the judge‘s decision.
Before and after proceedings, he hung his head and managed to hide his face from
reporters‘ cameras with his beard and hair, which was notably longer than when he was first
arrested.
rgillingham@thetelegram.com
Twitter: @TelyCourt
15 JUILLET 2012
Article tiré de : http://www.journaldequebec.com/2012/07/13/il-sauve-la-vie-de-lhommeaccuse-davoir-agresse-sa-fille
Agression sur sa fille : Il sauve la
vie de l’homme accusé d’avoir
agressé sa fille
JEAN-NICOLAS BLANCHET @
PUBLIÉ LE: VENDREDI 13 JUILLET 2012, 20H20 | MISE À JOUR: DIMANCHE 15 JUILLET 2012, 9H19
Un homme accusé d’avoir agressé sexuellement une jeune fille de 12 ans a tenté de
mettre fin à ses jours et a été sauvé par le père de la victime présumée.
L‘accusé, Dany Leclerc, aurait en effet tenté de s‘enlever la vie dans les instants qui ont suivi
les événements ayant mené à son arrestation.
Les actes à caractère sexuel auraient été commis durant la nuit du 25 juin, dans un secteur
de villégiature de la région de Québec. La Sûreté du Québec a confirmé qu‘un homme avait
été arrêté pour des actes qui auraient été commis à cette date dans le secteur en question.
Des accusations d‘agression sexuelle et d‘attouchement envers un enfant de moins de 16
ans pèsent notamment contre l‘individu de 46 ans qui a comparu au palais de justice de
Québec le 27 juin.
Selon ce que Le Journal a appris, l‘accusé aurait accueilli dans sa « roulotte » deux jeunes
filles, dont la présumée victime. Au cours de cette soirée, les deux mineures se seraient
échappées pour se réfugier chez des proches habitant tout près.
Le père voulait discuter
Après coup, le père de la jeune fille se serait présenté chez M. Leclerc pour « discuter de ce
qui venait de se produire », a-t-on été informé. Après cette discussion, le père a quitté les
lieux, mais a dû revenir puisqu‘il « avait oublié quelque chose ».
C‘est alors qu‘il a découvert l‘agresseur soupçonné en train de tenter de s‘enlever la vie, sur
un terrain voisin, à l‘aide de la corde d‘une balançoire pour enfants. Le père serait intervenu
rapidement pour l‘empêcher de mettre fin à ses jours.
Un résident du quartier a expliqué au Journal qu‘il avait l‘intention de demander l‘expulsion
de l‘individu du secteur de villégiature où il réside occasionnellement.
Pas d’antécédent
L‘accusé, qui serait aussi père de famille et qui travaille dans le domaine du courtage
immobilier dans la région, n‘a aucun antécédent en matière criminelle. Il a été libéré et
reviendra devant le tribunal le 5 septembre.
16 JUILLET 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/la-tribune/faits-divers/201207/16/01-4543968pedophilie-arrete-moins-de-dix-jours-apres-sa-sortie-de-prison.php
Pédophile arrêté moins de dix
jours après sa sortie de prison.
(Sherbrooke) Un homme a été arrêté dimanche par le Service de police de Sherbrooke
(SPS) alors qu'il s'apprêtait possiblement à commettre un acte de pédophilie.
Il aurait pu récidiver, car le suspect de 22 ans a déjà été arrêté et condamné en semblable
matière dans le passé. Il avait été libéré le 6 juillet dernier, après avoir purgé sa pleine
sentence.
Il était sous surveillance par le SPS, car on redoutait qu'il puisse s'en prendre à des
enfants à nouveau.
Le tribunal lui avait interdit de se rendre dans un parc ou d'être en présence d'enfants sans
être accompagné d'un autre adulte responsable pendant une période de 25 ans.
Dimanche, l'homme qui demeurait chez sa mère depuis sa sortie de prison s'est retrouvé
seul. Il a donc décidé de se rendre au parc Triest.
C'est alors qu'il s'est présenté dans le bâtiment des toilettes qu'il a été arrêté par des
agents du SPS.
Il doit être accusé de ne pas avoir respecté son ordonnance de ne pas s'approcher
d'enfants de moins de 16 ans sans être accompagné, de tentative d'agression sexuelle et
de tentative de séquestration et d'enlèvement.
Plus de détails à venir.
17 JUILLET 2012
Article tiré de : http://www.thespec.com/news/local/article/762142--city-grantrecipient-still-owes-sex-assault-victim
City grant recipient still owes sex
assault victim
By Susan Clairmont
Denis Vranich Hess Village Real Estate Corporation, owned by Denis Vranich, is renovating the apartment
building at King and Hess streets.
John Rennison/The Hamilton Spectator
A developer who was given a $333,000 grant from the city still owes more than that in courtordered damages and interest to an employee he sexually assaulted.
Convicted sex offender Denis Vranich — who also received a $932,500 conditional loan from
the city — is paying his debt to his victim so slowly, it will be 60 years before the young
woman collects the full amount she is entitled to for the costs of therapy and lost earnings.
―The sexual assault changed the whole course of her life,‖ says her lawyer, Rob Hooper.
―From her perspective, it‘s upsetting to see he can carry on. That this guy can still appear at
City Hall and gain money and she‘s had to re-engineer her whole life over this.
―If a developer is on the sexual assault registry, they should be denied money from the city.‖
RELATED: Developer’s criminal record should prevent city grant, says women’s
group
Vranich has also been convicted of three prostitution-related offences and three counts of
falsifying immigration records related to young Hungarian women being lured to Canada in
1999 with the promise of lucrative jobs as exotic dancers.
Since I first wrote about Vranich‘s grant, city council has begun considering a new policy
which would demand criminal background checks on all developers applying for municipal
grants and loans. That motion will be debated at the next city council meeting.
Though a civil court judge ordered Vranich to pay his victim $300,403 in a precedent-setting
judgment in January 2011, the well-known businessman has paid less than $50,000.
Immediately after the judgment was handed down by Justice Alan Whitten, Vranich made a
lump-sum payment of $25,000. Since then, he has paid $500 per month. With pre- and
postjudgment interest, the amount he now owes has grown to $340,000, says Hooper.
RELATED: Councillor urges caution with development grant applicants
Vranich‘s victim declined an interview, saying through her lawyer she is too devastated by
the assault to talk about it publicly. Her identity is protected by a publication ban.
At trial, a psychiatrist testified the victim suffers from post-traumatic stress as a result of the
assault and would benefit from therapy.
A Brock University student at the time she was violated, the victim had planned to work as a
sexual assault counsellor. After the attack, she felt she could no longer do that. She had to
re-educate herself and now works in the financial industry.
Attempts to reach Vranich were unsuccessful. Calls to his lawyer, John Kranjc in Hamilton,
were not returned.
In the summer of 2006, Vranich pulled down the top of a 22-year-old bartender, fondled her
breasts, digitally penetrated her and refused to let her leave. The assault happened after
hours at Elixir Lounge and Nightclub in Hess Village. Vranich owned and managed the club.
He pleaded guilty in September 2007 and was sentenced to a year of house arrest followed
by a year of probation.
The civil court judgment was notable because of its size and because it was the first time in
Ontario that punitive damages were awarded against not only an offender, but also his
corporation.
The problem with that hefty judgment is it is virtually unenforceable, says Hooper.
Vranich, who is in his mid-30s, is the son of local developer Darko Vranich. He has, at
various points of the legal process, declared himself either self-employed or unemployed,
according to Hooper.
That means garnisheeing of wages — one of the most effective methods of extracting
payment — is impossible.
―Enforcement of the judgment is never the concern of the court,‖ says Hooper. ―You must
enforce it yourself.‖
Paradise Lane Development Inc., Vranich‘s company that owned Elixir and was named in
the lawsuit, has since dissolved. A new company, called Hess Village Real Estate
Corporation, was formed by Vranich and is slowly renovating an apartment building at King
and Hess streets. It is the recipient of the city‘s grant and loan.
In a letter to Councillor Brad Clark, who chairs the planning and economic development
committee, Hooper wrote: ―The city may want to consider what they are doing with
taxpayers‘ money and may want to pay some of this money directly to my client who
continues to deal with the pain and suffering of a trauma perpetrated by Mr. Vranich.‖
Clark has said he did not know of Vranich‘s high-profile criminal conviction when the grant
and loan applications came to the planning and economic development committee and were
approved in front of the general issues committee.
Now Clark has filed a notice of motion at council and is working with the city‘s legal
department to create a new policy that would allow the city to reject an application for a grant
or loan if a developer has a criminal record.
The city already demands criminal background checks in other matters, such as granting
licenses to taxi drivers.
―I think taxpayers‘ money should only be given out to law-abiding, upstanding citizens,‖ he
says.
18 JUILLET 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-quotidien/justice-et-faitsdivers/201207/18/01-4556581-30-mois-pour-attouchements.php
30 mois pour attouchements
Le fondateur de la Maison de l'Espoir, à La Baie, René Thibeault.
(PHOTO ROCKET LAVOIE)
Stéphane Bégin
Le Quotidien
(CHICOUTIMI) Le fondateur de la Maison de l'Espoir, à La Baie, René Thibeault écope
de 30 mois d'emprisonnement pour des attouchements sexuels sur deux victimes.
Dans un texte de 20 pages, le juge Rosaire Larouche a livré la sentence, hier matin, au
Palais de justice de Chicoutimi et est revenu sur les gestes reprochés à l'homme de 63
ans, qui se sont déroulés au début des années 80.
Durant toute la lecture, Thibeault n'a pas bronché. Il est demeuré assis sagement. À la
toute fin, il s'est levé et s'est dirigé vers le bloc cellulaire, prenant le temps au passage de
prendre la carte professionnelle de l'avocat Olivier Théorêt.
Dans son jugement, le juge n'a retenu qu'un facteur atténuant pour l'accusé, soit le fait
d'avoir plaidé coupable en février dernier. Le magistrat a aussi parlé de l'âge de René
Thibeault, ajoutant que cela ne constituait pas un facteur pour l'empêcher de donner une
peine appropriée aux gestes commis.
Le juge a tenu compte du nombre de victimes (2), de l'âge de celles-ci, de la durée des
attouchements sexuels (2 ans) et du nombre d'attouchements. Il a pris en compte le
rapport de la sexologue Michelle Gagnon, qui dit que l'homme est habité de la
problématique d'ordre sexuel et que même ses remords et ses excuses ne semblent pas
sentis.
La sexologue affirme que l'accusé minimise les gestes posés, sa responsabilité et la
fréquence. Elle estime qu'il n'est pas disposé à participer à une thérapie, même s'il dit qu'il
voudrait en suivre une.
Elle souligne aussi que l'accusé fait preuve de peu d'empathie envers les victimes,
notamment le fait qu'il a traité son fils de menteur et de manipulateur, qu'il avait tenté de le
rabaisser et de le discréditer en utilisant notamment le terme de plaignant.
Pour sa part, le juge Larouche précise que l'analyse d'une plainte de ce genre n'est pas
toujours facile à faire.
«Il est toujours difficile d'analyser des crimes remontant à 32 ans. Mais en même temps,
cela démontre toute la douleur ressentie par les victimes. Son fils vit difficilement ce que
son père lui a fait subir.
«Quant à l'accusé, il est indéniable que tout a été tourné vers lui-même. Sa principale
préoccupation est son image, toujours son image. On ne peut éprouver de la
compréhension quand il tient quasiment pour responsable ses enfants de ses propres
agissements en les justifiant par le fait qu'il vérifiait si leur développement était normal.
L'accusé s'est même dit être la victime d'un complot et d'une vengeance», a mentionné le
juge Larouche.
René Thibeault reçoit donc une sentence de 12 mois pour agression sexuelle sur sa
première victime et d'une peine de 18 mois consécutifs pour l'autre victime. Il devra aussi
fournir une substance corporelle et être inscrit au registre des délinquants sexuels pour
une période de 10 ans.
19 JUILLET 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201207/19/01-4557238-un-ex-benevole-scout-arrete-pour-agression-sexuelle-demineurs.php
Un ex-bénévole scout arrêté pour
agression sexuelle de mineurs
Marc-André Laws, 29 ans, de l'arrondissement de Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, a été arrêté mercredi.
PHOTO FOURNIE PAR LE SPVM
Vincent Larouche
La Presse
Moins d'un mois après le mea-culpa de Scouts Canada sur le traitement des dossiers
d'agression sexuelle, la police de Montréal vient d'arrêter un ancien bénévole du
mouvement, accusé d'avoir agressé sexuellement deux mineurs.
Marc-André Laws, 29 ans, résidant de Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, a été arrêté
mercredi et a comparu en cour jeudi. Il était sous le coup d'un mandat d'arrêt depuis le
début juin, pour des agressions sexuelles sur une fille et un garçon en 2002 et 2003.
Il est accusé d'agression sexuelle, de contacts sexuels et d'incitation à des contacts
sexuels.
«Les enquêteurs ont des raisons de croire que le suspect aurait pu faire d'autres victimes»,
a déclaré un porte-parole du SPVM, qui invite toute personne concernée à appeler la
police.
«L'une des deux victimes a porté plainte au SPVM en octobre 2011 et c'est alors qu'une
enquête a été ouverte. Depuis le dépôt de la plainte, l'accusé a été exclu et rayé de la liste
des bénévoles de l'organisation», précise la police dans un communiqué.
Personne n'était disponible pour commenter l'affaire à Scouts Canada jeudi.
Récemment, un rapport de la firme KPMG a révélé que, dans des dizaines de cas
d'inconduite sexuelle de la part de bénévoles scouts, l'organisme n'avait pas relayé
l'information à la police.
«Je présume que ce qu'il y a de plus troublant dans le rapport, c'est lorsqu'on fait mention
de ces moments où nos processus et procédures, nos politiques et notre personnel ont
échoué. Nous avons manqué à nos propres politiques et procédures», avait alors déclaré
le commissaire en chef de Scouts Canada, Steve Kent, à La Presse Canadienne.
En 2011, Scouts Canada comptait 102 609 membres et quelque 24 000 bénévoles.
20 JUILLET 2012
Article tiré de :
http://www.ottawacitizen.com/news/Blood+technician+guilty+assault+teen/6966003/st
ory.html
Blood lab technician guilty of
sex assault on teen
BY ANDREW SEYMOUR, THE OTTAWA CITIZEN JULY 20, 2012
OTTAWA — A blood lab technician who fondled an 18-year-old woman‘s breasts and told
her she needed a vaginal exam was found guilty of sexual assault Friday.
Ontario Court Justice Jacqueline Loignon said she rejected 24-year-old Patrick Bellot
Guiste‘s ―evasive and misleading‖ testimony that he didn‘t molest the teen and instead
believed the young woman‘s account of being sexually touched.
The high school student testified she went to an Elmvale medical laboratory in April 2011 for
a blood test to determine whether she was pregnant when Guiste directed her into a dimly-lit
room and asked her to remove her clothes for a heart exam.
Guiste rubbed ointment on her ankles, wrists and breasts before attaching plastic pads, she
alleged. The woman alleged that Guiste stroked her nipples as he wiped off the ointment and
then digitally penetrated her.
The woman said at one point Guiste stopped touching her to take a phone call, then put his
glove back on and continued the sexual assault.
He later stood and watched as she got dressed and then asked the victim if she wanted to
have sex. She declined and left, but not before swapping BlackBerry PINs with Guiste.
Loignon said there were some ―frailties‖ in the victim‘s evidence that could be chalked up to
her naiveté, including that she said nothing even though she had a ―weird‖ feeling something
was wrong when Guiste began touching her sexually.
―This is an unsophisticated 18-year-old attending for her first pregnancy test,‖ said Loignon.
Her inexperience also explained why she laughed awkwardly after being sexually touched
and later traded cellphone contact information with Guiste, Loignon found.
The woman‘s decision to angrily confront Guiste at the lab two days later after staff at her
medical clinic assured her she was only supposed to have a blood test was ―indicative of
someone who believes they have been taken advantage of,‖ said Loignon.
Guiste‘s lawyer argued that the woman made up the story because she was angry that
Guiste abruptly stopped messaging her and wasn‘t romantically interested in her.
Guiste admitted during his testimony that he had been flirting with the woman and later sent
her messages, but claimed he cut off contact when she mistakenly thought that he wanted a
naked picture of her.
Loignon concluded the young woman lacked the guile needed to concoct such an elaborate
tale.
There was ―too sophisticated a chain of events that she would have to put in play,‖ Loignon
said.
Portions of the woman‘s testimony, particularly about the room and the placement of the
heart rate monitors, was corroborated by staff from the laboratory, Loignon said.
A sentencing hearing is set for Sept. 21.
aseymour@ottawacitizen.com
© Copyright (c) The Ottawa Citizen
21 JUILLET 2012
Article tiré de :
http://www.windsorstar.com/news/Delays+pedophile+case+prompt+demonstration/696
8858/story.html
Delays in pedophile case
prompt demonstration:
Protester slams 'unsatisfactory'
justice system
BY CRAIG PEARSON, THE WINDSOR STAR JULY 21, 2012
A victim of convicted pedophile Rev. William Hodgson Marshall - who was scheduled to
enter a plea Friday to two new counts of sexual abuse - said he is frustrated the case was
delayed.
Marshall, 90, appeared briefly by video from the Joyceville Institution, near Kingston, but only
to hear his lawyer Andrew Bradie ask that the matter be put over so that he has time to
discuss new developments with his client. Ontario Court Justice Lloyd Dean set Sept. 4 as
the next court date.
"I feel upset. Victims are kept in the dark," said Patrick McMahon, 44, who was sexually
assaulted at age 13 by Marshall and who was in court Friday hoping to see the Catholic
priest plead guilty to two cases involving victims from Saskatoon. "I find it very frustrating.
The justice system is all about delay, delay, delay.
"It doesn't give any satisfaction to victims."
McMahon led other protesters, some victims of child sexual assault,. picketing outside
Ontario Court Friday morning against what they see as lenient sentences.
McMahon also wants the Catholic Church to defrock Marshall.
"Where is the accountability of the church?" he asked. "He is a convicted child molester and
a Roman Catholic priest. Shouldn't the two be mutually exclusive?"
The elderly Basilian priest and former Windsor high school principal sexually abused children
dating back to 1955 when he taught at Assumption College.
Marshall has already been convicted of sexual assault on 17 children, including McMahon,
who is also suing Marshall and the church for abuse between 1981 and 1985.
Marshall was ordained in 1951 and taught at Assumption College Catholic high school in
1955 and at Holy Names high school from 1985-89, where he also served as principal.
22 JUILLET 2012
Article tiré de :
http://www.calgaryherald.com/news/Teen+beaten+after+coming+sexual+assault+victim/
6973135/story.html
Teen beaten after coming to the
aid of sexual assault victim
BY CLARA HO, CALGARY HERALD JULY 22, 2012
CALGARY — A teen who chased a man after allegedly finding him sexually assaulting an
unconscious woman became the assailant‘s target himself, say Lethbridge police.
The 18-year-old man was found by officers outside a home at Dakota Road and Algonquin
Road West around 7:45 p.m. Saturday, punched and beaten with a broom handle.
Police learned the teen and three other individuals had witnessed a man allegedly sexually
assaulting a 20-year-old woman passed out inside the residence, and the group of four
started to chase him out of the home.
―That‘s when the accused grabbed the broom handle and assaulted the (teen),‖ said Staff
Sgt. Art Tamminga with the Lethbridge Regional Police Service.
The victim was taken to hospital with ―swelling and bruising‖ but was treated and released,
Tamminga said.
All parties are known to each other and were at the home consuming alcohol, he added.
Waylon Aylmer Heavy Head, 33, has been charged with sexual assault, assault with a
weapon, and possession of a weapon dangerous to the public peace.
He is expected to appear in Lethbridge Provincial Court on Monday.
cho@calgaryherald.com
© Copyright (c) The Calgary Herald
23 JUILLET 2012
Article tiré de :
http://www.thestarphoenix.com/news/Police+search+sexual+assault+suspect/6973637/st
ory.html
Police search for sexual assault
suspect
STARPHOENIX JULY 23, 2012
Saskatoon police are investigating a sexual assault of a teen girl.
A 17-year-old girl was walking alone in the area of 29th Street and Avenue W North at about
4: 45 a.m. on Saturday when she was accosted by an unknown man, police said in a news
release.
The suspect is described as an Asian male between the ages of 17 and 19 with an average
build and about 5-foot-6 to 5-foot-8. His hair was chin length and light brown with silver
colouring.
Personal violence detectives continue to investigate.
© Copyright (c) The StarPhoenix
24 JUILLET 2012
Article tiré de : http://www.journaldequebec.com/2012/07/24/une-peine-de-2-anspour-des-actes-de-pedophilies
Délinquant sexuel: Une peine
de 2 ans pour des actes de
pédophilies
EMILIE SERVANT / AGENCE QMI
Publié le: mardi 24 juillet 2012, 18H35 | Mise à jour: mardi 24 juillet 2012, 18H39
QUÉBEC – Alain Guénard a été condamné mardi à deux ans moins un jour de prison
pour agressions sexuelles sur deux mineures au palais de justice de Québec.
Les évènements se sont produits entre 1999 et 2006.
L‘homme de 33 ans a agressé deux jeunes filles de son entourage, qui étaient alors âgées
de six et huit ans au moment des faits. Il s‘est notamment masturbé à plusieurs reprises sur
les victimes, qui disent subir encore les conséquences des agressions.
Selon leurs proches, elles ont peur, honte et elles ont déjà eu des idées suicidaires. Elles ont
également des problèmes d'ordre social et des difficultés scolaires.
«J'ai de la misère à dormir, j'ai de la misère à me concentrer, j'ai de la misère avec mon
chum des fois. Je ne suis pas vraiment sociable», a confié l‘une des victimes.
Leur père s‘est dit satisfait de la sentence.
«Au début, on pensait qu'il allait avoir une sentence à purger dans la collectivité. On est
vraiment content qu'il soit en prison pour deux ans moins un jour... Je lui en veux
terriblement... Ç‘a brisé toute ma famille», a-t-il reconnu.
L'avocat de l'accusé demandait une peine à purger dans la collectivité. Le juge René de la
Sablonnière a opté pour la suggestion de la Couronne, compte tenu du fait que l'homme
était en position d'autorité et qu‘il entretenait un lien de confiance avec les deux sœurs.
En plus de la prison, Guénard sera inscrit sur la liste des délinquants sexuels pour les 20
prochaines années. Il ne peut également pas posséder d'arme et ne peut se retrouver dans
un parc public. Il ne peut pas non plus occuper un emploi où il y a des jeunes de moins de
16 ans et ne peut en aucun car entrer contact avec les victimes.
25 JUILLET 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebeccanada/national/201207/25/01-4558632-la-pornographie-juvenile-en-progression-aucanada.php
La pornographie juvénile en
progression au Canada
Pierre-André Normandin
La Presse
Principale ombre dans l'embellie que connaît la criminalité au pays, les infractions à
caractère sexuel visant des enfants sont parmi les rares crimes graves à connaître
une progression. À eux seuls, les cas de pornographie juvénile ont explosé de 40% en
un an, révèlent les données de Statistique Canada.
Les corps policiers canadiens ont rapporté en 2011 plus de 3100 cas de pornographie
juvénile. Les infractions sexuelles contre les enfants, ce qui inclut les attouchements, sont
également en hausse. Plus de 3800 ont été recensés l'an dernier d'un océan à l'autre.
Cette hausse de 3% survient au moment où tous les autres crimes sexuels sont pourtant
en baisse. La diminution est particulièrement marquée dans les agressions sexuelles
graves, qui ont reculé de 23% l'an dernier.
Deux criminologues consultés par La Presse appellent toutefois à la précaution dans
l'interprétation des chiffres sur les crimes sexuels impliquant des enfants. «Ces chiffres
reflètent davantage les priorités des policiers qu'une tendance», dit Ronald F. Melchers,
professeur de criminologie à l'Université d'Ottawa.
Cette hausse serait plus attribuable à un effort plus marqué à lutter contre ces crimes qu'à
une vague. La diminution des autres crimes permettrait d'ailleurs aux corps policiers de
dégager davantage de ressources pour les affecter à cette lutte. En témoigne
l'augmentation de 10% des cas de leurre d'enfant au moyen d'un ordinateur. Ces crimes
sont essentiellement détectés grâce à la mise en place d'escouades spécialisées. «Alors,
jusqu'à un certain point, on doit être contents de voir une augmentation de ces crimes, ça
veut dire que la surveillance porte ses fruits», résume M. Melchers.
Trop de crimes dans les médias ?
Drames familiaux. Tueurs fous. Piétons tués par des conducteurs ivres. L'obsession des
médias pour les faits divers accentue le sentiment d'insécurité des citoyens tandis que,
paradoxalement, la criminalité est à son plus faible, déplore le criminologue Marc Ouimet.
Pour ce professeur de l'Université de Montréal, la qualité de vie de plusieurs en souffrirait.
«Un décalage se creuse et c'est la faute des médias, notamment des médias
électroniques, qui consacrent une proportion importante de leur couverture aux crimes
violents. Ça donne l'impression qu'il y a un problème de violence alors que ce n'est pas du
tout le cas», constate ce professeur de l'Université de Montréal.
Ce phénomène n'est pas sans conséquence, déplore Marc Ouimet. Il rend certains
citoyens inutilement craintifs. «Les gens ont un sentiment d'insécurité qui nuit à leur qualité
de vie. Des gens ont peur de sortir parce qu'ils pensent que c'est épouvantablement
dangereux dehors, alors que les chiffres disent totalement l'inverse.»
26 JUILLET 2012
Article tiré de : http://www.lerefletdulac.com/Actualit%C3%A9s/Justice/2012-0726/article-3039805/Crimes-sexuels-le-pompier-Henry-reste-en-prison/1
Crimes sexuels: le pompier Henry
reste en prison
Publié le 26 Juillet 2012
Pierre-Olivier Girard
Accusé de crimes à caractère sexuels sur trois mineures,
le pompier magogois, Bruno Henry, restera derrière les
barreaux au moins jusqu’au 20 août prochain.
Sujets :
Dans un communiqué de presse qu‘elle vient tout juste de faire parvenir, la Ville confirme
que la demande de libération de l‘accusé, qui devait avoir lieu aujourd‘hui (26 juillet) au
Palais de justice de Sherbrooke, a été reportée au 20 août prochain.
De plus, la Municipalité confirme qu‘elle attendra la suite des procédures judiciaires avant de
prendre une décision quant à la situation d‘emploi de Bruno Henry.
«Pour l‘instant, aucune suspension n‘est nécessaire puisqu‘il ne peut exercer ses fonctions.
Aucun nouveau commentaire ne sera formulé avant le retour de monsieur Henry devant le
juge», peut-on lire dans le document.
Rappelons que l‘employé du Service de sécurité incendie de magog a été arrêté à son
domicile, le 24 juillet dernier, après une enquête menée par la Sûreté du Québec.
Il fait face à douze chefs d‘accusation dont possession de pornographie juvénile, d‘incitation
à des contacts sexuels en situation d‘autorité, d‘attouchements sexuels et d‘avoir obtenu des
faveurs sexuelles moyennant une rétribution.
Des menaces de sévices sexuels auraient également été proférées sur ces victimes, selon
ce que rapporte le journal La Tribune.
27 JUILLET 2012
Article tiré de :
http://www.timescolonist.com/news/Jail+time+sought+Lion+assaults/6999534/story.ht
ml
Jail time sought for ex-B.C. Lion
for sex assaults
THE CANADIAN PRESS JULY 27, 2012
Josh Boden fiercely resisted arrest, Vancouver police say.
Photograph by: Darryl Dyck, The Canadian Press , The Canadian Press
A Crown prosecutor has asked for a one-year jail sentence for a former B.C. Lions football
player convicted of sex crimes at Vancouver SkyTrain stations.
Josh Boden was convicted of two counts of sexual assault and one count each of obstruction
of justice and assault on a police officer involving incidents in 2009.
Lawyer Michaela Donnelly says it took four officers, one civilian and a police dog to subdue
Boden during his arrest at the scene after one of those sexual assaults.
She says officers described the takedown as the most violent case of resisting arrest they
had ever experienced.
Donnelly asked that eight months of jail time be served simultaneously for each of the sexual
assaults, followed by another set of four months at the same time for the other two
convictions.
Boden was convicted in December 2011 for grabbing a woman's buttocks and chest while
she was riding on an escalator at a downtown station.
28 JUILLET 2012
Article tiré de : http://www.900chml.com/Channels/Reg/NewsLocalGeneral/Story.aspx?ID=1746759
Woman pedestrian stabbed and
sexually assaulted in Westdale
CHML
7/28/2012
Police are looking for a suspect following an early morning stabbing and sexual assault in
Hamilton's west end.
Police say a female was walking along King Street West between Paradise and Longwood
Roads at around 2:20 Saturday morning.
She was approached by a man who stabbed her and then sexually grabbed her before
fleeing on foot.
The victim was treated at hospital for non-life threatening injuries.
The suspect is described as white, in his twenties, about six-feet tall, with dark short hair and
either a tan or a sunburn.
Hamilton Police say they are deploying their Action Team, patrol units and sexual assault
investigators, to maintain public safety and see their investigation through to its conclusion.
29 JUILLET 2012
Article tiré de :
http://www.montrealgazette.com/Police+warn+parents+after+assault+year/7007849/story.htm
l
Police warn parents after
assault on 9-year-old
BY BRENT RICHTER, NORTH SHORE NEWS JULY 29, 2012
POLICE are warning to the public to keep an eye on their kids after a nine-year-old girl was
sexually touched by a stranger Wednesday afternoon in the Lynn Valley neighbourhood.
The assault happened shortly after 4 p.m. on the 1400-block of Ross Road, according to the
North Vancouver RCMP. Investigators are now asking for the public's help in finding the
suspect, who they say approached two nine-year-old girls and persuaded them to follow him
down a trail leading south, promising to show them a 100-year-old tree. When the girls
followed him into a wooded area, the man asked them to pose individually for photos with
him.
While posing for a picture with one of the girls, the suspect allegedly touched her "in an
inappropriate sexual manner."
Police say neither of the girls knows who the suspect was. He is only described as a white
man in his 50s.
"We do not believe that this incident is related to a sexual assault incident that occurred on
June 28, 2012, in the 4000-block of Capilano Road," said Sgt. Peter Thiessen. "We are
advising all North Vancouver parents to be extra vigilant when allowing their children to
venture on their own and ensure they do not interact with strangers."
brichter@nsnews.com
© Copyright (c) North Shore News
30 JUILLET 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201207/30/01-4560601-moins-de-denonciations-dinfractions-sexuelles.php
Moins de dénonciations
d'infractions sexuelles
Catherine Handfield
La Presse
Le nombre d'infractions sexuelles dénoncées à la police en 2011 a atteint son plus
faible niveau en 10 ans, selon un nouveau rapport du ministère de la Sécurité
publique du Québec. Pourtant, un sondage obtenu par La Presse révèle que les
Québécois sont plus enclins qu'avant à vouloir signaler les agressions sexuelles à la
police.
En 2011, les corps policiers du Québec ont enregistré 4858 infractions sexuelles, soit 450
de moins que l'année précédente, apprend-on dans le rapport Infractions sexuelles au
Québec - Faits saillants 2011, publié la semaine dernière sur le site du Ministère.
Cette baisse de 9% «provient surtout d'une diminution des dénonciations de crimes
commis dans une année antérieure, particulièrement de ceux datant de plus de 20 ans»,
peut-on y lire. Les plaintes déposées juste après le crime sont aussi en baisse.
Doit-on comprendre que moins de crimes sexuels sont commis au Québec? Non, répond
Danièle Tessier, agente de liaison et de développement au Regroupement québécois des
centres d'aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (CALACS). «Ces
statistiques ne reflètent pas la situation des agressions sexuelles; elles montrent seulement
si les femmes les dénoncent ou non», dit-elle.
Danièle Tessier souligne que le taux de dénonciations varie d'une année à l'autre en
fonction de ce qui se passe dans la société. L'exemple le plus probant est peut-être celui
de Nathalie Simard: le nombre de dénonciations tardives a atteint un sommet en 2006
après que la chanteuse eut dénoncé publiquement son ex-imprésario, Guy Cloutier.
Mme Tessier croit que la société devrait envoyer un message aux femmes pour leur
donner une plus grande confiance dans le système judiciaire. Les études démontrent que
seulement de 6% à 15% des agressions sexuelles commises sont dénoncées. «Il reste
encore une résistance chez les femmes à entreprendre des poursuites criminelles qui sont
souvent complexes et difficiles», dit-elle.
Les policiers pourraient entre autres permettre aux victimes d'être accompagnées par une
paire ou une intervenante lorsqu'elles portent plainte, selon Danièle Tessier.
Plus de volonté
Si le nombre de dénonciations est en baisse, la propension à vouloir signaler les
agressions sexuelles est en hausse.
En effet, 63% des Québécois affirment qu'ils dénonceraient une agression sexuelle à la
police s'ils en étaient témoins ou victimes, selon un sondage réalisé en 2011 par la firme
SOM et obtenu grâce à la Loi sur l'accès à l'information. En 2009, c'était 52% des
répondants qui pensaient ainsi.
Quant aux personnes qui choisiraient plutôt de communiquer avec un service d'aide, leur
nombre est stable (environ 10%).
Le sondage avait pour but d'évaluer l'impact de la quatrième phase de la campagne
gouvernementale de sensibilisation aux agressions sexuelles. Il s'agissait d'une publicité
qui montrait les mains d'une jeune victime tentant d'empêcher son agresseur d'ouvrir sa
fermeture éclair. Elle a paru au printemps 2011 à la télévision, sur l'internet et sur des
panneaux d'affichage.
«La publicité visait à encourager les victimes et leurs proches à dénoncer les agressions
sexuelles, a indiqué Hélène Cadrin, responsable des dossiers violence et criminalité au
ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine. On espère que la
campagne a contribué» à la hausse de la propension à dénoncer les agressions à
caractère sexuel.
Hélène Cadrin s'explique par contre mal le fait que le nombre de dénonciations soit en
baisse au Québec. «Pour nous, c'est un point d'interrogation», dit-elle, en précisant que les
statistiques devront être analysées davantage.
Méconnaissance des services
Si les Québécois sont massivement enclins à vouloir dénoncer les agressions sexuelles,
peu connaissent les services d'aide aux victimes.
«Les gens disent qu'ils dénonceraient les agressions, mais il y a une méconnaissance des
services, et ça nous interpelle», a indiqué Hélène Cadrin.
En 2010, Québec a mis en service une ligne téléphonique 1-800 destinée aux victimes
d'agression sexuelle, à leurs proches et aux intervenants. Le sondage révèle que
seulement le quart de la population (27%) a été en mesure de nommer cette ressource l'an
dernier, soit moins que les 39% de 2010.
Le ministère de la Justice entend faire de la publicité dans les journaux locaux à l'automne
pour rappeler l'existence de cette ligne, selon Hélène Cadrin.
Le sondage a été mené auprès de 1002 personnes du 16 au 31 mai 2011. Sa marge
d'erreur est de 3,9 points de pourcentage.
- Avec la collaboration de William Leclerc
31 JUILLET 2011
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-quotidien/justice-et-faitsdivers/201207/31/01-4560927-agression-sexuelle-a-lexpo.php
Agression sexuelle à l'Expo
Francis Larocque n'est âgé que de 20 ans, mais n'en est pas à ses premières visites au Palais de justice.
PHOTO JEANNOT LÉVESQUE
Stéphane Bégin
Le Quotidien
(CHICOUTIMI) Francis Larocque se souviendra très longtemps de son passage au
Saguenay. Le jeune homme de 20 ans fait face à des accusations de contacts sexuels
et d'agression sexuelle sur une jeune fille de 14 ans.
Si la dernière édition de l'Expo agricole de Chicoutimi s'est déroulée à merveille pour la
très grande majorité des visiteurs et des employés, il y a au moins une adolescente qui va
en garder un mauvais souvenir.
Au cours de la nuit de dimanche à lundi, la jeune fille aurait été agressée sexuellement par
Larocque à l'intérieur d'une roulotte servant de chambre à coucher pour les travailleurs de
l'entreprise Amusements Star. La présumée victime serait parvenue à sortir de la roulotte
et s'est mise à crier, alertant par le fait même les autres employés de la compagnie foraine.
Immédiatement, une plainte a été déposée auprès de la Sécurité publique de Saguenay
(SPS). Les policiers sont rapidement intervenus sur les lieux et ont entrepris leur enquête.
Ils ont procédé à l'arrestation de Larocque, qui demeure à Brownsburg-Chatham, dans les
Laurentides, et l'ont conduit au Palais de justice de Chicoutimi.
Hier après-midi, le jeune forain s'est retrouvé devant le juge Michel Boudreault, de la Cour
du Québec, et devra revenir mercredi pour son enquête de remise en liberté. Il n'a émis
aucun commentaire, si ce n'est de préciser son lieu de résidence. Il est demeuré calme. Il
portait quelques marques rouges au cou. « Je ne peux rien vous dévoiler étant donné que
l'enquête se poursuit toujours dans ce dossier. Il s'agit d'accusations criminelles et, en
vertu de l'article 515.10, je me suis opposée à sa remise en liberté. »
« Quant au fait que les accusations aient été portées si rapidement, ce n'est pas anormal.
Il arrive que des plaintes soient déposées immédiatement et, à d'autres occasions, ça peut
prendre un certain temps », précise Me Mélanie Paré, de la direction des poursuites
criminelles et pénales.
Me Paré a mentionné qu'il arrive que des accusés d'agressions sexuel les reprennent leur
liberté immédiatement. Mais le Code criminel précise que la détention peut être demandée
si l'on craint que l'individu ne se présente pas au tribunal, que cette détention est
nécessaire pour la protection ou la sécurité du public ou que la confiance du public puisse
être minée.
Défense
De son côté, Me Olivier Théorêt, avocat de la défense, a rencontré son client quelques
minutes seulement avant sa comparution devant le juge. Il a reçu une partie de la preuve
amassée jusqu'à présent. « Je n'ai pas beaucoup de détails, mais je vais tout faire pour
obtenir les garanties nécessaires pour obtenir la remise en liberté de mon client dès
mercredi », a indiqué Me Théorêt.
Francis Larocque possède des antécédents judiciaires de vol et d'introduction par
effraction, de même que d'autres dossiers au tribunal de la jeunesse. Étant donné qu'il était
toujours sous probation, il doit répondre aussi à des accusations de bris de probation.
1er AOÛT 2012
Article tiré de :
http://www.montrealgazette.com/news/sexually+abused+teen+niece+sees+sentence+hiked+se
ven+years/7025221/story.html
Man who sexually abused teen
niece sees sentence hiked to
seven years
BY COLIN PERKEL, THE CANADIAN PRESS AUGUST 1, 2012
TORONTO - A man who sexually assaulted his teenaged niece from Fiji more than 100
times over a three-year period has had his sentence more than doubled by Ontario's top
court.
In siding with the Crown, the Ontario Court of Appeal said the three-year sentence originally
handed to the man was manifestly unfit and instead substituted a seven-year term.
"This case presented the court with a variant of the pattern of conduct of adult abusers in a
position of trust over children," the justices said in their ruling.
"Here, the child was a teenager, but her extra vulnerability came from the fact that she was
an immigrant to Canada...she was in his power in every way."
Ontario Superior Court Justice Cory Gilmore sentenced the uncle in June last year after a
jury convicted him of sexual assault, sexual exploitation and invitation to sexual touching.
Evidence at his nine-day trial was that the girl came as a 15-year-old from Fiji to Canada in
1986 to get an education and lived with her uncle and aunt, whom she considered as
parents.
At some point, the uncle, who can't be identified, began sexual improprieties with the girl that
soon escalated from touching into sexual intercourse two or three times a week.
"The trial judge believed it was important for sentencing purposes that she determine the
number of sexual assaults that occurred and she did so," the Appeal Court said.
"She found that the sexual touching occurred in the mornings approximately 36 times in
three months, and that sexual intercourse occurred four times per month over a 31 month
period, amounting to approximately 124 times."
Court records show the uncle administered birth control to the girl, and told her that if she
told anyone about the sexual activities, she would be deported to Fiji, a prospect she
dreaded.
"She told the court that she felt helpless, dumb and stupid," the trial judge said.
The girl finally got so desperate to leave the situation, she asked her aunt to arrange a
marriage for her, and she finally left for Vancouver in 1991.
In its assessment of the sentence, the Appeal Court had harsh words for the uncle, saying
he had shown no remorse for taking advantage of the fact that the girl was young and
vulnerable as a new immigrant.
It also decided Gilmore had erred by imposing a sentence at the lower end of the scale.
"These circumstances changed the course of (the girl's) life, resulting in a forced arranged
marriage which turned out to be abusive," the court said.
2 AOÛT 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faitsdivers/201208/02/01-4561811-un-predateur-sexuel-qui-ecumait-les-stationnements-de-lavalest-arrete.php
Un prédateur sexuel qui écumait
les stationnements de Laval est
arrêté
La police de Laval pense que le suspect aurait a pu faire d'autres victimes dans la
région.
PHOTO FOURNIE PAR LA POLICE DE LAVAL
Vincent Larouche
La Presse
La police de Laval a arrêté un dangereux prédateur sexuel qui aurait kidnappé une
femme dans un stationnement pour l'enfermer dans un coffre de voiture et
l'agresser sexuellement à répétition.
Photo de l'avant-bras grauche du suspect
PHOTO FOURNIE PAR LA POLICE DE LAVAL
L'avant-bras droit du suspect
PHOTO FOURNIE PAR LA POLICE DE LAVAL
Yannick Labelle, 32 ans, a été épinglé mardi soir après une enquête de deux
semaines. Les policiers sont convaincus qu'il a pu faire d'autres victimes dans la région
et il demande à toute personne qui reconnaîtrait ses tatouages très particuliers de se
manifester.
Les faits remontent au 14 juillet, vers 20 h. Labelle aurait d'abord tenté d'agresser une
femme dans le stationnement d'un centre commercial lavallois. En se débattant, elle
aurait réussi à le faire fuir.
Une heure plus tard, le suspect aurait récidivé à moins de deux kilomètres de là, selon
la police. Il aurait ciblé une autre femme qui stationnait sa voiture près d'un commerce
du boulevard Labelle.
Labelle aurait réussi à enfermer la victime dans le coffre de son propre véhicule, puis
l'aurait agressée sexuellement à plusieurs reprises. La victime a pu livrer aux
enquêteurs une description détaillée des tatouages du suspect.
L'un de ses bras est marqué d'une croix stylisée alors que sur l'autre est inscrite la
Prière de la sérénité : «Mon Dieu, donnez-moi la sérénité d'accepter les choses que je
ne puis changer, le courage de changer les choses que je peux, et la sagesse d'en
connaître la différence.»
Labelle a comparu en cour pour être accusé d'agression sexuelle, d'enlèvement et de
séquestration. Il revient devant le tribunal le 8 août pour une enquête sur remise en
liberté.
L'accusé a des antécédents en matière de violence mais pas pour des affaires de
nature sexuelle. Il habiterait Laval et serait célibataire sans enfants, selon nos
informations.
3 AOÛT 2012
Article tiré de :
http://www.leaderpost.com/news/Appeals+dismissed+sexual+assault+trial+Regina+physician/7
039465/story.html
Appeals dismissed in sexual
assault trial of Regina physician
BY HEATHER POLISCHUK, LEADER-POST AUGUST 3, 2012
Dr. Edward Poon is to begin serving a sentence for sexual assault after the Provincial Court of Appeal dismissed both his, and the
Crown's, appeals in his case.
Photograph by: Roy Antal , Leader-Post
REGINA — A Regina physician will have to turn himself in to serve a jail sentence for sexual
assault, his conviction appeal having been dismissed.
A decision handed down this week by the Saskatchewan Court of Appeal means the
province‘s highest court also isn‘t interfering with Dr. Edward Poon‘s sentence, with Crown
appeals of four acquittals and Poon‘s sentence also being dismissed.
Poon, now 63, was found guilty in 2010 of two counts of sexual assault against two female
patients. The jury found him not guilty in relation to four other sexual assault charges that
pertained to four other female patients.
Regina Court of Queen‘s Bench Justice Ted Malone subsequently handed down a sentence
of two years less a day in a provincial jail. The Crown appealed soon after, looking for three
years in a federal penitentiary, while both Crown and defence counsel sought a new trial in
relation to the acquittals and convictions.
The decision to dismiss the appeals was unanimous between Justices Georgina Jackson,
Robert Richards and Maurice Herauf.
Poon had been released on conditions pending the outcome of the appeal, including that he
not practise medicine. © Copyright (c) The Regina Leader-Post
4 AOÛT 2012
Article tiré de :
http://www.timescolonist.com/news/Suits+claim+diocese+covered+priest+abuse/7042018/stor
y.html
Suits claim N.B. diocese covered
priest's sex abuse
THE CANADIAN PRESS AUGUST 4, 2012
Lawyers representing sexual abuse victims of former New Brunswick priest Levi Noel have
filed 11 lawsuits alleging that members of the Roman Catholic Diocese of Bathurst covered
up his crimes.
A statement of claim filed Friday in the province's Court of Queen's Bench alleges clergy
failed to properly respond to Noel's conduct and promoted "a culture of secrecy with respect
to the sexual misconduct of clergy which was intended to benefit the diocese rather than stop
the misconduct or assist the victims."
In January 2010, Noel was sentenced to eight years in prison after pleading guilty to 22
charges of sexual assault against 18 boys between 1958 and 1980.
Lawyer Robert Talach said clergy at the diocese had a responsibility to act sooner.
"He would have faced justice long before 2010," Talach told a news conference in this city of
12,000.
"His list of victims would have been much shorter, and the overall damage he did to this
community and this church much less."
Talach's London, Ont.-based Ledroit Beckett law firm has filed 20 lawsuits in total against
Noel and the diocese, despite a continuing settlement process.
"Twenty victims who have refused the pieces of silver offered to them through the
conciliation process. Victims who want truth, prevention and accountability before
compensation," Talach said.
"Their silence is not for sale." Lawyers for Noel and the diocese have not filed statements of
defence in any of the cases. Talach said they have until mid-September to respond in court
to the most recent statements of claim.
The allegations have not been proven in court
5 AOÛT 2012
Article tiré de :
http://www.ottawacitizen.com/news/Teen+sexually+assaulted+after+answering+door+West+re
sident+just+returned+home/7045121/story.html
Teen sexually assaulted after
answering door at 3 a.m. Westend resident had just returned
home
BY PETER HENDERSON, THE OTTAWA CITIZEN
Police were searching for a suspect in a late-night sexual assault near Baseline and
Greenbank Roads, after a man forced himself into a woman‘s west-end home and sexually
assaulted her early Sunday.
Police said an 18-year-old female had just returned to her home at a residential complex in
the area — they did not specify the location, saying only that it was near the BaselineGreenbank intersection — when her doorbell rang at about 3 a.m. When she answered the
door, a man she didn‘t know forced himself inside the home and assaulted her.
The suspect was described as a Middle Eastern male in his mid-20s. He had short brown
hair and a thin build. He was between five-foot-nine and five-foot-eleven and weighed
approximately 150 pounds.
The most identifying feature was the ―tailored facial hair‖ that police say the suspect has, or
at least had.
The victim required medical attention for injuries she received in the attack.
Police urged anyone with information that might be relevant to the incident to phone the
Ottawa Police Sexual Assault/Child Abuse Section at 613-236-1222 ext. 5944.
People also have the option of calling Crime Stoppers at 613-233-8477 (TIPS).
© Copyright (c) The Ottawa Citizen
Ottawa Police Investigate a Sexual
Assault in the West End
05/08/2012
FOR IMMEDIATE RELEASE Sunday August 05th, 2012 2:00 pm
(Ottawa) -- The Ottawa Police Sexual Assault/Child Abuse Section is investigating the report
of a Sexual Assault that occurred on August 5th, 2012, in the City's West End.
At approximately 3:00 am, an 18-year old female had just returned home when her doorbell
rang. The victim answered the door to an unknown male, who forced his way into her
residence and sexually assaulted her. This occurred in a residential complex near the
intersection of Baseline Rd and Greenbank Rd. The victim suffered injuries requiring some
medical attention.
The suspect is described as a Middle Eastern male, mid 20's, 5 ft 9 in to 5 ft 11 in, thin build,
150 lbs, short brown hair, with tailored facial hair.
Anyone with information is asked to contact the Ottawa Police Sexual Assault/Child Abuse
Section at 613-236-1222 ext. 5944 or Crime Stoppers at 613-233-8477 (TIPS).
Ottawa Police Service / Service de police d'Ottawa
6 AOÛT 2012
Article tiré de : http://www.kingstonthisweek.com/2012/07/05/ottawa-mom-son-pleadguilty-to-incest
Ottawa mom, son plead guilty to
incest
By Megan Gillis, Ottawa Sun
Friday, July 6, 2012 5:35:40 EDT AM
OTTAWA - A judge handed a 53-year-old woman and her 35-year-old son probation for
incest Thursday after the pair admitted to a sordid tryst, witnessed by her daughter and his
sister at her father's deathbed.
But the judge saved his comments for the woman, a scrawny figure dressed in black with
rust-coloured dyed hair who stood apart from her son, a heavy-set man with a shaved head.
"I think your conduct speaks for itself, particularly as a mother," Judge Paul Belanger said as
he gave her two years probation, twice as much as her son.
"I'm going to leave the opprobrium to your own conscience and perhaps the wrath of others.
Above and beyond what I might do, the ostracism of members of your family and perhaps
others in society will be significant punishment for you."
Mother and son can't be named to protect the witness, the woman's daughter and man's
sister.
On May 14, 2010, she was visiting her dying father's apartment along with her mother and
brother. They'd been drinking.
She stepped onto a balcony to smoke and happened to look through a window into a
bedroom.
She saw her brother having sex with her mother, whose skirt was hiked up around her waist.
Disgusted, she banged on the window. Her brother looked up with an expression of shock
and embarrassment.
Her mother — "totally detached from reality‖ — tried to convince her daughter nothing had
happened.
"I view (the son) as as much of a victim as a perpetrator," defence lawyer Robert Meagher
said, arguing his client, who has biopolar disorder, had a "horrific" upbringing including being
taken into care at 12 for abuse. He then suffered more abuse in foster homes, court heard.
"Regardless of whether your children are 16, 26 or 36, they're still your children and she
should have known better," Meagher said.
The pair was ordered to seek counselling for alcohol and substance abuse and is forbidden
from contacting each other or the witness.
She's devastated at losing the brother she loved and any chance of being close to her mom.
Her dad never got his wish of dying with the family he loved around him.
"It breaks my heart and it hurts more knowing my family will never be the same," she said in
a victim-impact statement. "I am hoping that they will get the help they need. That is my wish
for them, to get the help they needed a long time ago."
7 AOÛT 2012
Article tiré de :
http://www.thepeterboroughexaminer.com/2012/08/07/uncle-charged-
with-sex-assault-on-girl-14
Uncle charged with sex assault on
girl, 14
Tuesday, August 7, 2012 10:15:16 EDT AM The Perterborought Examiner
A 27-year-old man faces sex charges after a 14-year-old girl reported she was sexually
assaulted by her step-uncle, police said.
The girl reported the assaults to police June 6 and as a result of the investigation the man
faces charges of sexual assault and sexual interference.
He remains in custody and will appear in court Aug. 14. Police have not released the man‘s
name to protect the identity of the alleged victim.
8 AOÛT 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-nouvelliste/justice-et-faitsdivers/201208/08/01-4563262-presumee-affaire-dinceste-une-decision-le-19-octobre.php
Présumée affaire d'inceste: une
décision le 19 octobre
Nancy Massicotte
Le Nouvelliste
(Trois-Rivières) C'est le 19 octobre qu'on connaîtra le sort de ce père de famille,
accusé d'avoir abusé sa fille pendant une trentaine d'années.
Après plusieurs journées d'audiences, le procès de cet homme de 67 ans, domicilié à
Trois-Rivières, s'est en effet terminé, hier, avec les plaidoiries des avocates. Le juge
Jacques Trudel, qui a pris la cause en délibéré, devra tout particulièrement évaluer la
crédibilité des témoins puisque le père a nié en bloc les allégations de sa fille.
Rappelons que le prévenu aurait abusé sexuellement sa fille de 1979 à 2008. Il fait face à
des accusations d'attentat à la pudeur, de grossière indécence, d'agressions sexuelles,
d'inceste et enfin de harcèlement entre août 2008 et octobre 2008.
La présumée victime, une ingénieure présentement âgée de 43 ans, soutient que les
premiers attouchements ont été commis à l'âge de 11 ans. Lors de son témoignage, elle
avait même avoué avoir éprouvé beaucoup de plaisir à cette occasion. C'est elle qui trois
ans plus tard aurait d'ailleurs demandé à son père d'avoir une première relation sexuelle
complète avec lui.
À raison de trois ou quatre fois par semaine au fil des années suivantes, le père et la fille
auraient ensuite eu des relations sexuelles vaginales et anales. La fréquence de celles-ci a
cependant diminué lorsqu'elle a quitté la maison familiale au début de la vingtaine pour
s'installer avec son conjoint de l'époque. Elle a par la suite eu trois enfants.
La relation entre le père et la fille est toutefois demeurée fusionnelle, quasi amoureuse,
comme le démontrent de nombreuses lettres qu'ils se sont écrites. Leurs contacts étaient
réguliers au point qu'ils ont fini par déranger son conjoint de l'époque.
Le père gardait les enfants de sa fille très souvent, l'accompagnait lors d'examens
médicaux et lui apportait une aide et un soutien constants. De son côté, elle lui confiait tous
ses secrets comme l'identité du véritable père de son deuxième enfant, né d'une relation
extra-conjugale. Ce fait a d'ailleurs été caché à son propre conjoint pendant des années.
Elle a attendu à la veille du procès pour lui avouer la vérité.
Elle a mis fin aux relations sexuelles avec son père en 2008 alors qu'elle venait de
rencontrer son actuel mari. Elle avait 39 ans.
Selon la preuve de la Couronne, représentée par Me Catherine Roberge, son père aurait
alors commencé à la harceler presque quotidiennement. Il lui a notamment envoyé une
quarantaine de courriels et lui a laissé des messages en pleine nuit sur son répondeur
téléphonique. En septembre 2008, il aurait également tenté de foncer sur elle et son
nouveau conjoint avec son véhicule. En 2009, elle a porté une plainte à la police.
Dans ses plaidoiries, Me Roberge a demandé au juge de ne pas tomber dans le piège des
préjugés. «Il est faux de penser qu'une femme cultivée ne peut pas être victime d'abus et
qu'elle doit nécessairement être aujourd'hui une droguée. Oui c'est un dossier peu
commun mais si elle avait menti, elle n'aurait pas été aussi loin dans son histoire. Elle
aurait tenu des propos qui l'aurait avantagée», a-t-elle indiqué.
Selon elle, cette femme ne considérait pas son père comme un agresseur. «En l'absence
de la mère, il était toute sa vie, son confident. Pour elle, leurs relations étaient devenues un
mode de vie, une routine», a-t-elle ajouté.
Pour sa part, l'avocate du prévenu, Me Jocelyne Duplessis, estime que toute cette affaire
comporte trop d'interrogations et d'invraisemblances, pour accorder de la crédibilité à la
présumée victime.
«Elle n'a jamais parlé de contraintes ou de chantage. Elle n'a jamais demandé de l'aide.
C'est même elle qui se rendait chez son père pour être avec lui. Comment une dame
éduquée avec un bon réseau social, un mari et des enfants ne s'est-elle pas rendu compte
qu'elle vivait une relation hors norme?», a-t-elle demandé.
L'avocate a plutôt signalé que la trahison était la pierre angulaire de cette affaire. «Elle n'a
pas accepté que son père lui dise non et désapprouve sa deuxième relation extraconjugale. Il ne voulait plus la couvrir», a-t-elle précisé.
L'argent serait aussi en cause selon Me Duplessis. Elle a rappelé que la présumée victime
avait profité d'une procuration dans le compte bancaire de son père pour s'emparer de 20
000 $ avant de porter plainte contre lui. Elle bénéficie aussi de son régime d'assurances au
travail depuis quatre ans.
9 AOÛT 2012
Article tiré de :
http://www.vancouversun.com/news/Penticton+found+guilty+counts+including+pimping
+teen+stepdaughter/7067821/story.html
Penticton man found guilty on
10 counts, including pimping
teen stepdaughter
THE CANADIAN PRESS AUGUST 9, 2012
Scales of justice.
Photograph by: Vancouver Sun files , .
PENTICTON, B.C. — A man accused of acting as his stepdaughter‘s pimp and sexually
assaulting her has been found guilty by a provincial court judge in Penticton, B.C.
Judge Gregory Koturbash found the stepfather, who can‘t be named to protect his
stepdaughter, guilty on all 10 charges he faced, including being a parent procuring sexual
activity, sexual assault and sexual exploitation.
The girl, who‘s now 18 years old, told the man‘s trial that the sexual assaults by her
stepfather began when she was just 12.
She testified her stepdad got her involved in prostitution because he needed the money to
support his drug habit.
During final arguments, Crown lawyer Wendy Kavanagh said the accused breached the trust
of his stepdaughter and engaged in sex with her over a five-year-period.
The man‘s lawyer, James Pennington, told the court the girl was a liar and if she lied to the
police at the start of the investigation then she was capable of telling another story to the
court. (Penticton Herald)
© Copyright (c) The Vancouver Sun
10 AOÛT 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-nouvelliste/justice-et-faits-divers/201208/10/014563883-michel-auger-plaide-coupable.php
Michel Auger plaide coupable
Michel Auger devra revenir en cour le 16 novembre pour connaître sa sentence.
PHOTO: ÉMILIE O'CONNOR
Nancy Massicotte
Le Nouvelliste
(Shawinigan) Michel Auger de Shawinigan a plaidé coupable, hier, aux accusations
portées contre lui pour des agressions sexuelles commises sur un jeune autiste en
2007.
Devant le juge Jacques Trudel, l'individu de 56 ans a en effet admis avoir abusé
sexuellement d'un adolescent entre le 20 juin et le 31 août 2007. La victime était alors
âgée de 14 ans. À deux reprises, Michel Auger a profité de la visite du jeune homme à son
domicile pour se livrer à des attouchements sexuels. La première fois, il y a eu
masturbation de part et d'autre. La seconde fois, les mêmes gestes ont été reproduits mais
en plus, Auger a demandé à la victime de lui faire une fellation.
Un an plus tard, l'adolescent a finalement tout avoué à sa mère tandis qu'il prenait son
bain. Dans l'espoir de protéger son fils et éviter qu'il n'y ait d'autres victimes, la mère a
immédiatement porté une plainte à la police.
Michel Auger, qui n'a pas d'antécédents judiciaires, a comparu formellement en octobre
2010. Il a renoncé à la tenue de son enquête préliminaire, de sorte qu'il a été cité à subir
son procès sous les deux chefs d'agression sexuelle. Hier, au terme de discussions entre
la procureure aux poursuites criminelles et pénales, Me Vicky Belleville et l'avocat de la
défense, Me Carl Thibault, Auger a décidé d'enregistrer un plaidoyer de culpabilité, évitant
ainsi la tenue d'un procès.
Plus tard, son avocat a expliqué que la particularité de cette affaire portait sur la notion de
consentement. En effet, même si l'adolescent était âgé de 14 ans au moment des faits, il
souffre d'une déficience intellectuelle et d'autisme. Sa capacité de consentir à des gestes
sexuels est donc altérée. «Il n'y a pas eu de violence et de voies de fait. Les gestes étaient
consensuels. Le débat portait principalement sur la capacité de consentir de l'adolescent.
J'ai fait des vérifications à ce sujet et il a été décidé de plaider coupable. Mon client a
d'ailleurs toujours admis les faits», a-t-il précisé.
Le juge Trudel a ordonné confection d'un rapport pré-pénal et d'une évaluation sexologique
afin de le guider dans la détermination de la peine. Michel Auger devra donc revenir en
cour le 16 novembre pour sa sentence.
Rejointe hier après-midi, la mère de la victime s'est dite soulagée d'apprendre que
l'agresseur de son fils avait plaidé coupable. «Cette affaire traîne depuis longtemps. Je me
demandais si Michel Auger n'allait pas finir par s'en sortir étant donné que mon fils est
autiste et que la cour pouvait peut-être lui accorder moins de crédibilité. L'important est
qu'il soit reconnu coupable. La sentence est aujourd'hui moins importante pour moi. Je
voulais seulement qu'il reconnaisse que ses gestes n'étaient pas corrects», a-t-elle conclu.
11 AOÛT 2012
Article tiré de :
http://www.windsorstar.com/news/Teen+charged+sexual+assaults/7075082/story.html
Teen charged in sexual assaults
THE WINDSOR STAR AUGUST 11, 2012
Windsor police have arrested and charged a 17-year-old male in relation to a series of
sexual assaults in July.
The suspect, whose identity cannot be revealed as per the Youth Criminal Justice Act, faces
two counts of break and enter and one count each of assault, sexual assault, criminal
harassment and committing an indecent act. Police said the suspect appeared in court on
Friday.
He was apprehended after an investigation of an incident which occurred on July 26.
According to police reports, at around 6: 30 p.m. that evening, an 18-year-old female was
walking home from the downtown and noticed a male following her. When she arrived home,
the male continued walking. But a short while later, the female heard the bathroom door
close and saw the male masturbating in the hallway of the house.
The young woman fled to a neighbour's house and the suspect fled. The investigation
revealed that the suspect entered the victim's house through a bedroom window. After
collecting fingerprints and posting bulletins, police were able to apprehend the suspect the
next day.
Further investigation by the Special Victims Unit showed this suspect was also allegedly
responsible for two other sexual assaults. The first occurred on July 12 at a business in the
1000-block of Wyandotte St. W., where a 39-year-old woman was grabbed. She was able to
call 911 and the suspect fled. The other assault occurred on July 27 at 150 Park St. W. The
suspect allegedly followed a 19-year-old woman to the building and grabbed her breast while
she got out of the elevator.
Police said the suspect is from Windsor and was not known to police before January of this
year, but it is not clear whether the suspect knew the victims.
12 AOÛT 2012
Article tiré de : http://www.brantfordexpositor.ca/2012/08/11/arrest-made-in-sexualassault
Arrest made in sexual assault 46
Sunday, August 12, 2012 6:39:30 EDT PM
We may be growing out of crime.
A 21-year-old Brantford man has been arrested in connection with a vicious early-morning
attack on a woman walking in the area of Market Street South and Clarence Street on
Thursday.
The 24-year-old victim was walking by herself at about 2 a.m. when she was attacked by a
stranger. After the attack, she was able to make her way to a nearby business in order to call
ambulance and police.
City police say the woman received head injuries and was sexually assaulted.
The local man faces charges of aggravated assault and aggravated sexual assault.
He has been held in police custody and is awaiting a bail hearing.
Police say that for investigative purposes, the name of the man is being withheld and is
expected to be released on Monday.
Police are appealing to anyone who may have been in the area of Market Street South and
Clarence Street between 1 a.m. and 2 a.m. on Thursday to contact them. Anyone with
information is asked to contact the Major Crime Unit, Det. Michael Sciberras at 519-7560113, ext. 2270 or Sgt. Scott Williams at 519-756-0113, ext. 2271.
13 AOÛT 2012
Article tiré de : http://www.nugget.ca/2012/08/13/pedophile-remains-at-halfway-house
Pedophile remains at halfway
house
By MARIA CALABRESE, North Bay Nugget
Monday, August 13, 2012 4:46:36 EDT PM
Eric Brown shown in 2002 when he was escorted by Ontario Provincial Police as he was leaving the North
Bay Jail. (NUGGET FILE PHOTO)
NORTH BAY - The Parole Board of Canada will keep a high-risk pedophile at a Toronto
halfway house for the remainder of the year.
Eric William Brown, 51, is currently on bail and awaiting trial on Oct. 15 in Toronto linked to
exposing himself to girls in North Bay and stalking children with a rape kit near a Mattawa
school, all in 2002.
Brown was designated a long-term offender in January 2007 which gives authorities the
power to continue tracking him for six years. That order is set to expire next year.
He's accused of breaking one of the rules of that order to not have a cellphone without
authorization.
Brown has a history of using electronic devices as GPS units to track schools, and the parole
board says in its latest decision he has had several breaches since that order took effect in
2007.
The board also found Brown continues with counselling to address sexual deviancy and
medication to reduce his sex drive. It found he has shown ―exemplary‖ behaviour at the
halfway house which earned privileges unescorted leave for eight hours a day.
Brown's risk is still considered moderate to high that he will commit another sexual offence
against a child.
―As such, it is important that you be closely monitored and the structure and supervision
available in a halfway house setting is an important tool to assist in this monitoring,‖ the
board states in its decision to prolong his halfway house residency.
The board referred to Brown's crimes as ―escalating‖ by the time he was arrested in 2002.
Brown served back-to-back jail sentences for possessing child pornography while living in
South River, exposing himself to girls at North Bay beaches, disobeying several court orders
to stay away from children at schools, pools and other public places, and wearing a disguise
while lurking near Ste-Anne elementary school in Mattawa, all in 2002.
Court described a rape kit in Brown's car parked nearby with stun guns, handcuffs, duct
tape, rubber gloves, a list of schools and a safety manual to teach children how to deal with
strangers.
Ontario Provincial Police also found two journals with the names, addresses and physical
descriptions of 702 girls and 77 boys throughout the province.
maria.calabrese@sunmedia.ca
14 AOÛT 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/justice-et-faitsdivers/201208/14/01-4564988-nouvelles-accusations-contre-lex-entraineur-poulin.php
Nouvelles accusations contre l'exentraîneur Poulin
On reproche maintenant à Louis Poulin d'avoir touché, à des fins sexuelles, le corps de deux
adolescents qui étaient âgés entre 15 et 16 ans aux moments des faits allégués. Ces gestes
auraient été commis entre le 22 mai 2003 et le 9 mars 2005.
LE SOLEIL, PASCAL RATTHÉ
MATTHIEU
Le Soleil
BOIVIN
(Saint-Georges) Les mauvaises nouvelles s'accumulent pour Louis Poulin, cet exentraîneur longtemps considéré comme un des principaux visages du programme de
football des Dragons de la polyvalente de Saint-Georges-de-Beauce.
Mardi matin, Poulin s'est rendu au poste de police de Saint-Georges, où il a été arrêté et
interrogé afin de faire face à deux nouvelles accusations relatives à des attouchements
sexuels que l'entraîneur aurait commis sur deux anciens joueurs de ce programme de
football beauceron.
En mai dernier, cet homme de 50 ans avait été accusé pour une première fois pour des
gestes similaires qui se seraient déroulés entre le 2 juin 2011 et le 28 avril 2012. La
présumée victime était alors un footballeur de 17 ans.
On reproche maintenant à Poulin d'avoir touché, à des fins sexuelles, le corps de deux
adolescents qui étaient âgés entre 15 et 16 ans aux moments des faits allégués. Ces
gestes auraient été commis entre le 22 mai 2003 et le 9 mars 2005.
Les nouvelles accusations réfèrent à des gestes qui auraient été posés alors que Poulin
«était en situation d'autorité ou de confiance ou à l'égard duquel» les victimes étaient «en
situation de dépendance», indiquent le libellé des nouvelles accusations portées contre
l'entraîneur. C'est le procureur de la Couronne, Me Nicolas Champoux, qui a autorisé le
dépôt de ces nouveaux chefs d'accusation.
Au mai dernier, à la suite du dépôt de la première accusation, la Commission scolaire de la
Beauce-Etchemin avait relevé Poulin de ses fonctions d'entraîneur au sein du programme
de football. Par ailleurs, son nom a été rayé de la liste des coachs sur le site Internet des
Dragons.
Poulin était perçu comme un coach fort respecté dans l'équipe de football. Pendant
plusieurs années, il a aussi hébergé à son domicile de Saint-Georges des footballeurs qui
provenaient de l'extérieur de cette municipalité de la Beauce.
Poulin a comparu brièvement, mardi après-midi, au palais de justice de Saint-Joseph-deBeauce, devant le juge Louis Dionne. La Couronne s'est opposée à sa remise en liberté.
Son enquête sur cautionnement se déroulera jeudi. Il est fort possible que Poulin puisse
alors reprendre sa liberté.
Poulin ne peut pas entrer en communication avec les deux nouvelles présumées victimes,
à la suite d'un ordre de la cour qui a été rendu par le juge Dionne.
Toute personne qui pourrait avoir été victime de Poulin peut joindre les enquêteurs de la
police de Saint-Georges afin de porter plainte, au 418 228-5510.
«TRÈS ATTRISTANT ET DÉSOLANT»
Le directeur de la Commission scolaire de la Beauce-Etchemin, Normand Lessard, était
bien sûr «très déçu» d'apprendre la teneur des nouvelles accusations portées contre Louis
Poulin, l'ancien coach des Dragons de la polyvalente de Saint-Georges.
«C'est clair que je suis très déçu, mais tout cela est aussi très attristant et désolant, a
indiqué M. Lessard. On espère toujours éviter de telles situations, quand on demande aux
écoles de toujours vérifier les antécédents judiciaires des entraîneurs qu'ils embauchent.»
Poulin n'avait par contre aucun antécédent judiciaire quand il a été appréhendé pour une
première fois en mai dernier dans cette affaire.
M. Lessard rappelle qu'il invite toujours des anciens et actuels joueurs du programme de
football à communiquer avec les autorités policières s'ils ont été la cible de mauvais
comportements de Poulin.
La commission scolaire n'a plus aucun lien d'emploi avec cet ex-entraîneur qui a travaillé
au sein de ce programme de football durant une douzaine d'années.
M. Lessard a tenu à rappeler que malgré ce triste dénouement, la commission scolaire
demeure très fière de ce programme de football.
«Depuis la première arrestation, de nombreux anciens joueurs et coachs se sont mobilisés
autour de l'équipe afin de s'assurer que la prochaine saison de football se déroule bien
malgré tout, de préciser M. Lessard. Vous savez, les Dragons représentent toujours une
fierté en Beauce.»
Le directeur général des stations de radio Cool 103,5 FM et MIX 99,7 FM de SaintGeorges, Maurice Marcotte, a aussi confirmé avoir congédié Poulin il y a un mois, après
avoir discuté avec l'accusé. L'ex-entraîneur y occupait un emploi de journaliste sportif.
Après le dépôt de la première accusation, il avait été contenu de le retirer des ondes et de
le confiner à des tâches administratives.
«Après notre discussion, nous nous sommes entendus que c'était probablement la
meilleure chose à faire pour tout le monde», affirme M. Marcotte.
15 AOÛT 2012
Article tiré de :
http://www.thestarphoenix.com/news/Judge+imposes+prison+term+sexual+assault/7091
675/story.html
Judge imposes prison term for
sexual assault
BY HANNAH SPRAY, THE STARPHOENIX AUGUST 15, 2012
A man who assaulted a young girl by kissing her belly is going to prison for two years.
Michael V.E. Powell's criminal record - which included a previous similar conviction - was a
key factor in the decision to send him to the federal penitentiary, Judge Albert Lavoie said.
"The issue before this court is the very clear and separate contra-positions taken by the
Crown and defence in relation to sentencing," Lavoie said Tuesday in Saskatoon provincial
court.
Lavoie noted the defence argued "vigorously" for a lengthy conditional sentence order that
would see Powell serve his sentence in the community, but he said he didn't consider the
conditional sentence appropriate.
Powell, 39, pleaded guilty to sexual assault in connection with an incident that took place
sometime between 2003 and 2006. Powell admitted touching the daughter of a family friend
when the girl was between the ages of seven and 10.
The two were playing in Powell's basement when the girl climbed on Powell. He lay her
down on the floor and kissed her belly and admitted in a written statement that part of his
face - perhaps his chin - pressed against her vagina. "What I did was for a sexual purpose,"
he wrote in the statement. The girl was fully clothed at the time.
Crown prosecutor Sheryl Fillo said Powell has "had his chances" to receive sexual offender
programming and this incident called for nothing less than penitentiary time.
"Being involved in the court system (and) counselling has not at all deterred him or been able
to prevent him from performing further acts," she said in court.
Defence lawyer Linda Wood argued the offence was at the lower end of the spectrum in
terms of seriousness and cited a number of cases where conditional sentences were
imposed for lower-level sexual offences. She also cited the case of former Saskatchewan
Roughrider general manager Eric Tillman, who received an absolute discharge after
admitting to sexually assaulting a 16-yearold girl by putting his thumb through her belt loops
and pulling her body against his while he stood behind her.
Wood said Powell's guilty plea and remorse were mitigating factors. He has been struggling
with acute depression as well, she said.
Conditional sentence orders are no longer an available option for sexual assault cases, but
they were an option at the time of the offence. Lavoie said if not for Powell's record, the
conditional sentence may have been appropriate.
In addition to the two years in prison, Powell has to serve three years probation. The
probation includes conditions that he take sex offender programming and personal
counselling as directed. He is to have no contact with children under the age of 18 except
with his own children unless in the presence of an adult aware of his conviction.
His name will be on the sex offender registry for life.
16 AOÛT 2012
Article tiré de : http://fr.canoe.ca/techno/mediassociaux/archives/2012/08/20120816171149.html
Un agresseur sexuel arrêté grâce à
Facebook
Agence QMI
Tamara King
16/08/2012 17h11
Photo AFP
WINNIPEG – Un homme de 25 ans a été accusé d'agression sexuelle après que des
employés de Facebook eurent intercepté, puis signalé des conversations à caractère
explicite entre lui et une adolescente sur le réseau social.
L'homme a commencé à communiquer sur Facebook avec la jeune fille de 13 ans vers la mijuillet et les messages ont vite pris une tournure sexuelle. Un rendez-vous a été arrangé et
l'homme a agressé sexuellement l'adolescente, selon la police de Winnipeg.
«Les messages ont été signalés comme ―activité inappropriée‖», a affirmé l'agent Jason
Michalyshen.
Les employés de Facebook ont contacté la police à la fin du mois de juillet afin de faire
suivre l'information contenue dans les messages. Les enquêteurs se sont penchés sur le
dossier et ils ont arrêté l'homme mercredi.
La date de sa comparution reste à déterminer, la police a donc refusé de dévoiler son
identité. Il devrait être accusé d'agression sexuelle, de contact sexuel avec une mineure et
de leurre. Selon les autorités, c'est probablement la première fois qu'un signalement sur
Facebook mène à de telles accusations.
17 AOÛT 2012
Article tiré de : http://www.lapresse.ca/le-nouvelliste/justice-et-faitsdivers/201208/17/01-4565835-camille-auger-declare-coupable-dabus-sexuels.php
Camille Auger déclaré coupable
d'abus sexuels
Le palais de justice de Trois-Rivières.
PHOTO: FRANÇOIS GERVAIS
NANCY MASSICOTTE
Le Nouvelliste
(Trois-Rivières) Camille Auger, un homme de 78 ans de Sainte-Sophie-de-Levrard, a
été déclaré coupable, hier, de plusieurs gestes à caractère sexuel commis sur trois
femmes, dont deux mineures.
Entre 2001 et 2002, il s'est en effet livré à des attouchements sexuels sur une adolescente
alors âgée de 14-15 ans. Il l'a également incitée à lui toucher les parties génitales. Au
cours de la même période, il a commis une agression sexuelle sur la mère de
l'adolescente. Outre des attouchements, il s'est notamment présenté un jour devant elle,
les culottes baissées, pour lui offrir du sexe, lui disant qu'elle allait savoir ce qu'était un vrai
homme.
Puis, entre 2006 et 2008, il a récidivé. Cette fois-ci, sa victime était âgée de 11 ans. Notons
que dans le cas des deux mineures, les accusations d'agressions sexuelles ont été
abandonnés en vertu de la règle sur les condamnations multiples.
Le juge Jacques Trudel a indiqué, hier, qu'il accordait peu de crédibilité au témoignage du
prévenu comparativement à celui des victimes. On sait que la question en litige dans cette
cause était purement factuelle et reposait principalement sur la crédibilité des témoins.
Certes, Camille Auger a admis avoir «peut-être» touché les seins et les fesses de la
femme d'âge adulte et de la seconde mineure en 2006 mais il a nié en bloc les gestes
qu'on lui reprochait envers la victime de 2001-2002. Par contre, il a avoué avoir les mains
longues.
Outre les faits similaires rapportés et l'absence de collusion entre les victimes, le juge a
pris en considération le peu d'empathie du prévenu et son témoignage acrimonieux envers
l'une des victimes. Camille Auger a décrite celle-ci comme une rebelle. Au dire du juge,
c'est probablement parce qu'elle avait refusé de se laisser faire et l'avait menacé de mort.
Le tribunal a aussi relevé certaines contradictions et imprécisions dans le témoignage du
prévenu contrairement à celui des victimes.
Pour toutes ces raisons, le juge Trudel estime que la preuve de la Couronne, représentée
par Me Catherine Roberge, a été faite hors de tout doute raisonnable à l'effet que Camille
Auger s'était bel et bien livré à des abus sexuels.
Une fois son jugement prononcé, le tribunal a ordonné la confection d'un rapport présentenciel. Les représentations sur sentence auront lieu le 17 janvier. D'ici là, Camille
Auger reste libre.
À leur sortie de la salle d'audiences, deux des trois victimes n'ont pas caché leur immense
soulagement. «Le processus judiciaire a été très difficile mais au moins, je réalise que je
n'ai pas fait ça pour rien», a indiqué l'une d'elles. «Oui, cela a valu la peine. C'est
libérateur. Je crois que si je n'avais pas porté plainte contre lui, ses abus m'auraient grugée
pour le reste de mes jours», a mentionné la seconde.
Toutes les deux ont précisé que le simple fait de porter plainte avait été pénible. «C'est moi
la plus jeune qui ai porté plainte en premier en 2010. Tout le monde faisait confiance à cet
homme; il avait une bonne réputation mais je savais ce qu'il était réellement. Il fallait qu'il
arrête de faire ça», a-t-elle raconté.
L'autre victime a alors appris qu'elle n'était pas la seule. Quelques mois plus tard, elle a
donc suivi son exemple. «Je me sentais coupable. Si je l'avais dénoncé dès le début, peutêtre n'aurait-il rien fait à l'autre», a-t-elle ajouté.
Par la suite, les deux filles ont été rejetées par les membres de leur communauté. «Ils
refusaient de croire aux abus sexuels. Nous étions considérées comme des filles qui
voulaient attirer l'attention», ont-elles précisé.
Souffrant toujours de colère et d'amertume, les deux femmes souhaitent que leur
agresseur purge une vraie peine de prison et soit inscrit sur le registre des délinquants
sexuels. Elles craignent avant tout une sentence «bonbon» compte tenu de son âge
avancé. «Oui le jugement nous apporte une forme de reconnaissance mais ça n'efface pas
ce qu'il nous a fait. Nous devons vivre avec ça. C'est un boulet que nous devons traîner.
Personnellement, je ne pense pas être capable de m'en défaire un jour», a conclu l'aînée
des victimes.
18 AOÛT 2012
Article tiré de :
http://www.thestarphoenix.com/news/Sharing+vile+child+porn+nets+five+years+prison/71098
60/story.html
Sharing 'vile' child porn nets
five years in prison
BY BETTY ANN ADAM, THE STARPHOENIX AUGUST 18, 2012
A five-year prison term for a man convicted of the largest number of child pornography
charges ever in Canada is a "watershed moment" in Saskatchewan law, in which sentences
for the offence have increased, a Crown prosecutor says.
Shane Dale Pattison, 22, of Marshall pleaded guilty to 53 charges of accessing, possessing
and making child pornography available to others over the Internet.
The five-year sentence imposed Friday by Justice Mona Dovell in Saskatoon Court of
Queen's Bench included 50 mandatory one-year sentences to be served concurrently with
the five years applied to the first three charges.
"Never has there been a case presented to any court in Canada involving 53 counts of child
pornography," Dovell wrote.
"Each of the 53 counts in the direct indictment could have contained many, many more
charges," she said.
Her 34-page decision broke down numbers for more than 4,500 child pornography images,
videos and written transmissions conveyed over file sharing sites, email and Facebook with
433 contacts.
Pattison was arrested at his parents' farm in 2010 after Alberta investigators with Internet
child exploitation units became aware of a Saskatchewan user who was sharing massive
quantities of hard core child pornography.
The investigation "was very troubling to everyone involved due to its degree of depravity and
its magnitude, the vast majority of which involved very young children, including infants,"
Dovell wrote.
A sampling of the material was shown to the judge.
"The contents of that sampling, including images and videos, are vile in nature to the point of
being 'life changing' in their effect upon one's psyche. At points when being shown these
images, the court was numbed by their depravity," Dovell wrote.
The investigation, which fanned out across the United States and Canada, resulted in the
rescue of four children who were being sexually abused by Pattison's Internet contacts in
Idaho, Georgia and British Columbia.
Forensic examination of his two computers showed he had been searching Kijiji and
Craigslist for babysitting jobs for young female children, had signed up to work for a
babysitting service called SOS Sitter and possessed manuals teaching offenders how to
groom children for sexual abuse and how to make them keep it secret.
Pattison confessed to police, admitting he had been using child pornography since the age of
14.
He admitted it was a good thing there were no children living in his house and agreed with
the investigator there was a possibility he wouldn't have been able to control himself,
"especially if it was my niece or someone really close," he said in the recorded interview.
In the months after Pattison was charged, but before he was taken into custody, he and his
girlfriend had a baby boy who lived in Pattison's parents' home, where he also lived.
Defence lawyer Brian Pfefferle said his client was not surprised by the long sentence.
"We expected this sentence to be precedent setting and we expected it to be proportionate
to the amount of material and all the other aggravating factors that were discussed in this
case.
"This accused had such a large collection, there were some online chats that included some
fairly significantly disturbing comments and the level of violence was significant."
"This is a significant sentence that represents a watershed moment for child pornography
sentences in Saskatchewan," said Crown prosecutor Michael Segu.
"The courts are starting to come to terms with the very real prevalence of these types of
offences and the impact they are having on children across the country and elsewhere.
"For this type of sentence to be imposed here really marks a shift in the sentencing regime in
Saskatchewan," Segu said.
"I hope it is having a deterrent effect.
"We are fully aware that this is a significant social problem, not just in Saskatchewan but in
Canada and around the world. I don't delude myself that it's going to stop overnight."
badam@thestarphoenix.com
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19 AOÛT 2012
Article tiré de : http://www.albertapolicereport.com/2012/08/20/sexual-assaultinvestigation-underway-in-lethbridge/
Sexual Assault Investigation
Underway in Lethbridge
Lethbridge, Alberta – On August 19, 2012 police responded to a report of a sexual
assault during the early morning hours outside a night club along the Sexual Assault.
On Aug. 19, 2012 police responded to a report of a sexual assault during the early
morning hours outside a night club along the 1000 block of 1 Avenue South. A 23-yearold female was standing outside when an unknown male approached her from behind
and touched her inappropriately.The suspect is described as a Caucasian male, about
five-feet-eight inches tall, mid 20s, overweight with a shaved head. He was clean shaven
with dark coloured eyes and was wearing a black t-shirt with white writing on the back
and black pants.
Anyone with information is asked to call police or Crime Stoppers.
Kristen Harding
Lethbridge Regional Police
20 AOÛT 2012
Article tiré de :
http://www.calgaryherald.com/news/Crown+seeks+years+2009+home+invasion+rape/7117964
/story.html
Crown seeks 10 years for 2009
home invasion and rape
BY DARYL SLADE, CALGARY AUGUST 20, 2012A city man convicted by a jury in June of
breaking into a female friend‘s apartment and viciously sexually assaulting her should go to
prison for a decade, a judge was told Monday.
Crown prosecutor Rosalyn Greenwood argued that the actions of Mahamad Hassan Farah,
28, about 3 a.m. on Dec. 18, 2009, were ―violent, degrading and terrifying.‖
Greenwood told Court of Queen‘s Bench Justice Barbara Romaine that Farah should get 10
years for the break-in to commit sexual assault and 18 months concurrent for an assault that
included head butting.
The prosecutor said although the facts were different, the principles were consistent with a
home-invasion robbery in which the Alberta Court of Appeal says the starting point should be
eight years.
Defence lawyer Richard Cairns agreed it was a major sexual assault, but that it should not
be categorized as a home invasion. He argued for a sentence of five to six years.
Farah had denied during trial that he forced himself on the woman, who was then 22.
Court heard that Farah and the victim had agreed to meet at her apartment that night, but
that she later texted him after returning home from a night out with a girlfriend and told him to
forget it, because it was too late and she was going to sleep.
Later, he broke down the door, entered and attacked her, according to the judge‘s finding of
facts.
Farah forced the woman to take off her clothes, then repeatedly sexually assaulted her.
Greenwood said an aggravating factor was that Farah broke in in the middle of the night
while the victim was alone, intended to harm her and confined her in her own home.
―Over 2½ years later, (the victim) continues to suffer psychological and emotional harm as
the result of Mr. Farah‘s actions,‖ Greenwood argued.
―She suffers from depression, anxiety and post-traumatic stress disorder, she is on
medication, she is on long-term disability pay, and has attempted suicide . . . the entire event
was violent, terrifying and traumatic for (the victim), violating her bodily integrity, human
dignity, personal autonomy and sense of security.‖ Romaine will sentence Farah on
Thursday. dslade@calgaryherald.com © Copyright (c) The Calgary Herald
21 AOÛT 2012
Article tiré de :
http://www.thestarphoenix.com/news/charged+stabbing/7120574/story.html
Man charged in stabbing
THE STARPHOENIX AUGUST 21, 2012 7:09 AMA 54-year-old man has been charged with
aggravated sexual assault in connection with an incident Sunday that left a 22-year-old man
in hospital with multiple stab wounds.
Police received several 911 calls around 4: 40 p.m., one in which the caller asked for help at
an apartment in the 800 block of Fourth Avenue North and others reporting an unconscious
and injured male at 33rd Street and Second Avenue.
The 22-year-old man found unconscious was taken to hospital by ambulance, suffering from
several stab wounds. He is recovering from his injuries.
The stabbing victim told police he had been sleeping at the Fourth Avenue apartment when
he awoke and found another man "touching him in a sexual manner," according to
Saskatoon police.
During the ensuing altercation, both men armed themselves with knives. The 22-year-old
was injured but managed to flee the scene on a bicycle before losing consciousness.
Officers responding to the Fourth Avenue apartment found evidence of the stabbing and
arrested a 54-year-old man.
He was scheduled to appear Monday in Saskatoon provincial court.
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