Revue de presse - Commission de l`Océan Indien
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Revue de presse - Commission de l`Océan Indien
Revue de presse Articles publiés entre le 07 octobre et le 11 octobre 2013 Coopération…………………………………………………………………………..2 Desserte aérienne………………………………………………………………….3 Elections à Madagascar…………………………………………………….......5 Pêche…………………………………………………………………………………14 Economie……………………………………………………………………………26 Tourisme……………………………………………………………..................27 Sécurité alimentaire…………………………………………………………….29 Changement climatique………………………………………………………..31 Genre…………………………………………………………………………………32 Les articles contenus dans ce document n’engagent que les auteurs et les sources dont ils émanent. Ils ne reflètent en aucun cas une position officielle de la COI. 1 Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication Coopération Victorin Lurel à La Réunion avec Claudine Ledoux dans ses valises 10/10/2013 Le séjour du ministre des Outre-mer à La Réunion promettait déjà d'être très animé, les jeudi 17 et vendredi 18 octobre prochains. Il le sera d'autant plus que Victorin Lurel sera accompagné de la nouvelle ambassadrice déléguée à la coopération régionale pour la zone océan Indien, Claudine Ledoux, dont la nomination avait suscité une très vive polémique sur l'île. Cela promet d’être un sacré baptême du feu pour l’ancienne maire de Charleville-Mézières. En tant que nouvelle ambassadrice déléguée à la coopération régionale pour la zone océan Indien, Claudine Ledoux est en effet attendue dans une semaine à La Réunion, où elle accompagnera le ministre Victorin Lurel dans le cadre de la 19e conférence des présidents des Régions ultra-périphériques (RUP). Jeudi 17 octobre, elle assistera aux travaux de clôture de la table ronde consacrée à la coopération territoriale européenne, en présence notamment de commissaires de l’Union européenne et du Mauricien JeanClaude de l'Estrac, secrétaire général de la commission océan Indien. Claudine Ledoux sera chargée d’accueillir tout ce beau monde et d’effectuer la synthèse du séminaire. Mais cette tâche ne devrait pas être la plus éprouvante pour la nouvelle ambassadrice, qui devra surtout faire front à la vague d’indignation qu’avait suscitée sa nomination à La Réunion. C’est en effet tout l’éventail politique de l’île qui s’est ému du choix du gouvernement en faveur de l’élue ardennaise, alors que le Réunionnais Wilfrid Bertile, ancien secrétaire général de la commission océan Indien, s’était porté candidat. Bénéficiant du soutien d’une très grande majorité des élus locaux, ce 2 Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication dernier avait d’ailleurs qualifié la nomination de Claudine Ledoux de "gag" et de "choix incompréhensible". De leur côté, Nassimah Dindar, présidente du conseil général et plusieurs parlementaires, d’Ericka Bareigts à Huguette Bello, ont écrit au président de la République François Hollande pour défendre la priorité régionale. La semaine dernière, les élus de l’Alliance du conseil régional ont déposé une motion demandant au gouvernement "d’ajourner sa décision" et de "procéder à la nomination de la personnalité réunionnaise qui a postulé à ce poste". Le lendemain, ce sont les élus du conseil général qui condamnaient à leur tour la nomination de Claudine Ledoux, demandant eux aussi son remplacement par Wilfrid Bertile. Tous assurent ne pas viser la personnalité ou les compétences de Claudine Ledoux, mais déplorent le choix d’une élue totalement extérieure à la région. L’ex-maire de Charleville, que l’on dit proche de Laurent Fabius, aura donc toutes les raisons de se montrer convaincante lors de son court séjour à La Réunion. http://www.ipreunion.com/photo-du-jour/reportage/2013/10/10/voyageofficiel-a-la-reunion-les-17-et-18-octobre-victorin-lurel-avec-claudineledoux-dans-ses-valises,22339.html Desserte aérienne Avec l’appui de la Chine – Maurice pour la création d’une nouvelle compagnie aérienne Arvin Boolell Booster le tourisme régional en créant une compagnie aérienne qui desservirait les îles de l’océan Indien et les pays de la côte Est de l’Afrique, dont le Kenya ou encore le Burundi et l’Afrique du Sud, constitue un agenda sérieux. 3 Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication L’option de créer une compagnie aérienne régionale est à l’étude. Un accord a été signé entre Maurice et la Chine pour que cette dernière l’aide à concrétiser ce projet. Confirmant l’information, Arvin Boolell, ministre des Affaires étrangères, explique que la première étape consistera en une étude de faisabilité. « Nous avons demandé à la Chine de nous aider dans ce sens, » explique le ministre. « Le potentiel en terme de touristes est considérable. Mais créer et opérer une ligne aérienne n’est pas aussi facile. C’est pour cela que nous voulons faire cette étude afin de voir si cela serait vraiment viable », dit Arvin Boolell. Le ministre ajoute qu’un partenariat privé-public est « une possibilité. » Il s’agira alors de voir à quel point les pays de la région s’impliqueront dans le projet et sous quelle forme. Mais pour Arvin Boolell, il y a une logique implacable. « Si ce n’est pas rentable, personne ne prendra le risque d’y investir. » A priori, la masse critique est là. Ensemble, les pays de la région, incluant la côte Est du continent, représentent plus de 100 millions de personnes. Et avec la croissance économique africaine, le cercle des citoyens ayant un revenu assez confortable pour pouvoir voyager hors des frontières s’élargit. L’idée de la création d’une ligne aérienne régionale a été relancée, il y a quelques mois, par Jean-Claude de l’Estrac, secrétaire-général de la Commission de l’Océan Indien (COI). Mais, si l’idée semble séduisante, Arvin Boolell souligne qu’il « faut tirer les leçons du passé, même si cela ne doit pas empêcher d’avancer ». À Maurice, l’on pense à Catovair, la compagnie aérienne qu’IBL avait fondée pour assurer des vols Maurice-Réunion-Rodrigues. Sans appui du gouvernement mauricien, Catovair a cessé ses opérations en 2008. Puis, il y a le cas Air Afrique. Le nom a été donné à plusieurs compagnies aériennes, dont la première remonte à 1926. La dernière porteuse du nom a mordu la poussière en 2002. À chaque fois, il s’agissait de créer une ligne aérienne pour pouvoir mieux desservir le continent. Il faudra aussi composer avec la résistance des compagnies aériennes existantes et actives dans l’océan Indien. Pour Air Mauritius, par exemple, la connexion Maurice-Réunion est extrêmement rentable. Voir un autre opérateur puiser dans ce vivier ne lui fera probablement pas plaisir. Une guerre des prix pourrait toutefois booster les déplacements inter-îles. http://www.defimedia.info/defi-quotidien/dq-actualites/item/39948-avec-l-appuide-la-chine-maurice-pour-la-creation-d-une-nouvelle-compagnie-aerienne.html Pour en savoir plus : http://www.zinfos974.com/Les-autorites-mauriciennes-veulent-creer-unecompagnie-aerienne-regionale_a62531.html 4 Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication http://www.linfo.re/555045-Maurice-veut-lancer-une-compagnie-aerienneregionale http://www.indian-ocean-times.com/L-ile-Maurice-veut-lancer-une-compagnieaerienne-regionale-avec-le-soutien-de-la-Chine_a2267.html Elections à Madagascar UNION EUROPÉENNE: électoraux Déploiement des observateurs 07/10/2013 Iloniaina Alain Un départ sur le terrain. Les quarante-quatre observateurs de longue durée de la Mission d’observation électorale de l’Union européenne (MOE) vont quitter la capitale ce matin, selon un communiqué de ladite mission, samedi. Ils seront « déployés dans les 22 régions de Madagascar ce lundi », a-t-il ajouté. À part les quarante-quatre observateurs déjà sur place, les cinquante autres éléments de la mission devront rallier leurs collègues dans les prochains jours. Depuis le 25 septembre, neuf experts de l’équipe-cadre sont déjà arrivés. À entendre, Maria Muñiz, membre du Parlement européen, le nombre d’observateurs est « suffisant » et « répond aux critères internationaux ». Cette mission examine l’ensemble du processus, depuis la publication de la liste des candidats jusqu’à la proclamation des résultats. La mission d’observation de l’Union européenne ne devrait pas être seule sur le terrain. Béatrice Atallah, présidente de la Commission électorale nationale indépendante pour la transition (CENIT) avait annoncé la présence de près de 5 000 observateurs nationaux et de près de 300 de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC). L’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) et la Commission de l’océan Indien (COI) devraient également dépêcher une mission d’observation. Certaines ambassades de la capitale, comme le Japon, les États-unis, l’Inde ou 5 Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication encore la Suisse devraient également former chacun de leur côté, une équipe locale d’observation. CC http://fr.africatime.com/madagascar/articles/union-europeenne-deploiementdes-observateurs-electoraux Des ambassades s'impliquent 05 octobre 2013 Iloniaina Alain Participation sous diverses formes. Des chancelleries de la capitale entendent prendre part à la mission d'observation des élections à leur niveau, en parallèle à la venue des grosses missions annoncées. Selon Ryuhei Hosoyalui, ambassadeur du Japon, l'objectif est de « jouer un rôle complémentaire et supplémentaire » aux missions d'observation qui arriveront avec un nombre beaucoup plus important de membres. Plusieurs diplomates, représentant certains pays, se sont retrouvés à l'ambassade nipponne pour discuter de la strategie à adopter hier. Il s'agit, entre autres, des États-Unis, de l'Inde, de la Suisse. D'autres organisations internationales ont également envoyé des délégués. Ces équipes d'observation opèreront d'une manière indépendante les unes des autres. Le volet observation électorale comprend notamment les observateurs nationaux estimés à près de 5 000 personnes, selon Béatrice Atallah, présidente de la Commission électorale nationale indépendante pour la Transition. L'Union européenne prévoit une délégation composée d'une centaine d'éléments tandis que la Communauté de développement de l'Afrique australe enverra 300 personnes. L'on s'attend également à des délégations de l'Organisation internationale de la Francophonie et de la Commission de l'océan Indien. CC http://www.lexpressmada.com/5643/observation-electorale-madagascar/47189des-ambassades-s-impliquent.html Déploiement des observateurs électoraux 07 octobre 2013 Iloniaina Alain 6 Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication Un départ sur le terrain. Les quarante-quatre observateurs de longue durée de la Mission d’observation électorale de l’Union européenne (MOE) vont quitter la capitale ce matin, selon un communiqué de ladite mission, samedi. Ils seront « déployés dans les 22 régions de Madagascar ce lundi », a-t-il ajouté. À part les quarante-quatre observateurs déjà sur place, les cinquante autres éléments de la mission devront rallier leurs collègues dans les prochains jours. Depuis le 25 septembre, neuf experts de l’équipe-cadre sont déjà arrivés. À entendre, Maria Muñiz, membre du Parlement européen, le nombre d’observateurs est « suffisant » et « répond aux critères internationaux ». Cette mission examine l’ensemble du processus, depuis la publication de la liste des candidats jusqu’à la proclamation des résultats. La mission d’observation de l’Union européenne ne devrait pas être seule sur le terrain. Béatrice Atallah, présidente de la Commission électorale nationale indépendante pour la transition (CENIT) avait annoncé la présence de près de 5 000 observateurs nationaux et de près de 300 de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC). L’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) et la Commission de l’océan Indien (COI) devraient également dépêcher une mission d’observation. Certaines ambassades de la capitale, comme le Japon, les États-unis, l’Inde ou encore la Suisse devraient également former chacun de leur côté, une équipe locale d’observation. CC http://www.lexpressmada.com/5644/union-europeenne-madagascar/47211deploiement-des-observateurs-electoraux.html La COI participera Madagascar à l'observation des élections à 9/10/2013 Le secrétaire général de la COI, Jean Claude de l'Estrac. 7 Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication PORT-LOUIS, (Xinhua) -- La Commission de l'océan Indien (COI) participera à l'observation des élections présidentielles et législatives du 25 octobre à Madagascar, a annoncé la commission dans un communiqué émis à Port-Louis mardi. Le secrétaire général de la COI, Jean Claude de l'Estrac, en a informé les autorités malgaches au cours d'une brève visite à Antananarivo, les 3 et 4 octobre. La délégation de la COI sera composée de 16 observateurs provenant des pays membres notamment des Comores, Maurice, Réunion et Seychelles et sera présente à Madagascar du 22 au 26 octobre pour le premier tour des élections. Lors de sa visite à Antananarivo, le secrétaire général de la COI a rencontré le Premier ministre de la Transition, M. Omer Beriziky et souligné que "ce sont des institutions malgaches qui ont décidé souverainement de ce retour à l'ordre juridique et constitutionnel qui permettra de tenir des élections internationalement reconnues". "C'est en définitive une solution malgacho-malgache", a-t-il dit. Lors d'une rencontre avec le secrétaire général de la COI, Mme Béatrice Atallah, présidente de la Commission électorale nationale indépendante de la Transition (CENIT) de Madagascar a fait part de sa confiance dans le bon déroulement du scrutin. Madagascar est membre de la COI, organisation intergouvernementale qui comprend aussi les Comores, Maurice, la Réunion et les Seychelles. CC http://fr.africatime.com/madagascar/articles/la-coi-participera-lobservation-deselections-madagascar 8 Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication Le mauricien 8/10/2013 9 Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication CC Le Défi quotidien du mercredi 9 octobre CC 10 Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication La COI participera à l'observation des élections à Madagascar 10.10.2013 La Commission de l'océan Indien (COI) participera à l'observation des élections présidentielles et législatives du 25 octobre à Madagascar, a annoncé la commission dans un communiqué émis à Port-Louis mardi. Le secrétaire général de la COI, Jean Claude de l'Estrac, en a informé les autorités malgaches au cours d'une brève visite à Antananarivo, les 3 et 4 octobre. La délégation de la COI sera composée de 16 observateurs provenant des pays membres notamment des Comores, Maurice, Réunion et Seychelles et sera présente à Madagascar du 22 au 26 octobre pour le premier tour des élections. Lors de sa visite à Antananarivo, le secrétaire général de la COI a rencontré le Premier ministre de la Transition, M. Omer Beriziky et souligné que "ce sont des institutions malgaches qui ont décidé souverainement de ce retour à l'ordre juridique et constitutionnel qui permettra de tenir des élections internationalement reconnues"."C'est en définitive une solution malgacho-malgache", a-t-il dit. Lors d'une rencontre avec le secrétaire général de la COI, Mme Béatrice Atallah, présidente de la Commission électorale nationale indépendante de la Transition (CENIT) de Madagascar a fait part de sa confiance dans le bon déroulement du scrutin. Madagascar est membre de la COI, organisation intergouvernementale qui comprend aussi les Comores, Maurice, la Réunion et les Seychelles CC http://french.peopledaily.com.cn/96852/8420374.html 11 Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication La COI participera à l'observation des élections à Madagascar La Commission de l'océan Indien (COI) participera à l'observation des élections présidentielles et législatives du 25 octobre à Madagascar, a annoncé la Commission dans un communiqué émis à Port-Louis mardi. 9 octobre 2013 Le secrétaire général de la COI, Jean Claude de l'Estrac, en a informé les autorités malgaches au cours d'une brève visite à Antananarivo, les 3 et 4 octobre. La délégation de la COI sera composée de 16 observateurs provenant des pays membres notamment des Comores, Maurice, Réunion et Seychelles et sera présente à Madagascar du 22 au 26 octobre pour le premier tour des élections. Lors de sa visite à Antananarivo, le secrétaire général de la COI a rencontré le Premier ministre de la Transition, M. Omer Beriziky et souligné que "ce sont des institutions malgaches qui ont décidé souverainement de ce retour à l'ordre juridique et constitutionnel qui permettra de tenir des élections internationalement reconnues". "C'est en définitive une solution malgacho-malgache", a-t-il dit. Lors d'une rencontre avec le secrétaire général de la COI, Mme Béatrice Atallah, présidente de la Commission électorale nationale indépendante de la Transition (CENIT) de Madagascar a fait part de sa confiance dans le bon déroulement du scrutin. Madagascar est membre de la COI, organisation intergouvernementale qui comprend aussi les Comores, Maurice, la Réunion et les Seychelles CC http://www.afriquinfos.com/articles/2013/10/9/participera-lobservationelections-madagascar-233971.asp 12 Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication La COI participera à élections à Madagascar l'observation des 09-10-2013 La Commission de l'océan Indien (COI) participera à l'observation des élections présidentielles et législatives du 25 octobre à Madagascar, a annoncé la commission dans un communiqué émis à Port-Louis mardi. Le secrétaire général de la COI, Jean Claude de l'Estrac, en a informé les autorités malgaches au cours d'une brève visite à Antananarivo, les 3 et 4 octobre. La délégation de la COI sera composée de 16 observateurs provenant des pays membres notamment des Comores, Maurice, Réunion et Seychelles et sera présente à Madagascar du 22 au 26 octobre pour le premier tour des élections. Lors de sa visite à Antananarivo, le secrétaire général de la COI a rencontré le Premier ministre de la Transition, M. Omer Beriziky et souligné que "ce sont des institutions malgaches qui ont décidé souverainement de ce retour à l'ordre juridique et constitutionnel qui permettra de tenir des élections internationalement reconnues". "C'est en définitive une solution malgacho-malgache", a-t-il dit. Lors d'une rencontre avec le secrétaire général de la COI, Mme Béatrice Atallah, présidente de la Commission électorale nationale indépendante de la Transition (CENIT) de Madagascar a fait part de sa confiance dans le bon déroulement du scrutin. Madagascar est membre de la COI, organisation intergouvernementale qui comprend aussi les Comores, Maurice, la Réunion et les Seychelles. CC http://french.china.org.cn/foreign/txt/2013-10/09/content_30242020.htm 13 Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication Pour en savoir plus : http://www.madagate.com/editorial/communique/3573-madagascar-elections2013-beatrice-attalah-a-la-formation-des-observateurs-de-la-moe-ue-.html Pêche Protection de l’environnement : Rodrigues prend une longueur d’avance sur Maurice 10 Octobre 2013 Par Jocelyn Rose Une ourite prise lundi. De beaux spécimens ont été obtenus grâce à la fermeture de la pêche aux ourites en hiver. Elle donne l’exemple à sa «grande soeur» Maurice. Les projets se multiplient à Rodrigues afin de préserver les ressources naturelles et d’en faire une île écologique. Parmi ceux-ci, le dessalement de l’eau de mer, une ferme éolienne et des panneaux photovoltaïques. Respect de l’environnement, dessalement de l’eau de mer, protection du lagon… Autant de domaines dans lesquels Rodrigues donne l’exemple à sa «grande soeur» Maurice. La stratégie s’avère payante. La décision de fermer la pêche aux ourites en hiver a ainsi permis, lors de la réouverture lundi, de belles prises. Ce qui conforte Richard Payendee, commissaire de la Pêche à Rodrigues, dans sa stratégie afin de préserver les ressources naturelles de Rodrigues et d’en faire une île écologique. Parmi les projets de l’Assemblée régionale rodriguaise, la production d’énergie propre. «La ferme éolienne de 14 Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication Grenade, d’une capacité de 1 100 kilowatts, et celle de Trèfles d’une capacité de 180 kilowatts produisent 10,5 % de l’énergie pour les besoins de Rodrigues», révèle Jim Payen, Branch Manager du Central Electricity Board à Rodrigues. Selon lui, ces deux fermes permettent à l’île non seulement d’économiser en termes d’achat d’huile lourde qui coûte cher, mais également de produire de l’énergie propre. Pour ce qui est du projet d’installation de panneaux solaires dans l’île, sur une cinquantaine de demandes enregistrées en juillet de l’année dernière, 34 ont été approuvées, soit 50 % pour les besoins domestiques et 50 % pour les centres commerciaux. «Nous allons compléter la liste d’ici à l’année prochaine», soutient Jim Payen. «Il existe un intérêt pour les panneaux photovoltaïques dans l’île.» Autre préoccupation de l’Assemblée régionale : le projet de dessalement de l’eau de mer pour les besoins domestiques des Rodriguais. Afin d’atteindre son objectif, l’île Rodrigues prévoit pour son budget de 2014 une somme de quatre millions d’euros pour quatre unités de dessalement. L’objectif étant de doubler sa production d’eau potable afin de faire face à la pluviosité déficitaire. «C’est la seule manière pour contrer ce problème de pénurie d’eau», explique une source proche de ce dossier CC http://www.lexpress.mu/article/protection-de-lenvironnement-rodrigues-prendune-longueur-davance-sur-maurice Rodrigues fête avec succès la seconde fermeture de sa pêche aux ourites 10 Octobre 2013 L'île de Rodrigues a fêté hier devant une centaine de pêcheurs, le chef commissaire de Rodrigues, le secrétaire général de la Commission de l'Océan Indien (COI) et les ONG locales, son opération de fermeture temporaire de la pêche aux ourites 15 Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication (poulpes, pieuvres). Une seconde édition appuyée par la COI grâce à son projet SmartFish en collaboration avec l’organisation des Nations Unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO) et sur financement de l’Union européenne. "Rodrigues est arrivée à un tournant puisqu’il est prouvé maintenant que l’opération de clôture saisonnière fonctionne", affirme Jean Claude de l’Estrac, secrétaire général de la Commission de l’Océan Indien (COI). Le bilan de cette seconde clôture montre aussi que la surveillance doit être renforcée et qu’il faut réfléchir à un programme d’emplois alternatifs à plus long terme des pêcheurs. La surveillance consiste en la protection des aires marines protégées, dans le respect de la taille minimale de l’ourite et dans l’application stricte de la clôture de la pêche. Par ailleurs, la cogestion de la pêche est une solution prometteuse puisqu’elle implique les acheteurs / banians, les pêcheurs et l’administration. "L’adoption de ce plan et le renforcement des mesures de surveillance devraient nous permettre d’atteindre 200 tonnes de poulpes supplémentaires par an, soit entre 400 et 500 tonnes annuellement", précise Richard Payendee, commissaire de la pêche à Rodrigues. Jean Claude de l’Estrac a saisi cette occasion pour présenter un livre regroupant une quarantaine de recettes des cinq pays membres de la COI. Un concours gastronomique 'Top Chef Ourites 2013' a été organisé et a réuni les dix meilleurs chefs de Rodrigues autour d’un jury originaire des Comores, de La Réunion, de Madagascar, de Maurice et des Seychelles. "Ce livre et ce concours permettent de promouvoir les vertus nutritionnelles de l’ourite et de le présenter comme un aliment sain et riche en protéine", explique Davide Signa, expert en sécurité alimentaire de la FAO. Dans les dix prochaines années, l’Assemblée Régionale de Rodrigues entend restaurer le lagon et profiter de ces succès dans le domaine des ourites pour mener de nouvelles actions en matière de repeuplement des 16 Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication concombres de mer (bambaras), de replantation des coraux et plus généralement une meilleure gestion de la pêcherie par la mise en œuvre d’un plan stratégique. CC http://www.zinfos974.com/Rodrigues-fete-avec-succes-la-secondefermeture-de-sa-peche-aux-ourites_a62654.html?com Protection de l’environnement : Rodrigues dépasse Maurice 11 octobre 2013 Des pêcheurs rodriguais ont pu attraper de beaux spécimens d’ourites, lundi, grâce à la fermeture annuelle de la pêche de ces dernières en hiver Rodrigues donne l’exemple à sa «grande sœur» Maurice. Les projets s’y multiplient afin de préserver les ressources naturelles et d’en faire une île écologique. Respect de l’environnement, dessalement de l’eau de mer, protection du lagon… Autant de domaines dans lesquels Rodrigues donne l’exemple à sa «grande sœur» Maurice. La stratégie s’avère payante. La décision de fermer la pêche aux ourites en hiver a ainsi permis, lors de la réouverture, lundi, de belles prises.Ce qui conforte Richard Payendee, commissaire de la Pêche à Rodrigues, dans sa stratégie afin de préserver les ressources naturelles de Rodrigues et d’en faire une île écologique. Parmi les projets de l’Assemblée régionale rodriguaise, la production d’énergie propre. «La ferme éolienne de Grenade, d’une capacité de 1 100 kilowatts, et celle de Trèfles d’une capacité de 180 kilowatts produisent 10,5 % de l’énergie pour les besoins de Rodrigues», révèle Jim Payen, Branch Manager du Central Electricity Board à Rodrigues. Selon lui, ces deux fermes permettent à l’île non seulement d’économiser en termes d’achat d’huile lourde qui coûte cher, mais également de produire de l’énergie propre. Panneaux solaires Pour ce qui est du projet d’installation de panneaux solaires dans l’île, sur une cinquantaine de demandes enregistrées en juillet de l’année dernière, 34 ont été approuvées, soit 50 % pour les besoins domestiques et 50 % pour les centres commerciaux. «Nous allons compléter la liste d’ici à l’année prochaine», soutient Jim Payen. «Il existe un intérêt pour les panneaux photovoltaïques dans l’île.» Autre préoccupation de l’Assemblée régionale, le projet de dessalement de l’eau 17 Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication de mer pour les besoins domestiques des Rodriguais. Afin d’atteindre son objectif, l’île Rodrigues prévoit pour son budget de 2014 une somme de quatre millions d’euros pour quatre unités de dessalement. L’objectif étant de doubler sa production d’eau potable, afin de faire face à la pluviosité déficitaire. «C’est la seule manière pour contrer ce problème de pénurie d’eau», explique une source proche de ce dossier. LEXPRESS.MU CC http://www.lexpressmada.com/protection-de-l-environnementmadagascar/47336-rodrigues-depasse-maurice.html Environnement : Rodrigues devance Maurice 11 octobre 2013 Rodrigues devance Maurice en termes dans le cadre de la protection de l’environnement. L’archipel rodriguais excelle dans plusieurs domaines et se positionne comme une référence pour l’île voisine. Promotion des énergies renouvelables, dessalement de l’eau de mer, protection de l’écosystème marin, préservation de la faune et flore…autant de domaines dans lesquels Rodrigues dépasse de loin sa voisine Maurice, selon L’Express.mu. Le quotidien en ligne décrit l’archipel rodriguais comme une « île écologique », où les projets se multiplient afin de préserver la biodiversité et les ressources naturelles aussi bien terrestres qu’halieutiques. Rodrigues a ainsi une longueur d’avance sur Maurice notamment en matière de développement de la filière ourite, dont la fermeture de pêche en hiver dernier a contribué à améliorer la production tant au niveau de la qualité que quantité. La réouverture de la pêche, ce lundi 7 octobre, a été marquée par « de belles prises », pour la plus grande satisfaction de Richard Payendee, commissaire de la Pêche à Rodrigues, rapporte L’Express.mu. 18 Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication Parallèlement, la vulgarisation de l’énergie verte, l’un des chantiers majeurs s’inscrivant dans le cadre de la protection de l’environnement, est actuellement en cours d’examen au sein de l’Assemblée régionale rodriguaise. Sont à l’étude notamment « la ferme éolienne de Grenade, d’une capacité de 1 100 kilowatts, et celle de Trèfles d’une capacité de 180 kilowatts produisent 10,5 % de l’énergie pour les besoins de Rodrigues », révèle Jim Payen, Branch Manager du Central Electricity Board à Rodrigues. Selon L’Express.mu, « ces deux fermes permettent à l’île non seulement d’économiser en termes d’achat d’huile lourde qui coûte cher, mais également de produire de l’énergie propre ». D’autres projets portant sur la promotion de la photovoltaïque ont aussi été orchestrés à Rodrigues, résolument déterminé à devenir la référence régionale en termes de protection environnementale. « Pour ce qui est du projet d’installation de panneaux solaires dans l’île, sur une cinquantaine de demandes enregistrées en juillet de l’année dernière, 34 ont été approuvées, soit 50 % pour les besoins domestiques et 50 % pour les centres commerciaux », détaille L’Express.mu. A l’heure actuelle, les travaux se déroulent comme prévu et tous les demandeurs seront équipés de panneaux solaires dans les prochains mois. « Nous allons compléter la liste d’ici à l’année prochaine », « Il existe un intérêt pour les panneaux photovoltaïques dans l’île », estime Jim Payen. De même, le projet de dessalement de l’eau de mer prend forme pour répondre aux besoins domestiques des Rodriguais. Une somme de quatre millions d’euros sera ainsi mise à disposition pour financer l’installation de quatre unités de dessalement sur l’archipel. Ce faisant, les autorités rodriguaises pensent être en mesure de doubler la production d’eau potable en compensation d’une pluviosité déficitaire. « C’est la seule manière pour contrer ce problème de pénurie d’eau », explique une source proche de ce dossier, dans des propos relayés par L’Express.mu. CC http://www.linfo.re/556715-Environnement-Rodrigues-devance-Maurice 19 Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication Le Mauricien du 08/10/2013 CC Ourites à Rodrigues : bilan positif grâce à la fermeture de la pêche 7 Octobre 2013 L’heure était à la satisfaction à Rodrigues après les bonnes prises à l’ouverture de la saison de pêche aux ourites ce lundi 7 octobre. 20 Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication Ambiance animée à Rodrigues ce lundi 7 octobre. Cela, après l’ouverture de la pêche aux ourites après plus de deux mois. Le constat : la saison de fermeture a permis aux pêcheurs de faire de belles prises à Pointe Coton comme à Petite Butte, entre autres… «Zordi nou pe trouv rezilta nou zefort pou respecte nou lamer»,commente Hensie Marla. Comme elle, plusieurs attendaient avec appréhension l’ouverture de la pêche aux ourites tôt ce matin, lundi 7 octobre. Et, à Rodrigues, à Pointe Coton, Port Sud Est et Petite Butte, entre autres, la pêche a été bonne depuis très tôt ce matin. Après une fermeture de deux mois pour permettre le repeuplement de l’espèce en protégeant les femelles afin qu’elles puissent grossir et pondre des œufs. C’est à Petite Butte qu’a eu lieu la cérémonie d’ouverture officielle de la pêche aux ourites en présence de la communauté des pêcheurs et de plusieurs personnalités. Le commissaire de la pêche Richard Payendee a réitéré la volonté du gouvernement régional de prendre des mesures pour faire de Rodrigues une île écologique. Il a exprimé son regret devant la décision de Maurice de prolonger la saison de la pêche à la senne. Et a soutenu que «même si l’année prochaine le ministère de la Pêche décide de prolonger cette pêche, nous, à Rodrigues, nous allons prendre la décision de la fermer le 30 septembre pour mieux protéger notre ressource en poissons». Egalement présent, le secrétaire général de la Commission de l’océan indien, Jean Claude de L’Estrac, n’a pas manqué de souligner la portée internationale de ce projet de fermeture temporaire de pêche aux ourites. «Nous avons cité le succès de ce projet dans une grande réunion à Bruxelles, il y a deux semaines pour justifier les demandes de financement de l’Union européenne», a-t-il ajouté. CC http://www.lexpress.mu/article/ourites-rodrigues-bilan-positif-grace-lafermeture-de-la-peche 21 Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication Rodrigues : effet bénéfique de la fermeture de la pêche 9 octobre 2013 Pour la 2ème année, l’île de Rodrigues a fermé la pêche aux ourites. Ce plan devrait permettre d’atteindre 200 tonnes de poulpes supplémentaires par an selon Richard Payendee, commissaire de la pêche à Rodrigues. CC http://www.linfo.re/556155-Rodrigues-effet-benefique-de-la-fermeture-de-lapeche 22 Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication Lexpress du 09/10/2013 CC Pour en savoir plus : http://www.lemauricien.com/article/rodrigues-reouverture-la-saison-la-pecheaux-ourites 23 Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication COI : Succès de l’opération de fermeture de pêche aux ourites 10/10/2013 par Navalona R. Un concours gastronomique a été organisé afin de promouvoir la filière ourite qui s’annonce porteuse. L’île de Rodrigues rejoint Madagascar dans la liste des rares pays qui ferment occasionnellement leur pêche aux ourites ou poulpes. Les résultats de la fermeture de la pêche pour la deuxième fois ont dépassé la phase expérimentale. Cette opération, appuyée par la Commission de l’océan Indien au travers de son projet SmartFish, conjointement avec l’organisation des Nations Unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO) et sur financement de l’Union européenne, a ainsi connu un succès. « Rodrigues est arrivée à un tournant puisqu’il est prouvé maintenant que l’opération de clôture saisonnière fonctionne » affirme Jean Claude de l’Estrac, Secrétaire général de laCommission de l’océan Indien. Vertus nutrionnelles. Dans la même foulée, un concours gastronomique sur l’ourite, qui s’intitule « Top Chef Ourites 2013 » a été organisé afin de promouvoir cette filière porteuse. Cet événement a réuni les 10 meilleurs chefs de Rodrigues autour d’un jury originaire des Comores, de la Réunion, de Madagascar, de Maurice et des Seychelles. Un livre regroupant une quarantaine de recettes des cinq pays membres de la Commission de l’océan Indien a été présenté en même temps. En fait, « ce livre et ce concours permettent de promouvoir les vertus nutritionnelles de l’ourite et de la présenter comme un aliment sain et riche en protéine » explique Davide Signa, expert en sécurité alimentaire de la FAO. Co-gestion. En revenant sur l’opération de fermeture de pêche aux ourites, des mesures de surveillance des aires protégées marines doivent être renforcées tout en contrôlant la taille minimale marchande de l’ourite 24 Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication et le respect du calendrier de fermeture de pêche. Durant cette période, un programme d’emplois alternatifs sur le long terme pour les pêcheurs a fait l’objet d’une réflexion. Par ailleurs, la co-gestion de la pêche est une solution prometteuse puisqu’elle implique les acheteurs, les pêcheurs et l’administration. Ceux-ci doivent ensuite dresser un plan de préservation des ressources, d’étalement des prises et de professionnalisation des pêcheurs. « L’adoption de ce plan et le renforcement des mesures de surveillance devraient nous permettre d’atteindre 200 tonnes de poulpes supplémentaires par an, soit entre 400 et 500 tonnes annuellement », précise Richard Payendee, commissaire de la pêche à Rodrigues. CC http://www.midi-madagasikara.mg/economie/coi-succes-de-l-operation-defermeture-de-peche-aux-ourites Défi quotidien du 9 octobre 2013 25 Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication Economie le mauricien du 8/10/2013 26 Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication Tourisme L'identité des îles Vanille expliquée à Las Vegas 9 Octobre 2013 Le ministre du Tourisme et de la Culture des Seychelles, Alain Saint-Ange, et également à la tête des îles Vanille pour un second mandat, était en déplacement aux États-Unis il y a encore quelques heures dans le cadre du World Routes 2013 (5-8 octobre 2013) qui a eu lieu à Las Vegas dans le Nevada. Le World Routes 2013 est un salon d'affaires de référence favorisant les contacts professionnels dans le secteur de l’aérien mondial et qui reçoit plus de 3.000 participants de plus de 100 pays représentant aéroports et compagnies aériennes.Les îles Vanille (Maurice, la Réunion, les Seychelles, Madagascar, Les Comores, Mayotte et les Maldives) ont pu ainsi démontrer en marge d'une table ronde sur les modèles d'investissement aux autres délégations présentes la dynamique lancée par les 7 pays membres au coeur de l'Océan Indien, avec un développement touristique concerté dans la région au service de leurs économies insulaires. Les îles Vanille ont ainsi une identité propre en étant une région touristique forte dans une diversité et complémentarité bâties au coeur de l'Océan Indien. Devant la presse internationale, le ministre du Tourisme et de la Culture seychellois, Alain Saint-Ange, a aussi mis en avant l'industrie touristique seychelloise pilier de l'économie prospère de l'archipel au coeur des îles Vanille et qui place les relations humaines au sommet de l'édifice. Une éthique touristique humaine menée avec une passion sans faille par tous les professionnels et responsables du tourisme seychellois pour faire la promotion de la destination aux quatre coins du monde, comme l'a souligné Alain Saint-Ange. http://www.indian-ocean-times.com/L-identite-des-iles-Vanille-expliqueea-Las-Vegas_a2288.html 27 Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication Développement durable : Promotion respectueux de l’environnement du tourisme 17/09/2013 La conférence sur le développement durable du tourisme des îles, qui s’est tenue à La Réunion a été une occasion pour le SG de la COI, Jean Claude de l’Estrac, de rappeler les efforts en matière de développement durable dans la région de l’Océan Indien. « Sur le milliard de touristes internationaux qui ont voyagé en 2012, notre région (l’indianocéanie, ndlr) n’en a attiré qu’un peu moins de 2 millions ». Ce constat est de Jean Claude de l’Estrac, Secrétaire Général de la Commission de l’Océan Indien, lors de la conférence sur le développement durable du tourisme des îles, qui s’est tenue à La Réunion la semaine dernière. Ce chiffre est frustrant car il démontre le potentiel indéniable du nombre de touristes dans le monde, à la recherche du toujours meilleur. Et l’espace vert, la mer bleue turquoise et le calme rêvé par les millions d’hommes et de femmes des plus grandes capitales, de New York à Paris, en passant par Pékin, ne sont qu’autant d’arguments pour les attirer à visiter la région Océan Indien. Axée sur le développement durable, cette conférence a été une occasion pour le SG de la COI de rappeler les efforts déployés par son organisation en faveur du tourisme durable : un programme régional de gestion de la biodiversité, financé par l’Union Européenne à hauteur de 15 millions d’euros, visant à assurer une gestion coordonnée de la biodiversité régionale en faveur du développement durable à travers les renforcements de capacités des pays membres sur la gestion de leurs écosystèmes. Dans le cadre de la promotion de l’énergie durable, la COI contribue, grâce toujours au financement de l’Union Européenne à hauteur de 15 millions d’euros, à améliorer l’accès des Etats membres à des sources durables d’énergie propre et renouvelable. 28 Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication Enfin, toujours dans cette perspective de préservation de l’environnement, un projet est mis en place sur la gestion des déchets, à travers les filières locales de traitement et de valorisation des déchets, un enjeu écologique, économique et commercial, et de santé publique de première importance. A ce titre, et grâce à un financement de l’Agence Française pour le Développement, une étude sur les opportunités de coopération régionale dans ce domaine de la gestion des déchets est menée. Enfin, d’autres initiatives comme le programme régional de gestion durable des zones côtières des pays de la COI vise à accroître le niveau de vie des populations locales par la valorisation des ressources marines et côtières, ainsi qu’à la promotion d’un développement socio-économique respectueux de l’environnement. Anjara Rasoanaivo CC http://www.midi-madagasikara.mg/societe/developpement-durablepromotion-du-tourisme-respectueux-de-l-environnement Pour en savoir plus : http://www.zinfos974.com/Les-iles-Vanille-a-l-honneur-lors-des-WorldRoutes-2013-a-Las-Vegas_a62614.html http://www.linfo.re/556055-Tourisme-a-Maurice-hausse-de-8-a-12-enseptembre Sécurité alimentaire Madagascar : 4 millions des ruraux situation d'insécurité alimentaire malgaches en 10 Octobre 2013 29 Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication 4 millions d'habitants des zones rurales de Madagascar sont en situation d'insécurité alimentaire suite à la récolte réduite de cette année. a indiqué le communiqué conjoint de l'Organisation des Nations unies pour l' alimentation et l'agriculture (FAO) et du Programme alimentaire mondiale (PAM), reçu mercredi. Environ 28 % des ménages ruraux souffrent d'insécurité alimentaire ; au total, quelque 4 millions de personnes sont touchées dans 20 régions, a-t-on précisé. « La production de riz, l'aliment de base de cette île de l'Océan indien, et de maïs a souffert de conditions météorologiques capricieuses et d'une invasion de criquets. L'insécurité alimentaire risque de toucher 9,6 millions d'autres personnes », selon les deux organisations des Nations Unies dans un rapport de la Mission conjointe d'évaluation des récoltes et de la sécurité alimentaire à Madagascar. Les conditions météorologiques irrégulières l'an dernier, les cyclones en début d'année qui ont causé des inondations, suivis d'une période de faible pluviosité ainsi que l'invasion acridienne sont, entre autres, les facteurs de cette mauvaise campagne agricole, a mentionné notre source. Selon la mission FAO/PAM, la production rizicole a fléchi de 21% cette année, ce qui entraînera un déficit national de riz de 240 000 tonnes pour la campagne de commercialisation 2013/14. Quant à la production de maïs de 2013, elle ne saura satisfaire les besoins intérieurs et on estime à 28 000 tonnes les besoins d'importation pour combler le déficit. « La nourriture est la principale dépense d'environ un tiers des ménages qui y consacrent jusqu'à 75 % de leur budget », indique le rapport FAO/PAM. « Ces chiffres sont voués à augmenter du fait de la hausse des prix, alors que les salaires n'ont pas été ajustés aux taux d'inflation », a-t-on indiqué. La sécurité alimentaire de 9,6 millions d'autres personnes pourrait se détériorer avec la hausse des prix durant la période de soudure (d'octobre à mars) avant la récolte. La prochaine saison cyclonique, qui dure de novembre à avril, suscite également des préoccupations, a indiqué le rapport. Notons qu'un programme triennal de lutte antiacridienne, mis en oeuvre par la FAO et le gouvernement malgache, a démarré fin septembre avec des opérations aériennes visant à identifier et localiser les populations acridiennes et ce pour éviter de nouveaux ravages aux cultures et l'aggravation de l'impact sur la production nationale en 2014. http://www.madaplus.info/Madagascar-4-millions-des-ruraux-malgaches-ensituation-d-insecurite-alimentaire_a7913.html 30 Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication Pour en savoir plus http://www.madagascar-tribune.com/Menace-grave-sur-9-6-millionsde,19207.html Changement climatique Le changement climatique à la Réunion est prévu à l'horizon 2030 Des chercheurs de l'Université d'Hawaï ont publié une étude sur les changements climatiques dans le monde, étude publiée dans la très sérieuse revue scientifique Nature. Se basant sur tous les modèles existant en terme de climatologie, ils ont réalisé une grande analyse qui donne froid dans le dos. Les chercheurs hawaïens ont réussi le tour de force de publier, ville par ville, l'année où le climat va radicalement changer et sortir de "manière définitive de la fourchette des températures les plus extrêmes connues au cours des 150 dernières années", rapporte le site Slate.fr. A en croire les chercheurs de l'Université d'Hawaï, cette nouvelle ère climatique va impacter en premier toutes les zones tropicales. Le changement climatique s'opérera entre 2020 (Manokwari en Indonésie) et 2043 (Honolulu) dans cette zone et en fonction des régions concernées. (voir la carte en bas) Quid du Sud de l'océan Indien? Les scientifiques américains ont établi que le changement de climat aura lieu en 2032 à Antananarivo (Madgascar) et 2037 à Port-Louis (Maurice). La Réunion n'apparaît dans le classement, qui se cantonne aux principales villes et capitale du monde. Mais sur la zone, peu de chance de voir notre île épargnée par cette nouvelle ère climatique à l'horizon 2030. Et ce même si cette projection fait partie du premier scénario rendu public. Un second scénario serait plus favorable aux hommes. Si ces derniers arrivaient à "stabiliser" les gaz à effet de serre, le climat changera un peu plus tard. Pour Maurice il interviendra en 2059 et pour Madagascar en 2047. De leur côté, les journalistes du Washington Post ont réalisé une carte (voir la première carte) plus détaillée permettant d'appréhender plus rapidement les endroits de la Terre où le climat va évoluer. 31 Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication Carte de l'Université d'Hawaï http://www.zinfos974.com/Le-changement-climatique-a-la-Reunion-est-prevu-al-horizon-2030_a62681.html Genre Un gynécologue condamné pour homicide involontaire Les dessous de la prise en charge des femmes enceintes Le Dr Abdool Yusuf Boodhoo a été trouvé coupable d’erreur médicale. Sa patiente est décédée après une césarienne en 2005. En attendant la sentence de la cour, qui sera prononcée ultérieurement, levons le voile sur la prise en charge des femmes enceintes dans les hôpitaux de l’île. Le verdict est tombé cette semaine. Le Dr Abdool Yusuf Boodhoo a été jugé Franceska coupable d’homicide involontaire. Cela, Bégué n’avait après qu’une de ses patientes, Bibi que 15 ans. Taslimah Baba Saib, est morte en mai 2005, à la suite d’une césarienne. Lors de l’intervention, l’artère principale avait été sectionnée, ce qui a provoqué un saignement abondant avant que la jeune femme ne décède. Cette «erreur» est jugée grossière par le magistrat Raj Seebaluck. Ce dernier ne s’est toutefois pas prononcé sur la sentence infligée au médecin. Celle-ci sera annoncée à une date ultérieure. 32 Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication Bibi Taslimah Baba Saib, n’est, hélas, pas la seule à avoir perdu la vie après avoir mis un enfant au monde. En avril, Franceska Bégué, une adolescente de 15 ans, a rendu l’âme quelques jours seulement après une césarienne. «Sa plaie s’était infectée. Elle avait de nouveau été admise à l’hôpital pour qu’on lui pose d’autres points de suture. Mais elle est restée avec la plaie infectée sans que personne ne prenne soin d’elle. Et elle en est morte», raconte Marie-France Bégué, la mère de Franceska. Après le drame, le ministère de la Santé avait initié une enquête pour situer les responsabilités. L’affaire est toujours en cour. Aujourd’hui, confie Marie-France, c’est elle qui s’occupe de sa petite fille qui vient d’avoir six mois. Comme ces deux cas, tant d’autres sont rapportés quasiment tous les ans. Le comble, c’est que, selon le site www.worldbank.org, Maurice est le pays d’Afrique où la proportion d’accouchements assistés par un personnel compétent est la plus forte (99 %). À en croire ce même site, Maurice est le pays d’Afrique avec le taux le plus faible de mortalité maternelle. Alors comment expliquer tous ces cas de négligence médicale ? Pour Natacha*, c’est une situation de deux poids, deux mesures. «J’ai accouché d’un petit garçon il y a un an. Je suis arrivée à l’hôpital à 4h30 et j’ai accouché à 6h15. Mais à mon arrivée, j’ai eu l’impression de déranger le personnel soignant. Certains se préparaient déjà à rentrer chez eux, d’autres dormaient. Bref, on m’a fait accoucher avant même que le col ne soit bien dilaté», explique-t-elle. Et d’ajouter : «Résultat, j’ai fait un accouchement nerveux et mes yeux sont restés rouges pendant deux semaines. Pour couronner le tout, la pose des points de suture a commencé à 7 heures et a duré jusqu’à 11h30. C’était horrible, une expérience traumatisante qui me marquera à vie.» Durant sa grossesse, Natacha précise qu’elle était suivie par un médecin du dispensaire de sa localité. Ashanty*, pour sa part, affirme que son accouchement à l’hôpital s’est bien passé. Mais cela a été rendu possible, ditelle, parce qu’elle a trouvé une astuce pour que tout se déroule dans la sérénité (ou presque). «Mon mari a des revenus assez modestes. Vu que je ne travaillais pas, notre budget ne me permettait pas d’accoucher dans une clinique. Alors, une de mes amies m’a conseillé de me faire suivre par un médecin du privé qui exerce aussi à l’hôpital. J’ai suivi son conseil», explique cette habitante des basses PlainesWilhems. «Je consultais le médecin chaque deux mois à son 33 Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication cabinet», poursuit-elle. Mais, dit Ashanty, «une consultation coûtait Rs 1 200» : «Mais en retour, il s’était arrangé pour que j’accouche dans les meilleures conditions à l’hôpital où il travaille. Toutefois, lorsque j’ai été admise, un des membres du personnel a eu un langage assez sévère à mon encontre. Mais un autre collègue lui a dit de changer de ton car j’étais la patiente du docteur X.» Interrogée au sujet des cas de décès après accouchements, Monique Dinan, fondatrice et vice-présidente du Mouvement d’aide à la maternité (MAM), dit se poser des questions sur la conscience professionnelle de certains médecins. «Chaque médecin doit assurer le meilleur des soins à ses patientes, indistinctement. Un gynécologue doit mettre l’accent sur l’étique médicale. D’autant qu’il existe à Maurice toutes les structures nécessaires pour qu’une femme accouche dans les meilleures conditions. À chaque médecin sa consciences professionnelles», lâche Monique Dinan. Cette dernière trouve «regrettable le fort taux de césarienne pratiquée dans l’île». Suite aux récents cas de mortalité maternelle et de négligence médicale alléguée sur des nourrissons, le ministère de la Santé a décidé d’attaquer le mal à la racine. Ainsi, après une décision du cabinet ministériel le 30 août, un Comité technique permanent a été mis en place. Cela, dans le but d’améliorer la prise en charge des femmes enceintes et des nouveau-nés, et de réduire les risques de mortalité infantile et maternelle. Ce comité a également la responsabilité de retracer tous les cas de mortalité infantile et maternelle de ces deux dernières années. S’agissant du manque de professionnels dans le secteur, le ministre de la Santé, Lormus Bundhoo, indique que le recrutement des médecins se fera incessamment. «Suite aux nombreux cas de négligence médicale alléguée et pour offrir un meilleur service à la population, des gynécologues, des pédiatres, des cardiologues et des anesthésistes, entre autres, seront bientôt recrutés», laisse-t-il entendre. «De ce fait, souligne le ministre, le système on call sera aboli» : «Il y aura un spécialiste de chaque pathologie présent 24 heures sur 24 dans tous les hôpitaux.» http://www.5plusltd.com/index.php?pn=default_news&news_id=11953 34 Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication
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