www. etterbeek.lecdh.be Du changement avec le cdH!

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www. etterbeek.lecdh.be Du changement avec le cdH!
Terracotta
Journal du cdH de Bruxelles-Hal-Vilvorde
Editeur responsable: Denis Grimberghs, rue du Chêne, 14 - 16 – 1005 BXL
Trimestriel: octobre – novembre – décembre 2006 – n° 8
info@cdhterracotta.be – Bureau de dépôt Bruxelles X - N° d’agrément P505021
Du changement avec le cdH!
Le cdH d’Etterbeek présente
une liste électorale diversifiée
et engagée autour d’un projet
commun de renouveau
d’Etterbeek
Si l’électeur pouvait se réveiller, au matin du
9 octobre, avec du nouveau pour Etterbeek, des
édiles prêts à repenser Etterbeek dans la continuité et le changement, dans la transparence et
sans avoir tout décidé sans débat. Il s’agirait
d’une nouvelle majorité qui conjuguerait
économie de moyens, absence de culte de la
personne et rigueur. La liste cdH 2006 a tout
pour contribuer à cet éveil heureux. Les électeurs qui veulent une démocratie vivante choisi-
ront résolument ce changement. En face de
nous, une coalition autour d’un seul projet : la
reconduction du bourgmestre dans ses fonctions actuelles.
La liste cdH est composée d’hommes et de
femmes désireux de favoriser une alternance
bénéfique à Etterbeek.
Ils viennent des horizons les plus divers. Diversité d’âge, de compétences, de professions,
de statuts sociaux, de quartiers, d’origines culturelles.
Au moment de la conférence de presse, la plus
jeune candidate avait encore 17 ans, et la plus
âgée 72 ans. Outre les etterbeekois de souche, les
communautés congolaise, camerounaise, maro-
Visitez notre site
internet: www.
etterbeek.lecdh.be
En campagne
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caine, libanaise, syriaque, italienne, hongroise,
polonaise, pakistanaise, hollandaise… et néerlandophone se retrouvent sur la liste dans une cohabitation harmonieuse. Une liste également
rajeunie puisque neuf personnes, soit 25 % de la
liste, ont moins de 35 ans.
Une liste de candidats compétents et responsables: des juristes, des financiers, des personnes
actives dans le monde de la santé, du commerce,
de l’urbanisme, de l’architecture, de l’environnement, du social, de la petite enfance, de la
culture et de l’enseignement. Toutes les questions qui sont liées à ces matières seront suivies
de près par notre groupe, bien au-delà du 8
octobre 2006, qui n’est pour nous qu’une étape,
quelle que soit la place qui nous échoira à ce
moment-là.
Etterbeek,
L’entonnoir
ou l’alternance?
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C’est une équipe décidée qui s’offre à vos
suffrages. Le changement est la santé de la
démocratie. La répétition des mêmes est un
signe de fatigue et d’engourdissement des
consciences. Si le conservatisme est un gage de
confort pour le présent, l’expérience nous
enseigne qu’il hypothèque trop souvent l’avenir.
Notre équipe est soudée autour d’un projet
commun sans concessions aux mauvaises habitudes. Notre projet table sur le dynamisme des
Etterbeekois. Il est fait d’imagination, de rigueur
et de réalisme. ■
André du Bus
Conseiller Communal, Député régional
Tête de liste
Un autre avenir
à Etterbeek!
environnement
En campagne!
02
C’est la dernière ligne droite avant les élections. Les
programmes et idées circulent et nourrissent le débat.
Chaque quartier, chaque commune avec ses spécificités,
chacune à «Visages humains».
Par Denis Grimberghs et Thierry Paelinck
Bruxelles, ville verte
La Région bruxelloise se caractérise
par la densité de ses espaces verts:
non seulement des parcs publics
mais aussi des intérieurs d’îlots.
C’est sans nul doute un atout que
nous devons sauvegarder et
valoriser.
Sa sauvegarde passe par l’entretien
régulier des parcs et jardins publics,
le refus du lotissement des fonds
de parcelles et l’abattage des arbres
en intérieur d’îlots. Sa valorisation,
quant à elle, implique notamment
le développement d’une meilleure
connaissance des espaces verts
bruxellois et la reconnaissance de
la qualité du travail des équipes
communales et régionales chargées
des plantations.
Pourquoi ne pas également utiliser
le potentiel que représentent ces
espaces verts dans la formation des
enfants et des jeunes au respect de
l’environnement et la connaissance
de la faune et de la flore?
Parler d’espaces verts à Bruxelles,
c’est aussi traiter de la propreté et
de la sécurité. Cela implique non
seulement le respect du mobilier
urbain mais aussi du calme et de
la quiétude des promeneurs ainsi
que l’estime pour le travail des
ouvriers d’entretien.
Trop d’espaces verts sont mal
entretenus ou ne disposent pas
d’équipement de bonne qualité.
Pourtant des investissements peu
onéreux (un banc, une poubelle,
une clôture, ...) permettraient
d’améliorer la qualité esthétique des
lieux, leur confort et ainsi inviter au
respect de ses infrastructures.
Les espaces verts sont aussi les
lieux privilégiés des enfants.
En conséquence, ils devraient
bénéficier d’espaces de jeux
sécurisés et de qualité. Ce n’est
que partiellement le cas et nombre
de ces espaces sont mal délimités
ou leur entretien pas toujours assuré
avec la rapidité qui conviendrait pour
maintenir en bon état les engins
des plaines de jeux.
Nous entendons donc tenir compte,
dans nos programmes communaux,
de la question des espaces verts
et veillerons également, au niveau
régional, à ce que cette
problématique bénéficie de toute
l’attention des pouvoirs publics
et administrations gestionnaires. ■
Il est un objectif qui domine nos thèmes de
campagne: le respect. C'est sans doute le
mot le plus juste pour illustrer le projet dont
les habitants ont besoin : c'est le premier
droit de chaque Bruxellois et, donc, la
première obligation des responsables politiques à leur égard.
C’est le droit de voir son intégrité physique
respectée et de vivre dans un environnement
protégé ; le droit d'avoir un logement à un
prix raisonnable ; d'avoir un emploi convenable ; le droit de voir l’autre respecté dans
sa différence, son identité religieuse et culturelle.
C’est aussi le droit d'être traité avec dignité,
civisme et sans discrimination, peu importe
la langue et l’âge, que l’on soit valide ou pas,
avec ou sans emploi ; le droit d'être considéré comme une personne, et non un
numéro par les services publics ; le droit
d'être respecté dans son rôle de parent,
grand-parent, professeur, femme ou voisin ;
le droit de nouer des relations sans agressivité ni mépris.
C'est aussi le premier devoir de chacun à
l'égard des autres et de la société. Il implique
le respect de la loi et des règlements, mais
aussi des règles de politesse et de solidarité
les plus élémentaires : pour améliorer les
relations humaines, de voisinage, la solidarité de quartier, l’éducation, la propreté, le
bruit, la mobilité…
C'est enfin et surtout une exigence pour les
responsables politiques, à l’égard des citoyens
comme des autres formations politiques. Cette
exigence, c’est l’honnêteté.
Le cdH a proposé et obtenu cinq réformes
audacieuses en Région wallonne en matière
d’éthique politique (contrôle des élus
renforcé, incompatibilités nouvelles, règles
strictes de déontologie, nouvel office de
contrôle et nouveaux comités d’audit, diminution du nombre de mandats et des avantages matériels liés à ces fonctions).
Les communes bruxelloises devraient s’en
inspirer. Nous proposons notamment dans
notre programme une série de mesures pour
améliorer la transparence politique et
redonner confiance au citoyen. Parmi cellesci: la création d’un comité d’audit interne
dans chaque commune, d’un code de déontologie applicable aux conseillers communaux et aux membres du Collège, d’une
charte de l’administrateur public désigné par
chaque Conseil communal,…
Sans attendre ces mesures bien nécessaires,
tous les candidats cdH ont signés une Charte
de l’honnêteté et de l’éthique, avec des engagements précis. Il s’agit d’une preuve de
notre détermination à exercer les missions
publiques de la manière la plus transparente
et déontologique qui soit.
Autant de défis que chacun de nos candidats
s’engage à relever, qu’ils soient mandataires
expérimentés ou citoyens engagés. Ils sont à
votre disposition. ■
Joëlle Milquet
Vous pouvez télécharger la Charte de l’honnêteté et de l’éthique sur le: www.lecdh.be
Un enjeu vert pour Bruxelles
Bruxelles est une ville bien plus verte que l’on ne le pense! Et il est utile de tordre le cou aux
clichés persistants.
Notre région ne rime pas seulement avec
béton, trafic ou pollution; elle peut aussi offrir
des coins de délassement et de promenade.
C’est d’ailleurs l’un de ses principaux atouts.
Avec 8500 hectares d’espaces dédiés à la
nature, soit la moitié de sa superficie, la
Région bruxelloise se place en tête parmi les
villes les plus vertes d’Europe. La forêt de
Soignes, les parcs et jardins publics ou privés
constituent le poumon vert de la ville. Saviezvous que notre région comptait, par exemple,
pas moins de 13 réserves naturelles?
Mais si la moitié du territoire bruxellois est
vert, la majorité de ces espaces sont privés
et l’accès au public n’est en définitive
possible que sur un tiers de cette zone. Un
chiffre qui reste malgré tout important car,
selon l’IBGE (Institut Bruxellois pour la
Gestion de l’Environnement), près de 80 %
des Bruxellois disposent d’un accès à un
espace vert public à moins de 300 mètres à
vol d’oiseau de chez eux.
Mais des disparités locales subsistent et la
répartition de ces espaces est inégale. Certes,
de nombreux parcs assurent des fonctions
d’embellissement de la ville et de bien-être,
mais tous les quartiers ne peuvent s’en prévaloir. Si les zones périphériques de la Région
bénéficient d’un degré de verdurisation allant
parfois jusqu’à 71%, le centre-ville ne jouit
d’un degré de verdurisation que de 10%,
composé essentiellement de parcs publics.
Il s’agirait donc d’entretenir ces espaces exis-
tants et de veiller à diversifier et aménager
des espaces verts dans les zones qui en sont
dépourvues pour que chaque Bruxellois
puisse bénéficier d’une parcelle verte près de
chez lui. Car la présence d’îlots de nature en
ville comporte des avantages certains: lieux
de repos et de détente, ils embellissent la vie
et la ville des Bruxellois. Et c’est sans
compter sur l’attrait indéniable que représente une ville verte pour le tourisme, car le
caractère verdoyant de notre Région se
trouve bien classé parmi les raisons pour
lesquelles les étrangers apprécient la vie à
Bruxelles.
Valeur ajoutée incontestée pour Bruxelles, la
gestion de ces espaces est donc un enjeu
important pour lequel la Région et les administrations communales doivent agir de
concert.
Une telle collaboration est possible via la
mise en œuvre d’un plan de gestion des parcs
et espaces verts. Outil de participation, il
permet au citoyen d’avoir son mot à dire dans
la gestion du patrimoine naturel bruxellois en
l’associant aux autorités communales mais
aussi régionales. C’est aussi un instrument
de planification qui permet une administration programmée dans le temps des espaces
verts en se référant à 3 critères: l’esthétisme
du paysage, le respect de la biodiversité et
l’accueil du public.
Une gestion concertée entre le citoyen, la
commune et la Région permettrait ainsi une
meilleure réponse aux besoins des Bruxellois
ainsi que d’éviter la perte de temps et de
moyens financiers inutiles. ■
Informations et source : IBGE
(www.ibgebim.be)
> LOGEMENT
Développer la ville, durablement!
Les villes! Quel succès depuis plus de 5000 ans! A tel point que pour la première fois,
la moitié de la population mondiale est aujourd'hui composée d’hommes des villes. Au train
où vont les choses, il y aura 60% de citadins en 2030. Mais voilà, les 150 agglomérations
multimillionnaires, et tant d'autres de moindre calibre, sont loin d'être des paradis.
L'ère des tours, synonymes de fourmilières
déstructurées et claustrophobiques, témoigne de l'absurdité des développements
urbains anarchiques actuels. Sans atteindre
les excès des villes américaines et des plus
grandes mégapoles mondiales (Moscou,
Mexico, Shanghaï, etc ...), les villes d'Europe
sont fort marquées par l’automobile sacrosainte (comme en Inde il y a la vache sacrée).
Logements sociaux
à Etterbeek: taux
d’inoccupation
anormalement élevé!
J’ai travaillé de nombreuses années
pour une société de logements
sociaux à Etterbeek. J’en connais
donc particulièrement bien les
arcanes.
Or le trafic automobile pose des problèmes
majeurs par l'émission de ses polluants
atmosphériques et par le bruit, responsable
de stress, d’insomnies, de troubles de l'audition et même de maladies cardiovasculaires...
Partout ou presque, la ville ne cesse de se
détériorer et réclame des ajustements. La
fuite des travailleurs urbains à la campagne
ne fait qu’accroître les problèmes. Il faut
donc mieux penser la ville.
Urbanistes et architectes, en particulier, ont
fort à faire pour rendre l'espace urbain plus
agréable à vivre. Il faut promouvoir la qualité
de vie en ville. Mais que signifie ce concept
au sein des administrations responsables,
distraites trop souvent à servir leur propre
image?
Ne tenir compte que de critères matériels,
consuméristes (nombre de logements, d'hôpitaux, de transports en commun,...) est
réducteur. La qualité de vie urbaine relève
aussi d'autres critères, plus subjectifs, qui
touchent à la convivialité, au cadre de vie
respectueux des éléments naturels et à la
qualité des relations entre ses habitants, bref
au lien social.
Aux Pays-Bas, en Suisse alémanique et en
Allemagne, des quartiers verts sont en projet
ou en cours de réalisation. Les habitants n'y
possèdent pas d'automobiles, la circulation
est interdite (sauf aux véhicules d'urgence)
mais le stationnement permis aux entrées de
quartier.
Une partie des ressources dégagées est
affectée à l'amélioration du système de transport collectif local, à la construction de
nouvelles infrastructures, à la requalification
des centres-villes. Voilà un modèle qu’il faut
expérimenter pour chercher à sortir de cette
course à tombeau ouvert vers ‘toujours plus’.
L'espace urbain de demain sera plus humain
si les collectivités locales parviennent à
concilier les “trois e” du développement
durable: l'environnement, l'économie sociale
et l'éthique sociale. Comment ? Notamment
en “vitaminant” la mise en œuvre d’initiatives
de développement local dans le cadre de
l’Agenda 21. Nous voulons y contribuer de
toute notre force. ■
Xavier Dequinze
25e candidat
x.dequinze@lecdh.be
La sécurisation des zones publiques
devant les accès des bâtiments!
Jadis devant l'entrée de
l'école Saint-Stanislas,
il n'y avait qu'un petit trottoir
avec une grande cuvette qui,
chaque fois qu'il pleuvait,
avait l'inconvénient de
mouiller les pieds des élèves
pour toute la journée!
Cet espace exigu ne suffisait pas non plus
aux parents qui se regroupaient souvent avec
des poussettes pour récupérer leurs enfants
à la sortie de l'école.
A l'initiative d'un parent et avec l'accord de la
direction de l'école, un dossier fut élaboré.
Celui-ci reprenait un croquis de l'état existant
et un autre avec l'aménagement souhaité,
prévoyant un élargissement du trottoir et le
placement de barrières de sécurité.
Ce dossier fut ensuite introduit auprès du
service voirie de la commune d'Etterbeek et
quelques temps plus tard les travaux furent
réalisés à la grande satisfaction de tous les
utilisateurs de cet endroit.
Nombreuses sont les personnes qui
me contactent encore, pour me
poser la question suivante: pourquoi
y a-t-il tant d’habitations sociales
inoccupées dans notre commune?
Plusieurs éléments composeront ma
réponse. Avant de pouvoir être
aujourd’hui reloués, les logements
pour personnes à revenus modestes
doivent être adaptés, de façon à
respecter les nouvelles normes de
sécurité et de bien-être établies dans
le secteur.
Les habitations qui ne répondent pas
à ces critères, demeurent donc
inoccupées, et ce, parfois durant de
longues périodes. J’en veux pour
preuve le quartier Boncelles dont
certains appartements sont inhabités
depuis bientôt quatre ans.
Pour entamer ces travaux de
rénovation, la société de logements
sociaux dispose normalement de
subsides apportés par la Région
Bruxelloise. Ces subsides ne sont
toutefois jamais suffisants, puisque
beaucoup d’appartements à
Etterbeek attendent toujours d’être
reliftés.
Mais alors, comment expliquer que
dans certains quartiers bien
déterminés d’Etterbeek, des
appartements ont récemment fait
l’objet d’une totale remise à neuf,
dépassant même largement la
simple adaptation exigée par les
nouvelles normes de sécurité?
Malheureusement, il reste encore de très
nombreux bâtiments de notre commune aux
abords peu pratiques. Un exemple: la clinique
Saint-Michel. Des travaux de réaménagement
ont été réalisés. Il y a du marbre partout dans
l’entrée, mais il y a un espace apparemment
non réfléchi, sans sécurité, devant l'accès
principal rue de Linthout. Pas de sécurité
devant une clinique, c’est un comble!
Aucune zone de débarquement n'a été
prévue, les voitures s'arrêtent en double file,
créant un danger pour les personnes souvent
peu valides ou malades qui sortent des véhicules ainsi que de gros problèmes de stationnement en double file à cet endroit fort
fréquenté aux heures de pointe.
Il est urgent qu'un aménagement soit réalisé.
Comment la commune n’a-t-elle pu imposer
une meilleure sécurité à cet endroit?
Est-ce normal que les habitants doivent
compenser les manquements communaux à
ce niveau?
Si vous connaissez d'autres endroits à sécuriser, n'hésitez pas à nous en faire part. ■
Philippe Louwers
12e candidat
p.louwers@lecdh.be
Au cdH, nous exigeons plus de
transparence pour les travaux qui
sont réellement effectués par les
sociétés de logements sociaux. Nous
voulons surtout que cesse l’inégalité
dans le traitement des dossiers et
que tous, sans exception, bénéficient
des mêmes avantages.
Je me bats depuis de longues
années pour cela. Nous devons tous
nous battre pour la transparence des
décisions. ■
Stéphane Van Vaerenbergh,
35e candidat, Conseiller communal
s.vanvaerenbergh@lecdh.be
03
Etterbeek à visages humains
04
Changeons Etterbeek!
Plus d’humanité!
Encore un parti qui veut se faire
valoir avec des mots fourre-tout? Eh
bien non! Le cdH n’a pas le
monopole de l’humain mais il en fait
son premier souci et la substance de
son action. Il y a un capital humain
riche et négligé, en particulier à
Etterbeek.
Quelle que soit notre situation dans
la prochaine législature, nous avons
une série de propositions novatrices
que nous entendons promouvoir.
Lisez-les! Vous sentirez que ce qui
domine, c’est le souci du lien social.
C’est notre combat contre les excès
de la bureaucratie et du marché.
Le lien social demande avant tout le
respect mutuel, l’écoute et la volonté
de vivre ensemble. La commune
n’est pas là pour imposer à ses
habitants une manière de penser,
mais pour favoriser un climat de
confiance, d’échange et de
dynamisme dans la liberté.
Etterbeek ne doit pas seulement être
gérée comme elle l’est aujourd’hui,
elle doit vivre et déployer ses
richesses humaines. Ces richesses,
nous pensons qu’elles sont
actuellement sacrifiées sur l’autel du
culte de la personne et d’une gestion
affairiste. C’est une erreur.
Le cdH d’Etterbeek veut du souffle,
de l’air frais et du sang neuf. Il veut
que la commune se projette
réellement dans le futur. Il veut une
commune qui ose établir davantage
de partenariats avec le secteur
associatif, une commune qui mise
sur sa première ressource qui est le
dynamisme de ses habitants ainsi
que leur diversité. Il veut une
commune qui tire le meilleur parti de
sa position stratégique au cœur de
l’Europe et de sa capitale fédérale.
Il faut, pour relever les défis de
demain, une équipe réellement
neuve, décidée à terminer les projets
de qualité en cours et à ouvrir son
action à la concertation et à la
transparence.
Pour cela, le cdH est ouvert à une
alliance avec tous les groupes qui
partagent son programme. Un
programme pour une commune
d’Etterbeek pas seulement efficace,
mais aussi humainement
épanouissante! ■
Jean-Marc Gollier
Président de la section locale
jm.gollier@lecdh.be
21 propositio
COMMUNICATION: RESPECT DES HABITANTS
Stop à l’inflation des toutes-boîtes vantant les actions du Collège! C’est
trop! Nous organiserons une communication centrée sur les habitants,
leurs réalités, leurs demandes, leurs besoins et leurs actions. Une
communication de cette nature renforcera le lien social et le sentiment
d’appartenir à une communauté.
PARTICIPATION: UN OBJECTIF SÉRIEUX
Les commissions de concertation représentent un espace d’échanges
entre les habitants et le pouvoir communal. Chaque compétence
communale comprendra une structure de concertation. Cette structure
devra fonctionner de façon régulière et démocratique. L’agenda et les PV
seront accessibles sur Internet et sur des bornes publiques.
LES JEUNES ONT VRAIMENT LA PAROLE
Etterbeek compte de nombreux jeunes. Les jeunes seront invités à
participer à un conseil consultatif de la jeunesse qui fonctionnera
régulièrement et au sein duquel les organisations de jeunesses seront
représentées Nous voulons des forums accessibles à tous les jeunes et qui
leur donnent envie de participer aux décisions qui les concernent.
EGALITÉ FEMME-HOMME
Le conseil communal adoptera une charte prévoyant:
1. un débat « annuel» sur ce thème et une quinzaine de sensibilisation
sur les violences familiales;
2. l’engagement de plus d’agents de police féminins;
3. une information «anti-discrimination» concernant l’emploi
et les femmes;
4. la promotion des formules d’habitat groupé pour les aîné(e)s.
COMMERCE: RELAYER TOUS LES COMMERÇANTS
Les associations des commerçants ne sont accessibles aujourd’hui qu’aux
membres cotisants. Or, chaque commerçant est déjà un investisseur. A ce
titre il aura droit à élire le président de l’association des commerçants de
son quartier. Les associations seront associées à la définition du plan de
développement commercial d’Etterbeek.
COMMERCE: UN VRAI BUREAU D’ACCOMPAGNEMENT
La gestion d’un commerce nécessite une attention de tous les instants:
localisation, agrandissement, trésorerie, investissements…Un bureau
d’accompagnement communal aidera les commerçants à accéder aux
aides régionales, à centraliser et diffuser les données relatives aux
quartiers et à évaluer les effets des nouvelles politiques.
URBANISME: DE RÉELLES CONCERTATIONS
Tout projet urbanistique d’intérêt général fera très tôt l’objet d’une
concertation. Cette concertation respectera les heures de disponibilité
des habitants et sera menée, autant que possible, sur place. L’initiateur du
projet remettra une version synthétisée des plans, sous format PDF, qui
sera mise en ligne sur le site internet de la commune.
ons pour Etterbeek
LANGUES: DEUX ÉCOLES D’IMMERSION
PROPRETÉ: SENSIBILISATION ET FERMETÉ
La méconnaissance des langues et plus particulièrement du néerlandais
est une des causes du chômage à Bruxelles. La commune initiera au
moins deux classes d’immersion dans ses écoles et encouragera tous les
jeunes à participer à des échanges linguistiques avec la communauté
néerlandophone.
Une campagne de sensibilisation sur la nécessité d’adopter un
comportement respectueux sera organisée sur tout le territoire et auprès
de tous les publics, jeunes compris. Les comportements relatifs au rejet
de tout objet – de quelque nature qu’il soit - sur la voie publique devront
être sanctionnés par une amende.
FAMILLE: SOUTIEN ACTIF À LA PARENTALITÉ
PARTICIPATION: JEU D’ÉQUIPES ETTERBEEKOISES
Etre parent ne va pas de soi. Cela suppose confiance et attention. Dire non
à son enfant quand il le faut est important. Outre une information sur les
différentes structures pour la famille, chaque famille recevra, à la
naissance de son premier bébé, le DVD «Ciel, un bébé!» réalisé par la
fondation Dolto et la Communauté française.
Plusieurs projets et initiatives méritent d’être poursuivis: la Mission
locale pour l’Emploi, la Maison de Chambéry, l’Agenda 21 local, les
partenariats avec les associations telles que Les Trois Pommiers, L’Arche,
Le Jardin du Béguinage et Samarcande. Ce sont des équipes déterminées,
pas seulement une personne, qui ont permis leur réalisation.
ENVIRONNEMENT: CAP SUR L’U.R.E.
LOGEMENT: TROP DE LOGEMENTS VIDES
La commune développera d’urgence une culture de l’économie d’énergie.
Elle poursuivra les plans d’audits URE (‘utilisation rationnelle de
l’énergie’) pour tous les bâtiments publics (logements sociaux, bâtiments
scolaires). Elle diffusera au mieux les informations environnementales et
de développement durable (eau de pluie, solaire, compost, ...).
Etterbeek gère plus de 1.000 logements sociaux dont de nombreux sont en
attente de rénovation. Par ailleurs de nombreux logements situés au
dessus des commerces restent inoccupés. Seule une volonté politique
soutenue parviendra à remettre ces logements sur le marché et,
indirectement, à combattre l’envolée des prix.
SANTÉ: UN ÉCHEVINAT TRANSVERSAL
MOBILITÉ: FAUT QUE ÇA CHANGE!
Avec un tel échevinat, le Collège sera attentif à promouvoir la santé pour
chacune de ses compétences. Rassemblons les acteurs de la santé afin de
définir des projets de santé! Encourageons l’accès pour tous aux services
et structures existants (Maison médicale du Maelbeek, Centres de
planning familial…)! Prévoyons l’engagement d’un handi-conseiller.
Menons des actions de prévention.
Encourageons les formules qui réduisent l’utilisation de la voiture: près
des rues commerçantes, créons des parkings pour réserver les rues aux
bus, aux piétons et aux livraisons; encourageons l’usage du vélo par la
mise à disposition de parkings collectifs sécurisés et de mobilier urbain
pour vélos dans les zones commerçantes.
SANTÉ: UNE SEMAINE «EN MOUVEMENT»
INTERCULTUREL: OUVERTURE, RENCONTRE,
RESPECT
L’exercice physique maintient en santé! Chaque année, la commune
organisera une semaine de sensibilisation pour bouger, marcher, courir,
faire du vélo, nager… préférer l’escalier à l’ascenseur… Une semaine
«en mouvement» pour tous les âges et dans tous les quartiers, les écoles,
les centres sportifs et les associations etterbeekoises.
La cohabitation des cultures est une réalité sociale qui fait aujourd’hui la
richesse de notre commune. Différents cultes se côtoient sans qu’il n’y ait
réellement d’espaces de rencontres et d’échanges. Nous prônons des
initiatives pluri-culturelles pour que l’expression des convictions de
chacun puisse s’enrichir d’une reconnaissance mutuelle.
GESTION: CULTURE DE L’ÉVALUATION
LES FINANCES COMMUNALES
Etterbeek a initié de nombreux projets pilote… sans se doter d’outils
d’évaluation pour en faire le bilan (objectifs - réalisation, effets imprévus).
Tout nouveau projet, tout projet initié sous la dernière législature (parking,
zones 30, plan de propreté, agenda local 21…) fera l’objet d’une
évaluation en concertation avec les habitants. Cette évaluation sera
ensuite largement distribuée.
Elles se dégradent à nouveau à Etterbeek. Nous voyons avec scepticisme
la commune grossir son parc immobilier par toutes sortes de constructions
juridiques. Plus de modestie immobilière et plus de souci des
investissements humains pourraient nous enrichir tous et plus
durablement que des briques réservées à quelques-uns.
SÉCURITÉ: PLUS D’AGENTS DE QUARTIERS
LE PERSONNEL COMMUNAL
Les agents de quartiers sont fort appréciés par la population. Pourtant de
nombreux habitants ne connaissent pas leur agent de quartier. Leur
présence sera renforcée en augmentant leur nombre hommes et femmes
et en diminuant la taille du quartier dont ils sont responsables, ceci afin
d’augmenter leur disponibilité auprès de chaque habitant.
Il doit être encadré par une politique attentive à assurer la valorisation des
mérites non tant en fonction de la soumission à l’autorité qu’en fonction
de l’apport à la dynamique communale et au sentiment de bien être des
habitants d’Etterbeek. Des perspectives de carrière valorisantes doivent
être offertes et discutées avec chacun.
05
> EN
06
BREF
Respect des
personnes
Vous n’assistez jamais au Conseil
Communal? Dommage, vous auriez
pu y constater (une fois de plus)
le mauvais climat qui y règne.
Une conseillère communale de la
majorité se risque à interpeller pour
la première fois, sans en avoir référé
à son groupe au préalable.
Malheur lui en pris! La voici
vertement corrigée en public,
vilipendée, écrasée par un
bourgmestre courroucé. Le public
était une fois de plus médusé. Le
débat est-il muselé dans la majorité?
Décidémment, le pouvoir exercé
avec une telle arrogance aboutit
même à ignorer le respect de ses
propres alliés!
Est-ce là un comportement digne de
l’esprit «constructif», dont le
manque fut tant reproché au cdH? ■
Accueil des petits
Délais d’attente très longs, crèches
trop éloignées ou tarifs privés trop
chers sont le lot de beaucoup de
jeunes parents etterbeekois.
S’il est vrai que les places déjà
nombreuses à Etterbeek (plus de
800) représentent un taux d’accueil
«élevé», une autre réalité se cache
derrière ces statistiques car
beaucoup de ces places sont
occupées par des non Etterbeekois
(navetteurs, ...).
La commune profitera-t-elle du plan
Cigogne II pour augmenter les
capacités d’accueil des tout petits à
Etterbeek (création de 230 places
subsidiées en crèches et prégardiennats en 2006-2007)?
Suite à mon interpellation du 26 juin,
la réponse obtenue est hélas
négative. J’estime pourtant que dans
ce domaine, le secteur public, la
commune en particulier, aurait
clairement un rôle complémentaire à
jouer car beaucoup d’initiatives
privées sont freinées par les coûts
d’infrastructure particulièrement
élevés à Bruxelles et insuffisamment
subsidiés. ■
Kathy MOTTET
2e candidate
Conseillère communale
Inquiétude et
apaisement
Inquiétude du côté des familles dont
les enfants fréquentent le club de
foot d’Etterbeek. La cotisation
annuelle allait monter à plus de
420... Apaisement lorsque le
Bourgmestre a répondu à notre
interpellation que le montant de
l’ancienne cotisation serait reconduit
pour l’année prochaine.
De fait, à la veille des élections, ce
n’est pas le moment de changer
les prix… Nous continuerons
à veiller au grain. ■
AdB
4, 6, 7, 15 et 33 sur la liste cdH:
le Quinté jeune pour Etterbeek!
Sur la liste du cdH figurent bien en vue des jeunes candidats. Cette présence visible répond
à deux préoccupations majeures.
La préoccupation majeure du cdH est d’inscrire son action politique dans le futur. En politique comme dans la vie, on ne peut pas
simplement penser à aujourd’hui, sans
préparer demain.
Malheureusement, cette tendance à sacrifier
le futur pour des intérêts personnels à (très)
court terme se retrouve assez souvent. Mais
pas au cdH! Il est pour nous fondamental de
former des jeunes, pour qu’ils puissent, à leur
tour, incarner les
valeurs d’ouverture,
de respect de l’autre
et de service à la
société propres au
cdH.
La seconde préoccupation est de faire
entrer les thématiques liées à la
jeunesse au cœur du
programme du cdH.
Nous promouvons
un meilleur usage des infrastructures sportives et de loisirs existantes, ainsi que la création de nouveaux espaces de jeux pour les
jeunes : place Van Meyel, rue général Henry,
cours Saint-Michel, place Saint-Antoine,
place du Rinsdelle.
Nous voulons plus que des agents de sécurité, nous voulons de véritables animateurs
de quartier au service de tous, et particulièrement des jeunes.
Nous voulons multiplier les lieux (et les occasions) où peuvent se rencontrer les jeunes
etterbeekois de toutes les cultures, ainsi que
les moments d’échange entre la jeunesse et
les aînés de la commune.
Nous voulons enfin que la commune joue un
rôle actif dans l’insertion et le bien-être des
jeunes, qu’ils soient célibataires ou jeunes
ménages, spécialement en matière d’accueil
à l’administration communale. Les informations sur l’emploi et les consultations de
projets urbanistiques qui les concernent
directement doivent être proposées via des
bornes informatiques accessibles à tous.
Suivez notre campagne sur www.jeunesetterbeek.net. ■
Tanguy Hermanns (4e candidat),
Edoardo Traversa (6e candidat)
Nisrine Kannouf (7e candidat)
Pierre Oldenhove (15e candidat)
Ikram Faldeddine (33e candidat)
Pour une société «aînés admis»
et «aînés actifs»!
La personne âgée doit
redevenir une personne qui
compte dans notre société,
c’est d’autant plus vrai que
notre espérance de vie
augmente chaque jour.
Etterbeek accueille des formules diversifiées
d’habitats groupés (Abbey Fields, Jardins du
Béguinage, …) qui favorisent la dynamique
et la sécurité entre aînés. Cette formule associative doit être encouragée. Mais il ne faut
pas seulement travailler à une société «aînés
admis », il faut aussi une société qui mette
en valeur des «aînés actifs» et qui privilégie
les relations intergénérationnelles. Avec un
peu d’imagination, l’énergie des aînés pour-
rait être mieux utilisée pour soigner une
société qui, à de nombreux points de vue, a
besoin de leurs soins experts, eux qui en
savent long sur la vie!
Des moyens simples devraient être utilisés
pour empêcher que des personnes se sentent
écartées de la vie sociale à cause de leur âge.
A ce titre, la commune ouvre-t-elle assez de
locaux pour permettre aux personnes plus
âgées de faire connaître leur savoir-faire ou
s’investir dans des écoles de devoirs ou des
cours de français?
Pourrait-on imaginer des soirées ou des
après-midi où des personnes âgées volubiles
(il n’en manque pas) racontent des petites
histoires à nos tout petits (et aux autres) ?
Les écoles elles-mêmes ne pourraient-elles
avoir accès à un fichier de personnes âgées
prêtes à raconter leur jeunesse dans le cadre
du cours d’«EDM» si souvent abstrait?
Je veux travailler sur ce thème et relayer les
idées que vous auriez dans ce domaine. Je
sens qu’il y a un travail important à faire,
pour assurer un lien social complet et donc
notamment intergénérationnel. ■
Huguette PLAETENS, 5e candidate
h.plaetens@lecdh.be
50% de Femmes candidates
100% d’Engagement!
53% des Etterbeekois sont des femmes. Parmi celles-ci, 7.244 sont des femmes isolées
et 1.663 sont des mamans seules avec des enfants.
A Etterbeek, il y a 8 échevins dont seulement
2 femmes, 24 conseillers communaux dont
8 conseillères.
Est-ce là une juste représentation?
Un autre regard sur la vie familiale et profes-
sionnelle, intégrant les soucis de toutes les
générations et des plus démunies, nous
permet de choisir nos priorités afin de mener
des politiques différentes, mêlant compétence et réalisme. En effet, nous connaissons
bien le niveau communal, le plus proche de
notre quotidien. Nous participons à la vie
associative et environnementale et jouons la
solidarité locale. Nous avons mille et une
propositions concrètes d’aménagement de
l’espace public…
Voter pour plusieurs femmes d’origines
sociales et culturelles différentes, c’est leur
permettre de faire entendre la voix de toutes
et de peser ensemble sur les décisions à
Etterbeek.
Elues, 100% d’engagement sera alors leur
objectif commun. ■
Kathy Mottet
Conseillère communale
Corinne De Henau-Mikolajzak
Prés. des Femmes cdH de Bxl-Hal-Vilvorde
Votre équipe cdH à Etterbeek
1
1 André du BUS
Kinésithérapeute de formation,
Licencié en Santé publique (UCL),
marié à Véronique Douxchamps,
4 enfants, Député régional, chef du
groupe cdH au Conseil Communal, se bat
pour la promotion de la santé, la qualité de
l’environnement et la démocratie participative.
andre@andredubus.be • Ch Saint-Pierre 58
4
4 Tanguy HERMANNS
2
Kathy MOTTET
3
Viviane SCHOLLIERS
NDAYA
Ingénieur Civil, Conseiller Communal, gère une crèche et une
école. Les clés de notre futur?
L'intégration des femmes et des
jeunes, l'attention à nos aînés, un cadre
de vie harmonieux et en sécurité.
Juriste, conseillère CPAS d’Etterbeek. Maman d’une fille de 7 ans
Prône et lutte pour une société
tolérante, équitable et multiculturelle.
Ouverte aux contacts et dialogues.
k.mottet@lecdh.be
Rue Champ du Roi, 113
v.scholliers_ndaya@lecdh.be
Rue des Métaux, 2
5
Huguette PLAETENS
6
Edoardo TRAVERSA
28 ans, marié et bientôt papa,
juriste spécialisé en relations
sociales, bilingue, socialement
engagé auprès d’enfants avec
handicap social ou physique, ancien
scout, … et bien sûr à votre écoute.
Etterbeekoise depuis 30 ans, 2
fils, ex-libraire, désire continuer à
avoir des contacts avec les habitants. Objectifs: promouvoir et
améliorer la qualité de notre vie sociale et
culturelle.
26 ans, de parents belge et italien.
Recherche Univ.
Président des jeunes cdH d’Etterbeek, expérience associations de
jeunesse et étudiantes.
J’aime: apprendre, dialoguer, construire.
t.hermanns@lecdh.be
Avenue du 11 Novembre, 2
h.plaetens@lecdh.be
Place St Antoine, 33
e.traversa@lecdh.be
Rue de Tervaete, 42
7
Nisrine KANNOUF
8
Hugues
TIMMERMANS
9
Lydejette de WEERD
25 ans. Issue d’une famille nombreuse. Mes priorités: les valeurs
de la famille ainsi que la promotion d’une société interculturelle et
conviviale pour tous, débarrassée des
réflexes de repli et d’égoïsme.
Marié, 2 enfants. Rétablir le lien
des générations, la solidarité en
combattant l'individualisme, mettre en valeur les petits commerçants, c'est
la base du lien social.
Néerlandaise, germaniste, mariée à
un autrichien. En Belgique depuis
13 ans. Mon objectif est de créer,
dans la vie quotidienne, des
échanges utiles et enrichissants entre etterbeekois et citoyens de l’Union européenne.
n.kannouf@lecdh.be
Rue de Haerne, 57
h.timmermans@lecdh.be
Av. d'Auderghem, 138
rue des Métaux 4
de Weerd@lecdh.be
10 Ibrahim HANNA
11 Kris FIERENS
12 Philippe LOUWERS
Marié. Doctorant en Lettres orientales. Attaché au Commissariat
Général aux Réfugiés et aux
Apatrides. Traducteur-interprète
assermenté. Membre de l’Association de
Solidarité Belgo-Syriaque.
Mariée (Francis) 3 enfants, néerlandophone bilingue, ex enseignante.
Priorités: L’intégration des femmes immigrées par l’alphabétisation, l’accueil de la personne handicapée.
Architecte urbaniste, administrateur dans plusieurs asbl.
Actif dans famille, quartier,
paroisse, école, mobilité, espaces
verts. Prône la concertation, la participation
et l'intégration.
i.hanna@lecdh.be
Rue de Theux 4
f.fierens@lecdh.be
Av. de l'Armée, 109
p.louwers@lecdh.be
Rue Dekens, 23
13 Corinne DE HENAUMIKOLAJCZAK
L’environnement et le cadre de vie
des habitants, c’est mon affaire!
Relayer les demandes de mon
quartier dans le souci du bien commun, et
favoriser l’élection de femmes compétentes sont mes priorités.
c.dehenau@lecdh.be • Av. de l'Armée, 57
16 Jo LEJEUNE
Célibataire, 65 ans, globe-trotter,
ex vice-président de Continents
Insolites asbl, animateur de la
Maison du Voyage, Membre actif
de l’Association Belgique-Madagascar,
organisateur de WE de marche.
Tél. : 02/649.86.88
Avenue des Erables, 35
22 Stéphanie ZICHY
Célibataire, 36 ans, employée
dans une école supérieure. Aime
le vélo, la vie, l'histoire et les
rencontres spirituelles et internationales où les différences nous enrichissent.
s.zichy@lecdh.be
Rue de l'Escadron, 9
25 Xavier DEQUINZE
Célibataire, 33 ans, ingénieur
agronome, informaticien et agent
immobilier.
Membre des cercles de naturalistes de Belgique.
x.dequinze@lecdh.be
Rue du Cornet,199/13
28 Paul GOURDINNE
Retraité, 4 enfants, 3 petitsenfants.
.Priorité: maintien de l’unité du
pays. A l’écoute de tous dans un
esprit œcuménique et interreligieux.
p.gourdinne@lecdh.be
Avenue du Front 1 Bte 2
33 Ikram FADLEDDINE
18 ans, fin d’études au Lycée
Emile Jacqmain. J’entreprends le
droit à l'ULB. Je parle le Français,
le Néerlandais, l'Anglais, l'Espagnol et l'Arabe. Pratique de divers sports.
i.fadleddine@lecdh.be
Rue Philippe Baucq, 133
14 Christian BODIONG
15 Pierre OLDENHOVE
de GUERTECHIN
Gérant d'une superette.
Fils de 15 ans.
Président de l'asbl «Diaspora
Camerounaise Bénélux».
Engagé en politique pour défendre les
petits commerces.
Marié, père d’un enfant. Juriste de
formation. Je souhaite participer
activement à la vie politique de
ma commune et notamment en
comprendre le financement.
c.bodiong@lecdh.be
Avenue des Casernes, 53
p.oldenhove@lecdh.be
Rue des Champs, 137
18 Marie-Andrée THERRY
20 Rita NAJM
Infirmière de formation, engagée
depuis des années dans les
villages roumains. Je pense q’un
engagement, c’est avant tout une
action pour et avec d’autres gens.
Infirmière accoucheuse d’origine
libanaise, 41 ans, épouse du Dr
Jean Makhoul, 3 enfants. A
l’écoute de la population, défend
en toutes circonstances l’esprit de famille.
Chaussée St Pierre, 47
ma.therry@lecdh.be
Tél. : 02/648.89.99
Avenue Nouvelle 108
23 Elisabeth
van der STRAETENDUQUESNE
4 enfants, 14 petits enfants. Expérience de 21 ans comme conseillère de
CPAS. Souhaite améliorer le bien-être des
Ainés par des projets de vie active, insérés
dans la société. e.vanderstraeten@
24 Michel DELPORTE
Fonctionnaire au Parlement fédéral, polyglotte, sportif, bénévole
pour diverses associations caritatives. Auteur d'un travail sur la
Belgique (site web: micdelp.be).
m.delporte@lecdh.be
Rue de Tervaete, 40
lecdh.be • Rue Général Henry, 17
26 Francis FIERENS
66 ans, marié (Kris), 3 enfants,
catholique, médecin, bilingue.
Passionné d’oiseaux divers, donc
de toi aussi!
«Parle-moi..j’ai des choses à te dire» J’ai
aussi à t’écouter! Chiche…
f.fierens@lecdh.be
Av. de l’Armée, 109
29 Véronique
LYBBRECHT
Femme au travail dehors et à la
maison, mariée, un enfant. Ma
priorité: la lutte contre la solitude
des personnes âgées et contre les excès
de l’individualisme.
27 Charlotte
van ZUYLENd’OULTREMONT
Mariée, trois enfants. Profession
libérale en qualité d'assistante. Active
dans l'organisation de fêtes scolaires.
Animatrice post-catéchèse pour jeunes.
c.vanzuylen@lecdh.be
Av. Nestor Plissart, 26
31 Albert WIJNANTS
Retraité: 4 enfants, 7 petits
enfants et 1 arrière petit-fils
Ex-Inspecteur en assurances
Toujours disponible pour ses amis
et ses voisins.
Rue Champ du Roi, 131 A
v.lybbrecht@lecdh.be
Av. d'Auderghem, 138
34 Charles-Emmanuel
de BERGEYCK
35 Stéphane
VAN VAERENBERGH
Marié, père de 3 enfants, expérience de 9 ans aux USA.
Cadre dans une multinationale à
Bruxelles. Ancien chef louveteaux.
Préoccupation: la famille au sein de la cité.
Conseiller commercial et financier.
Epoux de Madeleine Petitjean, 3
enfants. Organisateur de la
Brocante “ Place Van Meyel” depuis 1994.
Conseiller communal depuis 1982.
c.debergeyck@lecdh.be
Ave E. Mesens 27
s.vanvaerenbergh@lecdh.be
Rue Louis Hap, 198 B7
07
08
Le bureau social d’interim: une nouvelle
façon de répondre au chômage des jeunes
La lutte contre le chômage des
Bruxellois, et en particulier celui des
jeunes, est un des défis majeurs du
Ministre de l'Economie et de l'Emploi
Benoît Cerexhe. Cette politique
commence à porter ses fruits, si l'on
en croit la baisse sensible du nombre
de demandeurs d'emplois de moins
de 30 ans (moins 10 %), enregistrée
ces derniers mois en région
bruxelloise.
Adopté le 6 juillet dernier par le Gouvernement régional
bruxellois, le projet de création d'un bureau social d'interim
est une première.
Il s'agit d'une nouvelle réponse apportée par le Ministre
Cerexhe aux problèmes d'embauche rencontrés par les
jeunes peu qualifiés (maximum un diplôme de l'enseignement secondaire inférieur) et qui représentent un tiers des
demandeurs d'emploi inscrits à l'ORBEm.
La mission du bureau social d'interim s'inscrit dans une
relation de partenariat public-privé. Elle consiste à offrir du
travail intérimaire de courte et de longue durée à des
demandeurs d'emploi âgés de 16 à 30 ans.
Un accompagnement personnalisé leur est proposé durant
toute la période de prise en charge, pour les aider à
répondre aux questions d'ordre social, juridique, administratif ou personnel qu'ils peuvent se poser.
C'est le projet ARIS qui a été retenu pour mener à bien les
objectifs du bureau social d'interim. Il rassemble trois parte-
naires: Daoust Interim S.A., T- service (le service d'interim
de l'ORBEm) et l'asbl Fedecoop (Fédération belge de l'économie sociale et coopérative) qui regroupent des entreprises
et associations d'économie sociale de toute la Belgique. ■
Unilingues aujourd’hui, chômeurs demain!
A Bruxelles, 96 % des chômeurs ne parlent qu’une des langues nationales. Or, si l’on veut offrir à nos enfants toutes
leurs chances, il est indispensable qu’ils maîtrisent le néerlandais.
Une méthode simple et peu coûteuse a fait ses preuves
depuis 1998: l’immersion linguistique précoce. La moitié
des cours se donne dans la langue cible, le reste en français. Et l’enfant est suivi dans les deux langues. L’idéal est
de commencer dès la 3e maternelle.
La méthode plaît: les écoles qui pratiquent l’immersion sont
prises d’assaut. L’offre ne suit manifestement pas la
demande… Les listes d’attente sont parfois de 4 ans!
De nombreux écueils doivent être levés pour créer des
classes d’immersion: peu de professeurs néerlandophones
sont disposés à enseigner dans des écoles de la Communauté française et pour cause: ils gagnent moins et perdent
leur ancienneté dans leur Communauté. Quant aux outils
pédagogiques, chaque école semble devoir les inventer…
De plus, dans les écoles normales, il manque une formation
spécifique à l’enseignement par immersion. ■
Plus d’informations sur l’immersion? www.tibem.be
Inès de BIOLLEY: 0475/60.78.44 – ines@biolley.be
Anne-marie CLAEYS: 0478/72.92.72
amphi@village.uunet.be
Pétition pour la création de classes d’immersion linguistique à Bruxelles
Nous demandons d’urgence l’ouverture de classes d’immersion linguistique à Bruxelles. Nous souhaitons:
• Qu’au minimum 2 écoles par commune pratiquent l’immersion linguistique
PRENOM
NOM
• Qu’à terme, chaque école offre une « filière » d’immersion
• Une formation des enseignants à l’enseignement par
immersion
• Une centralisation et mise à disposition des outils
pédagogiques
ADRESSE
Ce coupon est à retourner à:
Inès de BIOLLEY – 101 rue Rasson 1030 Bruxelles. Cette pétition est aussi disponible sur le site www.tibem.be
• Un accord de coopération avec la communauté flamande
pour que les enseignants néerlandophones puissent enseigner sans contrainte dans les écoles francophones
SIGNATURE