L`école Raymond fermera ses portes

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L`école Raymond fermera ses portes
François Pierre Dufault : L'école Raymond fermera ses portes | Gatineau-Outaouais
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Publié le 19 janvier 2009 à 23h07 | Mis à jour le 19 janvier 2009 à 23h11
L'école Raymond fermera ses portes
François Pierre Dufault
Le Droit
L'école Raymond fermera
définitivement ses portes à la fin de
l'année scolaire.
C'est ce qu'a décidé la Commission
scolaire des Draveurs (CSD), hier,
en dépit de la grogne que cette
éventualité soulève chez un groupe
de parents. La CSD a rendu son
verdict en se basant sur des
projections démographiques des
trois prochaines années. D'ici 2012,
l'administration scolaire prévoit que
la clientèle de l'école Raymond
passera sous la barre des 130
élèves. C'est donc dire, selon la
CSD, que l'établissement
d'enseignement primaire ne sera
Le chef de l'ADQ plaide pour le retour d'un «vrai bulletin chiffré» et la
multiplication d'examens nationaux pour que les élèves puissent savoir où ils
utilisé qu'à 50 % de sa capacité. La
situent par rapport aux autres.
CSD estime qu'il sera plus rentable
Photothèque Le Soleil, Jean-Marie Villeneuve
de déplacer ces élèves vers les
écoles de L'Odyssée et de La
Montée, que de maintenir l'école
Raymond ouverte. Une décision dure à avaler pour la quarantaine de parents qui ont assisté, hier, à la tenue du
vote sur la fermeture de leur école de quartier. « Quelles valeurs est-ce qu'on transmet à nos enfants si on leur
montre que l'argent est plus important que leur bien-être », a lancé Nathalie Joly, mère de deux filles qui
fréquentent l'école Raymond. Or, cette décision de la CSD a été rendue seulement trois jours après la sortie de la
ministre de l'Éducation, Michelle Courchesne, qui a indiqué samedi dans une entrevue au Journal de Montréal
que les commissions scolaires devaient mettre la pédale douce avec les fermetures d'écoles. « Mais moi, je dis
prudence. Peut-être qu'on a effectivement deux ou trois ans de baisse, mais la situation est en train de changer
avec le Régime d'assurance parentale », a-t-elle déclaré. De son côté, la CSD affirme n'avoir reçu aucune
directive officielle de Québec. « La ministre a dit qu'il faut être prudent (avec les fermetures d'écoles). On est
prudent, on est très sérieux », a déclaré au Droit le président de la commission scolaire, Julien Croteau. La CSD
entend d'ailleurs confier à la direction des écoles de L'Odyssée et de La Montée la responsabilité de préparer un
« plan d'accompagnement » pour l'accueil et l'intégration des élèves qui seront déplacés à la suite de la fermeture
de l'école Raymond. Pour sa part, le Conseil d'établissement de l'école Raymond n'entend pas en rester là. Il
tiendra une réunion d'urgence dans l'école primaire de la rue Brébeuf, demain soir à 19 h. « Ce n'est que le début
pour moi. Ce n'est pas la fin », a déclaré son président André J. Lebeau, après la tenue du vote.
http://www.cyberpresse.ca/le-droit/actualites/gatineau-outaouais/200901/19/01-819117-l...
2009-01-20
Dominique La Haye : 500 chauffeurs seraient mis à pied | Ottawa-Est ontarien
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Publié le 19 janvier 2009 à 19h59 | Mis à jour le 19 janvier 2009 à 20h00
Au lendemain du règlement du conflit chez OC Transpo
500 chauffeurs seraient mis à pied
Dominique La Haye
Le Droit
Le grand patron d'OC Transpo,
Alain Mercier, évalue que 500
chauffeurs d'autobus perdront leur
emploi au lendemain de la grève,
puisqu'il faudra plus de trois mois à
la Ville d'Ottawa pour rétablir
entièrement son service de
transport en commun.
Archives, LeDroit
Pour éviter le pire scénario, la Ville
souhaite conclure une entente avec
le syndicat représentant les quelque
2300 employés en grève pour
permettre, le plus tôt possible, le
retour au travail des mécaniciens
chargés d'effectuer les travaux
d'entretien du parc automobile.
Selon la Ville, cette mesure
accélérerait le retour sur la route
des véhicules.
« La situation actuelle nous obligera, une fois la grève terminée, à annoncer les mises à pied de 500 chauffeurs,
si nous ne sommes pas en mesure de mettre en place un plan, indique M. Mercier. Plusieurs employés ne seront
pas payés et la grève affectera négativement les employés comptant le moins d'ancienneté qui seront jusqu'à 12
semaines sans toucher de salaire. »
Le directeur d'OC Transpo nie que sa proposition vise à diviser les employés entre eux. « Il faut être réaliste,
notre demande au syndicat de revenir à la table pour conclure une entente sur l'entretien du parc automobile est
dans l'intérêt des deux parties. Ce n'est pas pour diviser, mais pour que tous les employés d'OC Transpo
puissent retourner au travail une fois la grève terminée », explique-t-il.
Si le syndicat acquiesce à la demande de la Ville, M. Mercier estime qu'après la grève, le système ne
fonctionnera qu'à 70 % durant les deux premières semaines. Ainsi, 430 autobus seront mis en service et se
concentreront sur les principaux circuits. Le service en dehors des heures de pointe et la fin de semaine
reviendra à la normale, tout comme le O-Train. De la troisième à la sixième semaine, les principaux circuits
seront augmentés et le service fonctionnera à 80 %. Il faudra cependant attendre jusqu'à 14 semaines pour
revenir entièrement à la normale et les services d'autobus Express dans les banlieues seront les derniers à être
réintégrés.
Pour l'instant, les deux parties semblent s'entendre sur un seul point, celui de respecter un silence dans les
médias. Le directeur municipal d'Ottawa, Kent Kirkpatrick, a refusé de dire, hier, si les discussions ont repris ou si
la Ville comptait proposer autre chose au syndicat.
Graham refuse de commenter
Joint par LeDroit, hier, le vice-président international du Syndicat uni des transports, Randy Graham, a pour sa
part indiqué qu'il ne commenterait pas la situation et qu'il n'avait rien de nouveau à ajouter depuis vendredi.
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2009-01-20
Dominique La Haye : 500 chauffeurs seraient mis à pied | Ottawa-Est ontarien
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« Nous avons été naturellement en contact (avec la Ville), mais nous ne commentons pas. Il n'y a rien de
nouveau et nous sommes encore au même point », a-t-il déclaré.
M. Mercier a pour sa part ajouté que 12 des 20 véhicules additionnels de Para Transpo ont été ajoutés sur la
route et que la formation des chauffeurs se poursuit.
10500 bons de taxi
Le gestionnaire municipal des services récréatifs, Aaron Burry, a pour sa part indiqué que la Ville a déjà distribué
10 500 bons de taxi à une quinzaine d'agences communautaires.
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L'Express - Ottawa > Vie communautaire > Un livre commémoratif pour le 150e anniver... Page 1 sur 1
Un livre commémoratif pour le 150e anniversaire d’Orléans
par Karine Régimbald
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Article mis en ligne le 16 janvier 2009 à 14:45
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En 2010, la paroisse St-Joseph et la communauté d’Orléans fêteront leur 150e anniversaire de
fondation. Pour l’occasion, l’idée de produire un livre sur Orléans a été soulevée. L’ouvrage
comprendra un historique des familles, des organismes, des commerces et des entreprises qui ont
marqué l’histoire d’Orléans au fil des années. La population est donc invitée à participer au projet en
fournissant des photos de familles, de groupes ou encore d’événements spéciaux et ce, avant le 23
janvier prochain.
Le Comité du livre offre trois façons de soumettre des documents pertinents au projet, soit en apportant
une boîte libellée Historiques-150e placée dans le portique central à l’arrière de l’église, en apportant
une enveloppe au bureau de la paroisse St-Joseph à l’heure des messes ou aux heures d’ouverture ou
en postant le matériel à la Société du 150e d’Orléans, du 2757 boulevard St-Joseph, Orléans, Ontario,
K1C 1G4.
Les photos remises ne seront pas retournées par la suite puisqu’elles seront conservées dans des
archives à la paroisse St-Joseph. Pour de plus amples renseignements, veuillez téléphoner à Colette
au 613-824-1529.(K.R.)
http://www.expressottawa.ca/article-293096-Un-livre-commemoratif-pour-le-150e-anniv... 2009-01-20
Dominique La Haye : Programme d'hébergement temporaire à l'Université d'Ottawa | Ott... Page 1 sur 2
Publié le 19 janvier 2009 à 17h53 | Mis à jour le 19 janvier 2009 à 17h56
Grève à OC Transpo
Programme d'hébergement temporaire à
l'Université d'Ottawa
Dominique La Haye
Le Droit
En raison de la grève du transport
en commun qui perdure, le recteur
de l'Université d'Ottawa, Allan Rock,
offre d'héberger deux personnes à
son domicile situé à 20 minutes de
marche du campus principal.
Le grand patron de l'université se
joint ainsi à l'idée mise en place,
hier, par l'institution qui est de créer
un programme d'hébergement
temporaire pour les étudiants durant
la grève d'OC Transpo.
Allan Rock
Archives, LeDroit
«Debby et moi savons que cette
grève crée un stress énorme pour
les étudiants. Certains sont même
obligés d'abandonner leurs études.
Nous avons de la place, et nous
sommes heureux d'héberger deux
personnes dès maintenant», a
déclaré M. Rock.
«Nous avons reçu plusieurs courriels d'étudiants disant qu'ils allaient abandonner leurs cours en raison de la
grève, ils sont des centaines à manquer leurs cours quotidiennement, ajoute-t-il. C'est une situation épouvantable
pour les étudiants.»
Le programme mettra les étudiants en contact avec des résidants d'Ottawa ou des employés de l'université qui
habitent à distance de marche d'un des deux campus - secteurs du centre-ville et de l'Hôpital d'Ottawa - et qui
sont disposés à héberger gratuitement des étudiants chez eux, jusqu'à la reprise du service de transport.
Les étudiants pourront aussi prendre contact avec des personnes qui vivent à l'extérieur de ces secteurs mais qui
peuvent assurer quotidiennement leur transport jusqu'à l'université ou à l'un des points d'embarquement des
navettes. Le recteur précise qu'une douzaine de navettes ont été mises en place, dont cinq additionnelles cette
semaine, et ce en collaboration avec l'Université Carleton, le collège Algonquin et La Cité collégiale.
http://www.cyberpresse.ca/le-droit/actualites/ottawa-est-ontarien/200901/19/01-819057-...
2009-01-20
Dominique La Haye : Programme d'hébergement temporaire à l'Université d'Ottawa | Ott... Page 2 sur 2
Le programme sera coordonné par le Service du logement de l'université. Les étudiants désirant participer au
programme peuvent se rendre directement au Service du logement, au 90, rue Université, pièce 145, du lundi au
vendredi entre 9 h et 17 h, ou composer le 613-562-5800, poste 5057, ou par courriel à offcamp1@uottawa.ca
pour obtenir plus d'information.
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2009-01-20
Challenging our students
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Challenging our students
THE OTTAWA CITIZEN
JANUARY 20, 2009 7:01 AM
By the time they get to Grade 12, Canadian students should be mature enough to read Margaret
Atwood's classic novel, The Handmaid's Tale.
Indeed, they should be mature enough to read just about anything. These are students who are just
one year away from adult life, perhaps one year away from the cauldron of ideas and experience that is
university.
Reading lists for younger children should take parental concerns and community mores into account,
but by the end of high school, students no longer need to be protected from the ugly things in life and
literature.
A parent named Robert Edwards filed a complaint with the Toronto District School Board once he
discovered that his 17-year-old son was reading The Handmaid's Tale for a Grade 12 English class.
Mr. Edwards says the language and themes wouldn't be appropriate for hallway conversation at
Lawrence Park Collegiate, so why would the teachers assign such a book or discuss it in class?
"I can't really understand what it is my son is supposed to be learning from this fictional drivel," Mr.
Edwards has complained.
Well, he might learn a little about how to craft an important novel. The Handmaid's Tale won the
Governor General's award in 1985. At a time when two-thirds of young Canadians can't name a
Canadian author, it makes sense to expose students to their own country's literature.
It's pretty hard to find a decent contemporary novel that doesn't get gritty from time to time. The
Apprenticeship of Duddy Kravitz, another CanLit staple, has its moments of memorable vulgarity.
Beyond its value as a central piece of contemporary Canadiana, The Handmaid's Tale is a classic
example of how literature can function as cultural commentary. Ms. Atwood makes readers think about
whether our society still defines women by their marital status, or whether our notion of womanhood
itself still centres on child-bearing. It presents a theory about authoritarianism, suggesting that ordinary
people will do awful things in the right circumstances.
It is a treatise on the oppression of women. The role of the "Aunts," who train the "Handmaids" to be
submissive, raises the question of whether women play a role in perpetrating misogyny; after all, it's the
women, in several countries, who bring little girls to have their genitals mutilated in the name of sexual
purity.
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2009-01-20
Challenging our students
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It also portrays a kind of polygamy, one based on an interpretation of the Old Testament. Readers may
or may not agree with Ms. Atwood social agenda, whatever it is deemed to be, but the book shows
vividly the intersection of literature and politics.
The book does make its readers think about the Bible, but it isn't a simplistic attack on religion. It's a
feminist book that's also a critique of 20th-century feminism. In short, there is plenty for a class of 17year-olds to talk about. Teachers have been trying for years to find books that interest students; that's
why The Catcher in the Rye has become a stand-by in schools, especially in the United States.
The depictions of loveless sex in The Handmaid's Tale are disturbing -- but then again, it's also
disturbing when Othello accuses his wife of giving another man a handkerchief and smothers her to
death. Great art isn't all sunshine and flowers.
A public school education should, at the appropriate time and in the appropriate ways, expose young
Canadians to big, challenging ideas.
© Copyright (c) The Ottawa Citizen
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2009-01-20
Updated: Near-record university applications in Ontario
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Updated: Near-record university applications in
Ontario
BY JOANNE LAUCIUS, THE OTTAWA CITIZEN
JANUARY 19, 2009
OTTAWA — Record numbers of Ontario high school students have applied to university according to
data released Monday.
But the number of high school applicants who put Carleton University as their first choice dipped
slightly, while University of Ottawa applications inched upwards by 4.9 per cent.
In all, about 84,300 applications were sent to the university applications centre in Guelph by the
deadline last Wednesday. That number is a 1.1 per cent increase over the number that applied in 2008
and 42 per cent more than the 59,197 that applied in 2000, according to the Council of Ontario
Universities.
The only year in which Ontario’s total was higher was the “double cohort” year of 2003 when 102,618
people applied to university after both Grade 12 and Grade 13 students graduated in the same year
Grade 13 was cancelled.
While Carleton’s applications from high school students have remained flat, there have been increases
from other sources, said Suzanne Blanchard, the university’s registrar and and associate vicepresidents of enrolment management.
For example, applications from international and out-of-province students, as well as those who took
some time off after high school are up by 12 per cent. “We have to look at the complete picture,” she
said.
The figures released yesterday show a pattern of steady growth for Ontario universities at a time when
other provinces are seeing stagnant or declining numbers, said Paul Genest, president of the Council
of Ontario Universities. University enrolment has flatlined in Alberta and is dropping in Atlantic Canada,
he said.
This year in Ontario there has also been a significant increase in the number of applicants no longer in
high school, including former high school students, mature, transfer and out-of-province students.
Applications from this group jumped almost 10 per cent to 21,128.
About 3,500 of those were applicants who took a year off after high school, a trend that has continued
for several years, said Mr. Genest. Many students take a few courses in their year off to improve their
chances of getting into the program or university of their choice.
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2009-01-20
Updated: Near-record university applications in Ontario
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High school students’ choices of specialty also indicate where they see job growth in the coming years.
Across the province, applications to arts and science were flat and the greatest percentage increases
in application rates were in nursing, which saw 11.2 per cent more overall applications; social work,
which saw a 10.7 per cent increase; and environmental studies, with an 8.5 per cent increase.
High school students showed a declining interest in agriculture programs with a 6.6 per cent drop,
business administration with a 9.1 per cent drop, and mathematics, which had 7.5 per cent fewer
applicants.
In the past, economic downturns have produced increases in the numbers of people who want to go to
university, said Mr. Genest.
He has a few explanations for why Ontario’s numbers remain so healthy, despite the fact that
enrolment is dropping in high schools in many districts in the province, including Ottawa and the rest of
Eastern Ontario.
Immigration patterns mean that many new Canadians have degrees and encourage their children to go
to university as well, said Mr. Genest.
While school boards in many areas are closing schools, the population of university-age young people
in the Toronto area is still growing, he added.
The University of Guelph’s Humber campus attracted 4,034 applications, a 17 per cent increase over
last year, while 10.5 per cent more students put Ryerson University as their first choice, and 4.3 per
cent more out the University of Toronto first. York University, where teaching assistants have been on
strike since Nov. 6, had a significant drop in applications — 14.7 per cent fewer high school students
chose York first.
Carleton, which has stepped up its recruiting efforts in the Toronto region in recent years with improved
relationships with guidance counsellors and radio commercial spots, has seen a four per cent increase
in applications from the Toronto area.
“Students in Toronto see Carleton as choice,” said Ms. Blanchard.
At the same time, Carleton is “developing our brand” in a number of international markets, including the
United Arab Emirates and Mexico, she said.
The average student applies to four programs, said Mr. Genest. There are now 20 universities in the
province.
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2009-01-20
Students give Kanata Youth Centre a needed facelift
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Students give Kanata Youth Centre a needed facelift
BY MATTHEW PEARSON, THE OTTAWA CITIZEN
JANUARY 19, 2009
A.Y. Jackson Secondary School teacher Cathy Belanger, left, and students Aman Ahluwalia, 16, Sam Thum, 17, Charlotte
Nahon, 17, and Alex Sanghwan, 16, stand outside of the Kanata Youth Centre at its grand re-opening Saturday. Ms. Belanger's
marketing students helped re-brand and renovate the centre as a class project.
Photograph by: Jana Chytilova, The Ottawa Citizen
OTTAWA — If the recession has you thinking a new marketing strategy and re-branding might be in
order for your business, look no further than some Grade 11 students from A.Y. Jackson Secondary
School in Kanata for advice.
The class of 26 business and marketing students is fresh from giving the Kanata Youth Centre on
Castlefrank Road a major facelift. The students analysed the centre’s target market, developed an
advertising and marketing plan, gave the place a new paint job, created a flashy logo and renamed it
The Zone.
The semester-long project culminated in a loud and boisterous grand opening Saturday afternoon.
“I think it’s going to be really appealing to the age group we’re targeting,” said Charlotte Nahon, a
student in the class. “Not childish, but not a place for 60 year olds.”
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2009-01-20
Students give Kanata Youth Centre a needed facelift
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Ms. Nahon, 17, was the project’s interior designer. She remembered with a grimace her first glimpse of
the centre.
“It was depressing, it smelled really bad,” she said. “I would have never come here to hang out. It
definitely wasn’t welcoming.”
Ms. Nahon, who explained she’s been into interior design for about five years and regularly watches
TLC’s Trading Spaces, chose deep burgundy and mustard for the walls and added accents like lamps
and curtains to the room. The washrooms were also re-done.
The Zone, which is about a 10-minute walk from the school, is larger than a typical classroom. There is
a pool table in one corner and a foosball table in another.
There are also futons, board games and a big-screen television.
The Kanata Youth Centre was formerly run by a board of directors, but the Western Ottawa Community
Resource Centre has taken it over. They provided the class with $3,000 to re-develop the space, which
is now open five days a week.
Teacher Cathy Bélanger said the project gave her students hands-on experience.
“They’ve actually been able to do what they’ve been learning,” she said, adding the class visited The
Zone about once a week throughout the term.
Student Alex Sanghwan, 16, scanned the room with a proud smile. He said part of the challenge was
getting everyone on the same page.
“Our idea was to make it warm and welcoming,” he said. “We really wanted people to feel it was a
home away from home.”
The Zone is just the latest incarnation of a building familiar to many in Kanata. It was originally a post
office near where the Hazeldean Mall currently stands. In the 1970s, it was moved to another location
and became a library. A decade later, the Lion’s Club moved it to its current location and used it as a
meeting place before turning it into the youth centre.
Tom Flood was among the Lion’s Club members on hand for the grand re-opening. He said he was
eager to see what the A.Y. Jackson students had done with the place.
“I just wanted to say congratulations to them for the work they’ve done,” he said.
© Copyright (c) The Ottawa Citizen
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2009-01-20