le bassin versant de la bruche et de la mossig
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le bassin versant de la bruche et de la mossig
LE CONSEIL GÉNÉRAL DU BAS-RHIN AU DE VOS VIES T N A S R E V N I S S LE BA E H C U R B A L DE G I S S O M A L ET DE Le Bassin versant de la Bruche et de la Mossig L e bassin versant de la Bruche et de la Mossig a une superficie de 720 km² pour un linéaire total de cours d’eau d’environ 460 km. Les deux tiers amont du bassin sont situés en montagne ou dans les collines sous -vosgiennes. Les points culminants sont : le Champ du Feu (1 100 m), le Donon (1008 m) et le Rocher de Mutzig (1010 m) pour la Bruche ainsi que le Baerenberg (967 m) et le Schneeberg (961 m) pour la Mossig. La pluviométrie présente un fort contraste entre les précipitations d’altitude à l’amont (1 300 mm) et celles de plaine à Entzheim (585 mm). La Bruche a un régime hydrologique pluvio-nival alors que la Mossig possède davantage un régime pluvial. CG67 La Bruche à Kolbsheim Ce bassin versant comprend 88 communes avec une population estimée à environ 136 700 habitants. La densité moyenne est de 296 hab/km² (supérieure à la densité moyenne du Bas-Rhin, 228 hab/km² ), cependant elle reste faible en amont de la Bruche. Les villes principales sont Lingolsheim, Molsheim, Eckbolsheim et Wasselonne. Le quartier de Strasbourg La Montagne Verte est aussi comprise dans ce bassin versant. CG67 La Mossig amont Service Rivières - 2011 Le contexte géographique Le contexte géographique Le réseau hydrographique : L’occupation du sol : (Voir atlas cartographique, carte 1) (voir atlas cartographique, carte 2) La Bruche naît à 660m d’altitude, au pied du Climont, avant de rejoindre l’Ill à la hauteur de Strasbourg après un parcours de 77 km de long. Elle est généralement découpée en trois régions : - la Haute Bruche : de sa source à Schirmeck - la Moyenne Bruche : de Schirmeck à Mutzig - la Basse Bruche : de Mutzig à sa confluence CG67/BD OCS Pour les deux cours d’eau, l’amont est essentiellement occupé par des forêts avec une dominance de résineux. A l’aval, les surfaces agricoles et les prairies d’élevage deviennent plus nombreuses et les zones urbanisées se densifient depuis Molsheim en direction de Strasbourg. CG67 Source de la Bruche, au pied du Climont Ses principaux affluents sont, d’amont en aval : • en rive droite : - le Rothaine à Rothau (8 km), - la Magel à Heiligenberg (21 km), - le Bras d’Altorf à Hangenbieten (13 km). Paysage caractéristique de la Moyenne Bruche Les zones humides remarquables : • en rive gauche : - la Hasel à Niederhaslach (14 km), - la Mossig à Avolsheim (33 km). Ce bassin versant comprend de nombreuses zones humides mais de superficies réduites ( 23 km² au total). La Mossig prend sa source à 600 m d’altitude, sur le versant nord du Baerenthal, à l’amont de Wangenbourg-Engenthal. Elle parcourt 33 km jusqu’à sa confluence avec la Bruche et draine un bassin versant de 169 km². Ses eaux alimentent en quasi-totalité le Canal de la Bruche, lors de forts étiages. Quelques zones remarquables : Ses principaux affluents sont, d’amont en aval : • en rive droite : - le Loechelbach à Wangenbourg, - le Sathbach à Wasselonne, - le Kohbach à Odratzheim. • en rive gauche : - le Sommerau à Wasselonne, - l’Heiligenbach à Wasselonne. Bassin versant de la Bruche et de la Mossig 2 Intérêt national : les tourbières du Champ du Feu (130 ha), les tourbières de La Maxe (8 ha). Intérêt régional : les prairies marécageuses de la Haute-Vallée de la Bruche (Saint-Blaise-la-Roche à Wisches, 150 ha) et de la Vallée de la Bruche (Wisches à Mutzig, 320 ha). Intérêt départemental : les tourbières de la Ferme du Schneeberg (3,5 ha), les prairies aux Reines des prés de la Vallée du Steinbach (50 ha). CG67/PDT/DAERE/Service Rivières Le fonctionnement des cours d’eau Le fonctionnement des cours d’eau Les inondations : L’étiage : Les En raison de précipitations plus élevées en amont, les réserves d’eau du massif vosgien permettent un débit soutenu toute l’année. Les périodes d’assecs sont rares sur les deux premiers tiers de la Bruche et en amont de la Mossig. En plaine, les débits diminuent sur la Bruche suite aux infiltrations en nappe et en raison des diffluences comme le Bras d’Altorf, le Dachsteinerbach et le Canal de la Bruche. Les cours d’eau connaissant les étiages les plus sévères sont la Magel, le Stillbach et le Muehlbach. crues de la Bruche et de la Mossig sont essentiellement recensées à la fin de l’hiver, lorsque de fortes pluies sont combinées à la fonte des neiges. Cependant, il arrive de plus en plus fréquemment que seul le facteur « pluie » provoque des crues en été lors de gros orages. Ces rivières ont pour caractéristique une montée des eaux très brutales, en 3-4 heures, et des décrues rapides (quelques jours). Les principales villes sujettes aux dégâts engendrés par les inondations sont Rothau, La Broque, Schirmeck, Molsheim et Holtzheim pour la Bruche, Romanswiller, Wasselonne, Marlenheim et Kirchheim pour la Mossig. Quatre grandes crues sont à retenir : Date Lieu Débit (m3/s) Avril 1983 Soultz les Bains 24,4 Février 1990 Russ 144 Décembre 2001 Holtzheim 128 Janvier 2004 Mossig 28,6 CG67 Le Canal de la Bruche à Avolsheim Pour prévenir des inondations, une station d’alerte de montées des eaux a été mise en place à Wasselonne. Sa mise en service s’est effectuée le 31 mai 2010. Cette opération fait partie du PPRI (Plan de Prévention du Risque d’Inondation) de la Mossig. Le Canal de la Bruche naît à la confluence de la Mossig avec la Bruche. En période d’étiage, il est alimenté par la Mossig et la Bruche, ses eaux se jettent directement dans l’Ill occasionnant une perte au niveau de la Bruche. La dynamique fluviale : La Haute Bruche est caractérisée par un lit mobile et un écoulement torrentiel qui érode activement ses berges. Cependant, elle s’artificialise au passage des agglomérations comme Bourg Bruche, Rothau et Schirmeck. CG67 La Moyenne Bruche a un tracé peu sinueux et un lit plus stable. Des aménagements routiers et ferroviaires rétrécissent son lit majeur et de fortes emprises urbaines (industries, lotissements) sont présents sur son parcours. La Bruche à Molsheim (février 1990) Les coulées d’eaux boueuses La Basse Bruche possède un lit mineur plutôt artificialisé avec une dynamique altérée par la proximité immédiate du Canal de la Bruche sur sa rive gauche d’Avolsheim à Ernolsheim-surBruche. Plus en aval, le cours d’eau redevient plus sinueux avant la traversée d’une zone fortement urbanisée pour rejoindre l’Ill. Les communes les plus vulnérables sont Crastatt, Scharrachbergheim-Irmstett et Dangolsheim sur le bassin de la Mossig. Sur la Bruche, Avolsheim, Wolxheim, Dahlenheim et Ergersheim sont les plus exposées. Bassin versant de la Bruche et de la Mossig 3 CG67/PDT/DAERE/Service Rivières La qualité des cours d’eau La qualité des cours d’eau La qualité des eaux : Qualité physique de la Bruche (1999-2000) (voir atlas cartographique, carte 3) La qualité physico-chimique : La Haute Bruche possède depuis plusieurs années une très bonne qualité générale à la station de Saint-Blaise-la-Roche. Sur le reste de son parcours, la Bruche est classée en bonne qualité. CG67-AERM Qualité physique de la Mossig (2002-2003) Au niveau de Romanswiller, la Mossig est de très bonne qualité générale. La qualité reste bonne à la station de Wangen mais le cours d’eau a ensuite subi une dégradation depuis 2004 au niveau de Soultz-les-bains et passe donc en qualité passable. CG67-AERM La La qualité biologique : Mossig est classée en bonne qualité physique à l’amont, en mauvaise qualité lors de la traversée de Wasselonne puis en qualité passable à l’aval. L’IBGN (Indice Biologique Global Normalisé) est de très bonne qualité en amont de la Bruche. Elle se dégrade peu à peu passant d’une qualité passable à Gresswiller à une qualité passable à mauvaise au niveau de Wolxheim. Cet indice oscille ensuite selon les années entre une qualité passable et une bonne qualité à Holtzheim. L’aptitude à la biologie reste bonne. Un autre facteur réduisant la qualité physique sur ce bassin versant est la présence de très nombreux ouvrages hydrauliques plus ou moins franchissables selon l’espèce cible concernée et la hauteur d’eau. Sur la Mossig, l’IBGN varie entre une qualité passable et une bonne qualité sur l’ensemble de son parcours. L’aptitude à la biologie n’est bonne qu’en amont puis devient passable. La qualité piscicole : La Bruche et ses affluents jusqu’à Dinsheim ainsi que la Mossig et ses affluents jusqu’à Marlenheim (74 % du linéaire) sont classés en première catégorie piscicole (espèces salmonicoles, restriction de la pêche), le reste du linéaire se retrouve en deuxième catégorie piscicole (espèces cyprinicoles). La Bruche et ses affluents sont classés depuis décembre 1995 en cours d’eau migrateurs pour le saumon, la truite de mer et l’anguille. http://www.epa.gov Polycentropodidae (Trichoptère) La qualité physique : Ce bassin versant possède un gros potentiel d’accueil de la Truite Fario grâce à de nombreuses frayères et une eau fraîche et oxygénée. La Bruche est de bonne qualité physique en dehors des agglomérations. Elle possède en effet une qualité physique passable à Lutzelhouse et Wolxheim, une qualité mauvaise à Gresswiller, Mutzig et Molsheim et une très mauvaise qualité lors de la traversée de Holtzheim. Le facteur dégradant est donc le lit majeur. Bassin versant de la Bruche et de la Mossig L’Association Saumon-Rhin effectue depuis 1995 une réintroduction de jeunes saumons dans la Moyenne Bruche. 4 CG67/PDT/DAERE/Service Rivières Les usages de l’eau Les usages de l’eau La ressource en eau : En dehors de Saales, les 13 communes situées (voir atlas cartographique, carte 4) le plus en amont du bassin de la Bruche possèdent des assainissements autonomes et ne sont donc pas raccordées à des stations d’épuration intercommunales. Une étude est en cours pour le raccordement de la commune d’Heiligenberg. La station de MollkirchGrendelbruch se situe juste en aval de Mollkirch. La ressource en eau destinée à l’alimentation en eau potable est double : les nappes de grès et du socle granitique en amont de la Bruche et de la Mossig et la nappe phréatique de la Plaine d’Alsace pour les communes situées plus en aval. Les prélèvements d’eau : La consommation est en moyenne de 7 000 000 m3/an d’eau potable représentant 11% de la consommation bas-rhinoise. Sur 236 point d’alimentation en eau potable, 77 % bénéficient d’une DUP (Déclaration d’Utilité Publique) avec l’établissement de périmètres de protection. Les industries présentes sur le bassin versant consomment en moyenne 48 486 600 m3/an, les prélèvements étant effectués à 59 % dans les eaux superficielles. Une industrie basée à Urmatt prélève 2 700 m3/h en moyenne. Dix producteurs d’électricité hydraulique sont recensés. CG67 Epuration par filtration (STEP d’Allenwiller) En moyenne, les exploitants agricoles consomment 138 m3/h d’eau provenant à 95 % des eaux souterraines. Les rejets industriels : Environ 200 ICPE sont dénombrées dans le périmètre du bassin. Parmi elles, 43 sont soumises à une auto-surveillance de l’eau et/ou des milieux. Les types d’industries les plus représentés sont : les carrières, les industries de mécanique, électronique et traitement de surfaces ainsi que les industries liées aux produits d’origine animale (abattage, alimentaire, dépôts…). La Basse Bruche présente plusieurs diffluences comme le Bras d’Altorf ou le Canal de la Bruche. Ce dernier se jette directement dans l’Ill et occasionne donc une perte nette du volume d’eau initial. La Bruche a aussi tendance à alimenter sa nappe d’accompagnement en plaine. Les loisirs liés à l’eau : Les rejets : 26 AAPPMA (Association Agréée pour la Pêche et la Protection des Milieux aquatiques) sont réparties de façon homogène sur le bassin versant, dont deux dans le périmètre de la Mossig. L’assainissement : Ce bassin versant comprend 15 stations d’épuration (STEP), réparties de façon égale le long de la Mossig et de la Bruche. Deux parcours de canoë-kayak permettent de descendre la Bruche : un parcours de 11 km sur la Haute Bruche, entre Saint-Blaise-laRoche et Schirmeck ainsi qu’un parcours de 4 km du pont de Urmatt au pont du Foetzplatz. Les plus grosses STEP, de par leur capacité de traitement, sont Molsheim (32 000 EqH), Duppigheim (18 000 EqH), Ernolsheim-surBruche (18 000 EqH). Le type de traitement est principalement l’aération prolongée. Bassin versant de la Bruche et de la Mossig 5 CG67/PDT/DAERE/Service Rivières La DCE et le bassin versant La DCE et le bassin versant L’objectif chimique à cette date avec la Hasel, rivière qui devrait aussi atteindre son objectif de bon état global en 2015. principal de la Directive Cadre Européenne sur l’Eau est d’atteindre le bon état des cours d’eau pour 2015, au plus tôt. Le tronçon le plus touché est la Mossig 2, avec comme facteur dégradant un problème d’assainissement. A part cette masse d’eau, dont l’objectif de bon état écologique est fixé à 2021, toutes les autres devraient atteindre pour 2015 soit le bon état écologique , soit le très bon état dans le cas du Netzenbach ou le « bon potentiel écologique » pour le Canal couleaux et le Canal de la Bruche, classe spécifique aux masses d’eau artificialisées ou fortement anthropisées. Les reports d’objectifs : (voir atlas cartographique, carte 5) Les L’état actuel des masses d’eau : Pour l’ensemble des reports d’objectif sur les masses d’eau qui n’atteindront pas le bon état global en 2015 sont tous fixés à 2027. masses d’eau concernées, la motivations des reports à 2027, repose sur la présence d’hydrocarbures (HAP). Le bassin versant de la Bruche et de la Mossig est découpé en 18 masses d’eau : - la Bruche 1, 2, 3 et 4 (d’amont en aval), - la Bruche artificielle, - l’Albet, - le Framont, - le Barembach, - le Bass de Russ, - le Netzenbach, - le Hasel, - la Magel, - le Canal couleux (Mutzig), - la Mossig 1 et 2, - le Bras d’Altorf, - le Canal de la Bruche, - le Muhlbach. Le report d’objectif pour l’état écologique au niveau de la Mossig 2 est dû à un coût disproportionné et les onze reports d’objectifs pour l’état chimique sont dus à des problèmes de faisabilité technique . Les coûts du programme de mesures 2010-2027 : Le programme de mesure définit les actions à mettre en œuvre pour atteindre les objectifs environnementaux; il estime également le coût financier des opérations définies. Actuellement, six masses d’eau ont acquis leur bon état global : l’Albet, le Framont, le Barembach, le Bass de Russ, le Netzenbach et la Mossig 1. Sept masses d’eau ont un bon état chimique actuel et sept un bon état écologique. Les coûts de fonctionnement sur le bassin versant s’élèveraient à 160 000€ pour l’hydromorphologie (entretien des cours d’eau). Les coûts au niveau des investissements totaliseraient 38 590 000 € avec un effort porté sur l’assainissement : 32 000 000 € (13 €/hab/an) et 6 590 000 € (3 €/hab/an) pour l’hydromorphologie (renaturation des cours d’eau). Les objectifs à atteindre : Les masses d’eau citées ci-dessus et ayant déjà atteint le bon état global auront pour objectif de le conserver pour 2015. Ce seront les seules en mesure d’obtenir le bon état Bassin versant de la Bruche et de la Mossig 6 CG67/PDT/DAERE/Service Rivières La gestion des cours d’eau La gestion des cours d’eau Le SAGEECE de la Bruche et de la Mossig : Les collectivités compétentes : L’ensemble des Communes du bassin versant de la Bruche s’est engagé dans l’élaboration d’un SAGEECE ou Schéma d’Aménagement, de Gestion et d’Entretien Ecologique des Cours d’Eau. Le bassin (voir atlas cartographique, carte 6) versant de la Bruche et de la Mossig comprend principalement : - la CdC de la région de Molsheim-Mutzig (14 communes), - la CdC les Châteaux (5 communes). Ce SAGEECE comprend deux grands volets : Le volet inondation : - prévenir les risques, - limiter les conséquences, - diminuer la vulnérabilité des populations Trois syndicats : - le SIVOM de la Vallée de la Bruche ( 8 communes), - le SIVOM de la Moyenne Vallée de la de la Bruche et de la Hasel (7 communes), - le Syndicat Mixte du Bassin de la Mossig (22 communes). Le volet restauration : - améliorer la qualité physique et biologique des rivières, - pérenniser les espèces et espaces d’intérêt écologique. Deux communautés de communes (CdC) : Au final, l’objectif principal est l’amélioration de la fonctionnalité du lit majeur. La Communauté Urbaine de Strasbourg : - Le CTGP Bruche-Mossig : Le CTGP (Comité Technique de Gestion Piscicole) du bassin Bruche-Mossig a été mis en place pour la sauvegarde des milieux aquatiques. Il se compose de représentants choisis parmi les diverses associations de pêche du bassin ainsi que d’experts scientifiques. Duppigheim, Hangenbieten, Achenheim, Holtzheim, Entzheim, Oberschaeffolsheim, Wolfisheim, Eckbolsheim, Lingolsheim. CG67 Passe à poisson en bassins successifs de Kolbsheim Bassin versant de la Bruche et de la Mossig 7 CG67/PDT/DAERE/Service Rivières Les chiffres-clés Les chiffres-clés Le bassin versant : La continuité écologique : Superficie : 720 km² Linéaire des cours d’eau : 400 km Nombre de communes : 88 Nombre d’habitants : 136 696 Densité moyenne : 296 hab/km² Densité à Grandfontaine : 10 hab/km² Densité à Lingolsheim : 2 980 hab/km² Nombre d’ouvrages : Dont infranchissables : Nombre de passes à poissons : Nombre de moulins : 390 131 7 18 Les usages de l’eau : Nombre Nombre Nombre Taux de Nombre La Bruche : - linéaire : 77 km - sous-bassin versant : 551 km² La Mossig : - linéaire : 33 km - sous-bassin versant :169 km² de captages : de DUP (captages) : de STEP : raccordement : d’ICPE : 236 181 15 89,9% 200 La DCE et le bassin versant : La gestion des cours d’eau : Nombre de masses d’eau : Nombre d’objectifs de bon état 2015 : Le SAGEECE de la Bruche et de la Mossig : - création : 2007 - superficie : 720 km² - nombre de communes : 88 Coûts du programme de mesure : 18 7 Coûts de fonctionnement Nombre de Syndicats : 3 Nombre de CdC : 2 Nombre de Communauté Urbaine : 1 Hydromorphologie 160 000€ L’hydrologie : Coûts d’investissement Les stations hydrométriques en activité : la la la la Bruche à Russ, Bruche à Holtzheim, Bruche à Wolxheim, Mossig à Soultz-les-Bains. Assainissement Hydromorphologie 32 000 000€ 6 590 000€ Les débits caractéristiques : Module (1) QMNA5 (2) Stations Années de mesure Bruche à Russ 1962-2010 49 ans 5,97 1,3 150 Bruche à Holtzheim 1965-2010 46 ans 8,14 0,92 220 Mossig à Soultz 1970-2010 41 ans 1,37 0,43 27 (1) Module (m3/s) : débit moyen inter-annuel, calculé sur des dizaines d’années. C’est une synthèse des débits moyens annuels. (3) Sources : Institut national de la statistique et des études économiques, Conseil Général du Bas-Rhin, Agence de l’eau Rhin-Meuse, Fédération de pêche du Bas-Rhin, Association pour la relance Agronomique en Alsace, Association Saumon-Rhin, Banque Hydro. Bases de données : BD Carthage, BD OCS 2008, BD Alti, RID, SDVP Données 2010 (2) QMNA 5 (m3/s) : débit moyen mensuel sec de récurrence 5 ans. Il donne une information sur la sévérité de l’étiage. (3) QIX 50 (m3/s) : débit instantané maximum de retour 50 ans, indiquant l’ampleur d’une crue. Bassin versant de la Bruche et de la Mossig QIX 50 8 CG67/PDT/DAERE/Service Rivières cartes NOTES ............................................................................................ ............................................................................................ ............................................................................................ ............................................................................................ ............................................................................................ ............................................................................................ ............................................................................................ ............................................................................................ ............................................................................................ ............................................................................................ ............................................................................................ ............................................................................................ ............................................................................................ ............................................................................................ ............................................................................................ ............................................................................................ ............................................................................................ ............................................................................................ ............................................................................................ ............................................................................................ ............................................................................................ CONSEIL GÉNÉRAL DU BAS-RHIN HÔTEL DU DÉPARTEMENT Place du Quartier Blanc / 67964 STRASBOURG cedex 9 Tél : 03 88 76 67 67 / Fax : 03 88 76 67 97 www.bas-rhin.fr PÔLE DÉVELOPPEMENT DES TERRITOIRES Direction de l’Agriculture, de l’Espace Rural et de l’Environnement Service Rivières Téléchargement des documents www.bas-rhin.fr/le-conseil-general/poledeveloppement-territoires/rivieres/plaquettesbassins-versants Direction de la Communication CG Bas-Rhin / Avril 2012 / © CG67 / Impression CG67. + O F IN